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Il y a une grande attente pour la sentence de la Cour de l'UE sur la Super League. Il y a une grande attente pour la sentence de la Cour de l'UE sur la Super League . Comme le souligne la Gazzetta dello Sport, tout peut arriver, mais l'avis de l'avocat général semble barrer la route aux rêves interdits du Real Madrid, de Barcelone et de la Juventus, qui risquent de rester en dehors du football. « Ce jour-là pourrait être le chaos : Pour cette raison, l'UEFA espère que quelque chose se passera plus tôt. Sinon, ce sera une main de fer. C'est un moment de crise pour les trois clubs Rebelles de la Super league. Barcelone accusé, en somme, d'avoir soudoyé les arbitres. Et le Real Madrid qui, pour cette raison, a rompu ses relations avec les Catalans ." "Mais la situation de la Juve est différente : la nouvelle présidence avait trompé l'UEFA. La réponse de l'UEFA: " Votre distanciation est-elle publique ?" Une réponse n'a jamais été suivie. Un silence très bruyant. Pour Nyon, c'est un signe de continuité totale avec la direction d'Agnelli. Avec toutes les conséquences de l'affaire". « La condamnation de l'UE est attendue en juin. Un "non" de la Cour obligera les Rebelles à abandonner la Super league » L'avocat général Athanasios Rantos a reconnu la possibilité de former une Super Ligue qui serait toutefois incompatible avec la Ligue des champions. , le Real Madrid et Barcelone seraient probablement absents de la prochaine édition. Un drame pour les budgets des clubs, un problème pour la Ligue des champions, privée de trois clubs historiques. Florentino Perez est l 'initiateur de la Super League et n'a pas l'intention de baisser les bras. Le Barça devra expliquer le soudoiement des arbitres tandis que "la nouvelle" Juve est à la croisée des chemins, la Super league et les procès sont étroitement liés". "Le problème pour la Juventus, c'est que les portes des coupes risquent d'être fermées aussi à cause des salaires et des plus-values. L'UEFA enquête en parallèle avec la FIGC et le parquet de Turin. Elle a le pouvoir de ne pas admettre un club aux coupes pour raison"antisportive" quelles que soient les condamnations. De plus, si les chiffres des états financiers étaient faux, l'accord du Fairplay financier échouerait. Il vaut mieux ne pas se cacher une chose : la condamnation de l'UEFA sera aussi "politique". la Juve le sait. Et Nyon n'acceptera pas de repentance commode après la sentence". On en reparlera en Juin des sanctions! Traduction Lindt1908 Via Fc Inter1908
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Post-Inzaghi: Antonio Conte et Thomas Tuchel en pôle ?
Victor "Antony" Newman a posté un article dans F.C. Internazionale Milano
En effet, Simone Inzaghi doit avoir les oreilles qui sifflent, car s'il ne se montre pas à la hauteur des espérances placées en lui, il pourrait purement et simplement prendre la porte. Deux successeurs sont déjà désignés, deux personnalités d'ailleurs très bien connue de Romelu Lukaku! Antonio Conte Soit le retour de l'Homme du 19ème Scudetto, de l'Homme qui fait de Romelu Lukaku, le meilleur joueur de la saison du Tricolore et pour le Times: "Antonio Conte est de retour en fonction après avoir séjourné en Italie durant trois semaines suite à l'ablation de la vésicule biliaire, et cette pause a également renforcé son désir de rentrer chez lui à la fin de la saison" "Et si l'ancien entraîneur de l'Inter et de la Juventus se concentre évidemment sur le terrain, avec la rencontre face à l'Ac Milan à portée de main qui pourrait lui permettre de se qualifier, une élimination européenne de Tottenham verrait les chances de voir Conte et le club se séparer en fin de saison, à l'expiration de son contrat, augmenter." "Si les Spurs ont la possibilité de lui prolonger son contrat d'un an, l'entraineur a déclaré qu'il ne resterait la saison prochaine que s'il était heureux, et il est prévu qu'il retourne en Italie cet été. Et bien plus qu'une ambition légitime, c'est peut-être l'envie de rentrer au pays qui fera la différence. Conte vit à l'Hôtel depuis qu'il est arrivé à Londres et il a souvent fait part d'un manque familiale, une famille qu'il tente toujours de joindre dès que possible." Mais où entrainer la saison prochaine ? "L'Inter qu'il a emmené au Scudetto en 2021 s'est renseignée de manière informelle, il pourrait y avoir un intérêt de la Roma si José Mourinho part alors qu'il lui reste un an de contrat, comme cela a été évoqué en Italie. L'Ac Milan s'était intéressé à Conte en 2017, mais il risque d'être trop exigeant pour eux même s'ils se séparent de Stefano Pioli, actuellement sous pression suite à sa défaite 2-1 face à la Fiorentina et une cinquième place en Serie A. Si la Juventus aurait aimé recruter Conte, elle est plongée dans un scandale financier qui rend tout retour improbable". Thomas Tuchel Soit le pire choix possible pour Romelu Lukaku! Comme le révèle la Gazzetta Dello Sport: "L'allemand a étonné l'Europe du Football en remportant la Ligue des Champions avec Chelsea en 2020-21, mais le nouveau propriétaire des Blues l'a remercié en septembre dernier." "Après avoir pris quelques mois de repos, il est maintenant prêt à se lancer à nouveau dans la bataille. Et avec Mauricio Pochettino (qui le devance), il est le candidat le plus sérieux pour reprendre le banc du Real Madrid, même si Raul et Arbeloa sont également en lice, si jamais Carlo Ancelotti accepte l'offre de la Fédération Brésilienne de Football ou si Florentino Perez choisit, en fonction d'un manque de résultat, de se séparer de l'entraîneur italien à un an de la fin de son contrat ." "Tuchel a un profil international qui en impose, lui qui a déjà coaché le Borussia Dortmund, le Paris-Saint-Germain et les Blues de Chelsea. La fin de son aventure à Londres l'a amèrement déçu et il a en lui un grand désir de revanche. A Paris, certains regrettent de l'avoir limogé trop vite, tandis qu'en Angleterre, de nombreuses rumeurs font état d'une cour de la part de Tottenham si Antonio Conte ne prolonge pas l'aventure, sans oublier West Ham. "Tuchel a également ses admirateurs en Italie aussi : L'Inter le tient en très haute considération et si la fin de saison d'Inzaghi n'est pas à la hauteur des attentes, il pourrait faire partie du "Casting" de Giuseppe Marotta et Piero Ausilio. Mais attention à la Roma qui, si elle ne retient pas Mourinho, pourrait miser sur un entraîneur avec une carrière dans un grand club" Selon vous, Inzaghi sera-t'il limogé en fin de saison ? Si oui, qui de Conte ou de Tuchel recruter si cela s'avère possible ? ®Antony Gilles - Internazionale.fr- 19 commentaires
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Vers un retour du Special One ?
Victor "Antony" Newman a posté un article dans F.C. Internazionale Milano
C'est une révélation de la Repubblica: José Mourinho pourrait faire son retour à Milan, toujours du côté Nerazzurro! En effet, sa relation avec son Directeur Sportif, Tiago Pinto, est celle de deux personnes qui,: "Sur de nombreux sujets ont des visions opposées, mais qui doivent coexister et le faire dans l'intérêt commun." " "A la fin de la saison, je parlerai" - Telles sont les paroles de José Mourinho à l'issue du match face à Vérone qui ont fait grand bruit et il est clair que n'importe qui penserait immédiatement à un départ de la Roma, compte tenu aussi des rapports qui ne sont pas vraiment idylliques avec Tiago Pinto" "Et cette situation le rend très attractif sur le marché: Ces dernières heures, il a d'ailleurs surgie la suggestion milanaise d'un possible retour à l'Inter, mais il reste toutefois de comprendre les plans à venir du Club Nerazzurro. D'autres rumeurs font état de l'intérêt du Real Madrid et du Paris-Saint-Germain, mais celles-ci sont basées sur l'estime que portent Florentino Perez et le Directeur Sportif parisien Luis Campos au portugais, eux qui sont bien plus proche personnellement de lui, alors qu'à Rome, la relation glaciale avec les Friedkin continue de se cristalliser". Seriez-vous pour un retour de notre Historique et Légendaire entraîneur ? ®Antony Gilles - Internazionale.fr- 21 commentaires
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Florentino Perez relance la Super League et tacle Nasser Al-Khaifi
alex_j a posté un article dans Coupes d'Europe
Florentino Perez continue sa bataille pour la Super League pro. Devant les membres de l'Assemblée des membres du Real Madrid, le mécène des Blancos a réitéré la nécessité de réaliser cette révolution pour le monde du football : "Ce n'est qu'en protégeant le football en tant que sport mondial que nous pourrons protéger tous les membres de la famille du football, des clubs les plus titrés aux plus modestes. Le football est clairement en train de perdre la bataille mondiale du divertissement contre d'autres sports et d'autres plateformes, et tout cela alors qu'il est le seul sport mondial. Un avantage dont nous ne savons pas comment profiter. Le diagnostic est une évidence : nous avons besoin d'une gestion professionnelle, moderne et transparente, qui tienne compte des enjeux globaux du monde d'aujourd'hui et qu'il ne s'appuie pas sur d'anciennes structures conçues au siècle dernier." Perez insiste en citant l'exemple du tennis : "Rafael Nadal et Roger Federer ont joué 40 fois, Nadal et Novak Djokovic 59, est-ce ennuyeux ? Non ! Cela a donné du pouvoir au tennis et à tous les joueurs parce que le tennis en ressort plus fort. Contre Liverpool, en 67 ans, nous n'avons joué que neuf fois et contre Chelsea quatre. A quoi bon priver les supporters du monde entier de ces matches ? Ce n'est qu'en promouvant le football en tant que sport mondial que nous pouvons protéger tous les clubs. Il est donc essentiel d'offrir des matches de la plus haute qualité et d'intérêt." Il continue avec : "Nous n'avons jamais été contre un format spécifique mais l'UEFA ne veut pas discuter des formats et des abus des règles du fair-play financier de certains clubs que nous connaissons tous." Il lance une attaque virulente contre le président de l'UEFA et du PSG, Al-Khelaifi. Sur son nouveau format de Ligue des champions, Perez affirme que "cela va accélérer le déclin du football. La perte d'abonnés aux chaînes payantes a diminué de 40 % et la solution est... d'augmenter les prix. Le nouveau modèle ne servira qu'à aliéner davantage les supporters et à accélérer le déclin du football." "La justice européenne remet déjà en cause le monopole de l'UEFA sur le football. La Super League ne serait pas une compétition fermée car elle aurait 25% de ses sièges ouverts." Le président de l'ECA a récemment (Al-Khelaifi, ndlr) déclaré que le Real Madrid avait peur de l'ECA. "Il reste à rappeler au président de l'ECA qui est le Real Madrid. La compétition est dans notre ADN et le club a la responsabilité de protéger le football dans son ensemble et qu'il s'agit de ne pas accepter les menaces, d'où qu'elles viennent. La Super League est toujours dans une procédure judiciaire et devrait être résolue dans une décision qui marquera le football européen. Quand elle sera prononcée, nous travaillerons tous ensemble pour inverser la situation dans laquelle est le football. Elle doit être le fruit d'un débat sans pression mais les clubs doivent être libres. L'engagement du Real pour le football ne fait aucun doute." Traduction alex_j via FCInterNews et FCInter1908.- 7 commentaires
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Le Real Madrid voulait enrôler Marcelo Brozovic
Victor "Antony" Newman a posté un article dans Mercato
C’est une information en provenance de Tuttosport : Marcelo Brozovic a montré, à sa façon, son amour pour l’Inter "Marcelo Brozovic, depuis son arrivée en janvier 2015 en Serie A, occupe la première place, dans l’absolu, en Serie A pour le nombre de ballons disputés, le nombre de passes réussies et le nombre de passes dans la moitié de terrain de l’adversaire, il est également sur le podium pour le nombre de ballons récupérés. En analysant plus précisément ce championnat, le croate est le premier pour le nombre de kilomètre parcourus en moyenne : 11km611, mais ce n’est pas une nouveauté vu ses grandes capacités d’architecture et de déplacement." "Partant de l’ensemble de ce constat, Carlo Ancelotti le voulait au Real, en convaincant Florentino Perez de lui proposer une offre bien meilleure à celle qu’il a accepté pour prolonger à l’Inter, soit supérieure à 6,5 millions d’euros par saison jusqu’en 2026." Si la proposition n’est pour l’heure pas encore connue, "la volonté du joueur aura été fondamentale, une volonté qui alimente sa force en sachant et en ressentant qu’il est bel et bien le Centre de gravité de l’équipe Nerazzurra." Très peu de joueurs peuvent se vanter d’avoir refusé le Real Madrid… ®Antony Gilles – Internazionale.fr- 2 commentaires
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Javier Zanetti : "Oui, j’étais très proche du Real"
Victor "Antony" Newman a posté un article dans Coupes d'Europe
Javier Zanetti a préfacé la rencontre opposant l’Inter au Real Madrid au cours d’une longue interview au quotidien ibérique "Marca" Quel est votre rôle en tant que Vice-Président ? "Depuis que j’ai pris ma retraite, après 20 ans à l’Inter, j’ai eu l’envie d’élargir ma vision du Club avec un poste plus important au niveau sociétal, avec des responsabilités sociales, des relations internationales, cela va plus loin que ma contribution qui était pratiquement qu’au niveau sportif." Avez-vous dû étudier ? "Énormément, j’ai début à l’Università Bocconi di Milano, j’y ai fait un Master et je continue encore à étudier car il y a toujours des nouveautés au niveau du Marketing, des finances, du management. La chose la plus importante que j’ai compris était que je devais tout reprendre à zéro." Pourquoi vous intéresser autant à ce type de travail ? "J’aime être présent pour les personnes qui en ont le plus besoin. Je le fais depuis 20 ans avec ma Fondation "Pupi Zanetti" et j’ai voulu continuer à le faire avec l’Inter car cela fait partie de son ADN : Gagner une rencontre ou une coupe est aussi important pour moi que d’avoir des responsabilités sociales qui consistent à transmettre des valeurs humaines." Vous représentez un club très important. Comment compareriez-vous la grandeur de l’Inter à celle du Real Madrid ? "Je représente un club avec une grande histoire et c’est une très grande responsabilité. Le Real Madrid est un autre grand club de grand prestige avec une grande tradition dans les tournois internationaux. Il y a toujours eu un très grand respect entre les deux." Est-ce que vos rapports avec Florentino Perez sont bons ? "Oui, ils sont très bon, Lui et Emilio Butragueño se sont toujours bien comportés, nous avons un bon rapport depuis des années et je suis toujours heureux de les revoir. Emiliano est fantastique." Vous êtes, en Europe, un "One club man" ce qui rare et qui ne se fait plus jamais aujourd’hui…… "Je venais d’arriver d’Argentine à l’âge de 21 ans, et j’ai ensuite évolué toute ma carrière pour l’Inter: Jje ne me le serais jamais imaginé. J’espère que cette tendance reviendra, mais les temps ont changé, mais il n’y a aucun problème." Passons au match d’aujourd’hui : Le Real Madrid est-il le favori ? "Oui, affronter le Real à domicile est toujours difficile car ils savent comment gérer ce type de match. Ce qui est bénéfique c’est que nous sommes tous deux qualifiés et que nous aller jouer sans cette pression. Notre équipe réalise de très belles prestation grâce à l’optimal travail d’Inzaghi et de ses garçons. Je pense que ce sera un match à arme égale." Les Tifosi du Real risquent de penser à une Inter qui ne fait pas tellement peur: Qu’en pensez-vous ? "Non, non et non : L’Inter a son identité et elle a des joueurs de qualité qui chercheront à le démontrer aussi à Madrid. On peut gagner ou perdre ensuite, mais l’identité de l’Inter est très claire." Quel et le mérite de la propriété, dans le fait de voir à présent, une Inter qui aspire à tout ? "Avec les nouveaux propriétaires, nous avons remporté la Serie A et atteint la Finale de l’Europa League. Nous sommes de retour en huitième de finale de la Ligue des Champions après dix ans. Ils nous ont apporté de la stabilité, ce qui est quelque chose d’essentiel." Faut-il un Milan fort pour motiver l’Inter ? "Les deux équipes ont l’ambition de se montrer protagonistes, nous le faisons depuis plusieurs années et le Milan est très bon en championnat : C’est bénéfique pour tout le football italien." On joue mieux en Italie, êtes-vous d’accord ? "On cherche à être bien plus protagoniste avec une philosophie de jeu très claire. La preuve en est la victoire de l’Italie à l’Euro. C’est vrai que de nombreuses équipes cherchent à se montrer protagonistes." La Serie A gagne du terrain comparé à d’autres Ligues, cela ne fait plus aucun doute… "Lorsque je jouais en Serie A, elle était impressionnante, tout le monde voulait venir jouer ici. Pour moi, le championnat italien reste le plus difficile à disputer, ce n’est pas le cas pour tous. Le football espagnol a connu sa période et maintenant c’est la Premier League, mais oui, la Serie A est en train d’énormément grandir." Aviez-vous été proche du Real Madrid durant vos années ? Dites-le-nous…… "Oui, j’étais très proche du Real et j’ai déjà dit que je me sentais honoré de l’intérêt d’un tel club. C’était du temps de Jorge Valdano comme Directeur Sportif. Mais tous ceux qui connaissent mon Histoire savent que ma Maison est l’Inter, c’est aussi pour cette raison que je suis resté ici." Pour quelles raisons ? "L’identification avec l’Inter et le fait que je jouais dans un club avec tant d’Histoire, même si à l’époque, elle était en difficulté. Des choses ne s’étaient pas encore passés et je ne voulais pas partir sans y laisser mon empreinte. J’en étais le Capitaine et j’avais une grande responsabilité. Je voulais y rester." Dites-nous, combien de fois avez-vous joué au Santiago Bernabeu ? "Très peu de fois, et je pense uniquement à la Finale de la Ligue des Champions 2010. Une autre fois, nous avions dû jouer Madrid en Ligue des Champions à Séville car le Bernabeu était fermé. Après ma retraite, nous avons disputé un match des légendes. J’en ai aussi disputé un avec l’Argentine." Que vous rappelez-vous cette soirée de 2010 ? "C’était la soirée rêvée, l’une des plus belle de ma carrière car elle reste dans l’Histoire de mon club : J’ai soulevé la Ligue des Champions que l’Inter n’avait plus remporté depuis 45 ans." Que pensez-vous de Carvajal ? Vous étiez un spécialiste à ce poste...... "C’est un point de référence, un joueur très équilibré et qui évolue avec continuité. La preuve est que tous les entraîneurs lui font confiance." Quelle est l’image de Carlo Ancelotti, l’entraîneur, en Italie ? "Carlo est très estimé pour l’ensemble de sa carrière, pour sa façon d’être. C’est toujours un homme très calme avec des concepts très clair. Il se comporte toujours de la même façon, aussi bien en cas de victoire que de défaites. J’ai beaucoup de respect pour lui." ®Antony Gilles – Internazionale.fr- 4 commentaires
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Selon Duncan Castles, journaliste du Times, dix joueurs du Real auraient imposé leur veto sur la venue d'Antonio Conte. "S’il vient, nous partons". C’était la phrase courte mais catégorique et retentissante que 10 joueurs du Real Madrid ont dit à Florentino Perez d'après Duncan Castles le dans le podcast "Transfer Window". Toujours d'après le Times, les joueurs ont appelé Florentino Perez lorsqu’ils ont appris qu’il négociait avec l’entraîneur italien pour le menacer de quitter le club si le transfert était acté. Le style dur de l’Italien n’allait pas être bien accueilli dans le vestiaire des Merengue et c’est pourquoi Florentino a décidé de faire revenir Carlo Ancelotti. Cependant, le média n’a pas révélé les noms des 10 joueurs mais donne des indices: "il s’agit des cadres de club Meringue." Même Sergio Ramos qui a un pied en dehors du club est le premier à se montrer contre cette venue. Le capitaine Espagnol n’a jamais entretenu une bonne relation avec Conte et les deux hommes se sont taclés dans les médias il y a quelques années. En effet, en 2018 déjà, Sergio Ramos avait ouvertement affiché ses réticences concernant une possible venue de Conte: "Conte ? Le respect se gagne, il ne s'impose pas. Il y a les entraîneurs avec lesquels on a gagné des titres. La gestion du vestiaire est plus importante que la connaissance d'un entraîneur."
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Antonio Conte demande des équipes de champions sans s'occuper de la crise que traverse football: les clubs n'y arrivent pas et choisissent d'autres coachs. Voici l'analyse du Corriere della Sera. Le football est moins riche, comme le reste du monde: douze clubs tentent d'éviter le marasme financier en plongeant à pieds joints dans la Super League, les salaires des joueurs sont payés par à-coups, présidents et directeurs sportifs annoncent le mercato le moins riche de l'histoire. Une catastrophe qui n'épargne personne... ou presque.... Antonio Conte. Il continue son chemin, comme si tout était comme avant, il y a quinze mois. Il a d'abord renoncé à l'Inter, presque indigné car Steven Zhang qui a dû faire face aux interdictions du gouvernement chinois ainsi qu'au Covid 19 lui a expliqué qu'il ne pouvait pas acheter les joueurs souhaités. Au contraire, il devait en vendre certains. Puis il a fait exploser l'accord avec le Real Madrid. Rejeté par Allegri qui a préféré la Juve, le président Perez s'est focalisé sur Conte qui avait déjà été proche du Real. Las, il se mange un veto du vestiaire et face aux demandes d'Antonio, même un président expérimenté comme Florentino qui en a vu de toutes sortes dans le football a levé les yeux au ciel... et a choisi Carlo Ancelotti. Le dernier non de Conte est pour Tottenham. Ils ont choisi Paratici comme directeur sportif et aurait voulu notre ancien entraîneur avec lui (confirmant que si Antonio n'est jamais revenu à la Juve, cela était du à Agnelli). Il y a réfléchi quelques jours, mais maintenant il semble déterminé à expédier un nouveau refus. La raison? Cela peut se résumer ainsi: j'ai quitté l'Inter parce qu'ils ne se renforcent pas, comment puis-je aller dans un club qui n'est pas compétitif en Premier League et qui sortira affaibli du marché? Pourtant, le président Levy a essayé par tous les moyens de le persuader: une belle offre et une tentative désespérée de garder Kane. Le fait que l'opération Conte-Tottenham saute a créé de l'anxiété même à la Lazio car Sarri ne signe toujours pas le contrat proposé car Paratici le veut à Londres. Mais cela peut encore changer. Alors, comment Conte passera-t-il la saison prochaine? S'il ne prend pas un banc qu'il juge digne de lui, il restera à la maison. Moralité : on hasarde de tout perdre en voulant trop gagner.
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En effet, si Antonio Conte avait dans le coin de son esprit, une arrivée retentissante au Real de Madrid, après avoir brutalement quitté l'Inter. Pour lui et pour sa liste de courses reprenant les noms de N’Golo Kanté et Romelu Lukaku, Il faut croire que le Karma existe. Comme le révèle Chiringuito TV, l'arrivée au Real de Madrid de l’ancien entraineur de l’Inter, a sauté à cause d’un véto de deux joueurs. Et plus précisément de deux anciens joueurs de Chelsea qui ont déjà travaillé avec lui par le passé : Eden Hazard et Thibaut Courtois! "Il semble évident que leur avis ont pesé sur la décision finale de Perez de confier le banc à Ancelotti." ®Antony Gilles – Internazionale.fr
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Antonio Conte et l’Inter vont se séparer !
Victor "Antony" Newman a posté un article dans F.C. Internazionale Milano
C’est la bombe de la Gazzetta Dello Sport, et plus précisément de son Vice-Directeur, Andrea Di Caro. Fait très rare, la Rosea n’est pas habituée aux titres fracassants. Celle-ci reste toutefois très proche de l’environnement Nerazzurro. En 2010, Elle avait également annoncé, quelques jours à l’avance, le départ acté d’un certain Josè Mourinho…. Révélations fracassante de la Rosea "Comme nous vous l’avions raconté : Il n’y aura pas la rencontre tant attendue entre Steven Zhang et Antonio Conte : L’entraineur Nerazzurro connait à présent les plans du club et il n’acceptera pas ce qui lui a été proposé." Le club veut clôturer le mercato avec un actif de quasiment 100 millions d’euros tout en réduisant la masse salariale de 20%. L’entraineur se montre distant envers le plan de Zhang, comprenant que ses ambitions allaient se voir redimensionnées, comparé au projet présenté au début de son mandat Le club veut rester à un haut niveau de compétitivité pour se battre pour le Scudetto et faire belle figure en Europe, mais suite au prêt accordé et obtenu, il se doit également de faire tourner les comptes : Pour se faire, une plus-value d’une centaine de millions d’euros pour assainir les comptes laisse penser à l'inévitable cession d’un Top Player. Il faudra restreindre le masse salarial de 15 à 20% comparé au plafond actuel. Le tout a été proposé à Antonio Conte lors d’une entrevue qui s’est tenue, samedi, à la Pinetina entre lui et la Direction du Club L’entraineur s’est dit amer car sa vision était celle de se relancer : De porter en avant son projet et de faire grandir l’Inter également en Europe. Avec des positions aussi éloignées, lorsqu’il verra Zhang, se sera uniquement pour le saluer "Le départ officiel devrait arriver dans un arc de 48heures avec regret et déception, mais sans rancœurs, ni dispute. Antonio Conte en avait conscience et il s’était d’ailleurs exprimé en public en disant qu’après avoir travaillé durement durant deux années sur le noyau Nerazzurro et l’avoir fait renouer avec la Victoire du Scudetto, que le Club risquait de devoir tout reprendre à zéro." Son travail n’a jamais été remis en question et L’entraineur recevra une prime de reconnaissance : Il percevra un peu plus de la moitié des 12 millions qu’il aurait perçu jusqu’au terme de son contrat, plus ce qu’il n’a pas encore perçu pour cette saison. Cette somme qui doit se peaufiner se traitera lors de la confirmation du départ Et la Direction ? Si la Direction Nerazzurra était également préoccupée par la situation du Club, la Gazzetta confirme que le prêt en provenance d’Oaktree a convaincu Giuseppe Marotta, Alessandro Antonello et Piero Ausilio de rester à la barre : Tous avaient également un contrat qui arrivait à expiration en juin 2022. Et la suite ? Selon Gianluca Di Marzio, l’Inter espère résoudre cette situation dans les 2 à 3 jours à venir : Le club serait confiant sur la permanence de l’Entraineur. Car c’est à lui que revient la décision. Pour l’Inter, il reste l’Entraineur de l’Inter, si un départ doit être acté, il s’agira d’une pleine responsabilité du natif de Lecce Toutefois, selon Di Marzio, l’Inter pourrait se diriger vers Allegri, même si des contacts n’ont pas encore eu lieu au jour d’aujourd’hui Comme un gout de déjà vu C’est une révélation de Tuttomercatoweb : Selon Tancredi Palmeri, la situation a évolué entre Antonio Conte et le Real Madrid : Il y aurait quelque chose de concret. Si le Real Madrid n’a pas encore décidé de ce que sera fait sa destinée, Zinedine Zidane songe à partir. De son côté Florentino Perez n’est pas encore sûr de la direction à suivre pour le Real Madrid, mais en cas de départ de Zidane, sa volonté est clairement établie d’aller sur Antonio Conte : L’entraineur actuel de l’Inter a été informé de cette situation et attend curieusement : S’il n’est pas dit qu’il s’agit de l’unique pensée de Florentino Perez, le nom est bel et bien sur la table Pour rappel, il y a deux ans et demi, en octobre 2018, lorsque Lopetegui avait été remplacé par Solari, un accord avait déjà été trouvé entre l’italien et le club ibérique. SI le tout avait été planifié par le président de la Super League, il avait dû se rétracter suite à la prise de position des Sénateurs d’alors, à commencer par Sergio Ramos. A présent, personne ne sait si l’espagnol refoulera le terrain du Real et les autres sénateurs ont une côte décroissante : Il ne s’agit plus du Real qui venait de remporter 3 ligues des champions consécutivement. Conte au Real n’est pas l’option la plus probable, mais il s’agit de la plus concrète ®Antony Gilles – Internazionale.fr- 40 commentaires
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La Super League pensait qu'elle avait un partenaire silencieux: la FIFA
alex_j a posté un article dans Coupes d'Europe
Publiquement, l'instance mondiale dirigeante du football a critiqué cette Super Ligue européenne séparatiste. En privé, cette instance s'était entretenu pendant des mois avec les fondateurs pour approuver la compétition. Note: plutôt dans la journée, internazionale.fr vous a livré une version condensée de l'article publié dans le NY Times. Cette fois ci, voici la traduction intégrale de l'article paru ce matin. Niché dans les pages et les pages du jargon financier et juridique qui constituent le contrat fondateur de la Super League, le projet raté qui, le mois dernier, menaçait brièvement les structures et l'économie séculaires du football européen, faisait référence à une exigence ''essentielle''. La condition a été jugée si importante que les organisateurs ont convenu que ce plan séparatiste ne pouvait pas réussir sans la satisfaire et était pourtant si secret qu'il fut infligé un nom de code dans les contrats partagés entre les fondateurs. Ces documents, dont des exemplaires ont été examinés par le New York Times, font référence à la nécessité pour les fondateurs de la Super League de conclure un accord avec une entité étiquetée obliquement W01 mais facilement identifiable comme la FIFA. Cet accord, selon les documents, était ''une condition essentielle pour la mise en œuvre du projet SL''. Publiquement, la FIFA et son président, Gianni Infantino, se sont joints à d'autres dirigeants du football, fans et politiciens pour critiquer ce projet qui aurait permis à un petit groupe d'équipes européennes d'élite accumuler une part toujours plus grande de richesse du sport. Mais en privé, selon des entretiens avec plus d'une demi-douzaine de dirigeants de football, dont un propriétaire de club de Super League, Infantino était au courant du plan et savait que certains de ses lieutenants les plus proches avaient engagé des pourparlers depuis des mois, au moins jusqu'à fin Janvier, sur le soutien de la FIFA à la ligue séparatiste. La Super League a peut-être été l'échec le plus humiliant de l'histoire du football moderne. Annoncé par 12 des clubs les plus riches tard un dimanche soir d'avril, il a été abandonné moins de 48 heures plus tard au milieu d'un orage de la part des supporters, des ligues, des équipes et des politiciens. Ses équipes fondatrices ont depuis présenté des excuses, certaines à plusieurs reprises, pour y avoir participé, et quelques-unes pourraient encore faire face à des conséquences financières et sportives importantes. Mais les discussions en coulisse qui ont conduit à une semaine de drame public ont mis à nu les tensions frémissantes entre la FIFA et l'instance dirigeante du football européen, l'UEFA, sur le contrôle de milliards de dollars de revenus annuels, exposé une série de relations effilochées parmi certains des leaders du sport qui peuvent être irréparables et a soulevé de nouvelles questions sur le rôle joué par la FIFA et Infantino dans le projet qui a ébranlé les fondations du football. La FIFA a refusé de répondre aux questions spécifiques liées à l'implication d'Infantino ou de ses collaborateurs dans la planification de la Super League. Au lieu de cela, il a souligné ses déclarations précédentes et son engagement envers des processus dans lesquels ''toutes les parties prenantes clés du football ont été consultées''. Les discussions de la Super League avec la FIFA ont commencé en 2019. Elles étaient dirigées par un groupe connu sous le nom de A22, un consortium de conseillers dirigé par les financiers espagnols Anas Laghrari et John Hahn et chargé de mettre sur pied le projet de Super League. Les responsables de l'A22 ont tenu des réunions avec certains des plus proches collaborateurs d'Infantino, dont le secrétaire général adjoint de la FIFA, Mattias Grafstrom. Lors d'au moins une de ces réunions, le groupe séparatiste a proposé qu'en échange de l'approbation de son projet par la FIFA, la Super League accepterait la participation d'une douzaine de ses équipes phares à une Coupe du monde annuelle des clubs soutenue par la FIFA. Les équipes ont également accepté de renoncer aux paiements qu'elles auraient engrangés en y participant, une aubaine potentielle pour la FIFA pouvant atteindre 1 milliard de dollars chaque année. Après leurs premières rencontres, les conseillers ont rapporté avoir trouvé un public réceptif. Obtenir le soutien de la FIFA n'était pas qu'une simple haie à sauter; le consentement de l'organisation était nécessaire pour éviter que le projet ne s'enlise dans des litiges coûteux et longs et pour éviter toute sanction pour les acteurs qui y ont participé. Mais c'était aussi un contrat d'assurance pour les joueurs. Lors d'une précédente discussion de la Superligue en 2018, la FIFA avait émis de sombres avertissements selon lesquels des joueurs pourraient être bannis de leurs équipes nationales pour avoir participé à une ligue non autorisée. Au milieu de l'année dernière, les conseillers de l'A22 disaient aux clubs que ''la FIFA était à bord'', selon un propriétaire de club. D'autres personnes interrogées, dont plusieurs ayant une connaissance directe des réunions qui ont parlé de manière anonyme parce qu'elles seraient confrontées à des poursuites judiciaires pour divulgation publique d'informations soumises aux règles de confidentialité, ont déclaré que la FIFA était au moins ouverte à l'idée d'une nouvelle ligue. Mais ils ont dit que l'organisation et ses dirigeants sont restés sans engagement, du moins officiellement, jusqu'à ce que plus de détails sur la structure du projet soient en place. Confiants de pouvoir obtenir le soutien dont ils avaient besoin, les organisateurs ont discuté de divers concepts pour leur nouvelle ligue avant d'arriver sur celui qu'ils ont présenté au monde ce 18 Avril. La Super League, comme on l'appellerait, aurait 15 membres permanents mais permettrait l’accès à cinq équipes supplémentaires chaque saison. A22 travaillait sur les itérations d'une superligue depuis trois ans. Laghrari, un cadre du cabinet de conseil Key Capital Partners qui connaît depuis son enfance le président du Real Madrid, Florentino Pérez, devait être le premier secrétaire général de la ligue. Pérez était depuis longtemps le moteur d'une superligue, mais maintenant, alors qu'il était confiant d'avoir la FIFA à bord, les étoiles ont commencé à s'aligner pour lui et son ami. Dans Infantino, Pérez et Laghrari avaient trouvé un président énergique désireux de refaire le business du football. Infantino a souvent parlé d'être ouvert à de nouvelles entreprises et propositions, il a défendu l'expansion de la Coupe du Monde et de la Coupe du Monde des Clubs de la FIFA ces dernières années, alors qu'il cherchait à affirmer la domination de la FIFA sur le jeu des clubs d'une manière qui ne ressemble aucunement à ses prédécesseurs. Pérez et Laghrari ont également trouvé des esprits semblables chez les hommes qui contrôlaient la plupart des meilleurs clubs européens. La plupart ont été attirés par un projet qui promettait d'ouvrir un robinet de nouveaux revenus tout en garantissant que les coûts seraient contrôlés, conduisant à d'énormes profits et à l'accès à une compétition des élites à perpétuité. Pourtant, même lorsqu'ils ont reçu des assurances des conseillers de l'A22 sur l'implication de la FIFA, certains propriétaires sceptiques ont fait leur propre diligence en contactant directement les hauts responsables de la FIFA. Et le mot qu'ils ont reçu, selon un responsable ayant une connaissance directe d'au moins une de ces conversations, était le même qu'ils entendaient de Madrid: si le plan était élaboré d'une certaine manière, la FIFA ne s'y opposerait pas. Ces entretiens ont donné aux clubs et à JPMorgan, la banque d'investissement américaine qui avait accepté de financer le projet, un niveau de confiance quant à sa viabilité. Leur confiance a cependant vacillé lorsque des fuites sur une potentielle superligue ont émergé dans des reportages en Janvier, accompagnées de murmures sur l'implication de la FIFA dans les pourparlers. Alarmé par ces informations, Aleksander Ceferin, le président de l'UEFA, a tenu une réunion en urgence avec Infantino au siège de l'UEFA à Nyon, au cours de laquelle il a directement demandé à Infantino s'il était impliqué dans le plan. Infantino a déclaré qu'il ne l'était pas, mais il a d'abord hésité lorsqu'on lui a demandé de s'engager dans une déclaration condamnant les propositions. Au milieu de pressions intenses et de demandes croissantes de commentaires, il a toutefois reculé. Le 21 Janvier, une déclaration a été publiée au nom de la FIFA et des six confédérations. Elle déclara qu'une ligue européenne ''fermée'' ne serait pas reconnue par la FIFA ou les confédérations et a réitéré la menace d'une interdiction de la Coupe du monde pour tout participant. La déclaration a choqué les organisateurs de la Super League, car leurs discussions avec la FIFA jusqu'à ce stade avaient été positives. Mais selon les personnes impliquées dans la planification, ils ont également senti un signal dans sa formulation: la FIFA a déclaré qu'elle ne reconnaîtrait pas une compétition fermée, mais la Super League prévoyait maintenant de compléter sa liste de 15 membres permanents avec cinq qualifications chaque saison. Les conseillers de l'A22, selon le propriétaire du club, ont insisté sur le fait qu'une échappatoire signifiait que tout n'était pas perdu. ''Ils ont signalé que la FIFA était toujours ouverte à quelque chose'', a-t-il déclaré. Le plan des fondateurs était de lier la Super League à la Coupe du monde des clubs de la FIFA, a déclaré le propriétaire. De cette façon, les clubs engageraient jusqu'à 12 des plus grandes équipes d'Europe dans la compétition mondiale d'Infantino en échange de la bénédiction de la FIFA pour leur nouvelle ligue. Pour adoucir l'accord, ils ont envisagé de renoncer à 1 milliard de dollars de paiements potentiels pour permettre à la FIFA de conserver cet argent en tant que paiement de solidarité qui pourrait être consacré à des projets de développement du football dans le monde entier. On ne sait pas si d'autres discussions ont eu lieu entre la FIFA et les clubs de la Super League dans les semaines qui ont précédé l'annonce de leur projet. Mais la FIFA a été la dernière des principales instances dirigeantes du football à publier une déclaration officielle sur la ligue proposée après celles des clubs, et elle ne l'a fait qu'après que l'UEFA, les meilleures ligues et les politiciens aient clairement exprimé leur opposition. Arrivé alors que Ceferin appelait les dirigeants de la ligue séparatiste ''des serpents et des menteurs'', la déclaration de la FIFA était beaucoup plus mesurée. Toute discussion sur l'exclusion des joueurs de la Coupe du monde a été discrètement abandonnée, et la FIFA a plutôt proposé un langage nuancé et conciliant. La FIFA a déclaré qu'elle était ''fermement en faveur de la solidarité dans le football et d'un modèle de redistribution équitable qui peut aider à développer le football en tant que sport, en particulier au niveau mondial''. Il a également réaffirmé qu'il ne pouvait qu' ''exprimer sa désapprobation à l'égard d'une ligue séparatiste européenne fermée en dehors des structures internationales de football.'' Pour ceux qui ont participé à cette ''séparation'', les mot, comme ils l'avaient fait en Janvier, étaient suffisamment vagues pour suggérer qu'il y avait encore de l'espoir pour leur projet, que la FIFA pourrait encore être disposée à apporter son soutien. En moins de 48 heures, cependant, leurs espoirs ont été déçus. L'opposition au plan avait alors atteint son paroxysme. Les fans en Grande-Bretagne protestaient dans les rues, et les politiciens avaient menacé de promulguer des lois pour bloquer cette ligue. Infantino, tout comme il l'avait fait en janvier, a de nouveau subi la pression de Ceferin pour se distancier des plans. Il l'a fait dans un discours prononcé au congrès de l'UEFA le 20 Avril dans lequel il s'est effectivement éloigné du projet de Super League. "Nous ne pouvons que désapprouver fermement la création de la Super League. Une Super League qui est une boutique fermée. Une rupture avec les institutions actuelles, des ligues, des associations, de l'UEFA et de la FIFA. Il y a beaucoup à jeter pour le gain financier à court terme de certains. Ils doivent réfléchir et assumer leurs responsabilités.'' Quelques heures plus tard, se rendant compte que la condition ''essentielle'' que leur contrat avait exigée ne se concrétiserait pas, les premiers clubs ont commencé à s'éloigner. À la tombée de la nuit, les six clubs anglais avaient annoncé leur sortie. À minuit, trois autres fondateurs avaient suivi. Aujourd'hui, seules trois équipes (le Real Madrid, la Juventus et Barcelone) restent des résistants, refusant de signer une lettre d'excuses exigée par l'UEFA comme condition de leur réintégration dans le football européen. S'ils ne signent pas, tous les trois s'exposent à des sanctions importantes, y compris une éventuelle interdiction de la Ligue des champions. Infantino, quant à lui, fait face à ses propres pressions, sans parler des accusations de trahison. Le chef de la ligue espagnole, Javier Tebas, l'a ouvertement appelé l'un des cerveaux derrière la ligue séparatiste et a déclaré qu'il l'avait dit à Infantino lorsque les hommes se sont brièvement rencontrés au Congrès de l'UEFA. "C'est lui qui est derrière la Super League, et je lui ai déjà dit en personne", a déclaré Tebas ce mois-ci. "Je l'ai déjà dit et je le répète: derrière tout cela, il y a le président de la FIFA, Gianni Infantino." Affaire à suivre...- 1 commentaire
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RMCSPORT/AFP - L'UEFA a annoncé ce mercredi l'ouverture d'une enquête disciplinaire officielle sur le Real Madrid, le Barça et la Juventus Turin après la tentative de création de la Super League. Ces trois clubs sont les seuls à ne pas avoir annoncé leur retrait officiel du projet. L'UEFA a engagé mercredi des poursuites disciplinaires contre le Real Madrid, le FC Barcelone et la Juventus Turin, les derniers des douze promoteurs de la Super League à refuser de renier ce projet de tournoi privé. Mettant à exécution les menaces formulées vendredi contre les trois mutins, l'instance européenne a nommé des "inspecteurs éthiques et disciplinaires" chargés de mener cette enquête, "en relation avec le projet d'une soi-disant "Super League'", a-t-elle annoncé dans un communiqué. L'enquête visant le Real, le Barça et la Juve pourrrait durer un mois annonce Tariq Panja du New York Times. Les trois clubs qui n'ont pas renoncé officiellement à la Super League risquent une suspension jusqu'à deux ans de Ligue des Champions. "De plus amples informations sur ce dossier seront communiquées en temps utile", ajoute l'UEFA, sans préciser quelle "potentielle violation du cadre légal de l'UEFA" est reprochée aux trois clubs. Parmi l'éventail de sanctions disciplinaires prévues par les statuts de l'organisation, les plus lourdes pour les clubs sont donc "l'exclusion de compétitions en cours et/ou de compétitions futures" et, pour les dirigeants, "l'interdiction de toute activité relative au football". En annonçant dans la nuit du 18 au 19 avril leur propre Super League privée, à la veille d'une réforme très attendue de la Ligue des champions, ses douze promoteurs ont chamboulé le football européen et menacé l'existence même de l'UEFA. Le retrait progressif des six participants anglais, au bout de 48 heures, a entraîné l'abandon du projet, et neuf des mutins ont finalement accepté vendredi dernier leur réintégration par l'UEFA en contrepartie de sanctions financières modérées, et de la promesse de ne plus recommencer. Mais le Real Madrid - dont le président Florentino Perez avait pris la tête de la Super League -, le FC Barcelone comme la Juventus Turin ont toujours refusé de déposer les armes, et défiaient encore l'UEFA samedi en dénonçant ses "pressions et menaces incessantes". ®Mathieu Idiart avec AFP
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Florentino Pérez a déclaré que les 12 clubs annoncés la semaine dernière comme fondateurs de la Super League européenne ne pouvaient pas l'abandonner en raison des contrats et a promis que le projet reviendrait bientôt. Voici ses déclarations à AS. "Je n'ai pas besoin d'expliquer ce qu'est un contrat contraignant, mais effectivement, les clubs ne peuvent pas partir. Certains d'entre eux, en raison de la pression, ont dit qu'ils partaient. Mais ce projet, ou un projet très similaire, ira de l'avant et j'espère très bientôt." JP Morgan, qui avait accordé une subvention de 3,5 milliards d'euros aux clubs fondateurs, a déclaré vendredi qu'il avait "mal évalué la façon dont l'accord serait perçu". Pérez, cependant, a déclaré que la banque était toujours à bord: "Ce n'est pas vrai qu'ils se sont retirés. Ils ont mis du temps à réfléchir, tout comme les 12 clubs. Si nous devons faire des changements, nous les ferons, mais la Super League est le meilleur projet auquel nous ayons pensé. Le partenariat existe toujours, tout comme les membres qui composent la Super League. Ce que nous avons fait est d'avoir pris quelques semaines pour réfléchir au vue de la fureur de certaines personnes qui ne veulent pas perdre leurs privilèges et qui ont manipulé le projet." Pérez a réitéré la nécessité pour la nouvelle compétition de stimuler les clubs qui luttent pour faire face aux pertes liées à la pandémie de coronavirus. Il a ajouté que les 12 clubs de Super League avaient perdu au total 650 M€ l'année dernière et risquaient de perdre jusqu'à 2,5 milliards d'euros cette année. Il n'était pas non plus convaincu par la réforme de la Ligue des champions menée par l'UEFA. "La Super League est le meilleur projet possible pour aider le football à sortir de la crise. Le football est gravement atteint et nous devons nous adapter à l'époque dans laquelle nous vivons. La réforme de la Ligue des champions n'est pas la meilleure, et de plus, nous ne pouvons pas attendre 2024." Pérez en a profité pour expliquer pourquoi PSG et le Bayern n'étaient pas dans les douze. "Pourquoi le le PSG et le Bayern Munich n’ont pas pris le train de la Super Ligue selon moi ? Pour différentes raisons. Dans le cas du Bayern, il est en train de changer de direction et celle du PSG, parce que nous allions le dire plus tard. Parce que le groupe des douze travaillait et fonctionnait depuis de nombreuses années. Mais les deux allaient être invités."
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Les Clubs de Serie A prêt à faire payer Andrea Agnelli
Victor "Antony" Newman a posté un article dans Serie A
En effet, la Super League a laissé des plaies ouvertes qui sont difficiles à colmater. Si la Super League est de l’histoire ancienne, les Clubs de la Serie A se préparent à sortir la sulfateuse Révélation de la Repubblica relayée par Calcio&Finanza Andrea Agnelli est considéré comme l’ennemi public numéro un, et chaque clubs, dont la Roma, le Torino et le Genoa sont prêt à entreprendre une action en responsabilité contre le Président de la Juventus. D’autres clubs évaluent la possibilité d’intenter des actions en justice. Pour quel motif ? La raison du naufrage de la négociation relative à la Création de la Media Company accompagnée de l’entrée des fonds de Private equity Cvc, Advent et Fsi, qui étaient disposé à verser 1,7 milliards d’euros au sein de cette nouvelle société qui aurait dû gérer les droits télés et les aspects commerciaux. Un accord avait été voté à l’unanimité en novembre, avant d’être ensuite sacrifié face à l’offre alléchante de la Dazn pour l’obtention des droits de la Serie A 2021-2024 sans oublier le scandale lié à la Super League. "Vous avez saboté la négociation avec les fonds en sachant que vous feriez la Super League" a assené Urbano Cairo, le Patron du Torino à Agnelli lors de l’assemblée qui s’est tenu ce lundi. En effet, par le passé, Agnelli avait rejoint le comité de négociation dont l’objectif aurait dû être la réalisation d’une feuille de route afin de définir l’entrée des fonds d’investissements. Toutefois, en janvier, il a reçu la visite de Florentino Perez, le Président du Real. Et après une réélection houleuse de Paolo Dal Pino à la présidence de la Lega, lui qui était porteur de l’opération relative aux fonds, la feuille de route s’est toujours retrouvée reportée jusqu’à la rupture définitive avec la Juve et l’Inter qui se sont positionné comme réfractaires Le tout, suite à une "clause de responsabilité" qui prévoyait de lourdes pénalités en cas de perturbation du format adopté Outre Agnelli, les deux autres clubs impliqués dans le lancement de la Super League sont l'Inter et le MIlan. Giuseppe Marotta a décidé de prendre du recul par rapport à sa fonction de Conseiller Fédéral si l'assemblée souhaite qu'il l'abandonne. Il en va de même pour Scaroni, le président de Milan réfléchi également sur son rôle de Conseiller à la Lega, étant donné la prise de position des autres clubs. Enfin, pour revenir sur les droits TV, Sky a décidé de faire appel contre Dazn sur base de la violation dela loi Melandri, qui interdit à un seul opérateur d'avoir tous les droits de diffusion. La Lega n'est pas inquiète et, dans le respect des règles, elle procédera à l'attribution d'un package qui n'impliquera pas Dazn, mais un autre licencié toujours en course ®Antony Gilles – Internazionale.fr- 2 commentaires
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Super League : Comment Aleksander Ceferin a géré la situation
Victor "Antony" Newman a posté un article dans Coupes d'Europe
En effet, deux journalistes du New York Times, Tariq Panja et Rory Smith ont procédé à la reconstitution de la rébellion emblématique des grands clubs européens. Une rébellion qui aura été gérée de main de maître par Aleksander Ceferin, le Président de l’UEFA, dont le but était de retrouver immédiatement une certaine normalité. Révélation de Calcio&Finanza Selon le quotidien américain, tout a débuté dans la journée du 15 avril, lorsque Javier Tebas, le Président de la Liga et Joan Laporta, le numéro un de Barcelone, se sont rencontrés afin de célébrer la victoire aux élections du second à la Présidence du Club catalan Mais au lieu de s’agir d’un moment festif, l’évènement a immédiatement pris une tournure déplaisante : Laporta avait informé Tebas que 12 clubs bien connus (parmi lesquels l’on retrouve l’Inter, la Juve et le Milan) allait donner vie à la Super League Dès cet instant, Tebas a immédiatement appeler Ceferin pour tirer la sonnette d’alarme, en provoquant un court-circuit entre les Managers, les Fédérations et les Clubs de toute l’Europe : Le Président de l’UEFA a sonné immédiatement à Andrea Agnelli, qui en sa qualité de Président de l’Eca, l’avait informé et rassuré la veille qu’il ne s’agissait purement et simplement de bruit de couloirs Agnelli, selon le New York Times, n’a pas répondu à Ceferin, qui est aussi le parrain de sa fille. Le Président européen avait d’ailleurs écrit à la compagne du Président de la Juventus en l’informant de l’urgence de la situation. En retour, Agnelli aurait finalement répondu qu’il n’y avait pas lieu de s’inquiéter. Ceferin suggéra alors de diffuser un communiqué conjoint, mais Agnelli lui avait demandé du temps : 30 minutes. Délai obtenu, selon le New York Time, Agnelli se mura ensuite dans le silence en se rendant indisponible Entre les journées du jeudi jusqu’au samedi, le cellulaire de Ceferin est toujours resté actif. Dimanche midi, le Président de l’Uefa avait eu vent des noms des 12 clubs : les anglais : Arsenal, Chelsea, Liverpool, Manchester City, Manchester City et Tottenham Hotspur; les italiens Inter, Juventus, Milan; les espagnols Atletico Madrid, Barcelone, Real Madrid Ceferin apprends également que les clubs n’ont pas joué le même rôle, et ils n'ont pas pesé de la même façon dans la balance Les Managers de City, de Chelsea, mais aussi de l’Atletico Madrid – par exemple, n’ont été seulement informé vendredi, de la tournure des évènement qui était désormais actée. Ils ont informé le Président de l’UEFA qu’ils n’ont eu qu’une seule journée pour se décider. De leurs côtés, le Bayern Munich et le Paris-Saint-Germain ont refusé d’y adhérer Pour être clair, celui qui a été le moteur principal est Florentino Perez, mais comme le New York Time l’explique, la zone de guerre combattue allait être celle d'Outre-Manche: Les clubs anglais, car sans eux, il était impossible de donner vie au projet Après la diffusion du communiqué parue dans la nuit de dimanche à lundi, Aleksander Ceferin a immédiatement téléphoné au Président de la Fifa Gianni Infantino, mais il s’est surtout et ensuite longuement entretenu avec Oliver Dowdne, le Responsable du Sport et de la Culture du Gouvernement anglais qui lui a assuré que l’Exécutif de Boris Johnson allait faire quelque chose pour bloquer cette initiative Ce n’est pas un hasard si le Premier Ministre est intervenu quelques instants après, à la télévision, pour se déclarer contraire à l’initiative. De plus, en coulisse, le Gouvernement Johnson a mis la pression sur Manchester City afin qu’il abandonne le projet, avant de passer à l’offensive, mardi, avec l’effet escompté sur les Blues d’Abramovich et sur les Citizens Les Citizens ont décidé de se retirer du projet, ce qui a fait vaciller tous les autres, en déclenchant ainsi l’implosion du projet, seulement 48heure après sa naissance Le reste de l’Histoire est connu : Les clubs se sont retiré et chacun s’est excusé. De plus certains dirigeants ont fait savoir qu’ils n’avaient pas été mêlé aux discussions. Si l’UEFA accueille de nouveau ses dissidents, il y aura quoiqu’il arrive des conséquences, voire des sanctions. Ceferin s’est donné le temps jusqu’à ce vendredi ®Antony Gilles – Internazionale.fr- 2 commentaires
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Tremblez clubs félons: l'UEFA envisagerait des sanctions!
alex_j a posté un article dans Coupes d'Europe
L'UEFA envisage d'imposer des sanctions aux 12 clubs impliqués dans la tentative infructueuse de créer une Super League européenne séparatiste. Son président, Aleksander Ceferin, a averti qu'ils "subiraient les conséquences" de "leur erreur". Selon le Guardian, l'appétit de punir les clubs renégats grandit au sein de l'UEFA malgré que Ceferin ait laissé entendre le contraire mercredi. Dans une interview avec 24UR dans son pays d'origine publiée ce jeudi, le Slovène a également pris pour cible deux des principaux architectes de l'ESL, Andrea Agnelli et Florentino Pérez, et a déclaré qu'il avait été choqué par leur trahison. "Nous avons 235 clubs sur 247 de notre côté... eh bien, nous les avions, et maintenant nous en avons 244", a déclaré Ceferin, faisant référence au fait que la Juventus, Madrid et Barcelone n'ont pas officiellement abandonné la Super League. "Vous êtes avec nous. Hier, j'ai reçu le soutien par SMS de pratiquement tous les clubs d'Europe. Alors maintenant, nous nous attendons à ce que chacun réalise son erreur et subisse les conséquences appropriées. Nous en parlerons la semaine prochaine." On pense que l'UEFA explore les sanctions qui pourraient être imposées. Reste à voir si cela pourrait s'étendre aux interdictions potentielles de la Ligue des champions de la saison prochaine, comme certains l'ont demandé. Nasser Al-Khelaïfi et Karl-Heinz Rummenigge ont remplacé Agnelli en tant que représentant de l'European Club Association (ECA) au comité exécutif de l'UEFA, et le directeur de Manchester United David Gill est le seul membre du comité restant avec des liens avec un club félon et il est il est peu probable qu'on lui demande de démissionner étant donné qu'il est également le trésorier de l'UEFA. Ceferin, parrain de la fille d'Agnelli, a réservé ses critiques les plus sévères qu'il a accusé de "ne pas se soucier du sport que nous aimons". Il a dit qu'il avait "plus de respect" pour les clubs anglais pour avoir admis qu'ils avaient commis une erreur. "Ils savent exactement qu'ils ont commis une erreur, ils m'ont appelé et je respecte cela. Il faut être grand pour admettre une erreur et c'est pourquoi j'ai plus de respect pour ces clubs que pour ceux qui insistent sur quelque chose qui, selon eux, n'existe pas." Les 12 félons pourraient être affectés par des modifications du nouveau format de la Ligue des champions qui supprimeraient la proposition d'attribuer des places sur la base de performances historiques.- 8 commentaires
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Florentino Pérez blâme City pour l'effondrement de la Super League
alex_j a posté un article dans Coupes d'Europe
S'exprimant dans une interview accordée à l'émission de radio de fin de soirée El Larguero, Pérez a admis qu'il était "triste et déçu" dont les choses ont tourné. The Guardian rapporte son interview. La Super League séparatiste s'est effondrée en raison de la férocité de l'opposition et du fait que l'un des clubs anglais, compris comme Manchester City, n'était pas pleinement engagé, selon Florentino Pérez. Le président du Real Madrid, qui a insisté sur le fait que le projet n'était pas mort, a affirmé que l'UEFA avait agi comme si les 12 clubs rebelles avaient "largué une bombe atomique", et a déclaré que les clubs de Premier League avaient perdu leur sang-froid. Il a également accusé les fans de Chelsea qui se sont rassemblés à l'extérieur de Stamford Bridge d'être des larbins. S'exprimant dans une interview accordée à l'émission de radio de fin de soirée El Larguero, Pérez a admis qu'il était "triste et déçu". Mais il a insisté sur le fait qu'aucun des clubs, dont, selon lui, chacun avait signé des contrats identiques contenant des clauses de pénalité pour retrait, n'avait officiellement quitté l'association et affirmait qu'ils continueraient à travailler pour trouver des "solutions". Il a nié que la Juventus et le Milan se soient retirés, a décrit Barcelone comme "en réflexion" et, à un moment donné, lors d'une longue apparition décousue et souvent contradictoire, a même déclaré que "les Anglais ne sont pas partis". "Il y avait un des clubs anglais qui ne semblait pas si intéressé que ça et cela s'est propagé au reste", a déclaré Pérez. "Ils ont signé le contrat mais on voyait déjà qu'ils n'étaient pas convaincus. Et puis l'avalanche a commencé, la Premier League 'chauffant les choses'. Ils ont dit: 'Nous allons nous retirer pour l'instant.' Il y avait un club dont vous pouviez dire qu'il n'était pas aussi intéressé, mais ils ont travaillé avec nous et se sont inscrits." Bien qu'il ait dit qu'il ne nommerait pas le club, quand on lui a demandé si c'était Manchester City, Pérez a déclaré: "Celui de Manchester a vu la campagne disant que cela tuerait les ligues, que cela ne permettra pas le mérite sportif, que c'était la fin du football. Il y a des gens qui ont des privilèges et qui ne veulent pas les perdre, même si cela ruine le football. Lorsque les Anglais m'ont appelé mardi, nous nous sommes rencontrés pour voir ce que nous pouvions faire. Ils ont essayé, mais ont dit: 'Écoutez, nous n'allons pas faire ça.'" Pourquoi les clubs anglais se sont retirés: "Parce qu'ils ont vu l'atmosphère. L'UEFA en a fait un spectacle. C'était comme si nous avions largué une bombe atomique. Peut-être que nous ne l'avons pas bien expliqué, mais ils ne nous en ont pas donné la chance. Pourquoi? Parce qu'ils ne voulaient pas que nous le fassions. Je n'ai jamais vu une telle agressivité; cela a été orchestré. Ils nous ont tués le lendemain. Ils nous attendaient. Je pense qu'ils savaient que nous allions le faire. Il y a eu des menaces, des insultes, comme si nous avions tué le football. Les propriétaires ne sont pour la plupart pas anglais. Ils ne sont pas là pour gagner de l'argent, ils ont des équipes en Amérique, ils aiment le sport et ils se sont retrouvés dans une position à laquelle ils ne s'attendaient pas. Ils sont vieux, ils ont eu peur.", a déclaré Pérez, qui a 74 ans. Pérez a également contesté la suggestion selon laquelle l'opposition aux plans était unanime. Interrogé sur les fans de Chelsea qui se sont rassemblés à l'extérieur de Stamford Bridge, il a répliqué: "Il y en avait 40 et si vous voulez, je vous dirai qui les a amenés là-bas." Quand il a été ramené à cette remarque plus tard, on lui a demandé de dire qui était celui qui avait planté les fans là-bas, il a fait référence aux t-shirts anti-super-ligue que la Liga avait arrangés pour que les joueurs portent avant cette journée en milieu de semaine, y compris le voyage de Madrid à Cadix. "Eh bien, la personne qui les a mis là", dit-il, pas tout à fait de manière cohérente. "Comme celui qui a organisé les T-shirts à Cadix. Le même, le même. Ce n'est pas normal." Pérez a déclaré que l'Atlético s'était retiré de la Super League "se sentant mal après avoir entendu tant de choses stupides". Il a également insisté sur le fait que le président de Barcelone, Joan Laporta, devait prendre la parole le lendemain de sa première intervention. "Ils ne lui ont même pas donné 24 heures pour le faire. Il a essayé, comme les Anglais l'ont fait. Je pense qu'ils étaient très fatigués de travailler dur juste pour qu'il y ait des problèmes. Il est impossible qu’en Angleterre, les six perdent de l’argent et les 14 gagnent de l’argent. En Espagne, les trois premiers perdent de l'argent et les autres gagnent de l'argent. Cela ne peut pas continuer; ce sont les riches qui perdent de l’argent." Pérez a déclaré que la Super League était "en attente", qu'il était certain qu'une compétition "très similaire" serait bientôt créée et que le groupe était ouvert à discuter d'idées avec l'UEFA et d'autres organismes: "Nous allons continuer à travailler. Nous recherchons des moyens d'y parvenir. Ce serait dommage de ne pas y arriver."- 9 commentaires
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Quel était le rôle de Steven Zhang au sein de la Super League? C’est un fait, le projet avorté de la Super League a provoqué un tsunami dépassant les frontières du monde du ballon rond. Et si l’Inter y avait adhéré, Steven Zhang ayant cru au projet, l’Inter a également été la première équipe italienne à se rétracter. Révélation de la Gazzetta Dello Sport La naissance du projet Tout a débuté en janvier, lorsque Suning était en train d’abandonner le Jiangsu, champion de Chine en titre, et qu’il considérait l’Inter comme non-stratégique. Entendons-nous, le Jiangsu n’aurait jamais disputé une Super League. C’est ainsi, lors des première semaines de 2021, que Steven Zhang avait commencé à discuter sur le projet européen mené par Florentino Perez, en Italie, avec Andrea Agnelli. Il y a eu des "Conferences-Calls" depuis la Chine avec le management italien qui, s'il était certainement au courant de ce qu’il se tramait, n’avait pas connaissance de l’état d’avancé du projet : il était tout naturel, finalement que le club se montre intéressé par l’idée de faire décoller ses revenus, lui qui dispose d’une dette s’élevant à 630 millions d’euros. La Super League n’aurait de toute façon pas changé les plans établis : Steven a continué à rechercher un partenaire capable de remplacer la LionRock. Toutefois, le dessert était appétissant et Zhang n’a jamais mis de côté son téléphone. Le rôle de Steven C’était lui qui aurait dû gérer les contacts pour tous les autres. C’était lui qui aurait dû illustrer aux 11 autres collègues un voyage qui n’a jamais commencé auparavant : celui d’une Chine, et plus généralement de ce que le marché asiatique aurait pu représenter. Par chance, Steven n’a jamais été ce guide du groupe, mais il est tout de même monté volontairement dans le train, intrigué par cette idée de changement. Et de ce wagon, Steven a été le premier à descendre, il y a deux jours. Steven était connecté lors de la réunion qui s’est tenue ce mardi soir, au moment où les 12 clubs ont décidé de sortir de ce tunnel de la manière la plus digne possible. Le Président de l’Inter avait été informé, par l’Italie, des risques futurs qui pouvaient découler d’une telle opération à la suite de l’accélération d’une affaire qui était forcément mal calculée, comme celui des retombées que cela allait causer. Et c’est ainsi qu’après le départ des six anglais, Zhang a levé la main pour dire stop. Il y a eu également une coulisse particulièrement anormale dans ce retrait au niveau des communiqués : le premier a eu lieu à 01h18 dans la nuit de mardi à mercredi, par une note adressée à l’Ansa, où il était question de faire comprendre l’intention de quitter le navire. Ensuite, il y a eu un communiqué ce mercredi matin. Pour quelle raison ? Le club Nerazzurro voulait initialement respecter un "pacte d’attente" avec la Juve et le Milan, mais il a préféré clarifier sa position immédiatement, en se libérant de ces chaines le plus tôt possible, sur base de l’exemple anglais. Une Gestion lunaire Alors que Zhang renforçait sa relation avec Agnelli en démissionnant de l’ECA, passage obligatoire pour éviter tout ennui juridique, les Administrateurs-Délégués Giuseppe Marotta et Alessandro Antonello étaient eux occupés à participer aux réunions de la Lega, dont celles relatives à la thématique des droit télé. Et eux-mêmes, lors de celles-ci, n’avaient pas connaissance de la brusque accélération du projet relatif à la Super League. Validez-vous le fait que Steven ait fait preuve tout de même d'une certaine prudence ? ®Antony Gilles – Internazionale.fr
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Super League : Le début des emmerdes ?
Victor "Antony" Newman a posté un article dans Coupes d'Europe
"Quitter la Super League, une fois la compétition lancée allait couter des centaines de millions d’euros." Telle est la révélation du Financial Times, qui aurait eu connaissance de documents interne relatif au projet Les 12 clubs se seraient accordés sur une clause de départ, en s’engageant à ne pas quitter la nouvelle compétition avant le mois de juin 2025. De plus, en cas de départ, un préavis d’au moins un an se doit d’être respecter. Qui plus est, le montant de la clause serait liés au flux d’argent disponible dans les caisses des clubs, ceux-ci devant s’engager, en cas de départ, à rembourser le financement initial de 3,25 milliards d’euros que JP Morgan s’était engagé à mettre en jeu Est-ce que les clubs sont réellement sorti d’affaires ? Florentino Perez s’est dernièrement exprimé en faisant état que les 12 clubs avaient signé des contrats contraignants. Etant les maitres du jeu, les clubs qui n’ont pas encore abandonnés la Super League pourrait également poursuivre en justice les clubs qui ont décidé de faire marche arrière. ®Antony Gilles – Internazionale.fr- 5 commentaires
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L’Inter trahit Andrea Agnelli – Ceferin Roi d’Europe
Victor "Antony" Newman a posté un article dans F.C. Internazionale Milano
En effet, Andrea Agnelli s’est adressé à l’agence Reuters suite à l’implosion du projet Super League: "Le projet ne sait pas aller plus loin suite à la sortie des équipes anglaises." En effet, s’il l’a mauvaise, son Club, la Juventus, est premier à en pâtir étant donné que son action en bourse a "pris" sévère. De plus, suite à sa démission de son poste de Président de l’ECA, celui-ci ne pèse absolument plus en Europe. Sans oublier, le "missile" envoyé avec accusé de réception aux autres clubs de la Serie A, sur le fait que les trois géants d’Italie remportaient le Scudetto depuis plus de 80 années. Au niveau de l’Inter, celle-ci a officialisé son départ, tout en adressant un message particulier à l’UEFA. En effet, le Management souhaitait revenir à une certaine normalité, étant donné que l’Inter dispute une nouvelle Finale Scudetto, ce soir, face à Spezia. De fait, il y a eu une vidéoconférence avec la Chine ce matin. C’est un fait, Suning et donc l’Inter ont « trahi » le Président Bianconero. Voici la révélation de la Gazzetta Dello Sport : "On peut supposer que sur ce terrain parsemé de Centre, le premier contact avec Aleksander Ceferin, président de la plus haute autorité européenne de football, servira également à se lancer dans des négociations qui seront nécessaires dans la redistribution des recettes. Les comptes de l’UEFA ont été enrichis ces dernières années, mais les clubs n’ont eu droit qu’à une partie infime du gâteau". L’Inter a été la première également à prendre ses responsabilités : "Ce n’est pas un hasard si le bloc italien s’est effondré en commençant par les Nerazzurri. La Juve et le Milan étaient bien plus concernées car Ivan Gazidis (cela se savait) et (ô surprise) Andrea Agnelli avaient travaillé à la création du tournoi avec Florentino. L’horizon s’est donc assombri lorsque six fondateurs se sont retirés, le nombre légal d’adhérants n’étant pas respecté." "En conséquence, le départ de l’Inter de la Super League a été ordonné et ratifié par Suning. Cela vaudra également pour le Milan dont le dernier mot revient à Eliott." De son côté, Gabriele Gravina, fraichement élu au Comité Exécutif de l'Uefa, a pris la décision que chaque club qui souhaite disputer le Championnat devra s’engager avec l’Uefa. Celui-ci va soumettre cette proposition, dès lundi au Conseil Fédéral italien. A titre de comparaison : si l’engagement des chinois était "superficiel", l’engagement du fond américain propriétaire du Milan était quant à lui en ligne direct. All hail to the king Aleksander Ceferin peut avoir le sourire : le numéro un de l’Uefa s’est livré dans un communiqué, en exprimant son entière satisfaction suite à l’implosion de la Super League, en accueillant les rebelles britanniques : « C’est admirable de reconnaitre que vous avez fait une erreur. Et ces clubs ont commis une grosse erreur, mais ils sont de retour à la maison. Je sais qu’ils ont beaucoup à nous apporter, non seulement dans nos compétitions, mais aussi au niveau européen dans son ensemble. L’important, à présent est d’aller de l’avant et de retrouver l’unité dont ce sport jouissait jusqu’auparavant. Il faut aller tous ensemble de l’avant." Qui est volontaire pour lui demander son avis sur Andrea Agnelli ? ®Antony Gilles - Internazionale.fr- 8 commentaires
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Le fondateur de la Super League européenne et président de la Juventus, Andrea Agnelli, a déclaré que l'ESL ne pouvait plus avoir lieu après le retrait de six clubs anglais. Lorsqu'on lui a demandé si le projet pouvait encore se concrétiser après les sorties, Agnelli a déclaré à Reuters: "Pour être franc et honnête non, ce n'est évidemment pas le cas." Agnelli a insisté sur le fait qu'il restait convaincu que le football européen avait besoin de changement et n'avait aucun regret sur la façon dont la tentative d'échappée avait été faite. "Je reste convaincu de la beauté de ce projet", a-t-il déclaré, affirmant qu'il aurait créé la meilleure compétition au monde. "Mais certes… je veux dire, je ne pense pas que ce projet soit encore opérationnel." Auparavant, la Super League avait promis de "remodeler le projet" après que ses plans aient été laissés en lambeaux. Chelsea a ouvert la voie mardi, signalant un revirement brusque à peine 48h après l'annonce de la bombe ce dimanche sur la création de cette ligue controversée. Manchester City a emboîté le pas avant que Liverpool, Manchester United , Arsenal et Tottenham ne complètent le tableau embarrassant de volte-face du contingent de la Premier League. "Malgré le départ annoncé des clubs anglais, contraints de prendre de telles décisions en raison de la pression exercée sur eux, nous sommes convaincus que notre proposition est pleinement alignée sur la législation et la réglementation européennes. Compte tenu des circonstances actuelles, nous reconsidérerons les étapes les plus appropriées pour remodeler le projet, en gardant toujours à l'esprit nos objectifs d'offrir aux supporters la meilleure expérience possible tout en améliorant les paiements de solidarité pour l'ensemble de la communauté du football." Le Milan et l'Inter auraient également envisagé mardi soir de démissionner (confirmé pour l'Inter), laissant la Juventus, et le trio espagnol Real Madrid, Atlético Madrid et Barcelone comme les derniers membres permanents du groupe de séparation. Les six clubs de Premier League ont renoncé à une caution après une réaction furieuse de la part des fans, des joueurs et des managers au cours des deux derniers jours. Le gouvernement britannique a exprimé sa volonté d'utiliser la législation pour faire dérailler le projet, alors qu'il y avait également une intervention royale du prince William. Pendant ce temps, la Fédération de football a menacé de sanctions les clubs et d'interdictions pour les joueurs de clubs rebelles, tout comme l'UEFA - l'instance dirigeante européenne - et la Fifa, son homologue mondiale. Pourtant, non découragée par les retombées, l'ESL, dirigée par le président du Real Madrid, Florentino Pérez, a déclaré qu'elle restait déterminée à mettre le projet en marche, même si toute compétition qui émergerait ne ressemblerait guère à ce qui était initialement prévu. "La Super League européenne est convaincue que le statu quo actuel du football européen doit changer. Nous proposons un nouveau concours européen car le système existant ne fonctionne pas. Notre proposition vise à permettre au sport d'évoluer tout en générant des ressources et de la stabilité pour la pyramide du football, notamment en aidant à surmonter les difficultés financières rencontrées par l'ensemble de la communauté du football à la suite de la pandémie. Cela offrirait également des paiements de solidarité sensiblement améliorés à toutes les parties prenantes du football."
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Communiqué officiel de la Super League Européenne
Victor "Antony" Newman a posté un article dans Coupes d'Europe
LESOIR.BE - Peu avant 2 heures du matin, la "Super League" publiait un communiqué. Les créateurs y annoncent qu’ils vont "reconsidérer les étapes les plus appropriées pour remodeler le projet" de compétition privée censée concurrencer la Ligue des champions de football, face aux nombreux désistements de clubs fondateurs auxquels ils font face. Cette décision, qui s’apparente à une suspension du projet, intervient à l’issue d’une folle journée, qui a vu se désolidariser successivement la moitié des douze clubs fondateurs de cette compétition quasiment fermée aux autres équipes d’Europe, face au tollé des supporters et aux menaces des instances du football. Les six clubs anglais (Arsenal, Chelsea, Liverpool, Manchester City, Manchester United et Tottenham) initialement engagés dans cette Super Ligue ont annoncé mardi soir leur retrait de ce projet "à cause de la pression mise sur eux", a ajouté l’organisation "Super League" dans un communiqué transmis à l’AFP deux jours seulement après le lancement de son initiative. La "Super League", basée en Espagne, s’est malgré tout redite " convaincue" que sa proposition "est entièrement alignée avec le droit européen", et que "le statut quo actuel du football européen doit changer" L’organisation dissidente, dirigée par le patron du Real Madrid Florentino Pérez, ne précise en revanche pas concrètement de quelle manière elle compte "remodeler" son projet, ni n’indique si ce sera au sein des instances comme l’Union européenne du football (UEFA) ou toujours en dehors. Les six autres clubs initialement engagés (Real Madrid, Barcelone, Juventus Turin, AC Milan, Atlético Madrid, Inter Milan) n’ont de leur côté pas pris officiellement position depuis les défections de leurs alliés initiaux. ®LESOIR.BE- 11 commentaires
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Sur ESPN, Gabriele Marcotti s'est exprimé sur cette European Super League qui est bien mal partie suite à la désaffection des 6 clubs anglais. L'un des membres de l'armée de relations publiques embauchés par les 12 clubs derrière la Super League a informé les médias mardi soir après une réunion d'urgence que le projet avait été "suspendu". Ouais, suspendu par un fil sur un gouffre béant de dérision, d'incompétence et d'échec. À ce stade, cinq des 12 clubs "fondateurs" avaient publié des déclarations selon lesquelles ils se retiraient de la compétition. Un autre, Chelsea, s'est retiré en quelques minutes. Des rapports ailleurs ont indiqué que le Milan, l'Inter et l' Atletico Madrid avaient également choisi de démissionner. Barcelone serait également partant. Qui est resté? La Juventus, qui a dû nier les informations selon lesquelles le président Andrea Agnelli avait démissionné. Le Real Madrid dont Florentino Perez avait été parmi les plus grandes pom-pom girls, il était également le président de la Super League, et, 24 heures plus tôt, avait parlé de la façon dont les clubs seraient "morts" sans lui et comment cela sauverait le football. Il devait apparaître à la radio espagnole pour poursuivre son offensive de charme ce mardi soir. C'était une non-présentation. (Apparemment, il sera ce mercredi soir.) Ainsi se sont terminés les 48 heures les plus remarquables, de la déclaration annonçant la naissance de la Super League dimanche soir aux défections massives deux jours plus tard, la plupart des joueurs de football se souviendront. Un sport qui était censé être révolutionné par 15 des plus grands clubs du monde qui créaient, géraient et, surtout, possédaient leur propre compétition pendant les 23 prochaines années (la durée de leur engagement que les contrats stipulaient), était soudainement revenu à certains semblant de normalité. Et le monde du football s'est réveillé à la réalité que le pouvoir ne repose pas seulement sur les équipes les plus grandes, les meilleures et les plus riches. C'est aussi entre les mains des institutions, des joueurs, des gouvernements, des entraîneurs et, oui, des fans. Alors qu'est-ce qui a causé la fin? C'était les fans, non? "Les images étaient évidentes à Leeds United contre Liverpool lundi soir et Chelsea contre Brighton mardi. Nous avons vu des fans de Liverpool se rendre au match, se tenir à l'extérieur (les matchs de Premier League restent fermés aux fans en raison de la pandémie) et protester bruyamment aux côtés des supporters de Leeds. Mardi, plus de 1000 supporters de Chelsea ont bloqué la circulation à l'extérieur de Stamford Bridge, perturbant le bus de l'équipe au point que Petr Cech, légende du club devenu exécutif, a dû sortir pour les calmer. Quelques instants plus tard, Chelsea aurait choisi de ne pas participer à cette ESL. C'étaient des scènes puissantes, en particulier après 48 heures au cours desquelles la réaction des médias et des fans de la plupart des pays a été extrêmement négative. Mais vous ne pouvez pas ignorer la réaction des joueurs et des managers. Lundi soir, Jurgen Klopp a expliqué qu'il n'en avait pas été informé jusqu'à ce que la nouvelle éclate. Pep Guardiola de Manchester City , parlant des places garanties (et des revenus) pour les clubs "fondateurs", a déclaré mardi que 'ce n'est pas un sport quand le succès est déjà garanti. ... Ce n'est pas un sport quand il ne le fait pas. Peu importe que vous perdiez.' Des joueurs de Bruno Fernandes et Marcus Rashford (Manchester United) à toute l'équipe de Liverpool se sont opposés sur les réseaux sociaux. Et c'étaient toutes des personnes employées par des clubs "fondateurs". Vous pouvez imaginer les autres. Cela dit, il y avait beaucoup de parties mouvantes. Et ils sont certainement partis du mauvais pied." Comme quoi? "Les dégâts initiaux, je pense, sont survenus lundi lorsque le Borussia Dortmund, le Bayern Munich et le Paris Saint-Germain se ne sont pas entrés dans le jeu. C'était un coup dur, car une Super League sans deux des économies les plus grandes et les plus riches d'Europe allait toujours être une vente plus difficile aux sponsors et aux diffuseurs potentiels. Le même jour, le président de l'UEFA, Aleksander Ceferin, s'est prononcé fermement contre les clubs rebelles qui, 72 heures plus tôt, vendredi, avaient voté en faveur des réformes de la Ligue des champions. Il a appelé par son nom des personnes telles qu'Agnelli et le président exécutif de Manchester United, Ed Woodward, en utilisant des mots tels que "serpents" et "menteurs". Et il a promis de maintenir la déclaration disant que les clubs rebelles seraient expulsés de leurs ligues nationales et que leurs joueurs seraient exclus des compétitions internationales. Il s'est également mis au travail de ralliement des institutions dont l'Union européenne et des hommes politiques tels que les Premiers ministres du Royaume-Uni et d'Italie, ainsi que le président de la France. L'objectif était d'augmenter la pression réglementaire possible, en particulier en termes de participation continue des 12 clubs dans les ligues nationales. Et quand, mardi, l'UEFA a reçu le soutien du président de la FIFA, Gianni Infantino, qui a réitéré que les compétitions devaient être organisées au mérite , c'était une autre étape importante. Ceferin et Infantino avaient été de sérieux rivaux dans un passé très récent, alors que le président de la FIFA est proche du patron du Real Madrid, Perez. Certains craignaient que la FIFA "triangule" avec les clubs pour saper l'UEFA, mais à cette occasion, ils se sont tenus côte à côte." Ce sont de grands clubs dirigés par des hommes intelligents et qui réussissent. Comment ont-ils pu se tromper? "Trois façons. Premièrement, ils n'ont pas réussi à "lire la pièce". Ils ont complètement mal évalué quelle serait la réaction, des supporters aux médias en passant par les politiciens face à l'UEFA. Ils s'attendaient à une défiance, mais pas à ce niveau. Un exemple: mardi soir, la légende de Liverpool Jamie Carragher était à la télévision en disant que les propriétaires Mike Gordon et John W. Henry devraient envisager de vendre le club plutôt que de remontrer leur visage à Liverpool. Et c'est un groupe de propriété qui, jusqu'à la semaine dernière, avait été adoré, en partie pour avoir ramené les titres de Ligue des champions et de Premier League à Anfield, et en partie pour la façon dont ils étaient si soucieux d'être en phase avec l'esprit et la mentalité de leur fans. Deuxièmement, ils ont mal choisi le moment. Voter pour approuver quelque chose vendredi (après une négociation très longue et tendue) puis publier une déclaration le désavouant dimanche n'est pas une bonne idée. Cela a humilié l'UEFA et leur a donné une apparence double et indigne de confiance. S'ils avaient fait leur annonce un mois plus tôt et l'avaient utilisée comme base de négociations, cela aurait pu être une autre histoire. Faire cela de cette manière a simplement attisé plus de colère. Ceci était particulièrement important parce que leur plan n'allait fonctionner qu'avec le feu vert de l'UEFA, qu'ils soient armés ou non. Souvenez-vous: c'était une ligue de 20 clubs, avec 15 membres "fondateurs" permanents et cinq qualifiés via les compétitions de l'UEFA et les ligues nationales. Troisièmement, ils n'ont pas tenté de gagner les cœurs et les esprits en plaçant un argumentaire en faveur de la Super League. À part l'apparition de Perez lundi soir, quand il a parlé du fait que les jeunes générations n'appréciaient pas autant le football parce que les matchs "prenaient trop de temps", et comment il était nécessaire d'innover et d'évoluer, et comment la Super League serait plus divertissante, nous n'avons rien. Aucune personne impliquée dans les clubs ne s'est prononcée. Personne n'y a fait face." Avaient-ils cependant un argument convaincant à faire valoir? "Cela dépend de votre point de vue. La pandémie a évidemment frappé très durement le football, comme tous les sports, avec des pertes estimées de 6,5 à 8,5 milliards de dollars, et les clubs rebelles, qui ont de plus grands stades et de plus gros contrats de sponsoring, ont subi le plus gros de ces pertes. Certains ont estimé que, parce que ces clubs génèrent la majeure partie de l'argent, il était juste que leur part de revenus augmente encore davantage pour refléter cela et les aider à réussir. L'argument était qu'une réduction des dépenses de Liverpool ou du Real Madrid allait nuire au sport dans son ensemble plus que, par exemple, une réduction des dépenses de Genk ou du Dinamo Zagreb. Et ils ont estimé qu'ils pourraient faire un meilleur travail que l'UEFA en contrôlant les aspects commerciaux, en vendant le jeu aux sponsors et aux diffuseurs. Enfin, ils étaient prêts à partager une partie de ces bénéfices, en promettant environ 10 milliards de dollars au cours des 23 prochaines années en "paiements de solidarité". Cela aurait-il déplacé le curseur? Nous ne savons pas, parce que nous ne l'avons jamais entendu." Ces arguments étaient-ils valables? "Certains pourraient les avoir trouvés valides. D'autres auraient fait remarquer que parce qu'ils parlent constamment comme une entreprise. Lorsqu'une entreprise subit des pertes, il est normal que le propriétaire mette la main dans sa poche et injecte plus de capitaux propres ou réduit les coûts. C'est le problème du sport: plus de la moitié de vos coûts sont des coûts de "main-d'œuvre", et chaque année, 25% à 33% de vos joueurs deviennent libres. Et comme les joueurs sont fongibles, vous pouvez remplacer les hauts revenus par des joueurs moins chers. Quant à savoir si cette formule était plus attractive ou plus lucrative, qui sait? Ce que nous savons, c'est qu'ils n'ont jamais présenté de preuves et ne nous ont jamais dit comment ils allaient distribuer leurs paiements de solidarité." Alors, seront-ils les bienvenus et tout ira-t-il bien? "Ils reviendront. La Ligue des champions et l'UEFA en a besoin, et vice versa. Ils sont convaincus qu'une réforme sérieuse est nécessaire, en particulier en matière de gouvernance et de contrôle des coûts. Le fair-play financier a contribué à transformer une perte cumulée de 1,8 milliard de dollars il y a dix ans en profit au cours des deux dernières années avant la pandémie, mais l'application était laxiste dans certains cas, trop rigide dans d'autres. Et il n'a pas fait assez pour résoudre des problèmes tels que la dette. Il doit y avoir une meilleure façon de contenir les coûts, ce qui signifie essentiellement aligner les salaires des joueurs sur les revenus. Cela doit être une priorité, et c'est quelque chose que les clubs devront affronter avec l'UEFA. Une plus grande transparence ne ferait pas de mal non plus, de tous les côtés. Vous aviez des clubs dépensant des centaines de millions alors que leurs finances sont un désastre. Ce n'est pas durable. Mais au moins, ils travailleront ensemble maintenant, principalement parce qu'ils n'ont pas le choix. Et tout aussi important, le jeu reste avec plus de confiance dans le pouvoir des institutions et des supporters. Les institutions ne sont pas parfaites (assistez aux scandales de la FIFA il y a six ou sept ans, ou à la gestion par l'UEFA des incidents racistes) mais elles comprennent au moins des personnes qui sont élues (et peuvent être démises de leurs fonctions) et qui ont le mandat de surveiller. La première loyauté des clubs est envers eux-mêmes. Ce sont les contrôles et l'équilibre entre les deux qui permettent au système de fonctionner. En ce qui concerne les supporters, on nous a rappelé le pouvoir impressionnant qu'ils peuvent exercer même lorsque, comme cela semble être le cas ici, leurs clubs les traitent uniquement comme des clients. Et comment, lorsque des esprits commerciaux supposément avisés ignorent l'une des premières règles de l'entreprise, savoir à qui vous vendez et savoir ce qu'ils veulent, il y a un prix élevé à payer."
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Les plans de la Super League Européenne qui ont fuité montrent un effort sans précédent pour plafonner la spirale infernale des salaires des joueurs et partager la richesse entre les clubs les plus riches du football. Les mesures, qui vont des accords de partage des revenus à des limites de dépenses strictes, ont été confirmées par le Financial Times et ressemblent étroitement à la structure des plus grandes ligues sportives américaines. Une douzaine de clubs de premier plan, dont l'Angleterre Manchester United, le Real Madrid espagnol et l'AC Milan italien, se sont inscrits pour rejoindre la compétition séparatiste qui menace de briser les structures de pouvoir existantes dans le sport le plus regardé au monde. Malgré le tollé parmi les fans, les politiciens européens et les experts du football, les clubs de cette Super League poursuivent un projet qui, selon eux, permettra de lever plus de 4 milliards d'euros par saison grâce aux droits de diffusion et de parrainage à l'échelle mondiale. Ce chiffre est à peu près le double de celui de la Ligue des champions que la Super League est conçue pour remplacer. Selon ceux qui connaissent les plans, les 15 "clubs fondateurs" de la Super League partageraient 32,5% de ces revenus commerciaux. Un autre 32,5% serait réparti entre les 20 équipes participantes, y compris les cinq équipes invitées à jouer dans la compétition chaque année. Ensuite, 20% des revenus seraient attribués au "mérite" ou dépendraient de la performance dans la compétition. Les 15% restants seraient partagés en fonction de la taille de l'audience de diffusion. Une personne directement impliquée dans les accords a déclaré que le modèle de distribution garantissait que le gagnant du championnat recevrait seulement 1,5 fois plus que le dernier. En comparaison, dans la Liga espagnole ce ratio est plus proche de 3,5. Cependant, les clubs seront également autorisés à conserver tous les revenus provenant des entrées et des accords de parrainage de clubs. Dans sa conception, Le modèle est plus proche des ligues sportives nord-américaines telles que la NBA et la NFL, dans lesquelles les franchises concluent des accords commerciaux conjoints et utilisent des conventions collectives avec les joueurs et d'autres mesures pour uniformiser les règles. Ces compétitions sont "fermées", ce qui signifie que les équipes se voient garantir leur place chaque année, garantissant des revenus fiables et des bénéfices stables pour les propriétaires. Mais la structure de la Super League représente une rupture fondamentale avec la façon dont le football européen est gouverné depuis des années, avec sa structure "pyramidale" qui garantit que toute équipe, grâce à son succès sur le terrain, peut atteindre les meilleurs prix. Beaucoup des principaux architectes de la Super League, tels que Manchester United, Liverpool et Milan, ont des propriétaires américains, tandis que le coût de lancement de 3,25 milliards d'euros est financé par un accord de dette souscrit par la banque d'investissement américaine JPMorgan Chase. Pourtant, le moteur du projet est Florentino Pérez qui a été nommé président de la Super League. Il a évoqué la crise financière dans les meilleurs clubs, dont beaucoup ont subi de fortes baisses de revenus en raison de la pandémie et sont lourdement endettés, affirmant dans une interview télévisée espagnole qu'ils "sont ruinés". Une autre caractéristique commune des franchises américaines est les limites de dépenses strictes. Les clubs de la Super League se sont engagés à n'utiliser que 55% de leurs revenus pour les "dépenses sportives", telles que les salaires des joueurs, les frais de transfert et d'agent, selon des personnes familières avec les termes. Les clubs européens consacrent généralement 70% à 80% de leurs revenus aux seuls salaires des footballeurs. Les clubs de la Super League ont également signé une clause de "péréquation fiscale" afin que "l'impôt sur les salaires soit normalisé et calculé à un taux de 45%", selon des personnes ayant une connaissance directe des contrats. Cela garantirait que les clubs en Espagne, où les footballeurs paient un taux d'imposition plus élevé qu'en Italie ou en Angleterre, ne sont pas désavantagés par rapport à la concurrence lors de l'évaluation des limites de dépenses. Les documents ajoutent que les clubs de Super League doivent avoir "des bénéfices de suivi positifs avant intérêts, impôts, dépréciation et amortissement et bénéfice net". Cela vise à rompre avec la dynamique passée, où de nombreux clubs, en particulier ceux qui ont de riches propriétaires, ont accumulé d'énormes pertes pour acquérir les meilleurs joueurs à la poursuite de l'argenterie. La Super League a refusé de commenter les chiffres, mais a déclaré que son modèle était basé sur des paiements de "solidarité" plus élevés aux petites équipes et un effort pour créer un "modèle durable pour l'ensemble de la pyramide du football".
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Florentino Perez : “La Super League ? On veut sauver le football”
Victor "Antony" Newman a posté un article dans Coupes d'Europe
Nos confrères de Real-France.fr ont relayé les déclarations du Président du Real Madrid, aussi Président de la nouvelle Super League, qui était l'invité de l'émission El Chiringuito ce lundi soir. Le projet "D'abord, c'est la première fois que je viens ici et peut-être la dernière. Personne n'a rien mis en place alors les grands clubs anglais, italiens et espagnols doivent trouver une solution à la très mauvaise période que traverse le football. On a perdu 5000 millions d'euros, c'est très mauvais." "Quand tu ne génères pas de revenus autre que ceux des droits TV, tu te dis que la solution est de proposer des matchs plus attractifs que les fans du monde entier peuvent suivre. Nous sommes arrivés à la conclusion que si on remplaçait la Champions par une Super League, nous pourrions récupérer ce qu'on a perdu." Une perte d'intérêt "Je suis arrivé dans le football en 2000 et il doit évoluer, comme dans la vie : les gens, les entreprises, les réseaux sociaux... Le football doit s'adapter a son temps. Le football était en train de perdre de l'intérêt. On voit que les audiences baissent et les droits TV diminuent. Et avec la pandémie... Nous sommes tous ruinés." "Le football est un ensemble, nous avons des fans partout dans le monde. La télévision est le moyen de changer les choses pour s'adapter à notre temps. Il fallait faire une analyse pour comprendre pourquoi les 16-24 ans ne s'intéressent plus au football. Il y a beaucoup de matchs, peu d'intérêt... Ils ont d'autres plateformes et le football doit s'adapter. On comprend qu'on doit changer quelque chose pour rendre ce sport plus attractif au niveau mondial." Ce que les autres clubs gagnent "Dites-moi ce qu'ils gagnent avec la Champions... Les 15 clubs sont ceux qui vont valoriser la compétition aux yeux des diffuseurs et 5 autres équipes viendront s'ajouter et ça se jouera au mérite sportif. Séville ? Bien sûr qu'ils pourraient accéder à la Super League. Ce n'est pas une ligue fermée, c'est complètement faux. Mais ce qui génère de l'argent, c'est ça et ensuite, nous sommes solidaires. L'UEFA donne 120 ou 130 millions et nous on va donner 400 millions. On fait ça pour sauver le football en général." Les dates "Nous disons que nous allons parler avec l'UEFA et la FIFA. Nous sommes les créateurs. À voir comment on accède à ces cinq autres places. Je ne sais pas pour quoi ils s'énervent. On a dit dans le communiqué qu'on discutera avec eux." L'UEFA "Ils travaillent sur un autre format, qu'ils ont présenté aujourd'hui. Avec tout mon respect, on ne le comprend pas. Personne ne le comprend. Il ne produit pas de revenus supplémentaires pour sauver le football. Le Real Madrid ne m'appartient pas, il appartient aux Socios. On veut sauver le football pour vivre tranquillement, mais la situation est vraiment dramatique." Les déclarations de Ceferin "L'UEFA a le monopole, ça devrait être plus transparent... Nous, on veut sauver le football. Je suis arrivé en 2000 pour sauver le Real d'une situation très mauvaise. J'ai appliqué un modèle qui a fonctionné, il faut renouveler les modèles." Les menaces de l'UEFA "Les joueurs peuvent être totalement tranquilles, il ne se passera rien. L'UEFA est un monopole et c'est ce qui crée cette confusion. Mais le monopole est terminé. L'UEFA n'a pas une bonne image à travers l'histoire, mais je ne veux pas parler d'autres choses. Ils n'ont à menacer personne, personne n'a rien fait de mal." "Leur format, à notre avis, ne fonctionne pas. On dit que ça commence en 2024, mais en 2024 on sera mort. Certains clubs ont perdu des centaines de millions." Le PSG & le Bayern / Dortmund "On n'a pas invité le PSG, ni les deux clubs allemands, nous avons fermé ça aux 12 clubs. Le Bayern ? Je ne sais pas pour quoi quelqu'un a dit que nous allions mettre fin aux championnats. Le championnat est le pilier de tout." "Se faire expulser en Champions cette année ? Il ne se passera rien, la loi nous protège. Mais on ne va pas entrer sur ce terrain là. C'est juste impossible pour eux de nous exclure." ®Thomas - Real-france.fr- 15 commentaires
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