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Le Corriere dello Sport donne aujourd'hui place à une interview de Diego Milito. Il évoque divers sujets. "Le Napoli est la seule équipe qui a réussi à aller aussi loin! on n'a pas vu un tel écart depuis un bon moment et dans n'importe quel championnat européen. Si le championnat terminé ? Dans le football, j'ai tout vu et son contraire. Certainement il y a beaucoup de points en jeu mais ce ne sera pas facile pour les autres, bien sûr. Et puis le Napoli a montré qu'ils sont très fiables." "Étonné par Motta ? Pas du tout ! J'ai toujours su que Thiago était un homme très intelligent. Il l'était aussi en tant que joueur, sur le terrain il voyait tout, et en premier, il savait quoi dire et quoi faire. Ses équipes ont ces caractéristiques. Toujours chercher le but, essayer de jouer. À mon avis, il fait un excellent travail à Bologne." "Marko Arnautovic, à l'époque, Il est arrivé très jeune. Il avait besoin de temps, pour grandir." "Mourinho ? Il a gagné un trophée l'an dernier, maintenant il est là parmi les premiers, je pense qu'il va très bien. José est toujours là pour se battre et la Roma est une équipe chiante." "L'Inter ? Ils sont deuxièmes du classement, en demi-finale de la Coppa Italia, ils jouent les quarts de finale de la Ligue des champions. La saison de l'Inter ne doit pas être gâchée. Bien sûr, l'Inter doit toujours viser la victoire. Mais les mérites du Napoli sont plus en Serie A que les démérites des autres équipes. L'Inter a perdu des points en cours de route et peut-être qu'ils n'auraient pas dû. Mais cela ne semble pas du tout être une mauvaise saison. La Ligue des champions est toujours très difficile et maintenant c'est la partie la plus difficile avec l'élimination directe. Mais je dirais, pas de limites. Après Porto, tout peut arriver avec un quart de finale." "Lautaro ? Les chiffres parlent d'eux-mêmes, une belle saison. Après la Coupe du monde, il a ressenti une énergie incroyable et l'a transmise aux autres, il est devenu plus un leader, c'est clair qu'il a du poids dans l'équipe." Traduction alex_j via FCInterNews.
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Top des meilleurs joueurs de l'histoire de l'Inter
Damien a posté un article dans F.C. Internazionale Milano
Depuis sa création en 1908, l'Inter a remporté de nombreux titres, ce qui en fait l'un des clubs les plus titrés du football italien et européen. Le club a remporté 19 Scudetti, 8 Coupes d'Italie, 7 Supercoupes d'Italie, 3 Champions League, 3 Coupes de l'UEFA et 2 Coupes intercontinentales. Depuis 2020, l'Inter Milan est devenu aussi l'un des premiers clubs de football à émettre des fan token pour ses supporters. Inter fan tokens sont des jetons numériques qui permettent aux fans du club d'interagir avec l'équipe, de participer à des sondages et des votes, de gagner des récompenses exclusives avec des légendes, et même d'influencer certaines décisions du club. Ces nombreux titres ont été remportés grâce à de nombreux joueurs talentueux qui ont porté le maillot nerazzurro. Les joueurs mentionnés dans cet article ont tous contribué à l'histoire et au succès du club, en marquant des buts importants, en défendant avec acharnement ou en étant des leaders incontestables sur le terrain. Ils ont écrit leur nom dans l'histoire de l'Inter et ont marqué les esprits des supporters du club. Giuseppe Meazza, la légende absolue de l'Inter Giuseppe Meazza est considéré comme le plus grand joueur de l'histoire de l'Inter et l'une des plus grandes légendes du football italien. Né en 1910, Meazza a commencé sa carrière à l'Inter à l'âge de 17 ans en 1927, et y a joué pendant plus de 10 ans. Au cours de cette période, Meazza a remporté deux Scudetti en 1930 et 1938, et a inscrit un total de 284 buts en 408 matchs sous le maillot nerazzurro. Il a été le meilleur buteur de l'Inter pendant sept saisons consécutives, de 1930 à 1936, et a remporté deux Ballons d'Or en 1934 et 1935. Au-delà de ses performances exceptionnelles sur le terrain, Meazza était également apprécié pour sa personnalité hors du terrain. Il était connu pour son humilité, sa générosité et sa loyauté envers l'Inter. Sa contribution au succès de l'Inter est inestimable et il reste aujourd'hui l'une des plus grandes légendes du club et du football italien. Sandro Mazzola, la légende du football italien Sandro Mazzola est le fils de Valentino Mazzola, lui-même une légende du football italien. Sandro a passé toute sa carrière professionnelle à l'Inter, de 1960 à 1977, et a marqué l'histoire du club avec ses performances exceptionnelles. Mazzola a remporté quatre titres de champion d'Italie et deux Coupes des clubs champions européens avec l'Inter dans les années 60, ce qui en fait l'un des joueurs les plus titrés de l'histoire du club. Il a également remporté l'Euro 1968 avec l'équipe nationale italienne, où il a marqué deux buts en finale contre la Yougoslavie. Au cours de sa carrière, Mazzola a marqué 116 buts en 417 matchs avec l'Inter. Il était un joueur polyvalent et technique, capable de jouer à différents postes sur le terrain. Mazzola était également apprécié pour sa personnalité hors du terrain. Il était connu pour sa modestie, sa gentillesse et son dévouement envers l'Inter. Il est toujours considéré comme l'un des plus grands joueurs de l'histoire du club et reste une figure emblématique pour les supporters de l'Inter. Au-delà de sa carrière de joueur, Mazzola a également travaillé comme entraîneur et a été président de l'Inter Milan de 1996 à 2004. Sa contribution au succès de l'Inter reste inestimable et son nom restera à jamais gravé dans l'histoire du club. Javier Zanetti, l'Argentin qui a tout gagné Javier Zanetti est l'un des joueurs les plus emblématiques de l'histoire de l'Inter. Né en Argentine en 1973, Zanetti a rejoint l'Inter Milan en 1995 en provenance du Club Atlético Banfield. Il a rapidement été considéré comme l'un des meilleurs joueurs du club grâce à son talent, sa ténacité et sa loyauté. Zanetti a joué plus de 600 matchs avec l'Inter au cours de sa carrière de 19 ans au sein du club. Il a remporté cinq titres de champion d'Italie, quatre Coupes d'Italie, une Ligue des champions et une Coupe du monde avec l'Argentine en 1998. Il a également été nommé capitaine de l'Inter en 1999, un rôle qu'il a occupé pendant plus de 15 ans. En 2014, après 19 saisons passées à l'Inter, Zanetti a pris sa retraite de joueur et est devenu vice-président du club. Sa contribution au succès de l'Inter est inestimable et il reste aujourd'hui l'un des plus grands symboles du club. Zanetti est également respecté et admiré dans le monde entier pour son leadership, son humilité et sa longévité exceptionnelle dans le monde du football. Ronaldo, le Brésilien qui a marqué l'histoire Ronaldo Luís Nazário de Lima, plus connu sous le nom de Ronaldo, est l'un des joueurs les plus talentueux et charismatiques de l'histoire du football. En 1997, il a été transféré de Barcelone à l'Inter Milan pour un montant record de 28 millions de dollars. Son arrivée à l'Inter a suscité un grand enthousiasme chez les supporters du club, qui attendaient avec impatience de voir ce que ce joueur exceptionnel pouvait apporter. Au cours de sa première saison avec l'Inter, Ronaldo a remporté la Coupe de l'UEFA en marquant le but de la victoire en finale contre la Lazio. Il a également inscrit 25 buts en 32 matchs de Serie A, ce qui en fait le meilleur buteur du championnat cette saison-là. Malheureusement, les blessures ont souvent perturbé la carrière de Ronaldo à l'Inter. Il a subi une blessure au genou en novembre 1999 qui l'a éloigné des terrains pendant plusieurs mois, puis a subi une deuxième blessure en avril 2000, qui l'a empêché de jouer la finale de la Ligue des champions contre le Real Madrid. Malgré ces blessures, Ronaldo a laissé une forte impression à l'Inter Milan. Au total, il a marqué 49 buts en 68 matchs avec le club, et a été l'un des joueurs les plus électrisants et les plus redoutés de sa génération. Sa technique et sa vitesse sur le terrain ont laissé des souvenirs indélébiles aux supporters de l'Inter et aux fans de football du monde entier. Les autres légendes de l'Inter Armando Picchi a remporté deux Scudetti et deux Coupes des clubs champions européens avec l'Inter dans les années 60. Walter Zenga est considéré comme l'un des meilleurs gardiens de but de l'histoire de l'Inter. Lothar Matthäus a remporté le Scudetto en 1989 avec le club et a été élu meilleur joueur de la Coupe du monde 1990. Giacinto Facchetti a remporté quatre Scudetti et deux Coupes des clubs champions européens avec l'Inter dans les années 60. Iván Zamorano, quant à lui, a marqué 41 buts en 130 matchs avec l'Inter et a remporté la Coupe UEFA en 1998. Enfin, Dejan Stanković a remporté cinq Scudetti, quatre Coupes d'Italie et la Ligue des champions en 2010 avec l'Inter. Au fil des années, l'Inter a également accueilli de nombreux autres joueurs de talent qui ont contribué au succès du club, tels que Giuseppe Bergomi, Alessandro Altobelli, Nicola Berti, Esteban Cambiasso, Samuel Eto'o, Maicon ou encore Diego Milito. Tous ces joueurs ont permis à l'Inter de s'imposer comme l'un des clubs les plus titrés d'Italie et d'Europe, et ont contribué à sa renommée à travers le monde.- 9 commentaires
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Lautaro sera le Capitaine de l’Inter
Victor "Antony" Newman a posté un article dans F.C. Internazionale Milano
Si tout sourit pour notre Lautaro Martinez, l’année sportive 2023 s’annonce assez ensoleillée. Avec 8 buts inscrits en 870 minutes de jeu entre Serie A et Coppa, il présente une belle moyenne d’un but toutes les 109 minutes de jeu. Transfiguré par le titre de Champion du Monde, l’Inter compte sur lui pour passer le cap des huitièmes de finale de la Ligue des Champions et s’il y a un doute pour la réception du Porto de Conceiçao, celui-concerne le futur acolyte de l’argentin. Qui aligner entre Edin Dzeko ou Romelu Lukaku ? Lautaro a travaillé sur lui-même: Il a arrondi les angles. Il a compris que les limites ne sont que des stimulations destinées à s’améliorer. A présent, le Toro qui alternait des périodes de grande prolifération avec d'autres de longue abstinence semble désormais rangé au placard. L’Inter est devenue dépendante de lui. Lautaro vit un moment exceptionnel, il a le regard fixe comme jamais auparavant. Il est à Simone Inzaghi ce que Romelu Lukaku était à Antonio Conte. L'Inter ne peut pas se passer de Lautaro. Elle ne peut pas faire sans lui sur le terrain en ce moment et elle ne veut pas non plus le faire en perspective. Le Toro est le Symbole de l'Inter. Il est le joueur dont le club apprécie le comportement, sur et en dehors du terrain, à tel point que l’on n’est pas loin de la vérité lorsque l’on disait qu’il en serait le Capitaine du futur. Dès la saison prochaine, il en sera ainsi, c'est ce qui est prévu et cela convient aussi aux Tifosi, preuve en est une vidéo où en revenant sur le banc après avoir été remplacé, il avait hurlé: "Va à la Juve" en référence à une façon d'arbitrer qu'il n'aimait pas vraiment et celle-ci est devenue virale et c’est loin d’être un hasard. Lautaro attend cette soirée avec Porto comme un enfant qui attend son cadeau de Noel, il veut disputer les quarts de finale, et placer la barre encore plus haut dans une carrière qui vient de lui offrir la plus belle joie sportive. La Coupe du monde au Qatar. Et si, à présent, il parvient à emmener l'Inter dans le top 8 européen, il se rapprochera un peu des performances de son modèle…. Diego Milito. Et lui-même mérite d’être dans le Top 8 du continent de façon permanente…Une permanence qu’au niveau privé se nomme Milan, lui qui, il y a cinq ans à quelques jours près, avait décidé de se lier à l’Inter : Un choix béni. Comment jugez vous la croissance de notre Toro depuis son arrivée, dans le plus grand anonymat, à l’Inter, lui qui avait été récupéré à l’aéroport par Mauro Icardi, Capitaine à l’époque…. Mérite t-il de porter le Brassard Nerazzurro ? ®Antony Gilles – Internazionale.fr- 3 commentaires
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Le onze idéal de Marco Materazzi dévoilé par Sportweek !
alex_j a posté un article dans F.C. Internazionale Milano
Il n'y a pas de place pour un non-Inter, ou presque, dans le top 11 Sportweek de Marco Materazzi qui dresse une line-up à trois quarts noire et bleue. Deux exceptions cependant. Deux champions du monde, deux coéquipiers nationaux de la chevauchée vers Berlin en 2006, Fabio Cannavaro et Francesco Totti. Voici la liste complète et les justifications de Matrix. "J'ai fait une équipe offensive parce que. Dans le football, il faut marquer des buts, même si quand je jouais, mon travail était de les éviter. Il y a beaucoup d'Interista, parce que j'ai tout gagné avec eux." Julio Cesar dans le but, protégé par Maicon, Cannavaro, Samuel et Chivu. Zanetti, Totti et Stankovic dans l'entrejeu, derrière un trident super offensif fait par Ronaldo le phénomène, Milito et Eto'o. José Mourinho entraîneur. "Quand il est arrivé à l'Inter, j'étais très proche de Toldo, mais j'ai encadré le Brésilien et nous sommes devenus amis. Maicon, un train sur l'aile droite. Je ne sais même pas comment il a réussi à faire des allers-retours tout au long du match." Arrière droit Maicon, Christian Chivu en face, ailier gauche. "Moi, lui et Stankovic, trois gitans. Avec Cristian, un coup d'œil suffisait pour se comprendre. Nous avons plaisanté sur les adversaires. Une fois, contre la Lazio, Pandev a rebondi entre lui et moi tout au long du match. 'Regarde ce que tu m'as fait !', me reprochait-il en fin de première mi-temps pour un coup de pied qu'il s'était pris. Il n'avait même pas remarqué que je ne le lui avais pas donné le coup, mais Chivu." Ensuite, Cannavaro et Samuel au centre. "J'aurais pu choisir Cordooba avec qui j'ai le plus gagné à l'Inter mais avec Fabio j'ai gagné une Coupe du monde et c'est peut-être celui aux côtés duquel j'ai concédé le moins de buts de toute ma carrière. En effet, entre nous, nous parions à chaque match de quitter le terrain avec une cage inviolée." Place aussi à l'incontournable mur, l'inoubliable The Wall pour les fans de l'Inter. "Il a fait honneur à son surnom, the Wall, en tant que joueur et en tant qu'homme, solide sur le terrain et silencieux en dehors. Un mur, en fait. , impénétrable. Il battait le terrain et si un attaquant allait contre lui face à face pour protester, il ne répondait même pas. Cela ne lui donnait pas satisfaction de répondre." Milieu de terrain à trois composé de deux grands capitaines et d'un "dragon", prochain adversaire de l'Inter en championnat en tant que manager de la Sampdoria. Zanetti, sur qui Materazzi avoue que "nous n'avons jamais été très proches, mais à chaque fois que j'avais besoin du capitaine, il était là." De capitaine à capitano, Francesco Totti, grand adversaire de l'Inter dans le triplété mais grand coéquipier en équipe nationale, "il me fait toujours sourire. Je ne sais pas s'il est plus fort ou plus sympathique." Avec Stankovic, "on a eu la même chambre pendant 5-6 ans. J'ai gagné tous mes trophées à l'Inter avec lui. Il ne savait même pas à quel point il était fort." Trois forts derrière trois très forts devant avec une ligne offensive que Materazzi confie à Ronie, Milito et Eto'o. "Maradona, Messi... Mama mia, je n'ai jamais vu quelqu'un d'aussi fort que lui. En termes d'explosivité et de talent naturel, un mélange entre Cristiano et Messi" dit-il à propos d'il Fenomeno rejoint par Diego Milito. "En marquant deux fois contre le Bayern en finale de la Ligue des champions 2010, Diego a permis à Materazzi de mettre la cerise sur le gâteau de sa carrière." Pour finir, Samuel Eto'o, "s'il n'était pas venu à l'Inter, on n'aurait jamais gagné la Ligue des champions. Avant lui, il y a eu Ibra qui a joué dans les clubs les plus forts et n'a jamais gagné une coupe. Il doit y avoir une raison." Sur le banc, inutile de le dire, l'équipe est confiée à José Mourinho. "Quand il est arrivé, quelqu'un avait dit que Materazzi allait partir. Il m'a arrêté le premier jour et m'a dit : 'Tu restes ici'." Traduction alex_j via FCInterNews.- 1 commentaire
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Longue conversation de Walter Samuel, dit the Wall, avec ses collègues de la RSE. Il a évoqué la coupe du monde, le Triplété, Massimo Morrati et sa famille. Votre sentiment sur le fait d’voir gagné cette coupe du monde. "Peut-être, comme certains amis me l'ont dit, n'avons-nous pas encore réalisé ce que nous avons fait ? Les protagonistes sont les joueurs mais c'est aussi une source de fierté pour nous qui faisons partie du staff technique. Ceux qui ne sont pas argentins ont du mal à comprendre. C'est vrai, les problèmes du pays n'ont pas été résolus, mais ce succès a donné de la joie à ceux qui en avaient besoin." Vos souvenirs de l'époque romaine. "En tant que défenseur, je ne voulais pas encaisser de buts, j'avais une grande concentration. Ce n'était pas facile de s'installer. Balbo et Batistuta, les Argentins qui étaient en Italie depuis plus longtemps, m'ont aidé. Capello m'a mis au centre de la défense à 3, ça s'est bien passé parce que la première année on a gagné le Scudetto." Quel technicien a eu une influence particulière sur vous ? "A l'époque de l'Inter, José Mourinho a beaucoup changé, à commencer par sa façon de travailler avec le ballon. Il avait confiance en lui et a transmis sa volonté de gagner : c'est très important. Sur le plan technique, cependant, je dis Marcelo Bielsa parce qu’il m'a tellement fait grandir. Peut-être que je suis injuste envers les autres entraîneurs mais il m'a appris à surgir de la ligne défensive, à jouer le ballon entre les lignes, à ne pas perdre les duels avec la tête. C'était vraiment un loco." Avez-vous beaucoup de vrais amis dans le football ? "J'ai beaucoup d'amis dans mon pays, ceux que je connais depuis toujours. J'en ai aussi dans le foot, le problème c'est toujours la distance. Diego (Milito, ndlr) et Pupi (Zanetti, ndlr) je les vois souvent, tout comme Burdisso." L'expérience de Bâle, pourquoi avez-vous décidé d'y terminer votre carrière ? "J'ai vécu deux années spectaculaires en Suisse. La Sampdoria me voulait mais j'avais du mal à rester en Italie, alors j'ai répondu oui à la proposition d'un ami. Au final, j'ai parlé à l'entraîneur de l'époque, Paulo Sousa, et avec le président et ça a pris. Si mes genoux ne m’avaient pas trahi, j'aurais fait quelques années de plus." Quand dirigerez-vous une équipe en tant que manager ? "Je ne sais pas, le moment viendra. J'aimerais entraîner, je ne le cache pas. En Suisse ? J'ai passé un bon moment, je n'aurais aucun problème à entraîner là-bas." Le message de Moratti arrive : "Je voulais t'embrasser et te féliciter pour ce que tu as accompli avec l'Argentine. Tu mérites tout pour ton sérieux. Mon cycle de victoires commence quand je t'ai signé. Enfin, l'Inter a commencé à gagner, je suis particulièrement reconnaissant envers toi." "Moratti transmet la tranquillité, il était très proche de nous même sans être là. L'Inter est un milieu familial, où l'on se sent bien. Neuf ans dans un club, c'est long mais j'ai passé un bon moment et je ne peux pas m'en plaindre. Nous avions tout, ils nous ont très bien traités. Puis, heureusement, nous nous sommes toujours battus pour gagner. Au-delà des victoires, l'important est de se sentir bien dans un club." En 2010, le Triplete arrive. "C'était comme la Coupe du monde, nous aurions pu gagner les trois compétitions comme les perdre en deux semaines. L'équipe y croyait, pour beaucoup d'entre nous déjà vieux, c'était une opportunité unique. Nous avons essayé, heureusement, ça s'est bien passé. C'était quelque chose d'historique, qui restera à jamais. Même si d'autres équipes réussissent à le faire, nous resterons toujours premiers. C'est quelque chose qui vous rend fier rien que d'en parler." Quels souvenirs gardez-vous du Real Madrid ? Les célèbres galactics... "Sur le terrain j'ai beaucoup souffert parce qu'on a encaissé tellement de buts. En club c'est impressionnant, c'était comme aller au théâtre. Je me suis retrouvé avec des stars comme Figo, Ronaldo et Zidane, très simple et modeste." Humilité, sérieux et loyauté : sont-ce les trois caractéristiques dans lesquelles vous vous reconnaissez ? "Je me vois, je ne change pas ma façon d'être pour ce que j'ai fait dans le football. J'ai beaucoup gagné mais j'ai aussi eu de gros revers, l'année au Real a été dure, par exemple, puis je me suis cassé les deux genoux." Quel papa es-tu ? "Depuis que j'ai fini de jouer, j'ai toujours été impliqué dans le monde du football. L'équipe nationale me permet de passer plus de temps avec mes enfants. Ensuite, je suis peut-être absent de la maison pendant 1 à 2 mois. J'aime être un papa, je vais souvent chez ma fille à Madrid. Mes enfants étaient aussi importants au Qatar, quand j'ai regardé dans les tribunes et que je les ai vus, j'ai eu un fort sentiment." Comment Messi a-t-il vécu la Coupe du monde ? "Il le méritait plus que quiconque pour le joueur qu'il est, ses coéquipiers le disent aussi. C'est un garçon tranquille, un professionnel exemplaire et très compétitif. Il a endossé le rôle de leader, sur et en dehors du terrain. Nous pensons que nous, Argentins, nous avons de la chance que lui et Maradona soient Argentins." Traduction alex_j via FCInterNews.
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Prends exemple, Milan Skriniar ! Alessandro Bastoni s’est livré dans le Matchday Programme du Club Nerazzurro en vue de la Finale de la Super Coupe d’Italie Super Coupe 2022 "J’ai soulevé la Super Coupe d’Italie l’année dernière après la rencontre face à la Juve, : C’était inoubliable! C’était une dure bagarre de la première a la dernière minute et le but de Sanchez était une explosion de joie." "Pouvoir fêter le titre devant nos Tifosi était quelque chose d’unique." Le Milan "Le Derby reste toujours le Derby ! Ce n’est jamais une rencontre facile, nous le savons et nous ferons tout pour revenir avec la Coupe à la Maison. Nous connaissons bien le Milan, c’est une équipe de qualité, mais nous devons jouer comme nous en sommes capable : Da Inter ! Soulever à nouveau la Coupe pourrait nous donner un boost d’énergie aussi au niveau émotionnel." Engagement et Persévérance "Ma Famille, mes équipiers, mes entraineurs…Tous ont été fondamentaux dans le parcours qui m’a mené jusqu’ici. Tous ont cru en moi, de l’Atalanta à Parme pour arriver ensuite ici à l’Inter, tous m’ont permis de m’exprimer de la meilleure des façons pour grandir pas après pas: Faire preuve de constance est fondamentale, il ne faut jamais abandonner." "J’ai vécu une enfance différente de celle de mes équipiers, J’habitais à Cremona et j’aillais joué à Bergame, je partais à 07h00 du matin de la maison, j’allais à l’école et je rentrais à 21h00 : La persévérance et l’engagement ont été deux facteurs déterminants pour devenir le joueur que je suis aujourd’hui." L’Inter "J’ai vécu 12 ans à Bergame, dans le secteur jeune de l’Atalanta et, aujourd’hui, j’ai un lien fort qui me lie avec cette cité : J’ai expérimenté à Parme ce que c’est d’évoluer en Serie A, j’y ai vécu une saison qui m’a été très utile et qui m’a permis de rejoindre l’Inter et de pouvoir y tenter ma chance: Milan est la ville où je suis et où je me vois pour de nombreuses années, J'ai toujours rêvé de jouer au Giuseppe Meazza avec le maillot de l’Inter! C'est ce qu'elle représente pour moi." Soutien familial "Mon papa jouait au football, devenir un joueur a toujours été mon objectif et ma famille a toujours été à mes côtés, j’ai énormément appris d’eux, l’un des enseignements qui est pour moi le plus important est de savoir donner la juste importances aux choses , de jouer, de me divertir en me donnant toujours au maximum." Idoles "J’ai toujours admiré Sergio Ramos pour ses qualités techniques et humaines. Chez les anciens interistes, j’aimerai défier Diego Milito." Où se trouve mon cœur ? "A la maison! On voyage tellement, mais quand je suis à la maison avec mes proches, je me sens en paix avec le Monde." B2B "J’ai vécu des moments très intenses sur le terrain avec le maillot Nerazzurro, un des plus beaux fut ma passe décisive pour Barella contre la Juve, je me souviens de la remise d’Handanovic, je suis un peu monté avec le ballon et j’ai fait cette passe de 40 ou 50 mètres à Barella qui s’est retrouvé devant le but pour conclure, c'était un moment important pour l'action elle-même, qui s'est bien terminée, mais aussi parce qu'il nous a permis de gagner un match important." ®Antony Gilles – Internazionale.fr
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Javier Zanetti, Vice-Président de l’Inter, Bandiera des Tifosi et Parrain d’Internazionale.fr s’est livré dans la rubrique "I Fantastici 10" du site Calcio.com : "Lautaro, lorsque j’ai commencé à le suivre, je voyais déjà qu’un grand futur pouvait s’offrir à Lui, j’en avait parlé avec Milito lorsqu’il faisait ses premiers pas au Racing." "Après avoir débuter en équipe-première, on voyait ce parcours, celui d’un joueur qui pouvait aspirer à beaucoup plus et je suis très heureux que Lautaro soi ici, à l’Inter, tout ce qu’il est entrain de démontrer est tout ce que nous avions imaginé qu’il était capable de faire : Il s’améliore saison après saison au point d’être devenu l’un des points de référence de l’Inter et de l’Argentine." Quelles sont ses meilleures caractéristiques ? "C’est un garçon très généreux, il vient énormément aider en phase défensive, il a aussi un excellent timing dans ses coups de têtes, il a d’ailleurs inscrit beaucoup de buts de la sorte. Il demande toujours de la profondeur, il est très puissant via ses jambes et c’est un très bon dribbleur : C’est un garçon qui a un grand sens des responsabilités, un grand professionnel." "Lorsqu’il est arrivé à l’Inter, il a réalisé qu’il était dans un grand club et il se met en valeur dimanche après dimanche : Je pense qu’il se sent bien ici avec nous et c’est pour cela qu’il réalise de très belles prestations: Lautaro avait accepté immédiatement notre proposition, alors qu’en y en repensant, il aurait pu signer dans un autre club, mais il nous a finalement rejoint." Une anecdote ? "Les barbecues qu’il fait pour ses équipiers, Il leur offre des grandes tables de viande pour se regrouper, et ce sont des choses qui sont définitivement très positives. C'est un excellent cuisinier, il cuisine bien l'Asado !" ®Antony Gilles – Internazionale.fr
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L'Inter, Ronaldo, Zanetti et autres rendent hommage au roi
alex_j a posté un article dans F.C. Internazionale Milano
Suite à la mort du roi Pelé, les hommages pleuvent. L'Inter n'est pas en reste, ainsi que Ronaldo parmi d'autres. L'Inter, à travers une note officielle, a voulu rendre hommage à Pelè le jour de sa mort. Le club Nerazzurri a utilisé deux photos: une avec Giacinto Facchetti qui l'a affronté avec le maillot de l'Italie et une autre avec Ronaldo Il Fenomeno et Cannavò avec vue sur San Siro. Voici ce que la société a écrit dans sa note : "Le FC Internazionale Milano, son président Steven Zhang, le vice-président Javier Zanetti, les PDG Alessandro Antonello et Giuseppe Marotta, l'entraîneur Simone Inzaghi et son staff, les joueurs et tout le monde de l'Inter se joignent au deuil de la perte du grand Pelé." "Le roi. Celui qui a inspiré les enfants du monde entier, celui qui a fait rêver toute une population pendant des années et des années, étendant son aura d'invincibilité sur le monde du football, désormais orphelin de l'un des plus grands de tous les temps. Edson Arantes do Nascimento, pour tous, pour toujours, Pelé. Trois Coupes du monde avec le Brésil, des records à n'en plus finir, des générations entières élevées dans le mythe d'un footballeur qui a révolutionné le football." "Pelé. S'en souvenir devient un exercice qui divise : ceux qui l'ont vu, au moins une fois en direct, et ceux qui se sont nourris de la légende, visionnant quelques vidéos, lisant, regardant des films, feuilletant des records et des statistiques. Pelé à Milan. Il a joué plusieurs fois sur le terrain à San Siro, avec le Santos et avec le Brésil. Des exhibitions, des matchs amicaux qui ont attiré des milliers de personnes, des tribunes pleines à craquer pour l'admirer en direct, pour capter un peu de sa magie avec le ballon." "Magie qu'Angelo Moratti avait tenté d'apporter à l'Inter en 1958, avant de céder à la résistance de Santos, au gré des protestations des supporters. Pelé à San Siro, donc, mais comme adversaire, à plusieurs reprises, dans les années 60. Des matches à guichets fermés avec des journaux prêts à raconter chaque instant de ce phénomène débarqué à Milan." "Le Pelé de San Siro s'appelle Corso, lit-on dans le Corriere della Sera en juin 1963, après la victoire 2-0 de l'Inter sur le Santos dans le tournoi de Città di Milano. L'une des occasions qui a fait dire à Pelé que Mario Corso, le pied gauche de Dieu, aurait pu facilement jouer dans son Brésil presque imbattable. Ou quand Pelé lui-même est allé voir Ivano Bordon, qui venait d'entrer au Hall of Fame des Nerazzurri, pour le féliciter de sa performance dans les buts." "Des fragments, des souvenirs, des anecdotes qui contribuent à définir la grandeur d'un immense footballeur et dont toute la famille de l'Inter, ainsi que les supporters du monde entier, se souviendront toujours avec affection et nostalgie." Ronaldo rend un hommage vibrant au roi. "Unique. Fantastique. Technique. Créatif. Parfait. Inégalé. Là où Pelé est arrivé, il est resté sans jamais quitter le sommet. Il nous quitte aujourd'hui. La tristesse de l'adieu se mêle à l'immense fierté de l'histoire écrite. Quel privilège de venir après toi mon ami. Ton talent est une école que chaque joueur devrait suivre. Ton héritage transcende les générations et c'est ainsi qu'il restera vivant. Aujourd'hui et toujours, nous te célébrons. Merci, Pelé. Repose en paix." Javier Zanetti a également tenu à rendre hommage à Pelé. "Une légende éternelle, un véritable symbole du sport, une inspiration pour toujours et à jamais. Repose en paix, légende." Matrix a rendu hommage avec un message court mais émouvant. Enfin, nous terminons avec Diego Milito. Voici son message: "L'inspiration et l'amour ont marqué le voyage du roi Pelé, qui est décédé aujourd'hui. Au cours de son voyage, Edson a charmé le monde avec son génie du sport, arrêté une guerre, créé des œuvres sociales dans le monde entier et diffusé ce qu'il croyait le plus être le remède à tous nos problèmes : l'amour. Son message devient aujourd'hui un héritage pour les générations futures." Traduction alex_j via FCInternews, le site officiel et Sempreinter. -
Lautaro Martinez : "Victoire méritée et plein de confiance contre le Viktoria !"
alex_j a posté un article dans Interviews
Toujours protagoniste avec un doublé au Franchi, Lautaro Martinez vient aux micros de DAZN commenter le succès contre la Fiorentina. Content ? "C'est un moment important pour moi, la Coupe du monde approche. Je suis content, je m'occupe de chaque détail et j'essaie de le montrer sur le terrain." Victoire méritée ? "Oui. On méritait de gagner pour ce qu'on a fait sur le terrain. Maintenant, il faut arriver au mieux pour le match contre le Viktoria Plzen." Le premier but ressemble-t-il davantage à ceux d'Aguero, Milito ou Batistuta ? "Certainement à ceux du Kun, il fait de ces embardées. Alors peut-être même Diego." La rigueur ? "C'est important d'avoir confiance, j'avais déjà décidé où frapper et quand je l'ai fait, j'ai frappé fort." À quel point pensez-vous que cette équipe est vôtre ? "Quoi qu'il en soit, je suis ici depuis cinq ans et je donne tout pour l'Inter. Mes coéquipiers écoutent quand quelqu'un parle. J'essaie toujours de donner un coup de main à mes coéquipiers et de rendre les fans heureux." Quel est votre modèle d'attaquant ? "J'ai toujours suivi Radamel Falcao enfant, puis j'ai eu la chance de jouer avec Aguero, Milito et bien d'autres dont j'ai beaucoup appris." Lukaku vous manque-t-il ? "Oui, pas seulement moi mais l'équipe. Nous espérons le retrouver bientôt." Comment préparez-vous une Coupe du monde en pleine saison ? "Avec la bonne mentalité. Aujourd'hui, je joue pour l'Inter et ce que je fais avec l'Inter me mène à la Coupe du monde. On joue toujours naturellement." Lautaro Martinez a communiqué sur son compte Instagram avec une photo montrant sa célébration: "Allons-y !" Enfin, dans un tweet, Opta a indiqué que Lautaro Martinez était le premier attaquant de l'Inter à inscrire un but et à faire une passe décisive dans les 15 premières minutes d'un match depuis Diego Milito il y a 11 ans. "1+1 - Lautaro Martínez est devenu le premier attaquant de l'Inter à avoir à la fois marqué et délivré une passe décisive dans les 15 premières minutes de jeu d'un match de Serie A depuis Diego Milito, le 19 janvier 2011, contre Cesena. Albiceleste." Traduction alex_j via FCInterNews et Sempreinter.- 1 commentaire
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Du jeu aérien au sens des buts, en passant par la plupart des fondamentaux du joueur de foot, pressé par La Gazzetta dello Sport Hernan Crespo ouvre la confrontation entre ses compatriotes Diego Milito et Lautaro Martinez après que Il Toro a atteint Il Principe avec 62 buts en Serie A. Jeu aérien: Milito 9 - Lautaro 8. "Il Principe, grâce aussi à sa taille, savait très bien exploiter les centres et, surtout, il savait se placer dans la bonne position pour recevoir le ballon. Il était maître de ce geste, il lui était difficile de se tromper dans son choix. Lautaro est plus instinctif, tout en ayant moins de qualité physique. Il est bon en acrobatie, il sait prendre le tempo du défenseur, mais il n'a pas l'explosivité de Milito." Pied droit: Milito 8,5 et Lautaro 9. "Il Principe était doué d'une excellente technique individuelle, il frappait très bien, mais il exploitait ces qualités surtout à l'intérieur de la surface de réparation. Il Toro, en revanche, est mortel à la fois lorsqu'il est à l'intérieur ou au bord de la surface. Tire depuis n'importe quelle position et cadre presque toujours au but. Il est aussi bon pour conclure après un slalom." Pied gauche: Milito 8 et Lautaro 8,5. "Il Principe s'accordait aussi très bien avec son pied gauche, même si ce n'était pas son pied préféré. Il Toro l'utilise souvent, parfois il semble qu'il n'y a pas de différence entre le droit et le gauche. Et il l'utilise aussi pour les tirs hors de la surface." Dribble: Milito 9 et Lautaro 9. "Phénoménal aussi avec le ballon aux pieds quand il s'agit de passer l'adversaire. Il Principe a défendu le ballon avec son corps et a dépassé le défenseur avec un dribble net, faisant passer le ballon d'un pied à l'autre. Vous souvenez-vous du but final de la Ligue des champions contre le Bayern Munich en 2010 ? Lautaro est plus un milieu de terrain offensif dans son geste, ce qui signifie qu'il affronte son adversaire en 'face à face', le défie et le trompe avec des feintes de corps." Sens du but: Milito 9,5 et Lautaro 8,5. "Il Principe était une sentence, il avait la voie dans la tête et n'en ratait pas une miette. Il n'avait pas besoin de regarder le gardien, il savait déjà où mettre le ballon. Et puis il avait une impressionnante régularité d'accomplissement. Lautaro est plus inconstant, il prend parfois des moments de pause. C'est un attaquant un peu particulier, il peut aussi jouer le rôle de second attaquant et pour cette raison, il se consacre souvent aux passes décisives." Leadership: Milito 9 et Lautaro 8. "Il Principe, avec son jeu et ses déplacements, a su diriger toute l'équipe. C'était un leader silencieux mais il était respecté et sa voix portait. De ce point de vue, Lautaro doit encore progresser. Il est jeune, il a besoin de faire ressortir toute sa personnalité pour devenir un vrai commandant. Pour l'instant il a beaucoup besoin de l'équipe." Traduction alex_j via FCInterNews.
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Qui est le plus fort entre Lautaro Martinez et Diego Alberto Milito ? Impossible de donner une réponse franche, selon notre ancien attaquant Julio Cruz. Appelé par Gazzetta.it depuis Buenos Aires pour juger ses deux compatriotes sur les bases techniques et comportementales, Il Jardinero s'est prêté au jeu après Hernan Crespo. On pose les bases! "Les grands attaquants de différentes époques sont compliqués à comparer. Je souhaite particulièrement à Lautaro de soulever la Ligue des champions vers le ciel comme Diego!" Jeu aérien: Milito 9, Lautaro 9. "Martinez est plus petit mais il est fort dans les têtes et s'affirme également contre des adversaires plus grands car il a un bon timing pour sauter." Pied droit: Milito 9,5, Lautaro 9. "Il Principe avec cette feinte qu'il a faite avec son droit nous a toujours sidéré. Martinez est aussi fort quand il frappe à la volée, mais je choisis le droit de Diego." Pied gauche: Milito 8, Lautaro 9. "Lautaro tire plus naturellement avec son gauche, comme avec son droite. Diego était plus... avec son droit qu'avec son gauche." Sens du but: Milito 10, Lautaro 9. "Diego a également marqué les yeux bandés. Je n'ai jamais vu quelqu'un qui sentait le but comme lui. C'était vraiment fou. Lautaro doit travailler plus dur pour marquer. Mais contre Salernitana, tu as vu ce qui but marqué ?" Leadership: Milito 9, Lautaro 9. "Il Principe est arrivé à l'Inter à trente ans, avec une importante carrière derrière lui. Lautaro est arrivé en tant que jeune homme, mais malgré ses 25 ans, il a toujours joué avec la personnalité d'un vétéran, voir les matchs contre Liverpool et Barcelone." Match: Milito 8,5, Lautaro 10. "Diego a toujours prêté main forte à l'équipe et a également aidé dans la phase de non-possession, mais Martinez n'est pas par hasard surnommé le Taureau. Je l'aime beaucoup pour l'esprit de sacrifice qu'il montre." Traduction alex_j via FCInterNews.
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Javier Zanetti, qui a intercepté lors de l'événement à Alaia Bay à Sion, a parlé à Gazzetta.it. Lors de cet évènement, la collaboration entre Inter et Bradley surfboards a été présentée. Cette collaboration se focalise sur la création de planches de surf exclusives. À quel point est-ce important pour vous d'avoir des sportifs qui portent nos couleurs ? Nous pensons à Valentino Rossi et Leonardo Fioravanti. "C'est un partenariat qui donne beaucoup d'émotions, c'est un nouveau sport qui nous rejoint et c'est très important. C'est un témoignage que l'Inter veut progresser très haut. Nous avons beaucoup d'athlètes d'autres sports qui portent nos couleurs et ce partout dans le monde. C'est une chose importante car ils peuvent aussi transmettre les valeurs de notre club dans le monde." Lautaro a atteint Milito en terme de buts en Serie A. Maintenant, il semble être de plus en plus un leader de cette Inter. "Mon impression est qu'il a eu une croissance remarquable, chaque année il a beaucoup grandi. Aujourd'hui, il est une référence importante pour notre club et aussi pour l'Argentine. Il a atteint une maturité qui lui permet d'effectuer ce type de performance aussi. J'espère que ça durera de cette manière." Traduction alex_j via FCInterNews.
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Interviewé sur SkySport, DAZN et Inter TV après la victoire face à Salernitana, Lautaro Martinez analyse ainsi le match d'aujourd'hui au Meazza. Sur Sky Sport "Une victoire ça veut dire beaucoup. Ça veut dire qu'on a grandi, mûri. Après le moment difficile, on va bien maintenant et il faut continuer comme ça. On est sur la bonne voie après avoir perdu des points importants. On a tourné la page et cela se voit. Est-ce que je marque toujours ? Il en est ainsi. Aujourd'hui j'ai donné un coup de pied, j'ai essayé, peut-être que le gardien s'est trompé, je ne sais pas, mais c'est comme ça le football. Pour nous les attaquants c'est comme ça. Une discussion dans le vestiaire est-elle importante ? Nous avons beaucoup parlé, mais restez là. Je dis juste que ça se voit sur le terrain." Sur DAZN "Semaine parfaite, nous sommes sur la bonne voie, nous avons joué un grand match au Camp Nou et aujourd'hui nous devions confirmer. L'attitude devait être la même et je pense que nous l'avons prouvé. Peut-être que les premiers jours on a perdu des points importants, les choses ne se sont pas passées comme on le voulait, on a encaissé beaucoup de buts. On a parlé, on s'est tous réunis et maintenant les choses reviennent. Inzaghi m'a beaucoup aidé, il me donne toujours confiance, comme mes coéquipiers. J'essaie toujours de marquer et quand je ne peux pas j'essaie d'aider tout le monde, j'essaie d'être le premier défenseur, je fais le reste du travail. Parfois c'est bien de se parler, on l'a fait et nous avons compris les erreurs et nous avons commencé à travailler. Maintenant vous pouvez voir sur le terrain. Soixante buts comme Milito ? Ça me donne du bonheur, de la fierté. Je travaille la tête baissée tous les jours pour élever le niveau et je suis très content, je dédie le but à ma femme et ma mère en Argentine. Aujourd'hui c'est la fête des mères là-bas." Sur Inter TV "C'était une semaine importante pour nous, nous avions beaucoup de matchs difficiles devant nous. Après une bonne performance contre Barcelone à Milan, nous avons dû répéter au Camp Nou et je pense que nous l'avons fait, nous avons mérité le bon résultat de Mercredi et d'aujourd'hui." En deuxième mi-temps, vous avez poussé en phase défensive. "C'est certainement très important, il fallait mettre quelque chose en plus parce que ce qu'on faisait n'était pas suffisant, les choses n'allaient pas comme on le voulait. On a beaucoup parlé ces dernières semaines et aujourd'hui on l'a vu sur le terrain. Chacun essaie d'aider les compagnons et de fermer les espaces. C'est important dans une équipe. Parfois ça se perd, mais on rattrape." Vous avez atteint le nombre du bets de Milito avec le maillot Nerazzurri. "Je vais certainement l'entendre, nous irons dîner dans les prochains jours puisque il est ici à Milan. Il me donne toujours beaucoup de conseils, c'est une personne formidable et il suit toujours l'Inter." Traduction alex_j via FCInterNews.
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Interviewé pour l'émission du Match of the Day de l'Inter contre Salernitana, Robin Gosens s'est exprimé ainsi. "Beaucoup de personnes ont joué un rôle important dans ma carrière, du directeur sportif de l'époque de Dordrecht qui a toujours cru en moi à Gasperini qui m'a beaucoup fait grandir. Une légende des nerazzurri que j'aurais aimé avoir comme colocataire ? Jurgen Klinsmann, aussi parce que lorsqu'il jouait pour l'Inter, il était une idole en Allemagne et partager une chambre avec lui aurait été très intéressant. Compagnie? Eto'o ou Milito, deux joueurs impressionnants. Joueur à défier ? Brehme, il a super bien joué son rôle, j'aurais aimé le défier aussi pour apprendre de sa façon de jouer." "L'état d'esprit et la discipline sont pour moi deux caractéristiques essentielles, sans lesquelles je ne serais pas ici. S'amuser sur le terrain de foot c'est aussi fondamental, c'est quelque chose qui a fait la différence, je me suis toujours fait plaisir et cette chose est restée, même si maintenant il y a la pression j'ai toujours gardé mon amour pour le foot." "J'ai fait mes débuts professionnels à Dordrecht, une petite ville des Pays-Bas mais très importante pour moi. À Bergame, j'ai progressé et grandi en tant que personne et en tant que joueur, ce fut une expérience intense. Milan est une ville unique, déjà quand j'étais à Bergame je venais souvent la visiter, elle est belle et moderne et maintenant je suis heureux d'être ici." "Je me souviens qu'enfant, j'allais à l'école jusqu'à deux heures. Ensuite, tous les jours de trois heures jusqu'au soir, je jouais avec mes amis sur le terrain de football. C'était un petit terrain pas très beau où nous avons grandi et nous nous sommes toujours amusés. On y était 5 ou 6 heures par jour et on se disait toujours que la meilleure chose au monde serait que l'un de nous devienne un jour footballeur professionnel. C'est un souvenir qui me passionne toujours. J'aime lire et c'est aussi pour cette raison que j'ai écrit un livre dont le titre est 'Cela vaut la peine de rêver', une phrase importante pour moi. Depuis que j'ai commencé à jouer au football, David Alaba a toujours été mon idole. Je l'ai regardé quand il était au Bayern et il m'a toujours impressionné par sa façon de jouer différents rôles sur le terrain." "Je suis un homme très chanceux, entrer au Camp Nou et marquer un but important pour l'équipe est une émotion unique." "Jouer pour l'équipe nationale est incroyable et avoir disputé ce match (un but et deux passes décisives contre le Portugal, ndlr) dans un moment aussi important était merveilleux." Traduction alex_j via FCInter1908 et FCInternews.
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Diego Milito et Esteban Cambiasso ont réagi à cette belle performance de l'Inter aux micros de Prime Video et Sky Sport. Diego Milito. "L'Inter a fait une belle performance, le résultat est amer car ils avaient la qualification et la victoire en main. L'Inter a fait une belle performance sur un terrain difficile, après le deuxième but ils ont pu le tuer en accélérant. Mais à la fin, l'Inter fait une belle performance. Lautaro ? Ça te fait comprendre qu'avec le but, ça te donne la confiance qui te manque. C'est un but extraordinaire. Cela lui manquait, après avoir joué un grand match, il n'a rien fait de mauvais. Il est très fort, il a marqué et cela lui a donné confiance pour conclure le match de manière extraordinaire. Asllani ? Il a un péché par individualisme, il est jeune, c'est normal, manque d'expérience." Esteban Cambiasso. "L'Inter a quitté le Camp Nou satisfaite du résultat et de la performance, avec une grande personnalité car jamais écrasée par Barcelone, donnant toujours l'impression de pouvoir gagner. Une belle épreuve de maturité. Handanovic ? Je le connais, il n'est jamais entré le vestiaire en tant que jeune rookie (ou rox) mais toujours comme expert. Il a de la personnalité, il parle toujours de la bonne manière. Pour autant que je le connaisse, c'est un bon gars. Lautaro? Milito était important pour le faire venir ici. Il marque plus avec Lukaku mais il joue mieux avec Dzeko, je pense." Traduction alex_j via FCInter1908.
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Clarence Seedorf et Diego Milito : "Le Barça a l'habitude de pleurer !"
alex_j a posté un article dans Coupes d'Europe
Directement du Camp Nou et pour Prime Video, Clarence Seedorf et Diego Milito reviennent brièvement sur les énormes polémiques arbitrales du match aller au Meazza entre l'Inter et Barcelone. Clarence Seedorf. "Cela fait partie de leur culture, cela ne me surprend pas. Ils l'ont toujours fait et pour Xavi c'était une habitude même en tant que footballeur. Ils vont toujours voir l'arbitre pour n'importe quoi pour faire pression." Diego Milito. "Très vrai, totalement. Pour le Barça les protestations sont systématiques. Je me souviens des défenseurs qui faisaient des tirs jusqu'à 40 mètres pour aller de l'autre côté du terrain et protester auprès de l'arbitre. Je ne partage pas cette attitude, surtout si elle vient d'un entraîneur qui peut aussi énerver ses joueurs (Xavi, ndlr)." Êtes-vous surpris? Traduction alex_j via FCInterNews- 11 commentaires
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Diego Milito : "Mbappé et Haaland me rappellent Ronaldo et Vieri"
alex_j a posté un article dans Interviews
D'un côté la vitesse et l'imagination de Mbappé, de l'autre la puissance et la constance de Haaland. Diego Milito, dans la Gazzetta dello Sport, parle des deux attaquants les plus forts d'aujourd'hui et, probablement, de demain aussi. Alors Prince, qui est la pointe du futur ? "Difficile à dire car ce sont deux joueurs extraordinaires, uniques, mais complètement opposés." Efforcez-vous et essayez d'en choisir un... "La façon dont je suis, j'ai toujours plus aimé les joueurs qui peuvent résoudre les problèmes par eux-mêmes. Quelqu'un comme Haaland, qui est tout simplement dévastateur, a toujours besoin de l'aide de ses coéquipiers. Mbappé, d'autre part, construit parfois le but lui-même, à partir de rien. Mais, de la même manière, il sait donner des passes décisives et trouver des espaces." Et s'il fallait faire une comparaison avec le passé : qui était un Haaland avant Haaland et un Mbappé avant Mbappé ? "Peut-être que le Français, pour l'explosivité d'une panthère, a quelque chose de Ronaldo, Il Fenomeno qui pour moi après Messi est le plus grand de tous. L'Italien Christian Vieri ou un Martin Palermo en Argentine. Puissant et incroyable dans la surface de réparation. Haaland a pris ce modèle dans une nouvelle ère et une nouvelle dimension." Les grands noms de notre ligue pourront-ils se rapprocher tôt ou tard de ces deux là ? "En Italie, je vois de grands joueurs progresser pour atteindre le sommet : je pense à Lautaro à l'Inter, Leao à Milan, Vlahovic à la Juve et aussi Kvaratskhelia qui est incroyable à Naples. Évidemment, personne ne peut y arriver seul, mais cela est aussi dépendent du parcours des équipes en Ligue des champions. Même en Serie A il y a une grande qualité d'attaquants." Traduction alex_j via FCInterNews.- 14 commentaires
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Lautaro Martínez a accordé une longue interview à STAR + Qatar Specials où il a répondu à plusieurs questions qui ont marqué sa carrière. Sa relation avec Diego Milito : "A mes débuts au Racing j'ai dû remplacer Milito. J'ai une bonne relation avec lui. A chaque fois qu'il vient, on se voit, on dîne ensemble. Il m'a donné beaucoup de conseils, je lui serai toujours reconnaissant." Sur le fait de grandir en tant qu'homme après la naissance de sa fille : "Avec la naissance de ma fille Nina, je renais. J'ai beaucoup mûri sur et en dehors du terrain. Ça a fait baisser mes décibels, je suis un peu plus mature, je prends plus du recul. J'étais plus impulsif. Ma femme me dit toujours d'y aller doucement. Quand ma fille est née, je me suis calmé. Si je perdais, plus tôt, je restais des heures sans parler. Maintenant, d'autres choses ont la priorité, ça me fait toujours mal de perdre, mais quand je rentre à la maison ce n'est plus comme avant, plus au point de ne plus parler." Sur la prochaine Coupe du monde : "C'est un sentiment difficile à expliquer. Nous espérons arriver aussi préparés que possible. Nous avons parlé des billets et du nombre d'Argentins qui iront. Quand nous nous déplaçons, c'est comme si nous jouons en Argentine. Ce soutien, cette folie, c'est incroyable. Je joue toujours en pensant à l'équipe nationale argentine. Je me prépare à tout. C'est une roue qui tourne et je m'entraîne là où je dois donner le meilleur." Lionel Scaloni : "Je lui suis très reconnaissant car il m'a toujours fait confiance. L'équipe nationale a de grands joueurs, de grands attaquants et chaque match est un examen. Je sais que travailler avec mon club est ce qui m'y mènera. Tant que nous avons le temps, essayons de nous sentir bien, de nous concentrer, de faire ce que l'entraîneur veut. Il m'a soutenu quand je ne marquais pas et a beaucoup parlé, m'a respecté et m'a encouragé. Pour cela, je lui suis toujours reconnaissant." Le moment de l'hymne : "Je me sens fier. Quand on joue les éliminatoires, les matchs amicaux, il y a beaucoup de public. C'est incroyable. La passion de l'Argentin, comment il la chante... les sensations sont difficiles à expliquer. Je suis excité, mais en même temps tu as envie de pleurer, c'est un sentiment fort, il y a beaucoup d'adrénaline. Ou il arrive que ton esprit se vide et que tu penses que tu rêves ou être dans un jeu vidéo." Absence de la Coupe du monde 2018 : "Ça m'a fait mal de ne pas aller à la Coupe du monde en Russie comme me l'a dit le sélectionneur. Mais je respecte sa décision et j'ai toujours essayé de soutenir ceux qui l'avaient jouée. C'était une période difficile parce que c'était un de mes grands rêves." Comment avez-vous vécu la précédente Coupe du monde ? "Déjà en 2014, nous avons vu la retraite de la Coupe du monde avec le Racing. J'ai vu la dernière, celle de 2018, à Bahía Blanca. Après la Copa Libertadores, j'ai signé avec l'Inter et j'y ai passé deux mois." Célébration du but : "Il est né avec Gustavo Bou. À cause du surnom de el Toro, les cornes, c'était une fête dans le miroir, face à face. Puis je l'ai breveté (rires, ndlr). Je regarde toujours les matchs du Racing Club." Traduction alex_j via FCInterNews.
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Interrogé par La Gazzetta dello Sport, l'ancien attaquant de l'Inter Diego Milito s'est exprimé sur le match face au Bayern qui s'est soldé par un doublé fantastique en finale 2010, l'Inter et Lautaro Martinez. Un match dur ? "Dur? Oui, difficile. Mais quelle chance l'Inter a eu." Dans quel sens "chance" ? "Qu'un grand match soit la meilleure chose qui puisse être pour oublier le derby." Vous avez perdu trois derbies contre Milan. Et deux fois sur trois, elle a également été battue lors du match suivant. "Vrai. Je me souviens de 2011, KO en championnat puis en Ligue des champions contre Schalke, en une semaine on a jeté à la fenêtre et le championnat et l'Europe. Mais je crois qu'Inzaghi et les joueurs ne sont que dans une période compliquée. Ce soir ils ont l'opportunité de tout laisser derrière eux." Rembobinons la bande : Inter-Bayern, c'est ton match : 2010, deux buts et champions. "C'est un match qui restera en moi pour toujours. Je me souviens de tout, de chaque émotion, du cri des fans." Dis la vérité : ils avaient été étudiés en vidéo, les défenseurs du Bayern. "Bien sûr, oui, je connaissais bien leurs faiblesses. Et puis j'ai eu de la chance : au Bayern il y avait Demichelis, mon coéquipier en équipe nationale. Très fort, mais je savais tout de lui…" Qu'est-ce que Mou t'a dit avant ce match ? "Il a parlé directement, nous rassurant. Voulez-vous savoir pourquoi nous avons gagné ce soir-là ? Parce que pour nous, la Ligue des champions n'était pas une obsession, mais un rêve. Un tableau à compléter, après la Coupe d'Italie et le Scudetto. C'était une opportunité à saisir pour beaucoup d'entre nous. Mais on avait déjà compris qu'on arriverait au bout après le second tour." Quels objets gardes-tu de cette nuit ? "Quelle question... tout, je garde tout avec moi. Chez moi j'ai un vrai musée : à l'intérieur il y a le maillot, les chaussures portées, la balle de ce match. Malheur à qui les touche." Qu'est-ce qui ne va pas avec l'Inter maintenant ? "J'ai une grande confiance en l'Inter, c'est une superbe équipe avec un bon entraîneur. Je suis donc optimiste pour la saison. La solidité défensive doit certainement être retrouvée, sur les derniers matchs il y a eu un affaiblissement. C'est le bon défi pour le prouver. L'examen est très difficile, mais aussi stimulant. Gommer la déception du derby est obligatoire. Le match contre Milan a apporté quelques doutes. Mais tout n'était pas mauvais dans cette soirée. Perdre est douloureux, ne pas se racheter le serait encore plus." Elle s'est retrouvée au milieu du mercato avec Skriniar cet été. Peut-on lire ainsi les difficultés du défenseur ? "Je ne crois pas. J'ai le sentiment que Milan est très content d'être à l'Inter. C'est une baisse de forme. Bientôt il redeviendra la référence dans la ligne défensive." Bientôt signifie ce soir? "Ces matches se décident dans les zones. Si l'homme clé m’est demandé, je réponds par deux noms : Skriniar et Lautaro." Ton Lautaro... "J'ai un faible pour lui, il s'améliore d'année en année, maintenant il a aussi pris de l'expérience. L'Inter est en sécurité avec lui." Inzaghi dit qu'il faudra 10 points pour passer. Où les obtenir ? "L'Inter doit essayer de gagner les trois matchs à domicile. Mais réfléchir à long terme est fausx. La Champions n’est pas comme ça. C'est le match. Et les défis avec le Real Madrid et Liverpool ont montré qu'Inzaghi et son équipe peuvent jouer sur un pied d'égalité avec tout le monde. Dans le football, les invincibles n'existent pas. Ça se joue au Meazza, l'histoire de l'Inter demande une mentalité de gagnant. Passer le cap est un objectif, pas une entreprise impossible." Traduction alex_j via FCInter1908.
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Record de buts : Lauti égale notre légende Facchetti !
alex_j a posté un article dans F.C. Internazionale Milano
Lautaro Martinez a égalé notre ancien capitaine et légende Giacinto Facchetti dans le classement des buteurs du club avec son but contre Cremonese. Ceci est mis en évidence dans un article imprimé hier dans Tuttosport qui note que le but, le troisième de Martinez de la saison, était le 77e de l'Argentin toutes compétitions confondues pour les Nerazzurri depuis son arrivée à l'été 2018, le même que Facchetti a marqué à travers sa carrière. Martinez a commencé la saison au même niveau qu'avec notre ancien attaquant légendaire Adriano dans ce classement, avec 74 buts. Il a maintenant dépassé le Brésilien ainsi que son compatriote Diego Milito qui a marqué 75 buts pour le club. Avec son prochain but, le joueur de 25 ans dépassera Facchetti et égalisera avec les 78 buts marqués par Aldo Serena, bien qu'il soit encore loin des décomptes des anciens attaquants tels que Christian Vieri et Mauro Icardi. Martinez est en pleine forme alors que l'équipe se dirige vers le derby contre le Milan Samedi. Il cherchera à progresser rapidement dans le classement des buteurs de tous les temps des Nerazzurri au fil de la saison, tout en aidant l'équipe à concourir sur tous les fronts pour les trophées. Note: je ne sais pas trop comment les buts sont comptés. En effet, suivant les sites, le nombre varie de 2 à 3 buts. Traduction alex_j via Sempreinter.- 4 commentaires
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En effet, si Lauti fait les beaux jours de l’Inter et s’il s’apprête à reformer la redoutable Lula, Il Mundo Deportivo, preuve à l’appui, démontre à quel point l’international argentin était proche de rejoindre l’équipe de Diego Simeone: "En décembre 2017, l’Atletico avait quasiment finalisé l’Affaire Lautaro Martinez : L’attaquant argentin avait rencontré le Directeur Sportif des Espagnols, Andrea Berta, qui s’était rendu en Amérique du Sud pour définir l’opération. Le Toro aurait signé un contrat pour six saisons, qui lui aurait permis de percevoir un total de 12 millions d’euros. Qui plus est le joueur avait réalisé la traditionnelle visite médicale. Mieux encore, l’agent avait confirmé la négociation "faites à 99%"." 1% de chance comme le disait Conte ! "Le tout jusqu’à l’entrée en piste de l'Inter en 2018 : Les Nerazzurri avaient déboursé deux fois plus que les Colchoneros pour s’attacher les services du Toro, le tout grâce aussi à la complicité de Diego Milito." S’il a finalement rejoint les Nerazzurri, les photos du Mundo Deportivo posent tout de même questions : Celles-ci montrent que le numéro 10 de l'Inter en possession de document portant les armoiries de l'équipe madrilène. Ceux-ci avaient-ils réellement été signé…. ? ®Antony Gilles – Internazionale.fr
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Paulo, Lautaro, Romelu…. Vers une Révolution tactique ?
Victor "Antony" Newman a posté un article dans Mercato
Antonio Conte va s’en mordre les doigts : Si les transferts de Paulo Dybala et Romelu Lukaku sont confirmés, l’Inter proposera une puissance de feu qui ne sera pas sans rappeler les formidables paires formées par Samuel Eto’o et Diego Milito, ou encore celle composée de Ronaldo, Christian Vieri et un certain Adriano.... Comme le révèle nos confrères de Blastingnews en Italie, Simone Inzaghi se verrait contraint et forcé d’adapter son 3-5-2 vu la présence des trois bombardiers: "L'Inter a décidé de prendre de l’avance sur le Mercato Estival pour ne pas être prise au dépourvue. Le but étant de renfoncer l’effectif afin de lancer l’assaut vers la Seconde Etoile. Les Nerazzurri ont donc pris de l'avance en commençant à mettre en place d'importantes négociations, mais ces dernières semaines, une suggestion importante prend également forme: Celle du retour sensationnel à Milan de Romelu Lukaku, un an après sa vente record à Chelsea pour 115 millions d'euros." Jamais Inzaghi n’a composé avec un tel effectif Et l’Inter d’Inzaghi pourrait s’en retrouver bouleversé avec un changement de modulo : "Ces dernières heures, les chances de voir Romelu Lukaku revenir à l'Inter la saison prochaine augmentent de façon exponentielle: "Un an après son transfert à Chelsea, Big Rom fait maintenant pression pour retourner à Milan car il n'a pas pris ses marques chez les Blues, souvent relégué sur le banc par l'entraîneur Tuchel." L'opération n'est pas facile et la seule façon de la faire aboutir est celle de passer par le biais d’un prêt avec le joueur déjà prêt à diviser son salaire par deux pour être dans les paramètres du club milanais. Conséquence directe: "Simone Inzaghi, l’entraîneur de l’Inter verrait son échiquier tactique totalement remis en question, au point de devoir abandonner son classique 3-5-2. La raison n’est pas uniquement liée au retour de Lukaku, mais surtout par l’arrivée en attaque également de la Joya Paulo Dybala qui est en fin de contrat à la Juve, et qui rejoindrait gratuitement les Nerazzurri, en retrouvant par la même occasion Giuseppe Marotta qui l’avait amené à Turin de Palerme pour une somme de 40 millions d’euros." "Et même avec le départ attendu d’Alexis Sanchez, l’Inter disposerait de trois attaquant de renom : Lukaku, Dybala et Lautaro Martinez. Simone Inzaghi devrait donc passer au 3-4-2-1 ou 3-4-1-2, selon le cohabitation tactique à lier à côté de Lautaro." La suggestion d’Internazionale.fr L'attaque de Simone Inzaghi pourrait donc être composée de Romelu Lukaku au centre, avec Paulo Dybala et Lautaro Martinez libres d'évoluer sur tout le front de l'attaque, avec Mkhitaryan et Çalhanoğlu comme premières alternatives. Barella et Brozovic confirmés au milieu du terrain, avec Gosens et Dumfries sur les ailes. En défense, tout dépend du "sacrifié", s’il s’agit à n’en pas douter de Stefan de Vrij Voici une suggestion d’équipe Suffisante pour revendiquer le Scudetto selon vous ? ®Antony Gilles – Internazionale.fr- 23 commentaires
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Grâce à sa victoire 4-2 sur la Juventus au Stadio Olimpico de Rome, l'Inter a remporté la Coppa Italia pour la huitième fois de son histoire. Les Nerazzurri ont atteint la finale de la compétition à 14 reprises et ce triomphe porte à 42 le nombre de trophées remportés par le club depuis sa fondation en 1908. Seules la Juventus (14) et la Roma (9) ont remporté la Coppa Italia plus souvent que l'Inter, la Lazio (7) occupant la quatrième place du classement. Après avoir perdu contre la Juventus en finale de la Coppa Italia en 1959 et 1965, l'Inter a maintenant battu les Bianconeri dans deux finales consécutives, après la Super Coupe d'Italie en janvier à San Siro, avec une prolongation nécessaire pour déterminer le vainqueur. Le dernier triomphe de l'Inter en Coupe d'Italie remonte à 2011, lorsque l'équipe de Leonardo avait battu Palermo 3-1 grâce à deux buts de Samuel Eto'o et un autre de Diego Milito. Un certain Andrea Ranocchia était dans le onze de départ ce jour-là, tandis que le défenseur était également dans le groupe à l'Olimpico où il a célébré son deuxième succès en Coppa Italia, 11 ans après son premier. Les finales de l'Inter en Coppa Italia 1939 | Ambrosiana Inter 2-1 Novara 1959 | Inter 1-4 Juventus 1965 | Juventus 1-0 Inter 1977 | Milan 2-0 Inter 1978 | Inter 2-1 Naples 1982 | Inter 2-1 Torino, en aller-retour 2000 | Lazio 2-1 Inter, en aller-retour 2005 | Roma 0-3 Inter, en deux manches 2006 | Roma 2-4 Inter, en deux manches 2007 | Roma 7-4 Inter, en deux manches 2008 | Roma 2-1 Inter 2010 | Inter 1-0 Roma 2011 | Inter 3-1 Palerme 2022 | Juventus 2-4 Inter Palmarès de l'Inter 19 Scudetti 8 Coupes d’Italie 3 Ligues des Champions 2 Coupes Intercontinentales 1 Coupe du Monde des Clubs 3 Coupes de l'UEFA 6 Super Coupes d'Italie Statistiques de la finale à Rome L'Inter est la première équipe à avoir marqué deux fois en prolongation lors d'une finale de Coppa Italia depuis Vicenza, qui avait réussi à le faire contre Napoli en 1997. L'Inter est le premier club à avoir transformé deux penaltys dans une finale de Coppa Italia (hors séances de tirs au but) depuis la Sampdoria contre Ancona en 1994. Les Nerazzurri ont joué les prolongations dans une finale de Coppa Italia pour la première fois dans l'histoire du club, tandis que les Bianconeri ont connu leur quatrième prolongation au cours de leurs sept dernières finales de coupe. L'Inter est devenu la troisième équipe à battre la Juventus trois fois en une seule saison, toutes compétitions confondues, après la Fiorentina en 1940/41 et la Lazio en 1942/43. Ivan Perisic est le quatrième joueur de l'Inter à avoir inscrit un doublé en finale de la Coppa Italia, après Adriano (2005 contre la Roma), Hernan Crespo (2007 contre la Roma) et Samuel Eto'o (2011 contre Palermo). Le but de Nicolo Barella six minutes après le début du match est le but le plus rapide dans une finale de Coppa Italia depuis le but de Stefan Radu pour la Lazio contre la Juventus le 20 mai 2015 à la 4ème minute. Barella est le premier Italien à marquer pour l'Inter dans une finale de Coppa Italia depuis Alessandro Altobelli qui avait marqué lors du match retour de la finale 1981/82 contre le Torino. Barella a inscrit le deuxième but de l'Inter dans les six premières minutes d'une finale de Coppa Italia, imitant ainsi les exploits d'Esteban Cambiasso contre la Roma, 16 ans plus tôt, le 11 mai 2006. La frappe de Barella était le premier but en dehors de la surface dans une finale de Coppa Italia depuis Douglas Costa et son but contre l'AC Milan en 2018. Hakan Calhanoglu est le premier joueur à transformer un penalty dans une finale de Coppa Italia depuis Edinson Cavani contre la Juventus en 2012. ®Internazionale.fr via inter.it - Traduction Oxyred
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La presse sportive s’est enflammée suite à la révélation de la Gazzetta Dello Sport sur la future arrivée de Paulo Dybala à l’Inter. Place à présent à deux articles détaillés en provenance de la péninsule Pour Tuttosport Comment est-ce possible d’arriver à Paulo Dybala à l’Inter, avec la thématique de la soutenabilité, comme étoile polaire dans les plans de Suning ? "Pour l’expliquer, il faut se concentrer sur Giuseppe Marotta qui s’est jeté sur sa proie à peine les papiers du divorce entre la Juve et l’argentin actés. Celui-ci a demandé à Jorge Antun, son agent, quel était le délai qu'ils avaient donné pour trouver une équipe. La réponse "Nous ne sommes pas pressés" était ce que l'Inter voulait entendre, car le Mercato des Nerazzurri sera quoiqu’il arrive marqué de départs." "Suning a d'ailleurs défini les palettes nécessaires pour maintenir la soutenabilité des comptes : Le Mercato devra présenter un solde positif de 60 millions d’euros et la masse salariale devra diminuer de 15% avec une épargne de 20 millions d’euros. Les objectifs fixés à Simone Inzaghi seront les mêmes que ceux de l’été dernier : Terminer dans le Top 4 et atteindre les huitièmes de finale de la Ligue des Champions. Pour ces motifs, Steven Zhang lui-même est le premier à savoir que son Inter devra rester compétitive." "Marotta, qui connaît bien le tempérament de Dybala, sait pertinemment qu'il a le oui du joueur dans la main, surtout par le fait qu’il désir se sentir comme un centre de gravité dans le projet, cela influera sur sa décision. C'est aussi pour cette raison que, par exemple, Marcelo Brozovic a choisi de prolonger l’aventure avec l'Inter malgré une offre bien plus importante du Real Madrid. L'Argentin, tout comme son futur équipier, serait l'étoile la plus brillante au firmament à Milan, car l’équipe ne possède également pas d’autre profils de ce type dans son noyau." "Il s’agit donc du meilleur tremplin pour mettre sur pied les bases d’un accord salarial. Dybala, qui gagne 7,3 millions d'euros à Turin et qui avait conclu un accord pour 8 millions plus 2 millions de bonus avant de consommer cette rupture, sait bien quels sont les paramètres du club Nerazzurro et que pour se lier les parties devront toutes les deux sacrifier quelque chose". Pour la Rosea, les futures flèches de l'Inter seront argentines "Les routes de Lautaro Martinez et de Paulo Dybala devraient converger à l’Inter après s’être tant de fois croisées en équipe nationale lors de ce dernier quadriennal. Si Marotta et ses adjoints parviennent à mettre la main sur la Joya et, en même temps, à résister aux avances des grands clubs européens vers le Toro, la "Dyla" pourrait prendre vie à Milan, elle qui a été testée à de très nombreuses reprises par le sélectionneur national Lionel Scaloni" "En effet, Lautaro et Dybala ont joué 8 fois ensemble en équipe national pour trois buts inscrits par Lautaro dont deux via une passe décisive de Paulo. L’entente entre les deux s’affineraient et ils pourraient tranquillement coexister: Les caractéristiques de l'un et l'autre sont également bénéfique dans le cadre d’une possible alternance impliquant trois attaquants. L'amitié et le sentiment qui les unissent également en dehors du terrain seraient l'ingrédient supplémentaire d'une paire capable de faire rêver les Nerazzurri." Pour Marco Barzaghi, le recrutement est certain "Les chances s’élèvent à 90%, elles sont très élevées mais pas à 100% : Je conserve une prudence de 10%, car tout n'est pas fait ou signé. Ce n'est qu'à ce moment-là que je me donnerai entièrement, car tout peut arriver avec les joueurs en fin de contrat. En fait, nous pouvons même baisser un peu le pourcentage car un démenti est arrivé d'Antun, et la Viale Della Liberazione est irritée par ces rumeurs, vu que l’'entourage du joueur joue pour négocier de meilleures offres." "Il y a aussi beaucoup d'irritation car une telle rumeur avant la rencontre face à Empoli et la Finale de la Coupe d’Italie peut déstabiliser aussi les attaquants actuels de l'Inter. Il faut donc comprendre s'il s'agit de démentis de façade ou si autre chose peut se produire." Javier Zanetti, Diego Milito, Estéban Cambiasso pour ne citer qu’eux, l’Inter et l’Argentine cultivent une histoire d’amour qui n’est pas prête de s’arrêter, qu’en pensez-vous ? ®Antony Gilles – Internazionale.fr
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Les Nerazzurri marquent au fer rouge le Stadium de Turin!
Victor "Antony" Newman a posté un article dans Serie A
Andrea Agnelli devra offrir à l’Inter une étoile pour cette performance : Comme le révèle nos confrères de Fcinter1908.it l’Inter a réalisé une performance historique: Retour de Karma "Grâce à son succès 0-1 au Stadium, sur un penalty signé Hakan Çalhanoğlu, l’Inter est rentrée dans l’Histoire du Stade turinois et dans la mémoire collective Juventine: L’Inter est la première équipe à l’avoir remporté à deux reprises contre la Juve à l'Allianz Stadium. La victoire des Hommes d’Inzaghi arrive quasiment 10 ans après celle d’Andrea Stramaccioni, et ce lointain succès du 3 novembre 2012 et e 1-3 grâce à un doublé de Diego Milito et un but de Rodrigo Palacio." Et une nouvelle cartouche, une ! ®Antony Gilles – Internazionale.fr- 13 commentaires
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