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Notre Administrateur-Délégué Sport, Giuseppe Marotta, s’est livré à Trento à l’occasion du "Festival Dello Sport", organisé par la Gazzetta Dello Sport: "Devenir une Bandiera de l'Inter comme Dirigeant ? Je suis Honoré d'être à l'Inter, ensuite il y a tellement de facteurs qui ne dépendent pas que de moi." "Nous traversons une période positive qui est la continuité d’un cycle débuté il y a quelques années et, aujourd’hui, il y a une meilleure conscience en nos propres moyens." "Nous pouvons jouer un rôle de protagoniste, un rôle qui fait partie de notre Histoire, de l’Adn et du Palmarès du Club. Nous n'avons connu qu'un incident de parcours et , cela arrive dans chaque discipline sportive. Je me dois de dire que les prestations réalisées dernièrement ont été très positives, qui font de nous les protagonistes de la saison." La vraie Inter ? "Elle est souvent associée au slogan "Pazza Inter" qui est dans l’ADN du Club aussi par ces situations sur courant alternatif. Au-delà de cet aspect, dans une saison riche d’engagements en club et en équipe nationale, il est également normal d’un point de vue agonistique et physiologique que nous connaissons des baisses de tension et de fatigues, celles-ci doivent être gérée de la meilleure des façons. C’est ici que le Staff technique entre en action et que de nouvelles figures émergent car un sport comme le football est constamment à la recherche d’innovation." La Seconde Etoile ? "C’est une déclaration d’amour explicite, je crois qu’elle trouve son origine par-dessus tout dans les faits : Être ambitieux dans le sport est une vertu, Il faut toujours placer la barre très haut et ce n’est pas un défaut, mais une source de motivation pour faire que toutes les composantes du club, sur et hors du terrain, abonde vers le même objectif. L’ambition ne doit pas être confondue avec l’arrogance qui est un défaut : L’ambition te porte à être traitée d’antipathique, mais je crois justement aussi bien en la rivalité qu’en la compétitivité, et c’est normal qu’une personne comme moi qui gère un club, se doit de transmettre ce concept." Lukaku ? "Il ne sera certainement pas effrayé par l’accueil que va lui réserver le Meazza, il fait partie du passé. Lorsque tu vis des émotions, positives ou négatives, et lorsque tu vis dans un rapport de confiance, cela peut conduire ensuite non seulement à de la méfiance, mais aussi à de la déception. Cela fait aussi partie de la composante humaine et du sport, dans ce qu’il y a de plus spécifique dans un sport riche, où l’argent fait fois et où il ne s’agit pas d’une vertu mais d’un défaut. En ce qui me regarde et en ce qui regarde l’Inter, il fait partie d’un passé récent dans lequel je ne veux pas entrer, je regarde le présent et l’avenir." Ses déclarations "Je ne le vois pas capable de dire beaucoup de choses et il reste libre de le faire bien sûr. Lukaku peut bien sûr dire ce qu'il veut mais nous l'avons toujours respecté... et puis l'argent fait la différence dans le football." Est-ce que le fait qu’il soit sur le banc à Istanbul a joué ? "Je ne pense pas car une décision aussi importante que celle d’accepter une proposition de l’Inter ne peut pas dépendre uniquement dépendre d’un instant, mais bien d’une relation vécue durant plusieurs années et il y avait un grand rapport de confiance, de respect et de reconnaissance envers lui. Je ne vois absolument pas comment nous aurions pu créer une controverse, c’est une polémique, un débat stérile dans lequel nous ne tenons pas à nous engouffrer." Un appel aux Tifosi en vue du retour de Lukaku ? "J’ai entendu parler de ces 50.000 sifflets, et je considère cela comme une situation qui se doit d’être bien gérée, nous devons avoir la capacité de vivre dans le présent dans une période où nous devons unir nos forces. Le fait même que les supporters peuvent se laisser aller à ce type de chose pourrait créer une distraction dans un moment du match où il est important de soutenir les nôtres. Toutefois, et à juste titre, nos Tifosi ont le droit de manifester et de critiquer d’une façon démocratique et civilisé ce qu’il se passe sur le terrain de jeu, c’est un choix libre qui se doit être accepté." Le football d’aujourd’hui "Le phénomène du football arabe a amené des grands avantages économiques aux clubs européens, mais les évaluations devront être faite au moins après deux saisons. Ils ont offert des bouffées d’oxygènes à énormément de club. Toutefois, d’un point de vue qualitatif, nos championnat risque de se retrouver appauvri, même au niveau des droits télés." "Milan représente le Derby de la Ville et il a une saveur particulière. La Juventus est le club avec lequel nous disputons le Derby d’Italia, c’est un autre club tout autant historique et important. Tout dépend de la période, mais remporter un Derby peut te donner ce petit quelque chose en plus." Dans ce championnat ? "Avant tout, il faut gagner contre la Juventus." Roberto Mancini "Il me reste encore un peu d’amertume, je n’aurais jamais imaginé qu’il allait nous abandonner, je pensais qu’il allait continuer son parcours avec la Nazionale. Dans le même temps, j’accueille avec fierté et satisfaction le choix de Spalletti : Je l’ai vu très motivé et impliqué avec des sentiments nationalistes. J’ai connaissance des termes de son contrat et ce n’est certainement pas un contrat qui te change la vie, il a d’ailleurs gagné bien plus d’argent en Club : Il a pris cette décision en la considérant comme une mission." Soutenabilité "Face à la Pandémie, nous avons dû nous adapter à un concept mal utilisé jusqu’à présent qui est la soutenabilité : L’équation "Qui dépense le plus l’emporte n’existe pas dans le sport", mais il est tout de même exact qu’il faut un budget pour construire une équipe compétitive. C’est une chose d’épargner de l’argent et de ne pas le gaspiller, mais c’en est une autre de devoir chercher à réduire drastiquement les coûts car tu te retrouverais face à des difficultés pour constituer ton équipe, car il faut prendre en compte aussi bien la compétitivité en Italie, mais également à l’étranger." La Juventus et l’appel de Steven Zhang "Avec la Juventus, il s’est terminé un cycle, c’est un fait physiologique. Après mon annonce faite lors de l’après-match face au Napoli, j’ai reçu, le matin suivant un message de Steven Zhang. Et comme je ne l’avais pas enregistré, je pensais que c’était une connerie. J’ai donc appelé Urbano Cairo car je savais qu’ils étaient amis et il m’a confirmé qu’il s’agissait bien du numéro de Zhang." "Dès lors, nous avions fixée une rencontre et j’acceptais l’offre immédiatement : En tant qu’Homme de Football, j’ai accepté une proposition qui pourrait être considérée comme une forme de revanche : Celle de revenir sur le terrain immédiatement." Istanbul "La plus grande partie de nos garçons, si ce n’est Tous, disputaient pour la première fois la Finale de la Ligue des Champions et je pense qu’il s’agit d’une expérience importante pour comprendre ce que veut dire s’améliorer et, éventuellement, comprendre comment disputer une autre finale." "L'Inter actuelle est la fille d’Istanbul et d’un processus de croissance de tout le Club : Il ne faut pas oublier que 12 joueurs sont arrivés durant l’été. Cela signifie que nous disposons d’un plus grand respect comparé à notre passé récent en termes d’amalgame : Nous avons créé une solide fondation d’Italiens et je peux dire avec fierté qu’il y en a 6 en Nazionale. Pour moi, cela signifie que l’on créé les conditions pour être compétitif et facilité la compréhension des nouveaux arrivants sur ce que représente l’Inter et sur ce que signifie jouer en Italie." Est-ce qu’un retour d’Onana est envisageable ? "Je ne parviens pas encore à percevoir le futur, mais le football est fait d’un tout. Et il y a aussi des joueurs qui reviennent en apportant des fois des résultats positif et d’autres fois des résultats négatifs. Nous ne savons pas le prédire, mais c’était très certainement une expérience aussi bien importante pour lui comme pour nous, sans oublier le fait que nous avons clôturé notre rapport avec une opération économiquement importante." Marcus Thuram "Au final, la décision revient toujours au joueur et ici même Thuram a été le principal protagoniste de son arrivée à l’Inter, c’est son choix, malgré le fait qu’il avait reçu d’autres offres . Il a évidemment étudié quel pourrait être le meilleur club pour la suite de sa carrière et il est évident que le rôle de son père a exercé une influence : Nous sommes redevenu, l’Inter appétissante et je dois dire qu’aujourd’hui encore j’ai reçu énormément de proposition de joueurs qui veulent jouer chez nous : Cela veut dire que l’Inter est entrain de redevenir l’Inter d’autre fois." Davide Frattesi? "L’avantage que je puisse représenter moi est celui d’avoir un bon rapport avec l’Administrateur-Délégué de Sassuolo. Les indications pour ce joueur sont arrivée de l’Aire technique, nous bossons tous ensemble, moi, Ausilio, Baccin, l’entraineur, afin que chacun puisse apporter à notre cause ses propres talents : Le joueur a aussi été protagoniste dans le fait d’accepter cette destination. Même notre propriétaire, lorsque l’on a présenté cet investissement important, nous a donné le feu vert et nous sommes parvenus à mettre sur pied une opération importantes : Toutes les composantes sont importantes, même les épouses et les fiancées." Scamacca? "Nous avions débuté une négociation avec le club et aussi avec lui, et il y avait initialement une disponibilité de la part du joueur, qui a ensuite préféré emprunter une voie différente. C’est un choix qui se doit d’être respect et nous avons fait un pas de côté. Il n’y avait aucune compétition avec l’Atalanta pour propose plus, nous nous sommes justement retiré." Le Calcio Scommesse ? "Je ne tiens pas à m’exprimer sur une situation au cours d’une enquête. Je crois que parier est un vice antique de l’être humain et qu’il doit être vu comme tel et qu’il se doit d’être combattu d’un point de vue éthique. Les joueurs professionnels font partie d’une catégorie à part : Ils peuvent soudainement devenir riche et le temps qu’ils consacre à leur activité compétitive n’est pas aussi excessive, ils disposent donc d’énormément de temps libre." "Le problème est qu’il vaut savoir combler ces périodes avec des activités positives et il y a souvent un manque de valeurs, ils sont jeunes et ils doivent être aidé pour grandir. Je me dois de faire un Mea-Culpa au nom de la classe dirigeantes car les Institutions, les Clubs, les associations syndicales, nous avons tous, sans exceptions manqués et manquons encore à l’appel." "J’ai assisté, au tout début de ma carrière au scandale du Calcio Scommesse et les choses se répètent ici en 2023 : Cela veut dire que la matrice de prévention et d’acculturation fait défaut. Nous ne parvenons pas à faire ce qu’il faut et ces garçons tombent dans ce type de situations qui ne leur apporte bien, car ils vivent dans un monde doré." Mauro Icardi ou Romelu Lukaku? "Vu comment les choses se sont passées, c’est mieux Icardi." Allegri ou Conte ? "Le dénominateur commun est qu’ils sont tous les deux des gagneurs, ce qui est une caractéristique importante que se doit d’avoir un entraineur. Il y a les gagnants et ceux qui échouent : Chaque entraineur présente un profil différent et ils le savent eux même : Eux savent gagner et ils savent comment transmettre cette mentalité de gagnant, j’ai connu de belles expériences avec les deux." "Avec Conte c’est encore une plus belle expérience car nous sommes parvenu à gagner aussi avec l’Inter, ce qui est quelque chose d’extraordinaire : Ce sont deux grands professionnels qui m’ont offerts de très grandes émotions." Lautaro peut-il prétendre à un possible Ballon d’Or ? "Oui, absolument, je crois qu’il a toutes les qualités pour réaliser une excellente carrière qui coïncidera très régulièrement avec les nominations à des prix prestigieux : Je lui souhaite d’en avoir le plus possible. C’est un parcours assez long, mais il y a surtout le fait qu’il s’identifie aujourd’hui au rôle qu’il a à l’Inter, il s’agit de tout un ensemble de valeur qui sont favorable à sa croissance professionnelle." Son futur ? "Le club est attentif à toutes ses indications que je viens de citer. Aux côtés de Lautaro, il y a tout un ensemble de joueurs qui méritent également une attention particulière de notre part et, avec le Directeur Sportif Piero Ausilio, nous travaillons en ce sens avec un objectif : Toujours garder bien en vue quels sont les objectifs à atteindre. Les aspects contractuelles sont selon moi marginal comparé à l’engagement que nous nous attendons tous de la part des joueurs du noyau." Auriez-vous signé pour occuper la position actuel aussi bien en Ligue des Champions qu’en Championnat ? "Je suis satisfait car, au-delà des statistiques, j’analyse les prestations qui ont été proposées et celle-ci ne peuvent être que positives, également pour ce que devrait être notre futur. Je dois dire qu’il faut aussi absolument reconnaitre le mérite de notre entraineur qui a su faire fusionner un nouveau groupe et à en faire ressortir un modèle positif." Scudetto ou Ligue des Champions ? "Je vote pour le championnat. Le championnat est une course par étapes, le meilleur gagne toujours. En Ligue des Champions, il y a aussi des circonstances heureuses, le meilleur ne gagne pas toujours. Nous sommes très compétitifs pour le Scudetto, les valeurs qui ont émergé et les valeurs objectives le disent. En réalité, c'est plus difficile en Ligue des Champions.” Est-ce que vous vous retrouvez encore dans ce football ? "Les symptômes d’intelligence s’adaptent au temps. Nous sommes face à un monde totalement différent, il y a des innovations qui sont devenu réalités comme les algorithmes et l’intelligence artificiel. C’est aux managers à savoir s’adapter à l’époque actuelle." Quelle l’opération de Mercato qui aurait pu être la plus importante "Celle de Bellingham qui est un joueur vraiment très fort et qui représente le présent et le futur. Mon regret a été également de ne pas avoir recruté Haaland à la Juventus, on me l’avait proposé lorsqu’il était encore à Molde, mais c’est la vie." Où sera l’Inter dans un mois ? "Il est mieux, paradoxalement, d’être dans le rôle du chasseur que de celui du lièvre, et de devenir celui du lièvre à la fin car il l’emportera toujours. Mis à part cela, il faudra savoir gérer les moments de fatigue liés à la compression des rendez-vous qui s’enchaine. Je retiens que nous disposons d’un noyau compétitif, tel qu’il permettra à Inzaghi de le gérer de la meilleure des façons possible." Pourquoi allumer Lukaku et encenser Icardi Nos confères de la Gazzetta Dello Sport ont tenu à analyser la situation : La pensée de l’Administrateur-Déléguée est la même que celle de tous les autres Managers de la Viale Della Liberazione, car si le traumatisme de la rupture avec Big Rom est encore tout frais, la situation est différente entre l’argentin et le belge. Icardi avait manifesté son amour pour l’Inter jusqu’au bout, il a commis la faute de ne pas savoir dissocié le Vestiaire des déclarations de son épouse et agent Wanda Nara, ce qui lui a posé des problèmes avec ses équipiers, mais il a cherché une façon pour arranger les choses. Et cela, même lorsqu’il avait été écarté du noyau et que le numéro 9 lui a été retiré pour finir sur les épaules de Lukaku, même lorsqu’il avait fini par devoir s’entrainer tout seul. La situation est totalement différente pour le Belge qui, même s’il était fortement désiré par la Direction et Inzaghi, ne s’est jamais exposé avec Chelsea pour rester à l’Inter et, lorsque l’intervention de Roc Nation avait permis de favoriser l’accord entre les deux clubs, il s’était éclipsé, en ne répondant plus au téléphone également à ses équipiers, il a donc fait comprendre à tous qu’il avait tourné le dos au Monde Interiste ®Antony Gilles – Internazionale.fr
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Thomas Zilliacus: "L'Inter est plus attractive que United"
Victor "Antony" Newman a posté un article dans Serie A
L’entrepreneur finlandais est revenue à la charge auprès de nos confrères de l’Interista sur une possible acquisition de l’Inter : "Je m'explique. Tout a commencé par une offre que j'ai faite à Manchester United au printemps dernier. À l'époque, j'étais arrivé à la même conclusion que celle à laquelle le Cheikh Jassim Al Thani doit être parvenu aujourd'hui". C'est-à-dire ? "Que les Glazers n'étaient pas sérieux dans leur volonté de vendre. En avril, je les ai informés que je ne poursuivrais pas les négociations. Mon offre précédente était toujours sur la table, mais je les avais prévenus que je ne ferais plus d'autres offres. Comme je l'ai dit, j'avais le sentiment que les Glazers ne voulaient pas sérieusement vendre". Et ensuite ? "C'est à ce moment-là que j'ai dit à Jassim : Pourquoi ne pas unir nos forces et faire une offre pour un meilleur club ? Pour moi, investir dans un club de football n'est pas une question d'image, d'achat de trophées : certains le font pour cette raison". Et pourquoi le faites-vous ? "Pour moi, c'est tout autre chose, j'ai fait du football toute ma vie : j'ai été joueur, entraîneur et propriétaire. J'aime le football et je crois que la première chose à faire est d'essayer d'améliorer le club, année après année. L'Inter est née en 1908, elle existe depuis bien plus longtemps que notre naissance à tous, et elle existera encore longtemps après notre mort. Je me vois seulement comme un gardien potentiel d'une Institution". Pensez-vous qu'Al Thani vous répondra ? Peut-être pas via Twitter... "Il rit... Vous avez raison ! Je suis sûr qu'il ne répondra pas via Twitter. Mais vous savez, je suis scandinave, je viens d'une culture de communication très ouverte. J'ai commencé ma vie professionnelle en tant que responsable mondial de la communication chez Nokia : j'aime ce type de communication. Disons que lorsque j'ai vu cette nouvelle, je me suis dit : "OK, c'est quelque chose que je ne peux pas ne pas commenter". Sur les réseaux sociaux, lorsque quelqu'un me demande quelque chose, je peux exprimer mon point de vue, mais lorsqu'il s'agit de négociations commerciales sérieuses, cela doit se faire en privé, en toute confiance. Et lorsque les résultats arrivent, ils peuvent éventuellement être annoncés". Avez-vous fait une offre pour une autre équipe ? "Non, seulement pour ces deux-là : l'Inter et United. Pour moi, il est très important de trouver un club avec une base de supporters importante et mondiale. Je sais que je peux générer de bons profits pour les clubs en commençant par leur propre supporters et en leur fournissant les services qu'ils souhaitent. J'ai été approché par de nombreux clubs, mais ma réponse a été la suivante : "Si vous n'avez pas une base de supporters importante et mondiale, je ne suis pas intéressé". Mais comment comptez-vous faire de l'Inter, le meilleur club du monde ? "Tout d'abord, je pense que pour diriger un club, il faut comprendre le football. Et comme je l'ai dit, j'ai été joueur, entraîneur et propriétaire. Je pense que je connais très bien ce sport. L'Inter a une très bonne direction, à commencer par Giuseppe Marotta, jusqu'à l'ensemble de l'équipe, ils sont tous bons. Je pense qu'un propriétaire doit soutenir sa Direction. Simone Inzaghi fait également du très bon travail. Mais pour construire une équipe, il faut aussi quelque chose d'autre." Qu'est-ce que c'est ? "Tout d'abord, il faut de l'argent et, comme je l'ai dit, je sais comment générer de l'argent, je sais comment créer de bonnes recettes en fournissant des services aux supporters. Avec le cheikh Jassim Al Thani, si nous unissons nos forces, je sais, et j'insiste sur le fait que je ne pense pas, mais que je sais avec certitude, que nous générerons beaucoup d'argent. En générant de l'argent, nous donnerions au club la possibilité d'acheter les meilleurs joueurs du monde. Je vous le dis clairement je n'aime pas suivre le style, par exemple, du Paris-Saint-Germain, que je vois acheter continuellement les grandes stars, mais sans créer un vrai groupe". A quoi pensez-vous ? "Selon moi, tout le monde doit être prêt à se battre pour l'équipe, ça passe avant tout. C'est toujours le collectif qui compte, pas la gloire individuelle ou le prestige d'un joueur. On ne peut pas avoir trop de stars, on doit avoir de bons joueurs, prêts à travailler pour l'équipe. Avec de très beaux Tifosi, une belle Direction et un bon Management, je pense que l'Inter pourrait devenir la meilleure équipe du monde". Il y a quelques semaines, vous avez déclaré que la famille Zhang n'était pas intéressée par la vente. Pourquoi pensez-vous que les choses peuvent changer maintenant ? "Je pense que tout est à vendre lorsque le prix est correct. La famille Zhang fait un travail fantastique. Il y a toujours des gens prêts à vous critiquer, quoi que vous fassiez, et d'après ce que je vois, ils font du très bon travail, même si, comme toujours, il y a des critiques. Steven et sa famille soutiennent financièrement l'Inter et en ont fait ce qu'elle est aujourd'hui : une équipe de premier plan en Europe. Ils méritent d'être félicités. Il y a aussi un autre aspect également vrai qui me vient à l'esprit." Que voulez-vous dire ? "Suning a été à la présidence pendant plus de sept ans, peut-être veulent-ils maintenant s'occuper d'autre chose. Et s'il y avait une bonne Direction, un propriétaire sérieux, désireux de continuer à développer l'Inter, je pense que la famille Zhang serait prête à vendre. En fait, je suis convaincu que la famille Zhang aime l'Inter et qu'elle veut voir le club continuer à s'améliorer. Je pense donc qu'il ne s'agit pas que d'une question d'argent pour eux, mais aussi de trouver la bonne personne à qui vendre." Mais comme vous l'avez dit, c'est aussi une question d'argent. Il y a quelques semaines, nous avons pris connaissance d'une offre de 1,3 milliard d'euros émanant d'un fonds du Moyen-Orient. Pensez-vous que ce prix pourrait convaincre les Zhang de céder ? "Je ne sais pas s'il s'agit d'une offre réelle, mais je sais qu'il y a eu beaucoup de rumeurs à ce sujet, sur la volonté d'Investcorp d'acheter l'Inter. Il y a eu des rumeurs dans les médias, et les rumeurs sont parfois vraies, parfois pas." "Je ne peux donc pas m'exprimer à ce sujet. Comme je l'ai dit, je sais que la famille Zhang aime l'Inter, donc s'il y avait les bonnes personnes prêtes à offrir ce qu'elles pensent être le bon prix, alors je pense quelle sera à l'écoute. Le travail qu'ils ont accompli est vraiment fantastique, je vais expliquer le pourquoi." Je vous en prie "La Chine est désormais un marché très important pour les Tifosi de l'Inter. Je veux dire par là qu'il y a beaucoup de Tifosi de l'Inter en Chine. Et comme je l'ai dit, c'est un aspect crucial pour moi. Si Steven est prêt à continuer, même avec un pourcentage plus faible, j'en serais ravi. Cela pourrait être une bonne nouvelle car je pense que le fait que l'Inter ait une bonne équipe est une chose très positive pour les perspectives d'avenir, pour les Tifosi. Je suis prêt à discuter de tout type de structure d'entreprise, avec le Cheikh Jassim Al Thani, avec Steven Zhang et avec tout partenaire susceptible d'apporter une réelle valeur ajoutée au club." Si vous étiez le président de l'Inter, quel grand joueur aimeriez-vous voir porter le maillot des Nerazzurri ? "C'est difficile d'en dire un. Dans le football, il faut gagner des matches et marquer des buts. Pour cela, il faut de très bons attaquants. Pour moi, et je ne dis pas cela uniquement parce que je suis scandinave, Erling Haaland est une superstar absolue, j'aimerais le voir sous le maillot de l'Inter". Mais aujourd'hui, il semble impossible de viser ces noms pour le salaire qu'ils perçoivent. Pensez-vous qu'Inter pourra se le permettre un jour ? "Oui, c'est ce que je veux dire. Aujourd'hui, ce n'est peut-être pas possible, mais c'est pourquoi j'ai été heureux quand j'ai vu que Sheikh Jassim ne poursuivrait pas les négociations avec United. Je pense que l'Inter est un club encore plus attractive que United. En conclusion, le Sheikh aime le football et il ne doit pas oublier que l'Inter est en Italie". L'Italie peut-elle faire la différence ? "Oui, nous parlons d'un pays fantastique, avec tout le respect que je dois à l'Angleterre : je pense que l'Italie a beaucoup plus à offrir que l'Angleterre dans tous les aspects de la vie, qu'il s'agisse de la culture, de l'histoire, de la nourriture ou de la mode. Nous parlons d'une ville comme Milan. Elle attire à la fois les footballeurs et les investisseurs du monde entier". ®Antony Gilles – Internazionale.fr- 5 commentaires
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Thomas Zilliacus, s'est à nouveau exprimé publiquement à plusieurs reprises son désir de racheter l'Inter et a fait de nouvelles déclarations intéressantes sur son attirance pour le club Nerazzurro. Tout d'abord, Zilliacus a fait part de l'intérêt du FC Barcelone pour Erling Haaland de Manchester City. "Ha-Ho-Ha ?Dans les années 1950, trois Scandinaves, surnommés Gre-No-Li par les médias, ont mené l'AC Milan à un énorme succès. Trois jeunes et talentueux Scandinaves pourraient faire de même à l'Inter. Le Norvégien Erling Haaland, 23 ans, le Danois Rasmus Hojlund, 20 ans, et le Finlandais Daniel Håkans, 22 ans, formeraient un trio offensif redoutable. Et oui, je sais que certains diront Ha-Ha-Ha, mais ne nous embêtons avec pas !" Et puis, répondant à un internaute qui lui disait : "Tu n'es qu'un Tifoso de l'Inter comme nous", Zilliacus a répondu : "Tu as raison, je suis un Tifoso de l'Inter comme toi. Mais je suis aussi un entrepreneur qui a l'habitude de réaliser ses rêves". Croyez-vous que ? ®Antony Gilles - Internazionale.fr
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La Gazzetta dello Sport chante les louanges de Simone Inzaghi fraîchement et définitivement diplômé au niveau international à Istanbul. Si pour les Italiens, comme le dit Guardiola, un 0-0 est une victoire, alors l'Inter a remporté la première mi-temps et une bonne partie de la seconde, des minutes pendant lesquelles Manchester City ressemblait à une équipe comme les autres, voire peut-être pire. Cela pourrait être du au fait que les Anglais n'étaient pas dans un soir de grâce. Oui, peut-être. Mais nous nous en doutons car nous sommes convaincus que le plan tactico-stratégique de Simone Inzaghi a eu un impact sur la "banalisation" de City. Il a privé City de ses merveilles. Il l'a drogué avec une attitude faussement soumise. Pendant longtemps il a laissé City dribbler et tirer loin de la zone, avec Haaland isolé et hors contexte comme cela arrive rarement. Une Inter défensive ? Non ! Une Inter intelligente qui a su gérer les moments d'un match très difficile. Et même les propos de Guardiola en fin de match confirment ce qui en est ressorti pendant les 90 minutes : tactiquement, City a été anesthésié. Le beau et presque invincible City ne s'est pas présenté à Istanbul. Le but est venu grâce à une action admirable mais qui s'est concrétisée sur l'un des rares échecs de la phase défensive de l'Inter, avec le côté gauche exposé et faible. City n'a pas volé la victoire, la défaite de l'Inter n'est pas méritée non plus. Inzaghi aurait mérité une prolongation pour la façon dont il a freiné et agacé City. Tous les discours de la veille sur la distance sidérale entre City et l'Inter étaient infondés. Hier soir, Guardiola et Inzaghi étaient proches, très proches, et notre prix de la critique, pour ce que ça vaut, nous le livrons à l'entraîneur d'une Inter à la hauteur absolue de City. Traduction alex_j via FCInterNews.
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Francesco Acerbi : "La défaite est un enseignement pas un échec !"
alex_j a posté un article dans Interviews
Francesco Acerbi s'est exprimé en conférence de presse à Coverciano. Il a évoqué divers sujets. Une amertume avec la défaite en finale face à Manchester City ? "Il faut être fier de ce qui a été fait mais il y a un peu d'amertume, oui. La finale, bravo, bravo... mais si tu ne soulèves pas le trophée, il n'y a rien d'écrit et ça te ronge un peu. Aussi parce que mon sentiment sur le terrain était que nous n'avions pas conscience que nous pouvions vraiment tuer Manchester City. Nous avons trop parlé de sa force et nous avons payé cela un peu inconsciemment. Même City avait peur de nous, on a tout fait pour que la Ligue des champions aille à Milan... Dommage, un gros regret." Que dire de ce cru du football italien ? "C'est une année importante pour l'Italie. Cela ne s'est jamais produit. Je ne sais pas si c'est le début de quelque chose... La Premier League est la plus forte en ce moment mais nous sommes l'Italie. Un pays avec beaucoup de joueurs forts , beaucoup de jeunes qui peuvent jouer. Preuve que le football italien est toujours à un excellent niveau. Même en équipe nationale, nous devons récupérer, nous connaissons notre valeur et ce que nous voulons faire. Nous voulons donner le meilleur de nous-mêmes." Êtes-vous prêt pour Jeudi ? "Même le lendemain de la finale à Istanbul, alors vous jouez nerveusement. J'ai passé une journée au cours de laquelle vous réfléchissez et réfléchissez à ce que vous auriez pu faire de plus, analysez le match et la défaite. Ces résultats font partie de la vie, le Le l'important est de faire de mieux en mieux chaque jour. Vous êtes en équipe nationale et maintenant vôtre tête est là, pour le match de jeudi. C'est un match qui se prépare, bien." La finale de Samedi était-elle une opportunité unique ? Quelle impression Haaland a-t-il faite? "C'est deux fois le joueur que j'ai affronté contre Dortmund il y a trois ans. Un grand attaquant mais il a fait un excellent travail d'équipe. Après le match, zéro réflexion, pendant dix minutes, je n'ai voulu parler à personne. Occasion unique, penser avant au match, mais une fois dedans, je ne pensais qu'à tout donner et qu'il pourrait y avoir une autre opportunité. D'abord vous pensez à tout, puis vous vous sentez mal de la défaite." Pensez-vous aux chants "Acerbi on n'en veut pas" des fans l'été dernier ? "Je suis assez fort, je m'en fous. Ce qui m'a donné de l'énergie et de la force, c'est ce que je veux, aller plus loin et ne pas rendre les autres heureux. Pour un petit sourire, ils m'ont peint en fan du Milan et ça m'a fait un peu mal parce qu'en tant que professionnel et homme sur le terrain, personne n'avait à remettre en question mon engagement. Quelle que soit l'équipe pour laquelle j'ai joué. Mais j'ai dit que je devais continuer, c'est ma passion et ma vie et pour cela je suis fier de moi-même." Quels sont vos objectifs à ce stade ? "Gagner des coupes oui et non... Mon seul objectif est que lorsque j'aurai fini de jouer au football, je pourrai dire que j'ai tout donné pour ce que je représente. Je ne sais pas où j'en serai dans un an, où je sera dans six jours... Je ne sais pas dans deux semaines. Je ne sais pas où je serai, deux heures avant la fin du mercato j'ai dit non à Inzaghi et puis je suis parti. Le bon chemin sera le meilleur pour moi, puis à la fin de ma carrière je tirerai un trait. La finale de la Ligue des champions n'était pas prévue, je donne tout." Vous avez probablement connu la meilleure saison de votre carrière. Comment expliquez-vous qu'elle était atteinte à 35 ans ? "Après ma maladie, j'ai toujours été sur la bonne voie, j'ai toujours fait de bonnes saisons. Un joueur ne fait pas un match à huit puis à quatre. C'est toujours ce qu'on a envie de faire quand on progresse, j'essaie suivre le meilleur pour moi-même, puis la faim, l'envie, la volonté… Vous voulez aller là où les autres ne veulent pas aller, puis bien sûr il y a aussi le groupe et un peu de chance puisque je n'ai subi aucune blessure." Quelles leçons tirez-vous de la finale à Istanbul ? "J'ai perdu la finale et vous devez être conscient que vous pouvez la jouer contre tout le monde et même gagner s'il y a un groupe fort et cohérent qui continue et se relève même après les revers. C'est la seule voie qui vous permet d'avancer. Quand vous perdez, ce n'est pas un échec mais un enseignement. Vous gagnez et vous perdez, en espérant qu'il y ait toujours plus de victoires que de défaites." Traduction alex_j via FCInterNews.- 4 commentaires
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Diego Milito : "L'Inter peut le faire ! Lautaro ? Il est complet !"
alex_j a posté un article dans F.C. Internazionale Milano
Longue interview accordée au Corriere della Sera par Diego Milito. Voici ses mots. Sur la finale de 2010. "C'est difficile d'exprimer les émotions que j'ai ressenties. Ce que je peux dire sera toujours peu. Une joie qui restera avec moi pour le reste de ma vie." Le premier souvenir qui vous vient à l'esprit de la finale face au Bayern ? "La joie des supporters après le deuxième but. Si je ferme les yeux, je peux encore voir leurs visages. À ce moment-là, nous avons réalisé que nous pouvions vraiment le faire." Cette fois, l'Inter défie Manchester City. Comment gagner un match comme celui-ci ? "Il n'y a pas de formule exacte. Il faut soigner les détails, aller sur le terrain avec détermination, savoir saisir les opportunités." Mais existe-t-il une recette pour gérer l'anxiété et la pression la veille ? "Ce n'est pas facile, il y a tellement de pensées, l'adrénaline circule déjà. Mais j'ai réussi à dormir, j'étais calme. Le sentais qu'on pouvait gagner ce match." Qu'avez-vous ressenti en sachant que Mourinho ne reviendrait pas à Milan avec vous ? "Un mélange d'émotions : nous étions contents d'avoir gagné, mais tristes de ne pas continuer à travailler avec lui. Ses adieux ont été un coup dur, il a été une référence." Avez-vous été surpris de le voir à la Roma, votre rivale de l'époque ? "Non. Il y a des imoments et des instants. Rome est une place parfaite pour lui." Mou ou Inzaghi : de qui te sens-tu le plus proche pour le caractère ? "J'ai un faible pour José, je lui serai toujours reconnaissant. Il y a avec lui un lien d'affection qui rend la comparaison difficile. Simone est un excellent coach, parfois injustement critiqué. Il fait de grandes choses à l'Inter." Quel rôle avez-vous joué pour la venue de Lautaro à l'Inter ? "Zanetti m'a appelé, nous avons longuement parlé. Vous pouviez déjà voir ses talents, il n'avait pas besoin de moi pour le publiciser. Il y a eu une offre d'un autre club (l'Atletico Madrid, ndlr), on n'a pas fermé tout de suite et l'Inter a pris le relais. Ils étaient bons pour agir rapidement. Lautaro m'a demandé des conseils, car nous vivons à Milan, mais il était content de l'opportunité. Je n'ai pas eu à le convaincre." Qu'est-ce que tu aimes chez lui ? "Il a les qualités des grands attaquants, il est complet. Il peut jouer seul, comme s'il était un neuf, mais il s'adapte aussi à jouer avec un autre attaquant, par exemple Dzeko ou Lukaku. Il a tout." Comment a-t-il progressé après la Coupe du monde remportée avec l'Argentine ? "Cette victoire lui a donné tellement de confiance." Que voyez-vous dans l'attaquant Lautaro del Milito ? "Je n'aime pas les comparaisons. Je peux juste dire que nous avons une attitude similaire : nous sommes des combattants, nous travaillons pour atteindre nos objectifs, nous essayons d'obtenir ce que nous voulons. Avoir cet état d'esprit est essentiel." Quelle relation avez-vous ? "Je le connais depuis qu'il est très jeune, presque un enfant. Au Racing, il a fait ses débuts dans l'équipe première en entrant sur le terrain à ma place. Une sorte de passation de pouvoir. C'est un garçon extraordinaire, je l'adore. Le voir grandir, savoir où il en est maintenant, me rend heureux." La dernière fois que vous avez parlé ? "Je lui ai écrit après la finale de la Coppa Italia, comme je le fais pour tous les matches importants. Nous parlons souvent." Lautaro à Istanbul défiera Haaland. Le Norvégien est-il le meilleur attaquant du monde ? "L'un des meilleurs, pas le meilleur. Il y a justement Lautaro, Benzema et d'autres grands joueurs. Bien sûr, il voit facilement le but, l'Inter devra faire attention." Pour le contenir, laisseriez-vous Skriniar de retour jouer en tant que titulaire ? "L'Inter a atteint la finale sans lui, ils peuvent facilement continuer à se passer de lui. Alors il verra avec Inzaghi." Le chat WhatsApp des "joueurs triplés" est-il toujours actif ? "Oui bien sûr. Après l'Euroderby avec Milan, nous avons félicité Zanetti, qui est dans le club." Qui de cette équipe de l'Inter aurait joué dans votre équipe ? "Je ne veux pas citer de noms, mais Inzaghi a beaucoup de joueurs très forts." Que pensez-vous de Retegui, le natif avec qui Mancini espère résoudre le problème d'avant-centre de l'Italie ? "J'aime bien, il a grandi vite. Il a des qualités, la bonne mentalité. Je suis sûr qu'en été, il sera appelé par une équipe européenne, peut-être de la Serie A." Reviendrez-vous à l'Inter, peut-être avec un rôle de directeur sportif ? "Je n'ai pas l'habitude de me proposer mais oui, je serais prêt à m'impliquer. En tout cas, mon lien avec l'Inter sera toujours spécial." Traduction alex_j via FCInter1908.- 5 commentaires
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Simone Inzaghi : "Ce sera difficile mais nous allons essayer d'écrire l'Histoire !"
alex_j a posté un article dans Interviews
Simone Inzaghi s'affiche aujourd'hui en conférence de presse à la veille du match contre Manchester City. L'entraîneur répond aux questions des journalistes. Voici ses propos rapportés en direct sur FcInterNews.it. Qu'attendez-vous de ce match ? "Nous savons quel match nous devrons jouer. City est l'équipe la plus forte du monde, ils l'ont prouvé même dans les très rares défaites qu'ils ont subies. Cependant, nous connaissons notre chemin, nous sommes fiers d'être ici et nous ferons tout pour être pleinement concentrés, en limitant les erreurs car nous affrontons une équipe très forte." Être un outsider vous a-t-il encore plus rapproché ? "Demain sera le 57e match pour nous. Un très long voyage dans lequel nous avons eu des moments difficiles et nous avons grandi à travers des défaites méritées et imméritées. Nous avons perdu des joueurs importants pendant longtemps, mais les garçons se sont tous ressaisis et avec un engagement fou, nous sommes arrivés à Istanbul. Dans la dernière période, nous avons eu peu de temps pour réfléchir à ce que nous avons fait car nous devions affronter la finale de la Coupe d'Italie et arracher la qualification pour la Ligue des champions. Nous sommes très concentrés sur le combat contre un adversaire vraiment fort." Le milieu de terrain sera-t-il la clé ? "Ce sera très important mais au-delà de ça demain les jambes, la tête et le coeur seront importants. Les jambes pour faire une course de plus, la tête pour la lucidité car l'approche sera fondamentale, le coeur car dans ces matches c'est ça qui vous fait trouver une énergie que vous ne pensiez pas avoir." Vous avez la possibilité d'écrire l'histoire. "Absolument, ce sera difficile mais nous allons essayer. Ensemble, c'est le mot qui nous a amenés ici et c'est le mot avec lequel nous jouerons la finale." Votre frère Pippo dit qu'il n'est pas sûr que vous dormirez. "Nous savons ce que ce match représente pour l'Inter et nos supporters qui nous ont beaucoup aidés dans cette route européenne. Les deux derbies en demi-finale sont l'emblème mais je n'oublierai pas Plzen, Barcelone, Porto. Demain ce match et ce sacrifice supplémentaire, nous le devons à nos fans." Comment avez-vous maintenu cette tranquillité dans le groupe ? "J'ai la chance d'entraîner un groupe de vrais hommes que je ne changerais avec personne. Ce groupe me procure une grande joie et nous l'avons également donné à nos fans. Les garçons sont sereins, ils s'entraînent au mieux. Nous avons des doutes sur certains joueurs, Mkhitaryan et Correa qui semblent se remettre." Comment va Mkhitaryan ? "Aujourd'hui, c'est la dernière séance d'entraînement. Hier, il a fait son premier set complet après 22 jours. Il y a de bonnes sensations mais je déciderai." Avez-vous lu les mots du président sur votre « force tranquille » ? "Ils me font plaisir après un parcours avec des trophées et des victoires mais il y a aussi eu des moments difficiles et vos appels téléphoniques m'ont toujours donné une grande force. Il en va de même pour mon staff." Que ferez-vous demain pour canaliser Haaland ? "Nous connaissons la force de City et Haaland. Clairement, il sera un élément spécial comme tous leurs joueurs. Nous avons préparé quelque chose mais toute l'Inter devra se défendre et devra le limiter lui et tout le City." Cette défense de City concède peu. Qu'en pensez-vous? "C'est une défense solide qui a concédé très peu en Ligue des champions. Ils ont construit d'une manière et défendu d'une autre ces derniers temps mais nous savons qui nous rencontrerons demain. Nous essaierons de jouer le jeu dont nous avons besoin en une finale." Comment vous êtes-vous préparé aux tirs au but ? "Nous les avons toujours essayés au cours de l'année et nous le ferons encore aujourd'hui." Les deux autres équipes italiennes ont perdu leur finale. Pensez-vous que vous devez montrer quelque chose de différent pour le football italien ? "Ce serait important pour tout notre mouvement. Je suis désolé pour la Roma et la Fiorentina qui ont malheureusement perdu. Quelle que soit la fin, je pense que cette année, une étape importante a été franchie avec trois finalistes italiens. C'était un signal formidable." Qui alignerez-vous demain entre Brozovic et Mkhitaryan ? "Au cours des deux derniers mois, j'ai dû faire des choix, malheureusement dans les cinq premiers mois, je n'ai pas pu le faire comme maintenant. Pour demain, nous évaluerons l'état de Mkhitaryan qui ne peut pas être à 100%. Mais hier, il a donné bons résultats." Vous êtes un spécialiste de la coupe, comment préparez-vous psychologiquement les joueurs ? "J'ai la chance d'entraîner des joueurs qui savent jouer ces matches car nous n'avons pas de joueurs qui ont atteint la finale. Cependant, beaucoup ont joué des matches importants. Nous avons des champions du monde et d'Europe. Il nous faudra clairement être très lucide et bon, bien gérer les détails car ils font la différence dans ces matches." Traduction alex_j via FCInterNews.- 9 commentaires
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Simone Inzaghi : "On ne craint rien, on a beaucoup de respect !"
alex_j a posté un article dans Interviews
Aujourd'hui est une journée dédiée aux médias au Suning Training Center à Appiano Gentile. Le premier à performer est Simone Inzaghi, protagoniste de la conférence de presse qui anticipe celle d'avant-match à Istanbul. Suivez ses paroles. À quel moment avez-vous réalisé que vous iriez en finale ? "Ce fut un long périple qui a commencé le jour du tirage au sort. Un jour pas très chanceux où nous avons croisé le Bayern et Barcelone. En parlant avec le staff et l'équipe, nous nous sommes dit que nous pouvions faire un bon parcours. Maintenant nous sommes en finale mais je pense que tout a commencé l'année dernière. Dans mon esprit et dans celui des gars, les quatre matchs contre le Real et Liverpool, alors finalistes, sont restés dans nos pensées." Quelle émotion ressent-on en arrivant ici ? "Hier, j'y ai plus pensé parce qu'on s'était vu avec mon staff mais on a beaucoup travaillé sur City. On a commencé après la victoire contre le Milan. Le lendemain soir, puis après le Torino, j'ai commencé à réfléchir davantage à ce que nous devrions faire lors du match de Samedi." Quelles sont les chances de gain ? "Je ne suis pas très doué pour les pourcentages. Nous affrontons l'équipe la plus forte du monde qui a remporté la Premier League cinq fois en six ans. Nous devrons être très prudents et jouer en équipe car nous savons que nous affrontons les meilleurs. Une équipe fantastique, un entraîneur qui a marqué une époque. Dans le football moderne, il y a un avant et un après Guardiola. Ce sera un match très important." Est-ce le match le plus important de votre carrière ? "Nous avons des joueurs qui ont joué en demi-finale mais pas en finale. Cela porte ses fruits pour un périple long et délicat. Mais au cours des trois derniers mois, j'ai eu des rotations plus profondes avec tous les joueurs et nous avons fait du bon travail." Quels souvenirs gardez-vous de vos matchs face à Guardiola ? "Les deux équipes auront les meilleurs joueurs, Lautaro est l'un d'entre eux pour l'Inter. J'ai rencontré Guardiola en tant que joueur et j'ai une curieuse anecdote. Lors de ma lune de miel après mon mariage à New York, il y avait une personne assise à la table, en 2019. C'était lui." City a-t-il plus de pression avec le Triplé comme objectif ? Le Real Madrid était-il meilleur ? "Ce sont deux grandes équipes qui ont dominé l'Europe ces dernières années. Nous avons un grand respect pour les deux. City a remporté deux titres mais nous aussi. Nous connaissons les joueurs et l'entraîneur qu'ils ont, mais l'Inter mérite d'être à Istanbul comme eux." Que vous a apporté Real-City ? "Il y a tellement d'admiration pour Guardiola et City. J'ai senti que City atteindrait la finale parce que le match aller avait été un match équilibré. L'année dernière le Real a marqué deux fois dans le temps additionnel mais cette année j'ai dit à ma fille et ma femme qu'ils allaient gagner." Le doute Lukaku-Dzeko existe. Avez-vous déjà décidé? "Non, ni là-bas ni dans les autres départements. Pour le moment, j'ai la possibilité de choisir. Dans la première partie, je n'avais pas la même possibilité d'alterner. Les joueurs importants ne se trahissent pas. Il reste encore quatre séances, un coach peut avoir des idées mais souvent tu arrives le soir et tu penses à une chose, puis le matin tu réveilles tes muscles et tu changes tes idées. Tu portes tes doutes jusqu'au bout." Quelle ambiance attendez-vous à Istanbul ? "Un stade avec beaucoup de monde, avec des supporters de City et de l'Inter ainsi que des supporters turcs répartis entre Calhanoglu et Gundogan. Nous finirons le stade, ils me disent que le terrain est en excellent état." Que vous a apporté la finale de la FA Cup ? "Plus vous voyez City, plus vous comprenez leurs résultats. Ils ont de la technique, du physique, ils sont complets, ils font de belles possessions et attaques. Une équipe avec très peu de points faibles. Ils trouveront une Inter qui a fait ses preuves avec le parcours qu'on a fait. Nous devrons leur enlever un peu de possession couvrant chaque centimètre carré du terrain. Ils sont vraiment forts." Pour City, la Ligue des champions est une obsession, vous êtes l'outsider. Cela peut-il être un avantage ? "Nous verrons, c'est difficile à prévoir. C'est un match très important pour les deux, le dernier acte de la compétition la plus importante. City le suit depuis des années, nous avons fait de grands progrès. Nous avons traversé de nombreux défis, le dernier étant le derby. Nous essaierons de faire un grand match en sachant ce que nous trouverons devant nous." Quelles sont les qualités de l'Inter cette saison ? "Dans les matchs importants, malgré le manque de certains hommes dû à des défections importantes, les gars ont sorti des ressources qu'on pensait tous ne pas avoir. On s'est très bien débrouillés dans des matchs très difficiles, présentés comme dernier recours, même si nous savions que nous devions jouer comme une grande Inter. Ils étaient très bons dans ce domaine." À quel point sera-t-il important de commencer fort ? "Fondamental, on l'a vu. C'est un aspect très important. On sait que City démarre très fort et on est très attentifs et concentrés à cet égard. Il va falloir être très bons." Si Guardiola est le meilleur au monde, êtes-vous celui qui a le plus survécu ? De quoi avez-vous peur? "Rien, on parle de football. Guardiola est le plus fort de tous, il a marqué une époque. On ne craint rien, on a beaucoup de respect. Mais nous sommes fiers de jouer cette finale car nous l'avons voulue de toutes nos forces cette année. Ce sera la dernière des cinquante-sept matchs et ceux qui nous ont amenés ici sont les cinquante-six précédents, où même certaines défaites dont on a beaucoup parlé nous ont permis d'être ici." Quelles armes de plus l'Inter peut-elle avoir que Manchester United ? "Je ne sais pas, United est parmi les plus forts de notre panorama. Nous respectons City mais l'United a fait une bonne finale." Est-ce une motivation supplémentaire pour arrêter City qui peut faire le triplé ? "La motivation est très importante dans le football, le groupe l'a toujours eu sinon nous ne serions pas arrivés ici." Vous êtes surnommé « King of Cups ». Quel est le secret ? "Je suis content de cette réputation. J'ai eu la chance d'avoir de bonnes équipes à l'Inter et à la Lazio. Dans les matches décisifs, nous avons toujours joué de grands matches, en défendant et en attaquant de la meilleure façon possible. Nous devrons le faire encore Samedi." Serait-ce une victoire encore plus importante qu'en 2010 ? "Je n'irais pas jusque là. Un exploit a été réalisé et nous essaierons de le concrétiser Samedi. Le Bayern et City sont des équipes différentes, ce seraient deux entreprises." Combien espérez-vous pouvoir renverser les prédictions ? "Ils parlent de la prédiction depuis que City a battu le Real, mais nous savons tous que tous ensemble que ce n'est pas de l'arithmétique, le football est beau pour cela. Il y a de nombreux épisodes et moments dans un match dans lesquels nous devons contrôler, surtout en finale et même contre des équipes contre City. Il y aura de l'équilibre et les épisodes feront la différence." Haaland peut-il changer votre attitude? "Le match sera fait de moments, c'est normal qu'on doive être bon pour prendre un peu de possession à City parce qu'il excelle dans cet art et qu'il a toujours eu plus de possession. Ce n'est pas facile parce qu'ils mettent la pression. Nous savons qu'il y aura des moments où nous devrons souffrir tous ensemble et d'autres où nous serons plus offensifs." Serait-ce une erreur de jouer trop haut contre City ? "Vous verrez la stratégie Samedi. Bien sûr, il faut autoriser une certaine possession. Il faudra être bon pour leur enlever les certitudes, ils jouent ensemble depuis de nombreuses années avec le même entraîneur et chaque année ils s'améliorent avec le marché des transferts. Nous les affronterons avec nos propres armes." Traduction alex_j via FCInterNews.- 6 commentaires
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Francesco Acerbi et Federico Dimarco ont livré leurs ressentis aux micros de RSI à quelques jours de la finale de la Ligue des champions. Le scepticisme initial. "Je connais mes qualités et je savais que je pouvais tout donner sur le terrain. J'ai joué et essayé de faire quelque chose d'important. Personne ne s'attendait à atteindre la finale, même si après la phase de groupes, nous avons commencé à penser que nous pouvions faire quelque chose. Nous ferons de notre mieux pour que ce rêve devienne réalité." Haaland sera le danger numéro un. "C'est un joueur très fort, chaque balle qu'il touche il marque, mais il n'est pas le seul à faire la différence : ils ont des joueurs comme Gundogan et Grealish. Ils ont été parmi les meilleurs clubs du monde depuis des années, mais c'est une finale et on va se battre pour ça. On va essayer de faire quelque chose d'extraordinaire parce qu'on le mérite." Comment ça va ? "D'un point de vue émotionnel, cette finale se prépare, il va falloir travailler les détails car ceux-ci comptent en finale." Une expérience difficile à Sion ? "Chaque joueur connaît des hauts et des bas et j'ai connu plus de bas que de hauts au début. Mais maintenant, je suis heureux d'être ici parce que je sais que je l'ai mérité avec le travail et avec tous les sacrifices que j'ai faits. Je suis allé en Suisse parce que je crois que chaque footballeur doit prendre ses propres responsabilités, j'ai pris les miennes, j'ai fait des bons et des mauvais choix mais j'ai toujours été conscient de ce que je faisais. Et je suis heureux d'être ici aujourd'hui." Sur la finale de 2010. "Je l'ai vu lors d'un tournoi avec Giovanissimi de l'Inter à Rimini, on l'a tous vu ensemble. Les meilleurs souvenirs ont été le deuxième but de Milito et le moment où Zanetti a soulevé le trophée." Traduction alex_j via FCInterNews.
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La Lula s'exprime: "Nous n'avons pas peur de City"
Victor "Antony" Newman a posté un article dans Coupes d'Europe
Romelu Lukaku et Lautaro Martinez se sont respectivement livrés à quelques jours de la Finale de la Ligue des Champions Notre Romelu Lukaku s’est livré à CNN au cours d’une longue interview justifiant aussi la raison pour laquelle il regarde vers le ciel à chaque but: En effet, son grand-père est décédé lorsqu’il avait 12 ans, soit quatre avant ses débuts au Rsc Anderlecht : "Je lui avais promis que j’allais prendre soin de ma mère lorsque j’avais 12 ans et j’ai tenu parole, et chaque fois que je regarde ma mère, je le vois dans les tribunes, je regarde vers lui après chaque but." Est-ce que disputer la Finale de la Ligue des Champions signifierait aussi quelque chose pour votre grand-père ? "Cela voudrait dire beaucoup, lorsque je regarde mon fils, je retrouve tellement de lui c’était mon numéro 1 et c’était mon plus grand fan (il est très ému). Je n’avais pu, que regarder jusqu’à présent quelques finales de Ligue des Champions, mais à présent et Grâce à Dieu, je peux en jouer une. Être dans cette position maintenant, avec ma famille sur place sera quelque chose de très beau car ce sera comme boucler la boucle." Une Inter Fraternelle En effet, lors de la pandémie liée au Covid-19, une sorte de Fraternité s’est créé entre les joueurs et on retrouve encore, à l’heure actuelle cette base dans le noyau: "C’était un moment émouvant car nous avions passé beaucoup de temps ensemble, en tant qu’équipe. J’ai passé beaucoup plus de temps avec mes équipiers durant cette périodes qu’avec mon fils ainé…. C’était jouer, rentrer à l’Hôtel, rester dans la chambre, regarder les matchs ensembles, des choses comme ça." Ce lien peut être rappeler celui de l’état d’Esprit qui entourait l’Inter de Mourinho auréolé du Triplé en 2010 ? "C’est assez similaire et pour être honnêtes pour être honnête, ce qui est amusant, c'est que beaucoup de ces joueurs de l'équipe de 2010 viennent voir nos matches et ressentent la même chose. Ce sera une très belle rencontre, nous allons jouer face à ce qui est probablement la meilleure équipe du monde : Je veux seulement en profiter, sans pression, profiter du moment et aller là-bas pour réaliser le meilleur résultat possible." Haaland? "Je pense qu’il dominera le football mondial comme Mbappé pour la prochaine décennie : Ils vont prendre la relève de Messi et Ronaldo au cours des deux prochaines années, mais City n’est pas qu’Haaland, c’est une équipe bien entrainée et Guardiola est un excellent entraineur car il adapte à chaque match un plan de jeu différent, il propose diverses dispositions tactiques en cours match en sachant qu’en jouant de cette façon, cela ouvrira pour Haaldand des brèches dans la défenses. En ayant ce type de mouvement et de schéma de jeu très bien synchroniser, tu as des chances de marquer." Romelu à Sky Sport La Finale d’Istanbul "Je savais que l’on en était capable et je l’avais dit au Président. Finalement, nous sommes arrivé en Finale et je suis très heureux. Il m'a envoyé un émoticône quand j'ai dû revenir à l'Inter. Un joueur doit toujours avoir confiance en l'équipe. Nous avons mérité d'avoir cette opportunité, nous espérons réaliser notre rêve." Nulla è impossibile? "C’est notre Slogan vu que tout le monde donne City pour favori." Comment affronter City ? "Nous devrons être très compact défensivement mais aussi montrer que nous n’avons pas peur de City. Je pense que l’entraineur et son staff vont bien analyser la rencontre et que nous serons prêts." Avez-vous envie d’être titularisé ? "Les personnes savent, à présent, ce que je suis capable de faire à nouveau mais l’Inter est la plus importante, l’entraineur doit faire les choix: Ce n’est pas une réponse politique, cela regarde l’Inter et je veux que l’Inter gagne : Nous devrons tous répondre présent." Et votre futur ? "On en reparlera après la Finale." Le Saviez-vous ? Pour Romelu Lukaku, son expérience chez les Blues est pour dire terminée : Il n’a plus envie d’y retrouver même en cas de consécration européenne. Mais comme le révèle la Gazzetta Dello Sport, au 30 juin prochain, il sera de retour à Londres après son prêt annuel et une négociation aura lieu entre l’Inter et Chelsea Si Mauricio Pochettino pense à d’autres profils d’attaquant pour construire sa créature, Romelu pourrait servir de monnaie d’échange, avec dans le viseur un certain Dusan Vlahovic. Toutefois, Romelu ne jure que par l’Inter et pour parvenir à un prêt bis et sur une éventuellement diminution de la charge Nerazzurro du prêt, bien plus que le travail diplomatique qui s’annonce entre les deux clubs, ce sera la volonté de fer de Romelu qui fera la différence… "Et l’Histoire récente nous apprend que lorsque le belge à un objectif en tête, il fait tout pour y parvenir…Et il pourrait être encore plus têtu auréolé du titre de Champion d’Europe !" Lautaro Martinez Lauti s’est livré à Uefa.com à quelques jours de la Finale de la Ligue des Champions Son But au Milan "C'est l'un des plus importants de ma carrière. Pas à cause de sa beauté, mais à cause de son importance, de son ampleur et de l'histoire qui se cache derrière", les yeux rempli fierté. Marquer un but est toujours très spécial, alors imaginez à quel point c'est spécial lors d’un match comme celui-là.L'important, c'est que mes coéquipiers aient apprécié, les supporters aussi, et que cela ait permis à l'équipe d’être sereine. Nous savions que s'ils marquaient un but, les choses pouvaient changer rapidement, il était donc important de réduire l'anxiété et de se détendre." A propos de la finale contre Manchester City "Il ne fait aucun doute que c'est l'une des meilleures équipes du monde. Ils jouent un football que j'aime beaucoup et ce seront des adversaires très difficiles à affronter. Mais nous avons affronté des équipes très difficiles lors de la phase de groupe et de la phase à élimination directe et nous nous sommes très bien comportés." "Nous devons essayer d'en profiter, car une finale de Ligue des champions ne se joue pas tous les jours. Tout ce qu'il nous reste à faire, c'est de travailler dur et de jouer aussi bien que possible, en espérant que la meilleure équipe gagne et que nous soulevions le trophée à la fin du match." Sur la relation entre l'Inter et l'Argentine "Dès mon arrivée dans ce club, on m'a fait sentir que je faisais partie de la Famille, que j'avais grandi ici, et c'est très important pour un joueur. Je savais qu'il y avait toujours eu beaucoup d'Argentins ici, comme Milito, Zanetti, Cambiasso et Samuel, qui ont effectué un travail extraordinaire dans ce club. C'est une grande responsabilité de porter ce maillot. Je suis très fier de ce que j'accomplis ici et je ne cesse de répéter que je dois continuer à fournir des efforts". A propos de Dzeko et Lukaku "Ce sont deux joueurs très différents. Edin aime avoir le ballon, il recule et relie ses coéquipiers, tandis que Romelu a tendance à attaquer les espaces et à se faire suivre par les défenseurs pour créer de l'espace pour le deuxième attaquant. Je m'entends très bien avec les deux. J'essaie de m'adapter à eux et de faire ce dont l'équipe a besoin. Si je dois attaquer des espaces pour libérer de l'espace pour Edin, je peux le faire facilement, et c'est la même chose pour Romelu." A propos d'Inzaghi "Il est toujours important de savoir comment nous voulons jouer et de comprendre les idées de l'entraîneur. Quand on a des idées claires et qu'on étudie les matches et les adversaires, c'est beaucoup plus facile. Nous nous entendons très bien avec l'entraîneur car il travaille bien et prépare bien les matchs. D'un point de vue mental, ces matches n'ont pas besoin d'être préparés en raison de leur importance." ®Antony Gilles – Internazionale.fr- 1 commentaire
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Antonio Cassano : "Allez chercher City ! Après, on verra !"
alex_j a posté un article dans Coupes d'Europe
S'exprimant en direct sur Twitch sur 'Bobo TV', Antonio Cassano se livre sur la finale de la Ligue des champions contre le monstrueux Manchester City. Vous soutenez l'Inter ? "Évidemment, nous quatre soutenons l'Inter. Je suis un fan de l'Inter. Genre est-ce que je peux dire le contraire ? Alors, c'est normal que City soit meilleur, ils jouent mieux, ils sont plus forts. C'est l'équipe la plus forte du monde et tout le monde peut le voir. Mais...il y a un mais" Quel match l'Inter jouera-t-elle ? "Manchester aura le ballon dans le match, exclusivement, car qu'ils jouent contre le Real, l'Inter ou le Saint-Marin, ils auront toujours le ballon dans le match et ils décideront le sens du match. L'Inter devra partir avec courage, à trois ou quatre, et ils devront faire en sorte que City ne prenne pas les devants, comme ils l'ont fait contre la Fiorentina car autrement, ça devient difficile. Plus le match dure, plus les Nerazzurri ont une chance de jouer de cette manière. City aura plus d'occasions et c'est évident. Cependant, s'ils me disent que l'Inter remporte sur le 100e penalty, je signe maintenant. City est favori et aura la possession du ballon du début à la fin mais nous verrons ensuite. L'Inter va jouer un match attentiste, puis il y a les épisodes : un coup franc, une erreur d'un joueur de l'équipe de Guardiola... Vous pouvez mettre le jeu sur de bons rails et le jouer en contre-attaque. Mais entre dire et faire, il y a un univers. Croisons les doigts et espérons le meilleur." Haland la solution ? "Non." La solution est toujours Guardiola ? "Oui. Je dis aussi que cette année City a perdu contre une équipe qui joue en 3-5-2, je parle de Brentford. Est-ce une coïncidence ? L'Inter joue pareil donc je dis : jouons le jeu. Ils peuvent faire ce qu'ils veulent de vous, s'ils se mettent à tourner, ils vous font peur et si vous ne repartez plus, ils vous font tourner la tête. Mais si vous recommencez et que vous marquez un but, et peut-être un autre, la situation change et le jeu se passe bien. Je dis : allez les chercher, après on verra. Tout au plus tu perds contre le favori !" Traduction alex_j via FCInterNews.- 9 commentaires
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Mario Balotelli : "Entre City et l'Inter ? Je reste neutre !"
alex_j a posté un article dans Interviews
Notre ancien interiste Mario Balotelli, interrogé par la Gazzetta dello Sport, évoque la finale de la Ligue des champions ainsi que Edin Dzeko, l'Inter et l'Italie. Inter ou City ? "J'ai reçu tellement d'invitations pour la finale à Istanbul, je suis indécis. Je pense que je vais m'asseoir au centre du stade, pour éviter les malentendus. Mon cœur est partagé en deux, il vaut mieux ne rien dire d'autre. Ma tête dit que j'aimerais qu'ils gagnent tous les deux mais c'est impossible." Maintenant, l'Inter est en forme. "Sans aucun doute. Et elle a beaucoup de joueurs qui font la différence. A commencer par mon ami Dzeko, mais je ne négligerais pas Lukaku et le déchaîné Lautaro : le deuxième but contre la Viola était magnifique." Tout le monde voit City gagnant. "L'expérience me dit qu'en finale, sur un seul match, il vaut mieux arriver outsiders. En tout cas, l'équipe de Guardiola joue un super football mais celle d'Inzaghi est aussi très efficace." Que retenez-vous de votre Nerazzurra Champions League ? "Le but contre Rubin Kazan m'a fait sentir comme un protagoniste, pour moi c'était une expérience merveilleuse : un garçon qui touche le ciel avec un doigt. Et puis en soulevant cette coupe, j'ai encore des frissons." Immédiatement après le roi de la Premier League à City avec Dzeko... "Il y avait un sentiment incroyable avec Edin. Quand il est venu en Italie chez des amis romains, je l'ai dit immédiatement : attendez-le, c'est un phénomène. Même à Milan, il fait la différence. J'ai beaucoup de bons souvenirs cette année-là, à commencer par ce doublé à United." Vous étiez à San Siro au derby. "L'ambiance des meilleures soirées. J'ai vu beaucoup de monde, Leao entre autres. Je lui ai conseillé de rester à Milan : il y a une équipe avec des perspectives, avec quelques renforts ils peuvent avoir leur mot à dire n'importe où." Haaland contre tout le monde : est-ce vraiment comme ça ? "Erling est extraordinaire. Mino Raiola avait aussi une grande intuition sur lui. Les assisteurs ne manquent pas à City : Guardiola sait bien le servir et c'est un sniper redoutable." Alors la clé du match ? "Je n'ai pas dit ça. L'Inter a aussi des attaquants de haut niveau. Ils seront très opportunistes." Qui est l'attaquant le plus fort du monde ? "Les chiffres disent Haaland mais pour moi c'est une question de goût. Osimhen, par exemple, est spécial. Il peut tout faire sur le terrain, un peu comme moi dans mes belles années. Et puis c'est un garçon unique." Vous êtes-vous réjoui pour le Scudetto de Naples ? "Bien sûr. Je me sens lié à la ville. Avec ma fille, une partie de Naples est toujours avec moi. Et puis l'équipe de Spalletti a tout mérité." D'autre part, depuis combien de temps n'avez-vous pas parlé à Roberto Mancini ? "J'attendais son appel avant la Macédoine. Je ne sais pas ce qui s'est passé." Votre amour pour l'équipe nationale est resté intact. "Bien sûr. Le maillot est une chose, puis les relations avec les personnes en sont une autre." Retournerez-vous en Italie ? "Doucement, j'ai encore un an de contrat avec Sion. Mais la Serie A resterait un objectif passionnant." Traduction alex_j via FCInterNews.- 15 commentaires
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Ancien footballeur pro devenu consultant, Alexandre Teklak s’est livré à une interview exclusive pour Internazionale.fr, lui qui est devenu consultant sportif à Eleven Sport et à la RTBF où il fait part de ses excellentes analyses dans le cadre des matchs d’Europa et de Conférence League. Comment jugez-vous la saison actuelle de l’Inter ? "C’est une saison un peu contrastée, l’Inter a très bien réussi dans tout ce qui est match de Coupe, un peu comme Inzaghi sait le faire. C’est plutôt un entraineur de Coupes, sans être péjoratif, c’est un entraineur qui, sur des évènements ponctuels, parvient à faire la différence. La preuve , l’année dernière il a gagné la Coupe d'Italie, il est en finale aujourd’hui, il est en finale de la Champion’s League, il a remporté la Super Coupe." "Au contraire de Conte qui est un entraineur bâtisseur sur le long terme et qui est plutôt prêt pour acquérir des titres sur le long terme comme l'est un championnat, je pense qu'Inzaghi est un peu un entraineur qui est capable de briller sur des compétitions où c’est quitte ou double. Il l’a fait avec la Lazio aussi à l’époque. C’est vraiment devenu un spécialiste des Coupes, et ce n’est pas par hasard. Quand tu en gagnes une, deux, on peut se dire que c’est le hasard qui a fait que... mais ici il le fait depuis quelques saisons, pour moi, c’est ce qui caractérise la saison de l’Inter avec Inzaghi, paradoxalement avec celles sous Antonio Conte." "Maintenant c’est une saison en dents de scie même si cela va mieux ces dernières semaines, car l'Inter a des joueurs comme Lukaku, notamment, qui reviennent bien qui pèsent à nouveau. Mais c’est vrai qu’ils ont connu beaucoup de soucis avec des résultats très inégaux et je pense à la défaite à domicile face à Monza 0-1." "Je me suis dis 'On est en préparation pour la Ligue des Champions' mais voilà, l’Inter joue avec son bonheur et ils auront la rencontre à Turin et le match face à l’Atalanta qui restent à disputer pour se qualifier en Ligue des Champions. Il y aura City aussi, mais ce n’est pas normal d’avoir attendu si longtemps pour assurer la place en Ligue des Champions car, cette année, il y avait la place pour l’acquérir beaucoup plus tôt même si Naples a survolé la compétition." "Honnêtement, au vue des oppositions qu’ils ont eu à l'Inter, vu le noyau qu’ils ont, je trouve que c’est quand même tardif. Je peux l’expliquer aussi par le fait qu’il y a un noyau " vieux" et il n’y a rien à faire quand on veut aborder plusieurs compétitions, il faut le préserver. Toute proportions gardées, l’Inter a un peu le même problème que le Real : un noyau vieillissant. Ce sont des équipes qui sont capables d’avoir un objectif majeur, mais pas trois ou quatre dans une saison, c’est difficile." "Lorsque l’on regarde la saison du Real, elle a fait un peu une saison similaire en termes de prix remportés au niveau des Coupes, il y a une saison en Liga complétement manquée, gâchée pour un club comme le Real. L’Inter, toute proportions gardées j’insiste un peu, vit une saison similaire au niveau des résultats et je l’explique par ça : prenez la moyenne d’âge." "Ce sont des supers joueurs, vous vous rendez comptes aussi qu’avec ces mecs-là, si vous ne les faites pas tourner, vous les blessez. Ici on arrive en fin de saison, on voit que Mkhitaryan s’est fait mal en demi-finale retour, Dzeko qui va jouer ce soir a aussi eu quelques bobos. Tout le long de cette saison a été jalonnées par des petits bobos que les joueurs importants, les cadres ont eu parce qu’à un certain âge, jouer au très haut niveau toutes les compétitions, tout le temps, ce n’est plus possible et je pense qu’Inzaghi l’a très bien compris, aussi dans sa rotation car il n’avait pas trop le choix." Pensez-vous que la Coupe du Monde a eu un impact ? Qu’elle a faussé un peu les tournois ? "Oui, la Coupe du Monde a eu sa part d’influence sur toutes les équipes. Surtout au retour de Coupe du Monde pour la plupart des équipes où il y a eu beaucoup d’engagés. Oui, il y a pu y avoir un impact, forcément pour les Italiens, non, pour l’Inter je ne le sais pas, mais ils n'étaient pas tous concernés par la Coupe du Monde, pas du tout même. Toutefois, par l'entracte qu'elle a provoqué, oui." Et des matchs tous les trois jours… "Le problème a été l’accélération de match et là évidemment dans un calendrier qui est déjà surchargé... faut savoir ce qu’on veut, car même si les dirigeants pensent construire des noyaux très larges, pléthoriques pour aborder toutes les compétitions, les aborder toutes avec le même niveau de performances est impossible car on ne sait pas disposer de deux équipes de même niveau dans son noyau, en tout cas l’Inter n’a pas ça, ça lui couterait beaucoup trop cher." Malheureusement nous n’avons pas le propriétaire qui va avec pour l’instant… c’est assez compliqué… "Mais City est capable d’avoir ça , ils ont deux équipes, une pour la Premier League quasiment et une pour la Champion’s League mais c’est la seule équipe, c’est une exception." En parlant justement de City, pensez-vous que ce club a un point faible ? Ou est-ce que la Finale est déjà perdue d’avance pour l’Inter ? "Perdue d’avance non, même si c’est vrai que cette année City écrase tout, ils sont terriblement efficaces, ils ont un peu revu leur système avec la présence d’Haaland aussi, parce qu’ils sont capables, à présent, de varier aussi leur manière de marquer, ils peuvent partir de beaucoup plus bas, ils n’ont plus besoin d’une construction élaborée, très élaborée comme Guardiola les aiment lorsqu’il joue avec un faux neuf." "ici, ils ont vraiment dans des situations avec Haaland et une manière de marquer qui est différente. C’est évidemment un gros avantage pour Guardiola même s’il doit laisser tomber un petit peu et parfois ses préceptes et ses principes. Je dirais plutôt s’en éloigner un tout petit peu et les varier un tout petit peu, mais c’est le gros avantage de City. C’est vrai que j’ai aussi vu des matchs où Haaland était bien bloqué comme face à Rudiger lors du match aller au Real, ceci dit, le gros soucis avec cette équipe, c’est qu’elle est capable de marquer de manière très différente et d’être dans un mouvement perpétuel. C’est une équipe qui est très difficile à jouer techniquement." "Elle a des faiblesses et pour moi ce sont les situations de contre-attaques car elles portent beaucoup de joueurs vers l’avant. Une fois qu’Haaland manque d’efficacité, c’est un soucis aussi pour cette équipe, car il est vraiment très important. Ils ont tout de même des difficultés parfois à pouvoir, sur la longueur d’un match, contenir les contre-attaques des adversaires. Ce n’est pas une équipe qui n’a aucune faiblesse, c'est une équipe qui peut aussi à un moment donné s’agacer, par exemple, de la roublardise de l’adversaire, du fait que le rythme soit faible dans le match." Ce qui est un peu la force des clubs italiens… "Oui et c’est quelque chose qui pourrait très vite les agacer, car ils sont parfois impatient et il ne faut pas oublier non plus la plus grande faiblesse de City cette année est qu’ils doivent la gagner : Guardiola a beau relativiser dire oui… Toujours un peu avec son dogme caractéristique, il doit la gagner ! Cela fait presque 10 ans qu’il est là, ils ont investi beaucoup d’argent dans le club pour y parvenir." "Je crois qu’ils la veulent à tout prix et c’est l’occasion où jamais. Ils se sont plantés, il y a deux ans, face à Chelsea, City n'a plus trop le droit à se planter à nouveau. Pour moi, c’est ce côté impatient, ce côté obligation à devoir aller la chercher qui peut jouer pour l’Inter, car l’Inter va être l’outsider de Luxe." "Quelque soit le résultat de l’Inter, elle n’a rien à perdre et tout le monde dira que c’est déjà formidable d’avoir atteint la Finale de la Ligue des Champions, c’est déjà le cas maintenant et je pense que c’est un grand avantage pour l’Inter de ne pas être "Obligé de" alors que pour City oui, car si City la perd, vu la force en présence, vu leur noyau vu toutes ce qui entoure ce titre en Ligue des Champions, ce sera de nouveau un camouflet pour Guardiola et ce sera de nouveau une Finale de perdue." "Il ne faut pas minimiser aussi l’aspect psychologique de cette rencontre qui aura beaucoup d’influence, parce que c’est vrai que l’Inter est un peu une équipe d’emmerdeurs." C'est un peu le cas aussi… Il y a une cohésion d’équipe chez nous, car si l'on se base que sur le plan individuel,on ne fait pas le poids : Est-ce que le 3-5-2 est une bonne idée face à City ? "Je pense que l’Inter est très dépendante de ce que va produire comme foot et comme prestation son trio au milieu de terrain car, pour moi, c’est le poumon de l’équipe: Pas seulement parce que ce sont de très bons joueurs, mais aussi parce qu’ils abattent un travail exceptionnel. Que ce soit Çalhanoğlu, Mkhitaryan et Barella c’est vraiment incroyable ce qu’ils sont capable de faire surtout dans les contre-efforts défensif et là ils sont vraiment redoutable." "Quand je vois comment ils se sont mis minable dans le Derby sur les deux matchs et les prestations encore qu’ils ont eu, je me dis que ça peut vraiment embêter le milieu de terrain de city. De Bruyne n’aimera pas avoir ce type d’opposition, pas du tout même, il n'aimera pas ce type de marquage et d’une manière générale tous les joueurs de City n’aimeront pas." "Je pense que derrière, Acerbi a prouvé aussi que ce ne sera pas un problème pour lui de jouer contre Haaland: L'Inter ne va pas non plus ouvrir le jeu avec 50 mètres dans son dos, ils vont rester organisé et pour moi l’Inter a des atouts à faire valoir. Je ne vois pas l’Inter s’écrouler contre City, je ne vois pas ça, je vois une équipe qui est vraiment capable de les emmerder." Passons à Lukaku, la Serie A est-elle le mieux pour lui ? Ou est-ce mieux qu’il retourne à Chelsea ? "Je pense que sa saison a été marquée en plusieurs temps, son premier temps est évidemment son retour de la Coupe du Monde, fragilisé moralement, fragilisé physiquement et je connais un tout petit peu Romelu et son caractère, il a voulu forcer les choses et aller plus vite au niveau de son retour et il s'est passéce qu'il s’est passé. Maintenant, il est en forme , il joue, il veut reprendre sa place de titulaire." "Il ne faut pas oublier non plus qu’il joue dans un club qui possède deux paires d’attaquants, et l'on oublie trop souvent de le dire mais pour un Club comme l’Inter: 4 attaquants de ce niveau-là, c’est tout de même rare, c’est très rare : Il faut bien se rendre compte qu'il s'agit de Correa, Dzeko, Lautaro qui est un super joueur et Romelu : Vous imaginez quand même ! " "Vous êtes là, vous commencez le match avec Dzeko et à un moment donné vous faites monter Romelu pour les vingt dernières minutes avec Correa, ou un autre si Correa est déjà titulaire, mais vous voyez ce que je veux dire en termes de possibilités: C’est énorme ce qu’Inzaghi a à sa disposition , il ne faut pas le négliger non plus, ce sont quatre attaquants de grandes qualités." "Maintenant en ce qui concerne Romelu en tant que tel, il a voulu refaire sa place, peut-être un peu trop vite et il est parti de blessure en blessure et de rechute en rechute et ça, ça a été son grand soucis parce que la pression aidant, le fait aussi que sa Coupe du Monde soit manquée, le match contre la Croatie qui lui reste dans la tête : Tout a joué beaucoup contre lui et il l’a dit récemment, que cela lui a pesé énormément car si vous n’êtes pas bien dans votre tête, le reste ne sait pas suivre, même au niveau de la prise en charge d'une blessure." "Et une compétition exigeante comme l’est la Serie A a fait aussi qu’il s’est reblessé, qu’il n’a jamais été prêt. Maintenant il commence à l’être, ici, il enchaine les matchs et surtout les bouts de matchs et je sais, à ce niveau-là qu’Inzaghi est beaucoup critiqué mais je trouve qu’il les a bien gérer : Il a bien géré la rotation et l’intégration de Romelu pour ne pas qu’il aille trop loin d’une part et pour qu’il se sente bien physiquement d’autre part." "On l’a vu ces derniers temps, il marque au meilleur moment pour lui car c’est maintenant le Money Time, c’est maintenant ici que tout ce décide et c’est surtout maintenant que les contrats sont revus : Il y a quelques semaines l’Inter avait dit non, Romelu on n’en veut plus: Aujourd’hui, ils ont changé de fusil d’épaule et c’est d’ailleurs la même chose à l’égard d’Inzaghi Je pense qu’il y a vraiment une progression dans sa saison qui est bonne avec la possibilité , aujourd’hui, de rester à l’Inter et surtout d’apporter un plus sportivement à l’équipe." "Maintenant, pour sa situation avec Chelsea, je pense que l’Inter a de l’argent, mais l’Inter est en dette et doit faire attention. Oui, elle est en auto-financement…. "Je le sais, je pense qu’ils vont être tributaire un peu de ce que Chelsea va exiger : L’Inter est une équipe spécialiste pour faire des prêts , je crois que c’est Marotta qui en est le Directeur comme c’était le cas du temps de la Juve." Tout à fait, avec Piero Ausilio… "Marotta est un adepte de ce genre de manœuvre , vous me direz si je me trompe mais je suis quasiment certain qu’à l’époque de la Juve, c’est lui qui va rechercher Pirlo car plus personne n’y croit." Oui, il a fait la même chose avec Pogba…. "C’est un très grand spécialiste, il s’est parfois trompé, je ne dis pas qu’il a toujours tout réussi, mais il a quand même bien plus réussi que raté au niveau de ses prêts et de certains fin de contrat qu’il a été chercher." Oui, c’est lui qui a reconstruit l’équipe de l’Inter à son arrivée et on voit la différence avec la Juve à l’heure actuelle…C’est sa plus grosse perte... "Tout à fait, la Juve a beaucoup perdu avec son départ et l’Inter a beaucoup gagné, je sais qu’on ne parle pas beaucoup de lui mais c’est un Dirigeant Sportif qui a été l’architecte de l’Inter." Il est le plus respecté, encore plus que Steven Zhang…. "Cela ne m’étonne pas je crois vraiment que sa présence a été la clé du succès de l’Inter et pour revenir sur le prêt, sur la continuité de Romelu à l’Inter le problème sera à Chelsea : Qu’est-ce qu’ils vont vouloir, qu’est-ce que le nouveau propriétaire va vouloir : Accepteront-ils encore un prêt ou alors vont-ils vouloir le vendre définitivement sachant que Romelu n’a peut être pas envie de retourner à Chelsea." "Cela pourrait dépendre du nouvel entraineur de Chelsea , peut être qu’il aura une bonne connexion avec Lukaku, Dieu seul le sait : Je n’en sais rien, c’est trop tôt pour le savoir: Je pense qu’aujourd’hui vu la manière avec laquelle joue Lukaku, et son amour pour l’Inter et pour la Serie A, qu’il a envie de se faire pardonner quelque chose vu la façon dont il est parti." Oui, il était fort aimé, on a vécu son départ comme une trahison, pour certains ils sont encore rancuniers "Je sais, en Italie, ils ont la rancune tenace et il y en a encore beaucoup qui lui en veulent d’être parti car certains disent "Oui mais l’Inter avait des problèmes financiers et c’est pour ça qu’il est parti" mais je pense que ce n’était pas que pour ça, cette raison-là n’est pas vraie, c’est du Pippo." A l’Inter, lorsque Conte est parti, s’il avait dit à ce moment-là: Je veux quitter le club aussi, je demande à être transféré il n’y aurait eu aucun soucis", mais lui avait fait une interview une semaine avant son départ pour dire : "Ne vous inquiétez pas Conte est parti et je reste", c’est pour cela que la pilule n’est pas passée... "Je pense que Romelu a commis à la fois une erreur de communication, mais aussi une erreur de choix car on s’est ce qu’il est advenu de sa saison à Chelsea. Donc aujourd’hui, il se fait petit, il se met minable car il sait aussi ce qu’il doit à l’Inter et c’est pour ça qu’il a à tout prix voulu y revenir." "C’est aussi pour cela qu’aujourd’hui il est en forme et c’est pour cela qu'à chaque fois qu’il marque un but, il le fait avec beaucoup de respect et aussi avec une certaine forme de redevance si vous voyez ce que je veux dire, on le sent dans sa communication avec les supporters, il est toujours en train de les mettre en avant : Il marque toujours beaucoup de sollicitude à leur égard." Il est très communicatif… "C’est normal et il doit se rattraper et il est authentique car je le connais un peu, les critiques des supporters l’ont touchés, l’ont blessés , surtout lorsqu’ils l’ont traité de Traitre, mais voilà…" Face à la Salernitana c’était d’ailleurs l’un des seuls joueurs à aller voir les supporters lorsque l’on s’est inclinés sur leur terrain, il les "a porté", s’est excusé et ça lui permet de revenir aussi dans les bonnes grâces des Tifosi... "Tout à fait et il n’était pas obligé de le faire, il y a d’autres joueurs qui ne se seraient pas comportés comme cela et je pense que ça compte beaucoup pour lui : Il aime l’Inter et je pense que l’Inter l’aimera de nouveau et que tout se passera bien pour lui." "Vous savez l’Inter a perdu un peu son lustre d’antan: On n’était plus habituée à la voir dans les compétitions européenne comme elle le faisait à l’époque de Mourinho mais quand on voit cette équipe aujourd’hui, elle n’est pas là par hasard , elle n’est pas arrivée en Finale de Ligue des Champions par hasard." Dernière question : votre prono pour ce soir, pour la Finale de la Coupe... "Je trouve que la Fiorentina est une superbe équipe, on voit le boulot d’Italiano. Je l'’ai suivi aussi avec la Conference League, c’est une super équipe de foot, elle joue très bien au foot, elle a un gros problème : Elle se crée plus d’occasions qu’elle ne marque de buts mais elle s’en crée vraiment beaucoup, énormément grâce à un football léché et elle pourrait être un bon adversaire pour l’Inter." "Elle est un peu similaire à City, ça pourrait être une mini-répétition de ce qu’il pourrait se passer face à City, sans exagérer bien sûr et c’est une Finale . Je pense qu’on va assister à un beau match et cette année, j’ai rarement vu des mauvais matchs de sa part, c’est une équipe agréable à voir , mais j’aurais un petit penchant pour l’Inter, un petit." ®Antony Gilles – Internazionale.fr
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C'est le domaine de l'Inter et de Manchester City dans le top XI signé par le site spécialisé Who Scored concernant le match aller des quarts de finale de la Ligue des champions. Les Nerazzurri, introduise Darmian, Bastoni, Dimarco et Barella dans la formation de la semaine. Avec un 4-4-2 aligné comme ceci : Ederson, Calabria, Darmian, Bastoni, Dimarco ; Bernardo Silva, Rodri, Barella, Vinicius Jr, Haaland, Benzema. Incroyable et Très Très fier de nos Nerazzuri!!! Traduction Lindt1908 Via Fc Inter1908
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À l'occasion du 115e anniversaire de l'Inter, Massimo Moratti était l'invité de TeleLombardia lors de l'émission "Inter Connection", pour évoquer les enjeux liés au club dont il était le président historique. Ses mots. Si vous pensez à l'Inter, vous pensez à la famille Moratti. "C'est sûr que ce que mon père a fait était important parce qu'il a donné un virage international au club. Puis après on a eu une histoire positive avec moi aussi, j'ai aidé l'Inter en me mettant à leur service. C'est un privilège de avons vécu cette aventure. Nous sommes également ravis qu'elle se soit très bien déroulée." Comment évaluez-vous l'Inter et Inzaghi cette saison ? "Ce n'est plus l'habitude de porter des jugements même à l'école (rires, ndlr). On est parti avec beaucoup plus d'ambition que la réalité d'aujourd'hui. Le Napoli est très fort. Mais à 15 points des leaders, c'est quelque chose qui ne te met pas dans une position pour penser qu'il a fait de son mieux. Le côté négatif est dû au manque de Lukaku qui aurait été très utile s'il était en forme mais il y a des circonstances. Et puis le fait de Skriniar a peut-être créé des problèmes." Quel est le joueur qui vous a surpris cette saison ? "Certainement Lautaro. Tant dans le rôle d'avant-centre que dans celui de capitaine, il se débrouille très bien avec la bonne attitude. Calhanoglu se débrouille aussi bien au milieu de terrain. Nous avons des joueurs intéressants après tout." Si vous fermez les yeux, quel joueur imaginez-vous porter un maillot de l'Inter ? "Un peu comme tout le monde, dire Recoba est tout à fait normal. Je le considère comme le top au niveau imagination et exhaustivité. Il savait tirer, dribbler et tout faire. Même si pour moi Ronaldo reste le plus représentatif de la grande classe, il était supérieur." Que pensez-vous de la question du stade ? "Pour ma famille, San Siro a un sens, il est dans le cœur et dans les mémoires de manière forte; bien sûr, je réponds que cela doit rester. Même maintenant, aller au stade, je pense que c'est toujours beau. Si vous allez à le stade pour regarder le foot c'est quand même excellent, si tu vas au cinéma, bien sûr que non." Les meilleurs souvenirs. "Le meilleur souvenir, c'est définitivement Madrid, toucher la coupe et réaliser que c'est plus léger que je ne le pensais. C'était quelque chose de beau et d'intéressant. Le pire ? Je ne veux pas me souvenir, ça m'énerve et je culpabilise (rires, ndlr )." Reverrons-nous un président Moratti ? "Je ne sais pas. En ce qui me concerne, je ne pensais pas que je voulais le racheter après mon père, avant que ça arrive. Les conditions dans le passé étaient plus faciles, même si elles étaient encore délicates. Maintenant c'est difficile pour une famille d'avoir une équipe. Mais je ne pense pas que je me permette de dire à mes enfants de ne pas y penser, mais il y a aussi le bon sens (rires, ndlr)." Et si vous achetiez un joueur maintenant ? "Je n'y ai jamais pensé car à l'heure actuelle, tout joueur a des coûts épouvantables. Mbappé est évident et impossible mais j'aurais fait quelque chose de plus pour Haaland, il est fort." L'inter semble n'avoir personne pour la défendre dans les médias : comment le voyez-vous ? "Après les défaites, il faut toujours lever la tête, ce n'est pas une chose banale. De cette façon, les fans comprennent qu'il y a un avenir positif. Je ne sais pas comment les pouvoirs sont répartis dans la société, prendre position quand ça va bien, c'est très facile. En tant que fan, j'attends que quelqu'un aille la défendre. Je dis cela pour espérer que le Dimanche suivant je serai heureux ou pour l'avenir. Le football est une chose fascinante mais dans laquelle il faut rêver." Un retour de Mourinho ruinerait-il une histoire parfaite ? "Cela dépend du type de soupe qu'elle réchauffe. Si c'est une bonne entrée, elle est également bonne lorsqu'elle est réchauffée. Pour Mourinho, cela me semble toujours intéressant." Et avec vous ? "Il était très bon, c'est quelqu'un qui s'isole, il se met contre tout le monde. Mourinho l'a fait en tant que club, Conte en tant que personne. Mais avec cette attitude, il a ramené des résultats importants, je parle très positivement de Conte." Voyez-vous un avenir en tant qu'entraîneur pour Cambiasso comme le dit Mourinho ? "Je le pense aussi, ce ne serait pas mal s'il commençait une carrière. Il serait génial." Traduction alex_j via FCInterNews.
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Diego Milito : "Mbappé et Haaland me rappellent Ronaldo et Vieri"
alex_j a posté un article dans Interviews
D'un côté la vitesse et l'imagination de Mbappé, de l'autre la puissance et la constance de Haaland. Diego Milito, dans la Gazzetta dello Sport, parle des deux attaquants les plus forts d'aujourd'hui et, probablement, de demain aussi. Alors Prince, qui est la pointe du futur ? "Difficile à dire car ce sont deux joueurs extraordinaires, uniques, mais complètement opposés." Efforcez-vous et essayez d'en choisir un... "La façon dont je suis, j'ai toujours plus aimé les joueurs qui peuvent résoudre les problèmes par eux-mêmes. Quelqu'un comme Haaland, qui est tout simplement dévastateur, a toujours besoin de l'aide de ses coéquipiers. Mbappé, d'autre part, construit parfois le but lui-même, à partir de rien. Mais, de la même manière, il sait donner des passes décisives et trouver des espaces." Et s'il fallait faire une comparaison avec le passé : qui était un Haaland avant Haaland et un Mbappé avant Mbappé ? "Peut-être que le Français, pour l'explosivité d'une panthère, a quelque chose de Ronaldo, Il Fenomeno qui pour moi après Messi est le plus grand de tous. L'Italien Christian Vieri ou un Martin Palermo en Argentine. Puissant et incroyable dans la surface de réparation. Haaland a pris ce modèle dans une nouvelle ère et une nouvelle dimension." Les grands noms de notre ligue pourront-ils se rapprocher tôt ou tard de ces deux là ? "En Italie, je vois de grands joueurs progresser pour atteindre le sommet : je pense à Lautaro à l'Inter, Leao à Milan, Vlahovic à la Juve et aussi Kvaratskhelia qui est incroyable à Naples. Évidemment, personne ne peut y arriver seul, mais cela est aussi dépendent du parcours des équipes en Ligue des champions. Même en Serie A il y a une grande qualité d'attaquants." Traduction alex_j via FCInterNews.- 14 commentaires
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Massimo Moratti parle. Notre ancien président, en exclusivité pour Il Secolo XIX, a abordé diverses questions d'actualité concernant le football. "Thiago Motta contre Dejan Stankovic pour Bologne-Sampdoria ? C'est impressionnant, c'est merveilleux de voir qu'ils ont progressé et qu'ils entraînent aujourd'hui des clubs importants avec une grande tradition." Vous attendiez-vous à les voir sur le banc un jour ? "Ils ont deux caractères différents. Thiago est un peu plus renfermé, réfléchi, professionnel très sérieux. Dejan était un très bon garçon, bon enfant, plein de volonté. Ce sont des gens positifs, ils l'étaient sur le terrain et ils le sont comme entraîneurs." Dazn lui a dédié une série, "Sympathique", et à cette occasion vous avez dit que le plus sympathique de vôtre Inter était Stankovic. "Gentil d'un point de vue humain : il est fiable, tu sais qu'il est sincère, transparent, il t'a toujours tout donné. L'expérience avec le Red Star Belgrade a été très positive, j'espère qu'il sera utile à la Sampdoria qui en a besoin. J'espère vraiment pour lui et pour la Sampdoria que tout ira bien." Pourra-t-il faire comme Mihajlovic qui a sauvé la Sampdoria ? "Il y a l'origine serbe, le caractère fort, ils se sentent responsables de leur rôle et c'est très important. Je pense que Dejan lui ressemble de ce point de vue. Il faut être un peu patient, c'est la première fois comme entraîneur en Italie mais il a les qualités pour bien faire." Qu'est-ce qui vous a frappé chez Stankovic et Thiago en tant que footballeurs ? "J'ai aimé la passion qu'a mise Stankovic. Je me souviens de cet incroyable but contre le Genoa mais ce n'était pas le premier comme ça. Il avait la force de toujours savoir répondre correctement à chaque situation, grand combattant. Il a entraîné ses coéquipiers dans les moments difficiles. Mancini m'a conseillé, il était très fort. Motta était plus réfléchi, attentif à faire toutes les choses pragmatiquement parfaites au milieu de terrain pour être utile à l'équipe, c'était un joueur très intelligent." Stankovic a fait part d'un renouvellement signé avec une durée de 4 ans mais sans chiffres. "Oui, c'était mon insouciance... (rires) il nous a fait confiance et je pense qu'on a eu raison de lui faire confiance. Moi non plus je ne l'ai jamais regretté, je ne me souviens pas des chiffres mais des gars comme lui ont montré qu'ils méritaient ce qu'ils ont pris." Un footballeur de la Sampdoria que vous auriez aimé ? "Toute la Sampdoria du Scudetto (1991, ndlr). C'étaient des phénomènes merveilleux, fantastiques, ils reflétaient la sympathie d'un homme formidable comme Mantovani. Bien sûr, Mancini reste le meilleur exemple de classe et de talent dont il fait également preuve en tant qu'entraîneur. Et dans le passé j'aurais aimé prendre Quagliarella, mais je n'ai pas réussi." Un talent d'aujourd'hui qui vous enflamme ? "Je suis étonné de voir à quel point je vois des joueurs avec des noms très difficiles comme Kvaratskhelia du Napoli emmenés dans des endroits lointains. Il semble qu'il joue simple et il gère tout ce qu'il veut, très bien. Mais je dis Haaland! Branca me l'aurait fait acheter à 100 %, je le vois déjà dire 'président il est spécial' et je l'aurais amené à l'Inter." L'Inter qui a réagi en Ligue des champions. "Inzaghi a l'expérience pour sortir de cette situation. Maintenant il faut de la patience, la confiance est essentielle, que le club reste près de lui et le défende." Un favori pour le Scudetto ? "Napoli est devant... impressionnant comment ils jouent. Mais avec la Coupe du monde c'est une année étrange, il peut y avoir la surprise de ceux qui n'ont pas l'habitude de gagner." Qui allez-vous encourager entre Stankovic et Motta ? "Je les aime tous les deux. J'aimerais que Stankovic ait une satisfaction à ses débuts mais je suis content que Motta puisse encore prouver qu'il est bon. Je ne dis rien, je prévois de souffrir des deux côtés pendant le match." Traduction via FcInter1908.
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L'UEFA menace le PSG sur son respect du fair-play financier
Victor "Antony" Newman a posté un article dans Coupes d'Europe
Le Paris Saint-Germain serait observé de près par l'UEFA au sujet de sa gestion financière. Plusieurs éléments des comptes parisiens interrogeraient l'instance, qui demande des explications imminentes à Nasser al-Khelaifi. Javier Tebas aurait-il créé un ouragan sur la Capitale ? Le Président de la Liga crie sur tous les toits depuis des années que le Paris Saint-Germain ne respecte pas le fair-play financier. Or, il semblerait que l'UEFA l'ait entendu. L'Equipe annonce que le PSG est désormais suivi de près par l'Instance de contrôle financier des clubs. Elle aurait demandé de nombreux documents et réponses au PSG ces derniers jours. Une amende en prévision pour le PSG ? Une fois que Paris aura précisé sa démarche, une procédure pourrait être ouverte ou non. L'écurie de la Capitale doit ainsi prouver sa bonne foi et que sa gestion ne dépasse pas les limites fixées par le FPF. L'ICFC attendrait encore ces garanties et presserait le champion de France de les rendre rapidement. Si les chiffres s'avéraient mauvais, l'UEFA pourrait sanctionner le club comme en 2018. Ce serait certainement sous la forme d'une amende de plusieurs dizaines de millions d'euros ou d'un contrôle des dépenses. Réponse dans quelques semaines pour la direction parisienne. Par Olivier Halloua - 90min.com Confirmation de l'AFP "La Ligue espagnole de football a confirmé mercredi qu'elle avait déposé des plaintes auprès de l'UEFA contre le Paris Saint-Germain et Manchester City qui "enfreignent continuellement le règlement actuel du fair-play financier. La Ligue espagnole de football a bien déposé une plainte auprès de l'UEFA visant les conditions du transfert d'Erling Haaland à Manchester City une autre visant la prolongation de Kylian Mbappé au PSG, deux clubs qui, selon elle, "enfreignent continuellement le règlement actuel du fair-play financier"." "La plainte contre City avait été déposée en avril, tandis que celle contre le PSG l'a été "cette semaine", a confirmé, mercredi 15 juin, la Liga qui a ajouté qu'elle allait continuer à intensifier les actions en justice contre les deux clubs soutenus par l'État. Pour se faire, elle s'est adjoint les services d'avocats en France et en Suisse "dans le but d'entreprendre des actions administratives et judiciaires devant les instances françaises compétentes et l'Union européenne dès que possible", peut-on lire dans son communiqué. En Suisse, la Liga "étudie différentes options de représentation" pour enquêter sur les "possibles conflits d'intérêts" de Nasser Al-Khelaifi, qui est à la fois président du PSG, responsable de BeIN Sports, propriété du Qatar, dirigeant de l'Association européenne des clubs et membre du comité exécutif de l'UEFA. "La Liga considère que ces pratiques altèrent l'écosystème et la durabilité du football" "Le patron de la Liga Javier Tebas est l'un des critiques les plus virulents des clubs soutenus par des États, à savoir le Qatar pour le Paris SG et les Emirats arabes unis pour Manchester City, qui détournent selon lui le fair-play financier établi par l'UEFA et déséquilibrent la concurrence sportive et économique. Manchester City a remporté la course pour acheter Erling Haaland au Borussia Dortmund après avoir payé la clause libératoire de l'attaquant à hauteur de 60 millions d'euros, mais le montant total de l'opération, y compris le salaire et les honoraires des agents, pourrait dépasser les 275 millions d'euros selon la presse." "Le Paris Saint-Germain versera de son côté à Kylian Mbappé un salaire annuel compris entre 40 et 50 millions d'euros, après que le Français a choisi de rejeter le Real Madrid et de signer un nouveau contrat de trois ans avec le club parisien. Le PSG a subi une perte de 224,3 millions d'euros au terme de la saison 2020/2021, en hausse de 80% par rapport à l'année précédente, a indiqué le rapport annuel de l'autorité financière du football français (DNCG) au début du mois." "La Liga considère que ces pratiques altèrent l'écosystème et la durabilité du football, nuisent à tous les clubs et ligues européens, et ne servent qu'à gonfler artificiellement le marché, avec de l'argent qui n'est pas généré dans le football lui-même", peut-on lire dans le communiqué de la ligue espagnole. Le FC Barcelone a fait état d'une dette d'un montant d'1,3 milliard d'euros en février dernier alors que celle du Real Madrid, qui inaugurera son stade Santiago-Bernabeu rénové en 2023, avoisine les 900 millions d'euros, selon plusieurs médias espagnols." ®AFP- 13 commentaires
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C'est une révélation de Calcio&Finanza: La mort prématurée de Mino Raiola laisse un certain nombre de questions ouvertes concernant l'avenir de la gestion de son entreprise. Rafaela Pimenta, la seule personne avec laquelle le célèbre agent voulait partager les parts de "One," sa société basée à Monaco qui gère des footballeurs du monde entier: Celle-ci va tenter de poursuivre son travail. Qui est Rafaela Pimenta ? Selon la Gazzetta Dello Sport: "Les deux personnalités se sont rencontrées au Brésil au début des années 2000 : Elle était diplômée en droit et, très jeune et elle avait été engagée dans l'équipe antitrust mise en place par le Président Fernando Henrique Cardoso." "Rafaela Pimenta est une brillante avocate passionnée de football : elle a notamment aidé Rivaldo et Cesar Sampaio à fonder Guaratinguetà, un petit club de football dans l'État de São Paulo, où elle est également née. Elle a rencontré Mino lors d'un événement où le projet a été lancé, et il y a dix-huit ans, pour rejoindre ensuite "One". En attendant de voir ce que feront les deux fils de 20 ans de Raiola, Mario et Gabriele, la société est désormais entre ses mains." "En dehors des deux associés, seules 4-5 personnes travaillent dans le bureau monégasque de One dont Vincenzo Raiola, le cousin de Mino, qui traite principalement avec les joueurs italiens. Les autres personnes, qui sont extrêmement dignes de confiance, s'occupent principalement de la presse et d'assister les joueurs. Il s'agit d'une structure légère, car c'est ainsi que Mino et Rafaela avaient décidé de travailler, tout choisissant ensuite de s'appuyer sur un vaste réseau de collaborateurs dans chaque pays." "Rafaela Pimenta parle six langues et est un visage familier pour les joueurs de One, ayant joué un rôle clé dans la négociation et la gestion de Paul Pogba. C'est Pimenta qui a eu l'idée de lancer le projet Football Forum, le mouvement international d'agents créé en 2019, présidé par Mino et avec Rafaela comme Vice-Présidente. C'est elle qui, avec Raiola à l'hôpital, a été chargée des négociations en cours, dont celle qui devrait amener Erling Haaland dans la cour de Pep Guardiola à City." Si Mino s'en est allé, son Agence semble destinée à perdurer... ®Antony Gilles – Internazionale.fr
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C'est une information en provenance de nos confrères de ®le10sport.com: Alors que Kylian Mbappé devrait s'engager avec le Real Madrid durant l'intersaison, le PSG suivrait la situation de Romelu Lukaku, en difficulté à Chelsea. "Le PSG garde un mince espoir dans le dossier Kylian Mbappé. Comme annoncé par le 10Sport.com en exclusivité, l’international français voudrait écouter ses dirigeants, notamment sur la suite du projet parisien, avant de prendre une décision sur son avenir. Le PSG devra se montrer convaincant, après son élimination en Ligue des Champions. Dans le cas contraire, Mbappé s’engagera avec le Real Madrid durant l’intersaison. Son départ pourrait laisser un grand vide dans l’effectif de Mauricio Pochettino" Romelu Lukaku ciblé par le PSG Comme annoncé par le 10Sport.com, "le PSG a ciblé Erling Haaland (Borussia Dortmund) et Robert Lewandowski (Bayern Munich) pour le remplacer. Mais une source a indiqué à Football.Insider que les dirigeants parisiens suivaient, aussi, la situation de Romelu Lukaku. L’international belge ne serait pas heureux à Chelsea et envisagerait déjà de quitter la Premier League. Le PSG décidera dans les prochaines semaines s’il se lance à l’assaut de Lukaku, lié au Blues jusqu’en 2026." Paris qui s'offrirait les deux derniers numéro 9 de l'Inter, vous y croyez ? Et surtout, Paris est le club aimé depuis sa plus tendre enfance par Big Rom.....! ®le10sport.com
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Selon Alfredo Pedullà, l’Inter a déjà préparé son investissement le plus important pour le mercato estival à venir, celui de Gianluca Scamacca. Ce serait d’ailleurs pour cette raison que le club n’a signé Felipe Caicedo que pour six mois. L’opération serait à hauteur de 40 millions d’euros. Pour faire diminuer le cout, l’Inter était disposée à insérer des contreparties techniques. Andrea Pinamonti, la contre-partie technique La Juve envoyée baladée "Une histoire de fond apparaît : la Juventus, ces derniers mois, avait demandé à Sassuolo un rendez-vous pour parler de Scamacca, mais une réponse claire est venue du club, qui a ensuite poussé les Bianconeri à se concentrer sur Vlahovic : "Cherchez d'autres cibles, car Scamacca a déjà fait son choix". Et ce choix, c'est l'Inter : l'attaquant a décidé de porter le Maillot Nerazzurro, même si cela signifie, pour la première année, entrer en concurrence avec Dzeko. Les rapports avec Sassuolo ne s’arrêtent pas à Scamacca, la négociation relative à Frattesi reste bel et bien d’actualité! Le Saviez-vous ? Sur Scamacca, on retrouvait la piste du Borussia Dortmund qui voyait en lui le nouveau Haaland, et le Milan qui avait réalisé un sondage concret. ®Antony Gilles – Internazionale.fr
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®CIES - Le numéro 362 de la Lettre hebdomadaire présente la liste biannuelle des 100 joueurs du big-5 avec les plus hautes valeurs de transfert, estimées à partir de l’algorithme de l’Observatoire du football CIES. Le Brésilien du Real Madrid Vinícius Júnior (€166 M) devance Phil Foden et Erling Haaland. Ces chiffres ne prennent pas en compte les éventuelles clauses de départ dans le contrat des joueurs. CIES - Par poste, les plus hautes valeurs ont été mesurées pour Gianluigi Donnarumma parmi les gardiens, Rúben Dias pour les défenseurs centraux, Alphonso Davies parmi les défenseurs latéraux, Jude Bellingham pour les milieux défensifs, Florian Wirtz pour les milieux offensifs, ainsi que pour Vinícius Júnior parmi les attaquants. Kylian Mbappé a la valeur la plus élevée pour les joueurs dont le contrat se termine au mois de juin. Au niveau de la Serie A, Lautaro Martinez et Nicolò Barella domine le classement, Alessandro Bastoni occupe la neuvième position. On retrouve également la présence de 5 joueurs de la Juventus et de 4 joueurs du Milan AC. Les valeurs ont été calculées à partir de l’approche économétrique développée par l’équipe de recherche de l’Observatoire du football CIES. ®CIES
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Giuseppe Marotta s’est livré à cœur ouvert sur le parcours de sa carrière et sur son avenir, avec et sans, l’Inter au Festival du Sport La victoire du Scudetto "Le 2 mai, nous l’avions mathématiquement remporté. Lorsque j’ai entrepris cette aventure, l’objectif était de ramener la Coupe à la maison. C’était une libération après tant de difficultés." Le moment clé du championnat remporté "Contre la Juve, nous avions compris que nous serions protagoniste : Nous étions le chasseur, puis le lièvre, et nous avions pris conscience que nous pourrions aller très loin." Le Championnat et la Ligue des Champions "La différence entre la Serie A et la Ligue des champions est que le second doit être un tournoi où tu es dans les meilleures conditions : Les victoires en Ligue des Champions ne sont pas toujours celles des équipes les plus forte, tandis qu’en Championnat, c’est l’équipe la plus forte qui le gagne. Le Giro n’est pas Milan-Sanremo. Le jour de notre élimination, il y avait tant d’amertume, mais nous l’avons concentré sur l’objectif Scudetto." Les difficultés financières et le départ d’Antonio Conte "La décision finale est le fruit des échanges des jours précédents. On n’entrevoyait plus un parcours commun, mais cela fait partie du sport et de la vie : Si une personne décide d’interrompre tout rapport, il est important de respecter sa décision et de regarder devant soi avec optimisme. Dirigeants, joueurs, entraîneurs passent, mais le club reste. Nous avions besoin d’aller de l’avant en ayant, ici, la conscience d’être un grand club et nos professionnels ont remporté le Scudetto avec un très grand mérite." Le choix de Simone Inzaghi "La décision de Conte n’était pas si prévisible, celle nous a un peu surpris et nous avions dû agir rapidement en définissant le meilleur profil . J’ai décidé de miser sur un entraîneur jeune qui avait déjà derrière lui un parcours important: Il était en pleine négociation avec la Lazio et l’opportunité s’est présentée : En lui soumettant notre projet et son sérieux, il nous a immédiatement suivi, et nous sommes reparti de là. Nous venions de recruter un entraîneur capable de se calquer sur le dispositif tactique de Conte, afin de ne pas devoir le modifier, même s’il y allait y avoir d'autres changements." Le malaise d’Eriksen "C’était un moment dramatique pour une personne que je connaissais et qui risquait de mourir, là aussi les informations nous sont parvenues rapidement. Le Professeur Volpi s’était mis immédiatement en contact avec les médecins qui étaient allé sur le terrain, pour avoir un premier diagnostic suite à ce qu’il s’était passé. Encore aujourd’hui, nous sommes dans une phase d’hypothèse, mais la chose la plus belle est que le joueur avait donné des signes de réveils. La nouvelle la plus belle est qu’il continue à vivre, au-delà du vide laissé à l’intérieur du vestiaire, qui est d’une importance relative. En ce moment, c’est difficile d’émettre des hypothèses, nous attendons l’évolution de la situation. Nous évoluerons la situation au moment opportun." Lukaku "L’expérience me fait dire qu’il faut toujours se préparer aux imprévus. Lukaku a manifesté son intention d’être transféré à Chelsea. Devant une situation de ce type, tu ne peux qu’accéder à sa demande. Il y a eu, à ce moment-là un début de négociation avec le club qui le désirait aussi, c’est comme cela que nous avons agi. Nous avons établi notre prix et pensé aux alternatives. Ce sont des dynamiques qui peuvent arriver dans le football. Je ne me suis pas senti trahis ou contrarié, j’ai évalué l’opportunité comme celle de pouvoir injecter une somme importante pour les caisses du club. Nous avons fait valoir notre requête économique et nous avons réalisé une belle opération." L’option Vlahovic et le choix de Dzeko "Dzeko était un choix prioritaire, nous avions déjà tenté notre chance l’année dernière : Il disposait d’une promesse de la Roma pour être libre gratuitement en cas de demande. Notre demande est arrivée et le sérieux de nos entretiens a facilité la définition de la négociation." "Je considère Vlahovic comme un grand talent, il y a une différence entre talent et champions. Nous nous sommes retrouvé dans une situation de négociation engagée. Nous n’étions dans les conditions, même si j’avais imaginé miser sur deux attaquants : Le premier était Dzeko, le second Vlahovic. Un était prêt pour l’immédiat, l’autre pour le futur. Cela aurait été le mieux, et je suis content de ce qu’offre Dzeko." Les difficultés financières "La pandémie a accéléré le processus: L’Inter, le Milan et la Juventus ont perdu, globalement, un milliard d’euros: Cela signifie que le modèle actuel ne te donne plus de garantie sur la continuité." "Il faut trouver des remèdes, car je dois dire qu’il n’est pas juste de toujours dépendre des augmentation des capitaux en provenance des actionnaires. Le football romantique du mécénat est révolu, nous besoin d’arriver à un modèle différent. La Famille Zhang a injecté 700 millions d’euros environs et c’est normal de revoir, tôt ou tard les conditions économique." "Le travail du Management est celui de concilier les objectifs sportifs et l’équilibre financier. Par le biais de ces deux opérations nous sommes désormais chanceusement serein, nous pouvons donc poursuivre les objectifs préfixés déjà l’année dernière étant donné que l’ossature est restée et que ceux qui sont arrivés nous donnes satisfactions. Il faut savoir contenir les coûts et faire comprendre aux joueurs que nous traversons une période de grande difficultés : Revoir les salaires est fondamental pour parvenir à un équilibre." Y-aura-t ’il des ventes importantes à l’avenir ? "Je peux les exclure, je tiens à rassurer nos Tifosi : l’Inter existera dans le futur aussi, la compétitivité est garantie. Ce n’est pas celui qui dépense le plus qui l’emporte toujours, il existe un patrimoine de ressources humains connu de tous qui n’est pas mis en lumière, une équipe invisible qui se trouve derrière ceux qui sont sur le terrain le dimanche : Si cette équipe est forte, tu peux allez très loin, et cela va bien au-delà de ton nom et des joueurs." Est-ce possible de voir un nouveau partenaire arriver au Club ? "Ce sont des évaluations qui doivent être analysées par l’actionnaire. Par expérience, je dis toujours qu’un club doit rester dans les mains d’une famille, d’une entreprise. Le fait de devoir vendre une partie des actions des fins d’un actionnariat minoritaire existe, mais je ne pense pas que cela soit la meilleure façon pour résoudre les problèmes car l’impact d’un partenaire minoritaire ne te garantit pas le changement de modèle radical, ce ne serait qu’un bien-être momentané." "Il est nécessaire d’identifier un modèle de soutenabilité et de sécurité de référence, vous l’obtenez si vous disposez d’un projet. Nous sommes parvenus à reprendre notre projet et à le remettre sur les rails. Nous avions des choix difficiles devant nous car nous avions décidé d’engager Conte tout en continuant à rémunérer Spalletti qui avait encore deux ans de contrat, mais nous l’avons fait car la consigne de notre priorité était de gagner." "Tu construis une équipe conquérante si tu as une vision précise et si l’équipe a conscience de faire face à un objectif, qu’elle dispose d’une vision du futur. Nous avons construit nos victoires en nous basant sur la force de nos hommes et le mérite en revient principalement à Conte qui a transmis des valeurs qui représente un patrimoine. J’ai en tête Marchionne qui déclarait qu’un Manager avait deux grands droits: Le droit de choisir des valeurs et choisir des hommes. Si tu en disposes, l’aspect économique est relégué au second plan car tu traverses un moment de difficulté que tu sauras le surmonter en te basant sur les valeurs que tu portes avec toi. Et nous en avons connu des difficultés." Les contrats des joueurs "Les joueurs ne l’ont peut-être pas bien compris, car ils vivent dans un monde doré. Ils gagnent tellement qu’ils ne sont pas habitués à faire face aux problématique familiales qui sont vécu quotidiennement : Ce sont des garçons très jeunes qui doivent être éduqués. Les réponses ont été d’un côté positive, et d’un autre coté négative, à nous de les former, de leur donner cette culture." "Il y a eu une prise de conscience de la part des joueurs, mais le drame a davantage été vécu dans le contexte de préserver sa propre santé. Néanmoins, nous avons respecté les contrats des joueurs: nous les avons tous payés, nous n’avons pas obtenu un euro de ristourne, mais nous l’avons fait eu égard aux performances réalisées lors de la saison 2019/2020 et de cette dernière années. Nous avons décidé, après une discussion courtoise avec les joueurs de ne pas les pousser trop fort à faire quelque choses qu’ils ne se sentaient pas capable de faire." Un message d’Adriano Galliani est arrivé "Nous avons été victime ensemble du Covid, il était dans un état bien pire que le mien. Lorsque des choses de ce genre arrivent, tu apprécies encore plus les valeurs de la vie et tu apprécies le fait d’être là, c’est valable aussi pour lui qui a quelques années de plus. L’autre jour au Meazza, il m’avait raconté qu’il s’énervait toujours lorsqu’arrivait un résultat négatif. Dernièrement Monza avait perdu 3-0 à Lecce et il avait vécu une soirée en toute insouciances, c’est le revers de la médaille de ce que nous avons connu. Je peux aussi m’énerver mais j’affronte la vie avec une vision différente. Dans le football, il faut toujours donner le maximum, mais la culture de la défaite est utile. Au mieux tu la maîtrises, au mieux tu vis." Un message de Simone Inzaghi arrive aussi "C’était l’un de mes joueurs à la Sampdoria, je le remercie aussi lorsqu’il me dit que je suis très visionnaires. Je suis principalement amoureux de mon travail, je l’avais fait aussi par hobby et ensuite, c’est devenu mon travail depuis 45 ans. Je me suis toujours plus appliqué à rester humble et respectueux, tout en ayant l’ambition de toujours vouloir gagner." Un dernier message arrive en provenance de son frère Salvatore. "Cela me fait me rappeler de mon adolescence où j’’étais déjà malade du Calcio et où j’écoutais à la radio "Tutto il calcio minuto per minuto". J’aimais imiter les chroniqueurs." La prolongation de Barella "C’est l’un des cas qui de talent est devenu Champion. J’ai eu à faire à Cassano que je viens de rencontrer à l’Hôtel, je lui ai toujours dit qu’il n’était jamais devenu un Champion. Le talent est inné et fait partie de son ADN. Encore aujourd’hui je n’ai pas revu de joueurs potentiellement plus fort que lui, mais celles-ci n’ont jamais été accompagné de qualités humaines, d’un comportement sérieux, discipliné, d’une vision de la vie et de la professions. Il a la conscience d’être resté un joueur qui n’a pas atteint le top niveau." "Barella a confirmé déjà à Cagliari et à présent à l’Inter que je suis devant un champion et il est juste de le gratifier économiquement pour ce qu’il réalise. Ce n’est pas une prolongation mais une reconnaissance adaptée à un style de joueurs important qui font partie de l’Inter. Nous en reparlerons dans les prochaines semaines. Nous ne devons certainement pas le laisser s’enfuir et ce sera si beau qu’il devienne notre prochain Capitaine. C’est une qualification qui ne s’offre pas, tu dois démontrer avoir des qualités de leader." "Piero Volpi, le médecin de notre Club a toujours été le Capitaine dans les équipes de football car c’est un Leader : Barella peut commencer à le devenir." Cassano et Gheddafi à la Sampdoria "Il n’y a pas de mots, c’était une expérience sympathique, très belle aussi, mais je devais toujours rester très attentif à ce qu’il se passait." Les objectifs de la saison "Les attentes de tous sont de nous voir comme celui à battre, un rôle que nous sommes heureux d’endosser : Nous sommes l’Inter et nous devons placer la barre très haut, mais vu que nous sommes dans un sport d’équipe, nous avons besoin aussi d’évaluer nos propres capacités tout comme celle des adversaires avec qui nous luttons." "Il peut arriver que certaines années tu investisses 100 millions, mais que les autres investissent 150 millions ou qu’ils parviennent à réaliser des opérations plus importantes et s’en retrouvent plus fort. Nous sommes dans une saison qui ne comprends pas qui est le plus fort: Le Sheriff a six point et il l’a emporté à Madrid. Dans le Championnat il y a les fameuses sept sœurs avec le Napoli comme équipe gagnante. Je crois qu’il est bien prématuré de procédé à une évaluation sur ce qui s’avèrera définit en mai. Je tiens toujours à la culture de la victoire." "Je prends toujours en considération ceux qui ont la culture de la victoire la plus forte, donc la Juventus et le Milan. Naples a clairement un grand mérite, mais gagner est toujours quelque chose de difficile et qui va au-delà de qu’une équipe propose et met en pratique : Il y a des valeurs qui s’acquièrent avec le temps, il n’y a pas que le seul choix de l’équipe." "Tu dois prendre en considération tous les aspects complémentaires, si tu réussi à améliorer la qualité des terrains, des médecins, tes physiothérapeute, de l’alimentation, tu l’emporteras certainement plus facilement." Osimhen "C’était une opération très onéreuse, et ce n’est pas un inconnu, les circonstances nous ont amené à suivre une route plutôt qu’une autre." Son arrivée à l’Inter, les cas Nainggolan et Icardi "Je ne tiens pas à critiquer celui qui a géré cela avant moi. Icardi était sincèrement un grand talent, il était devenu un joueur optimal en étant investi d’une responsabilité dont il n’était pas encore en capacité de recouvrir, je me réfère au brassard de capitaine. Lorsque je l’ai connu, il se comportait bien avec moi, mais il y a eu des évaluations qui différaient. Je dis toujours que la vision que vous devez avoir se doit d’être précise. L’entraineur et le club procèdent à des évaluations et il a été évalué qu’il devait y avoir une équipe avec des valeurs à respecter." "Conte les a d’ailleurs interpréter de la meilleur des façons.: Il nous a laissé quelque chose d’important, il a posé les fondations et c’est tout aussi vrai que nous avons recruté un entraîneur qui a de grandes qualités, certains aspects sont essentiels." L’arrivée à l'Inter en provenance de la Juventus "Je suis resté émerveillé par la rapidité dont tout cela s’est produit. Dès le lendemain de mon départ, Steven Zhang m’a écrit un message en m’invitant à une réunion avec lui. Je voulais forcément me reposer, mais j’ai saisi directement cette opportunité. Je laissais la Juve et je trouver l’Inter, nous étions à armes égales. Je me suis lancé dans ce métier avec des caractéristiques que j’ai en moi depuis plus que quarante ans et qui se sont toujours enrichie dans chaque club." "L’expérience est une autre caractéristique importante dans le vie de tous, surtout dans le milieu professionnel. A 24 ans, à Varese, j’ai perdu un championnat d’une façon retentissante, alors que si je reviens en arrière, ce tournois, nous l’aurions remporté avec 15 points d’avances." La conscience d’avoir tant gagné te permet d’affronter les difficultés avec une grande détermination. C’est ainsi que je me suis relancé en illustrant mon projet à l’Inter, un projet que le club a épousé, c’était un projet difficile car il consistait à laisser Spalletti à la maison et prendre Conte allait demander du courage." La méfiance initiale à l’égard de l’environnement "Le Derby d’Italie apporte avec lui une grande rivalité. Je n’ai jamais connu de grande difficulté car je suis toujours parvenu à m’accorder avec les personnes, j’ai rencontré un club préparé, composé de bonnes personnes qui avait besoin de nouvelles motivations." Ses débuts "J’ai terminé le Liceo Classico et j’ai commencé à Varese. Certains faits de la vie m’ont ouvert la voie à suivre, je suis devenu directement Directeur Sportif car le précédent avait été victime d’une blessure et le Président m’avait demandé si je me sentais capable d’occuper un tel poste." Le poster de Rivera lorsqu’il était jeune "Je m’identifie à lui, j’ai été footballeur durant une courte période, j’ai arrêté car je me rendais compte que j’avais quelques limites, je me considérais perdu. Mais j’ai joué jusqu’au niveau des Primavera et j’occupais le même poste que Rivera. Il y avait une émulation, je voulais l’imiter comme footballeur. Mon rêve, depuis ma plus tendre enfance était de devenir un dirigeant, ma première expérience fut un oratoire. C’était la première étape de ma profession de dirigeants, je commençais aussi à organiser des toujours à comprendre le sens de la compétition, de la victoire, C’est à partir de là que j’ai commencé mes activités et que j’ai rangé mon poster de Rivera." Son surnom: le “Jeune Kissinger" "Il m’a été attribué par Colantuoni, qui me disait de l’appeler Avocat car pour devenir Président, il fallait une signature et pour devenir avocat, il avait dû passer trois diplômes. Je considère la diplomatie comme une vertu qui ne cache pas derrière un aspect décisionnel très fort. Décider n’est pas simple. Tu peux également devenir un leader sans devoir imposer ton timbre de voix, mais en faisant ressortir ta force intérieure : Pirlo était un leader silencieux. Il avait une si grande valeur dans le vestiaire et cela venait de sa communication non-verbale." Pensez-vous pouvoir confirmer à nouveau la victoire du Scudetto ? "Absolument, notre objectif est la seconde étoile." Le prêt de Recoba au Venezia "Gagner à Venise était si beau, j’habitais dans la région de Carampagne, j’allais au siège et cela avait une valeur inestimable. En plus tu gagnes un championnat et tu te sauves en recrutant Recoba, et je vais vous dévoiler le comment : A l’époque j’étais plus conditionné qu’aujourd’hui. Avec Zamparini, j’avais songé à Orlandini, j’avais appelé Oriali qui était le Directeur Sportif et nous nous organisions pour le contrat." "Il m’avait appelé et il m’avait dit que Tanzi avait été échangé avec Giusti. A ce moment-là, Regalia qui était un grand Manager m’avais appelé et j’en avais profité pour lui parler. Il m’a dit qu’il avait observé Recoba la veille, j’avais rappelé Zamparini pour lui dire que je ne voulais plus viser Orlandini mais que je songeais à un objectif encore plus important : Recoba. J’ai négocié et conclu avec Mazzola, je ne l’avais vu qu’en coups de vent, mais il nous a littéralement porté au maintien." A quel point étiez-vous proche de l’Inter de Pellegrini ? "Je l’ai rencontré une fois, l’alternative était moi ou Dal Cin. Je me souviens toujours d’une particularité avec Pellegrini : Je me suis toujours dit que si j’étais arrivé déjà à l’Inter à ce moment-là, que je me serais brûlé les ailes, tu dois embarquer dans le train au moment opportun. Âgé de 25 ans, je me serais perdu à l’Inter, je n’avais pas la connaissance que j’ai actuellement. J’ai fait un parcours graduel: De la province aux grandes provinces, de la Juventus, à l’Inter, C’est un parcours chanceux." Un regret sur le mercato ? "Il y en a tellement, le dernier est que j’avais eu l’opportunité de prendre Haaland pour deux millions d’euros. Parfois, tu as besoin d’avoir la volonté de miser sur un budget supplémentaire : Si c’est un champion, tu as besoin de le recruter. C’est ici qu’intervient la créativité financière pour réaliser des opérations, nous aurions pu l’avoir pour rien, et il est actuellement l’un des joueurs parmi les plus important au monde. A présent, il ne peut plus venir en Italie." "En 2000, il y avait dans le top 10 des meilleurs chiffres d’affaires cinq équipes italiennes, aujourd’hui, il ne reste que la Juventus. Nous avons un grand retard sur la Premier League. Aujourd’hui, nous sommes devenu un championnat de transition: Regardez Lukaku, nous sommes dans une réalité qui te porte à gouîer aux Champions qui, une fois leur position renforcée, cherchent à obtenir de meilleurs salaires ailleurs." "Nous sommes obligé de faire preuve d’ingéniosité, nous avons travaillé avec Ausilio sur cette vertu, cela va aussi de pair avec la Nazionale qui nous a offert de grande satisfactions. L’Italie met toujours en vitrine de grands entraîneurs et des grands joueurs. Nous avons besoin d’avoir la force les faire mûrir en équipe première, et ici doit entrer également la culture de la défaire. "Les joueurs qui se font siffler se font brûler les ailes et c’est quelque chose qui doit être combattu. L’Espagne a montré l’exemple avec ses jeunes sur le train. Aujourd’hui le Tifoso est plus ouvert et plus compréhensif vis-à-vis des difficultés du clubs. Dans notre cas, lorsque Conte et les joueurs sont parti, il y a eu un dialogue avec la Curva et nous leur avons fait comprendre que c’était pour le bien de l’Azienda. Ils l’ont compris et nous sommes toujours restés proche, ils nous sont toujours soutenu et c’est un très bel exemple de ce que doit être le rapport entre les Tifosi et le Club." Ronaldo à la Juve "J’avais fait part de mon évaluation, tout le monde aurait voulu s’offrir Ronaldo, je l’ai connu six mois avant mon départ. J’apprends toujours des champions, même comme dirigeants. Il a une culture du travail maximale, il est très soigneux sur sa propre condition physique et caractérielle. Toutefois, il devait être contextualisé et selon moi, cela passait aussi par des évaluations économico-financière : Mais j’entretiens encore aujourd’hui un grand rapport cordial avec la Juventus." Choisissez vos meilleurs acquisitions lors de votre carrière, poste par postes "J’avais recruté Rampulla de Pattese et je le conserve pour des raisons affectives. J’en ai trouvé un comme Buffon par exemple. J’ai vendu Taibi à United et c’était un flop, au final il n’était pas prêt. En défense, Bonucci fait preuve d’un très grand leadership, et il venait aussi du vivier interiste. Je le prends lui et Barzagli, à droite Hakimi et à gauche Alex Sandro." "Je dois vous dire qu’Evra était aussi très important dans l’économie du vestiaire : Il arrivait en provenance de United et il apportait avec lui des caractéristiques de champion dans le groupe. A la Juve, j’ai connu des champions, à l’Inter, je rencontrais des joueurs qui n’avaient plus gagné depuis tellement d’années et c’est pour cela qu’il était utile d’avoir un grand entraîneur." "A la Juve, j’ai connu des joueurs qui ont remporté la Coupe du Monde, des championnats: Khedira me disait qu’ils agissaient pareil au Real, j’en avais pris note et je l’ai retenu. Cela vaut aussi pour Evra ou Daniel Alves, tu apprends quelques choses des champions. Evra avait un certain âge mais en dehors du terrain, il avait tant à donner. C’est là que tu retrouves de la richesse et Conte a commencé à le faire , il l’avait transmis aux joueurs." "Nos joueurs à l’Inter n’avaient pas de palmarès et les difficultés étaient donc importantes. Aujourd’hui, ils ont une meilleure connaissance de ce qu’il faut avoir pour gagner. Au milieu du terrain, Barella représente une jeunesse devenue réalité. Je le choisi lui comme Pirlo et Pogba qui était arrivé gratuitement pour être revendu 110 millions d’euros. J’ai à mes côtés une équipe de travail qui me porte à faire des choix, mes décisions sont le fruit de ce travail : Pogba était quelqu’un de rare : pris gratuitement et rendu contre 110 millions d’euros. J’ajouterai Cuadrado comme ailier au milieu." "En attaque, j’en ai deux. Le plus difficile fut l’opération Dybala, je l’ai recruté grâce à mon rapport avec Zamparini qui était devenu le propriétaire de Palerme: Il m’avait contacté un jour pour me dire de me dépêcher car il était tout proche de signer avec Thohir. C’est grâce à notre amitié que j’ai su concrétiser cette opération. Je retire Ronaldo car c’est trop facile. L’autre personnalité avec qui je m’était lié d’affection était Recoba, mais j’aurais pu dire Pazzini ou Vieri. Même Lukaku mais cela aurait été trop facile : Peut-être que je dirais Higuain vu comment cela été devenu difficile." Une parenthèse sur Hakimi: Serait-il resté si Lukaku serait parti avant ? "Comme je l’ai dit, lorsque les joueurs sont intéressés par un salaire plus alléchant, il est très difficile de les garder." Pogba pourrait-il revenir en Italie ? "Je pense que ce serait difficile, même s’il y a aussi l’outil du Décret Croissance, qui s’il est boycotté, il nous a tout de même permis de réduire le coût du travail. Mais face à la valeur qu’il représente, je ne pense pas que quelqu’un puisse se permettre de l’engager." Dybala a l'Inter? "C’était possible lorsque l’on avait parlé d’une possible négociation entre lui et Icardi, mais je pense qu’il va signer avec la Juve pour prolonger." Lautaro Martinez est-il la pierre angulaire du futur ? "Il prouve qu’il est un joueur sur qui l’ont peut baser le présent et le futur, il est brave, professionnel, je souhaite que son futur soir à l’Inter, nous ferons tout. Très prochainement nous annoncerons sa prolongation car il est important: Je tiens à poser les bases pour un futur composé d’un juste équilibre entre des joueurs d’expérience et les plus jeunes." Quelle est votre évaluation sur la situation du club ? "L’Inter continuera à voyager haut avec une sécurité financière. Le modèle ne peut plus être celui qui existait auparavant, le tout doit retrouver une normalité. Mais nous ne pouvons pas nous imaginer que la famille Zhang, qui veut aller de l'avant et je peux le dire avec certitude, doivent toujours nous assainir. Nous voulons nous battre pour des objectifs de plus en plus ambitieux, mais nous voulons construire à partir de l'arrière, du secteur Giovanile, pour disposer d’une équipe qui pourra atteindre des objectifs importants." Votre meilleur entraîneur en carrière ? "Je prends Conte car il a gagné à Turin et à Milan et c’est statistiquement important. J’ai connu tant de très bons entraîneurs en carrière, et j’ai dû congédier des entraîneurs qui étaient humainement très bons mais qui n’étais pas des gagnants. Je pense qu’un entraîneur est bien plus souvent gagnant lorsqu’il est dans une situation des plus inconfortable. Ce rôle qui l’occupe doit être vécu comme une stimulation." "Je ne peux pas nier que Conte est un dur à cuire, mais il nous a prouvé qu’il était un gagneur. Il est très extrêmement exigeant avec une culture de la victoire comme peu en ont. Je dois vous dire qu’Inzaghi, vu comment j’apprends à le connaitre suit ce profil : Nous ne pouvions pas faire meilleur choix." Jusqu’à quand resterez-vous à l’Inter ? "Je me sens très bien ici, moi-même, tout comme l’équipe dirigeants avons parlé avec Steven Zhang. Lorsqu’il reviendra en Italie, je pense au mois de décembre, nous parlerons du futurs, les feux sont tous au vert, je dois vous dire également que j’ai plus une vision d’ensemble de la vie. Aujourd’hui c’est ce défi, puis il y en aura d’autre." "L’Inter sera mon dernier club, il n’y en aura plus de place pour un autre par la suite. Je me sens épanoui dans mon parcours et c’est bien que je puisse songer à des défis différentes, je me sens redevable envers le monde du ballon rond qui m’a enrichi en tant qu’homme, et cela va au-delà des récompenses." "A présent, ma capacité à faire face aux difficultés de la vie trouve son origine que je suis sûr de les surmonter grâce à ce que le sport m’a donné. Je veux y rester mais plus avec le stress d’aujourd’hui, et je pense également qu’il est juste de ralentir mes activités en songeant à ma santé." ®Antony Gilles – Internazionale.fr
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Antonio Conte s’est livré sur l’Inter de Simone Inzaghi
Victor "Antony" Newman a posté un article dans Coupes d'Europe
Chroniqueur Sportif dans le cadre de la Ligue des Champions, Antonio Conte s’est livré à Sky Sport sur les performances réalisées par la Juventus, le Milan Ac et…. L’Inter de Simone Inzaghi Sur la prestation Milanaise "Le Milan a réalisé une excellente rencontre durant une demi-heure à 11 contre 11, il a démontré qu’il avait sa place en Ligue des Champions. L’expulsion fait partie de ces détails qui sont utile pour engranger de l’expérience. Kessié aurait dû faire plus attention. Nous avions aussi conne cela avec le Real : Vidal s’était fait expulser après 20 minutes de jeu. Ce sont des étapes et le Milan les apprends de bonne manières. Jusqu’à la 82ème, il n’a pas autant souffert que cela. Le fait que le résultat ait été inversé fait que les deux prochaines rencontres seront décisives pour les Rossoneri." Sur la Juventus "C’est une victoire importante qui est le fruit d’une stratégie. La Juve voulait réaliser ce type de match, en concédant peu d’espaces défensif et en évoluant dans sa moitié de terrain pour partir en contre avec Chiesa, ce qui s’est avéré être létal. Elle a remporté trois points, elle est première du groupe et elle retrouvé ses esprits en battant les Champions d’Europe. Tu peux toujours parler de possession de balle ou de laisser le jeu, mais avoir le bon état d’esprit est important, ne pas laisser une attaque comme celle de Chelsea inscrire un but est important. Lukaku a eu une occasion importante en fin de mach mais Chelsea aurait dû proposer bien mieux." Sur Romelu Lukaku "Je pense que les caractéristiques d’un entraîneur doué doivent être de pouvoir améliorer les performances de ses joueurs, j’ai réalisé un parcours important avec lui à l’Inter. Amener Lukaku dans la surface est dangereux, il vaut mieux l’en tenir éloigné. C’est difficile de trouver un joueur qui peut être ton point de référence et qui a la capacité de démarrer rapidement du milieu de terrain, il est généreux et c’est aussi quelqu’un qui réalise des passes décisives." "Ces spécificités de Lukaku, je les retrouve aussi chez Haaland ; c’est aussi pour cela que j’avais insisté avec fermeté pour le transférer à Milan. Je le voulais déjà lorsque j’étais l’entraîneur de la Juve, soit bien avant que je devienne le Manager de Chelsea. Il a encore une belle marge d’amélioration technique, mais il est déjà arrivé à un haut niveau. Il doit encore s’améliorer sur certaines phases de jeu, il faut parfois l’allumer aussi. C’est un attaquant impressionnant, un des plus difficile à affronter, il faut toujours le faire jouer, mais Chelsea n’a pas encore compris comment l’utiliser. Le jour où Chelsea le comprendra, elle deviendra l’équipe à battre." Sur l’Inter Fabio Capello lui a dit: "Partir en contre face à ce Chelsea avec ton Inter, avec Barella et les autres, lorsque vous le faisiez, c’était spectaculaire…." "Cela dépend toujours de la stratégie, tu peux aussi opter pour la stratégie d’Allegri. Nous, à l’Inter, nous étions également bon face aux équipes qui refusait le jeu, nous parvenions à trouver des espaces face à des adversaires qui ne t’en laissaient pas." "Face au Shakhtar, c’était une rencontre équilibrée, même si au final le Shakhtar a eu la possession, l’Inter a elle eut les occasions. Les Ukrainiens ont payé la différence de structure avec l’Inter. L'Inter devra se montrer bonne pour profiter des phases arrêtées, comme ce corner dont est né l’occasion de Dzeko. "L’Inter est une équipe qui aime avoir la balle, mais qui souffre en phase de non-possession. Les deux rencontres face au Sherrif seront importantes. Le Sherrif devait être la Cendrillon du groupe et il nous a tous surpris. Cela redistribue les cartes, comme lorsque le Shakhtar est parvenu à battre deux fois, l’année dernière, le Real." L’épopée en Europa League "L’Europa League est une compétition importante, cela fait depuis trop longtemps qu’une équipe italienne n’est plus parvenu à l’emporter. Après la phase de groupe, l’ambiance devient plus chaude. C’est bon que le Napoli, qui propose des belles choses, et avec la manière, et qui dispose d’un excellent noyau, l’aborde avec l’envie de bien faire." La Finale ? "Nous étions parvenus à atteindre la Finale, nous avions terminé le Championnat et nous étions en phase finale en Allemagne. Le Championnat étant fini nous disposions de plus de temps pour nous préparer à chaque match." Comment gérer les doubles confrontations ? "Nous étions bien parvenu à le faire en seizième et en huitième. Remporter l’Europa League t’ouvre les portes de la Ligues des Champions et de la Super Coupe d’Europe. Des cycles ont d’ailleurs débuté en Europa League, comme celui de l’Atletico Madrid". Le Saviez-Vous ? Romelu Lukaku a été bien accueilli au Juventus Stadium : Piégé par la tactique de Massimiliano Allegri, l’ancien numéro 9 de l’Inter a été pris en grippe par les Tifosi Bianconeri qui lui ont adressé des chœurs peu reluisant tels que "Figlio di..." ("Fils de…") suivi de siffler. L’Inter, pourtant absente, en a aussi pris pour son grade avec des chants à son encontre. Et dire que l’on commençait à partir sur une bonne base avec un dénominateur commun…. ®Antony Gilles – Internazionale.fr- 10 commentaires
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En effet, le Champion d’Europe se cherche désespérément un attaquant, pour satisfaire à la demande de son entraîneur: Thomas Tuchel Révélation d’Alfredo Pedullà à Sportitalia "Chelsea est lancé dans une recherche désespérée d’un attaquant : Il a tout fait pour prendre Haaland, où il avait mis sur le tapis plus de 100 millions d’euros, mais Dortmund n’a pas voulu céder." "Chelsea, qui a remporté la Ligue des Champions et qui cherche une pointe, s’est penché sur le retour de Lukaku mais il a trouvé face à lui une annonce grosse comme une maison : STOP. C’est pour cette raison que Chelsea a aussi abdiqué, malgré le fait que le budget disponible est de 130 millions d’euros et que d’importantes manœuvres avait déjà eu lieu." Selon vous, les deux clubs ont-ils eu raison de ne pas s’affaiblir ? ®Antony Gilles – Internazionale.fr
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