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Le milieu de terrain de l'Inter Nicolo Barella a prouvé qu'il pouvait avoir un rôle de futur capitaine des Nerazzurri avec son match contre Benfica en Ligue des Champions hier soir. C'est le point de vue du Corriere della Sera, via FCInter1908 , qui met en lumière la performance du joueur de 26 ans lors de l'un des plus grands matchs de l'équipe de toute la saison. La saison dernière, Barella n'était même pas sur le terrain lors des deux matches de l'Inter lors des huitièmes de finale de la Ligue des Champions. La raison en était que l'ancien milieu de terrain de Cagliari s'était emporté et avait frappé le défenseur du Real Madrid Eder Militao lors du dernier match de phase de groupes de la saison, méritant un carton rouge et une suspension de deux matches pour les huitièmes de finale contre Liverpool. Ceci, en un mot, était une illustration des facteurs qui ont joué contre Barella pour devenir potentiellement capitaine de l'Inter. Il n'y a, selon le Corriere della Sera, rien dans la contribution du joueur de 26 ans sur le terrain devrait jeter le doute sur son aptitude à porter le brassard à l'avenir. C'était certainement le cas contre Benfica hier soir. Barella a marqué un but magnifique pour l'Inter. Cependant, les performances du milieu de terrain sur le terrain ne font pas de lui un héritier potentiel du brassard de capitaine. L'attitude de Barella sur le terrain est d'une intensité et d'un dynamisme constants, il l'a encore démontré contre Benfica. Revers de la médaille, lorsque les choses deviennent difficiles, le joueur de 26 ans a une fâcheuse tendance à s'emporter, y compris avec ses propres coéquipiers, ce qui ne conviendrait guère à un capitaine de club comme l'Inter. Cependant, il n'y a rien eu de cela contre Benfica hier, et le Corriere della Sera affirme donc que c'était un aperçu du genre de performance qui pourrait faire de Barella un futur capitaine. Futur Capitaine selon-vous? Traduction Lindt1908 Via SempreInter
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Nicolò Barella sera sanctionné par l’Inter
Victor "Antony" Newman a posté un article dans F.C. Internazionale Milano
C’est une information en provenance de la Gazzetta Dello Sport : L’Inter a décidé de sanctionner son futur Capitaine, comme le prévoit d’ailleurs le règlement interne du Club "Le carton rouge reçu par Nicolò Barella a fait parler et il fait encore discuter. En effet, le milieu de terrain italien s’est retrouvé être l’auteur d’une bien mauvaise réaction envers Eder Militao, ce qui lui a coûté son expulsion et ce qui le contraindra à sauter, au moins le match aller des huitièmes de finale de la Ligue des Champions. Comme le prévoit le règlement interne du club, l’Inter sanctionnera son joueur par le biais d’une amende à la suite du mauvais comportement dont il s’est rendu coupable au Stade Santiago Bernabeu." Validez-vous ce comportement strict de la part du club ? ®Antony Gilles – Internazionale.fr- 11 commentaires
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Une Inter vaillante s'incline à Santiago Berbabéu
Aurios-Inter a posté un article dans Coupes d'Europe
L'Inter se déplaçait à Madrid pour tenter d'accrocher la première place du groupe D. L'occasion était belle, le cadre presque idyllique. L'Inter était sur une exellente dynamique, avec une série de 10 matchs sans défaite pour les hommes de Simone Inzaghi. En face, le Real Madrid était également dans une forme olympique, avec pas moins de 8 victoires consécutives. Mais bien malheureusement pour les supporters Nerazzuri, la marche était trop haute pour l'Inter. Dès le début du match, le jeu de possession de l'Inter se met en place. Le ballon circule bien, et le Real défend plutôt bas. Le plan de jeu Merengue est essentiellement basé sur leur diamant Vinícius Jr. Le Brésilien empile les buts et les passes décisives lors de ce début de saison, son génie et sa vitesse étant ses armes principales. Il tente une première percée à la septième minute, déposant Danio D'Ambrosio mais étant repris de justesse par un superbe tacle glissé de Nicolò Barella. Sur l'action suivante, Marcelo Brozović reprend un ballon fort de volée. Sa frapppe passe légèrement au-dessus de la transversale de Thibault Courtois. L'Inter entre dans un temps fort; Barella est acroché par le maillot dans la surface, mais pas suffisamment pour M.Brych, l'arbitre de la rencontre. À la douzième minute, sur un bon centre de Denzel Dumfries, Ivan Perisić fouette bien le ballon à ras de terre. Sa frappe part très bien, mais elle est contrée par Eder Militão. Le Néerlandais réalise un bon début de match, son jeu de remise étant très bénéfique à Barella et D'Ambrosio, ses acolytes de l'aile droite. Le Real est dans un état passif, et à la récupération, l'absence de Karim Benzema se fait ressentir dans la circulation de balle. Mais les Madrilènes n'en ont que faire. Sur une passe de Rodrygo, Toni Kroos, alors seul à 20 mètres du but, envoie une frappe instantanée et puissante dans le petit filet de Samir Handanović. Reprise imparable pour un très grand nombre de gardien, n'en déplaise à certains. Mais l'Inter réagit de suite, par l'intermédiaire de Lautaro Martínez, l'Argentin voit son centre contré et sa frappe passer au-dessus des buts de Courtois. Ensuite, c'est Edin Džeko, peu en vue lors de ce début de match, qui teste le Belge, de la tête, sur un centre de Perisić. Arrêt facile pour le portier du Real Madrid. Globalement, c'est un match plutôt équilibré, avec des situations de part et d'autre. Mais il y a quand même une équipe plus menaçante que l'autre dans la zone de vérité. Sur une nouvelle contre attaque, le Real Madrid se projette à 4, alors que les Nerazzuri ne sont que 3. Brozović sauve les meubles et gagne ce quatre contre trois. Sur un corner, Perisic trouve ensuite l'extérieur du poteau. L'Inter conserve la maîtrise du ballon, mais s'expose aux contre attaque rapides du Real, qui passe souvent par un côté gauche déserté par D'Ambrosio. Vinícius se retrouve souvent en position de force pour déclencher les mouvements dangereux. Sur une énième transition rapide, le Brésilien trouve Luka Jović dans l'espace. Le Serbe, alors en un contre un exentré face à Handanović, trouve le petit filet du Slovène. Brozović, encore une fois stellaire, éteint les situations et le peu de pressing Madrilène. Il organise le jeu à merveille, dicte le tempo de la rencontre. Mais le Croate ne peut pas tout faire. Les errements défensifs des hommes de Simone Inzaghi sont lourds de conséquences. Avant la pause, Rodrygo est trouvé seul en plein milieu de la surface, une anomalie pour la meilleure défense d'Italie. Heureusement pour l'Inter, il trouve le poteau gauche d'Handanović, ainsi que son petit filet sur l'action suivante. Felix Brych, pas tout à fait au niveau ce soir, avec un carton jaune donné à D'Ambrosio sur une faute inexistante sur Vinicius; ainsi qu'un coup franc très dangeureux aux abords de la surface donné à Kroos, sifffle la mi-temps sur ce score de 1-0 pour le Real Madrid. Les deux équipes reviennent sur la pelouse, avec un changemet pour les Nerazzuri : la sortie de Denzel Dumfries, pourtant auteur d'une bonne première période, pour Federico Dimarco. Ce dernier prend la place de Bastoni dans l'axe gauche de la défense, Bastoni passe au centre, Škriniar axe droit et D'Ambrosio piston droit. Des choix pour le moins contestables. Les deux formations maintiennent leurs idées en place. L'Inter a la possession, et le Real contre attaque avec Vinícius et Rodrygo, lancés par Kroos ou Modrić, encores fantastiques ce soir. Une balle d'égalisation est manquée par Barella, trouvé par Hakan Çalhanoglu. La frappe du Sarde passe nettemment au-dessus. Après cela, l'Inter va marquer un coup d'arrêt. Son emprise sur le ballon diminue, les occasions Merengue défilent, avec des frappes de Casemiro et de Vinícius. Arrive l'heure de jeu et le triple changement extrêmement significatif de Simone Inzaghi. Les sorties de Brozović, Çalhanoglu et Džeko pour Vidal, Vecino et Sánchez trahissent les ambitions du coach Italien. Avec la sortie de son métronome et de son point de fixation, l'Inter se retrouve drastiquement diminuée. Il devient alors très difficile de conserver le ballon, face à un milieu du Real techniquement époustouflant. Mais le vrai tournant du match arrive à la soixante-quatrième minute. Sur un long ballon, Nicolò Barella et Eder MIlitão sont à la lutte. Le ballon sort en faveur du Real, mais Barella est violemment projetté par Militão sur les panneaux publicitaires. Le milieu Italien, connu pour avoir fort caractère, craque complètemment et assène un coup de poing à la jambe gauche de Militão. Les esprits s'échauffent. Et ce qui devait arriver arriva. M. Brych sort le carton rouge pour Barella. De son côté, Militão s'en sort (très) bien, avec un simple jaune. Ce rouge est synonyme de suspension pour les huitièmes de finale pour Nicolò Barella, un énorme coup dur pour les champions d'Italie. Barella maintenant exclu, les trois milieux de terrains titulaires se retrouvent hors du rectangle vert. Simone Inzaghi souhaite maintenir son milieu à trois et sort Lautaro Martínez pour Roberto Gagliardini. Le niveau technique du milieu de terrain devient un vrai problème. Mais les entrants s'en sortent plutôt bien et parviennent à ressortir les ballons. Problème, Alexis Sánchez est tout seul devant. Le Chilien n'est pas avare d'efforts, court pour deux hommes. Mais il n'y a pas assez de présence offensive du côté de l'Inter pour espérer quelque chose. Surtout après la balle finale signée Marco Asensio. Sur un corner joué à deux, Asensio est trouvé anormalement seul aux abords de la surface de réparation Interiste. Dimarco ne sort pas sur l'Espagnol. Son pied gauche de velours fait le reste : frappe sublimement enveloppée dans la lucarne droite d'Handanović. Poteau rentrant, 2-0, et les minces espoirs de revenir pour les Nerazzuri sont réduits en poussières. L'Inter ne possède tout simplement plus les ressources pour réagir, et elle s'éteint peu à peu. La fin de match est plutôt anecdotique. Le Real fait tourner le ballon et gère tranquillement, à l'expérience, cette fin de rencontre. Seule une tête puissante de Milan Škriniar sur corner à la quatre-vingt-cinquième minute, directement sur Courtois, donne un dernier petit frisson aux supporters Nerazzuri. M. Brych siffle la fin de ce match, sans temps additionnel. L'Inter ne terminera pas à la première place de ce groupe D, et elle devra avoir à faire à un des huit géants européens ayant terminé premier de son groupe, en huitième de finale. Malgré la, voire les classes d'écart entre les deux équipes, l'Inter a quand même proposé des choses et fait preuve de caractère, ce qui est plutôt encourageant. Mais elle devra passer ce cap, aussi bien sur le terrain que dans la tête, d'ici février si elle souhaite rêver plus grand. En attendant, rendez-vous dimanche, 20:45, à Giussepe Meazza pour la réception de Cagliari. Tableau récapitulatif Résumé Vidéo Real 2-0 Inter Buteur(s): 17' Kroos (R), 79' Asensio (R) Real (4-3-3): 1 Courtois; 2 Carvajal, 3 Militão, 4 Alaba, 23 Mendy; 10 Modrić, 14 Casemiro (71' 25 Camavinga), 8 Kroos (78' 15 Valverde); 21 Rodrygo (78' 11 Asensio), 16 Jovic (24 Mariano Diaz), 20 Vinicius Jr (81' 7 Hazard) Banc: 40 Fuidias, 12 Marcelo, 17 Vazquez, 22 Isco, 13 Lunin, 5 Vallejo, 6 Nacho Entraîneur: Carlo Ancelotti Inter (3-5-2): 1 Handanović; 33 D'Ambrosio, 37 Škriniar, 95 Bastoni; 2 Dumfries (45' 32 Dimarco), 23 Barella, 77 Brozović (60' 22 Vidal), 20 Çalhanoglu (60' 8 Vecino), 14 Perisić; 10 Martinez (66' 5 Gagliardini), 9 Džeko (60' 7 Sánchez) Banc: 21 Cordaz, 6 De Vrij, 11 Kolarov, 97 Radu, 12 Sensi, 46 Zanotti Entraîneur: Simone Inzaghi Arbitre: Félix Brych VAR: ? Averti(s): 54' D'Ambrosio (I), 64' Militão (R), 74' Bastoni (I) Exclu(s): 64' Barella (I) ®Internazionale.fr ~ Aurios-Inter- 15 commentaires
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Nicolò Barella s’est dépucelé de la plus mauvaise des manières
Victor "Antony" Newman a posté un article dans Coupes d'Europe
En effet, l’international italien champion d’Europe a réalisé plusieurs premières, hier soir, face au Real Madrid au Santiago Bernabéu. S’il avait été provoqué par Militão, le sang chaud du joueur sarde n’a fait qu’un tour, au plus grand Dam de l’Inter et du sien Révélation de la Gazzetta Dello Sport "64 minutes de jeu, contact énergique entre Militão et Barella : Le milieu de terrain Nerazzurro fini dans les panneaux publicitaires et frappe la jambe du défenseur brésilien : S’en suit un tête à tête avec l’intervention d' équipiers pour les séparer et une carte rouge distribuée par l’arbitre Brych pour le numéro 23 contre une simple carte jaune pour l’autre concerné. "Le risque réel à présent est le dommage occasionné: Barella va rater très probablement le match aller des huitièmes de finale de la Ligue des Champions, mais il est également possible que la suspension soit, à minima, de deux journées". Dépucelage total "C’est la première fois pour Barella, il n’avait jamais craqué lors des nombreuses provocations qu’il a connu en carrière. Le Bernabéu fait faire des folies et les cartes sur la table s’en retrouvent modifiés, surtout vu les caractéristiques propres au joueur : Barella n’est pas un joueur habitué à connaitre des baisses de tensions." "Pour tout vous dire, c’est sa première expulsion avec le maillot de l’Inter, mais c’est aussi et dans l’absolu sa première expulsion directe en club. Il y a toujours une première fois et sa première fois a eu lieu à Madrid, dans une partie qui n’avait plus grand-chose à dévoiler. Mais pour les projections à venir, il s’agit d’un problème de plus à gérer pour Inzaghi." Des préliminaires compliqués "Que la soirée n’allait pas être simple pour Barella, tous l’avaient déjà compris auparavant. Tel un ciel sombre annonçant la pluie, Nicolò était nerveux et pour aller dans le sens de la pensée d’Inzaghi, il se rendait compte lui-même qu’il n’était pas aussi performant sur le terrain avant son expulsion : De sa sortie en retard sur le but de Toni Kroos en passant aux erreurs technique inhabituel pour le milieu de terrain, comme les passes manquées à destination de Dumfries au cours de la première période." "Ce même parcours a recommencé à la reprise, quasi immédiatement, lorsque Çalhanoğlu lui servait sur un plateau d’argent une passe décisive pour parvenir à égaliser : Rien à faire le ballon s’envolait en tribune et le joueur faisait état d’un désespoir visible : des bras écartés, une frustration pour un résultat qui ne lui convenaient pas et pour lequel il se sentait en partie responsable." "À la suite du remplacement de Brozović, Inzaghi l’avait replacé au cœur de l’Inter en lui confiant le rôle de régisseur, jusqu’à cette 64ème minute ou Militão le défie, il glisse avec la peur de se blesser. La frustration a dû être longue au vol retour car durant deux saisons, Nicolò a couru après les huitièmes de la Ligue des Champions pour les voir s’envoler à la dernière journée." "Maintenant que l’objectif a été atteint, il pourrait ne pas jouir du spectacle : L’espérance de l’Inter est que la Justice Sportive n’allonge pas plus sa malédiction, que l’arbitre dans son rapport, n’en a pas remis une couche, mais le risque d’une suspension de deux journées et bel et bien réel et l’Inter en est consciente." Selon vous, Nicolò a-t'il mérité son expulsion ou celle-ci était-elle excessive vu l'action qui a mené à cet incident ? ®Antony Gilles – Internazionale.fr- 20 commentaires
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Simone Inzaghi ne comptait plus jouer la gagne en seconde période
Victor "Antony" Newman a posté un article dans Coupes d'Europe
Selon le Corriere Dello Sera, si la différence de niveau était si flagrante au Santiago Bernabeu, l’origine de celle-ci pourrait être un signal envoyé par Simone Inzaghi à ses hommes, surtout en seconde période "Une différence est notable dans la gestion de la rencontre : Une fois le but encaissé, l’Inter semblait résignée en baissant les armes devant un adversaire qui n’avait pas envie d’en faire de trop. A la 65’, lorsque le score était toujours de 1-0 pour le Real, Simone Inzaghi avait déjà réalisé ses cinq changements ce qui est un signal très clair : Nous nous sommes assez divertis, il faut penser au championnat qui est bien meilleur." "La défaite est digne au niveau du marquoir, mais elle se montre sévère vu l’expulsion de Nicolò Barella suite à sa réaction envers Militao : Un coup de poing sur la cuisse du défenseur du Real et une crise inutile qui risque de faire manquer, au milieu de terrain, la double confrontation en huitième de finale." Pensez-vous également que l'Inter l'a joué stratégique ? ®Antony Gilles – Internazionale.fr- 6 commentaires
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Mercato Inter : Milan Skriniar au Real Madrid ?
Victor "Antony" Newman a posté un article dans Mercato
Après d'excellents rapports qui ont permis le transfert d'Achraf Hakimi à Milan, l’Inter et le Real Madrid devraient s’asseoir, à nouveau, autour de la table. Comme nous le confirme Don Balon, et avec le consentement de Sergio Ramos, le défenseur slovaque est pressenti pour devenir l’héritier de ce dernier. Déjà l’été dernier, le Real s’était informé sur Milan avant de virer sur Eder Militao. Mais à l’époque, les exigences de l’Inter étaient trop importantes : plus de 100 millions d’euros. A présent et après une saison en demi-teinte sous les ordres d’Antonio Conte et une perte du poste de titulaire au profit de Diego Godin, la valeur du joueur a chuté à 70 millions d’euros. La négociation pourrait donc être finalisée pour une somme avoisinant les 60 à 70 millions d’euros, mais il va de soit que la volonté du joueur s’avérera fondamentale… Et débuter la demi-finale de la Ligue Europa face au Shakhtar Donetsk pourrait pousser Skriniar à évaluer un avenir loin de Milan. Rappelons cependant que Don Balon c'est ça aussi : ®Antony Gilles - Internazionale.fr- 14 commentaires
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