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Le journal La Repubblica ouvre ses micros à Antonio Cassano. Au cours de l'interview, Cassano revient sur ses nombreux non aux Bianconeri ainsi que d'autres sujets. Comme d'habitude, il fait dans la mesure, la retenue et la langue de bois. Musique maestro! Tu as rejeté la Juve plusieurs fois... "J'ai rejeté la Juventus quatre fois. La première, c'était en 2001. J'avais rendez-vous avec Luciano Moggi à Avellino. Mais je voulais jouer avec Francesco Totti, j'étais fasciné par Rome, la ville. La Juve ne m'a jamais fasciné, pas même pour une seconde, il n'y a pas que ça n'avait rien à voir avec mon idée du football. Là, je tiendrais trois jours: le premier jour, ils m'ont acheté, le deuxième ils m'ont présenté, le troisième ils m'ont mis à la porte. Gigi Buffon me disait: 'tu es un idiot, tu aurais pu gagner le Ballon d'Or avec nous.' J'lui ai répondu: 'Gigi, j'tampe pas la carte de pointage, faut qu'j'm'amuse à l'entraînement.'" Ton opinion sur la Juve et l'Inter... "La Juve avec Massimiliano Allegri a été nulle pendant un an et demi, il l'était il y a dix ans. Et il a l'effectif le plus fort du championnat. Cela vaut aussi pour, l'Inter, et je le dis en tant que fan de l'Inter, ce sont les deux équipes les plus fortes. Inzaghi est jeune mais j'ai l'impression que l'Inter est plus grande, plus forte que lui. Ils ont 18 points de retard sur Naples qui a le pouvoir des idées." Quand verrons-nous un autre grand numéro dix italien ? "En 2003, l'équipe nationale comprenait Vieri et Inzaghi, Totti, Del Piero, Cassano. Chiesa, Montella, Di Natale, Miccoli sont restés à l'entrée... Aujourd'hui, Di Natale marquerait 50 buts avec la Nazionale et aurait dix cadrés par match. Il n'y a plus de programmation. Ni les infrastructures car on grandit sur des terrains tout simplement délabrés, sales, puants, partagés entre cinq équipes. Alessandro Nesta sur Bobo TV m'a dit qu'il y a des coachs chez les U12 ou U13 qui se fichent de faire progresser des enfants, ils veulent juste aller coacher en Serie C ou D. Ça fait dix ans maintenant qu'on est nul comme formation, Roberto Mancini a fait un miracle en remportant l'Euro avec une équipe médiocre et en jouant un super football. Mais on ne dribble plus, il n'y a plus la culture de s'amuser avec le foot." Maintenant, tu aimes Bobo tv. "Je connais Bobo Vieri depuis plus de 20 ans, il dit qu'il m'a aidé pour mon premier but en équipe nationale, mais c'est à moitié faux, il n'a rien fait! Mais il m'a présenté Lele Adani et Nicola Ventola. Bobo a eu une idée brillante, réunissant différentes personnes: Ventola est particulièrement amical, drôle et compétent. Puis il a mis le fou sauvage, qui est moi, qui affronte la vie de front et qui pense et espère faire comprendre le football, à ma manière. Et puis Lele, le Messi des commentateurs. Nous n'avons pas de censure, personne ne nous dit quoi dire: les gens nous suivent pour cela, et aussi pour notre compétence." Traduction alex_j via FCInterNews.
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Le onze idéal de Marco Materazzi dévoilé par Sportweek !
alex_j a posté un article dans F.C. Internazionale Milano
Il n'y a pas de place pour un non-Inter, ou presque, dans le top 11 Sportweek de Marco Materazzi qui dresse une line-up à trois quarts noire et bleue. Deux exceptions cependant. Deux champions du monde, deux coéquipiers nationaux de la chevauchée vers Berlin en 2006, Fabio Cannavaro et Francesco Totti. Voici la liste complète et les justifications de Matrix. "J'ai fait une équipe offensive parce que. Dans le football, il faut marquer des buts, même si quand je jouais, mon travail était de les éviter. Il y a beaucoup d'Interista, parce que j'ai tout gagné avec eux." Julio Cesar dans le but, protégé par Maicon, Cannavaro, Samuel et Chivu. Zanetti, Totti et Stankovic dans l'entrejeu, derrière un trident super offensif fait par Ronaldo le phénomène, Milito et Eto'o. José Mourinho entraîneur. "Quand il est arrivé à l'Inter, j'étais très proche de Toldo, mais j'ai encadré le Brésilien et nous sommes devenus amis. Maicon, un train sur l'aile droite. Je ne sais même pas comment il a réussi à faire des allers-retours tout au long du match." Arrière droit Maicon, Christian Chivu en face, ailier gauche. "Moi, lui et Stankovic, trois gitans. Avec Cristian, un coup d'œil suffisait pour se comprendre. Nous avons plaisanté sur les adversaires. Une fois, contre la Lazio, Pandev a rebondi entre lui et moi tout au long du match. 'Regarde ce que tu m'as fait !', me reprochait-il en fin de première mi-temps pour un coup de pied qu'il s'était pris. Il n'avait même pas remarqué que je ne le lui avais pas donné le coup, mais Chivu." Ensuite, Cannavaro et Samuel au centre. "J'aurais pu choisir Cordooba avec qui j'ai le plus gagné à l'Inter mais avec Fabio j'ai gagné une Coupe du monde et c'est peut-être celui aux côtés duquel j'ai concédé le moins de buts de toute ma carrière. En effet, entre nous, nous parions à chaque match de quitter le terrain avec une cage inviolée." Place aussi à l'incontournable mur, l'inoubliable The Wall pour les fans de l'Inter. "Il a fait honneur à son surnom, the Wall, en tant que joueur et en tant qu'homme, solide sur le terrain et silencieux en dehors. Un mur, en fait. , impénétrable. Il battait le terrain et si un attaquant allait contre lui face à face pour protester, il ne répondait même pas. Cela ne lui donnait pas satisfaction de répondre." Milieu de terrain à trois composé de deux grands capitaines et d'un "dragon", prochain adversaire de l'Inter en championnat en tant que manager de la Sampdoria. Zanetti, sur qui Materazzi avoue que "nous n'avons jamais été très proches, mais à chaque fois que j'avais besoin du capitaine, il était là." De capitaine à capitano, Francesco Totti, grand adversaire de l'Inter dans le triplété mais grand coéquipier en équipe nationale, "il me fait toujours sourire. Je ne sais pas s'il est plus fort ou plus sympathique." Avec Stankovic, "on a eu la même chambre pendant 5-6 ans. J'ai gagné tous mes trophées à l'Inter avec lui. Il ne savait même pas à quel point il était fort." Trois forts derrière trois très forts devant avec une ligne offensive que Materazzi confie à Ronie, Milito et Eto'o. "Maradona, Messi... Mama mia, je n'ai jamais vu quelqu'un d'aussi fort que lui. En termes d'explosivité et de talent naturel, un mélange entre Cristiano et Messi" dit-il à propos d'il Fenomeno rejoint par Diego Milito. "En marquant deux fois contre le Bayern en finale de la Ligue des champions 2010, Diego a permis à Materazzi de mettre la cerise sur le gâteau de sa carrière." Pour finir, Samuel Eto'o, "s'il n'était pas venu à l'Inter, on n'aurait jamais gagné la Ligue des champions. Avant lui, il y a eu Ibra qui a joué dans les clubs les plus forts et n'a jamais gagné une coupe. Il doit y avoir une raison." Sur le banc, inutile de le dire, l'équipe est confiée à José Mourinho. "Quand il est arrivé, quelqu'un avait dit que Materazzi allait partir. Il m'a arrêté le premier jour et m'a dit : 'Tu restes ici'." Traduction alex_j via FCInterNews.- 1 commentaire
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Massimo Moratti : "Skriniar irremplaçable ? Il est très fort mais..."
alex_j a posté un article dans F.C. Internazionale Milano
Massimo Moratti, aux micros de TMW, ne craint pas ses idées concernant l'Inter. L'Inter peut-elle encore revenir dans le match pour le Scudetto ? "Je ne pense pas parce que Napoli a beaucoup de points d'avance. Mais dans le football, on ne sait jamais. Jouer de cette manière permet certainement d'espérer plus facilement." Milan Skriniar quitte bientôt l'Inter ? "Je préfère ne pas répondre, c'est un sujet désagréable." L'Inter a-t-elle tout fait pour garder Skriniar ? "Il faut être à l'intérieur de l'entreprise pour comprendre, c'est difficile de juger de l'extérieur. Honnêtement, je ne pense pas que l'Inter bluffait, ils voulaient le garder… Peut-être qu'ils ne pensaient pas que le joueur avait cette volonté." Un joueur comme lui est-il remplaçable ? "Je pense que oui. Il est très fort, mais ce n'est pas Walter Samuel." Les étendards n'existent-ils plus comme Zanetti ? "Les personnages de joueurs existent. Totti est aussi toujours resté à la Roma, d'autres personnalités préfèrent choisir quelle cause défendre et donc changer d'équipe." L'Inter devrait-il également garder Lukaku la saison prochaine ? "Cela dépend de sa condition physique. S'il va bien, il est fort. Au lieu de ça, il a des difficultés. Cet aspect doit être compris." Etes-vous favorable à un éventuel échange entre Brozovic et Kessie ? "Pour moi, Brozovic est bon pour l'Inter. Il avait un rôle précis et le jouait toujours très bien. Il est fort, nous sommes toujours du bon côté avec lui." Traduction alex_j via FCInter1908.- 4 commentaires
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La jeune pépite albanaise de l'Inter, Kristjan Asllani, s’est livré au cours de l’émission "A coffee with..." sur son arrivée à l’Inter, mais aussi sur sa vie privée : "Mon film préféré est celui sur Totti." Quelle est la personnalité avec qui vous iriez au restaurant ? "Je choisirai Sneijder, je lui demanderai comment il fait pour frapper aussi bien les coups-francs !" Le super-pouvoir que vous aimeriez avoir ? "Inscrire des buts à chacun de mes tirs." Quelles sont vos qualités ? "L’une de mes qualités est d’être un bon gars, je suis quelqu’un d’humble. Ma qualité footballistique préférée est que je joue bien des deux pieds même si j’aimerai voler la qualité des coups de tête de nos défenseurs." Quel est le conseil le plus important que vous ayez reçu ? "Le conseil le plus important que j'ai reçu est de Francesco Pratali : Lorsque je suis arrivé ici, il m'a dit de rester moi-même, de rester le garçon que je suis." Qui vous a le plus aidé à votre arrivée à l'Inter ? "Danilo D’Ambrosio est celui qui m’a le plus aidé à mon arrivée : il s'est tout de suite intéressé à moi, il m'a même posé des questions sur ma vie privée, il m'a aidé dans tous les domaines, je le remercie. J'ai beaucoup sympathisé aussi avec Bellanova : Nous venons tous les deux d’intégrer une nouvelle équipe et même nous avons plus ou moins le même âge." Un conseil à donner ? "Lorsque cela se complique, je vais toujours droit dans le mille : Je dirais aux plus jeunes de continuer à rêver et de toujours y croire. Si tu as un objectif, tu pourras finalement y arriver en travaillant dur." Brave Petit! ®Antony Gilles – Internazionale.fr
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Giuseppe Marotta s’est livré ce vendredi 22 juillet 2022 à DAZN afin de justifier, entre autres, les non-recrutements de Paulo Dybala et Gleison Bremer: "Je m’attends à une saison agressive, riche de détermination, d’ambition, de courage, avec la volonté de conquérir de nouveaux titres et des places." L’Inter est-elle plus forte que les autres ? "C’est difficile à dire car tu es sur d’avoir composé une équipe solide, mais tu dois faire le compte aussi avec les autres équipes. C’est à la fin du mercato que l’on pourra faire certaines évaluations. L’Inter doit toujours jouer un rôle de protagoniste et elle se doit, en tant que telle, être nécessairement compétitive. Le retour de Lukaku ? "Avant tout, je tiens à profiter de l’occasion pour remercier mes collaborateurs Piero Ausilio et Dario Baccin : Ce retour de Lukaku est l’une des plus belles pages tant décriées du Monde du Football : C’est un joueur qui nous a quitté de façon imprévisible et qui a ensuite ressenti le besoin de revenir chez ses amis, dans ces murs, pour endosser ce glorieux maillot qui lui avait permis de gagner un Scudetto. Nous avons eu la chance d’être face à cette situation qui, par la coïncidence de certains facteurs, a fait que ce retour a pu se concrétiser : C’est quelque chose de très beau." L’avez-vous trouvé différent ? "Énormément, il est encore plus Leader qu’auparavant : Hier, je l’ai vu à l’entrainement et il a perdu un mini-match et était très râleur : Cela signifie qu’il est très attaché à son travail : Je suis content qu’il puisse faire partie de notre groupe." Dybala ? "On en a énormément parlé, je peux simplement vous dire que c’est un garçon sérieux, un grand professionnel, mais comme je l’ai dit récemment, nous étions et sommes toujours en nombre dans un secteur offensif très fourni. Il n'y avait pas de place, non pas parce qu'il n'était pas bon, mais parce qu'il n'y avait pas de besoin. Ensuite, tout a été instrumentalisé au risque de faire une mauvaise impression, mais ce n'est pas le cas : Aujourd'hui, l'Inter dispose d'un secteur offensif très précieux auquel nous tenons. Je vois bien Dybala à Rome, je pense que ça pourrait être le lieu idéal pour lui, où il pourra se sentir comme un leader. Je ne dis pas qu'il est l'héritier de Totti, mais c'est un joueur qui peut donner satisfaction aux spectateurs par son jeu. Je lui souhaite le meilleur." Bremer ? "Le mérite en revient à Ausilio, qui travaillait sur lui depuis des mois. Bremer est un grand joueur, alors évidemment nos contraintes liées aux équilibres économiques et financiers ne nous ont pas permis d'arriver à le conclure. Nous avons fait notre chemin, puis quand d’autres offres bien plus éloignées les nôtres arrivent, il est juste que le vendeur fasse son choix, ainsi que le joueur, qui a été un grand professionnel. En conséquence, c’est une opportunité qui a disparu. Nous avons l'obligation d'essayer des pistes qui mènent parfois à des conclusions négatives, cela fait partie du jeu. Il faut apprécier la persévérance avec laquelle nous avons poursuivi cette démarche". Skriniar ? "J’ai rencontré les Tifosi et nous en sommes sortis encore plus forts. J’ai vu une grande passion chez ses représentants, la Curva Nord. J’ai constaté, qu'eux comme des dizaines de milliers d'abonnés, ont cette fois-ci imposé un dogme envers nos couleurs, leur demande de clarification est largement compréhensible : Ce n'est absolument pas une protestation. J’ai dit que, d'une part, nous avons l'obligation de former une équipe compétitive et, d'autre part, nous avons également le devoir de rechercher un équilibre économico-financier." "Skriniar est un joueur très fort, : Il ne doit pas nécessairement être mis sur le Mercato, absolument pas. Nous avons eu des contacts dans les semaines précédentes et ensuite une demande, après quoi tout a été évalué, mais cela fait partie de ce que sont les dynamiques. Les Tifosi doivent rester calmes car l'équipe sera toujours compétitive, elle se doit de l'être, dans le respect de la confiance qu'ils nous ont accordée." "J'ai accepté cette confrontation avec mes collaborateurs, j'ai saisi cette grande passion : Les Tifosi Nerazzurre sont importants, comme nous avons pu le constater lors du dernier match contre la Sampdoria, avec cette vague d'affection qui représentait la juste union entre l'équipe et ses supporters ®Antony Gilles – Internazionale.fr
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Présent au Giuseppe Meazza, Paulo Dybala y a retrouvé Javier Zanetti à l’occasion de l’Integration Heroes Match et le moins que l’on puisse dire, c’est que le futur de la Joya se colore tout doucement de Bleu Royal La décla d’Il Capitano Dybala ? "Nous sommes amis, je le connais depuis qu’il a 16 ans, c’est un très grand joueur et une très grandissime personne. Nous n’avons pas encore parlé de son futur, il y a un temps pour tout. Piero Ausilio et Dario Baccin feront leur mieux pour renforcer encore notre équipe qui continuera à être compétitive : Ce sont deux grands professionnels, nous avons un bon groupe de travail, la saison a été positive car les promesses à l’aube de celles-ci étaient tout autres : Nous sommes sorti la tête de haute de la Ligue des Champions, nous avons donné tout ce que nous avions, et nous voulons continuer ce parcours de croissance qui passe par le travail de tous." La Joya au Meazza Un regard plus que malicieux! "Je suis content d’être ici, Eto’o est un Grand, je ne pouvais pas refuser." Zanetti? "J’ai parlé avec tout le monde, mais je voudrais que l’on parle plus de l’évènement que de ce qui m’entoure, cet événement est bien plus important." Totti me veut à la Roma ? "C’est un Grand aussi, une idole pour tout ceux qui aime le Calcio, ses paroles d’affections sont très belles et je les garde pour moi. Je suis serein, je pars demain pour retrouver mon équipe nationale, nous avons un beau match à disputer face à l’Italie et nous voulons continuer à gagner." L’Italie ou l’Etranger ? "Demain, je pars pour l’Espagne, pour retrouver mes équipiers et pour y passer de belles vacances en familles." Paris ? "Je ne sais pas, je ne sais pas encore quoi faire, je choisirai le meilleur pour moi." Les Tifosi s’y mettent Présent aussi au Meazza, certains Tifosi ont décidé de passer un petit message à la Joya: "Paulo, nous t'attendons, Amala " Enfin selon le Corriere Della Sera l’offre présentée et acceptée serait la suivante : "Un quadriennal de 6 millions d’euros plus bonus. L’officialisation aura lieu après la rupture des contrat d’Arturo Vidal et d’Alexis Sanchez, le premier ira à Flamengo, le second espère un club espagnol... Les deux chiliens recevront une prime de départ de 4 millions d’euros chacun !" ®Antony Gilles – Internazionale.fr
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DAZN : Alessandro Bastoni, irais-tu au Milan ?
Victor "Antony" Newman a posté un article dans Serie A
Alessandro Bastoni s’est livré à Dazn à quelques jours du Derby Della Madonnina: Comment as-tu vécu ton premier Derby ? "Je l’ai vécu de la maison avec mon père qui, par chance, est interiste, nous ne nous sommes donc jamais disputé. Un de mes frères est romaniste, un éternel amoureux de Totti, mais il n’y a jamais eu de vrai rivalité. L’autre déteste le football, il n’est venu qu’une seule fois me voir jouer, lorsque j’étais à l’Atalanta : Il n’a jamais mis les pieds au Meazza." Une image du Derby qui te vient immédiatement en tête "Très certainement la chevauchée de Zanetti quand il a sauté tout le monde pour finalement obtenir un corner. J’ai la chance de le connaitre comme Vice-Président et il me vient immédiatement à l’esprit." As-tu un rite pour le Derby ? "En vérité, j’ai la chance de vivre le Derby, mais aussi tous les autres matchs, avec sérénité, je cherche toujours à me concentrer et à penser à ce que je dois faire sur le terrain. Je crois d’ailleurs que ma force est de savoir gérer les situations." "Je n’ai pas de rituels particulier si ce n’est celui d’embrasser mes protège-tibias où il y a les photos de ma compagne et de mes frères. Mon tatoueur, qui est un grand Tifoso du Milan, me dit depuis un mois "Félicitations pour la victoire dans le derby". Le premier que j'ai joué était le Derby du 3-0, ensuite j'en ai connu d'autres sur le banc et c'est une émotion incroyable car cela s’est toujours bien passé. J’espère que nous l’emporterons, à nouveau samedi, avec quelques tifosi supplémentaire dans le stade." Que penses-tu du but au match aller de Çalhanoğlu ? Je m’en souviens comme si c’était hier, les sifflets me donnait un mal de tête, c’était vraiment une situation chaotique incroyable, c’était un moment de très grande tension car c’était un pénalty qui nous avait permis de débloquer le match ; J’espère que cela pourra se reproduire Irais-tu au Milan ? "Je dirais absolument non: Ensuite ce sont des choix individuels que prennent les joueurs, mais en ce qui me concerne, il n’y a même pas 0,1% de chance que je puisse faire un tel choix." En cas de penalty, a qui le confierais-tu ? "Je garde le ballon pour moi." Est-ce que le Derby est important pour le classement ? "Il est certainement fondamental de ne pas perdre des points contre les petites équipes, pour avoir une marge lors des confrontations directes. Il nous reste tout la phase retour et elle passera vite. L’année passée nous n’étions pas encore en tête, mais au final nous avions remporté le championnat avec dix points d’avance. C’est bien trop tôt pour émettre ce type de considération, l’important sera de ne pas perdre." Quelle est l’importance de ressentir la ferveur du public du Giuseppe Meazza ? "Il y avait la peur de n'avoir que 5.000 tifosi, qui dans un Stade comme celui du Giuseppe Meazza équivaut à stade vide vu que tout le monde est dispersé. Avec 50% d’affluence, c’est un bon avantage, nous espérons en tirer le meilleur parti. J’étais une fois présent au second anneau vert pour voir Inter-Roma, mais nous avions hélas perdu." "Avoir un stade de propriété serait un bel avantage car cela voudrait dire aux adversaires que ce n’est pas facile de venir dans la maison de l’Inter. Le Giuseppe Meazza est une icone incroyable, mais évoluer sur un terrain d’une telle qualité nous pénalise." ®Antony Gilles – Internazionale.fr- 4 commentaires
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11 avril 1998 l'Inter battit la Roma grâce à un flamboyant doublé de ronaldo Il Fenomeno. Reci de ce match. Avant le début de la saison 1997-1998 de la Serie A, Massimo Moratti a nommé Luigi Simoni au poste de manager dans l'espoir de mettre enfin un terme à la disette. L'équipe comptait également sur Ronaldo pour rester en bonne santé et mener l'équipe à un Scudetto. Pour renforcer leurs chances, l'équipe a ajouté Diego Simeone, Francesco Moriero et Alvaro Recoba lors du mercato estival. Terminant la campagne précédente à seulement deux victoires des champions Juventus, la saison a commencé avec de grands espoirs de la part des fidèles Nerazzurri. Pour la vingt-neuvième journée de la Serie A, l'Inter s'est rendue à Rome pour affronter l'équipe offensive de Zdenek Zeman, l'AS Roma, qui avait également des difficultés défensives. Les Romains n'avaient pas trouvé de cohérence, incapables d'enchaîner une série de victoires. Avant le match contre l'Inter, ils n'avaient remporté plus de deux matchs d'affilée qu'une seule fois toute la saison. Les Nerazzurri ayant déjà remporté une victoire totale 3-0 au Meazza à l'aller, les visiteurs ont eu le dessus dans le match. Le onze de départ de Zeman et de l'AS Roma était Michael Konsel, Cafu, Aldair, Fabio Petruzzi, Vincent Candela, Eusebio Di Francesco, Luigi Di Biagio, Damiano Tommasi, Paolo Sergio, Abel Balbo et Francesco Totti. Du côté des Nerazzurri, le onze fut Gianluca Pagliuca, Giuseppe Bergomi, Taribo West, Francesco Colonnese, Luigi Sartor, Javier Zanetti, Diego Simeone, Ze Elias, Benoit Cauet, Youri Djorkaeff et Ronaldo, (que du lourd, ndlr). En première mi-temps, la Roma semble bien contrôler le match. Ils ont conservé plus de possession et ont réussi plus de tirs au but que l'Inter. Le style offensif de Zeman causait des problèmes aux Nerazzurri alors que la jeune star Giallorossi, Francesco Totti, continuait à mettre le ballon sur l'aile gauche pour tenter de centrer ou de revenir à l'intérieur et de tirer. Pagliuca a connu une première mi-temps chargée mais a réussi à garder sa cage inviolée. De l'autre côté, l'Inter a joué strictement en contre-attaque laissant souvent Ronaldo isolé en pointe sans ballon. Zanetti a effectué un certain nombre de courses vers l'avant pour tenter de trouver Ronaldo, mais n'a pas pu le faire. La pression haute la Louve a rendu la vie difficile aux Nerazzurri et les a empêchés de conserver le ballon et de s'imposer dans le match. 0-0 à la mi-temps mais ce score n'est pas resté longtemps. Aux alentours de la 50e minute, Ronaldo a reçu une passe lobée contournant la ligne défensive de la Roma et a confortablement dribblé autour du gardien de but pour marquer le premier but du match. La Roma n'a pas tardé à égaliser vers la 63e, une erreur défensive de Giuseppe Bergomi a permis à Cafu de passer au but qui a facilement placé le ballon dans le coin inférieur gauche pour égaliser. Le match s'était brièvement ouvert pour les Nerazzurri alors que les Romains devaient s'engager plus pour égaliser, ce qui a permis à l'Inter de faire plus de contre-attaques. Cependant, avant de pouvoir capitaliser, le match était à égalité 1-1. Au fur et à mesure que le match avançait et que les défenseurs Giallorossi se fatiguaient, le rythme et les puissantes courses en avant de Ronaldo devenaient de plus en plus difficiles à défendre pour les défenseurs adverses alors que le dynamique Brésilien continuait de s'ouvrir et causait toutes sortes de problèmes à l'équipe locale. Vers la soixante-quinzième minute, Ronaldo a fait une course fulgurante devant les défenseurs et a de nouveau dribblé le gardien de but pour marquer son deuxième et but vainqueur du match pour les visiteurs pour faire basculer le match en faveur de l'Inter à 2-1. L'assaut romain s'est encore produit en fin de match mais les défenses de l'Inter et l'éclat de Pagliuca ont maintenu les Nerazzurri devant et l'Inter repart du Stadio Olimpico en tant que vainqueur 2-1. Traduction alex_j via sempreinter et connaissances personnelles.
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Marco Materazzi: "Simone, tu nous dois le Scudetto 2002!"
alex_j a posté un article dans F.C. Internazionale Milano
Marco Materazzi a plaisanté en disant que l'entraîneur entrant Simone Inzaghi nous doit toujours le Scudetto de 2002 dans une longue interview avec 7 Corriere sur Instagram, rapportée par FCInterNews.it , où il évoque les joueurs avec lesquels il aurait aimés jouer, la Coupe du Monde 2006 et le Triplete. Simone Inzaghi nous doit un Scudetto. "Tout le monde est sceptique à l'égard de Simone, mais en attendant, il nous doit le Scudetto du 5 Mai 2002. L'Inter a l'opportunité de rester au top, Simone a si bien fait que son travail est resté caché, mais il est l'un des meilleurs jeunes entraîneurs italiens, maintenant il doit faire le saut." Sur les joueurs avec lesquels il aurait aimés jouer. "L'Inter a eu la malchance de ne pas gagner ce qu'elle méritait, comme pour le Scudetto de 1998. Ils avaient Ronaldo, le plus fort de l'histoire, et nous aurions dû gagner encore plus avec lui. Je mourais d'envie d'avoir son maillot quand je lui ai fait face, de le retrouver. Lui faire face comme un autre joueur était une émotion incroyable. J'ai joué avec tous les meilleurs, mais Ronnie était le meilleur. Je regrette de ne pas avoir pu le convaincre de rester après 2002, mais il était fatigué. Quand il a quitté la Pinetina, il a dit qu'il resterait s'ils se débarrassaient de l'entraîneur Hector Cuper. Il serait également revenu chez nous l'année où il est allé à Milan, en 2007. J'aurais aimé jouer avec Lothar Matthaus et Karl Heinz Rummenigge, je me serais très bien entendu avec eux parce qu'ils ont du caractère. Nicola Berti aussi parce que c'est un fou comme moi, un vrai mec qui dit ce qu'il pense sans filtre. Nous sommes comme ça." Jose Mourinho et Antonio Conte. "Les mariages ont toujours besoin de deux personnes, logique. Mais je sais pertinemment qu'il serait revenu il y a deux ans. Ensuite, ils ont choisi Antonio Conte, qui en tant qu'ancien joueur de la Juventus a beaucoup fait pour l'Inter et doit être remercié pour cela. Quand il a dit: 'J'ai compris ce que voulait dire Inter', c'était le plus significatif. Il a créé un groupe solide. Je disais déjà en Décembre que l'Inter dépasserait le Milan et beaucoup se moquaient de moi, alors que j'avais raison parce que l'Inter a l'équipe la plus forte." Sur samuel Eto'o et Romelu Lukaku. "Eto'o est mon petit frère, je dois le remercier pour la vie car il nous a apporté le Triplete. Il savait le faire, il nous a permis de nous battre sur tous les fronts en termes de mentalité et cela a fait la différence. Lukaku est comme Vieri maintenant. Mais pas quand il est arrivé. Je ne pensais pas qu'il pouvait être le nouveau Vieri. Au lieu de cela, il s'est avéré être un leader et un buteur, il a fait de grands progrès grâce à Conte." A propos de Zlatan Ibrahimovic. "Quand il était à l'Inter, la relation était bonne, mais il a changé de cap. Sur le terrain, les choses se passent. Il pourrait éviter d'aller sur les réseaux sociaux pour évoquer le passé car cela n'a aucun sens. Il aurait pu l'éviter, je le respecte en tant que joueur et je le remercie pour ce qu'il m'a fait gagner quand il était avec nous et quand il est parti. Je le félicite car il fait la différence à 40 ans, chapeau à lui." A propos de Roberto Mancini. "Nous nous sommes disputés à plusieurs reprises, heureusement, nous étions toujours séparés et nous ne nous sommes jamais venus aux mains. Il a fallu très peu pour entrer dans ses grâces en remportant la Coupe du monde en 2006." Sur deux joueurs de l'AS Rome. "J'aurais aimé voir Francesco Totti à l'Inter, malheureusement cela n'est pas arrivé. C'était impossible. La même chose avec Daniele De Rossi. J'ai résisté à un transfert au Milan et je remercie ceux qui m'ont permis de rester, en l'occurrence Giacinto Facchetti. J'aurais laissé plus de fierté que de trahir le club, mais je ne pouvais pas dire non à Giacino et finalement rien ne s'est passé." La Coupe du monde 2006. "J'ai eu la chance de disputer la Coupe du monde grâce à la blessure d'Alessandro Nesta. Je préfère me souvenir de mes deux buts plutôt que du coup de tête de Zidane, qui nous a permis de gagner. Au final, c'était important de marquer des buts et surtout de marquer les penalties malgré la pression. Je félicite Zidane en tant que joueur et en tant qu'entraîneur, il s'est avéré être un numéro un." La victoire en Ligue des champions en 2010 comme un couronnement. "Javier Zanetti était tellement fiable que vous pouviez compter sur lui à chaque match. Il était toujours là dans les moments difficile, en tant que capitaine. Vous avez hâte d'embrasser la Ligue des champions, mais avant le match, vous ne devez pas toucher le trophée. Vous devriez l'enseigner dans les écoles de football." "Le Triplete était le couronnement d'un rêve de carrière car après la Coupe du monde, il ne me manquait que la Ligue des champions. Quand j'ai vu les différents titres dans les salons de Paolo Maldini et Lionel Messi, j'ai regardé ma femme et lui ai dit que je la voulais."- 4 commentaires
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Julio Cesar: "En 2012 je n'ai pas compris certaines choses"
gladis32 a posté un article dans Interviews
Invité par Casa Sky Sport, Julio Cesar n'a pu retenir ses émotions à la vue d'une vidéo d'une personne qu'il n'a pas côtoyé depuis de nombreuses années, Giulio Nuciari. Qui est-ce ? Il était l'entraineur des gardiens sous Roberto Mancini à l'arrivée de Julio, c'est devenu un personnage fondamental pour le brésilien : "Il a cru en moi dès mon arrivée à l'Inter. Je l'ai toujours fortement écouté et au cours des années où nous avons travaillé ensemble, il m'a fait comprendre ce que cela signifiait d'être gardien en Italie. Je suis dois beaucoup de ce que j'ai accompli." Sept saisons à défendre les cages du club, au cours desquelles Julio Cesar s'est imposé comme l'un des meilleurs gardiens de sa génération. Des arrêts décisifs au fil des ans, mais pour lui, il y en a qui surpasse tout : "Le plus important c'est définitivement celui contre Messi en demi-finale de Champions League. A chaque fois que je reviens, les tifosi me le rappellent toujours. Cette parade prend encore plus de valeur car c'est contre le meilleur joueur, le plus fort de tous. Est-ce que j'étais le meilleur à l'époque ? C'est difficile à établir, chacun à ses propres caractéristiques. Ce que je peux dire c'est que parfois je suis arrivé sur le terrain tellement déterminé que j'étais convaincu qu'en face ils n'allaient pas marquer contre moi." Une carrière extraordinaire, qui a commencé dans les premiers mois par ce lob plein de maitrise de la part de Totti : "Le plus beau but que j'ai pris, assurément. Je ne m'y attendais pas du tout. Et depuis ce jour, contre la Roma je suis toujours resté sur ma ligne." Mourinho & Mancini : "La spécialité du coach portugais était de faire croire à chacun que nous étions les meilleurs du monde. Nous avions l'impression que personne ne pouvait nous battre et à la fin de chaque réunion technique, nous avions une incroyable envie de rentrer sur le terrain. C'était un leader envers qui nous avions confiance. Je me souviens très bien du travail tactique de Mancini, en particulier en phase défensive. Pour moi c'était tout nouveau et avec lui j'ai compris à quel point ça pouvait être important. A l'époque à la fin de l'entrainement je restais et je demandais à Mihajlovic de tirer des pénaltys et des coups francs." L'adieu en 2012, pas de son ressort "Je serais resté à l'Inter jusqu'à la fin de ma carrière. Il s'est passé des choses que je n'ai pas comprises, mais j'ai toujours eu un grand respect pour le club et j'ai accepté la décision. Aujourd'hui j'ai d'excellentes relations avec les dirigeants actuels, que ça soit le président Zhang ou le vice-président Zanetti." Son top 5 des gardiens actuels "J'aime vraiment mes compatriotes Allison et Ederson, mais il y a aussi Oblak et Navas. Ce dernier est souvent sous-évalué mais c'est un grand gardien. Buffon joue maintenant peu mais pour nous qui avons commencé dans les cages, il reste une référence. Je ne peux oublier Handanovic même s'il n'a pas souvent joué en Ligue des Champions, je le considère comme l'un des cinq meilleurs gardiens au monde." ®gladis32 - internazionale.fr- 5 commentaires
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Moriero: "J'ai essayé de convaincre Totti de venir à l'Inter"
alex_j a posté un article dans Interviews
Dans une interview accordée à Nicolo Schira via Instagram, notre ancien ailier Francesco ‘Checco’ Moriero s’est exprimé sur une série de sujets liés à l’Inter, en commençant par comment il est arrivé chez nous à l’été 1997. "Fin mai, un mercredi soir, je suis allé dîner avec Derby County qui voulait m'emmener en Angleterre. Après la réunion, j'avais un rendez-vous le lendemain pour l'Angleterre afin de signer le contrat, mais pendant la nuit, j'ai reçu un appel de Galliani. Il me voulait à l'AC Milan alors je suis allé à Milan. J'ai passé l'examen médical et signé pour les Rossoneri. Je suis parti en vacances et quelques semaines plus tard, Sandro Mazzola m'a appelé pour aller à l'Inter. L'AC Milan voulait Andre Cruz, qui avait déjà un accord avec l'Inter, donc le Milan a proposé à l'Inter une liste de joueurs et Gigi Simoni m'a choisi. Du coup, je me suis retrouvé avec Ronaldo. Mais, pendant la première semaine, personne n'a rien compris, car j'étais partout dans les journaux avec les maillots du Milan et de l'Inter!" La célébration du cirage de chaussure. "Lors de mes débuts au Meazza, Recoba a renversé le match en marquant deux superbes buts. Je me suis mis à genoux, lui ai dit de mettre le pied dessus et j'ai poli sa chaussure. C'était un geste d'humilité et d'hommage envers la grandeur d'un coéquipier. Je n'ai pas beaucoup marqué, j'ai préféré construire des buts mais quand j'ai marqué, ils me l'ont fait aussi. J'ai forcé Diego Simeone à polir ma chaussure !" A propos de Baggio arrivant en 1998. "Je fus un petit cupidon et j'ai amené Roberto à l'Inter. J'étais dans sa chambre lors de la Coupe du Monde 1998 et je lui ai parlé de Ronaldo, Moratti et Simoni. J'en ai parlé jusqu'à ce qu'il accepte l'offre du président Moratti." A propos de Totti. "Je savais que Francesco avait des problèmes avec la Louve et j'ai longtemps essayé de le convaincre de venir à l'Inter. Il y a pensé. Mais finalement il aimait trop la Roma et il n'avait pas envie de partir." Sur Luigi Simoni. "C'était un super manager et un vrai gentleman. Il savait comment gérer et prendre soin de vous, c'était un homme loyal qui vous disait tout en face. Ce fut l'une de ses plus grandes forces. Après qu'il fut limogé, nous sommes tous allés voir la direction du club pour essayer de les faire changer d'avis, mais nous n'avons rien pu faire. Des années plus tard, je pense que Moratti regrettait de l'avoir renvoyé." La victoire en C3 en 1998. "Nous nous sentions très forts, nous étions sûrs de gagner. Nous nous sommes heurtés à une Lazio très forte mais ce ne fut pas un match. Nous avons gagné 3-0 et nous avons célébré toute la nuit." Lippi comme manager. "Il y avait Ronaldo, Baggio, Zamorano, Recoba et Bobo Vieri. Je pense que c'était une des attaques les plus fortes de tous les temps. C'est vraiment dommage qu'en raison de blessures et de problèmes divers, ils n'aient pu jouer autant ensemble sinon nous aurions beaucoup gagné. Avec Lippi, tout a bien commencé et après avoir perdu le derby, il a décidé de ne plus me faire jouer. Je ne faisais plus parti de ses plans, j'ai donc accepté de partir au Napoli (en 2000, ndlr)." A propos de Massimo Moratti. "C'est une personne fantastique. Nous avons toujours voulu gagner spécialement pour lui. Il nous appelait tous les lundis pour commenter le match. Le samedi, il venait à Appiano pour nous stimuler. Il nous a toujours tenu des discours incroyables pour nous pousser à gagner à l'exception du derby car il considérait le match contre le Milan comme le plus facile." Au tour de Taribo West. "Taribo était un fou fou et avait toutes sortes de couleurs dans ses cheveux. Avant chaque match, il bénissait Ronaldo. Je me souviens d'un lundi où il s'est battu avec Lippi devant tout le monde et a dit que Dieu lui avait dit qu'il devait jouer pour l'Inter et Lippi a répondu que Dieu ne lui avait rien dit (West est maintenant pasteur, ndlr)." Coach à l'Inter ? "J'adore travailler avec des jeunes et j'aimerais bien, je ne le nierai même pas. Ce serait merveilleux de travailler côte à côte avec Antonio Conte." Rédigé par Alex_j - Internazionale.fr- 4 commentaires
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L'ex capitaine de la Roma a parlé de son rapport avec l'ancien de l'Inter, qui l'a entraîné par deux fois dans le passé. La première, leur relation était très belle, lors de leur seconde expérience en giallorosso, cependant, tout est allé de travers : "Le premier Spalletti et le second étaient deux personnages différents. Le premier était top, comme un second père. Il était 24h/24 avec les joueurs. La deuxième fois à la Roma par contre... Il avait ses raisons. Il a dû entendre des trucs que certaines personnes ont dit, je ne sais pas. Je ne dis pas qu'il voulait me mettre les bâtons dans les roues, mais il y a quelque chose qui est allé de travers. D'une manière que ni moi, ni personne n'aurait voulu.J'ai toujours voulu garder la tête haute et faire de mon mieux malgré cette difficulté". ®Samus - internazionale.fr
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