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Fabio Capello s'est exprimé dans une interview pour le Corriere della serra, via FCInter1908 : "Je m'attends à une course plus excitante pour le Scudetto cette saison que la saison passée où le Napoli s'est envolé en tête." "Les Nerazzurri ont l'équipe la mieux armé de Série A. Cependant, le Milan et la Juventus ont aussi leur mot à dire." "C'est une course au titre différente comparé à celle qui vient de se finir quand le Napoli et leur entraîneur ont tout de suite trouvé leur rythme vers le titre." "Le championnat en cours est plus équilibré. Je vois l'Inter en course. C'est l'équipe la plus forte de série A." "Milan est mieux structuré que l'année dernière tandis que la Juventus, sans engagement européen, peut concentrer ses efforts sur le Scudetto." “Mais en dépit d'être favori pour le trophée, l'Inter est également son pire ennemi. C'est déjà arrivé dans le passé. De temps en temps, ils commettent l'erreur de se sentir trop forts et sous-estiment leur adversaire." "Je parle par expérience, l'aspect le plus difficile à gérer quand vous menez une équipe qui est clairement supérieure aux autres est de garder les joueurs sous pression." "Dans ces situations, les joueurs les plus charismatiques doivent donner un coup de main au coach. J'avais Raul au Réal Madrid et Baresi avec Maldini au Milan." Fabio Capello donne également son avis sur l'échec du nouveau projet San Siro et les plans des deux clubs pour déménager: "J'espère que finalement quelque chose pourra être fait pour dépasser la bureaucratie qui gêne ou bloque toute tentative de progrès." "Par exemple, prenons le projet San Siro qu'ont présenté l'Inter et le Milan, il y a 4 ans. Construire un nouveau stade tout en préservant une petite partie symbolique de l'actuelle me semblait parfait. Un pas en avant vers la modernité, avec un hommage respectueux envers l'histoire." "Mais au lieu de ça, le gestionnaire l'a empêché. La décision du Milan et de l'Inter de se déplacer à San Donato et Rozzano est une défaite pour la ville de Milan." "Sans la location des deux clubs, San Siro risque de devenir un monument qui va tomber en ruine..." ®Zanetti63 - Internazionale.fr
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En effet, malgré un parcours des plus tumultueux en Serie A cette saison, Simone Inzaghi a atteint cette barrière symbolique des 500 points en carrière comme le révèle la Rosea "L'entraîneur de l'Inter a accumulé ce demi-millier de points en 267 matchs, et ce compris, le match de dimanche dernier face à son ancien club, la Lazio, en montant de la sorte sur le podium des entraineurs les plus précoces d’Italie à y être parvenu: Il n'est devancé que par Maurizio Sarri et Carlo Ancelotti, avec respectivement 255 et 256 matches. Mais c'est aussi en lisant les noms qui le suivent que l'on se rend compte de la grandeur de cette performance, car il ne lui a fallut que sept années dans la profession : Le top 5 est, en effet, complété par Roberto Mancini et Massimiliano Allegri, puis Luciano Spalletti, Walter Mazzarri, Gian Piero Gasperini, Stefano Pioli et Luigi Delneri." "On peut également jeter un coup d'œil sur la moyenne de points de tous les entraîneurs ayant disputé au moins 100 matchs match en Serie A : Là aussi, Simone Inzaghi figure dans le top 10, mais à un rang inférieur, ce qui est compréhensible : Il y occupe la neuvième place précisément, avec un coefficient de 1,87 points par match. Au palier des deux points par matchs, on retrouve le leader incontesté Antonio Conté suivi d’Allegri, Carlo Carcano, Fabio Capello, José Mourinho, Maurizio Sarri, Carlo Ancelotti et Carlo Parola." "Il est curieux que ces objectifs apparaissent précisément au cours d'une saison où la progression enchampionnat risque d'être un boulet "moqueur" dans l'évaluation de ses performances. Se vanter de ses réalisations n'est pas exactement un symbole d'humilité, mais ces chiffres parlent en sa faveur et si à la fin de la saison, la cinquième place est évitée, ces chiffres brilleront d’autant plus sur le torse de l’ancien joueur âgé de 47 ans." Le Saviez-vous ? Comme nous le révèle Tuttosport: Outre le fait qu’il ait atteint les 500 points en un temps record, "Simone dirigera ce soir la 100ème rencontre sur le banc de l’Inter. A la fin de la saison, il aura égalé Mourinho (108) et pourrait même le dépasser en allant à Istanbul. Et il sera parvenu à dépasser Antonio Conte (102) et Giovanni Invernizzi (107), tous des entraîneurs qui, contrairement à lui, ont remporté le Scudetto, le premier "péché capital" imputé à Inzaghi il y a une saison." ®Antony Gilles – Internazionale.fr
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L'entraîneur, désormais commentateur sur Sky Sport, a accordé une interview à Libero sur Inter-Milan en Ligue des Champions. Fabio Capello s'exprime en vue du double derby de la Ligue des Champions entre l'Inter et Milan. L'entraîneur, aujourd'hui commentateur sur Sky Sport, a accordé une interview à Libero : « Ce que nous vivons avec l'Inter et Milan est une belle vitrine pour notre football. Le football qui, ne l'oublions pas, il y a un an avait le moral en bas faute de qualification pour la Coupe du Monde. L'argent permet-il de marquer des buts ? "Grâce à l'excellent travail de Maldini et Massara, ainsi que de Pioli, Milan est en avance sur son temps. Malheureusement, l'Inter est dans une position difficile en raison de salaires disproportionnés et d'une situation d'entreprise compliquée. Elle est obligée de vendre des joueurs importants chaque année". A l'Inter on pense que Barella est le leader, un guerrier que Capello aurait aimé dans ses équipes. Nous nous trompons?? "Du tout. Contre Benfica, il a marqué deux buts décisifs. C'est un milieu de terrain de qualité avec une énorme présence sur le terrain. Il a de l'enthousiasme, un peu trop même : Il devrait se calmer dans les protestations et crier moins sur ses coéquipiers". Votre prédiction, 50 / 50? "Honnêtement, je vois l'Inter en favori sur le plan Psychologique pour rejoindre Istanbul." Fabio a changé de camp les amis! Traduction Lindt1908 Via Fc Inter1908
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Capello: "L'Inter réussit grâce à la mentalité de Zhang".
Lindt1908 a posté un article dans F.C. Internazionale Milano
Sur Sky Sport, l'ancien entraîneur Fabio Capello a parlé des Nerazzurri d'Inzaghi après le passage de l'Inter en demi-finale. Ce sera le derby Milanais en demi-finale de la Ligue des Champions. L'Inter affrontera donc le Milan. Sur Sky Sport, l'ancien entraîneur Fabio Capello s'est exprimé sur les Nerazzurri d'Inzaghi et pas seulement après le match : « Inzaghi, Pioli et Ancelotti en demi-finale ? Profitons de ce moment. Nos entraîneurs ont fait un travail formidable, ils ont créé une mentalité européenne. Nos Italiens ont remporté d'importants matchs à l'extérieur. Le football italien émerge. J'aime beaucoup Dimarco, il a fait une remontée vitale sur le 0-0, puis en seconde mi-temps il a fait des centres de haut niveau, c'est un joueur important, parfois un peu timide. Il a les caractéristiques pour être un joueur de haut niveau. Correa a de la qualité, il n'est pas dans une bonne forme, mais il peut être un atout pour l'Inter. Je crois qu'il peut donner beaucoup, beaucoup plus. Peut-être que ce but va le mettre en confiance pour apporter un plus à l'équipe sur cette fin de saison. Quand l'Inter a essayé de gagner du temps, ils ont concédé un but de Benfica. Même les deux buts a la fin le prouvent, ça aurait pu finir 3-1, ça a fini 3-3. Maintenant, tout devient très excitant, dans toutes les compétitions, sauf Naples qui est loin devant pour le Scudetto. Tout le reste est vraiment sympa, il n'y aura pas de moment de détente. Sarri est le plus détendu. Cependant, l'Inter est celui qui a les remplaçants les plus fiables de tous. Papa Zhang est un homme d'un grand charisme, je leur suis très attaché pour leur passé en Chine. Les succès de l'Inter sont aussi dus à leur mentalité, au staff qu'ils ont créé ». Traduction Lindt1908 Via Fc Inter1908- 1 commentaire
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Les mots de l'ancien entraineur: "Chaque fois qu'il énumère ce qu'il a gagné, je n'aime pas ça: La modestie est une qualité importante" S'exprimant aux studios Sky Sport, l'ancien entraîneur Fabio Capello s'exprimait ainsi après la qualification des Nerazzurri pour les quarts de finale de la Ligue des champions : "Je félicite tout le monde, ils ont souffert et ont joué en équipe : Inzaghi a tout fait correctement. On a aussi eu de la chance : mais l'Inter a fait un bon match aller. Ils ont tous souffert, ils se sont entraidés et puis ils ont un super gardien : il a donné de la sécurité dans les arrêts et dans les sorties, dans ces matchs c'est fondamental, il est toujours présent. Ensuite, l'Inter a également eu quelques contre-attaques à exploiter mais elles n'ont pas réussi. Dzeko a joué un jeu terne, sacrificiel mais sans idées : ça ne me plaisait pas, je pensais qu'il pouvait garder le ballon et que ses coéquipiers pouvaient remonter. On a vu de la personnalité : ce qui était bien, c'était de voir l'équipe s'entraider. La qualité de l'équipe s'est montrée en première mi-temps, ça aurait pu aller de l'avant : ensuite ça a un peu baissé, mais l'Inter ne voulait pas tomber. Et la force était Onana, il a fait trois arrêts importantissime. Je fais une remarque à Inzaghi : il s'exalte trop dans la communication. Chaque fois qu'il liste ce qu'il a gagné, je n'aime pas ça : la modestie est une qualité importante. À cet égard, la communication doit être améliorée." Traduction Lindt1908 Via FcInter1908
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La CONFIRMATION Lautaro Martinez
Victor "Antony" Newman a posté un article dans F.C. Internazionale Milano
L’Inter, dans ce championnat totalement inédit de par sa physionomie, a trouvé en Lautaro Martinez, un Capitaine mélangeant le sérieux de Javier Zanetti et la grinta d’un certain Ivan Zamorano Révélation de la Gazzetta Dello Sport "Lautaro est toujours plus la force motrice et le Leader de cette Inter : Face à Lecce, le Toro a marqué au bon moment en le tuant pratiquement, mais il s’est démontré être en plus un exemple: On ne l’avait jamais vu comme ça, l’Inter n’avait jamais su l’apprécier de cette façon : Capitaine du Navire avec l’âme inné d’un Capitaine, Lautaro se surpasse, il surpasse la fatigue, surpasse les vagues, et comptabilise 14 buts en 25 journée, il fait encore mieux que l’année du Scudetto où il était à la même période avec 13 buts au compteur : Lautaro est toujours plus présent, un véritable Leader qui défend un équipier dans l’effervescence du Giuseppe Meazza qui est capable de faire mal, mal à en mourir." "Lautaro est une certitude pour l’Inter, pour Simone Inzaghi, pour la Ligue des Champions, car dans une période où il faut tuer pour trouver des certitudes on retrouve l’argentin : Un point ferme dans ce monde où tout est statique : Lui qui se trouve entre un Edin Dzeko un peu en froid avec le but, lui qui n’en a plus inscrit un seul en Serie A depuis 9 matchs et un Romelu Lukaku qui continue à perdre du terrain car il n'y avait que sa transparence de visible dès son entrée sur le terrain. Lautaro sort de sa tanière lorsqu’il le faut et tue une rencontre qui était somnolente." "Lautaro fait toujours plus : C’est aussi une nouvelle confirmation qui explique la raison de son brassard autour du bras: Il ne l’est pas devenu dans la confusion, il s’agit d’une Investiture qu’il s’est mérité match après match et après avoir inscrit son but, il est allé rejoindre immédiatement Denzel Dumfries qui venait de lui délivrer la passe décisive : Il l’a réconforté avant de se diriger vers la Curva en pointant du doigt son équipier : Ce geste n’est pas hasardeux car, jusqu’alors, l’hollandais était parmi les plus mauvais joueurs du soir, à tel point que le Meazza commencer à gronder et à prendre avec des pincettes." "Le Toro est l’Inter : Il a tué un match qu’il avait lui-même permis de débloquer, lui qui était à l’initiative de l’action qui a amené au but d’ouverture." Don Fabio charmé Interviewé dans les studios de Sky Sport, Fabio Capello s’est livré sur la performance de notre Capitaine: "Lautaro est le vrai Capitaine de l’Inter, c’était une autre grande prestation de l’attaquant : Il est méritoirement Capitaine, avec ce qu’il propose : Il se sent interiste et cet aspect est très important : Il recevra des offres car il a la maturité pour jouer n’importe où : Il est le vrai Leader de l’Inter, il se sacrifie, vient en aide, il court, c’est si beau : Il est fondamental pour l’Inter ! Il ne peut pas être remis en discussion." Etes-vous sur la même longueur d’onde que l’ancien coach milaniste ? ®Antony Gilles – Internazionale.fr- 2 commentaires
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Longue conversation de Walter Samuel, dit the Wall, avec ses collègues de la RSE. Il a évoqué la coupe du monde, le Triplété, Massimo Morrati et sa famille. Votre sentiment sur le fait d’voir gagné cette coupe du monde. "Peut-être, comme certains amis me l'ont dit, n'avons-nous pas encore réalisé ce que nous avons fait ? Les protagonistes sont les joueurs mais c'est aussi une source de fierté pour nous qui faisons partie du staff technique. Ceux qui ne sont pas argentins ont du mal à comprendre. C'est vrai, les problèmes du pays n'ont pas été résolus, mais ce succès a donné de la joie à ceux qui en avaient besoin." Vos souvenirs de l'époque romaine. "En tant que défenseur, je ne voulais pas encaisser de buts, j'avais une grande concentration. Ce n'était pas facile de s'installer. Balbo et Batistuta, les Argentins qui étaient en Italie depuis plus longtemps, m'ont aidé. Capello m'a mis au centre de la défense à 3, ça s'est bien passé parce que la première année on a gagné le Scudetto." Quel technicien a eu une influence particulière sur vous ? "A l'époque de l'Inter, José Mourinho a beaucoup changé, à commencer par sa façon de travailler avec le ballon. Il avait confiance en lui et a transmis sa volonté de gagner : c'est très important. Sur le plan technique, cependant, je dis Marcelo Bielsa parce qu’il m'a tellement fait grandir. Peut-être que je suis injuste envers les autres entraîneurs mais il m'a appris à surgir de la ligne défensive, à jouer le ballon entre les lignes, à ne pas perdre les duels avec la tête. C'était vraiment un loco." Avez-vous beaucoup de vrais amis dans le football ? "J'ai beaucoup d'amis dans mon pays, ceux que je connais depuis toujours. J'en ai aussi dans le foot, le problème c'est toujours la distance. Diego (Milito, ndlr) et Pupi (Zanetti, ndlr) je les vois souvent, tout comme Burdisso." L'expérience de Bâle, pourquoi avez-vous décidé d'y terminer votre carrière ? "J'ai vécu deux années spectaculaires en Suisse. La Sampdoria me voulait mais j'avais du mal à rester en Italie, alors j'ai répondu oui à la proposition d'un ami. Au final, j'ai parlé à l'entraîneur de l'époque, Paulo Sousa, et avec le président et ça a pris. Si mes genoux ne m’avaient pas trahi, j'aurais fait quelques années de plus." Quand dirigerez-vous une équipe en tant que manager ? "Je ne sais pas, le moment viendra. J'aimerais entraîner, je ne le cache pas. En Suisse ? J'ai passé un bon moment, je n'aurais aucun problème à entraîner là-bas." Le message de Moratti arrive : "Je voulais t'embrasser et te féliciter pour ce que tu as accompli avec l'Argentine. Tu mérites tout pour ton sérieux. Mon cycle de victoires commence quand je t'ai signé. Enfin, l'Inter a commencé à gagner, je suis particulièrement reconnaissant envers toi." "Moratti transmet la tranquillité, il était très proche de nous même sans être là. L'Inter est un milieu familial, où l'on se sent bien. Neuf ans dans un club, c'est long mais j'ai passé un bon moment et je ne peux pas m'en plaindre. Nous avions tout, ils nous ont très bien traités. Puis, heureusement, nous nous sommes toujours battus pour gagner. Au-delà des victoires, l'important est de se sentir bien dans un club." En 2010, le Triplete arrive. "C'était comme la Coupe du monde, nous aurions pu gagner les trois compétitions comme les perdre en deux semaines. L'équipe y croyait, pour beaucoup d'entre nous déjà vieux, c'était une opportunité unique. Nous avons essayé, heureusement, ça s'est bien passé. C'était quelque chose d'historique, qui restera à jamais. Même si d'autres équipes réussissent à le faire, nous resterons toujours premiers. C'est quelque chose qui vous rend fier rien que d'en parler." Quels souvenirs gardez-vous du Real Madrid ? Les célèbres galactics... "Sur le terrain j'ai beaucoup souffert parce qu'on a encaissé tellement de buts. En club c'est impressionnant, c'était comme aller au théâtre. Je me suis retrouvé avec des stars comme Figo, Ronaldo et Zidane, très simple et modeste." Humilité, sérieux et loyauté : sont-ce les trois caractéristiques dans lesquelles vous vous reconnaissez ? "Je me vois, je ne change pas ma façon d'être pour ce que j'ai fait dans le football. J'ai beaucoup gagné mais j'ai aussi eu de gros revers, l'année au Real a été dure, par exemple, puis je me suis cassé les deux genoux." Quel papa es-tu ? "Depuis que j'ai fini de jouer, j'ai toujours été impliqué dans le monde du football. L'équipe nationale me permet de passer plus de temps avec mes enfants. Ensuite, je suis peut-être absent de la maison pendant 1 à 2 mois. J'aime être un papa, je vais souvent chez ma fille à Madrid. Mes enfants étaient aussi importants au Qatar, quand j'ai regardé dans les tribunes et que je les ai vus, j'ai eu un fort sentiment." Comment Messi a-t-il vécu la Coupe du monde ? "Il le méritait plus que quiconque pour le joueur qu'il est, ses coéquipiers le disent aussi. C'est un garçon tranquille, un professionnel exemplaire et très compétitif. Il a endossé le rôle de leader, sur et en dehors du terrain. Nous pensons que nous, Argentins, nous avons de la chance que lui et Maradona soient Argentins." Traduction alex_j via FCInterNews.
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L'ancien entraîneur de l'AS Roma, de la Juventus et de l’AC Milan, Fabio Capello, estime que l'Inter Milan est conscient de ses forces, mais que la Juventus peut réaliser une grande performance lors du Derby d'Italie de dimanche. L'ancien manager anglais s'est entretenu avec le diffuseur italien Sky Sport Italia avant le match de dimanche entre la Juventus et l'Inter à l’Allianz de Turin. "C'est une Inter qui connaît ses forces et qui se déplace bien sur le terrain. Nous l'avons vu lors des deux matchs contre Barcelone, notamment celui au Camp Nou", a déclaré Capello en direct à l'antenne, comme le rapporte L'Interista.it. "Je vais donner confiance à Massimiliano Allegri, car je crois que la Juventus peut faire un bon match. Méfiez-vous des jeunes joueurs", a conclu l'ancien entraîneur de la Juventus. Les éternels rivaux s'affronteront dans le Derby d'Italia le dimanche 6 novembre à 20h45 (heure locale, ndlr.) à l'Allianz Stadium de Turin. En tant que joueur, Fabio Capello a remporté quatre championnats de Serie A, trois avec la Juventus et un avec l’AC Milan, et deux Coppa Italia, une avec l'AS Roma et une autre avec l’AC Milan. Pendant sa carrière en tant qu’entraîneur il a remporté cinq championnats de Serie A, quatre avec l’AC Milan et un avec l'AS Roma. Il a aussi gagné quatre Super Coupes d’Italie, trois avec l’AC Milan et un avec la Roma. L'ancien international italien a fait un passage dans l'équipe nationale anglaise en tant que Manager de 2008 à 2011. ®Oxyred – Internazionale.fr via SempreInter
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Fabio Capello marqué par la performance Nerazzurra!
Victor "Antony" Newman a posté un article dans F.C. Internazionale Milano
Epoustouflé par la prestation Nerazzurra, Fabio Capello s’est directement adressé aux joueurs via Sky Sport "Je voudrais demander quelque chose à l’Inter : Où étais-tu partie ?" "Et aux joueurs : Vous avez vraiment besoin d’avoir 90.000 spectateurs contre vous pour démontrer à quel point vous êtes bons ? C’était une prestation merveilleuse!" "Barcelone a concédé des espaces et l’Inter a été bonne: Elle a eu plusieurs occasions alors que Barcelone n’était visible que par Dembélé et ce roc de Lewandowski." Handanovic? "C’est très important qu’il parvienne à aider Onana, c’est une aide positive, il fait sentir son soutien en tant que Capitaine, même si c’est pourtant difficile d’abandonner sa place de titulaire." Barella? "Son contrôle est Bellissimo, un mouvement parait: Il a été aidé par Piqué qui s’est totalement planté, mais Barella a réalisé un très grand contrôle et un si joli but." ®Antony Gilles – Internazionale.fr- 1 commentaire
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En effet, André Onana a disputé son troisième match d’affilé en Ligue des Champions sous le maillot de l’Inter. Sa prestation remarquable et remarquée a été mise en lumière par Tuttosport L’impact du Camerounais "Il a cimenté le résultat de l’extraordinaire performance de son trio défensif, mais qui risque de voir Stefan De Vrij être écarté des terrains, à cause d’une douleur ressentie à son mollet droit. Nous ne savons pas vous dire s’il s’agit d’une résurrection de l’Hollandais, de Skriniar et de Bastoni, mais celle-ci a été favorisée par la présence, entre les poteaux, d’ André Onana: L’honnêteté intellectuelle impose qu’il faut reconnaitre que le Camerounais a donné une charge de positivé à l’équipe. Radu appréciera "Même si tous savent bien à l’Inter que ses sorties sont perfectibles, preuve en est sur le but annulé de Pedri où il s’est troué, il a réalisé la parade décisive qui sauve le résultat sur le tir de Dembélé, il a eu le courage d’interpréter un rôle qui, inévitablement, ne peut faire que renforcer et redonner du courage à toute les troupes. Du point de vue de sa prestation, il faut reconnaitre que lors des 45 premières minutes, il n’a pas eu trop de travail." "Sa première intervention arrive à la 14ème minute de jeu, sur une tête jouée de Barcelone: Mais il s’agissait-là d’une façon de faire trop facile pour le numéro 24 des Nerazzurri, qui avec ses gants a rattrape le ballon sans faire de pli. Le danger numéro un blaugrana, nommé Lewandowski ne lui a donné que quelques miettes à se mettre sous la dent, rien qui ne pouvait inquiéter Onana." "Onana est à applaudir à la 27ème minute, oui, vu comment il a dribblé Raphina pour s’imposer dans cette action : Une feinte et un contrepied fluide comme un pas de danse, en servant le ballon à son équipier le mieux démarqué: Parmi ceux qui ont vu cette scène, on retrouve son équipier slovène avec qui l’alternance peut être de mise, selon les mots même de Marotta. Mais il est également vrai que pour un club comme l’Inter, vous ne pouvez pas alterne avec deux gardiens de buts aux caractéristiques aussi différentes : Se comporter de la sorte peut semer le flou dans l’esprit des défenseurs, eux qui s’ont appelé à alterner toute une série de mouvements et de comportement en fonction de qui se trouve sur le terrain." Le Don a parlé Fabio Capello a encensé le portier camerounais: "Le meilleur de la soirée ? Onana qui a réalisé deux parades fondamentales et il a apporté de la sécurité à l’équipe, quelque chose qui avait un peu été perdu à la suite des dernières prestations d’Handanovic." Selon vous, Onana peut-il revendiquer, dès à présent, le poste de Titulaire indiscutable ? ®Antony Gilles – Internazionale.fr
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Walter Sabatini: "Inzaghi est un emmerdeur comme je n’en ai jamais vu!"
Victor "Antony" Newman a posté un article dans Serie A
Walter Sabatini, l’ancien homme fort de l’Inter s’est trouvé un nouveau point de chute à Salerne. Celui-ci s’est livré à la Gazzetta Dello Sport sur l’adversaire du jour : l’Inter Championne d’Italie Pour quelle raison la Salernitana pourrait se sauver ? "Car c’est un groupe de joueur qui devient, à présent, une équipe. Nous avons déjà été souvent défini comme relégable, nous le sommes à 93%." Qu’avez-vous dit à Ribery suite à son accident ? "Après avoir vu le véhicule, je lui ai juste dit : Content que tu ne sois pas mort. C’est un être humain extraordinaire, il aide ses équipiers, il se donne avec ténacité malgré le vécu de sa carrière." Que représente Edin Dzeko pour vous ? "C’est l’harmonie en mouvement du football. Je félicite l’Inter de l’avoir pris." Et l’Inter ? "C’est un rêve que j’ai caressé mais j’ai pris la mauvaise porte d’entrée : J’avais accepté le fait de rester tout en étant écarté de l’organigramme et je n’aurai jamais dû le faire. Tu ne rejoins pas l’Inter comme un fantôme: Il faut donner des coups de coude à table et faire les choses avec fermeté. Je conserve un profond regret car je ne m’étais pas mis en condition de faire le meilleur de moi-même. Après avoir quitté Rome, aucun autre club n’aurait pas pu autant m’enthousiasmer." Quel est le joueur de l’Inter actuel, que vous considérez comme le vôtre ? "J’ai beaucoup de responsabilité sur Bastoni. J’étais fortement intégré à l’opération." L’Inter est sur Scamacca et Frattesi, vous les avez connu à Rome... "Le départ de Scamacca m'a déçu, attristé, j'avais tout fait pour qu'il reste. Je lui avais fait la promesse de l’intégrer de suite en équipe-première et je l’aurais fait." Frattesi? "Je l’ai convoqué lorsqu’il était encore dans en Allievi. Je lui avais dit : "Si tu ne parviens pas à percer en Serie A, je viens te chercher et je te cognerai." Ricky Massara m’avait pris la tête pour les recruter lui et Antonucci. Frattesi est le prototype du milieu de terrain moderne : Si j’étais encore à l’Inter maintenant, je le prendrai immédiatement. Mais je suis ici à Salerne et j’ai quelqu’un de similaire : Ederson". Qui était Simone Inzaghi, avec-vous comme dirigeant ? "Un emmerdeur comme je n’en ai jamais vu. Il avait une très grande capacité pour analyser les situations, il les communiquait à ses équipiers même s’il ne savait pas encore les mettre en pratique. Puis, une étincelle s’est allumée ,et je me suis demandé s’il était apte à devenir entraîneur." Etes-vous surpris par la période que traverse l’Inter ? "Il me semble qu’elle a fléchi physiquement, mais je reste très méfiant, je m’attends à une Inter agressive." Vous êtes l’un des rare à avoir pu dialoguer avec Jindong Zhang, comment le décririez-vous ? "Ce n’est pas un humain, c’est un demi-dieu. Je me souviens de repas opulent chez lui, moi avec lui et Fabio Capello. Une fois, nous étions aussi à table avec Lippi. Jindong revenait de l’étage pour saluer Marcelo telle une divinité sur terre. On ne le voyait jamais, c’était comme personnalité mythologique". ®Antony Gilles – Internazionale.fr- 2 commentaires
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Fabio Capello encense l’Inter et allume Alexis Sanchez
Victor "Antony" Newman a posté un article dans Coupes d'Europe
Fabio Capello s’est livre à Sky Sport, suite à la défaite, au Giuseppe Meazza de l’Inter face à Liverpool: "L’Inter a manqué d’un peu de chance, mais énormément de Barella, Vidal a fait son match en jouant entre les lignes, mais l'absence des déplacements sur le terrain de Barella se sont fait ressentir." "L’Inter a fait une très belle partie, elle a prouvé avoir la carrure internationale, elle a joué à arme égales. La seule différence ce sont les changements, lorsque tu penses à eux, tu penses au Derby gagné par le Milan et la victoire d’aujourd’hui de Liverpool, ce n’est pas qu’une coïncidence. Handanovic n’a pas fait d’arrêt : Deux tirs cadrés, deux buts....Et parfois la chance ne te sourit pas : deux déviations, la barre de Çalhanoğlu." "L’Inter n’a jamais été mise en difficulté sous l’aspect dynamique, la préparation physique et athlétique était de première ordre : Liverpool était là comme spectateur à attendre. La condition physique des joueurs de l’Inter est impressionnante comparé aux autres." Une cartouche pour la route "Lorsque j’entraînais, les réseaux sociaux n’existaient pas et c’était une belle chance. A présent, c’est tout bénéf pour les journalistes qui y retrouvent déjà la formation alignée : Je vois ce qu’il s’est passé comme un manque de respect de la part d’Alexis Sanchez envers Lautaro et ses équipiers." Que pensez-vous de l’analyse de Don Capello ? ®Antony Gilles – Internazionale.fr- 9 commentaires
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13 Avril 1997, l'Inter de Hodgson affronte le Milan de Sacchi revenu à son chevet. Voici le récit de ce derby. Pour sa première année complète à la présidence du club, Massimo Morrati voulait faire oublié la triste 7e place de la saison 1995-1996. Pour y parvenir, il fait venir Roy Hodgson. La saison 1996-1997 se termina mieux que les précédente, 3e avec une finale de C3 contre le Shalke 04. Du côté rouge et noir de Milan, les choses étaient en plein désarroi au début de la saison 1996-1997. Fabio Capello avait quitté le club après avoir remporté un Scudetto pour prendre la relève en tant qu'entraîneur du Real Madrid. Le nouveau manager Oscar Tabarez a eu du mal à remplir son rôle et a été remplacé avant Noël par le légendaire manager Arrigo Sacchi. Malgré le retour de la légende milanaise sur le banc, les Rossoneri n'ont réussi qu'à terminer onzième du championnat et ont peiné tout au long de la saison. Au vingt-septième round de la saison 1996-1997, les Nerazzurri se préparaient à accueillir les Rossoneri dans le Derby Della Madonnina. L'Inter a bien commencé sa saison, capable de suivre Parme et la Juventus pour les premières places. Cependant, dans la seconde partie, après une série de matches nuls, les Nerazzurri risquaient d'être décrochés par les leaders de la Serie A. À l'approche du week-end du derby, le Milan venait de se faire démolir 1-6 par la Juventus et n'avait réussi à remporter que trois de ses dix matches précédents. Le onze de départ des Nerazzurri était: Gianluca Pagliuca, Giuseppe Bergomi, Massimo Paganin, Salvatore Fresi, Alessandro Pistone, Paul Ince, Ciriaco Sforza, Youri Djorkaeff, Javier Zanetti, Ivan Zamorano et Maurizio Ganz. Pour les visiteurs, Sacchi avait aligné: Sebastiano Rossi, Alessandro Costacurta, Pietro Vierchowood, Francesco Baresi, Crancesco Coco, Stefano Eranio, Marcel Desailly, Zvonimir Boban, Jesper Blomquist, Roberto Baggio et George Weah. Comme le dit le dicton, tous les records disparaissent lorsqu'il s'agit d'une rencontre de derby passionnée. Les deux équipes se sont concentrées sur le calme, le sang froid et ont méthodiquement construit des mouvements d'attaque. Le rythme de George Weah a causé des problèmes de défense de l'Inter dès le début. Baggio plongeant plus profondément et faisant des passes parfaites au-dessus pour trouver les courses de Weah. Cela a déclenché tôt des sonnettes d'alarme. Les premières opportunités de but des deux équipes sont venues de situations de contre-attaque. Elles ont joué un football basé sur le marquage, ne laissant pas un pouce d'espace à leurs adversaires. Au fur et à mesure du match, l'Inter a commencé à dominer la possession et s'est appuyé sur des séquences de passes rapides autour de la surface de réparation pour débloquer la situation. Vers la 32e minute, Maurizio Ganz a été percuté dans la surface par Franco Baresi. Youri Dorjaeff a confortablement converti le penalty pour donner une avance rapide à l'Inter. Désireux de retrouver le chemin de la victoire, Milan a continué à chercher l'égalisation avant la mi-temps, mais l'héroïsme de Pagliuca a gardé son bute intacte et vers la 43e minute, la tête de Zamorano a donné à l'Inter une confortable avance de 2-0 avant la mi-temps. Après la reprise du jeu dans la seconde moitié du match, Sacchi a remplacé Baresi et Blomqvsit et les Rossonerri ont avancé en nombre à la recherche de l'égalisation. Cependant, au lieu de combler l'écart, les Rossoneront concédé un troisième but à Maurizio Ganz suite à une opportunité de contre-attaque à la cinquante-septième minutes. Bien que Sacchi et Milan aient fait tout leur possible pour rechercher des buts, les Rossonerri ont continué à lutter. Roberto Baggio a marqué un but de consolation à la quatre-vingt-huitième minute pour amener les visiteurs à moins de deux buts, mais le match s'est terminé par une victoire catégorique 3-1 pour les Nerazzurri. Traduction alex_j via sempreinter et connaissances personnelles.
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Fabio Capello s’est livré à Sky Sport à la suite de la défaite de l’Inter au Stade Santiago Bernabeu du Real Madrid, et pour le "Don", le Club Nerazzurro peut retirer de cette défaite un aspect positif "J’étais très intéressé par ce match, j’aime beaucoup l’Inter qui joue en Italie. Toutefois, ce soir et face à une équipe qui a fait preuve d'une exécution de jeu très rapide dans dans ses idées et sur le terrain, , elle s’est retrouvée en difficulté : Je n’ai pas revu la supériorité que l’Inter propose en Italie." "Cela va lui servir de leçon, car elle va comprendre qu’elle doit se montrer plus rapide dans la façon de proposer ses idées de jeu, dans la façon dont il faut faire tourner le ballon. Le Milieu du terrain est la force du Real, les jeunes courent et tu as Benzema devant : C’est une équipe qui peut poser des problèmes. Le Real joue un jeu de qualité, mais par moment il s’est aussi perdu : L’Inter, même a 10, a eu quelques occasions." "Enfin, on voit aussi la marque d’Ancelotti : Le Real est une équipe qui joue avec sérénité." Etes-vous d’accord avec Capello, il s’agit d’un un mal pour un bien ? ®Antony Gilles – Internazionale.fr
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Fabio Capello revient sur Inter-Juve: "Aucun joueur (de la Juve)….."
Victor "Antony" Newman a posté un article dans Serie A
En effet, Fabio Capello s’est livré dans les studios de Sky Sport sur la fin de match polémique opposant l’Inter à la Juve... " Il y a une chose importante qui n’a pas été mise en évidence : Aucun joueur (de la Juve) n’est venu protester : Normalement les joueurs, après une faute lève les bras et viennent protester, ici ce n’était pas le cas." "Cela revient à dire que ce n’tait pas une faute évidente et que Mariani avait bien réagit, il s'est trompé uniquement lorsqu’il a été contacté. J’aurais fait comme Mariani, je n’aurais pas sifflé mais j’aurais maintenu le fond de ma pensée." Si même Fabio s'y met... ®Antony Gilles – Internazionale.fr- 2 commentaires
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Antonio Conte s’est livré sur l’Inter de Simone Inzaghi
Victor "Antony" Newman a posté un article dans Coupes d'Europe
Chroniqueur Sportif dans le cadre de la Ligue des Champions, Antonio Conte s’est livré à Sky Sport sur les performances réalisées par la Juventus, le Milan Ac et…. L’Inter de Simone Inzaghi Sur la prestation Milanaise "Le Milan a réalisé une excellente rencontre durant une demi-heure à 11 contre 11, il a démontré qu’il avait sa place en Ligue des Champions. L’expulsion fait partie de ces détails qui sont utile pour engranger de l’expérience. Kessié aurait dû faire plus attention. Nous avions aussi conne cela avec le Real : Vidal s’était fait expulser après 20 minutes de jeu. Ce sont des étapes et le Milan les apprends de bonne manières. Jusqu’à la 82ème, il n’a pas autant souffert que cela. Le fait que le résultat ait été inversé fait que les deux prochaines rencontres seront décisives pour les Rossoneri." Sur la Juventus "C’est une victoire importante qui est le fruit d’une stratégie. La Juve voulait réaliser ce type de match, en concédant peu d’espaces défensif et en évoluant dans sa moitié de terrain pour partir en contre avec Chiesa, ce qui s’est avéré être létal. Elle a remporté trois points, elle est première du groupe et elle retrouvé ses esprits en battant les Champions d’Europe. Tu peux toujours parler de possession de balle ou de laisser le jeu, mais avoir le bon état d’esprit est important, ne pas laisser une attaque comme celle de Chelsea inscrire un but est important. Lukaku a eu une occasion importante en fin de mach mais Chelsea aurait dû proposer bien mieux." Sur Romelu Lukaku "Je pense que les caractéristiques d’un entraîneur doué doivent être de pouvoir améliorer les performances de ses joueurs, j’ai réalisé un parcours important avec lui à l’Inter. Amener Lukaku dans la surface est dangereux, il vaut mieux l’en tenir éloigné. C’est difficile de trouver un joueur qui peut être ton point de référence et qui a la capacité de démarrer rapidement du milieu de terrain, il est généreux et c’est aussi quelqu’un qui réalise des passes décisives." "Ces spécificités de Lukaku, je les retrouve aussi chez Haaland ; c’est aussi pour cela que j’avais insisté avec fermeté pour le transférer à Milan. Je le voulais déjà lorsque j’étais l’entraîneur de la Juve, soit bien avant que je devienne le Manager de Chelsea. Il a encore une belle marge d’amélioration technique, mais il est déjà arrivé à un haut niveau. Il doit encore s’améliorer sur certaines phases de jeu, il faut parfois l’allumer aussi. C’est un attaquant impressionnant, un des plus difficile à affronter, il faut toujours le faire jouer, mais Chelsea n’a pas encore compris comment l’utiliser. Le jour où Chelsea le comprendra, elle deviendra l’équipe à battre." Sur l’Inter Fabio Capello lui a dit: "Partir en contre face à ce Chelsea avec ton Inter, avec Barella et les autres, lorsque vous le faisiez, c’était spectaculaire…." "Cela dépend toujours de la stratégie, tu peux aussi opter pour la stratégie d’Allegri. Nous, à l’Inter, nous étions également bon face aux équipes qui refusait le jeu, nous parvenions à trouver des espaces face à des adversaires qui ne t’en laissaient pas." "Face au Shakhtar, c’était une rencontre équilibrée, même si au final le Shakhtar a eu la possession, l’Inter a elle eut les occasions. Les Ukrainiens ont payé la différence de structure avec l’Inter. L'Inter devra se montrer bonne pour profiter des phases arrêtées, comme ce corner dont est né l’occasion de Dzeko. "L’Inter est une équipe qui aime avoir la balle, mais qui souffre en phase de non-possession. Les deux rencontres face au Sherrif seront importantes. Le Sherrif devait être la Cendrillon du groupe et il nous a tous surpris. Cela redistribue les cartes, comme lorsque le Shakhtar est parvenu à battre deux fois, l’année dernière, le Real." L’épopée en Europa League "L’Europa League est une compétition importante, cela fait depuis trop longtemps qu’une équipe italienne n’est plus parvenu à l’emporter. Après la phase de groupe, l’ambiance devient plus chaude. C’est bon que le Napoli, qui propose des belles choses, et avec la manière, et qui dispose d’un excellent noyau, l’aborde avec l’envie de bien faire." La Finale ? "Nous étions parvenus à atteindre la Finale, nous avions terminé le Championnat et nous étions en phase finale en Allemagne. Le Championnat étant fini nous disposions de plus de temps pour nous préparer à chaque match." Comment gérer les doubles confrontations ? "Nous étions bien parvenu à le faire en seizième et en huitième. Remporter l’Europa League t’ouvre les portes de la Ligues des Champions et de la Super Coupe d’Europe. Des cycles ont d’ailleurs débuté en Europa League, comme celui de l’Atletico Madrid". Le Saviez-Vous ? Romelu Lukaku a été bien accueilli au Juventus Stadium : Piégé par la tactique de Massimiliano Allegri, l’ancien numéro 9 de l’Inter a été pris en grippe par les Tifosi Bianconeri qui lui ont adressé des chœurs peu reluisant tels que "Figlio di..." ("Fils de…") suivi de siffler. L’Inter, pourtant absente, en a aussi pris pour son grade avec des chants à son encontre. Et dire que l’on commençait à partir sur une bonne base avec un dénominateur commun…. ®Antony Gilles – Internazionale.fr- 10 commentaires
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Fabio Capello: "L'Inter favori au Scudetto avec la Juventus"
Oxyred a posté un article dans Interviews
L'ancien entraîneur de l’AC Milan, Fabio Capello, pense que l'Inter est le favori pour défendre son Scudetto cette saison, aux côtés de son rival : la Juventus. S'adressant au média italien Tuttomercatoweb, l'ancien entraineur de l'AC Milan, de la Juventus et du Real Madrid a estimé que l’Inter est l'équipe à battre dans l'élite italienne malgré leur défense fragile. L'Inter entame la saison avec de grandes attentes, après avoir montré la saison dernière qu'il était capable de renverser la Juventus au sommet de la Serie A après une série de neuf Scudetti consécutifs. Les Nerazzurri ont subi des changements importants sur le terrain et sur le banc au cours de l'été, mais semblent toujours solides. Pour Capello, l’Inter dispose des qualités pour aller jusqu'au bout. Le seul rival qu'il voit comme autre candidat possible est la Juventus qui, selon lui, pourrait reprendre sa couronne malgré un mauvais départ par rapport à l'AC Milan et au Napoli. "L'Inter est toujours le favori, avec la Juventus", a-t-il déclaré, "même s'ils ont des problèmes en défense. L’AC Milan sont pétillants, j'espère qu'ils tiendront jusqu'au bout. J'avais prévu, cependant, que Naples serait parmi les meilleures équipes, ils ont peu changé et ont de la qualité." ®Oxyred – Internazionale.fr via SempreInter- 2 commentaires
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Roberto Boninsegna et Fabio Capello: "Edin Dzeko parfait pour remplacer Romelu Lukaku"
alex_j a posté un article dans Interviews
S'exprimant lors d'une interview avec la Gazzetta dello Sport, Roberto Boninsegna et Fabio Capello ont expliqué pourquoi Edin Dzeko est le parfait remplaçant de Lukaku. Roberto Boninsegna. "Ne regardez pas l'âge, mais le joueur. C'est quelqu'un qui engage le défenseur, le fait suer. En gros, il fait tout : il n'y en a pas beaucoup comme lui. Parfois, quand Romelu Lukaku insistait pour chercher Lautaro il était trop altruiste pour être un vrai avant-centre. Je ne vois pas de défaut chez Dzeko, en revanche: il a un peu d'égoïsme sain." Fabio Capello. "Antonio Conte est parti, deux champions sont partis, mais la colonne vertébrale reste de bonne qualité. Dzeko est parfait pour remplacer quelqu'un comme Lukaku. Calhanoglu a des coups importants. Simone Inzaghi peut charger le groupe de quelques mots." "La Juve démarre en pole position après les transferts de l'Inter. Toutes les attentes reposent sur Allegri et je le dis sans passion: il ne sera pas facile de répéter les succès du cycle précédent."- 7 commentaires
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Pour Matrix, jouer l’Angleterre à Wembley avantage l’Italie !
Victor "Antony" Newman a posté un article dans Coupes d'Europe
En effet, Marco Materazzi s’est livré à la Gazzetta Dello Sport en faisant un parallèle à la Coupe du Monde 2006 où la Nazionale avait vaincu la Mannschaft en demi-finale de sa Coupe du Monde avec un stade, pourtant, totalement acquis à sa cause! "C’est certain. L’Allemagne au Westfalenstadion ne s’est-elle pas sentie imbattable ? N’était-ce pas son Mondial qui se jouait à domicile, n’était-elle pas dans l’obligation de le remporter ? Je me souviens des têtes des Allemands, dans le tunnel, avant de monter sur le terrain : Ils étaient tous pale, plus que le maillot qu’ils portaient. Et nous, nous hurlions de notre côté : Nous n’avons pas peur, nous n’avons pas peur ! Et eux l’ont vraiment eu : C’est le Crédo qui nous a suivi durant toute la Coupe du Monde et nous comprenions leur langue : on parvenait à traduire ce qu’ils se disaient : Ils avaient la pression." Croyez-vous que les Anglais vont la ressentir ? "Hier, j’ai à la télé la tête de leur supporter après le but du Danemark, si j’étais Mancini, je le ferais regarder à nos joueurs, c’est une belle thérapie pour se motiver. Nous avons deux précédents à Wembley avec des buts inscrit par Capello et Zola. A présent, cela revient à Immobile." Mais pourquoi êtes-vous aussi sur que Wembley ne nous fera pas peur ? "Ce que je peux vous dire ? C’est que les garçons auraient déjà pu jouer cette finale le lendemain de la rencontre face à l’Espagne, même s’il était morts de fatigue. Wembley peut faire peur à tout le monde, sauf à nous, les Italiens : C’est dans la difficulté que nous sommes les plus fort, comme cette soirée de Dortmund. Nous n’avons pas à avoir peur car nous sommes convaincu de ce que nous faisons et l’Euro va se terminer comme il a commencé." Par une victoire de la Nazionale….. ®Antony Gilles – Internazionale.fr- 3 commentaires
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Questionné ce jeudi 08 juillet 2021 lors de sa conférence de presse l’intronisant entraîneur de la Roma, le portugais s’est livré de la sorte sur l’Inter: Etes-vous déçu de ne pas rencontrer Antonio Conte, lorsque vous rencontrerez l’Inter ? "Il y a des entraîneurs qui font partie de l’Histoire du Club et qui ne peuvent pas être comparé. Lorsque l’on parle de Liedholm ou de Capello, on ne peut pas les comparer à d'autres. A l’Inter, personne ne peut être comparé ni à moi, ni à Herrera, on ne peut pas faire ça ." Suning en prend aussi pour son grade Deux missiles envoyés avec accusé de réception à destination d'un certain natif de Lecce et à un certain groupe basé à Nankin! ®Antony Gilles – Internazionale.fr
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Patrick Vieira fête ses 45 ans aujourd'hui: meilleurs voeux du FC Internazionale et de toute la famille Nerazzurri. Il est arrivé à l'Inter à l'été 2006 et a porté le maillot Nerazzurri jusqu'en Janvier 2010, affichant tout son charisme et son expérience au cours d'une période très fructueuse pour le Club. Il a marqué neuf buts en 90 apparitions, remportant trois Scudetti (2006-2007, 2007-2008 et 2008-2009) et remportant deux Supercoppa Italiana. Regarder Patrick Vieira jouer était souvent une expérience déroutante: à le regarder, ce cadre de 193 cm aux longues jambes, on pourrait penser qu'il n'était pas doté d'une capacité remarquable ou d'un contrôle hors norme. Mais quand le ballon arrivait à ses pieds, ou le plus souvent il le regagnait lui-même, c'était une toute autre histoire. Du sud de la France à Highbury à Londres et finalement sur ces rivages dans le noir et bleu de l'Inter au Meazza, les fans ont appris à attendre le package complet de Vieira: des tacles tranchants, des têtes imposantes, mais aussi des passes parfaites, buts spectaculaires et son style de course longiligne indubitable, mangeant le gazon devant lui. Sa longue foulée s'est reflétée dans les énormes progrès qu'il a faits dans sa vie et sa carrière de joueur, de jeune espoir à finalement définir et confirmer sa position sur le terrain. Cela s'est produit pour la première fois alors qu'il n'avait que huit ans et l'a emmené de Dakar au Sénégal, où il est né le 23 juin 1976, en France. A Trappes puis à Dreux dans le nord du pays, le jeune s'est senti obligé de taper dans quelque chose et c'est ainsi que son histoire d'amour avec le football a commencé, d'abord dans les clubs locaux avant d'être happé par le Tours FC. À 15 ans, possédant déjà un physique redoutable, certains craignaient qu'il ait du mal à garder ces longues jambes sous contrôle. Cependant, avant toute chose, Patrick a transcendé le jeu et a compris le sport comme peu d'autres de son âge. C'est cette qualité qui a attiré l'attention de Cannes et le club de la Côte d'Azur a beaucoup investi dans le développement du jeune milieu de terrain, provoquant le prochain grand saut de sa carrière, au Milan. Sur les rares opportunités qui lui ont été offertes dans l'équipe de Fabio Capello lors de la saison 1995-1996, Vieira n'a pas réussi à bien faire valoir ses droits et a été contraint de bouger. Sa chance est venue entre les mains d'Arsène Wenger, nouvellement nommé manager d'Arsenal, qui a été impressionné par les performances de Patrick en France. L'adéquation entre l'entraîneur et le joueur était parfaite et Vieira est resté à Londres pendant neuf saisons, passant d'un talent prometteur à un milieu de terrain central complet. Pendant les 15 années suivantes, il représentera l'apogée de sa position. Battement de cœur d'une équipe glorieuse, il cassa le jeu, créé des occasions et les a souvent terminé lui-même. Au total, il a marqué 57 buts pour les Gunners en près de 500 apparitions, dont beaucoup en tant que capitaine. Ce fut une période extraordinaire pour Pat, qui a ajouté la Coupe du monde 1998 et l'Euro 2000 avec la France à son palmarès. Une fois son mandat à Arsenal terminé, il a choisi de revenir à l'endroit qu'il avait laissé sur sa faim: l'Italie. La Juventus de Capello l'a fait venir en 2005, mais encore une fois, il n'a passé qu'une saison sous la tutelle de l'entraîneur vétéran. Après la relégation des Bianconeri, Vieira aspirait toujours au football de haut niveau et a opté pour l'Inter, alors juste à l'aube de l'une des époques les plus réussies de son histoire. Le charisme et l'expérience du Français ont été essentiels pour aider à former un groupe de joueurs avides de trophées et, en fait, ils ont commencé à arriver presque immédiatement. Un doublé lors de ses débuts lors de la Supercoupe d'Italie contre la Roma a été crucial pour renverser un 3-0 en un 4-3. C'était la première pièce d'argenterie d'une saison qui s'est terminée avec le 15e Scudetto des Nerazzurri. Il a remporté de nombreux autres titres à l'Inter avant de retourner à Manchester City en Premier League, où il a fait ses premiers pas dans l'entraînement. Bon anniversaire Pat!
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Trapattoni et Conte - Étudiant comme professeur
alex_j a posté un article dans F.C. Internazionale Milano
Dan Cancian a publié le texte suivant "Trapattoni and Conte – Student like teacher" sur gentlemanultra.com le 27 Avril 2021. Il compare le destin de Conte avec celui de Trapattoni. À moins d'un renversement de situation, l'attente de 11 ans de l'Inter pour un Scudetto prendra fin à un moment donné au mois de Mai. Rien ne peut jamais être tenu pour acquis en ce qui concerne l'Inter mais il faudrait un effondrement monumental des Nerazzurri pour laisser passer le Scudetto. L'importance d'un 19e titre de champion pour l'Inter irait bien au-delà de la fin d'une course stérile qui n'a livré qu'une Coppa Italia au cours de la dernière décennie. Non seulement cela mettrait fin à l'emprise de neuf ans de la Juventus sur la Serie A, mais il serait livré par Antonio Conte, l'homme qui a lancé la domination des Bianconeri au cours des 10 dernières années. L'Inter, et dans une certaine mesure la Juventus, ont déjà été ici. En 1989, les Nerazzurri ont tout balayé sur leur passage et battu des records à un rythme de fous en route vers leur premier Scudetto en neuf ans. L'Inter a remporté 58 sur les 68 points disponibles, un record en Serie A pour des victoires à deux points, et a terminé le travail avec cinq matchs à jouer, alors que Giovanni Trapattoni a livré le titre tant désiré par Ernesto Pellegrini depuis qu'il été nommé courant l'été 1986. Comme Conte le ferait trois décennies plus tard, Trapattoni est arrivé au Meazza avec un palmarès scintillant mais un lourd bagage aux yeux de certains fans de l'Inter. Un pilier de l'équipe du Milan AC qui a remporté deux titres de Serie A et deux Coupes d'Europe dans les années 1960, au cours d'une décennie chargée de trophées alors que Trapattoni, entraîneur de la Juventus, a conduit la Vieille Dame à six Scudetti, une Coupe UEFA, une Coupe des vainqueurs de coupe, et le tout premier triomphe du club en Coupe d'Europe, bien que éclipsé par la tragédie du Heysel. Conte n'avait pas de connexion avec le Milan, mais ses liens avec la Juventus étaient sans doute encore plus profonds que ceux de Trapattoni. En 13 saisons avec les Bianconeri en tant que joueur, Conte a remporté cinq titres de champion, dont la fameuse saison 1997-1998 lorsque la Juventus a évincé l'Inter de titre à cause d'une décision d'arbitrage très litigieuse, une Coupe UEFA et cinq autres trophées nationaux. Il faisait également partie de l'équipe qui a atteint la finale de la Ligue des champions trois fois de suite, s'imposant en 1996 contre l'Ajax aux tirs au but mais perdant face au Borussia Dortmund et au Real Madrid les deux années suivantes. Lorsqu'il est revenu à la Juventus en tant qu'entraîneur en 2011, Conte a repris une équipe qui avait terminé septième au cours des deux saisons précédentes et a immédiatement rétabli la Juventus en tant que force dominante en Italie, remportant trois Scudetti consécutifs. Cela aurait pu être une histoire très différente sans Trapattoni, qui avait signé Conte de Lecce lors de son deuxième passage à la Juventus en 1991 et convaincu le jeune milieu de terrain de rester quand il se sentait dépassé par le défi de faire ses preuves dans un environnement étranger . "Si Trapattoni n'avait pas été là, je ne sais pas si je serais resté à la Juventus", se souvient Conte plus tard. Avec Marcello Lippi, qui a succédé à Trapattoni à la Juventus, peu de managers ont eu autant d'impact sur Conte qu'un joueur. Incidemment, le trio a managé l'Italie, la Juventus et l'Inter. Le passage de Lippi à Milan, cependant, a été un échec absolu et il a été limogé au début de sa deuxième saison. Bien que Conte et Trapattoni diffèrent en termes de personnalité, il n'est pas tout à fait surprenant de voir que les équipes du premier cité sont construites sur certains des mêmes principes qui constituaient le noyau des groupes les plus réussis du deuxième. Un style de football souvent jugé trop pragmatique par les observateurs, Fabio Capello et l'ancien attaquant italien Antonio Cassano ont tous deux critiqué l'approche réactive de l'Inter cette saison, ce dernier allant jusqu'à suggérer que s'il était un joueur sous Conte, il demanderait au président de le renvoyer, et cela repose sur une défense solide comme le roc. La Juventus a terminé avec la meilleure défense chaque saison lors des trois titres sous Conte, tandis que les équipes de Trapattoni se sont vantées de la défense la plus parcimonieuse de la ligue dans cinq de ses sept campagnes gagnantes au Scudetto. Cette solidité défensive a été cruciale dans l'Inter cette saison, les Nerazzurri n'ayant concédé que six buts au cours des 16 derniers matchs après avoir accordé 23 buts au cours des 17 premiers matchs de la saison. Le titre de l'Inter sous Trapattoni en 1988-89 a été construit sur une base similaire, les Nerazzurri ayant concédé 19 buts en 34 matchs, à une moyenne de 0,5 but par match, le record défensif actuel de l'Inter extrapolé sur 38 matchs leur donnerait une estimation de concéder 0,8 but par match, une amélioration étonnante pour une équipe qui a concédé 35 en 30 matchs l'année précédente. À l'autre bout du terrain, les versions de Trapattoni et de Conte pour l'Inter sont tout aussi impressionnantes. Sous le premier, les Nerazzurri ont terminé avec le meilleur bilan offensif de la Serie A, pilant 67 buts en 34 matchs à une moyenne de 1,97 buts par match, alors qu'Aldo Serena a été couronné meilleur buteur de la ligue avec 22 buts et Ramon Diaz en a ajouté 12 autres. L'Inter a déjà éclipsé ce total cette saison, marquant 72 buts en 33 matchs, faisant de son attaque la troisième plus prolifique de la Serie A derrière l'Atalanta et Naples. Avec 21 buts, Romelu Lukaku concurrence Cristiano Ronaldo dans la course au Capocanniere award, tandis que Lautaro Martinez a contribué à 15 buts. Hormis Robert Lewandowski et Thomas Muller, Lukaku et Martinez sont le duo offensif le plus prolifique des cinq meilleures ligues européennes. Peut-être plus que tout autre joueur, Lukaku a incarné la renaissance de l'Inter sous Conte. Le Belge est arrivé au Meazza pour un transfert record de 66,6 M£ de Manchester United à l'été 2019 et n'a pas perdu de temps pour s'imposer comme le talisman offensif de l'Inter, récompensant la foi de Conte et prouvant que les sceptiques avaient tort après deux saisons à Old Trafford caractérisées par plus de bas que de hauts. Lukaku a justifié son salaire élevé, comme l'ont fait plusieurs autres signatures de Conte, de Nicolo Barella à Stefano Sensi, Achraf Hakimi et, bien qu'après un départ lent, Christian Eriksen. La frénésie de dépenses de Conte a été une source de débats sans fin depuis son arrivée à l'Inter. Selon les données de Transfermarkt , le club a dépensé 261,3 M£ pour les joueurs au cours des deux dernières saisons, récupérant 133,9 M£. Les partisans de Conte pointent vers le classement et affirment que les dépenses étaient justifiées par la nécessité de refondre complètement une équipe qui avait perdu son chemin. Les détracteurs, quant à eux, pensent que l'Inter a joué trop vite et trop lâche avec son bilan, le Jiangsu FC, le club de Super League chinoise appartenant à Suning Holdings, la société qui contrôle l'Inter, s'est effondré le mois dernier. Quel que soit l'impact à long terme de la frénésie de ces dépenses, pour le moment, l'investissement devrait porter ses fruits pour l'Inter, tout comme il l'a fait il y a plus de trois décennies lorsque, désespéré de combler l'écart avec le Milan et le Napoli, Pellegrini a desserré les cordons de la bourse. En termes de dépenses, les deux premiers étés de Trapattoni étaient un monde loin de celui de Conte, à tel point qu'en écrivant sur La Repubblica en 1986, le légendaire journaliste italien Gianni Mura a décrit Trapattoni comme "de loin le meilleur des signatures de l'Inter". Alors que les arrivées de Matthaus, Brehme, Diaz et Berti ont fait de l'Inter un mastodonte imparable en Italie, il y avait peu de joie à trouver au-delà des frontières du pays. Éliminée en quarts de finale lors de la première année à la tête de Trapattoni, en 1989, l'Inter a été éliminée de la Coupe UEFA au troisième tour pour la deuxième saison consécutive, perdant à cause de la règle des buts l'extérieur contre le Bayern Munich après avoir gaspillé une avance de 2-0 après la première manche à Munich (0-2, 3-1). Trapattoni allait finalement remettre un trophée européen, remportant la Coupe UEFA en 1991, avant de revenir à la Juventus la saison suivante. Les deux premières saisons de Conte ont également été décevantes du point de vue du football européen, l'Inter cédant un but d'avance pour perdre la finale de la Ligue Europa la saison dernière contre Séville et terminant dernière de son groupe de la Ligue des champions cette saison. Un retour en C1 est quasiment garanti, mais avant de se tourner vers l'Europe, l'Inter et Conte devront terminer le travail en Italie. "Je suis pour les défis et l'Inter est le plus difficile de ma carrière", a déclaré Conte au journal italien Il Corriere della Sera plus tôt cette année. Il est à quelques matchs de la conquérir.-
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L'Inter n'a "jamais'' joué un bon ou beau football cette saison mais mérite d'être les champions, selon Mario Sconcerti dans une chronique pour Calciomercato.com. dans le même temps, Le Corriere dello Sport a souligné que Conte était sur la bonne voie pour remporter son sixième titre de champion dans un cinquième club différent. Les Nerazzurri ont 11 points d'avance avec huit matchs à jouer, ce qui en fait des favoris pour remporter le premier titre de champion du club depuis 2010. Antonio Conte est toujours critiqué pour son approche tactique, certains affirmant que l'Inter ne progressera pas en UEFA Champions League en utilisant un tel style. "Tout le monde a raison de dire que l'Inter n'a pas bien joué, jamais, mais quel est le problème?" "La question devrait être de savoir s'ils sont les meilleurs, et la réponse est oui: l'Inter reste clairement la meilleure équipe de la ligue cette saison." "À ce stade, les gens élargissent le débat en disant que le style de jeu de l'Inter ne conviendrait pas pour jouer en Europe, et c'est également vrai. Mais c'est une critique que les gens font au mauvais moment, car l'Inter n'est pas en Europe. Vous pouvez parler de leur passé avec les résultats de la Ligue des champions, mais personne ne peut prédire l'avenir." Le Corriere dello Sport a souligné que Conte était sur la bonne voie pour remporter son sixième titre de champion dans un cinquième club différent, avec les Nerazzurri. Conte a remporté son premier titre lorsqu'il a terminé en tête de la Serie B avec Bari en 2009, avant de gagner une autre promotion avec Sienne lors de la saison 2010-11 (bien qu'il ait terminé deuxième cette année-là). Il a ensuite remporté trois titres de champion consécutifs à la Juventus, entre 2012 et 2014, puis a remporté la Premier League à Chelsea en 2017. Il continue sur la bonne voie pour suivre les traces de Giovanni Trapattoni en remportant la ligue avec la Juventus et l'Inter, a souligné le CdS, mais il mérite également des comparaisons avec Carlo Ancelotti et Fabio Capello. Notre entraîneur-chef compte actuellement 296 victoires pour sa carrière d'entraîneur de club, toutes compétitions confondues, ce qui signifie qu'il pourrait bien atteindre la barre des 300 avant la fin de la saison. Les Nerazzurri ont encore besoin de 13 points pour boucler le Scudetto donc il n'y a donc aucun signe pour que Conte lève le pied sur l'accélérateur maintenant.
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Le manager a copté pour "garer le bus'', mais un premier Scudetto depuis 11 ans est en vue après la 11e victoire consécutive de l'Inter contre Cagliari. L'Inter s'apprêtait à prolonger sa course gagnante avec un 11e match consécutif et un ancien joueur réclamait le licenciement du manager. "Ils ne jouent pas bien!" a protesté Antonio Cassano lors de son apparition hebdomadaire sur la chaîne Twitch de Christian Vieri, sa colère s'intensifiant alors qu'il répétait la phrase trois fois. "Antonio Conte joue un 5-3-2, tout le monde derrière le ballon, tout le monde aligné devant son propre but. Il gare le bus et vous ne pouvez pas vous en sortir. Si j'avais un manager comme celui-ci, j'irais voir le président et lui dirais: «Débarrassez-vous de lui»." Cette opinion n'a pas surpris les réguliers téléspectateurs de la chaîne de Bobo. Le dégoût de Cassano pour le football de Conte a été un thème constant de la réussite chaotique de BoboTV depuis son lancement en septembre. C'était connu bien avant cela. C'est un homme qui a expliqué sa décision de ne pas rejoindre la Juventus au début de la dernière décennie en disant qu'il ne pourrait jamais se considérer comme l'un des "petits soldats" du manager. Il est difficile d'imaginer que Conte perde le sommeil à cause de telles remarques. Ces jours-ci, franchement, il est difficile de l'imaginer perdre quoi que ce soit. L'Inter n'a pas perdu un point en Serie A depuis que la phase retour. Leur titre n'est pas encore mathématiquement assuré mais, après avoir battu Cagliari 1-0, ils détiennent une avance de 11 points sur Milan, deuxième, avec huit matchs à jouer. Si l'Inter a fait une erreur, au cours des trois derniers mois, c'est peut-être de rendre tout cela trop facile. Ils sont sur le point de mettre fin à la série de neuf Scudetti consécutifs de la Juventus et de devenir eux-mêmes champions pour la première fois depuis 2010. Mais l'absence de danger a diminué le spectacle de ce sprint final vers la ligne d'arrivée. Lorsqu'il n'y a pas de compétition à proprement parler, certains observateurs chercheront plutôt à chercher les poux sur la tête d'une équipe gagnante. Cassano n'a pas été le seul à critiquer après que l'Inter ait battu Sassuolo tout en détenant moins de 30% de possession. Seulement deux fois en huit matches elle avait terminé au-dessus de 50%. Ils ont dépassé ce chiffre dimanche, bien que de justesse, contre des adversaires qui siègent à la 18e place. L'Inter était toujours en contrôle, le seul tir cadré de Cagliari venant d'une tentative à longue portée du Radja Nainggolan, mais n'a pas brisé l'impasse avant le 77e minute lorsque Matteo Darmian a concrétisé le centre d'Achraf Hakimi au deuxième poteau. Conte a sprinté sur le terrain pour célébrer, partageant une étreinte avec toute l'équipe et plantant un baiser sur le front du Marocain. Dans un Meazza vide, c'est sa réaction, plus encore que celle de ses joueurs, qui a servi à nous rappeler de ce qui était en jeu. Même ainsi, à plein temps, le manager semblait mécontent: pas de son équipe mais du récit qui les entourait. Interrogé sur Sky Sport pourquoi il n'était pas plus heureux, Conte a déclaré que ses joueurs n'obtenaient pas le respect qu'ils méritaient pour leurs réalisations. Il a rappelé à son public que l'Inter lui avait demandé de revenir à la victoire dans les trois ans, et qu'ils étaient sur la bonne voie pour le faire dans deux. Il est dans la nature de Conte de s'attarder sur les affronts perçus. La première partie de cette saison a été caractérisée par une querelle entre lui et Fabio Capello, dont la définition de l'Inter comme une équipe de contre-attaque a suscité une furieuse réaction. En regardant ces chiffres de possession récents, on pourrait conclure que l'ancien manager de l'Angleterre avait eu raison, mais nous entrons ici dans un monde de sémantique contestée et contestable. Conte n'acceptera jamais que son équipe joue en contropiede (contre attaque) mais il parle fièrement de l'efficacité de leur ripartenze, ou, mieux encore, simplement de leur partenze, leur capacité à "relancer" ou simplement "se lancer" rapidement dans des attaques dévastatrices après avoir remporté la possession. Cassano n'est pas le seul à détester une telle approche réactive. Sa suggestion de protester auprès du président, cependant, est plus un aveu de qui il était en tant que footballeur qu'une plainte réaliste. Les propriétaires de l'Inter, et la plupart des supporters, sont ravis de l'homme qui les a remis au sommet. La tendance de Conte à s'apitoyer sur lui-même peut ennuyer, mais son coaching a été brillant, cette course au titre s'appuyant sur des ajustements constants tout au long de la campagne. L'Inter a commencé cette saison à se battre pour la possession beaucoup plus haut sur le terrain, mais a modifié son approche après avoir constaté qu'elle laissait trop de buts pour que même les prolifiques Romelu Lukaku et Lautaro Martínez puissent suivre. Les Nerrazzurri ont concédé 23 buts lors de leurs 17 premiers matchs, mais seulement quatre fois au cours des 13 matchs depuis. Ils sont devenus une lotte de mer de football, un prédateur en embuscade qui tire sa proie, évaluant la perspective d'une récompense et attendant le bon moment pour les dévorer. Près de 70% des buts de l'Inter ont été marqués en seconde période, une statistique qui reflète à la fois la capacité de Conte à identifier et à exploiter les faiblesses des adversaires pendant un match, et la nature d'un plan de match qui invite les adversaires à s'épuiser à poursuivre un but qui le plus souvent n'est jamais atteint. Il l'a fait en intégrant des joueurs qui avaient été précédemment écartés. Les problèmes financiers qui ont empêché les propriétaires du club, Suning, d'investir dans le mercato de janvier, pourraient avoir une bénédiction déguisée, obligeant Conte à se concentrer sur les "récupérations" footballistiques Ivan Perisic et Christian Eriksen déployés respectivement dans de nouveaux rôles d'ailier arrière et milieu de terrain hybride regista / box-to-box. Il y a une flexibilité dans les alignements de l'Inter qui n'était pas présente au début de la saison. Manquant l'influent Nicolò Barella dimanche, Conte a aligné son équipe contre Cagliari avec un trio de milieux offensifs composé de Eriksen, Marcelo Brozovic et Stefano Sensi, mais a compensé ce choix avec la sélection de deux de ses ailiers les plus défensifs: Darmian et Ashley Young. Bien sûr, c'est l'un des remplaçants, Hakimi, dont l'accélération et la percussion par la droite ont déverrouillé la défense de Cagliari. Mais cela aussi sera une source de satisfaction. L'Inter a parfois été accusée de trop compter sur Lukaku et Martínez, qui n'est pas une si mauvaise paire sur laquelle s'appuyer, avec 36 buts et 14 passes décisives pour eux, mais d'autres ont également été décisifs au cours de cette séquence de victoires. Ce qui ressort de cet Inter, c'est le sentiment que, quel que soit le scoreur, le but finira par arriver. Conte a commencé son mandat à l'Inter en insistant sur le fait qu'ils ne seraient plus pazza, fous, un trait que l'hymne du club a endossé. Au lieu de cela, il a fait des références répétées à la Juventus comme modèle de réussite, une équipe avec un accent particulier sur la victoire et rien d'autre. Semaine après semaine, tout au long de la seconde moitié de cette saison, son équipe s'est rapprochée de cet idéal. Quand Cassano regarde jouer Inter, il ne voit qu'un bus garé. Dans le contexte de la Serie A, l'Inter en est venu à ressembler à un poids lourd irrésistible. Texte traduit de "From pazza to partenze: Conte defies Cassano criticism as Inter march on" publié sur le site du Guardian le 12 Avril 2021.
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Maurizio Zamparini et Fabio Capello: "Un cycle Marotta-Conte gagnant à l'Inter?"
alex_j a posté un article dans Interviews
L'Inter continuera de remporter des trophées aussi longtemps qu'Antonio Conte et Beppe Marotta resteront au club, selon l'ancien président de Palerme Maurizio Zamparini dans une interview accordée à Radio Sportiva. Dans le même temps, Fabio Capello pense qu'Antonio Conte est destiné à rester à l'Inter pendant de nombreuses années dans une interview accordée à Il Giornale. Maurizio Zamparini "Tant qu'elle sera là avec Conte, l'Inter continuera de gagner. Peut-être qu'ils ne jouent pas un beau football, mais ils gagnent. J'ai 'entraîné' Marotta pendant que nous travaillions ensemble à Venise, c'est une personne sérieuse qui comprend le football. La Juventus pensait pouvoir se passer de lui mais Marotta est comme Paulo Dybala ou Cristiano Ronaldo." "J'envoie des messages à Paulo Dybala lui indiquant de quitter la Juventus. Dybala doit être la star de l'équipe et être l'homme qui contrôle les matchs, libre de se déplacer sur le terrain. Depuis que Ronaldo a rejoint la Juventus, nous n'avons pas vu le Dybala que nous connaissons car les deux ne peuvent pas coexister ensemble. Paulo est assez bon pour jouer pour Barcelone ou le Real Madrid, il n'a pas eu d'affection ou de soutien de la part de la Juventus." Fabio Capello "Je suis convaincu que Conte restera et que l'Inter ouvrira une nouvelle ère. Antonio a déjà créé un groupe fort à l'Inter et je suis convaincu qu'ils feront de grandes choses ensemble." "Il n'y a plus de concurrence pour le scudetto. J'ai dit il y a quelque temps que l'Inter avait déjà remporté le Scudetto après la défaite du Milan à Spezia (le 13 février). Leurs rivaux sont trop loin et les matchs restants diminuent le temps restant. Je pense que l'avance de l'Inter est vraiment irrattrapable."- 2 commentaires
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