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Selon la Gazzetta dello Sport, Paramount+ pourrait devenir le sponsor principal de l'Inter. Il y a de grandes chances que Paramount+ devienne le sponsor principal de l'Inter et occupe une place définitive sur le devant du maillot des Nerazzurri et ce, pour les trois prochaines années. La Gazzetta dello Sport le soutient et relance avec force la candidature du géant américain du streaming qui figurait déjà sur le kit lors du dernier match de championnat et en finale de Ligue des champions. L'Inter espérerait conclure un accord de 20 millions d'euros par an minimum. Accord à conclure dans un court laps de temps car l'intention est d'atteindre un équilibre dans les prochains jours afin que Jeudi, jour où l'entraînement doit commencer à Appiano, il y aura la présentation du nouveau maillot avec le sponsor définitif. Traduction alex_j via FCInterNews.
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Une clause libératoire de 95 millions d’euros !
Victor "Antony" Newman a posté un article dans Mercato
Si l’Inter a officialisé l’arrivée de Marcus Thuram, la Gazzetta Dello Sport nous permet d’en apprendre plus sur le contrat de la jeune pépite française Le salaire versé au joueur est important : 6 millions d'euros nets par saison soit 7,7 millions bruts grâce aux avantages du Décret Croissance. À ce chiffre s'ajoutent les primes, dont certaines sont faciles à obtenir car elles se déclencheront à partir d'un certain nombre d'apparitions, du nombre de buts marqués. En résumé, pour l'Inter, Thuram n'est pas un achat destiné au trading de joueurs ou pour régler les comptes dans le futur en générant une plus-value presque totale. C'est l'attaquant d'aujourd'hui et de demain" et la clause libératoire de 95 millions reste une somme pour ses futurs admirateurs et "non une étiquette d'un produit à vendre. ®Antony Gilles – Internazionale.fr- 5 commentaires
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Selon Calcio&Finanza, le cout historique d’Edin Dzeko qui est arrivé à l’Inter en provenance de la Roma lors de la saison 2021/2022 équivaut à 2,779 millions d’euros réparti sur les deux années disputées: Cela veut dire que le taux d’amortissement, pour la saison se terminant au 30 juin 2023, s’élevait à 1,39 millions d’euros. A cette somme, il faut déterminer le poids de Dzeko sur les comptes de l’Inter: Il faut donc ajouter le salaire brut du joueur, soit 9,25 millions d’euros ce qui équivaut à un salaire net de 5 millions d’euros. Edin Dzeko coutait donc 10,64 millions d’euros par saison aux Nerazzurri. Et c’est cette somme qui sera économisée par l’Inter pour la saison à venir. Une somme qui pourrait éventuellement être investie dans le recrutement d’un nouvel attaquant qui viendra épauler Lautaro Martinez dans l’attente de savoir ce qu’il se passera avec Romelu Lukaku. ®Antony Gilles – Internazionale.fr
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Les poursuites judiciaires contre le président de l'Inter, Steven Zhang, se poursuivent dans le procès de plus de 300 millions d'euros impayés contre China Construction Bank (Asia) Corporation (CCBA). Ces derniers mois, comme le rapporte Calcio e Finanza, les créanciers avaient ouvert un procès aux États-Unis pour tenter d'obtenir des informations, entre autres, sur la relation entre l'Inter et Zhang auprès de grandes institutions financières occidentales telles que Goldman Sachs et Oaktree Capital Management. En conséquence, la CCBA avait demandé au tribunal américain l'autorisation de signifier des assignations à comparaître à plusieurs institutions financières ayant des bureaux à New York, notamment Goldman Sachs, Oaktree Capital Management et Bain Capital. La succursale de la banque publique chinoise cherche à entrer en contact avec ces institutions financières car elle pense qu'elles pourraient avoir des informations sur l'Inter et ses relations avec Steven Zhang et le groupe Suning. Une action en justice qui s'achemine vers sa conclusion. Ces derniers jours, comme indiqué dans les documents consultés par Calcio e Finanza, le tribunal du district sud de New York a rejeté l'appel présenté par Zhang et ses avocats afin de rejeter complètement la demande d'accès aux documents. Cependant, dans la sentence, la même Cour souligne que "la demande des intervenants (Zhang et Suning, ndlr) d'annuler totalement l'assignation est infondée", tout en indiquant toutefois qu'elle convient "avec les intervenants, que l'assignation en tribunal est excessif". Entre autres questions, CCBA a demandé l'accès à des documents à partir du 1er janvier 2015 et portant sur des situations générales, ainsi que des négociations potentielles pour la vente de l'Inter et toute la documentation liée à l'opération de financement du club Nerazzurri. La liste définitive des documents à remettre a été portée à la connaissance des parties en visioconférence ces derniers jours et devrait être rendue public après la décision du juge dans les prochaines semaines. La demande d'accès aux documents est effectuée par les créanciers pour utiliser les documents dans les autres procès qu'ils mènent entre Milan et Hong Kong. Il s'agit de trois procédures différentes : elles débuteront le 10 juillet par une nouvelle audience à Hong Kong qui portera sur ce qu'on appelle "l'examen du débiteur". En particulier, selon les documents déposés aux États-Unis par les créanciers, Zhang sera « interrogé oralement pour lui demander s'il a des dettes, combien de dettes lui sont dues et de quels autres actifs ou moyens il dispose pour satisfaire à la peine" avec laquelle il a été obligé de rembourser plus de 300 millions de dettes. En outre, Zhang devra également "produire tout livre ou document en sa possession ou en son pouvoir" concernant ses actifs et ses passifs. Nouvelle audience rendue nécessaire par le fait que ni Steven Zhang ni le cabinet d'avocats retenu ne s'étaient présentés le 24 avril, date de la dernière audience prévue. Le 12 juillet, en revanche, ce sera au tour du tribunal de Milan, qui a fixé la première audience à cette date après la demande des institutions bancaires de procéder à l'exécution de la peine, avec la demande de reconnaissance de la peine également en Italie. Si la peine de Hong Kong était également reconnue en Italie, les établissements bancaires chinois auraient le feu vert pour mettre la main sur tout actif présent dans le pays pouvant remonter jusqu'au président de l'Inter. Par ailleurs, les créanciers ne renoncent pas au procès intenté au tribunal civil qui demande l'annulation du procès-verbal du conseil d'administration du club Nerazzurri qui établit que Zhang ne reçoit aucune indemnité pour sa fonction de président. Dans cette affaire, la première audience a eu lieu en avril dernier et pour la nomination ultérieure, la date du 12 septembre a été indiquée par la juge Alima Zana "afin de discuter de l'éventuelle admission de moyens d'enquête". Un vrai bourbier en coulisse ...
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L'Inter vendue à Zilliacus pour 1,2 milliards ?
Damien a posté un article dans F.C. Internazionale Milano
Le directeur éditorial de RadioRadioLoSport Ilario Di Giovambattista (photo) lâche une bombe sur l'avenir de l'Inter avec un simple tweet : "L'Inter passe au milliardaire finlandais Thomas Zilliacus. Selon nos informations, l'accord de cession d'actions aurait été conclu pour un montant total de 1,2 milliard d'euros. L'annonce serait officialisée après la finale de la Ligue des champions". Qui est Zilliacus ? Ancien dirigeant de Nokia, Zilliacus s'est lancé dans une longue carrière dans les affaires. Après avoir obtenu une maîtrise en économie à la Hanken Business School d'Helsinki, il est élu au conseil municipal à l'âge de 25 ans. Un peu plus tard, il est embauché par Nokia en tant que responsable du marketing (mondial). Un travail qui l'obligera à déménager à Singapour. Dans les années 1990, Zilliacus décide de suivre sa propre voie et fonde Asia-Pacific Strategic Alliances Group et Mobile FutureWorks, deux sociétés ayant des participations dans de nombreux secteurs : immobilier, sports, télécommunications, etc. Ensemble, les deux groupes gèrent plus de 100 entreprises différentes, avec une valeur combinée de plus de 3 milliards de dollars. -
Paramount+ nouveau sponsor de l'Inter
Victor "Antony" Newman a posté un article dans F.C. Internazionale Milano
A travers un communiqué sur son site officiel, l'Inter a présente son nouveau main sponsor : Paramount+, le service de streaming premium lancé en Italie il y a moins d'un an. Paramount+ sera donc présent à l'occasion de la rencontre opposant l'Inter au Torino dans le cadre de la dernière journée de Serie A, mais il sera également présent à l'occasion de la Finale de la Ligue des Champions contre Manchester City. "Cet accord représente un partenariat historique entre deux marques qui cherchent de plus en plus à atteindre un marché mondial." Paramount + va payer débourser 10 millions d'euros à l'Inter pour être le Main Sponsor de l'Inter pour ces deux derniers matchs avant de devenir le Rétro-Sponsor de l'Inter pour la saison 2023/2024. ®Antony Gilles - Internazionale.fr- 20 commentaires
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L'Inter vaut le milliard d'euros selon Forbes
Victor "Antony" Newman a posté un article dans F.C. Internazionale Milano
En effet, le prestigieux magazine Forbes a dévoilé sa liste des clubs les plus riches du Globe. Si, bien sûr, la Premier League domine ce classement, il y a lieu de se pencher sur la belle performance Nerazzurra, malgré un contexte d'auto-financement ! Le Real Madrid est le club le plus cher du monde, lui qui a connu une croissance de 19% pour culminer à une valeur de 6 milliards de dollars. Et si tous les Grands Clubs prennent de la valeur, la seule qui a connue une décroissance se nomme la Juventus pour ne pas changer, elle qui paye au prix fort ses affaires internes pour quitter le Top 10 et un bond négatif de 12%. La bonne nouvelle italienne revient à la ville Milanaise qui voit le Milan pointer à la 14ème place immédiatement suivi de l'Inter, 16ème, pour une croissance positive de 3%. Le classement des 30 clubs de foot les plus chers au monde en 2023 selon Forbes : 1. Real Madrid : 6,07 milliards de dollars 2. Manchester United : 6 Mrds $ 3. FC Barcelone : 5,51 Mrds $ 4. Liverpool : 5,29 Mrds $ 5. Manchester City : 4,99 Mrds $ 6. Bayern Munich : 4,86 Mrds $ 7. PSG : 4,21 Mrds $ 8. Chelsea : 3,21 Mrds $ 9. Tottenham : 2,8 Mrds $ 10. Arsenal : 2,26 Mrds $ 11. Juventus : 2,16 Mrds $ 12. Borussia Dortmund : 1,93 Mrds $ 13. Atletico Madrid : 1,54 Mrds $ 14. AC Milan : 1,4 Mrds $ 15. West Ham : 1,08 Mrd $ 16. Inter : 1,03 Mrd $ 17. Los Angeles FC : 1 Mrd $ 18. Los Angeles Galaxy : 925 M$ 19. Atlanta United : 850 M$ 20. Crystal Palace : 806 M$ 21. New York City : 800 M$ 22. Newcastle : 794 M$ 23. Leicester : 781 M$ 24. Aston Villa : 756 M$ 25. Everton : 744 M$ 26. Olympique Lyonnais : 734 M$ 27. Roma : 724 M$ 28. DC United : 700 M$ 29. Toronto FC : 690 M$ 30 Austin FC : 680 M$ A noter également la belle 27ème place de la Roma avec une croissance de 11% pour une valeur totale de 724 millions de dollars. Le bon le plus impressionnant est à mettre à l'actif de Newcastle avec une croissance de 51% pour déjà pointer à la 22ème position pour une valeur de 794 millions de dollars. ®Antony Gilles - Internazionale.fr- 3 commentaires
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De l'oxygène pour les caisses de l'Inter : 41 millions d'euros d'Oaktree
alex_j a posté un article dans F.C. Internazionale Milano
Un extrait du document rapporté par Calcio e Finanza indique que le club recevra 41 millions d'euros supplémentaires. Explications. Après les 10 millions déjà récoltés en février, 41 millions d'euros supplémentaires arriveront dans les caisses de l'Inter, entre mars et avril, en provenance du Suning via le prêt du fonds californien Oaktree. C'est ce qu'il ressort des comptes au 31 mars 2023 d'Inter Média et Communication, la société dans laquelle convergent les revenus médias et sponsors de l'Inter Milan. L'Inter a reçu une série de prêts d'actionnaires ces dernières années. Le montant résiduel au 31 mars 2023 est de 86 millions d'euros. Ils sont tous relatifs à des prêts d'actionnaires décaissés au cours l'exercice clos le 30 juin 2021 dont 60 millions d'euros au cours de la seconde partie de l'exercice et 26 millions d'euros au troisième trimestre de l'année en cours (10 millions d'euros en février 2023 et 16 millions d'euros en mars 2023). A ceux-ci s'ajoutent des intérêts courus de 25 millions d'euros, dont 9 millions d'euros relatifs aux prêts d'actionnaires et 16 millions d'euros relatifs aux prêts d'actionnaires décaissés les années précédentes par Great Horizon. Ces derniers représentent les intérêts actuellement non abandonnés sur les prêts d'actionnaires qui ont été entièrement convertis en réserve de capital au cours des années précédentes. Inter Média et Communication soulignent également que le 17 avril 2023 un nouveau prêt d'actionnaire de 25 millions d'euros a été reçu de Grand Tower. Traduction alex_j via FCInterNews.- 10 commentaires
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Ernesto Paolillo : "L'avenir de l'Inter entre les mains d'Oaktree"
alex_j a posté un article dans F.C. Internazionale Milano
La chaîne Youtube de Gianluca Rossi accueille Ernesto Paolillo qui évoque la situation financière actuelle du club ainsi que ses analyses. Attendez-vous des nouvelles avant Mai 2024 ? "Non, au vu de l'actualité absolument pas. Je ne sais pas s'il y a de vraies négociations mais je fais le calcul facilement, en tant qu'homme de la finance. La dette de l'Inter est énorme, elle est vraiment très grande. Et ce n'est pas soutenable en payant une dette à des taux d'intérêt comme ceux-là parce que cela revient à ajouter déficit sur déficit. Couvrir ce déficit et cette dette devient extrêmement coûteux. Je suis convaincu que si Steven Zhang ne peut pas exporter de capitaux, comme il ressort des dispositions politiques actuelles, il ne pourra donc pas couvrir la dette avec d'autres ressources, et il ne pourra rien faire d'autre que renoncer au gage qu'il a donné à Oaktree. Il devra donc transférer la société au fonds en échange pour la dette. À ce stade, tous les scénarios futurs seraient entre les mains d'Oaktree." Pensez-vous qu'il est possible que les choses se fassent en secret ? "Il faut dire que l'Inter n'est pas une société cotée, elle n'a donc pas l'obligation de notifier le début d'une négociation. La seule obligation est de déclarer les opérations terminées et non en cours. Or, si celles-ci existaient, elles seraient vu par de nombreux signaux. Par exemple, par ceux qui font ou ont fait une due diligence pour lire et analyser les papiers après avoir effectué une offre. Ces signaux ne me semblent pas exister." Croyez-vous en un consortium d'entrepreneurs ou l'Inter va-t-elle se retrouver avec un fonds ? "Je ne crois absolument pas au consortium. Je ne pense pas parce qu'au final celui qui doit prendre le risque doit en être un. Aujourd'hui, il est impossible de penser à un club de Serie A entre les mains d'un consortium. Cela me fait rire en pensant au choix de l'entraîneur ou des joueurs à acheter, quand c'est décidé par un consortium on va aux réunions du bar. Et ce n'est pas professionnel pour une équipe de cette taille. Je ne vois même pas un entrepreneur italien, parce que de nos jours, avec le contexte économique que nous avons, les entrepreneurs ne prennent pas le risque de gérer une équipe de football traditionnelle comme l'Inter qui doit concourir pour de grands objectifs et donc faire face à de gros coûts. Je ne crois qu'au professionnalisme d'un fonds qui a le du temps et du capital pour le faire." Mais si vous étiez à la tête d'un fonds, iriez-vous parler à Zhang qui demande 1,2 milliard ou attendriez-vous jusqu'en 2024 ? "J'attendrais Oaktree et le bon moment économique car les autres offres ne seront pas acceptées." Traduction alex_j via FCInterNews.- 2 commentaires
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Billets pour la finale de l'UEFA CL : procédure et prix
alex_j a posté un article dans Coupes d'Europe
L'Inter est en finale de la Ligue des Champions après sa double victoire dans le derby face à Milan. Le dernier acte de la plus haute compétition européenne est prévu le 10 Juin à Istanbul. Déjà avant les deux demi-finales, l'UEFA avait lancé la vente des billets qui s'est terminée le 28 Avril à 14 heures. Voici les détails de la procédure, rapportés par calcioefinanza.it. Comme d'habitude, la majorité des billets ont été attribués aux fans des équipes participantes et au grand public. Les billets ne seront pas vendus selon le principe du "premier arrivé, premier servi " mais par le biais d'une loterie qui aura lieu à la fin de la période de billetterie. Dans le portail de billetterie, les candidats peuvent choisir s'ils veulent participer au tirage au sort ou seulement si leur équipe se qualifie. Pour le tirage au sort, la part des billets sera répartie à parts égales entre ces deux groupes de candidats, en tenant compte du nombre de candidatures reçues au sein de chaque groupe. La finale de l'UEFA Champions League 2023 se jouera au stade olympique Atatürk d'Istanbul, en Turquie, le Samedi 10 Juin à 21h00 (22h00 heure locale). Un total de 47 200 des 72 000 billets seront disponibles à l'achat pour les fans et le grand public. Les deux équipes qui atteindront la finale recevront chacune 20 000 billets, les billets restants étant mis en vente. Les candidats extraits seront informés par e-mail et pourront acheter jusqu'à deux billets dans la catégorie de prix attribuée. Le processus de vente et d'attribution des billets réservés aux supporters des équipes finalistes est géré par les clubs concernés. Les billets restants vont à la structure organisationnelle locale, à l'UEFA, aux associations nationales membres de l'UEFA, aux partenaires commerciaux et aux diffuseurs de télévision. Les prix des billets pour le grand public sont : Catégorie 4 : 70 euros Catégorie 3 : 180 euros Catégorie 2 : 490 euros Catégorie 1 : 690 euros Les billets réservés aux spectateurs en situation de handicap coûtent 70 euros; tous les billets ont le prix de la catégorie 4 et donnent droit à un billet pour l'accompagnateur. Traduction alex_j via Calcio & Finanza.- 8 commentaires
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100 patates pour l'Inter en Ligue des Champions
Victor "Antony" Newman a posté un article dans F.C. Internazionale Milano
En effet, les Nerazzurri, en se qualifiant pour la Finale de la Ligue des Champions ont déjà engrangé plus de 98 millions d'euros pour la performance historique réalisée tout au long de cette saison. Si l'Inter a ajouté la manière pour rejoindre Istanbul, en éliminant son éternel rival, l'Ac Milan dans une manche aller-retour sans Histoire vu l'écart de niveau entre les deux écuries, combien va percevoir l’Inter ? En accédant à la Finale à Istanbul, les Nerazzurri approchent les 100 millions de revenus de l'UEFA, sans compter le poids de la recette de la billetterie. À ce jour, les Nerazzurri ont déjà gagné plus de 98 millions d'euros pour leur performance saisonnière en Ligue des Champions, en ce y compris les primes de participation, le classement historique, le Market Pool et les performances réalisées jusqu'à présent sur le terrain. Les revenus s'élèvent à ce jour à plus de 82 millions d'euros, mais la qualification pour le dernier acte rapporte également 15,5 millions d'euros au club estampillés Suning. À cette somme déjà coquette, il y aura lieu d'ajouter également une nouvelle part plus importante en provenance du Market Pool. En cas de Victoire Finale: Voir Lautaro soulever la Coupe aux Grandes Oreilles rapportera 4,5 millions d'euros supplémentaires! ®Antony Gilles - Internazionale.fr- 5 commentaires
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Inter et Milan : 130 millions de recettes déjà atteintes en C1
alex_j a posté un article dans Coupes d'Europe
Le Corriere dello Sport dévoile aujourd'hui tous les chiffres récoltés jusqu'à présent par l'Inter et Milan en Ligue des Champions. Steven Zhang et Gerry Cardinale sourient à l'approche du match retour de l'Euroderby. Le résultat du match aller n'y est pour rien même s'il voit les Nerazzurri mener 2-0. En effet, le Corriere dello Sport dévoile aujourd'hui les chiffres récoltés jusqu'à présent par l'Inter et Milan via la Ligue des champions. Des chiffres totalement inattendus en début de saison qui peuvent encore augmenter en cas de finale à Istanbul. L'entrée à la finale vaut un autre bonus de 15,5 millions. Entre les prix de l'UEFA et l'argent du stade, les deux clubs milanais ont obtenu environ 125 à 130 millions chacun. Depuis des mois, on entend dire que la qualification pour la Ligue des champions par le biais du championnat a été déterminante pour régler les bilans et sorts d'Inzaghi et Pioli. Les deux entraîneurs, atteignant la demi-finale, ont déjà fait gagner aux clubs environ trois fois l'argent garanti avec l'entrée dans les groupes. Les comptes sont bientôt faits. La participation initiale s'élevait à 15,6 millions auxquels il faut ajouter les primes de résultats dans le groupe (9,3 chacun avec 3 victoires et 1 nul), le lot d'entrée en huitièmes de finale (9,6 millions), les quarts de finale (10,6) et en les demi-finales (12,5). Il faut ajouter le quota minimum du market pool (environ 12 millions pour l'Inter et 14 pour Milan, à recalculer à la fin du tournoi), le classement historique (15,9 pour l'Inter et 14,7 pour Milan), plus le stade. Ce soir, le Meazza établira un nouveau record dans l'histoire du football italien : environ 12 millions d'euros. L'Inter avait gagné 8,2 en accueillant Benfica et 6,7 en huitièmes de finale contre Porto. Dans le groupe (avec le Bayern, Barcelone et le Viktoria Plzen) les revenus n'ont pas été divulgués. Mais avec plus de 70 000 spectateurs pour deux matches sur trois, nous disons 12 millions avec des billets abordables. Le total, avec les prix, porte le chiffre total à environ 125,5 millions. L'AC Milan a communiqué les recettes suivantes avec le Dinamo Zagreb (3 millions), Chelsea (6,8), Salzbourg (4,6), Tottenham (9,1), Naples (8,5) et Milan (10,4). Le total est de 42,6. En comptant les prix de l'UEFA, nous sommes à un revenu total d'environ 129 millions. Les fans des Rossoneri et des Nerazzurri ont contribué globalement à verser environ 80 millions dans les caisses des clubs. Traduction alex_j via FCInter1908.- 5 commentaires
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160 millions dans les poches !
Victor "Antony" Newman a posté un article dans F.C. Internazionale Milano
En effet, auteur d’une saison en demi-teinte en Serie A, L’Inter pourrait tout de même rafler la mise en empochant pas moins de 160 millions d’euros d’ici au 30 juin 2023. 110 Millions d’euros ont déjà été récolé entre les différents matchs de coupes, et ce y compris l’accession à la Super Coupe d’Italie dans le Royaume d’Arabie Saoudite la saison prochaine et la recette historique, à venir, de mardi prochain A cette modique somme, il y a lieu d’ajouter les 50 millions d’euros qui sont à percevoir pour une place dans le Top 4 italien. Comprenez, terminer dans le top 4 viendrait à compenser de la plus belle des manières la perte, en fin de contrat, du traitre qui se nomme Skriniar. Mais s’il est douloureux d’enregistrer une perte de genre, cette situation est également valide dans le sens inverse : André Onana, Matteo Darmian, Henrik Mkhitaryan, Hakan Çalhanoğlu et Edin Dzeko, cinq titulaire indiscutable de cette Inter sont tous arrivés à titre gratuit ! ®Antony Gilles – Internazionale.fr- 10 commentaires
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L'aventure d'Antonio Conte sur le banc de Tottenham semble toucher à sa fin après les derniers résultats décevants encaissés par les Spurs. L'entraîneur reviendra-t-il en Italie après son dernier intermède réussi sur le banc de l'Inter ? Comme le rappelle Calcio&Finanza, les clubs de Serie A pourraient profiter des avantages économiques de la loi des impatriés contenue dans le décret dit de croissance. Explications ! La règle, modifiée en 2019 pour inclure également les sportifs professionnels, offre des avantages fiscaux à ceux qui mettent leur résidence principale en Italie, les revenus produits en Italie ne pesant que 50% en termes fiscaux. L'accès au régime des travailleurs "impatriés" est soumis à trois conditions : avoir résidé à l'étranger au cours des deux périodes fiscales précédant le transfert vers l'Italie; l'obligation de rester en Italie pendant deux ans après le transfert de résidence; exercer l'activité principalement sur le territoire italien. Conte avait déjà exploité les avantages de son expérience à l'Inter (venant de Chelsea, ndlr). Toutefois, la disposition ne fait aucune référence à l'interdiction d'utiliser à nouveau l'avantage fiscal. Reste donc la question des "deux périodes fiscales" passées à l'étranger avant le retour en Italie. Pour être considéré comme résident à l'étranger, il suffit de produire des revenus pendant 183 jours hors d'Italie au cours d'une année civile. En ce sens, Conte a donc déménagé à Tottenham en novembre 2021: en 2021 il était donc considéré comme résident en Italie, alors qu'en 2022 il était en Angleterre. La question de 2023 demeure donc, et cela aussi en cas d'exonération en cas de séjour aux Spurs jusqu'à la fin du contrat, il suffirait de ne pas déplacer la résidence principale en Italie avant le 30 Juin prochain pour être considéré comme résident à l'étranger. De cette manière, Conte pourrait donc à nouveau profiter de la règle sur les immigrés, facilitant économiquement son retour en Serie A. Au cours des saisons 2019-2020 et 2020-2021, par exemple, il avait un salaire net de 11 et 12 millions d'euros brut. Grâce au Décret Croissance, le coût pour l'Inter était d'environ 14,4 et 15,7 millions, au lieu de 20,3 et 22,2 millions, avec une économie d'environ 12,4 millions d'euros sur deux saisons. Traduction alex_j via FCInterNews et Calcio e Finanza.
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Les chiffres derrière l'explosion post-match de Simone Inzaghi. L'Inter a tamponné son laissez-passer pour les quarts de la Champions et aujourd'hui Tuttosport a analysé les investissements réalisés par le club ces dernières années. Voici les comptes, de l'Inter de Conte à celle d'Inzaghi. "’Un Scudetto qui a causé des problèmes économiques.’ La déclaration d'Inzaghi depuis le ventre du Dragão a retenti fort, très fort. Une phrase étudiée et réfléchie par l'entraîneur, évidemment raisonnée en regardant combien l'Inter a investi depuis son arrivée sur le banc, à l'été 2021, et combien le club avait dépensé les deux années précédentes (2019-2021), celles avec Antonio Conte sur le banc. Une phrase correcte ?" "En regardant les coûts des joueurs dans les derniers bilans du club et le montant des différents salaires, oui. Et évidemment en considérant les investissements réalisés pour les achats uniquement, même si sur les deux périodes de deux ans, l'Inter a certainement vendu plus sous Inzaghi que sous Conte. Il faut rappeler que le COVID-19 a amené toutes les équipes et surtout l'Inter du Suning contrainte par les directives rigides du gouvernement chinois, à fermer les vannes et obliger ses dirigeants à s'orienter vers l'autofinancement." "Donc si, d'une part, la phrase d'Inzaghi de ces derniers mois ‘mon historique parle pour moi : là où j'entraîne, les revenus augmentent, les pertes sont divisées par deux et les trophées arrivent’ se reflètent dans les comptes de l'Inter. Cependant, il faut aussi souligner comment deux grosses ventes de Marotta et Ausilio (Lukaku (113 millions) et Hakimi (68) , ndlr) ont été faites à l'été 2021, donc après la conquête du Scudetto par Conte et au début de l'œuvre d'Inzaghi. Mais il est également vrai que Lukaku (76 millions) et Hakimi (43) eux-mêmes étaient arrivés pour Conte et Inzaghi ne les avait pas en place." "Revenant à la phrase initiale d'Inzaghi, voici les investissements entrants de l'Inter lors des deux directions techniques. Pour Conte, le club a dépensé environ 275 millions pour les joueurs de l'équipe A, auxquels il faut ajouter 35 millions supplémentaires pour les jeunes joueurs comme Brazao ou Agoume. Les principales dépenses, en plus des deux déjà citées (Lukaku et Hakimi), concernaient Barella (48,5), Eriksen (27) et Sensi (27), sans oublier les 21 millions pour Lazaro et Pinamonti. Les coups sûrs pour Inzaghi ont été Correa (32,6) et Gosens (26,7), ainsi que Dumfries (13,1), Asllani (14) et le prêt de Lukaku (8). Pour le reste, faibles dépenses (Dzeko 2,7), beaucoup d'éléments à zéro euro (Onana, Calhanoglu et Mkhitaryan plus Acerbi en prêt) et de nombreux départs pour alléger la masse salariale (Sanchez, Perisic, Vidal, Vecino, Ranocchia et Nainggolan)." Alors, quelle conclusion s’impose ? Traduction alex_j via FCInter1908.
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L'Inter a atteint les quarts de finale de la Ligue des champions après un match nul 0-0 à Porto. Un résultat positif et presque impensable en ce début de saison car une troisième place dans le groupe avec le Bayern et Barcelone et un reversement en Ligue Europa avait été budgété dans le budget des Nerazzurri. "Cette étape est de l'eau douce pure pour la propriété Nerazzurri", explique La Gazzetta dello Sport qui rapporte également les chiffres. "L'UEFA honorera le club avec un transfert de 10,6 millions d'euros comme prix d'accès aux quarts de finale. Propre, claire et désaltérante comme l'eau d'une oasis lors d'un voyage fascinant mais fatigant dans un désert. A cette somme s'ajouteront cependant aussi les maxi recettes de Giuseppe Meazza pour le prochain match européen, soit 6,7 millions ont été comptabilisés contre Porto malgré les prix abordables. Il est donc raisonnable de penser que les recettes seront encore plus élevées. Pour clore le tableau, en plus de quelques bonus des sponsors, il y a enfin l'augmentation de la part de marché de l'UEFA qui dépend en partie des matches disputés dans la compétition. A Do Dragao l'Inter en a remporté deux autres, ce qui amènera le chiffre total au-dessus du seuil des 20 millions au total." "Les 20 millions entrants changent aussi le scénario concernant le mercato. Cette somme ne finira pas dans un budget spécifique dédié à tel ou tel objectif. Il sera simplement une clé pour assouplir les limites que les propriétaires imposeront, de toute façon, à la gestion de la durabilité économique. Avant même d'éventuelles greffes, le bénéfice pourrait passer par les sorties, on avait parlé ces dernières semaines des sacrifices auxquels l'Inter aurait sans doute dû faire pour remplir les caisses. Une avant fin juin, une après. Avec ces millions la situation devient de plus en plus nuancée et il est possible qu'une seule vente "obligatoire" suffise, avec par exemple Dumfries et Brozovic comme ventes potentielles." Traduction alex_j via FCInter1908.
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Selon les informations de Calcio e Finanza qui a consulté les états financiers d'Inter Media and Communication, DigitalBits n'a pas versé un seul euro sur les 24 millions prévus pour le sponsoring du maillot de l'Inter pour la saison 2022-2023. De plus, la dernière tranche prévue dans le contrat n'a pas été payée. Ceci dit, les revenus de l'Inter provenant des sponsors et des droits TV ont augmenté au premier semestre Explications. "Digitalbits n'a pas payé la redevance de base de 24 millions d'euros, dont la première tranche de 8 millions d'euros émise en Juin 2022, la seconde de 8 millions d'euros émise en Octobre 2022 et la dernière de 8 millions d'euros émise en Février 2023, et n'a versé aucune prime à ce jour d'un montant total de 1,25 million d'euros, dont 1 million d'euros en Octobre 2022 et 0,25 million d'euros en Janvier 2023. Par ailleurs, le partenaire n'a pas encore présenté le projet, contractuellement envisagé, relatif à l'intégration de l'écosystème numérique du Groupe qui vient d'être renouvelé par notre club." "Nous comprenons que la crise de l'industrie de la crypto-monnaie, qui s'est aggravée au cours du deuxième trimestre de l'année 2022, a considérablement affecté la capacité du client à respecter ses obligations. Nous nous réservons toutes actions et recours pour la défense de nos intérêts et droits contractuels et, dans l'intervalle, nous avons supprimé les logos partenaires de notre site internet, des panneaux d'affichage et des maillots des équipes jeunes et féminines, en maintenant, pour le moment, la présence du sponsor sur le maillot de l'équipe première." "Ceci dit, le chiffre d'affaires ajusté a augmenté de 3,4 millions d'euros, ou de 2,6 %, pour arriver à 133,6 millions d'euros pour le semestre clos le 31 Décembre 2022, contre 130,2 millions d'euros pour le semestre clos le 31 Décembre 2021. La croissance a notamment été tirée par une hausse de 13,6 millions des revenus de la Serie A liée aux différents délais de paiement des échéances des droits TV de la saison, avec une baisse de 6,8 millions des revenus des sponsors. En particulier, les revenus des sponsors maillots sont passés de 12,3 millions au premier semestre 2021/2022 à seulement 2,5 millions au 31 Décembre 2022, lié uniquement à l'accord avec Lenovo. Parmi les autres sponsors, Nike a donné 6,25 millions d'euros au premier semestre, tandis que les autres sponsors progressent de 5,6 millions (de 6,7 à 12,4 millions) notamment grâce à l'accord avec Konami. Enfin, les revenus asiatiques sont en baisse, s'élevant à seulement 2 millions d'euros (4,6 au 31 Décembre 2021) après la clôture de l'accord avec Suning pour les maillots d'entraînement et les droits de dénomination le 30 Juin 2022." Traduction alex_j via FCInterNews.
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Alessandro Lucci : "Le football moderne évolue vite ainsi que le métier d'agent"
alex_j a posté un article dans Interviews
Au cours de la dernière décennie, l'activité de représentation des joueurs dans le football mondial a connu une croissance remarquable : rien qu'en 2022, la FIFA estime que les clubs de football ont déboursé 623 millions de dollars en commissions d'agent, soit une augmentation de 24 % par rapport à l'année précédente. En conséquence, les agents de football ont assumé de nouvelles responsabilités qui vont au-delà de la simple négociation du contrat d'un joueur. Pour comprendre cette évolution et ce que cela implique, l'agent sportif Alessandro Lucci s'est livré à Forbes. Extraits. "Quand j'ai géré mon premier contrat en 1999, c'était une époque différente, tout évoluait à un rythme beaucoup plus lent. Le football évolue à un rythme incessant et, par conséquent, notre rôle aussi. C'est pourquoi aujourd'hui on parle d'agence et non plus d'agent. Par conséquent, la manière dont une négociation est menée change également. J'ai besoin de mener les négociations en personne car cela me permet de générer cette énergie, ce champ magnétique qui devient oppressant lors d'une négociation. Ces éléments ne s'apprécient pas quand on négocie à distance. Les futurs scénarios des mercatos ? La définition et l'immédiateté avec lesquelles un message est envoyé ont complètement changé notre rythme de vie, c'est pourquoi la figure dominante sera la communication. Je peux imaginer que dans cinq ans, la communication seule vous vendra des joueurs." Sa World Soccer Agency qui gère actuellement 39 clients, dont Dejan Kulusevski de Tottenham, Leonardo Bonucci de la Juventus et Edin Dzeko de l'Inter, vaut 283 millions de dollars sur le marché, l'un des plus élevés d'Italie. "Maintenant, pour rester compétitif dans ce monde rapide qu'est le monde sportif moderne, les agents ont dû élargir leurs services, devenant une figure de point de service qui gère pratiquement tous les aspects de la vie d'un client et pas seulement le contrat de travail. Aujourd'hui, leurs fonctions s'étendent au-delà du fameux moment où un client est photographié pour la signature d'un nouvel accord. Nos services comprennent la location de maisons ou de meubles, la location d'un charter privé pour atteindre toutes sortes de destinations, la gestion de la communication sur les réseaux sociaux et l'assistance dans les domaines financier et juridique." Traduction alex_j via Forbes.-
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Alors que l'Inter n'a toujours pas reçu les paiements de DigitalBits, le club de la capitale romaine n'a actuellement aucun problème. Calcio e Finanza nous explique pourquoi. Dimanche prochain, avant le match Roma-Vérone, l'As Roma Business Club Crypto Summit aura lieu au Stadio Olimpico. Une rencontre dont figurera Daniele Mensi, directeur général de DigitalBits, sponsor maillot du club depuis l'été 2021. Il n'y a actuellement aucun problème concernant les paiements entre la marque de crypto-monnaie et la Roma, contrairement à ce qui se passe avec nous. DigitalBits est notre sponsor principal depuis Juillet 2022 et notre club n'a encore reçu aucun paiement de la société. En effet, il nous manque 17,6 millions d'impayés par DigitalBits qui, après avoir payé 5,1 millions pour la saison 2021-2022, n'a pas payé les 1,6 million de bonus ainsi que les deux premiers versements de la nouvelle saison, pour un montant de 16 millions. Ceci a conduit à retirer DigitalBits des LED sur le bord du terrain, du contenu numérique, sur le site Web ainsi que sur les maillots de l'équipe féminine. Ces derniers mois, beaucoup se sont demandé quelles sont les différences entre la Roma et l'Inter ? Pourquoi les Giallorossi n'ont eu aucun problème jusqu'à présent, à tel point qu'ils ont invité Mensi comme conférencier à l'événement susmentionné contrairement aux Nerazzurri ? Tout d'abord, l'une des réponses résiderait dans les chiffres : le club Giallorossi a signé un contrat d'un montant total de 35 millions pour la période de trois ans allant de 2021-2022 à 2023-2024, tandis que l'Inter en tant que sponsor principal a un contrat pour 80 millions pour les saisons 2022-2023 à 2024-2025. Par conséquent, l'engagement avec notre club est beaucoup plus lourd à porter et ce, amplifier par les difficultés de l'ensemble du secteur de la crypto-monnaie ces derniers mois. Pas seulement cela, cependant. Comme l'a appris Calcio e Finanza, une autre grande différence est liée aux délais de paiement. En effet, le contrat entre Roma et DigitalBits prévoit un montant à la hausse avec une dernière étape particulièrement élevée liée à la saison 2023-2024: on commence avec 6 millions au total lors de la première saison pendant que la dernière année aura des valeurs beaucoup plus élevées; forte différence. L'accord entre l'Inter et la marque de crypto prévoit une hausse mais de manière moindre, on parle d'un contrat de trois ans de 23, 27 et 30 millions d'euros respectivement. Afin d'éviter d'éventuels problèmes durant la dernière année du contrat comme c'est le cas avec l'Inter mais aussi l'Atletico Madrid, voir après, la direction de Roma, conformément aux bonnes pratiques de gestion, regarde déjà autour d'elle pour ne pas se trouver prise au dépourvue si le choix serait d'interrompre l'accord avec DigitalBits. Un nom comme remplaçant possible serait Toyota. Comme indiqué par Mundo Deportivo, le sponsor du maillot WhaleFin a décidé de mettre fin au partenariat avec l'Atletico et disparaîtra du maillot; coup de massue. Rappelons que WhaleFin est la plate-forme la plus importante d'Amber Group, une entreprise de classe mondiale visant à offrir des outils innovants et de niveau institutionnel aux investisseurs privés dans l'achat et la vente de crypto-monnaies. Le sponsoring qui liait WhaleFin à l'Atletico avait une durée de cinq ans, pour une contrepartie de 40 millions d'euros par saison. L'Atletico a encaissé la première rente mais WhaleFin n'a pas l'intention de poursuivre l'aventure. Ou plutôt, il ne peut pas car on estime que le marché de la crypto-monnaie s'est effondré de 70% ces derniers mois. Cela a conduit l'entreprise à prendre la décision de ne pas continuer à payer. Pour résilier le contrat, WhaleFin s'accroche à une clause qui, de l'avis de l'entreprise, lui permettait de le faire en cas de baisse du marché, comme cela se produit actuellement, même si l'Atletico évalue cette possibilité. Il est pas exclu que le club procède à une action en justice. En tout cas, l'Atletico Madrid ne perd pas de temps et recherche déjà un sponsor de maillot pour remplacer WhaleFin à partir de la saison 2023-2024. Traduction alex_j via Calcio & Finanza.
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Que vaut une qualification en quarts de finale de la Champions ?
alex_j a posté un article dans Coupes d'Europe
Les revenus pour les quarts de finale de la Champions sont révélés par Calcio e Finanza. L'Inter pourrait récupérer environ 68 millions d'euros. Comme on le sait, le club a déjà encaissé les 15,64 M€ de primes de participation, 15,93 M€ de revenus du classement historique, 6 M€ pour la 2e place de Serie A et 4,76 M€ de pool de marché. A cela s'ajoute 9,33 M€ de bonus de réussite (résultats dans la phase de pool) et 9,6 M€ pour l'accession en huitièmes de finale. En enlevant les 4 M€ d'amende pour le Fair Play Financier, l'Inter a, pour l'instant, 58 M€ dans la caisse. Une accession en quart rajouterait 10 M€ portant à 68 M€ les gains liés à la Champs. Traduction alex_j via Calcio e Finanza.- 3 commentaires
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Beppe Marotta a pris la parole lors de la présentation du nouveau livre de Marco Bellinazzo, "Les nouvelles guerres du football". Parmi les sujets abordés, la possibilité de trouver de nouveaux formats au niveau européen. "La Super League a pris un départ embryonnaire, plusieurs équipes de Premier League se retirant immédiatement. Ce n'est rien d'autre qu'un cri d'alarme. Aujourd'hui avec trois entreprises restantes avec des concepts clairs : la recherche de la durabilité, avant tout, mais aussi de la compétitivité. Cette Super League est née dans un modèle européen où à part la Premier League tous sont en difficulté. L'exception notable est le modèle allemand qui a des règles très particulières en matière de propriété : il y a une union forte entre la population et les clubs de football. Ce sont des modèles qui tiennent encore, alors que l'Italie, l'Espagne et la France sont en grande difficulté. Tout tourne autour du spectacle : s'il est pauvre, vous n'allez pas le voir, c'est aussi vrai dans le football qu'au cinéma ou au théâtre. Vous payez le ticket s'il y a une implication affective et émotive : la foi en l'équipe est un dogme, le vrai fan vous suit même si vous allez en C, mais la plupart des fans sont des fans de deuxième niveau, c'est-à-dire ceux qui veulent participer au spectacle. Nous devons rechercher la durabilité et un modèle d'organisation dans lequel il peut également y avoir des investissements étrangers, ce qui est nécessaire. Mais si les fonds arrivent c'est qu'ils rapportent du cash : ça veut dire qu'on n'en a pas aujourd'hui." "Il faut se souvenir de ce qu'est l'équipe de football. C'est une entreprise privée d'utilité publique. Aucun client fait pression sur les fabriques de bouteilles d'eau ou de biscuits. Dans le football, nous sommes soumis à des procès tous les dimanches. Et ils conduisent à deux situations : au fil des années, dans les années 1980 et 1990, de nombreuses propriétés sont tombées faute de pouvoir résister à la pression des fans et ont vendu une grande partie de leurs actifs pour suivre le rythme. Aujourd'hui, si nous prenons une centaine de fans et leur demandons s'ils veulent un club en bonne situation financière mais cinquième-sixième ou un gagnant avec de gros problèmes de budget, 90 sur 100 prendrait le dernier. Cela fait partie d'un processus culturel pour lequel nous ne sommes pas prêts. Nous n'avons pas la culture de la défaite car pour nous c'est un drame alors ce n'est pas comme ça à l'étranger. Ce n'est pas un hasard si en Italie les équipes avec le chiffre d'affaires le plus élevé ont gagné ces dernières années." Traduction alex_j via FCInter1908.
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Calcio e Finanza a analysé les documents liés aux états financiers au 30 Juin 2022 d'Inter Média et Communication. Le journal nous livre les chiffres liés aux impayés de Digitalbits et explique que l’Inter recherche également des sponsors pour le naming entre autres. Digitalbits n'a pas versé à l'Inter les primes liées aux résultats de la saison dernière ainsi que les deux premières tranches des termes pour la saison en cours. C'est ce que l’Inter explique dans les documents liés aux états financiers au 30 Juin 2022 d'Inter. L'Inter fait ainsi le point sur le contrat avec Zytara Labs LLC, la société dirigée par Digitalbits. Dans le détail, le club explique que Digitalbits est devenu : le nouveau Official Global Cryptocurrency and Sleeve Partner, pour la saison de football 2021-2022 moyennant une redevance de 5 M€ et une redevance variable liée à aux performances sportives de l'équipe; le nouveau Global Main Jersey Partner pour les trois saisons sportives de 2022-2023 à 2024-2025 pour un montant total de 80 M€ (24 M€ à échéance 2022-2023, 26 M€ à échéance 2023-2024 et 30 M€ à échéance 2024-2025 ), en plus de la redevance variable liée aux performances sportives de l'équipe. À ce jour, cependant, Digitalbits n'a payé intégralement que la redevance de base de 5 M€ due pour la saison de football 2021-2022 et une prime de performance de 100 000 € pour avoir atteint à nouveau les huitièmes de finale de la Ligue des champions la saison dernière. Ils n'ont cependant pas encore été payés : des primes d'un montant total de 1,6 M€ prises en rapport avec le classement final en Serie A 2021-2022 et la victoire de la Coupe d'Italie 2021-2022; les deux premières tranches d'un montant total de 16 M€ (dont la première émise en Juin 2022 pour 8 M€) dues sur le montant de base de 24 M€ dû au titre de la saison de football 2022-2023. "En plus de ce qui précède, le partenaire n'a pas encore présenté le projet contractuellement envisagé relatif à l'intégration de l'écosystème numérique du groupe qui vient d'être renouvelé par notre club", ajoute l'Inter. Le Nerazzurri poursuit ensuite que "nous comprenons que la crise du secteur des crypto-monnaies, qui s'est aggravée au cours du deuxième trimestre 2022, a considérablement affecté la capacité du client à remplir ses obligations. Nous nous réservons toutes actions et recours pour protéger nos intérêts et droits contractuels et, dans l'intervalle, nous avons retiré de notre site les logos partenaires ainsi que sur les panneaux publicitaires et les maillots des équipes jeunes et féminines, tout en conservant, pour le moment, la présence du sponsor sur le maillot de l'équipe première." Cependant, comme l'a également expliqué Alessandro Antonello, l'Inter cherche déjà des solutions alternatives pour le sponsor du nouveau maillot. "La Société a déjà engagé toutes les actions nécessaires sur le marché en engageant diverses discussions pour la recherche d'un éventuel nouveau partenaire au travers de sa structure commerciale afin que le nouveau partenaire puisse prendre le relais dans les meilleurs délais. En ce moment nous avons de nombreux interlocuteurs, nous ne sommes pas encore dans la phase pour l’identification d’un secteur de produit spécifique. Le sponsor maillot est important, tous les partenaires qui viennent chez nous doivent faire des propositions concrètes. Il y a beaucoup de discussions ouvertes, on espère la clore au plus vite." De plus l'Inter recherche non seulement un nouveau sponsor principal pour le maillot mais également de nouveaux accords liés au sponsor de la manche, au maillot d'entraînement et aux droits de naming de la Pinetina. Dans le détail, en effet, l'Inter explique qu'actuellement pour la saison 2022-2023, elle a des accords commerciaux et liés à des sponsors qui rapporteront 46 M€ environ. Cependant, ces accords ne comprennent pas : le sponsor sleeve, étant un atout pour lequel un partenaire n'a pas encore été trouvé après l'accord pour la saison sportive 2021-2022 avec Digitalbits; il n'inclut pas les droits de naming du maillot d'entraînement et du centre sportif car il s'agit d'un actif pour lequel un partenaire n'a pas encore été trouvé après l'expiration du contrat avec Suning au 30 Juin 2022; ne tient pas compte du contrat actuellement en place avec Zytara Labs LLC en raison de l'incertitude actuelle sur la capacité du partenaire à payer les montants contractuels, comme expliqué plus haut. Les 46 M€ pourraient donc augmenter compte tenu des recherches en cours pour les sponsors maillot, de la manche et du centre d'entraînement/maillot d'entraînement. En 2021-2022, des sponsors du maillot, l'Inter a collecté 28,9 M€ de Socios, Zytara / Digitalbits et Lenovo, avec 12,5 M€ supplémentaires de Nike. Les autres sponsorings s'élevaient à environ 27 M€. Parmi les autres revenus prévus pour la saison 2022-2023, le club souligne qu'il attend un minimum de 72 M€ de revenus issus des droits TV de la Serie A, pouvant monter jusqu'à 92 M€ en cas de succès en championnat, en plus d'un minimum de 53 M€ (sanction de 4 M€ pour le FPF retirée) de revenus provenant des droits TV de la Ligue des champions. Traduction alex_j via Calcio e Finanza.
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Calcio e Finanza : "Le bilan financier 2021-2022 de l'Inter"
alex_j a posté un article dans F.C. Internazionale Milano
Calcio e Finanza a publié le détail des comptes du bilan financier de l'Inter. Voici les chiffres. États financiers L'Inter a clôturé ses états financiers au 30 Juin 2022 avec une perte de 140,0 M€, soit une amélioration d'environ 105 M€ par rapport à l'exercice 2020-2021 qui avait clôturé sur une perte de 245,6 M€. Le chiffre d'affaires du club des Nerazzurri s'est élevé à 439,6 M€, contre 364,7 M€ pour l'exercice clos le 30 Juin 2021. Les charges ont diminué à 527,9 M€, contre 568,7 millions en 2020-2021. Il s'agit, net du chiffre lié aux plus-values, d'une gestion économique qui présente encore un fort déséquilibre entre les recettes et les charges liées à l'équipe (rémunérations, primes et amortissements) qui s'élèvent à 283 M€, représentant 86 % des revenus de base. Chiffre d'affaires Au total, l'Inter pour la saison 2021-2022 a enregistré 439,6 M€ de revenus, contre 365,7 M€ en 2020-2021. Le poste le plus conséquent est celui relatif aux droits TV, égal à 146 M€ de plus-values (189,7 M€ dans les comptes précédents, chiffre toutefois impacté par le report d'une partie des recettes de la saison 2019-2020 ), tandis que les revenus des ventes des joueurs se sont élevés à 108,9 M€, avec des plus-values de 105 M€, encaissées notamment sur les cessions de Lukaku (66,8 M€) et Hakimi (33,5 M€). Parmi les revenus commerciaux, 43,9 M€ sont liés aux parrainages maillot de Nike, Socios, Lenovo et Zytara-Digitalbits. Voici les recettes poste par poste: Recettes des appels d' offres : 41,7 M€ (0 € en 2020-2021) ; Revenus des sponsors, publicités et redevances : 81,7 M€ (101,9 M€ en 2020-2021) ; Revenus des droits TV : 146,5 M€ (189,7 M€ en 2020-2021) ; Revenus de gestion des ventes des joueurs et autres revenus : 108,9 M€, dont 105,2 M€ de plus-values (8,4 M€, dont 2,2 M€ de plus-values en 2020-2021) ; Autres revenus : 60,6 M€ (64,7 M€ en 2020-2021). TOTAL : 439,6 M€ (364,7 M€ en 2020-2021). Elles font apparaître une croissance évidente après la fermeture des stades lors de la saison 2020-2021. Il faut également rappeler que dans les derniers états financiers il y avait une part de revenus liée à la conclusion en juillet et août de la saison 2019-2020. Les coûts Les coûts budgétaires pour l'Inter ont diminué en 2021-2022 pour atteindre 527,9 M€, contre 568,7 M€ en 2020-2021. Dans le détail, l'essentiel des charges est lié aux salaires et traitements du personnel, à 248,4 M€ (contre 261,1 M€ en 2020-2021) et aux amortissements et dépréciations pour 168,7 M€ (209,1 M€ en 2020-2021). . Plus précisément, les seuls frais du personnel inscrit se sont élevés à 197,5 M€ (215,7 M€ en 2020-2021), dont 152,5 M€ au titre des indemnités aux joueurs (153,3 M€ en 2020-2021), 13 M€ au titre des honoraires des entraîneurs (33,3 en 2020-2021), 29,5 M€ de primes de résultat (26,0 en 2020-2021) et 2,4 M€ de droits à l'image (2,9 en 2020-2021). S'agissant des amortissements en revanche, ceux liés aux joueurs se sont élevés à 101,0 M€ contre 137 M€ en 2020-2021. Parmi les dépréciations, 16,5 M€ sont liées aux dépréciations de la valeur comptable de Eriksen, Vidal et Sanchez après la résiliation des contrats, tandis que 25,8 M€ sont liées au risque de mauvaises positions de crédit. Les autres charges comprennent celles des prestations égales à 64,3 M€, en hausse par rapport aux 51 millions de la saison précédente, principalement en raison de l'augmentation des charges liées aux agents, qui sont passées de 10,9 à 22,9 M€. Voici les coûts article par article pour la saison 2021-2022 : Coûts des matières premières, auxiliaires, consommables, biens : 5,2 M€ (2,2 M€ en 2020-2021) ; Coûts des services : 64,3 M€ (51,6 M€ en 2020-2021) ; Coûts d'utilisation des actifs de tiers : 12,7 M€ (12,5 M€ en 2020-2021) ; Frais de personnel : 248,4 M€, dont 152,5 M€ pour la rémunération des joueurs (261,1 M€, dont 153,3 M€ pour les joueurs en 2020-2021) ; Amortissements et dépréciations : 168,7 M€, dont 101,0 M€ pour les joueurs (209,5 M€, dont 137 M€ pour les joueurs en 2020-2021) ; Autres charges : 28,3 M€ (31,1 M€ en 2020-2021). TOTAL : 527,9 M€ (568,7 M€ en 2020-2021). Résultat net La différence entre le chiffre d'affaires et les coûts est ainsi égale à -88 M€, contre -203,0 M€ en 2020-2021. Le résultat avant impôt est de -136,6 M€ environ (avec un impact de 48,8 M€ de charges financières contre 33,4 M€ en 2020-2021), contre -239,4 M€ en 2020-2021. Le résultat net est de -140,0 M€ contre -245,6 M€ en 2020-2021. Dettes et capitaux propres Les capitaux propres consolidés au 30 Juin 2022 sont de -86,6 M€, contre des capitaux propres de +53,4 millions en 2021. Cependant, l'Inter a choisi d'exploiter une close liée à l'urgence Covid pour différer le règlement de la perte au cinquième exercice suivant celui clôturé, soit le 30 Juin 2027. Enfin, sur le front de la dette, le total des dettes a augmenté à 881 M€ (827 M€ au 30 Juin 2021), croissance tirée par le nouvel emprunt obligataire avec une dette obligataire de 407 M€ (344 M€ au 30 Juin 2021). La dette financière nette, en revanche, s'élève à -268 M€, contre -297 M€ au 30 Juin 2021, compte tenu de l'augmentation de la liquidité de 139,1 M€. Traduction alex_j via Calcio e Finanza.- 2 commentaires
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Luciano Mondellini, éditorialiste à Calcio e Finanza, nous livre une analyse détaillée sur la vente de l’Inter. Le Financial Times est, avec le New York Wall Street Journal, le principal journal des marchés financiers mondiaux. Et il est évident que lorsque, dans la semaine, le journal londonien a publié un article sur la recherche d'un nouvel acheteur pour l'Inter, le dossier de la vente du club a pris dès ce moment une dimension mondiale. La presse italienne, et notamment Il Sole 24 Ore avant tout le monde, avait déjà donné la nouvelle ces dernières semaines. Mais comme il est hautement probable, sinon certain, que des repreneurs potentiels seront recherchés hors de la botte, la parution de la nouvelle dans un tel journal sonne comme l'officialisation que les choses s'échauffent. En effet, désormais tout investisseur de la Californie à l'Extrême-Orient sait que l’Inter est sur le marché. Cette chronique, en revanche, du 8 Octobre dernier avait expliqué comment une indiscrétion était arrivée à la rédaction. Elle parlait d'une offre d'un géant étranger pour 100% du capital. Cette proposition, a expliqué la source, ne prévoirait pas d'actionnaires minoritaires ce qui obligerait donc les Zhang à se retirer totalement du capital de l’Inter. Cette indiscrétion nous est venue d'une source d'exception qui, déjà dans le passé, a fait preuve d'une crédibilité et d'un sérieux absolus. Le seul détail que l'on peut ajouter est que la rumeur est venue de New York. En revanche, pour en revenir à l'article du Financial Times, la partie selon laquelle seule une minorité du club est en vente n'est pas très crédible. L'Inter n'a pas fait de bénéfices depuis des temps immémoriaux et peut-être jamais dans son histoire n'a-t-elle distribué de dividendes; elle ne l'a certainement pas fait au cours des 20 dernières années. Alors pourquoi un investisseur achèterait-il une participation minoritaire dans un club qui a encore d'énormes pertes ? En effet, c'est une chose si une entreprise réalise des profits et verse des dividendes de façon régulière. À ce stade, un investisseur peut également décider de percevoir le prorata du bénéfice distribué en fin d'année. Mais dans un club déficitaire comme l'Inter, pourquoi le faire ? Participer aux pertes sans même pouvoir influencer les décisions ? Dans ce contexte, une explication plausible pourrait être celle pour laquelle vous achetez une participation de temps en temps puis revendez la participation dans quelques années en espérant que l'actionnaire majoritaire ait valorisé le club. Dans le cas de l'Inter, un possible moteur de cette éventuelle amélioration serait en premier lieu le processus de consolidation budgétaire en cours. Mais il faut être précis : il est vrai que le déficit est passé cette année de 245 M€ à 140 M€, mais cela a été possible surtout grâce aux énormes plus- values sur les ventes de Hakimi et Lukaku. D'autres motivations pourraient le nouveau stade, ce qui en théorie devrait augmenter considérablement les revenus. Ou même projet de la Super League récemment relancé. En revanche, il semble plus simple et plus plausible que ceux qui veulent rejoindre l'Inter veuillent le faire pour la commander (donc acheter au moins la majorité, 51%). N’oublions pas que la famille Zhang n'a plus beaucoup de temps pour prendre des décisions car, en Mai 2024, arrive à expiration le prêt signé avec le fonds américain Oaktree. Si la propriété chinoise ne parvient pas à rembourser le prêt, le fonds américain reprendrait 100% des parts du club désormais détenu par Zhang via LionRock. Un vrai coup de poing financier étant donné que les Zhang ont investi environ 800 M€ depuis 2016 entre les versements et les revenus des sponsors. Et pour compliquer encore les choses, il y a un fait pas moins important : comme le révèle Calcio e Finanza, Suning.com, la principale société du groupe Suning, avait plus de 4 B€ d'impayés au 30 juin 2022. Une position qui, lorsqu'elle est enregistrée dans les états financiers de la même entreprise, soulève des doutes sur la continuité des activités. D'un autre côté, les Zhang ont aussi un avantage : l'Inter est l'un des très rares clubs avec le plus haut rang en Europe (ou avec la plus haute valeur marchande) à être sur le marché. Et cela pourrait évidemment aider à faire grimper le prix. Mais quelle pourrait être l'évaluation de l'Inter ? Les rumeurs circulant dans le milieu indiquent qu'une valorisation globale de 1,2 B€ pourrait être celle à laquelle l'opération pourrait passer, une somme proche du Milan AC. Est-ce réaliste ? Il pourrait être. Les deux clubs milanais ont beaucoup en commun aux yeux des investisseurs étrangers : le projet du nouveau stade, un processus de consolidation fiscale en cours (même si Milan est loin devant), remplissent presque toujours le stade avec plus de 70 000 spectateurs, disposent d'une zone de chalandise proche du stade qui est parmi les plus peuplées d'Europe et certainement la plus riche d'Italie. Enfin, ils ont un nombre équivalent de fans et aussi de revenus : l'Inter a clôturé les comptes au 30 Juin 2022 avec 439 M€ de revenus, dont 100 M€ liés aux plus- values; Milan a enregistré des revenus en 2021-2022 un chiffre de 297 M€. On peut le dire, Milan a sept C1 dans sa vitrine tandis que l'Inter en a trois. Et très probablement, en faisant un tour sur les différents réseaux sociaux, les followers des Rossoneri sont supérieurs à ceux des Nerazzurri. Mais, prenons un instant du côté de Zhang. Nous continuons également à émettre l'hypothèse que les deux clubs peuvent valoir le même montant parce que le nombre de scudetti remportés est le même et le nombre de titres mondiaux est similaire : Milan quatre, Inter trois (d'ailleurs les titres mondiaux sont très intéressants pour les investisseurs non européens et manquent peut-être de culture footballistique). De plus, cela est certainement vrai, pour un investisseur qui injecte des capitaux puis gagne de l'argent dans un avenir proche, il est particulièrement important de savoir comment le palmarès d'un club et son histoire peuvent affecter ses performances financières. Et quant aux deux clubs milanais, le palmarès leur permet d'être inclus dans l'élite du football européen. Dernier point, mais non des moindres, Zhang peut contracter cet effet de rareté parmi les clubs à vendre ayant un tel palmarès. Bref, admis que la valorisation puisse avoisiner les 1,2 B€, il y a un aspect qui ne sera certainement pas le même : c'est la collecte pour le groupe vendeur. Le fonds Elliott, en effet, après avoir investi environ 700 M€, a effacé les dettes du Milan et l'a vendu à Cardinale pour 1,2 milliard, encaissant ainsi une plus-value de 500 M€ environ. La famille Zhang, d'autre part, après avoir investi environ 800 M€ depuis 2016 possède un club avec des dettes totales de 900 M€ environ. Les dettes doivent nécessairement être incluses dans le cadre de l'évaluation. Pour l'expliquer de manière brutale, si une personne achète une maison d'une valeur de 300 000 € en payant 150 000 € en espèces et 150 000 € via une hypothèque, ce n'est pas que le jour d’après que la maison cesse de valoir 300 000 €. Elle continue à valoir ce montant qui reflète précisément le montant payé en espèces et ce qui sera payé par la dette. Ainsi, même si la valorisation de l'Inter devait être de 1,2 B€, il serait pratiquement impossible pour le groupe de Nankin de sortir de l'investissement sans enregistrer une perte. Mise en garde. Cela ne signifie pas qu'il n'est pas pratique pour le Zhang de vendre. Compte tenu des problèmes de la société mère, un peu d'argent ferait du bien à tous égards. De plus, compte tenu également des tensions géopolitiques en cours, il n'est peut-être même pas inopportun de quitter un quadrant économique, celui de l'Europe, dans lequel Suning est pratiquement inexistant en tant qu'entreprise. Une fois tout cela dit, si la transaction aboutit, il ne sera pas possible de ne pas reconnaître les énormes mérites de Zhang, qui resteront non seulement dans l'histoire de l'Inter, mais aussi dans le football italien : la famille Nanjing a d'abord ramené l'Inter à la Ligue des champions après les nuages de l'ère Thohir, la rendant ainsi à nouveau attractive pour les investisseurs internationaux. Et puis sur le plan sportif, c'était la première propriété étrangère à remporter quelque chose d'important (le championnat 2020-2021) en Italie. Montrer qu'il est possible d'obtenir des succès sportifs dans un football compliqué comme notre football à domicile, même pour des entrepreneurs venus de loin. À l'inverse, cependant, combien il est important pour l'Inter, l'héritage du football italien (et finalement de l'Italie en tant que pays) de redevenir la propriété entre des mains occidentales, dans un scénario géopolitique orienté pour revenir divisé sur des pôles opposés. Traduction alex_j via Calcio e Finanza.
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- luciano mondellini
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Calcio e Finanza donne les chiffres d'un retour définitif de Lukaku chez nous. Il n'a pas encore pu donner le meilleur de lui-même cette saison à cause d'une blessure qui l'éloigne des terrains depuis plusieurs semaines. Romelu Lukaku se sent chez lui à l'Inter, et comme le rapporte La Gazzetta dello Sport, il pourrait rester chez nous plus d'une saison. La décision finale sera officiellement prise d'ici la fin de la saison, lorsque l'Inter et Chelsea se rencontreront pour discuter de l'avenir de l'attaquant. Il y a déjà un gentlemen agreement pour lequel Lukaku resterait avec les Nerazzurri également pour 2023-2024, rien de définitif cependant. Les signaux venant de Londres disent que la nouvelle propriété des Blues n'a non seulement aucun intérêt pour le moment à récupérer l'attaquant. Mais, ils pourraient également ouvrir une fenêtre dans le nouvel accord pour le retour définitif du Belge à l'Inter. Lukaku a fait ses adieux à l'Inter à l'été 2021 pour une opération à 115 M€ pour les Blues et un contrat de 12 M€ net par saison. Pour le Chelsea actuel, Lukaku n'est pas nécessaire. Le changement de banc ne semble pas avoir changé les choses. Les Londoniens, dans leur marché record avec plus de 300 M€ investis, ont même engagé un nouvel avant-centre, Pierre Aubameyang. Le prêt pour cette saison s'est clôturé sur la base de 8 M€ plus 3 M€ de bonus. Un prêt onéreux, officiellement uniquement pour 2022-2023. C'est le point de départ car l'Inter a cet accord non écrit de son côté pour une autre année à Milan. Cependant, ils peuvent travailler pour un meilleur plan sachant que Chelsea n'a pour l'instant aucune motivation pour reprendre Lukaku. Une autre saison avec un prêt onéreux, garantissant au moins 10 M€ supplémentaires et continuant à payer le salaire du joueur, est la base à partir de laquelle les discussions vont commencer. Le but est d'insérer au moins une option de rachat en notre faveur à l'été 2024 et de viser un retour définitif du Belge à Milan. Il ne reste plus qu'à se demander, à ce moment-là, quelle somme l'Inter devrait mettre dans la balance pour verrouiller définitivement le retour du joueur. À l'été 2024, Lukaku aura une valeur d'environ 46 M€ dans le bilan des Blues. C'est la somme qu'ils devraient encaisser pour ne pas générer de perte. De plus, la signature de Big Rom sera discutée car il touchera à peine les 12 M€ de Chelsea. Il devra tout de même être un joueur de premier plan. Traduction alex_j via Calcio e Finanza.
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