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  1. Javier Zanetti est revenu sur sa carrière dans un podcast en compagnie de Giacomo Poretti "Je continue à m’entrainer, je joue avec mes enfants, cela fait partie de moi, je le fais car je me sens bien. Les temps ont tellement changé comparé à notre enfance, je jouais en Argentine sur un terrain de terre battue avec la boule au ventre avec de la peur à l’intérieur, c’est comme ça que j’apprenais à joueur. "Parfois, je parle à mon fils qui joue sur des terrains parfaits et qui se plaint même lorsqu'il pleut. Nous devons nous adapter à ce que nous vivons aujourd'hui. Quand j'étais enfant, j'encourageais l’Independiente en Argentine et je m’imaginer à commenter ce que je voyais pendant le match, c'est un moment que je n'oublierai jamais: J'étais tellement heureux avec peu de choses, les choses simples sont celles qui vous rendent le plus heureux, une époque fondamentale pour moi. Papa m'avait fait un terrain derrière la maison, ma mère vendait des bonbons, papa venait me voir, c'était la belle époque". Te surnommais-t ’on déjà El Tractor petit ? "J’ai toujours bien aimé courir derrière le ballon et cela n’a jamais changé, puis lorsque je suis arrivé en Italie, j’ai dû m’adapter." Ton idole d’enfance ? "C’était Bochini, le numéro 10 dell'Independiente, qui a ensuite remporté le Mondial avec Maradona : Il a fait une carrière similaire à la mienne avec l’Inter car il a joué toute sa vie à l’Independiente." Trop de parents en demandent tellement parfois à leur enfants.... "Parfois, je préfère m’éloigner pour ne pas entendre certaines choses : C’est le monde dans lequel nous vivons, il y a une misse sous pressions sur des jeunes enfants alors qu’à cet âge-là, il faut s’amuser, grandir avec les valeurs du sport : Si tu deviens professionnel, oui, là tu seras sous pressions, mais à un si jeune âge, il faut s’amuser, point." Y-a-t ’il des différences entre le football argentin et l’talien ? "Les premiers temps tout me semblait particulier car les Tifosi me félicitait car je gardais le ballon dans les pieds et mes équipiers enrageaient et m’insultaient car je ne leur donnais pas le ballon. Je me suis rendu compte que les deux football sont différents : Nous aimons aller de l’avant avec le ballon, avoir de l’espace et prendre le temps que l’Italie ne propose pas. En argentine, tu as plus d’espace, à l’Inter et en Italie, tu as beaucoup moins de temps pour y penser." Ton premier entraineur en Italie ? "Ottavio Bianchi, il m’a appelé et m’a mis face à une map d’un terrain de football en me demandant là où je préférais jouer, je lui ai dit à droite et il m’avait mis sur l’aile gauche là où évoluait Roberto Carlos." "La semaine suivante, c’était l’ouverture du championnat face à Vicenza, j’y ai ressenti cette émotion incroyable qu’est le Meazza et le destin à voulu que nous gagnions le match 1-0 et c’est là le début de mon Histoire avec l’Inter, la première de mes s 858 parties." Tu as eu tellement d’entraineurs, aussi parce que Moratti avait une de ces paires de couilles et qu’il changeait souvent d’entraineur... "Une année, j’en ai connu quatre, elle était difficile : Lorsque tu es dans une équipe comme l’Inter, tu es habitué à gagner : Moratti investissait tellement et il ne parvenait pas à gagner, ensuite le temps nous a permis de…" Te rappelles-tu tous les entraîneurs ? "Tout, vu tout ce qu’ils ont fait avec nous. Je me souviens de Simoni qui était pour nous un Père, il était parvenu à créer une Famille, ce qu’est pour moi l’Inter, il avait créé un groupe compact aussi via son Leadership qui était silencieux, il était très franc, il y avait une excellente ambiance. Hodgson? "J’ai eu un soucis avec lui, mais c’est moi qui m’étais planté. Lors de la première finale de Coupe UUEFA je n’avais pas compris mon remplacement : Bertin était monté et il ne restait qu’une minute de jeu avant d’aller aux tirs aux buts... Lors de ce remplacement, j'étais furieux de n'avoir rien capté mais nous nous sommes serrés dans les bras trois secondes plus tard et aujourd'hui, lorsque nous nous voyons, nous rions de cet épisode." "Et puis, bien sûr, Mourinho est , un très grand connaisseur, avec un grand charisme, un gagnant : J’étais en Argentine et il m’avait appelé pour me prévenir qu’il venait de signer avec l’Inter, il se présentait en me disant que je serai son capitaine et en s’excusant pour son italien qui pour moi était parfait : Il était en avance sur tous, d’une autre catégorie." Mon dernier entraineur ? "Mazzarri" Tu as l’intégrité morale et physique pour toi Javier : Avec un tel surnom, tu n’as connu qu’une seule blessure, mais elle était très sérieuse "Mère Nature m’a fait jouer jusqu’à mes 41 ans sans avoir connu la moindre blessure, sinon celle qui m’est tombé dessus à 39 ans, je m’étais rompu le tendon d’Achille et je m’étais immédiatement rendu compte que c’était quelque chose de grave." "Tous pensaient que ma carrière était finie, moi-même j’avais conscience de sa gravité, mais je pensais déjà à me faire opérer et à revenir. Je n’avais pas envie de partir de cette façon et je voulais offrir à mes Tifosi une nouvelle saison comme protagoniste et prendre ma retraite devant mes Tifosi : Le Sport est comme la Vie de tous les jours, tu dois surmonter les problèmes de la même façon : Je voulais revenir, et je suis revenu et je me suis offert encore une autre saison." Il y aussi l’aspect mental qui joue dans les blessures : Certains ne sont jamais parvenus à s’en sortir... "Si tu es fort mentalement, tu réussiras difficilement à te faire mal, si tu as la tête ailleurs, et c’est valable aussi dans la vie quotidienne, là ça peut influencer. Certains doivent travailler aussi sur le mental car il faut savoir être résistant, se relever si l’on tombe à terre. Les psychologues sont important dans les équipes d’aujourd’hui, ils sont les bienvenus, mais lorsque je jouais, ils n’étaient pas là : Ils sont utile pour ceux qui en ressente vraiment le besoin." Lorsque l’on parle de mental, on se doit de parler du Special One, On percevait que Mourinho était forcément spécial, je ne sais pas s’il a apporté quelque chose de nouveau au football, mais les joueurs de l’Inter semblaient transformés "Il nous a poussé à croire que nous pourrions gagner aussi au niveau européen, il nous a poussé bien au-delà de nos limites, il nous a fait croire que ce que nous faisions quotidiennement durant la semaine allait nous permettre d’atteindre de très grands résultat. Nous avions tous cette conviction, celle d’être sur la bonne voie, il a construit une équipe en deux ans et nous nous sentions imbattables. Pour que l’on s’incline, les autres se devaient de réaliser quelque chose d’extraordinaire, c’était un grand Maestro ? Lorsque je le vois en conférence, il propose une certaine façade car lorsqu’on le connait en réalité, il est très facile à vivre, compréhensif, il traite tout le monde sur le même pied d’égalité, il ne fait aucune différence, si tu jouais, c’est parce que tu le méritais : C’est un Leader né." Que peux-tu ressentir, même si tu ne l’as jamais fait, un joueur qui est sur le banc ? "Souvent, les personnes ne s’expriment pas sur ceux qui viennent du banc, mais ce sont eux qui te font gagner, eux qui te font bien t’entrainer, il faut avoir un très grand respect pour eux. J’allais vers le banc lorsque je marquais car pour moi ils étaient fondamentaux et ils pouvaient s’avérer eux aussi fondamentaux dans les périodes les plus importantes de la saison : Qui venait du banc te faisait gagner le match. A présent, il y a cinq remplacements, et tous sont bien mentalement lorsqu’ils montent car ils peuvent tout te faire gagner le match, peu importante la qualité individuelle." Des râleurs ? "L’équipe du Triplé par exemple était un groupe extrêmement fort : Tous se sentaient important. Nous avions un entraineur qui était parvenu à te transmettre que nous étions tous importants. Je dis toujours à l’équipe que le plus important reste le groupe, si chacun pense pour sa gueule, tu parviendras difficilement à l’emporter. Tu n’as jamais eu peur, Javier au cours de ta carrière, de ne jamais rien gagner ? "La peur fait partie du métier, mais si tu es serein envers toi-même, que tu fais tout pour que les autres aillent vers une certaine direction, tôt ou tard , le travail paye : Si tu te montres constant, résilient, tôt ou tard les résultats arrive, avec l’Inter j’ai connu mes dix premières années compliquées mais ensuite je suis parvenu à tout gagner les dix années suivante : La vie est comme, ce n’est pas uniquement que dans le monde du sport, la peur fait partie de la vie quotidienne. Comment vis-tu l’anxiété en cours de match : En 2010 par exemple, lors de Sienne-Inter, il y avait une pluie d’occasions mais rien ne rentrait jusqu’à dix minutes du terme, Il y avait même eu un milaniste qui avait tenté de te perturber sur ta passe magique vers Milito qui a marqué. J’étais parti à sa recherche et il n’était déjà plus là "Ce match là était bien plus difficile que la Finale de la Ligue des Champions car la tension était incroyable, surtout dans les dernières minutes. Nous avions marqué dans ce match et il restait encore quatre minute de jeu, ensuite Rosi, l’ailier romain a fait un centre qui, jusqu’au moment de sa sortie, a fait que j’ai regardé Maicon qui était devenu blanc (il rit tous) Julio César avait soupiré. Il y avait ce match là et la demi-finale retour à Barcelone, Je l’ai encore regardé, cela semblait être une éternité, un match qui ne se terminerait jamais : Au coup de sifflet final, la libération était totale. Ces trois journées magiques ont débutée avec la Coupe d’Italie: Ma femme était invitée à un concert de Dalla-De Gregori elle voulait y aller et je l'ai satisfaite, même si j'avais conscience que c’était la date de la finale, j'ai crié dans le bus du concert, quand nous avons marqué... "Ce sont des moments que nos épouses ne peuvent pas comprendre." Ensuite, il y a eu la Finale de Madrid, comment l’as-tu vécu ? "J’étais en chambrée avec Cordoba nous sommes tous les deux croyants et lui est dévoué à Sainte Rita. A minuit, nous sommes allés bruler un Cierge pour Sainte-Rita dans la Chambre et nous nous sommes endormis ensuite tous les deux : Heureusement que rien ne s’est enflammé car nous aurions pu être brûlé" "La Finale, avec comme premier impact le Bernabeu, était si belle, notre Curva était pleine, pleine de monde, Chacun d’entre nous avait face à lui des personnes qui pensait que nous ne pouvions pas ne pas leur offrir la Victoire, cette Victoire. Au moment où j’ai soulevé la Coupe, je n’étais plus moi-même et je n’étais as le seul, c’était un moment bien trop beau. Ensuite nous avons vu les images du Duomo à la télé, qui était comble, Milan plein d’Interiste, Seule l’Inter est comme ça, j’avais 37 ans et je disputais mon 700ème match avec l’Inter ce soir-là. L’arbitre laissait trois minutes de récupération et Julio Cesar prenant le ballon, j’étais déjà entrain de pleurer tandis que Samuel était encore contracté et Maicon faisait déjà la fête." Quel est l’impact de la Famille dans une telle carrière ? "L’harmonie à la maison est fondamentale car elle fait partie du métier. Moi et Paulo partageons toute une vie ensemble, elle avait 15 ans et moi 19, elle devait encore en terminer avec la scolarité lorsque nous sommes arrivé en Italie. Nous avons trois enfants, tous les trois sont nés à Milan : Sans Eux, sans Paula, je n’aurais jamais fait une telle carrière." Dévoué à Sainte Rita, à quel point la Foi compte dans ta vie ? "Je suis allé à Cascia, je vais souvent à l’Eglise et même à la Pinetina nous avons une Chapelle. Maicon ne venait pas, mais il nous regardait de la fenêtre. Pourtant les Brésiliens indiquent toujours le ciel avec leur doigts à chaque but (il rit) c’est quelque chose que je ne comprends toujours pas." Javier, je t’en prie, parle-moi de Taribo West "Un phénomène, trop divertissant, Durant 80 minutes, il pouvait être concentré pour faire ensuite ce que bon lui semblait lors des dix minutes restantes, un jour, il a pris le ballon et s’est barré. Taribo revenait ensuite et, faisait à sa mode, c’était trop marrante. Un jour, alors que Lippi parlait tactique, il lui a demandé de raccourcir. A un moment, le milieu de terrain passait à l’attaquant le ballon et Lippi lui avait dit aussi de faire court. Taribo avait refusé et avait répondu : "Dieu m’a dit que je ne devais pas faire court." et nous avons tout de même remporté la Coupe de l’Uefa avec Taribo. Lippi lui avait répondu : Mais Dieu ne m’a rien dit à moi." Le joueur le plus fort avec qui tu as joué ? "Ronaldo sans aucun doute." L’adversaire qui t’a mis le plus en difficulté ? "Un jour, Simoni m’avait demandé de marquer Zidane, c’était difficile durant toute la rencontre. Ensuite, je dirais Kakà du Milan." Et dans les Derby ? "Il y a eu des bagarres folles avec Gattuso et Nedved, mais toujours dans le plus grands des respects, il y aussi eu Maldini et c’était toujours dans les Derby. Lors de mon premier Derby, devant 80.000 personnes, je me souviens d’une faute qui valait un pénalty de Baresi sur moi, il m’avait relevé en sommant de me lever: C’était Baresi et c’était pénalty." Ces batards ne te l’avaient pas accordé "Selon moi, avec la Var, il m’aurait été accordé." Comment vis-tu ta popularité ? "Avec une totale normalité, j’ai un très grand respect pour les personnes et pour les Tifosi : Ils font de très grands sacrifices pour venir voir les entrainements, les matchs et qu’est-ce que ça change pour moi de m’arrêter un peu et de leur apporter du respect ? J’ai la chance d’être sur le terrain pendant 90 minutes, mais après le match, je lui l’un des leurs." Comment est la vie en Italie ? "Je suis amoureux de l’Italie, je me considère comme un Italien, mes trois enfants sont nés à Milan, j’ai pleuré lorsque l’Italie a été éjectée par la Suède de la Coupe du Monde au Meazza : L’Italie m’a ouvert ses portes alors que j’étais un inconnue, je lui dois tout, j’ai un très grand respect pour ce Pays et lorsque je vais à l’étranger, je me rends compte à quel point elle me manque. Mes grands-parents étaient originaires de la province de Pordenone." A quel point as-tu profité de la Victoire de l’Argentine en Coupe du Monde ? "J’étais parti tout le mois au Qatar en Famille et j’avais l’impression que toute l’Argentine était là, Dès mon arrivée, j'ai senti le désir des Tifosi de remporter la Coupe du monde, qui était attendue depuis tant d'années. Et voir Messi soulever le trophée. J'ai ensuite eu la chance d'entrer sur le terrain et de le remercier, au nom de tous les Argentins, pour la joie qu'il nous a donnée. Je retourne toujours là-bas à Noël, en short parce que c'est l'été. Et nous retournons en fin d’année scolaire. Maintenant, je travaille pour mes enfants comme Uber, je prends l'un et j'amène l'autre." Et ta Fondazione Pupi? "Elle est née en 2001 dans une période qui était difficile pour l’Argentine, je me sentais le devoir de faire quelque chose avec Paula pour notre pays, pour les personnes qui étaient en difficultés et nous avons trouvé cette façon de venir en aide à tant d’enfants afin qu’il puisse trouver la bonne voie. Nous avons aidé, jusqu’à présent, plus de milles enfants." Avec qui aurait-tu aimé jouer ? "Avec Maradona forcément, mais il avait arrêté aussi lorsque j’ai débuté ma carrière en équipe national. Pour tout ce qu’il représentait, j’aurais tant voulu jouer avec lui." Et qui aurais-tu voulu à l’Inter ? "Messi" ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  2. Demain, Javier Zanetti aura 50 ans. Il les passera avec sa famille lors d’une fête surprise organisée par sa femme Paula. Comme il le raconte à la Gazzetta dello Sport , il en a passé 28 en Italie, "à l'Inter, et c'est un privilège. Le club , l'entraîneur, la partie sportive, chacun sait qu'il est là quand il le faut. Toujours en pensant à la croissance du club. J’étudie à nouveau et je suis inscrit au cursus Management et Entrepreneuriat à Bocconi. Toujours avec l'idée d'être utile au club." La finale perdue à Istanbul. "Je m'attendais à une finale comme celle-là, équilibrée et jouée avec courage. Des opportunités exploitées et un peu de chance, c'est ce qui manquait mais nous sommes fiers de nous." Inzaghi. "Sa principale caractéristique est sa tranquillité, Gigi Simoni avait ce calme qu'ont les forts." Lautaro. "Il a pris la bonne mesure, avec humilité. Il doit confirmer son leadership avec encore plus de responsabilités." Lukaku. "Pour ce que l'Inter a fait pour lui, on s'attendait à un autre comportement ; en tant que professionnel et homme. Il a le droit d'aller où il veut, Dieu nous en préserve, il fallait juste qu'il le dise à temps. Personne, cependant, est plus grand que le club et lors de la constitution d'une équipe, vous devez toujours considérer qui vous mettez dans le vestiaire." Parmi les images du passé, il choisit la présentation avec Rambert, la demi-finale perdue en Ligue des champions en 2003, le match d'adieu en 2014 contre la Lazio et la finale des champions remportée en 2010. Outre, bien sûr, sa famille. Le plus fort ? "Zidane (mais dans l'interview on lui a demandé de ne pas citer Messi ou Ronaldo, ndlr)." Le plus sous-estimé ou le plus incompris ? "Recoba n'a pas exprimé sa grandeur. Il n’était pas au bon moment." Les plus sympas ? "Maïcon et West." L’Inter une famille. "Ceux qui passent par ici repensent toujours à l'Inter avec joie. Peut-être qu'ils ont envie de revenir... La direction peut changer mais il ne faut pas perdre notre identité et je me bats pour ça. Un sens de la famille que j'ai senti dès le premier jour Une famille résiliente dans les difficultés, qui se reconstitue." Une énième déclaration d'amour pour le club. "Je me vois actif, toujours prêt à tout donner pour l'Inter. Parce que l'Inter sera toujours là pour moi. Même si je n'ai pas de rôle ou que je reste loin du club, je ne peux pas enlever ces couleurs." Traduction alex_j via FCInterNews.
  3. Douglas Maicon est le cinquième défenseur récompensé : après Bordon, il est le deuxième joueur dévoilé parmi les vainqueurs de la cinquième édition du Hall of Fame. Douglas Maicon a été intronisé au Hall of Fame de l'Inter. L'ancien arrière latéral des Nerazzurri, né en 1981, est le deuxième intronisé en 2022, après Ivano Bordon. Il est le cinquième défenseur à recevoir le prestigieux prix, après Javier Zanetti, Giacinto Facchetti, Giuseppe Bergomi et Marco Materazzi. De nouveaux joueurs seront intronisés après la catégorie gardien de but et défenseur viendront dans les semaines à venir les catégories milieux de terrain et attaquants. "Je suis heureux d'avoir été intronisé. Je suis fier de faire partie de la grande famille Nerazzurri. Je suis ici depuis tant d'années, nous avons gagné tant de trophées ensemble et j'ai tant d'amis Nerazzurri. Aux fans, je dis : à bientôt." Maïcon “Comment était Maicon?”. Il était bon; très bien. Excellent techniquement et physiquement et, pendant des années, il a été une arme puissante pour l'Inter : un arrière droit implacable, un homme de plus pour aller de l'avant, un colosse sur lequel on pouvait compter à tout moment du match. Il a fait ses débuts en tant que numéro 13 à l'été 2006 après son transfert de Monaco. C'était un match à San Siro : mené 0-3 en Super Coupe contre la Roma, avant la remontée et la victoire 4-3 et le premier trophée. Dès le début, l'arrière latéral brésilien a séduit les fans Nerazzurri avec sa capacité en course et d'attaque, une super célébration devant les fans. C'était un vrai joueur de l'Inter dès son premier contact. Il a joué avec l'enthousiasme qu'il avait enfant au Brésil où il a joué à Criciuma, entraîné par son père, qui, un après-midi, l'a mis sur le flanc droit : "Tu peux le faire, tu peux offrir beaucoup à ce poste." Une idée brillante, et une idée qui a fourni au football l'un des meilleurs dans ce rôle. 248 apparitions pour l'Inter en six saisons, marquant 20 buts. Des buts emblématiques et importants. Un homme pour le derby avec deux buts inoubliables (dont le dernier, en 2012, avec un incroyable tir du pied droit), la volée contre la Juventus, le but contre Barcelone en demi-finale. Maicon était un leader inégalé dans l'année du Triplete. En tant que joueur Nerazzurro, il a remporté 4 Scudetti, 2 Coppa Italias, 3 Super Coupes d'Italie, 1 Ligue des Champions et 1 Coupe du Monde des Clubs. Des succès d'équipe, ainsi que des récompenses personnelles : en 2010, il a été inclus dans l'équipe de l'année de l'UEFA, remportant le prix du meilleur défenseur. Et pour le Brésil, il a ajouté deux Copa America à sa vaste armoire à trophées. Traduction alex_j via le site officiel.
  4. Interviewé dans le cadre du MatchDay Program d’Inter-Cremonese, Matteo Darmian, s’est livré sur sa carrière de joueur: "Dans ma carrière, j’ai eu la chance de rencontrer et de partager tant d’expériences avec des personnes qui m’ont soutenu et qui m’ont fait grandir, d’anciens équipiers aux entraineurs, des amis à la Famille, tous ont toujours été à mes cotés." "Le football a toujours fait partie de ma vie, d'après-midi sur un terrain avec des amis à disputer de grands matchs. Ma détermination dans ma carrière a été l'un des ressorts qui m'a poussé à faire toujours mieux, même si le travail et l'esprit de sacrifice ont toujours été les éléments clés." "J'ai grandi dans une ville proche de Milan et c'est ma troisième année à l'Inter. Milan est une ville qui a marqué des étapes importantes de ma vie. A Turin j'ai vécu quatre années fantastiques, je suis arrivé comme un jeune garçon et grâce à la confiance de beaucoup de personnes j'ai mûri et j'ai réussi à faire des choses importantes. Ensuite, il y a eu Manchester, qui pour moi, reste une expérience très constructive." "Si je ferme les yeux et que je repense à mon enfance, l'image que j’ai est celle de l'oratoire Don Bosco de Rescaldina, où j'ai commencé à taper dans un ballon pour la première fois. Je jouais toujours au football, je passais du temps avec mes amis." "L'espoir de devenir footballeur était là et il était nourri par beaucoup de passion et l'envie de m'amuser, cela m'a poussé à poursuivre mon rêve. Pour ma part, je pense que des joueurs comme Zanetti et Maicon ont été une source d'inspiration pour de nombreux jeunes." "Mon but contre Cagliari n'est certainement pas le plus beau but que j'ai marqué, mais c'est certainement l'un des plus importants. Au Giuseppe Meazza, c’est avec ce but que nous avions fait un pas important vers la conquête du 19ème Scudetto. L'action a commencé sur la droite, Lukaku a lancé Hakimi, je suis arrivé au deuxième poteau et j'ai marqué ce but importantissime pour moi et l'équipe" ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  5. Contrairement à la Gazzetta Dello Sport, le Corriere Dello Sport a décidé de se pencher sur une vision positive de l’Inter de Simone Inzaghi A choisir préférez-vous un Lautaro ou un Romelu ? Une équipe de caractère "L'Inter a fait une nouvelle Remontada en championnat, en situation de désavantage, elle a d’ailleurs su récolter 22 points. Une victoiree sous le signe d'un Lautaro Martinez de plus en plus létal, lui qui a été le grand artisan de la victoire sur Empoli avec un doublé qui permet aux Nerazzurri d'espérer encore au Scudetto. Ses statistiques sont Da Record, après un passage à vide durant le milieu de la saison: C’est un fait Lautaro est armé et chargé." Un Toro On Fire "L'attaquant a marqué son onzième but lors des onze derniers matchs officiel de l’Inter, c’est un Lautaro qui ne rate plus le cadre du coup et n'a pas l'intention de s'arrêter. Il marque avec n'importe quel partenaire offensif, à tel point qu'il a établi deux records personnels contre les Toscans : 23 buts inscrit dans une saison et 19 buts inscrits rien que pour la Serie A contre les 17 de l'année dernière avec Antonio Conte sur le banc et un certain Romelu Lukaku à ses côtés." Les Remontadas "L'Inter n'avait plus encaissé de but aussi tôt, soit dans les cinq premières minutes du match, depuis le 26 septembre 2020 et le but de Kouamè pour la Fiorentina à la 3e minute. Comme nous le venions de vous le dire, il s’agit là-aussi d’un record pour les Nerazzurri : 22 points ont été récoltés après avoir été menés au score, personne ne fait mieux dans le Top 5 européen, l’Inter se partage la première place avec le Paris-Saint-Germain et les Allemands d'Hoffenheim." Records personnels ! "Hakan Çalhanoğlu a également offert une nouvelle passe décisive pour Lautaro lors du 2-2 du Lautaro. Pour l'ancien joueur de l'AC Milan, il s'agit de sa 11e passe décisive dans un même championnat, il s’agit également d’un record qu’il partage en Serie A avec Maicon en 2009-2010 et Lukaku en 2020-21. En Serie A, il occupe la deuxième place cette année." "Enfin, Samir Handanovic, qui a joué son 550e match en Serie A contre Empoli, est le deuxième joueur étranger à atteindre ce palier dans l'histoire de la Serie A après les 615 rencontres d'un certain....Javier Zanetti" ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  6. Massimo Moratti s’est livré au Corriere Dello Sport sur la légendaire confrontation avec la Juventus, l'ennemi-juré de la Serie A. Quel est l’Inter-Juve que vous ne pourrez jamais oublier ? "Inter-Juve, pour nous les Interiste, c’est LA Partie, celle qui te procure de la souffrance, elle me faisait rester éveiller la nuit. Tu y penses en continue dans la semaine qui la précède : Que des émotions! il rit." Vous étiez un Président qui vivait le football comme un entraîneur ou un joueur, totalement investi... "Le football, au-delà de la passion, était une distraction des autres pensées: Avec le football, les rêves te viennent facilement, comme lorsque j’achète un joueur et que j’imagine qu’il inscrit le but de l’année dans les deux-secondes et demi qui suivent, tu t’attends toujours à de nouvelles merveilles. A sa façon, l’Inter-Juve de du 16 avril 2010 est inoubliable, un 2-0 avec un but de Maicon devenu iconique." J’aurais cru que vous alliez répondre “celle avec ce penalty non donné par Ceccarini" "C’est la partie qui a ruiné nos relations." Le Calciopoli a fait le reste…. "Le Calciopoli a exaspéré le concept de sympathie. Aujourd’hui, je vis cette partie avec plus de sérénité, moins dans le passé et plus dans le présent, l’émotion est gérable. Je suis un Tifoso moins souffrant…… avant de rentrer dans le stade." Que ce serait-il passé si, à votre époque, il y aurait eu la Var ? "Cela n'aurait rien changé, car derrière la Var, tu aurais eu des personnes qui aurait pensé de la même façon." Soutenez-vous le projet InterSpac ? "J'apprécie l’intention, ils ont eu beaucoup de courage. Je ne pense pas que ce type d'actionnariat soit réalisable en Italie, et les chiffres que le club présente aujourd’hui sont dramatiques. En Allemagne, tu peux arriver à obtenir 15 ou 20 % de l'actionnariat, mais avec des sommes accessibles et des risques limités pour les souscripteurs..." "J’ai énormément de tendresse envers les tifosi les plus méconnu et qui sont disposé à verser 1.000 €." Passons à la Super League... "Elle a été très mal présentée, à tel point que le projet a été immédiatement annulé. L’objectif des clubs était celui de trouver une façon d’encaisser plus d’argent et je peux aussi le comprendre, mais tu ne peux pas développer un plan de ce genre sans écouter la population, les passionnés, et en tuant le système." Etes-vous inquiet par l’état financier de Suning ? "Les problèmes en amont finissent par affecter les entreprises en aval. Le gamin (Steven Zhang) est bon et gentil, j'entends des gens dire que les choses s'améliorent lentement, du moins en termes de gestion quotidienne, et je veux rester optimiste." Durand ces dernières années, beaucoup ont tenté de vous faire revenir…. "C’est souvent arrivé, encore récemment même. Une défaite de l’Inter et un appel arrive: Mais c’est un chemin qu’il n’est plus possible à emprunter pour moi." Acheter ce qu’il doit être acheté, vendez un peu moins…. "Oui, je n’aimais pas vendre, toutefois Ronaldo et Ibra furent deux très grandes opérations, des authentiques investissements : Deux opposés. Le Ronaldo de 1998 ne pouvait pas être décrit par des traits humains, il avait été embrassé par Dieu." Et Ibra ? A 25 ans, se sentait-il déjà être un dieu sur terre ? "Oui, c’est un gars assez spécial, mais très sympathique. Comme un chanteur d’opéra, il voulait être respecté, l’équipe devait lui reconnaître le leadership, il voulait être le boss, même aujourd’hui à quarante ans, il ne semble pas avoir changé." L’Inter a laquelle vous êtes la plus liée est celle du Triplé ? "Ce serait une injure d’en désigner une autre que celle qui a tout gagner, mais l’équipe composée de Ronaldo, Zamorano, Recoba et Djorkaeff, reste également dans mon cœur." Échangez-vous encore avec Mourinho ? "C’est évident: Mourinho est brave et je suis fier qu’il soit allé à la Roma, où il fait de bonnes choses. Lorsque je l’ai recruté, il me rappelait énormément Herrera, j’aimais le fait que, comme Il Mago, il était différent, provocateur, habile dans la communication, très intelligent, en plus d’être un exceptionnel gagneur." Et les qualités de Mancini ? "Son mérite pourrait être aussi son défaut : son émotivité: Nous sommes toujours resté liés." "Roberto était un garçon qui conservait en lui toute l’émotivité du joueur. Nous venions de perdre face à la Lazio, et je l’ai retrouvé ce jour-là, en pleur dans le vestiaire, il était dans un coin, il était désespérément à la recherche continuelle de bien faire." "Vous vous attachez à Roberto de par la façon dont il vit le football, la partie, les faits de jeu. Mais l’émotivité devient un défaut lorsqu’elle prend le dessus sur tout le reste et c’est précisément cet aspect de son caractère qui l’avait amené à dire qu’il quitterait le club à la fin de la saison." Massimo Moratti, préférez-vous l’Inter de l’année dernière: Solide et hermétique? Ou l’Inter actuelle qui marque énormément, mais qui se prend aussi trop de but ? "L’Inter solide de l’année dernière a servi pour remporter un championnat attendu depuis tant de temps, elle a apporté des satisfactions aussi de par son caractère. Sous l’aspect footballistiques, celle-ci est bien plus amusante car tu as des joueurs de classes mondiales et tu ne sais jamais comment ça va se terminer, donc tu cela te fait vivre encore plus d’émotions, il rit." A propos, que répondre à Bonucci qui a très récemment déclaré que le dernier Scudetto était plus du démérite de la Juve que du mérite de l’Inter... "Bonucci aurait dû ajouter pour les “considérables démérites de la Juve", cela aurait été mieux pour lui. Je ne comprends pas une telle sortie. Le championnat a été remporté par l’équipe la plus forte et l’Inter était, l’année dernière, nettement plus forte que la Juve. Sinon, tout le monde va commencer à parler des Scudetti perdu par démérite et là, on n’en finira plus." Qui pour vous enthousiasmer dans cette bataille ? "Tout le monde devra y parvenir, mais ma pensée va objectivement vers Barella, un garçon qui donne toute son âme, et encore plus contre la Juve." ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  7. Romelu Lukaku est le protagoniste du Match Day Program d’Inter-Roma. Et Big Rom s’est une nouvelle fois illustré en déclarant son amour pour les couleurs Nerazzurre : "Lorsque je suis sur le terrain du Meazza, je me rends compte d’avoir concrétisé un de mes rêves depuis toujours. J’ai toujours voulu jouer avec le maillot de l’Inter. Le revêtir est d’une fierté incroyable, gagner est quelque chose de grandiose : Io Sono Interista!" Mon plus beau but ? "Celui du 3-0 au Milan, il résume toute mes caractéristiques : la course, la puissance, la précision. Il avait une signification importante pour moi et pour notre championnat. Cette équipe a gagné car elle s’est fortifiée via un état d’esprit de groupe exceptionnel. Nous nous sommes transmis aussi cette soif de victoire." Mon rapport avec Conte ? "Je savais depuis le début qu’il s’agirait d’une relation particulière. A l'été 2019, je lui avais écrit "J'arrive". Sur le terrain, je me bats pour l’équipe. Hors du terrain, j’aime la musique, les personnes vraies, je vie pour ma famille et j’aime rendre les autres heureux. La joie des interiste est aussi la mienne." L’attaquant révèle aussi son top 5 Nerazzurro Dans les buts Julio César : "Extraordinaire avec de la technique et du charisme." En défense Maicon : "Puissant, rapide, technique, il y en a peu comme lui." Adriano : "Je connais par cœur tous ses buts." Ronaldo : "Le football était la destinée d’Il Fenomeno." Eto'o : "Sa détermination et sa classe sont un exemple." ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  8. Adriano a fêté ce mercredi 17 février ses 39 ans. Pour l'occasion, le club lui a adressé un message qui mentionne en particulier ses buts inscrits lors du Derby en 2005 et 2009. "C'est comme si la scène se déroulait en ce moment: Nous regardions Juan Sebastian Veron s'apprêtant a frapper le corner, tous colère du but égalisateur marqué par Stam (2-2, 85'). Malgré cela, nous restions confiants. Le ballon est parti, fit une belle courbe avant de plonger en plein cœur de la surface de réparation." "A cet endroit précis les deux parties firent face: Burdisso s'élanca, Vieri coté adverse tenta de l'en empêcher. Mais à la surprise générale un seul y parviendra : notre numéro 10, Adriano. De part un saut vertigineux il partit à la conquête du ballon le frappant de sa tête et l'envoyant au fond des filets. Victoire. L'improbable s'était produit un soir de Décembre 2005, un soir d'Inter 3-2 Milan" "Aujourd’hui, le 17 février 2021, Adriano Leite Ribeiro fête ses 39 ans. Nous lui adressons nos meilleurs vœux ainsi que toute notre affection. C'est un évènement un peu spécial car il arrive à quelques jours du derby. Un défi face à l'AC Milan lequel Adriano en avait fait sa marque de fabrique : trois buts pour deux apparitions, statistique à ne pas oublier." "Autre derby marquant, celui du 15 Février 2009. Nouvelle personne sur le banc en la personne de Josè Mourinho, Adriano quant a lui est de retour cette saison-là après un prêt à Sao Paulo. L'entraineur choisit de l'associer d'entrée aux cotes d'Ibrahimovic. Le brésilien n'a au besoin qu'une demi-heure pour s'illustrer: sur un centre de Maicon coté droit il reprit le ballon de la tête, ce dernier touchant légèrement son bras avant de filer au but. S'en suit une célébration ou Adriano se dirige vers les bras de son entraineur, lui qui l'avait défini comme l'un de ses joueurs préférés." "Ce but aura une saveur symbolique étant le dernier marqué par le brésilien sous nos couleurs, le 74ème pour 177 matchs disputés. L'Inter prendra l'avantage dans ce match grâce au but de Dejan Stankovic" ®KarimGipuzcoa - Internazionale.fr
  9. Douglas Maicon, mythique joueur de l’Inter du Triplé s’est livré à Inter Podcast sur le Derby Della Madonnina à venir "La veille du Derby, je dormais peu, affronter une équipe comme le Milan était grandiose. En plus, il y avait Kakà qui m’était attribué." "Le Derby est une partie mondiale, c’est un honneur pour tout joueur : Materazzi ne dormait jamais la veille du Derby, tous les joueurs avaient en tête cette partie. La première rencontre que nous regardions tous, à la sortie du calendrier, c’était le jour du Derby." "Ce sera un match important, celui qui va l’emporter s’ouvre la voie du titre." Hakimi? "L’Inter joue ici en 3-5-2 et moi je partais de derrière, mais il est l’un de ceux qui font la différence : Il a ses propres qualités et il va devenir un très grandissime joueur." Achraf Hakimi est-il le digne héritier de Douglas Maicon, selon vous ? ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  10. Douglas Maicon est de retour en Italie. C'est maintenant officiel, l'ex-latéral droit de l'Inter, un des acteurs majeurs du Triplete des nerazzurri durant la saison 2009/2010 a signé un contrat avec le Sona ASD, club militant en Serie D. Le brésilien de 39 ans débarque donc de son ancien club de Villa Nova et sera disponible en Janvier: "Le Sona est très heureux de souhaiter la bienvenue à un des latéraux les plus forts de tous les temps", écrit le club vénétien, "il arrivera durant la première semaine du mois de Janvier". ®Samus - Internazionale.fr
  11. Le 22 Mai fut une journée spéciale pour les tifosi de l'Inter, les 10 ans de la conquête du Triplete. A cette occasion, SkySport a interviewé un des piliers de l'équipe de 2010, Maicon. "Le plus beau souvenir fut la victoire en Champions League, un titre important, non seulement pour les joueurs mais aussi pour le club et le président notamment. Il le désirait tant et il a fait le travail pour y arriver. Moratti est unique, il chouchoute ses gars et est en contact direct avec eux, pour moi il restera toujours le président de l'Inter"., nous avons passé le palier et atteint notre objectif cette saison-là. Aucun regret au regard de ma carrière, j'ai réalisé ce que je voulais le plus et je suis content de mon histoire." Le premier contact avec l'Inter : "Il a eu lieu entre Oriali et mon agent, ce dernier m'a ensuite contacté et m'a demandé si je voulais rejoindre l'Inter, Oriali a ensuite pris le relais. C'était une belle sensation, dès le premier appel j'ai senti que l'Inter voulait réellement que je les rejoigne. Je ne voulais rien de plus, signer et commencer à jouer c'était mon objectif, le moment de devenir un footballeur à part entière. Je suis très content d'avoir endossé ce maillot, je remercie tous ceux qui ont fait en sorte que ce soit possible, je suis tellement content." L'Inter du Triplete : "Il y avait tellement de leaders dans l'équipe, mais l'important était que, lorsqu'on allait sur le terrain, nous luttions les uns pour les autres. C'était pas indispensable d'être des amis, mais courir les uns pour les autres, c'était ça notre force." Le but contre la Juve : "Le plus beau but de ma carrière, un moment important dans la course au titre et marquer ce but face à Buffon, est encore plus exceptionnel. Je suis fier, ce n'était pas simple, c'est un très beau but. Tout devait se passer parfaitement, l'action aurait pu être ratée à cause du moindre détail, mais je n'ai pas hésité. J'ai eu de la chance et tout s'est bien passé". Le moment le plus important de la Ligue des Champions : "Pour moi ce fut Kiev, contre le Dinamo. C'est le match-référence de la saison, avec une défaite nous étions éliminés. Il ne faisait pas beau, nous étions fatigués, c'était la fin de l'année. Gagner contre Chelsea deux fois a été très important aussi, ça nous a motivé pour le reste de la saison. Barcelone ? Si on souhaitait remporter la Ligue des Champions, il fallait rouler sur tout le monde, eux ils savaient remporter un match avec ne serait-ce qu'un geste. Nous, nous étions extrêmement motivés pour décrocher notre ticket pour la finale". Le Barca : "Messi était le meilleur au monde. Je me rappelle encore quand Thiago Motta a été expulsé, j'ai parlé avec Lucio, Samuel, Chivu et Zanetti en leur disant que c'était maintenant que nous devions montrer notre travail défensif. Et c'est ce qui s'est passé, Eto'o a joué latéral gauche, Pandev latéral droit. Et tout s'est bien passé, nous avons souffert jusqu'à la fin, le but de Piqué, le but annulé. Une vraie grande demi-finale." La finale : "Les gens pensaient qu'une fois le Barca éliminé, le reste était facile. Les joueurs pensaient différemment. Nous connaissions la qualité du Bayern et eux aussi avaient un Triplé à portée de main. Nous avons très bien joué ce jour-là, nous avons été parfaits, nous avons très peu concédé à part la parade de Julio César sur Muller. Milito a été magique et a fait la différence. Que d'émotions, un moment important pour moi, pour le club, pour mes coéquipiers. Nous avons mérité de la remporter, nous avons fait un beau parcours. Réaliser un Triplete ce n'est pas facile, ce sont de beaux souvenirs qui resteront gravés à jamais. Quand je vais à Milan, les gens me parlent de ces moments, c'est spécial." Les tifosi : "Magnifique. 60 000 personnes à San Siro à 6h du matin, c'était fou. Ca a été un cadeau pour tout le monde, chacun a travaillé pour entrer dans l'histoire du club. Je remercie tous ceux qui ont contribué, ma famille a toujours été très proche de moi, ils ont fait tellement de choses pour moi." ®Samus - internazionale.fr
  12. Depuis que le légendaire manager argentin Helenio Herrera a conduit l'Internazionale à leurs deux premières Coupes d'Europe dans les années 1960, notre club milanais a eu un lien presque inextricable avec le continent sud-américain. L'Inter a dû attendre 35 longues années pour ajouter une autre Coupe d'Europe dans son armoire à trophées et lorsqu'elle a été remportée en 2010, il y avait une forte influence sud-américaine ; six joueurs du onze de départ de Jose Mourinho venaient de là, pendant que l'attaquant argentin Diego Milito marqua les deux buts pour une victoire 2-0 contre le Bayern Munich. Avançons rapidement jusqu'à aujourd'hui. Il reste un fort contingent sud-américain dans l'équipe avec deux Uruguayens, un Argentin et un Chilien, tous en lice pour une place sur le terrain. La liste des stars sud-américaines pour représenter l'Inter dans le passé est longue, en particulier depuis le début du siècle, alors que le Meazza a accueilli certains des meilleurs joueurs de l'histoire. Alors sans plus tarder, voici l'ultime XI combiné sud-américain de l'Inter depuis 2000 Gardien : Julio Cesar Nationalité: brésilienne Apps internationales: 87 Honneurs: Serie A (x5), Coppa Italia (x3), Ligue des Champions Apps Inter: 300 Le transfert de Julio Cesar de Flamengo à l'Inter en 2005 était loin d'être simple. Notre club comptant déjà le nombre max de joueurs non européens, César a dû être prêté au Chievo pour une demi-saison avant de finalement nous rejoindre six mois plus tard, après aucun match joué à Vérone. Malgré ce délai, Cesar a certainement rattrapé le temps perdu en s'établissant rapidement comme le gardien titulaire, position qu'il a conservée tout au long de son séjour de sept ans à Milan. Il a joué pour la dernière fois pour son club d'enfance, Flamengo. Arrière droit: Maicon Nationalité: brésilienne Apps internationales: 76 Honneurs: Serie A (x4), Coppa Italia (x2), Ligue des Champions Apps Inter: 236 Défenseur canonnier forgé dans le moule traditionnel brésilien, Maicon était un autre achat sud-américain rentable qui a connu un grand succès sous nos célèbres rayures noires et bleues. À son apogée, Maicon était le meilleur arrière droit du football mondial - une déclaration validée par le fait qu'il ait gardé Dani Alves hors de l'équipe brésilienne - et en plus de ses qualités défensives, il a également marqué 20 buts pour notre club. Il a passé les dernières années de sa carrière sur les ailes des clubs brésiliens Avaí et Criciúma. Défenseur central: Lucio Nationalité: brésilienne Apps internationales: 105 Honneurs: Serie A, Coppa Italia (x2), Ligue des Champions Apps Inter: 136 Mourinho a fait signer des contrats exceptionnels au cours de sa carrière de manager brillamment réussie, mais peu peuvent égaler son achat de Lucio au Bayern Munich en 2009. Le défenseur intransigeant - qui avait également un penchant pour des incursions osées dans l'autre moitié - a conclu une entente brillante avec Walter Samuel au cœur de la défense centrale et a joué un rôle essentiel lors du Triplé historique. Défenseur central: Walter Samuel Nationalité: argentine Apps internationales: 56 Honneurs: Serie A (x5), Coppa Italia (x3), Ligue des Champions Apps Inter: 236 L'autre moitié du duo défensif hermétique de Mourinho, Walter Samuel, a rejoint l'Inter en 2005 après avoir eu du mal à gérer la pression au Real Madrid des Galactiques. Au cours de ses cinq premières années au Meazza, Samuel a remporté la Serie A chaque saison et au total, il a passé neuf années réussies à Milan, avant de terminer sa carrière en passant deux ans au FC Bâle. Arrière gauche: Ivan Cordoba Nationalité: colombienne Apps internationales: 73 Honneurs: Serie A (x5), Coppa Italia (x4), Ligue des Champions Apps Inter: 455 Un petit défenseur qui était à l'aise pour jouer à quatre arrières, Ivan Cordoba était connu pour posséder un sacré saut malgré sa taille, 1m73. Cordoba a passé toute sa carrière européenne à l'Inter qu'il quitta en 2012 après 12 ans de bon et loyaux services. Le n°2 interiste de longue date a également l’honneur d’être le seul homme de l’histoire à avoir dirigé l’équipe nationale colombienne sur un trophée majeur - la Copa America 2001. Milieu défensif: Javier Zanetti Nationalité: argentine Apps internationales: 143 Honneurs: Serie A (x5), Coppa Italia (x4), Ligue des Champions, Coupe UEFA Apps Inter: 858 (Record) Après 19 ans, 858 apparitions, 21 buts et 11 trophées majeurs, Javier Zanetti a finalement mis un terme à sa brillante carrière à l'Inter en 2014 à l'âge de 41 ans. En signe de respect pour son No.4, le maillot a été retiré peu après. Non seulement Zanetti était un professionnel exemplaire, mais il s'est également réinventé de manière impressionnante en tant que joueur au fil de sa carrière, se transformant d'un ailier maraudeur en un milieu de terrain défensif et même un arrière central de fortune. Comme une reconnaissance de la part du club, Zanetti est désormais vice-président de l'Inter. Milieu central: Esteban Cambiasso Nationalité: argentine Apps internationales: 52 Honneurs: Serie A (x5), Coppa Italia (x4), Ligue des Champions Apps Inter: 420 Un autre Argentin qui a fait partie des meubles de l'Inter. Esteban Cambiasso est venu en Italie par un transfert gratuit après quatre saisons relativement peu satisfaisantes au Real Madrid, où il a été principalement utilisé comme remplaçant. À l'Inter, cependant, il était un titulaire régulier incontesté et de plus en plus apprécié par l'équipe pendant ses années sous Roberto Mancini et plus tard Mourinho. Tout comme son compatriote Samuel, Cambiasso est parti en 2014, passant une saison à Leicester City avant de filer à l'Olympiakos en 2015. Milieu de terrain: Juan Sebastian Veron Nationalité: argentine Apps internationales: 73 Honneurs: Serie A, Coppa Italia (x2) Apps Inter: 74 Bien qu'il n'ait jamais été sous contrat avec l'Inter, en prêt pendant 2 ans, Juan Sebastian Veron y a connu une période de rédemption après trois années difficiles en Angleterre avec Manchester United et Chelsea. Veron ou ‘le petit sorcier’ comme on l’appelait souvent, a aidé l’Inter à remporter deux coupes d'Italie consécutives et a également mis la main sur un Scudetto avant de rentrer chez lui en Argentine pour jouer pour l'Estudiantes. Milieu offensif: Alvaro Recoba Nationalité: uruguayenne Apps internationales: 69 Honneurs: Serie A (x2), Coppa Italia (x2), Coupe de l'UEFA Apps Inter: 260 Un talent suprême dont la carrière a malheureusement été compromise par des problèmes de blessures, Alvaro Recoba n'a peut-être pas réalisé autant que prévu, mais il a certainement fourni aux fans de l'Inter de nombreux moments de magie pendant ses 11 ans. Recoba est devenu célèbre pour avoir mis de spectaculaires frappes de loin - à la fois dans le jeu et en coups francs, qui devaient devenir sa marque de fabrique - avec son pied gauche extra-spécial. Malgré ses nombreux problèmes de blessures, Recoba a réussi à continuer jusqu'en 2015, lorsqu'il a pris sa retraite après avoir joué pour le Nacional. Attaquant : Ronaldo Nationalité: brésilienne Apps internationales: 98 Honneurs: Coupe de l'UEFA Apps Inter: 99 Surnommé « Il Fenomeno», l'Inter a jugé bon d'effacer le record du monde des transferts en 1997 en signant Ronaldo pour 19,5 M£. A ce moment-là, après avoir marqué 47 buts en seulement 49 matchs pour Barcelone, il était sans aucun doute la top-propriété du football mondial. Ronaldo a également conservé cette même veine qu'il avait montrée en Catalogne à Milan, marquant 34 buts lors de sa première saison avant le désastre qui le frappa lors de la Coupe du monde 1998. Des blessures ont détruit le reste de son temps à l'Inter, mais il a tout de même réussi un respectable 59 buts en 99 matchs avant son transferts en 2002 au Real Madrid. Attaquant: Diego Milito Nationalité: argentine Apps internationales: 25 Honneurs: Serie A, Coppa Italia (x2), Ligue des Champions, Apps Inter: 171 Un homme qui mérite une sélection dans cette équipe rien que pour ces deux buts contre le Bayern Munich. Ses deux buts contre les Bavarois ont permis à l'Inter de gagner 2-0 en finale de la Ligue des Champions et mettre fin à une disette de 35 ans pour décrocher le titre suprême du football européen. La saison 2009-2010 a sans aucun doute été la meilleure de Milito sous le maillot de l'Inter, bien qu'il ait connu une autre campagne prolifique en 2011-12 lorsqu'il a marqué 24 buts en championnat. Après cinq ans au club, il a rejoint le Racing Club en Argentine où il a pris sa retraite en 2016. Aujourd'hui il nous envoie des pépites comme Lautaro Martinez.
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