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  1. En effet, beaucoup de joueurs de l'équipe de Simone Inzaghi, entraineur inclus, ont déçu cette saison et si l’avenir du natif de Piacenza est sérieusement remis en question, de très nombreux joueurs se verront présenter la porte de sortie Révélation de la Gazzetta Dello Sport Trois joueurs déjà mis en vente "Il faudra tirer le maximum des trois joueurs qui doivent être considérés comme sortants, soit Marcelo Brozovic, Denzel Dumfries et Joaquin Correa même si pour ce dernier, la tâche s’annonce très compliquée même si son avenir Nerazzurro est déjà tracé : Correa a déçu le club également à cause de l’investissement placé en lui, soit 31 millions d’euros et s’il se verra prêté, ce sera probablement à l'étranger." "Ce qui se passera avec Brozovic et Dumfries reste à écrire: Le Croate, face à la Juve, a montré à quel point il était loin d’être le "Cœur" de l'Inter aujourd'hui. Mais pour son âge et son salaire, il sera compliqué de lui trouver un repreneur. Dumfries mérite lui un chapitre à part : Pendant la Coupe du Monde, l'Inter en était venu à l'estimer à 60 millions d'euros: Aujourd'hui, penser à ce chiffre n'a aucun sens : Sa valeur marchande a fondu tout comme ses performances." "Reste également Robin Gosens : L'Inter ne veut pas le vendre, surtout maintenant qu'il s'est relancé, mais il faudra comprendre à quel point l'Allemand sera prêt à partir d’encore plus loin que Federico Dimarco dans la hiérarchie." "Il y a cinq joueurs, sur les 11 que nous avons identifiés comme sortants, qui sont en fin de contrat. L'Inter n'a entamé des négociations concrètes que pour deux d'entre eux : Edin Dzeko et Stefan De Vrij. Mais aujourd'hui, les chances du défenseur de rester sont minimes car il a perdu sa place de titulaire et dispose d'un salaire mirobolant de 4,5 millions d'euros. Ce qui n'est plus viable pour les caisses des Nerazzurri: En fait, Giuseppe Marotta et Piero Ausilio ont en tête un accord de renouvellement avec des montants nettement inférieurs et les deux parties restent campées sur leurs position : De Vrij lui-même regarde autour de lui, tout comme Dzeko." "Pour les autres, citons Roberto Gagliardini est destiné à partir et il en ira de même pour Samir Handanovic, désormais réserviste d’André Onana. Il est également très compliqué de penser que le renouvellement de Danilo D'Ambrosio arrivera". Les prêts "Deux joueurs sont actuellement prêtés : Romelu Lukaku et Raul Bellanova, on devrait même également les compter au nombre de trois, vu la présence de Francesco Acerbi, mais celui-ci a montré des signes plus que positif et le club est décidé à le racheter: Il n’y a et n’y aura pas cette même détermination pour Bellanova qui retournera à Cagliari, malgré les trois millions d'euros déjà investis pour lui l’été dernier." "La situation est bien plus complexe pour Lukaku car si les propos de Marotta sont claires car liés à la formule de l'opération ("A la fin de l'année, il retournera à Chelsea"), la réalité des performances de l'attaquant ne pousse en rien le club de Steven Zhang à se bouger pour renouveler le prêt: Romelu coûte à l'Inter 20 millions d’euros bruts par saison et il est impossible de penser à une prolongation, si de telles sont les conditions économiques sont maintenues et si les performances du Belge continuent à constituer un fardeau sur la saison Nerazzurra : Il y a toutefois encore le temps pour inverser la tendance, mais celui-ci devient très limité." Valideriez-vous ce 11 de départ de l’Inter à la fin de la saison ? ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  2. Daniele Mari est le Directeur de Fcinter1908.it est celui-ci a noté la prestation des joueurs suite à cette neuvième défaite de la saison André Onana 6 "Il parvient à déjouer une Juventus menaçante alors que le résultat est déjà compromis : Il ne bouge pas sur le tir de Kostic mais c’est bel est bien Dumfries qui l’empale et qui laisse la fenêtre de tir totalement ouverte : Il n’a pas eu besoin de faire de miracle, mais il a repoussé quelques dangers de la meilleure des façons." Matteo Darmian 6 "Sur son aile, on retrouve Kostic qui lorsqu’il voit l’Inter s’illumine : Dumfries ne l’a que trop peu aidé à tel point que le défenseur "latéral" a dû reprendre aussi le poste de défenseur central, il faisait tout tout seul,: Il ne s’en sort globalement pas trop mal, en parvenant même à bloquer des actions." Stefan De Vrij 6,5 "De retour en tant que titulaire face à Vlahovic, un attaquant qui ne combien que trop peu : Il prouve encore être un Monsieur, nous avons tous la conviction qu’il a 38 ans, mais il reste le bon Stefan d’à peine 31 ans : Il est resté trop longtemps sous naphtaline, qui sait si une série de rencontre pourrait faire de lui à nouveau un joueur protagoniste." Francesco Acerbi 6,5 "Il se met à faire le Bastoni et cela s’est vu à plusieurs reprise en phase offensive : Il a tenté à plusieurs reprise d’improviser sur l’aile mais s’est souvent retrouver malchanceux sur ces centres : Sa performance défensive elle, n’a jamais failli." Denzel Dumfries 5 "Sur le but de Kostic, il commet une faute professionnelle très grave qui n'est surpassée que par la faute de Chiffi. Au lieu d'attaquer Kostic qui tire, il recule pour défendre le but, laissant la fenêtre de tir complètement à découvert. Une erreur impardonnable dans un match des plus modeste.s" Nicolò Barella 6,5 "Très nerveux après la faute professionnelle de Chiffi mais aussi le plus pro-positif : Il fait chauffer les gants de Szczesny et les meilleures actions passent systématiquement par ses pieds : Lorsqu’il se fait avertir pour protestation, il est substantiellement condamné à être remplacé, un remplacement qui arrive ponctuellement à l’heure de jeu." Marcelo Brozovic 5 "Une régie bien trop peu illuminée : Lent à la manœuvre, il ralenti le jeu constamment, jamais une intuition, jamais un fait de jeu digne du vrai Brozovic : C’était sa chance pour lui de se retrouver sous le feu des projecteurs, il n’en a pas profité." Hakan Çalhanoğlu 5,5 "Si lui aussi a des difficultés, cela veut dire que quelque chose ne tourne pas rond : Le fait de redevenir Mezzala ne l’a évidemment pas aidé, à tel point qu’il reculait volontiers en afin de récupérer des ballons pour reprendre le rôle de la Régie de l’équipe : Mais il ne s’est montré que trop peu précis avec le ballon, et lorsqu’il avait un bon ballon son contrôle lui fait défaut." Federico Dimarco 5,5 "Il est dans une situation physique précaire et cela se voit. Si Gosens avait été disponible, il n'aurait probablement pas joué dès le début. Il pousse très peu comparé à l’habitude, a un bon ballon mais le centre est trop profond. Il a besoin d'une pause, plus que d'autres" Romelu Lukaku 6 "Beaucoup plus vivace physiquement que lors de ses dernières sorties: Tient le ballon, garde les adversaires à distance, tente même quelques relances. Mais il reste un point négatif : il n'a pratiquement pas d'occasions. Et Lukaku est un joueur qui se crée aussi ses propres occasions. Il doit encore grandir, mais les signes sont encourageants." Lautaro Martinez 5 "Il ne réussit rien. Son engagement n'est pas en cause, mais sa performance est vraiment médiocre. Il est peut-être en manque d'oxygène, mais il arrive toujours en deuxième position et il n'y a pas une seule action qui mérite d'être soulignée." Changements Danilo D'Ambrosio 5 "Entre à la place de Dimarco dans un rôle qui n'est pas le sien. Et en fait il ne montre rien sauf se faire expulser à la fin du match." Henrik Mkhitaryan 5,5 "Lui non plus n'a pas de fulgurances notables. Quelques tirs de l'extérieur de la surface, mais très imprécis." Edin Dzeko non-côté Joaquin Correa non-côté Raul Bellanova non-côté Simone Inzaghi 5 "Il offre littéralement deux victoires à la Juventus. Chiffi est une honte mais il laisse l'équipe imploser, en arrêtant de jouer et en ne le mettant sur la voie de la bagarre quand face à Soulè, Fagioli et Gatti, il fallait garder la tête et se montrer plus attentif. Neuf défaites en championnat : un tableau de chasse inacceptable. La balançoire entre les résultats qui enlèvent cailloux dans la chaussure et les chutes tonitruantes continue. La place en Ligue des Champions est menacée." Daniele Chiffi via Tuttosport 5 "Sur les mains possibles de Rabiot, les images ne l'aident pas et c'est donc la décision prise sur le terrain qui prime d'où la colère des Nerazzurri. En plus de cela, il commet beaucoup d'autres maladresses entre les fautes non-données et les cartons non-sorti. Mauvaise soirée" ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  3. L'Inter a atteint le stade des quarts de finale de la Ligue des champions pour la première fois en 12 ans après une masterclass défensive à l'Estadio Do Dragao contre Porto s'est terminée sans but. Les Nerazzurri ont montré dès le départ que cela allait être un match où l'accent était mis sur la défense de l'avance dès le match aller, un plan de match exécuté à la perfection. En seconde période, les hommes de Simone Inzaghi ont continué à travailler dur en tant qu'unité et en équipe défensivement, sacrifiant l'attaque pour garder une cage inviolée, c'est pourquoi l'équipe n'a presque rien créé. Et l'Inter a eu de la chance vers la fin lorsque Porto a frappé les boiseries à quelques reprises après que Denzel Dumfries ait effectué un dégagement décisif sur la ligne de but et qu'André Onana ait effectué des arrêts gagnants. André Onana – 7 : A prouvé une fois pour toutes pourquoi il doit commencer chaque match à la place de Handanovic. Des arrêts d'une importance monumentale et gagnants. MOTM. Matteo Darmian - 7 : Performance héroïque qui ne sera jamais oubliée par les fans de l'Inter tant qu'il sera vivant sur cette terre. Le professionnalisme personnifié. Francesco Acerbi – 7 : phénoménal défensivement tout au long du jeu, faisant preuve de leadership et de caractère. A été moqué et ri à son arrivée. Qui rit maintenant? Alessandro Bastoni - 7: A été critiqué à juste titre pour ne pas être assez bon défensivement, mais sur la base de cette performance, ces pourparlers peuvent être mis au lit. Denzel Dumfries – 6: La note est uniquement pour le dégagement de la ligne de but qui a valu à l'Inter l'égalité parce que sa performance était par ailleurs catastrophique. Comme d'habitude. Nicolo Barella – 6 : N'a pas du tout fait un bon match, surtout en première mi-temps où il a égaré des passes simples à maintes reprises, mettant l'équipe en danger. Hakan Calhanoglu - 7 : Phénoménal une fois de plus au plus haut niveau. Aurait été MOTM sans l'héroïsme d'Onana et il est difficile de ne pas le lui attribuer. Henrikh Mkhitaryan – 6,5: A lutté en première mi-temps mais s'est travaillé dans le match et a montré pourquoi Inzaghi lui fait autant confiance qu'il le fait. Présence apaisante. Federico Dimarco – 7: A montré à quel point il se souciait en travaillant ses chaussettes à partir de la minute où le match a commencé jusqu'à ce qu'il ne puisse plus faire un pas de plus et qu'il soit sorti. Edin Dzeko – 5,5 : Mauvaise performance dans la phase offensive où il n'a absolument rien offert en perdant le ballon trop facilement mais a travaillé si dur en défense. Lautaro Martinez – 5,5 : Pire performance jusqu'à présent cette saison. Invisible pendant les 20 premières minutes des deux phases. Amélioré au fur et à mesure que le jeu avançait sans être bon. Romelu Lukaku – 5,5 : A remplacé Dzeko à la 70e minute pour aider l'Inter à conserver le ballon dans la moitié de terrain de Porto, ce qu'il n'a fait que quelques fois au maximum. Danilo D'Ambrosio – 6,5 : A remplacé Dimarco à la 70e minute et a montré à quel point il est important d'avoir sur le banc dans ces situations particulières. Stefan de Vrij - 6,5: Remplacé à la place d'un Bastoni blessé à la 74e minute et a bien aidé à renforcer la défense lorsque l'Inter était dans les cordes. Marcelo Brozovic – N/A : A été engagé pour sa BFF Barella à la 80e minute et n'a pas joué assez longtemps pour pouvoir être noté. Milan Skriniar – N/A : est entré sur le terrain à la 80e minute pour l'héroïque Darmian et n'a pas joué assez longtemps pour pouvoir être noté. Simone Inzaghi – 7 : A donné une masterclass défensive dont Helenio Herrera, Giovanni Trapattoni et José Mourinho auraient été fiers. Réalisation fantastique. Szymon Marciniak – 6 : Ennuyeux pointilleux et incohérent, ce qui a semblé irriter les joueurs des deux équipes. Vous avez toutes les bonnes décisions importantes, ce qui est le principal. Inter – 7 : En quarts de finale de la Ligue des champions pour la première fois depuis 2011 après une performance héroïque qui est déjà un classique de l'Inter. Qui était votre homme du match ? Traduction Lindt1908 Via Sempre Inter
  4. Simone Inzaghi a levé les derniers doutes sur la formation en vue du match très important de ce soir contre Porto. La Défense devra se passer de Milan Skriniar et Lukaku qui devrait commencer sur le banc. "Milan Skriniar , 28 ans, a serré les dents et a accepté. Mais hier, c'était la première séance d'entraînement complète avec ses coéquipiers depuis le match aller contre Porto il y a trois semaines. L'autonomie est limitée, c'est pourquoi tout laisse croire que le Le Slovaque sera sur le banc. Et ce n'est pas un hasard si les tests tactiques d'hier parlaient d'un trio entièrement italien, avec Darmian aux côtés d'Acerbi et Bastoni. L'autre gros doute concerne le partenaire de Lautaro. Romelu Lukaku, hier à l'entraînement il était motivé, mais le favori pour s'élancer dès la première minute est Dzeko, tout comme au match aller. Ce sera probablement un relais entre les deux", révèle La Gazzetta dello Sport . « En attaque, Inzaghi a aussi récupéré Joaquin Correa, qui partira du banc. Il n'y a aucun doute au milieu de terrain : Brozovic ne représente pas une menace pour ces trois là, c'est-à-dire Barella-Calhanoglu-Mkhitaryan. Seul Gosens est resté à Milan : l'Allemand a ramené un problème musculaire au jumeau médial de la jambe gauche. Il manquera également le match de dimanche face à la Juventus et sera de nouveau disponible après la pause", ajoute le journal . Traduction Lindt1908 Via Inter1908
  5. Notre gardien André Onana a accordé une interview aux micros de DAZN pour le format "Culture". Voici ses mots À quoi ressemble votre journée type dans votre pays d'origine ? — Quand j'habitais là-bas j'étais très jeune, on se levait, on prenait le petit déjeuner et on allait travailler en ville. Je me souviens que des trains passaient près de chez moi, il fallait traverser les voies. Et nous marchions 45 minutes pour atteindre les champs où nous travaillions. Nous avons passé les journées à travailler et à être ensemble, puis nous rentrions à la maison. La chose la plus étonnante est que nous n'avions pas de lumière, nous avions des lanternes - nous les utilisions pour nous frayer un chemin dans l'obscurité. Il n'y avait pas d'école, je l'ai fréquentée à Yaoundé car mes parents travaillaient dans cette ville et mes frères et moi les suivions. Les enfants ont-ils joué au football ? — Oui, mais sans attentes. Ce que je vis est un rêve. Être joueur de l'Inter est quelque chose que je ne pouvais même pas imaginer dans mon enfance au Cameroun. Je ne sais pas si vous pouvez me comprendre parce que si je pense que je viens d'un endroit totalement différent, je viens d'un village sans lumière et d'une famille modeste. Imaginez ce que cela signifie pour moi si on me disait "tu joueras pour l'Inter" quand j'étais enfant. Je ne pouvais même pas en rêver, c'était impossible d'y penser. Quand avez-vous pensé à être gardien de but ? — Toujours enfant. J'ai 4 frères : nous étions 5, un nous a quitté. Mais quand on me pose cette question je dis instinctivement que nous sommes 5, je l'emporte toujours avec moi. Je suis le plus jeune de 4 garçons, l'aîné nous a quitté. Mon frère Christian, également gardien de but, joue en Indonésie : avant d'y jouer, quand on était au Cameroun, je l'accompagnais aux matchs, je portais son sac. J'ai vu comment il jouait et je suis tombé amoureux du rôle. Que seriez-vous devenu sinon ? — Officier de police. J'aime les responsabilités. J'aime beaucoup être gardien mais c'est un poste compliqué : tu fais bien aujourd'hui et tu fais des erreurs demain et c'est fini. Il faut être très fort mentalement car chaque erreur est un but L'Académie Eto'o ? — J'étais enfant, j'avais 11 ans, je rentrais de l'école et ma mère m'a dit qu'elle avait quelque chose d'important à me dire. L'entraîneur de l'Académie était venu me demander d'y aller et de jouer comme j'habite là-bas. Je vivais dans la maison du coach. J'y suis resté environ 4 ans : c'était très drôle quand le coach m'a appelé pour me dire que j'allais à Barcelone. Je ne savais rien, ma mère a appelé et lui a dit : je ne savais rien pendant une semaine, pendant ce temps je jouais. Avec l'Académie, nous avons fait de nombreux voyages en Europe, dans l'un d'entre eux, nous avons dû aller à Irun. Et le coach m'a dit : "Prends tous tes vêtements pour ce voyage." J'ai demandé pourquoi, il a répondu parce qu'il m'a dit. J'ai commencé à être nerveux parce que j'étais le seul à devoir faire mes affaires. Alors j'ai appelé ma mère pour lui dire, elle riait tout le temps : mon frère lui a dit de me dire la vérité. Puis il m'a dit de me calmer car il avait une nouvelle importante, que j'allais à Barcelone. Je veux dire, c'est comme ça que tu me le dis. Là j'ai commencé à réaliser : Cela s'est bien passé et j'ai signé quand j'avais 14 ans. Adama Traoré, Munir, Deulofeu, Thiago, Rafinha, beaucoup de talents ont joué avec moi. Où habitiez-vous? — Dans l'ancienne ferme. Y avez-vous appris à jouer avec vos pieds ? — Je savais déjà le faire, là j'ai appris l'approche par le bas, en apprenant à lire les situations. Cela dépend aussi de la formation avec laquelle vous jouez, ce n'est pas la même chose avec un 4-3-3 ou un 3-5-2. Pour moi c'est plus facile à 4, j'ai l'habitude, mais tous les schémas vont bien, si on se comprend, on joue bien au foot. Vous avez changé l'Inter dans celui-ci. — C'est moi qui ai changé pour l'Inter. Au cours des 20 dernières années, la position du gardien de but a changé. Ma façon de jouer et de voir le football, surtout dans les buts, est différente. Maintenant s'il y a de l'espace, la balle doit être jouée, il faut toujours chercher de l'espace. Quand je vous parle du gardien de but, je parle du moderne : un joueur au pied fort, en 1 contre 1, qui est courageux et qui transmet de la confiance et qui est fort dans les ballons hauts. Si tu as un gardien comme ça, tu as une force remarquable, tu joues en supériorité numérique avec le gardien. Le canard n'est plus un drame. — Pour progresser, il faut faire des erreurs. Si vous ne vous trompez pas, vous n'apprenez pas : quand vous gagnez, vous n'apprenez rien, la victoire couvre tout. Nous pouvons mal jouer, mais si nous gagnons, personne ne parle d'erreurs. En tant que gardien, il faut apprendre à nous convaincre, je n'y pense pas, je sais que ça va arriver : c'est un risque calculé. Ça fait partie de l'apprentissage, il faut être fort mentalement : si tu penses ne pas pouvoir faire d'erreur, tu te trompes. On n'a même pas à parler de ceux de Courtois et d'Alisson, ils sont très forts et prennent des risques. Si vous ne les dirigez pas, vous ne prenez aucun risque et vous n'aidez pas l'équipe. Ne prendre aucun risque, c'est jeter le ballon. Aimez-vous le bruit du San Siro lorsque vous prenez des risques ? — Je ne l'entends pas. A ce moment je suis dans mon monde. J'ai eu la chance de jouer des matchs importants dans de grands stades. J'ai ma musique dans la tête, je m'isole de la réalité. J'y suis, je vois beaucoup de monde, mais je n'y pense pas, je ne veux pas me faire écraser par le jeu. Je fais mon travail et je rentre chez moi. Vous avez joué une finale avec la peur de perdre. — Oui, avec beaucoup de peur. Et après ce match, je me suis dit que je ne jouerais jamais avec cette peur sur moi. Si nous jouions ensemble contre le Real et le Barça, je n'aurais pas peur. Même s'ils avaient 22 ans, je ne crains personne sur le terrain. J'ai perdu une finale de Ligue Europa par peur. Nous avons perdu ce match avant de le jouer : nous devions jouer contre United, nous sommes arrivés à Stockholm, j'ai appelé Van Der Sar et lui ai dit que je ne jouerais pas parce que je n'allais pas bien. Nous nous sommes réveillés le matin avec 7 joueurs malades. On était jeune, on était dans le tunnel, je vois De Gea derrière moi : six mois plus tôt je jouais sur PlayStation. Younes est venu vers moi et m'a dit de regarder l'énorme bras de Valencia et qu'il ne pouvait pas jouer contre lui. Que vous a dit Handanovic lors de votre rencontre ? — II m'a dit "bienvenue". Je le connaissais, je ne sais pas s'il me connaissait. Cela m'aide beaucoup. Je me souviens de son visage sérieux : nous sommes très différents, j'aime chanter, je suis gai. Il est très calme. Que s'est-il passé avec Dzeko ? — Ce sont des choses qui arrivent dans le football. Si nous devons faire cela pour gagner, faisons-le toujours. Si je dois crier sur Dzeko comme ça pour gagner, je le ferai. C'est moi qui ai le ballon et qui décide quoi faire : tout le monde le veut, Lautaro, Calhanoglu, Brozo, tout le monde ! Mais je décide et tu dois respecter ça. Je peux me tromper, mais vous devez l'accepter. Au final j'ai aimé ce qu'il a dit : il veut le ballon, je jouerai avec lui la prochaine fois. Quel est l'impact de votre personnalité sur l'équipe ? — Je dois aider l'équipe et si les aider signifie se disputer avec Dzeko ou Lautaro, j'ai la personnalité pour le faire. De ma position, je peux voir tout le terrain. Skriniar ou Acerbi me disent "à gauche", parce que si je suis concentré sur la croix, je ne vois nulle part ailleurs. A ce moment-là, ils voient mieux le terrain que moi et je dois leur faire confiance. Votre arrêt face à Porto ? — L'important est de parer, aussi beau soit-il. Le ballon rebondit et je ne le bloque pas, je le repousse et je sais que Barella sera là : je le fais parce que je fais confiance à mes coéquipiers au rebond. C'est quelque chose que j'aime vraiment. Votre retour au Cameroun après la Coupe du monde ? — J'y suis né et j'y ai grandi, j'y mourrai probablement. C'est mon pays, je l'aime. Pour le bien du pays, il faut parfois se retirer. Je jouais au foot, j'étais avec mes amis et ma famille en paix. Au final c'est important d'être avec eux et avec des gens qui vous connaissent, ce sont des gens qui ont toujours su comment ils sont. J'adore ces instants. Neuer ? — Pour moi c'est le meilleur gardien de l'histoire, il a révolutionné le poste : grâce à lui on est des gardiens qui jouent dans le football moderne. Lors de la Coupe du monde 2014, il a fait quelque chose d'incroyable et de jamais vu auparavant. Neuer m'a fait penser différemment. Buffon ? — En tant que gardien de but, il m'est difficile de parler de lui, c'est l'un des plus grands. J'ai joué contre lui en Coupe d'Italie : je lui ai demandé son maillot et il m'a aussi donné ses gants. J'étais heureux comme un enfant. Maignan ? — En 2017, j'étais le seul gardien noir qui jouait à un haut niveau. Maintenant, je suis content de revoir Mendy, Maignan et les autres. Je le connais bien, nous avons joué mille fois contre lui. Nous sommes amis, pas intimes : c'est un grand gardien, j'aime jouer contre lui. Nous avons joué contre 4 fois. Le meilleur? Je ne sais pas, mais dans ma tête je sais qui est le meilleur. Bravo à toi André pour ce si beau parcours! Traduction Lindt1908 Via Inter1908
  6. En effet, l’information émane de Sky Sport : Simone Inzaghi est prêt à "révolutionner" son équipe à quelques jours du déplacement dans le pays natal de José Mourinho. La première nouveauté est dans les buts : Samir Handanovic sera aligné à la place d’André Onana. En défense, sur le côté droit, l’idée est d’aligner Danilo D’Ambrosio afin de faire monter Matteo Darmian sur l’aile droite contrairement au graphique qui montre Denzel Dumfries occuper cette position. Francesco Acerbi complètera la défense, lui qui a pris le meilleur sur Stefan De Vrij, et Alessandro Bastoni. En ailier gauche, on retrouvera Robin Gosens avec un Federico Dimarco de retour sur le banc. On se dirige aussi vers une mise au repos d’Hakan Çalhanoğlu dans un milieu qui sera composé de Nicolò Barella, Marcelo Brozovic et Henrik Mkhitaryan. En attaque, s’ils sont trois pour deux postes, on devrait retrouver Romelu Lukaku et Lautaro Martinez en lieu et place d’Edin Dzeko. Préparez vos couches ! ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  7. Le génial Coluche commençait toujours ses blagues par "C'est l'histoire d'un mec...". Ici nous resterons plus sérieux, mais c'est quand même l'histoire d'un mec, un mec parmi tant d'autres, qui décide d'aller voir un match de coupe d'Europe dans l'incroyable Stadio Giuseppe Meazza. Suivez le guide! Arrivée en fin d'après-midi dans le quartier San Siro de Milan, l'organisation est carrée: Parcheggio Via Novara pour poser la voiture, il vous en coûtera maximum 10€ la soirée (contre 30€ aux abords du stade) puis 15-20minutes de marche. On est immédiatement dans l'ambiance, le parking est bleu et noir, les gens chantent le long du trajet et les premiers stands de merchandising viennent garnir les trottoirs. Cette promenade en guise d'échauffement, on tombe rapidement sur notre sainte Cathédrale, illuminée au crépuscule de la nuit qui tombe. Plus on s'approche, plus la nuit tombe, et plus cette enceinte est belle! Immense par sa taille, impressionnante par son histoire, comment ne pas rester subjugué devant cette architecture si iconique? Les grilles n'ouvrent qu'à 19h? Pas grave, c'est l'occasion de flâner sur l'allée Merchandising qui devance le stade (et d'acheter une veste pour ma part ), mais surtout de partager un verre avec mes compagnons d'un soir: @Jazzi, @lepacha31et son fils. Quel plaisir de rencontrer des membres de ce beau forum autrement que derrière notre clavier! 19h00, les grilles s'ouvrent! L'organisation est parfaite et les nombreux spectateurs entrent en un temps record, y compris les 5.000 supporters portugais qui circulent en toute sécurité. Et c'est parti pour la randonnée dans cet incroyable labyrinthe. Les Loges VIP, l'entrée est belle mais ce n'est malheureusement pas par là. Ces longs colimaçons grimpent jusqu'aux 3e anneaux, pas par là non plus. Ces écharpes blanches et bleues, définitivement pas par là! Ca y est, 2e anneau rouge, secteur 224. Le scan de mon billet confirme que je suis au bon endroit, il ne reste plus qu'à gravir ces interminables escaliers. On y est, tout est bien indiqué, les Stadiers sont là au besoin et on se retrouve dans un univers très familial, où femmes et enfants accompagnent sans souci les messieurs les plus passionnés. On est très loin de l'époque où des scooters descendaient les tribunes. Le seul engin pyrotechnique sera d'ailleurs déployé dans la tribune visiteurs. Le stade se remplit progressivement, et l'échauffement commence. Le hasard a voulu que les Portugais soient les premiers à fouler la pelouse, Pepe en tête. L'occasion parfaite pour voir à quel point ce stade sait donner de la voix. Les sifflements viennent couvrir la musique d'ambiance. 20h45: Le stade est comble, le Tifo se déploie. Il est aussi magnifique que censé. Le message est clair: Nous [Supporters] devons toujours être la lumière qui guidera le club malgré ses difficultés, et ça doit passer par notre amour [notre soutien]. Outre le message de la Curva, chaque siège dispose d'un carré de couleur noire ou bleue à afficher. La machine est en marche, le stade devient Nerazzurro en quelques secondes et il faut vraiment avoir un œil aiguisé pour encore distinguer du blanc dans cette arène... Cerise sur le Panettone: cette douce mélodie du Mercredi soir qui vient envahir les enceintes. The Champions.mp4 Chair de poule, larmes aux yeux, bouche bée,... Je vous laisse choisir votre camp. Personnellement j'ai encore les 3 en même temps à la relecture de cet extrait (que je connais pourtant par cœur). Si moi piètre amateur assis je suis galvanisé, je n'ose imaginer ce qu'il se passe dans la tête des professionnels sur le terrain. C'est parti! Le match commence. Je ne m'attarderai pas sur le résumé du match et des performances individuelles, puisque nos rédacteurs ont déjà merveilleusement fait le boulot . Je peux néanmoins vous documenter quelques Off, ce qu'on n'entends pas, ou ce qu'on ne voit pas à la télé car la caméra s'attarde ailleurs (faute, replay, joueur au sol, gros plan,...). La vraie définition du verbe Supporter: Le sentiment qui saute immédiatement aux oreilles est la bienveillance infinie de la part des supporters. Chaque geste est applaudi, même une course loupée, même un ballon dégagé en touche, même un tir qui finit dans le 2e anneau, même un dribble qui ne donne rien,... Ils sont derrière les joueurs quoi qu'il arrive, comme si c'étaient leurs propres enfants, toujours! Aucun mal n'est dit de nos joueurs, l'unique intention est de motiver, rien d'autre. Est-ce ça "être un phare"? En tout cas cette attitude est assez différente de certains Topics Live sur notre cher forum, et elle contribue à maintenir un niveau d'excitation maximale (dans un match avec pourtant des temps faibles). En revanche, nos adversaires et l'arbitre (qui nous était très défavorable) ont subi la colère des tribunes, parfois avec un soupçon de mauvaise foi plutôt amusant. Les premiers soupirs côté Inter sont apparus après 55min, quand nous avons vraiment accumulé les maladresses. C'est qui le patron: J'ai été véritablement bluffé par ce qu'il s'est passé sur notre ligne défensive hors-caméra. Acerbi, en plus d'être intraitable en gagnant tous ses duels dans le jeu, agit en véritable patron de la défense (homme du match selon moi). A chaque arrêt de jeu, il interagit, motive et conseille ses coéquipiers et/ou Onana. A l'inverse, Skriniar était comme un jeune enfant, perdu et ne sachant pas quoi faire. J'ai surpris Acerbi lui dire au moins 10 fois ce qu'il aurait du faire (monter, presser, écarter, redescendre, arrêter de reculer,...), comme s'il parlait à un débutant. J'ai trouvé ça très étrange, venant de notre défenseur le plus ancien au club, ex-capitaine, et soi-disant "parmi les meilleurs d'Europe". Le travailleur de l'ombre: Similaire au cas Acerbi, à un degré moindre, j'ai trouvé Mkhitaryan très intéressant pour son jeu sans ballon. Pendant que le jeu se fait sur un autre secteur, Mkhitaryan se replace énormément. Le but est de presser, couper les possibilités de passes offensives et freiner le départ des contre-attaques portugaises. Il a tenu avec brio un rôle ingrat, prenant des coups (et en distribuant quelques uns), faisant les fautes tactiques et récupérant des ballons précieux. Tout cela ne s'est clairement pas ressenti "face-caméra", où il a alterné le bon et le moins bon lors de la construction avec le ballon. Je garde en tête ma très bonne opinion de lui "en direct", alors qu'effectivement il semble "quelconque" lorsque j'ai revu le match à la TV. Toujours faire confiance: Voyant tous les acteurs, y compris Inzaghi, à 100% du temps; l'on sent un climat de sérénité et de confiance chez les supporters. Certes le stress augmente au fur et à mesure des actions loupées, mais la compréhension des décisions est bien plus grande. Par exemple, les tifosi très bavards derrière moi ont immédiatement compris que l'échauffement de D'ambrosio avec Dumfries était un bluff pour perturber Conceiçao dans ses choix tactiques. On est loin du haut de cœur lorsque l'ont voit le visage de Danilo en gros plan sur notre téléviseur. Selon moi, la meilleure action du match reste le quadruple arrêt Skriniar + Onana + Onana + Barella. D'abord parce qu'elle a eu lieu sous mes yeux, ensuite parce qu'elle vaut largement un but, enfin parce qu'elle nous a instantanément chargé en adrénaline. Cette action fut célébrée comme un but et applaudie par tout le stade (y compris quelques portugais) pendant des dizaines de secondes... frissons garantis. Vient enfin la délivrance, avec ce but tardif de Romelu Lukaku! Le stade explose, on devient sourd, on se prends dans les bras entre inconnus, on saute de joie partout, et le nom de Romeluuuuu LU-KA-KUUU fait une dizaine de va-et-vient entre le Speaker et le public... Incroyable. Le match se termine sous les meilleurs chants interisti, on voit les joueurs faire un tour de parade pour féliciter le public et revoit le résumé du match sur le grand écran. Il est malheureusement temps de redescendre, tant en ambiance que les nombreuses marches d'escaliers. Un débrief détaillé jusqu'au parking avec les acolytes du jour et il est déjà l'heure de se dire au revoir, ou plutôt "à la prochaine" J'espère que vous aurez eu autant de plaisir à lire ce récit, que moi à le revivre pour le rédiger. Je ne peux que vous recommander d'aller voir l'Inter lorsque vous en aurez l'occasion, ou de provoquer cette occasion ; qui plus est dans notre Meazza. Forza Inter, Amala Récit par @QG1989. Le texte, les photos et vidéos restent la propriété de QG1989 et Internazionale.fr©
  8. Notre légende Beppe Bergomi pense que Simone Inzaghi fait du bon travail dans une situation où les Nerazzurri sont obligés de vendre un grand joueur chaque été, a-t-il déclaré en exclusivité à SempreInter. Sur le dossier Skriniar. "Nous devons revenir à l'été dernier. Malheureusement chaque été, l'Inter doit sacrifier un top player, on l'a vu avec Lukaku, Hakimi et Perisic. L'été dernier, ils ont choisi Skriniar. Au lieu de cela, le joueur est resté et nous savons ce qui s'est passé. Nous devons partir de ce point. J'ai connu Milan, c'est un bon garçon, timide, sérieux. C'est un professionnel qui a pris sa décision. Peut-être qu'il aurait pu mieux le communiquer, même si souvent ce n'est pas facile de le faire même pour ces joueurs." "Je pense que nous devons tirer une conclusion de ce cas et d'autres cas similaires : la Serie A est un championnat que les joueurs traversent, et n'est pas la destination finale. En ce qui concerne les joueurs d'un club et la bandiera, le monde a changé par rapport au passé. Nous devons accepter cela. Nul doute que Skriniar va tout donner d'ici la fin de la saison. Les gens doivent comprendre cela et le laisser tranquille. Il était nerveux lors du match contre Empoli et cela a coûté le match à l'Inter, ce sont des choses qui peuvent arriver." Milan Skrinar a-t-il trahi l'Inter ? "Il a été clair avec ses coéquipiers, leur a communiqué sa décision, c'est le plus important. Je n'aime pas parler de relations dont je ne suis pas au courant. Je dirai seulement que je suis triste qu'il parte, c'est un grand joueur, qui a bien représenté l'Inter ces dernières années. N'oublions pas d'autres cas similaires dans d'autres clubs. Nous devons nous rappeler que les choses ne sont plus comme elles étaient dans les années 90 et au début des années 2000. Aujourd'hui, ces acteurs trouvent d'autres solutions. Peut-être qu'ils auraient pu trouver un accord, similaire à celui que le Torino a trouvé avec Bremer. Là, il a signé une prolongation de contrat d'un an. Ils auraient pu mettre en place une clause libératoire minimale. Mais ensuite, il y a des agents qui avaient peut-être déjà accepté toutes les conditions et à ce moment-là, vous ne signez pas de prolongations de contrat et cela devient difficile." Critiques adressées au PDG du club, Beppe Marotta "On a vu qu'il y avait une ligne claire décidée par le club. Je ne vois pas cela comme une erreur, ils ont cherché à gérer la situation mais ils n'ont pas pu. Mais ce n'est pas une erreur. Il faut accepter ces situations contingentes, avec lesquelles l'Inter a dû vivre ces trois dernières années. Le club ne peut pas dépenser sur le marché des transferts mais reste compétitive, remporte des trophées et passe par la phase de groupes de la Ligue des champions. Bien sûr, ils sont loin derrière Napoli qui a fait quelque chose d'extraordinaire. Dans cette optique, un match nul contre la Sampdoria, par exemple, n'est pas suffisant. Mais pour le reste, que pouvez-vous dire à cette équipe ? Ces dernières années, c'est une équipe qui s'est appauvrie mais qui parvient toujours à rester compétitive et c'est un signe de mérite." "Si nous revenons au moment où l'Inter a remporté le titre de Serie A et que vous imaginez que vous pourriez ajouter un ou deux joueurs, vous auriez bien sûr pu donner une continuité. Mais la continuité est donnée, vous avez remporté la Coppa Italia, la Supercoppa Italiana, mais bien sûr vous auriez pu être encore plus compétitif, cela ne fait aucun doute. Des joueurs comme Acerbi, Dzeko et Mkhitaryan sont des joueurs forts, ils vous donnent beaucoup maintenant." La question du Suning "Étant donné que je ne connais pas toutes les situations internes, cela me rend inconfortale. Je comprends les difficultés auxquelles ils ont été confrontés, de la pandémie au respect des règles du fair-play financier de l'UEFA. Cependant, vous devez toujours offrir un rêve aux fans, mais souvent, les fans ont du mal à comprendre la situation actuelle et cela me rend désolé. Je ne veux pas entrer dans les problèmes auxquels le président du club est confronté. Il est évident pour tout le monde de voir que la propriété connaît des difficultés mais essaie de les gérer de la meilleure façon possible." "Nous sommes déjà à un certain niveau, alors tout le monde veut toujours quelque chose de plus. Mais encore une fois, je le répète, nous avons vu passer 9-10 ans sans rien gagner. Et maintenant, les Nerazzurri gagnent, il y a une continuité en ce sens, c'est ce qui est le plus important. Ensuite, si Suning décide de ne plus continuer et de vendre le club pour le bien de l'Inter, alors ce n'est pas grave. En ce moment, les choses se passent comme elles sont et nous devons les laisser faire." Le verdict sur Simone Inzaghi "Souvent, d'autres entraîneurs sont félicités, puis vivent des moments difficiles, mais un match suffit et ils recommencent à être félicités. Simone est toujours sous surveillance. À mon avis, l'Inter joue bien au football, l'équipe joue bien, elle ne fait pas d'erreurs dans les matchs de coupe. Il y a toujours cette statistique sur le dribble qui me fait réfléchir, la statistique qui dit que l'Inter est la deuxième équipe en bas de tableau pour les dribbles réalisés en Serie A et en Ligue des champions. Savez-vous ce que cela signifie dans le football moderne ? Le changement de rythme et d'accélération est fondamental. L'Inter d'aujourd'hui est toujours en bonne position pour bien faire, pour faire avancer de nombreux joueurs au-delà des lignes avec le ballon et pour jouer un type de football spécifique. Face à des équipes qui ferment, cela devient beaucoup plus difficile. Inzaghi fait un excellent travail. Beaucoup disent que l'Inter devrait changer d'entraîneur mais cette équipe a été construite pour jouer comme ça. Il est très difficile d'imaginer cette équipe sur le terrain jouer d'une manière différente, et aussi mettre en place une défense. Mais les ailiers ? Qui joue en dehors des défenseurs centraux. Je ne veux pas le défendre (Inzaghi, ndlr) à tout prix, mais à mon avis, Inzaghi fait un excellent travail." L'Inter manque de courage pour donner une chance aux jeunes ? "Kvaratskhelia, dans ce sens, n'était pas un joueur inconnu. Je parle aux scouts de l'Inter et on m'a dit que l'Inter surveillait Kim Min-jae au cas où Milan Skriniar aurait été vendu l'été dernier. Ils connaissaient également Kvaratskhelia. Mais ensuite, il faut les mettre dans un système de jeu, avec un 3-5-2, il deviendrait trop difficile de les faire jouer dans ce système. L'Inter connaît et connaît tous les joueurs, il faut souvent avoir le courage de faire certains types d'investissements. Le football italien doit avoir des idées et être prêt à prendre des risques sur certains joueurs qui n'ont pas encore explosé mais où l'on peut voir du potentiel. C'est vrai pour l'Inter comme pour toutes les équipes italiennes. "Si quelqu'un comme Kvaratskhelia s'était adapté à un 3-5-2 ? Je suis d'accord. Mais on revient toujours là-dessus. Il y a beaucoup de bons joueurs en Europe. Maintenant que vous savez que Skriniar s'en va, il faut être prêt et bien faire pour le remplacer. Vous devez être bon pour identifier le bon joueur avec les bonnes caractéristiques, qui est rapide et bon pour aller de l'avant. Parfois, et je parle ici de manière générale, on essaie de s'accrocher aux joueurs qui finissent par compliquer les transactions sur le marché des transferts. Mais vous devez être prêt à récupérer votre argent et à trouver immédiatement un remplaçant." Traduction alex_j via Sempreinter.
  9. C'est la veille de la réception de Porto en Ligue des Champions, comme de coutume Simone Inzaghi s'est présenté en conférence de presse d'avant-match, avec à ses côtés cette fois-ci, Francesco Acerbi, défenseur de l'Inter. A quel point est-ce important de retrouver de la solidité en défense? "Le match de demain sera un match important, nous connaissons leur qualité, ils sont habitués à jouer à ce niveau dans ces compétitions. Ils ont de la qualité mais aussi de la présence physique, ils sont bons en contre, ce sera difficile. Nous cherchons à nous améliorer et de subir le moins possible, derrière la qualité individuelle pourrait résoudre le problème". En défense y a t'il un problème de concentration? "Contre l'Udinese, nous avons fait une bonne première mi-temps, en seconde période nous sommes un peu allé trop vite en besogne, nous aurions même pu perdre, s'ils avaient marqué leurs deux trois occasions, nous serions là à nous mordre les doigts. C'est une histoire de générosité, tu veux chercher à marquer au point de risquer la défaite. Quand il y a la victoire au bout tout va bien mais il nous faut être plus équilibrés. Nous devons avoir cet équilibre durant 90 minutes en essayant de garder les cages inviolées". Comment êtes-vous sur le plan physique et mental? "Ce genre de match se prépare quasiment tout seul, nous voulons faire un bon résultat devant nos supporters, il nous faudra de l'équilibre et de la concentration. Moi je me donnes toujours à 100%, ce sera un match chargé d'émotion, je le préparerai comme à l'accoutumée, beaucoup de concentration en essayant de limiter les bévues et d'aider mes coéquipiers". Quelle est la différence entre jouer avec Calhanoglu et Brozovic? "Ce sont tous deux de bons joueurs. Brozovic quand il est en forme est excellent à ce rôle, 'Calha' fait une très bonne saison, les deux aiment demander le ballon et restent très mobiles. Celui d'eux qui joue devant la défense est toujours performant en général, les deux sont importants pour nous". Et Porto dans tout cela? "Ils ont des joueurs qui se connaissent bien, ils savent très bien battre le pressing, avec des joueurs de qualité et dynamiques, ils font peu d'erreurs. Ce sera un match compliqué". Quel Inzaghi avez-vous retrouvé à l'Inter? "C'est toujours le même, c'est bien, je l'ai trouvé en forme. Il prépare ses matches, est tranquille mais quand il faut pousser un peu tout le monde, il est prêt à le faire". Internazionale.fr ~ © Samus
  10. Simone Inzaghi s’est présenté à la conférence de presse de l’avant-match d'Inter-Porto valide pour les huitièmes de finale aller de la Ligue des Champions en présence de Francesco Acerbi : Pour une meilleure lecture, les deux interviews ont été découplées Que devra proposer l’équipe, sur le terrain, demain ? "Nous connaissons l’importance que représente ces huitièmes de finale, il me vient en tête les deux rencontres face au Real et face à Liverpool, ou celle face au Bayern et face à Barcelone cette année : Ce sont des rencontres internationale très engagées, dans ce type de rendez-vous c’est le mental qui compte : Nous devrons surmonter les difficultés en équipe." Que pensez-vous de Conceiçao? "Je reverrais Sergio avec beaucoup de plaisir, il a été un excellent compagnon d’équipe avec qui je partage des victoires à la Lazio : C’est un excellent entraîneur qui réalise de très grande choses : Il propose un football technique et physique: Porto est très fort et il vient d’enchainer dix victoires de suite, il est composé de joueur de qualité, même s’ils ont, comme nous ou comme dans chaque équipes, des joueurs incertains mais indépendamment de qui jouera, Sergio s’est montré très brave pour y apporter une véritable organisation d’équipe." La qualification se décidera-t ’elle ici ou à Porto ? "Il y a 180 minutes, nous serons devant notre public et nous voudrons réaliser une très grande rencontre et je tiens à voir une rencontre composée de course et de détermination face à un adversaire qui a toujours réussi à faire de belles choses face aux équipes italiennes, j’espère que l’on intervertira la tendance." Que conseil donneriez-vous à Conceiçao s’il voulait s’envoler pour l’Italie ? "Qu'il fera lui le bon choix, Il entraine les Champions du Portugal et il sait ce qu’il y a de mieux pour lui, je le reverrai avec beaucoup de plaisir." Que vous a enseigné vos deux confrontations lors du précédent huitième de finale ? "Un huitième est diffèrent d’une rencontre de qualification, nous devrons l’aborder de la meilleure des façons en ayant conscience de la difficulté qui se présentera à nous: C’est un adversaire qui est habitué à ce type de match et qui fera face à une Inter en condition, qui va bien et qui voudra jouer au mieux sa chance." Avez-vous déjà décidé du duo d’attaque ? "J’ai des doutes mais qui ne concerne pas seulement le duo, je dois quotidiennement choisir et chercher à faire de mon mieux pour le bien de l’Inter." Y-a-t ’il une équipe favorite ? "Je ne sais pas, je sais que nous ferons face à une équipe joue souvent les huitièmes ou les quarts, qui a énormément de qualité et un attaquant qui est le meilleur donneur d’assist de la compétition : Il faudra faire preuve d’une attention maximale." Vous avez souvent tenu la dragée haute dans les grands rendez-vous, mais vous n’avez su prendre le meilleur que sur Barcelone : Qu’a retenu l’équipe de ces expériences ? "L’Inter ne parvenait plus à rejoindre les huitièmes de finale depuis onze ans et il y a aussi de l’amertume pour notre match aller face à Liverpool : Certaines rencontres bien précises te font grandir et nous aborderons la rencontre de demain avec confiance, en étant dans de bonnes conditions et en ayant conscience qu’il faudra réaliser un très grand match." Arriver en quarts de finale pourrait-il être, d’une certaine façon, la conclusion de ce biennale à l’Inter ? "Il ne faut pas mettre de conclusion, nous disputerons ce huitième avec confiance car nous y avons gagné le droit de le disputer d’une façon incroyable : Nous chercherons à jouer notre chance lorsque cela se présentera, tout comme Porto." Quelles sont les difficultés à venir dans ce type de match ? "Porto vient parfois te chercher haut et d’autres fois il se montre attentiste, il faut disposer d’une stratégie et comprendre quand il faudra prendre des risques et quand il faudra se montrer prudent." Que faudra-t-il faire demain en particulier ? "Demain, le mental sera important et il fera la différence sur les 180 minutes : Il y aura des moments de difficultés et nous devrons y faire face en équipe car Porto évolue en équipe et ne se perd pas sur le terrain: Il faudra réaliser un grand travail d'équipe." Quel est le saut de qualité nécessaire ? "Il faut continuellement faire preuve d’amélioration, c’est un travail qui a lieu dans le temps et nous cherchons quotidiennement à nous améliorer : Les garçons se sont toujours montrés volontaires et j’en retire une grande satisfaction. Il y a aussi de l'ambition, ce qui est quelque chose d’important." Vous manque-t-il un joueur capable de passer l’Homme ? "C'est un profil qui nous manque, mais nous y travaillons". Comment vont Lukaku et Brozovic ? "Ils vont très bien, ils sont en train de récupérer. Brozo a été longtemps absent, à part l'intermède de la Coupe du Monde. Maintenant, il augmente son temps de jeu. Lukaku, lui, a repris plus tôt et il fait beaucoup d'efforts. Ensuite, pour eux comme pour les autres, je ferai les meilleurs choix pour l’Inter: Ceux qui ne débuteront pas le match dès les premières secondes seront utile au cours de la rencontre car ce sont les dernières minutes qui sont les plus importantes dans ce type de match étant donné que les équipes s'étirent et libèrent des espaces." ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  11. Après la Curva Nord, place à l’Inter en personne : La Direction n’a que très peu apprécié la prestation des siens face à la Sampdoria Révélation de la Gazzetta Dello Sport "La déception est grande chez les Nerazzurri après le match nul face à la Sampdoria qui a ralenti la course de l'équipe d'Inzaghi : Sept points et Sept raisons d'avoir des regrets. Car l'absence des victoires contre Monza, Empoli et la Sampdoria a ralenti la course de l'Inter avec un écart qui est passé à 15 points du Napoli. L'équipe Nerazzurra est passée en quelques semaines de l'objectif Scudetto à se faire aspirer dans la lutte pour une place dans la prochaine Ligue des Champions et le diagnostic est clair : "Inzaghi et les joueurs font face à un problème de tension : Celle-ci baisse lorsque le niveau de l'adversaire n'est pas assez motivant." Inquiétude du Club "L'inquiétude au club n'est pas liée à la double confrontation avec Porto en Ligue des Champions, mais elle est liée au championnat car tous, au sein du club, étaient convaincu d'avoir mis en place une équipe capable de jouer le Scudetto jusqu'au bout, comme la saison dernière. Et tout ne s'explique pas par l'extraordinaire saison du Napoli.: Ce dernier aspect remet également en question les évaluations sur l'avenir de l'entraîneur, le jugement qui lui sera apporté dépendra non seulement l'entrée effective dans le Top 4, mais aussi la manière dont cela arrivera. " Un manque d’agressivité "Comme l'a souligné Acerbi dans une interview accordée à la Gazzetta Dello Sport la semaine dernière, l'Inter manque parfois de "mordant" : "L'Inter n'avait pas l'envie et la capacité de gagner des matches catégorisé de 'sales'." Et c'est quelque chose qui, à la fin du championnat, c'est-à-dire d'un long tournoi, fait et fera la (grande) différence entre un succès et une simple place". "Ensuite, il y a l'aspect du terrain et à l’Inter, c’est toujours le même refrain : Inzaghi n’ n'abandonne jamais le 3-5-2. Est-ce qu’une adaptation pourrait lui venir en aide ? Peut-être que oui, car cela surprendrait les adversaires d'autant plus pour une équipe qui ne possède pas de joueur capable de se montrer inventif à partir de rien. Et l’on repense immédiatement à Paulo Dybala qui aurait pu l’être et qui ne l’est finalement pas. Il n'y a pas un joueur de similaire chez les Nerazzurri et cette fois, cette affectation pourrait peser de tout son poids." Nervosité "Le fait de jeu entre Romelu Lukaku et Nicolò Barella n'est que le dernier en date. Les problèmes étaient déjà apparus en septembre dernier lors d'une réunion qui avait suivi la défaite face au Bayern, entre le Club, l'entraîneur et la Direction: Aujourd'hui, l'ensemble de la Direction sera à Appiano et un Rappel est à exclure, mais il est probable que Marotta et les siens rencontreront également son entraineur." Inzaghi Out ? Oui mais qui pour le remplacer ?! ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  12. Tout le monde n’est pas un Milan Skriniar qui berne son monde : Comme nous le révèle Tuttosport, Stefan serait prêt à dire oui à un biennal ou à un contrat type 2+1! "Stefan De Vrij est de plus en plus proche de dire oui à un renouvellement. Et le principal intéressé l’a laissé sous-entendre après le match nul, à Gênes, face à la Sampdoria: Et si Milan Skriniar a dit non à la proposition de renouvellement, Stefan De Vrij est au contraire très proche de dire oui car l'Inter recevra bientôt une réponse de son défenseur central néerlandais, qui devrait prolonger son séjour chez les Nerazzurri." "Il s’agit d’un climat diamétralement opposé à celui qui a marqué les pourparlers pour le renouvellement de Milan Skriniar, où la proposition Nerazzurra (6,5 millions d'euros et ensuite 6,8 d'euros pour la dernière année de son contrat) a été rejetée outrageusement, avec une Direction outrageusement et extrêmement irritée". "Pour De Vrij, c'est Federico Pastorello qui représente ses intérêts et c’est un Agent historiquement proche de l'Inter : Il s’est aussi vu confier la tâche de résoudre le conflit avec la Lazio afin de conserver Francesco Acerbi: Ce n'est pas un péché de penser que les deux négociations se déroulent en parallèle, grâce aussi aux bons offices de l'agent, qui veille aussi bien aux intérêts de l’international hollandais que de l’international italien." "Pour De Vrij, l’on raisonne sur la base d'un contrat de deux ans avec une option pour une troisième année, voire un contrat ferme de trois ans aux chiffres actuels." ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  13. Au début, c'était le but d'Acerbi annulé de manière inexplicable par Sacchi, cela aurait fait 3-1 pour les Nerazzurri à Monza à quelques minutes de la fin. Ensuite le match s'est terminé comme nous le savons tous. C'était le premier épisode qui a pénalisé l'Inter dans ce cauchemar de 2023, cauchemar pour la relation entre les Nerazzurri et les "arbitres". Lundi soir, dernier morceau d'une mosaïque alarmante, à savoir le penalty non accordé à Darmian sur cause d'une faute de Murillo. Mais allons-y dans l'ordre, musique. Fabbri, pendant Inter-Vérone, fait tout. Il n'a pas expulsé Hien qui avait déjà été averti, il a invalidé le doublé régulier de Lautaro et n'a pas accordé un penalty net malgré la main de Hien sur un tir de Mkhitaryan. L'équipe d'Inzaghi gagne 1-0 et le penalty passe à la trappe. Après, c'est Maresca dans le derby en Supercoppa, Barella arrêté net en face à face avec le gardien, ensuite c'est Rapuano contre Empoli, Skriniar expulsé en première mi-temps, après on arrive contre Crémone. A nouveau, un penalty non accordé par Mariani après un contact entre Chiriches et Dzeko, pas de scandale car l'Inter gagne finalement. Râler n'aurait pas été mal! Un autre tour, un autre penalty non sifflé. En fait deux. Il reste le derby, cette fois en championnat, et Massa arrive pour arbitrer, soit disant. Cage dans la surface pousse Dzeko avec deux mains, on joue. On continue. En seconde période, Kalulu frappe Lautaro au milieu de la surface, pas de sifflet ici aussi. Et nous arrivons à Gênes. A moins de 5 minutes de jeu, Darmian entre dans la surface et est renversé par Murillo. Il ne semble pas y avoir de doute ici car le Colombien laisse la jambe tendue et l'Interista est clairement gêné. Même ici, cependant, Maresca ne bronche pas. On a vu des pénalties sifflés pour beaucoup moins que ça. La tendance est claire : que la faute soit claire, acceptable ou douteuse, le coup de sifflet ne vient jamais. Une statistique pour le moins singulière en ce début d'année 2023. Pas de complot mais il y a une difficulté évidente à siffler quand le penalty est en faveur d'un joueur portant le maillot des Nerazzurri. Au fait, que fait la direction ? Traduction alex_j via FCInterNews.
  14. En effet, en déplacement au Stade Luigi-Ferraris, l’Inter avait la possibilité, à une semaine de la reprise de la Ligue des Champions, de creuser l’écart sur ses poursuivants, mais notre Bien-Aimée est complètement Folle: En étant capable de détruire le Milan et de se vautrer face à l’avant-dernier de la compétition en l’espace d’une semaine... Si les occasions ont été nombreuses, la lucidité n’était pas de mise et malgré un nombre scandaleux de tentatives, l’Inter n’est pas parvenue à faire vibrer les filets défendu par Audero. Si pour l’Inter, l’écart passe à trois points sur ses nombreux poursuivants, pour Dejan Stankovic ce petit point pourrait booster le moral des siens. Et si l’Inter occupe la seconde place au classement et même si Francesco Acerbi a eu l’occasion la plus importante sur l’ensemble du match, la confrontation entre Nicolò Barella et Romelu Lukaku prouve que l’ambiance est loin d’être sereine du côté d’Appiano Gentile. Suffisant pour imploser selon vous ? Résumé Vidéo Tableau Récapitulatif Sampdoria 0-0 Inter Buteur(s): / Sampdoria: 1 Audero; 21 Murillo, 17 Nuytinck, 2 Amione; 59 Zanoli (85' 36 Paoletti), 80 Cuisance (58' 11 Sabiri), 20 Winks, 3 Augello; 7 Djuricic (72' 8 Rincon); 23 Gabbiadini (72' 29 Murru), 10 Lammers (85' 27 Quagliarella) Banc: 22 Turk, 30 Ravaglia, 26 Ilkhan, 28 Yepes, 31 Malagrida, 38 Ivanovic, 99 Jesé T1: Dejan Stankovic Inter: 24 Onana; 37 Skriniar, 6 De Vrij, 15 Acerbi; 36 Darmian (66' 2 Dumfries), 23 Barella (66' 77 Brozovic), 20 Çalhanoğlu, 22 Mkhitaryan (90' 45 Carboni), 8 Gosens (46' 32 Dimarco); 90 Lukaku (66' 9 Dzeko), 10 Lautaro Martinez Banc: 1 Handanovic, 21 Cordaz, 5 Gagliardini, 12 Bellanova, 14 Asllani, 33 D'Ambrosio, 46 Zanotti, 95 Bastoni T1: Simone Inzaghi Arbitre: Maresca VAR: Doveri Averti(s): Nuytinck (S), Lautaro Martinez (I), Amione (S), Lammers (S) Expulsé(s) : / ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  15. Interviewé par la Gazzetta Dello Sport le jour de son anniversaire, Francesco Acerbi s’est livré sur son aventure Nerazzurra : "Dans la vie, c’est toujours nécessaire d’avoir un challenge." "Cela m’a servi, en premier lieu avec mon père et ensuite avec la maladie : A présent, c’est un challenge avec moi-même et c’est normal que je dois tout faire pour y faire face, car c’est ce qui te permet d’avoir toujours l’ambition de t’améliorer." Avant la rencontre face au Napoli, vous aviez déclaré qu’en la remportant vous relanceriez le discours pour le Scudetto, mais à présent… "...A présent, il y a eu le partage face à Monza, quelque chose qui, pour une équipe comme l’Inter, n’aurait jamais dû arriver : Le Napoli est une machine de guerre, mais je ne dirais pas que le discours pour le Scudetto est terminé : Nous avons encore 5% de raison pour croire en cette possibilité : Eux devront ralentir la cadence alors que nous, nous nous devrons de remporter tous nos matchs." Avez-vous des regrets pour les six défaites concédées en championnat ? "Nous aurions dû engranger 5-6 points en plus, cela nous aurait permis, maintenant et avec les confrontations directes, d’avoir un écart de point moins important." Pourquoi l’Inter tourne bien face aux grandes équipes et rencontre des difficultés face aux plus petites ? "Prenons l’exemple d'Empoli : Inconsciemment tu te dit que tu peux l’emporter peu importe la façon, mais parfois cela ne suffit pas, et peut-être que tu comprends qu’il y a un impondérable : Dans les matchs à élimination directe, la motivation est différente, mais nous devrions toujours avoir cette faim : Si tu as la bonne agressivité, tu gagneras, je n’ai aucun doute à ce sujet : Et il nous a manqué, à quelques reprise, d’un peu de mordant." Est-ce une bonne nouvelle de rencontre Porto ? L’Inter peut ‘elle être la Surprise de la Ligue des Champions ? "Si nous nous sentons tous en forme, nous pourrions devenir la Surprise : La phase de groupe nous a donné confiance : Porto est fort physiquement, mais nous sommes capable de les battre. Une fois en quart de finale, tout peut arriver : Cela dépendra de l’état de forme, du moral, de la chance : Et nous venons de retrouver Romelu Lukaku et Marcelo Brozovic qui se joigneront à nous." Répondez du tac-o-tac : Serez-vous à l’Inter en 2024 ? "Je ne le sais pas : C’est la Vérité : J’aimerais rester, je me sens bien ici. J’ai cependant une certitude : Cela ne m’arrivera plus une autre fois d’être au mois d’août sans connaitre mon avenir : Je veux savoir, en juillet, où je jouerais. J’espère qu’il y aura une solution qui sera trouvée au plus vite pour mon rachat : J’ai 35 ans et je me sens bien physiquement et mentalement." Quelles sont les meilleures qualités d’Inzaghi ? "Il est intelligent, sympathique, fait preuve d’empathie et est toujours positif. Il est aussi chanceux, mais c’est lui qui va se chercher cette chance et il le mérite : C’est un très bon connaisseur du Football, il connait tous les joueurs du monde : C’est incroyable. C’est aussi une personne à qui on s’attache : Il est toujours resté le même que ce soit à Rome et ici à Milan." Comment a été vécu le cas Skriniar vu du Vestiaire ? "Nous savions tous qu’il avait reçu une offre du Paris-Saint-Germain, mais il ne nous avait jamais rien dit et nous cela ne nous intéressait pas tellement : Nous avions toujours vu son engagement et c’était ce qui était le plus important. Ensuite, ce sera une déception de le voir partir et ce ne sera pas facile de le remplacer." "Les jeunes joueurs de qualité son très peu nombreux et coutent cher : Regardez Scalvini." Lautaro Martinez, Romelu Lukaku, Edin Dzeko : Qui est le plus dur à marquer ? "C’est un plaisir d’avoir Lautaro comme équipier, son côté combattif sur le terrain m’impressionne : Lukaku, s’il est en condition est dévastateur, tu ne sais pas le marquer et Edin a une élégance hors du commun, même s’il n’est pas dans une condition optimale, il parvient toujours à trouver 2-3 solutions dans une rencontre. Il y a aussi Correa qui est en difficulté et que nous cherchons à aider: Il vaut les autres." Si vous aviez, plus jeune, l’expérience que vous avez acquise maintenant, auriez-vous réalisé une meilleure carrière ? "Durant une période je pensais autrement : Que j’aurais fait 15 années au Milan au plus haut niveau. Mais aujourd’hui je dirais non : Sans ma maladie, j’aurais arrêté à 28 ans ou je serais allé en Serie B, voir même à la Citadella, je ne sais pas… Ma véritable carrière a débuté avec mes tumeurs, elles m’ont offerte cette seconde chance." Pour quel motif vous regardez toujours vers le ciel avant le début de chaque match ? "J’ai une prière qui m’appartient : Elle est longue de deux pages mais je mets 40 secondes à le dire car je la récite de mémoire rapidement." Vous verriez-vous dans un rôle d‘entraineur à l’avenir ? "J’aimerai le faire et il me semble que c’est devenu à la mode aujourd’hui, même un plombier pourrait obtenir la licence. Et c’est une bonne chose car c’est un rêve accessible à tout le monde, mais j’imposerai une limite : Une priorité devrait être accordé à ceux qui ont joué au football. Je m’y retrouve car je comprends les joueurs, et j’ai connu toutes les nuances du métier : J’ai touché le fond pour ensuite arriver au sommet." La première caractéristique d’un entraineur doit être…Terminez la phrase "L’empathie : Elle fait la différence avec les joueurs et elle vient même avant tout autre aspect du jeu." ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  16. Selon une analyse de FCInterNews, l'Inter doit rester sur les clous face aux arbitres italiens. Il n'y a pas d'autre explication au traitement reçu jour après jour par les joueurs d'Inzaghi par nos propres sifflets de Serie A. Dans ce premier aperçu de 2023, la situation est donc devenue vraiment insoutenable et d'autres clubs ont produit les fameux "dossiers d'arbitrages" pour beaucoup moins que ça. Après la nette victoire 1-0 sur le Napoli, les Nerazzurri ont été littéralement victimes d'erreurs souvent flagrantes. Extraits: Monza-Inter : but d'Acerbi refusé; Inter-Vérone : penalty non accordé pour une main sur tir de Mkhitaryan, beau but refusé de Lautaro et double carton jaune non donné à Hien; Milan-Inter en Supercoppa : Barella percuté par Tatarusanu; Inter-Empoli : deuxième carton jaune assez sévère pour Skriniar; Cremonese-Inter : penalty non accordé à Dzeko; Inter-Milan : penalty non accordé à Dzeko, penalty non accordé à Lautaro et but annulé pour Lukaku. Une longue série d"erreurs" difficiles à expliquer. Des erreurs de toutes sortes. Les unes après les autres qui coûteraient également de lourds points. Ensuite, certains d'entre elles peuvent aussi être évoquées, comme par exemple lors du dernier derby où Gabbia a poussé Dzeko des deux mains : il n'y a pas de coup de sifflet. La valeur étalon est totalement faussée et pas seulement d'un match à l'autre mais aussi au sein d'un même match. Les deux épisodes survenus lors du match de Dimanche soir lors de la deuxième mi-temps sont emblématiques. Lautaro, dans la surface, prend position, et Kalulu lui tombe dessus et par derrière en le frappant à la jambe gauche : penalty évident, Massa et Mazzoleni se taisent et rien à la VAR. Le lendemain, rien, tous sont muets! Idem pour le but refusé à Lukaku en fin de partie : le Belge et Thiaw se tirent dessus dans une mêlée des plus classiques entre attaquant et défenseur, Big Rom a le dessus et marque au sol, mais Massa annule. "Ce qui n'est pas encore arrivé doit arriver", dirait quelqu'un qui ne va pas si bien maintenant. Au lieu de cela, ceux de l'Inter sont muets dans un championnat où tout le monde crie au moindre tort tout de suite. Une attitude passive qui n'aide certainement pas. Et en attendant les coups de sifflet qui sont défavorables continuent. Il faudrait comprendre pourquoi l'Inter est si contrariée par les arbitres italiens. Traduction alex_j via FCInterNews.
  17. Simone Inzaghi s'est exprimé concernant le but injustement refusé de Big Rom lors du dernier derby milanais. Ses propos ont été rapportés par DAZN au format BordoCam, les voici "Est-ce que c'est pour nous, ceux qui sifflent avant la fin de l' action ?" En effet, l'imposant attaquant belge aux manières expéditive avait protégé son ballon et avec l'expérience avait maintienu Thiaw à distance: Et il s'agit-là d'un duel classique entre attaquants et défenseurs que nous retrouvons tous les week-ends." "Toutefois, le coup de sifflet de Massa intervient avant que le ballon tiré par Lukaku ne rentre dans le but, avec un Big Rom à terre. Et ce coup de sifflet a rendu toute utilisation de la Var impossible puisque la phase jeu a changé de facto." "Même Federico Dimarco est resté sans voix: "Mais pourquoi il siffle avant ?" " "Un scénario similaire à celui de Monza, lorsque l'arbitre Sacchi a sifflé une faute inexistante avant la tête victorieuse d'Acerbi." Traduction alex_j via FCInterNews.
  18. Après avoir "perdu" Milan Skriniar, l'Inter s'attèle à prolonger Stefan De Vrij, mais comme le révèle la Gazzetta Dello Sport, un plan B est mis en place, juste au cas où: "Les négociations avaient commencé l'été dernier avec Rafaela Pimenta, qui était l'ancienne agent du Néerlandais, et elles se poursuivent maintenant avec Federico Pastorello." "Le club a proposé un contrat de deux ans pour le même salaire, soit environ quatre millions plus les bonus et en cas de refus, l'Inter se tournera vers Chris Smalling, qui n'a pas encore activé son option de prolongation avec la Roma: L'objectif est assez claire: "Eviter une nouvelle affaire Skriniar, car après les adieux du défenseur slovaque, l'Inter se passerait volontiers de perdre Stefan De Vrij qui était titulaire l'ensemble de la saison dernière dans le trio arrière, mais qui est désormais devenu le back-up de Francesco Acerbi." "Le club de Viale Della Liberazione a déjà fait ses démarches et attend désormais une réponse du joueur et de son entourage d'ici la fin du mois de février, pas plus car si Stefan dit non, Giuseppe Marotta, Piero Ausilio et Dario Baccin veulent être prêts à " réagir " immédiatement et peut-être miser sur un autre agent libre : Chris Smalling de la Roma." "Le Néerlandais, qui a fêté ses 31 ans le 5 février, s'est vu proposer une prolongation de contrat par l'Inter en juillet dernier et dans les mois qui ont suivi, il lui a été présenté un contrat de deux ans pour le même salaire, soit quatre millions d'euros nets par saison plus des bonus. L'été dernier, De Vrij était encore représenté par Pimenta, mais quelques mois plus tard, la relation professionnelle entre les deux personnalités s'est rompue et ses intérêts sont désormais représenté par Federico par Pastorello." "C'est avec lui que la Direction Nerazzuzza a échangé ces dernières semaines, expliquant que le club a l'intention de lui donner le temps de regarder autour de lui et de se décider, mais qu'en même temps, pour des raisons de calendrier, ils s'attendent à recevoir une réponse sur une prolongation jusqu'au 30 juin 2025 d'ici la fin du mois de février. Pastorello, qui était à Milan lundi et mardi de la semaine écoulée pour la clôture du Mercato a publié vendredi une photo de sa rencontre avec De Vrij, et a exprimé à la Rai son désir de respecter la date limite fixée par le club." "Le dialogue est plus détendu et plus fluide entre De Vrij et l'Inter qu'il ne l'était avec Skriniar, notamment parce que le Slovaque avait une offre millionnaire déposée par le Paris-Saint-Germain, alors que Stefan n'a pas une telle offre d'un grand club. Du moins pour le moment. Il évalue les demandes de clubs espagnols et anglais, mais il n'a jamais caché qu'il était heureux à Milan. Ce qui le rend perplexe, c'est plutôt son utilisation actuelle : Cette saison, il est devenu le back-up d'Acerbi et il espère certainement que la situation changera à l'avenir." "Mais puisque l'ancien joueur de la Lazio se dirige vers la confirmation, et même s'il y aura des négociations avec Claudio Lotito, Stefan se donne le temps de la réflexion: Il lui reste encore trois bonnes semaines devant lui avant de dire oui ou non lors de cette rencontre au sommet avec l'Inter. Il est envisageable qu'à la suite de la manche aller face au Fc Porto, dans le cadre des huitièmes de finale de la Ligue des Champions, que la réponse sera communiquée: Dans le cas d'une fumée blanche et avec la confirmation d'Acerbi où le club s'active pour faire diminuer l'exigeance laziale de 4 millions d'euros, les postes en défense centrale seront déjà bien défini." "Dans le cas contraire, il restera bien sur Chris Smalling, qui n'a pas encore donné son accord à la Roma pour déclencher un renouvellement unilatéral d'un an pour percevoir le même salaire que celui qu'il perçoit actuellement, soit un peu moins de 4 millions d'euros. C'est pourquoi l'Inter a décidé de se précipiter sur De Vrij : ils ne veulent pas laisser le défenseur central anglais leur filer entre les doigts." Tant qu'à éviter une Skriniar, autant éviter également une Bremer... ®Antony Gilles - Internazionale.fr
  19. Le but d'El Toro en première mi-temps scelle une victoire méritée dans le choc du derby della Madonnina. Inter encore une fois, Inter pour toujours, Milano est noir et bleu. Après la victoire en Supercoppa à Riyad, une autre soirée s'est déroulée pour l'Inter. La chorégraphie qui a accueilli les Nerazzurri au coup d'envoi était un message clair : luttons ensemble pour trois points importants, pour une nouvelle victoire dans le derby. Et c'est exactement ce qu'a fait l'Inter. Les Nerazzurri ont dominé et marqué en première mi-temps avant d'avoir deux buts refusés en deuxième mi-temps. N'étant pas à l'abris, ils ont dû pousser fort collectivement jusqu'à la 96e minute, lorsque l'arbitre a sifflé pour envoyer le Meazza au Nirvana. Une victoire 1-0 de l'Inter et un but de Lautaro qui a encore une fois réalisé une magnifique performance. L'Inter a très bien commencé contre une équipe de l'AC Milan qui est entrée sur le terrain dans un 3-5-2. Dès le début, les Rossoneri ont été piégés dans leur moitié de terrain alors qu'ils luttaient pour contenir les hommes d'Inzaghi qui continuaient à avancer à volonté. Lautaro a semblé particulièrement vif et a presque ouvert le score à la sixième minute si Tatarusanu n'avait pas exécuté un bel arrêt. Récupérations hautes, mouvements de haute qualité en possession de balle, la première mi-temps a vu l'Inter jouer un beau football avec tout le monde était impliqué. Cependant, plus qu'un avantage clinique était nécessaire. Quant à l'AC Milan, ils sont à peine sortis de leur moitié de terrain et ce n'est apparemment qu'une question de temps avant que les Nerazzurri n'ouvrent le score. Et c'est exactement ce qu'ils ont fait à la 34e minute alors que Lautaro propulsa le corner de Calhanoglu dans le filet. L'AC Milan avait besoin de bouger les choses et ils l'ont fait au début de la seconde période lorsque Diaz puis Leao et Saelemaekers sont entrés dans la mêlée. Mais c'est l'Inter qui a continué à imposer le jeu à ses adversaires, Lautaro testant à nouveau Tatarusanu. Ensuite, c'est devenu plus une bataille plus agressive. L'arbitre a distribué des jaunes alors que l'AC Milan tentait de faire entrer Leao dans le match, et l'Inter pouvait être reconnaissante à Acerbi pour une excellente défense à deux reprises. L'équipe d'Inzaghi ne jouait pas avec autant de précision et n'avait certainement plus tout ce qu'il fallait. Diaz a essayé, mais Onana était là pour faire l'arrêt. Il y a eu une grosse poussée des Nerazzurri vers la fin. Lukaku mit le ballon dans le filet mais son but a été refusé pour une faute sur Thiaw. Brozovic de retour pour faire tourner l'Inter. Lautaro a ensuite marqué mais la VAR est intervenue. Cinq minutes de temps d'arrêt sont devenues six mais les Rossoneri ne représentaient pas une grande menace. Au lieu de cela, ce sont les Nerazzurri qui ont été les plus proches de marquer à nouveau alors que Tatarusanu a repoussé le tir Lukaku. L'arbitre a donné le coup de sifflet final et a donné une victoire méritée, une seule équipe sur le terrain; le derby est noir et bleu. INTER 1-0 AC MILAN Buteurs : 34' Lautaro (I) INTER (3-5-2) : 24 Onana ; 37 Skriniar, 15 Acerbi, 95 Bastoni ; 36 Darmian, 23 Barella (14 Asllani 94'), 20 Calhanoglu (5 Gagliardini 89'), 22 Mkhitaryan (77 Brozovic 71'), 32 Dimarco (8 Gosens 71') ; 9 Dzeko (90 Lukaku 71'), 10 Lautaro. Remplaçants : 1 Handanovic, 21 Cordaz, 2 Dumfries, 6 De Vrij, 12 Bellanova, 33 D'Ambrosio, 45 Carboni, 46 Zanotti. Entraîneur : Simone Inzaghi. AC MILAN (3-5-2) : 1Tatarusanu ; 20 Kalulu, 24 Kjaer (12 Rebic 86'), 46 Gabbia (28 Thiaw 70') ; 2 Calabre (56 Saelemaekers 55'), 30 Messias (10 Diaz 46'), 8 Tonali, 33 Krunic, 19 Hernandez ; 27 Origi (17 Léao 55'), 9 Giroud. Remplaçants : 77 Vasquez, 83 Mirante, 5 Ballo, 7 Adli, 14 Bakayoko, 32 Pobega, 40 Vranckx, 90 De Ketelaere. Entraîneur : Stefano Pioli. Avertissements : Kalulu (M), Gabbia (M), Leao (M), Mkhitaryan (I), Acerbi (I), Giroud (M), Rebic (M) Temps additionnel : 1' - 5' Arbitre : Massa. Assistants : Bindoni, Impériale. Quatrième arbitre : Sozza. VAR : Mazzoleni. Assistant VAR : Fabbri. Traduction alex_j via le site officiel.
  20. Après que Matteo Darmian ait marqué le but de la victoire contre Atalanta pour accéder aux demi-finales de la Coppa Italia, voici ce que Simone Inzaghi avait à dire après le match. Aux micros d'Inter TV "Nous voulions vraiment gagner ce match; nous l'avons gagné l'année dernière et c'est sur notre maillot. Nous nous sommes préparés pour le match du mieux que nous le pouvions. Nous avons produit une excellente performance du début à la fin contre une équipe fantastique en excellente forme et nous sommes à juste titre dans les demi-finales." "Darmian? Il a joué à ce poste en tant que défenseur à quelques reprises l'année dernière et a bien joué. Pour un entraîneur, avoir des joueurs qui peuvent alterner est un réel avantage. Il a toujours apporté une contribution depuis que je suis ici et mérite ce qu'il a eu ce soir." "Nous savons ce qu'est Acerbi. Il travaille très dur, mais ne parler que de lui serait réducteur car tout le monde s'est bien comporté ce soir. Produire des performances comme celle-ci n'est pas facile. Nous voulions atteindre les demi-finales devant notre foule à tout prix, et nous avons réussi à apporter de la joie à nos fans." "J'ai aimé ce que j'ai vu de Lukaku. Il s'est amélioré au fil du temps, mais il est clair qu'il doit encore accumuler des minutes. Cependant, je suis très heureux et je pense qu'il s'améliorera match après match." FCInterNews Avis général. "De Vrij, Lukaku et les autres ont bien joué ce soir. Super match d'organisation, de course, 95 minutes bien faites contre une équipe de valeur. On voulait la demi-finale devant nos fans, c'était une belle soirée, il faut la mettre de côté maintenant et penser au prochain match. Nous sommes fiers d'être le seul club italien impliqué sur tous les fronts, nous affronterons la demi-finale de la meilleure façon possible." A quel match t'attends-tu dimanche ? "C'est un match qui a coûté cher, l'Atalanta vous a fait dépenser de l'énergie mais nous l'avons bien mené, nous avons mérité la demi-finale. Maintenant nous devons mettre ça derrière nous, récupérer de l'énergie car dimanche nous aurons un match à domicile avec les supporters de notre côté et nous essaierons de le faire au mieux." Y a-t-il deux Inters ? "Les gars étaient bons pour faire ce que nous avions préparé contre un adversaire dur et en forme. Maintenant, nous verrons contre qui nous jouerons en demi-finale, mais maintenant nous nous dirigeons vers la ligue et la Ligue des champions." Par rapport au début du championnat, Onana a-t-il fait un travail pour s'améliorer techniquement et lisser les erreurs ? "Il va très bien, il a une performance constante, sa première année à l'Inter. Nous n'avions pas Handanovic, nous attendons que lui et Brozovic se rétablissent. Je suis confiant, j'espère pouvoir les avoir Dimanche, ils se sont entraînés à plein régime sans rencontrer de problème : on sait que ce sera un match dur." La Coppa Italia est-elle aussi un objectif compte tenu du championnat ? "La coupe est un objectif chaque année, en championnat nous sommes en retard à cause de quelques erreurs mais un Napoli comme celui-ci n'a jamais été vu, dans n'importe quel autre championnat européen nous serions en lice compte tenu du score des autres leaders. Félicitations à Napoli pour les progrès réalisés." Traduction alex_j via le site officiel.
  21. La Honte Skriniar aura servi de leçon, preuve en est la déclaration de Gianluca Di Marzio qui nous informe que l’Inter a changé son fusil d’épaule dans le cadre des renouvellements: "Après les déclarations de son agent, c’est désormais acté que Milan Skriniar ne prolongera pas et qu’il partira plus que probablement au Paris-Saint-Germain en fin de saison." "Mais au Siège de l’Inter, la Direction travaille sur d’autres renouvellements à présent : Matteo Darmian a trouvé un accord avec l’équipe milanaise pour un renouvellement qui se veut biennal. Dans les semaines à venir, ils vont s’occuper des renouvellements d’Edin Dzeko et d’Henrik Mkhitaryan. Il y aura ensuite le raisonnement à tenir en regard des prêts de Romelu Lukaku et Francesco Acerbi pour la saison à venir" "Pour Alessandro Bastoni qui est en fin de contrat en juin 2024 des premiers contacts ont été établi et il y a une volonté réciproque pour continuer l’aventure ensemble, une situation en tout point similaire pour Hakan Çalhanoğlu" ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  22. Simone Inzaghi s’est livré suite à la victoire ô combien compliquée de l'Inter sur Parme, en huitième de finale de la Coupe d'Italie: À Inter TV "Je savais que cette rencontre pourrait nous créer quelques problèmes. Selon moi, nous avons réalisé une très discrète première période et leur "Eurogol" nous a pénalisé. Ensuite, nous avons été lucide sans jamais perdre le fil et nous sommes revenu dans le match." Acerbi ? "Il a été bon, comme tous les joueurs qui sont rentrés et ceux que j’ai aligné en début de match. Tous m’ont apporté d’excellentes réponse: Après une trêve aussi longue que celle que nous avons connu, nous avons besoin de tout le monde. Nous étions mieux en place en phase de possession et j’ai demandé bien plus aux cinq entrants: Nous aurions dû égaliser avant, et nous avons été bon pour ne plus rien leur concéder et ce malgré le fait qu’ils avaient aligné sur le terrain trois attaquants." A Sport Mediaset "Je m’attarde sur ce qui s’est passé ce soir, pour samedi, tout le monde a bien vu ce qu’il s’est passé : C’était une rencontre difficile que nous avons joué discrètement, nous aurions pu bien faire circuler le ballon et mieux nous positionner. Ensuite, nous avons pris un but sur leur seul tir cadré, mais j’ai eu de très bons retoursde ceux qui ont le moins de temps de jeu. J’aurais préféré éviter de jouer 120 minutes, mais je savais que ce serait un match compliqué comme celui vécu face à Empoli, nous allons de l’avant avec confiance." Il y a tant d’absences, allez-vous les récupérer pour samedi et pour la Super Coupe ? "Les changements sont toujours impactés par le résultat, avant c’est toujours facile pour tout le monde. Ceux qui sont montés ont fait de très belles choses et ceux qui ont le moins joués m’ont apportés d’excellentes réponses. Nous devons continuer de la sorte, notre parcours en Ligue des Champions a été fantastiques tandis que nous avons perdus quelques points en championnat. Nous avons tant de matchs à disputer, les rotations vont s’avérer importantissime vu le nombre de matchs rapprochés : J'aurais besoin de tout le monde." Vu vos remplacements aujourd’hui, les titulaires auront souffert un peu plus d’une heure... "Concernant les changements, ça dépend toujours du résultat, seul ce dernier compte finalement. Ceux qui sont montés ont fait de belles choses et ceux qui avaient le moins joués m’ont apporté d’excellentes réponses : En Ligue des Champions, nous sommes allé au-delà des projections et il reste tant de matchs à disputer en championnat : Les rotations seront donc très importantes." Quel est le soucis avec Lukaku ? "Romelu est clairement importantissime pour nous, il est hélas confronté à une blessure musculaire et il a du mal à la gérer. Il s’était bien entrainé et samedi son inflammation était limité à son genou. Je l’ai laissé au repos et il le sera aussi demain, j’évaluerai quotidiennement comment faire pour le faire revenir au meilleur de sa forme : C’est une très grande valeur ajoutée, s’il avait été bien il aurait aussi pu nous apporter ces quelques points qui nous manquent en championnat : Par chance, nous n’avons pas ressenti son absence en Ligue des Champions." Vérone est en forme, à quel point il était important pour vous de jouer sur les ailes comme cela s’est passé ce soir avec Dimarco ? "Avoir de l’amplitude est fondamental dans tous nos matchs et nous cherchons à l’obtenir tout en récupérant nos forces : Avec Barella et Calha forfaits, le système de rotation était limité: Mkhitaryan a disputé son troisième match de la semaine. Je suis satisfait que nous sommes parvenus à remonter au score, cela m’a fait plaisir : Nous sommes l’Inter et nous tenons à aller de l’avant dans toutes les compétions que nous avons rempoté l’année dernière." En conférence de presse "Je dois revoir le match contre Empoli l'année dernière, mais je crois que ce soir nous avons plus souffert. Nous avons trouvé une équipe qui attendait de jouer ce match depuis longtemps. Nous avons dû faire circuler le ballon plus rapidement et nous nous sommes pris un but européen." "L'équipe, malgré le fait qu’il y ait eu tant de changement n’a pas été déstabilisée et est toujours restée concentrée et lucide: C'est de bon augure. Après une si longue trêve, la condition physique doit être améliorée. Nous parlons d'une équipe de l'Inter qui a battu Naples, et vu ce qu’il s’est passé à Monza, je considère que nous parlons d’une Inter qui a pratiquement gagné ses trois matchs en une semaine, avec un système de rotation réduit." "Nous devons améliorer notre condition physique, et j’espère récupérer les joueurs très importants que je n'ai jamais eus à ma disposition. Nous savons que nous sommes en retard en championnat, mais il reste encore tant de matchs à disputer et ils seront nombreux à être rapprochés. J’aurai besoin de tout mon effectif, de tout le monde." Dumfries? "Il revient d’une Coupe du Monde où il a disputé cinq matchs, il est fatigué : C’est un garçon généreux qui travaille pour revenir au top de sa forme. Il y a aussi des joueurs qui sont revenus en excellente condition, comme Lautaro et d'autres comme Denzel qui doivent s'améliorer. Il le sait et il travaille au mieux de ses capacités. C'est à moi que revient la décision de le faire jouer." Les chants pour Skriniar ? "Il s'échauffait et il sait qu’il est entouré de tifosi qui l’aime : Je le vois serein. Cela fait maintenant quelques années que l’Inter se qualifie en prolongation. Nous tenons à cette compétition, l'année dernière nous avons gagné ce trophée et il est représenté sur notre maillot." Est-ce mieux de se qualifier pour la Ligue des Champions ou de gagner des titres ? "Il faut avoir de la chance pour faire les deux. Je pense à la finale que nous avons gagnée en prolongation contre la Juventus, elle était magnifique. Ce soir c’était également une excellente soirée, je dédie la victoire aux Tifosi." ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  23. Pour son premier match de 2023, l'Inter a battu le Napoli jusque là invaincu en Serie A. Les feux d'artifice tirés pour marquer la nouvelle année sont noirs et bleus : beaux, spectaculaires et puissants. Un unique but a suffi pour gagner trois points importants devant une foule en délire. L'Inter 2023 a pris le meilleur des départs avec tous les bons ingrédients parfaitement mélangés: une équipe en forme, un bon football, une action de but et un but de Dzeko pour décider du match et infliger au Napoli à première défaite en championnat. La soirée s'est ouverte avec le président Steven Zhang présentant une plaque commémorative au vainqueur de la Coupe du monde Lautaro; il y a également eu une minute de silence en l'honneur du grand Pelé. C'était l'ouverture d'un match très attendu, avec 94 minutes d'action à haute intensité, scellées par la tête de Dzeko, une excellente performance de Barella, Acerbi et Calhanoglu, et le tout sécurisé par le bel arrêt d'Onana en fin de match. L'Inter dépasse désormais la Lazio, se hissant à la quatrième place du classement, et compte désormais huit points de retard sur le leader Napoli. 75.470 étaient présents dans un Meazza à guichets fermés, tous avides de football, tous avides de voir leur Inter bien-aimée après près de deux mois depuis le dernier match officiel. Et un affrontement aussi important pour commencer 2023 a commencé de la plus belle des manières avec l'Inter sortant rapidement des pièges napolitains, mais sans avoir de la chance devant le but. Les cinq premières minutes ont vu les visiteurs immédiatement sur leurs fesses: Kim a dû se jeter pour revenir pour arrêter Lukaku, puis le même Big Rom a mis Dzeko qui n'a pas pu obtenir une touche gagnante, avant que Dimarco ne rate un but à bout portant. Le match a ensuite connu une accalmie pendant les 25 minutes de jeu suivantes alors que les deux équipes cherchaient à prendre le contrôle. La pression des Nerazzurri et leur récupération haute du ballon ont constamment mis Napoli sous pression. Un Napoli qui a eu du mal à jouer le ballon dans la moitié de terrain de l'Inter et s'est souvent retrouvé en difficulté. Après 26 minutes, l'occasion la plus nette est venue lorsque Lukaku a joué un ballon de la droite, Dzeko l'a habilement renvoyé à Darmian, mais sa frappe du pied droit a survolé la barre. C'était un beau mouvement mais pas de produit final. Geste également vu à la fin de la mi-temps mais avec le même résultat final, après que Lukaku ait tiré après la passe du talon de Barella. C'était toute l'Inter, avec seulement le but manquant, poussée par un soutien vocal et exemplaire à domicile. Les Nerazzurri forment une équipe et jouent en équipe, dans toutes les situations. Lorsque Calhanoglu est revenu défendre pour arrêter Osimhen, il était clair que les efforts des joueurs d'Inzaghi devaient être récompensés, et ils l'ont étés. Ceci grâce à un beau jeu de construction magistral : la belle passe de Mkhitaryan à Dimarco, son centre était parfait et a trouvé la tête de Dzeko, battant Meret pour rendre la foule locale folle. Le rugissement de San Siro a rempli le cœur de tout le monde. Napoli devait réagir et sortir et attaquer, mais Kvaratskhelia n'a pas pu se libérer de Skriniar de toute la soirée. Au milieu, Acerbi a joué un match parfait annulant totalement Osimhen. Onana n'avait presque rien à faire de tout le match, car le dernier quart d'heure a vu de nombreux changements se présenter. Le jeu est devenu décousu, celui des batailles gagnantes, des nerfs et des prières. Napoli a fracassé un tir dans la poitrine d'Onana dans la dernière minute du temps réglementaire, avant qu'il ne réagisse bien et repousse une frappe de Raspadori d'un bras droit inflexible, leur seule vraie chance du match. Après quatre minutes de temps d'arrêt, avec Barella se distinguant par son énergie et sa détermination à marquer les trois points, le Meazza a accueilli le début de la nouvelle année avec une grosse victoire, avec la joie d'un groupe spécial de joueurs, mais avec la conscience que la route est encore longue et ardue. Prochain arrêt, Monza. INTER-NAPLES 1-0 Buteur : 56' Dzeko (I) INTER (3-5-2) : 24 Onana ; 37 Skriniar, 15 Acerbi, 95 Bastoni ; 36 Darmian, 23 Barella, 20 Calhanoglu, 22 Mkhitaryan, 32 Dimarco ; 9 Dzeko, 90 Lukaku. Remplaçants : 1 Handanovic, 21 Cordaz, 2 Dumfries, 5 Gagliardini, 6 De Vrij, 8 Gosens, 10 Lautaro, 11 Correa, 12 Bellanova, 14 Asllani, 33 D'Ambrosio, 45 Carboni, 46 Zanotti. Entraîneur principal : Simone Inzaghi. NAPLES (4-3-3) : 1Meret ; 22 Di Lorenzo, 13 Rrahmani, 3 Kim, 17 Olivera ; 99 Anguissa, 68 Lobotka, 20 Zielinski; 21 Politano, 9 Osimhen, 77 Kvaratskhelia. Remplaçants : 12 Marfella , 30 Sirigu, 4 Demme, 5 Juan Jesus, 6 Mario Rui, 7 Elmas, 11 Lozano, 18 Simeone, 23 Zerbin, 31 Zedadka, 55 Ostigard, 59 Zanoli, 81 Raspadori, 91 Ndombele. Entraîneur principal : Luciano Spalletti. Arbitre : Sozza. Arbitres assistants : Meli, Peretti. Quatrième arbitre : Piccinini. VAR : Fabbri. Assistant VAR : Aureliano. Traduction alex_j vis la site officiel.
  24. En effet, si l’Inter continue de négocier pour le renouvellement de Milan Skriniar, son absence de réponse pose à présent question Révélation de la Gazzetta Dello Sport "Dans notre championnat, le joueur en fin de contrat le plus recherché au niveau européen est Skriniar. Le Psg a essayé de l'acheter à l'Inter l'été dernier et il tente maintenant de le sécuriser sans avoir à débourser un seul euro pour son transfert. Marotta et Ausilio ont proposé au Slovaque un contrat de quatre ou cinq ans avec une base fixe de 6 millions nets plus des bonus." Cela suffira-t-il à lui arracher un oui ? "Jusqu'à présent, il n'y a pas eu de fumée blanche, et c'est pourquoi un certain pessimisme commence à se répandre dans le Viale Della Liberazione. La prochaine réunion, prévue dans les deux semaines, permettra peut-être de clarifier la question...Et la question est également de mise pour son collègue, De Vrij, qui s’est également vu offrir un renouvellement de deux ans pour un contrat de 4 millions d'euros net, mais le Néerlandais est suivi par Tottenham et Feyenoord." L’avis de Sky Sport "A l'heure actuelle, c'est devenu un Tormentone. La vérité est que plus le temps passe, plus les choses deviennent difficiles. A présent, le défenseur peut signer un précontrat pour rejoindre un nouveau club en juin pour zéro euros et on peut voir la Tour Eiffel en arrière-plan. L'Inter, cependant, ne se sent pas encore complètement hors-jeu, mais l'optimisme d'il y a quelque temps a considérablement diminué, même si l'espoir existe toujours." "Marotta et Ausilio sont bien conscients d'avoir fait le maximum sur le plan financier. L'offre présentée à l'agent du joueur, Roberto Sistici, est considérée comme définitive : 6 millions par an plus des bonus, soit comme les meilleures joueurs de l'effectif à l'exception de Lukaku qui, en raison du Décret Croissance, reste un cas à part. Marcelo Brozovic, Lautaro Martinez et immédiatement Nicolò Barella présentent des salaires similaires." Est-ce une question de temps ? "Peut-être, mais à la Viale Della Liberazione, il devient impossible d’attendre indéfiniment et tous aimeraient savoir clairement si le moment est venu de tourner la page Skriniar. Dans un tel contexte, il reviendrait alors à Milan d'expliquer son choix qui, il faut le souligner, est légitime dans les deux cas. Car ce serait sensationnel positivement s'il acceptait en rejetant des offres plus riches, mais ce serait aussi compréhensible s'il venait à choisir la voie la moins romantique dans cette histoire." "La balle est dans son camp et il s'est toujours comporté impeccablement jusqu’à présent: Toujours en alerte et totalement concentré sur le présent, Skriniar a déjà porté le brassard de Capitaine à plusieurs reprises. Il a montré à maintes reprises, par le biais des médias sociaux et de ses déclarations, un sentiment d'appartenance... Mais à présent, place à l’épreuve la plus difficile qui allie le monde professionnel et le monde sentimental." Le Saviez-Vous ? "Les discussions devraient être reportées pour après le 18 janvier 2023. En effet, son agent pousse pour percevoir les 7 millions d’euros de base fixe + bonus. Et en l’absence de nouveauté, les deux parties devraient se retrouver après les rencontres face au Napoli mais surtout après la Super Coupe d'Italie qui se tiendra à Ryad face au Milan et qui aura lieu le 18 janvier...." "A voir également quelle sera la réponse apportée sur le terrain par Milan qui retrouvera le Napoli d’ Osimhen dans une défense qui devrait être composée par Bastoni et Acerbi". ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  25. En effet, nos confrères de Fcinter1908.it ont procédé à un "Pagellone" soit une évaluation à la "mi-saison" des performances de nos Nerazzurri Les gardiens André Onana 7 "Parti derrière Handanovic dans la hiérarchie et initialement désigné comme Gardien de Coupe, il n'a pas fallu beaucoup de temps au Camerounais pour prendre une place de titulaire indiscutable grâce à son charisme et à ses qualités entre les poteaux et avec ses pieds. S’il doit encore améliorer quelque chose, c’est sa façon de sortir de sa cage, mais le changement dans les cages s’est avéré des plus bénéfiques." Samir Handanovic 5 "Si l'on analyse purement le terrain, la saison du capitaine des Nerazzurri s’est avérée définitivement négative : Moins réactif dans le Derby, il est également fautif sur le but de Paulo Dybala face à la Roma. Apprécié à présent en tant que Leader du Vestiaire, s ses performances entre les poteaux ne peuvent qu'être considérées que comme insuffisantes, sauf à l’occasion de quelques matchs, comme face au Torino." Alex Cordaz "Non-côté." La Défense Milan Skriniar 6+ "Le début de saison du Slovaque était désastreux, aussi en raison d’une blessure qui l'a empêché d'effectuer une préparation athlétique complète et des rumeurs insistantes sur le Mercato en provenance de Paris. Une fois le tout surmonté, le vrai Skriniar a été revu par séquence. Ce qui lui fait défaut, c'est la continuité incontestable des années passées, même si l'on tient compte des problèmes qu’à connu l’Inter dans son secteur défensif lors de ces premiers mois de compétitions. Le brassard semble lui avoir rendu sa conscience et sa confiance : A voir à présent comment se conclura la télénovela sur la prolongation de son contrat." Stefan De Vrij 4.5 "Fantomatique, loin du vrai De Vrij. Le penalty à Bergame n'est que la dernière de ses grosses bévues défensives : le Néerlandais ne se montre plus aussi fiable que par le passé, seul son match à Barcelone face à Robert Lewandowski est considéré comme parfait. Mais ses erreurs en championnat persistent à tel point qu'Inzaghi lui a souvent préféré Acerbi : Une remise en question définitive." Alessandro Bastoni 6 "Une première partie de saison ombragée : On se souvient surtout de sa splendide ouverture pour Barella contre la Sampdoria, sans plus. Lors de certains matchs, on l’a à nouveau vu se projeter offensivement, mais on est également très loin de son rendement de ces deux dernières années. Les attentes à son égard sont toujours élevées, on est en droit d’attendre un changement de rythme important." Francesco Acerbi 7 "Certainement et contre toute attente le meilleur du secteur défensif : Arrivé au milieu de la grogne d'une partie des tifosi, l’ancien laziale a apporté de la fiabilité et du sérieux à l'arrière-garde en gagnant très souvent une place de titulaire bien méritée, aussi bien centre que sur le côté gauche : Une très Agréable surprise." Danilo D'Ambrosio "Non-côté : Peu de matchs et quelques blessures ne permettent pas de l’évaluer : Le numéro 33 est désormais un Sénateur de l'équipe et son importance est plus grande à l'intérieur du vestiaire." L’empire du Milieu Denzel Dumfries 6+ "Trop inconstant : Dans certains matchs il peut être évaluée entre 7 et 8, mais dans d’autres, il se montre totalement insuffisant. Lorsqu'il sait dominer physiquement son adversaire, il se montre débordant d’énergie sur le terrain mais lorsqu’il y a du répondant, il a souvent du mal. Incontestablement titulaire, il devra lui aussi changer de rythme et faire preuve de plus de continuité comme il l'a fait l'année dernier : Suffisant." Matteo Darmian 6 "Toujours fiable, maintenant aussi comme troisième défenseur. Simone Inzaghi sait qu'il peut compter sur lui et l'utilise dès qu'il le peut comme remplaçant. Il est fort probable qu'il renouvelle son contrat avec l'Inter dans les prochains mois." Raoul Bellanova 6 "Très peu utilisé, mais il montre toujours quelque chose lorsqu’il monte sur le terrain : Très rapide, il est presque impossible à le rattraper lorsqu’il est lancé dans une chevauchée. Il peut représenter une arme offensive supplémentaire, mais il se devra de gagner sa place ce qui ne sera pas facile : On a le temps pour le laisser éclore." Federico Dimarco 7,5 "L'un des meilleurs, sinon le meilleur, de la première partie de la saison de l'Inter. 3 buts et 1 passe décisive à son actif en championnat, beaucoup de centres dangereux et des changements d’aile spectaculaires comme contre Barcelone. Il était censé être le back-up de Gosens, mais dans un tel état de forme, il est impossible de s’en passer: son pied gauche est chaud et Inzaghi ne peut pas se passer de lui en ce moment." Robin Gosens 6- "Il était censé être l'héritier de Perisic, mais en peu de temps, Dimarco a littéralement pris le contrôle de l’aile gauche. Quand il entre en jeu, il ne parvient pas à apporter de l’impact sauf à Barcelone avec ce but qui a pratiquement offert la qualification à l'Inter: Celui-ci aurait pu être synonyme de renaissance, mais il ne s’agissait que l’un de ces rares moments forts de son expérience à Milan. Certains disent qu'en le voyant s'entraîner tous les jours, il redevient le joueur qu’il était à l'Atalanta : Nous l'espérons tous." Marcelo Brozovic 6+ "Même s'il n'a pas été aussi performant que ces dernières années la faute à une blessure qui l'a tenu à l'écart pendant un mois entier, il il a marqué le but décisif contre le Torino, et a ouvert le score contre l’Ac Milan. Il a également été élu une fois Homme du Match en Ligue des Champions. Un Suffisant pour un joueur dont on attend qu’il soit, enfin, le vrai géomètre de l'Inter en deuxième partie de saison." Nicolò Barella 7.5 "Mis à part les premiers matchs, le numéro 23 a pris l'équipe sur ses épaules après avoir goûté au banc face au Bayern et il a commencé à collectionner les buts spectaculaires et les caviars en passes décisives : 5 buts et 6 passes clés en 15 jours, ce qui est monstrueux pour un milieu de terrain. S’il continue de la sorte, l'Inter reviendra bientôt à sa place : Il est désormais un véritable joueur polyvalent." Hakan Çalhanoğlu 7+ "Un petit cran en dessous de Barella, mais il reste aussi l’un des joueurs qui apporte le plus de positivité : La blessure de Brozovic aurait pu mettre l'Inter en difficulté, mais Inzaghi lui a attribué un nouveau rôle qu'il interprète presque à la perfection : excellent dans l'interjection et toujours présent dans la zone d'assistance/but. Impossible de s’en passer." Henrikh Mkhitaryan 7 "Un Acerbi-Bis pratiquement : Arrivé dans l’anonymat comme réserviste, l'Arménien a fait preuve d’une grande intelligence tactique et a prouvé qu’il reste encore un footballeur de haut niveau. Son but à Florence et lors de la victoire 1-0 à Plzen montrent qu'il a encore des qualités dans la zone de finition : c'est à Inzaghi à trouver comment gérer ses hommes, car se passer de lui ne sera pas facile." Kristjan Asllani 5.5 "Il était censé être le back-up Brozovic, mais il est à présent le back-up du back-up Brozovic : Joueur de qualité, mais Inzaghi n'a pas encore totalement confiance en ses moyens. Le fait qu’il n’a pas passé le ballon à Mkhitaryan au Nou Camp Nou a fait baisser sa note d'un point. Le temps joue en sa faveur et il aura à nouveau ses chances." Roberto Gagliardini 5 "Utilisé une énième fois contre la Lazio pour marquer sans succès Milinkovic-Savic, l'ancien joueur de l'Atalanta continue de ne pas convaincre : Ses apparitions sont rares dans ce qui sera très probablement sa dernière année à l'Inter." L’attaque Romelu Lukaku 6 "Le verdict le plus approprié serait peut-être de ne pas le coter : Buteur contre Lecce et auteur d’une passe décisive contre Spezia, il a disparu de la circulation à cause d’une blessure qui l’a écarté des terrains durant deux mois. Buteur face à Plzen, il a de nouveau été mis à l’arrêt. Big Rom est rétabli et veut redevenir un vrai joueur : si l'Inter veut tenter de remporter le Scudetto, elle a désespérément besoin de lui." Lautaro Martinez 7 "En l'absence de Lukaku, il est devenu le leader de l'attaque et le Toro ne déçoit pas montrant d’ailleurs de la maturité : Auteur de 7 buts et 4 passes décisives en championnat et d’une perle au Nou Camp. De retour à la maison auréolé du titre de Champion du Monde, il peut vraiment faire tourner les choses à son avantage avec cette nouvelle prise de conscience : Et ce n’est que du positif pour l’Inter." Edin Dzeko 7+ "Censé être le simple remplaçant de Lukaku, il prouve à 37 ans qu’il peut toujours faire des heures supplémentaires : Présent dans tous les matchs de l'Inter cette saison, le Bosniaque n'a pas perdu son infinie qualité de savoir jouer au football. Lorsqu’il est appelé à avoir un impact devant le but, il met toujours la main à la pâte : Un renouvellement serait bien plus que mérité." Joaquin Correa 4,5 "Sans doute le pire joueur de ce début de saison : Son raid face à la Sampdoria ne suffit pas à gommer une première partie totalement insuffisante. Quand il entre, il n'a jamais d'impact, il ressemble à un véritable corps étranger : on ne peut qu'espérer que la non-participation à la Coupe du monde sera pour lui une incitation à bien faire. Mais il y a très peu de gens qui croient en lui." L’entraineur Simone Inzaghi 5.5 "Probablement le plus difficile à côté : Son parcours en Ligue des Champions est exaltant, mais avoir collecté déjà cinq défaites en championnat en quinze matchs est inacceptable. Pour aggraver le tout, il est aussi confronté à de très sérieux problèmes en phase défensive, problèmes qu'il ne semble pas pouvoir corriger pour le moment. Un signe de reprise positif est à souligner lors des derniers matchs, mis à part la défaite face à la Juventus, mais l’Inter se doit de faire plus." "Il est vrai que Naples a été injouable jusqu'à présent, mais personne à la pause n'aurait pensé que le classement serait comme ça. Comme l'objectif déclaré est la deuxième étoile, la note ne peut être, à ce jour, que la moyenne: il sera du devoir du « Mister » de rectifier le tir et de se remettre sur les rails." Validez-vous l’analyse de nos confrères ? ®Antony Gilles – Internazionale.fr
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