Rechercher dans la communauté
Affichage des résultats pour les étiquettes 'enquête'.
5 résultats trouvés
-
Steven Zhang risque de perdre des parts du club
alex_j a posté un article dans F.C. Internazionale Milano
Les adieux de Steven Zhang à l'Inter ne sont peut-être pas simplement un choix ou une opportunité de marché. Comme le souligne Calcio e Finanza, notre président risque de perdre ses parts dans le club dans le cadre du procès né en Chine avec la China Construction Bank Asia (CCBA). La raison? Non-paiement d'une dette de plus de 300 millions de dollars. Comme on le sait, Steven Zhang a renoncé à percevoir son salaire de président ces derniers mois mais les créanciers demandent l'annulation de cette résolution afin de mettre la main sur son éventuelle indemnisation; mais pas seulement. En fait, voici ce qu'on peut le lire dans les documents rapportés par Calcio e Finanza. "L'Inter a renoncé à l'indemnisation due à Zhang, ce qui, selon la loi italienne, constitue un acte gratuit ayant un impact économique affectant les intérêts patrimoniaux de Zhang et sa capacité à satisfaire la dette due à la CCBA. En outre, Zhang aurait mené ses affaires financières de telle sorte que peu d'actifs étaient détenus directement à son nom et ce, malgré ses étalages ostentatoires de richesse, le tout pour entraver ses créanciers." "Dans la procédure italienne, la CCBA cherchera à satisfaire la décision de Hong Kong contre Zhang, notamment en ciblant ses actifs en Italie qui seront identifiés. Nous pouvons citer les dettes envers lui par l'Inter Milan ou des participations dans l'Inter." Le Tribunal de Milan devra se prononcer sur la question. La première audience est le 8 mars 2023 à 10h00. Traduction alex_j via FCInter1908.- 7 commentaires
-
- 5
-
-
-
-
- steven zhang
- calcio e finanza
-
(et 2 en plus)
Étiqueté avec :
-
Juventus toujours, lors du Napoli-Juventus Primavera, certaines images ont capté la présence de Luciano Moggi sur le banc : le procureur ouvre une enquête. Le 14 Janvier dernier, lors du match entre Naples et la Juventus Primavera, certaines images ont montré la présence en marge de Luciano Moggi, un ancien manager de la Juventus radié du football après le scandale du Calciopoli de 2006. Beaucoup se demandent comment sa présence fut possible alors qu'il est sensé être radié du monde du football. Et de fait, comme le rapporte la Gazzetta dello Sport, le parquet fédéral a décidé d'ouvrir une enquête. "Comment l'ancien manager de la Juventus, radié pour les événements du Calciopoli, peut-il occuper une telle place lors d'un match officiel ? Une question à laquelle veut désormais répondre le procureur fédéral qui a ouvert un dossier d'enquête sur l'incident. La violation, si elle devait être avérée, concernerait la présence sur le banc de touche d'une personne ne figurant ni dans la liste des matchs, ni parmi les accrédités (photographes, caméramans, etc.), le tout aggravée dans le cas de Moggi par la radiation, ou 'la forclusion à vie de rester dans n'importe quel rang ou catégorie de la FIGC'. Mercredi, Gianluca Pessotto, coordinateur du staff technique de la Juventus, a été entendu. Il s'est longuement entretenu avec Moggi ce jour-là sur le terrain de Cercola. Il est probable que Napoli sera également entendu en tant que responsable de l'organisation du match." Moralité : hé oui, c'est encore un complot ! Traduction alex_j via FCInter1908.
- 5 commentaires
-
- 6
-
-
-
-
- luciano moggi
- calciopoli
-
(et 5 en plus)
Étiqueté avec :
-
La Repubblica met en lumière de nouvelles interceptions concernant l'enquête impliquant la Juventus. Extraits. La première concerne Leonardo Bonucci : "Désolé, Fabio, je te fais confiance, mais et si un autre arrive ?", a déclaré le joueur au manager de la Juventus de l'époque, Fabio Paratici. "Léo, la Juventus est cotée en Bourse, elle appartient à la famille Agnelli. Tu veux que tout explose pour deux salaires ?", répond Paratici qui s'adresse à son collaborateur d'alors Federico Cherubini. "Nous devons être ouverts sur tout. La priorité sera de vendre en équipe A mais en même temps nous préparons les jeunes transferts. Soyons prêts, afin que nous puissions choisir et ne pas être contraints. D'une manière ou d'une autre, nous arriverons à faire dame... Je suis sûr que nous sommes trop bons et trop entraînés." Cherubini lui-même s'exprime au téléphone : "Je jure que j'en ai eu des soirées quand je suis rentré et j'avais envie de vomir rien que d'y penser", affirme l'actuel directeur de la Juventus dans une autre écoute. "Il n'y a pas de critère dans la manière dont nous dépensons l'argent. Il n'est pas surprenant qu'en deux ans nous ayons demandé 700 M€ aux actionnaires" déclare le directeur financier Stefano Bertola à l'occasion du renouvellement de Chiellini. Selon Maurizio Arrivabene, "vu les comptes, pour être tranquille, il fallait faire une augmentation de 650 M€, pas 400... pour faire amende honorable." Toujours selon Bertola, la Juve est mise "définitivement dans des dépenses excessives." Il y a aussi des écoutes qui concernent directement Andrea Agnelli, alors qu'il s'entretient avec Arrivabene. "Il n'y a pas que le Covid et on le sait bien. Par contre, on a chargé la machine d'amortissements et surtout de merde... parce que c'est toute la merde en dessous qui ne peut pas être divulguée." Pour cette raison également, selon les procureurs, "l'augmentation des coûts (en particulier des achats et des salaires des joueurs inscrits) n'était pas accidentelle, mais un choix spécifique et délibéré de l'entreprise." Nous sommes sommes tous abasourdis! Traduction alex_j via FCInterNews.
-
L'enquête visant l'Inter Milan pour de possibles fraudes comptables lors de transferts, a été élargie ce mardi avec la saisie de documents auprès de la Ligue de football italienne. Visée fin décembre par une enquête préliminaire sur des possibles fraudes lors de transferts de joueurs, l'Inter n'est pas encore tirée d'affaire. L'enquête a été élargie ce mardi après la saisie de nouveaux documents au siège de la Fédération italienne de football. Des enquêteurs de la brigade financière de la police italienne ont saisi auprès de la commission de surveillance financière de la Fédération (Covisoc) des documents relatifs à une soixantaine d'opérations survenues entre 2019 et 2021, selon les agences de presse italiennes Ansa et AGI. Après des perquisitions au siège de l'Inter Milan en Décembre, le club avait indiqué "avoir fourni la documentation requise relative aux cessions de certains joueurs lors des saisons 2017/2018 et 2018/2019" à la demande du parquet de Milan. Ce dernier souhaite "vérifier la régularité de la comptabilisation des plus-values" générées par ces ventes, avait précisé l'Inter. L'enquête à l'encontre de l'Inter avait été ouverte quelques semaines seulement après une autre visant la Juventus Turin, soupçonnée d'avoir communiqué de fausses informations aux investisseurs et d'avoir produit des factures pour des transactions inexistantes, selon le parquet de Turin. Dans le cas de l'Inter, les enquêteurs s'intéresseraient entre autres aux importantes plus-values générées par le gardien remplaçant Ionut Radu ou l'attaquant Andrea Pinamonti (actuellement prêté à Empoli) dans le cadre d'échanges avec le Genoa, selon Ansa. Affaire à suivre! Sources : AFP et l'Equipe
-
- 9
-
-
-
-
-
- ionit radu
- andrea pinamonti
-
(et 3 en plus)
Étiqueté avec :
-
Milan – Selon le quotidien la Stampa, Erick Thohir serait visé par la Guardia di Finanza, le Ministère des Finances italien, pour "suspicion d’une irrégularité lors de la formation du capital" qui lui a permis de racheter le club à Massimo Moratti. “Après les vérifications réalisées sur le Milan, lors de son acquisition par Li Yonghong, la Guardia a décidé de procéder à une série de vérifications sur les 79 millions d’euros qui, entre 2013 et 2015, ont permis à Erich Thohir, de racheter l’entreprise familiale de Massimo Moratti." Actuellement, il y a une enquête afin de savoir si la loi 231 de 2007 a été enfreinte. Pour faire simple, les enquêteurs vont vérifier l’origine légitime des fonds utilisés pour cette transaction. Le soupçon repose sur le fait que les documents justifiant la recapitalisation, ont suivi un parcours qui semble assez nébuleux. Le travail des enquêteurs consistera à acquérir les cartes de l’opération, et certaines personnalités seront auditionnées. Ces dernières sont celles qui ont eu un rôle majeur dans la recapitalisation du club, il y a 5 ans. Pourquoi une telle enquête ? Le 5 décembre dernier, la Guardia a décidé de procéder à une enquête informelle relative à la vente du Milan à Li Yonghong. Dans le dossier relatif à l’Inter, il faut creuser plus loin : Il faut plus précisément prêter attention aux flux de trésorerie qui sont passés par l’International Sports Capital, une administration qui appartient à Thohir. Le parcours financier n’est pas clair, et compte tenu de la confiance qui accompagne l’investigation, les enquêteurs souhaitent analyser les documents et prendre connaissance des entretiens qui se sont tenus entre l'ISC et l’Ufficio Informazioni Finanziarie, un ancien bureau d’affaire qui dépend à présent de la banque d’Italie. Ce denier travaille sur les transferts financiers. L’enquête va porter sur les fonds qui sont arrivés de l’étranger Pour la vente de l'AC Milan, trois versements pour une somme avoisinant les 300M€ ont été scrutés. Cette somme a été bloquée et l’affaire mise en évidence, sous la désignation de "signalement relatif à des transactions suspectes (Sos)”. La vente de l’Inter, par la famille Moratti à l’entrepreneur de Jakarta, pose les mêmes questions que celles posées sur le Milan. Néanmoins, si Li Yonghong était pratiquement inconnu dans le monde de la haute finance, il est tout de même parvenu à débourser 740M€ pour s’offrir les Rossoneri. Pour Thohir, il s’agit d’un pedigree différent vu la fortune dont dispose sa famille, dans divers domaines, en Indonésie. Cependant, vu la somme investie, soit 1/10ème de ce qui a été déboursé pour le rachat du Milan, l’opération est passée, à l'époque, inaperçue. Par contre, le problème pour l’Inter remonte à quatre années en arrière. Le club était alors exposé à la dette et le budget avait été clôturé avec 431 millions d’euros de dette, pour des recettes moitié moindre. Pour assainir le bilan, Thohir avait créé un mécanisme de prêts garantis, limitant les risques de non-paiement. Au moment de l’annonce de l’achat, le plan financier prévoyait d’examiner les bénéfices du club, avec en prévision sur plusieurs années, un chiffre d'affaire avoisinant les 250M€ par an. Une opération qui, de toute évidence, n’a pas donné les résultats escomptés..... Thohir convoqué chez le Procureur de Milan ? Le 19 janvier 2018, peu d’information ont filtré du parquet du Procureur de Milan, mais une hypothèse d’un type d’infraction a été mise en évidence par la Guardia di Finanza. Cette dernière pourrait bien amener la justice à se pencher sur la question du rachat du club : Il y a lieu de remarquer que Thohir, qui détient encore 31,05% du club se montre silencieux sur cette affaire. Son objectif étant de s’éloigner toujours plus de la vie Nerazzurra et de voir ses actions rachetées. Du côté de l’Inter, le club ne communique pas sur cette enquête, mais confirme garder sa sérénité. Massimo Moratti ne s’est également livré à aucun commentaire. Devons-nous nous préparer à un nouveau scandale financier dans le monde du Calcio ? Comment va réagir le Suning suite à l'ouverture de cette enquête... Si le but de Thohir n'était pas noble, justice devra être rendue... ®Antony Gilles - Internazionale.fr
- 5 commentaires
-
- erick thohir
- économie
-
(et 3 en plus)
Étiqueté avec :