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  1. Mohammed Alardhi est le Président d’Investcorp, celui-ci s’est livré au Financial Times. Et le patron du fonds d'investissement privé bahreïni, qui a récemment approché l'Inter avec une manifestation d'intérêt jamais démentie, n'a pas exclu "une nouvelle tentative d'investissement dans le sport européen, qu'il estime aujourd'hui prêt et mûr pour l'expansion". Celui-ci a d’ailleurs préféré ne pas commenter la tentative manquée de l’acquisition du Milan AC mais a laissé entendre, par contre, un possible nouvel investissement dans le milieu sportif. Et si l’on se réfère aux dernières révélation d’Il Sole 24 Ore mais aussi de l’Agence de presse Bloomberg, pensez-vous que l’on doive se préparer à voir Investcorp lancer l’assaut pour acquérir (et sauver) l’Inter ? ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  2. Luciano Mondellini, éditorialiste à Calcio e Finanza, nous livre une analyse détaillée sur la vente de l’Inter. Le Financial Times est, avec le New York Wall Street Journal, le principal journal des marchés financiers mondiaux. Et il est évident que lorsque, dans la semaine, le journal londonien a publié un article sur la recherche d'un nouvel acheteur pour l'Inter, le dossier de la vente du club a pris dès ce moment une dimension mondiale. La presse italienne, et notamment Il Sole 24 Ore avant tout le monde, avait déjà donné la nouvelle ces dernières semaines. Mais comme il est hautement probable, sinon certain, que des repreneurs potentiels seront recherchés hors de la botte, la parution de la nouvelle dans un tel journal sonne comme l'officialisation que les choses s'échauffent. En effet, désormais tout investisseur de la Californie à l'Extrême-Orient sait que l’Inter est sur le marché. Cette chronique, en revanche, du 8 Octobre dernier avait expliqué comment une indiscrétion était arrivée à la rédaction. Elle parlait d'une offre d'un géant étranger pour 100% du capital. Cette proposition, a expliqué la source, ne prévoirait pas d'actionnaires minoritaires ce qui obligerait donc les Zhang à se retirer totalement du capital de l’Inter. Cette indiscrétion nous est venue d'une source d'exception qui, déjà dans le passé, a fait preuve d'une crédibilité et d'un sérieux absolus. Le seul détail que l'on peut ajouter est que la rumeur est venue de New York. En revanche, pour en revenir à l'article du Financial Times, la partie selon laquelle seule une minorité du club est en vente n'est pas très crédible. L'Inter n'a pas fait de bénéfices depuis des temps immémoriaux et peut-être jamais dans son histoire n'a-t-elle distribué de dividendes; elle ne l'a certainement pas fait au cours des 20 dernières années. Alors pourquoi un investisseur achèterait-il une participation minoritaire dans un club qui a encore d'énormes pertes ? En effet, c'est une chose si une entreprise réalise des profits et verse des dividendes de façon régulière. À ce stade, un investisseur peut également décider de percevoir le prorata du bénéfice distribué en fin d'année. Mais dans un club déficitaire comme l'Inter, pourquoi le faire ? Participer aux pertes sans même pouvoir influencer les décisions ? Dans ce contexte, une explication plausible pourrait être celle pour laquelle vous achetez une participation de temps en temps puis revendez la participation dans quelques années en espérant que l'actionnaire majoritaire ait valorisé le club. Dans le cas de l'Inter, un possible moteur de cette éventuelle amélioration serait en premier lieu le processus de consolidation budgétaire en cours. Mais il faut être précis : il est vrai que le déficit est passé cette année de 245 M€ à 140 M€, mais cela a été possible surtout grâce aux énormes plus- values sur les ventes de Hakimi et Lukaku. D'autres motivations pourraient le nouveau stade, ce qui en théorie devrait augmenter considérablement les revenus. Ou même projet de la Super League récemment relancé. En revanche, il semble plus simple et plus plausible que ceux qui veulent rejoindre l'Inter veuillent le faire pour la commander (donc acheter au moins la majorité, 51%). N’oublions pas que la famille Zhang n'a plus beaucoup de temps pour prendre des décisions car, en Mai 2024, arrive à expiration le prêt signé avec le fonds américain Oaktree. Si la propriété chinoise ne parvient pas à rembourser le prêt, le fonds américain reprendrait 100% des parts du club désormais détenu par Zhang via LionRock. Un vrai coup de poing financier étant donné que les Zhang ont investi environ 800 M€ depuis 2016 entre les versements et les revenus des sponsors. Et pour compliquer encore les choses, il y a un fait pas moins important : comme le révèle Calcio e Finanza, Suning.com, la principale société du groupe Suning, avait plus de 4 B€ d'impayés au 30 juin 2022. Une position qui, lorsqu'elle est enregistrée dans les états financiers de la même entreprise, soulève des doutes sur la continuité des activités. D'un autre côté, les Zhang ont aussi un avantage : l'Inter est l'un des très rares clubs avec le plus haut rang en Europe (ou avec la plus haute valeur marchande) à être sur le marché. Et cela pourrait évidemment aider à faire grimper le prix. Mais quelle pourrait être l'évaluation de l'Inter ? Les rumeurs circulant dans le milieu indiquent qu'une valorisation globale de 1,2 B€ pourrait être celle à laquelle l'opération pourrait passer, une somme proche du Milan AC. Est-ce réaliste ? Il pourrait être. Les deux clubs milanais ont beaucoup en commun aux yeux des investisseurs étrangers : le projet du nouveau stade, un processus de consolidation fiscale en cours (même si Milan est loin devant), remplissent presque toujours le stade avec plus de 70 000 spectateurs, disposent d'une zone de chalandise proche du stade qui est parmi les plus peuplées d'Europe et certainement la plus riche d'Italie. Enfin, ils ont un nombre équivalent de fans et aussi de revenus : l'Inter a clôturé les comptes au 30 Juin 2022 avec 439 M€ de revenus, dont 100 M€ liés aux plus- values; Milan a enregistré des revenus en 2021-2022 un chiffre de 297 M€. On peut le dire, Milan a sept C1 dans sa vitrine tandis que l'Inter en a trois. Et très probablement, en faisant un tour sur les différents réseaux sociaux, les followers des Rossoneri sont supérieurs à ceux des Nerazzurri. Mais, prenons un instant du côté de Zhang. Nous continuons également à émettre l'hypothèse que les deux clubs peuvent valoir le même montant parce que le nombre de scudetti remportés est le même et le nombre de titres mondiaux est similaire : Milan quatre, Inter trois (d'ailleurs les titres mondiaux sont très intéressants pour les investisseurs non européens et manquent peut-être de culture footballistique). De plus, cela est certainement vrai, pour un investisseur qui injecte des capitaux puis gagne de l'argent dans un avenir proche, il est particulièrement important de savoir comment le palmarès d'un club et son histoire peuvent affecter ses performances financières. Et quant aux deux clubs milanais, le palmarès leur permet d'être inclus dans l'élite du football européen. Dernier point, mais non des moindres, Zhang peut contracter cet effet de rareté parmi les clubs à vendre ayant un tel palmarès. Bref, admis que la valorisation puisse avoisiner les 1,2 B€, il y a un aspect qui ne sera certainement pas le même : c'est la collecte pour le groupe vendeur. Le fonds Elliott, en effet, après avoir investi environ 700 M€, a effacé les dettes du Milan et l'a vendu à Cardinale pour 1,2 milliard, encaissant ainsi une plus-value de 500 M€ environ. La famille Zhang, d'autre part, après avoir investi environ 800 M€ depuis 2016 possède un club avec des dettes totales de 900 M€ environ. Les dettes doivent nécessairement être incluses dans le cadre de l'évaluation. Pour l'expliquer de manière brutale, si une personne achète une maison d'une valeur de 300 000 € en payant 150 000 € en espèces et 150 000 € via une hypothèque, ce n'est pas que le jour d’après que la maison cesse de valoir 300 000 €. Elle continue à valoir ce montant qui reflète précisément le montant payé en espèces et ce qui sera payé par la dette. Ainsi, même si la valorisation de l'Inter devait être de 1,2 B€, il serait pratiquement impossible pour le groupe de Nankin de sortir de l'investissement sans enregistrer une perte. Mise en garde. Cela ne signifie pas qu'il n'est pas pratique pour le Zhang de vendre. Compte tenu des problèmes de la société mère, un peu d'argent ferait du bien à tous égards. De plus, compte tenu également des tensions géopolitiques en cours, il n'est peut-être même pas inopportun de quitter un quadrant économique, celui de l'Europe, dans lequel Suning est pratiquement inexistant en tant qu'entreprise. Une fois tout cela dit, si la transaction aboutit, il ne sera pas possible de ne pas reconnaître les énormes mérites de Zhang, qui resteront non seulement dans l'histoire de l'Inter, mais aussi dans le football italien : la famille Nanjing a d'abord ramené l'Inter à la Ligue des champions après les nuages de l'ère Thohir, la rendant ainsi à nouveau attractive pour les investisseurs internationaux. Et puis sur le plan sportif, c'était la première propriété étrangère à remporter quelque chose d'important (le championnat 2020-2021) en Italie. Montrer qu'il est possible d'obtenir des succès sportifs dans un football compliqué comme notre football à domicile, même pour des entrepreneurs venus de loin. À l'inverse, cependant, combien il est important pour l'Inter, l'héritage du football italien (et finalement de l'Italie en tant que pays) de redevenir la propriété entre des mains occidentales, dans un scénario géopolitique orienté pour revenir divisé sur des pôles opposés. Traduction alex_j via Calcio e Finanza.
  3. Malgré les déclarations de Giuseppe Marotta, Tuttosport est convaincu d’une vente réelle de l’Inter: "Jusqu’à présent, l’idée du club Nerazzurro a toujours été de rechercher un partenaire, mais il y a un air de déjà vu qui remonte au temps de Massimo Moratti qui avait finalement vendu ses actions à Erick Thohir. En ce sens, les fréquents voyage de Steven Zhang en Californie ces dernières semaines, officiellement pour des raisons non-liées à l’Inter apparaissent comme suspect, tout comme le fait que Suning veille à éviter de modifier les paramètres cristallisés du Club et en premier lieu la masse salariale." Suivi de l'avis de la Gazzetta Dello Sport « L'article du Financial Times a évidemment atterri sur le bureau du président Steven Zhang, que l’on décrit comme particulièrement très ennuyé par cette publication : La position de la Propriété est très claire, et peut-être sera-t-elle officiellement expliquée dans une dizaine de jours, lors de l'Assemblée des actionnaires prévue le 28 octobre: Pour l’Inter, il n’y a pas de mandat officiel signé jusqu’à présent, mais il est vrai que plusieurs pourparlers sont en cours avec plusieurs banques, dont l'une est Raine Group, qui est spécialisée dans le monde de la technologie et des télécommunications, et qui est celle qui a géré la vente de Chelsea au printemps dernier." "Si celle-ci a eu lieu, c'est parce qu'avec Goldman Sachs un accord n'a pas su être trouvé. Du côté du club, on affirme que les pourparlers n'ont pas pour objet la vente du club, c'est-à-dire la participation majoritaire. Le teaser, c'est-à-dire le document financier qui finit dans les mains des investisseurs potentiels, concerne toujours la recherche d'un partenaire, d'un actionnaire minoritaire, soit d’un compagnon de route pour aider Suning dans sa gestion de l'Inter." "Cette étape est considérée comme fondamentale pour l'avenir du club car il ne faut pas oublier que l'Inter a bénéficié d'un prêt de 275 millions d'euros de la part d'Oaktree en mai dernier, avec une échéance à trois ans. Et c'est de ce fonds que proviendra la prochaine injection de capital dans le club, pour une injection de 100 millions d'euros. Cette injection s’avère nécessaire car l'Inter brûle pour environ 10 millions par mois, on est donc très loin de l'idée d'autofinancement et le bilan au 30 juin 2022 qui sera soumis aux actionnaires fait état d’un déficit de 140 millions d'euros'" "D'une manière ou d'une autre, les rumeurs sont également "aidées" par les voyages constants de Steven Zhang aux États-Unis, le dernier il y a 10 jours, toujours officiellement i pour des raisons familiales, mais comme l'enseigne le passé, il est bon d'être prudent: Et ce n'est pas un mystère qu’une évaluation du club par les propriétaires a déjà été faite : 1,2 milliard d'euros. Si un acheteur arrive vraiment avec ce montant, l’Inter changerait de mains sans l'ombre d'un doute. C'est un chiffre élevé, mais qui pourrait être soutenu dans les prochains mois par l'affaire du Stade, soit l’autorisation d’une construction pour une installation de pleine propriété." ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  4. Présent au Gran Gala del Calcio 2022, Giuseppe Marotta s’est livré à Fcinternews et à Sky Sport sur la situation entourant l’Inter Son interview à Fcinternews.it Bastoni et Lautaro ont fait comprendre que le moment de la révolte a eu lieu à l’intérieur du Vestiaire entre les joueurs, est-ce que celle-ci a été utile pour refaire tourner l’Inter ? "En réalité, c’est comme si nous venions de débuter le championnat avec un handicap invisible dont nous ne comprenions absolument pas son contenu. Ensuite, il y a eu des échanges dans le Vestiaire, comme cela arrive très régulièrement, il a fallu de l’habilité de la part de l’entraineur pour recompacter le tout et pour présenter une équipe qui, aujourd’hui, est la photocopie de celle de l’année dernière : Je suis très confiant pour la suite." Le Financial Times a fait état d’une possible vente de l’Inter, qu’avez-vous à y répondre ? "Je dirais qu’il s’agit d’une situation qui est au-delà de mes compétences : Je peux juste vous dire que la Propriété est très proche de l’équipe et qu’elle a toujours amplement respecté vis-à-vis du club ses engagements financiers. Nous sommes un club qui, au jour d’aujourd’hui, est en règles dans ses paiements et je peux juste vous dire que la Famille Zhang a versé des centaines et des centaines de millions d’euros de son propre patrimoine." Etes-vous confiant sur la prolongation de Milan Skriniar ? "Nous le sommes, ensuite, tout dépendra très clairement de ce que lui a l’intention de faire : Dans un rôle tel que le mien, je me dois d’être forcément optimiste." Et l’alternance dans les buts entre André Onana et Samir Handanovic? "Le rôle du gardien de but, pour moi, est similaire à celui des attaquants : L’entraineur a été bon pour créer une synergie entre eux : Onana joue aujourd’hui mais Handanovic est le Capitaine de l’équipe, il a démontré qu’il était un grand gardien et qu’il avait de grandes qualités humaines : Nous avons deux très grands gardiens." Les autres questions auxquels il a répondu à Sky Sport A Paris, on célèbre la soirée du Ballon d'Or et Paolo Condò a proposé un cadeau au manager de l'Inter : Prendre un joueur qui est candidat au titre et voici sa réponse : "Je prendrais aussi les perdants car ce sont des joueurs très importants mais ce sont des situations utopiques pour nous : Je ne citerai pas de noms, ils sont tous bons et le Ballon d'or devrait être attribué à l'un d'entre eux, mais je l'attribuerais ex aequo à plusieurs. Celui qui le gagnera l’emportera avec la plus petite marge. Je fermerais les yeux et en choisirais un au hasard." La période actuelle ? "Ce parcours d’amélioration doit continuer, mais le pire est passé, c’est comme-ci nous étions partis avec un handicap sans la moindre explication, les joueurs ont été brave pour s’unir dans le vestiaire et l’entraineur l’a été tout autant pour compacter le groupe et nous permettre de revoir l’équipe qui nous avait donné tant de satisfaction la saison passée." Est-ce qu’un pacte a été fait dans le vestiaire ? "Ce sont des mots durs, il manquait l’alchimie nécessaire pour gagner : Le groupe s’est réapproprié la victoire et il a fait prendre d’une grande capacité pour sortir de la crise et se reprendre d’une façon convaincante." Et la position de Simone Inzaghi ? "Nous avons conscience que nous avons à faire à un brave entraineur, un excellent professionnel, nous n’avons jamais pensé une seule seconde à le remplacer ou au fait qu’il n’aurait pas été à la hauteur. C’est normal, pour nous les dirigeants, d’avoir l’obligation de soutenir le Staff Technique dans ses activités." Skriniar? "Il faudra certainement quelques semaines pour se retrouver, je me souhaite qu’il s’agisse d’une négociation sereine car nous avons toutes les fondations pour arriver à une conclusion positive. Skriniar est un garçon très sérieux et attaché à nos couleurs, je ne peux qu’être optimistes. Je ne donne pas de pourcentage car les mariages se font à deux et de la part de Skriniar, il y a un amour répété à plusieurs reprise. Il y a un très grand respect vis-à-vis du joueur." Pensez-vous encore être en course pour le Scudetto ? "Selon moi, il sera important de bien terminer cette première partie, soit jusqu’à la trêve, en restant attaché au wagon de tête. A le reprise, il s’agira d’un nouveau championnat et si nous sommes à bonne distance, nous pourrons jouer un rôle de protagoniste." ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  5. Gabriele Gravina, le Numéro Un de la Fédération Italienne de football en Italie, la FIGC, s’est livré dans une interview exclusive au Corriere Dello Sport Ou en sommes-nous sur la pandémie, après deux années de slalom entre contagions, interdictions et conflits ? "Le protocole sanitaire est une victoire. Le seuil de 35 % des personnes infectées nous protège contre les interdictions divergentes des agences sanitaires individuelles. Ce ne sera plus possible de nous voir jouer avec onze joueurs positifs d’un côté et que nous soyons empêchés de disputer un match pour trois positivités d’un autre. C'est une garantie que le virus n'affectera pas la régularité de la compétition à partir de maintenant." Avez-vous obtenu une garantie du Gouvernement sur la réouverture des stades ? "La garantie est le dialogue institutionnel. La limite de cinq mille spectateurs était un acte de responsabilité. L'espoir est que, lorsque tout le monde aura été vacciné à partir du pic, nous retrouverons une capacité à 100%. Le football se confirmerait comme l’avant-gardiste de la sécurité et de la normalité". Dans une interview accordée au Financial Times, le président de la Fiorentina, Rocco Commisso, affirme que la Juve et l'Inter ont gagné en s'endettant de manière irresponsable. A-t-il raison ? "Non, il se trompe. Car pour faire le mercato, tu dois répondre à des indices de liquidité précis. C'est une chose d'être alarmé par la dette, c'en est une autre de dire que vous avez gagné parce que vous avez triché. Et je jette un voile sur les jugements moraux que Commisso porte sur la classe dirigeante. A présent, nous devons sécuriser le système : Les règles que nous avons déjà adoptées réduisent la marge d'investissement de la dette, en la liant aux revenus. Nous allons les rendre encore plus strictes. Il s'agit également de dissiper les suspicions et les allégations qui font mal au sport." Les étrangers nous colonisent-ils ? "Mais pourquoi pas ? La mondialisation ne consiste pas à rester dans son coin. Nous accueillons ceux qui peuvent apporter de la liquidité et une culture sportive." Deux procureurs enquêtent sur la Juve et l'Inter, mais ils ne sont pas les seuls à réaliser des plus-values. Craignez-vous un glissement de terrain ? "Les plus-values font partie de la vie active des entreprises. Les fraudeurs doivent être poursuivis. Nous attendons que le pouvoir judiciaire clarifie la situation, mais ne jetons pas le bébé avec l'eau du bain. Par après, nous étudierons la possibilité d'éliminer les plus-values des indicateurs budgétaires pour autoriser de nouveaux investissements sportifs." Pourquoi ne pas estimer la valeur réelle d'un joueur en utilisant un algorithme qui mesure l'âge, l'expérience, la qualité des performances et la durée du contrat ? "La FIFA essaie, mais je ne pense pas que ce soit faisable. Les indicateurs que l'algorithme prend en compte sont toujours le résultat de choix subjectifs. Qui pourrait m’interdire de dépenser cent millions pour un jeune de seize ans, en supposant qu'il sera le nouveau Messi ? La solution est ailleurs. Il faudrait séparer les véritables plus-values des mouvements financiers liés aux "échanges de figurines" à cout zéro. Il faut également en réduire l'impact sur les bilans." La réforme du championnat est-elle remise en question vu les vétos de la Lega et les incertitudes liées à la pandémie ? "Non, j'attends que les nouvelles instances de la Ligue Amateur soient formées et ensuite nous commencerons à y travailler. D’ici au 30 juin, cela changera: Nous devons sécuriser le système, ce qui signifie miser sa durabilité." Qu'en est-il de l'attractivité ? Dans quelques journées, nous saurons peut-être déjà qui sera Champion, qui sera relégué et peut-être même qui ira en Ligue des champions. Allons une fois de plus clôturer le championnat avec trop de matchs où nous jouons pour rien. Qu’en est-il des Play-offs ? "Il est temps d’y songer: Dans les années 90, personne ne croyait aux victoires à trois points et pourtant ça a marché. Les play-offs en Lega Pro et en Serie B sont une garantie de visibilité et de succès. Ce serait une erreur de ne pas les tester également en Serie A, tout en sauvegardant la valeur du mérite sportif obtenu au classement. Mais nous avons besoin d'une réforme qui réduise le nombre d'équipes et modifie le format. La qualité et la concurrence y gagneraient." Le Saviez-vous ? Les déclarations faites au Financial Times par Rocco Commisso, président de la Fiorentina, ont créé des remous au sein des clubs de Serie A. Et en particulier, il y aurait de l'irritation de la part d'Inter. Le club milanais, selon le Corriere dello Sport, envisage de déposer une plainte de son côté, en l'absence d'une intervention du parquet fédéral, alors que plusieurs clubs s'attendent à des poursuites contre Commisso. Valideriez-vous une refonte complète de la plus prestigieuse compétition italienne ? ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  6. Interviewé en marge d’un meeting organisé par le Financial Times, Rocco Comisso, le Président de la Fiorentina, a de nouveau attaqué frontalement l’Inter: "Le problème en Italie est que les règles ne sont pas les mêmes pour tous et cela a faussé le classement du dernier championnat de Serie A." "Tous les six mois nous devons fournis des informations sur le rapport de liquidité dans le Calcio. Nous, et d’autres clubs, l’avons fait. J’ai toujours fait mon devoir, j’ai injecté des fonds, le club n’a pas de dette, lorsque qu’il faut injecter des capitaux, je les transfère moi-même des Etats-Unis." "D’autres clubs ne l’ont pas fait: Certains sont même bien loin de respecter les requis nécessaire de liquidités et l’un d’entre-deux a remporté le Championnat et a du successivement vendre des joueurs comme Lukaku et Hakimi pour se conformer au rapport de liquidité "Cela s’est fait après la fin du championnat, pas avant. Celui qui ne respecte pas les règles établies par la Lega doivent en payer les conséquences, comme celle d’une pénalisation en Championnat." Un Rocco qui souhaite la mettre bien profond à la Bien-aimée, quoi de plus normal ?! ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  7. En effet, Suning selon le Financial Times, se doit de vendre plusieurs de ses actifs afin de se remettre en selle et le premier pourrait être l’Inter! "En échange de la cession de 17% des actions de Suning.com contre une somme de 1,4 milliard de dollars, Jindong Zhang a perdu le contrôle du principal groupe de Suning via l’intervention d'un plan de sauvetage mené par un fond guidé par Alibaba, Xiaomi et Haier. Mais cet afflux de fonds financier pourrait ne pas s’avérer suffisant pour le Colosse chinois, dont sa fortune reste liée toujours de façon étroite à ses 8.800 magasins physique à travers le monde." "C’est d’ailleurs pour cette raison que Suning compte sur l’aide d’Alibaba pour améliorer ses services de livraison auprès de ces derniers. Alibaba est d’ailleurs le second actionnaire de Suning.com, et ce même si sa participation au nouveau fond créé ne fait pas augmenter sa propre participation. Suning devra faire face une perte d’environ 7 milliards de dollars pour l’année 2021 et son fondateur, Jindong Zhang, n’en sera plus l'actionnaire majoritaire lorsque le Fond d'Etat chinois va en relever 17%." Conséquence directe : Cela pourrait rapidement entraver le processus décisionnel, en particulier en ce qui concerne la vente d’actif, ce qui est toujours une étape nécessaire si le groupe veut rester à flot et.....L’Inter dans le viseur! "L’Inter devrait être la première vendue : Le club est évalué à 900 millions d’euros et présente ses propres problèmes financier : C’est un hobby trop coûteux : la perte des recettes durant la pandémie, sans oublier les millions nécessaires pour acquérir les joueurs, représente une saignée pour Suning. L’Inter, en tant que club sportif, n’apporte qu’une très faible valeur ajoutée au Core Business du groupe et tant que l’Inter ne sera pas vendue, les perspectives du groupe resteront floue." Oaktree s’en frotte déjà les mains….
  8. "Quitter la Super League, une fois la compétition lancée allait couter des centaines de millions d’euros." Telle est la révélation du Financial Times, qui aurait eu connaissance de documents interne relatif au projet Les 12 clubs se seraient accordés sur une clause de départ, en s’engageant à ne pas quitter la nouvelle compétition avant le mois de juin 2025. De plus, en cas de départ, un préavis d’au moins un an se doit d’être respecter. Qui plus est, le montant de la clause serait liés au flux d’argent disponible dans les caisses des clubs, ceux-ci devant s’engager, en cas de départ, à rembourser le financement initial de 3,25 milliards d’euros que JP Morgan s’était engagé à mettre en jeu Est-ce que les clubs sont réellement sorti d’affaires ? Florentino Perez s’est dernièrement exprimé en faisant état que les 12 clubs avaient signé des contrats contraignants. Etant les maitres du jeu, les clubs qui n’ont pas encore abandonnés la Super League pourrait également poursuivre en justice les clubs qui ont décidé de faire marche arrière. ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  9. Né en 1969, Nikos Stathopoulos est diplômé en "Business Administration" de l’Université d’Economie et du Commerce d’Athènes. Il dispose également d’une Masters en Business Administration qu’il a obtenu à l’Harvard Business School. Stathopoulos parle cinq langues: Le grec, l’anglais, le français, l'espagnol et litalien. C’est également un ami de George Clooney. Il aime jouer au basket et, dans le milieu du football, il a de la sympathie pour Chelsea. Il a travaillé durant trois ans comme consultant pour la Boston Consulting Group situé à Londres, avant de s’associer à Apax Partners Londres) où il a travaillé durant 7 années sur des opérations de rachats à travers toute l’Europe. Il rejoint la BC Partners en 2005 où il y officie désormais en qualité de Membre du Comité de Direction et de Président du Comité de la Gestion du Portefeuille, il est aussi le Responsable des investissements de l’aile TMT : le Technology, Media & Telecommunications). Il est également le Président du Conseil d’Administration de Cigierre, Dental Pro, Pharmathen et United Group. Il est le Vice-Président de Migros Turk, et il est membre du Conseil d'Administration d'Acuris, d'Advanced et de Springer Nature. Il y a deux ans, lors d’une interview au Financial Times, Nikos déclarait : "Investir est par-dessus tout une question de conviction. Nous devons acquérir des entreprises qui, non seulement grandissent, mais qui propose aussi plusieurs niveau de croissance. Sélectionner la bonne ressource ne suffit pas, car il faut également en être un excellent propriétaire." Reste à espérer qu’il se comportera comme tel, s’il vient à devenir le Futur Président de l’Inter…. Antony Gilles – Internazionale.fr
  10. En pleine crise, le conglomérat chinois cherche à répondre à la crise financière de notre équipe. Il cherche 200M$ en urgence. Voici une analyse parue dans le Financial Times. Le Suning fait tout pour lever au moins 200 millions de dollars rapidement, après que les finances du club se soient détériorées en raison de la pandémie et des lourdes dépenses consacrées aux joueurs. Suning Holdings, le conglomérat de vente au détail qui détient une participation majoritaire dans notre équipe, est à la recherche de nouveaux investissements d'ici la fin de l'année en réponse à une crise financière au club. Les défis de Suning avec l'Inter Milan surviennent alors que le détaillant, qui est soutenu par Alibaba de Jack Ma, est confronté à des questions sur son problème de la dette en Chine. Le club avait eu des discussions exclusives avec le groupe de capital-investissement BC Partners ces dernières semaines, mais ces pourparlers devraient se terminer après que les deux parties n'ont pu s'entendre sur l'évaluation. Le club continue de s'entretenir avec BC Partners ainsi qu'avec d'autres investisseurs potentiels, notamment des fonds d'investissements tels que Ares Management et Fortress Investment Group, propriété de SoftBank. Parmi les autres qui surveillent la situation, citons le groupe suédois de capital-investissement EQT et la société américaine Arctos. Ces discussions vont d'une acquisition pure et simple du club ou de l'achat d'une participation minoritaire. Le Suning travaille avec Goldman Sachs pour conseiller sur les options de collecte de fonds. Ces personnes ont ajouté que les négociations avec BC Partners avaient échoué sur l'évaluation du club, le Suning estimant qu'il valait plus de 900 millions d'euros, BC Partners valorisant le groupe à seulement 750 millions d'euros. Ces discussions sont devenues critiques en raison de la situation financière précaire du club, qui nécessite une injection de liquidités pour poursuivre ses activités la saison prochaine. Une personne proche de la direction du club a déclaré que le Suning s'était engagé à soutenir financièrement le club tout au long de cette année. Certains de ceux qui ont connaissance des discussions ont ajouté que le Suning était considéré comme beaucoup plus susceptible de vendre une participation au capital, même si cela signifie prendre une perte sur son investissement, plutôt que laisser le club de faire complètement faillite. Après avoir dépensé 270 millions d'euros pour acquérir le club en 2016, le Suning a autorisé à dépenser des centaines de millions d'euros sur des joueurs vedettes tels que Romelu Lukaku et Christian Eriksen pour un retour au sommet du football italien et européen. Nos Nerazzurri ont été confrontés à une crise financière au cours de l'année écoulée. Le club a subi une perte, avant impôts, de 102 millions d'euros la saison dernière, principalement en raison de déficits de revenus causés par la pandémie. Pendant ce temps, le Suning est également confronté à des pressions financières de Chine, ce qui a rendu difficile la poursuite du financement de notre club, notamment une récente répression des autorités chinoises contre les sorties de capitaux étrangers. Alors que la société basée à Nanjing a réussi à rembourser 1,5 milliard de dollars de dette à la fin de l'année dernière, ses obligations restantes sont énormes. Le groupe dispose de 1,2 milliard de dollars supplémentaires d'obligations à échéance cette année - plus de la moitié de l'encours total de sa dette, selon les données de Dealogic. Zhang Jindong a également promis au cours des derniers mois des actions de sa propre société à Alibaba. Une telle décision est un mécanisme couramment utilisé par les entreprises et les actionnaires chinois pour obtenir des fonds pour le refinancement ou le fonds de roulement. Le Suning et l'Inter Milan ont refusé de commenter sur ce point. BC Partners, Fortress et Ares n'ont pas immédiatement répondu sur ce point également.
  11. Milan - Greg Carey, responsable de la Division Sports et Finances de la Goldman Sachs, s’est livré au Financial Times sur les motifs qui ont poussés l’Inter, a émettre des obligations à hauteur de 300M€ avec une échéance en 2022 et un taux de 4,875%. "Nous avons développé une structure qui constitue une assise financière solide, en veillant à ce que les créanciers soient payés, et en inculquant de la discipline dans le club. Cette opération offre des sommes énormes supplémentaires pour le budget de l’Inter, cela va permettre au club de se gérer sans avoir à compter sur le soutien de sa propriété : le Suning." Le Financial Times souligne également que l’Inter est bien plus ferme, solide et avantageuse que le Milan, Cela passe aussi par l’aspect financier, vu que le taux d’intérêt de l’Inter est nettement plus bas que celui octroyé aux Rossoneri. De plus, le Milan est dans le dur, vis-à-vis de l’obtention d’un refinancement de sa dette avec Elliott. "L'émission des obligations a garantit à l’Inter une une injection de liquidités de 82 millions d’euros. Et l’opération a été un "succès", vu la réponse du marché (la demande double par rapport à l’offre)". ®Antony Gilles – Internazionale.fr

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