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  1. Nicolò Barella s’est livré à Sport Mediaset dans le cadre de l’Inter Media Day qui se tient à l’occasions de l’imminente Finale de la Ligue des Champions : "Être arrivé en finale est un rêve qui se réalise, à présent, nous devons chercher à porter ce rêve à un niveau supérieur et chercher à remporter la Coupe. Cela veut dire beaucoup pour moi : Ce club m’a accueilli d’une grande façon, que ce soit tous mes équipiers, toutes les personnes depuis que je suis arrivé ici. Nous avons réalisé énormément de travail pour arriver à ce niveau, à présent, il faut en profiter." La défaite en finale contre Séville ? "Comme on dit, les défaites t’apprennent bien plus que les victoires, même si ça fait mal. C’est à partir de là que nous avons commencer à remporter des titres : Un Championnat et les coupes. Nous sommes parvenus à créer quelque chose en replaçant l’Inter là où elle le mérite, l’emporter serait la cerise sur le gâteau." La Victoire de l’Euro face à l’Angleterre ? "C’est un certain que c’est un souvenir que je garde en moi, c’était une belle victoire composée de sacrifice et d’une soif de victoire : Chaque rencontre a aussi sa propre victoire, ce ne sera pas Italie-Angleterre, mais ce sera Inter-Manchester City et nous chercherons à écrire une nouvelle page d’Histoire." Sa réponse à Sky Sport Que vous faudra-t ’il pour franchir cet ultime obstacle ? "Ce sont des rencontres difficiles, des rencontres que nous avons tous rêvés de disputer, ce n’est pas donné à tous de les jouer : Je ne pense pas que City soit aussi serein car sur une rencontre sec, tout peut arriver." ®Antony Gilles - Internazionale.fr
  2. Giuseppe Marotta s’est livré à la Gazzetta Dello Sport sur le retour au premier plan de l’Inter dans l’Europe qui compte Euro Derby "Dieu béni, nous sommes heureux d'être arrivés jusqu'ici et nous voulons continuer, nous ne sommes pas rassasiés. Ce serait fascinant, excitant, suggestif : Tout le monde en parlerait, ce serait une exposition mondiale, et c'est tout ce dont Milan parlerait. Mais ce serait encore mieux si ce derby se jouait à Istanbul.... Pour la finale ! Ce serait historique. Voilà, j'aimerais dire à Milan : On se voit en Finale." "Le plus important maintenant, c'est d'avoir ramené non seulement l'Inter mais aussi le football italien là où il mérite d'être. Après avoir chuté au classement, il nous manquait ce retour en beauté. Après avoir remporté l’Euro, la montée en puissance de nos clubs est une excellente nouvelle." "C’est dommage pour la Coupe du Monde, mais cette présence compacte en Ligue des Champions est une embellie pour notre système. Que l'urne nous présente l'Ac Milan ou une autre des 7 formations comme adversaire, le plus important est d'arriver aux matchs avec un état de forme optimal, sans blessures." "Car en deux matches, tout se joue, et plus encore que le blason de l'adversaire, c'est l'état dans lequel on se trouvera à ce moment-là qui sera fondamental. L'Inter dispose d'un effectif qui lui permet d'envisager l'avenir avec optimisme quel que soit son prochain adversaire" Et sur les Tifosi à Inter Connection "Nous allons protéger nos Tifosi, Porto a rompu les accords et il s'agit d'un fait malheureux et déplorable que nous avons condamné. Aujourd'hui, nous avons envoyé une demande d'acte d'enquête à l’UEFA : Nous avons tenu une réunion le matin et, bien qu'il y ait eu un problème d'ordre public, l'accord était de faire rentrer les supporters plus lentement: Nous avions été autorisé à le faire ici et Porto était le seul décisionnaire et cette décision n'a pas été respectée lorsque les supporters se sont présentés au stade." Le communiqué de l’UEFA ? "D'un point de vue réglementaire, l'Inter devait se voir réserver un secteur de 5% du stade : Ce qui a été fait et les billets ont été achetés par nos Tifosi. Au nom de la vérité, ils avaient signalé sur leur site web que les supporters italiens n'auraient pas dû acheter d'autres billets dans d'autres secteurs, mais les autres supporters vivant en Europe les ont achetés et personne ne leur a dit de ne pas les acheter." "Dès lors, une fois qu'ils les ont achetés, Porto a dû les prendre en charge, peut-être même avec le soutien de l'Inter, qui a mis à disposition une quinzaine de stewards, ils étaient là pour assurer la sécurité car il s'agissait aussi de familles, de mères et d'enfants : on est loin des scènes de Naples ou du danger pour l'ordre public." Mais Il ne se passe jamais rien à San Siro ? "Nous pensons que le sport est un moyen d'agrégation qui va au-delà de la foi : L'important est que tout le monde soit assuré de pouvoir rentrer avec toutes les précautions. Nous concernant, nous avions demandé aux supporters de se présenter sans banderoles, sans maillots portés qui puissent être identifiés." "Et il s'est avéré que Porto est allé à l'encontre de ce qui avait été décidé lors de la réunion tenue le matin même entre les clubs, la police et les représentants de l'UEFA." Allez-vous intenter une action collective contre Porto ? "Nous avons les éléments pour le faire, en tant que Club nous ferons tout notre possible pour protéger nos supporters dans les différentes espaces compétents. Nous évaluerons les initiatives à prendre pour atténuer cette déception, et en particulier pour les enfants : Nous essayons de déterminer comment nous pourrons parvenir à apporter une contribution afin de leur offrir cette émotion qu’ils n’ont pas pu ressentir ce soir-là." La qualification ? "Le principal mérite revient aux joueurs sur le terrain et à l'entraîneur. Le travail effectué a donné ces résultats : le club doit les soutenir du mieux qu'il peut et nous le garantissons : Notre présence sur le terrain est quotidienne. Nous voulons mettre les joueurs en situation de donner le meilleur d'eux-mêmes sans avoir d'alibis, car c’est une mauvaise chose dans le football." "Ici ils ont tout donné et ont atteint un objectif très important qui nous ramène à un stade qui reflète l'Histoire de ce club et de ses palmarès." Affronter la Juve sans polémique ? "La controverse est une aguicheuse, mais il faut savoir la laisser passer" L’Inter était, est et restera toujours un Club Familial qui se soucis de tous ! ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  3. En effet, avec l’élimination de l’Italie de la prochaine Coupe du Monde, la Gazzetta Dello Sport place sur le banc des accusés ceux qui sont censés être les piliers de la Nazionale de Roberto Mancini… Révélation de la Rosea "Cela semble être une folie de mettre en discussion Barella qui, en condition physique, est capable d’occuper deux postes en même temps, celui de buteur et celui d'incurseur. Toutefois, l’Histoire du Barella "cramé" commence à inquiéter : Depuis l’Euro, il a été le moins explosif après un très grand départ avec l’Inter et cette année, on est reparti pour la même histoire, un peu comme si maintenir un rythme à la Barella pendant tout une saison lui était difficile…" "Il sera très probablement Interiste à vie, mais les 70 millions d’euros repris par Transfermarkt semble exagérés à l’heure actuelle." Vous validez ? ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  4. Quelques mois après la Victoire de l’Euro, la Squadra de Roberto Mancini est plongée dans la crise: Pour la seconde fois consécutivement, la Quadruple Championne du Monde sera absente du Mondial Révélation de La Gazzetta Dello Sport "Le Sélectionneur National a son destin entre ses mains, dans le sens qu’il semble difficile que la FIGC ne soit pas en adéquation avec sa décision, quelle qu'elle soit : Si Mancini voit qu’il est en condition pour poursuivre l’aventure entamée et qu’il décide de rester, le contrat renouvelé il y a presque un an et qui expirera 2026, lui permettra de travailler sur les bases d’un nouveau cycle. Ce n’est d’ailleurs pas un hasard si cette date corresponds à la prochaine Coupe du Monde." "Si en revanche, le Sélectionneur considère être arrivé à la fin de son Mandat, en demandant à être déchargé, Gabriele Gravina, bien malgré lui, partira à la recherche de son successeur et la FIGC aura trois voies devant elle, pour définir le futur." Un Sélectionneur "Fait Maison" La piste la plus accrédité porte à Fabio Cannavaro avec, en Directeur Technique, Marcelo Lippi comme à l’ancienne. Si Cannavaro n’est pas un Sélectionneur Fédéral, peu comme lui peuvent s’identifier à l’Azzuro (136 sélections réparti en 13 années) et se sentir prêt à débuter une carrière différente, après une expérience mature en Chine. Le Père de la Patrie Soit un entraîneur expérimenté, qui commencera à travailler, comme avait dû le faire Mancini sur les cendres d’une faillite. La suggestion porte à Carlo Ancelotti, pour autant qu’il soit enclin à mettre un terme à sa relation avec le Real Madrid : Le banc de la Nazionale est d’ailleurs la seule expérience absente de son Curriculum Vitae." Un entraîneur "qui aime le jeu" Comme Mancini, soit un "éducateu"r qui propose le même type de football, pour donner de la continuité au projet débuté il y a quatre ans. Un projet qui, hier a subi un sacré revers. Mais le projet de Roberto Mancini n’a pas à être désavoué, malgré ce résultat . Ce projet doit rester un patrimoine de la Nazionale, et il n’est pas nécessaire de tout reprendre à zéro. Selon vous, Simone Inzaghi pourrait-il cocher cette dernière case ? ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  5. L’Inter d’Antonio Conte aura marqué la saison 2020/2021 de son empreinte. Antonio Conte et Romelu Lukaku, grands absent de l’Inter cette saison ont remporté respectivement les titres de joueur et d’entraîeur de l’année. L’Inter a été élue équipe de l’année! De nombreux joueurs ont également intégré le Top 11 de l’année Voici le Tableau des Lauréats Giuseppe Marotta "Nous sommes très orgueilleux d’avoir remporté ce prix qui a clairement sceller la saison qui nous a permis de remporter le Scudetto et qui nous a replacé surtout dans ce scénario qu’est la Tradition et l’Histoire de ce glorieux club." "C’est le fruit du travail de tous, de l’équipe qui est aller sur le terrain, de l’équipe invisible qui était travaillé en coulisse durant toutes la saison, ce sont tous ces hommes et toutes les ces femmes qui nous ont soutenu durant toute nos activités, mais c’est aussi et surtout le fruit des investissements de la prévoyance et de la vision de nos propriétaires, qui ont toujours été proches de nous et qui nous ont apporté leur soutien." Nicolò Barella "C’est un très grand plaisir d’avoir remporté ce titre pour la troisième fois. Je remercie mes équipiers sans qui je n’aurais pas pu recevoir ce titre. L’année dernière, j’ai également remporté l’Euro et ce prix est un plus qui me fait très plaisir. Mon objectif est d’aller au Mondial et nous ferons tout pour jouer jusqu’au bout pour le Scudetto, cette année le championnat est plus dur, les équipe sont plus proche, mais nous sommes l’Inter et nous devrons nous battre jusqu’à la dernière journée." Alessandro Bastoni "Ce prix est le point culminant d’une saison où j’ai remporté le Scudetto et l’Euro avec la Nazionale, je suis heureux de faire mon entrée dans le Top 11 et j’espère qu’il s’agira du premier titre d’une longue série. C’est toujours très beau d’être reconnu par ses pairs, j’espère que ce ne sera pas l’unique." Romelu Lukaku "Je suis vraiment content d’avoir été intégré dans le Top 11 de la Serie A, je veux remercier tous ceux qui ont voté pour moi, mais je dois aussi remercier l’équipe qui m’a tant aidé, l’entraîneur, son Staff, le Club. L’année dernière c’était un grand succès d’équipe et je suis vraiment content d’avoir été élu dans le Top 11 : Jouer en Serie A était un rêve que j’avais depuis tout petit et j’ai tout fait pour gagner et je suis très heureux d’y être parvenu." "C'est un honneur mais sans l'équipe, je n'aurais pas pu faire ça, l'équipe m'a vraiment aidé à réaliser de grandes choses. Nous avons gagné ensemble, tous les joueurs ont beaucoup progressé et l'entraîneur nous a toujours soutenus. Le club a toujours soutenu les joueurs, mais il y a aussi les Tifosi et je dois les remercier tous. Être devant Cristiano Ronaldo est quelque chose que l'on n'entend pas souvent, mais il est dans le top 3 de l'histoire du football. Je suis honoré par ce prix et cela me donne confiance pour l'avenir." Stefan de Vrij "C’est une reconnaissance très importante, surtout du point de vue de l'équipe. Nous avons réussi à remporter un championnat et nous en avions besoin, C’est très important pour l'ensemble de l'Inter, c'est donc une belle reconnaissance. Cela me donne beaucoup de satisfaction, surtout d'avoir été élu par mes pairs que je rencontre et avec qui je joue. Je suis très heureux." Achraf Hakimi "Je suis très heureux d'avoir remporté ce prix et surtout le championnat italien. Je suis fier de ce prix et des personnes qui ont voté pour moi. Avec Conte, j'ai beaucoup appris, surtout en défense. Sur le plan offensif, je savais déjà que je pouvais bien faire." Antonio Conte "Je suis très honoré d'avoir reçu le prix AIC du meilleur entraîneur de la saison 2020/2021. Je remercie tout particulièrement les joueurs, les entraîneurs et les arbitres qui ont voté pour moi. Ce prix représente le couronnement d'une année importante et riche en émotions qui nous a conduits à remporter le Scudetto avec l'Inter. Je veux partager cette récompense avec les joueurs, le personnel et toutes les personnes qui nous ont soutenus pour atteindre cet objectif prestigieux". ®Antony Gilles - Internazionale.fr
  6. Christian Eriksen a signé un contrat de six mois pour Brentford, faisant un retour remarquable en Premier League sept mois seulement après avoir subi un arrêt cardiaque. Eriksen a quitté l'Inter Milan en Décembre par consentement mutuel après avoir été suspendu par l'autorité médicale italienne en raison d'une règle interdisant l'utilisation d'un défibrillateur automatique implantable (ICD) qu'il a fait installer. Le joueur de 29 ans a fait installer le ICD après avoir subi un arrêt cardiaque lors du match contre la Finlande à l'Euro 2020 à Copenhague. Il a passé tous les contrôles médicaux nécessaires et est apte à reprendre le football. Dans une interview avec Brentford, lorsqu'on lui a demandé quand il avait commencé à croire qu'il pouvait rejouer au football, Eriksen a déclaré: "Deux jours plus tard. J'étais dans l'instant, et j'ai réalisé ce qui m'était arrivé plus tard dans la nuit, puis dans le jours suivants ce qui se passait réellement. Tous les tests commencent et les résultats ont commencé à arriver. Des questions ont été posées pour savoir si je pouvais faire ceci ou cela, j'ai écouté les médecins, puis cela a lentement repris.'' "Si je pouvais faire le programme avec les tests que le médecin m'a imposé, alors je pourrais lentement me remettre à jouer au football un jour. Tout d'abord, il y avait beaucoup de tests pour voir comment le cœur réagissait à nouveau à l'entraînement physique. Heureusement, rien n'en est sorti, donc tout allait bien. Chaque mois, je pouvais vraiment le pousser et ensuite je pouvais jouer. Même avec un ICD, il n'y a pas de limites. Même avec cette condition, il n'y a pas de limites.'' "Vous pouvez courir un marathon, nager en plongée profonde ou autre, cela dépend simplement du diagnostic et de ce que vous en pensez. J'ai dit à Sabrina (sa femme, ndlr) que je laisserais mes crampons mais aussi de ne pas être surprise si dans quelques jours, je changeais d'avis si tout allait bien. Heureusement, ça s'est bien passé.'' Eriksen a déclaré que son cœur n'était "pas un obstacle" pour reprendre le foot. En Angleterre, les athlètes ont l'autonomie de décider eux-mêmes de continuer ou non en fonction des risques. Il n'est pas intierdit au Royaume-Uni pour Eriksen de jouer avec un ICD et il deviendra le premier à jouer avec un en Premier League. Eriksen insiste sur le fait que son départ Brentford lui donne l'opportunité de revenir à quelque chose de plus proche d'un mode de vie "normal", et le Danois veut éventuellement être à nouveau considéré comme un footballeur découplé de l'incident de Juin 2021. "C'était difficile. Les trois premiers mois, je n'ai rien fait mais ensuite les trois ou quatre derniers mois, j'ai suivi le programme de rééducation. C'était difficile de voir des matchs au début parce que vous pensez toujours que vous voulez être là. J'ai même commencé à ne plus suivre les matchs parce que vous vous concentrez sur autre chose ou sur la famille. Mais ces derniers mois, ça revient. J'ai pu toucher le ballon, j'ai senti l'odeur de l'herbe, les chaussures de foot se sont enfilées toutes seules et tout commence à revenir en toi, l'excitation du stade, les fans, l'équipe et le match.'' "Le défi consistait davantage à surmonter ce qui s'était réellement passé. Vous voulez revenir à la normale, mais pour moi, la normale était de rejouer en Italie mais je n'avais pas le droit de le faire. Donc pour moi, le normal devait changer. Nous avons la chance de reprendre une vie normale à Brentford. C'est mon objectif (d'être à nouveau vu comme Eriksen le footballeur d'élite, ndlr). J'ai reçu le feu vert des médecins, que je suis capable d'être le footballeur Christian. Bien sûr, je l'aurai toujours avec moi, et tout le monde aura le souvenir de ce qui s'est passé, mais c'est maintenant le moment de créer de nouveaux souvenirs et de regarder vers l'avenir." "Je suis ravi de montrer que vous pouvez, avec un ICD. Si vous avez eu un arrêt cardiaque, si vous faites les tests appropriés et que tout va bien, alors vous pouvez jouer à nouveau. J'en suis heureux." Traduction alex_j via skysports.com.
  7. En effet, le comportement à antisportif de Leonardo Bonucci ne peut plus se permettre de rester impuni, il s’est produit devant les délégués, le quatrième arbitre et aux yeux de tous! "A présent Basta. Leonardo Bonucci est un personnage qui non seulement représente le visage de l’insupportable arrogance, mais il est aussi un antisportif, mauvais perdant tout en étant aussi capable de se féliciter d’une victoire, comme il l’a démontré à l’occasion de l’Euro, lorsque sa seule préoccupation était de se moquer des anglais, nous avions fermé les yeux car nous étions du côté des vainqueurs." "Nous le sommes aussi aujourd’hui, mais lui non, lui a perdu le match, il a perdu la possibilité de monter sur le terrain, mais il a aussi perdu la tête en allant brutaliser le secrétaire de l’Inter. Du haut de sa faim, du haut de son rôle présumé de leader, il aurait dû se mettre en avant d’une toute autre façon : Mais Bonucci est comme cela, il est celui qui exulte lorsque doit dire au monde de se rincer la bouche…pour ensuite aller porter ses mains sur le Secrétaire de l’Inter, en présence de 35 caméras qui l’on tous diffusé." "Une impunité, un joueur qui va au face à face avec les arbitres, un joueur qui du banc ne cesse de râler en réclamant des cartons ridicules pour d’évidentes simulations, une personnalité qui s’est auto-proclamé comme un leader. Mais à présent, Basta : Il y a des images télévisées qui peuvent être reprises et on ne peut pas accepter ce qu’il s’est passé hier soir. L'aspect compétitif du but de Sanchez à la 120e minute n'est absolument une excuse pour ce comportement irrévérencieux : On ne peut pas laisser Bonucci s'en tirer pour la énième fois. Il y avait des délégués, il y avait le quatrième homme. Tout le monde l'a vu, on ne peut pas tout balayer d'un revers de main." "C’en est assez de ce faux Pai Mei, qui n'a rien à apprendre à personne. Sauf à leur apprendre comment ne pas se comporter dans le monde du sport. C’est une brute qui doit être sévèrement punie. Parce que les règles doivent s'appliquer à tous. Luciano Spalletti avait été disqualifié pour une célébration devant la caméra. Voyons à présent, ce que vont impliquer ces deux gifles devant la caméra. Attendons le rapport et la sanction." Giovanni Capuano enfonce le clou : "Le comportement de Bonucci au moment du but de Sanchez, dans une période d’une tension d’une fin de match, est difficile à accepter: Il y avait le quatrième arbitre et des délégués dans cette zone : Le discours répété à mainte reprise vaut également : Cela ne peut pas se terminer comme ça, , sans que personne ne fasse écho de ce qu’il s’est produit." Bonucci n’en est d'ailleurs pas à son premier coup d’essai avec l’Inter : Souvenez-vous, il avait également provoqué à de nombreuses reprises Antonio Conte au Stadium turinois en Coupe d’Italie. Selon-vous, mérite-t ’il d’être sévèrement sanctionné ou pensez-vous que la Fédération fermera les yeux ? ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  8. Protagoniste du Matchday Programme d’Inter-Juventus, Nicolò Barella, préface la rencontre face aux Bianconeri : "2021 était une très belle année, unique suite aux victoires du Scudetto et de l’Euro. L’année s’est terminée avec la prolongation de mon contrat avec ces couleurs. Cela me rend très fier et c’est une marque d’une très confiance en moi. J’espère, pour l’avenir, pouvoir ajouter quelques trophées dans mon armoire, mais je dois me concentrer sur le présent." La Super Coupe d’Italie "Nous devons disputer la Super Coupe et il y a encore tellement de matchs de championnat et les huitièmes de finale de la Ligue des Champions. C’est une rencontre pour laquelle j’ai une très grande soif de victoire, c’est le cas pour mes équipiers et, je le pense, aussi le cas pour l’équipe adverse : C’est une finale et nous devrons chercher à ramener la Coupe à la maison pour débuter l’année avec un boost de confiance supplémentaire qui pourra nous aider sur tous les autres front." La Juventus "C’est l’équipe qui, ces dernières années, a dominé le championnat italien et qui reste une formation composé de grands joueurs : C’est toujours difficile de jouer face à eux, mais à présent, "I campioni d'Italia siamo noi" nous tenons à cette coupe et nous ferons tout pour la gagner : Nous chercherons à rendre fier, peu importe la manière, nos tifosi." L’Inter "Arriver à l’Inter, m’entraîner avec de grands champions et des entraîneurs très fort, Mancini en équipe nationale inclus, m’a permis d’énormément m’améliorer et m’a beaucoup responsabilisé. Je suis arrivé dans cette grande équipe avec un projet important pour lequel je me sentais prêt, plus le temps s’écoulait, plus je ressentais la confiance du Club qui me désirait avec conviction : Le projet était de Gagner et je suis heureux que nous y soyons parvenus." ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  9. Simone Inzaghi s’est livré en conférence de presse, à Dazn et à Inter TV suite à la très importante victoire de l’Inter, à domicile, face à la Lazio de Maurizio Sarri Son interview à Inter TV "Je pense toujours que les phases défensives partent des attaquants. Nous avons remporté une partie importante, même si je suis déçu pour le but encaissé. Nous tenions à cette victoire, après avoir passé tant de jours sans avoir joué: Nous voulions commencer l'année avec une victoire. Ce n'était pas facile car la Lazio a de la qualité et ils ont proposé une bonne configuration sur le terrain : Nous avons mérité la victoire, face à une telle Lazio, ce n’était vraiment pas simple, je suis très très content de mes garçons." La Super Coupe ? "Nous avons deux jours et demi pour nous y préparer au mieux, et c’est notre objectif. La Supercoupe d'Italie nous attend mercredi. C'est une finale que nous voulons disputer de la meilleure des façons possible." En conférence de presse "C’était une partie importante, très compliquée, j’ai félicité les garçons car ce n’était pas simple face à une équipe costaude et qui était bien installé sur le terrain : Nous avons réalisé une excellente rencontre, c’était une victoire méritée." Bastoni ? "Je pense que c’est de l’Adn de champion, le premier mois, j’ai dû aussi lui trouver un remplaçant car il revenait de l’Euro. Aujourd’hui, il a marqué et réalisé une passe décisive, mais cela fait plus de deux ans et demi que je le vois de l’extérieur et, en match, il ne se trompe que très rarement." La Super Coupe ? "Je ne sais pas qui est le favori, c’est le premier trophée de la saison et nous affronterons une grande équipe, capable de tout, comme elle l’a prouvée aujourd’hui face à la Roma. Ce sera un match ouvert, le dernier où nous pourrons divertir nos tifosi et nous voulons leur offrir une victoire dans une rencontre importante." Buts défensifs "Cela veut dire que la participation est totale, le hors-jeu de Lautaro était dû à la pointe de son pied. Dans des rencontre de ce type, où nos attaquant ne sont pas en réussite pour marquer, c’est une ressource importante." Le retour du Diavolo "Il faudra revoir la même Inter que lors de la phase aller. Nous savons que le Milan, le Napoli et la Juve n’abdiqueront pas." Allez-vous demander un attaquant de poids comme alternative ? "Non, je suis très heureux de ceux que j’ai, j’ai des joueurs qui se complètent et parfois, je me dois de choisir quels sont les deux meilleurs pour le match." Son Interview à DAZN "C’est normal que nous voulions reprendre avec i,e victoire, ce n’était pas simple car nous faisons face à une équipe très bien en place sur le terrain et qui, physiquement, était toujours présente sur le terrain, c’était une victoire mérité, une reprise optimale. A présent, nous avons une finale à disputer de la meilleure des façon possible dans notre stade, nous devons nous y préparer de la meilleure des façons." "J’ai la chance d’entraîner des joueurs importants qui jouent bien, je suis très content d’eux et nous devons continuer de cette façon car le championnat ne s’arrête pas. Aujourd’hui, tous nos antagonistes ont gagné, nous ne pouvions pas être stoppé. Nous étions de retour face à une équipe qui aurai pu avoir plus le ballon, vu comment elle sait jouer. Mais mes garçons ont été bons et je les ai félicités." Qu’est-ce qui vous rends le plus fier ? "La participation de tous, voir Vidal et Gagliardini jouer de la sorte, alors qu’ils ne sont pas toujours titulaires dès l’entame du match, me remplit de fierté : Gagliardini a réalisé une très grande prestation ce soir." Lautaro ? "La suspension lui pendait au nez, mais il a réalisé un très grand match, tout comme Sanchez. Il fallait reprendre la compétition de la meilleure des façons possible et les garçons ont été très doué dans une rencontre qui était loin d’être simple." Que répondez-vous aux entraîneurs qui disent que, seul vous, pouvez perdre le Championnat ? "Qu’en date du 22 octobre, nous étions à 7 points du duo de tête et que je l’entendais beaucoup moins. A présent, le fait de le redire est le mérite des garçons. Après Lazio-Inter, je n’entendais plus personne dire que nous pouvions le perdre nous-même…." Sanchez ? "Lorsque je suis arrivé à l’Inter, je ne l’ai pas eu à disposition durant un mois et demi. Depuis son retour de blessure, il a cherché à me convaincre à chaque entrainement, il a toujours donné son maximum et c’est une personne positive : Il est d’une très grande ressource pour nous. Les joueurs savent que je dois toujours faire des choix, ils voudraient toujours être aligné, je le sais bien car j’étais un attaquant, mais lui, il est d’une si grande ressource." La Lazio ? "Vous savez tous ce qu’elle représente pour moi, c’était ma vie, j’y ai grandi, ce ne sera jamais une rencontre comme les autres, mais avec ce que l’Inter m’apporte, je tenais énormément à l’emporter ce soir. ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  10. Matteo Darmian s’est livré au cours d’une longue interview à la Stampa sur sa saison actuelle, et sa "rivalité" avec Denzel Dumfries Darmian, vous sera-t ’il compliqué de reconquérir le poste de titulaire ? "Dans une équipe comme l’Inter, c’est normal qu’il y ait de la compétition à chaque poste, et ce depuis le début de la saison, le leitmotiv des joueurs est toujours de mettre en difficulté l’entraîneur." Avez-vous conscience, sur le terrain, du spectacle que vous proposez ? "Nous aussi, lors des matchs, nous remarquons ce qu’il se passe autour de nous, et nous nous amusons bien ensemble, nous sommes un groupe qui est parvenu a créer quelque chose d’importants sur de nombreux aspects : La mentalité, l’envie de gagner, la capacité de souffrir lors des périodes plus délicates." Depuis votre arrivée à l’Inter, et à partir d’octobre 2020, il y a toujours eu un duel avec le Milan pour le Scudetto, l’équipe où vous avez débuté en tant que professionnel "Je dois énormément au Milan qui m’a fait grandir : J’y suis rentré enfant et j’en suis reparti comme un Homme : A 19 ans, je ressentais le besoin de jouer et nous nous sommes séparés d’un commun accord. A présent, je suis heureux d’être à l’Inter et j’aurai pu la rejoindre aussi avant. L’année dernière c’était si beau de remporter le Scudettto et nous voulons le confirmer ici." On vous reconnaissait déjà un profil de joueur sérieux qui abattait énormément de travail pour rester au très haut niveau…… "Si l’on n’a pas un talent au-dessus du lot, il faut avoir de l’ambition et de la détermination, je dois remercier les garçons qui étaient en équipe première et qui m’ont soutenu à Milanello : Il y avait des champions tel que Paolo Maldini, Genarro Gattuso et Alessandro Costacurta qui m’ont inculqué l’envie de travailler, c’était une grande école." Est-ce que le fait de jouer à deux pas de votre domicile est bénéfique ? (Ndr : Rescaldina se trouve à peine à 25 kilomètre de Milan) "C’est évident : Je ressens aussi cette proximité avec mes proches, j’ai gardé de nombreux contacts dans mon village. C’est là où j’ai commencé à jouer en étant entraîné par mon père Giovanni : Il y a mes amis de toujours, je pars souvent les retrouver." La dernière victoire de l’année 2021 était face au Torino, un club qui vous a laissé d’excellents souvenirs... "Le Torino réalise une très belle de saison avec Juric. Nous avons pu le constater au Giuseppe Meazza : C’est une équipe forte et difficile à affronter : J’aime beaucoup le fait que les tifosi granata n’ont pas oublié mes buts importants, comme à Bilbao et lors du Derby de 2015, nous y retrouvions le succès après une si longue attente. J’y ai vécu quatre années de croissance : La promotion en Serie A, le retour en Coupe d’Europe. Ces saisons m’ont permis de partir à Manchester United, ce qui m’a fait connaitre à l’international." En cette période dorée, ce qu’il vous manque reste un retour en équipe nationale… "Ce serait un honneur de retrouver l’Azzurro, je me souviens du Mondial 2014 comme d’une expérience inoubliable. A présent, il y a Roberto Mancini comme sélectionneur national et il fait des choix différents. Et ils ont tous pris la bonne décision. En repensant aux play-off face à la Suède en 2017, je me souviens avoir touché du bois et cela me reste encore en travers de la gorge. Cette fois-ci, l’Italie peut y parvenir, surtout vu sa cavalcade à l’Euro." Il se dit que lorsque vous étiez enfant, que vous aviez été primé par le bibliothécaire de Rescaldina ? "Il ne m’est plus possible d’y retourner hélas, mais je m’étais concentré sur les autobiographies des grands sportifs : J’étais très inspiré par "Open" d’André Agazzi." Vous êtes le prototype du brave gamin éduqué. Y-a-t ’il un aspect où vous ne l’êtes pas ? "Demandez à mon épouse Francesca, elle vous répondra que je suis rempli de défauts." ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  11. Christian Eriksen s’est exprimé, en personne et pour la première fois, depuis ce maudit 12 juin où il fut victime d’une crise cardiaque foudroyante lors de la rencontre valide pour l’Euro 2020, Danemark-Finlande. Remercié à contre-cœur par l’Inter, Chris s’est exprimé sur la chaîne danoise DR1: "C'était fantastique de voir tellement de personnes qui ont eu l’envie de m'envoyer des messages et des fleurs. Ce que j’ai vécu a impacté tellement de personnes et ils ont voulu me démontrer leur sympathie envers moi et ma a famille. Cela m'a rendu fier. Il y avait de plus en plus de fleurs qui arrivaient à l’Hôpital, c’était même étrange car je ne m'attendais pas à toute cette proximité, je suis mort durant cinq minutes. Et après cela, c’était extraordinaire et cela m’a beaucoup aidé de recevoir autant de soutien de la part de tout le monde, merci à tous." "On m’écrit encore, je tiens à remercier en personne les docteurs, les gens que j’ai rencontré, mes équipiers d’équipe et tous ceux qui m’ont fait preuve de soutien, que ce soit en Italie et au Danemark : Je tiens à remercier tout le monde car j’ai reçu du soutien des quatre coins du monde." "J’ai envie de disputer la Coupe du Monde au Qatar, c’est mon objectif de toujours, je ne sais pas si j’y parviendrais, mais c’est tracé sur mon horizon : Je veux revenir, je suis sur d’y parvenir car je ne me sens pas si différent que par le passé. Physiquement, je suis dans mon meilleur état de forme. Mon rêve est de revêtir à nouveau le maillot du Danemark et de jouer à nouveau au Parken (ndr : Il s’agit du stade où il a été foudroyé sur le terrain) et prouver que ce qu’l s’est passé ne se reproduira plus. Je veux montrer que je suis capable de le faire, mon cœur n’est pas un obstacle." Le saviez-vous ? Selon le Daily Mail, le futur d’Eriksen pourrait se diriger vers la Premier League où des clubs huppés, mais non dévoilé pour l’instant, ont fait part d’un sérieux intérêt Martin Schoots le révèle, l'Inter ne voulait pas se séparer de Christian: "Ce qu'il s'est passé n'a rien à avoir avec la situation personnelle de Christian. Il s'agit de réglementations existantes depuis des décennies et qui s'appliquent à tous. Quelques jours après l'Euro, je savais déjà que l'Italie allait être dans une impasse et que nous devions en parler à nos avocats sur place: L'Inter voulait continuer avec Christian!" ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  12. Alessandro Bastoni s’est livré sur son passé, son présent et son futur, sur et hors du terrain à la Repubblica. La Famille Quand as-tu compris que tu voulais devenir footballeur ? "A Parme en Serie A, la première fois où j’étais titulaire, je me suis dit : "Ale, si tout va bien, c’est fait". Nous avons gagné à Turin et j’ai finalement pu charrier mon père." Il a joué pour Cremonese...... "Quand j'étais enfant, il faisait son malin à chaque fois. Maintenant, c'est moi qui lui rappelle qu'il n'a pas joué la moitié d'un match en Serie A, mais il se croit toujours plus fort que moi. Nous en plaisantons parce que nous savons que nous en sommes arrivés ici ensemble." Sur vos protège-tibias, on retrouve l’image de vos frères…. "Oui et je les embrasse en avant-match, j’ai choisi le numéro 95 car c’est l’année de naissance de mon frère aîné. Le cadet m’a dit : "Et moi?" C’est comme ça que j’ai eu cette idée : Il n’y a pas de jalousie entre nous et j’en suis chanceux." Jouer vous encore au football ensemble ? "Le plus grand est arrivé jusqu’en Serie C et il a ensuite choisi les études, le plus jeune a une aversion pour le football : Il me demande de lui raconter quelque choses pour répondre aux demandes de ses amis." Après l’Euro, êtes-vous retourné là où tout a commencé ? "C’était beau car je me suis identifié aux enfants, j’étais un petit compétitif qui rêvait, comme eux, de devenir footballeur." Comment transforme-t-on le talent en succès ? "Chez les plus jeunes de l’Atalanta, j’ai rencontré des garçons bien plus talentueux que moi, je m’entrîinais avec les plus grands ce qui était difficile. Mon père m’a appris à ne jamais abandonner. Il m’a accompagné durant tant d’années de Cremona à Zingonia en aller-retour : 130 kilomètres sans jamais me le faire ressentir. Avec une autre famille, j’aurais eu un autre métier aujourd’hui." Etiez-vous un Tifoso enfant ? "Papa est de sang interiste et il m’a transmis sa foi, lorsque je commets une erreur en plein match, il m’en veut." Votre mère, lors de la fête du Scudetto vous a offert de la Pizza et vous a essuyé votre bouche avec une serviette… "Elle a toujours été proche de moi. J’aime être avec elle et aller manger un plat de Tortelli. Fais maison: comme ça le nutritionniste n’enrage pas!" Les modèles Vous avez les pieds et la vision d’un meneur de jeu : Qui vous a imaginé au poste de défenseur ? "J’ai toujours joué derrière, les qualités techniques sont apparues à l’Atalanta avec Mino Favini et Gianluca Polistina. Je passais des heures à m’améliorer." Quelle est votre idole footballistique ? "Sergio Ramos : J’admire tout de lui, comment il est sur le terrain, sa personnalité : Pour mon anniversaire, il m’a offert son maillot et j’ai aussi pu échanger avec lui." Que vous êtes-vous dit ? "Belle demande, on parlait espagnol et j’ai perçu la personne, plus que le joueur, il est comme Materazzi." Ramos et Materazzi : La fourberie s’apprend-t’elle ou est-elle innée ? "Cela peut se travailler, mais ce n’est pas simple, tout comme la légende qui dit que les bons joueurs sont techniquement bons sont mous caractériellement." Voudriez-vous être plus vicieux ? "Non, il y a eu une période où je prenais trop d’avertissements, je crois que je peux m'améliorer en tout grâce à d’exceptionnels équipiers." L'Inter d'Inzaghi Jusqu’où peut arriver cette Inter ? "C’est beau d'avoir le Scudetto sur le torse, nous prouverons à tous, et de toutes les façons possible, que nous le conserverons : Il y a aussi la Ligue des Champions." Comment avez-vous réagi lorsque vous êtes passé de l’Ajax à Liverpool, suite à une erreur de tirage...... "Je n’ai pas juré, si c’est votre question: J’ai aussi écrit la préface d’un livre pour un Curé. Blague à part, nous devrons réaliser deux grands matchs : Jouer à Anfield sera extraordinaire." Vous divertissez-vous sur le terrain ? "Oui, Inzaghi nous donne la liberté qui nous permet de nous souvenir que le football est un jeu : Même lorsque tu es mené." Face à Cagliari, vous êtes rentré dans la surface en dribblant une série d’adversaire…. "J’aime énormément sortir de ma zone, et lorsque je vois une possibilité, je tente de marquer. Cela ne s’est pas bien passé, j’espère que cela ira mieux la fois prochaine." Hors du terrain En dehors du terrain, vous semblez toujours être un bon pochtron, est-ce une réalité ou les réseaux sociaux exagère-t ’il la réalité ? "Hélas, les réseaux sociaux n’exagèrent rien, disons que j’aime beaucoup me divertir." Qui est le meilleur aux fléchettes ? "Brozo est le champion indiscuté." Gasperini, Conte, Inzaghi, Mancini. Partant des caractères : quels duos formeriez-vous ? "Je mettrais Gasperini avec Conte et Mancini avec Inzaghi : Les deux premiers sont toujours sur la brèche. Inzaghi et Mancini, en plus d’être fort engagés, attachent une importance au contact humain : Le résultat est que nous somme plus relaxé lors des moments cruciaux." Conte blindait la défense en abaissant le cendre de gravité de l’équipe : Inzaghi, en revanche, augmente le pressing...... "Aujourd’hui, nous avons moins la possibilité de partir en contre : Edin et Romelu sont différents et nous nous sommes adaptés." L’Italie Ressentez-vous la responsabilité de devoir reprendre l’héritage de Leonardo Bonucci et Giorgio Chiellini en défense ? "Oui, je ressens cette urgence, je suis impatient de me montrer protagoniste aussi en équipe nationale." La seule erreur de votre carrière fut lors d’Italie-Espagne à l’Euro, mais vous avez immédiatement démontré être capable de retrouver immédiatement votre niveau : D’où puisez-vous cette maturité ? "C’est caractériel, je suis serein : En plus du football, j’ai en tête d’autres pensées qui m’apaise : A partir de ma fille qui va naître en janvier." Comment allez-vous l’appeler ? "C’est ma compagne qui me le dira lorsqu’elle l’aura trouvé. Elle partage mes valeurs : Léducation, la reconnaissance, la générosité, elle étudie le design, elle aimerait trouver un bon job : Ses réalisations sont aussi importantes que les miennes." Si l’Italie ne devait pas se qualifier en mars, l’absence en Coupe du Monde passerait à 12 années : Cette pensée vous effraie-t ’elle ? "Non, même pas dans l’antichambre de nos cerveaux : Nous sommes Champions d’Europe en titre, nous devons y parvenir." Qui méritait le Ballon d’Or ? "Vu que je n’étais pas en course : Lewandowski ou Jorginho". Allez-vous encore tirer les penalty en équipe nationales ? "Certainement, tout comme Lautaro : Il n’y a que celui qui n’en a jamais tiré qui n’en a jamais raté." Ses anciens équipiers Échangez-vous avec Eriksen ? "Oui, c’est lui qui nous a rassuré et non l'inverse : Je lui souhaite de vivre la vie qu’il désire : En plus du fait d’être un champion, c’est une belle personne." Et avec Hakimi et Lukaku ? "Hakimi est mon compagnon de Playstation, et il est très mauvais. Quant à Romelu, je lui souhaite bonne chance pour sa nouvelle aventure." Le schéma de la rampe de lancement pour Barella, lors d’Inter-Juve (2-0), a-t-il été importé d’Angleterre par Conte ? "Non, nous l’avons toujours testé : J’ai gagné notre dernière partie d’entrainement avec celui-ci. Le problème est que les adversaires nous étudient : Nous devons imaginer de nouvelles choses." ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  13. A travers un communiqué officiel, l’Inter a confirmé la rupture du contrat, à l’amiable, avec l’international danois Christian Eriksen qui a été victime d’une crise cardiaque à l’Euro 2020 "Le Fc Internazionale Milano communique avoir trouver un accord à l’amiable pour la rupture du contrat de Christian Eriksen. Le Club et toute la Famille Nerazzurra embrasse le joueur et lui souhaite le meilleur pour l’’avenir. Si la route de l’Inter et de Christian se séparent, il restera pour toujours un lien fort et indissoluble : Les plus beaux moments, les buts et les victoires, sans oublier les célébrations relatives au Scudetto." "Tout cela restera gravé pour toujours dans l’histoire Nerazzurra" Une lettre adressée par l’Inter à Christian Eriksen est en cours de traduction, celle-ci sera publiée dans les prochaines heures ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  14. C’est une information en provenance de la Gazzetta Dello Sport : Depuis ce maudit 12 juin 2021 et son malaise lors de Danemark-Finlande lors de l'Euro 2020, Christian Eriksen n’a plus refoulé les terrains. A présent, le milieu de terrain danois s'apprête à dire au revoir à l’Inter: "Etant donné qu’il est escompté que les médecins italiens lui refuseront de revenir sur les terrains dans notre pays. Les deux parties travaillent sereinement pour rompre le contrat du joueur, déjà au mois de janvier. Il n’y a objectivement aucun ordre du jour quant à une opération pour ôter le défibrillateur et les Nerazzurri ont bien avancé dans les travaux relatif à un départ, sans polémique, dans un laps de temps très bref." "Le club fait usage de l’indemnité de la FIFA qui couvre le salaire du joueur durant un ans tout en disposant d’une assurance couvrant la valeur réelle du joueur au bilan, mais il est temps à présent de s’asseoir autour de la table: La stratégie de sortie est élaborée pour le mois de janvier. Quoiqu’il en soit, l’Inter d’Inzaghi était à l’origine construite pour tourner au tour de Christian Eriksen, le favori de Simone, mais l’Administrateur-Délégué Giuseppe Marotta et le Directeur Sportif Piero Ausilio sont parvenu à enrôler Hakan Çalhanoğlu au cours d’une guerre éclaire : Cet ajout apporte indiscutablement ses fruits." Lorsque l’on sait également que Sergio Aguero va cesser toute activité sportive suite à son malaise cardiaque, n’est-ce pas mieux pour notre "Cricri" de tirer également un trait sur son avenir sur les terrains pour se concentrer sur sa famille et un métier plus adapté à sa situation ? ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  15. Javier Zanetti a préfacé la rencontre opposant l’Inter au Real Madrid au cours d’une longue interview au quotidien ibérique "Marca" Quel est votre rôle en tant que Vice-Président ? "Depuis que j’ai pris ma retraite, après 20 ans à l’Inter, j’ai eu l’envie d’élargir ma vision du Club avec un poste plus important au niveau sociétal, avec des responsabilités sociales, des relations internationales, cela va plus loin que ma contribution qui était pratiquement qu’au niveau sportif." Avez-vous dû étudier ? "Énormément, j’ai début à l’Università Bocconi di Milano, j’y ai fait un Master et je continue encore à étudier car il y a toujours des nouveautés au niveau du Marketing, des finances, du management. La chose la plus importante que j’ai compris était que je devais tout reprendre à zéro." Pourquoi vous intéresser autant à ce type de travail ? "J’aime être présent pour les personnes qui en ont le plus besoin. Je le fais depuis 20 ans avec ma Fondation "Pupi Zanetti" et j’ai voulu continuer à le faire avec l’Inter car cela fait partie de son ADN : Gagner une rencontre ou une coupe est aussi important pour moi que d’avoir des responsabilités sociales qui consistent à transmettre des valeurs humaines." Vous représentez un club très important. Comment compareriez-vous la grandeur de l’Inter à celle du Real Madrid ? "Je représente un club avec une grande histoire et c’est une très grande responsabilité. Le Real Madrid est un autre grand club de grand prestige avec une grande tradition dans les tournois internationaux. Il y a toujours eu un très grand respect entre les deux." Est-ce que vos rapports avec Florentino Perez sont bons ? "Oui, ils sont très bon, Lui et Emilio Butragueño se sont toujours bien comportés, nous avons un bon rapport depuis des années et je suis toujours heureux de les revoir. Emiliano est fantastique." Vous êtes, en Europe, un "One club man" ce qui rare et qui ne se fait plus jamais aujourd’hui…… "Je venais d’arriver d’Argentine à l’âge de 21 ans, et j’ai ensuite évolué toute ma carrière pour l’Inter: Jje ne me le serais jamais imaginé. J’espère que cette tendance reviendra, mais les temps ont changé, mais il n’y a aucun problème." Passons au match d’aujourd’hui : Le Real Madrid est-il le favori ? "Oui, affronter le Real à domicile est toujours difficile car ils savent comment gérer ce type de match. Ce qui est bénéfique c’est que nous sommes tous deux qualifiés et que nous aller jouer sans cette pression. Notre équipe réalise de très belles prestation grâce à l’optimal travail d’Inzaghi et de ses garçons. Je pense que ce sera un match à arme égale." Les Tifosi du Real risquent de penser à une Inter qui ne fait pas tellement peur: Qu’en pensez-vous ? "Non, non et non : L’Inter a son identité et elle a des joueurs de qualité qui chercheront à le démontrer aussi à Madrid. On peut gagner ou perdre ensuite, mais l’identité de l’Inter est très claire." Quel et le mérite de la propriété, dans le fait de voir à présent, une Inter qui aspire à tout ? "Avec les nouveaux propriétaires, nous avons remporté la Serie A et atteint la Finale de l’Europa League. Nous sommes de retour en huitième de finale de la Ligue des Champions après dix ans. Ils nous ont apporté de la stabilité, ce qui est quelque chose d’essentiel." Faut-il un Milan fort pour motiver l’Inter ? "Les deux équipes ont l’ambition de se montrer protagonistes, nous le faisons depuis plusieurs années et le Milan est très bon en championnat : C’est bénéfique pour tout le football italien." On joue mieux en Italie, êtes-vous d’accord ? "On cherche à être bien plus protagoniste avec une philosophie de jeu très claire. La preuve en est la victoire de l’Italie à l’Euro. C’est vrai que de nombreuses équipes cherchent à se montrer protagonistes." La Serie A gagne du terrain comparé à d’autres Ligues, cela ne fait plus aucun doute… "Lorsque je jouais en Serie A, elle était impressionnante, tout le monde voulait venir jouer ici. Pour moi, le championnat italien reste le plus difficile à disputer, ce n’est pas le cas pour tous. Le football espagnol a connu sa période et maintenant c’est la Premier League, mais oui, la Serie A est en train d’énormément grandir." Aviez-vous été proche du Real Madrid durant vos années ? Dites-le-nous…… "Oui, j’étais très proche du Real et j’ai déjà dit que je me sentais honoré de l’intérêt d’un tel club. C’était du temps de Jorge Valdano comme Directeur Sportif. Mais tous ceux qui connaissent mon Histoire savent que ma Maison est l’Inter, c’est aussi pour cette raison que je suis resté ici." Pour quelles raisons ? "L’identification avec l’Inter et le fait que je jouais dans un club avec tant d’Histoire, même si à l’époque, elle était en difficulté. Des choses ne s’étaient pas encore passés et je ne voulais pas partir sans y laisser mon empreinte. J’en étais le Capitaine et j’avais une grande responsabilité. Je voulais y rester." Dites-nous, combien de fois avez-vous joué au Santiago Bernabeu ? "Très peu de fois, et je pense uniquement à la Finale de la Ligue des Champions 2010. Une autre fois, nous avions dû jouer Madrid en Ligue des Champions à Séville car le Bernabeu était fermé. Après ma retraite, nous avons disputé un match des légendes. J’en ai aussi disputé un avec l’Argentine." Que vous rappelez-vous cette soirée de 2010 ? "C’était la soirée rêvée, l’une des plus belle de ma carrière car elle reste dans l’Histoire de mon club : J’ai soulevé la Ligue des Champions que l’Inter n’avait plus remporté depuis 45 ans." Que pensez-vous de Carvajal ? Vous étiez un spécialiste à ce poste...... "C’est un point de référence, un joueur très équilibré et qui évolue avec continuité. La preuve est que tous les entraîneurs lui font confiance." Quelle est l’image de Carlo Ancelotti, l’entraîneur, en Italie ? "Carlo est très estimé pour l’ensemble de sa carrière, pour sa façon d’être. C’est toujours un homme très calme avec des concepts très clair. Il se comporte toujours de la même façon, aussi bien en cas de victoire que de défaites. J’ai beaucoup de respect pour lui." ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  16. Après avoir quitté l’Inter sur le toit de l’Italie, Antonio Conte a accepté de relever un nouveau challenge en reprenant les rennes des Spurs de Tottenham. Durant ce week-end, le natif de Lecce s’est livré dans les colonnes de la Gazzetta Dello Sport. Conte, votre repos n’aura duré à peine que quatre mois…. "Seule l’attrait de la Premier League pouvait me convaincre de revenir aussi vite. Lorsque le président Levy m’avait contacté la première fois en juin, je l’avais remercié, mais je ne le sentais pas. Mon biennal avec l’Inter a été primé par un Scudetto dont on comprendra mieux son extraordinaire emprise, sur base de la qualité du travail réalisé en deux ans à peine pour le remporter, en détruisant l’hégémonie de la Juventus." "Cela m’avait laissé beaucoup de toxines à éliminer, car ce fut un travail total et extrêmement dur, du point culminant de la joie pour le résultat obtenu en passant par une très grande désillusions suite aux changements de programmes et de perspectives qui ont porté à la séparation : j’avais besoin de faire une pause." "Lorsque Lévy est revenu à la charge en me démontrant qu’il me voulait à tout prix, cela m’a convaincu : Son projet, la perception de sa vision, ce sont des paroles qui me sont chères." Pourriez-vous mieux nous l’expliquer ? "Je parle de l’ambition et de l’envie d’exceller que la propriété a déjà mis en exécution, en dotant le club de structures incroyables. D’un stade qui est un joyau de modernité et qui est confortable avec un coût d’un milliard d’euros, d'un Centre Sportif qui m’a laissé bouche ouverte : C’est sans aucun doute le meilleur qu’il m’a été donné de voir." "Je pense qu’une telle réalité aussi bien organisée mérite d’avoir des résultats sportifs en adéquation. J’ai vu face à moi un défi, une lumière qui a mes yeux, a multiplié mes énergies. A présent, il y a deux écarts à colmater." Gagner ici serait le défi le plus important de votre carrière ? "J’ai toujours repris des équipes en difficultés. Des équipes qui ont traversé des moments difficiles, qui devait se reconstruire : La Juve était hors des Coupes d’Europe, la Nazionale n’était pas parvenu à passer la phase de groupe au Mondial 2014, Chelsea était dixième, l’Inter ne gagnait plus depuis 2010. Je n’ai jamais fait de choix accommodants, mais ce Tottenham est très certainement le défi le plus compliqué et c’est pour cela que j’en suis stimulé." Quel est le chef d’œuvre de votre carrière ? "Recréer le cycle de la Juve était dur car elle faisait face au Milan d’Ibra, Nesta et Thiago Silva, face à l’Inter du Triplé et le Napoli de Cavani, Lavezzi et Hamsik... Mais mon vrai chef d’œuvre a été le Scudetto avec l’Inter : En deux saisons j’ai renversé une monarchie sportive, si ce n’était pas nous qui étions parvenu à interrompre le cycle bianconero, la Juve serait encore là-devant : Lorsque tu bats quelqu’un de la sorte, tu lui brises ses certitudes." Auriez-vous cru, il y a six mois, vous retrouver en Premier League en compagnie de Lukaku et de Ronaldo ? "Non, absolument pas, je ne pensais pas que mon aventure Nerazzurra allait se terminer." C’est pour cela qu’ils vous ont recruté ? "J’ai conscience de la confiance qui est placé en moi et j’en suis fier. Je serais en mesure de combler l’écart plus rapidement dans un autre championnat, avec un Staff technique au top et de telles structures: Mais ici, nous sommes en Premier League, dans le championnat le plus difficile au monde : Il y a quatre colosses come les deux Manchester, Chelsea et Liverpool, mais il y a aussi des équipes riches et ambitieuses comme Everton, Arsenal et West Ham. Nombreux sont ceux qui veulent investir en Angleterre comme cela s’est vu dernièrement avec Newcastle." Quel est l’importance, dans votre choix, de retrouver à vos côtés, un dirigeant comme Fabio Paratici ? "C’est surement un élément important en plus : Savoir travailler avec quelqu’un qui te connais bien est important, il a des qualités et des ambitions qui nous aideront énormément." Quelles sont les trois premières choses à faire à présent pour grandir ? "Avant tout : Éliminer l’alternance haut-bas : Lorsque je suis arrivé à l’Inter, je l’ai dit immédiatement : Je ne voulais plus entendre parler de la Pazza Inter! Pour rester au sommet, tu dois faire preuve de stabilité, de continuité dans la prestation des résultats : Si tu gagnes face au Leader pour perdre ensuite contre l’avant-avant dernier, cela ne te servira à rien." "En second lieu, il faut changer la mentalité : Tu ne dois plus te contenter mais tu te dois de croire que tu peux gagner : Tu dois retirer tout cet aspect négatif qui fait partie d’une série d’équipe qui, finalement, n’ont jamais gagné. Pour finir, j’apporte ma méthode : Travailler avec intensité, le souci du détail et de la tactique." Si ces trois choses fonctionnent, pensez-vous atteindre la quatrième place synonyme de la Ligue des Champions ? "On signerait tous pour cela, cela voudrait dire que nous serions parvenus à surclasser l’un des quatre colosses. L’équipe est jeune, elle a une très grande marge d’amélioration, l’envie de s’engager et d’apprendre : Il y a une grande disponibilité de la part de tout le monde : L'équipe paye toutefois un manque d’expérience, elle doit le compenser avec la dévotion, le travail et l’enthousiasme." A l’Inter, vous étiez fier d’acquérir Lukaku, cette fois-ci vous avez déjà un grand attaquant de la maison : Kane... "C’est un joueur de très grand niveau, j’ai eu le plaisir de l’entraîner que quelques jours, mais c’est un Top Player qui comprend tout immédiatement. Je lui ai dit une chose et la minute d’après, il l’avait déjà mis en pratique : Il a le talent, les qualités, le physique, le sens du but et l’intelligence footballistique. J’en ai croisé que très peu comme lui : Son rêve est de gagner avec Tottenham et je suis ici pour l’aider à le réaliser." Avez-vous été surpris par les départs de Romelu Lukaku et de Cristiano Ronaldo ? "Ce sont des situations différentes, mais lorsque l’on t’offre l’opportunité de revenir en qualité de protagoniste en Premier League, c’est dur de dire non. Leurs départs ont sans aucun doute appauvri le Calcio, ce sont deux stars." Cela pourrait-il avantagé le Milan et le Napoli dans leur échappée en tête ? Comment voyez-vous la Course au Scudetto ? "Il me semble que c’est, à présent, une course à trois avec l’Inter, mais je suis maintenant engagé à penser à qui se bat en tête de la Premier League." Quel est la première différence perçue dans votre retour en Premier League comparé à celui de la Serie A ? "Une plus grande intensité et un aspect tactique moindre rendent les parties plus spectaculaires : Il y a de constantes explosions d'activités. Il y a un athlétisme différent. Si un joueur n'est pas costaud, rapide et résistant, il ne peut pas jouer en Premier League. Même les petits joueurs ici sont en roc." "Le championnat anglais vous améliore : c'est valable aussi bien pour les joueurs que pour les entraîneurs. Et en général, il y a l’environnement tout autour, le spectacle sur le terrain, le respect pour les protagonistes, la manière de vivre la rencontre comme un grand évènement sportif, tout cela est différent de l’Italie. Ici on ressent moins les sournoiseries et les polémiques." Comment est perçu d’Angleterre le Calcio ? "Il est toujours très respecté, car ils savent qu’il y a tellement de travail derrière les équipes, ils ont pu s’en rendre comptes à l’Euro : Notre Nazionale est celle qui a connu le moins de difficulté de préparation face au Covid car nos joueurs savaient déjà ce qu’ils devaient faire sur le terrain." A propos de la Nazionale, en quatre mois, elle passe de Championne d’Europe à barragiste pour la Coupe du Monde : Que s’est-il passé ? "Nous avons remporté un Euro en surprenant tout le monde, même nous. Quand tu réalises une telle emprise, un peu imprévue, cela veut dire que tout a fonctionné à la perfection et que les étoiles étaient toutes alignées : Durant le parcours européen, l’enthousiasme et la confiance ont grandi : Nous avons connus des faits de jeu favorable : Un ballon qui fait poteau rentrant, le but d’Arnautovic qui est annulé pour un rien, un joueur qui se blesse avec son remplaçant qui décide de l’issue du match, les rencontres face à l’Espagne et l’Angleterre gagnées aux penaltys." "Après que tu aies remporté le titre, la pression grandie et ceux qui te font face disputent la rencontre de leurs vies, les attentes augmentent. Et il peut aussi se comprendre que le ballon qui rentrait après avoir touché le poteau, cette fois-ci ne rentre pas, que le but de l’adversaire est valable, que tu as raté les deux penaltys face à la Suisse, tiré par Jorginho qui n’en avait jamais raté. L’Italie doit retrouver sa magie, une bonne rage et espérer que les étoiles vont de nouveau s’aligner." Durant ces derniers mois, Mancini a continué à miser sur l’optimisme, n’est-ce pas mieux de faire augmenter un peu le sentiment de peur ? "Il a voulu transmettre de la positivé dans l’environnement, il ne manque pas d’humilité mais il veut transférer la conscience d’être fort : La peur de se planter est saine, si elle te permet de conserver ton attention au maximum." Manque-t’il un grand attaquant ? "Nous n’avons pas de Top Player tel que Lukaku ou Kane, mais il ne faut pas défavoriser Immobile, il reste pour moi indispensable. Il est dévalué dans le travail qu’il abat : A chaque match, il court plus que tout le monde, il attaque la profondeur, se bat…" Parviendra-t ’elle à se qualifier ? "J’espère que oui, un seul adversaire me fait peur : Le Portugal! C’est une équipe forte composée de joueur de qualité, il n’y a pas que Ronaldo. Les autres équipes ne m’inquiètent pas, mais avec eux, nous serions à armes égales." ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  17. En effet, Christian Eriksen devrait quitter la ville milanaise à l’ouverture du prochain mercato hivernale, la faute à un très sérieux malaise cardiaque qui aurait pu lui coûter la vie lors de l’Euro 2020 où il s’était retrouvé inanimé, puis sauvé par le staff médical, lors de la rencontre opposant le Danemark à la Finlande. A la mi-décembre, la décision sera prise de savoir s’il pourra ou pas faire retirer son défibrillateur, le retrait est une condition sine qua non pour évoluer en Serie A. S’il doit le conserver pour sa santé, ce qui est le plus important, Eriksen pourra opter pour deux championnat où le port d’un défibrillateur est cautionné, à savoir le championnat anglais ou le championnat hollandais, deux compétitions qu’il connait très bien. Selon Tuttosport, l’hypothèse qui était à la base la plus plausible était la résolution de son contrat, avec une épargne de son salaire, mais accompagné d’une moins-value. Toutefois, une alternative pourrait être mise en place dès l’annonce des résultats: Celle de parvenir à un accord avec l’Ajax pour mettre en place un échange avec André Onana. En effet, le gardien sera, dès demain, autorisé à remonter sur le terrain et il pourrait s’agir d’une opération intéressante pour les deux clubs : L’Ajax ne perdrait pas gratuitement son joueur et une telle évaluation est de mise également chez les champions d’Italie. Le tout reste conditionné aux résultats des examens médicaux. Selon vous, si Christian ne peut plus évoluer en Italie, l’échanger avec André Onana dès ce mois de janvier pourrait-il s’avérer comme la meilleure décision possible ? ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  18. C’est une révélation de la Gazzetta Dello Sport: Suite à la sortie de piste d’Alexis Sanchez, la Rosea a mis en lumière une situation des plus surprenantes : La colonne vertébrale de l'Inter perçoit moins que le banc des remplaçants. Le Chili dans le viseur La polémique d’Alexis Sanchez sur les réseaux sociaux a fini par lasser la Direction Interiste qui songe en premier lieu à une résiliation de son contrat au mois de janvier. Pour Arturo Vidal, , le joueur a envoyé quelque signes de reprise, toujours en partant du banc. Certains avaient même suscité des applaudissements : comme les interventions agressives lors de la remontée en Émilie-Romagne. Toutefois, ses anciens démons ont refait surface : Dernièrement une vidéo du Chilien éméché, faisant d'étranges sauts périlleux dans sa Ferrari, a fait le tour du web et mis le club devant le traditionnel problème de gestion de son milieu de terrain. Lors du mois de janvier Giuseppe Marotta et Piero Ausilio vont donc se pencher sérieusement sur la situation d’Alexis Sanchez et quantifier sa prime de départ en cas de résiliation du contrat, sauf si du mercato des offres intéressantes sont présentées. Concernant Arturo Vidal, le milieu de terrain n’est pas tenté par un départ à la mi-saison, et parvenir à extraire le meilleur de lui sera le défi du Staff jusqu'en mai. Puis il s’agira d’un au revoir sans regrets. Le salaire des deux chiliens sont les plus importants après celui de Christian Eriksen. Actuellement, le salaire de l’international danois est en partie couvert par l’assurance de la FIFA suite à ce qu’il a connu à l’Euro. L'Inter profite du Décret Croissance pour les deux Chiliens Les 7 millions d’euros net d’Alexis Sanchez représente coûte 10,5 millions d’euros bruts. Les 6,5 millions d’euros net d'Arturo Vidal valent un peu plus de 9 millions d’euros. Pour la Rosea, "éliminer les deux salaires seraient une bonne chose pour le club, surtout qu’il ne s’agit pas de deux titulaires." De plus, le fait est que "la colonne vertébrale d'Inzaghi, composée de Bastoni-Brozovic-Barella-Lautaro, présente (pour l'instant) des revenus nets inférieurs à ceux des deux sud-américains. Cette situation est particulière, même s’il faut attendre les renouvellements des contrats." Voici un comparatif entre les joueurs du banc et les titulaires Banc: Alexis Sanchez (7M€), Arturo Vidal (6,5M€), Matias Vecino (2,5M€), Stefano Sensi (2M€), Roberto Gagliardini (1,5M€) Cœur de l’équipe Alessandro Bastoni (4 M€), Stefan de Vrij (3,8 M€), Marcelo Brozovic (3,5M€), Milan Skriniar (3M€), Nicolò Barella (2,5 M€), Lautaro Martinez (2,5 M€) Sur une masse salariale de 140 millions d’euros, les hommes du banc perçoivent 19,5 millions d’euros contre 19,3 millions d’euros pour les titulaires les plus importants de l’équipe ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  19. Hakan Çalhanoğlu, le milieu de terrain de l’Inter, s’est livré dans une longue interview, au Corriere Dello Sport Après avoir passés des années au Milan, qu’avez-vous ressenti lorsque vous aviez endossé pour la première fois, le maillot de l’Inter ? "J’ai connu quatre bonnes années au Milan et j’y ai de nombreux amis. Il y a aussi eu des moments difficiles, mais les deux dernières saisons étaient bien meilleures, surtout grâce à Pioli. L’Inter est une belle équipe qui a remporté le dernier Scudetto et le plus grand nombre de Derby, lors de mon expérience Rossonera. J’ai choisi de venir ici car j’aime relever, en carrière, de nouveau défis." Combien d’équipes ont tenté de vous enrôler durant cet été ? "Il est mieux de poser cette question à mon agent. Je n’en avais pas parlé avec lui car j’étais engagé à l’Euro et je pensais exclusivement à la Turquie. Il savait qu’il fallait me trouver la meilleure issue possible et il y est parvenu." Avez-vous été surpris par les appels de Marotta et Ausilio ? "Je n’étais pas surpris, mais calme. Vu mes qualités, j’ai conscience de ce que je suis capable de faire et sincèrement (il sourit) je n’avais jamais eu en tête de prendre le risque de me retrouver sans équipe : Je m’étais dit : Un club se présentera." Après votre arrivée à l’Inter, vous avez vécu les départ d’Hakimi et de Lukaku ensuite, n’avez-vous pas songé un seul instant d’avoir fait un mauvais choix ? "Jamais, je savais qu’ils avaient réalisés du très bon boulot ici et ils ont tout mon respect. Mais c’est normal que dans un contexte économique compliqué encore plus à cause du Covid, qu’il n’était pas facile de conserver des joueurs qui font l’objet d’offres si importantes. Le bien du club passe avant tout. Je suis toujours resté concentré sur mon travail, car je savais que je venais d’intégrer un très grand club." Vous attendiez-vous à récolter 13 points lors des 5 premières journées ? "Je défini cela comme une normalité lorsque tu endosses le maillot de l’Inter. Je connais la valeur de mes équipiers et celle d’Inzaghi. Nous avons peu parlé et énormément travaillé. Dans notre tête, nous avons le désir d’être devant tout le monde et de le rester jusqu’à à la fin." Etes-vous, comme Brozovic, sur de vous qualifier au tour suivant en Ligue des Champions ? "Je suis en accord avec ce que disent mes équipiers et spécialement lorsqu’ils affirment quelque chose de ce type. Brozo a exprimé un concept correct car nous avions très bien joué face au Real et nous aurions mérité de l’emporter. Nous nous sommes en revanche inclinés, mais il reste cinq autres matchs. Notre futur en Coupe d’Europe est ouvert , nous voulons nous qualifier et nous y parviendrons." Lors de votre premier match avec l’Inter, vous avez été l’auteur d’un but et d’une passe décisive face au Genoa, le 21 août…… C’est plutôt pas mal comme début ? "C’était bien de débuter de cette façon et d’entendre les tifosi m’applaudir. Nous avons vécu un championnat et demi sans public et ce n’était pas beau à voir. A présent, nous revenons tout doucement vers la normalité : Le Calcio est mieux comme ça." En quoi devez-vous vous montrer plus incisif ? "C’est une question à poser à l’entraîneur : C’est lui qui me dit ce qu’il faut faire et je cherche à répondre à ses demandes. Même si je ne suis pas décisif sur une phase de jeu, je travaille pour l’équipe et je me donne à 100% comme tous les autres car je ne veux pas que l’équipe se retrouve en difficulté." La lutte pour le Scudetto semble se diriger vers un duel avec le Milan.....Pensez-vous que le Napoli et la Roma finiront par abdiquer ? "Il y a tellement d’équipes qui peuvent s’insérer et se battre jusqu’au bout : La Roma et le Napoli ont réalisé un très bon début, mais il y a aussi l’Atalanta qui est présente. Je ne sais pas si d’autres pourrons s’y ajouter, mais nous sommes les favoris suite à notre victoire la saison dernière." Comment parvient-on à battre l’Atalanta, équipe que vous aviez battu lors de la dernière journée et qui vous aviez permis de vous qualifier en Ligue des Champions ? "C’est une bonne équipe, très forte physiquement qui joue le un contre un sur tout le terrain, elle peut compter sur des joueurs de qualités. Nous savons que nous affronterons une équipe forte, mais nous ne devons uniquement nous recentrer sur nous, penser à nous-même et espérer que nous allons vivre un grand week-end avec nos tifosi." Comment vivez-vous le fait d’avoir votre armoire à trophée encore vide ? Dernièrement Bastoni vous a charrié en vous rappelant qu’il avait un Scudetto en plus que vous...... "J’espère que l’on remportera le prochain ensemble, peut-être déjà cette année." Si vous l’emporter, ce Tricolore sera celui de la seconde étoile. Comment comptez-vous le célébrer ? "En le fêtant avec mes équipiers et ma famille." Comment est Inzaghi, l’entraîneur ? "Avant de signer pour l’Inter, je l’ai eu de nombreuses fois au téléphone et avec ce qu’il me disait, cela se voyait qu’il me voulait. Inzaghi est une personne qui cherche toujours à gagner, mais je l’avais déjà aussi remarqué lorsque nous étions adversaires. Avec lui, il y a un grand feeling. J’aime sa façon de travailler, l’adrénaline qu’il transmet et les motivations qu’il peut t’apporter." Comment vous sentez-vous dans votre nouveau rôle ? "Au Milan, j’étais un 10 plus libre car j’avais devant moi un seul attaquant. Ici, ils sont deux, je dois être en mouvement, ouvrir le jeu, récupérer des ballons. Dans le fond, il n’y a pas de trop grandes différences. Je crois avoir bien travaillé jusqu’ici, même si je dois continuer à m’imprégner de la nouvelle tactique et des mouvements au milieu." Quel nouvel équipier vous a le plus impressionné ? "Ils sont tous d’excellents joueurs, et pour diverses raisons, je devrais donc tous les citer. Mais si je devais vous donner qu’un nom, ce serait Skriniar : C’est une grande personne, un grand défenseur avec un très grand caractère." Dzeko et Skriniar: vous avez déjà proposé des passes décisives sur les corners, vous ont-ils remercié avec un cadeau ? "Le cadeau qu’ils me font sont les trois points que nous avons remporté face au Genoa et face à la Fiorentina." Si vous aviez le choix, à titre personnel, préfèreriez-vous une saison avec 10 buts inscrits ou 15 passes décisives ? "Pour moi, c‘est mieux les passes décisives." Les Tifosi du Diavolo que vous croisez en route vous pardonnent-ils ? "J’en ai souvent rencontré, car je vais souvent manger avec ma famille au restaurant : Ils me demandent des photos et ils me disent qu’ils me veulent du bien. Je n’ai jamais eu de problème, avec personne, à Milan. Et je suis toujours en contact avec mes anciens équipiers." Comment vous imaginez-vous le premier Derby comme adversaire ? "J’ai déjà connu cela lorsque je suis passé d’Hambourg à Leverkusen, ce sera des sensations similaires car je jouais dans le même stade, mais avec l’autre équipe. Ici à Milan, le Derby c’est autre chose : Je connais les défenseurs du Milan tout comme eux me connaissent. Cela ne va pas m’avantager et je devrai uniquement penser à aider mes équipiers et au travail que j’aurais à faire." Si vous marquez face au Milan, allez-vous le célébrer ? "Si cela se passe, je ferai comme d’habitude." Que direz-vous à votre ami Ibrahimovic lorsque vous ferez face à lui en tant qu’adversaire de Derby ? "Il a tout mon respect car c’est un grand joueur et une grande personne avec qui j’ai passé énormément de temps. Ceci étant dit, je donnerais mon meilleur pour l’Inter tout comme lui il fera de son mieux pour le Milan. C’est un Derby et personne ne veut le perdre." Vous attendiez-vous de voir la Juventus autant en difficulté après 5 journées ? "Ce n’est pas correct que je parle de la Juve, car tous les clubs connaissent des hauts et des bas sur une saison. Avec tout le respect que j’ai pour les Bianconeri, je ne tiens pas à m’exprimer sur ce qu’ils pourront connaitre ses prochains mois : Je préfère aussi parler que de nous." Qu’est-ce qui vous a le plus impressionné dans le Napoli de Spalletti ? "C’est une bonne équipe de qualité." ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  20. Depuis son arrêt cardiaque contre la Finlande le 12 Juin, Christian Eriksen est resté à l'écart des projecteurs et a reçu du temps de l'Inter Milan pour récupérer en paix. Les médias italiens ont largement rapporté ce que son avenir pourrait lui réserver, cela reste tout aussi incertain que de jouer aux Crikeyslots. En plus des retrouvailles avec ses coéquipiers, Christian Eriksen devrait subir de nouveaux examens cardiaques approfondis. Une étape cruciale C'est la décision cruciale pour la prochaine étape en ce qui concerne l'avenir de Christian Eriksen, qui, au Rigshospitalet, s'est fait implanter un ICD dans la poitrine, c'est-à-dire une sorte de stimulateur cardiaque. Entre autres choses, il est important, si possible, de déterminer si c'était un agent pathogène exogène qui en était la cause, ou s'il s'agissait d'une malformation cardiaque. Quel que soit le résultat, les examens à venir sont similaires à ceux qu'Eriksen a reçus au Rigshospitalet danois en juin. De plus, on ne sait pas si le milieu de terrain de 29 ans veut même poursuivre sa carrière après ce grave incident. Difficile d'obtenir le feu vert du Comité olympique italien Dans tous les cas, il pourrait être difficile d'obtenir le feu vert du comité scientifique technique du Comité olympique italien qui régit la Serie A pour continuer à jouer en Serie A s'il veut conserver son ICD. Le protocole de 2017 que les médecins italiens utilisent pour évaluer si les maladies cardiaques ne sont pas incompatibles avec le sport stipule que les athlètes ne peuvent pas recevoir l'autorisation si un ICD a été implanté, plus particulièrement dans le cas d'un sport à risque de traumatisme. Possibilité de jouer dans un ancien club aux Pays-Bas Les médias italiens ont rapporté que si Eriksen veut poursuivre sa carrière, mais ne peut pas être autorisé à jouer à l'Inter, alors la Hollande, où il a déjà joué, peut être une opportunité. Et si Christian Eriksen souhaite mettre fin à sa carrière, il est alors possible que l'Inter soit indemnisée via une assurance. Mais il est encore trop difficile d'anticiper le cours des événements. Cela peut en fait prendre jusqu'à 6 à 8 mois avant qu'ils aient une image complète de l'état d'Eriksen et qu'une décision finale soit prise.
  21. Lionel Messi, Lukaku, Donnarumma. Des départs importants, dont deux signatures gratuites face à une transaction à 115 millions d’euros qui seront reversés dans les caisses de l’Inter : Tel est le constat douloureux de la Gazzetta Dello Sport avec un argentin qui pleure en Mondovision, un portier italien qui remercie d’une façon étudiée le Milan…Et le départ de Romelu Lukaku La Rosea débute son analyse selon le déroulement des évènements : Le 26 juillet, Lukaku revient à la Pinetina : Souriant, motivé et en forme. Après l’Euro, il est allé à Miami et il semblait se mettre au travail bien plutôt que prévu pour Inzaghi. Il revient en soirée, s’en suit des photos, puis celle de l’entrainement où il semble proposer de nouvelles ressources sur le terrain avec l’Inter. Les images sur les réseaux sociaux démontre une personne qui cherche à faire son travail, ses paroles ont du poids pour l’Inter et les Tifosi : "Je continuera à vous faire rêver". Et il y a le cliché : Milan 100 avec la ville en arrière-plan. En prenant du recul, ce message est crypté, si sur le moment on pense à une déclaration d’amour, de fidélité, d’appartenance, Milan à cent pour cent, il devient difficile de ne pas soupçonner que Lukaku n’était pas déjà informé du jeu de pouvoir mis en place par Chelsea pour son futur, il savait déjà comment cela allait se terminer. Cela devient impossible de ne pas voir de la malice, une communication fourbe, via les réseaux sociaux, pour faire passer la volonté du désir de rester à l’inévitable départ, en raison d’une Inter qui est à court de liquidité. Cette stratégie a été planifiée dans son détail. Derrière l’attaquant, on retrouve de nouveaux éléments : l’agent Federico Pastorello, la société américaine Roc-Nation qui est Leader dans le Show-business et qui est composé de communicateurs qui savent comment gérer ce type de situation. Lukaku à Chelsea gagnera presque deux fois plus qu’à l’Inter. La possibilité qu’il reste à Milan était de zéro pour cent. Selon vous, est-ce que le 100 affiché sur les réseaux sociaux faisait référence à la somme, au palier, que Chelsea allait devoir atteindre pour le transférer ? ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  22. C’est une période magique que traverse Alessandro Bastoni : Après avoir remporté le Scudetto et l’Euro, notre jeune international a tenu à s’adresser aux tifosi en se livrant à Sky Sport "Le message que je tiens à passer aux Tifosi est que celui qui reste ici, donnera tout pour ce maillot, comme nous l’avons déjà montré ces dernières années." Le Scudetto sur le torse ? "C’est un motif de fierté, c’est un Honneur pour moi d’être ici." Des paroles sages venant d’un cadre de l’équipe ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  23. C’est une bonne Inter qui s’est imposée au Tardini de Parme, réalisant de la sorte un très beau travail de vacances, malgré les turbulences liées au départ semi-officiel de Romelu Lukaku: Les Nerazzurri ont fait preuve d’une certaine solidité défensive face à l’équipe parmesane, tout en présentant un onze de base qui devrait se rapprocher du futur onze titulaire pour la saison à venir. La première période est dominée totalement par l’Inter qui attaque souvent via l’aile gauche d’un Ivan Perisic inspiré mais qui faisait preuve d’un peu d’imprécision, on peut également noter la performance de Lautaro Martinez qui a tenté à plusieurs reprises d’ouvrir le score, en vain. Les Nerazzurri feront céder le mur parmesan à la reprise, après plusieurs vagues offensives, Marcelo Brozovic débloque son compteur but suite à une excellente initiative de Lautaro Martinez (59'). Les remplacement proposés par Simone Inzaghi donne un nouveau souffle aux Nerazzurri qui continue à pousser sur l’aile gauche via Federico Dimarco. C’est d’ailleurs de part l’un de ces centres que Matias Vecino reprend le ballon de la tête pour doubler la mise (69'). Le score ne bougera plus, la défense parmesane retrouvant une certaine imperméabilité. Le nombre de changements grandissant, seul Samir Handanovic sera resté titulairisé durant l’intégralité de la rencontre Réaction d’après-match Matias Vecino C’est encore une victoire pour cette Inter qui n’abandonne même pas ce type de rencontre..... "C’est important d’engranger des minutes dans les jambes pour débuter au mieux le championnat. D’une façon générale, nous avons fait un bon match. Objectivement, la condition physique va s’améliorer pour arriver à 100% : Nous sommes sur le bon chemin." On voyait que vous vouliez marquer un but..... "Je cherche toujours à arriver dans la surface, à suivre l’action, à m’insérer. Je suis content d’avoir marqué." Dans quelques jours, il y aura le dernier match amical. A quel point avez-vous l’envie de retrouver le terrain ? "C’est beau de monter sur le terrain avec le Scudetto sur le torse, nous avons une grande responsabilité et nous sommes très motivés, nous continuons à nous préparer pour faire bien." Aujourd’hui, il y avait plus tifosi que lors de votre dernière rencontre au Meazza..... "C’était si beau de ressentir l’amour des tifosi, c’était moche de jouer à huis clos. Les tifosi te donne une motivation supplémentaire." Quels sont vos objectifs pour cette saison ? "L’objectif est de trouver de la continuité, de faire ce que je ne suis pas parvenu à faire l’année dernière : Je suis physiquement et mentalement motivé." Alessandro Bastoni "Nous sommes arrivés depuis peu, l’entraîneur est nouveau et nous devons comprendre son système de jeu. Nous sommes prêts à lui faire confiance pour faire aussi bien cette saison. Nous avons un tricolore à défendre et nous ferons tout pour le défendre sur le terrain." "J’ai de bonnes sensations, spécialement lorsque tu remportes un Euro, lorsque tu reviens, tu as encore envie de gagner. Je suis content d’avoir retrouvé mes équipiers, j’espère faire une grande année." Vous allez devenir papa…. "J’ai trouvé une stabilité dans ma vie privée et cela me permet de penser uniquement au terrain." Martin Satriano Vous êtes le meilleur buteur de l’Inter durant cette phase de pré-saison, on imagine que tu en es fier ? "Je suis content de continuer à avoir du temps de jeu sur le terrain avec ce maillot, je trouve que je travaille bien et j’en suis vraiment très fier." Comment as-tu ressenti le fait de jouer en duo avec Lautaro aujourd’hui ? "C’est si beau de jouer avec un joueur de ce niveau, nous nous sommes bien trouvé. Je joue avec des joueurs de très haut niveau, mon objectif est de continuer à m’améliorer le plus possible et de continuer comme ça." Tableau Récapitulatif Résumé Vidéo Parma 0-2 Inter Buteur(s): 59' Brozovic (I), 69' Vecino (I) Parme: (4-3-3): 1 Colombi; 2 Sohm, 3 Balogh, 4 Osorio, 5 Gagliolo; 10 Brunetta, 6 Juric, 8 Camara (17 Vazquez 62'); 7 Man (16 Busi 82'), 9 Benedyczak, 11 D. Iacoponi (15 Schiattarella 70') Banc : 12 Turk, 13 S. Iacoponi, 14 Dierckx T1 : Enzo Maresca Inter (3-5-2) : 1 Handanovic; 37 Skriniar (42 Moretti 90'), 6 de Vrij (13 Ranocchia 73'), 95 Bastoni (11 Kolarov 64') ; 36 Darmian (46 Zanotti 82'), 23 Barella (8 Vecino 64'), 77 Brozovic (18 Agoumé 80'), 12 Sensi (22 Vidal 64'), 14 Perisic (32 Dimarco 64'); 48 Satriano (99 Pinamonti 73'), 10 Lautaro (16 Salcedo 80') Banc : 21 Cordaz, 97 Radu T1 : Simone Inzaghi Arbitre : Aureliano Averti(s): Schiattarella (P), Vidal (I) Expulsé(s): / ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  24. C’est une révélation de la Gazzetta Dello Sport: Alors que l’Inter avait accordé un week-end de liberté aux joueurs, pour qu'ils puissent se ressourcer en Famille, cinq d'entre-eux ont décidé de continuer à travailler à la Pinetina afin d’améliorer leur condition physique et d’accélérer leur retour avec le groupe de l’équipe première : Il s’agit de Romelu Lukaku, Ivan Perisic, Matias Vecino, Arturo Vidal et Alexis Sanchez, des joueurs qui ont participé respectivement à l’Euro 2020 et à la Copa America 2021. Simone Inzaghi a déjà testé Romelu Lukaku et Arturo Vidal lors de la seconde période de la rencontre face à Crotone. Ce dimanche, Simone Inzaghi souhaite augmenter le temps de jeu du Diable Rouge. ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  25. En effet, selon la Repubblica, José Mourinho pousse pour s’offrir l’international croate qu’il a toujours apprécié depuis de très nombreuses années: "Mou pousse s’offrir un ultra-trentenaire dans le but de construire une ‘Instant Team’ et l’on parle de l’ailier offensif croate Ivan Perisic, qui a quasi 33 ans et qui est en fin de contrat à l’Inter. La clé serait Alessandro Florenzi, prêt à se relancer après la victoire de l’Euro, lui qui revient de son prêt au Paris-Saint-Germain. L’opération est réaliste car Perisic et Florenzi perçoivent le même salaire : 4 millions d’euros et la valeur marchande des joueurs est la même." Seriez-vous partant pour ce deal avec la Roma ? ®Antony Gilles – Internazionale.fr
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