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  1. En effet, si au retour de nos Vice-Champions d'Europe, la Curva Sud avait voulu allumer l'Inter, notre Curva Nord a réagi à travers de très nombreuses banderoles dans la ville milanaise....Et le moins que l'on puisse dire c'est qu'on y est pas allé avec le dos de la cuillère: "Vous avez tenu moins d'un Quickie" En soulignant que Calabria et ses coéquipiers, lors du derby aller du 15 mai, n'ont pas duré "plus d'une minute". En effet, après seulement onze minutes, l'Inter menait déjà 2-0 grâce à des buts de Edin Dzeko et Henrik Mkhitaryan. "Dites la vérité, sales rats, vous aviez réservé avec Pellegatti" Il s'agit d'une référence à la réservation de l'hôtel à Istanbul faite par le journaliste de l'Ac Milan Carlo Pellegatti déclarée au lendemain de la qualification du Milan pour les Demi-Finales de la Ligue des Champions, avant de jouer les deux EuroDerby. D'autres banderoles signées par la Curva Nord rappellent aux supporters milanais la supériorité de l'Inter dans les derbiy cette saison : "Nous vous avons enculé 4 fois" "Parce que quand tu étais enfant tu ne jouais pas en Serie A". Ici, la référence est liées aux années noires de l'AC Milan dans le championnat de Serie B, soit une vanne classique de notre Tifoserie réinterprétée dans une tonalité parodique du chœur milanais "Come quando da bambino", la version originale étant la guardavo con papà…" Fiers de vous les Amis! ®Antony Gilles - Internazionale.fr
  2. Notre ancien interiste Mario Balotelli, interrogé par la Gazzetta dello Sport, évoque la finale de la Ligue des champions ainsi que Edin Dzeko, l'Inter et l'Italie. Inter ou City ? "J'ai reçu tellement d'invitations pour la finale à Istanbul, je suis indécis. Je pense que je vais m'asseoir au centre du stade, pour éviter les malentendus. Mon cœur est partagé en deux, il vaut mieux ne rien dire d'autre. Ma tête dit que j'aimerais qu'ils gagnent tous les deux mais c'est impossible." Maintenant, l'Inter est en forme. "Sans aucun doute. Et elle a beaucoup de joueurs qui font la différence. A commencer par mon ami Dzeko, mais je ne négligerais pas Lukaku et le déchaîné Lautaro : le deuxième but contre la Viola était magnifique." Tout le monde voit City gagnant. "L'expérience me dit qu'en finale, sur un seul match, il vaut mieux arriver outsiders. En tout cas, l'équipe de Guardiola joue un super football mais celle d'Inzaghi est aussi très efficace." Que retenez-vous de votre Nerazzurra Champions League ? "Le but contre Rubin Kazan m'a fait sentir comme un protagoniste, pour moi c'était une expérience merveilleuse : un garçon qui touche le ciel avec un doigt. Et puis en soulevant cette coupe, j'ai encore des frissons." Immédiatement après le roi de la Premier League à City avec Dzeko... "Il y avait un sentiment incroyable avec Edin. Quand il est venu en Italie chez des amis romains, je l'ai dit immédiatement : attendez-le, c'est un phénomène. Même à Milan, il fait la différence. J'ai beaucoup de bons souvenirs cette année-là, à commencer par ce doublé à United." Vous étiez à San Siro au derby. "L'ambiance des meilleures soirées. J'ai vu beaucoup de monde, Leao entre autres. Je lui ai conseillé de rester à Milan : il y a une équipe avec des perspectives, avec quelques renforts ils peuvent avoir leur mot à dire n'importe où." Haaland contre tout le monde : est-ce vraiment comme ça ? "Erling est extraordinaire. Mino Raiola avait aussi une grande intuition sur lui. Les assisteurs ne manquent pas à City : Guardiola sait bien le servir et c'est un sniper redoutable." Alors la clé du match ? "Je n'ai pas dit ça. L'Inter a aussi des attaquants de haut niveau. Ils seront très opportunistes." Qui est l'attaquant le plus fort du monde ? "Les chiffres disent Haaland mais pour moi c'est une question de goût. Osimhen, par exemple, est spécial. Il peut tout faire sur le terrain, un peu comme moi dans mes belles années. Et puis c'est un garçon unique." Vous êtes-vous réjoui pour le Scudetto de Naples ? "Bien sûr. Je me sens lié à la ville. Avec ma fille, une partie de Naples est toujours avec moi. Et puis l'équipe de Spalletti a tout mérité." D'autre part, depuis combien de temps n'avez-vous pas parlé à Roberto Mancini ? "J'attendais son appel avant la Macédoine. Je ne sais pas ce qui s'est passé." Votre amour pour l'équipe nationale est resté intact. "Bien sûr. Le maillot est une chose, puis les relations avec les personnes en sont une autre." Retournerez-vous en Italie ? "Doucement, j'ai encore un an de contrat avec Sion. Mais la Serie A resterait un objectif passionnant." Traduction alex_j via FCInterNews.
  3. Invité de Gianluca Gazzoli le 16 Mai dernier, Marco Materazzi est revenu sur sa carrière et des passages de l'Inter. Comment avez-vous vécu l'après-retraite ? "J'ai arrêté en 2011, la première année tu fais tout ce que tu n'as jamais fait durant ta carrière. Puis vient l'effondrement deux ans plus tard. Les vestiaires, les gens me manquent mais ce soir je vais au coin pour Inter-Milan parce que je me sens comme l'un d'eux, comme lorsque je jouais. C'est pour ça que ça me manque moins évidemment. Ensuite, quand vous avez une vie bien remplie, si vous avez créé quelque chose au-delà du football, vous la vivez bien." Votre carrière d'entraîneur. "Je l'ai fait en Inde pendant trois ans, en remportant un championnat. J'ai aimé ça parce que c'était 'vierge', je devais tout faire moi-même. On a monté une équipe, la dernière franchise. On a gagné la saison régulière, puis on a perdu en demi-finale parce que nous étions cuits. L'année suivante, nous avons gagné, l'année dernière nous ne nous sommes même pas qualifiés. En Inde, la religion, c'est le cricket mais quand vous allez jouer à Calcutta, il y a un énorme public." Tu es devenu l'idole des fans des équipes pour lesquelles vous avez joué parce que tu avez toujours donné votre cœur. "Je préfère avoir l'amour de mes parents et la haine des autres. Au moins tu es quelqu'un qui divise, qui a le courage de dire ce qu'il pense." Puis tu es devenu l'idole de tout le monde en 2006. "Pendant un mois et c'est tout, le temps de célébrer. Ma situation à la Coupe du monde a été décrite de manière incorrecte : sur 10 personnes que je rencontre, 9 disent que j'avais raison. On n'a jamais vu un joueur dans l'histoire du football écoper d'une suspension de deux matches pour provocation, j'en suis fier. Je sais comment les choses se sont passées, je n'aurais certainement pas mérité une disqualification en deux matchs. Mais il y avait un "bandit" à la Fifa, il a fait en sorte que ça se passe comme ça. L'avocat de la Fifa m'a appelé alors que j'étais en vacances aux Maldives pour rentrer à Zurich. Je lui ai répondu : 'tu es stupide, quand je reviendrai peut-être que je viendrai'. Puis je suis finalement allé et j'ai été jugé sans être entendu. Ils l'ont joué et chanté, mais il n'en reste pas moins que je suis champion du monde. J'étais un peu désolé parce que j'aurais aimé jouer au Stade de France après la Coupe du monde, j'aurais aimé les défier. Malheureusement ils m'ont empêché... C'était des conneries, Tassotti lui a pris 9 matches pour un coup de coude, un de plus que moi. J'aime me souvenir des deux buts que j'ai marqués, l'un avec la tête et l'autre avec le ballon médicinal de 10 kilos, car ce n'est pas facile de marquer un penalty. Heureusement, Barthez n'est pas si grand mais je savais que je devais marquer. Zidane ? Je le félicite pour ce qu'il a fait en tant que joueur et en tant qu'entraîneur. Ce qui s'est passé cette nuit-là est son problème plutôt que mon problème." Le Triplete. "Pour moi, et pour tous ceux qui ont souffert en 2002, c'était la cerise sur le gâteau. Le noyau historique de cette équipe a atteint son apogée, ils ont gagné à juste titre après avoir souffert. C'était une gratification sportive, pas qu'en Italie personne ne l'a jamais et nous l'avons fait, nous seuls. Pas même le Real Madrid, qui est l'équipe la plus titrée de l'histoire. Ce n'est pas facile ce que nous avons fait. Dans le sport, ce n'est pas toujours l'équipe la plus forte qui gagne mais aussi l'unité d'un groupe, les détails , l'entraîneur n'a rien fait de mal." Aviez-vous des stratégies pour intimider ? "Non. Si je te le faisais, on se disputerait. Samuel, mon idole, si tu lui disais quelque chose il ne te répondait pas. Peut-être que j'ai eu tort de discuter, oui. Ai-je exagéré? Non, ce qui est fait est fait, je ne nie pas le passé." Ronaldo. "La puissance de Cristiano avec la vitesse d'exécution et le talent naturel de Messi. Et il a fait ces choses il y a 20 ans, il était dans une autre catégorie." Le câlin avec Mourinho après la victoire à Madrid. "'M'abandonnez-vous l'année prochaine?'. Je savais qui arriverait malheureusement (Benitez, ndlr). Avec José on s'est toujours dit des choses, je l'ai toujours aidé. Il m'a dit lui-même que la deuxième année il aimait m'entraîner, même s'il m'a dit que je pouvais aussi jouer zéro match. Après 1' j'ai répondu : 'je reste avec vous'." Souvenirs du derby et de la photo iconique avec Rui Costa. "L'ambiance était belle, c'étaient de bons matchs. J'ai signé de nombreuses photos... Le gâchis s'est produit dans la Curva, dans cette circonstance ils ont exagéré, et je dis cela en ayant une excellente relation avec les fans. Ce n'est plus du football, c'est ce que il nous a fait du mal, pour le match perdu et la disqualification du terrain, mais aussi à Milan. Ça n'a pas de sens de gâcher des matches comme ça." Êtes-vous un fan de l'Inter ? "Je ne l'étais pas, mais je le suis devenu. Lors de ma première année à l'Inter, j'aurais pu tout gagner et à la place, j'ai tout perdu. Ce n'était pas facile de recommencer après le 5 mai. Nous avions beaucoup changé, l'année après le 6 -0 du derby. Nous sommes partis de zéro, nous aurions mérité le Scudetto même si nous n'étions pas les plus forts. Je ne veux pas être rhétorique mais quelque chose s'est mal passée." La relation avec Ibrahimovic. "Il n'y a aucune aversion de ma part, il le jette de temps en temps, c'est aussi arrivé à son retour à Milan. Il aime attaquer l'idole Interisti. Il n'y a pas de rancune de ma part. Il ne gagnera jamais la Ligue des champions et la Coupe du monde, parlons de gagner des scudetti avec la Juve, le Psg, Milan et Barcelone... Ils sont tous bons, il l'a fait. C'est un phénomène, c'est un champion mais il n'est pas le plus fort, pas aussi fort qu'il se voitt. Il a créé une marque, mais il n'est pas le plus fort. Lui, comme moi, est fier du parcours et d'où il vient. Chapeau bas pour ce qu'il a fait, alors que mère nature lui a donné un physique et deux pieds incroyables. Dans les championnats, c'est un phénomène. Son adieu fut agité. J'ai perdu le Scudetto la première année et je suis resté à l'Inter, puis j'ai été récompensé. Maintenant, il s'est un peu calmé, il est l'idole des supporters milanais et il est heureux à Milan." Des relations privées après des joutes publiques ? "Je n'ai aucun contact avec lui et je m'en fous, chacun suit son chemin." Traduction alex_j via FCInterNews.
  4. Stéphane Dalmat s'est entretenu sur Itasportpress.it pour évoquer la finale contre City et les actualités de l'Inter. Pep Guardiola. "Une finale contre un Italien n'est pas le meilleur match que vous puissiez avoir. Je pense que Guardiola craint l'Inter parce que c'est celle qui est la plus difficile de toutes à battre sur un seul match. La Juve, le Milan, le Napoli et toutes les autres équipes italiennes n'ont pas cette caractéristique. Les Nerazzurri savent être mortels." En parlant d'Inzaghi: jusqu'à il y a un mois, son limogeage était invoqué... "Même moi, je n'étais pas très convaincu de lui car l'Inter avait perdu trop de matchs. J'ai changé d'avis, en un mois, il a rendu la saison de l'Inter parfaite." En quoi cette Inter ressemble-t-elle à celle de Cuper ? "Zéro. Ce sont deux techniciens complètement différents. Inzaghi est plus pour le jeu, pour la technique et pour la tactique. Cuper était plus soucieux de battre physiquement l'adversaire." Le derby de 2023 a-t-il vengé votre derby de 2003 ? "Avec ces deux victoires, l'Inter actuelle a effacé ce mauvais souvenir. Ensuite, pour moi, l'Inter mérite la finale et la victoire en Ligue des champions : ils ont vaincu Porto, Benfica et Milan..." Traduction alex_j via FCInterNews.
  5. Les deux victoires de l'Euroderby contre Milan "resteront dans les mémoires à l'avenir," selon Massimo Moratti protagoniste d'un entretien exclusif avec Tuttomercatoweb.com. On peut parler de cette finale ? "Ne parlons pas de la finale, faisons comme si de rien n'était (rires, ndlr). Ce sont deux matchs qui ont éclairé toute la saison, très importante et belle, surtout les 20 premières minutes du match aller qui ont été décisives non seulement pour les buts mais pour une telle supériorité qui provoqué un grand complexe à Milan." Cette victoire venge-t-elle l'élimination de 2003 ? "Certainement. La même chose était à gagner et à l'époque ça s'était mal passé. Cette fois-ci, ça s'est bien passé, en effet. Je dirais très bien, dans le sens où il n'y avait aucun doute sur qui devait aller en finale." Que signifie le retour en finale pour l'Inter après 13 ans ? "C'est une grande satisfaction, une immense joie de voir des supporters si heureux. En tout cas être parmi les deux meilleures équipes d'Europe est une chose merveilleuse. Pouvoir participer à la finale nous rend très fiers." Où Inzaghi a-t-il eu le plus grand impact ? "Je dois dire que si l'on regarde sa progression en championnat, il ne peut qu'être déçu par les 11 défaites, que j'ai moi-même, très honnêtement, imputées à Inzaghi. Mais si vous allez ensuite voir ce qu'il a fait dans les coupes, c'est miraculeux, il est très bon. L'équipe a non seulement bien joué mais avec le bon caractère et l'attitude pour atteindre la finale. Super félicitations, je retire tous ces doutes sur lui." Manchester City semble imbattable. Combien de chances l'Inter a-t-elle de gagner ? "Je ne sais pas. Je connais les finales et je sais surtout qu'il faut être superstitieux jusqu'au bout (rires, ndlr). L'inter est rapide dans le jeu, c'est un jeu totalement différent du Real Madrid, donc on ne peut pas faire de comparaisons. Cependant, les Nerazzurri sont surprenants, ils jouent en profondeur et très franchement ils peuvent vraiment embêter Manchester City qui reste très fort." Traduction alex_j via FCInterNews.
  6. Simone Inzaghi a rejoint les micros de Sport Mediaset après le coup de sifflet final de l'Euroderby. Vos impressions ? "Dans les prochains jours on va se rendre compte. Pour nous c'était un rêve mais on y a toujours cru. Un parcours extraordinaire, gagner un derby en demi-finale de cette façon apporte de la satisfaction." Qu'est-ce qui vous a le plus plu dans votre équipe ? "Tout. Ils ont été très bons, nous avons eu quatre derbies depuis janvier et nous les avons gagnés, même s'ils sont champions d'Italie et qu'ils ont de la qualité. Je suis content pour les garçons." Maintenant, les Nerazzurri vous demanderont de gagner la Ligue des champions. Envie de faire une promesse ? "Promesse non. J'aurais dit que nous aurions fait un effort fou dans toutes les compétitions, à partir du 1er Avril nous avons atteint le 16 Mai en jouant tous les trois jours mais nous avons eu deux finales et redressé le championnat. Bravo aux garçons." Real Madrid ou Manchester City ? "Ce sont deux des meilleures équipes d'Europe, le match aller a été équilibré. Je suis content pour nous, je regarderai le match avec intérêt demain." Les cailloux sont-ils dans la chaussure droite ou dans la chaussure gauche ? "Dans aucune des deux. Je sais qui a toujours été là et qui n'était pas là en cas de besoin. Je sais tout ce qui s'est passé ces derniers mois mais j'ai un excellent personnel et de grands joueurs. C'est juste que nous tous travaillons ensemble, profitons de ces soirées. Nous sommes l'Inter et nous voulons aller de l'avant, également en championnat." Votre relation avec l'Inter s'est-elle renforcée dans votre souffrance ? "Je suis fier d'être ici. Je sais ce qui est arrivé à l'Inter quand j'ai été appelé et ce qu'on m'a demandé, à savoir aller en huitièmes de finale de la Ligue des champions. Cette année, nous nous sommes surpassés mais personne ne nous a rien donné, maintenant la finale s'est réalisée." Traduction alex_j via FCInterNews.
  7. Le "olé" de fin de match suffirait à souligner la supériorité de l'Inter sur le Milan. Les premiers sont en finale de la Ligue des Champions après avoir remporté un énième derby, les seconds rentrent chez eux la queue entre les pattes. Envoi d'Il Diablo en enfer cette fois-ci et c'est Lautaro Martinez qui scelle le 1-0, qui signe le rendez-vous à Istanbul et avec l'histoire. Première mi-temps Contrairement au match aller, le Milan démarre cette fois plus fort, grâce au résultat du premier acte et à la nécessité d'accélérer le jeu au retour. L'Inter garde le centre de gravité un peu plus bas et alterne les phases d'agression mais sort à distance avec la qualité de l'entrejeu, exploitant le dribble et en tout cas arrivant souvent à la conclusion. D'un côté Onana et de l'autre Maignan envoient pourtant les équipes au repos dos à dos avec ce 0-0 lui aussi dicté par l'imprécision générale. La tuile pour Inzaghi est la perte de Mkhitaryan (remplacé par Brozovic) en raison d'un problème musculaire. Deuxième mi-temps En deuxième mi-temps, le chronomètre tourne plus vite, Milan essaie sans conviction et l'Inter le punit au bon moment, également grâce au double changement d'Inzaghi qui jette Gosens et Lukaku dans la mêlée contre Dimarco et Dzeko à la 65e minute. Seulement neuf minutes plus tard, c'est Big Rom lui-même qui a lancé Lautaro qui a percé les mains d'un Maignan moyen sous un angle serré avec son pied gauche et a fait exploser le Meazza. Les entrées de Gagliardini et Correa contre Barella et le Toro sont pour l'enregistrement mais aussi pour éviter le double jaune qui coûterait le rendez-vous et avec l'histoire et avec Istanbul, où l'Inter jouera la Ligue des champions contre un colosse entre le Real Madrid et Manchester City. Il est encore temps de rêver. Traduction alex_j via FCInterNews
  8. Romelu Lukaku s'est entretenu hier avec CBS après le succès contre Milan lors du match retour de l'Euroderby. Impression générale. "Ce fut une saison très difficile pour nous, mais à la fin nous avons tous tout donné et le mois dernier nous avons remis les choses en place en championnat et atteint la finale des coupes. Être présent dans le dernier acte des Champions La ligue est quelque chose de vraiment important pour nous." Une saison noire qui se termine bien ? "Maintenant, l'équipe est presque complète et l'entraîneur peut utiliser tout l'effectif, aussi parce que celui qui joue donne tout. Sur le plan personnel, je peux dire que je vais très bien maintenant mais j'ai beaucoup souffert. Des mois très difficiles plus tard, la blessure, aussi parce que sa gravité n'était pas immédiatement claire. Ensuite, je suis allé au Qatar mais je n'étais pas en forme et plus tard, j'ai dû m'arrêter à nouveau. J'ai travaillé dur pour revenir en forme et maintenant nous voulons finir de la meilleure façon possible cette saison." Henry lui demande un avis sur Simone Inzaghi. "L'entraîneur a beaucoup de mérites pour ce que nous avons réalisé. Il y a deux ans, nous avons remporté le Scudetto en profitant principalement de la reprise, alors que l'année dernière, l'Inter a fait un peu de contre-attaque et un peu de possession de balle. Cette saison, nous avons commencé par essayer avec une pression très élevée mais nous avons encaissé trop de buts et cela nous avait coûté plusieurs points. De ce fait, Inzaghi est revenu et les résultats sont évidents. Maintenant, nous avons un centre de gravité plus bas pour ensuite attaquer rapidement, et ça a été le tournant." Qui en finale à Istanbul ? "Je pense que ce n'est pas important, City et le Real sont deux grandes équipes. Guardiola a un plan tactique différent pour chaque match et cela met les adversaires anglais en difficulté. Ancelotti peut compter sur deux ailiers offensifs de grande qualité tels que Vinicius et Rodrygo ainsi que sur de nombreux joueurs de classe mondiale et d'autres tels que Valverde qui le deviennent." Traduction alex_j via FCInterNews.
  9. A quelques heures de l'Euroderby, la Curva Nord qui est déjà au Meazza pour préparer l'étonnante chorégraphie qui accueillera les équipes à leur entrée sur le terrain sonne la charge pour tous les fans de l'Inter à travers le fanzine 'L'Urlo della Nord', avec les indications pour la parfaite réussite de la scénographie. Voici leur message, également adressé aux joueurs sur le terrain. TANT QUE CE N'EST PAS FINI, CE N'EST PAS FINI... CE SOIR NOUS DEVONS ETRE 70 000 NERAZZURRI EN FURIE !!! Inutile de se cacher, le résultat du match aller nous oblige à prendre le terrain en tant que favoris, mais personne n'a l'illusion que c'est déjà fini. Les entreprises se construisent ensemble et ce soir les Nerazzurri sont à nouveau appelés à faire la différence. Le stade sera Nerazzurro et une immense chorégraphie le colorera comme jamais auparavant pour montrer immédiatement à quel point nous tenons à nous. ATTENTION !!! A l'entrée des équipes, tenons les cartes à deux mains et LE TÉLÉPHONE DANS LA POCHE, la parfaite réussite de la chorégraphie dépend de tous les interistes présents!!! Dès le coup d'envoi, notre voix devra alors submerger ceux devant nous et pousser les gars vers le but final. L'histoire est à un pas mais personne ne doit se ménager, CEUX QUI NE DONNENT PAS TOUT NE DONNENT RIEN. AVANTI INTERISTI, AVANTI CURVA NORD !!! Traduction alex_j via FCInterNews.
  10. Invité spécial aux micros d' Inter TV. Avant Inter-Milan, le grand Marco Materazzi s'est entretenu avec le diffuseur Nerazzurri. Ses mots. L'Inter à un pas de la finale. "En ce moment, il y a un désir de profiter d'un bon match après un résultat important au match aller. J'espère qu'à la fin, il y aura une bonne fête pour nous. Maintenant, avec le nouveau règlement, chaque match est différent. Nous savons que nous a fait un chemin important. Quand on n'encaisse pas de but en Ligue des champions, c'est beaucoup de choses. Nous, les supporters, étions peut-être un peu sceptiques mais l'équipe nous amène à vivre un rêve. En Ligue des champions, l'équipe a toujours donné le sentiment de jouer contre n'importe qui alors que les matchs les plus difficiles venaient. Tous ceux qui ont joué et même ceux qui étaient sortis ont ramé dans la même direction, je pense à De Vrij qui est venu se battre pour chaque balle. C'était la clé." Une réflexion sur Darmian ? "Il a fait un championnat incroyable, il a apporté une contribution incroyable quand il a joué. Nous ne pensons qu'à Lisbonne, ce qu'il a fait pour nous, il doit être considéré avec beaucoup d'affection." Milan récupère Leao. "Il faut voir comment il aborde le match. Je pense que le Portugais n'a pas encore montré toutes ses qualités en Ligue des champions parce que le talent ne se discute pas objectivement. Ensuite, il faut comprendre quel impact aura le problème musculaire dont il souffre." Acerbi est convaincant. "Le parcours d'Acerbi a été exceptionnel, toujours attentif à chaque match. Quand il a fait une erreur, l'erreur n'avait pas d'importance. De Lautaro Martinez, mais de toute l'équipe, j'attends un match de champion du monde ce soir. Il est très proche d'atteindre cet Olympe de joueurs qui, comme moi, ont gagné la Coupe du monde et la coupe aux grandes oreilles. Nous jouerons pour la victoire au milieu de terrain où je crois que nous sommes plus forts, j'espère que le numéro 23 sera le MVP." Traduction alex_j via FCInterNews.
  11. Tout le monde s'exprime sur le retour de l'Euroderby, y compris Antonio Cassano lors de son émission FantAntonio sur 'Bobo TV'. "Il est pratiquement impossible pour que le Milan revienne de deux buts face à l'Inter lors du match retour de l'Euroderby. L'Inter doit jouer à 7, avec les garçons de la Primavera pour être éliminée. Et encore, il y a le risque que Milan ne puisse pas les battre! Avec ou sans Leao, ça ne change rien! Milan est inférieur à l'Inter. Le Portugais n'est pas Kakà ou Ronaldinho, je ne le vois pas ce niveau. Pour moi, seule une catastrophe doit arriver pour que l'Inter sorte. Après le match aller, la performance du mois dernier et les deux buts d'avance, à mon avis, il n'y a plus aucune chance pour les Rossoneri. Alors peut-être que pour la énième fois je me tromperai dans ma prédiction..." Sacré Cassano... Est-il fou ? Est-il génie ? Seul Dieu le sait Traduction alex_j via FCInterNews
  12. Marco Materazzi et Goran Pandev s'expriment sur le retour de l'Euroderby aux micros de Sky Sport. Marco Materazzi A propos de Goran Pandev. "On s'entendait très bien avec Goran, on avait la fraterie tzigane avec Chivu, Stankovic, on était comme des frères. On s'aimait. Cette année (2010, ndlr), il est est arrivé en Janvier et a fait la différence. Ce n'est pas donné à tout le monde." L'Inter peut perdre ? "Oui. C'est vrai. Quand tu joues sans plus rien à perdre, tu es plus calme comme eux maintenant. Voyons comment ça se passe. On joue à domicile, il va falloir commencer fort. Nous devons les mettre sous pression immédiatement." Avez-vous bien dormi avant le Camp Nou ? "Non avant le Camp Nou mais avant le match aller oui. On savait qu'aller là-bas pour défendre la victoire 3-1 n'était pas facile, il y avait le but à l'extérieur. Puis Thiago Motta a été expulsé et l'obstacle semblait insurmontable. Mais nous voulions vraiment cette finale et nous l'avons atteinte." L'Inter n'aura pas à gérer. "En tant que fan, c'est la seule peur, si vous le maintenez à 0-0, une étincelle ou un but audacieux suffit pour relancer le match. Je pense que les garçons montrent qu'ils sont en excellente condition physique et ils essaieront d'en faire une formalité. Quand on joue 7 matchs de Ligue des Champions sans encaisser de but, ça veut dire qu'on a fait quelque chose. Ils voudront prouver qu'ils méritent la finale." Une comparaison avec votre Inter ? "Je n'aime jamais faire de comparaisons. Je préfère la mienne, mais j'aimerais que celle-ci gagne à nouveau, surtout parce que cette année ce serait vraiment inattendu. Ils peuvent nous faire rêver, je l'espère. Ce serait merveilleux comme fan, nous serions les premiers Italiens après tant d'années." Goran Pandev Ses souvenirs du derby. "Je me souviens quand je venais d'arriver de la Lazio en Janvier, on avait gagné 2-0 avec un but sur coup franc. Nous étions dix parce que Sneijder a été expulsé. Ce sont toujours des matches passionnants." Aimé partout ? "J'ai essayé, là où j'étais, de donner le meilleur de moi-même. Parfois tu réussis et parfois non. J'ai toujours tout donné sur le terrain. Materazzi m'a tellement donné. Il était comme un père, il m'a aussi donné des coups mais pour moi c'était fondamental." Un conseil aux joueurs ? "Dans les deux soirées avant Barcelone, je n'ai pas dormi. Mais après 5 minutes, dès que le match commence, tout semblait normal. Il y a beaucoup de gens expérimentés à l'Inter, physiquement ils vont bien, mais il va falloir oublier le match aller. Je pense qu'ils peuvent passer le tour, ils ont aussi récupéré des joueurs sur le banc, ils marquent tous des buts et en encaissent peu. On sait que Leao est de retour mais ils le connaissent bien et je pense ils joueront un grand match. Cette Inter est forte mais la nôtre a certainement eu des gens comme Eto'o qui a gagné des matchs tout seul. Ce sont deux Inters très différentes." Inzaghi ? "Il a beaucoup changé, nous avons passé cinq ans ensemble à la Lazio. Il a montré qu'il savait souffrir, il a eu des difficultés mais s'il atteint la finale de la Ligue des champions, il aura fait une grande chose. J'espère qu'il pourra le gagner car un club comme l'Inter le mérite." Comment jugez-vous la saison de l'Inter ? "L'Inter a deux grands directeurs sportifs à Marotta et Ausilio, je sais ce qu'ils peuvent faire. À mon avis, cette saison pour l'Inter est positive si au final ils terminent à la deuxième place, vont en finale de la Ligue des champions et remportent la Coupe d'Italie. Ils ont quatre grands attaquants, à mon avis. Vous ne pouvez pas vous planter maintenant parce que tout le monde va bien. Correa a eu quelques problèmes mais ce sont les attaquants qui font la différence." Traduction alex_j via FCInterNews
  13. S'exprimant aujourd'hui sur Radio Anch'io Lo Sport, notre ancienne légende Gianluca Pagliuca s'est exprimé sur les divers sujets brulants de l'Inter. L'Inter passant le Milan pour la finale de la Ligue des Champions ? "L'Inter commencera comme favorite avec son 2-0 mais je ne vois pas le Milan 'battu' d'avance. Je suis convaincu que l'Inter a d'excellentes chances et j'espère qu'ils atteindront la finale mais les Rossoneri vendront chèrement leur peau. En championnat, je pense que le Milan sera dans le top 4 car les quatre plus forts y iront : Naples, l'Inter, la Juventus et Milan... La Roma aurait quelques points de plus s'il n'y avait pas eu les coupes." Onana vs Maignan "Ils sont tous les deux très forts. Pour l'instant je suis du côté de Maignan mais Onana connaît une saison incroyable en Serie A. Je ne pensais pas qu'il éclorait si tôt car je pensais qu'Handanovic avait plus de 'touché'. Mais Maignan est l'un des trois plus forts du monde." Plus peur d'affronter le duo Lukaku-Martinez ou Dzeko-Martinez ? "Lukaku est vraiment en forme, il redevient le joueur décisif qu'il était. J'aurais plus peur d'affronter Lukaku-Lautaro que Dzeko-Lautaro. Ils s'entendent bien, ils ont remporté le championnat avec Conte et cette année ils étaient à leur paroxysme. Je pense qu'ils finiront la saison sur une bonne note." Les jeunes gardiens italiens "J'aime vraiment Vicario , il a eu un championnat incroyable et il est déjà prêt pour des clubs plus importants. Carnesecchi est bon mais je le laisserais faire une autre année dans une équipe moyenne pour ensuite sauter le pas aussi." La confrontation joueurs-fans qui a eu lieu à la Spezia après la défaite du Milan "Je ne comprends pas comment les joueurs de Milan qui ont fait une belle saison doivent s'excuser d'avoir perdu. Je peux comprendre si vous êtes relégués. Milan a perdu mais parce qu'ils sont probablement déjà concentrés sur le derby. Quiconque a fait ce travail pendant tant d'années peuvent comprendre cela. Certains fans ne le comprennent pas. Ils pensent que Milan devrait aller à La Spezia et gagner 3-0 et ce n'est pas le cas." Traduction alex_j via FCInterNews.
  14. Francesco Acerbi parle lors de la conférence de presse rituelle à la veille du retour de l'Euroderby. Voici ses déclarations, celui qui est désormais devenu un pilier essentiel de l'équipe. La même approche vue avec Benfica sera-t-elle nécessaire ? "En plus, c'est une demi-finale contre un Milan qui voudra renverser la vapeur. Cela dépend de nous, de notre approche et de notre détermination. Milan voudra faire quelque chose d'extraordinaire mais nous serons prêts." Êtes-vous prêt pour ce genre de défi ? "Oui, parce que c'est un match merveilleux à jouer et cela donne la bonne adrénaline et le stress d'affronter Milan lors d'un retour en Ligue des champions. Ce sera plus difficile mais nous voulons faire quelque chose qui était impensable en début de saison." Comment vivre un match incroyable même pour l'histoire d'un footballeur ? "Ce sont des angoisses, des pensées positives et négatives. Il faut être positif, avoir confiance en soi et dans le groupe. Nous affrontons une équipe solide mais nous aussi, avec enthousiasme et attention à vouloir jouer le jeu. Si nous pensons déjà que nous sommes même à 1% de passer, nous ferons une énorme erreur. Mais nous ne sommes pas comme ça, ce sera un match encore plus difficile mais nous ferons tout pour passer." Qu'est-ce qui a changé en défense ? "Si vous ne vous entraidez pas avec toute l'équipe, vous perdez. Toute l'équipe a changé de braquet et voici les résultats. Mais sans la cohésion de chacun, vous ne gagnerez pas." Y a-t-il des similitudes entre l'Inter Milan et l'Italie championne d'Europe ? "Ce sont deux compétitions différentes, un groupe extraordinaire s'est immédiatement formé là-bas. Aujourd'hui, nous devons faire quelque chose d'encore mieux qu'au match aller." Comment ne pas être trop sûr à 2-0 ? "On n'est pas sûr du tout, on a été très calmes mais sans trop d'acclamations à la fin car il y a une remontée. On n'a rien fait, ce serait une erreur de penser qu'on a des chances de passer plus élevés que Milan. Nous savons que nous pouvons faire quelque chose d'important. Nous devons avoir un équilibre, avoir la bonne approche. Ce n'est pas facile d'apaiser la tension à la veille." Vous avez joué à tous les matchs, quel est votre secret ? "Je me repose bien, j'essaie toujours de me tenir prêt. J'essaie toujours de récupérer mon énergie physique pour toujours penser au prochain match. Ensuite, c'est à l'entraîneur de décider s'il me laisse jouer mais mon approche doit toujours être élevée." Beaucoup d'Italiens sur le terrain, est-ce bon signe ? "Oui, les Italiens sont en déficit en ce moment donc c'est toujours agréable d'avoir beaucoup d'Italiens sur le terrain. Ensuite, le reste ne me concerne pas." Comment la prise de conscience d'accepter cela a-t-elle été créée ? "Vous êtes à l'Inter, vous savez toujours que n'importe quel joueur peut venir à votre place. Il y a toujours un temps libre parce que vous avez des coéquipiers aussi bons que vous et il est donc normal que vous vous reposiez. Ensuite, tout le monde doit être conscient qu'il peut aider. Savoir que tu as des coéquipiers qui peuvent faire aussi bien que toi est un signe de maturité." Vous avez eu une expérience à Milan qui ne s'est pas déroulée comme prévu. "C'était un passage de ma vie que je devais faire, j'étais un peu con. J'ai eu cette maladie qui m'a fait reprendre mes esprits sinon je n'aurais plus joué. Mais il n'y a pas de revanche, je m'intéresse à demain." Combien l'Inter vous a-t-elle donné pour venir de la Lazio ? "Ce sont des choses du passé. Je suis honnête, je dois remercier l'entraîneur, car sans lui je ne serais pas là. Il me connaît mais je le répète, j'essaie toujours de faire de mon mieux pour moi et pour mes coéquipiers. Cependant, j'ai des objectifs et tant que je jouerai au football, je passerai toujours mon chemin si ça ne va pas. Je sais ce que je veux et je sais ce que je ferai, grâce à l'entraîneur et aux coéquipiers qui m'ont donné un coup de main pour arriver ici. Ensuite, c'est au joueur de décider." 17 matchs en deux mois peuvent-ils vous pousser à être le professionnel que vous étiez ? "Si on ne passe pas demain c'est une catastrophe, une saison de merde. Ou plutôt : un match suffit pour transformer une belle saison, entre guillemets, en une je ne dis pas faillite mais où tu dis que tu as perdu après avoir gagné 2-0... Tout dépend de demain. C'est une très bonne saison jusqu'à présent, alors nous verrons comment ça se passe." Qu'est-ce qui change au niveau tactique avec Leao ? Et la confrontation avec les supporters va-t-elle choquer ? "Nous verrons. Ils viennent d'une période pas aussi merveilleuse que celle que nous avons connue. Demain sera un test de fierté, nous devons nous attendre au meilleur de Milan. Leao est leur meilleur joueur, le plus décisif. Nous l'arrêterons avec le équipe entière." Traduction alex_j via FCInterNews.
  15. Egle Patanè, éditorialiste à FCInterNews, a écrit un beau texte concernant le match retour de l'Euroderby. Un, deux, trois, soleil ! La situation n'a jamais autant collé à ce jeu d'enfants. Et pour l'Inter, il faut viser l'étoile puis revenir sur terre et y rester. Là, à la 3e place du classement, et là, en route vers Istanbul même s'il reste encore un laissez-passer à gagner pour la métropole turque, du moins définitivement. Reste là, Inter. Reste là. Au plus fort d'une saison colorée, fluctuante, folle et borderline, faite de hauts et de bas, et enfin, après tant de bas (onze pour être exact), un pic au sommet qui fait presque peur au vu des dix jours à venir. Car telle est la nature de l'Interista, faite de peurs, d'appréhensions et d'angoisses toutes dirigées et concentrées sur elles-mêmes plutôt que de regarder les autres. Oui, il faut bien le dire, on est tous un peu André Onana lors de l'avant-match Milan-Inter de Mercredi dernier quand il a dit qu'il n'avait pas peur du Milan mais de l'Inter. Et avec tant de foi dans les moyens de ce sacré Simone Inzaghi, aujourd'hui à un pas de la revanche après tant de critiques, toute réserve envers l'enthousiasme inconditionnel a raison d'être et ce "+2" à l'aube du retour d'un Euroderby vaut même plus que le rêve du 10 juin et l'angoisse de se prononcer n'est pas sacro-sainte mais plus. Réserves, sacro-saintes (on le répète), mises à part, avouons-le, chuter maintenant serait impardonnable. Pourtant, quel vrai fan de l'Inter, logique mise à part, peut dire qu'il est calme ? Pas même les optimistes les plus téméraires, les plus fous. Alors baissez la tête et pédalez. Le 4-2 contre Sassuolo est thèse et antithèse, preuve et contre-preuve à la fois et nous voilà dans le même dilemme qu'il y a une semaine : tête ou coeur? Raison ou sentiment ? Tout et rien, selon le scénario. Et s'il est vrai que la raison apporte une bouffée de sérénité qui, Dimanche dernier, avait moins de force. L'histoire nous enseigne de ne jamais baisser son armure, même pour souffler, ne jamais baisser sa garde… Frattesi l'a enseigné. Ce n'est pas un hasard si face aux neroverdi, adversaires coriaces par excellence, après un 3-0, la chute de tension a conduit à un sursaut collectif qui a ouvert la voie aux vieux démons que les 71 000 présents au Meazza avaient presque oubliés. Mais heureusement il arrive, lui, le bon géant mis en cause pendant les trois quarts de la saison, où Big Rom, qui après un 3-0 devenu 3-2, a mis les choses au clair. Je suis en charge ici, c'est ma maison. Et ce 4-2 était complet avec une ovation finale. Mais Sassuolo, avec tout le respect que je vous dois, reste le Sassuolo. Et trois points en Serie A ne sont certainement pas comparables à la route d'Istanbul pour "écrire l'histoire" et les deux buts marqués par l'équipe de Dionisi devraient faire réfléchir le onze (plus les remplaçants) qui doit terminer le match. Dans la manche de l'Inter, il y a la bonne carte du double avantage inscrit dans le premier acte mercredi dernier. Cependant, le ballon est rond et le football est imprévisible et étrange. Ainsi, dans l'étrangeté et l'imprévisibilité de l'affaire, l'équipe d'Inzaghi a beaucoup à dire, surtout pour manifester et s'il y a un jour où elle peut le faire, ce jour-là, c'est mardi prochain, c'est demain. Mais qui ose signer aujourd'hui ? Seul le plus fou des interprètes, et n'en déplaise à l'ancien commandant de ce groupe qui a jeté les armes, il y a beaucoup de fous, y compris des génies, et le fait logique qu'eux, les interprètes de cette saison schizophrénique, devront signer l'épilogue. Être ou ne pas être? Être… espérons-le. Alors croyons que le rêve… (au moins le prélude) est faisable mais seulement si avec l'intention de… car s'il est vrai que tout est destin, il est également vrai que "homo faber fortunae suae", (l'homme fabrique sa destinée, ndlr). Alors Interisti, soyez les architectes de votre propre destin. Traduction alex_j via FCInterNews, texte Egle Patanè.
  16. L'Inter racontée par notre Beppe Marotta fraîchement nommé Chevalier de la République italienne. Il est la star de l'espace "Je vous parle de l'Inter" dans le cadre de la "Milan Football Week" qui se déroule actuellement au cinéma Anteo de Milan. Voici son histoireracontée aux journalistes de la Gazzetta dello Sport. Le titre de chevalier "Immense satisfaction mais ces titres vont généralement à ceux qui sont plus âgés. J'ai 47 ans de carrière, je pense que l'heure du repos arrive." Comment allez-vous après le 0-2 de l'Euroderby ? "Généralement bien car on est à mi-parcours. On a un avantage mais il faut bien lire l'instant et être humble, motivé, convaincu qu'on peut le faire et réaliser quelque chose d'important. Mais il ne faut pas se complaire dans ce résultat, l'expérience m'apprend qu'il y a des cas où ça peut tourner." Partagez-vous les réflexions d'Ancelotti sur la pression générée par ce challenge ? "C'est l'entraîneur italien le plus titré de tous les temps, pour moi c'est LE entraîneur. Mais quand vous êtes sur le point de vivre un tel acte d'une compétition importante à ce moment de la saison, votre cœur bat plus vite. Ce soir, il y a un match que nous ne sous-estimerons pas mais l'esprit est à Mardi." Y a-t-il des regrets de ne pas avoir marqué le troisième but ? "Le plus important est la performance qui a convaincu tout le monde. Ce sont les meilleures conditions pour affronter un excellent adversaire au match retour. Ensuite, le 2-0 est différent du 3-0 mais ensuite le poteau de Tonali est également arrivé. Personne n'aurait jamais imaginé le 2-0." Quels seraient les mérites d'Inzaghi en cas de finale ? "Beaucoup, comme dans le cas négatif, l'entraîneur est visé par les critiques. Ensuite, il faut aussi parler des acteurs hors des projecteurs, comme les magasiniers. A l'Inter, il y a une grande culture qui est celle de toujours donner le maximum. L'expression maximale est Inzaghi qui a su surmonter des moments de forte pression et peut-être de critiques exagérées mais ceux qui vivent dans le sport doivent vivre avec cette réalité." Pourquoi une performance aussi poussive en championnat ? "C'est une saison atypique, avec une Coupe du monde à mi-parcours. Nous étudions d'un point de vue performance car je peux témoigner que les acteurs directs de l'événement ont montré qu'ils sont conditionnés tout au long de la saison. Sans préjudice du fait que Napoli méritait le Scudetto, nous devons réfléchir à l'importance de la relation esprit-corps. Ce sont des aspects qui doivent être pris en compte dans le monde du sport aujourd'hui; l'esprit, le mental est un aspect fondamental pour obtenir résultats." En fin de saison, les performances très positives en Ligue des Champions vont-elles peser ou le Championnat sera-t-il encore décevant ? "A ce jour, le bilan ne peut être que positif : être dans trois compétitions, dont deux où nous sommes protagonistes, vous donne une note de sept, si nous avions été plus avancés en championnat, cela aurait été 9-10. Le bilan de l'entraîneur doit devenir l'évaluation de nous-mêmes : quand nous avons perdu des points avec des équipes inférieures, avec tout le respect que je leurs dois, quelque chose n'a pas fonctionné et ce n'est pas juste de tout facturer à l'entraîneur. Les responsabilités doivent être partagées avec la direction et le club. Inzaghi va bien, il s'est remis de ce mauvais moment. A ce moment-là, c'était juste pour moi de mettre la pression parce que nous sommes l'Inter et nous devons toujours l'être." Inzaghi sait donc ce qu'il doit évaluer "Oui, alors à côté de lui, il y a des gens comme Zanetti et Ausilio avec qui discuter et analyser et qui parviennent à lui transmettre des préoccupations qu'il transformera ensuite en stimuli importants." La finale avec l'Inter comme revanche après celles perdues contre la Juve ? "Je suis très satisfait des résultats obtenus dans ma carrière. Gagner la Ligue des champions serait un rêve." Si vous devez identifier le point de basculement, quel est-il ? "Peut-être quand nous avons battu Porto en Ligue des champions. C'est là que nous avons trouvé la motivation pour changer de cap. Je pense que l'équipe est composée de bons professionnels et donc tout était plus facile et plus mérité. Nous avons gagné à juste titre contre des équipes fortes. Ce soir un un rendez-vous délicat arrive mais il faut faire en sorte que ces raisons soient trouvées car l'adversaire est très insidieux." Le retour de Leao est-il à craindre ? "C'est juste de donner du crédit à l'entraîneur et aux joueurs. Ensuite, quand l'adversaire manque de joueurs importants, vous risquez d'avoir un avantage mais la force d'une équipe est dans son ensemble. Je respecte Leao mais les autres sont bons aussi." Skriniar a-t-il regretté son choix ? "J'aimerais en parler après la saison. Cela aurait certainement pu être mieux résolu mais je veux en parler plus tard pour protéger le club. S'il peut récupérer pour la finale, alors l'entraîneur décidera. La valeur n'est pas discutée mais il ne s'est pas entraîné depuis deux mois, donc il est en difficulté sur le plan compétitif. L'entraîneur décidera de toute façon." Mais vous reprochez-vous quelque chose en tant que société ? "Je le répète, j'ai envie d'en parler en fin de saison. Il y a encore beaucoup d'amertume." Vous sentez-vous responsable des rêves des fans ? "Il y a aussi certaines émotions à vivre l'Inter. Le sport est beau en général, j'ai de la chance. Ensuite, je prends la responsabilité quand les supporters vous font confiance et je la transmets aux joueurs et aux managers. Le sens des responsabilités est fort et là ça donne motivation. Alors le football est imprévisible." De quels derbies êtes-vous le plus proche ? "Mon premier derby a eu lieu en 1970-1971, le jour de l'anniversaire de mon frère, c'était début mars et c'était Milan-Inter. L'Inter a remporté le Scudetto alors qu'elle avait six points de retard à ce moment-là, Invernizzi prenant le relais de Heriberto Herrera. L'Inter a gagné 2- 0 avec des buts de Mazzola et Corso, avec son coup franc feuille morte. C'était excitant, puis ça a coïncidé avec le Scudetto des Nerazzurri." En 2003, vous imaginiez-vous poursuivre cette carrière ? "Non mais les ambitions d'être un professionnel incluent toujours la vision et l'ambition de pouvoir grandir. Il va sans dire que lorsque j'étais à la Sampdoria, je voulais arriver dans un grand club, j'en ai traversé deux et ça a été une grande chance. La Sampdoria a été un âge d'or avec lequel j'ai sauté le pas, j'ai vécu ce derby de la Ligue des champions 2003 en tant que spectateur." Quel est le derby qui vous a le plus marqué en Italie parmi ceux que vous avez vécus ? "Ils sont tous différents et c'est un spot pour la ville. Celui de Gênes est plus romantique. Il y a beaucoup de motos là-bas et donc on peut trouver deux fiancés, l'un Genoa et l'autre Sampdoria. À Milan, il y a cette majesté du San Siro et les émotions chorégraphiques sont inoubliables; voir 80 à 85 000 spectateurs porter les couleurs vous excite, encore plus en Ligue des Champions." Est-il possible de faire une grande équipe avec peu de ressources comme vous l'avez fait ? "Je suis le directeur du domaine sportif et à l'Inter, nous avons créé une équipe au sein de l'équipe. Le mérite revient à Ausilio, Baccin, Zanetti qui ont construit cette équipe. Quand vous faites ce travail, il y a toujours une activité de scoutisme derrière. Le football est souvent perçu comme un phénomène improvisé, il faut plutôt des compétences pour faire mieux que dans d'autres clubs. Ce modèle est le fruit du travail de personnes compétentes qui ont agi avec un propriétaire fort qui nous a soutenus. Il faut aussi tenir compte des salaires et de la coût du travail mais nous avons remporté des victoires comme le Scudetto et la Coupe d'Italie. Maintenant nous terminons cette saison mais nous sommes toujours heureux." L'Inter avait cinq titulaires italiens dans le derby, quelle est l'importance du noyau italien ? "Fondamental. Tout comme Barcelone, le Real Madrid, le Bayern Munich, des clubs qui gagnent parce qu'ils ont un noyau dur de joueurs qui représentent la nation. Les Italiens comprennent ce que signifie aller jouer avec l'Inter, c'est fondamental." Lautaro s'est très bien intégré à l'Inter, sera-t-il le futur capitaine ? "Il progresse, il a 25 ans aujourd'hui. A cet âge, être capitaine, c'est quelque chose de fort. C'est un très bon joueur mais aussi un homme qui a des valeurs, les prémisses sont là." Traduction alex_j via FCInterNews.
  17. Daniele Alfieri éditorialiste pour FCInterNews fait une analyse du doublé de Big Rom contre Sassuolo. L'Inter a déjà en tête le deuxième des deux Euroderbys, ou pourquoi pas la finale à Istanbul ? La réponse tombe sur le terrain avec la cinquième victoire d'affilée en championnat, la septième compte tenu également les succès en demi-finale des deux coupes contre la Juventus et le Milan. Un résultat encore plus lourd, étant donné que Sassuolo, bien qu'il n'ait pas grand chose à demander dans ce championnat, n'est pas arrivé au Meazza avec les meilleures intentions envers l'équipe d'Inzaghi. Tout autre, si l'on s'en souvient, l'esprit de l'équipe de Dionisi le 22 Mai dernier au Mapei lors de la dernière journée contre nos cousins. Justement Milan avait évidemment plus d'une pensée pour l'Euroderby, comme en témoigne la deuxième débâcle en quatre jours contre la Spezia, avec le même résultat que Mercredi, 0-2. Le tabou noir et vert de l'Inter a été donc lui aussi déboulonné. Une seule victoire des Nerazzurri lors des matches disputés au Meazza ces sept dernières années, celle du 7 avril 2021, avec un 2-1 et un doublé de la LuLa, mettant une autre brique vers le 19ème Scudetto, celui de Conte. Ce pire, pour Sassuolo, a un nom, un prénom et un surnom : Lautaro Martinez rebaptisé il Toro depuis qu'il a 17 ans (Conte a essayé de l'adoucir en l'appelant Lauti mais avec de mauvais résultats). L'entrée du Diezà la place de Correa, remplacé à la mi-temps pour lui épargner les huées de tout le Meazza, il a provoqué les premières secousses en contaminant ses coéquipiers de sa combativité, puis en mettant définitivement l'arrière-garde verts et noirs dans les cordes, Tressoldi exagérant avec un but contre son camp. Dionisi s'est mis à l'abri en remplaçant le défenseur et Sassuolo (le hasard) est revenu dans le match, alors que l'Inter a peut-être vraiment fait l'erreur de penser déjà à Milan. Brozovic et Lukaku n'y pensent pas tellement sachant qu'ils partiront probablement du banc, donc le Belge a encore le souffle pour sprinter dans la surface de réparation et clôturer le match avec un doublé, le même jour où il avait déjà soufflé la 30e bougie. Le chiffre d'affaires qui gagne ne change pas, pas même Mardi prochain lorsque les as de la coupe Calhanoglu et Dzeko seront de retour. Maintenant, nous pouvons y penser au retour de l'Euroderby. Road to Istanbul! Traduction alex_j via FCInterNews - texte de Daniele Alfieri
  18. Interviewé par la Gazzetta Dello Sport, Massimo Moratti s’est livré sur l’EuroDerby du début du millénaire et suri celui qui se disputera ce soir, avec en ligne de mire, la Finale de la Ligue des Champions Président, Moratti, c’est reparti pour un tour... "Et oui, ça recommence même si tout a changé depuis cette demi-finale de 2003, à l’époque j’avais un poste à responsabilité. A présent, je suis juste l’un des millions des tifosi qui souffre pour cette rencontre, cela fait des semaines que j’y pense. Je sais que j’ai pris de l’âge et le fait de ne plus être de l’intérieur me permet de faire descendre la pression. Aujourd’hui, le plaisir l'emporte sur le devoir, mais elle reste comme à l’époque, une belle partie unique : Aucune autre ville ne peut se féliciter d’un spectacle de ce niveau." Qu’est-ce qui vous vient en tête 20 ans après... "Une torture, mon flash-back que je n’oublierai jamais, le face à face entre Kallon et Abbiati à la fin de match retour, si on dit que ça reste un très grand arrêt, je continue à penser qu’il aurait dû la mettre au fond." Même le Triplé ne vous a pas permis de combler cette amertume de l’EuroDerby de 2003 ? "Cette défaite en 2003 nous a été utile pour nous mener vers cette ascension vers la gloire, c’était l’étape d’un parcours, mais c’est vraiment très triste d’avoir été sorti ce soir-là, d’autant plus que nous n’avions jamais été battu : Aujourd’hui, dans une telle situation, nous serions allé en prolongation. Ce soir, le destin nous donne l’occasion unique de prendre une Vendetta Sportive et je pense qu’aucune des deux équipes ne s’y attendait vraiment." Que faudra-t ’il pour mener à bien cette Vendetta ? "Je crois que cela va énormément dépendre du match aller, car au match retour il y aura inévitablement un peu plus d’anxiété, nous nous connaissons bien. Au match aller, tu auras un peu plus de liberté pour jouer au ballon et pour trouver, qui sait, les bons espaces." A l’époque vous aviez dû faire sans Christian Vieri et avec un Hernan Crespo qui n’était pas au mieux : Ce soir, Milan pourrait évoluer sans sa star… "Les absences ont pesé en 2003, c’est évident qu’il s’agira d’un préjudice important pour le Milan si Leao est absent. Dans une rencontre d’un tel niveau, avec toute la charge émotionnelle qui y incombe, les compteurs seront remis à zéro dès le coup d’envoi." Qui peut être le Stratége de l’Inter ce soir ? "Je vote pour Barella qui est en train de devenir un vrai symbole : Il crée une identité avec les Tifosi et c’est pour moi le moteur de l’équipe. J’aime aussi le comportement d’Onana, il a fallu du courage pour l’aligner au début, mais il n’a peur de rien et par-dessus tout, il est vraiment très bon. Je pense aussi à Lautaro qui a le pied chaud en ce moment, heureusement pour nous d’ailleurs." Qui aimeriez-vous voir aligner en duo avec le Toro ? "Lukaku est dans une croissance intense en ce moment, c’est visible aux yeux de tous: C'est aussi une bonne chose car il nous a énormément manqué dans les moments les plus délicats. Je pense toutefois que la paire la plus fiable, du moins au début, reste toujours Dzeko-Lautaro." Dites-nous la vérité : Vous l’auriez remercié Inzaghi, lorsqu’il était en sérieuse difficulté en championnat… "Peut-être, mais j'apprécie la façon dont il a réussi à se maintenir à flot sans se noyer. Il est resté lucide, malgré les nombreuses critiques, et j'en fais partie. Il a montré qu'il était bon et qu’il avait le caractère pour rester dans un environnement comme celui de l’Inter." Si jamais, iriez-vous également à Istanbul ? "Ben j’aimerais bien, mais évitons d’en parler en ce moment : Nous avons deux solides rencontres qui nous attendent, deux soirées de pure passion." Vous sembliez détendu lors de votre diner avec vos amis milanites Gherardo Colombo et Renato Pozzetto, vous avez d’ailleurs chanté également La vita l’è bela”. "La vie est toujours belle et savoir s’amuser au-delà de la rivalité montre à quel point l’amitié et la civilisation milaniste est plus forte que tout : Mais nous ne pousserons plus la chansonnette jusqu’à mardi prochain." Mohammed, si tu nous lis, Massimo a toujours le seum! ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  19. Interviewé par Sport Mediaset, Wesley Sneijder s'est livré sur l'EuroDerby Della Madonnina! "Il n'y a pas de favori. Milan se débrouille bien en Ligue des champions et , l'Inter joue très bien aussi c'est du 50-50." "La semaine prochaine, je serai à Milan, j'espère que l'Inter gagnera." Nous aussi l'ami, nous aussi! ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  20. C’est la révélation de la Gazzetta Dello Sport : "Si rien n'est encore écrit noir sur blanc, l'orientation de base penche vers le négatif sur l'hypothèse de le voir titulaire, une situation surprenante que Stefano Pioli, en personne, n'avait pas exclu à la veille du match." "Pour l'instant, dans le monde des Rossoneri, personne n'est trop ouvert à la prédiction mais il se dit que c’est la ligne du NON qui prédomine et ce pour éviter de prendre des risques bien plus importants en vue du match retour et surtout en championnat, où il y a une quatrième place vitale à conquérir." "En effet, même en cas de rétablissement, l'hypothèse de le voir titulairser est à exclure: Ce qui est certain, c'est que ce matin, le Portugais a quitté Milanello pour rejoindre ses coéquipiers en stage à l'hôtel près de San Siro. La ligne qui semble prévaloir, cependant, est celle du non. Surtout pour ne pas risquer d'aggraver la situation en vue du match retour." Christian Vieri en 2003, Rafael Leao en 2023...Cheh! (ou plutôt SPIAZE) ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  21. En effet, à quelques heures de l’EuroDerby Milan-Inter, Filippo Inzaghi s’est livré sur son fraternel C'est toujours bons de ressortir les vieux dossiers "Il est bien meilleur que moi en tant qu’entraineur, je l’aime beaucoup, il n’a pas vécu une année facile même s’il est en demi-finale de la Ligue des Champions, en finale de la Coupe d’Italie et qu’il a remporté la Super Coupe d’Italie : Ce n’est pas facile de supporter les pressions qu’imposent de tels niveaux." "Je lui ai dit de profiter de la demi-finale, c’est un objectif importantissime qu’il s’est mérité : Il aurait pu être l’Alex Ferguson de la Lazio, il aurait pu y passer sa vie d’entraineur là-bas mais il s’est remis en question et a rejoint un grand club qui venait de remporter le Scudetto et de vendre ses meilleurs joueurs: Il s’en sort très bien et va de l’avant, c’est une personnalité qui ne hausse que très peu la voix, ce qui n’est pas apprécié aussi bien en Italie qu’en Europe, je le félicite !" La demi-finale ? "Les deux miennes ont été les plus moches de l’Histoire, c’étaient des parties particulières, jouées sur le fil du rasoir, c’étaient des matchs très intenses et certains d’entre-nous avaient les jambes qui tremblaient : L’absence de Leao serait une perte importante pour le Milan car c’est un joueur fondamental." ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  22. Stéphane Dalmat s’est livré sur son compte officiel Instagram à quelques heures du coup d’envoi de l’EuroDerby Della Madonnina attendu par toute l’Italie ! https://www.instagram.com/p/CsDif8Cot7i/ "Bonjour à tous, Nous y sommes! : La Demi-finale! J’attendais cette journée depuis très longtemps, j’ai regardé hier Real Madrid – Manchester City. On va assister à un match difficile, très fermé car personne ne voudra perdre, j’aspire à une Vendetta qui attend depuis vingt ans. L’équipe est en grande forme, et je ne sais pas qui va jouer ce soir , mais je suis certain que tous les joueurs qui seront titulaires ou même sur le banc seront à 100% pour s’envoler pour la Finale. Ce soir nous devons réaliser un très grand match, nous devrons faire encore plus que lors de nos derniers matchs contre la Lazio. J’ai vraiment une très grande confiance et cette journée va nous paraître très longue et je m’attends à ce que l’Inter fasse quelque chose , cela pourrait être un match nul, mais avec la nouvelle règlementation des buts à l’extérieur, même si tu gagnes 0-1, ce n’est pas un gage de sécurité pour le match retour. J’espère, ce soir, assister à un très beau match , ce sera une rencontre très dur physiquement , les joueurs vont énormément se donner dans cette rencontre et je pense à eux car hier soir, je ne sais pas s’ils ont bien dormi mais ce soir, ce sera pour eux, pour tous les Tifosi pour tout ceux qui ont de l’affection pour l’Inter une journée très très longue. Attendons et voyons, j’espère une Victoire de l’Inter et ensuite nous parlerons du match retour: Je serai devant mon téléviseur et je porterai le maillot de l’Inter en étant sur le Canapé. Comme je le dis toujours Forza Inter et Gagnons ce soir !" Uno Di Noi! ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  23. En effet, c’est la révélation de Tuttosport : "Depuis le retrait de DigitalBits, le Club Nerazzurro est en pleine réflexion en vue du Double Derby Della Madonnina de la Ligue des Champions qui apportera une visibilité Mondiale." Trois options sont sur la table en cas d’autorisation pour combler l’espace laissé libre suite au retrait du Main Sponsor: "La première option porte à la présence d’ "Inter Campus", soit l’ONG Nerazzurra créé par Massimo Moratti en 1997, primée par l’ONU. Elle est présente à travers le Globe et ce serait un choix logique et immédiat qui permettrait de faire connaitre encore plus un projet qui a déjà obtenu les plus hautes reconnaissance au plus haut niveau international, mais il existe quelques réticences en interne." "La seconde option est relative à la possibilité de placer un acronyme ou un logo faisant référence à toutes les activités sociales et aux bonnes œuvres soutenues par le Club." Chiche les potos "La troisième option consiste à la présence d’un slogan lié à la campagne "I M Inter" lancée il y a deux ans, peu avant la conquête du Scudetto avec Antonio Conte sur le banc." Avez-vous une préférence ? ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  24. C’est une révélation de La Gazzetta Dello Sport : "Il y a eu des demandes sans précédents, à tel point que la vente libre devrait avec une quasi-certitude être exclue : En effet, les offres reçues pourraient remplir facilement deux fois le Giuseppe Meazza." "Les supporters qui veulent entrer au Giuseppe Meazza ne pouvait miser que sur le match retour, mais ce sera une opération très compliquée car les demandes arrivées à l’Inter remplieraient deux fois le Meazza et ce sont des heures chaude que vit l’Inter qui, a vu avec ses 41.000 abonnés ceux-ci partir à l’assaut des billets qui leurs sont réservés en vue du Derby du 16 mai." "Hier, les abonnés aux places que l’UEFA garantira aux supporters milanais ont eu la possibilité de choisir leur nouveau secteur. Et à partir de demain après-midi, nous entrerons dans la phase la plus chaude, celle qui permet aux abonnés depuis au moins quatre ans de pouvoir acheter deux billets supplémentaires pour leur famille. Ensuite, la phase réservée aux membres de l'Inter Club et aux détenteurs de la carte Siamo Noi commencera (vendredi)." "Et déjà ici ces deux dernières phases semblent déjà être en très grand danger, à tel point qu’il est pratiquement exclu que l’on puisse arriver à la vente libre." Chers amis, n’achetez exclusivement que des billets via les canaux officiels, tout le reste risque de vous couter cher au profit du marché noire, faites bien attention à vous ! ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  25. En effet, Robin Gosens a effectué une résonnance magnétique de son épaule droite suite à la luxation dont il a été victime lors de son but inscrit face à la Lazio (2-1) Révélation du Corriere Dello Sport "L’articulation demande au moins 10 jours de repos : Il est donc difficile de penser qu’il pourra être apte pour le match aller de l’EuroDerby, on mise plus sur le match retour avec l’espoir de le retrouver pour le duel face à Sassuolo" "Cela veut dire que l’Inter continuera à évoluer sur l’aile gauche avec Federico Dimarco avec l’idée que Raoul Bellanova pourra lui permettre de se reposer en cours de match car il faut écarter l’Hypothèse Darmian qui doit être préservé à tout les coûts vu que Milan Skriniar est toujours dans les box." ®Antony Gilles – Internazionale.fr
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