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Javier Zanetti est revenu sur sa carrière dans un podcast en compagnie de Giacomo Poretti "Je continue à m’entrainer, je joue avec mes enfants, cela fait partie de moi, je le fais car je me sens bien. Les temps ont tellement changé comparé à notre enfance, je jouais en Argentine sur un terrain de terre battue avec la boule au ventre avec de la peur à l’intérieur, c’est comme ça que j’apprenais à joueur. "Parfois, je parle à mon fils qui joue sur des terrains parfaits et qui se plaint même lorsqu'il pleut. Nous devons nous adapter à ce que nous vivons aujourd'hui. Quand j'étais enfant, j'encourageais l’Independiente en Argentine et je m’imaginer à commenter ce que je voyais pendant le match, c'est un moment que je n'oublierai jamais: J'étais tellement heureux avec peu de choses, les choses simples sont celles qui vous rendent le plus heureux, une époque fondamentale pour moi. Papa m'avait fait un terrain derrière la maison, ma mère vendait des bonbons, papa venait me voir, c'était la belle époque". Te surnommais-t ’on déjà El Tractor petit ? "J’ai toujours bien aimé courir derrière le ballon et cela n’a jamais changé, puis lorsque je suis arrivé en Italie, j’ai dû m’adapter." Ton idole d’enfance ? "C’était Bochini, le numéro 10 dell'Independiente, qui a ensuite remporté le Mondial avec Maradona : Il a fait une carrière similaire à la mienne avec l’Inter car il a joué toute sa vie à l’Independiente." Trop de parents en demandent tellement parfois à leur enfants.... "Parfois, je préfère m’éloigner pour ne pas entendre certaines choses : C’est le monde dans lequel nous vivons, il y a une misse sous pressions sur des jeunes enfants alors qu’à cet âge-là, il faut s’amuser, grandir avec les valeurs du sport : Si tu deviens professionnel, oui, là tu seras sous pressions, mais à un si jeune âge, il faut s’amuser, point." Y-a-t ’il des différences entre le football argentin et l’talien ? "Les premiers temps tout me semblait particulier car les Tifosi me félicitait car je gardais le ballon dans les pieds et mes équipiers enrageaient et m’insultaient car je ne leur donnais pas le ballon. Je me suis rendu compte que les deux football sont différents : Nous aimons aller de l’avant avec le ballon, avoir de l’espace et prendre le temps que l’Italie ne propose pas. En argentine, tu as plus d’espace, à l’Inter et en Italie, tu as beaucoup moins de temps pour y penser." Ton premier entraineur en Italie ? "Ottavio Bianchi, il m’a appelé et m’a mis face à une map d’un terrain de football en me demandant là où je préférais jouer, je lui ai dit à droite et il m’avait mis sur l’aile gauche là où évoluait Roberto Carlos." "La semaine suivante, c’était l’ouverture du championnat face à Vicenza, j’y ai ressenti cette émotion incroyable qu’est le Meazza et le destin à voulu que nous gagnions le match 1-0 et c’est là le début de mon Histoire avec l’Inter, la première de mes s 858 parties." Tu as eu tellement d’entraineurs, aussi parce que Moratti avait une de ces paires de couilles et qu’il changeait souvent d’entraineur... "Une année, j’en ai connu quatre, elle était difficile : Lorsque tu es dans une équipe comme l’Inter, tu es habitué à gagner : Moratti investissait tellement et il ne parvenait pas à gagner, ensuite le temps nous a permis de…" Te rappelles-tu tous les entraîneurs ? "Tout, vu tout ce qu’ils ont fait avec nous. Je me souviens de Simoni qui était pour nous un Père, il était parvenu à créer une Famille, ce qu’est pour moi l’Inter, il avait créé un groupe compact aussi via son Leadership qui était silencieux, il était très franc, il y avait une excellente ambiance. Hodgson? "J’ai eu un soucis avec lui, mais c’est moi qui m’étais planté. Lors de la première finale de Coupe UUEFA je n’avais pas compris mon remplacement : Bertin était monté et il ne restait qu’une minute de jeu avant d’aller aux tirs aux buts... Lors de ce remplacement, j'étais furieux de n'avoir rien capté mais nous nous sommes serrés dans les bras trois secondes plus tard et aujourd'hui, lorsque nous nous voyons, nous rions de cet épisode." "Et puis, bien sûr, Mourinho est , un très grand connaisseur, avec un grand charisme, un gagnant : J’étais en Argentine et il m’avait appelé pour me prévenir qu’il venait de signer avec l’Inter, il se présentait en me disant que je serai son capitaine et en s’excusant pour son italien qui pour moi était parfait : Il était en avance sur tous, d’une autre catégorie." Mon dernier entraineur ? "Mazzarri" Tu as l’intégrité morale et physique pour toi Javier : Avec un tel surnom, tu n’as connu qu’une seule blessure, mais elle était très sérieuse "Mère Nature m’a fait jouer jusqu’à mes 41 ans sans avoir connu la moindre blessure, sinon celle qui m’est tombé dessus à 39 ans, je m’étais rompu le tendon d’Achille et je m’étais immédiatement rendu compte que c’était quelque chose de grave." "Tous pensaient que ma carrière était finie, moi-même j’avais conscience de sa gravité, mais je pensais déjà à me faire opérer et à revenir. Je n’avais pas envie de partir de cette façon et je voulais offrir à mes Tifosi une nouvelle saison comme protagoniste et prendre ma retraite devant mes Tifosi : Le Sport est comme la Vie de tous les jours, tu dois surmonter les problèmes de la même façon : Je voulais revenir, et je suis revenu et je me suis offert encore une autre saison." Il y aussi l’aspect mental qui joue dans les blessures : Certains ne sont jamais parvenus à s’en sortir... "Si tu es fort mentalement, tu réussiras difficilement à te faire mal, si tu as la tête ailleurs, et c’est valable aussi dans la vie quotidienne, là ça peut influencer. Certains doivent travailler aussi sur le mental car il faut savoir être résistant, se relever si l’on tombe à terre. Les psychologues sont important dans les équipes d’aujourd’hui, ils sont les bienvenus, mais lorsque je jouais, ils n’étaient pas là : Ils sont utile pour ceux qui en ressente vraiment le besoin." Lorsque l’on parle de mental, on se doit de parler du Special One, On percevait que Mourinho était forcément spécial, je ne sais pas s’il a apporté quelque chose de nouveau au football, mais les joueurs de l’Inter semblaient transformés "Il nous a poussé à croire que nous pourrions gagner aussi au niveau européen, il nous a poussé bien au-delà de nos limites, il nous a fait croire que ce que nous faisions quotidiennement durant la semaine allait nous permettre d’atteindre de très grands résultat. Nous avions tous cette conviction, celle d’être sur la bonne voie, il a construit une équipe en deux ans et nous nous sentions imbattables. Pour que l’on s’incline, les autres se devaient de réaliser quelque chose d’extraordinaire, c’était un grand Maestro ? Lorsque je le vois en conférence, il propose une certaine façade car lorsqu’on le connait en réalité, il est très facile à vivre, compréhensif, il traite tout le monde sur le même pied d’égalité, il ne fait aucune différence, si tu jouais, c’est parce que tu le méritais : C’est un Leader né." Que peux-tu ressentir, même si tu ne l’as jamais fait, un joueur qui est sur le banc ? "Souvent, les personnes ne s’expriment pas sur ceux qui viennent du banc, mais ce sont eux qui te font gagner, eux qui te font bien t’entrainer, il faut avoir un très grand respect pour eux. J’allais vers le banc lorsque je marquais car pour moi ils étaient fondamentaux et ils pouvaient s’avérer eux aussi fondamentaux dans les périodes les plus importantes de la saison : Qui venait du banc te faisait gagner le match. A présent, il y a cinq remplacements, et tous sont bien mentalement lorsqu’ils montent car ils peuvent tout te faire gagner le match, peu importante la qualité individuelle." Des râleurs ? "L’équipe du Triplé par exemple était un groupe extrêmement fort : Tous se sentaient important. Nous avions un entraineur qui était parvenu à te transmettre que nous étions tous importants. Je dis toujours à l’équipe que le plus important reste le groupe, si chacun pense pour sa gueule, tu parviendras difficilement à l’emporter. Tu n’as jamais eu peur, Javier au cours de ta carrière, de ne jamais rien gagner ? "La peur fait partie du métier, mais si tu es serein envers toi-même, que tu fais tout pour que les autres aillent vers une certaine direction, tôt ou tard , le travail paye : Si tu te montres constant, résilient, tôt ou tard les résultats arrive, avec l’Inter j’ai connu mes dix premières années compliquées mais ensuite je suis parvenu à tout gagner les dix années suivante : La vie est comme, ce n’est pas uniquement que dans le monde du sport, la peur fait partie de la vie quotidienne. Comment vis-tu l’anxiété en cours de match : En 2010 par exemple, lors de Sienne-Inter, il y avait une pluie d’occasions mais rien ne rentrait jusqu’à dix minutes du terme, Il y avait même eu un milaniste qui avait tenté de te perturber sur ta passe magique vers Milito qui a marqué. J’étais parti à sa recherche et il n’était déjà plus là "Ce match là était bien plus difficile que la Finale de la Ligue des Champions car la tension était incroyable, surtout dans les dernières minutes. Nous avions marqué dans ce match et il restait encore quatre minute de jeu, ensuite Rosi, l’ailier romain a fait un centre qui, jusqu’au moment de sa sortie, a fait que j’ai regardé Maicon qui était devenu blanc (il rit tous) Julio César avait soupiré. Il y avait ce match là et la demi-finale retour à Barcelone, Je l’ai encore regardé, cela semblait être une éternité, un match qui ne se terminerait jamais : Au coup de sifflet final, la libération était totale. Ces trois journées magiques ont débutée avec la Coupe d’Italie: Ma femme était invitée à un concert de Dalla-De Gregori elle voulait y aller et je l'ai satisfaite, même si j'avais conscience que c’était la date de la finale, j'ai crié dans le bus du concert, quand nous avons marqué... "Ce sont des moments que nos épouses ne peuvent pas comprendre." Ensuite, il y a eu la Finale de Madrid, comment l’as-tu vécu ? "J’étais en chambrée avec Cordoba nous sommes tous les deux croyants et lui est dévoué à Sainte Rita. A minuit, nous sommes allés bruler un Cierge pour Sainte-Rita dans la Chambre et nous nous sommes endormis ensuite tous les deux : Heureusement que rien ne s’est enflammé car nous aurions pu être brûlé" "La Finale, avec comme premier impact le Bernabeu, était si belle, notre Curva était pleine, pleine de monde, Chacun d’entre nous avait face à lui des personnes qui pensait que nous ne pouvions pas ne pas leur offrir la Victoire, cette Victoire. Au moment où j’ai soulevé la Coupe, je n’étais plus moi-même et je n’étais as le seul, c’était un moment bien trop beau. Ensuite nous avons vu les images du Duomo à la télé, qui était comble, Milan plein d’Interiste, Seule l’Inter est comme ça, j’avais 37 ans et je disputais mon 700ème match avec l’Inter ce soir-là. L’arbitre laissait trois minutes de récupération et Julio Cesar prenant le ballon, j’étais déjà entrain de pleurer tandis que Samuel était encore contracté et Maicon faisait déjà la fête." Quel est l’impact de la Famille dans une telle carrière ? "L’harmonie à la maison est fondamentale car elle fait partie du métier. Moi et Paulo partageons toute une vie ensemble, elle avait 15 ans et moi 19, elle devait encore en terminer avec la scolarité lorsque nous sommes arrivé en Italie. Nous avons trois enfants, tous les trois sont nés à Milan : Sans Eux, sans Paula, je n’aurais jamais fait une telle carrière." Dévoué à Sainte Rita, à quel point la Foi compte dans ta vie ? "Je suis allé à Cascia, je vais souvent à l’Eglise et même à la Pinetina nous avons une Chapelle. Maicon ne venait pas, mais il nous regardait de la fenêtre. Pourtant les Brésiliens indiquent toujours le ciel avec leur doigts à chaque but (il rit) c’est quelque chose que je ne comprends toujours pas." Javier, je t’en prie, parle-moi de Taribo West "Un phénomène, trop divertissant, Durant 80 minutes, il pouvait être concentré pour faire ensuite ce que bon lui semblait lors des dix minutes restantes, un jour, il a pris le ballon et s’est barré. Taribo revenait ensuite et, faisait à sa mode, c’était trop marrante. Un jour, alors que Lippi parlait tactique, il lui a demandé de raccourcir. A un moment, le milieu de terrain passait à l’attaquant le ballon et Lippi lui avait dit aussi de faire court. Taribo avait refusé et avait répondu : "Dieu m’a dit que je ne devais pas faire court." et nous avons tout de même remporté la Coupe de l’Uefa avec Taribo. Lippi lui avait répondu : Mais Dieu ne m’a rien dit à moi." Le joueur le plus fort avec qui tu as joué ? "Ronaldo sans aucun doute." L’adversaire qui t’a mis le plus en difficulté ? "Un jour, Simoni m’avait demandé de marquer Zidane, c’était difficile durant toute la rencontre. Ensuite, je dirais Kakà du Milan." Et dans les Derby ? "Il y a eu des bagarres folles avec Gattuso et Nedved, mais toujours dans le plus grands des respects, il y aussi eu Maldini et c’était toujours dans les Derby. Lors de mon premier Derby, devant 80.000 personnes, je me souviens d’une faute qui valait un pénalty de Baresi sur moi, il m’avait relevé en sommant de me lever: C’était Baresi et c’était pénalty." Ces batards ne te l’avaient pas accordé "Selon moi, avec la Var, il m’aurait été accordé." Comment vis-tu ta popularité ? "Avec une totale normalité, j’ai un très grand respect pour les personnes et pour les Tifosi : Ils font de très grands sacrifices pour venir voir les entrainements, les matchs et qu’est-ce que ça change pour moi de m’arrêter un peu et de leur apporter du respect ? J’ai la chance d’être sur le terrain pendant 90 minutes, mais après le match, je lui l’un des leurs." Comment est la vie en Italie ? "Je suis amoureux de l’Italie, je me considère comme un Italien, mes trois enfants sont nés à Milan, j’ai pleuré lorsque l’Italie a été éjectée par la Suède de la Coupe du Monde au Meazza : L’Italie m’a ouvert ses portes alors que j’étais un inconnue, je lui dois tout, j’ai un très grand respect pour ce Pays et lorsque je vais à l’étranger, je me rends compte à quel point elle me manque. Mes grands-parents étaient originaires de la province de Pordenone." A quel point as-tu profité de la Victoire de l’Argentine en Coupe du Monde ? "J’étais parti tout le mois au Qatar en Famille et j’avais l’impression que toute l’Argentine était là, Dès mon arrivée, j'ai senti le désir des Tifosi de remporter la Coupe du monde, qui était attendue depuis tant d'années. Et voir Messi soulever le trophée. J'ai ensuite eu la chance d'entrer sur le terrain et de le remercier, au nom de tous les Argentins, pour la joie qu'il nous a donnée. Je retourne toujours là-bas à Noël, en short parce que c'est l'été. Et nous retournons en fin d’année scolaire. Maintenant, je travaille pour mes enfants comme Uber, je prends l'un et j'amène l'autre." Et ta Fondazione Pupi? "Elle est née en 2001 dans une période qui était difficile pour l’Argentine, je me sentais le devoir de faire quelque chose avec Paula pour notre pays, pour les personnes qui étaient en difficultés et nous avons trouvé cette façon de venir en aide à tant d’enfants afin qu’il puisse trouver la bonne voie. Nous avons aidé, jusqu’à présent, plus de milles enfants." Avec qui aurait-tu aimé jouer ? "Avec Maradona forcément, mais il avait arrêté aussi lorsque j’ai débuté ma carrière en équipe national. Pour tout ce qu’il représentait, j’aurais tant voulu jouer avec lui." Et qui aurais-tu voulu à l’Inter ? "Messi" ®Antony Gilles – Internazionale.fr
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Federico Dimarco: L’Inter prime sur tout!
Victor "Antony" Newman a posté un article dans F.C. Internazionale Milano
Notre Bambino s’est livré à "7", le magazine du Corriere Della Sera sur ce que représente l’Inter, lui qui est né dans la Capitale de la Mode: "Milan est ma Ville, c’est un lieu où j’ai grandi, c’est ici que j’ai tiré la première fois dans le ballon et que j’ai compris que c’est ce que je voulais faire lorsque je serai plus grand, c’est le lieu qui m’a aidé à grandir, j’ai devant moi mon passage dans les différentes équipes de jeune de l’Inter." Comment cela s’était passé ? "J’étais déjà Tifoso, et lorsque l’on m’a dit que c’était possible de porter le Maillot Nerazzurro je suis devenu fou de joie : Jouer pour l’équipe que tu aimes ça t’aide." Dans ta Famille aussi, vous êtes tous interiste ? "Mes parents n’étaient pas de grands passionnés du football. J’’ai commencé à aller au Meazza avec mon oncle et mon grand-père, j’avais 2-3 ans et c’est là qu’a commencé ma vraie passion pour l’Inter, celle que je porte en moi jusqu’à aujourd’hui, exactement avec la même intensité, la même joie." Quel est ton souvenir le plus fort de tes premières fois au Giuseppe Meazza ? "Les émotions les plus fortes sont arrivées lorsque l’Inter a remportés 3-4 Scudetti de suite avec Roberto Mancini et José Mourinho, il y avait des joueurs de très haut niveau." Qui t’enthousiasmait le plus ? "Ils sont si nombreux, mais si je ne devais en citer qu’un, je dirais Diego Milito qui, en 2010, a permis à l’Inter de remporter la Ligue des Champions avec un doublé en Finale et qui a mis sa griffe sur toutes les Victoires les plus importantes. Jouer dans l’équipe que tu supportes est une si belle chose, mais ce n’est pas simple. Ces deux dernières années, lorsque je suis revenu de Vérone, j’ai beaucoup appris de joueurs bien plus expérimenté qui sont partis." "Et je cherche à présent à faire comprendre, à ceux qui arrivent, ce que c’est de jouer à l’Inter, ce que veut dire jouer au Giuseppe Meazza, mais par-dessus-tout, ce que c’est l’Interisme : C’est un sentiment difficile à expliquer, c’est un sentiment que tu as au fond de toi depuis tout petit, des émotions intenses que tu vis depuis les tribunes et qui, dans mon cas, tu revis sur le terrain, c’est un feu ardent qui brule en toi, cela ne se médite pas, c’est instinctif." Quel est ton but le plus important ? "Celui en Finale de la Super Coupe d'Italie contre le Milan, le 18 janvier 2023, l’année ne pouvait pas mieux commencer." Et ta plus belle rencontre que tu as joué ? "Même si elle ne s’est pas terminé comme je l’aurais voulu, la plus belle et la plus importante a été la Finale de la Ligue des Champions contre Manchester City. J’étais vraiment serein la veille et objectivement, soulever la Coupe aurait été la Cerise sur le gâteau. Mais la chose la plus importante a été la fierté que nous avons offert à nos Tifosi : Nous avions tout donné sur le terrain, on nous avait condamné avant le match et City a vraiment sué pour arracher cette victoire, et pas qu’un peu." Ton message sur Instagram était à destination de Lukaku ? "Pour être sincère, non, c’était pour faire comprendre que les joueurs vont et viennent, c’est sûr que ceux qui sont parti nous ont tellement donné, mais finalement, le Maillot Nerazzurro Reste : L’Inter prime sur tout! Chaque joueur qui arrive, comme ceux qui étaient là aussi l’année dernière, savent qu’ils doivent faire en sorte de porter l’Inter au sommet !" ®Antony Gilles – Internazionale.fr- 6 commentaires
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Notre ancien président Massimo Moratti a accordé une interview à il Giornale. Voici ses mots et réflexions. Déçu ? "L'occasion manquée est ce qui reste à l'esprit mais le football est comme ça. N'en faisons pas un drame." C'était quel match ? "City n'était pas ce à quoi nous nous attendions et ils ont joué médiocrement. Cela vous fait penser que vous auriez pu ramener le match à la maison. Mais, dans l'ensemble, ce n'était pas un bon match." Avez-vous eu des nouvelles de quelqu'un du club ? "Le pire, dans ces cas-là, c'est de recevoir les coups de téléphone de consolation. Je n'ai entendu parler que de mes enfants." Qu'est ce qui ne s'est pas bien passé? "Je me répète : si on veut prendre un bon match en exemple, on ne choisit certainement pas celui-là. C'était un match qui ne pouvait se décider que par épisodes. Les deux équipes étaient très discrètes. Même City a montré qu'il souffrait." Si l'écart sur le terrain était relatif, celui financier demeure. Gagnez-vous au football si vous avez plus d'argent ? "Je n'ai pas vu beaucoup de différences sur le terrain, surtout si l'on pense aux centaines de millions dépensés par City. D'un point de vue tactique, l'Inter a très bien fait." Pioli, à Milan, a déclaré qu'il est aujourd'hui difficile d'être compétitif sur deux fronts. Est-ce plus le cas pour les Italiens ? "Je crois que l'Inter a plutôt montré que cela pouvait être fait. La mauvaise passe a été vécue en milieu d'année mais ce n'était pas dû à ce double front. Si à un moment donné quelque chose manque, c'ést la confiance." Était-ce le mérite d'Inzaghi de sortir de ce moment ? "Guardiola a essayé de le dire avec élégance: l'Inter est la deuxième équipe la plus forte d'Europe et le mérite revient au club, aux joueurs et à l'entraîneur. Il a su tenir le coup pendant la période au cours de laquelle il a été sévèrement critiqué. Par moi également." Alors avez-vous changé d'avis à propos d'Inzaghi ? "Bien sûr." Vous êtes amoureux de l'Inter mais cela ne vous dérangera certainement pas de continuer à être le dernier président à avoir remporté la Ligue des champions... "Il y a de la fierté à penser que ma famille a été la dernière à réussir. Mais c'est un sentiment qui peut être renforcé si vous continuez à gagner, sinon tout s'oublie." Si l'Inter avait gagné, Lautaro aurait-il été candidat au Ballon d'Or, lui qui a aussi remporté la Coupe du monde ? "Je ne sais pas, ils ne l'ont pas donné à Milito... Lautaro est très fort, mais il peut s'exprimer à des niveaux encore plus élevés." Au-delà des épisodes malheureux à Istanbul, Lukaku vous le gardez ? "Je ne lui ferais pas toutes ces critiques. Bien sûr, sa tête a mal fini et c'est peut-être son péché mortel. Mais quand lui et Mkhitaryan sont arrivés, qui est très fort pour moi, l'équipe a changé de rythme et était plus dangereuse. Pour l'avenir, Lukaku est toujours utile mais je ne connais pas les comptes." En parlant d'attaquants, avez-vous été impressionné par les adieux d'Ibra au football ? "Ça m'a beaucoup marqué. C'est un garçon avec une belle personnalité, un gentil garçon." Que pensez-vous les adieux de Milan à Maldini ? "Je suis tellement désolé, je suis son ami. Je sais qu'il était très bon." Pendant ce temps, le football italien a fait son triplé à l'envers : trois finales avec la Roma, la Fiorentina et l'Inter. Et trois défaites... "Oui mais regardons. L'un aux tirs au but, l'un à la dernière minute, l'autre dans la façon dont on connait. Arriver avec trois équipes en finale, c'est très digne. Le football italien s'est bien battu." Au-delà de la finale à Istanbul, y a-t-il quelqu'un qui ferait bonne figure dans l'équipe du Triplete ? "Si je devais choisir un nom à ramener mon Inter, je choisirais Barella. Les attaquants sont bons, mais je pense qu'Eto'o et Milito étaient inégalables." Avez-vous vu vos anciens joueurs dans les tribunes du stade olympique Atatürk ? "Quelle belle image. Une fois de plus, nous avons compris la valeur de cette équipe qui avait quelque chose de grand à exprimer." Êtes-vous toujours en contact ? "Oui, on discute. De temps en temps, ils viennent me rendre visite, ils sont liés à moi." Il y a quelque temps, vous disiez qu'aujourd'hui l'âme des fans reste de votre Inter. Avez-vous vu les 45 000 devant l'écran géant de San Siro ? "Chapeau bas pour ceux qui savent se laisser gagner par leur passion." Sera-t-il plus facile de repartir de cette finale que le 5 mai ? "Aujourd'hui, la conviction d'avoir fait quelque chose d'exceptionnel demeure car atteindre la finale de la Champions n'arrive pas souvent dans la vie. Le mérite et la confiance qui lui sont attachés demeurent. L'équipe peut repartir mais sans rien prouver et sans complexe." Traduction alex_j via FCInter1908.
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Diego Milito : "L'Inter peut le faire ! Lautaro ? Il est complet !"
alex_j a posté un article dans F.C. Internazionale Milano
Longue interview accordée au Corriere della Sera par Diego Milito. Voici ses mots. Sur la finale de 2010. "C'est difficile d'exprimer les émotions que j'ai ressenties. Ce que je peux dire sera toujours peu. Une joie qui restera avec moi pour le reste de ma vie." Le premier souvenir qui vous vient à l'esprit de la finale face au Bayern ? "La joie des supporters après le deuxième but. Si je ferme les yeux, je peux encore voir leurs visages. À ce moment-là, nous avons réalisé que nous pouvions vraiment le faire." Cette fois, l'Inter défie Manchester City. Comment gagner un match comme celui-ci ? "Il n'y a pas de formule exacte. Il faut soigner les détails, aller sur le terrain avec détermination, savoir saisir les opportunités." Mais existe-t-il une recette pour gérer l'anxiété et la pression la veille ? "Ce n'est pas facile, il y a tellement de pensées, l'adrénaline circule déjà. Mais j'ai réussi à dormir, j'étais calme. Le sentais qu'on pouvait gagner ce match." Qu'avez-vous ressenti en sachant que Mourinho ne reviendrait pas à Milan avec vous ? "Un mélange d'émotions : nous étions contents d'avoir gagné, mais tristes de ne pas continuer à travailler avec lui. Ses adieux ont été un coup dur, il a été une référence." Avez-vous été surpris de le voir à la Roma, votre rivale de l'époque ? "Non. Il y a des imoments et des instants. Rome est une place parfaite pour lui." Mou ou Inzaghi : de qui te sens-tu le plus proche pour le caractère ? "J'ai un faible pour José, je lui serai toujours reconnaissant. Il y a avec lui un lien d'affection qui rend la comparaison difficile. Simone est un excellent coach, parfois injustement critiqué. Il fait de grandes choses à l'Inter." Quel rôle avez-vous joué pour la venue de Lautaro à l'Inter ? "Zanetti m'a appelé, nous avons longuement parlé. Vous pouviez déjà voir ses talents, il n'avait pas besoin de moi pour le publiciser. Il y a eu une offre d'un autre club (l'Atletico Madrid, ndlr), on n'a pas fermé tout de suite et l'Inter a pris le relais. Ils étaient bons pour agir rapidement. Lautaro m'a demandé des conseils, car nous vivons à Milan, mais il était content de l'opportunité. Je n'ai pas eu à le convaincre." Qu'est-ce que tu aimes chez lui ? "Il a les qualités des grands attaquants, il est complet. Il peut jouer seul, comme s'il était un neuf, mais il s'adapte aussi à jouer avec un autre attaquant, par exemple Dzeko ou Lukaku. Il a tout." Comment a-t-il progressé après la Coupe du monde remportée avec l'Argentine ? "Cette victoire lui a donné tellement de confiance." Que voyez-vous dans l'attaquant Lautaro del Milito ? "Je n'aime pas les comparaisons. Je peux juste dire que nous avons une attitude similaire : nous sommes des combattants, nous travaillons pour atteindre nos objectifs, nous essayons d'obtenir ce que nous voulons. Avoir cet état d'esprit est essentiel." Quelle relation avez-vous ? "Je le connais depuis qu'il est très jeune, presque un enfant. Au Racing, il a fait ses débuts dans l'équipe première en entrant sur le terrain à ma place. Une sorte de passation de pouvoir. C'est un garçon extraordinaire, je l'adore. Le voir grandir, savoir où il en est maintenant, me rend heureux." La dernière fois que vous avez parlé ? "Je lui ai écrit après la finale de la Coppa Italia, comme je le fais pour tous les matches importants. Nous parlons souvent." Lautaro à Istanbul défiera Haaland. Le Norvégien est-il le meilleur attaquant du monde ? "L'un des meilleurs, pas le meilleur. Il y a justement Lautaro, Benzema et d'autres grands joueurs. Bien sûr, il voit facilement le but, l'Inter devra faire attention." Pour le contenir, laisseriez-vous Skriniar de retour jouer en tant que titulaire ? "L'Inter a atteint la finale sans lui, ils peuvent facilement continuer à se passer de lui. Alors il verra avec Inzaghi." Le chat WhatsApp des "joueurs triplés" est-il toujours actif ? "Oui bien sûr. Après l'Euroderby avec Milan, nous avons félicité Zanetti, qui est dans le club." Qui de cette équipe de l'Inter aurait joué dans votre équipe ? "Je ne veux pas citer de noms, mais Inzaghi a beaucoup de joueurs très forts." Que pensez-vous de Retegui, le natif avec qui Mancini espère résoudre le problème d'avant-centre de l'Italie ? "J'aime bien, il a grandi vite. Il a des qualités, la bonne mentalité. Je suis sûr qu'en été, il sera appelé par une équipe européenne, peut-être de la Serie A." Reviendrez-vous à l'Inter, peut-être avec un rôle de directeur sportif ? "Je n'ai pas l'habitude de me proposer mais oui, je serais prêt à m'impliquer. En tout cas, mon lien avec l'Inter sera toujours spécial." Traduction alex_j via FCInter1908.- 5 commentaires
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La Lula s'exprime: "Nous n'avons pas peur de City"
Victor "Antony" Newman a posté un article dans Coupes d'Europe
Romelu Lukaku et Lautaro Martinez se sont respectivement livrés à quelques jours de la Finale de la Ligue des Champions Notre Romelu Lukaku s’est livré à CNN au cours d’une longue interview justifiant aussi la raison pour laquelle il regarde vers le ciel à chaque but: En effet, son grand-père est décédé lorsqu’il avait 12 ans, soit quatre avant ses débuts au Rsc Anderlecht : "Je lui avais promis que j’allais prendre soin de ma mère lorsque j’avais 12 ans et j’ai tenu parole, et chaque fois que je regarde ma mère, je le vois dans les tribunes, je regarde vers lui après chaque but." Est-ce que disputer la Finale de la Ligue des Champions signifierait aussi quelque chose pour votre grand-père ? "Cela voudrait dire beaucoup, lorsque je regarde mon fils, je retrouve tellement de lui c’était mon numéro 1 et c’était mon plus grand fan (il est très ému). Je n’avais pu, que regarder jusqu’à présent quelques finales de Ligue des Champions, mais à présent et Grâce à Dieu, je peux en jouer une. Être dans cette position maintenant, avec ma famille sur place sera quelque chose de très beau car ce sera comme boucler la boucle." Une Inter Fraternelle En effet, lors de la pandémie liée au Covid-19, une sorte de Fraternité s’est créé entre les joueurs et on retrouve encore, à l’heure actuelle cette base dans le noyau: "C’était un moment émouvant car nous avions passé beaucoup de temps ensemble, en tant qu’équipe. J’ai passé beaucoup plus de temps avec mes équipiers durant cette périodes qu’avec mon fils ainé…. C’était jouer, rentrer à l’Hôtel, rester dans la chambre, regarder les matchs ensembles, des choses comme ça." Ce lien peut être rappeler celui de l’état d’Esprit qui entourait l’Inter de Mourinho auréolé du Triplé en 2010 ? "C’est assez similaire et pour être honnêtes pour être honnête, ce qui est amusant, c'est que beaucoup de ces joueurs de l'équipe de 2010 viennent voir nos matches et ressentent la même chose. Ce sera une très belle rencontre, nous allons jouer face à ce qui est probablement la meilleure équipe du monde : Je veux seulement en profiter, sans pression, profiter du moment et aller là-bas pour réaliser le meilleur résultat possible." Haaland? "Je pense qu’il dominera le football mondial comme Mbappé pour la prochaine décennie : Ils vont prendre la relève de Messi et Ronaldo au cours des deux prochaines années, mais City n’est pas qu’Haaland, c’est une équipe bien entrainée et Guardiola est un excellent entraineur car il adapte à chaque match un plan de jeu différent, il propose diverses dispositions tactiques en cours match en sachant qu’en jouant de cette façon, cela ouvrira pour Haaldand des brèches dans la défenses. En ayant ce type de mouvement et de schéma de jeu très bien synchroniser, tu as des chances de marquer." Romelu à Sky Sport La Finale d’Istanbul "Je savais que l’on en était capable et je l’avais dit au Président. Finalement, nous sommes arrivé en Finale et je suis très heureux. Il m'a envoyé un émoticône quand j'ai dû revenir à l'Inter. Un joueur doit toujours avoir confiance en l'équipe. Nous avons mérité d'avoir cette opportunité, nous espérons réaliser notre rêve." Nulla è impossibile? "C’est notre Slogan vu que tout le monde donne City pour favori." Comment affronter City ? "Nous devrons être très compact défensivement mais aussi montrer que nous n’avons pas peur de City. Je pense que l’entraineur et son staff vont bien analyser la rencontre et que nous serons prêts." Avez-vous envie d’être titularisé ? "Les personnes savent, à présent, ce que je suis capable de faire à nouveau mais l’Inter est la plus importante, l’entraineur doit faire les choix: Ce n’est pas une réponse politique, cela regarde l’Inter et je veux que l’Inter gagne : Nous devrons tous répondre présent." Et votre futur ? "On en reparlera après la Finale." Le Saviez-vous ? Pour Romelu Lukaku, son expérience chez les Blues est pour dire terminée : Il n’a plus envie d’y retrouver même en cas de consécration européenne. Mais comme le révèle la Gazzetta Dello Sport, au 30 juin prochain, il sera de retour à Londres après son prêt annuel et une négociation aura lieu entre l’Inter et Chelsea Si Mauricio Pochettino pense à d’autres profils d’attaquant pour construire sa créature, Romelu pourrait servir de monnaie d’échange, avec dans le viseur un certain Dusan Vlahovic. Toutefois, Romelu ne jure que par l’Inter et pour parvenir à un prêt bis et sur une éventuellement diminution de la charge Nerazzurro du prêt, bien plus que le travail diplomatique qui s’annonce entre les deux clubs, ce sera la volonté de fer de Romelu qui fera la différence… "Et l’Histoire récente nous apprend que lorsque le belge à un objectif en tête, il fait tout pour y parvenir…Et il pourrait être encore plus têtu auréolé du titre de Champion d’Europe !" Lautaro Martinez Lauti s’est livré à Uefa.com à quelques jours de la Finale de la Ligue des Champions Son But au Milan "C'est l'un des plus importants de ma carrière. Pas à cause de sa beauté, mais à cause de son importance, de son ampleur et de l'histoire qui se cache derrière", les yeux rempli fierté. Marquer un but est toujours très spécial, alors imaginez à quel point c'est spécial lors d’un match comme celui-là.L'important, c'est que mes coéquipiers aient apprécié, les supporters aussi, et que cela ait permis à l'équipe d’être sereine. Nous savions que s'ils marquaient un but, les choses pouvaient changer rapidement, il était donc important de réduire l'anxiété et de se détendre." A propos de la finale contre Manchester City "Il ne fait aucun doute que c'est l'une des meilleures équipes du monde. Ils jouent un football que j'aime beaucoup et ce seront des adversaires très difficiles à affronter. Mais nous avons affronté des équipes très difficiles lors de la phase de groupe et de la phase à élimination directe et nous nous sommes très bien comportés." "Nous devons essayer d'en profiter, car une finale de Ligue des champions ne se joue pas tous les jours. Tout ce qu'il nous reste à faire, c'est de travailler dur et de jouer aussi bien que possible, en espérant que la meilleure équipe gagne et que nous soulevions le trophée à la fin du match." Sur la relation entre l'Inter et l'Argentine "Dès mon arrivée dans ce club, on m'a fait sentir que je faisais partie de la Famille, que j'avais grandi ici, et c'est très important pour un joueur. Je savais qu'il y avait toujours eu beaucoup d'Argentins ici, comme Milito, Zanetti, Cambiasso et Samuel, qui ont effectué un travail extraordinaire dans ce club. C'est une grande responsabilité de porter ce maillot. Je suis très fier de ce que j'accomplis ici et je ne cesse de répéter que je dois continuer à fournir des efforts". A propos de Dzeko et Lukaku "Ce sont deux joueurs très différents. Edin aime avoir le ballon, il recule et relie ses coéquipiers, tandis que Romelu a tendance à attaquer les espaces et à se faire suivre par les défenseurs pour créer de l'espace pour le deuxième attaquant. Je m'entends très bien avec les deux. J'essaie de m'adapter à eux et de faire ce dont l'équipe a besoin. Si je dois attaquer des espaces pour libérer de l'espace pour Edin, je peux le faire facilement, et c'est la même chose pour Romelu." A propos d'Inzaghi "Il est toujours important de savoir comment nous voulons jouer et de comprendre les idées de l'entraîneur. Quand on a des idées claires et qu'on étudie les matches et les adversaires, c'est beaucoup plus facile. Nous nous entendons très bien avec l'entraîneur car il travaille bien et prépare bien les matchs. D'un point de vue mental, ces matches n'ont pas besoin d'être préparés en raison de leur importance." ®Antony Gilles – Internazionale.fr- 1 commentaire
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Le Corriere dello Sport donne aujourd'hui place à une interview de Diego Milito. Il évoque divers sujets. "Le Napoli est la seule équipe qui a réussi à aller aussi loin! on n'a pas vu un tel écart depuis un bon moment et dans n'importe quel championnat européen. Si le championnat terminé ? Dans le football, j'ai tout vu et son contraire. Certainement il y a beaucoup de points en jeu mais ce ne sera pas facile pour les autres, bien sûr. Et puis le Napoli a montré qu'ils sont très fiables." "Étonné par Motta ? Pas du tout ! J'ai toujours su que Thiago était un homme très intelligent. Il l'était aussi en tant que joueur, sur le terrain il voyait tout, et en premier, il savait quoi dire et quoi faire. Ses équipes ont ces caractéristiques. Toujours chercher le but, essayer de jouer. À mon avis, il fait un excellent travail à Bologne." "Marko Arnautovic, à l'époque, Il est arrivé très jeune. Il avait besoin de temps, pour grandir." "Mourinho ? Il a gagné un trophée l'an dernier, maintenant il est là parmi les premiers, je pense qu'il va très bien. José est toujours là pour se battre et la Roma est une équipe chiante." "L'Inter ? Ils sont deuxièmes du classement, en demi-finale de la Coppa Italia, ils jouent les quarts de finale de la Ligue des champions. La saison de l'Inter ne doit pas être gâchée. Bien sûr, l'Inter doit toujours viser la victoire. Mais les mérites du Napoli sont plus en Serie A que les démérites des autres équipes. L'Inter a perdu des points en cours de route et peut-être qu'ils n'auraient pas dû. Mais cela ne semble pas du tout être une mauvaise saison. La Ligue des champions est toujours très difficile et maintenant c'est la partie la plus difficile avec l'élimination directe. Mais je dirais, pas de limites. Après Porto, tout peut arriver avec un quart de finale." "Lautaro ? Les chiffres parlent d'eux-mêmes, une belle saison. Après la Coupe du monde, il a ressenti une énergie incroyable et l'a transmise aux autres, il est devenu plus un leader, c'est clair qu'il a du poids dans l'équipe." Traduction alex_j via FCInterNews.
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Top des meilleurs joueurs de l'histoire de l'Inter
Damien a posté un article dans F.C. Internazionale Milano
Depuis sa création en 1908, l'Inter a remporté de nombreux titres, ce qui en fait l'un des clubs les plus titrés du football italien et européen. Le club a remporté 19 Scudetti, 8 Coupes d'Italie, 7 Supercoupes d'Italie, 3 Champions League, 3 Coupes de l'UEFA et 2 Coupes intercontinentales. Depuis 2020, l'Inter Milan est devenu aussi l'un des premiers clubs de football à émettre des fan token pour ses supporters. Inter fan tokens sont des jetons numériques qui permettent aux fans du club d'interagir avec l'équipe, de participer à des sondages et des votes, de gagner des récompenses exclusives avec des légendes, et même d'influencer certaines décisions du club. Ces nombreux titres ont été remportés grâce à de nombreux joueurs talentueux qui ont porté le maillot nerazzurro. Les joueurs mentionnés dans cet article ont tous contribué à l'histoire et au succès du club, en marquant des buts importants, en défendant avec acharnement ou en étant des leaders incontestables sur le terrain. Ils ont écrit leur nom dans l'histoire de l'Inter et ont marqué les esprits des supporters du club. Giuseppe Meazza, la légende absolue de l'Inter Giuseppe Meazza est considéré comme le plus grand joueur de l'histoire de l'Inter et l'une des plus grandes légendes du football italien. Né en 1910, Meazza a commencé sa carrière à l'Inter à l'âge de 17 ans en 1927, et y a joué pendant plus de 10 ans. Au cours de cette période, Meazza a remporté deux Scudetti en 1930 et 1938, et a inscrit un total de 284 buts en 408 matchs sous le maillot nerazzurro. Il a été le meilleur buteur de l'Inter pendant sept saisons consécutives, de 1930 à 1936, et a remporté deux Ballons d'Or en 1934 et 1935. Au-delà de ses performances exceptionnelles sur le terrain, Meazza était également apprécié pour sa personnalité hors du terrain. Il était connu pour son humilité, sa générosité et sa loyauté envers l'Inter. Sa contribution au succès de l'Inter est inestimable et il reste aujourd'hui l'une des plus grandes légendes du club et du football italien. Sandro Mazzola, la légende du football italien Sandro Mazzola est le fils de Valentino Mazzola, lui-même une légende du football italien. Sandro a passé toute sa carrière professionnelle à l'Inter, de 1960 à 1977, et a marqué l'histoire du club avec ses performances exceptionnelles. Mazzola a remporté quatre titres de champion d'Italie et deux Coupes des clubs champions européens avec l'Inter dans les années 60, ce qui en fait l'un des joueurs les plus titrés de l'histoire du club. Il a également remporté l'Euro 1968 avec l'équipe nationale italienne, où il a marqué deux buts en finale contre la Yougoslavie. Au cours de sa carrière, Mazzola a marqué 116 buts en 417 matchs avec l'Inter. Il était un joueur polyvalent et technique, capable de jouer à différents postes sur le terrain. Mazzola était également apprécié pour sa personnalité hors du terrain. Il était connu pour sa modestie, sa gentillesse et son dévouement envers l'Inter. Il est toujours considéré comme l'un des plus grands joueurs de l'histoire du club et reste une figure emblématique pour les supporters de l'Inter. Au-delà de sa carrière de joueur, Mazzola a également travaillé comme entraîneur et a été président de l'Inter Milan de 1996 à 2004. Sa contribution au succès de l'Inter reste inestimable et son nom restera à jamais gravé dans l'histoire du club. Javier Zanetti, l'Argentin qui a tout gagné Javier Zanetti est l'un des joueurs les plus emblématiques de l'histoire de l'Inter. Né en Argentine en 1973, Zanetti a rejoint l'Inter Milan en 1995 en provenance du Club Atlético Banfield. Il a rapidement été considéré comme l'un des meilleurs joueurs du club grâce à son talent, sa ténacité et sa loyauté. Zanetti a joué plus de 600 matchs avec l'Inter au cours de sa carrière de 19 ans au sein du club. Il a remporté cinq titres de champion d'Italie, quatre Coupes d'Italie, une Ligue des champions et une Coupe du monde avec l'Argentine en 1998. Il a également été nommé capitaine de l'Inter en 1999, un rôle qu'il a occupé pendant plus de 15 ans. En 2014, après 19 saisons passées à l'Inter, Zanetti a pris sa retraite de joueur et est devenu vice-président du club. Sa contribution au succès de l'Inter est inestimable et il reste aujourd'hui l'un des plus grands symboles du club. Zanetti est également respecté et admiré dans le monde entier pour son leadership, son humilité et sa longévité exceptionnelle dans le monde du football. Ronaldo, le Brésilien qui a marqué l'histoire Ronaldo Luís Nazário de Lima, plus connu sous le nom de Ronaldo, est l'un des joueurs les plus talentueux et charismatiques de l'histoire du football. En 1997, il a été transféré de Barcelone à l'Inter Milan pour un montant record de 28 millions de dollars. Son arrivée à l'Inter a suscité un grand enthousiasme chez les supporters du club, qui attendaient avec impatience de voir ce que ce joueur exceptionnel pouvait apporter. Au cours de sa première saison avec l'Inter, Ronaldo a remporté la Coupe de l'UEFA en marquant le but de la victoire en finale contre la Lazio. Il a également inscrit 25 buts en 32 matchs de Serie A, ce qui en fait le meilleur buteur du championnat cette saison-là. Malheureusement, les blessures ont souvent perturbé la carrière de Ronaldo à l'Inter. Il a subi une blessure au genou en novembre 1999 qui l'a éloigné des terrains pendant plusieurs mois, puis a subi une deuxième blessure en avril 2000, qui l'a empêché de jouer la finale de la Ligue des champions contre le Real Madrid. Malgré ces blessures, Ronaldo a laissé une forte impression à l'Inter Milan. Au total, il a marqué 49 buts en 68 matchs avec le club, et a été l'un des joueurs les plus électrisants et les plus redoutés de sa génération. Sa technique et sa vitesse sur le terrain ont laissé des souvenirs indélébiles aux supporters de l'Inter et aux fans de football du monde entier. Les autres légendes de l'Inter Armando Picchi a remporté deux Scudetti et deux Coupes des clubs champions européens avec l'Inter dans les années 60. Walter Zenga est considéré comme l'un des meilleurs gardiens de but de l'histoire de l'Inter. Lothar Matthäus a remporté le Scudetto en 1989 avec le club et a été élu meilleur joueur de la Coupe du monde 1990. Giacinto Facchetti a remporté quatre Scudetti et deux Coupes des clubs champions européens avec l'Inter dans les années 60. Iván Zamorano, quant à lui, a marqué 41 buts en 130 matchs avec l'Inter et a remporté la Coupe UEFA en 1998. Enfin, Dejan Stanković a remporté cinq Scudetti, quatre Coupes d'Italie et la Ligue des champions en 2010 avec l'Inter. Au fil des années, l'Inter a également accueilli de nombreux autres joueurs de talent qui ont contribué au succès du club, tels que Giuseppe Bergomi, Alessandro Altobelli, Nicola Berti, Esteban Cambiasso, Samuel Eto'o, Maicon ou encore Diego Milito. Tous ces joueurs ont permis à l'Inter de s'imposer comme l'un des clubs les plus titrés d'Italie et d'Europe, et ont contribué à sa renommée à travers le monde.- 9 commentaires
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Lautaro sera le Capitaine de l’Inter
Victor "Antony" Newman a posté un article dans F.C. Internazionale Milano
Si tout sourit pour notre Lautaro Martinez, l’année sportive 2023 s’annonce assez ensoleillée. Avec 8 buts inscrits en 870 minutes de jeu entre Serie A et Coppa, il présente une belle moyenne d’un but toutes les 109 minutes de jeu. Transfiguré par le titre de Champion du Monde, l’Inter compte sur lui pour passer le cap des huitièmes de finale de la Ligue des Champions et s’il y a un doute pour la réception du Porto de Conceiçao, celui-concerne le futur acolyte de l’argentin. Qui aligner entre Edin Dzeko ou Romelu Lukaku ? Lautaro a travaillé sur lui-même: Il a arrondi les angles. Il a compris que les limites ne sont que des stimulations destinées à s’améliorer. A présent, le Toro qui alternait des périodes de grande prolifération avec d'autres de longue abstinence semble désormais rangé au placard. L’Inter est devenue dépendante de lui. Lautaro vit un moment exceptionnel, il a le regard fixe comme jamais auparavant. Il est à Simone Inzaghi ce que Romelu Lukaku était à Antonio Conte. L'Inter ne peut pas se passer de Lautaro. Elle ne peut pas faire sans lui sur le terrain en ce moment et elle ne veut pas non plus le faire en perspective. Le Toro est le Symbole de l'Inter. Il est le joueur dont le club apprécie le comportement, sur et en dehors du terrain, à tel point que l’on n’est pas loin de la vérité lorsque l’on disait qu’il en serait le Capitaine du futur. Dès la saison prochaine, il en sera ainsi, c'est ce qui est prévu et cela convient aussi aux Tifosi, preuve en est une vidéo où en revenant sur le banc après avoir été remplacé, il avait hurlé: "Va à la Juve" en référence à une façon d'arbitrer qu'il n'aimait pas vraiment et celle-ci est devenue virale et c’est loin d’être un hasard. Lautaro attend cette soirée avec Porto comme un enfant qui attend son cadeau de Noel, il veut disputer les quarts de finale, et placer la barre encore plus haut dans une carrière qui vient de lui offrir la plus belle joie sportive. La Coupe du monde au Qatar. Et si, à présent, il parvient à emmener l'Inter dans le top 8 européen, il se rapprochera un peu des performances de son modèle…. Diego Milito. Et lui-même mérite d’être dans le Top 8 du continent de façon permanente…Une permanence qu’au niveau privé se nomme Milan, lui qui, il y a cinq ans à quelques jours près, avait décidé de se lier à l’Inter : Un choix béni. Comment jugez vous la croissance de notre Toro depuis son arrivée, dans le plus grand anonymat, à l’Inter, lui qui avait été récupéré à l’aéroport par Mauro Icardi, Capitaine à l’époque…. Mérite t-il de porter le Brassard Nerazzurro ? ®Antony Gilles – Internazionale.fr- 3 commentaires
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Le onze idéal de Marco Materazzi dévoilé par Sportweek !
alex_j a posté un article dans F.C. Internazionale Milano
Il n'y a pas de place pour un non-Inter, ou presque, dans le top 11 Sportweek de Marco Materazzi qui dresse une line-up à trois quarts noire et bleue. Deux exceptions cependant. Deux champions du monde, deux coéquipiers nationaux de la chevauchée vers Berlin en 2006, Fabio Cannavaro et Francesco Totti. Voici la liste complète et les justifications de Matrix. "J'ai fait une équipe offensive parce que. Dans le football, il faut marquer des buts, même si quand je jouais, mon travail était de les éviter. Il y a beaucoup d'Interista, parce que j'ai tout gagné avec eux." Julio Cesar dans le but, protégé par Maicon, Cannavaro, Samuel et Chivu. Zanetti, Totti et Stankovic dans l'entrejeu, derrière un trident super offensif fait par Ronaldo le phénomène, Milito et Eto'o. José Mourinho entraîneur. "Quand il est arrivé à l'Inter, j'étais très proche de Toldo, mais j'ai encadré le Brésilien et nous sommes devenus amis. Maicon, un train sur l'aile droite. Je ne sais même pas comment il a réussi à faire des allers-retours tout au long du match." Arrière droit Maicon, Christian Chivu en face, ailier gauche. "Moi, lui et Stankovic, trois gitans. Avec Cristian, un coup d'œil suffisait pour se comprendre. Nous avons plaisanté sur les adversaires. Une fois, contre la Lazio, Pandev a rebondi entre lui et moi tout au long du match. 'Regarde ce que tu m'as fait !', me reprochait-il en fin de première mi-temps pour un coup de pied qu'il s'était pris. Il n'avait même pas remarqué que je ne le lui avais pas donné le coup, mais Chivu." Ensuite, Cannavaro et Samuel au centre. "J'aurais pu choisir Cordooba avec qui j'ai le plus gagné à l'Inter mais avec Fabio j'ai gagné une Coupe du monde et c'est peut-être celui aux côtés duquel j'ai concédé le moins de buts de toute ma carrière. En effet, entre nous, nous parions à chaque match de quitter le terrain avec une cage inviolée." Place aussi à l'incontournable mur, l'inoubliable The Wall pour les fans de l'Inter. "Il a fait honneur à son surnom, the Wall, en tant que joueur et en tant qu'homme, solide sur le terrain et silencieux en dehors. Un mur, en fait. , impénétrable. Il battait le terrain et si un attaquant allait contre lui face à face pour protester, il ne répondait même pas. Cela ne lui donnait pas satisfaction de répondre." Milieu de terrain à trois composé de deux grands capitaines et d'un "dragon", prochain adversaire de l'Inter en championnat en tant que manager de la Sampdoria. Zanetti, sur qui Materazzi avoue que "nous n'avons jamais été très proches, mais à chaque fois que j'avais besoin du capitaine, il était là." De capitaine à capitano, Francesco Totti, grand adversaire de l'Inter dans le triplété mais grand coéquipier en équipe nationale, "il me fait toujours sourire. Je ne sais pas s'il est plus fort ou plus sympathique." Avec Stankovic, "on a eu la même chambre pendant 5-6 ans. J'ai gagné tous mes trophées à l'Inter avec lui. Il ne savait même pas à quel point il était fort." Trois forts derrière trois très forts devant avec une ligne offensive que Materazzi confie à Ronie, Milito et Eto'o. "Maradona, Messi... Mama mia, je n'ai jamais vu quelqu'un d'aussi fort que lui. En termes d'explosivité et de talent naturel, un mélange entre Cristiano et Messi" dit-il à propos d'il Fenomeno rejoint par Diego Milito. "En marquant deux fois contre le Bayern en finale de la Ligue des champions 2010, Diego a permis à Materazzi de mettre la cerise sur le gâteau de sa carrière." Pour finir, Samuel Eto'o, "s'il n'était pas venu à l'Inter, on n'aurait jamais gagné la Ligue des champions. Avant lui, il y a eu Ibra qui a joué dans les clubs les plus forts et n'a jamais gagné une coupe. Il doit y avoir une raison." Sur le banc, inutile de le dire, l'équipe est confiée à José Mourinho. "Quand il est arrivé, quelqu'un avait dit que Materazzi allait partir. Il m'a arrêté le premier jour et m'a dit : 'Tu restes ici'." Traduction alex_j via FCInterNews.- 1 commentaire
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Longue conversation de Walter Samuel, dit the Wall, avec ses collègues de la RSE. Il a évoqué la coupe du monde, le Triplété, Massimo Morrati et sa famille. Votre sentiment sur le fait d’voir gagné cette coupe du monde. "Peut-être, comme certains amis me l'ont dit, n'avons-nous pas encore réalisé ce que nous avons fait ? Les protagonistes sont les joueurs mais c'est aussi une source de fierté pour nous qui faisons partie du staff technique. Ceux qui ne sont pas argentins ont du mal à comprendre. C'est vrai, les problèmes du pays n'ont pas été résolus, mais ce succès a donné de la joie à ceux qui en avaient besoin." Vos souvenirs de l'époque romaine. "En tant que défenseur, je ne voulais pas encaisser de buts, j'avais une grande concentration. Ce n'était pas facile de s'installer. Balbo et Batistuta, les Argentins qui étaient en Italie depuis plus longtemps, m'ont aidé. Capello m'a mis au centre de la défense à 3, ça s'est bien passé parce que la première année on a gagné le Scudetto." Quel technicien a eu une influence particulière sur vous ? "A l'époque de l'Inter, José Mourinho a beaucoup changé, à commencer par sa façon de travailler avec le ballon. Il avait confiance en lui et a transmis sa volonté de gagner : c'est très important. Sur le plan technique, cependant, je dis Marcelo Bielsa parce qu’il m'a tellement fait grandir. Peut-être que je suis injuste envers les autres entraîneurs mais il m'a appris à surgir de la ligne défensive, à jouer le ballon entre les lignes, à ne pas perdre les duels avec la tête. C'était vraiment un loco." Avez-vous beaucoup de vrais amis dans le football ? "J'ai beaucoup d'amis dans mon pays, ceux que je connais depuis toujours. J'en ai aussi dans le foot, le problème c'est toujours la distance. Diego (Milito, ndlr) et Pupi (Zanetti, ndlr) je les vois souvent, tout comme Burdisso." L'expérience de Bâle, pourquoi avez-vous décidé d'y terminer votre carrière ? "J'ai vécu deux années spectaculaires en Suisse. La Sampdoria me voulait mais j'avais du mal à rester en Italie, alors j'ai répondu oui à la proposition d'un ami. Au final, j'ai parlé à l'entraîneur de l'époque, Paulo Sousa, et avec le président et ça a pris. Si mes genoux ne m’avaient pas trahi, j'aurais fait quelques années de plus." Quand dirigerez-vous une équipe en tant que manager ? "Je ne sais pas, le moment viendra. J'aimerais entraîner, je ne le cache pas. En Suisse ? J'ai passé un bon moment, je n'aurais aucun problème à entraîner là-bas." Le message de Moratti arrive : "Je voulais t'embrasser et te féliciter pour ce que tu as accompli avec l'Argentine. Tu mérites tout pour ton sérieux. Mon cycle de victoires commence quand je t'ai signé. Enfin, l'Inter a commencé à gagner, je suis particulièrement reconnaissant envers toi." "Moratti transmet la tranquillité, il était très proche de nous même sans être là. L'Inter est un milieu familial, où l'on se sent bien. Neuf ans dans un club, c'est long mais j'ai passé un bon moment et je ne peux pas m'en plaindre. Nous avions tout, ils nous ont très bien traités. Puis, heureusement, nous nous sommes toujours battus pour gagner. Au-delà des victoires, l'important est de se sentir bien dans un club." En 2010, le Triplete arrive. "C'était comme la Coupe du monde, nous aurions pu gagner les trois compétitions comme les perdre en deux semaines. L'équipe y croyait, pour beaucoup d'entre nous déjà vieux, c'était une opportunité unique. Nous avons essayé, heureusement, ça s'est bien passé. C'était quelque chose d'historique, qui restera à jamais. Même si d'autres équipes réussissent à le faire, nous resterons toujours premiers. C'est quelque chose qui vous rend fier rien que d'en parler." Quels souvenirs gardez-vous du Real Madrid ? Les célèbres galactics... "Sur le terrain j'ai beaucoup souffert parce qu'on a encaissé tellement de buts. En club c'est impressionnant, c'était comme aller au théâtre. Je me suis retrouvé avec des stars comme Figo, Ronaldo et Zidane, très simple et modeste." Humilité, sérieux et loyauté : sont-ce les trois caractéristiques dans lesquelles vous vous reconnaissez ? "Je me vois, je ne change pas ma façon d'être pour ce que j'ai fait dans le football. J'ai beaucoup gagné mais j'ai aussi eu de gros revers, l'année au Real a été dure, par exemple, puis je me suis cassé les deux genoux." Quel papa es-tu ? "Depuis que j'ai fini de jouer, j'ai toujours été impliqué dans le monde du football. L'équipe nationale me permet de passer plus de temps avec mes enfants. Ensuite, je suis peut-être absent de la maison pendant 1 à 2 mois. J'aime être un papa, je vais souvent chez ma fille à Madrid. Mes enfants étaient aussi importants au Qatar, quand j'ai regardé dans les tribunes et que je les ai vus, j'ai eu un fort sentiment." Comment Messi a-t-il vécu la Coupe du monde ? "Il le méritait plus que quiconque pour le joueur qu'il est, ses coéquipiers le disent aussi. C'est un garçon tranquille, un professionnel exemplaire et très compétitif. Il a endossé le rôle de leader, sur et en dehors du terrain. Nous pensons que nous, Argentins, nous avons de la chance que lui et Maradona soient Argentins." Traduction alex_j via FCInterNews.
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Prends exemple, Milan Skriniar ! Alessandro Bastoni s’est livré dans le Matchday Programme du Club Nerazzurro en vue de la Finale de la Super Coupe d’Italie Super Coupe 2022 "J’ai soulevé la Super Coupe d’Italie l’année dernière après la rencontre face à la Juve, : C’était inoubliable! C’était une dure bagarre de la première a la dernière minute et le but de Sanchez était une explosion de joie." "Pouvoir fêter le titre devant nos Tifosi était quelque chose d’unique." Le Milan "Le Derby reste toujours le Derby ! Ce n’est jamais une rencontre facile, nous le savons et nous ferons tout pour revenir avec la Coupe à la Maison. Nous connaissons bien le Milan, c’est une équipe de qualité, mais nous devons jouer comme nous en sommes capable : Da Inter ! Soulever à nouveau la Coupe pourrait nous donner un boost d’énergie aussi au niveau émotionnel." Engagement et Persévérance "Ma Famille, mes équipiers, mes entraineurs…Tous ont été fondamentaux dans le parcours qui m’a mené jusqu’ici. Tous ont cru en moi, de l’Atalanta à Parme pour arriver ensuite ici à l’Inter, tous m’ont permis de m’exprimer de la meilleure des façons pour grandir pas après pas: Faire preuve de constance est fondamentale, il ne faut jamais abandonner." "J’ai vécu une enfance différente de celle de mes équipiers, J’habitais à Cremona et j’aillais joué à Bergame, je partais à 07h00 du matin de la maison, j’allais à l’école et je rentrais à 21h00 : La persévérance et l’engagement ont été deux facteurs déterminants pour devenir le joueur que je suis aujourd’hui." L’Inter "J’ai vécu 12 ans à Bergame, dans le secteur jeune de l’Atalanta et, aujourd’hui, j’ai un lien fort qui me lie avec cette cité : J’ai expérimenté à Parme ce que c’est d’évoluer en Serie A, j’y ai vécu une saison qui m’a été très utile et qui m’a permis de rejoindre l’Inter et de pouvoir y tenter ma chance: Milan est la ville où je suis et où je me vois pour de nombreuses années, J'ai toujours rêvé de jouer au Giuseppe Meazza avec le maillot de l’Inter! C'est ce qu'elle représente pour moi." Soutien familial "Mon papa jouait au football, devenir un joueur a toujours été mon objectif et ma famille a toujours été à mes côtés, j’ai énormément appris d’eux, l’un des enseignements qui est pour moi le plus important est de savoir donner la juste importances aux choses , de jouer, de me divertir en me donnant toujours au maximum." Idoles "J’ai toujours admiré Sergio Ramos pour ses qualités techniques et humaines. Chez les anciens interistes, j’aimerai défier Diego Milito." Où se trouve mon cœur ? "A la maison! On voyage tellement, mais quand je suis à la maison avec mes proches, je me sens en paix avec le Monde." B2B "J’ai vécu des moments très intenses sur le terrain avec le maillot Nerazzurro, un des plus beaux fut ma passe décisive pour Barella contre la Juve, je me souviens de la remise d’Handanovic, je suis un peu monté avec le ballon et j’ai fait cette passe de 40 ou 50 mètres à Barella qui s’est retrouvé devant le but pour conclure, c'était un moment important pour l'action elle-même, qui s'est bien terminée, mais aussi parce qu'il nous a permis de gagner un match important." ®Antony Gilles – Internazionale.fr
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Javier Zanetti, Vice-Président de l’Inter, Bandiera des Tifosi et Parrain d’Internazionale.fr s’est livré dans la rubrique "I Fantastici 10" du site Calcio.com : "Lautaro, lorsque j’ai commencé à le suivre, je voyais déjà qu’un grand futur pouvait s’offrir à Lui, j’en avait parlé avec Milito lorsqu’il faisait ses premiers pas au Racing." "Après avoir débuter en équipe-première, on voyait ce parcours, celui d’un joueur qui pouvait aspirer à beaucoup plus et je suis très heureux que Lautaro soi ici, à l’Inter, tout ce qu’il est entrain de démontrer est tout ce que nous avions imaginé qu’il était capable de faire : Il s’améliore saison après saison au point d’être devenu l’un des points de référence de l’Inter et de l’Argentine." Quelles sont ses meilleures caractéristiques ? "C’est un garçon très généreux, il vient énormément aider en phase défensive, il a aussi un excellent timing dans ses coups de têtes, il a d’ailleurs inscrit beaucoup de buts de la sorte. Il demande toujours de la profondeur, il est très puissant via ses jambes et c’est un très bon dribbleur : C’est un garçon qui a un grand sens des responsabilités, un grand professionnel." "Lorsqu’il est arrivé à l’Inter, il a réalisé qu’il était dans un grand club et il se met en valeur dimanche après dimanche : Je pense qu’il se sent bien ici avec nous et c’est pour cela qu’il réalise de très belles prestations: Lautaro avait accepté immédiatement notre proposition, alors qu’en y en repensant, il aurait pu signer dans un autre club, mais il nous a finalement rejoint." Une anecdote ? "Les barbecues qu’il fait pour ses équipiers, Il leur offre des grandes tables de viande pour se regrouper, et ce sont des choses qui sont définitivement très positives. C'est un excellent cuisinier, il cuisine bien l'Asado !" ®Antony Gilles – Internazionale.fr
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L'Inter, Ronaldo, Zanetti et autres rendent hommage au roi
alex_j a posté un article dans F.C. Internazionale Milano
Suite à la mort du roi Pelé, les hommages pleuvent. L'Inter n'est pas en reste, ainsi que Ronaldo parmi d'autres. L'Inter, à travers une note officielle, a voulu rendre hommage à Pelè le jour de sa mort. Le club Nerazzurri a utilisé deux photos: une avec Giacinto Facchetti qui l'a affronté avec le maillot de l'Italie et une autre avec Ronaldo Il Fenomeno et Cannavò avec vue sur San Siro. Voici ce que la société a écrit dans sa note : "Le FC Internazionale Milano, son président Steven Zhang, le vice-président Javier Zanetti, les PDG Alessandro Antonello et Giuseppe Marotta, l'entraîneur Simone Inzaghi et son staff, les joueurs et tout le monde de l'Inter se joignent au deuil de la perte du grand Pelé." "Le roi. Celui qui a inspiré les enfants du monde entier, celui qui a fait rêver toute une population pendant des années et des années, étendant son aura d'invincibilité sur le monde du football, désormais orphelin de l'un des plus grands de tous les temps. Edson Arantes do Nascimento, pour tous, pour toujours, Pelé. Trois Coupes du monde avec le Brésil, des records à n'en plus finir, des générations entières élevées dans le mythe d'un footballeur qui a révolutionné le football." "Pelé. S'en souvenir devient un exercice qui divise : ceux qui l'ont vu, au moins une fois en direct, et ceux qui se sont nourris de la légende, visionnant quelques vidéos, lisant, regardant des films, feuilletant des records et des statistiques. Pelé à Milan. Il a joué plusieurs fois sur le terrain à San Siro, avec le Santos et avec le Brésil. Des exhibitions, des matchs amicaux qui ont attiré des milliers de personnes, des tribunes pleines à craquer pour l'admirer en direct, pour capter un peu de sa magie avec le ballon." "Magie qu'Angelo Moratti avait tenté d'apporter à l'Inter en 1958, avant de céder à la résistance de Santos, au gré des protestations des supporters. Pelé à San Siro, donc, mais comme adversaire, à plusieurs reprises, dans les années 60. Des matches à guichets fermés avec des journaux prêts à raconter chaque instant de ce phénomène débarqué à Milan." "Le Pelé de San Siro s'appelle Corso, lit-on dans le Corriere della Sera en juin 1963, après la victoire 2-0 de l'Inter sur le Santos dans le tournoi de Città di Milano. L'une des occasions qui a fait dire à Pelé que Mario Corso, le pied gauche de Dieu, aurait pu facilement jouer dans son Brésil presque imbattable. Ou quand Pelé lui-même est allé voir Ivano Bordon, qui venait d'entrer au Hall of Fame des Nerazzurri, pour le féliciter de sa performance dans les buts." "Des fragments, des souvenirs, des anecdotes qui contribuent à définir la grandeur d'un immense footballeur et dont toute la famille de l'Inter, ainsi que les supporters du monde entier, se souviendront toujours avec affection et nostalgie." Ronaldo rend un hommage vibrant au roi. "Unique. Fantastique. Technique. Créatif. Parfait. Inégalé. Là où Pelé est arrivé, il est resté sans jamais quitter le sommet. Il nous quitte aujourd'hui. La tristesse de l'adieu se mêle à l'immense fierté de l'histoire écrite. Quel privilège de venir après toi mon ami. Ton talent est une école que chaque joueur devrait suivre. Ton héritage transcende les générations et c'est ainsi qu'il restera vivant. Aujourd'hui et toujours, nous te célébrons. Merci, Pelé. Repose en paix." Javier Zanetti a également tenu à rendre hommage à Pelé. "Une légende éternelle, un véritable symbole du sport, une inspiration pour toujours et à jamais. Repose en paix, légende." Matrix a rendu hommage avec un message court mais émouvant. Enfin, nous terminons avec Diego Milito. Voici son message: "L'inspiration et l'amour ont marqué le voyage du roi Pelé, qui est décédé aujourd'hui. Au cours de son voyage, Edson a charmé le monde avec son génie du sport, arrêté une guerre, créé des œuvres sociales dans le monde entier et diffusé ce qu'il croyait le plus être le remède à tous nos problèmes : l'amour. Son message devient aujourd'hui un héritage pour les générations futures." Traduction alex_j via FCInternews, le site officiel et Sempreinter. -
Lautaro Martinez : "Victoire méritée et plein de confiance contre le Viktoria !"
alex_j a posté un article dans Interviews
Toujours protagoniste avec un doublé au Franchi, Lautaro Martinez vient aux micros de DAZN commenter le succès contre la Fiorentina. Content ? "C'est un moment important pour moi, la Coupe du monde approche. Je suis content, je m'occupe de chaque détail et j'essaie de le montrer sur le terrain." Victoire méritée ? "Oui. On méritait de gagner pour ce qu'on a fait sur le terrain. Maintenant, il faut arriver au mieux pour le match contre le Viktoria Plzen." Le premier but ressemble-t-il davantage à ceux d'Aguero, Milito ou Batistuta ? "Certainement à ceux du Kun, il fait de ces embardées. Alors peut-être même Diego." La rigueur ? "C'est important d'avoir confiance, j'avais déjà décidé où frapper et quand je l'ai fait, j'ai frappé fort." À quel point pensez-vous que cette équipe est vôtre ? "Quoi qu'il en soit, je suis ici depuis cinq ans et je donne tout pour l'Inter. Mes coéquipiers écoutent quand quelqu'un parle. J'essaie toujours de donner un coup de main à mes coéquipiers et de rendre les fans heureux." Quel est votre modèle d'attaquant ? "J'ai toujours suivi Radamel Falcao enfant, puis j'ai eu la chance de jouer avec Aguero, Milito et bien d'autres dont j'ai beaucoup appris." Lukaku vous manque-t-il ? "Oui, pas seulement moi mais l'équipe. Nous espérons le retrouver bientôt." Comment préparez-vous une Coupe du monde en pleine saison ? "Avec la bonne mentalité. Aujourd'hui, je joue pour l'Inter et ce que je fais avec l'Inter me mène à la Coupe du monde. On joue toujours naturellement." Lautaro Martinez a communiqué sur son compte Instagram avec une photo montrant sa célébration: "Allons-y !" Enfin, dans un tweet, Opta a indiqué que Lautaro Martinez était le premier attaquant de l'Inter à inscrire un but et à faire une passe décisive dans les 15 premières minutes d'un match depuis Diego Milito il y a 11 ans. "1+1 - Lautaro Martínez est devenu le premier attaquant de l'Inter à avoir à la fois marqué et délivré une passe décisive dans les 15 premières minutes de jeu d'un match de Serie A depuis Diego Milito, le 19 janvier 2011, contre Cesena. Albiceleste." Traduction alex_j via FCInterNews et Sempreinter.- 1 commentaire
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Du jeu aérien au sens des buts, en passant par la plupart des fondamentaux du joueur de foot, pressé par La Gazzetta dello Sport Hernan Crespo ouvre la confrontation entre ses compatriotes Diego Milito et Lautaro Martinez après que Il Toro a atteint Il Principe avec 62 buts en Serie A. Jeu aérien: Milito 9 - Lautaro 8. "Il Principe, grâce aussi à sa taille, savait très bien exploiter les centres et, surtout, il savait se placer dans la bonne position pour recevoir le ballon. Il était maître de ce geste, il lui était difficile de se tromper dans son choix. Lautaro est plus instinctif, tout en ayant moins de qualité physique. Il est bon en acrobatie, il sait prendre le tempo du défenseur, mais il n'a pas l'explosivité de Milito." Pied droit: Milito 8,5 et Lautaro 9. "Il Principe était doué d'une excellente technique individuelle, il frappait très bien, mais il exploitait ces qualités surtout à l'intérieur de la surface de réparation. Il Toro, en revanche, est mortel à la fois lorsqu'il est à l'intérieur ou au bord de la surface. Tire depuis n'importe quelle position et cadre presque toujours au but. Il est aussi bon pour conclure après un slalom." Pied gauche: Milito 8 et Lautaro 8,5. "Il Principe s'accordait aussi très bien avec son pied gauche, même si ce n'était pas son pied préféré. Il Toro l'utilise souvent, parfois il semble qu'il n'y a pas de différence entre le droit et le gauche. Et il l'utilise aussi pour les tirs hors de la surface." Dribble: Milito 9 et Lautaro 9. "Phénoménal aussi avec le ballon aux pieds quand il s'agit de passer l'adversaire. Il Principe a défendu le ballon avec son corps et a dépassé le défenseur avec un dribble net, faisant passer le ballon d'un pied à l'autre. Vous souvenez-vous du but final de la Ligue des champions contre le Bayern Munich en 2010 ? Lautaro est plus un milieu de terrain offensif dans son geste, ce qui signifie qu'il affronte son adversaire en 'face à face', le défie et le trompe avec des feintes de corps." Sens du but: Milito 9,5 et Lautaro 8,5. "Il Principe était une sentence, il avait la voie dans la tête et n'en ratait pas une miette. Il n'avait pas besoin de regarder le gardien, il savait déjà où mettre le ballon. Et puis il avait une impressionnante régularité d'accomplissement. Lautaro est plus inconstant, il prend parfois des moments de pause. C'est un attaquant un peu particulier, il peut aussi jouer le rôle de second attaquant et pour cette raison, il se consacre souvent aux passes décisives." Leadership: Milito 9 et Lautaro 8. "Il Principe, avec son jeu et ses déplacements, a su diriger toute l'équipe. C'était un leader silencieux mais il était respecté et sa voix portait. De ce point de vue, Lautaro doit encore progresser. Il est jeune, il a besoin de faire ressortir toute sa personnalité pour devenir un vrai commandant. Pour l'instant il a beaucoup besoin de l'équipe." Traduction alex_j via FCInterNews.
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Qui est le plus fort entre Lautaro Martinez et Diego Alberto Milito ? Impossible de donner une réponse franche, selon notre ancien attaquant Julio Cruz. Appelé par Gazzetta.it depuis Buenos Aires pour juger ses deux compatriotes sur les bases techniques et comportementales, Il Jardinero s'est prêté au jeu après Hernan Crespo. On pose les bases! "Les grands attaquants de différentes époques sont compliqués à comparer. Je souhaite particulièrement à Lautaro de soulever la Ligue des champions vers le ciel comme Diego!" Jeu aérien: Milito 9, Lautaro 9. "Martinez est plus petit mais il est fort dans les têtes et s'affirme également contre des adversaires plus grands car il a un bon timing pour sauter." Pied droit: Milito 9,5, Lautaro 9. "Il Principe avec cette feinte qu'il a faite avec son droit nous a toujours sidéré. Martinez est aussi fort quand il frappe à la volée, mais je choisis le droit de Diego." Pied gauche: Milito 8, Lautaro 9. "Lautaro tire plus naturellement avec son gauche, comme avec son droite. Diego était plus... avec son droit qu'avec son gauche." Sens du but: Milito 10, Lautaro 9. "Diego a également marqué les yeux bandés. Je n'ai jamais vu quelqu'un qui sentait le but comme lui. C'était vraiment fou. Lautaro doit travailler plus dur pour marquer. Mais contre Salernitana, tu as vu ce qui but marqué ?" Leadership: Milito 9, Lautaro 9. "Il Principe est arrivé à l'Inter à trente ans, avec une importante carrière derrière lui. Lautaro est arrivé en tant que jeune homme, mais malgré ses 25 ans, il a toujours joué avec la personnalité d'un vétéran, voir les matchs contre Liverpool et Barcelone." Match: Milito 8,5, Lautaro 10. "Diego a toujours prêté main forte à l'équipe et a également aidé dans la phase de non-possession, mais Martinez n'est pas par hasard surnommé le Taureau. Je l'aime beaucoup pour l'esprit de sacrifice qu'il montre." Traduction alex_j via FCInterNews.
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Javier Zanetti, qui a intercepté lors de l'événement à Alaia Bay à Sion, a parlé à Gazzetta.it. Lors de cet évènement, la collaboration entre Inter et Bradley surfboards a été présentée. Cette collaboration se focalise sur la création de planches de surf exclusives. À quel point est-ce important pour vous d'avoir des sportifs qui portent nos couleurs ? Nous pensons à Valentino Rossi et Leonardo Fioravanti. "C'est un partenariat qui donne beaucoup d'émotions, c'est un nouveau sport qui nous rejoint et c'est très important. C'est un témoignage que l'Inter veut progresser très haut. Nous avons beaucoup d'athlètes d'autres sports qui portent nos couleurs et ce partout dans le monde. C'est une chose importante car ils peuvent aussi transmettre les valeurs de notre club dans le monde." Lautaro a atteint Milito en terme de buts en Serie A. Maintenant, il semble être de plus en plus un leader de cette Inter. "Mon impression est qu'il a eu une croissance remarquable, chaque année il a beaucoup grandi. Aujourd'hui, il est une référence importante pour notre club et aussi pour l'Argentine. Il a atteint une maturité qui lui permet d'effectuer ce type de performance aussi. J'espère que ça durera de cette manière." Traduction alex_j via FCInterNews.
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Interviewé sur SkySport, DAZN et Inter TV après la victoire face à Salernitana, Lautaro Martinez analyse ainsi le match d'aujourd'hui au Meazza. Sur Sky Sport "Une victoire ça veut dire beaucoup. Ça veut dire qu'on a grandi, mûri. Après le moment difficile, on va bien maintenant et il faut continuer comme ça. On est sur la bonne voie après avoir perdu des points importants. On a tourné la page et cela se voit. Est-ce que je marque toujours ? Il en est ainsi. Aujourd'hui j'ai donné un coup de pied, j'ai essayé, peut-être que le gardien s'est trompé, je ne sais pas, mais c'est comme ça le football. Pour nous les attaquants c'est comme ça. Une discussion dans le vestiaire est-elle importante ? Nous avons beaucoup parlé, mais restez là. Je dis juste que ça se voit sur le terrain." Sur DAZN "Semaine parfaite, nous sommes sur la bonne voie, nous avons joué un grand match au Camp Nou et aujourd'hui nous devions confirmer. L'attitude devait être la même et je pense que nous l'avons prouvé. Peut-être que les premiers jours on a perdu des points importants, les choses ne se sont pas passées comme on le voulait, on a encaissé beaucoup de buts. On a parlé, on s'est tous réunis et maintenant les choses reviennent. Inzaghi m'a beaucoup aidé, il me donne toujours confiance, comme mes coéquipiers. J'essaie toujours de marquer et quand je ne peux pas j'essaie d'aider tout le monde, j'essaie d'être le premier défenseur, je fais le reste du travail. Parfois c'est bien de se parler, on l'a fait et nous avons compris les erreurs et nous avons commencé à travailler. Maintenant vous pouvez voir sur le terrain. Soixante buts comme Milito ? Ça me donne du bonheur, de la fierté. Je travaille la tête baissée tous les jours pour élever le niveau et je suis très content, je dédie le but à ma femme et ma mère en Argentine. Aujourd'hui c'est la fête des mères là-bas." Sur Inter TV "C'était une semaine importante pour nous, nous avions beaucoup de matchs difficiles devant nous. Après une bonne performance contre Barcelone à Milan, nous avons dû répéter au Camp Nou et je pense que nous l'avons fait, nous avons mérité le bon résultat de Mercredi et d'aujourd'hui." En deuxième mi-temps, vous avez poussé en phase défensive. "C'est certainement très important, il fallait mettre quelque chose en plus parce que ce qu'on faisait n'était pas suffisant, les choses n'allaient pas comme on le voulait. On a beaucoup parlé ces dernières semaines et aujourd'hui on l'a vu sur le terrain. Chacun essaie d'aider les compagnons et de fermer les espaces. C'est important dans une équipe. Parfois ça se perd, mais on rattrape." Vous avez atteint le nombre du bets de Milito avec le maillot Nerazzurri. "Je vais certainement l'entendre, nous irons dîner dans les prochains jours puisque il est ici à Milan. Il me donne toujours beaucoup de conseils, c'est une personne formidable et il suit toujours l'Inter." Traduction alex_j via FCInterNews.
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Interviewé pour l'émission du Match of the Day de l'Inter contre Salernitana, Robin Gosens s'est exprimé ainsi. "Beaucoup de personnes ont joué un rôle important dans ma carrière, du directeur sportif de l'époque de Dordrecht qui a toujours cru en moi à Gasperini qui m'a beaucoup fait grandir. Une légende des nerazzurri que j'aurais aimé avoir comme colocataire ? Jurgen Klinsmann, aussi parce que lorsqu'il jouait pour l'Inter, il était une idole en Allemagne et partager une chambre avec lui aurait été très intéressant. Compagnie? Eto'o ou Milito, deux joueurs impressionnants. Joueur à défier ? Brehme, il a super bien joué son rôle, j'aurais aimé le défier aussi pour apprendre de sa façon de jouer." "L'état d'esprit et la discipline sont pour moi deux caractéristiques essentielles, sans lesquelles je ne serais pas ici. S'amuser sur le terrain de foot c'est aussi fondamental, c'est quelque chose qui a fait la différence, je me suis toujours fait plaisir et cette chose est restée, même si maintenant il y a la pression j'ai toujours gardé mon amour pour le foot." "J'ai fait mes débuts professionnels à Dordrecht, une petite ville des Pays-Bas mais très importante pour moi. À Bergame, j'ai progressé et grandi en tant que personne et en tant que joueur, ce fut une expérience intense. Milan est une ville unique, déjà quand j'étais à Bergame je venais souvent la visiter, elle est belle et moderne et maintenant je suis heureux d'être ici." "Je me souviens qu'enfant, j'allais à l'école jusqu'à deux heures. Ensuite, tous les jours de trois heures jusqu'au soir, je jouais avec mes amis sur le terrain de football. C'était un petit terrain pas très beau où nous avons grandi et nous nous sommes toujours amusés. On y était 5 ou 6 heures par jour et on se disait toujours que la meilleure chose au monde serait que l'un de nous devienne un jour footballeur professionnel. C'est un souvenir qui me passionne toujours. J'aime lire et c'est aussi pour cette raison que j'ai écrit un livre dont le titre est 'Cela vaut la peine de rêver', une phrase importante pour moi. Depuis que j'ai commencé à jouer au football, David Alaba a toujours été mon idole. Je l'ai regardé quand il était au Bayern et il m'a toujours impressionné par sa façon de jouer différents rôles sur le terrain." "Je suis un homme très chanceux, entrer au Camp Nou et marquer un but important pour l'équipe est une émotion unique." "Jouer pour l'équipe nationale est incroyable et avoir disputé ce match (un but et deux passes décisives contre le Portugal, ndlr) dans un moment aussi important était merveilleux." Traduction alex_j via FCInter1908 et FCInternews.
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Diego Milito et Esteban Cambiasso ont réagi à cette belle performance de l'Inter aux micros de Prime Video et Sky Sport. Diego Milito. "L'Inter a fait une belle performance, le résultat est amer car ils avaient la qualification et la victoire en main. L'Inter a fait une belle performance sur un terrain difficile, après le deuxième but ils ont pu le tuer en accélérant. Mais à la fin, l'Inter fait une belle performance. Lautaro ? Ça te fait comprendre qu'avec le but, ça te donne la confiance qui te manque. C'est un but extraordinaire. Cela lui manquait, après avoir joué un grand match, il n'a rien fait de mauvais. Il est très fort, il a marqué et cela lui a donné confiance pour conclure le match de manière extraordinaire. Asllani ? Il a un péché par individualisme, il est jeune, c'est normal, manque d'expérience." Esteban Cambiasso. "L'Inter a quitté le Camp Nou satisfaite du résultat et de la performance, avec une grande personnalité car jamais écrasée par Barcelone, donnant toujours l'impression de pouvoir gagner. Une belle épreuve de maturité. Handanovic ? Je le connais, il n'est jamais entré le vestiaire en tant que jeune rookie (ou rox) mais toujours comme expert. Il a de la personnalité, il parle toujours de la bonne manière. Pour autant que je le connaisse, c'est un bon gars. Lautaro? Milito était important pour le faire venir ici. Il marque plus avec Lukaku mais il joue mieux avec Dzeko, je pense." Traduction alex_j via FCInter1908.
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Clarence Seedorf et Diego Milito : "Le Barça a l'habitude de pleurer !"
alex_j a posté un article dans Coupes d'Europe
Directement du Camp Nou et pour Prime Video, Clarence Seedorf et Diego Milito reviennent brièvement sur les énormes polémiques arbitrales du match aller au Meazza entre l'Inter et Barcelone. Clarence Seedorf. "Cela fait partie de leur culture, cela ne me surprend pas. Ils l'ont toujours fait et pour Xavi c'était une habitude même en tant que footballeur. Ils vont toujours voir l'arbitre pour n'importe quoi pour faire pression." Diego Milito. "Très vrai, totalement. Pour le Barça les protestations sont systématiques. Je me souviens des défenseurs qui faisaient des tirs jusqu'à 40 mètres pour aller de l'autre côté du terrain et protester auprès de l'arbitre. Je ne partage pas cette attitude, surtout si elle vient d'un entraîneur qui peut aussi énerver ses joueurs (Xavi, ndlr)." Êtes-vous surpris? Traduction alex_j via FCInterNews- 11 commentaires
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Diego Milito : "Mbappé et Haaland me rappellent Ronaldo et Vieri"
alex_j a posté un article dans Interviews
D'un côté la vitesse et l'imagination de Mbappé, de l'autre la puissance et la constance de Haaland. Diego Milito, dans la Gazzetta dello Sport, parle des deux attaquants les plus forts d'aujourd'hui et, probablement, de demain aussi. Alors Prince, qui est la pointe du futur ? "Difficile à dire car ce sont deux joueurs extraordinaires, uniques, mais complètement opposés." Efforcez-vous et essayez d'en choisir un... "La façon dont je suis, j'ai toujours plus aimé les joueurs qui peuvent résoudre les problèmes par eux-mêmes. Quelqu'un comme Haaland, qui est tout simplement dévastateur, a toujours besoin de l'aide de ses coéquipiers. Mbappé, d'autre part, construit parfois le but lui-même, à partir de rien. Mais, de la même manière, il sait donner des passes décisives et trouver des espaces." Et s'il fallait faire une comparaison avec le passé : qui était un Haaland avant Haaland et un Mbappé avant Mbappé ? "Peut-être que le Français, pour l'explosivité d'une panthère, a quelque chose de Ronaldo, Il Fenomeno qui pour moi après Messi est le plus grand de tous. L'Italien Christian Vieri ou un Martin Palermo en Argentine. Puissant et incroyable dans la surface de réparation. Haaland a pris ce modèle dans une nouvelle ère et une nouvelle dimension." Les grands noms de notre ligue pourront-ils se rapprocher tôt ou tard de ces deux là ? "En Italie, je vois de grands joueurs progresser pour atteindre le sommet : je pense à Lautaro à l'Inter, Leao à Milan, Vlahovic à la Juve et aussi Kvaratskhelia qui est incroyable à Naples. Évidemment, personne ne peut y arriver seul, mais cela est aussi dépendent du parcours des équipes en Ligue des champions. Même en Serie A il y a une grande qualité d'attaquants." Traduction alex_j via FCInterNews.- 14 commentaires
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Lautaro Martínez a accordé une longue interview à STAR + Qatar Specials où il a répondu à plusieurs questions qui ont marqué sa carrière. Sa relation avec Diego Milito : "A mes débuts au Racing j'ai dû remplacer Milito. J'ai une bonne relation avec lui. A chaque fois qu'il vient, on se voit, on dîne ensemble. Il m'a donné beaucoup de conseils, je lui serai toujours reconnaissant." Sur le fait de grandir en tant qu'homme après la naissance de sa fille : "Avec la naissance de ma fille Nina, je renais. J'ai beaucoup mûri sur et en dehors du terrain. Ça a fait baisser mes décibels, je suis un peu plus mature, je prends plus du recul. J'étais plus impulsif. Ma femme me dit toujours d'y aller doucement. Quand ma fille est née, je me suis calmé. Si je perdais, plus tôt, je restais des heures sans parler. Maintenant, d'autres choses ont la priorité, ça me fait toujours mal de perdre, mais quand je rentre à la maison ce n'est plus comme avant, plus au point de ne plus parler." Sur la prochaine Coupe du monde : "C'est un sentiment difficile à expliquer. Nous espérons arriver aussi préparés que possible. Nous avons parlé des billets et du nombre d'Argentins qui iront. Quand nous nous déplaçons, c'est comme si nous jouons en Argentine. Ce soutien, cette folie, c'est incroyable. Je joue toujours en pensant à l'équipe nationale argentine. Je me prépare à tout. C'est une roue qui tourne et je m'entraîne là où je dois donner le meilleur." Lionel Scaloni : "Je lui suis très reconnaissant car il m'a toujours fait confiance. L'équipe nationale a de grands joueurs, de grands attaquants et chaque match est un examen. Je sais que travailler avec mon club est ce qui m'y mènera. Tant que nous avons le temps, essayons de nous sentir bien, de nous concentrer, de faire ce que l'entraîneur veut. Il m'a soutenu quand je ne marquais pas et a beaucoup parlé, m'a respecté et m'a encouragé. Pour cela, je lui suis toujours reconnaissant." Le moment de l'hymne : "Je me sens fier. Quand on joue les éliminatoires, les matchs amicaux, il y a beaucoup de public. C'est incroyable. La passion de l'Argentin, comment il la chante... les sensations sont difficiles à expliquer. Je suis excité, mais en même temps tu as envie de pleurer, c'est un sentiment fort, il y a beaucoup d'adrénaline. Ou il arrive que ton esprit se vide et que tu penses que tu rêves ou être dans un jeu vidéo." Absence de la Coupe du monde 2018 : "Ça m'a fait mal de ne pas aller à la Coupe du monde en Russie comme me l'a dit le sélectionneur. Mais je respecte sa décision et j'ai toujours essayé de soutenir ceux qui l'avaient jouée. C'était une période difficile parce que c'était un de mes grands rêves." Comment avez-vous vécu la précédente Coupe du monde ? "Déjà en 2014, nous avons vu la retraite de la Coupe du monde avec le Racing. J'ai vu la dernière, celle de 2018, à Bahía Blanca. Après la Copa Libertadores, j'ai signé avec l'Inter et j'y ai passé deux mois." Célébration du but : "Il est né avec Gustavo Bou. À cause du surnom de el Toro, les cornes, c'était une fête dans le miroir, face à face. Puis je l'ai breveté (rires, ndlr). Je regarde toujours les matchs du Racing Club." Traduction alex_j via FCInterNews.
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