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  1. Il "Cholo" Diego Simeone s’est livré à la Gazzetta Dello Sport à quelques heures de l’EuroDerby Della Madonnina et si il est l’actuel entraineur de l’Atletico Madrid, cela ne l’empêche pas de se livrer sur le Choc des Titans attendu par toute la Botte EuroDerby "A ce niveau, on ne peut pas dégager un favori, ce seront les tout petits détails qui vont compter, même si je me souhaite que l’Inter se qualifie." Vous êtes un Totem à l’Atletico et une Bandiera de l’Inter et de la Lazio : N’avez-vous jamais songé à venir en Italie pour entrainer ? "Oui, et je l’ai fait à Catane et j’y d’ailleurs beaucoup muri dans mon approche pour aborder une équipe, dans mes idées, je ne sais pas encore pour combien de temps je serais entraineur, j’ai 53 ans : Il me reste encore 5 autres années ? Ce qui est évident c’est que notre métier est stressant... Mais je pense qu’il suffit que de quelques jours de repos pour que j’ai à nouveau l’envie de retrouver le terrain, c’est comme une drogue pour nous." "J’ai déjà rencontré aussi des tifosi de l’Inter et de la Lazio qui me demandent de revenir...Qui sait…J’en serai ravi bien évidemment." Almeyda, Sensini, Simeone, Veron, et après le Scudetto Crespo et Lopez: Votre Lazio était très Argentine... "C’est vrai, mais il y avait d’autres joueurs tout aussi fort, c’était une guerre à chaque entrainement: Je me souviens une fois d’un sprint de Mancini, je ne lui avais pas passé le ballon et il était devenu furieux : Je lui avais dit, je n’aurais pas su te trouver en profondeur et lui me répondais : Tu aurais dû faire ta passe dans le dos de la ligne défensive et pas me lancer en profondeur et il avait raison." "Cette phrase m’a marqué à tel point qu’aujourd’hui, je l’enseigne à mes joueurs: Nous n'étions pas tous de grands amis, mais quand on y repense de bons entraîneurs sont sortis de ce groupe. Veron et moi ne nous entendions pas, nous ne nous parlions pas, mais sur le terrain nous nous comprenions. Je pense à la passe décisive sur le but qui nous a permis de battre la Juve à Turin. Un but décisif pour le Scudetto." Après douze saison passées à l’Atletico, avez-vous encore la motivation pour y rester toujours en poste ? "Il me reste encore une autre année de contrat, on verra ce qui se passera : Je trouve la motivation car dans un tel club, les joueurs changent et tu dois toujours adapter la façon d’évoluer sur le terrain, et le football change constamment." En quel sens ? "La nouvelle génération est différente et la façon de l'entraîner et de l'amener sur le terrain change également: Je pense à Godin et à cette génération de joueurs avec laquelle nous avons gagné il y a quelques années à l'Atlético : Aujourd'hui, ils seraient dépassés, non seulement en termes d'âge, mais aussi en termes de comportement sur le terrain. Tout va plus vite. Et en tant qu'entraîneur, je dois aussi me mettre à jour et évoluer dans mes méthodologies." Diego Simeone peut-il devenir le "l'Alex Ferguson" de l’Atletico selon vous ? ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  2. L'entraîneur de Brighton et Hove Albion, Roberto De Zerbi, est le favori du PDG de l'Inter, Beppe Marotta, pour remplacer Simone Inzaghi la saison prochaine. Ceci selon le média italien Gazzetta.it , qui rapporte que l'entraineur actuel de Brighton, âgé de 43 ans, est l'homme que les Nerazzurri poursuivront cet été. La fin de l'aventure avec le coach italien est devenue plus que probable! Inzaghi n'est pas encore parti de l'Inter, même si la défaite de samedi soir contre la Fiorentina en Serie A est très proche d'être la goutte d'eau. Si l'entraîneur ne parvient pas à renverser la vapeur lors des trois prochains matches des Nerazzurri, comme le rapporte la Gazzetta, il pourrait bien être limogé entre les deux matches du quart de finale de la Ligue des champions contre Benfica, afin de provoquer une réaction et tenter de sauver la saison. Cependant, même si Inzaghi doit rester jusqu'à la fin de la saison, le fait que l'équipe ait maintenant perdu dix matches dans les différentes compétition rend très, très probable que l'ancien entraineur de la Lazio soit limogé pendant l'été. Selon la Gazzetta, l'entraîneur de Brighton, De Zerbi, serait l'homme que l'Inter voudrait voir arriver. L'ancien colach de Sassuolo, Benevento et Shakhtar Donetsk est également suivi par Tottenham Hotspur, qui le considère comme l'une des principales alternatives à l'ancien entraineur du Bayern Munich et du RB Leipzig Julian Nagelsmann et Thomas Frank de Brentford. Cependant, les Nerazzurri seraient prêts à suivre l'entraineur de 43 ans, car il est considéré comme le meilleur candidat pour remplacer Inzaghi par le PDG Marotta. Il faudrait payer une clause libératoire dans le contrat de De Zerbi avec Brighton pour s'assurer les services de l'entraîneur italien, et ce ne serait pas tout à fait simple pour l'Inter compte tenu de sa situation financière. Cependant, les Nerazzurri seraient prêts à bouger pour lui. Pendant ce temps, en arrière-plan se trouvent l'ancien entraîneur des Spurs Antonio Conte et l'actuel entraineur de l'Atletico Madrid Diego Simeone, dont le contrat avec les Colchoneros pourrait être résilié cet été. Selon vous De Zerbi, futur entraineur de l'Inter? Traduction Lindt1908 Via SempreInter
  3. C'est la Révélation de la Gazzetta Dello Sport: "Sans exploit en Ligue des Champions, où les Nerazzurri affronteront Benfica en quarts de finale, le sort de l'entraîneur de Piacenza semble déjà être scellé. Même une place dans le Top 4 de la Serie A et une qualification pour la prochaine Ligue des Champions ne lui suffiront pas pour éviter d'être licencié." "Avec 9 défaites en 27 matches de championnat, tout porte à croire que l'Inter et l'entraîneur de Piacenza se sépareront en juin. Mais plus que tout, la candidature de Roberto De Zerbi est la favorite de Giuseppe Marotta, Piero Ausilio et Dario Baccin suivi de celle de Thiago Motta, admiré pour sa croissance ces dernières années, mais il y a aussi celles de Diego Simeone et d'Antonio Conte." "Antonio a très mal rompu avec le Monde Nerazzurro: Il ne croyait plus au projet de Suning et il a refusé de rester pour cause de réduction d'effectifs tout en empochant 14,3 millions bruts d'indemnités de départ, une somme valide pour lui et son staff au moment d'acter son départ." "Même si l'on "oublie" Marotta, Ausilio et Baccin, est-il vraiment possible que Steven Zhang réengage Conte après cette rupture de confiance qu'il a reçu au printemps 2021 ? Et surtout, Conte accepterait-il de travailler dans une équipe de l'Inter qui a encore de grandes ambitions, mais qui n'a plus cette capacité d'investir comme à l'été 2019" ®Antony Gilles - Internazionale.fr
  4. Lors de Bobo TV et toujours avec son ton mesuré et dans la langue de bois, Antonio Cassano s'est exprimé sur le travail d'Inzaghi et de Marotta chez les Nerazzurri. Il a également évoqué deux noms possibles pour remplacer Inzaghi. Musique maestro ! "Le plus gros problème, c'est l'entraîneur ! Vous gagnez contre Porto et Milan parce que les joueurs se motivent. L'entraîneur n'est pas prêt à entraîner une équipe forte pour gagner. Il a beaucoup de défauts, il lui manque toujours quelque chose. Il a un standard pour sa façon de jouer. La Juve et l'Inter sont de loin les équipes les plus fortes. Inzaghi a une Ferrari en main et la fait passer en seconde alors que Spalletti a une Audi et fonce à toute vitesse. Maintenant, Inzaghi continue de prendre un chemin qui ne mène nulle part. Calhanoglu ne l'a pas découvert, Inzaghi, mais nous ici. Il est incapable de motiver, de donner quelque chose de plus. Dans le football moderne, l'entraîneur doit donner quelque chose de plus. Le vent la pluie, nous ne sommes pas concentré, c'est des conneries tout ça. Marotta, il devrait éviter de parler ! Il dit des conneries ou Juin arrive et lui donne le feu vert pour qu’il se casse ! Je ne peux pas penser qu'il gagne une autre Coppa Italia et qu’on parle d'un chemin positif. L'année dernière, il a perdu le Scudetto contre Milan, cette année contre Naples. S'il m'apporte la Ligue des champions là, et seulement là, je ne le changerai pas. Sinon, il est renvoyé. Il ne sait pas comment coacher une grosse équipe pour gagner. Conte gagne là où il va, Mourinho, Simeone font de même." "Le gros problème de l'Inter ne peut être attribué qu'à l'entraîneur, c'est le plus gros problème. La première année tu as perdu d'un point et il pourrait y avoir, cette année, une catastrophe hallucinante, en Février à -18. Nous ne plaisantons pas. Soit gagner la Ligue des champions, soit au revoir et merci. Je ne peux pas penser que mon équipe a 7 défaites. La Sampdoria ne marquant pas, même pas avec ses mains, ils ont fait 0-0, ils ont fait match nul contre Monza, ils ont perdu contre Empoli à domicile, Bologne lui a donné une tête comme ça. S'il devait quitter la Ligue des champions, Inzaghi devra sortir." "Il y a tellement d'entraîneurs que vous pouvez prendre. L'Inter veut changer de cap ? De Zerbi où es-tu à Brighton ? J'arrive en avion. Tu ne veux pas venir ici ? Je vais à Florence pour prendre Italiano. L'inter n'essaye pas de gagner, quand ils gagnent c'est parce qu'ils sont plus forts. Pas le bon entraîneur pour faire un cycle gagnant. Si vous perdez le scudetto d'un point avec la Juve, ça va. Si vous le perdez contre Milan et Napoli qui sont inférieurs, tout change. Ce n'est pas un entraîneur qui peut continuer avec l'Inter. Marotta et Inzaghi hors de mes couilles. Si j'étais président de l'Inter, je gicle Marotta puis Inzaghi. J'ai pris un risque avec Inzaghi et j'ai été nul, pourquoi ne devrais-je pas prendre de risque avec De Zerbi ?" Traduction alex_j via FCInterNews et Sempreinter.
  5. Selon le site espagnol TodoFichajes, lors de la dernière Coupe du monde, l'Inter Milan a tenu une réunion informelle avec Simeone. Toujours selon le site, cette réunion aurait été provoquée pour évaluer la possibilité que Simeone prenne en charge l'Inter la saison prochaine. Malgré notre deuxième place en Serie A, nos performances sont irrégulières et notre direction sportive pense qu'un changement de cap s'imposerait. Diego Simeone n'a jamais caché son amour pour notre club qu'il a défendu par le passé en tant que joueur. Maintenant, il pourrait retourner dans la capitale lombarde en tant que manager de l'Inter. Avec un contrat en vigueur jusqu'en juin 2024 avec l'Atlético de Madrid, il est de plus en plus remis en cause et les premiers mécontentement, aussi bien de de la presse que des supporters, commencent à se faire entendre. L'Atletico occupe actuellement la 4e place de la Liga et ont déjà été éliminés en Ligue des champions. Ainsi, s'ils ne se qualifient pas pour la prochaine édition, le conseil d'administration n'aura d'autre choix que de consommer le licenciement. Cela ouvrirait pleinement les portes de l'Inter à Simeone. Traduction alex_j via Sempreinter.
  6. Présent en compagnie de Javier Zanetti à la Coupe du Monde au Qatar, mais sans son Chili, ni l’Italie, Ivan Zamorano s’est livré à la Gazzetta Dello Sport Au cours de vos cinq saisons à l’Inter, vous êtes parvenu à rentrer dans le cœur des Tifosi... "Mais eux sont dans le mien, j’ai vécu à l’Inter une expérience fantastique, j’y ai vécu les meilleurs années de ma carrière. L’Inter est une équipe spéciale dans laquelle je me suis toujours reconnu pour une question caractérielle: Nous partagions tous les deux de la Grinta, nous n’abdiquons jamais." Impossible de résumer en deux lignes tant de souvenirs, mais nous vous le demandons... "Beaucoup de chose me viennent en tête : L’Histoire du 1+8 sur le maillot, la Coupe de l’UEFA gagné à Paris face à la Lazio, le Scudetto que l’on nous a volé en 1998." Comment étaient vos rapports avec Ronaldo ? "Ils étaient et sont optimaux : Nous sommes toujours un Chat WhatsApp avec il Fenomeno, Zanetti, Pagliuca, Simeone, Colonnese, Taribo West. Nous nous appelons, échangeons nos opinions. J’ai vécu de si belles années dans ce groupe Nerazzurro, nous étions uni et nous allions tous dans la même direction." A quel point, dans ce Chat, vous manque le Grand Simoni... "Gigi s’en est allé mais il restera dans notre cœur à tous : C’était un seigneur, un Homme de football fantastique, on ne pourra jamais oublier son style." Bam Bam ! ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  7. Massimo Moratti a accordé une longue interview au Corriere della Sera et revenu sur sa vie, l’Inter de son père, le Calciopoli et certains joueurs emblématiques. Massimo Moratti, vous êtes né trois semaines après la fin de la guerre. Quelle est votre premier souvenir? "Un matin, j'avais quatre ans. Je sentais que c'était un jour important. Et mon frère Gian Marco allait à l'école avec une chaussette rouge et une autre bleue." Distraits. "Joyeux. Nous étions une famille joyeuse. Papa travaillait toute la journée, mais tous les soirs on se retrouvait à écouter la radio : Franca Valeri, Alberto Sordi…" Comment était ton père Angelo ? "Fantastique. Je n'ai jamais, de toute ma vie, trouvé un homme à son niveau. Et toute ma vie j'ai essayé de l'imiter; même en sachant que c'était impossible. Brillant, charmant, plein d'esprit, sympathique, humainement très riche... " Pas seulement humainement. "Mais c'est venu de la pauvreté. Mon grand-père avait la pharmacie de la Piazza Fontana à Milan. Mon père a quitté la maison à 14 ans, sa mère était morte, et il ne voulait pas vivre avec sa belle-mère, aussi dure que celle des contes de fées." Il y avait cinq enfants dans la maison : outre toi et Gian Marco, trois sœurs. "Notre mère Erminia était aussi une personne joyeuse. Elles plaisantaient tout le temps avec papa. Ils s'aimaient." Comment était Milan dans les années 50 ? "Encore à moitié détruite. Imaginez. Mais nous savions que l'avenir serait meilleur que le présent." Pour qui les Moratti ont-ils voté ? "Démocrates. Nous étions antifascistes et anticommunistes." N'y avait-il vraiment rien de mal à cela ? "Il y avait quelque chose qui n'allait pas. Nordahl." L'avant-centre milanais ? "Grand, grand, imparable. J'avais physiquement peur de lui. Je l'ai vu au San Siro et j'ai rêvé de lui la nuit. Nordahl était l'homme noir de mon enfance." Alors ton père a acheté l'Inter. "Mais on est allé le voir avant. Je me souviens du 6-5 du derby de 1949. Au stade, il y a eu une bagarre, des chapeaux ont volé." Quel était votre footballeur préféré ? "Benito Lorenzi, dit Veleno. En dehors du terrain, il était très gentil car il s'occupait des enfants de Valentino Mazzola, Sandro et Ferruccio. Mais sur le terrain, ça devenait terrible. Il provoquait la foule avant et après avoir marqué. C'est Lorenzi qui a surnommé Boniperti Marisa, malgré ses amis. Boniperti était très en colère." Le footballeur le plus fort que vous ayez jamais vu ? "Je vais vous en dire deux : Angelillo et Ronaldo. Deux histoires parallèles. Comme Herrera et Mourinho." C'est-à-dire? "Angelillo était une pure classe. Il a fait un championnat extraordinaire, avec 33 buts. Puis il est tombé éperdument amoureux d'une chanteuse, et s'est perdu. Nous l'avons vendu et avec le produit nous avons acheté Luisito Suarez : très intelligent." Et Ronaldo ? "Il est venu me voir quand il jouait pour le PSV, avec une petite amie néerlandaise... Quand il est arrivé à l'Inter, il était le joueur le plus fort du monde. Après les blessures, il n'est jamais revenu à ce niveau." Senti trahi lorsqu'il est allé au Real Madrid, après que l'Inter l'ait attendu ? "Non. Je m'étais identifié à lui, dans sa douleur. J'ai trouvé juste qu'il veuille changer, après avoir tant souffert." Herrera, comment l'as-tu trouvé ? "Un journaliste de la Gazzetta dello Sport nous l'a rapporté, je pense Franco Mentana, le père d'Enrico. Le Magicien et Mourinho avaient beaucoup de choses en commun." Quoi? "Ils ont beaucoup travaillé et étudié. Ils connaissaient la psychologie et la médecine. Quand José est arrivé, notre médecin a dit : enfin un coach qui m'aide." Brera dit que Herrera s'est également servi de certaines tablettes dans les vestiaires... "Brera a plaisanté. Mon père ne l'aurait jamais permis. Et le Magicien avait beaucoup de respect pour mon père, presque de la crainte." En 1964, l'Inter remporte sa première Coupe d'Europe. "A la première participation. En battant le Real Madrid 3 à 1, qui a toujours gagné. Mais Herrera a mis Burgnich sur Di Stefano et Tagnin sur Puskas... Une joie indescriptible." L'année suivante, il remporte la Coupe à San Siro, but de Jair. "Il pleuvait, le ballon est passé sous le ventre du gardien de Benfica. C'est aussi un moyen de gagner." Qui était ton héros ? "Mariolino Corso. Jamais vu un ailier avec une telle classe. J'ai adoré Recoba parce que j'ai vu l'imprévisibilité de Corso en lui." Mais ensuite, l'Inter l'a vendu. "Et mon père a acheté Cagliari quand il a appris qu'il était sur le point de vendre Riva à la Juve. Le lendemain matin, les dirigeants sardes ont informé Agnelli que l'affaire ne pouvait plus être conclue: le club avait un nouveau propriétaire. L'avocat n'a même pas demandé qui il était. Il a compris." Et Cagliari remporta sensationnellement le Scudetto. "Avec Domenghini que l'Inter avait vendu pour Boninsegna." Que s'est-il passé le 5 mai 2002, la défaite face à la Lazio qui vous a coûté le Scudetto ? "Les joueurs ont cru avoir reçu des signaux de leurs collègues de la Lazio, ils ne se seraient pas engagés pour ne pas favoriser la Roma. Mensonges ! J'en étais convaincu avant même le coup d'envoi, et je les ai prévenus : ‘Personne ne nous donnera rien.’ Pourtant, ils sont entrés sur le terrain avec une confiance excessive. Et ils n'ont jamais réussi à prendre le jeu en main. Je me sentais tellement responsable que je me suis dit : ‘Je ne quitterai pas le football avant d'avoir une revanche.’ " Sur le terrain, il y avait Cholo Simeone. "Et il a marqué contre nous. Grand combattant." Votre avant-centre était Bobo Vieri. "Un anticonformiste, toujours critique du management; mais pas un mauvais garçon. À l'Inter, il a fait tout ce qu'il pouvait faire; pourtant il n'a rien gagné." Puis vint Ibra. "Très beau. J'avais l'habitude de consulter les joueurs les plus importants pour la campagne de transfert, et avec Zlatan, nous avions un rituel. Il me disait: ‘On pourrait même se passer de Cambiasso l'année prochaine...’. Je rigolais. Ensuite, j'allais chez Cambiasso qui me disait: ‘L'année prochaine, autant se passer d'Ibra...’" Ibra et Cambiasso ne s'aimaient pas. "Mais sur le terrain, ils se donnaient à mort l'un pour l'autre." Et dans l'affrontement entre Ibra et Lukaku, avec qui seriez-vous rangé ? "Cela ressemblait à un match de boxe entre deux champions du monde. Lukaku est un trésor... Je me serais placé entre les deux, au risque d'en prendre une des deux." Mazzola a déclaré qu'il avait quitté l'Inter parce qu'elle avait consulté Moggi. "Ça ne s'est pas passé comme ça. C'est vrai que Moggi voulait venir à l'Inter, et je ne lui ai jamais dit explicitement que je ne voulais pas ; mais je ne l'aurais jamais pris." Pourquoi? "Parce que la Serie A a été manipulée; et nous étions les victimes. La Juve devait gagner; et si la Juve n'a vraiment pas gagné, c'était au tour du Milan. Dommage : car la plus grande forme de malhonnêteté est de tromper les sentiments des gens." Facchetti était en charge de l'Inter. "Un homme splendide. Une fois, je lui ai dit: ‘Giacinto, est-il possible que tu ne puisses pas trouver un arbitre, un seul, prêt à nous aider, à leur place?’. Il a répondu: ‘Vous ne pouvez pas me demander une telle chose’." La Juve a remporté deux championnats et un lui a été attribué. Le revendiquez-vous ? "Absolument oui. Je sais que les joueurs de la Juventus se fâchent. Cela m'amène à le revendiquer avec plus de conviction. Ce scudetto était la compensation minimale pour les vols que nous avons subis. Cela vaudrait beaucoup plus." Puis vinrent les championnats de Mancini et Mourinho. Comment avez-vous choisi Mou ? "En écoutant une de ses interviews télévisées, entre une demi-finale et une autre de la Ligue des champions 2004. Son Porto avait fait match nul avec le Deportivo La Corogne, le retour a été très difficile. Et il a dit : ‘Mais en tant que Deportivo, je pense déjà à la finale.’ J'ai beaucoup aimé sa bravade." Et ce fut le triplete : championnat, Coppa Italia, Champions. "Mission accomplie. J'étais fier que la même famille ait remporté la Coupe près d'un demi-siècle plus tard. Pour la première fois, je me sentis digne de mon père même s'il reste inaccessible. Aujourd'hui encore, il m'arrive de trouver des gens qui me parlent de lui, qui lui doivent quelque chose." Combien d'argent l'Inter vous a-t-elle coûté toutes ces années ? "Vous ne pouvez pas me demander cela. Je ne sais pas, et je ne te le dirais pas. Le football n'est pas une entreprise ; c'est passionné. Et les passions n'ont pas de prix." Maintenant, l'Inter est chinoise, peut-être pour un peu plus longtemps. "Les Zhang, à la fois le père et le fils, m'ont toujours semblé de bonne foi. Au début, ils m'ont demandé de parler aux joueurs, de les motiver. Mais aujourd'hui, il est impossible de tenir longtemps dans le football. Les pertes doublent ou presque doublent chaque année : 50 millions, 100 millions, 150 millions…" Comment cela finira-t-il ? "Peut-être qu'un fonds américain viendra. Mais attention aux spéculations. Le football n'est pas fait pour gagner de l'argent. Les Américains aimeraient en faire un spectacle. Show-business. Mais je ne sais pas si ce sera un jour possible en Italie." Qui remportera le championnat ? "Cela pourrait vraiment être l'année de Naples. Milan fait aussi peur. L'inter a une structure solide mais ensuite elle se perd au plus beau." Que pensez-vous de Berlusconi? "Je le considère comme un ami. En tant qu'entrepreneur, je le respecte beaucoup." Et en tant qu'homme politique ? "Je ne voudrais pas perdre son amitié." Est-il vrai que vous avez refusé de vous présenter à la mairie de Milan ? "Oui, trois fois. Et peut-être que j'avais tort. C'est un peu un regret. J'aurais bien aimé." Quand est-ce arrivé pour la première fois ? "En 1993. Je suis allé demander conseil au Milanais que j'estimais le plus." Qui? "Cardinal Martini. Une personne merveilleuse. Il m'a déconseillé." C'est la dernière fois ? "Le chef du Parti démocrate était Veltroni. Cette fois, le cardinal Martini m'a dit d'accepter. Pourtant j'ai abandonné, même si je me sentais coupable." Pourquoi ? "J'ai pensé à mes cinq enfants. Auraient-ils préféré un papa maire, ou un papa qui leur a appris un métier, qui leur a laissé une entreprise ? Et puis je n'ai pas voulu profiter de la popularité acquise grâce à l'Inter." Comment avez-vous rencontré votre femme Milly ? "Alla Capannina. Elle était belle. Je l'ai invitée à danser. C'était en 1966, elle avait vingt ans mais elle faisait plus jeune. Nous nous sommes mariés en 1971, nous avons toujours tout partagé. Sauf pour une chose." Qui est? "Quand j'ai acheté l'Inter, je n'ai rien dit. Elle l'a appris à la télé. J'ai donné l'ordre de bloquer les ascenseurs car j'avais peur qu'elle monte pour m'arrêter. Puis je suis allé à la maison. Je n'ai trouvé personne. J'ai trinqué avec la serveuse." Comment trouvez-vous Milan aujourd'hui ? "Toujours la meilleure ville au monde pour travailler". Pourquoi? "Parce qu'ils fonctionnent tous. Et parce que les Milanais ont le sens de la participation. Comme quand ils ont nettoyé la ville maculée par les black-blocs en un après-midi." Et le nouveau stade ? "Ne me convainc pas. Détruire San Siro serait un crime. On dit : ‘donc les clubs gagnent 30 millions par an.’ Mais que sont 30 millions par rapport à l'histoire ? Vous verrez qu'à la fin personne n'osera démolir notre temple." Traduction alex_j via Le Corriere della Sera.
  8. A quelques heures de Fiorentina - Inter, voici un résumé du match Inter - Fiorentina joué la 3eme journée, Dimanche 21 Septembre 1997. Le score final de 3-2 reflète bien le match qui fut engagé. Le texte a été rédigé par de Bilal Mirza travaillant pour SempreInter. L'Inter a commencé la saison 97/98 avec un nouveau manager en la personne de Luigi Simoni, après le départ de Roy Hodgson cet été. Pour renforcer l'équipe, l'Inter a ajouté une galaxie de star avec les achats de Francesco Moriero, Alvaro Recoba, Diego Simeone et un certain attaquant brésilien nommé Ronaldo. Avant le match très attendu de la troisième journée contre Gabriel Batistuta engagé à la Fiorentina, l'Inter a pris le départ pour commencer sa nouvelle campagne avec Recoba marquant un premier doublé pour battre Brescia et le duo Ronaldo-Zamorano emmenant l'équipe devant un Roberto Baggio menant Bologne. Donc, deux victoires dans la musette. Après une saison décevante l'année précédente, la Fiorentina a commencé sa saison avec Batistuta portant l'équipe sur son dos et menant la charge, marquant cinq des six buts lors des deux premiers matchs, obtenant un triplé et un doublé; rien que ça. Alors que les deux équipes cherchaient à poursuivre leur bon début de saison, le Meazza bourdonnait d'excitation ! Simoni avait aligné les Nerazzurri dans une formation 4-5-1 avec Gianluca Pagliuca dans les buts, Giuseppe Bergomi, Fabio Galante, Taribo West et Luca Mezzano en défense. Javier Zanetti, Youri Djorkaeff, Salvatore Fresi, Diego Simeone et Maurizio Ganz au milieu de terrain et Ronaldo comme seul attaquant. De l'autre côté, Alberto Malesani a fait installer la Fiorentina avec une défense à trois composée d'Andrea Tarozzi, Aldo Firicano et Giulio Falcone devant le gardien Francesco Toldo. Au milieu de terrain pour la Viola se trouvaient Andrei Kanchelskis, Sandro Cois, Rui Costa, Michele Serena et le trident offensif d'Anselmo Robbiati, Gabriel Batistuta et Luis Oliveira pour compléter la formation 3-4-3. Au coup d'envoi du match, les deux équipes se méfiaient de la menace imminente posée par Ronaldo et Batistuta alors qu'elles adoptaient une approche prudente et méthodique de leur attaque. Construire lentement le jeu depuis l'arrière et attaquer par les ailes de chaque côté et jouer occasionnellement de longs ballons pour trouver leurs attaquants en perforant la haute ligne défensive. C'est la Viola qui a failli marquer en premier lorsque Kanchelskis a reçu un long ballon du milieu de terrain et s'est placé derrière Taribo West sur l'aile droite, faisant la course en avant et a passé le ballon vers le centre de la surface vers Batistuta. Batigol l'a reçu, étant non marqué l'a frappé à la volée, a battu Pagliuca mais a été repoussé par la barre transversale pour maintenir le score à 0-0. L'Inter essayait continuellement de trouver des moyens de passer le ballon à Ronaldo qui semblait parfois imparable, courant vers la défense de la Fiorentina en dribblant devant autant de défenseurs que possible. La Viola faisait tout ce qu'elle pouvait pour l'empêcher de passer, n'ayant souvent pas d'autre choix que de faire des faute pour l'empêcher d'obtenir un tir au but. Les deux équipes se battaient pour la possession, jouant méthodiquement, mais physiquement. À une de ces occasions, Kanchelskis a été blessé, blessure résultant d'un tacle très, très dur de West. Cela a conduit Malesani à effectuer un remplacement et à faire entrer Stefano Bettarini. Taribo West a eu beaucoup de chance de ne recevoir qu'un carton jaune pour un tacle dur, quasiment un ciseau, qui a blessé un joueur sans réellement jouer le ballon. À l'approche de la mi-temps, les deux équipes semblaient se diriger vers l'intervalle à 0-0. Cependant, Ronaldo a réussi à sortir de l'impasse juste avant la mi-temps, lorsque Simeone a pris la défense de la Fiorentina au dépourvu et a joué un ballon parfaitement dosé à Ronaldo entre les deux défenseurs centraux. Le ballon a roulé devant Toldo et dans le filet pour donner à l'Inter une avance de 1-0. Cependant, l'Inter n'a pas été devant longtemps, alors que le jeu reprenait, la Fiorentina a joué le ballon vers l'aile droite pour Oliveira qui a passé le ballon vers le bord de la surface pour Serena. L'arrière gauche de la Viola a reçu le ballon et l'équipe a étiré la défense pour créer suffisamment d'espace pour qu'il puisse déclencher une frappe du pied gauche qui a battu Pagliuca, dans le coin supérieur gauche du but. Score de 1-1 à la mi-temps. Lorsque le jeu a repris en seconde période, l'Inter avait remplacé Maurizio Ganz sur l'aile droite par le nouveau venu Francesco Moriero. La Fiorentina a frappé peu après la mi-course lorsque Mezzano a tenté de renvoyer le ballon à Pagliuca. Malheureusement, il n'a réussi qu'à le jouer directement pour Batistuta qui a battu les deux défenseurs et a dribblé Pagliuca se précipitant à sa rencontre pour marquer dans le but vide, filet opposé. Les visiteurs obtiennent une avance de 2-1. Ayant déjà encaissé un but en raison d'un jeu bâclé, l'Inter a failli encaisser un troisième but après avoir de nouveau retourné le ballon sur le bord de la surface, cette fois par Taribo West; il poussa trop son ballon. Batistuta a intercepté le ballon et a tenté un enroulé devant Pagliuca dans le coin supérieur droit. Mais il a de nouveau été repoussé par la transversale. La Fiorentina semblait contrôler le match et menaçait de creuser l'écart avec son capitaine en pleine forme. L'Inter a continué à chercher l'égalisation et a fait venir des renforts du banc. Zamorano a remplacé Simeone pour donner une autre arme en attaque. Il a immédiatement fait sentir sa présence. Après un long dégagement de Pagliuca et une passe de Ronaldo, Zamorano contena son défenseur direct et a trouvé Moriero courant dans la surface après avoir battu son vis-à-vis pour obtenir un tir au but. Il plaça le ballon dans le coin inférieur gauche pour égaliser à 2-2 avec plus que dix-huit minutes à jouer. Avec les deux équipes attaquant de chaque côté pour marquer le but vainqueur, il semblait qu'un troisième but pour l'une ou l'autre équipe était sur la table. Oliveira a failli sortir de l'impasse lorsqu'il a dribble deux défenseurs à l'intérieur de la surface pour un tir à bout portant, pour être repoussé par un brillant arrêt réflexe de Pagliuca. Alors que le match touchait à sa fin, l'Inter a réussi à trouver le but vainqueur à la 81e minute lorsque Djorkaeff a fait rebondir le ballon après une interception ou contre d'une passe dédiée à Batistuta; ce n'est pas très clair. Il a reçu le ballon dans ce qui semblait être une position de hors-jeu. Sans défenseur de la Fiorentina autour de lui, il n'avait que Toldo à battre et il a placé le ballon dans le coin inférieur droit. L'arbitre avait à l'origine levé le drapeau pour hors-jeu. Mais le but a été autorisé car la balle déviée était considérée comme une passe en arrière par un joueur de la Viola et ne pouvait donc pas être déclarée hors-jeu. Compte tenu de la nature physique du match, les esprits se sont enflammés des deux côtés lorsque le but a été autorisé. Les joueurs de la Fiorentina et de l'Inter plaident avec véhémence leur cause devant les arbitres. Le match s'est terminé par une victoire 3-2 pour les Nerazzurri et l'équipe a poursuivi son début invaincu de la nouvelle saison et était en bonne voie pour une course au scudetto contre les Bianconeri. Traduction alex_j via Sempreinter, texte de Bilal Mirza.
  9. Tutto Mercato Web nous livre une petite analyse de la situation de Diego Simeone. Le cycle de Diego Pablo Simeone à l'Atletico Madrid terminé ? Net du match nul contre Getafe avec le risque de ne pas se qualifier pour les huitièmes de finale de la Ligue des Champions, telle est la conviction de la direction des Colchoneros après onze années de bons résultats. El Cholo a emporté un club au bord du désastre financier à sa juste place avec les deux finales de la Champions perdues contre le Real Madrid comme apogée d'une histoire qui a également apporté la Ligue Europa et La Liga. Il ne manque que la cerise sur le gâteau consistant à la coupe aux grandes oreilles, mais peut-être que ce train est-il déjà passé. Nouveau cours ? Simeone a un contrat courant jusqu'au 30 juin 2024 et il est l'un des entraîneurs les mieux payés au monde (20 M€ par saison). Il pourrait aussi décider que son expérience en rouge et blanc est terminée. L'an dernier, son contrat contenait une clause de résiliation unilatérale en cas de non-qualification à la Ligue des champions, tant par le club que par lui-même. Puis la qualification est arrivée en terminant troisième au classement. Cependant, il est clair que le président de l'Atletico, Enrique Cerezo, regarde également autour de lui. Le prénom de son remplaçant serait Luis Enrique qui est actuellement sélectionneur de l'équipe nationale espagnole, au moins jusqu'à la Coupe du monde au Qatar. Et l'Inter ? Simeone pourrait aussi s'arrêter un an avec une année sabbatique. Il n'est pas certain qu'une nouvelle direction de l'Inter ne parvienne pas à le mettre dans son viseur. Certains argumenteraient l'impossibilité d'une telle chose compte tenu des salaires de Simeone. Mais avec une nouvelle direction, est-ce si impossible? L'Inter observe la situation, ayant Simone Inzaghi sous contrat, même si tout dépendra du déroulement d'une année moyennement commencée en Serie A et, assez paradoxalement, meilleure en Champions. Mais ça, c'est l'Inter. Traduction alex_j via tuttomercatoweb et Sempreinter.
  10. Interviewé en présence de Fabio Galante sur le canal YouTube de Star Casino Sport, Javier Zanetti s’est livré sur son parcours à l’Inter. Place à l’interview du Capitaine des Capitaines Le Meazza "C’est devenu notre maison pour tout ce que j’y ai vécu, tant de moments inoubliables." Débarquement à Milan "C’était un grand changement pour moi, car en Argentine, je vivais dans la périphérie de Buenos Aires. Lorsque l’on m’a dit que l’Inter m’avait recruté…Je ne parvenais pas à y croire, je jouais dans une petite équipe en Argentine…. Faire ce grand saut et prendre l’avion tout seul à Buenos Aires, direction Milan, était une nouveauté pour moi et pour ma famille." "Cela a changé ma réalité mais aussi celle de mon père et de ma mère, je me rappelle d’un déluge universelle sur la Terrasse Martini, c’était mon premier contact avec Milan. Et dès cet instant, j’ai été énormément séduit. Je n’oublierai jamais mon premier match au Meazza : C’était le 27 août, Inter-Vicenza, nous l’avions remporté 1-0 via un but de Roberto Carlos." "On devait jouer le dimanche, mais déjà le vendredi j’avais pris la voiture avec mes parents pour faire un tour au Meazza, je leur avais dit : Regarder, c’est ici que je vais jouer, dimanche, ma première partie, ils étaient si émus." L’idée de génie de Ronaldo "Voici une anecdote : Il y avait une douche solaire dans le vestiaire, c'est-à-dire une lampe car, notre médecin qui était Ronaldo, nous avait dit que ça aidait contre les champignons et les taches sur la peau. Nous n'avions pas remporté le championnat, mais nous étions la plus bronzée (il rit)" Uefa 98 Qu’as-tu dit à Simeone sur ton but ? "De me laisser le ballon, d’habitude, il n’écoutait pas, mais à ce moment-là, il m’a laissé faire et j’ai inscrit un très beau but. C’était une très grandissime émotion pour moi car c’était ma première finale au niveau européen avec l’Inter. En vrai c’était la seconde, car l’année précédente nous l’avions perdu eux penalty." "C’était une sorte de revanche et affronter une équipe italienne, comme la Lazio, au Parc des Princes à Paris, avec toute la tifoserie de l’Inter était très touchant. De ce parcours en Coupe, je me souviens de la fameuse rencontre à Moscou, un vrai champs de patate où Ronaldo semblait se déplaçait de la sorte (il simule un patinage), il avait une telle puissance." Ses adversaires les plus forts "Dans ma carrière, j’ai toujours eu la chance de marquer de très grands joueurs. J’ai dû marquer Messi aussi en demi-finale de la Ligue des Champions, ce n’était pas un client faclie, mais on parle-là de joueurs qui pouvait faire la différence à n’importe quel moment : C’étaient tous des joueurs différents." Le rôle du défenseur "Le football a évolué, avant le défenseur ne devait que défendre et ensuite penser à construire, a présent c’est l’inverse : d’abord la construction, puis la défense." Gigi Forever "C’est difficile de désigner le meilleure entraîneur : Simoni, pour nous a été si important et il me manque tellement, car en plus de ses capacités d’entraîneurs, c’était une très Grande Personne. Il avait vraiment créé un grand groupe Personnellement, je ne peux pas ne pas citer Mancini car c’est avec lui que nous avons commencé à gagner des choses importantes. Et il y a, enfin, Mou pour tout ce qui nous a transmis, il nous a fait comprendre que tout est possible: Il nous a sincèrement bien fait aller au-delà de nos possibilités car cette année 2010 reste et restera inoubliable pour nous les Interistes." Rendez-lui le brassard et sa jeunesse ! ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  11. En effet, si Lauti fait les beaux jours de l’Inter et s’il s’apprête à reformer la redoutable Lula, Il Mundo Deportivo, preuve à l’appui, démontre à quel point l’international argentin était proche de rejoindre l’équipe de Diego Simeone: "En décembre 2017, l’Atletico avait quasiment finalisé l’Affaire Lautaro Martinez : L’attaquant argentin avait rencontré le Directeur Sportif des Espagnols, Andrea Berta, qui s’était rendu en Amérique du Sud pour définir l’opération. Le Toro aurait signé un contrat pour six saisons, qui lui aurait permis de percevoir un total de 12 millions d’euros. Qui plus est le joueur avait réalisé la traditionnelle visite médicale. Mieux encore, l’agent avait confirmé la négociation "faites à 99%"." 1% de chance comme le disait Conte ! "Le tout jusqu’à l’entrée en piste de l'Inter en 2018 : Les Nerazzurri avaient déboursé deux fois plus que les Colchoneros pour s’attacher les services du Toro, le tout grâce aussi à la complicité de Diego Milito." S’il a finalement rejoint les Nerazzurri, les photos du Mundo Deportivo posent tout de même questions : Celles-ci montrent que le numéro 10 de l'Inter en possession de document portant les armoiries de l'équipe madrilène. Ceux-ci avaient-ils réellement été signé…. ? ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  12. Intervenu lors de l’émission "Tutti Convocati", Fabrizio Biasin s’est livré sur le duel milanais à distance à venir Le Scudetto ? "Les espérances sont minimes car les deux équipes peuvent faire un 3 sur 3. Demain, c’est le 5 mai, le jour où Simeone a décidé pour une fois de ne plus être interiste.Qui sait si son fils, Giovanni, ne décidera pas de donner satisfaction à son père." Pensez-vous qu’à vingt ans d’intervalle, le sort du Championnat puisse être décidé par un Simeone ? ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  13. C’est l’information de la journée relayée par Tuttosport : "Ceux qui le connaissent sont convaincu que Paulo Dybala veut rester en Italie, également pour prendre sa revanche sur la Juventus, même si les sirènes en provenance d’Espagne, d’Angleterre et de France sont fortes." "Et il est probable que Dybala, au-delà des offres économiques, choisira l’équipe qui lui garantira non seulement un meilleur espace, mais surtout un rôle de protagoniste, comme celui qui l’avait lors de ces dernières années à Turin, avant de se le voir retiré aussi bien par Cristiano Ronaldo que dernièrement par Dusan Vlahovic." "L’Inter, en ce sens, pourrait être la meilleure destination pour une possible Vendetta sportive sur la Juve et pour une position de leader technique mais les pièges sont nombreux pour Giuseppe Marotta, l’Administrateur-Délégué Nerazzurro, qui l’avait amené à Turin lorsqu’il était un jeune talent prêt à exploser." "En parlant de courtoisie, il ne faut pas oublier que Diego "Il Cholo" Simeone est un estimateur de longue date de Dybala. En ce sens, Simeone, pourrait également pousser la signature de Dybala à l’Inter, étant donné que le nom chaud pour l’Atletico Madrid est celui de Lautaro Martinez." "Lautaro Martinez dont son futur à l’Inter est inextricablement lié à l'arrivée de Joya." ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  14. C’est une révélation de la Repubblica : "L’objectif Numéro Un de Diego Simeone pour renforcer son attaque se nomme Lautaro Martinez." "D’un côté la vente de l’argentin, en plus de celle "quasi inévitable" de Stefan De Vrij en Premier League permettrait à l’Inter d’obtenir les fonds nécessaires pour se lancer sur Gianluca Scamacca et Davide Frattesi, mais il pourrait également offrir libérer la place nécessaire à l’éventuelle arrivée de Paulo Dybala. "Simeone a déjà parlé avec son club de l’importance et de l’exigence d’arriver à enrôler Lautaro Martinez. Dans la tête du "Cholo", il complèterait le trident idéal composé de Joao Felix, Lautaro Martinez et Correa. Le propriétaire de l’Atletico est disposé à satisfaire son entraîneur, mais il ne voudrait pas dépenser les 60 millions d’euros exigés par l’Inter pour laisser partir Martinez." "L’alternative reste Paulo Dybala, une hypothèse fascinante aussi bien d’un point de vue économique que de personnalité, mais la priorité, en ce moment de Simeone, reste le Toro de l’Inter." ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  15. La presse italienne s’st intéressée à la renaissance débutante de Lautaro Martinez, qui en ce mois de mars semble retrouver de sa superbe…Est-ce dû à l’arrivée du Printemps ? Selon Il Giornale, "Anfield a définitivement rendu à l’Inter, le Martinez utile pour l’envolée Scudetto : Des trois buts inscrits à la Salernitana en passant par le Chef d’œuvre de Liverpool, le Toro d’Inzaghi a en quatre jours, mis un terme à deux mois d’abstinence, d’angoisse devenant le but. Mais ce qui compte, c’est avant tout la confiance de l’entraineur et, sous ce point de vue, Inzaghi ne s’est jamais caché, alors que d’autres ne se seraient pas caché. Les buts sont comme de la vitamine pour le Scudetto, en sachant que déjà ce dimanche, un faux pas sera interdit." Pour la Gazzetta Dello Sport, Lautaro met tout le monde d’accord "Un but en Ligue des Champions qui lui faisait défaut novembre 2020, soit 490 jours…avec une flèche enflammée à l’extérieur de la surface qui a surpris Alisson et a effrayé Liverpool : Dans ce but, cette frappe de l’extérieur qui est allé en pleine lucarne, on retrouve toute l’envie de Lautaro Martinez, son cri au monde du football confirmant qu’il est bien de retour dans un stade réduit au silence. L’Inter a retrouvé son étoile la plus attendue, comme si ce tir était un message à ses détracteurs, un but destiné à mettre un terme aux rumeurs du mercato, un joyau qui semblait vouloir dire : Je suis toujours le Top Player de l’Inter." "La cure apporté par Inzaghi a fonctionné, Simone l’a toujours valorisé et Lautaro a commencé fort la saison, démontrant être prêt à reprendre le rôle de premier ordre laissait vacant par Big Rom. Si en championnat les prestations étaient convaincantes, en Europe, les soirées continuaient à lui laisser de l’amertume, sans oublier que le feeling avec Edin Dzeko était en courant alternatif, c’est pour cela que l’un ou l’autre marquait...au moins jusqu’à la fin de l’année 2021." "Cette nouvelle année, le Toro s’était éclipsé malgré la prolongation de son contrat qui certifiait son nouveau statut d’Etoile de l’équipe. Après le sursaut en Super Coupe d’Italie, Lautaro avait disparu des écrans radars des buteurs, alors que Simone a continué à faire du cocooning, et à chercher à faire en sorte qu’il retrouve sa sérénité." Une nouvelle approche tactique "Inzaghi lui a offert la possibilité d’être plus proche du but, en le convaincant d’éviter ce travail supplémentaire de mettre de la pression loin du but, afin d’épargner son énergie et de retrouver la lucidité, là où cela compte le plus. Le soutien de sa famille a été fondamentale, qu’il s’agisse d’Agustina et de sa fille Nina ou du Sélectionneur National Argentin Lionel Scaloni, qui l’a convoqué à plusieurs reprise et confirmé dans un rôle de leader en vue de la Coupe du Monde programmée au Qatar en fin d’année." A présent, Lautaro est à la poursuite de deux objectifs Surclasser son record de but sur une saison : 21 Apporter sa griffe sur le Scudetto de la Stella un objectif qui lui ouvrirait directement une place parmi les plus grand dans l’Histoire de l’Inter Le Saviez-Vous ? Malgré sa période de disette et depuis toujours Diego Simeone reste sous le charme du Toro: "Il a toujours été le premier choix pour l’Atletico, Diego Simeone est fou amoureux de lui et ne se cache plus depuis longtemps…Qui sait si d’autres entraîneurs raisonnent comme lui." conclu la Rosea ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  16. Dans une interview donnée à Tuttosport, l''ancien coach de la Lazio Sven Goran Eriksson a exprimé son admiration pour le travail de Simone Inzaghi à l'Inter et à la Lazio dans le passé. Eriksson suggère qu'Inzaghi pourrait devenir un aussi bon coach que l'entraineur de la sélection Italienne Roberto Mancini et celui de l'Atletico Madrid Diego Simeone, tout deux ayant évolué en même temps sous les ordres d'Eriksson à la Lazio. "C'est un jeune entraineur et il peut facilement devenir comme Roberto Mancini ou Diego Simeone. Je nomme ces deux là car Inzaghi a joué avec eux à la Lazio et il peut certainement suivre leur chemin." Si il pensait que Simone deviendrait entraineur après sa retraite en tant que joueur: "Non. Je n'y pensais pas à l'époque car il était vraiment très jeune. Simone a poursuivis sa carrière pendant plusieurs années, obtenant d'excellent résultats." "Il fait du bon travail. Maintenant ça dépend de lui de continuer sur le bon chemin, avec une équipe très forte." Lors de la confrontation à venir contre la Lazio, la première depuis la prise de pouvoir de Simone, Eriksson espère qu'il recevra un accueil chaleureux de la part des tifosi de la Lazio. "J'espère qu'il recevra beaucoup d'applaudissements. Inzaghi a fait de grande choses avec les Biancocelesti. La vie est comme ça, elle change. Seul Alex Ferguson a vraiment entrainer Manchester United pendant une très longue période." "L'Inter est une de ces équipes en Italie qui historiquement gagne plus. Ce sont les champions actuels, Simone essaiera de triomphé également avec eux." Sven Goran Eriksson pense que l'Inter l'emportera mais préfèrerais que son ancienne équipe remporte les points: "Ce sera un match très intéressant, avec des milliers d'émotions, spécialement pour Inzaghi qui après une vie en tant que Biancoceleste retourne à Rome comme adversaire." "Mon coeur, pour des raisons évidentes, bat pour la Lazio. Mais mon cerveau me fait penser que les Nerazzurri sont les favoris. On verra. Dans tout les cas, j'apprécierais le match à la TV c'est certain." Sur la saison de l'Inter, le Suédois pense que les Nerazzurri peuvent encore gagné le championnat malgré la vente de Romelu Lukaku: "Ils ont vendu un joueur important: Lukaku, qui marque peut importe où il joue. Les Nerazzurri peuvent le faire et répéter l'histoire en remportant le Scudetto." "Mais gardez un oeil sur le Napoli, qui a commencé très fort, et sur le Milan AC qui peut aspirer à des positions importantes." @Internazionale.fr, via Tuttosport - Traduction Trent_FCI
  17. Le Président Steen Zhang n’a pas trop tourné autour du pot : "L’Inter a la nécessité de réaliser une plus-value importante d’ici à la fin de cette session du mercato" le tout en assurant de vouloir "conserver une équipe compétitive" C’est d’ailleurs la raison principale qui est à l’origine du départ d’Antonio Conte qui n’a pas accepté qu’on lui impose des consignes sur ses choix du mercato. Toutefois, grâce au natif de Lecce, des joueurs ont explosé sous les couleurs de l’Inter : Lukaku, Hakimi ou Barella pour ne citer qu’eux ont remporté un Scudetto et ont été finaliste de la Ligue Europa. Mais quel serait l’impact d’une vente d’ Achraf Hakimi et/ou Lautaro Martinez ? Etant donné que Romelu Lukaku est un pilier de l’équipe et que la prolongation du contrat d’Alessandro Bastoni, a déjà écarté deux autres joueurs courtisé par l’Europe Révélation de Calcio&Finanza Débutons par Achraf Hakimi, l’ailier marocain a été recruté, il y a seulement un an en provenance du Real de Madrid. Son transfert avait été retranscrit dans le bilan du 30 juin 2020 : soit 40 40.504.040 euros. En ayant signé un contrat courant jusqu’au 30 juin 2025, sa part d’amortissement est égale à 8,1 millions, cela veut dire qu’en date du 30 juin 2021, la valeur net du joueur sera égale à 32,4 millions. Si l’on prend en considération l’offre du Paris-Saint-Germain, 60 millions d’euros et les exigences de l’Inter, soit 80 millions d’euros, la plus-value varierait entre 27,6 millions et 47,6 millions d’euros. Mais il serait fondamental pour l’Inter de disposer de liquidité pour solder ce que l’Inter doit au Real Madrid. Cette liquidité n’est pas une variable banale pour un club comme l’Inter, qui se trouve confronté à des problèmes de versements des salaires au joueurs. Car S’il est vrai qu’un bilan peut être réglé à des fins comptable par des plus-values qui, parfois ne prévoient pas d’entrée et de sorties financière, mais seulement des échanges, il reste tout aussi vrai que les salaires des joueurs se doivent d’être réglé en liquide, peu importe la source de la caisse La situation est encore plus intéressante en cas de vente de Lautaro Martinez qui fait partie d’un "Mercato" à part vu les chiffres en question en regard au Top Player Dans le cas du Toro, l’Inter refusera toute offre inférieures à 80/90 millions d’euros et selon la presse sportive, l’Inter a déjà refusée une offre estimée entre 40 et 50 millions d’euros en provenance de L’Atletico Madrid de Diego Simeone Si les désirs des Nerazzurri viennent à se concrétiser, l’Inter n’encaisserait pas seulement 80 à 90 millions d’euros nécessaire pour la gestion ordinaire, mais elle réaliserait la meilleure plus-value de son Histoire, qui est actuellement détenu par Mauro Icardi et ses 47,1 millions d’euros. Le cout historique de Lazutaro, arrivé à l’Inter lors de la saison 2018/2019 est équivalent à 28.234.000 euros. Son amortissement annuel est de 5,8 millions d’euros, si celui-ci valait encore 17,4 millions d’euros au 30 juin 2020, il ne "pèsera" plus que 11,6 millions d’euros à dater de ce 30 juin 2021 Avec une vente à hauteur de 80 ou 90 millions d’euros, la plus-value s’avèrerait monstrueuse en culminant à 68,4 ou 78,4 millions d’euros. "Une vente difficilement atteignable pour d’autres joueurs, si ce n’est Romelu Lukaku." Une somme qui pourrait garantir un bon retour de flux financier au Club ®Antony Gilles - Internazionale.fr
  18. En effet, Diego Simeone s’est, à présent, positionné en première ligne pour attirer l’attaquant argentin de l’Inter Révélation de Tuttosport Le risque que Lautaro Martinez se transforme une nouvelle fois comme un tourment lors de ce Mercato est concret, un peu comme cela s’est passé, il y a un an, avec le Fc Barcelone,mais les sirènes proviennent de Madrid. Et si le Real reste toujours une variable à ne pas perdre de vue pour diverses raisons, l’Atletico a lancé ses principaux signaux en direction de Milan pour courtiser l’attaquant argentin. Le facteur Simeone Pour y parvenir, le club a immédiatement l’artillerie lourde, soit Diego Simeone qui a remporté sa seconde Liga, il y a quelques semaines, en état à la tête de l’Atletico. L’entraineur argentin va d’ailleurs prolonger son contrat jusqu’en juin 2024, mais comme cadeau pour cette prolongation, la cerise sur la tortue serait l’arrivée du Toro qui apporterait force et jeunesse dans son secteur "En Espagne, il se dit que le Cholo a déjà commencé à discuter avec le Toro à travers des appels et des messages échangés sur Whatsapp." La position de l’Inter Dès les premiers jours du mois de mai, le Directeur Sportif Piero Ausilio, accompagné d’Alejandro Camano, le nouvel agent de Lautaro, s'est envolé à Madrid afin de prendre connaissance des intentions du Real et de l’Atletico envers le joueur. Les Blancos semblent très intéressé par le joueur, au point d’avoir présenté une offre avoisinant les 90 millions d’euros : 60 millions + le solde de ce que l’Inter devait pour Achraf Hakimi à l’Inter, contre 9 millions d’euros pour le joueur. Mais l’arrivée de Carlo Ancelotti à la tête du club ont changé les visions du club L’intérêt reste vif du côté de l’Atletico qui, jeudi dernier, avait envoyé une délégation à Milan pour débuter une phase de contacts préliminaire avec l’Inter. Pour l’Inter, Lautaro reste intransférable, toutefois, si un club souhaite l’arracher au club, il devra débourser au moins 90 millions d’euros ®Antony Gilles - Internazionale.fr
  19. Le club champion d’Espagne a envoyé l’une de ses délégations, chez le Champion d'Italie, dans le cadre du recrutement de Lautaro Martinez. Révélation de Tuttosport En plus de Simone Inzaghi, l’Atletico Madrid s’est présenté hier à Milan. Une accélération décidée par le nouveau Champion d’Espagne visant Lautaro Martinez, après une tournée exploratrice dans la capitale espagnole de Piero Ausilio et Alejandro Camano, l’agent du Toro et l’agent d’Achraf Hakimi. La position de l’Inter Hier, Marotta, Ausilio et Baccin ont rassuré Simone Inzaghi sur le fait que le noyau restera compétitif et que l’argentin ne partira qu’en cas d’offre considérée impossible à refuser. Ce concept d’offre à un prix : 90 millions d’euros, soit la même somme qui fut évoquée pour Martinez lors des échanges, il y a un an, avec le Fc Barcelone. Cette somme, en temps de pandémie, serait exceptionnelle et il faut se rappeler que l’Inter devra, en cas de vente, en reverser 10% au Racing Avellaneda. En cas de vente l’Inter devrait donc reverser quelques millions d’euros en plus des 25 millions d’euros qui avaient été déboursés lors de son acquisition. Actuellement, Lautaro "pèse" sur les comptes que 11,6 millions d’euros. L’après Lautaro ? Si l’équipe coachée par Diego Simeone vient à faire sauter la banque, Ausilio et Baccin ont coché deux noms pour succéder au numéro 10 Nerazzurro : Luis Muriel qui a été l’auteur de 26 buts la saison dernières, dont 22 uniquement en championnat Donyell Malen qui présente un profil différent du colombien, mais qui rappellerait Lautaro pour son âge (22 ans) Soit un joueur prometteur qui pourrait aussi devenir, dans le futur l’Homme de la plus-value. Le fait qu’il soit représenté par Mino Raiola est, en ce sens, une certitude. Céderiez-vous Lautaro pour 90 millions d'euros ? ®Antony Gilles - Internazionale.fr
  20. C’est l’analyse de Carlo Nesti, journaliste à TuttoMercatoWeb qui a décrit le jeu proposé par l’ancien sélectionneur de la Nazionale. "Plus le futur sociétal est nébuleux et plus l’Inter s’envole au classement : 28 points sur les 30 derniers disponibles. Il y aurait eu un problème si le club manquait d’oxygène et sans présence d’acquéreurs. Ici, bien au contraire, il y a trois prétendants qui sont riches, le scénario est bien plus rassurant." "Entre temps, la façon de jouer des Nerazzurri et la façon dont elle remporte ses matchs fait débat : Il semble que Conte ait trouvé sa juste place entre le Guardiolisme et le Cholisme, soit un Tika Taka et un jeu vertical, je crois que l’Inter est un mix entre quelque chose de temporaire et quelque chose de définitif: Temporaire car l’attitude est pragmatique et directe vu la façon dont l’équipe a remporté ces derniers matchs." "Je pense que les hommes de Conte peuvent ambitionner à des sommets plus élevés en termes de spectacle. D’autre part, le mélange proposé entre Lukaku et Lautaro est définitif, ce sont deux carburateurs (33 buts à eux 2): Personne d’autre ne peut s'en vanter en Italie." Validez-vous cette analyse ? ®Antony Gilles - Internazionale.fr
  21. Interviewé par Calciomercato.it, Sabatino Durante s’est livré sur une anecdote en regard au quintuple ballon d’or et actuel attaquant de la Juve : Cristiano Ronaldo! "L’Inter, durant trois saisons, avait l’exclusivité pour recruter Ronaldo et elle ne l’a pas pris. En août 2003, je suis allé le voir lors de la Finale U-17 en Finlande, j’y ait finaliser la négociation avec Manchester United. L’Inter aurait pût le recruter pour 3,5 millions d’euros, mais elle ne l’a pas fait." Pourquoi l’Inter ne l’a pas recruté ? "Car Oriali et Branca dormaient, c’est Suarez qui l’avait dit à la télévision. La première fois qu’il a remporté le Ballon d’Or je suis allé le demander à Suarez et il m’a confirmé qu’ils dormaient...L’Inter aurait pu le prendre pour 3,5 millions et United l’a recruté pour 18 millions d’euros." L'anecdote Lautaro "Lautaro avait déjà signé pour l’Atletico Madrid, l’Inter est arrivé dans un second temps. Il a rejoint l’Inter, car Simeone s’était énervé avec Berta car il voulait un buteur et pas un second attaquant. Les champions ne rejoignent pas l’Italie…" ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  22. C'est au tour de Francesco Moriero de raconter son histoire et de répondre aux questions de fans qui ont parlé en direct sur Instragram. "Nous sommes enfermés chez nous comme il se doit. Les choses vont bien dans le Salento et nous ne devons pas abandonner. La vente aux enchères avec Miccoli s'est terminée vendredi. J'ai mis aux enchères trois de mes maillots que j'ai portés pour l'Inter et un à mes débuts dans l'équipe nationale. La vente s'est bien déroulée. Nous aidons les familles du Salento pour les produits de première nécessité : nous avons atteint près de 3600 euros ! Maintenant, Miccoli a mis aux enchères deux maillots signés : un par Totti et un par Mutu. Cela aussi se terminera aussi vendredi. Nous nous déplaçons pour aider ceux qui en ont besoin, nous les enfants du Salento, donnons un coup de main ici, même si l'urgence est partout en Italie." Antonio Conte : "L'Inter faisait un excellent championnat puis il y a eu cette baisse de régime... aussi pour une question de profondeur de banc. L'Inter essaie de construire quelque chose d'important, il faut du temps, en Italie ce n'est pas facile de gagner. Nous avons l'un des entraîneurs les plus intelligents qui construit un certain type de mentalité, nous aurions pu nous battre pour le Scudetto mais il ne manque pas grand chose pour atteindre un grand objectif." L'entraînement pendant une telle période : "Nous travaillons beaucoup avec le staff. Nous comptons sur l'intelligence du footballeur pour continuer à bouger. Ce n'est pas facile. Nous essayons de donner des exercices à la maison en faisant ce que nous pouvons. Pour le footballeur, le terrain est fondamental, vous pouvez bouger autant que vous le souhaitez, mais être avec vos coéquipiers, courir, essayer des solutions et des tactiques que vous ne pouvez faire que sur le terrain. Un footballeur intelligent reste en forme, mange bien et a une vie régulière. Mais c'est étrange de parler de football en ce moment." Cette semaine c'était les 10 ans de Inter - Barça : "Je me souviens de ce grand résultat ! J'aime me souvenir clairement de mon Inter même s'il y a un shut-down sur le football en ce moment. Nous allons revoir les matchs historiques. Je lis peu sur le football car beaucoup parlent, tout le monde a son mot à dire, nous sommes toujours sur Instagram. Je n'ai jamais vu autant de mes anciens compagnons qu'en ce moment, nous envoyons des salutations et messages sympas, j'entends Dabo, Frey etc. Simeone était très sérieux, pour moi il a toujours été un leader, il vous envoyait des pics et vous ne pouviez jamais baissez votre garde. Pour moi, il était un vrai leader même si Zanetti, Bergomi et bien d'autres faisaient partie de cette équipe. Simeone vous massacrait mentalement et vous ramenait déjà en tant que footballeur. Nous vivions tous dans le même bâtiment. Je me souviens que dans la maison de Simeone, c'était comme dans un vestiaire, il avait des photos des buts, des fanions..." Un retour de Simeone à l'Inter ? "Je pense que c'est son rêve, il est resté attaché à ces couleurs. Nous avons vécu des années merveilleuses mais n'oublions pas qu'il y a maintenant un coach extraordinaire sur le banc. En effet, je pense aussi que les deux sont très similaires, perfectionnistes, très sérieux déjà en tant que footballeurs. Avec Antonio, nous avons grandi ensemble, il est comme un frère, il a toujours été maniaque, il ne voulait pas perdre même dans un match et il exultait comme dans le match. Pareil pour el Cholo, toujours entré avec conviction car il voulait marquer. Les sud-américains ont toujours un petit plus comparés aux italiens. Par exemple, il venait au match en chantant. Et nous avions beaucoup de Sud-Américains ! A contrario, Bergomi était silencieux et concentré, mais il était le seul et se laissait emporter." Le match à Moscou : (référence à la campagne de la C3 en 1997-1998) "En ce moment, à la maison avec mes enfants, nous passons en revue quelques matchs. Je ne les ai pas vus depuis longtemps, nous avons vu celui avec Strasbourg, Parme, le Spartak Moscou. Je me souviens qu'il y faisait -13, un truc comme ça. Nous sommes entrés dans le vestiaire avec très peu de chauffage et il faisait incroyablement froid ! J'étais couvert comme jamais mais j'avais toujours froid. Dans les vestiaires, nous avons essayé de nous réchauffer, quelqu'un a également bu une goutte de vodka ! Mais à nos yeux, nous savions que nous faisions face à une équipe solide, il y avait un air particulier, nous étions toujours conscients de pouvoir gagner. Mais Ronaldo est allé voir Simoni et lui a dit qu'il allait résoudre le problème, ils ont fait un pari avec le chien que Simoni qu'il a ensuite appelé Taribo. Ils ont commencé fort et ont ouvert la marque (Thikonov à la 12e, ndlr). Simeone m'a ensuite dit d'aller devant et d'y rester car nous sentions que nous allions marquer. J'avais les pieds gelés qui me faisaient mal. Je ne sais toujours pas comment mais j'en place une, la tête de Cholo aide et nous égalisons. Ensuite, Ronaldo a marqué ce fantastique but, 2-1 au final. Par contre, je ne me souvenais pas du match contre Strasbourg. Je l'ai vu il y a quelques jours et je pense que c'est l'un des meilleurs matchs de l'Inter. Il n'y avait pas d'espaces, l'un des matchs où Zanetti et moi avons joué à droite avec Cauet à gauche et nous avons fait la différence. Mais ce fut un match très difficile résolu grâce à un superbe but de Simeone (l'Inter avait perdu 2-0 à la Meinau avant de renverser la situation 3-0 au retour, ndlr)." Tu te vois en Candreva ? "Je suis né à Lecce et en tant qu'entraîneur, j'avais Mazzone, j'aimais pousser mais il exigeait que je revienne défendre. La force de ce rôle réside dans le fait de ne pas trop penser à l'adversaire. J'aimais attaquer et divertir les gens. Ensuite, j'ai aussi toujours joué en 3-5-2, à l'Inter, nous avions ceux qui nous couvraient, mais la différence était faite par l'intelligence des joueurs. Aujourd'hui, nous travaillons beaucoup plus sur la tactique." Le championnat 1997-1998 : "J'attends toujours la fin de ce match Juve-Inter. Il était difficile d'accepter ce résultat, des choses étranges se sont produites ! Peut-être que la Juve aurait gagné de toutes façons. Sur Ronaldo il y a eu une erreur incroyable, personnellement je me suis vu voler le championnat, ou du moins la possibilité de me battre jusqu'au bout. Bon, il y en a eu d'autres. Mais nous nous sommes amusés, une équipe de grands joueurs et de grands hommes. Le stade était toujours plein. La coupe UEFA a été une immense joie, nous avons battu une Lazio très forte. Nous étions convaincus de gagner cette coupe, c'était une C3 avec des équipes fortes. Mais nous avions Zamorano, Ronaldo, Zanetti, Bergomi, comment na pas avoir une mentalité de vainqueur ?" Une anecdote sur Roberto Baggio : "Un grand ami, un bon gars, un professionnel. Il venait toujours en premier. Nous allions à Pinetina à 10h30 et repartions à 19h30. Ma femme pensait que j'avais quelqu'un d'autre ! La mentalité a changé aujourd'hui. Le grand champion se démontre également en essayant de faire équipe. L'Inter nous unit et les relations sont restées. Roberto était un joueur fantastique et il avait une force mentale impressionnante. Je l'ai poussé à venir à l'Inter, évidemment Moratti l'a ramené mais j'ai aussi travaillé pour le convaincre ! Nous avons fait les matchs avec lui, Ronaldo, Recoba, Djorkaeff, puis Vieri est arrivé, une quantité et une qualité incroyable." Taribo West : "C'était un marrant, il y eut des matchs d'entraînement contre lui où il battait tout le monde. Il est toujours allé un peu fort. Un jour, Simoni a pris le ballon et lui a dit que s'il continuait comme ça, nous ne jouerions pas à onze du dimanche. Il voulait montrer qu'il était là, c'était effrayant, mais il était très gentil. Il a dit une fois à l'entraîneur « Dieu m'a dit que je devais jouer » et il (Lippi) lui a répondu qu'il ne lui avait rien dit à lui." La première place jouable ? "L'Inter doit se battre ! La Lazio fait un championnat fantastique, c'est une équipe qui s'amuse, mais l'Inter a beaucoup mûri. Ils doivent jouer pour le championnat. Qui prendrais-je pour la renforcer ? Moriero, Miccoli, Ronaldo, Zamorano. Sérieusement ! J'aime Mertens, également Allan. Deux joueurs que je verrais très bien à l'Inter, ou dans n'importe quelle équipe que je managerais. Ensuite, vous devez comprendre le modulo que Conte a dans sa tête." Lautaro Martinez : "Je le garderais, l'Inter est l'Inter et l'Inter doit garder des joueurs forts. Il fait partie d'un grand club qui veut gagner en Italie et en Europe." Un mot sur vous ? "Je pense que j'étais un joueur normal, je remercie les fans pour les compliments mais c'était un type de football différent ! Je suis étonné quand je lis que le football dans les années 80 et 90 était plus lent que maintenant, absolument pas ! Avant il y avait beaucoup plus de qualité, si aujourd'hui il y a moins de qualité il faut courir plus, il faut compenser. Un qui était le plus fort à mon avis, à part Pelé et Maradona évidemment, c'était Ronaldo. Je l'ai vu faire des choses que je n'avais jamais vues auparavant. Mais sans problèmes de genou il aurait continué beaucoup plus longtemps. Il était agile, le Meazza était silencieux quand il prenait le ballon. Même à l'entraînement, c'était quelque chose !" ®alex_j - internazionale.fr
  23. Dans une interview accordée à Nicolo Schira via Instagram, notre ancien ailier Francesco ‘Checco’ Moriero s’est exprimé sur une série de sujets liés à l’Inter, en commençant par comment il est arrivé chez nous à l’été 1997. "Fin mai, un mercredi soir, je suis allé dîner avec Derby County qui voulait m'emmener en Angleterre. Après la réunion, j'avais un rendez-vous le lendemain pour l'Angleterre afin de signer le contrat, mais pendant la nuit, j'ai reçu un appel de Galliani. Il me voulait à l'AC Milan alors je suis allé à Milan. J'ai passé l'examen médical et signé pour les Rossoneri. Je suis parti en vacances et quelques semaines plus tard, Sandro Mazzola m'a appelé pour aller à l'Inter. L'AC Milan voulait Andre Cruz, qui avait déjà un accord avec l'Inter, donc le Milan a proposé à l'Inter une liste de joueurs et Gigi Simoni m'a choisi. Du coup, je me suis retrouvé avec Ronaldo. Mais, pendant la première semaine, personne n'a rien compris, car j'étais partout dans les journaux avec les maillots du Milan et de l'Inter!" La célébration du cirage de chaussure. "Lors de mes débuts au Meazza, Recoba a renversé le match en marquant deux superbes buts. Je me suis mis à genoux, lui ai dit de mettre le pied dessus et j'ai poli sa chaussure. C'était un geste d'humilité et d'hommage envers la grandeur d'un coéquipier. Je n'ai pas beaucoup marqué, j'ai préféré construire des buts mais quand j'ai marqué, ils me l'ont fait aussi. J'ai forcé Diego Simeone à polir ma chaussure !" A propos de Baggio arrivant en 1998. "Je fus un petit cupidon et j'ai amené Roberto à l'Inter. J'étais dans sa chambre lors de la Coupe du Monde 1998 et je lui ai parlé de Ronaldo, Moratti et Simoni. J'en ai parlé jusqu'à ce qu'il accepte l'offre du président Moratti." A propos de Totti. "Je savais que Francesco avait des problèmes avec la Louve et j'ai longtemps essayé de le convaincre de venir à l'Inter. Il y a pensé. Mais finalement il aimait trop la Roma et il n'avait pas envie de partir." Sur Luigi Simoni. "C'était un super manager et un vrai gentleman. Il savait comment gérer et prendre soin de vous, c'était un homme loyal qui vous disait tout en face. Ce fut l'une de ses plus grandes forces. Après qu'il fut limogé, nous sommes tous allés voir la direction du club pour essayer de les faire changer d'avis, mais nous n'avons rien pu faire. Des années plus tard, je pense que Moratti regrettait de l'avoir renvoyé." La victoire en C3 en 1998. "Nous nous sentions très forts, nous étions sûrs de gagner. Nous nous sommes heurtés à une Lazio très forte mais ce ne fut pas un match. Nous avons gagné 3-0 et nous avons célébré toute la nuit." Lippi comme manager. "Il y avait Ronaldo, Baggio, Zamorano, Recoba et Bobo Vieri. Je pense que c'était une des attaques les plus fortes de tous les temps. C'est vraiment dommage qu'en raison de blessures et de problèmes divers, ils n'aient pu jouer autant ensemble sinon nous aurions beaucoup gagné. Avec Lippi, tout a bien commencé et après avoir perdu le derby, il a décidé de ne plus me faire jouer. Je ne faisais plus parti de ses plans, j'ai donc accepté de partir au Napoli (en 2000, ndlr)." A propos de Massimo Moratti. "C'est une personne fantastique. Nous avons toujours voulu gagner spécialement pour lui. Il nous appelait tous les lundis pour commenter le match. Le samedi, il venait à Appiano pour nous stimuler. Il nous a toujours tenu des discours incroyables pour nous pousser à gagner à l'exception du derby car il considérait le match contre le Milan comme le plus facile." Au tour de Taribo West. "Taribo était un fou fou et avait toutes sortes de couleurs dans ses cheveux. Avant chaque match, il bénissait Ronaldo. Je me souviens d'un lundi où il s'est battu avec Lippi devant tout le monde et a dit que Dieu lui avait dit qu'il devait jouer pour l'Inter et Lippi a répondu que Dieu ne lui avait rien dit (West est maintenant pasteur, ndlr)." Coach à l'Inter ? "J'adore travailler avec des jeunes et j'aimerais bien, je ne le nierai même pas. Ce serait merveilleux de travailler côte à côte avec Antonio Conte." Rédigé par Alex_j - Internazionale.fr
  24. Diego Godin ne retournera pas en Espagne. Le défenseur uruguayen a tenu a démentir avec force les rumeurs en provenance d'Espagne, lui qui compte bien rester Nerazzurro. Révélation de Calciomercato.com "Diego Godin n'a pas apprécié ces rumeurs et il n'a demandé aucun transfert à l'Inter en vue du mois de janvier. Depuis une période d'adaptation naturelle, l’uruguayen se sent très bien en Nerazzurro et il n'a donc aucune intention de faire un pas vers une autre direction. De même, il est totalement convaincu par le projet d'Antonio Conte, même celui pour l'année à venir." "Godin a eu un entretien avec la Direction de l'Inter en début de saison et celle-ci lui a répété une confiance totale même lors des moments les plus délicats. Diego le répète, il est enthousiaste par le choix qu'il a lui-même effectué." ®Antony Gilles - Internazionale.fr
  25. Selon El Gol Digital, l'adaptation de l’Uruguayen dans le Calcio et plus précisément dans la défense à trois de Conte s'avère plus que compliqué. En effet, le changement de dispositif tactique associé à une façon de défendre diamétralement opposé à celle qu'il a connu à l'Atletico aurait ouvert la voie à l'impensable: Le défenseur Nerazzurro aurait demandé à Antonio Conte de le libérer dès le mois de janvier, lui qui se repenti d'avoir quitter Madrid. De son côté, Diego Simeone n'est pas satisfait des prestations proposé par Mario Hermoso, acheté pour remplacer Diego. Cette information est bien entendu à vérifier, mais la bombe a été lancé en Espagne. En cas de véracité des faits, seriez-vous prêt à envisager ce nouveau trio: Bastoni-De Vrij-Skriniar pour jouer le Scudetto ? ®Antony Gilles - Internazionale.fr
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