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  1. Comme nous le savons, l'Inter a été sanctionnée par l'UEFA à cause du FPF. Elle doit payer une amende de 4M€ et ne pourra pas aligner de nouveaux joueurs si... L'Inter ne s'inquiète pas des sanctions que l'UEFA lui a imposées pour avoir enfreint les règles du fair-play financier, selon un article paru aujourd'hui dans Tuttosport. En effet, l'Inter reste calme face cette situation car elle a choisi la voie consistant à prendre quatre ans pour respecter les directives. Pour le moment, la seule différence est qu'il y a deux joueurs de moins sur la liste A de l'UEFA (23 au lieu de 25) et que l'activité du marché des transferts est liée au solde de la liste A. L'Inter ne peuvent enregistrer de nouveaux joueurs pour les compétitions européennes que s'ils ont d'abord vendu un ou plusieurs joueurs dont les coûts sont supérieurs ou égaux à ceux des joueurs entrants. Cela pourrait être considéré comme un problème. Cependant, en raison de ses propres difficultés financières, l'Inter a fonctionné de cette manière au cours des deux dernières saisons. Cependant, comme le souligne le Corriere dello Sport, si l'Inter ne fait pas ce qu'ils ont convenu, les Nerazzurri devront payer une nouvelle amende inconditionnelle de 26 M€ ainsi qu'une possible interdiction de transfert. Pour comprendre, nous nous sommes procurés et avons traduit les accords disponibles sur le site de l'UEFA. Voici les extraits qui nous intéressent. 1) Le régime de règlement couvrira : Les cinq périodes de déclaration se terminant en 2022, 2023, 2024, 2025 et 2026; Les cinq saisons 2022/23, 2023/24, 2024/25, 2025/26 et 2026/27. 2) L'écart acceptable est le déficit cumulé maximal possible des revenus du football pour le Club considéré comme en conformité avec la règle des revenus du football. L'écart acceptable est de 5 M€. Cependant, le déficit peut dépasser ce niveau jusqu'à 60 M€ si cet excédent est entièrement couvert par des cotisations ou des fonds propres, comme prévu dans la CL&FS. Les revenus cumulés du football peuvent être ajustés à la hausse pour tenir compte des investissements pertinents. 3) Le Club convient en outre que si le Club dépasse les objectifs spécifiés dans le Règlement d'Accord, l'une des restrictions sportives suivantes peut s'appliquer en fonction du montant de l'excédent : Restriction du nombre de joueurs : le Club ne peut inscrire plus de 23 joueurs sur sa liste A pour les compétitions interclubs de l'UEFA par rapport au maximum de 25 joueurs prévu dans le règlement des compétitions interclubs de l'UEFA. Une telle restriction ne doit pas diminuer le nombre de places exclusivement réservées aux « joueurs formés localement » définies dans le règlement des compétitions interclubs de l'UEFA. Cette mesure conditionnellement s'applique aux saisons 2023/24, 2024/25, 2025/26 et/ou 2026/27. Interdiction d'inscription de nouveaux joueurs : Le Club ne peut inscrire de nouveaux joueur de sa liste A aux compétitions interclubs de l'UEFA, à moins que le solde de la liste A ne soit positif. Le solde de la liste A est défini comme la différence entre les coûts des joueurs (« Économies de coûts ») et les coûts des joueurs entrants (« Nouveaux coûts ») à tout moment tout en respectant le délai applicable pour la remise par le Club de sa Liste A. Cette mesure s'applique sous condition aux saisons 2024/25, 2025/26 et/ou 2026/27. Exclusion de la prochaine compétition interclubs de l'UEFA pour laquelle elle se qualifierait autrement dans les trois prochaines saisons. Cette mesure s'applique conditionnellement à la campagne 2024/25, Saisons 2025/26 et/ou 2026/27. 4) L'accord transactionnel expire lorsque la première chambre de l'ICFC confirme que le club a rempli l'objectif principal de l'accord de règlement et a atteint respect de la règle des revenus du football au plus tard à la fin du régime de règlement. Toutes les restrictions sportives, le cas échéant, cesseront de s'appliquer. Tout impayé ainsi que les cotisations, qu'elles soient réalisées conditionnelles ou inconditionnelles, restent dus. Ainsi, l'Inter peut inclure un nouveau joueur si et seulement si il coute moins cher que le joueur vendu, ce que indique Tuttosport qui est dans le vrai. Nous comprenons donc que les informations relayées par nos chers journalistes français étaient, certes justes, mais biaisées. C'est pour cela, vérifiez par vous même. Note: les documents officiels sont disponibles ici. Traduction alex_j, oxyred et QG1989 via Sempreinter et le site officiel de l'UEFA.
  2. Quels sont les risques les équipes qui violent le fair-play financier ? La question est d'actualité maintenant que l'UEFA est prête à sanctionner dix clubs pour non-respect des règles de la FPF jusqu'à la saison 2020-2021. Il faut donc regarder le bilan comptable de cette saison. Rappelons que le règlement de l'UEFA prévoit que sur une période de trois ans, les clubs qui participent aux compétitions européennes peuvent avoir un déficit budgétaire cumulé ne dépassant pas 30 M€. Bien entendu, les règles ont été partiellement modifiées avec le Covid, la période de surveillance s'étendant sur quatre saisons, mais avec des déficits éventuels pour 2019-2020 et 2020-2021 qui sont additionnés et divisés par deux pour alléger le poids de la pandémie. Les clubs que l'UEFA serait prête à sanctionner comprendraient la Juventus, l'Inter et la Roma, bien qu'avec des situations très différentes. Les bianconeri auraient refusé tout type d'accord avec l’UEFA, au risque d'encourir des sanctions bien plus lourdes, tandis que les nous et les Giallorossi devraient trouver un accord pour des accords de règlement. Rappelons que l’Inter a déjà signé un accord avec l’UEFA. En partant de la liste des sanctions, l'article 29 du "Règlement de procédure régissant l'Instance du contrôle financier des clubs de l'UEFA" précise que les mesures disciplinaires pouvant être adoptées, selon la gravité des cas, sont les suivantes : Simple signalement ; Rappel à l’ordre ; Amende ; Déduction de points ; Retenue du revenu produit par une compétition de l'UEFA ; Interdiction d'enregistrer de nouveaux joueurs dans les compétitions de l'UEFA ; Limitation du nombre de joueurs qu'un club peut inscrire aux compétitions de l'UEFA, y compris une limitation financière sur le coût total agrégé des avantages pour les joueurs inscrits sur la liste A des compétitions interclubs de l'UEFA ; Disqualification des compétitions en cours et/ou exclusion des compétitions futures ; Révocation d'un titre. Comme mentionné, nous et la Roma pourraient conclure des accords de règlement. L'Organe de contrôle financier des clubs a décidé dans de nombreux cas que les objectifs de la FPF peuvent être mieux atteints avec une approche réhabilitatrice plutôt que punitive. Cela a conduit à plusieurs reprises à la conclusion d'accords entre les clubs et l'ICFC qui combinent des contributions financières avec de nombreuses conditions restrictives. Cela offre aux clubs un équilibre à court terme. La décision de conclure ou non un accord de règlement est en tout état de cause à la discrétion de l'ICFC. Enfin, le règlement précise "les accords transactionnels peuvent prévoir toutes sanctions disciplinaires en application de l'art. 29 et, le cas échéant, un calendrier spécifique dans le but de mettre le club sanctionné en conformité avec le Règlement de l'UEFA sur l'octroi de licence aux clubs et le fair-play financier." Il est intéressant de noter que d’après le blog Swiss Ramble, Arsenal pourrait respecter le FPF malgré des dépenses record. Il explique tout sur son thread, avec bilan comptable à l’appui, ici : Concernant l’Inter, le bilan de la saison 2020-2021 est disponible sur le blog Swiss Ramble : Remarquons que l’Inter avait subie une perte nette de 348M€ et remarquons que l’Inter a également subie une perte de revenus de 121 M€. Le blog pointe aussi le fait que la masse salariale de l’Inter était assez lourde mais que les gains sur les transferts étaient en progression, grâce à Lukaku et Hakimi en particulier. Nous vous laissons lire le thread, en anglais, qui est assez intéressant bien qu’assez technique. Ces différentes pertes de revenues peuvent expliquer que l’UEFA nous surveille. Bien entendu, il serait assez intéressant d'avoir le bilan comptable de 2021-2022. Traduction alex_j via Sempreinter.
  3. L'Inter, la Juventus et la Roma sont parmi les meilleurs clubs européens à faire face à des sanctions de l'UEFA pour violation du fair-play financier. Ceci dit, il faut être assez précis. Selon The Times, les Nerazzurri font partie d'un trio de clubs de Serie A qui font face à des sanctions pour avoir enfreint le FFP dans les comptes 2021-2022, comme avec le Paris Saint-Germain, Marseille, Barcelone et Arsenal. L'UEFA a examiné les comptes 2021-2022 des clubs européens et a signalé certains problèmes de dépenses qui seraient en violation de la réglementation FFP, bien qu'elle n'ait encore officiellement sanctionné aucun club. L'Inter est l'un des trois clubs italiens aux côtés des Bianconeri et des Giallorossi susceptibles de faire face à des sanctions, tandis qu'Arsenal est la seule équipe de Premier League, avec plusieurs autres grandes équipes européennes susceptibles de faire face à des sanctions. Le PSG et Marseille seraient prêts à discuter d'un accord sur les amendes avec l'UEFA, tandis que l'Inter et la Roma pourraient convenir d'amendes ainsi que de restrictions sur les dépenses avec la plus haute instance dirigeante du football européen. Pendant ce temps, comme Barcelone et la Juventus sont toujours en conflit avec l'UEFA au sujet de leur engagement dans le projet de Super League, il est peu probable qu'ils s'entendent sur les conditions des sanctions, car certains des autres clubs concernés le feront. Actu Foot a relayé cette information sur son compte Twitter: Cependant, plus tard dans la journée, l'Inter a déjà conclu un accord avec l'UEFA depuis un certain temps concernant les sanctions du fair-play financier, et les nouvelles publiées par le Times concernant le FFP ne sont pas nouvelles. FCInter1908 rapporte que les Nerazzurri ne sont pas plus inquiets que ça concernant le FFP et qu'il n'y a pas eu de nouveaux développements. En fait, l'article du Times ne fait que juste réaffirmer les faits existants sur notre situation. Donc, ce qui est dit est vrai mais cet accord existe depuis des mois, et donc le rapport du Times n'est pas vraiment une nouvelle concernant les développements qui inquiètent les fans. Traduction alex_j via the Time.
  4. La récente décision du TAS qui a levé l'interdiction européenne de Manchester City a généré plusieurs controverses et débats sur le fair-play financier (FPF). Nous vous livrons un examen des arguments entourant le FPF. Ce qui suit est traduit d'un article anglais. Ceci explique pourquoi les exemples se focalisent principalement sur des clubs anglais (so british...). Introduction Blackburn Rovers a soulevé la FA Cup en 1884. Cependant, cette compétition fut remarquable pour deux raisons très importantes. La première, une vague de disqualifications a gâché cette FA Cup, avec Preston North End, une équipe de premier plan de l'époque, et Accrington se faisant remarquer par la FA pour avoir offert des incitations financières à leurs joueurs (!). La réaction et le débat qui ont suivi ont vu la légalisation du professionnalisme dans le football et cela a ouvert une boîte de Pandore qui semble influencer le football même 130 ans plus tard. Avec le professionnalisme, est venu l'argent et, comme beaucoup d'autres aspects de la vie, la capacité de réussir dans le football avait tendance à devenir une fonction d'investissement monétaire. Ce qui nous amène à nos jours et à la querelle constante entre les supporters, les clubs et les autorités sur le sujet des finances du football, un sujet tangentiel au football actuel. Les organes directeurs du monde entier ont cherché à réglementer le rôle de la finance dans le football, et dans cet esprit, l'UEFA a proposé le fair-play financier. Le concept a été introduit à l'origine par Michel Platini en septembre 2009 pour le "bien-être du football interclubs européen", ainsi que pour améliorer "l'équité financière dans la compétition européenne". A-t-il atteint ces objectifs? Est-il en voie d'atteindre ces objectifs? Est-ce que ce sont les objectifs que nous voulons que le football européen atteigne? Avant d'entrer dans la mécanique du FPF, et les effets que cela peut avoir sur le jeu et sur les clubs, examinons les principes généraux en jeu ici. La directive de l'UEFA stipule que les investissements d'un club sur les transferts et les salaires des joueurs sont limités par leur chiffre d'affaires. Les deux questions qui se posent ici sont: a) comment un club améliore-t-il son chiffre d'affaires sans investissement? , b) Pourquoi l'UEFA a-t-elle le pouvoir de dicter les modèles d'investissement des clubs? Peut-être que regarder les objectifs déclarés de l'UEFA peut nous éclairer. Équité financière dans la concurrence européenne Le premier point intéressant à noter à propos du FPF et de son introduction est le timing. FFP a été introduit un an à peine après que Sheikh Mansour ait effectué sa prise de contrôle de Manchester City. Cela est également arrivé quelques mois après que le Real Madrid ait décidé de faire une frénésie de dépensières pour minimiser le choix chez ses concurrents, en signant des joueurs comme Cristiano Ronaldo, Kaka, Xabi Alonso et Karim Benzema. Le FPF a été largement considéré comme une réaction aux importantes dépenses de transfert qui devenaient une partie importante du football. Ainsi, afin de protéger la solvabilité à long terme des clubs qui dépensaient trop en mercato et en salaires, l'UEFA a décidé d'imposer son FPF. L'idée était de faire en sorte que les clubs vivent selon leurs moyens. Si la proposition était de bonne foi, les écueils de cette méthode, bien qu’ils semblent justes, auraient dû être immédiatement évidents. Lier les budgets de transfert aux revenus générés favorise automatiquement les équipes qui ont déjà des flux de revenus importants. Cela signifiait que les plus grands clubs de l'époque pouvaient continuer à dépenser des sommes plus importantes pour les transferts et les salaires des joueurs que leurs homologues relativement moins performants. Cela signifiait qu'à son tour, plutôt que d'atteindre l'équité financière dans la compétition européenne, l'UEFA a fini par imposer un système qui ne faisait que renforcer les hiérarchies préexistantes. La Bundesliga est un bon exemple du fonctionnement. Les clubs allemands ont traditionnellement suivi un modèle qui ressemble beaucoup au FPF. Les partisans du FPF mettrons des clubs comme Tottenham et Atalanta, des clubs qui ont connu un succès relatif. Ils souligneront à juste titre que ces clubs ont investi dans de bons jeunes joueurs et les meilleurs managers pour gravir les échelons. Cependant, ils ignoreront également le déclin simultané de géants comme Arsenal et Milan, qui a ouvert l'espace à des clubs comme les Spurs et l'Atalanta. Le modèle prêché et professé avec beaucoup de fierté et d'enthousiasme à travers l'Europe semble être un modèle qui repose sur le fait de déjouer à plusieurs reprises les probabilités sur une période de temps, associé à une mauvaise gestion à long terme des membres existants de l'élite. C'est apparemment la bonne façon pour un club de se développer. Même si vous parvenez à capturer l'attention pendant une décennie, méfiez-vous, car ces grands clubs ont encore d'importantes sources de revenus acquises lorsque le FPF n'existait pas ! Et ils peuvent toujours vous priver de vos plus grands atouts pour gagner des matchs, pendant que vous concourez pour le prestigieux championnat « Net Spend » (des transferts comme Hummels, Gotze et Lewandowski viennent à l'esprit). Des histoires comme Dortmund sont devenues d'autant plus remarquables en raison de leur caractère exceptionnel, et le temps nous a appris que la loi des moyennes les rattrapera, ce qui en fera une équipe qui aura de nombreux articles nostalgiques, mais aucune domination à montrer (comme des dominations comme la Grande Inter ou le Milan de Sacchi). Hormis le caractère inefficace de ces prescriptions, le fait que l’UEFA, ou quiconque autre que les supporters et les propriétaires d’un club croient qu’ils ont l’autorité morale de décider de la "bonne" manière pour un club de se développer, est en soi à mentionner. Si l’intention de l’UEFA est vraiment de créer des conditions de concurrence équitables, il est clair que le FPF, dans sa forme actuelle, avec ses biais structurels envers les géants traditionnels, ne peut pas réussir. Si l'UEFA tient vraiment à avoir des règles du jeu véritablement équitables, en mettant l'accent sur les "bonnes" choses, peut-être devrait-elle le signaler par ses actions. Si le développement de la jeunesse et l'accent mis sur la gestion à long terme sont vraiment censés différencier les meilleures équipes, pourquoi ne pas avoir un plafond salarial? Pourquoi ne pas adopter une version de la solution 6 + 5 (6 joueurs sur le terrain sont originaires du pays)? Ces mesures constituent véritablement la compétition interclubs comme un test de développement viable à long terme, en mettant l'accent sur l'amélioration des infrastructures et le football des jeunes. Elle réduit drastiquement l'influence des capacités d'investissement biaisées, dont l'effet du régime actuel du FPF tend à exacerber. Vous cesserez également d'attirer des propriétaires passionnés et n'attirerez les investissements que de ceux qui ont un réel intérêt pour le jeu et de leur équipe. A propos des propriétaires Pourquoi l'UEFA a-t-elle le pouvoir de contrôler les actions des propriétaires qui sont prêts, désireux et capables d'investir? À première vue, cela semble être une violation directe du principe de la liberté générale accordée à un particulier dans la disposition de sa propriété privée. Bien entendu, les clubs cèdent un certain contrôle à l'UEFA lorsqu'ils choisissent volontairement de participer à ses compétitions. De même, ils se réservent également le droit d'exister et de fonctionner en dehors de l'UEFA (bonjour la Super League européenne, cette fameuse ligue fermée), et étant donné la nature de plus en plus probable de ce scénario, l'UEFA devrait peut-être assouplir sa position ferme afin de conserver le prestige de ses compétitions. Ce qui précède est un exemple d’approche extrêmement libertaire et orientée vers le marché qui n’est tout simplement pas adaptée au football. La légitimité de toute compétition réside dans sa nature ouverte, inclusive et méritocratique, du moins en théorie. Il est également un fait que ces valeurs signifient également que nous devons être ouverts aux investissements qui amélioreront le mérite d'une équipe de football. L'UEFA l'admet lorsqu'elle dit qu'elle souhaite que le FPF "stimule les investissements à long terme (développement des jeunes et modernisation des installations sportives) par rapport aux dépenses spéculatives à court terme". Il est donc clair que le problème ne réside pas dans l’investissement, mais dans la qualité de l’investissement. Paradoxalement, limiter les budgets des transferts et des salaires semble être une manière d'atteindre cet objectif. Selon l’UEFA, un "bon" investissement est ce que vous voulez attirer, et un "mauvais" investissement est quelque chose que vous voulez désespérément éviter. Le raisonnement est simple: un "mauvais" investissement peut conduire à la dissolution de clubs entiers (comme Bury par exemple), et par conséquent, les contrôles sur l’investissement sont essentiels pour maintenir la santé de ces clubs. Donc, au fond, l’UEFA et le FPF n’ont pas de problème d’investissement en soi, mais un problème de "mauvais" investissement. Si ce qui précède est vrai, cela soulève la question: pourquoi les "bons" propriétaires ne devraient-ils pas être autorisés à investir dans leurs clubs? Pourquoi des clubs comme Brentford, Chelsea et Manchester City ne peuvent-ils pas recevoir des investissements de leurs soutiens, malgré des preuves claires montrant que ces investissements ont profité non seulement aux performances des équipes sur le terrain, mais également à leur développement de la jeunesse et aux installations sportives? La clé semble résider dans l’empêchement des "mauvais" investissements. Si tel est le problème, pourquoi ne pas renforcer les contrôles comme le test des propriétaires et des administrateurs? Pourquoi ne pas lier les investissements à long terme (académies de jeunes, modernisation des stades) aux dépenses spéculatives (transferts et salaires) comme incitation positive, par opposition à la nature restrictive du régime actuel du FPF? Cela permettrait à un propriétaire passionné comme Dave Whelan d’améliorer légitimement les performances de Wigan sur le terrain immédiatement et sur le long terme, tout en lui rendant plus difficile d'arriver à la première place. Cela rendrait probablement le soi-disant "Money Test" qui existe beaucoup plus difficile à passer, ne permettant qu'à ceux qui dépassent une certaine tranche financière de parier sur un club de football, si cela leur convient vraiment. Le football n'est que trophées ? Le FPF a clairement échoué dans sa mission de créer un terrain de jeu financier équitable pour les équipes. Mais de manière réaliste, cela n'est vrai que pour les équipes qui cherchent à remporter les grands trophées. Le football, en l'occurrence, est un sport beaucoup plus vaste que les divisions supérieures et la Ligue des champions. La réalité mathématique est qu’un très grand pourcentage de clubs ne gagneront absolument rien au cours d’une année donnée. Cela rend-il leur existence sans importance? Les fans de ces clubs pourraient ne pas être d'accord. La suppression du FPF est susceptible d'attirer des propriétaires ambitieux qui peuvent soutenir leur vision par des investissements. Cependant, en raison de la nature à somme nulle du football, il est plus probable qu'une majorité de ces propriétaires et investisseurs échoueront dans leur quête de trophées. De manière réaliste, comme l'a prouvé l'expérience de clubs comme Portsmouth, cela se traduit par un club financièrement insoutenable qui est obligé de se retirer dans un processus douloureux, humiliant et trop coûteux. Un test simple pour savoir si le FPF est une bonne idée est de vous demander: seriez-vous plus heureux de soutenir un club qui ne gagne pas trop de trophées, ou plus heureux de soutenir un club qui n’existe tout simplement plus? Alors, le FPF a-t-il réellement aidé à atteindre une durabilité à grande échelle? Selon eux, c'est le cas. Avons-nous des exemples notables du FPF sauvant des clubs de l'extinction? Bien sûr, non, car nous ne pouvons pas avoir d’exemple pour quelque chose qui ne s’est pas produit (bien que l’UEFA cite 28 accords avec des clubs déficitaires) ! Si les données de l'UEFA sont vraies, nous devons reconnaître le rôle du FPF pour faire du football un jeu qui reste accessible à un vaste panel de supporters et de footballeurs. Ainsi, alors que les propriétaires de clubs se plaignent des plafonds financiers, il est important pour les fans de noter que ces plafonds ne concernent peut-être que la survie de leur club de football bien-aimé. Et maintenant, que vais-je faire ? Le FPF n'est en aucun cas une régulation parfaite. S'il fait beaucoup pour protéger l'existence de clubs plus petits, nous pouvons légitimement nous plaindre de la cristallisation des hiérarchies traditionnelles qui en est résultée. Donc le FPF dans sa forme actuelle est certainement un pas dans la bonne direction, ce n’est certainement pas le grand égaliseur que l’UEFA voudrait qu’il soit. Les plafonds de salaires et de transferts sont-ils le moyen de créer un environnement de football plus équitable? Les clubs de Ligue 1 et de Ligue 2 sont sur le point de le découvrir. Ou nous concentrons-nous sur le talent de distribution plutôt que sur l'argent? Limiter la taille des équipes ou créer un draft de style NFL pourrait être la solution. Quoi qu'il en soit, le football, en raison de sa structure unique et de sa répartition géographique et politique unique (qui ne joue pas au football?), ne sera pas vraiment en mesure d'imposer une solution universelle. Jusque-là, peut-être pouvons-nous continuer à nous disputer, et maudire le professionnalisme pour nous avoir amenés ici en premier lieu... salauds d'anglais ! Conclusion et critiques Pour un fan des Blues, son analyse est plutôt pertinente, argumentée et bien fondée. Elle est cohérente par rapport à d'autres analyses que nous pouvons lire dans l’Équipe et France Football. Ses exemples sont assez éloquents et parlent d'eux mêmes. Dans notre cas, on pourrait citer Palerme qui a littéralement coulé et la Viola et Parme qui sont revenus. Il aurait intéressant de distinguer les financements du Golfe, russes et chinois. Il est assez surprenant qu'il ne parle pas de Wolverhampton, un club fondateur de la PL que nous pouvons qualifier de géant endormi. Racheté par des investisseurs chinois, investissements liés également au développement du chemin de fer dans les Midlands, Wolverhampton a atteint les quarts de la C3 cette année, éliminé par Séville. Les bases financières sont saines et le club revient petit à petit au premier plan. L'auteur aurait pu également citer Liverpool, un géant revenu après 10 ans de disette. Cet article justifie pleinement,t, si besoin était, que la famille Zhang a très bien fait de changer le mode de financement de notre équipe. Un financement à la Moratti n'est absolument pas viable dans le contexte actuel et pourrait être qualifié de suicidaire. Steven Zhang l'avait bien signalé dans une interview. L'époque a changé et il faut s'y faire. Concernant le spectre d'une super ligue européenne qui fait trembler l'UEFA, l'Inter peut se montrer sereine étant donné qu'elle est un club historique. Elle est dans une win-win situation. Même si elle a perdu sa finale contre Séville, les progrès sont là et nous permettent d'espérer.
  5. Ces derniers jours ont été chargé dans les locaux de l’Uefa. Selon le Corriere Dello Sport, voici ce que prévoit de faire Aleksander Ceferin : Coupes d’Europe Disputer en un match unique et sur terrain neutre les rencontres opposant Inter-Getafe et Seville-Rome. La rencontre devra durer 90 minutes, les prolongations et les tirs aux buts pourraient suivre. Les quarts de finales se disputeraient également de cette façon afin de présenter un Final Four d’ici le 31 août. Les confrontations en demi-finale devraient également se dérouler en une manche unique. Les finales se disputeront d'ici le 31 août 2020 avec la C1 à Istanbul qui a été confirmée et pour la C3, cela devrait rester à Danzica (Gdansk). Le Fair-Play-Financier L’Uefa étudie la réforme du Fair-Play-Financier, un thème cher au club. Au lieu d’envisager une notification qui permettrait aux clubs de disposer d’un passif plus important que les 30 millions d’euros sur les 3 années de référence, Nyon étudie une manière de déterminer l’impact du Covid sous certaines rubriques des bilans des clubs. Pour faire simple, comparé les bilans des années précédentes à celui-ci et analyser plus particulièrement les pertes. Ce travail s’avère complexe et délicat car il va de soit que Ceferin ne va pas déroger aux dettes en souffrances : Ceux qui voudront disputer les Coupes d’Europes 2020-2021 devront les honorer. ®Antony Gilles - Internazionale.fr
  6. Le Comité exécutif a réitéré son plein engagement en faveur de l'octroi de licence aux clubs et du fair-play financier et a convenu que la situation exceptionnelle que nous traversons nécessite certaines interventions ciblées pour faciliter le travail des associations membres et des clubs. Il soutient la proposition consistant à donner plus de temps aux associations membres pour mener à son terme la procédure d’octroi de licence aux clubs, jusqu’à ce que la procédure d’admission pour les compétitions interclubs de l'UEFA de la saison prochaine ait été redéfinie. Compte tenu de l’incertitude toujours plus profonde causée par cette situation exceptionnelle, le Comité exécutif a décidé de suspendre les dispositions en matière d’octroi de licence aux clubs en rapport avec la préparation et l’évaluation des informations financières prévisionnelles des clubs. Cette décision s’applique exclusivement à la participation aux compétitions interclubs de l’UEFA 2020/21. ®Fr.uefa.com
  7. La sanction réservée à Manchester City pour la violation des normes du Fair-Play financier pourrait signer le début d'une vaste opération visant ceux qui ne respectent pas les diverses règles de l'UEFA concernant les transferts. Comme le révèle la Gazzetta dello Sport, l'organisme en charge du football européen aurait décidé de se pencher sur les plus-values réalisées par les clubs. En particulier, selon le quotidien, l'UEFA souhaiterait mener des enquêtes concernant les "plus-values fictives". La gestion des footballeurs et de leurs transferts est une des méthodes les plus utilisées par les clubs et les plus rapides pour équilibrer leur bilan. Ainsi, cette pratique populaire pour esquiver les sanctions du Fair-Play financier est entrain d'être passée au crible. Selon la Gazzetta, elle ne plait pas particulièrement à l'UEFA mais est de plus en plus présente dans les stratégies des clubs de Serie A. Il reste à savoir quelles mesures l'UEFA adoptera pour y remédier. Des études sont entrain d'être faites et il semble que les délais pour trouver une solution ne seront pas particulièrement courts. En effet, une analyse attentive est forcément chronophage et donc les premières réponses risque de ne pas arriver avant la prochaine période de transfert. ®Samus - Internazionale.fr
  8. Michele Uva, directeur général de la FIGC (fédé italienne) et vice-président de l'UEFA, a accordé un long entretien concernant le fair-play financier au micro de Milano Finanza. "Notre travail en tant qu'entité suprême du foot européen consiste avant tout à prévoir, comprendre et donc réglementer à temps l'évolution de notre sport, d'ici 2030. De là il y a une série de tâches allant de l'organisation des coupes d'Europe, où nous venons d'ajouter une troisième compétition, les infrastructures, le développement des jeunes et de la partie féminine. Et bien évidemment la viabilité économique de notre discipline, liée aux règles du fair-play financier." Commençons par un sujet d'actualité, que pensez-vous d'un nouveau San Siro ? "Étant donné que la décision appartient à la municipalité de Milan, qui est propriétaire du terrain, je pense qu'il faut regarder l'avenir et nous ne pouvons pas dire non à un projet qui devrait accroître la stabilité économique des clubs. Un investissement total d'un milliard, de nombreux services pour les spectateurs et un magnifique réaménagement du quartier. A Londres ils ont détruit Wembley, aussi emblématique que le Meazza, et ont reconstruit une nouvelle enceinte avec des avantages indéniables pour les spectateurs et pour la fédération qui le gère." Parlons un peu des données du FPF : "Les chiffres sont clairs, en 2011 lors de son introduction le résultat net global des clubs des principales ligues était négatif de 1.7 milliards d'euros. En 2017 il était positif de 600 millions. Il en va de même pour le résultat opérationnel. L'étude indépendante réalisée par l'université Bocconi permet de clarifier l'utilité du FPF. L'introduction de règles nationales soumises à tous les clubs est positif. Cela porte ses fruits. Les bénéfices d’exploitation ont triplé ces dernières années, même si les prochains chiffres seront moins bons en raison du changement soudain de stratégie de certains clubs. L'importance de la réglementation réside aussi dans le fait que le contrôle constant des comptes permet au club qui vend le footballeur, est certain que l'acheteur paiera. Il en va de même pour les fournisseurs. L'une des principales tâches du système consiste à éviter les insolvabilités." Le FPF a-t-il vraiment favorisé les grands clubs ? "Dans les budgets des clubs européens, les recettes de l'UEFA sont en moyenne de 14%. Une grande partie de la puissance de frappe financière réside dans la capacité d'un club à faire les bons investissements au bon moment. Je prends l'exemple de Montpellier qui a remporté le championnat en 2012 et s'est qualifié pour la Ligue des Champions. Au lieu d'utiliser ces recettes pour acheter des joueurs, ils ont construit un centre sportif qui forme en permanence de nouveaux talents pour leur équipe première. Nous sommes dans un contexte d'économie complémentaire. Dans le football les grands clubs ont besoin des plus petits pour donner vie aux championnats. Les besoins des petites équipes sont donc complémentaires pour le spectacle global." Le fait qu'il y ai une plus grande tolérance accordée aux clubs qui viennent de changer ne vous semble-t-il pas étrange ? "Nous devons réglementer un système comprenant 55 pays, tous avec une législation différente, notamment en matière de fiscalité. Nous devons aussi prendre en compte le passé pour éviter le favoritisme. Car les clubs qui ont pris des sanctions font très attention à ce que tout le monde soit traité sur un pied d'égalité. Nous voulons être leurs garants. Cela étant dit, les règles du FPF ne sont pas gravées dans la pierre. Le système se nourrit des feedbacks entre les institutions et les clubs. En ce qui concerne les nouveaux entrants personne ne veut empêcher ceux qui souhaitent investir, mais nous devons nous assurer qu'ils ont une crédibilité financière et qu'ils ne créent pas de déséquilibres." ®gladis32 - internazionale.fr
  9. Le Conseil d’Administration de l’Inter a discuté, ce jeudi, de la thématique validant le bilan au au 30 juin 2019, qui se verra présentée à l’assemblé des actionnaires à la fin du mois d’octobre. Selon l’Ansa et Calcio&Finanza, le Club Nerazzurro a dépassé pour la première fois le palier des 400 millions euros de recettes : Pour la saison 2018/2019, plus-values comprises, le total a atteint 415 millions d’euros, soit une croissance de 20% comparé à l’exercice précédent de la saison 2017/2018, à savoir 346 millions d’euros. Le tout est marqué par la participation à la Ligue des Champions. Au niveau des dépenses, la bilan a été clôturé avec un déficit en règle sur base des obligations prévus suite au respect du Fair-Play-Financier. Le montant des recettes de la saison écoulée fait rêver, étant donné qu’il a surclassé le record établi en 2009/2010, l’année du Triplé, avec une somme historique de 323,5 millions d’euros. En ce qui regarde les pertes, au net de l’exercice 2013/2014 qui aura vu un impact positif suite à un changement de propriétaire, les 17,7 millions d’euros de la saison 2017/2018 sont à considérer comme le meilleure résultat depuis les 17 millions d’euros de l’année 2002/2003. Chaque sommes relatif au bilan ont déjà été examiné. On peut constater une croissance des recettes en provenance des sponsors pour la saison 2018/2019 avec l’émergence de l’Inter Media Communication, le groupe à travers lequel l’Inter a émis des actions à hauteur de 300 millions d’euros. Pour le bilan au 30 juin 2020, l’Inter s’attend à percevoir dans ce secteur 284,8 millions d’euros de recette, soit une croissance de 20% comparé à la saison 2017/2018. Dans le détails, l’Inter s’attend à percevoir 157,6 millions d’euros de recettes : 94 en provenance de la Serie A et 49 en provenance de l’Uefa. Les sponsorisation, avec les contrats signé en Asie, ont la plus grande part du marché : Parmi eux, on retrouver le Suning et ses droits de naming, sans oublier le maillot d’entrainement. Toutefois, 47% sont destinés au bilan TeamCo. Les autres sponsorisation culmine à environ 98 millions d’euros subdivisé de la façon suivante : 13, 9 millions du Suning 10 millions de FullShare 10 millions de Lvmama 25 millions des agences de marketing sportives : IMedia et Beijing Yixinshijie 13,4 millions d’euros en provenance d’autres accords. ®Antony Gilles - Internazionale.fr
  10. Accompagné de Piero Ausilio, Giuseppe Marotta a réalisé son premier mercato interiste. Si les recrues ont été de qualités, la question de l’impact financier sur les comptes Nerazzurro se devait d’être posée. Et dans ce domaine, le moins que l’on puisse dire, c’est que le Beppe a géré d’une main de Maître la situation. Même si l’on ajoute les prolongations de contrat de D’Ambrosio (confirmée) d’Handanovic (pour un an de plus) et de Lautaro Martinez (à venir), les comptes de l’Inter conservent pratiquement la même structure qu’avant ce mercato pharaonique. Révélation de la Gazzetta Dello Sport L’Inter dispose d'une marge de manœuvre, même à la suite du mercato qui a été réalisé. Marotta et Ausilio ont cette fois-ci chamboulé l’Inter comparé à l’année dernière. Mais le tout a été réalisé en maintenant l’équilibre sur les comptes, du moins en terme de masse salariale. L’Inter a plus ou moins la même : 116 millions précédemment contre 118 millions d'euros à présent. Cette différence provient des prolongations de contrat de Brozovic et de Skriniar, ce qui n’est pas un mauvais résultat, surtout qu’il est favorisé par le fait d’être parvenu à transférer les trois joueurs les plus cher de la dernière saison, à savoir Icardi, Perisic et Nainggolan. La différence importante est que le Club n’est plus, à présent, sous la menace du Settlement Agreement de l’Uefa. Cette raison explique également les revalorisations salariales de contrat des joueurs, sans que le tout ne s’avère trop compliqué à entreprendre. Marotta prend le meilleur sur Fabio Paratici En effet, selon Calcio&Finanza, le club Bianconero a terminé le premier semestre 2019 avec un passif de 47 millions d’euros. Un contraste important lorsque l’on sait qu’en 2018, la Vieille Dame disposait d’un bilan net de 7,7 millions d’euros. La conséquence est directe : La Juve disposera, sur base de ces informations, d’un solde passif de 40 millions d’euros à l’été 2020. Le saviez-vous ? Au classement de la moyenne d’âge, l’Inter se position à la 13ème place (27 ans). L’équipe la plus jeune est celle du Milan avec une moyenne de 24,1 ans. L’équipe la plus âgée est la Juventus avec une moyenne de 28,8 ans. ®Antony Gilles - Internazionale.fr
  11. L’Inter est finalement sortie du Settlement Agreement, mais que nous réserve l’avenir ? Replacer l’Inter dans l’Elite du football mondial. Tel a été le message prononcé hier par Steven Zhang lors de l’inauguration du nouveau siège. Un message qu’il a adressé à l’ensemble des membres du personnel du club interiste. Renaissance du club Fin mai fut synonyme de libération. L’Uefa annonçait officiellement la sortie du Settlement Agreement à l’Inter. Pourtant des plus-values sont à réaliser d’ici le 30 juin, mais est-ce vraiment si important ? La première réponse est que l’Inter n’est plus dans l’obligation de réaliser des plus-values, mais elle veut réaliser cela de son propre chef. Voici l’analyse effectuée par la revue “Ultimo Uomo“. Le Bilan Les deux derniers exercices du triennal interiste ont connu un déficit de 24,6 millions d’euros en 2017-2017 et 17,7 millions d’euros en 2017-2018. Si l’on considère qu’une fois retirés les coûts non pertinent pour le Fair-Play-Financier (tel que les impôts, l’investissement sur les jeunes, l’amortissement liés à tout ce qui affère aux actifs des joueurs) on atteint une somme d'environ 18 millions d’euros par ans de moyenne, l’Inter ne disposerait donc que d’un passif annuel de 6 millions d’euros pour la période 2016-2019. Pour s’assurer raisonnablement un avenir prometteur et avoir la certitude de ne plus devoir faire face à l’Uefa, l’Inter pourra se permettre de clôturer son bilan 2018-2019 avec un passif de maximum 40 millions d’euros, ce qui équivaudrait à un passif de 22 millions d’euros traduit sur base du système du Fair-Play-Financier susmentionné. Les Plus-Values En analysant les comptes de cette saison, l’objectif devrait être atteint sans se retrouver dans l’obligation de réaliser des gains en capitaux d’ici le 30 juin. Le bilan devrait être augmenté de 83,6 millions d’euros, et ce même si le club ne disposera plus des 51,2 millions de plus-values réalisées l’année dernière. La situation actuelle voit une Inter qui souhaite réaliser une plus-value de 30 à 40 millions d’euros, un objectif désiré et fixé par le Suning qui vient d’atteindre, pour la première fois, un véritable équilibre budgétaire. Il n’y a donc plus lieu de s’adapter aux paramètres de l’Uefa. Les Cas Godin et Conte L’ancien entraîneur de la Nazionale a signé un contrat de 11 millions d’euros net par saison. Cela équivaut à une somme de 17,2 millions d’euros brut pour l’année 2019-2020, si l’on prend en considération les bonus fiscaux consentis. Godin, de son côté, percevra 6,75 millions d’euros net, soit 10,6 millions d’euros brut. Retard de paiement Deux sponsors importants, Full Share et Lvmama, garantissaient aux caisses du club une rentrée de 10 millions d’euros par an. Ces derniers ont décidé d’interrompre leurs collaborations avec les Nerazzurri, à dater du 1 juillet 2019. Qui plus est, le club est actuellement mécontent du retard de paiement de ses partenaires asiatiques pour une somme totale avoisinant les 75 millions d’euros. En levant, 20 millions d’euros de la somme précitée et en y annexant les quelques plus-values réalisées sur la saison 2018-2019, les seuls revenus garantis proviennent de la qualification à la prochaine Ligue des Champions. La quatrième place interiste et sa position au classement de la décennie lui permettront de percevoir 35,5 millions d’euros. Il y aura lieu également de considérer les impacts sur les comptes à venir du recrutement d’Antonio Conte et des premières opérations du mercato. Aujourd'hui, l’Inter proposerait un bilan négatif de 78 millions d’euros pour la saison 2019-2020, soit le double du maximum autorisé comme marge de sécurité pour éviter de se retrouver au-delà du seuil de rentabilité autorisé par le Break-Even de l’UEFA 2018-2020. A quel type de mercato s’attendre Si, encore l’année dernière les plus-values étaient vitale pour mettre les comptes à jour, cette année, les comptes peuvent enfin être utilisé pour financer des achats. Cela explique donc la politique de recrutement actuel avec des joueurs aussi important que peuvent l’être Dzeko et Barella dont une partie des finances proviendra des ventes des jeunes Emmers et Vanheusden, voire d’autres joueurs qui ne sont plus considérés comme faisant partie du cœur du projet. La cerise sur le gâteau pourrait se nommer Romelu Lukaku ou Paolo Dybala. Pour acheter l’un de ces deux joueurs, il faudra vendre un ou deux joueurs de haut niveau. Les indications du club menant à la vente de Mauro Icardi trouve objectivement leurs sources dans le fait qu’il garantirait une plus-value importante, qu’il s’agisse d’un échange sec ou dans le cadre d’une vente pur et simple. Conclusion L’Inter peut respirer à nouveau et planifier une nouvelle courbe de croissance sur la base des saisons écoulées. Aucun sacrifice ne sera irrémédiable. Peu d’équipe, en Italie, peuvent se vanter de se retrouver dans une telle position. #SuningOut qu’ils disaient ? ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  12. Milan - Selon le quotidien espagnol Marca, de propriété du groupe Rcs, l’UEFA ne semble pas convaincu par le projet présenté par le Milan dans le cadre de la validation du Voluntary agreement et des dérogations y afférentes. D’après Marca, une réunion a eu lieu le 9 novembre dernier entre la Direction du Milan et le Club Financial Control Body (CFCB) de l’UEFA. A la Casa Milan, la base de ce projet reposait sur une confiance modérée sur les résultats de l’équipe, en raison du climat de transparence et au niveau du détail qui a permis d’effectuer cette comparaison. Ce plant très intense était de la compétence de sept commissaires et de l’Administrateur Délégué Marco Fassone, et il aurait dû porter sur une période de 4 années. Un plan qu’a expliqué Fassone aux petits actionnaires de Milan au cours de la dernière Assemblée générale, qui prévoit un budget équilibré pour 2020 et même un bénéfice à la fin de la saison 2020-2021. Aleksander Čeferin pas convaincu par le projet L’UEFA va prendre sa décision d’ici à la mi-décembre, mais selon Marca, le Club Financial Control Body va rendre un avis négatif sur le dossier présenté par les Rossoneri Deux alternatives se profilent : Le premier scénario est que l’UEFA décide de ne pas se prononcer sur l’accord de règlement proposé, en suspendant l’arrêt pour effectuer une vérification plus approfondie de certains paramètres. La seconde hypothèse est que Nyon ne croit pas au plan de retour durable du Milan et place le club en janvier-février 2018 à procéder à la signature d’un « règlement amiable » avec un plan de retour plus contraignant, avec des sanctions économiques et des restrictions sur le noyau, comme a pu le connaitre l’Inter et la Roma, dans les années précédents. Il reste une troisième hypothèse, peu probable, celle de sanctionner le club en le privant de compétition européenne. Yonghong Li dans l’œil du cyclone Le New York Times sème le doute sur le Milan Ac... En particulier le président Li Yonghong étiqueté comme un "mystérieux propriétaire" et qui disposerait de sombres revenus. Le quotidien a sérieusement mis en doute les propriétés de l’actif financier principal déclarées par les chinois, un réservoir de phosphore qui apparemment appartient à une société qui a changé à 4 reprises de propriétaire en 2 ans, et à deux reprises, ce changement a été gratuit. Quand l’homme d’affaires chinois Li Yonghong a acheté le Milan, presque personne n’avait entendu parler de lui en Italie. Il en va de même pour la Chine. Tel est le titre de l’éloquent article établis par le New York Time qui dévoile le successeur de Berlusconi, comme un personnage plutôt obscur qui avait agité plus d’une préoccupation au cours de la longue transaction qui a conduit au rachat de l’Ac Milan. Le New York Times écrit que l’exploitation minière Empire décrit par Li Yonghong était à peine connu dans l’industrie minière. L’enquête du journal de la grosse pomme s’est tenue conjointement aux États-Unis et en Chine. Les Membres du journal se sont en présent siège de la Société chinoise où ils ont dû faire face à un bâtiment fermé, dans un état de trouble : Il y avait notamment dans une pièce une désagréable odeur similaire à une centaine de déchets Afin de renforcer les doutes sur la transparence de la société, ils se sont tournés vers les autres acteurs qui ont été présents lors du rachat. Li Shang Bing, un représentant légal de la gestion d’actifs de Sino-Europe (une des sociétés qui ont a contribué à reprendre le Milan) et qui dispose de de parts dans le club AC Milan, a déclaré qu’il ne sait pas Li Yonghong. Cependant, Li Shang bing devrait connaitre Li, vu que le représentant légal de Sino-Europe a participé à une procédure judiciaire dans laquelle sont visées l’actuel président de Milan et le Guangdong Lion (Une compagnie qui possède une mine de phosphore;) Motus et bouche cousue pour Rothschild, conseiller de Li et donc du Président du Milan AC, qui refuse de s’exprimer à ce sujet Le New York Times a enfin mis en évidence les troubles de la famille de Li, avec le père et son frère arrêté pour fraude. Le Milan ne se réplique pas mais a tenu a souligné un défaut sur la photo en lien avec l’article sur la version en ligne, photo qui représente le directeur exécutif David Han Li, et non le Président Milan AC. ®Antony Gilles - Internazionale.fr
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