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  1. Alessandro Bastoni manquera Inter-Juventus. Il n'y aura pas de défenseur après la blessure subie contre Porto mardi en seconde période. Voici le communiqué de presse officiel émis par les Nerazzurri après les examens qu'il a subis ce matin. " Alessandro Bastoni a subi ce matin des tests clinico-instrumentaux à l'Institut Humanitas de Rozzano. Les examens ont montré une distraction des muscles fléchisseurs de la cuisse gauche. Ses conditions seront réévaluées la semaine prochaine ", lit-on. Pas de Juventus, temps de récupération d'environ 15 jours, il tentera donc de revenir pour la reprise du championnat contre la Fiorentina. Traduction Lindt1908 Via FcInter1908
  2. En effet, Simone Inzaghi doit avoir les oreilles qui sifflent, car s'il ne se montre pas à la hauteur des espérances placées en lui, il pourrait purement et simplement prendre la porte. Deux successeurs sont déjà désignés, deux personnalités d'ailleurs très bien connue de Romelu Lukaku! Antonio Conte Soit le retour de l'Homme du 19ème Scudetto, de l'Homme qui fait de Romelu Lukaku, le meilleur joueur de la saison du Tricolore et pour le Times: "Antonio Conte est de retour en fonction après avoir séjourné en Italie durant trois semaines suite à l'ablation de la vésicule biliaire, et cette pause a également renforcé son désir de rentrer chez lui à la fin de la saison" "Et si l'ancien entraîneur de l'Inter et de la Juventus se concentre évidemment sur le terrain, avec la rencontre face à l'Ac Milan à portée de main qui pourrait lui permettre de se qualifier, une élimination européenne de Tottenham verrait les chances de voir Conte et le club se séparer en fin de saison, à l'expiration de son contrat, augmenter." "Si les Spurs ont la possibilité de lui prolonger son contrat d'un an, l'entraineur a déclaré qu'il ne resterait la saison prochaine que s'il était heureux, et il est prévu qu'il retourne en Italie cet été. Et bien plus qu'une ambition légitime, c'est peut-être l'envie de rentrer au pays qui fera la différence. Conte vit à l'Hôtel depuis qu'il est arrivé à Londres et il a souvent fait part d'un manque familiale, une famille qu'il tente toujours de joindre dès que possible." Mais où entrainer la saison prochaine ? "L'Inter qu'il a emmené au Scudetto en 2021 s'est renseignée de manière informelle, il pourrait y avoir un intérêt de la Roma si José Mourinho part alors qu'il lui reste un an de contrat, comme cela a été évoqué en Italie. L'Ac Milan s'était intéressé à Conte en 2017, mais il risque d'être trop exigeant pour eux même s'ils se séparent de Stefano Pioli, actuellement sous pression suite à sa défaite 2-1 face à la Fiorentina et une cinquième place en Serie A. Si la Juventus aurait aimé recruter Conte, elle est plongée dans un scandale financier qui rend tout retour improbable". Thomas Tuchel Soit le pire choix possible pour Romelu Lukaku! Comme le révèle la Gazzetta Dello Sport: "L'allemand a étonné l'Europe du Football en remportant la Ligue des Champions avec Chelsea en 2020-21, mais le nouveau propriétaire des Blues l'a remercié en septembre dernier." "Après avoir pris quelques mois de repos, il est maintenant prêt à se lancer à nouveau dans la bataille. Et avec Mauricio Pochettino (qui le devance), il est le candidat le plus sérieux pour reprendre le banc du Real Madrid, même si Raul et Arbeloa sont également en lice, si jamais Carlo Ancelotti accepte l'offre de la Fédération Brésilienne de Football ou si Florentino Perez choisit, en fonction d'un manque de résultat, de se séparer de l'entraîneur italien à un an de la fin de son contrat ." "Tuchel a un profil international qui en impose, lui qui a déjà coaché le Borussia Dortmund, le Paris-Saint-Germain et les Blues de Chelsea. La fin de son aventure à Londres l'a amèrement déçu et il a en lui un grand désir de revanche. A Paris, certains regrettent de l'avoir limogé trop vite, tandis qu'en Angleterre, de nombreuses rumeurs font état d'une cour de la part de Tottenham si Antonio Conte ne prolonge pas l'aventure, sans oublier West Ham. "Tuchel a également ses admirateurs en Italie aussi : L'Inter le tient en très haute considération et si la fin de saison d'Inzaghi n'est pas à la hauteur des attentes, il pourrait faire partie du "Casting" de Giuseppe Marotta et Piero Ausilio. Mais attention à la Roma qui, si elle ne retient pas Mourinho, pourrait miser sur un entraîneur avec une carrière dans un grand club" Selon vous, Inzaghi sera-t'il limogé en fin de saison ? Si oui, qui de Conte ou de Tuchel recruter si cela s'avère possible ? ®Antony Gilles - Internazionale.fr
  3. C’est, en effet, l’analyse de la Repubblica et de la Gazzetta Dello Sport suite à la performance de l’Inter face à Lecce: "Cela ne devrait pas être une annonce, mais en ces-temps, c’est le cas : L’Inter a battu sans forcer Lecce à domicile, contredisant donc le paradoxe que les matchs difficiles deviennent faciles, alors que les matchs annoncés abordables lui sont sacrément compliqués." Analyse de la Repubblica "Les Nerazzurri ont fait le Job en prenant également trois points à l’Ac Milan battu par la Fiorentina, dans la course à la Ligue des Champions, et en répondant à l’exploit de la Lazio qui a battu le Napoli. La Logique simple d’Inzaghi a donc fonctionné : Il a mis sur le terrain Çalhanoğlu et non Brozovic, car le Turc est le Regista de cette année. Il a préféré Dzeko à Lukaku car en ce moment, il est le meilleur. Il a insisté pour faire jouer Mkhitaryan en qualité de titulaire, malgré une fatigue évidente, car il n’a personne d’autres dans son noyau présentant ses caractéristiques." "L’entraineur de Piacenza n’a pas laissé de place à l’improvisation, mais il a misé sur sa solide base surtout lorsque celle-ci tourne bien et que si pour une bonne partie du spectacle, son adversaire est endormi: A présent, pour rendre fier les Interiste, il faudra l’emporter vendredi prochain face à la Spezia et se qualifier en Ligue des Champions à Porto." Fail Brozo C’est la révélation de la Gazzetta Dello Sport: "Brozovic, en ce moment, n’est plus le Regista titulaire de l’équipe, ce poste, il se l’est vu soufflé par Çalhanoğlu, avec Mkhitaryan qui a toujours occupé le poste de titulaire en Mezzala en 2023, sans oublier Barella..." "Le Croate pour parvenir à reconquérir un maillot dans la formation initiale devra retrouver une condition physique perdue et la grinta qu’il avait lors de sa période dorée. A la Pinetina, nombreux, incluant ses équipiers, l’ont vu différent de celui qu’il était, plus sombre, moins souriant : A Bologne, alors qu’il portait le brassard de Capitaine, il a laissé expliquer le KO et la très mauvaise prestation devant les caméras à Lautaro : Il n’a pas pris ses responsabilités et la Direction en a pris note." "Avec le Club, et suite à la complicité de l’affaire entourant son kinésithérapeute, les rapports se sont détériorés et si une offre retenue comme valide sera présentée, il sera sacrifié: Le mieux est qu’elle se présente avant le 30 juin pour équilibrer les comptes pour la saison 2022-2023, mais il reste, avant, une saison à finir avec la sensation qu’il faut viser la seconde place, continuer le parcours en Ligue des Champions et remporter la Coupe d’Italie et pour y parvenir, Inzaghi aura besoin de la meilleure version de Brozovic, avant de se dire aurevoir après une histoire de huit années et demie, débutée le 1er février 2015 par une défaite à Sassuolo sur le score de 3-1 e 2015." Vu l’état de forme d’Hakan Çalhanoğlu et la possible arrivée de Franck Kessié, pensez-vous qu’il soit judicieux de vendre Marcelo Brozovic, fantomatique en club cette saison mais brillant en Coupe du Monde ? ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  4. Ce jeudi 23 février rentrera dans les anales tant la scène qui s'est déroulée au Stadio Artemio-Franchi est surréaliste: La Var déjugeant la Goal-Line Technology! Retour sur cette situation via nos confrères d'Ouest France "Une scène qui alimentera les débats sur l’arbitrage. Jeudi 23 février, en barrage retour d’Europa Conference League, les joueurs de la Fiorentina se sont qualifiés face à Braga (victoire 3-2 au retour et 7-2 en cumulé) ont vécu un ascenseur émotionnel à la 49e." Un problème informatique ? "Au retour des vestiaires, alors que Braga menait 2-1, l’attaquant de la Fio, Cabral, coupe un centre à l’entrée des six mètres (49e) et malgré l’intervention du gardien portugais, l’arbitre français indique que sa montre a vibré. Il valide donc le but grâce à la goal line technology. D’après les images, le ballon est bel et bien rentré pour quelques millimètres. Mais la VAR appelle Benoît Bastien à redoubler de vigilance et d’aller lui-même consulter les images. Après six minutes de tergiversation, l’arbitre finit par annuler le but qu’il avait accordé." "Cette décision remettant en cause la technologie est assez inédite. Elle n’aura toutefois pas d’impact sur le résultat de ce barrage retour. La Fiorentina s’est finalement imposée 3-2, avec des réalisations de Saponara (58e) et de Cabral (83e) après l’interruption. Cabral s’est d’ailleurs permis de chambrer Benoît Bastien sur la célébration de son but." Et il a encore fallu que ça tombe en Italie! ®Ouest-France.fr
  5. De la Juventus à Milan, en passant par l'Inter, la Fiorentina et Naples. Les sujets abordés par Giuseppe Bergomi dans son interview exclusive à TuttomercatoWeb.com sont nombreux. Alors, la Juventus ? "Ce n'est pas une situation facile, il y a eu mille problèmes et trouver la continuité n'est pas facile. Il y a des jeunes mecs qui pourtant sentent le vestiaire et le vivent. Contre Nantes, la Juve a fait une bonne première mi-temps, puis elle a baissé, attend l'adversaire... Il faut qu'elle trouve la continuité, mais je comprends les problèmes." Comment jugez-vous la saison d'Allegri, qui se définit de plus en plus comme 'un résultat et c'est tout' ? "Je le respecte. Il n'y a pas de bonne ou de mauvaise façon d'obtenir un résultat. Si vous regardez la saison des Bianconeri, ils ont fait une erreur complète en Ligue des champions, mais ils seraient deuxièmes en Serie A. Bien sûr, la Juventus commence toujours pour gagner, si elle ne le fait pas, il y a des critiques. Cependant, dans les difficultés, ce n'est facile pour personne. Nous devons tous ramer du même côté et avoir une société cohésive." Comment avez-vous la performance de la Viola contre Braga ? "Sur le papier, je pensais que la Fiorentina avait le match le plus difficile. Mais au lieu de cela, ils ont gagné, jouant avec la bonne hargne, ayant un bon impact sur le match. Il y a des données incroyables sur la Viola : ils sont deuxièmes pour la possession du ballon en Serie A, et ils le font dans la moitié de terrain adverse, ils tirent plus de corners que n'importe qui d'autre, ils sont quatrièmes en termes de tirs... Il n'y a vraiment pas de finition, mais hier tu as trouvé les buts des attaquants. Félicitations !" Maintenant l'Inter. La Curva Nord a pris position contre Inzaghi. Pensez-vous aussi que vous osez trop peu ? "Inzaghi fait un excellent parcours. Il a hérité d'une équipe qui avait remporté le Scudetto mais sans pièces importantes. Il a ramené deux coupes et joué pour le championnat lors de sa première saison, a remporté une coupe, est toujours en Ligue des champions et en Coupe d'Italie en seconde... A Gênes, l'Inter a fait 23 tirs au but, puis nul et c'est de sa faute, mais ce n'est pas comme ça que ça marche, je ne suis pas dupe du résultat, il y a trop de critiques pour l'Inter. Malheureusement, ils ne dribblent pas beaucoup, il faut toujours aller au but par le jeu et ce n'est pas facile. Je suis pour Inzaghi." Est-ce que retirer le brassard de Skriniar et choisir Lautaro comme capitaine du présent et du futur est le bon choix ? "Je pense que oui. L'Inter a reconnu le professionnalisme de Skriniar mais il n'a pas adhéré au projet et c'est donc juste de donner un signal. Il Toro a trouvé la continuité de la performance, il a le caractère requis pour être capitaine." Brozovic et Skriniar, dans un certain paramètre zéro. Soyuncu, Smalling, Pereyra et Kessie sont-ils les bons noms ? "L'Inter devrait être laissée tranquille car ils ont des matches importants à jouer. L'Inter a dû céder lors des derniers mercatos sans accepter de transfert, ce qui les a aidés financièrement parlant. Elle est restée haute, mais rappelons-nous d'où elle est partie. Les noms cités sont tous bons, mais il faut de la sérénité. Tout semble négatif autour de l'Inter dès qu'ils font des plans, mais ils ont tendance à bien fonctionner sur le marché en fonction des ressources disponibles." Le Milan est-il sorti de la crise ? "Ils ont retrouvé leur style et c'était bien. C'est une équipe qui a décidé de se couvrir davantage, je le comprends très bien. Mais en se couvrant ils sont redevenus agressifs. Ce n'est pas ce spectaculaire Milan qui est venu prendre l'adversaire très haut. Mais en attendant il n'encaisse pas de but. Il est sur la bonne voie, mais tout s'est joué en un mois." Napoli peut-il gagner la Ligue des champions? "Le Napoli est notre meilleure équipe, très bien construite. Le mérite revient au club qui a bien travaillé pendant des années, du directeur sportif qui sait choisir et de Spalletti qui est un génie du football. Il trouve de nouveaux postes, il fait en sorte que les joueurs soient au meilleur de leur forme. Il peut aller très loin en Ligue des champions, s'il peut jouer avec tous ses atouts. C'est une équipe européenne, rapide et bien structurée. Je ne sais pas quoi ajouter d'autre." Traduction alex_j via Tuttomercatoweb.
  6. Henrikh Mkhitaryan est aujourd'hui le protagoniste d'une interview avec Dazn. Cela commence avec le match contre Naples pour la première place. "Il reste encore beaucoup de matchs, tout est possible. On va se battre jusqu'au bout, le plus important c'est de ne perdre aucun point et après on verra où on en est." Qu'est-ce que ça fait de gagner deux derbies en 18 jours ? "Dingue. Nous voulions les gagner. Le premier en Supercoppa était pour un titre, nous étions très heureux. Avec cette confiance, nous nous sommes également préparés pour celui du 5 Février. Nous avons également mérité de gagner ce match. Nous sommes heureux que Milan est pour les nerazzurri !" Avant ces matchs, aviez-vous l'impression d'être si supérieur ? "Nous étions un peu surpris mais nous étions prêts. Nous étions supérieurs." Les critiques du début de saison, vous ont-ils agacé ou stimulé ? "Les premières critiques, c'est nous-mêmes. On s'est parlé et on s'est compris. Peu importe ce qui s'est passé avant, l'important est ce qu'on peut faire après. On s'est parlé dans le vestiaire, on est une famille et tout peut arriver dans une famille. L'important est de se parler, de se comprendre et de continuer à se battre pour ce maillot." Comment Skriniar vous a-t-il fait part de ses adieux ? "Je suis très triste mais je dois accepter son choix, c'est sa carrière et il est responsable de ses choix. Je dois le remercier d'avoir joué avec moi. Il méritait ce titre de capitaine. Maintenant Lautaro l'a mais nous savons que le capitaine a toujours été Handanovic. Skriniar est toujours très fort même sans ce brassard." Que pensez-vous si vous revoyez le but contre la Viola, le premier avec l'Inter ? "Quand j'ai vu Dzeko le donner à Barella, j'ai vu de l'espace et j'y suis allé même si j'étais très fatigué. J'ai vu que le défenseur voulait le frapper et j'ai posé le pied pour le toucher. L'instinct m'a récompensé." Pour les fonctionnalités, vous sentez-vous toujours comme un 10 ? "Oui et ça me manque parce que j'ai toujours aimé jouer derrière les attaquants. Mais la victoire me donne satisfaction, même si j'aimerais y jouer un peu plus à ce poste." Le défenseur le plus difficile à dribbler ? "Personne (rires, ndlr)." Le secret d'un vestiaire gagnant ? "La mentalité." L'idole des enfants et que lui voleriez-vous ? "Zidane, je volerais sa vision et sa technique." La plus grande déception de votre carrière ? "En 2019, je n'ai pas pu jouer le match de la Ligue Europa en Azerbaïdjan." Quel jeune talent vous impressionne le plus ? "Ce n'est plus un jeune homme mais Barella." Le compagnon toujours prêt pour une blague ? "Bastoni !" Le match le plus dur de cette année ? "Barcelone au Meazza. Ils nous ont donné beaucoup de confiance. Nous sommes très forts mais gagner ici et faire match nul là-bas nous ont donné confiance et nous avons construit notre chemin là-dessus." Vous arrive-t-il de chanter chez vous ? "Oui, ça m'arrive. Si nous gagnons le Scudetto cette année ou l'année prochaine, je chanterai une chanson d'Al Bano." Qu'est-ce qui vous rendrait heureux ? "Gagner d'autres trophées. Le plus important serait le Scudetto, mais je ne m'arrêterai pas." Êtes-vous droitier ou gaucher? "Une fois en France, mon père est revenu de l'entraînement et a demandé du thé. J'étais petit, je mettais mes mains sur l'assiette avec la tasse et je me brûlais en me versant de l'eau bouillante. Dès lors j'avais peur d'écrire avec ma main droite et j'écris avec ma main gauche. Mais je joue avec le pied droit sur le terrain." Traduction alex_j via FCInter1908.
  7. Matteo Darmian est le protagoniste de l'interview de Dazn, avec Davide Calabria, en vue du derby Dimanche. Votre enfance footballistique. "Le football a toujours été dans ma famille, surtout de mon père qui est fan de la Fiorentina. Au début, j'ai regardé la Fiorentina, l'ère Gabriel Batistuta et Rui Costa. Mais ensuite, j'ai grandi et regardé des matchs des Nerazzurri. Arriver dans le club que vous souteniez depuis que vous étiez enfant est certainement une chose fantastique et cela vous pousse certainement à faire plus et à donner le meilleur de vous-même." Vos essais au Milan AC. "Quand j'ai eu l'un de mes premiers essais à Milan, ils nous ont donné une sorte de questionnaire dans lequel ils nous demandaient qui était notre joueur préféré. J'ai répondu Clarence Seedorf qui jouait à l'Inter à l'époque. J'ai commencé comme milieu de terrain, puis j'ai reculé année après année. En grandissant à Milan, j'avais comme références des monstres sacrés, comme Maldini et Nesta." Qu'est-ce que l'ADN Inter ? "Je pense que c'est fait de beaucoup de passion, mais un peu de folie aussi. C'est la beauté de vivre dans le monde Inter." La relation avec les supporters. "Je suis arrivé alors que les stades étaient vides à cause du Covid et les supporters nous ont toujours manqué car ils font partie intégrante de notre monde. On est content de les avoir, ils nous donnent un gros coup de pouce, et on sait que les supporters de l'Inter essaient toujours de t'encourager et de te donner un coup de main. Et nous essayons toujours de leur donner satisfaction." Rêves. "Lorsque vous êtes enfant, vous avez de nombreux rêves, l'un d'entre eux est sûrement de gagner le Scudetto. Venir dans un grand club et remporter tant de trophées, l'Inter en Italie m'a donné cette opportunité. Avec le recul, c'était très beau, un parcours difficile, fait de sacrifices mais ça valait le coup." Darmian l'homme aux buts importants. "Comment ai-je fait ? Il n'y a pas de secret, avec le travail. Ensuite, j'étais là au bon moment et ça a marché pour moi. Les buts contre Vérone et Cagliari ont été importants pour gagner le Scudetto. Ils ont aidé l'équipe à gagner deux matchs compliqués et nous avons gagné 1-0." Les derbies. "Ils se vivent toujours d'une manière particulière, ce sont des matchs à part. Je pense que c'est LE MATCH en ce qui concerne le fan de l'Inter ou du Milan. Tu respires un air différent par rapport aux autres matches, l'ambiance, San Siro, la ville... c'est quelque chose d'unique." Le derby du 5 février 2022. "Ce match était un peu particulier. Nous avions l'avantage mais nous n'avons pas pu le gérer et nous avons dû revenir. Il y a certes une grande envie de revanche mais pas seulement pour ce match ; je pense aussi au derby aller de cette année que nous avons perdu, c'est certainement quelque chose qui nous est resté en travers et que nous voulons racheter." Traduction alex_j via FCInter1908.
  8. Francesco Toldo, le gardien légendaire de la Nazionale Italienne et finaliste de l’Euro 2000, mais aussi Numéro Un de la Fiorentina et de l'Inter s’est livré à l’Ansa. Et 12 ans après avoir arrêté toute activité professionnelle, Toldone se décrie de la sorte : "Je n'ai aucune nostalgie", même s’il suit les matchs de la Coupe du monde depuis son canapé et aime deviner où l'attaquant tirera le penalty, "et je le devine presque toujours". Par le passé, l’issue d’un pénalty semblait toujours acquise, mais cette Coupe du Monde semble marquer une tendance vers une issue moins prévisible du tir des 11 mètres: "Il est toujours intéressant de comprendre ce qui se passe, de prêter attention aux détails. Il ne s'agit pas seulement d'une question de chance, mais de "se mettre dans la tête" du tireur. Après tout, il y a trois possibilités : A droite, à gauche et au centre. Et ll te faut de l'intuition, ce n'est qu'avec beaucoup d'expérience que tu peux comprendre les intentions du tireur. Ce sont des moments où les deux se regardent dans les yeux et s'envoient des messages." "Il y a aussi la lecture du corps, pour deviner comment il va se déplacer: Et ce langage corporel, vous savez le lire en tant que gardien de but car pour le tireur, c'est un test mental, même pour le plus confiant des attaquants. Certains joueurs peuvent même être conditionnés par des erreurs commises dans leur jeunesse. Dans ces moments-là, l'attaquant doit éliminer sa peur". "Pour le gardien, par contre, c'est un peu comme le jeu du chat et de la souris, sauf que le "chat" est le gardien de but et il s'agit de travailler davantage sur le mental que sur le corps. Si vous restez immobile, vous pouvez rendre nerveux celui qui doit tirer. Cela m'est arrivé avec Kluivert qui, voyant que je ne bougeais pas, a tellement incliné son tir qu'il a touché le poteau. La même chose est arrivée à Kane face à un Lloris fixé sur sa ligne de but et lui qui n’a pas cadré." La taille des gardiens de buts "Oui, c'est aussi une question de centimètres, étendre les bras, bouger, avoir une certaine attitude peut conditionner l'attaquant. Je me souviens de Grobbelaar de Liverpool contre la Roma, ou de Dudek contre l'Ac Milan. Les gardiens de but sud-américains sont un vrai spectacle de ce point de vue.... Finalement, c’est bien plus facile de les parer en match qu'à l'entraînement." ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  9. C’est une révélation de la Gazzetta Dello Sport, "Nous nous rapprochons de plus en plus du départ définitif de Samir Handanovic en fin de saison, et l’Inter est déjà partie à la recherche du futur numéro 12 qui viendra soutenir André Onana... La dernière idée en date est de cibler un ancien qui avait les faveurs du club, et qui est en recherche de rachat : Ionit Radu ! Non, on déconne "Alessio Cragno a toujours été dans les petits papiers de Piero Ausilio, avant même l’arrivée d’Onana à Milan, et l’Inter avait d’ailleurs plus d’une fois pensé à lui pour le placer en concurrence d’Handanovic, en proposant un gardien de grande fiabilité. A présent, à l’Inter, si beaucoup de choses ont changés, l’appréciation de l’ancien numéro de Cagliari, elle, elle n’a pas faibli même s’il est à présent le réserviste de Di Gregorio, qui a fait l’école Nerazzurra, à Monza. "Il est arrivé au club de la Brianza en prêt avec un droit de rachat qui deviendra une obligation à la condition d’être maintenu en Serie A pour une somme abordable, à savoir un peu moins de 4 millions d'euros. Il existe donc une certaine prémice économique pour tenter le coup durant l’été, à condition qu'aucun autre club ne parvienne à obtenir Cragno en janvier car il veut jouer et un départ de Monza est une hypothèse sérieuse : La Fiorentina y réfléchi." "L'Inter, de son côté est observatrice et est prête à s’offrir Cragno en qualité de Vice-Onana, suffisant pour le convaincre ?" ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  10. En effet, Joaquin Correa va très rapidement retrouver l'Inter, lui qui a été exclu de la liste des joueurs convoqués pour la Coupe du Monde. Révélation du Corriere Dello Sport "La Coupe du monde de Nicolas Gonzalez et Joaquin Correa est déjà terminée. En effet, hier sont arrivées l'une à la suite de l'autre les officialisation des forfaits des attaquants de l'Inter et de la Fiorentina. Et si le Sélectionneur National, Lionel Scaloni, avait parlé de "changements" immédiatement après le match amical contre les Émirats-Arabes-Unis en raison d'une mauvaise condition physique de certains joueurs, nous en savons plus à présent." "Pour le joueur de la Viola, il s'agit d'une blessure musculaire "mise en évidence après l'entraînement", qui fait suite à son début de saison tourmenté à Florence avec seulement 6 apparitions en Serie A et une absence qui remonte au 22 octobre." "Pour le "Tucu", qui avait également inscrit l'un des cinq buts argentins lors de ce match amical, il s'agit d'un problème au genou gauche qui serait lié à la blessure au tendon de l'articulation dont Correa a été victime lors du match aller face au Fc Barcelone et qui l'a obligé à manquer le match de Serie A suivant contre Sassuolo ainsi que le match retour contre les Catalans. Depuis lors, et malgré son retour sur le terrain, la douleur se faisait régulièrement ressentir: Et hier, même le Tucu s'est limité à travailler dans le gymnase, la décision du Staff Technique albiceleste est tombée dans la soirée." ®Antony Gilles - Internazionale.fr
  11. Alors que la Coupe du Monde commence le Dimanche 20 Novembre 2022, FCInterNews par l'intermédiaire d'Alessandro Cavasinni pousse un coup de gueule concernant le traitement médiatique de l'Inter, tout en soulignant que la direction interiste a sa part de responsabilité. Heureusement que maintenant nous entrons en hibernation et nous ne revoyons, du moins en ce qui concerne le terrain, qu'au début de Janvier 2023. Parce que franchement, nous commencions déjà à en avoir assez de ce cirque médiatique habituel toujours sur le pied de guerre pied quand il s'agit de l'Inter et puis soudainement en paix quand, d'un autre côté, il y aurait d'autres équipes à taper dessus. Le dernier exemple en date c'est le fameux match de Sozza lors de Milan-Fiorentina (celui de l'Inter-Roma) pas du tout correctement assisté par Fabbri à la VAR. On sortait d'une journée de championnat en milieu de semaine où un entraîneur, Thiago Motta pour ne pas le nommé, avait focalisé l'après-match d'un match perdu 6-1 sur un épisode douteux qui a découlé sur le 2-1. Un éclat recueilli et relancé bien au-delà du bon goût au regard du déroulement du match au Meazza. Et ce qui s'est passé après Fiorentina-Inter est encore clairement gravé dans les mémoires, avec un tas de polémiques disproportionnées et d'épisodes d'arbitrage passés au crible pendant des jours et des jours, comme s'ls n'avaient que ça à faire. Au-delà du fond, la forme impressionne et interroge. Hier et aujourd'hui, après le Milan-Fiorentina 2-1, rien de cela! Ceux qui s'indignaient du coup de Dzeko ou du presque rouge de Dimarco, ont cette fois décidé de faire un minute de silence, sans déclencher aucune discussion sur l'arbitrage et sans craindre on ne sait quels complots. C'est aussi la faute à l'Inter qui continue de sous-estimer l'impact de la communication en l'an de grâce 2022, enfin presque 2023. La perception conditionne et n'est absolument pas naïve du tout. Elle se répercute chez les protagonistes et chez les supporters, elle crée des spirales émotionnelles capables de modifier même les événements sur le terrain. Une défense saine serait souhaitable, bien sûr, mais il manque évidemment quelque chose de ce point de vue dans les salles de Viale della Liberazione. Pourtant ils l'appelaient "Ligue Marotta". Traduction alex_j via FCInterNews.
  12. Tuttosport nous livre une statistique impitoyablement intéressante concernant les performances à domicile et à l'extérieur de l'Inter d'Inzaghi. Atalanta-Inter devrait être l'occasion pour l'équipe d'Inzaghi de se relancer pour les matches à l'extérieur où les Nerazzurri ont perdu face à la Lazio, la Juventus, l'Udinese et le Milan. Voici l'analyse de Tuttosport. "L'Inter d'Inzaghi est un rouleau compresseur chez elle. Depuis qu'Inzaghi a repris les rênes de l'équipe, donc à partir de l'été 2021, l'Inter a joué 26 matchs à domicile en championnat et a enchaîné 20 victoires, 3 nuls et 3 défaites pour une moyenne de 2,42 points par match (67 buts marqués contre 20 encaissés). Seuls le PSG et Manchester City, en Europe, ont fait mieux au cours de cette même période (Août 2021 / Novembre 2022). L'écart avec les équipes italiennes est également très net: Milan a une moyenne de 2,23, Napoli de 2,12, la Juventus et la Fiorentina de 2 (toutes les autres sont à moins de 2 points)." "En revanche, à l'extérieur l'Inter d'Inzaghi a récolté quatre défaites et seulement trois victoires en sept matchs, contre Lecce, Sassuolo et la Fiorentina, pour une moyenne de 1,29 de points par match de seulement. Elle est loin des équipes en tête de ce classement, à savoir PSG à 2,75, Naples à 2,71, Real et Barcelone à 2,57, mais également des autres équipes italiennes, Lazio, Atalanta, Roma, Milan et Juventus, toutes au-dessus de 1,30. En ne prenant en compte que les équipes qui ont participé à la Ligue des champions, seuls quatre ont jusqu'à présent réalisé une pire performance à l'extérieur que de l'Inter, à savoir Séville(1,14), Bayer Leverkusen (1), Leipzig (0,86) et de manière incroyable Liverpool (0,83)." Traduction alex_j via FCInterNews.
  13. Henrikh Mkhitaryan est le joueur qui s'assoit aux côtés de Simone Inzaghi en conférence de presse d'avant match contre le Viktoria Plzen. Voici les propos du milieu de terrain arménien. Où peut aller cette Inter ? "Nous voulons monter le plus loin possible, il y a encore place à l'amélioration car ce n'est pas encore l'Inter que nous voulons. Nous devons travailler davantage avec toute l'équipe, il y a un grand potentiel et nous ne sommes pas satisfaits de cela." Sur le groupe de la Ligue des champions et la possible qualification. Qu'est-ce que cela signifierait de passer dans ce groupe ? "Nous ne sommes pas encore passés, il reste deux matchs. Au début, personne ne croyait en nous car le groupe était difficile. Mais nous avons cru en nous et avons montré qu'avec cette équipe nous pouvons atteindre les objectifs que nous voulons. C'est celui de demain." Vous avez écrit sur Instagram après Sassuolo "le début du retour". Dans quel aspect avez-vous le plus progressé ? "Ce que nous écrivons sur Instagram est pour les réseaux sociaux, ce n'est pas ce que nous pensons. Après Barcelone, j'ai dit que nous avions tourné la page, nous savions que nous ferions mieux match après match. Contre Sassuolo, c'était difficile de gagner. Au Camp Nou tout le monde a vu ça on voulait gagner. Demain, c'est le match le plus important du groupe, plus encore que la double confrontation avec Barcelone. Il faut être parfait." Maintenant tu réagis toujours après les buts de tes adversaires, qu'est-ce qui a changé ? "Je ne suis que 4 mois à l'Inter, je ne sais pas comment c'était avant. Je peux dire qu'on s'est parlé et on a compris qu'il faut jouer jusqu'au bout. Peu importe ce qui se passe pendant le match, il y a 95 minutes et non 90. C'est arrivé aussi à Florence, après le 3-3, on n'a pas lâché ni baissé la tête. On s'est dit que c'était le match de notre vie, j'ai tiré après que Dzeko ait pris le ballon, sachant que Barella me le donnerait." Qu'est-ce que Lukaku vous apportera de plus ? "C'est un joueur très important, on l'attend comme Brozovic. On a besoin de tout le monde, il n'y a pas que les 11 titulaires. J'espère qu'avec son tempérament il va nous donner beaucoup. C'est un joueur avec l'envie de gagner et marquer des buts." Quelle erreur ne faut-il pas commettre ? "Les risques sont toujours là. La seule chose que nous devons faire est de jouer notre jeu. Il n'y a pas de matchs faciles, chacun cache des difficultés. Nous voulons gagner et aller en huitièmes." Comment voyez-vous la progression d'Asllani ? "L'entraîneur a trouvé la solution sans Brozovic, nous essayons de nous aider. Asllani a un grand potentiel, à mon avis il a une grande envie d'étudier et de s'améliorer. Nous l'aidons car nous savons que nous avons besoin de tout le monde." Pourquoi en êtes-vous arrivé si tard à la quadrature du cercle ? "Toutes les équipes ont des hauts et des bas. Nous avons mal commencé. Maintenant nous sommes dans un haut et nous voulons aller encore plus haut. La vie est comme ça, maintenant nous trouvons notre jeu. Il n'y a pas de place pour les erreurs, donc nous voulons gagner chaque match sans faire d'erreurs." Vous êtes un joueur polyvalent : où vous êtes-vous le mieux trouvé sur le terrain ? "Je me sens très à l'aise de jouer, peu importe où. Je me sens mieux près du but, mais j'aime aussi en tant que milieu de terrain parce que nous savons jouer en équipe. Il n'y a pas de différence en jouant aux côtés de Brozovic ou de Calhanoglu, nous nous comprenons très bien parce qu'ils sont bons." Comment vivez-vous cette expérience à l'Inter ? "Je me retrouve très bien. Je remercie mes coéquipiers qui m'ont aidé dès le premier jour à me sentir chez moi. Je ne suis pas encore au niveau que je veux. Je dois travailler pour être au niveau que tout le monde connaît. Je sais que je peux faire encore mieux." Traduction alex_j via FCInterNews.
  14. Sébastien Frey met un point final sur les polémiques suite à son post sur Instagram. En marge de la remise des prix du Temple de la renommée de la Fiorentina, Sébastien Frey est revenu sur les faits lors de ce Fiorentina-Inter, et ce, sur et en dehors du terrain. A commencer par son post Instagram où il a exprimé des plaintes envers la VAR qui lui ont valu les réponses piquantes de deux autres anciens Nerazzurri, Marco Materazzi et Ivan Zamorano. "J'ai été submergé par les insultes des fans de l'Inter alors que je n'ai rien écrit contre l'Inter ! J'ai juste a souligné qu'il y a eu des faits qui ont pénalisé la Fiorentina comme à d'autres occasions d'autres équipes ont été pénalisées. La VAR utilisée de cette manière est inutile. Mais, encore une fois, l'Inter n'a rien à voir avec cela. Ainsi, demain ils ne m'insulteront plus. Seuls les enragés du claviers et les haters continueront." Ensuite, il revient sur les affrontements dans les tribunes. "Florence n'est pas une ville violente. D'accord, il y a eu un fait violent à condamner mais ça se passe dans tous les stades tous les dimanches. Il y a des choses qui ne sont pas captées par les caméras. Ce n'est pas Florence, nous ne sommes pas des criminels. Ne commençons pas à accuser Florence, Florence est une ville de football, point final." Traduction alex_j via FCInterNews.
  15. Animateur de TMW Radio, Arturo Di Napoli a porté son attention sur les affaires de Fiorentina-Inter, un match empoisonné par les habituelles polémiques arbitrales et par certains comportements inacceptables. "Dimarco expulsé pour la faute sur Bonaventura ? Je pense qu'il a été averti pour sa jambe tendue car il ne méritait pas le carton rouge. En effet, la faute n'était pas intentionnelle. Sur le contact Dzeko- Milenkovic ? Je dis qu'il faut évaluer l'intensité même si je crois que le défenseur a perdu son avance car Dzeko a été malin. S'il avait sifflé la faute en revanche, ça n'aurait pas été un scandale." Affaire close. Traduction alex_j via FCInterNews.
  16. Théâtre social entre trois anciens joueurs de l'Inter. Zamorano et Materazzi n'ont pas aimé les plaintes de Sébastien Frey. L'après-match Fiorentina-Inter se poursuit sur les réseaux sociaux. Sébastien Frey, qui a joué à l'Inter et à la Fiorentina, s'est plaint des torts subis par la Fiorentina. Il a, cependant, oublié la faute de Jovic sur De Vrij qui menait au 3-3. "Je commence ce message en félicitant les deux équipes pour le spectacle d'hier soir. Malheureusement, le spectacle a de nouveau été entaché d'épisodes désagréables. Si l'Inter gagnait et parce qu'ils y croyaient jusqu'au bout, mais.... J'ai toujours été un PRO VAR parce que je crois que cela peut faciliter et aider tout le monde…. Utilisé comme ça (ou pas utilisé) peut-être que j'ai besoin de revoir ma façon de penser (malheureusement)." Vives réactions de deux anciennes légendes de l'Inter, Ivan Zamorano et Marco Materazzi. Zamorano a répondu à Frey comme suit, "Seba, va pleurer à l'église. Forza Inter." alors que Materazzi est plus direct, "Seba ne dit pas de conneries !". Traduction alex_j via FCInter1908.
  17. La Gazzetta dello Sport revient sur le triste après-match entre la Fiorentina vs Inter où les membres VIP florentins ont cru qu'ils étaient à la Coupe du Monde et ne se sont pas illustré par leur intelligence ni leur comportement. La Gazzetta revient sur les insultes proférées à l’encontre des officiels de l'Inter. "Les évènements de Fiorentina-Inter ne se sont pas arrêtés au coup de sifflet final. En effet, juste après, un nouveau match commençait et bien moins spectaculaire et beau que celui vu sur le terrain. Un match caractérisé par des insultes que Joe Barone et d'autres 'VIP' auraient adressées aux cadres Nerazzurri. En effet, 'Mafiosi' a été le mot entendu à plusieurs reprises et distinctement par Zhang, Marotta et Ausilio alors qu'ils quittaient la tribune VIP. Cependant, d'après le communiqué officiel de la Viola, ils demandent des excuses à l'Inter et à la Digos d’identifier les agresseurs du supporter interiste frappé d'un coup de poing tout en criant 'jette-le par terre'". La Gazzetta a ensuite commenté la position officielle de l'Inter. "Le président Zhang a été abasourdi par les insultes et les menaces qu'il a reçues lorsque, escorté par les hommes de sécurité du club, il a quitté les tribunes. Des dizaines lui ont crié dessus pour des délits de toutes sortes. Il a vécu en Italie pendant 6 ans et a étudié aux États-Unis, mais pour lui et comme d’autres, ce sont des scènes inconcevables. Dans le passé à Florence, cette triste scène était déjà arrivée à Adriano Galliani, lui aussi frappé d'une pièce de monnaie à la tête, à Andrea Agnelli, Pavel Nedved, Gian Piero Gasperini, Carlo Ancelotti et Luciano Spalletti." La Gazzetta explique qu’il ne s’est rien passé dans les vestiaires.. "Les infractions près du balcon de Franchi n'ont pas eu de suite dans le vestiaire car la porte de la salle des Nerazzurri est restée fermée. Barone a erré dans la zone et la tension était palpable (le parquet fédéral a-t-il noté quelque chose?). Mais il n'y a pas eu de nouvelle confrontation avec Marotta qui, en raison des connaissances au sein de la Lega, était sa cible principale. Pendant ce temps, la Fiorentina demande des excuses qui ne viendront pas car l'Inter se concentre uniquement sur le match de mercredi en Champions League. Quant à la vidéo de l'attaque contre le fan des Nerazzurri, la Digos a acquis les images et procède aujourd'hui à l'identification des personnes impliquées." Pour des détails, Stefano Agresti, journaliste, a commenté à La Gazzetta dello Sport ce qui s'est passé au Franchi samedi soir. "Le stade de la Fiorentina devient un cas. En effet, la tribune de ce stade, c'est là que depuis des années maintenant des incidents graves voire pire se sont produits. Des insultes continues aux entraîneurs adverses et aux managers des autres équipes, assis parmi la foule, menaces pour les supporters rivaux. Juste pour donner une dimension de ce qui se passe : ces pseudo-fans ont non seulement fait perdre patience aux chaleureux Spalletti et Gasperini, mais aussi au flegmatique Ancelotti. Presque un record." "Quand il s'agit d'applaudir pour condamner l’autre, tout le monde s'en sort dans les curvae car c'est plus facile. En réalité, à Florence, les pires épisodes se produisent presque toujours dans la tribune garnie par ceux qui peuvent s'offrir les billets les plus chers chers. Et la situation s'est aggravée depuis que le club est aux mains de Commisso qui ne fait rien pour apaiser les esprits autour de lui. Au contraire. Même si cela ternit l'image d'une ville sérieuse et belle, berceau et modèle de civilisation." "L'ennui, c'est que Commisso ne semble pas se rendre compte de l’absurdité de certaines positions. Un exemple. A Bergame, le 2 octobre, les fans ont offensé Commisso pour ses origines calabraises. Un épisode à condamner, bien sûr. Mais pour lequel le DG Barone a même invoqué l'intervention du gouvernement. Oui ! Le gouvernement ! Et pourquoi la même idée brillante n'a-t-elle pas été proposée lorsque, le 28 août, la Fiorentina a été condamnée à une amende pour des chants anti-sud contre les Napolitains ? En bref, insulte bien tant que tu ne le fais pas contre Commisso." Pour terminer, Maurizio Auriemma, questeur de Florence, est revenu sur l'attentat subi par un supporter de l'Inter dans la tribune. Selon ce qui a été appris, l’agresseur identifié est un homme âgé de 56 ans. "Un match de football ne peut être le prétexte pour calmer ses propres tensions et pulsions au sein même du stade. Samedi soir, le personnel est intervenu promptement. L'auteur de ce geste a été identifié et sera dénoncé et visé par des mesures appropriées. Les mesures répressives ou administratives n'aident pas toujours à résoudre le problème. C'est une question de conscience, de participation. Concernant l’absence de gestes barrière, le problème est résolu. Nous voulons aller vers une participation au stade sans gestes barrière. Cependant, je sais que le nouveau projet de restructuration de Franchi est remis en question avec les instances compétentes, de la municipalité au club, jusqu'à l'autorité de sécurité publique et la Serie A." Autrement dit, cet hurluberlu pourra recommencer. Un mot convient : pathétique ! Traduction alex_j via FCInter1908 et FCInterNews.
  18. L'Arménien marque le but vainqueur à la 95e minute après une rencontre palpitante au Franchi, avec Barella et Lautaro (x2) également inscrits sur la feuille de match. Résumé du match. Après Barcelone, nous nous sommes retrouvés avec un sentiment étrange en sachant que nous aurions pu gagner. Le match contre la Fiorentina a été une autre confrontation incroyable, avec retournements sur retournements. Et il avait des similitudes frappantes avec ce match au Camp Nou. En effet, la Fiorentina a fait 3-3 à la 90e minute, puis il y a eu le désespoir de voir une chance pour Mkhitaryan partir mendier avec 92 minutes au compteur, comme ce fut le cas avec Asllani en Ligue des champions. Mais une chose qui ne change pas, c'est le cœur de cette équipe, son altruisme, son désir d'apporter de la joie à tous les Interisti. Et c'est exactement ce qu'ont fait les Nerazzurri ce soir puisque Mkhitaryan a eu le dernier mot après 95 minutes. Trois énormes points que les hommes d'Inzaghi ont dû creuser très profondément pour les récolter. Barella a de nouveau marqué, tandis que Lautaro était tout simplement imparable. L'Inter était agressive dans le jeu, envoyant le ballon devant au bon moment pour causer des problèmes en continu. Dzeko est entré en jeu et s'est immédiatement impliqué, laissant le ballon à ses coéquipiers. Et pourtant, la Fiorentina a rendu les choses difficiles, même après avoir perdu 2-0 après 15 minutes. Kouamé et Ikoné ont été une vraie nuisance et il y avait aussi une foule bruyante à affronter. Mais l'Inter a finalement prévalu, remportant sa septième victoire en championnat de la saison. Les Nerazzurri comptent désormais 21 points après onze matches. L'Inter a pris un départ aussi brillant que le jaune du nouveau Third Kit. En effet, les Nerazzurri se sont retrouvés à 0-2 après 15 minutes grâce à deux buts fantastiques. Pas même 90 secondes ne s'étaient écoulées avant qu'ils ne prennent la tête, Correa et Lautaro travaillant pour récupérer le ballon devant et ce dernier passant à Barella, qui, malgré un léger déséquilibre, a pu battre Terracciano pour marquer son troisième but consécutivement. A la 15e minute, c'était au tour d'El Toro. L'Argentin a conduit vers le but et a réussi à laisser Martínez Quarta en poussière avant de tirer avec une frappe basse du pied gauche. C'était la démonstration parfaite de la façon d'aborder un match. Cependant, la Fiorentina n'était pas prête à baisser les bras et trouvait de l'énergie grâce à Ikoné, qui avait remplacé Gonzalez, blessé à la neuvième minute. Pendant ce temps, les rafales de Kouamé sur la gauche étaient également quelque chose dont l'Inter devait se méfier. C'est sur ce flanc que le but qui a ramené les hôtes dans le match est arrivé: Biraghi fit un centre intercepté par Bonaventura qui a envoyé une volée à côté du poteau. Cependant, peu de temps après avoir touché le ballon, Dimarco le tamponnant, entraînant un penalty après un contrôle VAR. Cabral le transforma et le 1-2. Le match s'est échauffé alors que les esprits s'échauffaient, avec plus d'un carton jaune distribué. Les Nerazzurri ont dû garder leur sang-froid en seconde période. Cependant, ils ont été accueillis par une Viola très offensive après le redémarrage. Italiano a décidé de faire jouer quatre attaquants, et cela a porté ses fruits à la 60e minute, l'enroulé du pied gauche d'Ikoné frappant le dessous de la barre et terminant dans le filet. 2-2 et les hommes d'Inzaghi avaient été rejoints. L'action n'allait pas s'arrêter. À la 67e minute, Barella a été repoussé par Terracciano suite à une passe fantastique de Dzeko, qui cherchait constamment à choisir ses coéquipiers après son entrée. C'est l'une de ces passes qui a conduit au troisième but de l'Inter : le Bosnien passa à Lautaro, bousculé par Terracciano. Après un autre contrôle de la VAR, le penalty a été confirmé et El Toro le transforma pour un 2-3. L'Inter était à nouveau devant. Mais la Fiorentina est revenue en jetant toutes ses forces et en forçant les Nerazzurri à défendre. Tout comme à Barcelone, l'Inter est passé dans un 5-4-1 avec Bellanova à l'arrière droit pour tenter de tenir le coup. Cependant, à la 90e minute, Jovic avec une volée égalisa après un corner de la Fiorentina. Le temps d'arrêt a commencé et Mkhitaryan est apparu deux fois dans la surface de la Viola. À la première occasion, il n'a pas pu se tirer depuis une très bonne position. Puis, avec 95 minutes au compteur, Venuti n'a pas réussi à dégager et Mkhitaryan était là pour placer le ballon dans le filet. Son premier but Nerazzurri et sa joie débridée. Tout simplement, une fin incroyable pour un match incroyable. FIORENTINA 3-4 INTER Buteurs : 2' Barella (I), 15' Lautaro (I), 33' Cabral (F) (pen.), 60' Ikoné (F), 73' Lautaro (I) (pen.), 95' Mkhitaryan (I) FIORENTINA (4-3-3) : 1 Terracciano ; 2 Dodò (23 Venuti 83'), 4 Milenkovic, 28 Quarta, 3 Biraghi (15 Terzic 83') ; 5 Bonaventura, 34 Amrabat (72 Barak 83'), 32 Duncan (22 Gonzalez (11 Ikoné 9'), 9 Cabral, 99 Kouame. Remplaçants : 31 Cerofolini, 95 Gollini, 8 Saponara, 14 Maleh, 16 Ranieri, 27 Zurkowski , Mandragora 38, Bianco 42, Igor 98. Entraîneur : Vincenzo Italiano. INTER (3-5-2) : 24 Onana ; 37 Skriniar, 6 De Vrij, 15 Acerbi; 36 Darmian (2 Dumfries 67'), 23 Barella, 20 Calhanoglu, 22 Mkhitaryan, 32 Dimarco (8 Gosens 67') ; 10 Lautaro (12 Bellanova 85'), 11 Correa (9 Dzeko 61'). Remplaçants : 1 Handanovic, 21 Cordaz, 14 Asllani, 33 D'Ambrosio, 45 Carboni, 46 Zanotti, 50 Stankovic, 95 Bastoni. Entraîneur : Simone Inzaghi. Avertis : Acerbi (I), Bonaventura (F), Dodò (F), Barella (I), Milenkovic (F) Temps additionnel : 3' - 8' Arbitre : Valeri. Assistants : Preti, Di Iorio. Quatrième arbitre : Serra. VAR : Mariani. Assistant VAR : Costanzo. Traduction alex_j via le site officiel.
  19. Les relations tendues entre les deux clubs transforment chaque match en sérieux bras de fer. Hier soir, encore un cirque honteux sur les médias et les réseaux sociaux. Fiorentina-Inter n'est jamais un match tranquille. Les relations tendues entre les deux sociétés transforment chaque match en terrain de guerre. Et même la nuit dernière, ce n'était pas très différent des dernières versions avec des controverses d'après-match. Surtout, l'absence d'un rouge pour Federico Dimarco a été pointée. Il y a eu une expulsion causée par l'intervention tout aussi autoritaire que dangereuse du joueur Nerazzurri. Ensuite, il y a eu le cirque médiatique et social habituel sur la faute présumée de Dzeko sur Milenkovic à l'occasion du 3-4. Peu de temps avant, cependant, il y avait eu une faute très nette de Jovic sur De Vrij à l'occasion de l'égalisation de la Fiorentina. Deux situations très similaires, évaluées à la même aune : Circulez, il n'a rien à voir ! Mais dans un cas, voici le cirque médiatique puant de certains médias et de certains réseaux sociaux. L'autre cas ? En avez-vous déjà entendu parler depuis hier soir ? Non ! Pourtant c'est identique, en effet le premier est nettement plus fétide que le second. Mais en attendant, l'Inter repart de Florence avec trois points dans la musette, un match important à préparer contre le Viktoria et les ragots s'envolent dans le vent. En résumé, à tous les polémistes anti-Inter, voici notre réaction: Traduction alex_j via FCInter1908.
  20. Simone Inzaghi parle à SkySport et Inter TV après le 4-3 subi mais mérité à la Fiorentina. Impression générale ? "On a été atteints deux fois (il ne compte pas le penalty, ndlr), mais l'équipe y a toujours cru. Une victoire très importante pour la conviction, au-delà des trois points. Match sous contrôle en première partie, puis on a perdu un peu de distance après le 1-2. Mais on y cru et le grand signal vint aussi de ceux qui entrèrent." Auriez-vous pu calmer un peu le jeu ? "Bien sûr, on avait le contrôle, à 2-0 et on a très bien joué. Puis une fois qu'on a encaissé ce but on s'est énervé et ce n'est pas bien. Il fallait continuer à faire ce qu'on faisait. Réagir et y croire jusqu'au fin." Avez-vous mérité la victoire? "L'Inter a joué un grand match, pendant 35 minutes et sur un terrain très difficile. Ensuite, nous avons encaissé le but sur penalty et nous sommes devenus nerveux, avons arrêté de jouer et avons trop pensé à protester. Mais j'ai de grands joueurs qui ont envoyé un bon signal. Au-delà des trois points c'est une victoire très importante." Maintenant Lukaku et Brozovic sont de retour : ce sont de bons problèmes points, non ? "Bien sûr, nous ne pouvons pas attendre. Je ne les ai jamais eus dans ce tour de force. Les deux et Gagliardini sont de retour. Nous avons de jeunes garçons, mais jouer ici ou à Barcelone n'est pas facile. Nous sommes 17 en déplacement, nous attendons ces retours qui nous aideront beaucoup." Lautaro est l'un des meilleurs attaquants de Serie A, mais Correa n'arrive pas à marquer... "Je ne me suis jamais inquiété pour Lautaro quand il ne marquait pas. Pour l'équipe et à l'entraînement, il fait toujours tout ce qu'il doit. Correa est un joueur de la plus haute qualité, pénalisé par les blessures. Mais ce soir il a très bien fait, au service de l'équipe, alors c'est normal qu'il ait besoin de continuité. Il a toujours joué à la Lazio, ici à l'Inter il est différent, mais il ne peut que progresser." Y a-t-il du travail derrière la croissance de Barella dans la zone de but? "De toute évidence, Nicolò a progressé, il nous donne un coup de main formidable et sa croissance, ainsi que celle de ses coéquipiers, est très importante pour nous. L'année dernière, il a fait de nombreuses passes décisives, il était haut dans le classement comme il l'est maintenant pour les buts. Il faut qu'il continue comme ça, tout le monde doit continuer à jouer comme ça et Barella de même." Trois images du match : Handanovic parlant à Onana après le but, toi qui restes assis à 4-3 et Zhang dans les tribunes. "Sur la propriété, comme les managers, ils sont toujours très présents. Le président était avec nous aussi dans le train : une présence très importante comme celle de Marotta, Ausilio, Ferri... tout le monde veut le bien de l'Inter. Je n'ai pas applaudi parce que quelque chose peut toujours arriver. Pour Handanovic : c'est notre capitaine, en ce moment il a un problème avec son doigt qui nous l'espérons sera bientôt résolu." Quelle est la chose la plus importante qui est ressortie du sommet contre Barcelone ? "Il y a des comparaisons tous les jours. En jouant tous les trois jours, nous sommes plus dans la salle vidéo que sur le terrain. Ici, il y a une âme importante, avec des joueurs qui ont gagné et qui veulent continuer à le faire. Maintenant, nous jouons un huitième de Champions et en championnat, on a envie d'être là, en attendant le retour de joueurs très importants qui sont absents depuis longtemps." Le Viktoria ? "Je vois bien l'équipe, je prends de suite les trois points. Mercredi on a un match fondamental pour nous, on sait qu'il nous faut une victoire pour atteindre ces fameux dix points. Ce soir on a très bien fait 35 minutes, puis on est là, on s'est énervé et après le penalty on a perdu notre avance. Avoir gagné un match aussi important est un très bon signe." Traduction alex_j via FCInterNews.
  21. Toujours protagoniste avec un doublé au Franchi, Lautaro Martinez vient aux micros de DAZN commenter le succès contre la Fiorentina. Content ? "C'est un moment important pour moi, la Coupe du monde approche. Je suis content, je m'occupe de chaque détail et j'essaie de le montrer sur le terrain." Victoire méritée ? "Oui. On méritait de gagner pour ce qu'on a fait sur le terrain. Maintenant, il faut arriver au mieux pour le match contre le Viktoria Plzen." Le premier but ressemble-t-il davantage à ceux d'Aguero, Milito ou Batistuta ? "Certainement à ceux du Kun, il fait de ces embardées. Alors peut-être même Diego." La rigueur ? "C'est important d'avoir confiance, j'avais déjà décidé où frapper et quand je l'ai fait, j'ai frappé fort." À quel point pensez-vous que cette équipe est vôtre ? "Quoi qu'il en soit, je suis ici depuis cinq ans et je donne tout pour l'Inter. Mes coéquipiers écoutent quand quelqu'un parle. J'essaie toujours de donner un coup de main à mes coéquipiers et de rendre les fans heureux." Quel est votre modèle d'attaquant ? "J'ai toujours suivi Radamel Falcao enfant, puis j'ai eu la chance de jouer avec Aguero, Milito et bien d'autres dont j'ai beaucoup appris." Lukaku vous manque-t-il ? "Oui, pas seulement moi mais l'équipe. Nous espérons le retrouver bientôt." Comment préparez-vous une Coupe du monde en pleine saison ? "Avec la bonne mentalité. Aujourd'hui, je joue pour l'Inter et ce que je fais avec l'Inter me mène à la Coupe du monde. On joue toujours naturellement." Lautaro Martinez a communiqué sur son compte Instagram avec une photo montrant sa célébration: "Allons-y !" Enfin, dans un tweet, Opta a indiqué que Lautaro Martinez était le premier attaquant de l'Inter à inscrire un but et à faire une passe décisive dans les 15 premières minutes d'un match depuis Diego Milito il y a 11 ans. "1+1 - Lautaro Martínez est devenu le premier attaquant de l'Inter à avoir à la fois marqué et délivré une passe décisive dans les 15 premières minutes de jeu d'un match de Serie A depuis Diego Milito, le 19 janvier 2011, contre Cesena. Albiceleste." Traduction alex_j via FCInterNews et Sempreinter.
  22. Fin de match agitée entre la Fiorentina et l'Inter. Voici les différentes versions des faits. Fin de match très agitée, semble-t-il, même lorsque l'arbitre Valeri renvoie définitivement les deux équipes aux vestiaires. Selon des informations de certains cadres de l'Inter, le président de la Fiorentina Rocco Commisso se serait jeté contre la porte des vestiaires où il y aurait également eu une altercation entre les personnes présentes. Situation catégoriquement démentie par la Fiorentina via l'ANSA. Interrogée sur l'incident, elle a souligné qu'il ne s'est absolument rien passé de ce qui avait été diffusé auparavant et qu'il n'y a eu aucune intervention du président Rocco Commisso ou d'un autre responsable. La version sur Firenzeviola.it: "La polémique n'a pas manqué dans les tribunes des Franchi à la fin du match entre la Fiorentina et l'Inter. Après le but des Nerazzurri dans la dernière seconde, en effet, il y a eu une mésentente, à quelques mètres de distance, entre le directeur général de la Viola, Joe Barone, et le directeur de l'Inter, Beppe Marotta. Toni s'est énervé entre les deux avec le manager de la Fiorentina qui n'a pas du tout bien pris le fait que la faute de Dzeko sur Milenkovic n'est pas été sifflée." La version de Franco Vanni de la Repubblica: "Écoutez tout le monde, voici la reconstitution la plus réaliste : sur le but du 3-4, Barone et d'autres managers de la Viola explosent en tribunes contre Marotta et les cadres de l'Inter. Commisso a 'frappé énergiquement' à la porte qui sépare la tribune des vestiaires, demandant qu'elle soit ouverte. La Digos est au courant maintenant." Voici le communiqué officiel de la Fiorentina: "L'ACF Fiorentina dément catégoriquement toutes les rumeurs qu'ils attribuent au président Commisso ou à d'autres dirigeants les comportements violents survenus à la fin du match. À la fin du match, le président Commisso est simplement descendu dans le vestiaire de la Fiorentina pour féliciter l'entraîneur et les garçons pour leur excellente performance. Le président Rocco Commisso attend des excuses officielles de l'Inter et de son président Steven Zhang et de ceux qui ont répandu cette fausse nouvelle, rétablissant la vérité dès que possible." Affaire à suivre! Traduction alex_j via FCInterNews.
  23. A quelques heures de Fiorentina - Inter, voici un résumé du match Inter - Fiorentina joué la 3eme journée, Dimanche 21 Septembre 1997. Le score final de 3-2 reflète bien le match qui fut engagé. Le texte a été rédigé par de Bilal Mirza travaillant pour SempreInter. L'Inter a commencé la saison 97/98 avec un nouveau manager en la personne de Luigi Simoni, après le départ de Roy Hodgson cet été. Pour renforcer l'équipe, l'Inter a ajouté une galaxie de star avec les achats de Francesco Moriero, Alvaro Recoba, Diego Simeone et un certain attaquant brésilien nommé Ronaldo. Avant le match très attendu de la troisième journée contre Gabriel Batistuta engagé à la Fiorentina, l'Inter a pris le départ pour commencer sa nouvelle campagne avec Recoba marquant un premier doublé pour battre Brescia et le duo Ronaldo-Zamorano emmenant l'équipe devant un Roberto Baggio menant Bologne. Donc, deux victoires dans la musette. Après une saison décevante l'année précédente, la Fiorentina a commencé sa saison avec Batistuta portant l'équipe sur son dos et menant la charge, marquant cinq des six buts lors des deux premiers matchs, obtenant un triplé et un doublé; rien que ça. Alors que les deux équipes cherchaient à poursuivre leur bon début de saison, le Meazza bourdonnait d'excitation ! Simoni avait aligné les Nerazzurri dans une formation 4-5-1 avec Gianluca Pagliuca dans les buts, Giuseppe Bergomi, Fabio Galante, Taribo West et Luca Mezzano en défense. Javier Zanetti, Youri Djorkaeff, Salvatore Fresi, Diego Simeone et Maurizio Ganz au milieu de terrain et Ronaldo comme seul attaquant. De l'autre côté, Alberto Malesani a fait installer la Fiorentina avec une défense à trois composée d'Andrea Tarozzi, Aldo Firicano et Giulio Falcone devant le gardien Francesco Toldo. Au milieu de terrain pour la Viola se trouvaient Andrei Kanchelskis, Sandro Cois, Rui Costa, Michele Serena et le trident offensif d'Anselmo Robbiati, Gabriel Batistuta et Luis Oliveira pour compléter la formation 3-4-3. Au coup d'envoi du match, les deux équipes se méfiaient de la menace imminente posée par Ronaldo et Batistuta alors qu'elles adoptaient une approche prudente et méthodique de leur attaque. Construire lentement le jeu depuis l'arrière et attaquer par les ailes de chaque côté et jouer occasionnellement de longs ballons pour trouver leurs attaquants en perforant la haute ligne défensive. C'est la Viola qui a failli marquer en premier lorsque Kanchelskis a reçu un long ballon du milieu de terrain et s'est placé derrière Taribo West sur l'aile droite, faisant la course en avant et a passé le ballon vers le centre de la surface vers Batistuta. Batigol l'a reçu, étant non marqué l'a frappé à la volée, a battu Pagliuca mais a été repoussé par la barre transversale pour maintenir le score à 0-0. L'Inter essayait continuellement de trouver des moyens de passer le ballon à Ronaldo qui semblait parfois imparable, courant vers la défense de la Fiorentina en dribblant devant autant de défenseurs que possible. La Viola faisait tout ce qu'elle pouvait pour l'empêcher de passer, n'ayant souvent pas d'autre choix que de faire des faute pour l'empêcher d'obtenir un tir au but. Les deux équipes se battaient pour la possession, jouant méthodiquement, mais physiquement. À une de ces occasions, Kanchelskis a été blessé, blessure résultant d'un tacle très, très dur de West. Cela a conduit Malesani à effectuer un remplacement et à faire entrer Stefano Bettarini. Taribo West a eu beaucoup de chance de ne recevoir qu'un carton jaune pour un tacle dur, quasiment un ciseau, qui a blessé un joueur sans réellement jouer le ballon. À l'approche de la mi-temps, les deux équipes semblaient se diriger vers l'intervalle à 0-0. Cependant, Ronaldo a réussi à sortir de l'impasse juste avant la mi-temps, lorsque Simeone a pris la défense de la Fiorentina au dépourvu et a joué un ballon parfaitement dosé à Ronaldo entre les deux défenseurs centraux. Le ballon a roulé devant Toldo et dans le filet pour donner à l'Inter une avance de 1-0. Cependant, l'Inter n'a pas été devant longtemps, alors que le jeu reprenait, la Fiorentina a joué le ballon vers l'aile droite pour Oliveira qui a passé le ballon vers le bord de la surface pour Serena. L'arrière gauche de la Viola a reçu le ballon et l'équipe a étiré la défense pour créer suffisamment d'espace pour qu'il puisse déclencher une frappe du pied gauche qui a battu Pagliuca, dans le coin supérieur gauche du but. Score de 1-1 à la mi-temps. Lorsque le jeu a repris en seconde période, l'Inter avait remplacé Maurizio Ganz sur l'aile droite par le nouveau venu Francesco Moriero. La Fiorentina a frappé peu après la mi-course lorsque Mezzano a tenté de renvoyer le ballon à Pagliuca. Malheureusement, il n'a réussi qu'à le jouer directement pour Batistuta qui a battu les deux défenseurs et a dribblé Pagliuca se précipitant à sa rencontre pour marquer dans le but vide, filet opposé. Les visiteurs obtiennent une avance de 2-1. Ayant déjà encaissé un but en raison d'un jeu bâclé, l'Inter a failli encaisser un troisième but après avoir de nouveau retourné le ballon sur le bord de la surface, cette fois par Taribo West; il poussa trop son ballon. Batistuta a intercepté le ballon et a tenté un enroulé devant Pagliuca dans le coin supérieur droit. Mais il a de nouveau été repoussé par la transversale. La Fiorentina semblait contrôler le match et menaçait de creuser l'écart avec son capitaine en pleine forme. L'Inter a continué à chercher l'égalisation et a fait venir des renforts du banc. Zamorano a remplacé Simeone pour donner une autre arme en attaque. Il a immédiatement fait sentir sa présence. Après un long dégagement de Pagliuca et une passe de Ronaldo, Zamorano contena son défenseur direct et a trouvé Moriero courant dans la surface après avoir battu son vis-à-vis pour obtenir un tir au but. Il plaça le ballon dans le coin inférieur gauche pour égaliser à 2-2 avec plus que dix-huit minutes à jouer. Avec les deux équipes attaquant de chaque côté pour marquer le but vainqueur, il semblait qu'un troisième but pour l'une ou l'autre équipe était sur la table. Oliveira a failli sortir de l'impasse lorsqu'il a dribble deux défenseurs à l'intérieur de la surface pour un tir à bout portant, pour être repoussé par un brillant arrêt réflexe de Pagliuca. Alors que le match touchait à sa fin, l'Inter a réussi à trouver le but vainqueur à la 81e minute lorsque Djorkaeff a fait rebondir le ballon après une interception ou contre d'une passe dédiée à Batistuta; ce n'est pas très clair. Il a reçu le ballon dans ce qui semblait être une position de hors-jeu. Sans défenseur de la Fiorentina autour de lui, il n'avait que Toldo à battre et il a placé le ballon dans le coin inférieur droit. L'arbitre avait à l'origine levé le drapeau pour hors-jeu. Mais le but a été autorisé car la balle déviée était considérée comme une passe en arrière par un joueur de la Viola et ne pouvait donc pas être déclarée hors-jeu. Compte tenu de la nature physique du match, les esprits se sont enflammés des deux côtés lorsque le but a été autorisé. Les joueurs de la Fiorentina et de l'Inter plaident avec véhémence leur cause devant les arbitres. Le match s'est terminé par une victoire 3-2 pour les Nerazzurri et l'équipe a poursuivi son début invaincu de la nouvelle saison et était en bonne voie pour une course au scudetto contre les Bianconeri. Traduction alex_j via Sempreinter, texte de Bilal Mirza.
  24. Après le succès contre Salernitana, l'Inter est prête à défier la Fiorentina lors de la 11e journée de la Serie A. Simone Inzaghi fait sa conférence d'avant match à Inter TV. Vous avez eu toute une semaine pour préparer ce match, on parle d'un terrain historiquement difficile pour l'Inter qui sort d'une passe positive. "Firenze est toujours un match difficile pour tout le monde. Cette semaine nous avons eu quelques jours de plus, nous avons réussi à bien travailler. Maintenant nous allons affronter ce match à l'extérieur avec confiance." Vous aurez un triptyque très relevé à l'extérieur : Fiorentina, Juventus et Atalanta. Que signifiera de quitter le Franchi avec un résultat positif ? "Les résultats apportent l'estime de soi et par conséquent les victoires sont très importantes. Nous savons que d'ici au Mondial, nous avons une série de matchs difficiles à domicile et à l'extérieur, et ce tous les trois jours. Nous serons sous pression mais nous devrons essayer de les affronter un par un avec beaucoup de calme comme nous l'avons fait dernièrement." C'est à l'extérieur qu'il faut faire un saut en qualité ? "Sur la route on doit faire plus, c'est normal que jouer dans notre stade devant nos supporters nous aide beaucoup. Mais on sait que même samedi soir il y aura du monde avec nous." Comment va Lukaku ? Est-il convoqué ? "Il s'entraîne partiellement en groupe depuis deux jours. Il doit clairement retrouver son état mais il est très motivé. Enfin après un long moment, il a surmonté cette blessure. Pour demain à Florence il ne sera pas avec nous. On essaie pour l'amener Mercredi. Il a clairement besoin d'améliorer son état mais en le voyant travailler je suis très confiant." Handanovic a-t-il récupéré? "Handanovic n'est pas disponible pour demain mais il voyagera avec l'équipe et nous donnera un coup de main si nécessaire. Cordaz est prêt si besoin est." Quelle sera la saison avec ce Mondial ? "Ce qui compte, c'est de penser match par match. Nous devons y arriver de la meilleure façon possible. Il reste 5 matchs de championnat, 2 matchs de Ligue des champions, donc il reste encore du travail." A partir de combien revenez-vous dans la course au titre ? "Maintenant, clairement, nous devons regarder le calendrier et être réalistes. Nous avons un écart et devant, ils avancent. Nous avons perdu quelques points, l'objectif est de récupérer des points en championnat et de passer en Ligue des champions." Traduction alex_j via FCInterNews.
  25. Si l'Inter veut vraiment se remettre dans la course pour la victoire du Scudetto, plus d'erreurs, les bonus sont épuisés. Voici l'éditorial de Simone Togna pour FCInterNews. Les bonus pour les Nerazzurri sont épuisés! Et maintenant, nous devons la faire cette série de victoires. Une série de victoires pour remettre du foin dans le mas et cimenter les anciennes/nouvelles certitudes venues après la double confrontation contre Barcelone. En parlant de la Champions, félicitations à Lautaro et ses coéquipiers. Si l'on analyse le dernier match du Camp Nou et celui de la semaine précédente au Meazza, les vice-champions d'Italie méritent de devancer les Blaugrana au classement. Xavi peut protester, pleurer, regretter, jouer du ukulélé (peut-être qu'après avoir été l'un des meilleurs footballeurs du monde, il découvrira peut-être qu'il a un talent caché supplémentaire) ou tout ce qu'il veut. La vérité est simplement que notre Bien-Aimée a été supérieure aux Catalans. Et malgré un énorme rouge non reconnu par l'arbitre et la VAR pour Dembelè (c'est peut-être une des plus grosses erreurs de l'histoire de la Ligue des Champions), les gars d'Inzaghi sont rentrés chez eux avec un résultat plus que positif. Cependant, comme tout vrai fan des Nerazzurri savait parfaitement que l'Inter pouvait triompher en Espagne, il craint maintenant, non pas par rationalité, mais précisément à cause de la folie inhérente de notre club, l'Inter peut bloquer contre le Viktoria Plzen. Pour cette raison, ou non-raison, le match contre les Tchèques doit être joué comme si c'était le match contre la mort afin d'éviter d'avoir à gagner à Munich, où d'ailleurs tout est vraiment possible. Mais avant tout, il y a la Fiorentina. Un de ces matches toujours difficiles, face à un adversaire plus fort que ce qui s'est affiché sur levert, où d'ailleurs tout est vraiment possible. Et ici, il faut voir la grande équipe. Celle qui a vraiment compris toutes ses erreurs. Et voilà qu'elle veut rentrer en bombant le torse au bureau pour réinscrire son nom parmi les prétendants au Scudetto. Si c'était Inzaghi, celui qui commettrait une erreur samedi soir, ne jouerait pas la Ligue des champions, dans ce match nous reverrons probablement Romelu Lukaku, au moins pour un segment. Avec lui en forme ce sera une toute autre histoire. Et c'est le point concernant le Belge. Il est inutile d'être convoqué pour faire un voyage, s'asseoir sur le banc et/ou un peu plus. Il est vrai que Florence est magnifique, l'une des plus belles villes du monde. Mais aujourd'hui, pour le meilleur de l'Inter, de Romelu et de ses fans, il vaut mieux que Big Rom s'entraîne à Appiano sans aller en Toscane avec ses coéquipiers. Si le chemin passe d'une formation supplémentaire avec son absence, qu'il en soit ainsi. Ensuite, nous sommes prêts à admirer, espérons-le bientôt, le 90 des Nerazzurri dans toute sa puissance. Traduction alex_j via FCInterNews.
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