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  1. Et ce vieil adage s’applique pour l’Inter qui n’est plus "qu’à" 90 minutes de la Finale de la plus prestigieuse des compétitions européennes. 7ème Clean Sheets ! Encore une fois l’équipe de Simone Inzaghi n’a pas encaissé de but en Ligue des Champions, ces 7 matchs sans buts encaissés sont un record dans l’Histoire du Club, un mérite qui revient encore plus à la ligne défensive Nerazzurra et à André Onana. Dans cette édition, cette série de 7 matchs sans buts encaissés est la meilleure statistique de l’ensemble des participants, à égalité avec le Bayern de Munich. A Quand remonte la dernière défaite des Nerazzurri en phase à élimination directe ? A domicile, face à Liverpool lors de la manche aller des huitième de finale de la Ligue des Champions, ce n’est donc pas un hasard si le Milan n’a su réaliser que deux tirs cadrés. Neufs ont été non-cadrés dont le poteau de Sandro Tonali en seconde période. Francesco Acerbi s’est battu, Matteo Darmian est toujours resté très attentif comme à son habitude et Alessandro Bastoni dégage cette aura de confiance, celle qui te pousse à ne pas se perdre, mais à se montrer efficace, preuve en est ses slaloms dans le camps de l’adversaire. Stat avant le Derby Della Madonnina! Il y a également l’entrée magistrale de Stefan De Vrij depuis le banc de touche de cette épopée que représente ce Derby Européen. Le milieu de terrain qui avait connu un début de printemps apathique est devenu intraitable et constant pour une moyenne de 100 minutes par matchs, lui qui est le filtre indispensable pour le trio défensif. Série positive Mieux encore, lors des six derniers matchs, l'Inter n'a encaissé qu'un seul but face à la Lazio, qui n'aurait pas existé sans l'erreur d'Acerbi qui a ouvert un boulevard à Felipe Anderson : Cinq matchs sans buts encaissés sur six qui se répartissent entre la Serie A, la Coppa Italia et la Ligue des Champions : Une situation qui n'était plus arrivé depuis août 2020 et le Post-Confinement avec Antonio Conte sur le banc entre le final de la saison en Serie A et la Finale de l’Europa League face à Séville. Pour les Tifosi, il faut remonter 40 ans en arrière pour revoir une situation similaire face à l’Ac Milan. Il faut remonter à 1980 pour voir l’Inter ne pas encaisser le moindre but lors de trois derby de suite. ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  2. En effet, le travail de Simone Inzaghi dans les matchs de Coupe est exceptionnel : Détenteur de deux Super Coupe d’Italie, Champion de la Coupe d’Italie en titre et qualifié pour la Finale, sans oublier les huitièmes de finale de l'an dernier mais surtout la Demi-Finale actuelle de la Ligue des Champions, son travail est remarquable. Le seul point noir étant un Championnat des plus contrastés comparé à la seconde place remporté en mai dernier. 200 patates! C'est la révélation de Tuttosport: "Ce mercredi soir, en l’espace de quatre-vingt-dix minutes de jeu, sont entrés dans les caisses du club, les fonds lié à la Coupe d’Italie et la Super Coupe d’Italie élargie à quatre équipe. Si cela ne représente que des miettes comparée au pactole déjà encaissé par l’UEFA pour la demi-finale de la Ligue des champions (93 millions d'euros) ce qui est pris est toujours bon à prendre. "Grâce à une régularité des performances dans les matchs aller-retour, inconnue depuis la splendeur de l'Inter de Moratti, Simone Inzaghi a déjà rapporté à Suning une dotation de plus de 200 millions d'euros en deux saisons. Un chiffre monstrueux et totalement imprévu dans les prévisions budgétaires qui, même dans le cas malheureux d'une non-qualification pour la Ligue des Champions à venir, permettra d'atténuer considérablement le choc." L'importance de "Revoir les étoiles" "S’il est vrai que l’Inter viendrait à perdre 15% de son chiffre d’affaire, cette saison est tout de même allé bien plus loin en termes d’objectif fixé, avec juste une prévision d'une qualification en huitième de finale. Et si l’effet boomerang serait important, il ne serait pas des plus dramatique que ceux qui suggèrent le départ de l’entraineur. Le tout sans oublier de souligner que cette Inter doit également faire face à une possible réduction d’effectif, vu les couts onéreux demandés lors des négociations, dont celle relative à Alessandro Bastoni : Dans le fond, il serait possible de jouer l’Europa League avec l’objectif d’arriver jusqu’au bout." "Toutefois, ce scénario reste à écrire étant donné que la quatrième place n’est qu’à deux petit points, et l’actualité récente peut aussi nous rappeler que l’Inter a perçu une maxi-recette avec la réception de la Juventus en Coupe d'Italie : 4.318.850 euros, il reste juste l’inconnue des recettes liées à la finale de la Coupe d’Italie car les finalistes percevront 3 millions d’euros pour le chemin parcouru. Le Champion, lui, percevra 4,5 millions d’euros et son dauphin 2 millions d’euros de plus. Par la suite, chacun percevra 45% des recettes de la billetterie de l’Olimpico, soit environ 2 millions d’euros. A cette somme, il faudra ajouter celles de la nouvelle version de la Super Coupe, qui apportera une dotation de 7 millions à celui qui la remportera, le gain total sera donc de 23 millions d’euros." "Grâce à Simone Inzaghi, Steven Zhang a déjà mis dans sa tirelire un peu plus de 7 millions d’euros tout compris, soit la somme liée à la dernière édition de la Super Coupe d'Italie et du Triomphe sur le Milan. La part du lion du budget d'Inzaghi, sur ce biennal, reste bien sûr la Ligue des Champions : il y a un an, les Nerazzurri ont récolté 64,8 millions, alors qu'à l'heure actuelle, et en attendant l'Euroderby, nous en sommes déjà à 93 millions d'euros." Conte Ko Technique "Pour vous faire une idée, en 2020-21, soit la saison du Scudetto remporté par Antonio Conte, les revenus garantis par l’UEFA étaient de 37,8 millions d'euros, ce qui, avec les primes liées au Scudetto, avait conduit à récolter une soixantaine de millions d'euros de bénéfices liés aux performances d'une équipe avec une masse salariale plus élevée et avec des coûts liés plus important comparé à la situation actuelle. Le poste "Serie A" sera évidemment pénalisant pour Inzaghi cette année, mais les 26,6 millions d'euros perçus pour la deuxième place dans le tournoi de l'an dernier restent dans les annales." "Ce qui n’est pas mal pour un entraîneur qui a un salaire divisé par deux par rapport à son prédécesseur et qui avait été appelé au chevet d'une équipe qui semblait sur le point d'être démantelée, comme Conte lui-même nous l'avait fait croire : C'est aussi pour cette raison que penser à son retour, aujourd'hui, frise l'utopie étant donné aussi les exigences de l'intéressé, en termes de salaire, totalement en dehors du budget de l'Inter" Faut-il toujours licencier Simone Inzaghi selon vous, ou sommes-nous en pleine saison de transition ? ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  3. C'est la révélation de la Gazzetta Dello Sport: "Si la justice sportive italienne ne se prononce pas avant la fin du mois de juillet, c'est le panel "Fair Play" de l'UEFA qui décidera du sort du club." "Gagner l'Europa League n'y changerait rien pour les juges de Nyon, mais cela pourrait s'avérer fondamental pour ne pas purger une éventuelle suspension de deux ans, prolongeant ainsi le purgatoire. Il reste ensuite la deuxième ligne d'enquête, celle qui concerne les salaires. Sans parler de la Super League et de l'arrêt du Tribunal de l'UE attendu en juin: Soit un gros casse-tête." La Juve ne parvient pas à se qualifier: "Le premier carrefour concerne la qualification (ou non) de la Juve pour les Coupes d'Europe: Si les Bianconeri n'y parviennent pas car ils ne terminent pas en haut de tableau à un classement meilleur que la sixième ou la septième place, ou parce qu'ils ne gagnent pas la Coppa Italia ou l'Europa League, il n'y aura plus cette notion d'urgence. L'Uefa pourra se permettre d'attendre les conclusions de la justice italienne." "Cela resterait toutefois un problème pour la Juve étant donné que les sanctions seront purgées au cours de la première saison "utile", elles seraient donc à discuter, au plus tôt, pour la saison 2024-2025. Si, en revanche, la Juve parvient à s'insérer dans l'une des Trois Coupes d'Europe: Le scénario change." Si la Juve se qualifie "Prenons en considération le fait que la Juve a droit à une place dans les prochaines Coupes d'Europe. Après la finale de la Ligue des Champions, le 10 juin à Istanbul, l'Uefa devra définir la liste de toutes les équipes engagées dans la Ligue des champions, l'Europa et la Conférence. Bien sûr, personne ne se fait d'illusion sur le fait que ce jour-là, l'histoire de la procédure sera close mais à côté du nom de la Juve, il y aura un point d'interrogation. L'Uefa donnera-t'elle à l'Italie quelques mois supplémentaires, disons jusqu'à fin juillet/début août ? Car au-delà, à la fin du mois d'août (les 24 et 31), une équipe italienne devra faire ses débuts dans les éliminatoires de la Conférence." "L'Uefa mène depuis un certain temps une enquête parallèle et autonome par rapport à l'enquête italienne. Elle a déjà reçu tous les documents du parquet de Turin. Elle est en train d'examiner les documents du procès. A Nyon, on est assez optimiste sur le fait que la décision italienne pourrait arriver d'ici la fin du mois de juin, une négociation de peine permettrait d'accélérer les choses. En tout cas, le Collegio di Garanzia del Coni a confirmé les condamnations des dirigeants et le comportement antisportif (le fameux article 4) : une nouvelle motivation et une réduction de peine sont attendues. Mais si la justice italienne tarde à se prononcer, ce sera alors à la Commission du fair-play de l'UEFA de trancher." Les risques "Comme mentionné, la condamnation des dirigeants et le comportement antisportif sont avérés. Mais du point de vue de l'Uefa, ce n'est pas tout. La Juventus a en effet opté pour le Fair-Play-Financier parce qu'elle n'a pas respecté les paramètres. Si l'enquête avait montré que les chiffres rapportés étaient faux, l'accord n'aurait pas été accordé ou peut-être pas dans ces conditions. Il est donc pratiquement impossible d'échapper à la sanction car il s'agit d'une affaire grave." "Si Milan était en dehors des paramètres et si le PSG et City ont gonflé la valeur des sponsors, leurs revenus, à eux, étaient réels mais ici, nous parlons de faux bilans communiqués aux auditeurs, aux actionnaires, à la FIGC, à l'UEFA. Le spectre de la suspension se profile à l'horizon. En commençant, bien sûr, par la première coupe à laquelle la Juve se qualifie. C'est pourquoi un succès en Europa league, ou un bon classement en championnat, sera fondamental afin d'éviter qu'une éventuelle absence en Coupe d'Europe ne se prolonge avec des effets dramatiques également sur les comptes." "Personne ne peut dire aujourd'hui ce qui se passera exactement. Un procès prévoit deux niveaux de jugement et ensuite le Tas, lqui a souvent surpris par ses décisions. Mais ce n'est pas fini. Il y a la deuxième ligne d'enquête, celle sur les salaires. Et, surtout, la question de la Super League. Si le Tribunal de l'UE confirme l'avis de l'avocat général Rantos, il y aura liberté d'organiser une Super League mais celle-ci sera incompatible avec la Ligue des Champions. Soit l'une, soit l'autre. La Juve, le Real et le FC Barcelone devraient alors choisir à quoi renoncer mais aujourd'hui, cela ressemble à de la science..." Juve tu vas prendre, ooooh tu vas prendre.... ®Antony Gilles - Internazionale.fr
  4. Giuseppe Marotta a pris ses responsabilités en se livrant à Sky Sport, suite à la septième défaite de l'Inter, sur le terrain de Bologne... Que se passe-t-il ? "Je voudrais faire une analyse de ces dernières années : En 2019-2020 nous avions terminé deuxième et avons été finaliste de l'Europa League, l'année suivante il y a eu le Scudetto, puis avec Inzaghi la victoire de la Coppa Italia et de la Super Coupe d'Italie et une autre à suivi cette année: Nous allons donc de l'avant avec les titres et la performance de l'Inter est la meilleure de toutes." "Mais parler du passé n'a aucun sens, sauf pour s'en rappeler et en apprécier la valeur. La situation actuelle nous voit protagoniste en Coupe d'Italie, nous avons gagner la Super Coupe, mais la manifestation la plus importante reste le Championnat et là nous faisons preuve d'une discontinuité de résultats : Pour être grand un club, tu te doits d'avoir de la continuité." "Inzaghi est certainement un jeune professionnel, c'est un très bon un entraîneur en qui nous croyons, il abbat beaucoup de boulot, mais il y a aussi les adversaires: La confiance placée en lui n'a jamais fait défaut. Aujourd'hui, nous devons savoir qu'il est difficile de gagner et d'être compétitif. Aujourd'hui, et après Bologne, un fait émerge sur lequel nous devons absolument trouver un remède et travailler : Celui de faire preuve de discontinuité face à des adversaires à portée de main. C'est là que nous devons travailler aujourd'hui, que l'entraîneur et l'équipe doivent travailler pour trouver des solutions." Les mots de Lautaro en tant que Leader étaient très durs: Comment les avez-vous perçus et compris ? "J'ai vraiment aimé ce qu'il a dit, cela signifie qu'il a un grand sentiment d'appartenance, c'est ce dont on a besoin et que chaque joueur se doit avoir. Les déclarations d'amour de Lautaro signifient que l'on regrette la défaite mais aussi qu'il y a beaucoup de travail à faire, et ils sont d'une grande utilité pour sensibiliser l'équipe. Ensuite, c'est à l'équipe et à l'entraîneur de parler franchement et avec détermination, ce n'est pas tellement au club d'intervenir car il n'y a pas de raisons spécifiques pour le faire: Il faut rester calme." "Je suis conscient que l'équipe est forte, que l'entraîneur est bon, que nous avons des Tifosi qui nous soutiennent énormément, mais lorsque nous regardons les statistiques, il y a une discontinuité entre les résultats à domicile et à l'extérieur". Les prolongations "En tant que phénomène footballistique, il est aujourd'hui plus difficile de renégocier les prolongations de contrat car la concurrence des clubs étrangers est plus forte du point de vue des négociations. Nous devons poursuivre notre concept de soutenabilité qui garantit la longévité de l'Histoire de tout club. Aujourd'hui, nous avons des joueurs qui arrivent à expiration, et d'autres comme Çalhanoğlu et Bastoni qui ont des dates d'expiration plus lointaines. Du point de vue du cœur, ils devraient tous être confirmés, du point de vue de la rationalité et de la planification, nous devrons faire des choix amers, mais nous travaillons dans cette direction pour nous assurer que nous aurons une équipe compétitive l'année prochaine également." Lukaku reste à l'Inter ? "Lukaku a exprimé à plusieurs reprises son désir de rester, aujourd'hui c'est un joueur de Chelsea, à la fin de la saison il y retournera et ensuite un nouveau scénario s'ouvrira et nous verrons si nous négocierons son retour avec nous". Notre directeur sportif, Piero Ausilio fait un travail concret pour identifier les rôles et les joueurs. Mais nous enregistrons le fait que Lukaku a exprimé plusieurs fois son intention de continuer avec nous. Nous savons de quoi il est capable, nous le connaissons et nous verrons si nous pourrons négocier son retour avec nous". En parlant de groupe: Les épisodes de nervosités vu ces derniers temps sont-ils imputables à cette mentalité et à cette discontinuité ? "Je peux vous garantir que dans le vestiaire il y a une grande compacité, ils rament tous du même côté, sinon nous ne serions pas ici et nous aurions pris des mesures différentes." ®Antony Gilles - Internazionale.fr
  5. En effet, c’est une révélation de la Gazzetta Dello Sport : "L’accession aux quart de finale de la Ligue des Champions pourrait offrir une belle bouffée d’oxygène aux caisses du Club Nerazzurro." Révélation de la Gazzetta Dello Sport "En début de saison, le Club avait préventivement programmé la troisième place en phase de groupe, et donc une rétrocession en Europa League. Toutefois, l’Inter est parvenue à s’offrir la seconde place du groupe et à accéder aux huitième de finale où elle affrontera Porto: Et atteindre les quarts de finale de la Ligue des Champions garantirait une bouffée d’oxygène pure pour les caisses d’un club obligé de s'autofinancer. Un club qui est donc obligé de se tourner vers les bonnes affaires du Mercato : Les paramètres zéros et donc avoir recours au Player Trading." "Et si l’objectif, non déclaré officiellement est celui d’atteindre un +60 millions d’euros, il est logique de penser que le départ de son ailier ne pourrait pas suffire. En conséquence, la Ligue des Champions pourrait s’avérer d’une grande aide : En se qualifiant face à Porto, l’Inter percevrait 20 millions d’euros, une somme qui pourrait éviter de devoir recourir à une seconde vente, qui pourrait s’avérer douloureuse, sauf si elle parvient à inventer un autre Miracle à la Casadei." En voiture Simone ! ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  6. AFP-LESOIR.BE - C'est l'information de la journée Super League: l’UEFA remporte une bataille judiciaire devant la Cour de justice européenne: En effet, La Cour de justice européenne a estimé que l’instance européenne a tout à fait le droit de sanctionner les clubs qui participent au projet de Super League. "L’avocat général de la Cour de justice européenne a estimé jeudi que l’UEFA était dans son droit lorsqu’elle a menacé de sanctionner les clubs à l’initiative du projet de Super League qui avait failli faire imploser le foot européen en 2021 : Les règles de la FIFA et de l’UEFA soumettant toute nouvelle compétition à une autorisation préalable sont compatibles avec le droit de la concurrence de l’Union", a estimé l’avocat général Athanasios Rantos. Si la décision de la CJUE n’est pas attendue avant début 2023, les conclusions de l’avocat général sont fréquemment suivies par les juges. Dans un tweet, l’UEFA dit saluer "chaleureusement des conclusions sans équivoque rendues aujourd’hui recommandant une décision de la CJUE en faveur de notre mission essentielle de diriger le football européen, de protéger son système pyramidal et de développer le football en Europe". La question posée à la CJUE est de savoir si l’UEFA, qui régule le foot européen tout en organisant la Ligue des Champions, l’Europa League et la Conference League, abuse de sa position dominante en voulant sanctionner les clubs mutins à l’initiative de ce tournoi privé et semi-fermé. Derrière cette question, apparemment technique, se joue non seulement l’avenir du football de clubs sur le Vieux Continent, mais plus largement la possibilité pour les instances sportives de protéger leurs compétitions, bien au-delà du ballon rond. Le specte de la Super League toujours bien là Pour l’avocat général Athanasios Rantos, l’UEFA était pleinement dans son droit: "Les règles de la concurrence de l’Union n’interdisent pas à la FIFA, à l’UEFA, à leurs fédérations membres ou à leurs ligues nationales de proférer des menaces de sanctions à l’encontre des clubs affiliés auxdites fédérations lorsque ces derniers participent à un projet de création d’une nouvelle compétition qui risquerait de porter atteinte aux objectifs légitimes poursuivis par ces fédérations dont ils sont membres" a-t-il encore estimé. Ce projet de Super League, une compétition privée lancée par douze grands clubs européens, avait été dévoilé en fanfare en avril 2021. Mais face à la fureur de nombreux supporters et à la menace de mesures politiques, l’affaire avait capoté en 48 heures. Neuf des douze clubs mutins, notamment les puissants clubs anglais, ont fait amende honorable, mais le Real Madrid, le FC Barcelone et la Juventus Turin continuent d’entretenir la flamme. Mais le spectre d’un tournoi privé a resurgi mi-octobre avec le lancement d’une structure baptisée A22 Sports Management, qui assure vouloir ouvrir "un dialogue" sur l’avenir du football européen de clubs en rencontrant chacun de ses acteurs. ®AFP-LESOIR.BE
  7. André Onana s’est livré au cours d’une très longue interview dans le cadre de Sport Week le complément hebdomadaire de la Gazzetta Dello Sport : "J’étais à l’Ajax et, il y a déjà une paire d’années, Piero Ausilio venait de contacter pour la première fois mon agent, il lui avait expliqué comment était clairement la situation, sans tourner au tour du pot, quelque chose que j’aime." "Dès cette première minute, je me sentais déjà Nerazzurro avant que la négociation commence, j’ai commencé à me ressentir comme le gardien de l’Inter, jour après jour. Quand un tel club de cet envergure pense à toi, comment peux-tu dire non ? Tu es flatté et heureux. A présent, je suis ici, dans une ville si magnifique avec une Tifoserie incroyable qui commence à m'aimer." Mais avant d’arriver à l’Inter, que signifiez, pour vous, le Fc Internazionale ? "Ce serait trop facile de dire Samuel Eto’o vu le lien que nous avons, mais ce n’est pas nécessaire d’attendre d’endosser le maillot pour connaitre l’Inter, vu les nombreux champions qui sont passé ici, avec de grands gardiens interistes en passant de Toldo qui était le cauchemar de Franck De Boer à Julio Cesar qui est l’un de mes préférés, quand je repense qu’il a été quasiment le premier à avoir connaissance de mon transfert." Pourquoi quasi ? "Tout était prêt, réglé, mais je ne pouvais en parler à personne. Je déjeunais à Barcelone et un ancien joueur de l'Inter, Houssine Kharja, s'est approché de ma table et m'a couvert d’éloges, il a ensuite appelé un ancien équipier par téléphone et j’entends qu’il lui dit : "Julio, je suis avec Onana, tu sais à quel point il est très fort, qui sait, peut-être qu'un jour il sera comme toi à l'Inter !". Il me passe le téléphone et Julio s’est immédiatement montré très gentil, il me dit de continuer ainsi, je le remercie mais je me mords la langue : je ne pouvais pas lui dire que Kharja, sans le savoir, m'avait pris en flagrant délit...." "À partir de ce moment-là, j'ai souvent parlé avec Julio Cesar, en plaisantant sur cette situation : Il m’avait aussi surmotivé avant la rencontre du Nou Camp, en me disant aussi de rester très calme et de profiter de la soirée. Des mots spéciaux, qui sont restés gravé en moi." Etes-vous surpris par le fait d’avoir été, en si peu de temps, titulaire ? "Non, car je sais qui je suis, je sais ce que je vaux et je continue mon parcours de croissance, entrainement après entrainement, je sais qu’en faisant du bon travail, que mon moment allait arriver rapidement. Avant d’arriver, j’avais conscience que j’allais devoir disputer cette place avec un gardien extraordinaire, qui a écrit l’histoire du club, mais qui est aussi et vraiment très différent de moi." Pourriez-vous nous en dire plus sur cette diversité ? "Si quelqu'un me demande "Samir est-il votre modèle ?", je ne peux que lui répondre... "non". C'est précisément en raison de cette diversité entre nous. Mais j'ajouterais aussi que c'est un très grandissime champion car sinon, il ne serait pas resté ici, à ce niveau, pendant 11 ans : Face à Handanovic, je ne peux que lui tirer mon chapeau. Il appartient à une école italienne différente de la mienne : il est très bon et sûr entre les poteaux, alors que je me sens comme un gardien moderne et "proactif". Je suis celui qui prend des risques, qui sort, accepte le un contre un et qui joue beaucoup avec ses pieds. Ce sont simplement des façons différentes d’occuper le poste de gardien, c’un enseignement différent du traditionnel, auquel on s'habitue." "Au début, nous nous regardions bizarrement à l'entraînement et l'un disait à l'autre : "Ne fais pas ça, tu le fais mal". Et l'autre lui répondait : "Non, c’est toi qui tu le fais mal" (il rit, ndlr). Personnellement, je fais face à des nouveaux types d’entraînements que je ne comprenais même pas au début, mais qui peuvent me permettre surtout d’évoluer." Quels sont vos rapports, maintenant que vous êtes parvenu à lui prendre sa place ? "Nous parlons beaucoup plus qu’auparavant, Samir se comporte comme un vrai Capitaine, c’est un Leader reconnu et on le perçoit dans tellement de petite chose, il ne suffit pas de penser qu’à moi, mais à tous les aspects au quotidien de l’équipe. J’apprécie le fait qu’il me donne des conseils, qu’il me félicite pour une belle parade et qu’il me corrige si je me trompe. Et même, il faut se rappeler d’une chose : L’Inter, en tant qu’Institution, est quelque chose de plus important que moi, que lui, ou que quelqu’un d’autre : Nous avons tous le devoir d’honorer et de défendre ce maillot, nous sommes seulement de passage alors que le Club et le Peuple Interiste restera, ces derniers points sont ceux qui comptent vraiment." Est-ce mieux de débuter d’une façon banale ou de débuter face à une super équipe comme le Bayern, comme cela s’est produit pour vous ? "Tu ne peux pas te prononcer avant, car si le Bayern t’en colle 5, c’est le pire des débuts. En 2017, je me suis incliné avec l’Ajax en finale de l’Europa League face à Manchester United, ce n’était pas parce que nous étions inférieur à eux, mais parce que nous en avions eu peur. Le lendemain du match ma mère m’a appelé et m’a dit : "Je ne veux plus que tu aies peur sur un terrain de football, même si tu dois jouer face au Barça et au Real réunis : Si tu perds, ce ne doit plus être parce que tu as tremblé ou baissé le regard, mais parce que ton adversaire aura été supérieur." C'est devenu une règle de vie. En général, je m'entraîne et je vis pour défier de grandes équipes comme le Bayern et au final , ça s'est plutôt bien passé, même si je ne me réjouirai jamais d'une défaite." Ressentez-vous le fait que vous avez changé l’Inter, de par votre présence entre les cages ? "Je peux vous dire que l’équipe s’est habituée à mon style: A présent, si sur un centre je ne sors pas, Skriniar me lance un regard noirs et Dumfries me hurler Onaaaaa !Je leur réponds que je ne peux pas toujours sortir, pas toujours, mais le fait qu’eux sont sur mes talons comme ça me rend fier, cela veut dire qu’ils se fient à moi, qu’ils m’ont compris, qu’ils veulent que je prenne des risques. De plus, j’aime les rencontres où il y a des combats en défense, rien de plus ne peut m’exalter plus qu’une rencontre comme celle que nous avons tous joué au Nou Camp." "Je regardais de loin l’équipe et c’était un spectacle, elle était compacte, rapprochée, unique, elle bougeait comme un seul homme, patiente, même si mes anciens équipiers en catalogne nous ont accusé d’être sur la défensive. Quand on voit Skriniar s'en prendre à un joueur avec une telle hargne, je me prends dans la gueule sa motivation et je me dis : "Quel guerrier !. J'irais toujours au combats avec lui, tout le temps !" Mais tous nos défenseurs, sont si grands, si costauds, ils me font me sentir protégé. Même si je sais que nous encaissons trop de buts jusqu'à présent...". Pour certains, il se dit que vous exagérez à sortir avec une telle imprudence... "Je me bats pour l'équipe, pas pour ce qui se dit à l'extérieur. Si je peux attraper une balle haute, alors je peux relancer l’équipe vers l’avant rapidement. Plus je sors, plus on peut se relancer : Le gardien est le premier créateur de jeu maintenant." Une grande partie du mérite, à Barcelone sur le 2-3 de Robin Gosens, vous en revient… "Non, c'est toute l’Inter, c’est une équipe de très très haute qualité : Nous devons juste être conscients de notre potentiel et nous pourrions nous montrer des plus dangereux en Ligue des Champions, croyez-moi. Ce jour-là, j’ai relancé rapidement car j'ai vu Lautaro faire un mouvement avec sa main, comme un signal, et le reste de son action de jeu a été phénoménale avec une conclusion parfaite de Robin:Cette équipe de l’Inter est composée d’énormément de joueurs technique." Est-ce que Lukaku vous manque ? "Enormément, mais lorsqu’il reviendra, il donnera, comme toujours, son maximum. Et d’un autre côté, le peuple interiste l’adore, mais il l’adore vraiment : Lorsqu’il a commencé à s’échauffer face au Viktoria Plzen au Giuseppe Meazza, j’ai entendu un “ohhhh” incroyable accompagné d’un tremblement de terre sous mes pieds : Je n’avais jamais connu une telle manifestation d’amour, je n’avais jamais vu une Tifoserie aussi passionnée, mais savez-vous qui est vraiment le plus grand champion de l’Inter ?" Nous vous le laissons dire... "Alex Cordaz : C’est la personne la plus positive que j’ai pu rencontrer, c’est un être humain merveilleux, si tu arrives à Appiano triste suite à ta contre-performance, tu le regardes en face-à-face et il parvient à te changer ton humeur : S’il n’est pas là, ça ne le fait pas, il fait la toute la différence du monde, et ce n’est pas valable que pour moi, mais aussi pour tous mes équipiers. Ce n’est pas un fou mais c’est aussi grâce à Cordaz que Barella va plus vite : Je lui répète quotidiennement : Alex, c’est un Honneur pour moi de m’entrainer à tes côtés." Mais s’il y a autant de qualité dans l’équipe, pourquoi êtes-vous aussi en retard en championnat ? "Nous devons rester serein et dans le même temps admettre que nous avons mal démarré : Les choses peuvent changer vite aussi bien dans la vie que dans le Calcio, et nous savons que cette fois-ci nous disputerons deux championnats. Personne ne peut savoir, à la reprise, si le Napoli sera encore comme celui qu’il était jusqu’à présent. Mais, en attendant, nous sommes parvenus à redresser définitivement la tête hors de l’eau et à montrer que nous sommes tous vraiment fort, nous serons présent comme ça en février et ensuite, qui sait…" Qui vous a, hors du terrain, le plus aidé à vous intégrer ? "Je dirais un peu tout le monde: En plus de Rom, je partage une belle amitié avec Calha et Dumfries, qui est un autre joueur sur le terrain qui me plait car il n’abdique jamais, il se donne, il tente de toujours y aller en allant jusqu’au bout. Nous ne faisons pas énormément partie de la vie mondaine, mais je suis fier du groupe que nous sommes parvenu à nous créer: Il y a vraiment un très beau climat dans cette Inter." Comprenez-vous que les Tifosi aient déjà de l’affection pour vous ? "En plus de mes parades sur le terrain, j’apporte de l’énergie, de la folie, mais toujours positivement." Pour finir : Un message pour votre nouvelle Tifoserie ? "Je pourrais me toiler, mais je travaillerai quotidiennement pour être à la hauteur de l‘Inter pour que vous, les Tifosi, soyez fier de moi!." ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  8. En effet, si Gerard Piqué risque bien de se retrouver à porter un maillot faisant la publicité de son ex suite à des accord convenus entre Shakira et Spotify, son club a lui décidé de se flageller en décidant de regarder la rencontre du Giuseppe Meazza opposant l’Inter au Viktoria Plzen: Révélation de la Gazzetta Dello Sport " "Être tous ensemble pour soutenir Viktoria"- C’est ce que feront les joueurs du Fc Barcelone cet après-midi, eux qui seront réuni devant un téléviseur placé pour l’occasion dans le Vestiaire du Nou Camp." "En temps normal, Xavi convoque toujours les siens dans un hôtel proche du stade mais cette fois-ci, il a changé sa routine : Les joueurs arriveront directement au Stade depuis leur domicile bien avant le coup d'envoi et assisteront à la rencontre entre l'Inter-Viktoria, pour ensuite passer à la préparation de leur rencontre face au Bayern Munich." "Une rencontre qui pourrait bien n’avoir aucun sens au niveau sportif étant donné que si les Nerazzurri gagne, le Fc Barcelone sera propulsé en Europa League avant même d’avoir foulé la pelouse." Si tel est le cas, pensez-vous à un 8-2 bis ? PHOTO DE L'ARTICLE : FCIM PICTURES ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  9. En effet, condamnée avant-même le début de la phase de groupe à l'Europa League lors dur tirage au sort, l'Inter pourrait déjà se qualifier ce mercredi, en huitième de finale de la Ligue des Champions, soit avec une journée encore à disputer et un match de gala en Bavière! Comment est-ce possible ? Pour se qualifier, l'Inter devra simplement s'imposer sur le Viktoria Plzen. Si les Nerazzurri n'y parviennent pas, il leur suffira de réaliser le même résultat que le Fc Barcelone qui accueillera le Bayern au Nou Camp. Avec des catalans qui auront déjà connaissance du résultat réalisé par l'Inter. ®Antony Gilles - Internazionale.fr
  10. Julio Salinas et Alfonso Perez Munoz s'expriment sur l'avenir du Barça, en particulier de celui de Xavi, qui s'annonce sombre, très loin de postuler à une quelconque place en Coupe du Monde. Julio Salinas , ancien attaquant barcelonais, ne mâche pas ses mots lorsqu'il définit la situation des Catalans en Ligue des champions après le match nul face à l'Inter qui laisse les hommes de Xavi avec un pied en Ligue Europa. Voici ses mots en marge du Desafio Nacex. Déception ou catastrophe ? "Une déception ou une catastrophe, vous choisissez le mot. Parce que je crois que tous les supporters du Barça avaient de grands espoirs pour cette équipe telle qu'elle se présentait cette saison. C'est très dur parce que nous sommes pratiquement en Ligue Europa. Pour une équipe comme celle-ci, qui s'est construite avec ces joueurs, qui est bien supérieure à l'Inter, être dans cette situation est compliqué." Optimiste pour la qualification ? "L'Inter doit jouer contre le Viktoria Plzen et tout peut arriver dans le football, c'est vrai, mais c'est compliqué. Le Barça peut gagner ses matchs, bien sûr, mais c'est un coup trop dur. Plus encore que la question financière, et tout le monde sait quelle est la situation économique, des occasions sont gâchées depuis deux ans avec une équipe construite de cette manière." Qui est le principal responsable ? "Xavi! Ils ont créé une équipe qui lui convenait et avec toutes les signatures qu'il voulait. Il a une superbe équipe et est responsable de la tactique et stratégie de cette formation, de son système de jeu." Quant à l'ancien barcelonais et du Real Madrid Alfonso Perez Munoz, il se dit sceptique quant aux chances des Catalans de passer cette phase de groupes. "Les Nerazzurri ne feront pas de bêtises, même si Barcelone peut gagner les deux matches. Si ce n'est pas mathématiquement fait, tout le monde sait que c'est pratiquement impossible." Traduction alex_j via FCInterNews.
  11. Quel est le point commun entre Samuel Eto’o et André Onana ? Tous les deux ont passé une partie de leur carrière au Fc Barcelone avant de rejoindre l’Inter Révélation de la Gazzetta Dello Sport "Ce sera une soirée spéciale pour le gardien camerounais de l'Inter, qui a grandi dans le secteur jeunesse du club catalan. Et une nuit à couper le souffle, c’est ce qui attend André Onana : Le gardien de but camerounais a pourtant déjà vécu des émotions incroyables dans sa carrière, comme la Finale de l'Europa League et une demi-finale de la Ligue des Champions, mais jouer au Nou Camp sera très spécial pour lui." "Car Onana est arrivé à Barcelone à l'âge de 13 ans et il a dormi dans les chambres du Nou Camp et a grandi à la Masia, il rêvait de faire ses débuts en équipe première, mais les choix d’Andoni Zubizarreta étaient alors différents. Toutefois, il était parvenu à hypnotiser le manager de l'Ajax, Marc Overmars, lors d'un match de Youth League. Et à présent, il est parvenu à "voler" la place de Samir Handanovic et il s'apprête à vivre une nouvelle nuit étoilée dans LE stade qui aurait pu être LE sien." Une nouvelle Clean Sheet serait la bienvenue pour le Corriere Dello Sport "Tout dépendra d'Onana et de la confiance qu'il sera capable de transmettre dans les méandres du stade blaugrana. Si les jambes ne trembleront pas, l'atmosphère va apporter une impression de déluge pour l’Inter. En effet, le gardien de but camerounais a déjà montré les qualités nécessaires pour mettre en place une passation de pouvoir avec Handanovic, mais ce soir, c’est littéralement l'Epreuve du Feu." "Mais si faire face à Robert Lewandowski et sa clique fait augmenter le risque d'un faux, André a déjà prouvé au match aller que son Inter pouvait neutraliser tout danger. Et après son baptême victorieux en Reggio Emilia en Serie A, la soirée qui se présente vaut double pour Onana: Car ce soir, Inzaghi devrait composer sa partition avec une défense experte devant lui, et lui devra sorti le bleu de chauffe, comme ce fut le cas la semaine dernière." "Après tout, il n’est pas nécessaire de se lancer dans une course effrénée pour un point, vu que même un match nul vaudrait de l'or" Selon vous, le Salut de l’Inter peut-il passer à nouveau par les exploits d’un international camerounais aimé par les Tifosi ? ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  12. En effet, pour Simone Inzaghi l’heure de la révolte doit sonner, du moins au championnat car aligner trois défaites déjà maintenant au compteur fait tache, même si le Bayern de Munich est perçu comme bien trop fort Révélation de la Gazzetta Dello Sport "La Propriété s’attend à un changement de cap rapide, car elle est convaincue d’avoir mis à la disposition de l’entraineur le noyau qu’il souhaitait, en le contentant à chaque reprise comme le révèle la confirmation de Milan Skriniar malgré l’instance du Paris-Saint-Germain et à l’acquisition d’Acerbi en dernière minute." " Comment dire : Face au Torino, la révolte est chaudement conseillé!." Dans la ligne de mire pour La Repubblica "Inzaghi est dans l’œil du cyclone, comme cela se passe toujours lors de ce type de situations, ces deux dernières sorties n’ont convaincu personne, aussi bien au niveau des formations initiales que des remplacements en cours de match, sans oublier ses explications en conférence d’après match… L’équipe semble être en retard de préparation physiquement, très en retard même, et la défense est des plus friable, car elle craque dès les premières gouttes des attaques adverses, une situation qui est devenue une constante." La Position de la Direction Italienne Giuseppe Marotta a tenu à assurer ses arrières, l'entraîneur devient un bon alibi, même bien plus qu’une excuse pour les échecs liée leur cause, à la question "Inzaghi a-t-il encore la confiance du club ?" Il a répondu : "Bien sûr qu'il la conserve, il fait un excellent travail, il sait très bien gérer l'équipe." Ce n’est pas lui qui est donc remis en discussion, mais certains comportements : "Nous sommes l'Inter, nous voulons plus de prudence et de motivation de la part de tout le monde. Ce maillot doit être honoré de la meilleure façon possible, nous avons cette obligation envers les 60.000 personnes qui se présentent au Stadio Giuseppe Meazza : Nous devons y croire jusqu'au bout, la saison ne fait que commencer, la deuxième étoile est possible'' Redevenir une équipe pour la Rosea "Nous devons redevenir une équipe" telle était la phrase symbolique qui a surgit de la discussion, entre les joueurs, Simone Inzaghi et son Staff et la Direction, qui s'est tenue aujourd'hui.: "Toutes les thématiques ont été abordées : Les fractures mentales lors de l’apparition des première difficulté, la différence de performance globale par rapport à l'année dernière alors que le noyau est inchangé, les attitudes peu constructives de certains joueurs sur le terrain, la condition athlétique." Si la Direction s’est exprimée, plusieurs joueurs ont également pris la parole, dont le Capitaine Handanovic et Barella , qui sont parmi les plus expérimentés et qui ont fait leur mea culpa, reconnaissant qu'ils étaient coupables dans cette situation difficile "Ce que nous faisons n'est pas suffisant, nous devons en faire plus, y compris en matière d’entrainement." La confrontation a été décrite comme constructive par toutes les parties. Parmi les joueurs, par exemple, certains ont mentionné la condition athlétique, comme s'ils n'avaient pas l'impression que leurs jambes tournaient correctement. Mais les données exposées par le staff technique ont souligné que l'Inter, lors des deux derniers matchs, a couru pourtant bien plus que l'AC Milan et le Bayern: "Si l’Inter courent plus, elle court mais mal…" Une magie rompue le 22 mai 2022 pour Tuttosport "Quelque chose s'est brisé le 22 mai, le jour des larmes sous la Curva Nord pour un Scudetto jeté aux oubliettes. C'est là que la magie qui entourait la première saison de Simone Inzaghi à l'Inter a été brisée: L'idée qu'Inzaghi est le principal responsable de la perte du Scudetto est erronée et peu généreuse, mais, ce qui s'est passé lors des premiers matchs de la saison, avec ses mauvais changements à l'Olimpico et ses remplacements tardifs dans le Derby et même avec le Bayern, a fait gonfler la tête de ses détracteurs, en allant même jusqu’à faire chavirer sa propre base de soutien, car ce mercredi et pour la première fois elle n'a rien pardonné à son 'Inter".' Dejan Stankovic favori à la succession "Simone Inzaghi ne risque pas son poste mais, pour les trois matches à venir qui le sépare de la trêve internationale, il devra redresser le niveau de performance de l'équipe, et ce même si le calendrier est parsemé d'embûches avec la réception du Torino au Giuseppe Meazza, et deux déplacement à l’extérieur à Plzen et à Udine." "Simone est à la croisée des chemin dans un tournant de la saison qui est déjà important pour les ambitions du club en Serie A où il lui sera vital d’engranger un 6/6 pour rester attaché au "Wagon Scudetto" et pour assurer une place, à minima en Europa League, tout en gardant l’espoir de voir le Bayern Munich et Barcelone caler pour entretenir la flamme de la qualification pour les 16èmes de finale de la Ligue des champions." "Jusqu'à présent, LInter n'a jamais pensé à d'autres entraineur, également à cause des raisons que lui propose le marché : Mauricio Pochettino, en raison des coûts qu'il implique, est inatteignable, tandis que Roberto De Zerbi, qui est un entraîneur que Piero Ausilio a toujours apprécié, ne semble pas être l'entraîneur idéal pour prendre une équipe en cours de saison, entre-autre à cause du fait que l'Inter joue depuis des années avec le 3-5-2, un système de jeu très éloigné des idées tactiques de l'ancien dirigeant du Shakhtar Donetsk." "En cas de succession, il est bien plus facile pour l'Inter d'opter pour un entraîneur moins "dogmatique" et présentant un profil agréable à la vue de tous, une identité qui répond parfaitement à celle de Dejan Stankovic, qui a quitté l'Étoile Rouge de Belgrade après y avoir remporté trois championnats consécutifs ainsi que deux coupes de Serbie. Un grand "ex" qui, on peut le parier, répondrait par un grand oui, à l'appel du club avec lequel il a gagné le Triplé." ®Antony Gilles - Internazionale.fr
  13. Ce jeudi soir s’est tenu la soirée de Présentation du nouveau maillot home de l’Inter à la Piazza Gae Aulenti. Arrivée de la Direction acclamée par les Tifosi, qui demandent le recrutement de Paulo Dybala et de conserver Milan Skriniar, sans oublier une dédicace à la Vieille Dame! La présentation des joueurs au balcon et un Lautaro plus que jamais Leader Romelu Lukaku: "Je suis fier d'être de retour à Milan: Mon cœur est ici et je ferais tout pour gagner à nouveau le Scudetto" Simone Inzaghi: "Un grand salut à tous les tifosi: Vous êtes vraiment spéciaux!" Place à la Conférence de presse L’Inter du Toro "Je suis heureux de débuter cette nouvelle saison et de continuer sous ce concept de Famille. Je veux que tous comprennent que nous nous battons pour cela et que nous sommes unis aussi hors du terrain." "Pour moi, la Famille est un concept très important. L'image du stade plein à la fin de la saison dernière, où personne ne voulait partir, restera dans ma mémoire pendant longtemps, si ce n'est pour la vie, parce que c'était magnifique. Nous sommes heureux de commencer une nouvelle saison toujours avec ce concept de famille, que nous essayons d'ailleurs toujours de transmettre aux nouveaux arrivants. Sur le terrain, nous sommes des frères." Lautaro se livre sur notre équipe féminine "Depuis cette saison, elles sont considérées comme des professionnelles et je suis content de la croissance dont elles ont fait preuve lors de cette dernière période : Je suis vraiment eux car c’est vraiment important pour elle." Romelu Lukaku revient sur sa première vie interiste "La défaite en finale de l’Europa League a été très douloureuse pour notre équipe, mais elle nous a aussi aidé pour la saison qui a suivi et pour remporter le Scudetto. Cela vaut aussi pour la défaite face au Milan qui était premier, car lorsque nous les avons surpassé, c’était bénéfique pour l’équipe : Notre grand défi sera de l’emporter à nouveau cette année." "Nous sommes une grande famille dans les vestiaires. Sur le terrain, personne ne dit du mal de l'autre et nous sommes toujours positifs. Et puis, avant les grands matches, il y a toujours un grand ancien qui nous écrit et nous encourage. Cela montre que l'Inter est une grande famille." Nicolò Barella sur sa vie de footballeur "C’est un sport qui me permet d’être en contact avec tellement de personnes, de culture, mais qui m’a fait grandir aussi lors des périodes de difficultés : Parfois le football est merveilleux, parfois il est cruel, avec le temps tu prends tout ce qu’il t’est possible de prendre, c’est ce que je cherche à faire." "La preuve que l'Inter est une grande famille est venue à la fin de la saison dernière quand, après une grande déception pour nous et pour tous les Tifosi de l'Inter, il y avait ce respect et cet amour entre nous et tous les gens. C'était la meilleure démonstration" Lautaro conseille les plus jeunes "Il faut hausser le niveau quotidiennement, se sentir responsable, je l’ai toujours fait depuis tout petit et je continue aujourd’hui à penser que c’est la bonne mentalité. Je suis content d’être resté à l’Inter, ce sera une saison pleine d’engagement, c’est évident et je suis prêt pour renouer avec la victoire." Big Fail "C’est mon plus grand défi sportif à présent, car je suis parti ailleurs et que j’ai déconné c’est vrai hein Nico..." "Il se tourne vers Barella qui fait un geste des mains style...... ......Je te l’avais dit que c'était un mauvais coup mon frère." "Mais à présent, je suis heureux d’endosser à nouveau ce maillot. Je pense que cette année sera un beau défi à relever, nous devons continuer sur notre voie" Mon câlin avec Lautaro ? "J’avais besoin d’un peu d’amour après les courses de ce matin. Ma famille s’est toujours bien sentie à Milan, ma mère venait toujours ici, c’était normal de revenir." L’Inter, plus que jamais une famille ! Et c’est aussi pour cela qu’on l’aime! ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  14. L'actuel entraîneur de Tottenham Antonio Conte pense que son passage et son succès à l'Inter Milan lors des deux dernières saisons parle pour lui même. Lors de la conférence de presse en marge de la demie-finale de Carabao Cup face à Chelsea, et comme rapporté par FCInterNews, le tacticien Italien a souligné l'importance de son travail accompli avec les Nerazzurri. Conte a rejoint l'Inter lors de l'été 2019 en ayant déjà une solide réputation, notamment après ses passages à la Juventus, à Chelsea ainsi qu'avec la Squadra Azzurra. Le coach a guidé l'Inter à la seconde place en Série A et jusqu'en final d'Europa League lors de sa toute première saison en poste, avant de glaner le Scudetto lors de sa seconde. Conte retourne à Stamford Bridge pour la première fois depuis qu'il a quitté le banc de Chelsea, et il croît que son travail à l'Inter prouve qu'il reste dans le haut du panier des entraîneurs, ainsi que son projet actuel à Tottenham. "Je pense que dans la position dans laquelle je suis, je n'ai rien a prouver à qui que ce soit," a-t-il déclaré. "Je suis un coach d'expérience, et j'ai déjà réalisé d'important travaux avec l'Inter et maintenant avec Tottenham." ®Internazionale.fr ~ Aurios-Inter Via SempreInter
  15. L’ancien Administrateur-Délégué est sans conteste l’un des principaux artisan du renouveau conquérant Nerazzurro: Entré en poste le 13 décembre 2018, Giuseppe Marotta est nommé Administrateur-Délégué Sport de l’Inter. Sur le banc de touche on retrouvait Luciano Spalletti et Mauro Icardi comme capitaine et Leader de l’équipe. Le retour en Ligue des Champions aura vu l’équipe disputer la phase de groupe avant d’être reversé en Europa League. 16 décembre 2021, soit un tout petit peu plus de trois années ont passé et la situation est totalement différente : On retrouve à la tête du groupe Simone Inzaghi et sur le maillot une certaine cocarde tricolore. De plus, le club a retrouvé sa compétitivité aussi bien en Coupe d’Europe qu’en Italie Le Triennal de Marotta entre passé, présent et futur L’avènement de Marotta fut clairement décisif pour convaincre Antonio Conte d’épouse le projet Nerazzurro. "Pour réduire l’écart avec la Juventus, il n’est pas utile de se lancer dans des proclamations, mais d’avoir une Culture du travail accompagnée du sens d’appartenance envers le club" - Dixit Marotta le jour de son intronisation Des mois intenses et délicats suivantes avec la gestion du cas Icardi et un vestiaire qui a implosé : Mais finalement, le dirigeant est parvenu à redresser la situation, en recrutant Conte à Milan L’été 2019 est celui de la construction de l’Inter qui en deux saison permettra la conquête d’un Scudetto via une campagne de transfert pharaonique : Romelu Lukaku, Nicolò Barella, Stefano Sensi, Alexis Sánchez, Valentino Lazaro et Diego Godin, sans oublier les retouches hivernales Christian Eriksen, Ashley Young et Victor Moses. Pour la première année de Conte, l’équipe accroche la seconde place en Serie A et s’incline en Finale de l’Europa League face à Séville. C’est exactement à partir de ce dernier que débutera la chevauché menant au Scudetto malgré un mercato estival 2020 pratiquement inexistant, la faute à la pandémie liée au Covid-19 qui inflige de sérieuses séquelles à tous, et pas uniquement à l’Inter. Le temps de célébrer un succès retrouvé et l’importante satisfaction d’avoir mis un terme à la Domination de la Juve qu’il avait lui-même créé est bref : Giuseppe Marotta et Piero Ausilio faisant face à un été difficile avec des départs importants : Antonio Conte, Romelu Lukaku et Achraf Hakimi, sans oublier la dramatique situation entourant Christian Eriksen. Pourtant comme le démontre le terrain, les joueurs ont été bien remplacés via les affaires conclus pour s’attacher les services d’Hakan Çalhanoğlu, Edin Džeko, Joaquín Correa et Denzel Dumfries. Ceux-ci sont accompagné par le choix de miser sur le "nouveau Massimiliano Allegri": Simone Inzaghi qui s’est montré capable de reprendre l’héritage d’Antonio Conte avec pragmatisme et empathie envers le groupe, ce qui n’est pas sans rappeler « Max » à Turin en 2014 Le présent et le futur Le parcours de Marotta n’est pas terminé, même si le principal intéressé a confirmé que l’Inter sera le dernier club de sa carrière, lui qui songerait à se renouvellent dans un poste à niveau institutionnel. Giuseppe Marotta n’est pas simplement qu’n très grand gestionnaire de club, d’homme et de vestiaire, c’est un dirigeant compétent en plus sur les terrains, disposant d’un poids politique à la Lega. Giuseppe Marotta est de la Vieille Ecole, comme Adriano Galliani : Il sait et s’occupe de tout. Il se confronte avec les Présidents des Tops Clubs Européens, mais aussi avec les jardiniers d’Appiano Gentile. Comme déjà dit, l’Histoire de Marotta à l’Inter ne prendra pas fin au 30 juin 2022, date de la fin de son contrat actuel. Depuis longtemps, Marotta, comme Piero Ausilio et son adjoint Dario Baccin, sans oublier Samaden, le Responsable des jeunes, est en négociation avec Suning pour prolonger son contrat, et malgré les hauts et les bas connus par la propriété, Giuseppe Marotta restera toujours à la barre Comment jugez-vous et analysez-vous le triennal de notre Padrino préféré ? ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  16. Primé aux Gazzetta Awards comme lauréat de "l’Exploit de l’année", Nicolò Barella s’est livré sur ses objectifs pour cette saison: "Je suis extrêmement content, je remercie mes équipiers, car sans eux, il ne se serait rien passé, c’est un honneur d’avoir remporté ce prix. Les Italiens ont réalisé tant d’exploits, c’est une fierté pour moi." L’Objectif Coupe du Monde ? "Aller à la Coupe du Monde et la disputer serait si beau, il reste encore deux obstacles à franchir, et je mettrais tout en œuvre pour y aller." L’Inter a changé, mais elle reste toujours en tête : Est-ce que le "Scudetto Bis" a déjà été prononcée dans le vestiaire ? "C’est évident que nous tenons à défendre ce Scudetto, je veux la seconde étoile : Ce championnat est long et disputé, il est très difficile. Nous sommes l’Inter et nous voulons gagner, c’est l’Histoire du Club. L’année dernière était si belle, intense et difficile. Tout est parti de la Finale perdue en Europa League : C’est de là qu’a débuté tout le travail : Nous voulons la seconde étoile." Un message clair envoyé à l’ensemble de la Serie A ! ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  17. En effet, la valeur sur papier d’un une grosse équipe est généralement considérée comme un bon indicateur pour juger de son niveau général. Celui-ci est d’ailleurs pris en considération lorsqu’il faut établir des pronostics et des prévisions sur les performances d’un club dans un tournoi. Pourtant, comme le révèle l’étude de KPMG Football Benchmark, ce type de raisonnement n’est pas toujours le plus respecté, preuve en est avec cette édition de la Ligue des Champions qui s’avère d’ores et déjà emblématique La société de consultance a constaté, pour 4 groupes sur les 8 possibles, que ce ne sont pas les deux équipes les plus importantes qui qui sont parvenu à se qualifier. Mieux encore, seul le classement final du Groupe A correspond à la valeur des équipes dans l’ordre: Manchester City est suivi du Paris-Saint-Germain, Le Redbull Leipzig, et le Club de Bruges Dans le Groupe C, le Sporting Lisbonne vaut globalement 213 millions d’euros. Il est parvenu à battre et à éjecter de la compétition le Borussia Dortmund qui en vaut 665. Dans le Groupe E, le Fc Barcelone et ses 711 millions d’euros ont été éjecté par le Benfica Lisbonne et ses 299 millions d’euros. La situation est également similaire avec le Groupe F où l’Atalanta (440 millions d’euros) a été battue et éliminée par Villareal (390 millions d’euros) Le Groupe G est le groupe qui semblait le plus équilibré sur papier a connu son lot de surprise : Salzbourg et ses 186 millions d’euros se qualifiant pour le tour suivant en envoyant Séville en Europa League et ses 437 millions d’euros et en privant de toute compétition européenne Wolfsburg et ses 301 millions d'euros. Vu la saison actuelle, pensez-vous que notre Beneamata pourrait créer quelques surprises pour la suite du tournoi ? ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  18. Javier Zanetti a préfacé la rencontre opposant l’Inter au Real Madrid au cours d’une longue interview au quotidien ibérique "Marca" Quel est votre rôle en tant que Vice-Président ? "Depuis que j’ai pris ma retraite, après 20 ans à l’Inter, j’ai eu l’envie d’élargir ma vision du Club avec un poste plus important au niveau sociétal, avec des responsabilités sociales, des relations internationales, cela va plus loin que ma contribution qui était pratiquement qu’au niveau sportif." Avez-vous dû étudier ? "Énormément, j’ai début à l’Università Bocconi di Milano, j’y ai fait un Master et je continue encore à étudier car il y a toujours des nouveautés au niveau du Marketing, des finances, du management. La chose la plus importante que j’ai compris était que je devais tout reprendre à zéro." Pourquoi vous intéresser autant à ce type de travail ? "J’aime être présent pour les personnes qui en ont le plus besoin. Je le fais depuis 20 ans avec ma Fondation "Pupi Zanetti" et j’ai voulu continuer à le faire avec l’Inter car cela fait partie de son ADN : Gagner une rencontre ou une coupe est aussi important pour moi que d’avoir des responsabilités sociales qui consistent à transmettre des valeurs humaines." Vous représentez un club très important. Comment compareriez-vous la grandeur de l’Inter à celle du Real Madrid ? "Je représente un club avec une grande histoire et c’est une très grande responsabilité. Le Real Madrid est un autre grand club de grand prestige avec une grande tradition dans les tournois internationaux. Il y a toujours eu un très grand respect entre les deux." Est-ce que vos rapports avec Florentino Perez sont bons ? "Oui, ils sont très bon, Lui et Emilio Butragueño se sont toujours bien comportés, nous avons un bon rapport depuis des années et je suis toujours heureux de les revoir. Emiliano est fantastique." Vous êtes, en Europe, un "One club man" ce qui rare et qui ne se fait plus jamais aujourd’hui…… "Je venais d’arriver d’Argentine à l’âge de 21 ans, et j’ai ensuite évolué toute ma carrière pour l’Inter: Jje ne me le serais jamais imaginé. J’espère que cette tendance reviendra, mais les temps ont changé, mais il n’y a aucun problème." Passons au match d’aujourd’hui : Le Real Madrid est-il le favori ? "Oui, affronter le Real à domicile est toujours difficile car ils savent comment gérer ce type de match. Ce qui est bénéfique c’est que nous sommes tous deux qualifiés et que nous aller jouer sans cette pression. Notre équipe réalise de très belles prestation grâce à l’optimal travail d’Inzaghi et de ses garçons. Je pense que ce sera un match à arme égale." Les Tifosi du Real risquent de penser à une Inter qui ne fait pas tellement peur: Qu’en pensez-vous ? "Non, non et non : L’Inter a son identité et elle a des joueurs de qualité qui chercheront à le démontrer aussi à Madrid. On peut gagner ou perdre ensuite, mais l’identité de l’Inter est très claire." Quel et le mérite de la propriété, dans le fait de voir à présent, une Inter qui aspire à tout ? "Avec les nouveaux propriétaires, nous avons remporté la Serie A et atteint la Finale de l’Europa League. Nous sommes de retour en huitième de finale de la Ligue des Champions après dix ans. Ils nous ont apporté de la stabilité, ce qui est quelque chose d’essentiel." Faut-il un Milan fort pour motiver l’Inter ? "Les deux équipes ont l’ambition de se montrer protagonistes, nous le faisons depuis plusieurs années et le Milan est très bon en championnat : C’est bénéfique pour tout le football italien." On joue mieux en Italie, êtes-vous d’accord ? "On cherche à être bien plus protagoniste avec une philosophie de jeu très claire. La preuve en est la victoire de l’Italie à l’Euro. C’est vrai que de nombreuses équipes cherchent à se montrer protagonistes." La Serie A gagne du terrain comparé à d’autres Ligues, cela ne fait plus aucun doute… "Lorsque je jouais en Serie A, elle était impressionnante, tout le monde voulait venir jouer ici. Pour moi, le championnat italien reste le plus difficile à disputer, ce n’est pas le cas pour tous. Le football espagnol a connu sa période et maintenant c’est la Premier League, mais oui, la Serie A est en train d’énormément grandir." Aviez-vous été proche du Real Madrid durant vos années ? Dites-le-nous…… "Oui, j’étais très proche du Real et j’ai déjà dit que je me sentais honoré de l’intérêt d’un tel club. C’était du temps de Jorge Valdano comme Directeur Sportif. Mais tous ceux qui connaissent mon Histoire savent que ma Maison est l’Inter, c’est aussi pour cette raison que je suis resté ici." Pour quelles raisons ? "L’identification avec l’Inter et le fait que je jouais dans un club avec tant d’Histoire, même si à l’époque, elle était en difficulté. Des choses ne s’étaient pas encore passés et je ne voulais pas partir sans y laisser mon empreinte. J’en étais le Capitaine et j’avais une grande responsabilité. Je voulais y rester." Dites-nous, combien de fois avez-vous joué au Santiago Bernabeu ? "Très peu de fois, et je pense uniquement à la Finale de la Ligue des Champions 2010. Une autre fois, nous avions dû jouer Madrid en Ligue des Champions à Séville car le Bernabeu était fermé. Après ma retraite, nous avons disputé un match des légendes. J’en ai aussi disputé un avec l’Argentine." Que vous rappelez-vous cette soirée de 2010 ? "C’était la soirée rêvée, l’une des plus belle de ma carrière car elle reste dans l’Histoire de mon club : J’ai soulevé la Ligue des Champions que l’Inter n’avait plus remporté depuis 45 ans." Que pensez-vous de Carvajal ? Vous étiez un spécialiste à ce poste...... "C’est un point de référence, un joueur très équilibré et qui évolue avec continuité. La preuve est que tous les entraîneurs lui font confiance." Quelle est l’image de Carlo Ancelotti, l’entraîneur, en Italie ? "Carlo est très estimé pour l’ensemble de sa carrière, pour sa façon d’être. C’est toujours un homme très calme avec des concepts très clair. Il se comporte toujours de la même façon, aussi bien en cas de victoire que de défaites. J’ai beaucoup de respect pour lui." ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  19. En effet, c’est une information relayée par Sky Sport, l’équipe Championne d’Italie en titre, suite à sa victoire sur le Napoli se remet, , en selle pour le championnat où elle s’apprête à défier le club de Venise. Si l’on se base sur les déclarations de Simone en après-match, cette reprise en Serie A devrait faire l’objet d’un turnover réaliste et nécessaire vu la fatigue importante de certains éléments fondamentaux Sky Sport a profité de l’occasion pour comparer les moyennes de Simone Inzaghi et Antonio Conte, aussi bien en Serie A qu’en Ligue des Champions, un tournoi où le natif de Piacenza a d’ores et déjà fait mieux que son illustre prédécesseur, même si celui-ci a tout de même permis à l’Inter de retrouver une finale européenne, en Europa League lors de sa première saison Si l’on analyse la moyenne de point en Serie A, Simone est sur le même rythme qu’Antonio 1er. Aucune surprise par contre, Inzaghi a engrangé le double de point que Conte en Ligue des champions Personne ne sera également surpris de constater qu’offensivement, la moyenne de but marqué est à l’avantage de Simone Inzaghi qui propose un jeu bien plus offensif que celui d’Antonio Conte en Serie A. En Ligue des Champions, le rendement actuel est similaire à l’ère Antonio 1er. Là où Antonio Conte domine en Serie A, Simone Inzaghi pèche : L’équilibre défensif a toujours été mis en avant par le natif de Lecce, l’équipe étant celle qui a encaissé le moins de but sur l’ensemble des deux derniers tournois en Serie A. La différence se trouve par contre en Ligue des Champions où la situation est totalement inversée avec Simone Inzaghi qui propose un rempart défensif bien plus performant. Ces statistiques mettent en évidence une certaine continuité, si l’équipe parvient à garder le cap, cela s’annonce de bonne augure pour le mois de mai, même si à présent, la Ligue des Champions fera son retour à Milan au mois de février! Comment jugez-vous la performance de Simone Inzaghi ? Quelles en sont ses points fort et ses points faibles ? ®Antony Gilles - Internazionale.fr
  20. Il aura fallu une attente similaire à celle du Scudetto, soit une dizaine d’année, mais une attente qui en a valu la peine : L’Inter est mathématiquement de retour parmi les 16 meilleures équipes d’Europe Première ou seconde place ? Le mérite de ce succès en revient à Simone Inzaghi qui aura réussi l'Emprise, là où Luciano Spalletti et Antonio Conte ont échoué. La performance est d’autant plus belle étant donné que les Nerazzurri se qualifient avec une journée à l’avance! Le mérite en revient aussi à Edin Dzeko auteur d’un doublé, là où l’année dernière Mister 115 millions d’euros sauvait le Shakhtar. Le mérite en revient aussi au Real Madrid qui a pris sa revanche sur le terrain de la surprise de la compétition, le Sheriff Tiraspol qui continuera méritoirement son aventure européen, en février, mais en Europa League! Avec un jeu spectaculaire et une personnalité qui lui est propre, le Champion d’Italie a réagi comme une très grande équipe après avoir été acculé dans ses derniers retranchements au terme de la seconde journée avec un seul petit point au compteur sur six. Trois victoires consécutives plus tard, l’Inter a déjà quoiqu’il arrive atteint le premier objectif de la saison : Si tout peut à présent arriver lors de la phase à élimination directe, ce ne sera à présent que du bonus Mieux encore, là où l’Inter Championne d’Italie d’Antonio Conte a échoué lamentablement à la quatrième place d’un groupe à 75% similaire, l’Inter peut encore tenter de revendiquer la première place de son groupe de Ligue des Champions : Seul deux petits points séparent le Ral Madrid (12) de l’Inter (10). Si l’Inter l’emporte à Madrid avec deux buts d’écart, pour s’assurer une fin de match sereine, elle finira en tête de son groupe, mais il s’agit-là d’une tout autre histoire, ce match sera, avant tout, un match de gala. Le plus important est qu’après dix ans de calvaire, les huitièmes de finale de la plus prestigieuse compétition européenne sont redevenu une réalité! La Stat C’est une révélation d’Opta, l’Inter est l’équipe qui a tenté le plus de marquer, lors des premières mi-temps de cette édition de la Ligue des Champions : 62 tentatives, soit 11 fois plus que n’importe quel autre équipe du tournoi. Sur ses 62 tentatives en première période, le ballon s’est retrouvé au fond des filets qu'à une seule reprise ! Seul le Dinamo Kiev a fait pire en ne tirant qu’à 16 reprises ! Cheh ! Tableau récapitulatif Résumé vidéo Inter 2-0 Shakhtar Donetsk Buteur(s): 61’, 67’ Dzeko (I) Inter: 1 Handanovic; 37 Skriniar, 13 Ranocchia, 95 Bastoni; 36 Darmian (78’ 33 D’Ambrosio) 23 Barella (78’ 22 Vidal), 77 Brozovic, 20 Calhanoglu (86’ 12 Sensi), 14 Perisic (86’ 32 Dimarco); 9 Dzeko, 10 Lautaro Martinez (68’ 19 Correa) Banc: 21 Cordaz, 97 Radu, 2 Dumfries, 5 Gagliardini, 8 Vecino, 11 Kolarov T1: Simone Inzaghi Shakhtar Donetsk: 81 Trubin; 2 Dodo, 3 Vitao, 5 Marlon, 22 Matviyenko; 6 Stepanenko (46’ 8 Marcos Antonio), 7 Maycon; 14 Tete (80’ 11 Marlos), 38 Pedrinho (73’ 15 Bondarenko), 19 Solomon; 99 Fernando (80’ 20 Mudryk) Banc: 1 Shevchenko, 30 Pyatov, 4 Kryvstov, 26 Konoplia, 44 Korniienko, 45 Sikan, 70 Konoplyanka, 77 Bondar T1: Roberto De Zerbi Arbitre: Haţegan (Rou) VAR: Dingert (All) Averti(s): Vitao (S) Expulsé(s): / Affluence: 46.255 tifosi ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  21. Nos confrères de Fcinter1908.it ont analysé la qualification de l’Inter en Ligue des Champions, une qualification obtenue grâce au Cygne bosniaque qui n’était appelé qu’à être le remplaçant de Romelu Lukaku sous l’Inter d’Antonio Conte Edin Dzeko/Simone Inzaghi vs Romelu Lukaku/Antonio Conte Finalement, Dzeko a été recruté pour remplacer le belge et il y est parvenu de la meilleure des façons, en allant au-delà de toutes les attentes, il suffit d’analyser ses prestations et surtout ses statistiques. Le plus heureux est Simone Inzaghi qui l’a finalement dans son équipe et plus comme adversaire, lui qui l’a connu dans tellement de Derby Romain. Un présent et un passé récent proche tout en étant aussi éloigné car pour sa première saison en Nerazzurro, Inzaghi a déjà fait mieux que Conte en Coupe d’Europe en se qualifiant pour les huitièmes de finale de la Ligue des Champions. Une performance déjà réalisée la saison dernière lorsqu’il était à la tête de la Lazio. Premier ou second ? C’est le terrain qui le dira, car l’Inter ira à Madrid le 7 décembre pour jouer la première place du Groupe. Inzaghi est meilleur en Coupe d’Europe et en course pour le Scudetto en Italie. Après la victoire face au Napoli 3-2, le club n’est seulement qu’à 4 longueurs de la tête du classement occupée justement par l’équipe de Luciano Spalletti et du Milan. Les statistiques ne mentent pas : Après 13 journées, l’Inter de Conte disposait de 30 points contre 28 pour Inzaghi en Serie A, avec 1 point de retard contre 4 actuellement. Les deux équipes ont inscrit le même nombre de buts : 32, pour 10 buts encaissés par Conte contre 12 pour Inzaghi. C’est une certitude, l’Inter d’Inzaghi est bien dans la course pour remporter son second Scudetto consécutif Le mérite en revient aussi aux buts d’Edin Dzeko, arrivé durant l’été pour remplacer Romelu Lukaku à la suite de son transfert imprévu à Chelsea et lui, l'Homme qui devait être considéré comme le symbole du redimensionnement interiste, a décidé de porter sur ses épaules l’équipe en Ligue des Champions 50 Edin est l’auteur de 3 buts et d’une passe décisive en Ligue des Champions en 5 matchs disputés Sur les 13 journées disputées en Serie A, il est l’auteur de 7 buts et de 2 passes décisives. Il a pris part activement à 13 buts en 18 matchs disputés. Le doublé inscrit hier soir lui a permis d’atteindre le palier des 50 buts en Coupe d’Europe : 25 buts sur 60 matchs en Ligues des Champions et 25 buts en 48 matchs en Europa League. Ces statistiques sont explosives pour le bosniaque qui avait terminé la saison écoulée avec seulement 13 buts au compteur pour la Roma. Dzeko a littéralement "annulé" Lukaku parti durant l’été pour 115 millions d’euros pour équilibrer les comptes de l’Inter, un discours similaire d’ailleurs qui a mené au départ d’Achraf Hakimi au Paris-Saint-Germain. Lorsque l’on pense que Dzeko est arrivé à l’Inter contre une indemnisation de 1,5 millions d’euros en cas de qualification en Ligue des Champions, on peut considérer qu’il s’agit d’un vrai chef d’œuvre dans le plus pur style Marotta qui récolte ses fruits aussi bien en Serie A qu’en Coupe d’Europe Si l’on pousse le vice plus loin, Romelu Lukaku n’a inscrit que 4 buts et délivré une passe décisive pour Chelsea en 11 matchs cette saison, dont un seulement en Ligue des Champions. Si l’on souhaite pousser la comparaison un peu plus loin par contre, Lukaku, en 13 journées proposait, tout de même en Serie A, un bilan de 11 buts et 2 passes décisives pour 4 buts inscrit en Ligue des Champions. S’il est légèrement en avance sur Edin, il y a une importante différence : Les Huitièmes de finale de la plus prestigieuse compétition européenne pour club à disputer en début d’année 2022 Le tacle signé Fabrizio Biasin "12 heures après avoir validé le premier objectif de la saison, l'entraîneur de l'Inter n'a encore attaqué personne, n'a pas parlé d'hypothétiques "wagons" sur lesquels il est interdit de monter, a remercié tout le monde (joueurs, dirigeants, société) en s'excluant de lui-même, et il en a même souri. c'est Incroyable." Selon vous, outre l’impact positif et bénéfique de Simone Inzaghi et Edin Dzeko, le mérite de cette Masterclass revient-il bien à Giuseppe Marotta ? ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  22. En effet, interviewé par RTL7, André Onana a confirmé son départ de l’Ajax Amsterdam en fin de saison. "Comment le dire: Lorsqu'une porte s'ouvre, un jour où l'autre, elle doit se refermer. C'est le moment de partir pour moi, j’ai fait de mon mieux pour ce club, j’ai tout fait, nous avons réalisé beaucoup de choses : Lorsque je revois les photos de la Finale de l’Europa League en 2016-2017, je pense que je suis le plus surpris : Je me disais Wooh, c’était une grande saison." "Mais surtout, après tout ce qu’il s’est passé, c’est bon de revenir et d’aller de l’avant : J’étais fier d’être ici, même si ce n’était pas toujours facile, je tiens donc à fermer ce chapitre, et de passer à autre chose à présent: Nous verrons bien ce qu’il se arrivera." Les portes d’Appiano Gentile te sont grandes ouvertes André ! ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  23. En effet, même si Gabriele Gravina a dit que le tout aller s’avérer compliqué, la Nazionale Italienne a pour mission de se qualifier pour la Coupe Du Monde 2020 par le biais des Play-Offs : Une seconde élimination consécutive, à ce stade de la compétition, pourrait s’avérer catastrophique pour tout le secteur. Appel au bon sens Selon la Gazzetta Dello Sport, il pourrait être demandé aux clubs italiens de reporter la journée du 20 mars pour permettre à Roberto Mancini de disposer de plusieurs jours supplémentaires pour préparer la demi-finale qui se tiendra les 24/25 mars et la finale qui se tiendra les 28/29 mars. Merci l’UEFA Pour la fin de saison, la Ligue des Nations empêchera de décaler tout le championnat et les marges de manœuvre sont très minimes. Mais la Lega Calcio et la FIGC collaborent pour parvenir à un accord, sans causer le moindre tort à personne: La décision pourrait être prise immédiatement après les tirages au sort des seconds tours de la Ligue des Champions, de l’Europa League et de la Conférence League. On parle également d’un stage réservé aux Azzurri durant la trêve internationale de la fin-janvier/début février, qui est déjà réservée aux équipes nationales sud-américaines. La FIGC pourrait également songer à organiser, durant cette fenêtre internationale, un match amical. Comme quoi, reporter toute une journée peut être réaliste alors que reporter un match, Lazio-Inter en l’occurrence, s'était avéré impossible… ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  24. Javier Zanetti, le Vice-Président de l’Inter, et Parrain d’Internazionale.fr s’est livré à Deejay Chiama Italia. Retour européen difficile "Je suis rentré à la maison à 6h00 de Tiraspol, comme les joueurs, et il fallait préparer se préparer à une rencontre telle que le Derby: Les garçons l’ont très bien abordé, il y a eu la prestation, vu ce que nous nous sommes créés face à une grande équipe tel que le Milan qui occupe méritoirement la première place. C’était un beau Derby et c’est normal d’avoir calé physiquement: Les joueurs, durant 80 minutes, ont cherché à gagner, si tu n’y parviens plus, tu risques de concéder quelque chose. Nous regardons droit devant nous, je reste confiant." Simone Inzaghi "Avec Antonio Conte, il y a eu un travail extraordinaire: Nous sommes arrivés second et en Finale de l’Europa League lors de la première saison. Nous avons remporté un championnat compliqué à sa seconde. Simone continue le travail en apportant ses idées : Les garçons le suivent et cela se voit, il y a toujours eu des prestations." Le Giuseppe Meazza "Un peu d’émotion m’envahira car c’était ma maison. La première fois que j’y ai joué, c'était contre Vincenza : Deux jours avant mon match, j’y étais allé en famille pour y faire un tour et l'observer. Durant ce match-là, il y avait énormément de monde et nous l’avions remporté via un but de Roberto Carlos." "Mon premier Derby s’était soldé par un 1-1 et j’en conserve un souvenir: Il restait cinq minutes, je suis rentré dans la surface en dribblant Franco Baresi: Je suis tombé et j’ai crié "Rigore" : Il m’avait attrapé en me disant "relève-toi gamin!". ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  25. Simone Inzaghi s’est livré, en conférence de presse, à la veille de ce qu’il sera son retour, en qualité d’adversaire, au Stadio Olimpico de Rome face à “sa Lazio” Comment vous préparez-vous au prochain Tour de force ? "Nous savons que plusieurs parties rapprochées nous attendent, nous voulons nous faire trouver prêt pour chacune. Nous étions tout de même peu nombreux à Appiano, mais nous avons su travailler de la meilleure des façons. Certains joueurs sont revenus avec des coups, à présent j’attends le retour sud-américains." A quel point a changé la Lazio sous Sarri ? "La Lazio a réalisé de très bon matchs, du Derby en passant par l’Europa League, c’est une équipe bien construite avec des qualités optimales. Sarri est très bon lorsqu’il s’agit d’organiser ses équipes: Les garçons ont réalisé d’excellents matchs, ils ont perdu leur dernier match et seront vexés. Je sais que nous allons faire face à une équipe qui voudra faire une belle prestation." Quand reviendront les Sud-américains ? Comment va Sensi ? "En ce qui concerne les sud-américains, cela s’était déjà produit face à la Samp. C’est une situation délicate: Sanchez et Vidal ne verront pas Rome, je ne saurais pas les utiliser car ils reviendront à 3h00 du matin. Ils seront plus utile pour mardi, comme Sensi. Ces derniers jours, il s’est entraîné discrètement avec le groupe, mais il ne sait pas encore taper librement de son pied droit, à cause de son entorse. Il a de très bonnes sensations, j’espère qu’il pourra être de retour rapidement." La Liga a repoussé de nombreux matchs pour préserver le parcours européen de ses équipes…. "Je parlerai avec Lautaro, Correa et Vecino, pour voir comment ils iront. La Liga a très bien fait, mais c’était une thématique qui aurait dû avoir lieu en début de saison : nous devrons serrer les dents, nous avons des alternatives pour ces postes et je devrai évaluer, avec attention, dans quelles conditions ils seront en arrivant." Serez-vous en difficulté face au pressing de la Lazio ? "Nous devrons nous montrer propre dans notre façon de jouer et être bon en phase défensive et offensive." C’est un retour particulier à l’Olimpico… "C’est un retour à la maison pour moi, j’y suis resté 22 ans: Je ne vous cache pas que je ressentirai des émotions lorsque je reverrai des garçons qui m’ont toujours tout donné durant ces années, je reverrais aussi des personnes qui ont toujours été spéciales, en coulisses. Elles ont été très importante pour moi, nous avons fêté et souffert ensemble au fil des années, nous avions atteint de grands objectifs." "Demain, je sais qu’il y aura des applaudissements et des sifflets, mais cela fait partie du métier et je l’accepterai, mais ils savent tous que j’ai tout donné pour ces couleurs." Qu’attendez-vous de Lotito ? "Je lis et j’écoute toujours tout, mais au-delà de ce qu’il pense et de ce que pense Tare, ils ont été des personnes très importantes durant ma carrière. J’ai commencé à entraîner grâce à eux et je ne cesserais jamais de les remercier: Nous nous sommes bien trouvé et il faut savoir aussi que nous avons obtenus de grands résultats." La Lazio, le Sheriff et la Juventus. C’est un Test d’endurance pour l’Inter..... "Ce sera, sans aucun doute, une semaine très engagée: Nous voulons aborder les matchs les uns après les autres. Nous devrons faire de notre mieux tout en sachant que ce seront des rencontres très difficiles." Comment évolue Dumfries ? "Il avance, je pensais qu’avec les problèmes linguistiques qu’il lui aurait fallu plus de temps, mais c’est un garçon qui écoute et qui a déjà joué plus de la moitié du temps à disposition. C’est un titulaire fixe des Pays-Bas et plus le temps passera, plus il s’améliorera, j’en suis convaincu." Si vous ne savez pas jouer la carte Lautaro, quelles seront les solutions ? "Elles sont nombreuses, Dzeko jouera, il y a aussi l’opportunité Satriano, mais il y a aussi Perisic et Çalhanoğlu. Je devrai évaluer les conditions de récupération de Lautaro et de Correa." Que manque-t ’il à Çalhanoğlu? "Je suis satisfait de lui car il fait partie intégrante du projet, c’est un garçon qui ne se cache jamais : Lundi, il a été victime d’une sérieuse entorse et il a tout fait pour être à disposition demain, je ne sais pas encore si ce sera le cas. Ses compagnons, tout comme moi, sommes très heureux: Il marque et réalise des passes décisives." Est-ce que l’Inter vous séduit de plus en plus ? "Je me suis senti immédiatement intégré ici, les Tifosi de l’Inter m’ont accueilli d’une manière dont je n’avais jamais songé, et ce dès le premier jour. Ils ont toujours été fantastique avec moi et avec l’équipe, ils sont toujours aussi si nombreux lorsque l’on se déplace à l’extérieur, ils nous font toujours ressentir une chaleur incroyable." ®Antony Gilles – Internazionale.fr
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