Aller au contenu

Rechercher dans la communauté

Affichage des résultats pour les étiquettes 'dusan vlahovic'.

  • Rechercher par étiquettes

    Saisir les étiquettes en les séparant par une virgule.
    Ecrire en minuscule, toujours mettre le combo "prénom nom" pour un joueur, dirigeant, etc... ne pas mettre les sources en tag, ne pas mettre "inter", ne pas mettre plusieurs version d'un tag ("serie a" et non pas "seriea").
  • Rechercher par auteur

Type du contenu


Forums

  • La Communauté
    • Présentations
    • Vos Déplacements
    • La Curva du Forum
    • Annonces & Support
  • F.C. Internazionale
    • Le Club
    • Effectif
    • Transferts & Rumeurs
    • Les Matchs
  • Football en général
    • Calcio
    • Coupe d'Italie
    • Coupes d'Europes
    • Autres championnats
    • Les Equipes Nationales
    • Les Débats
    • Autres Sports
  • Devenir membre de Inter Club Paris
  • Le QG : La Taverne des Korrigans de Inter Club Paris
  • Photos de Inter Club Paris
  • Contacts de Inter Club Paris
  • Devenir membre de Inter Club Morocco
  • Le QG Casablanca : Café place des gameurs de Inter Club Morocco
  • Photos de Inter Club Morocco
  • Contacts de Inter Club Morocco
  • Le QG Rabat : Café Nostalgia de Inter Club Morocco
  • Contacts de Inter Club Vevey
  • A propos de Inter Club Charleroi
  • Inscriptions de Inter Club Charleroi
  • Contacts de Inter Club Mulhouse

Catégories

  • F.C. Internazionale Milano
  • Mercato
  • Interviews
  • Serie A
  • Coupes d'Europe
  • Nos Dossiers

Calendriers

  • Amicaux
  • Serie A
  • ICC
  • Coupe d'Italie
  • Ligue des Champions
  • Ligue Europa
  • Évènements de Inter Club Paris

Le Blog du staff

Catégories

  • Inter
  • Serie A
    • 2020/2021
  • Coupes d'Europe
  • Coupe d'Italie
  • Joueurs
  • Primavera
  • Femmes
  • Top
  • Collector
  • Matchs entiers
  • eSports

Rechercher les résultats dans…

Rechercher les résultats qui…


Date de création

  • Début

    Fin


Dernière mise à jour

  • Début

    Fin


Filtrer par nombre de…

Inscription

  • Début

    Fin


Groupe


Facebook


Snapchat


Instagram


Site web


Lieu


Joueurs

  1. Dans les studios Mediaset lors du dernier épisode de 'Pressing', Graziano Cesari a analysé les épisodes controversés au ralenti de l'Inter-Juventus , décisifs pour la victoire des Bianconeri : " Il faut établir si le toucher de la main est volontaire ou non, avec le mouvement du bras. Le premier toucher du bras de Vlahovic n'est pas punissable, car on voit qu'il retire son bras vers le corps. Ce n'est pas vrai que le VAR n'avait pas d'images. Les images sont très nettes. Sur Rabiot on voit clairement que le ballon touche le bras du joueur, qui fait un mouvement pour apprivoiser le ballon. Pour Chiffi, ce que le VAR décide c'est ce qui compte". La touche fait partie de la même action, étant donné que l'Inter ne touche pas le ballon. Nous ne donnons pas de fausses informations. Il y a aussi des images sur la touche de Vlahovic, je ne comprends pas pourquoi dire qu'il n'y a pas d'images. S'il touche avec son bras il y a forcément un avantage, car la rotation du ballon change. La main de Rabiot et celle de Vlahovic est encore plus exigeante d'un point de vue réglementaire. La VAR à abandonner l'arbitre et lui a laissé la décision. Traduction Lindt1908 Via Fc Inter1908
  2. C'est une révélation de Sport Mediaset: Gianluca Rocchi songerait à dévoiler l'échange audio entre la VAR et l'arbitre italien au cœur de la polémique du dernier Derby d'Italie: "Dans la salle VAR de Lissone, Mazzoleni et Piccinini ont mis 4 minutes et 10 secondes pour passer au crible l'action du but de Filip Kostic, afin d'évaluer 3 cas possibles de contacts avec la main." Cas 1, Rabiot "Dans l'étude de l'émission Pressing de Graziano Cesari, ce sont des mains punissables mais devant les images sous tous les angles les avis ne sont pas univoques. Nous pouvons confirmer qu'au moins 2 minutes ont été perdues dans le VOR à la recherche d'une image incontestable, qui, comme dans l'étude Pressing, n'a pas été retrouvée." Cas 2 Résolu par Mazzoleni devant le moniteur en quelques secondes : "Après le prétendu toucher de Rabiot, le ballon percute le bras gauche de Vlahovic qui est attaché au corps et à l'intérieur de la "figure", impossible de parler de punissabilité." Cas 3 Le plus épineux: "Une nouvelle touche du bras Vlahovic après l'échange avec Rabiot. Dans l'étude de Pressing, ils l'ont jugée punissable. Nous sommes en mesure de vous révéler que la VAR, après avoir vu toutes les images disponibles pendant encore 2', est arrivé à la conclusion "touché non punissable et OFR inutile"." "Ce choix a été approuvé par la hiérarchie de l'Arbitre, en se référant également à la comparaison avec le but annulé pour Locatelli lors de Juve-Roma de la 3e journée, toujours par la faute de Vlahovic : Pendant l'action offensive, le bras du Serbe a touché le ballon de manière apparemment fortuite, mais il était ouvert à 90° par rapport au corps. Dans le cas d'Inter-Juventus, il était au contraire très proche du corps. Des doutes subsistent cependant, car l'attaquant donne l'impression d'effectuer un mouvement du bras droit, léger mais probablement décisif pour le contrôle du ballon. Rocchi a été déçu par la gestion des fautes, des cartons et de la nervosité manifeste de Chiffi: La prestation de l'arbitre de la section de Padoue a été jugée insuffisante." "L'AIA se montre également très agacée par les déclarations de Simone Inzaghi, qui a exigé le respect. Pour la haute direction de l'arbitrage, régler la question du but de Kostic en 20 secondes aurait été un manque de respect absolu, alors que la révision de 4 minutes montrerait que l'on a fait attention à ne pas commettre de graves erreurs: C'est pourquoi Rocchi prévoit déjà de rendre public le dialogue entre Chiffi et le VAR Mazzoleni à la première occasion de rencontre avec la presse." Avec un audio revisité au lieu d'un direct, n'est-ce pas ? ®Antony Gilles - Internazionale.fr
  3. Stephane Dalmat s'est livré suite à la nouvelle défaite de l'Inter en Serie A, la neuvième de rang.... https://www.instagram.com/reel/CqASKC3IuRG/?utm_source=ig_web_copy_link "Bonjour à tous, Hier, c’était une défaite de l’Inter contre la Juventus, moi je vais vous dire la vérité, pour moi un match nul… la Juve mérite sa victoire: Je suis sur que l’on parlera toujours de la main que l’on peut siffler, que l’on peut ne pas siffler. Pour Vlahovic, je le vois bien, il ne la prend pas de la main, mais du ventre. Pour Rabiot, on peut discuter, ensuite on dira c’est toujours avec la Juve, ça se passe toujours avec la Juve: Oui, oui, ces situations se passent toujours avec la Juventus, mais il faut savoir accepter la vérité que sur ce match l’équipe d’Allegri et par-dessus tout l’entraineur ont été tactiquement extrêmement fort La Juve a joué bas, très bas et a laissé le ballon a l’Inter qui l’a fait tourné, qui avait la possession de balle à quasi 60 % mais elle pouvait jouer comme ça 4-5 heures et je suis certains qu’elle n’aurait jamais marqué, car lorsque tu joues contre une équipe comme ça qui joue bas : Toi tu as la possession du ballon, tu la fais tourner gauche, droite au milieu, tu fais des une deux …. Alors que la Juve, elle, attendait une perte de balle pour se projeter vers l’avant et elle a un joueur comme Rabiot qui sait comment aller de l’avant: C'est un milieu qui sait défendre et monter avec le ballon pour mettre ses attaquants en situation en attaquant la profondeur. C’est quelque chose que nous n’avons pas, nous avons quatre milieux, Çalhanoğlu, Mkhitaryan, Barella, Brozovic qui sont très fort en possession de balle, mais nous n’avons pas un ou deux joueurs qui savent passer l’homme pour faire la différence et pour se montrer dangereux face à la défense de la Juventus: C’est ce qui nous a manqué: Savoir prendre le ballon , on voyait Çalhanoğlu pour Brozovic pour Barella pour derrière, on fait tourner à gauche, à droite, des centres faciles pour le gardien, pour le défenseur… Comme ça non : Cela ne va pas tu peux jouer 4-5 heures comme ça, mais ça ne va pas face à une telle équipe: La Juve a joué très bien tactiquement et cela me fait mal de dire la vérité mais c’est comme ça : Elle a fait une partie parfaite. Ensuite, pour moi, l’Inter n’a pas ce genre de joueur ou deux joueurs qui prennent le risque de dribbler l’homme, faire le un contre un et faire la différence pour les attaquants. Ensuite, il y aura toujours la faute de main, "toujours avec la Juventus," mais selon moi ce n’est pas une excuse: Je suis déçu pour hier, je pensais comme je vous l’aviez dit auparavant que l’Inter allait procurer de très nombreuses sensations comme en Ligue des Champions face à Porto ou nous étions tous très content car l’équipe avait fait le travail, un match de guerrier, une très belle rencontre: En premier, il y a eu la défaite face à la Spezia et après la Ligue des Champions c’est une nouvelle défaite. On verra, on verra face à Benfica car ce sera encore un match difficile, mais il faut se concentrer sur le Championnat, vivement qu’elle se finisse cette saison et, selon moi, il faut changer l’entraineur car tactiquement, il a été inférieur, il n'a pas su trouver la solution pour mettre en difficulté la Juventus et il faut recruter deux trois joueurs qui savent faire la différence pour eux même ou pour les autres: Je suis triste. Je vous salue et je vous souhaite une bonne journée, que ce soit en bien ou en mal je vous parle toujours avec sincérité : Ce que je dis peut ne pas faire plaisir, mais je dis toujours ce que je pense et parfois lorsque je dis la vérité , les gens n’aime pas, mais c’est moi, je suis comme ça , je ne raconte pas de connerie. Comme je le dis toujours mes amis : Forza Inter! On se revoit pour le prochain match" ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  4. En effet, si l’Inter n’a absolument rien montré de la rencontre et s’offre une neuvième et scandaleuse défaite en Serie A indigne de son rang, la Juventus l’a méritoirement remporté au Giuseppe Meazza, mais la manière n’y est pas. A la 23ème minute de jeu, Adrien Rabiot récupère un ballon en le touchant du coude (donc de la main dans le jargon sportif) mieux encore, comme le montre le cliché ci-dessous Dusan Vlahovic le replace dans sa course également avec l’aide du bras avant de servir Kostic qui ne laisse aucune chance à un André Onana qui aura été le seul à la hauteur des évènements Malgré 4 minutes de visionnage, la Var et Chiffi (qui porte bien son nom étant donné que Schifo veut dire honte) valide le but polémique: En fin de rencontre et après la rencontre Danilo D’Ambrosio et Paredes se sont fait expulsé. L’Inter perd également sa seconde place au profit de la Lazio et bien plus que la défaite, le non-match et un fantomatique Marcelo Brozovic auteur de très nombreuses perte de balle au profit de la Juventus pose énormément question : Qu’arrive-t ’il à la Beneamata ? Tableau Récapitulatif Résumé Vidéo Inter 0-1 Juventus Buteurs : 23' Kostic Inter: 24 Onana; 36 Darmian (79' 11 Correa), 6 De Vrij, 15 Acerbi; 2 Dumfries (83' 12 Bellanova), 23 Barella (62' 22 Mkhitaryan), 77 Brozovic, 20 Çalhanoğlu, 32 Dimarco (62' 33 D'Ambrosio); 90 Lukaku (79' 9 Dzeko), 10 Lautaro Martinez Banc: 1 Handanovic, 21 Cordaz, 5 Gagliardini, 14 Asllani, 45 Carboni, 46 Zanotti, 47 Fontanarosa T1: Simone Inzaghi Juventus: 1 Szczesny; 15 Gatti, 3 Bremer, 6 Danilo; 2 De Sciglio (75' 11 Cuadrado), 44 Fagioli, 5 Locatelli, 25 Rabiot, 17 Kostic; 30 Soulé (66' 7 Chiesa, 83' 32 Paredes); 9 Vlahovic Banc: 23 Pinsoglio, 36 Perin, 19 Bonucci, 22 Di Maria, 24 Rugani, 32 Paredes, 45 Barrenechea, Sekulov, 43 Iling Jr T1: Massimiliano Allegri Arbitre: Chiffi VAR: Mazzoleni Averti(s): Barella (I), Gatti (J), Rabiot (J), Danilo (J), Fagioli (J), D'Ambrosio (I), Paredes (J), Brozovic (I) Expulsé(s): D'Ambrosio (I), Paredes (J) Affluence : 75224 Tifosi ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  5. Daniele Mari est le Directeur de Fcinter1908.it est celui-ci a noté la prestation des joueurs suite à cette neuvième défaite de la saison André Onana 6 "Il parvient à déjouer une Juventus menaçante alors que le résultat est déjà compromis : Il ne bouge pas sur le tir de Kostic mais c’est bel est bien Dumfries qui l’empale et qui laisse la fenêtre de tir totalement ouverte : Il n’a pas eu besoin de faire de miracle, mais il a repoussé quelques dangers de la meilleure des façons." Matteo Darmian 6 "Sur son aile, on retrouve Kostic qui lorsqu’il voit l’Inter s’illumine : Dumfries ne l’a que trop peu aidé à tel point que le défenseur "latéral" a dû reprendre aussi le poste de défenseur central, il faisait tout tout seul,: Il ne s’en sort globalement pas trop mal, en parvenant même à bloquer des actions." Stefan De Vrij 6,5 "De retour en tant que titulaire face à Vlahovic, un attaquant qui ne combien que trop peu : Il prouve encore être un Monsieur, nous avons tous la conviction qu’il a 38 ans, mais il reste le bon Stefan d’à peine 31 ans : Il est resté trop longtemps sous naphtaline, qui sait si une série de rencontre pourrait faire de lui à nouveau un joueur protagoniste." Francesco Acerbi 6,5 "Il se met à faire le Bastoni et cela s’est vu à plusieurs reprise en phase offensive : Il a tenté à plusieurs reprise d’improviser sur l’aile mais s’est souvent retrouver malchanceux sur ces centres : Sa performance défensive elle, n’a jamais failli." Denzel Dumfries 5 "Sur le but de Kostic, il commet une faute professionnelle très grave qui n'est surpassée que par la faute de Chiffi. Au lieu d'attaquer Kostic qui tire, il recule pour défendre le but, laissant la fenêtre de tir complètement à découvert. Une erreur impardonnable dans un match des plus modeste.s" Nicolò Barella 6,5 "Très nerveux après la faute professionnelle de Chiffi mais aussi le plus pro-positif : Il fait chauffer les gants de Szczesny et les meilleures actions passent systématiquement par ses pieds : Lorsqu’il se fait avertir pour protestation, il est substantiellement condamné à être remplacé, un remplacement qui arrive ponctuellement à l’heure de jeu." Marcelo Brozovic 5 "Une régie bien trop peu illuminée : Lent à la manœuvre, il ralenti le jeu constamment, jamais une intuition, jamais un fait de jeu digne du vrai Brozovic : C’était sa chance pour lui de se retrouver sous le feu des projecteurs, il n’en a pas profité." Hakan Çalhanoğlu 5,5 "Si lui aussi a des difficultés, cela veut dire que quelque chose ne tourne pas rond : Le fait de redevenir Mezzala ne l’a évidemment pas aidé, à tel point qu’il reculait volontiers en afin de récupérer des ballons pour reprendre le rôle de la Régie de l’équipe : Mais il ne s’est montré que trop peu précis avec le ballon, et lorsqu’il avait un bon ballon son contrôle lui fait défaut." Federico Dimarco 5,5 "Il est dans une situation physique précaire et cela se voit. Si Gosens avait été disponible, il n'aurait probablement pas joué dès le début. Il pousse très peu comparé à l’habitude, a un bon ballon mais le centre est trop profond. Il a besoin d'une pause, plus que d'autres" Romelu Lukaku 6 "Beaucoup plus vivace physiquement que lors de ses dernières sorties: Tient le ballon, garde les adversaires à distance, tente même quelques relances. Mais il reste un point négatif : il n'a pratiquement pas d'occasions. Et Lukaku est un joueur qui se crée aussi ses propres occasions. Il doit encore grandir, mais les signes sont encourageants." Lautaro Martinez 5 "Il ne réussit rien. Son engagement n'est pas en cause, mais sa performance est vraiment médiocre. Il est peut-être en manque d'oxygène, mais il arrive toujours en deuxième position et il n'y a pas une seule action qui mérite d'être soulignée." Changements Danilo D'Ambrosio 5 "Entre à la place de Dimarco dans un rôle qui n'est pas le sien. Et en fait il ne montre rien sauf se faire expulser à la fin du match." Henrik Mkhitaryan 5,5 "Lui non plus n'a pas de fulgurances notables. Quelques tirs de l'extérieur de la surface, mais très imprécis." Edin Dzeko non-côté Joaquin Correa non-côté Raul Bellanova non-côté Simone Inzaghi 5 "Il offre littéralement deux victoires à la Juventus. Chiffi est une honte mais il laisse l'équipe imploser, en arrêtant de jouer et en ne le mettant sur la voie de la bagarre quand face à Soulè, Fagioli et Gatti, il fallait garder la tête et se montrer plus attentif. Neuf défaites en championnat : un tableau de chasse inacceptable. La balançoire entre les résultats qui enlèvent cailloux dans la chaussure et les chutes tonitruantes continue. La place en Ligue des Champions est menacée." Daniele Chiffi via Tuttosport 5 "Sur les mains possibles de Rabiot, les images ne l'aident pas et c'est donc la décision prise sur le terrain qui prime d'où la colère des Nerazzurri. En plus de cela, il commet beaucoup d'autres maladresses entre les fautes non-données et les cartons non-sorti. Mauvaise soirée" ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  6. La saison dernière aurait été une campagne qui a fait mal pour les Nerazzurri, contraints de laisser le Scudetto au rival de la même ville, l'AC Milan. Cependant, le club n'a pas perdu de temps pour essayer de se remettre sur les rails pour la saison prochaine. Un long été de transferts en Serie A ne fait qu'aiguiser l'appétit pour ce qui devrait être une campagne captivante dans l'élite italienne en 2022-2023. Mais, avec les recrutements déjà effectués, l’Inter est-elle suffisamment forte pour se battre pour le titre de champion d'Italie la saison prochaine ? Où est-ce que l'Inter failli la saison dernière ? Il est difficile de déterminer exactement où l'Inter a été faible lors de la saison 2021-2022. Les Nerazzurri ont marqué plus de buts et encaissé moins de buts que lors de la campagne victorieuse en 2020-2021. L'Inter a marqué 84 buts, un record en championnat, et a encaissé le deuxième plus petit nombre de buts (32). Bien que le club n'ait pas remporté le championnat, il a pu fêter son succès en Coppa Italia et a atteint les huitièmes de finale de la Ligue des champions. Cependant, le facteur principal qui a contribué à ce que l'Inter ne remporte pas le championnat en 2021-2022 est le nombre de matchs nuls. Au total, l'Inter a concédé neuf matches nuls en 2021-2022, soit deux de plus que lors de la saison précédente. On pourrait dire que leur point faible vers la fin du championnat était en fait la créativité en fin de saison, n’ayant pas réussi à briser des adversaires comme le Torino ou la Fiorentina. Des victoires dans ces rencontres les auraient mis au bord de la gloire en Serie A, mais au lieu de cela, ils ont dû regretter les occasions manquées. Les matches nuls contre l'Atalanta et le Genoa à l'extérieur ont également été préjudiciables en milieu de saison : l’Inter a manqué de qualité offensive sur le banc, surtout après le départ de Romelu Lukaku. Qu'est-ce que l'Inter a corrigé jusqu'à présent au mercato d’été ? L'Inter a déjà été très actif cet été, le plus grand renfort à son effectif étant le retour de Romelu Lukaku. Après une année noire à Chelsea, le recordman des Blues est revenu à Milan pour un prêt d'un an, pour un montant de 8 millions d’Euros. Son retour donnera certainement un coup de pouce pour d'attaque et les options s’offrant à Inzaghi. Car, n’oublions pas qu’il a été sensationnel lors de son séjour de deux ans au club. De plus, il semble toujours être à la hauteur avec l'équipe nationale belge. Les Diables Rouges étant parmi les favoris de la prochaine Coupe du Monde au Qatar, il est possible que Romelu améliore sa forme cette saison afin d’être prêt pour le grand tournoi. BigRom a marqué un nombre impressionnant de 47 buts en 72 matchs de championnat avec l'Inter, et a réussi à enregistrer 64 buts en 95 matchs. Sa relation avec Lautaro Martinez a été un facteur clé dans leur campagne de titre, et un retour à cette dynamique les rend immédiatement des candidats de premier plan pour le titre de champion en 2022-2023. L'Inter s'est également attaqué à ses problèmes défensifs, avec un prêt pour Raoul Bellanova et le transfert définitif de Robin Gosens. Ce dernier pourrait être un élément important de l'équipe dans la saison à venir, car il ajoutera une option différente pour la construction des attaques. L'Allemand était un latéral libre lors de son passage à l'Atalanta, et l'un des meilleurs buteurs de son équipe nationale lors de l'EURO 2020 l'été dernier. Les problèmes liés au manque de créativité ont également été résolus avec les signatures officielles d'Henrikh Mkhitaryan et de Joaquin Correa à l'Inter en vue de cette saison. Alors que l'Arménien semble prêt à jouer un rôle sur le banc de touche, le transfert de Correa pour 23 millions d’Euros pourrait signifier qu'il sera un élément essentiel des plans offensifs de Simone Inzaghi pour la saison à venir. L'ancien joueur de la Lazio a marqué six buts en 36 matchs toutes compétitions confondues la saison dernière lors de son prêt à l'Inter. Cependant, il ne semble pas que l'Inter en ait fini avec ses dépenses, puisqu'ils travaillent toujours sur un accord pour faire venir Paulo Dybala à la Pinetina. Un dossier compliqué, avec la concurrence de Manchester United. l'Inter a aussi déjà confirmé la signature d'André Onana, le gardien de but de l'Ajax, qui remplacera à moyen terme Samir Handanovic. Contre qui l'Inter se battra-t-elle ? La course au titre pourrait être très intéressante en Italie la saison prochaine, avec un certain nombre de prétendants à la première place de la Serie A. L'AC Milan pense s'être suffisamment renforcé pour défendre son titre, tandis que Napoli et la Roma devraient revenir plus solides. Ces deux derniers viseront probablement davantage une place en Ligue des champions qu'un titre. Le plus grand concurrent semble être la Juventus, qui construit tranquillement une équipe qui semble redoutable. L'arrivée en janvier de Dusan Vlahovic a été très intéressante, mais les récentes acquisitions gratuites d'Angel Di Maria et de Paul Pogba ne font qu'ajouter de la qualité. Sur le plan défensif, l'équipe est toujours à la recherche d'un nouveau défenseur pour remplacer Giorgio Chiellini, déjà parti, et Matthijs de Ligt qui semble de plus en plus proche de la sortie. ®Oxyred - Internazionale.fr via SempreInter
  7. Est-ce un aveu d’impuissance de la part de la légende juventine ? Quoiqu’il en soit, Dino Zoff s’est livré sur le retour du Big Rom, à la Gazzetta Dello Sport: "L’Inter n’avait pas énormément besoin de se renforcer et avec Lukaku, je dirais qu’elle est en place et compétitive, même pour l’Europe." Le titre de Capocannoniere? "Ce sont les joueurs classiques, mais au-delà de Lukaku et Vlahovic, attention à Immobile qui présente une continuité impressionnante." Les gardiens ? "J’aime Meret en Serie A, il a le potentiel pour grandir. Donnarumma avec son curriculum vitae reste, dans l’absolu, le plus fort : Il nous a fait gagner l’Euro et vu que c’est un jeune gardien, je lui souhaite aussi de remporter la Coupe du Monde dans le futur !" ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  8. Certains savent s’offrir Paulo Dybala et Romelu Lukaku, d’autres tentent de s’offrir des joueurs en fin de carrière. Partant de ce constat, et selon Tuttosport, la Juve pourrait permettre à l’Inter de signer la Joya en libérant d’un attaquant : Tout simplement lunaire ! "L'attaquant bosniaque pourrait quitter l'Inter à un prix avantageux après le retour de Romelu Lukaku en provenance de Chelsea. En effet, après le départ d’Alvaro Morata, qui est retourné à l'Atletico Madrid, les Bianconeri cherchent un Vice-Vlahovic : Si le favori reste (l’ancien Nerazzurro) Marko Arnautovic de Bologne, attention à l'attaquant des Nerazzurri, qui peut quitter l'Inter après une seule saison. Pour sa première année milanaise, Dzeko a totalisé 17 buts et 10 passes décisives en 49 matchs toutes compétitions confondues." Accepteriez-vous de rendre "ce service" à la Vieille ? ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  9. Le défenseur de l'Inter Stefan de Vrij a déclaré que les Nerazzurri ont cru jusqu'au bout contre la Juventus mercredi soir, selon un rapport des médias italiens hier soir. S'exprimant lors d'une interview après le match aux micros de Sky Sport, via FCInternews, Stefan de Vrij a déclaré que malgré le fait qu'il savait que ce serait un test vraiment difficile pour l'équipe, l'Inter a continué à croire qu'ils allaient gagner jusqu'à la fin de la Coppa Italia. "Nous y avons cru jusqu'à la fin. Nous savions que ce serait difficile". Le défenseur néerlandais a également ajouté que l'équipe a passé beaucoup de temps à faire la fête sur le terrain après le coup de sifflet du temps plein. "Nous sommes très satisfaits. Nous avons passé beaucoup de temps sur le terrain à faire la fête." L'Inter a mené 1-0 très tôt dans la finale au Stadio Olimpico de Rome grâce à un but de Nicolo Barella. Des buts d'Alex Sandro et de Dusan Vlahovic au début de la seconde période ont permis à l'Inter de s'incliner 2-1. Un penalty d'Hakan Calhanoglu a permis à l'Inter de jouer la prolongation et Ivan Perisic a inscrit un doublé pour remporter le trophée. ®Internazionale.fr via SempreInter - Traduction Oxyred
  10. Vous ne rêvez absolument pas, Andrea Agnelli s’est livré au cours de l’évènement "Il Foglio a San Siro" , aussi bien sur le parcours de sa Juventus, mais également sur notre Beneamata! La Coupe d’Italie ? "Le Sport a une règle dans la vie : Que tout redémarre toujours à zéro, Il faut toujours être affamé et avoir l’envie d’arriver devant tout le monde : C’est l’essence même du sport. Chaque titre compte, mais ce n’est pas toujours l’équipe la plus forte qui ‘emporte, le plus important reste le Championnat car c’est vraiment l’indicateur de l’équipe qui est la plus forte. La compétition avec le plus d’appeal est la Ligue des Champions, mais chaque tournoi compte et c’est important de l’inscrire dans l’armoire à trophée." Avez-vous des regrets pour cette saison, suite à votre rencontre face à l’Inter ? "Chaque saison sans titre apporte des regrets : Cette partie nous a apporté un jugement diamétralement opposé, établir un jugement devrait avoir lieu en fin de saison, mais nous avons tendance à juger chaque match en revanche." Est-ce que le projet Agnelli est viable ? "Oui, j’en plaisante avec Lapo : Il la toujours la capacité d’intervenir au bons moments avec ses vannes. Nous sommes arrivé ici à regretter une partie qui s’est déroulée il y a déjà quelques semaines, mais notre vision du projet est à long terme : Arriver à regretter une saison est de bon augure pour définir les objectifs à venir." Le départ de Dybala ? "C’est un grand joueur, mais les décisions découlent d’instants : En décembre, si l’on m’avait parlé de Vlahovic à la Juve, j’aurais répondu que c’était impossible : Les ressources sont limitées et il faut savoir comme les investir. Vu sous cet angle nous avons Vlahovic, De Ligt, Locatelli et Chiesa et proposer une offre à Paulo qui n’est pas à la hauteur de son niveau aurait été injuste même pour lui, qui a 29-3 ans, se doit de trouver son ultime défi." Est-ce que Marotta manque à la Juve ? "Marotta est une personne qui me manque car je l'aime bien. À l’époque, des décisions ont été prises et des pensées ont été émises à son sujet, qui l'ont d'abord attiré puis plus du tout. Le club avait pris d'autres décisions. Il fait beaucoup de très belle choses à l'Inter, j’entretiens d’excellents rapports avec Steven Zhang, il y a aussi là-bas un ancien ami de l’Université." "Je peux vous le dire: J'aime assez bien l'Inter même si c'est particulier." Le Scudetto ? "Deux points en quatre matchs…Tout peut arriver : J’espère à un suicide collectif et que nous remportions tous nos matchs." Le nouveau stade de l’Inter et du Milan ? "Il a fait son temps, je l’ai déjà dit : On a sacrifié Wembley pour un nouveau Wembley qui n’a rien de comparable à celui du passé. En Italie, tu auras toujours besoin d’un stade de 60.000 personnes pour accueillir les grands évènements, tu dois aussi songer à la création d’un Stade "Di casa" pour la Nazionale. J’ai toujours dit à l’Inter et au Milan qu’il vaut mieux avoir des stades individuels, ensuite tu as la planification et les investissements, je comprends qu’ils veuillent faire certaines choses ensemble, mais il te restera toujours cette cohabitation qui ne te permettra pas d’avoir ta propre identité." Est-ce que la Coupe d’Italie pourrait vous arracher un sourire pour cette fin de saison ? "J'ai toujours le sourire aux lèvres, ainsi que la méchanceté de toujours gagner." Agnelli qui déclare "bien aimer l’Inter"……comment dire…. ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  11. Les poubelles des uns sont les trésors des autres….Et c’est d’autant plus vrai lorsque des rumeurs font état de l’intérêt sérieux du Milan Ac pour les deux anciens goleadors de l’Inter : Romelu Lukaku et Mauro Icardi Selon nos confrères anglais de Goal.com "L'AC Milan apparaît comme une destination possible pour l'attaquant Lukaku de Chelsea, qui coûte 100 millions de livres sterling. Le club de San Siro pourrait offrir une porte de sortie mais l'opération éventuelle est compliquée par le coût de la superstar belge. L'AC Milan pourrait offrir à Romelu Lukaku une porte de sortie à son cauchemar à Chelsea en fonction de l'issue de son rachat actuel." "Le joueur de 28 ans n'a pas marqué un seul but en championnat ou en Ligue des champions en 2022 et devient de plus en plus un problème pour Thomas Tuchel à Stamford Bridge. Ayant excellé chez les rivaux de l'Inter, Milan estime qu'il pourrait y avoir une opportunité de s'offrir Romelu Lukaku, mais cela dépend de beaucoup de circonstances." Selon Sport.fr: "Une opération sous forme de prêt pourrait être financée par Investcorp, le nouveau propriétaire bahreïni du club italien: La stratégie du Milan AC, selon Goal, est d’attendre que Chelsea soit également entre de nouvelles mains et profiter du fait qu’ils cherchent à assainir leurs comptes en se débarrassant du fardeau Lukaku." Et selon le Corriere Della Sera Manque plus que Pirelli en Main Sponsor et le compte est bon! "L’aventure de Mauro Icardi au Paris-Saint-Germain semble être arrivé au générique de fin : L’ancien attaquant argentin de l’Inter serait prêt à quitter Paris lors de la prochaine session du mercato: Maurito veut revenir en Italie, mais depuis l’arrivée de Dusan Vlahovic, il semble improbable qu’il débarque à la Juventus." "La nouvelle suggestion se nomme le Milan qui est à la recherche d’un attaquant pour la saison prochaine, même si la Direction Rossonera s’est activée depuis un certain temps sur Divock Origi de Liverpool." Selon vous, allons-nous assister à la trahison de l’autoproclamé "Roi" de Milan ? ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  12. APPIANO GENTILE - Le championnat a repris et pour l'Inter, c'est le Derby d'Italie qui l'attend. Les Nerazzurri sont prêts à reprendre le chemin de la compétition après la trêve internationale. Ils affronteront la Juventus de Massimiliano Allegri lors de la 31e semaine de Serie A à l'Allianz Stadium de Turin. Simone Inzaghi, l'entraîneur de l'Inter, était au rendez-vous à la conférence de presse d'avant-match, au cours de laquelle il a fait le point sur sa forme récente et évoqué ses attentes pour le match. Nous arrivons à la fin de la saison et le coup d'envoi sera donné demain par la Juve contre l'Inter : qu'attendez-vous de ce match ? "Ce match est de la plus haute importance. Il n'y a pas de meilleur match pour envoyer un message fort aux autres équipes et à nous-mêmes." Comment se porte Marcelo Brozovic ? Il a récemment renouvelé son contrat et a repris l'entraînement : est-il disponible ? "Tout le monde sait combien Brozovic est important pour nous, c'est un joueur crucial. Ces derniers jours, il va plutôt bien . Lui et Stefan de Vrij participeront à l'ensemble de la séance d'entraînement, nous verrons comment ils se portent." Comment se porte l'équipe ? Sont-ils tous conscients du fait que si vous revenez avec moins de trois points demain, vos espoirs de titre pourraient s'envoler ? "Hier, nous avons eu une bonne séance d'entraînement. C'est à nous maintenant de canaliser notre colère et notre caractère pour en faire plus. Nous avons perdu des points lors des sept derniers matches, avec des résultats décevants. Nous savons que nous allons avoir besoin d'énergie, d'agressivité et de détermination pour jouer continuer à nous battre. Nous avons affaire à un adversaire difficile à battre sur son terrain. Nous allons jouer avec personnalité et caractère." Pourquoi l'Inter a-t-il autant trébuché lors des derniers matchs alors qu'il avait si bien réussi les mois précédents ? "Toutes les équipes de haut niveau ont connu des moments difficiles. Il se trouve que les nôtres ont coïncidé avec la double confrontation contre Liverpool et je pense que cela a commencé avec le derby. Si vous m'aviez dit au début de l'année que nous aborderions le mois d'avril avec la Supercoupe d'Italie en poche, que nous aurions atteint les huitièmes de finale de la Ligue des champions et que nous serions toujours en course pour le Scudetto, j'aurais été très satisfait. C'est ce que le club voulait". Ce match pourrait remettre l'Inter sur le droit chemin : qu'en attendez-vous ? "Je m'attends à obtenir un bon résultat. Nous avons toujours réalisé de bonnes performances et créé tant d'occasions, même si nous sommes repartis récemment avec seulement sept points en sept matchs. Nous sommes déçus de notre nombre de points, alors nous voulons faire un bon résultat. Il reste neuf matches cruciaux à jouer et celui de demain est le plus difficile." Vous avez un bon bilan dans les rencontres uniques contre la Juventus : vous préparez-vous comme s'il s'agissait d'un match décisif ? "Nous savons que c'est un match important. Le résultat aura un impact sur le moral et le classement du championnat. Ensuite, il nous restera huit matchs de championnat à jouer, ainsi que la demi-finale de la Coppa Italia." Pensez-vous qu'il y a trop de négativité autour de l'Inter en ce moment ? "Nous devons accepter toutes les critiques, en séparant les commentaires constructifs de ceux qui ne le sont pas, que nous ignorons." Le dernier entraîneur de l'Inter à avoir gagné à Turin était Andrea Stramaccioni. Il a dit que pour battre la Juventus sur son terrain, il fallait être courageux et jouer comme des champions... "Il a tout à fait raison. Nous avons déjà joué la Juve en Supercoupe et nous l'avons battue. En championnat, nous avons fait match nul à cause d'un penalty dans les dernières minutes. Nous savons qu'ils vont très bien en ce moment. Ils arrivent dans ce match après une série de résultats positifs, ce qui les rapproche de la tête du championnat, là où tout le monde l'avait prédit." Qui, parmi Dusan Vlahovic et Juan Cuadrado, avez-vous le plus étudié ? "La Juve s'est améliorée depuis l'arrivée de Vlahovic et Denis Zakaria en janvier. Ils étaient déjà forts auparavant. La ligne d'attaque de la Juve compte de nombreux attaquants à surveiller." Y a-t-il un problème dans votre façon d'aborder les matchs ? "Je n'étais pas satisfait de notre approche des matchs contre la Fiorentina et le Torino, mais nous avons ensuite très bien joué en seconde période. Avec la Juve, il sera crucial de bien commencer dès le début." Pensez-vous que vous serez encore à l'Inter l'été prochain ? "En tant qu'entraîneurs, nous nous appuyons sur les résultats et les performances. Je suis très heureux et fier de la décision qui a été prise en juin. Ils étaient champions et avaient perdu deux de leurs meilleurs joueurs. Grâce au travail acharné du staff, les attentes de chacun ont été revues à la hausse. Bien que nous soyons dans la course au titre et que nous ayons déjà un trophée en poche, il est normal que nous soyons confrontés à des critiques. Mais c'est toujours le cas". Comment va Nicolo Barella ? Il n'a pas eu de bons moments ces derniers temps... "Ces derniers jours, il va bien, tout comme Alessandro Bastoni, Arturo Vidal et Alexis Sanchez, qui sont tous revenus déçus de la pause internationale. Ils doivent immédiatement porter leur attention sur le match de demain." Allegri pense que vous êtes les favoris pour le titre... "Nous avons un grand respect mutuel et c'est ce qu'il pense". Vous avez battu la Juve à de nombreuses reprises et vous savez comment le faire : est-ce votre arme secrète ? "L'importance du match va nous inspirer, évidemment. Nous jouons à l'extérieur, ce sera donc une expérience différente de celle vécue à San Siro, mais nous devrons réaliser une performance classique de l'Inter." Lors des derniers matchs, les milieux de terrain ont été moins impliqués dans le jeu offensif, avec peu de buts. Pensez-vous devoir vous améliorer dans ce domaine ? "Nous somme toujours aussi dangereux qu'en début de la saison. Nous cherchons toujours à nous améliorer et nous allons commencer par le faire demain." ®Oxyred – Internazionale.fr via SempreInter
  13. C’est l’information de la journée relayée par Tuttosport : "Ceux qui le connaissent sont convaincu que Paulo Dybala veut rester en Italie, également pour prendre sa revanche sur la Juventus, même si les sirènes en provenance d’Espagne, d’Angleterre et de France sont fortes." "Et il est probable que Dybala, au-delà des offres économiques, choisira l’équipe qui lui garantira non seulement un meilleur espace, mais surtout un rôle de protagoniste, comme celui qui l’avait lors de ces dernières années à Turin, avant de se le voir retiré aussi bien par Cristiano Ronaldo que dernièrement par Dusan Vlahovic." "L’Inter, en ce sens, pourrait être la meilleure destination pour une possible Vendetta sportive sur la Juve et pour une position de leader technique mais les pièges sont nombreux pour Giuseppe Marotta, l’Administrateur-Délégué Nerazzurro, qui l’avait amené à Turin lorsqu’il était un jeune talent prêt à exploser." "En parlant de courtoisie, il ne faut pas oublier que Diego "Il Cholo" Simeone est un estimateur de longue date de Dybala. En ce sens, Simeone, pourrait également pousser la signature de Dybala à l’Inter, étant donné que le nom chaud pour l’Atletico Madrid est celui de Lautaro Martinez." "Lautaro Martinez dont son futur à l’Inter est inextricablement lié à l'arrivée de Joya." ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  14. C’est une information en provenance de Tuttosport, le célèbre quotidien très proche de l’actualité entourant la Vieille Dame : Celui-ci s’est intéressé sur la situation entourant le Capitaine déchu de la Vieille Dame, Paulo Dybala courtisé, entre autre, par l'Inter! Pourquoi une offre sera-t-elle faite à Cuadrado, avec une réduction de salaire et pas à Dybala ? "Tout simplement car Dybala ne pouvait plus être au centre du projet. Numéro 10, promu capitaine, meilleur buteur de la Juventus, joueur au talent incontesté, la Joya ne pouvait pas devenir qu’un simple "joueur de soutien". Pour être performant, il doit, comme tout joueur présentant ses caractéristiques, ressentir la confiance totale du lieu où il se trouve, cette confiance que l'on accorde aux éléments clés d'une équipe et la Juventus ne plaçait plus cette confiance en Dybala : Il y a eu trop de blessures au cours des deux dernières saisons pour le considérer, à 28 ans, comme l'un des piliers sur lesquels s'appuyer pour ouvrir un nouveau cycle." "A salaire inchangé, celui de la Joya aurait été le deuxième après celui de Matthijs De Ligt, établi avant le Covid. Il n'aurait pas non plus été au centre du projet tactique car c'est autour de Dusan Vlahovic, l'homme qui est le symbole le renouveau depuis présentation, que Massimiliano Allegri construira la prochaine attaque des Bianconeri." Place à présent au futur de la Joya "Avec l'Inter en première ligne en Italie, prête à tenter un énième recrutement gratuit à la Marotta et ceux qui connaissent bien le Joya parlent d'un garçon qui a été très secoué, mais désireux de tout donner jusqu'à son dernier match sous le maillot de la Juventus. Pour lui, c'est une question de professionnalisme et de respect envers les supporters qui ne manqueront pas de lui rendre un hommage approprié pour celui qui est actuellement le dixième meilleur buteur de l'histoire du club avec 113 buts, juste à deux longueur de Roberto Baggio (115 buts). Où jouera Dybala ? "Pour l'Italie, où le Joya aimerait rester, l'Inter est une candidate redoutée mais celle-ci doit d'abord se libérer de certains salaires imposants. Pour l'étranger, l'Atletico Madrid reste une option, même si le Président Enrique Cerezo a déclaré que "Dybala est un grand joueur, mais qu’il est bien trop tôt pour en parler". Le Fc Barcelone, selon des sources argentines, est prêt à passer à l'offensive. Tottenham, Arsenal et le Paris Saint-Germain, tous situés de l'autre côté des Alpes, semblen pour l'instant être des destinations utopiques" ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  15. S'exprimant lors d'un événement United by Alessandro Moggi à Milan, l'administrateur délégué de la Juventus, Maurizio Arrivabene, a évoqué la fumée noire avec Paulo Dybala et le non-renouvellement du contrat de la "Joya", qui expire le 30 juin prochain : "Le changement le plus important est ce dont on a parlé aujourd'hui, à savoir que la Juventus a décidé de ne pas prolonger avec Paulo Dybala. C'est la différence qu'il y a eu d'octobre à aujourd'hui." "Je suis très très clair. Il y a eu un changement dans ce sens avec le mercato de janvier et l'arrivée de Vlahovic : la configuration technique de l'équipe a changé. Notre projet a subi des modifications et une partie de ces modifications concerne le contrat de Dybala, qui n'a pas été renouvelé aujourd'hui. Il y a eu une réunion aujourd'hui, amicale et très claire, respectueuse pour une raison : Il aurait été facile pour la Juventus de faire une offre très basse mais pas très respectueuse envers Paulo. C'est un joueur qui a passé 7 ans avec nous." "Une telle offre n'aurait pas montré le respect que nous avons pour lui et ne l’aurait certainement pas aidé l'avenir de sa carrière. La décision a été prise, nous y avons beaucoup réfléchi. Il est important de souligner une chose : la direction de la Juventus ne prend pas de décisions contre la Juventus mais pour la Juventus. Nous avons eu une approche très, très sincère. Avec les achats effectués en janvier, avec l'arrivée de Vlahovic, la position de Paulo n'était plus au centre du projet. Nous avons donc préféré prendre cette décision." Il Padrino en Pole selon le Corriere Della Sera La future destination de la Joya pourrait être l'Inter, Beppe Marotta travaillant déjà pour convaincre l'Argentin d’épouse le projet Nerazzurro: "L’Administrateur-Délégué Giuseppe Marotta, est en pole position pour faire venir l'Argentin à Appiano. En arrière-plan, il y a Tottenham, l'Atletico Madrid, qui s'est déjà intéressé à Dybala par le passé, Barcelone et le Betis Séville". "Avec le départ d’Alexis Sanchez, un quadriennal à 7 millions d’euros par saison est possible." Dybala pour Sanchez, vous validez ? ®Antony Gilles - Internazionale.fr
  16. Si les deux équipes sur le terrain ont proposé un match terne, l’affiche alléchante a séduit de très nombreux téléspectateurs! Révélation de Calcio&Finanza "Plus de 56.000 spectateurs se sont rendus au Stade Giuseppe Meazza, soit le maximum actuellement disponible avec une capacité de 75%, alors que les autres supporters se sont rassemblés devant l'écran de télévision, faisant de Milan-Inter le match le plus regardé de la saison en clair: Le match, diffusé sur Canale 5, avec un coup d'envoi fixé à 21h00, a enregistré un pic de 6.028.000 téléspectateurs devant le petit écran, soit une part d’audience de 23,9%. Celle-ci dépasse nettement les 5.027.000 téléspectateurs (avec une part de 20,2%) enregistrés par le match qui était alors le plus regardé de la compétition : Soit le quart de finale opposant la Juventus à Sassuolo." "Même la Ligue des Champions n'a pas réussi à faire mieux cette année, du moins jusqu'à présent. Le match Villarreal-Juventus, valable pour le match aller des huitièmes de finale de la compétition reste le match le plus suivi cette saison avec 5.336.000 téléspectateurs avec une part de 21,2%." "Le Derby à la télévision fonctionne et il est probable que le match retour, qui attribuera la qualification pour la finale du tournoi, sera suivi par un nombre encore plus important de tifosi. Ce soir, ce sera au tour de la Fiorentina et de la Juventus de s'affronter. Une rencontre qui promet de faire des étincelles suite au transfert de Dusan Vlahovic entre les deux équipes." Un transfert qui n’est toujours pas digéré par les Tifosi de Florence... ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  17. Une nouvelle occasion de reprendre la tête de balancée, un retour dans la course au titre de la Juve et une seconde place obtenue dans les dernières secondes par le Napoli : Cette 27ème journée de championnat a clôturé un mois de février cauchemardesque! Et si Simone Inzaghi doit se rendre compte, qu’ici ce n’est pas la Lazio, ce n’est pas faute pour les Nerazzurri de ne pas avoir essayé! Selon Sky Calcio Club, qui a analysé l’attaque entre les équipes du Top 3, on note une importante différence entre l’Inter du premier tour et l’Inter actuelle. Pour le premier tour, sur les 49 buts inscrits, les attaquants en ont marqué 25 avec un pourcentage de 51,02%. Sur la phase retour actuel, sur 6 buts réalisés, les attaquants en ont marqué 2 avec un pourcentage de 33,33%. L'équipe d'Inzaghi est l'équipe qui dispose d'une dépendance fondamentale de la part de ses attaquants, eux "absents", elle s'est mise en difficulté. Les deux derniers matches contre Sassuolo et le Genoa sont emblématiques. Face à l'équipe de Dionisi, les Nerazzurri ont tiré 29 fois. Contre le Grifone, 21 tirs ont été effectués, mais aucun but n'a été marqué dans les deux cas. Si les attaquants sont muets, Danilo D’Ambrosio avait eu la meilleur occasion en touchant du bois sur un corner. De son côté, le Genoa a su résister aux assauts jusqu’à parvenir à mettre hors-jeu une équipe qui n’est plus que l’ombre d’elle-même! Place à présent au Derby Della Madonnina ce mardi pour la manche aller de la demi-finale de la Coupe d’Italie, mais surtout la réception, ce vendredi, de la Salernitana où marquer et l’emporter va s’avérer impératif, surtout pour mettre la pression sur le Milan et le Napoli qui s’affronteront……et garder une Juventus retrouvée via le recrutement de Dusan Vlahovic à distance! Tableau Récapitulatif Résumé Vidéo Genoa 0-0 Inter Buteur(s): / Genoa : 57 Sirigu; 36 Hefti, 52 Maksimovic (53' 50 Cambiaso, 61' 16 Calafiori), 55 Ostigard, 15 Vasquez; 27 Sturaro, 47 Badelj; 11 Gudmundsson (82' 8 Amiri), 10 Melegoni, 90 Portanova (82' 65 Rovella); 45 Yeboah (61' 91 Kallon) Banc: 1 Semper, 22 Marchetti, 18 Ghiglione, 23 Destro, 32 Frendrup, 33 Hernani, 99 Galdames T1: Alexander Blessin Inter: 1 Handanovic; 33 D'Ambrosio (87' 88 Caicedo), 6 De Vrij, 95 Bastoni; 2 Dumfries, 23 Barella (83' 8 Vecino), 77 Brozovic, 20 Calhanoglu (74' 22 Vidal), 14 Perisic (83' 32 Dimarco); 9 Dzeko, 7 Sanchez (74' 10 Lautaro Martinez) Banc: 21 Cordaz, 97 Radu, 5 Gagliardini, 13 Ranocchia, 36 Darmian, 37 Skriniar T1: Simone Inzaghi Arbitre: Daniele Chiffi VAR: Paolo Silvio Mazzoleni Averti(s): Perisic (I), Blessin (G), Ostigard (G) Expulsé(s) : / ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  18. En effet, l’Inter n’a plus aucun rival en Serie A dans la course à la signature de Gianluca Scamacca. Comme le révèle Sport Mediaset, Gianluca est l’élu pour reprendre l’héritage qui sera laissé par Edin Dzeko. Selon ce dernier, la Juventus s’est mise hors-course à la suite de l’acquisition de Dusan Vlahovic. Et si le Milan a tenté de s’insérer dans la course, il a dû se résigner, vu la volonté de Scamacca en personne de rejoindre l’Inter La vraie nouveauté regarde la formule : Giuseppe Marotta va tenter de finaliser l’opération la semaine prochaine, en s’offrant Scamacca sur la base d’un prêt biennal avec une obligation de rachat, soit la même formule que celle proposée par la Juventus pour Locatelli. Selon vous, Sassuolo est-il trop tendre face aux Grands d’Italie ? ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  19. Le Mercato 2021/2022 a réécrit l’histoire et bouleversé le classement historique des ventes les plus lucratives de la Serie A : Les transactions relatives à Romelu Lukaku, Dusan Vlahovic et Achraf Hakimi ont fait une entrée retentissante dans le Top 10 de la Botte Révélation de Calcio&Finanza La vente de Romelu Lukaku qui est passé de l’Inter à Chelsea l’été dernier, pour 113 millions d’euros, a surclassé celle de Paul Pogba transféré de la Juventus à Manchester United à l’été 2016, la Juventus ayant encaissé 105 millions d’euros. Sur le podium, on retrouve l’opération lié à l’Axe Napoli-Juve et l’attaquant argentin Gonzalo Higuain qui fut transféré contre l’activation d’une clause libératoire à 90 millions d’euros lors de l’été 2016. Sorti du podium, on retrouve la vente de Zinedine Zidane transféré de la Juve au Real Madrid pour 77,5 millions d’euros à l’été 2001. Zizou reste toutefois devant le recrutement de Dusan Vlahovic transféré cet hiver de la Fiorentina vers la Juventus pour 70 millions d’euros. En fin de ce TOP 10 spécial Serie A, on retrouve les opérations liant l’Inter au Paris-Saint-Germain pour Achraf Hakimi, cédé pour 66,5 millions d’euros et l’opération menant Joao Cancelo de la Juventus à Manchester City pour 65 millions d’euros. Quelle est selon vous la meilleure opération réalisée par l’Inter ? ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  20. Selon Alfredo Pedullà, l’Inter a déjà préparé son investissement le plus important pour le mercato estival à venir, celui de Gianluca Scamacca. Ce serait d’ailleurs pour cette raison que le club n’a signé Felipe Caicedo que pour six mois. L’opération serait à hauteur de 40 millions d’euros. Pour faire diminuer le cout, l’Inter était disposée à insérer des contreparties techniques. Andrea Pinamonti, la contre-partie technique La Juve envoyée baladée "Une histoire de fond apparaît : la Juventus, ces derniers mois, avait demandé à Sassuolo un rendez-vous pour parler de Scamacca, mais une réponse claire est venue du club, qui a ensuite poussé les Bianconeri à se concentrer sur Vlahovic : "Cherchez d'autres cibles, car Scamacca a déjà fait son choix". Et ce choix, c'est l'Inter : l'attaquant a décidé de porter le Maillot Nerazzurro, même si cela signifie, pour la première année, entrer en concurrence avec Dzeko. Les rapports avec Sassuolo ne s’arrêtent pas à Scamacca, la négociation relative à Frattesi reste bel et bien d’actualité! Le Saviez-vous ? Sur Scamacca, on retrouvait la piste du Borussia Dortmund qui voyait en lui le nouveau Haaland, et le Milan qui avait réalisé un sondage concret. ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  21. La Gazzetta Dello Sport l’a baptisé : La "bataille de Printemps". Et elle ne fait pas référence au Scudetto, mais à la rivalité entre l'Inter et la Juventus qui va croiser la route de Franck Kessié. En effet, l’international ivorien, qui qui n'a pas encore renouvelé son contrat avec le Milan AC, s'est retrouvé dans le viseur des deux rivaux historique. Pour la Rosea, "la prolongation du contrat est désormais impossible, c’est pour cette raison que Giuseppe Marotta s’est d’ailleurs renseigné, mais le club Nerazzurro n’est pas le seul : On retrouve aussi les Bianconeri et le Tottenham de Conte a également sondé les agents du joueur." "Le nom du joueur est écrit en lettres claires dans le carnet de Marotta et celui d'Arrivabene aussi. Il est depuis longtemps dans les petits papiers de l'Inter, qui était tout près de l'échanger contre Vecino il y a deux ans. Avec le départ de l’Uruguayen à la fin de l’année, Kessié pourrait virtuellement prendre sa place tout comme celle de Vidal." "Si jusqu'à présent il n'y a pas eu de oui à l'offre présentée de six millions et demi par le Milan, le joueur pourrait vouloir changer d'air et exiger plus en termes de salaire. L’Inter y a pensé, et dans le sillage de Çalhanoğlu, elle sait que la demande est forte. Le club Nerazzurro, pour cette raison, s'est renseigné mais n'a pas fait d'offre actuellement. De plus, il semble que le Turc ait également donné à son ancien équipier quelques conseils sur la vie de l’autre côté de Milan." "La Juve, en prenant Vlahovic, a envoyé un signal à la Serie A et en peu de temps d'autres opérations ont été débloquées sur le Mercato. Les Bianconeri devront prendre un milieu de terrain pour la saison prochaine et le profil de Kessié n'est pas à exclure. Allegri l'aime bien et le club a décidé de ne pas dépasser 7 millions d'euros pour son salaire. La Juve est donc en mesure de surmonter l'offre de 6,5 millions faite par les Rossoneri avec ce montant. Dybala gagnant 7,3 millions à la Juventus, son départ (lui qui reste dans le viseur des Nerazzurri) pourrait faire de la place à l'Ivoirien." "Mais aujourd'hui, la nouvelle est différente : "L'Inter s'est assise à la table pour Kessie. Les Nerazzurri ont ouvert le menu et choisissent : l'appétit est là, l'espace pour un gros coup aussi. Car après tout, il reste 50 jours avant le début printemps, ce qui n'est pas beaucoup même pour Kessie." 3en1 "L'Inter s'est renseigné, comme il est logique qu'un club le fasse pour des joueurs en fin de contrat. Elle sait que les exigences sont élevées, au point qu'aucune offre n'a été formulée pour le moment. Mais l'agent de Kessié sait que l'Inter ne doit pas être exclu de la course. Après tout, il y en a un qui a déjà fait le voyage de Milanello à Appiano l'été dernier : Hakan Çalhanoğlu. Et celui-ci pourrait donner quelques conseils en la matière à son ancien coéquipier, dont il est un grand ami. Et qui sait, peut-être l'a-t-il déjà fait, comme certaines personnes bien informées sont prêtes à le jurer." "Aujourd'hui, derrière le milieu de terrain titulaire formé par Barella, Brozovic et Çalhanoğlu, il y a Vidal, Sensi (qui va à la Samp), Gagliardini et Vecino. Kessie serait capable de remplacer les trois derniers cités dans leurs rôles, il peut jouer en tant que meneur de jeu et récupérateur de ballon, il peut jouer dans la percussion et il occupe aussi le poste de Trequartista en équipe nationale : Ce serait une sorte de joker que Simone Inzaghi pourrait vraiment apprécier." Le Saviez-Vous ? Il y a un point commun entre Bastoni et Kessié: Ils présentent les mêmes statistiques en termes de pourcentage de passes réussies, progressions dans le dernier tiers du terrain de l’adversaire, dans les tacles, les interceptions, les ballons récupérés. En fait, Bastoni défend mais joue aussi au milieu ou comme attaquant. Kessie, à l'Inter, pourrait faire ce qu'Alessandro fait sur la gauche. Enrôler un second Rossonero en l’espace de deux ans…ou Lorsque Giuseppe Marotta se lance dans un recrutement made in FIFA 2022 ! ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  22. Michele Criscitiello, journaliste à Sportitalia et Directeur de TMW, a dévoilé le plan d'action de la Direction de l’Inter en vue de la saison prochaine "Place à l’Inter, place au Mercato : Le joyau Dybala fait l’objet d’une lente réponse à la Juve, plus négative que positive : Il y a une fracture et un jour Dybala en parlera, mais pas maintenant. La Juventus, semble-t-il, a fait une omelette en cassant ses œufs et en serait peut-être même contente, car en mettant de côté les fonds destinés à la prolongation de Paulo Dybala, elle pourrait les employer pour signer Vlahovic." "C'est un fait, le jeu de dupe a débuté, mais il est grave que le numéro 2 du club bianconero, avant même la rencontre de Supercoupe, tire sur son attaquant le plus fort. Ce n'est pas digne de la Juve, mais beaucoup de choses, depuis trois ans, ne sont pas digne de la Juve. Cependant, pour Dybala, il y a Marotta qui est derrière cette situation, qui fait son travail et qui le fait bien." "Cela semble être une opération à la Higuain. Mais à cette époque, il fallait payer les 90 millions d’euros de la clause libératoire du Napoli. A présent, pour le prendre à la Juve, il ne faudra rien débourser, ce qui rend plus belle l’opportunité pour le Beppone. Voilà ce qui arrive lorsque tu pers ton Administrateur-Délégué avec trop de simplicité et lorsque tu ne songes pas à ajouter une clause libératoire pour le prochain triennal à tes joueurs pour éviter de les voir rejoindre un club rival, c’est le bordel." "A présent, Marotta qui connait bien les agents de Dybala, prépare le terrain à la Pinetina : Alexis Sanchez s’en ira en fin de saison, et avec lui, un salaire imposant de 7 millions d’euros. Marotta en ajoutant un million par saison + une série de bonus pour arriver à dix millions d’euros, obtiendrait Dybala pour rien. Avec le même argent que le Chilien, il pourrait plus ou moins s'offrir l'Argentin, un fameux coup de p*te." "S’il le signe, ce serait un belle finition : Car vous conservez Lautaro Martinez, heureux de rester dans un club gagnant et qui serait rejoint à la Maison par son ami Paoletto, tout en confirmant Edin Dzeko, il serait possible d’ y ajouter Scamacca pour former un quatuor complet. Correa pourrait être cédé au moins de juin. De plus, mis à part le secteur offensif, Marotta est prêt à faire un seul voyage à Sassuolo où il y retrouvera son ami Carnevali qui mettrait Frattesi dans sa voiture, ainsi que Scamacca. Une image déjà figée pour l'été. Le tout, sans faire l’objet d’un contre-temps, car la route reste encore longue." Pensez-vous réellement que Giuseppe Marotta puisse être à la base de la situation entourant Paulo Dybala ? ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  23. Giuseppe Marotta s’est livré à cœur ouvert sur le parcours de sa carrière et sur son avenir, avec et sans, l’Inter au Festival du Sport La victoire du Scudetto "Le 2 mai, nous l’avions mathématiquement remporté. Lorsque j’ai entrepris cette aventure, l’objectif était de ramener la Coupe à la maison. C’était une libération après tant de difficultés." Le moment clé du championnat remporté "Contre la Juve, nous avions compris que nous serions protagoniste : Nous étions le chasseur, puis le lièvre, et nous avions pris conscience que nous pourrions aller très loin." Le Championnat et la Ligue des Champions "La différence entre la Serie A et la Ligue des champions est que le second doit être un tournoi où tu es dans les meilleures conditions : Les victoires en Ligue des Champions ne sont pas toujours celles des équipes les plus forte, tandis qu’en Championnat, c’est l’équipe la plus forte qui le gagne. Le Giro n’est pas Milan-Sanremo. Le jour de notre élimination, il y avait tant d’amertume, mais nous l’avons concentré sur l’objectif Scudetto." Les difficultés financières et le départ d’Antonio Conte "La décision finale est le fruit des échanges des jours précédents. On n’entrevoyait plus un parcours commun, mais cela fait partie du sport et de la vie : Si une personne décide d’interrompre tout rapport, il est important de respecter sa décision et de regarder devant soi avec optimisme. Dirigeants, joueurs, entraîneurs passent, mais le club reste. Nous avions besoin d’aller de l’avant en ayant, ici, la conscience d’être un grand club et nos professionnels ont remporté le Scudetto avec un très grand mérite." Le choix de Simone Inzaghi "La décision de Conte n’était pas si prévisible, celle nous a un peu surpris et nous avions dû agir rapidement en définissant le meilleur profil . J’ai décidé de miser sur un entraîneur jeune qui avait déjà derrière lui un parcours important: Il était en pleine négociation avec la Lazio et l’opportunité s’est présentée : En lui soumettant notre projet et son sérieux, il nous a immédiatement suivi, et nous sommes reparti de là. Nous venions de recruter un entraîneur capable de se calquer sur le dispositif tactique de Conte, afin de ne pas devoir le modifier, même s’il y allait y avoir d'autres changements." Le malaise d’Eriksen "C’était un moment dramatique pour une personne que je connaissais et qui risquait de mourir, là aussi les informations nous sont parvenues rapidement. Le Professeur Volpi s’était mis immédiatement en contact avec les médecins qui étaient allé sur le terrain, pour avoir un premier diagnostic suite à ce qu’il s’était passé. Encore aujourd’hui, nous sommes dans une phase d’hypothèse, mais la chose la plus belle est que le joueur avait donné des signes de réveils. La nouvelle la plus belle est qu’il continue à vivre, au-delà du vide laissé à l’intérieur du vestiaire, qui est d’une importance relative. En ce moment, c’est difficile d’émettre des hypothèses, nous attendons l’évolution de la situation. Nous évoluerons la situation au moment opportun." Lukaku "L’expérience me fait dire qu’il faut toujours se préparer aux imprévus. Lukaku a manifesté son intention d’être transféré à Chelsea. Devant une situation de ce type, tu ne peux qu’accéder à sa demande. Il y a eu, à ce moment-là un début de négociation avec le club qui le désirait aussi, c’est comme cela que nous avons agi. Nous avons établi notre prix et pensé aux alternatives. Ce sont des dynamiques qui peuvent arriver dans le football. Je ne me suis pas senti trahis ou contrarié, j’ai évalué l’opportunité comme celle de pouvoir injecter une somme importante pour les caisses du club. Nous avons fait valoir notre requête économique et nous avons réalisé une belle opération." L’option Vlahovic et le choix de Dzeko "Dzeko était un choix prioritaire, nous avions déjà tenté notre chance l’année dernière : Il disposait d’une promesse de la Roma pour être libre gratuitement en cas de demande. Notre demande est arrivée et le sérieux de nos entretiens a facilité la définition de la négociation." "Je considère Vlahovic comme un grand talent, il y a une différence entre talent et champions. Nous nous sommes retrouvé dans une situation de négociation engagée. Nous n’étions dans les conditions, même si j’avais imaginé miser sur deux attaquants : Le premier était Dzeko, le second Vlahovic. Un était prêt pour l’immédiat, l’autre pour le futur. Cela aurait été le mieux, et je suis content de ce qu’offre Dzeko." Les difficultés financières "La pandémie a accéléré le processus: L’Inter, le Milan et la Juventus ont perdu, globalement, un milliard d’euros: Cela signifie que le modèle actuel ne te donne plus de garantie sur la continuité." "Il faut trouver des remèdes, car je dois dire qu’il n’est pas juste de toujours dépendre des augmentation des capitaux en provenance des actionnaires. Le football romantique du mécénat est révolu, nous besoin d’arriver à un modèle différent. La Famille Zhang a injecté 700 millions d’euros environs et c’est normal de revoir, tôt ou tard les conditions économique." "Le travail du Management est celui de concilier les objectifs sportifs et l’équilibre financier. Par le biais de ces deux opérations nous sommes désormais chanceusement serein, nous pouvons donc poursuivre les objectifs préfixés déjà l’année dernière étant donné que l’ossature est restée et que ceux qui sont arrivés nous donnes satisfactions. Il faut savoir contenir les coûts et faire comprendre aux joueurs que nous traversons une période de grande difficultés : Revoir les salaires est fondamental pour parvenir à un équilibre." Y-aura-t ’il des ventes importantes à l’avenir ? "Je peux les exclure, je tiens à rassurer nos Tifosi : l’Inter existera dans le futur aussi, la compétitivité est garantie. Ce n’est pas celui qui dépense le plus qui l’emporte toujours, il existe un patrimoine de ressources humains connu de tous qui n’est pas mis en lumière, une équipe invisible qui se trouve derrière ceux qui sont sur le terrain le dimanche : Si cette équipe est forte, tu peux allez très loin, et cela va bien au-delà de ton nom et des joueurs." Est-ce possible de voir un nouveau partenaire arriver au Club ? "Ce sont des évaluations qui doivent être analysées par l’actionnaire. Par expérience, je dis toujours qu’un club doit rester dans les mains d’une famille, d’une entreprise. Le fait de devoir vendre une partie des actions des fins d’un actionnariat minoritaire existe, mais je ne pense pas que cela soit la meilleure façon pour résoudre les problèmes car l’impact d’un partenaire minoritaire ne te garantit pas le changement de modèle radical, ce ne serait qu’un bien-être momentané." "Il est nécessaire d’identifier un modèle de soutenabilité et de sécurité de référence, vous l’obtenez si vous disposez d’un projet. Nous sommes parvenus à reprendre notre projet et à le remettre sur les rails. Nous avions des choix difficiles devant nous car nous avions décidé d’engager Conte tout en continuant à rémunérer Spalletti qui avait encore deux ans de contrat, mais nous l’avons fait car la consigne de notre priorité était de gagner." "Tu construis une équipe conquérante si tu as une vision précise et si l’équipe a conscience de faire face à un objectif, qu’elle dispose d’une vision du futur. Nous avons construit nos victoires en nous basant sur la force de nos hommes et le mérite en revient principalement à Conte qui a transmis des valeurs qui représente un patrimoine. J’ai en tête Marchionne qui déclarait qu’un Manager avait deux grands droits: Le droit de choisir des valeurs et choisir des hommes. Si tu en disposes, l’aspect économique est relégué au second plan car tu traverses un moment de difficulté que tu sauras le surmonter en te basant sur les valeurs que tu portes avec toi. Et nous en avons connu des difficultés." Les contrats des joueurs "Les joueurs ne l’ont peut-être pas bien compris, car ils vivent dans un monde doré. Ils gagnent tellement qu’ils ne sont pas habitués à faire face aux problématique familiales qui sont vécu quotidiennement : Ce sont des garçons très jeunes qui doivent être éduqués. Les réponses ont été d’un côté positive, et d’un autre coté négative, à nous de les former, de leur donner cette culture." "Il y a eu une prise de conscience de la part des joueurs, mais le drame a davantage été vécu dans le contexte de préserver sa propre santé. Néanmoins, nous avons respecté les contrats des joueurs: nous les avons tous payés, nous n’avons pas obtenu un euro de ristourne, mais nous l’avons fait eu égard aux performances réalisées lors de la saison 2019/2020 et de cette dernière années. Nous avons décidé, après une discussion courtoise avec les joueurs de ne pas les pousser trop fort à faire quelque choses qu’ils ne se sentaient pas capable de faire." Un message d’Adriano Galliani est arrivé "Nous avons été victime ensemble du Covid, il était dans un état bien pire que le mien. Lorsque des choses de ce genre arrivent, tu apprécies encore plus les valeurs de la vie et tu apprécies le fait d’être là, c’est valable aussi pour lui qui a quelques années de plus. L’autre jour au Meazza, il m’avait raconté qu’il s’énervait toujours lorsqu’arrivait un résultat négatif. Dernièrement Monza avait perdu 3-0 à Lecce et il avait vécu une soirée en toute insouciances, c’est le revers de la médaille de ce que nous avons connu. Je peux aussi m’énerver mais j’affronte la vie avec une vision différente. Dans le football, il faut toujours donner le maximum, mais la culture de la défaite est utile. Au mieux tu la maîtrises, au mieux tu vis." Un message de Simone Inzaghi arrive aussi "C’était l’un de mes joueurs à la Sampdoria, je le remercie aussi lorsqu’il me dit que je suis très visionnaires. Je suis principalement amoureux de mon travail, je l’avais fait aussi par hobby et ensuite, c’est devenu mon travail depuis 45 ans. Je me suis toujours plus appliqué à rester humble et respectueux, tout en ayant l’ambition de toujours vouloir gagner." Un dernier message arrive en provenance de son frère Salvatore. "Cela me fait me rappeler de mon adolescence où j’’étais déjà malade du Calcio et où j’écoutais à la radio "Tutto il calcio minuto per minuto". J’aimais imiter les chroniqueurs." La prolongation de Barella "C’est l’un des cas qui de talent est devenu Champion. J’ai eu à faire à Cassano que je viens de rencontrer à l’Hôtel, je lui ai toujours dit qu’il n’était jamais devenu un Champion. Le talent est inné et fait partie de son ADN. Encore aujourd’hui je n’ai pas revu de joueurs potentiellement plus fort que lui, mais celles-ci n’ont jamais été accompagné de qualités humaines, d’un comportement sérieux, discipliné, d’une vision de la vie et de la professions. Il a la conscience d’être resté un joueur qui n’a pas atteint le top niveau." "Barella a confirmé déjà à Cagliari et à présent à l’Inter que je suis devant un champion et il est juste de le gratifier économiquement pour ce qu’il réalise. Ce n’est pas une prolongation mais une reconnaissance adaptée à un style de joueurs important qui font partie de l’Inter. Nous en reparlerons dans les prochaines semaines. Nous ne devons certainement pas le laisser s’enfuir et ce sera si beau qu’il devienne notre prochain Capitaine. C’est une qualification qui ne s’offre pas, tu dois démontrer avoir des qualités de leader." "Piero Volpi, le médecin de notre Club a toujours été le Capitaine dans les équipes de football car c’est un Leader : Barella peut commencer à le devenir." Cassano et Gheddafi à la Sampdoria "Il n’y a pas de mots, c’était une expérience sympathique, très belle aussi, mais je devais toujours rester très attentif à ce qu’il se passait." Les objectifs de la saison "Les attentes de tous sont de nous voir comme celui à battre, un rôle que nous sommes heureux d’endosser : Nous sommes l’Inter et nous devons placer la barre très haut, mais vu que nous sommes dans un sport d’équipe, nous avons besoin aussi d’évaluer nos propres capacités tout comme celle des adversaires avec qui nous luttons." "Il peut arriver que certaines années tu investisses 100 millions, mais que les autres investissent 150 millions ou qu’ils parviennent à réaliser des opérations plus importantes et s’en retrouvent plus fort. Nous sommes dans une saison qui ne comprends pas qui est le plus fort: Le Sheriff a six point et il l’a emporté à Madrid. Dans le Championnat il y a les fameuses sept sœurs avec le Napoli comme équipe gagnante. Je crois qu’il est bien prématuré de procédé à une évaluation sur ce qui s’avèrera définit en mai. Je tiens toujours à la culture de la victoire." "Je prends toujours en considération ceux qui ont la culture de la victoire la plus forte, donc la Juventus et le Milan. Naples a clairement un grand mérite, mais gagner est toujours quelque chose de difficile et qui va au-delà de qu’une équipe propose et met en pratique : Il y a des valeurs qui s’acquièrent avec le temps, il n’y a pas que le seul choix de l’équipe." "Tu dois prendre en considération tous les aspects complémentaires, si tu réussi à améliorer la qualité des terrains, des médecins, tes physiothérapeute, de l’alimentation, tu l’emporteras certainement plus facilement." Osimhen "C’était une opération très onéreuse, et ce n’est pas un inconnu, les circonstances nous ont amené à suivre une route plutôt qu’une autre." Son arrivée à l’Inter, les cas Nainggolan et Icardi "Je ne tiens pas à critiquer celui qui a géré cela avant moi. Icardi était sincèrement un grand talent, il était devenu un joueur optimal en étant investi d’une responsabilité dont il n’était pas encore en capacité de recouvrir, je me réfère au brassard de capitaine. Lorsque je l’ai connu, il se comportait bien avec moi, mais il y a eu des évaluations qui différaient. Je dis toujours que la vision que vous devez avoir se doit d’être précise. L’entraineur et le club procèdent à des évaluations et il a été évalué qu’il devait y avoir une équipe avec des valeurs à respecter." "Conte les a d’ailleurs interpréter de la meilleur des façons.: Il nous a laissé quelque chose d’important, il a posé les fondations et c’est tout aussi vrai que nous avons recruté un entraîneur qui a de grandes qualités, certains aspects sont essentiels." L’arrivée à l'Inter en provenance de la Juventus "Je suis resté émerveillé par la rapidité dont tout cela s’est produit. Dès le lendemain de mon départ, Steven Zhang m’a écrit un message en m’invitant à une réunion avec lui. Je voulais forcément me reposer, mais j’ai saisi directement cette opportunité. Je laissais la Juve et je trouver l’Inter, nous étions à armes égales. Je me suis lancé dans ce métier avec des caractéristiques que j’ai en moi depuis plus que quarante ans et qui se sont toujours enrichie dans chaque club." "L’expérience est une autre caractéristique importante dans le vie de tous, surtout dans le milieu professionnel. A 24 ans, à Varese, j’ai perdu un championnat d’une façon retentissante, alors que si je reviens en arrière, ce tournois, nous l’aurions remporté avec 15 points d’avances." La conscience d’avoir tant gagné te permet d’affronter les difficultés avec une grande détermination. C’est ainsi que je me suis relancé en illustrant mon projet à l’Inter, un projet que le club a épousé, c’était un projet difficile car il consistait à laisser Spalletti à la maison et prendre Conte allait demander du courage." La méfiance initiale à l’égard de l’environnement "Le Derby d’Italie apporte avec lui une grande rivalité. Je n’ai jamais connu de grande difficulté car je suis toujours parvenu à m’accorder avec les personnes, j’ai rencontré un club préparé, composé de bonnes personnes qui avait besoin de nouvelles motivations." Ses débuts "J’ai terminé le Liceo Classico et j’ai commencé à Varese. Certains faits de la vie m’ont ouvert la voie à suivre, je suis devenu directement Directeur Sportif car le précédent avait été victime d’une blessure et le Président m’avait demandé si je me sentais capable d’occuper un tel poste." Le poster de Rivera lorsqu’il était jeune "Je m’identifie à lui, j’ai été footballeur durant une courte période, j’ai arrêté car je me rendais compte que j’avais quelques limites, je me considérais perdu. Mais j’ai joué jusqu’au niveau des Primavera et j’occupais le même poste que Rivera. Il y avait une émulation, je voulais l’imiter comme footballeur. Mon rêve, depuis ma plus tendre enfance était de devenir un dirigeant, ma première expérience fut un oratoire. C’était la première étape de ma profession de dirigeants, je commençais aussi à organiser des toujours à comprendre le sens de la compétition, de la victoire, C’est à partir de là que j’ai commencé mes activités et que j’ai rangé mon poster de Rivera." Son surnom: le “Jeune Kissinger" "Il m’a été attribué par Colantuoni, qui me disait de l’appeler Avocat car pour devenir Président, il fallait une signature et pour devenir avocat, il avait dû passer trois diplômes. Je considère la diplomatie comme une vertu qui ne cache pas derrière un aspect décisionnel très fort. Décider n’est pas simple. Tu peux également devenir un leader sans devoir imposer ton timbre de voix, mais en faisant ressortir ta force intérieure : Pirlo était un leader silencieux. Il avait une si grande valeur dans le vestiaire et cela venait de sa communication non-verbale." Pensez-vous pouvoir confirmer à nouveau la victoire du Scudetto ? "Absolument, notre objectif est la seconde étoile." Le prêt de Recoba au Venezia "Gagner à Venise était si beau, j’habitais dans la région de Carampagne, j’allais au siège et cela avait une valeur inestimable. En plus tu gagnes un championnat et tu te sauves en recrutant Recoba, et je vais vous dévoiler le comment : A l’époque j’étais plus conditionné qu’aujourd’hui. Avec Zamparini, j’avais songé à Orlandini, j’avais appelé Oriali qui était le Directeur Sportif et nous nous organisions pour le contrat." "Il m’avait appelé et il m’avait dit que Tanzi avait été échangé avec Giusti. A ce moment-là, Regalia qui était un grand Manager m’avais appelé et j’en avais profité pour lui parler. Il m’a dit qu’il avait observé Recoba la veille, j’avais rappelé Zamparini pour lui dire que je ne voulais plus viser Orlandini mais que je songeais à un objectif encore plus important : Recoba. J’ai négocié et conclu avec Mazzola, je ne l’avais vu qu’en coups de vent, mais il nous a littéralement porté au maintien." A quel point étiez-vous proche de l’Inter de Pellegrini ? "Je l’ai rencontré une fois, l’alternative était moi ou Dal Cin. Je me souviens toujours d’une particularité avec Pellegrini : Je me suis toujours dit que si j’étais arrivé déjà à l’Inter à ce moment-là, que je me serais brûlé les ailes, tu dois embarquer dans le train au moment opportun. Âgé de 25 ans, je me serais perdu à l’Inter, je n’avais pas la connaissance que j’ai actuellement. J’ai fait un parcours graduel: De la province aux grandes provinces, de la Juventus, à l’Inter, C’est un parcours chanceux." Un regret sur le mercato ? "Il y en a tellement, le dernier est que j’avais eu l’opportunité de prendre Haaland pour deux millions d’euros. Parfois, tu as besoin d’avoir la volonté de miser sur un budget supplémentaire : Si c’est un champion, tu as besoin de le recruter. C’est ici qu’intervient la créativité financière pour réaliser des opérations, nous aurions pu l’avoir pour rien, et il est actuellement l’un des joueurs parmi les plus important au monde. A présent, il ne peut plus venir en Italie." "En 2000, il y avait dans le top 10 des meilleurs chiffres d’affaires cinq équipes italiennes, aujourd’hui, il ne reste que la Juventus. Nous avons un grand retard sur la Premier League. Aujourd’hui, nous sommes devenu un championnat de transition: Regardez Lukaku, nous sommes dans une réalité qui te porte à gouîer aux Champions qui, une fois leur position renforcée, cherchent à obtenir de meilleurs salaires ailleurs." "Nous sommes obligé de faire preuve d’ingéniosité, nous avons travaillé avec Ausilio sur cette vertu, cela va aussi de pair avec la Nazionale qui nous a offert de grande satisfactions. L’Italie met toujours en vitrine de grands entraîneurs et des grands joueurs. Nous avons besoin d’avoir la force les faire mûrir en équipe première, et ici doit entrer également la culture de la défaire. "Les joueurs qui se font siffler se font brûler les ailes et c’est quelque chose qui doit être combattu. L’Espagne a montré l’exemple avec ses jeunes sur le train. Aujourd’hui le Tifoso est plus ouvert et plus compréhensif vis-à-vis des difficultés du clubs. Dans notre cas, lorsque Conte et les joueurs sont parti, il y a eu un dialogue avec la Curva et nous leur avons fait comprendre que c’était pour le bien de l’Azienda. Ils l’ont compris et nous sommes toujours restés proche, ils nous sont toujours soutenu et c’est un très bel exemple de ce que doit être le rapport entre les Tifosi et le Club." Ronaldo à la Juve "J’avais fait part de mon évaluation, tout le monde aurait voulu s’offrir Ronaldo, je l’ai connu six mois avant mon départ. J’apprends toujours des champions, même comme dirigeants. Il a une culture du travail maximale, il est très soigneux sur sa propre condition physique et caractérielle. Toutefois, il devait être contextualisé et selon moi, cela passait aussi par des évaluations économico-financière : Mais j’entretiens encore aujourd’hui un grand rapport cordial avec la Juventus." Choisissez vos meilleurs acquisitions lors de votre carrière, poste par postes "J’avais recruté Rampulla de Pattese et je le conserve pour des raisons affectives. J’en ai trouvé un comme Buffon par exemple. J’ai vendu Taibi à United et c’était un flop, au final il n’était pas prêt. En défense, Bonucci fait preuve d’un très grand leadership, et il venait aussi du vivier interiste. Je le prends lui et Barzagli, à droite Hakimi et à gauche Alex Sandro." "Je dois vous dire qu’Evra était aussi très important dans l’économie du vestiaire : Il arrivait en provenance de United et il apportait avec lui des caractéristiques de champion dans le groupe. A la Juve, j’ai connu des champions, à l’Inter, je rencontrais des joueurs qui n’avaient plus gagné depuis tellement d’années et c’est pour cela qu’il était utile d’avoir un grand entraîneur." "A la Juve, j’ai connu des joueurs qui ont remporté la Coupe du Monde, des championnats: Khedira me disait qu’ils agissaient pareil au Real, j’en avais pris note et je l’ai retenu. Cela vaut aussi pour Evra ou Daniel Alves, tu apprends quelques choses des champions. Evra avait un certain âge mais en dehors du terrain, il avait tant à donner. C’est là que tu retrouves de la richesse et Conte a commencé à le faire , il l’avait transmis aux joueurs." "Nos joueurs à l’Inter n’avaient pas de palmarès et les difficultés étaient donc importantes. Aujourd’hui, ils ont une meilleure connaissance de ce qu’il faut avoir pour gagner. Au milieu du terrain, Barella représente une jeunesse devenue réalité. Je le choisi lui comme Pirlo et Pogba qui était arrivé gratuitement pour être revendu 110 millions d’euros. J’ai à mes côtés une équipe de travail qui me porte à faire des choix, mes décisions sont le fruit de ce travail : Pogba était quelqu’un de rare : pris gratuitement et rendu contre 110 millions d’euros. J’ajouterai Cuadrado comme ailier au milieu." "En attaque, j’en ai deux. Le plus difficile fut l’opération Dybala, je l’ai recruté grâce à mon rapport avec Zamparini qui était devenu le propriétaire de Palerme: Il m’avait contacté un jour pour me dire de me dépêcher car il était tout proche de signer avec Thohir. C’est grâce à notre amitié que j’ai su concrétiser cette opération. Je retire Ronaldo car c’est trop facile. L’autre personnalité avec qui je m’était lié d’affection était Recoba, mais j’aurais pu dire Pazzini ou Vieri. Même Lukaku mais cela aurait été trop facile : Peut-être que je dirais Higuain vu comment cela été devenu difficile." Une parenthèse sur Hakimi: Serait-il resté si Lukaku serait parti avant ? "Comme je l’ai dit, lorsque les joueurs sont intéressés par un salaire plus alléchant, il est très difficile de les garder." Pogba pourrait-il revenir en Italie ? "Je pense que ce serait difficile, même s’il y a aussi l’outil du Décret Croissance, qui s’il est boycotté, il nous a tout de même permis de réduire le coût du travail. Mais face à la valeur qu’il représente, je ne pense pas que quelqu’un puisse se permettre de l’engager." Dybala a l'Inter? "C’était possible lorsque l’on avait parlé d’une possible négociation entre lui et Icardi, mais je pense qu’il va signer avec la Juve pour prolonger." Lautaro Martinez est-il la pierre angulaire du futur ? "Il prouve qu’il est un joueur sur qui l’ont peut baser le présent et le futur, il est brave, professionnel, je souhaite que son futur soir à l’Inter, nous ferons tout. Très prochainement nous annoncerons sa prolongation car il est important: Je tiens à poser les bases pour un futur composé d’un juste équilibre entre des joueurs d’expérience et les plus jeunes." Quelle est votre évaluation sur la situation du club ? "L’Inter continuera à voyager haut avec une sécurité financière. Le modèle ne peut plus être celui qui existait auparavant, le tout doit retrouver une normalité. Mais nous ne pouvons pas nous imaginer que la famille Zhang, qui veut aller de l'avant et je peux le dire avec certitude, doivent toujours nous assainir. Nous voulons nous battre pour des objectifs de plus en plus ambitieux, mais nous voulons construire à partir de l'arrière, du secteur Giovanile, pour disposer d’une équipe qui pourra atteindre des objectifs importants." Votre meilleur entraîneur en carrière ? "Je prends Conte car il a gagné à Turin et à Milan et c’est statistiquement important. J’ai connu tant de très bons entraîneurs en carrière, et j’ai dû congédier des entraîneurs qui étaient humainement très bons mais qui n’étais pas des gagnants. Je pense qu’un entraîneur est bien plus souvent gagnant lorsqu’il est dans une situation des plus inconfortable. Ce rôle qui l’occupe doit être vécu comme une stimulation." "Je ne peux pas nier que Conte est un dur à cuire, mais il nous a prouvé qu’il était un gagneur. Il est très extrêmement exigeant avec une culture de la victoire comme peu en ont. Je dois vous dire qu’Inzaghi, vu comment j’apprends à le connaitre suit ce profil : Nous ne pouvions pas faire meilleur choix." Jusqu’à quand resterez-vous à l’Inter ? "Je me sens très bien ici, moi-même, tout comme l’équipe dirigeants avons parlé avec Steven Zhang. Lorsqu’il reviendra en Italie, je pense au mois de décembre, nous parlerons du futurs, les feux sont tous au vert, je dois vous dire également que j’ai plus une vision d’ensemble de la vie. Aujourd’hui c’est ce défi, puis il y en aura d’autre." "L’Inter sera mon dernier club, il n’y en aura plus de place pour un autre par la suite. Je me sens épanoui dans mon parcours et c’est bien que je puisse songer à des défis différentes, je me sens redevable envers le monde du ballon rond qui m’a enrichi en tant qu’homme, et cela va au-delà des récompenses." "A présent, ma capacité à faire face aux difficultés de la vie trouve son origine que je suis sûr de les surmonter grâce à ce que le sport m’a donné. Je veux y rester mais plus avec le stress d’aujourd’hui, et je pense également qu’il est juste de ralentir mes activités en songeant à ma santé." ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  24. Le président du Torino Urbano Cairo semble s'être résigné à sa défaite dans le dossier Andrea Belotti, ne parvenant pas à renouveler le contrat de son joueur, selon un rapport des médias Italiens. S'adressant à TuttoMercatoWeb, Urbano Cairo a expliqué qu'il ne pense pas que l'attaquant Italien soit intéressé par l'extension de son contrat avec son club, et qu'il a fait une offre, qui devrait être la plus importante qu'il puisse offrir au joueur. "Pour le moment il n'a rien signé. Je ne pense pas qu'il veuille prolonger. J'ai fait une offre qui est au dessus de mes moyens. Je ne peux pas le forcer à faire quelque chose." L'Inter s'est rapprochée de Belotti cet été, mais le transfert n'a finalement pas eu lieu. Son contrat avec le Torino prendra fin en Juin 2022, mais il pourra négocier avec n'importe quelle équipe en Janvier, en vue d'un transfert à paramétre zéro. L'Inter est une des nombreuses équipes cherchant à exploiter au mieux la situation et a recruté le buteur gratuitement, sans verser d'indemnité de transfert au Torino. Il y a notamment la Fiorentina, qui est intéressée par l'attaquant Turinois pour remplacer leur buteur en partance Dusan Vlahović. ®Internazionale.fr ~ Aurios-Inter Via SempreInter
  25. Le CEO de l'Inter Beppe Marotta exclut toute autre vente de joueur majeur dans un futur immédiat, histoire d'apaiser les supporters. S'exprimant lors du Trento Sport Festival, Marotta explique que le football est un sport qui demande de l'investissement financier pour obtenir du succès et c'est pourquoi l'Inter ne vendra pas d'autres joueurs clé après Achraf Hakimi et Romelu Lukaku. Propos rapportés par FCInter1908. "Nous l'excluons totalement. Je veux rassurer les fans qui sont de grands supporters: l'Inter existe et existera dans le futur." "La compétitivité est garantie et en football, celui qui dépense le plus gagne. Joueurs, entraineurs, staff... Si cette équipe est forte et a un but, ils peuvent aller très loin au-delà du nom des joueurs." Beppe admet que l'Inter voulait enrôler Edin Dzeko bien avant qu'il rejoigne les Nerazzurri pour de bon. "Quand vous pensez à un remplacement, vous préparez une liste grâce au scouting et aux opportunités de marché: il y a des buts atteignables et d'autres non. Cependant vous devez toujours être conscient qu'il y a des buts à atteindre." "Dzeko était une priorité depuis la saison dernière: les circonstances favorables, une promesse de le laisser libre en cas d'offre, ont facilités les choses. Nous saluons le sérieux de la Roma qui a tenu sa promesse." Marotta confirme que l'Inter était très sérieuse dans sa volonté de recruter l'attaquant serbe de la Fiorentina, Dusan Vlahovic, cet été. "Vlahovic est un grand talent, nous nous sommes trouvés dans une situation difficile que nous n'avons pas pu conclure. Il était la deuxième cible pour compléter l'attaque: un joueur prêt immédiatement (Dzeko) et un pour le futur (Vlahovic). Ca aurait été l'idéal. Nous sommes heureux de l'opération Dzeko." Nicolo Barella est devenu un joueur star de l'Inter durant la saison passée et Beppe Marotta attribue cela à son professionalisme. "C'est un de ces cas où le talent deviens un champion. J'ai connu de nombreux talents: Cassano était un imbécile, malgré son talent il n'est jamais devenu un champion. Je n'ai jamais eu de joueur plus fort que lui. Mais il n'avait aucun but, aucune vision précise de la profession." "Barella a prouvé qu'il s'affirmer de plus en plus avec continuité et aujourd'hui nous nous trouvons face à un champion: il est juste de le récompenser financièrement pour ce qu'il a accompli. Ce n'est pas un renouvellement, c'est une récompense. C'est important d'adapté (Ndlr: le salaire) pour un groupe important de joueur." "Capitaine ? Ce serait beau. Handanovic est plus vieux: Le capitanat est une qualification qui ne peut pas être offerte, vous devez avoir les qualités humaines et professionnelles pour être un leader. Barella peut commencer à devenir capitaine." Pas un mot sur Skriniar futur capitaine ? Tiens donc... ©Internazionale.fr, via FCInter1908 - Traduction Trent_FCI
×
×
  • Créer...

Information importante

En naviguant sur ce site, vous acceptez l'utilisation des cookies. Nous ajoutons des cookies sur votre appareil pour aider à améliorer votre expérience sur notre site. Consultez notre Politique de confidentialité. Vous pouvez choisir d’ajuster vos paramètres de cookie, sinon nous supposerons que vous êtes d’accord pour continuer...