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  1. Le Président de Roc Nation Sport International, Michael Yormark, s’est livré à Rivista Undici en revenant sur l’épisode raciste dont a été victime Romelu Lukaku à Turin: "S’il y a une chose qui nous distingue des autres agences, c’est ceci…" "La majorité des agences n'auraient pas pris position, n'auraient pas défendu leurs clients, car elles auraient été plus préoccupées par ce que les autres auraient pensé d'elles. Nous n'avons jamais pensé de cette façon : Notre seule priorité est de soutenir nos athlètes, sur et en dehors du terrain. Nous voulons être un vecteur de changement." Parmi les footballeurs sous contrat vous représentez Romelu Lukaku et Federico Dimarco, Kevin De Bruyne, Chris Richards, et Alex Witsel "Nous voulons représenter les meilleurs talents du monde, et nous voulons aussi des athlètes qui veulent faire la différence à tous les niveaux. En tant qu'agence, nous gérons tous les aspects de leur carrière, tant sur le terrain qu'en dehors: Quand un sportif s'adresse à nous, il ne doit se concentrer que sur une seule chose : Être le meilleur possible. Nous, nous occupons de tout le reste, en les encourageant à faire entendre leur voix, à exprimer leurs opinions. Nous voulons qu'ils soient entendus et qu'ils aient tous un impact." "Et si nous faisons cela, c’est parce qu'ils ont une opportunité unique : Faire usage de leur notoriété, de leur influence, pour créer un changement positif, et que l’on soit sportif ou artiste, cela ne fait aucune différence: Ces deux corps de métier ont un mot en commun : Le divertissement. Qu’il s’agisse de Lukaku jouant devant soixante-dix mille spectateurs ou de Rihanna se produisant dans une arène sold-out." "Le même concept est appliqué car il y a un public qui paie un billet pour profiter d'un moment divertissement. Et l'approche que nous adoptons en tant qu'agence est à peu près la même : Apporter du changement et raconter des histoires." La Roc Nation tient aussi à être protagoniste en Italie.... "Nous voulons être protagoniste aussi dans votre pays, nous voulons travailler avec le plus d’athlètes possibls, avec les organisations sportives et je pense que les valeurs de notre groupe peuvent venir en aide a de très nombreux sportifs afin qu’ils atteignent leurs objectifs. Ce qui me marque le plus en Europe et surtout en Italie, c’est votre extraordinaire passion pour le football." "J’ai assisté à Inter-Juve et les routes étaient noires de monde, les ultras ont chanté durant tout le match. Avec moi se trouvait le co-fondateur de Roc Nation et il n’avait jamais rien vu de tel. Juan Perez, le Président de Roc Nation Sports, m’a demandé : Michael, est-ce comme ça à chaque fois ? On se croirait au Superbowl! Je lui ai répondu que oui et que la passion des Tifosi en Italie est quelque chose d’énorme : Nous n’y sommes pas habitués aux Etats-Unis." ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  2. Alors que l'Atalanta est devenue le huitième club de Serie A à passer sous pavillon américain, le football italien continue d'attirer de nombreux propriétaires venant des États-Unis et du Canada. Focus sur les raisons de ce phénomène grandissant en Italie. Des grands aux petits marchés... Avec une quinzaine d'équipes italiennes acquises, les États-Unis sont le deuxième pays le plus représenté dans le paysage footballistique transalpin. Cet essor se diversifie à des équipes de gabarits différents : de grands clubs de Serie A habitués à jouer l'Europe comme l'AC Milan, l'AS Rome, l'Atalanta, la Fiorentina, à de plus petites structures telles que le Genoa, la Spezia et le promu Venise, auquel peut s'ajouter Bologne, racheté et dirigé par l'homme d'affaires canadien Joey Saputo depuis 2014. Les divisions inférieures sont également concernées par ce phénomène avec quatre clubs sous pavillon américain en Serie B (Pise, Ascoli, Parme et la Spal), et deux autres en Serie C (Campobasso et Cesena). Interrogé par L'Équipe, Matt Rizzetta, propriétaire italo-américain des clubs de Campobasso et Ascoli, explique pourquoi les investisseurs américains s'intéressent également aux divisions inférieures : "Je pense que de nombreux propriétaires étrangers voient le rapport risque/récompense optimal dans les clubs de division inférieure. Les coûts d'acquisition sont relativement faibles par rapport aux premières divisions et le gain potentiel est énorme Pour de nombreux investisseurs, il est préférable d'acquérir un club de niveau inférieur à un prix peu élevé et parier sur eux-mêmes pour mettre en œuvre une stratégie qui fera monter le club sur un horizon de 3 à 5 ans." Une arrivée massive qui s'explique en premier lieu par le lien historique entre les deux pays, avec notamment les vagues migratoires italiennes successives vers les États-Unis depuis la fin du XIXe siècle. Plus de 16 millions d'Américains sont originaires de la Botte d'après l'US Census Bureau, organisme officiel de recensement. Ils sont ainsi plusieurs propriétaires américains à avoir des origines italiennes à l'image de Stephen Pagliuca (Atalanta), Rocco Commisso (Fiorentina) ou encore Joe Tacopina (Spal). Lui-même d'origine italienne, Matt Rizzetta confirme que ces liens ont pu jouer jouer un rôle sur l'attractivité du Calcio : "Le football italien a toujours été une passion pour moi et a été un élément important de mon enfance avec mes grands-parents, tous deux immigrés italiens. Lorsque j'ai créé mon entreprise, l'un des objectifs que je souhaitais atteindre était d'investir dans un club de football italien." Les travaux du football italien Le sacre de la Nazionale lors du dernier Euro ne doit pas masquer les multiples maux dont souffre le football italien depuis plusieurs années : stades vétustes, audiences en baisse de 20 à 30%, clubs criblés de dettes ou contraints de disparaître définitivement comme le Chievo Vérone, etc. Et la pandémie du Covid-19 n'a fait qu'accentuer le problème avec des pertes estimée 700 millions d'euros selon La Repubblica entre la baisse des droits télé, les sponsors perdus et l'absence de public dans les stades. "Dans un tourbillon de perte de compétitivité, la Serie A traverse la phase la plus difficile de son histoire récente. Dans un tourbillon de perte de compétitivité, et alors que le niveau de la concurrence monte en Europe, le Calcio traverse la phase la plus difficile de son histoire récente", affirme Marco Bellinazzo, journaliste du quotidien économique Il Sore 24 Ore. Une attractivité intacte, un potentiel économique Mais alors pourquoi autant d'investisseurs américains partent-ils à l'assaut du Calcio s'il est en crise financière ? "L'Italie est une destination attrayante et le football ouvre la porte à d'autres opportunités d'affaires, étaye Matt Rizzetta. C'est un canal de réseautage incroyable et une source d'opportunités d'investissement dans d'autres domaines liés à la culture italienne à travers le monde. Nous avons investi dans plusieurs autres activités dans les médias, le divertissement et le tourisme, chacune de ces transactions est reliée à notre activité dans le football." Tourisme, mode, luxe, gastronomie, art, etc. : l'Italie a de quoi attirer l'entertainment américain. Reste que le championnat italien n'est pas la MLS, et que les tifosi restent attachés à leur culture. "Si cela est fait correctement, les propriétaires américains peuvent apporter une nouvelle perspective et un nouveau style de gestion au football italien, veut croire Matt Rizzetta. Le risque est qu'ils le fassent au détriment des traditions et coutumes locales qui rendent ces clubs si uniques et particuliers. C'est là qu'ils doivent apprendre des propriétaires italiens. Les plus intelligents sont ceux qui apportent une approche fraîche et disciplinée, mais qui le font en honorant l'histoire de ces clubs qui font partie du patrimoine italien depuis des générations." Néanmoins, l'arrivée massive des Américains en Italie pourrait bien entraîner un effet domino positif. Réputés pour leur gestion rigoureuse et leur capacité à générer des revenus sur le marché international, les investisseurs américains sont habitués au sport business. "Les nouvelles propriétés nord-américaines peuvent favoriser la refondation de l'industrie italienne du football, introduisant des ressources et des énergies que la Péninsule n'est plus en mesure d'exprimer, même dans les ligues mineures", poursuit Marco Bellinazzo. Pour Bellinazzo, l'espoir reste de rigueur, notamment en ce qui concerne la construction de nouveaux stades dans un Championnat où seuls la Juve, l'Atalanta, l'Udinese et Sassuolo sont propriétaires de leur enceinte : "Le modèle économique américain laisse présager des marges de croissance élevées, notamment pour les stades. Dans les prochaines années, une quinzaine de stades pourraient être construits ou rénovés, avec des investissements immobiliers aux alentours, pour plus de 5 milliards d'euros, surtout si l'Italie doit accueillir l'Euro 2032. Et la concurrence des grands acteurs mondiaux du streaming entraînera une augmentation significative des revenus de la télévision au cours des prochaines années." Des outils nécessaires pour le rayonnement de la Serie A à travers le monde. Source, l'Equipe "Pourquoi les Américains investissent autant en Serie A ?" par Valentin Feuillette.
  3. BELGA - S’il arrive de marquer un but contre son camp en football, il est beaucoup plus rare d’en inscrire trois au cours d’un même match. L’internationale néo-zélandaise Meikayla Moore a connu cette mésaventure dimanche face aux Etats-Unis, lors de la SheBelieves Cup féminine jouée à Los Angeles. Les Américaines ont gagné le match 5-0. La défenseure de Liverpool a mal débuté son 50e match international. Dès la 5e minute, elle déviait du pied droit dans ses filets un centre venu de la gauche de Sophia Smith. Une minute plus tard, c’est de la tête que Moore prolongeait un service de Sofia Huerta dans son propre but. On ne jouait que depuis 36 minutes lorsque le ballon était cette fois dévié du pied gauche à la suite d’un centre venu de la gauche de Margaret Purce, offrant le 3-0 à l’équipe américaine. Trois buts: un du pied droit, un de la tête et un du pied gauche, le tout au cours de la même mi-temps et sans aucun autre but marqué par ailleurs. C’est la définition parfaite du véritable "hat trick", le coup du chapeau. Sauf que dans le cas présent il a été réalisé dans le mauvais but. La coach néo-zélandaise Jitka Klimkova a alors décidé de mettre fin au calvaire de la malheureuse Meikayla Moore et l’a remplacée à la 40e minute par Rebekah Stott. "Elle a vécu une journée difficile. Elle est triste et déçue, mais c’est une personne incroyable et une joueuse qui a toute sa place dans cette équipe. Nous sommes toutes derrière elle dans ce moment difficile", a déclaré Klimkova après la rencontre. ®Belga
  4. Direction la Floride pour les Champions d'Italie! En effet, les premiers matchs amicaux sont connus : L’Inter va s’envoler aux Etats-Unis pour y disputer la Florida Cup qui se tiendra du dimanche 25 au mercredi 28 juillet 2021. Le prestigieux tournoi mettra aux prises pour cette cuvée 2021, l’Inter, Arsenal, Everton et Millonarios. Le lieu de l’évènement sera le Camping World Stadium d’Orlando où se tiendra d’ailleurs la rencontre inaugurale entre l’Inter et Arsenal. Elle sera suivi de la confrontation entre Everton et le club colombien Millonarios. Les deux vainqueurs se disputeront la Coupe le mercredi 28 juillet. Cette "Finale" sera précédée d’une rencontre opposant les deux équipes battues au premier match Un motif pour faire la fête selon Giuseppe Marotta Le Camping World Stadium d’Orlando a accueilli Wrestlemania 33! "Nous ne pouvons être qu’honorés de pouvoir ajouter cette série de rencontres de la Florida Cup à notre programme d’entrainement, cela nous permettra de continuer à poursuivre les célébrations liées au Scudetto aux Etats-Unis." "Le Club entier est enthousiaste pour cet imminent voyage à Orlando, pour y disputer des rencontres difficiles et pour saisir l’opportunité de faire la fête avec nos très nombreux supporters américains." ®Antony Gilles – Internazionale.fr
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