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Au vu du match entre ses deux anciennes et uniques équipes, l'Inter et la Sampdoria, le nouvel intronisé au Hall of Fame Ivano Bordon parle de lui dans un long entretien accordé à SportWeek, l'encart hebdomadaire de la Gazzetta dello Sport. Une enquête auprès des fans interisti du monde entier a inclus Bordon dans le Hall of Fame des meilleurs de tous les temps, avec Walter Zenga, Francesco Toldo, Gianluca Pagliuca et Julio Cesar. "Oui, c'est bien. Cela veut dire que j'ai laissé de bons souvenirs, à Milan et à Gênes. Le football a été ma vie. J'ai beaucoup donné, j'ai eu beaucoup et j'ai encore des réflexes." Dix-huit championnats de Serie A avec uniquement l'Inter et la Sampdoria. Seulement deux équipes et un début prédestiné. Dans le derby contre le Milan. "Eh bien, en bref, ce n'était pas un grand début. J'avais dix-neuf ans, je suis entré en deuxième mi-temps à la place de Lido Vieri, mon professeur, avec un 1-0 pour eux. J'en ai pris deux autres, mais ensuite nous avons gagné le Scudetto. Après le derby, Heriberto Herrera a été limogé et Giovanni Invernizzi est arrivé. Je n'ai disputé que neuf matchs mais j'étais sur le terrain à Catane le jour où nous avons dépassé Milan." Heriberto paraguayen. Un entraîneur dont on parle beaucoup. De quel genre était-il ? "Particulier, disons-le. Fanatique des régimes, il contrôlait de manière obsessionnelle la vie des joueurs. Il nous appelait de chez lui le soir, voulait savoir où nous étions, ce que nous faisions. Je partageais l'appartement avec Mauro Bellugi. Heriberto a appelé et a demandé : ‘Tout va bien ? Êtes-vous chez vous ? Pouvez vous me passer Mauro s’il vous plait ?’. J'ai répondu : ‘Monsieur, Mauro est descendu pour sortir les ordures’. Ce n'était pas vrai. Et Heriberto a alors dit : ‘Bon, s'il n'est pas là, une amende’. Puis il s'est opposé aux sénateurs de la Grande Inter, laissant Jair et Bedin hors de l'équipe. Ils l'ont renvoyé et ont promu Invernizzi : nous sommes devenus champions d'Italie." Premier championnat. La seconde avec Eugenio Bersellini. Ils l'appelaient le sergent. Comment c'était ? "J'ai de très bons souvenirs, il m'a donné confiance et grâce à lui j'ai été admis en équipe nationale. Un grand pédagogue, dur, peu de mots, mais clair et honnête. Il ne regardait personne en face. Travail, rapide et même à table, on perd pas de temps et on mange vite. Dix minutes et c'est tout. Mon record est de huit minutes. Il était très rapide, après chaque plat il mangeait une pomme. Mais il nous a appris le sens du groupe et du football. Et de la vie aussi." Est-ce vrai qu'il vous a toujours dit : "Vous les joueurs, vous êtes des privilégiés. Les ouvriers travaillent dur, les agriculteurs travaillent dur..." ? "Oui. Il venait de la région de Parme, du Val di Taro et il nous a parlé de son enfance. Une fois, en plein hiver, nous étions en retraite à Appiano et le chauffage est tombé en panne. Nous lui avons dit : ‘Monsieur, il fait un froid glacial, on va dormir à la maison.’ Il fait une grimace que je ne vous dis pas : ‘Quoi ? Vous êtes des joueurs avec beaucoup d'avantages et de bénéfices. Avez-vous vu le film L'Arbre de sabots? Eh bien, regardez-le et essayez de penser à ce qu'ils diraient ces paysans. Pensez à leurs difficultés et à leurs sacrifices pour nourrir leurs pauvres enfants. Aucune mention de cela, une couverture supplémentaire et bonsoir.’ " Puis Bersellini le retrouve à la Sampdoria… "C'était sympa. C'était une bonne équipe, fun, pleine de gars formidables. Vierchood, Vialli et Mancini. Puis mon vieil ami Scanziani et les étrangers Francis et Souness. On a gagné la Coppa Italia en battant Milan en finale." Samp-Inter au programme ce Lundi. Vous souvenez-vous de la première fois où vous avez rencontré la Sampdoria ? "Oui, je me souviens de tout, ou presque. Je suis un collectionneur, même de souvenirs. J'ai conservé des almanachs, des coupures de journaux, des autocollants, des billets. A San Siro dans la saison 1971-72, un jeu fou : 4- 4. Trois buts de Boninsegna puis de Corso. Savez-vous qui a marqué pour la Sampdoria ? Marcello Lippi. Cette année-là, il n'a marqué qu'un seul but, contre moi. Puis il est devenu l'un de mes meilleurs amis." Et la dernière fois que vous avez rencontré l'Inter avec un maillot de la Sampdoria ? "Une chose belle et un peu triste. Belle parce que les équipes de ma vie étaient dans le dernier match de 1985-86, 0-0. Triste parce que c'était ma dernière en Serie A. Incroyable, hein ? Quoi qu'il en soit, c'était un doux au revoir. L'entraîneur de la Sampdoria, c'était justement Bersellini, celui qui m'avait relancé. Sur le banc de l'Inter, il y avait Mario Corso, un coéquipier extraordinaire et aventurier, dont le fameux match contre le Borussia Mönchengladbach." Combien de fois avez-vous raconté l'histoire de la canette touchant Boninsegna, l'Inter perdant 7-1, le match rejoué et... "Et j'arrête un penalty, on fait 0-0 et on se qualifie pour les quarts de finale. En 1971, à Berlin, carrefour de mon histoire footballistique. Là, 35 ans plus tard, j'ai remporté ma deuxième Coupe du monde avec l'équipe nationale. J'étais l'entraîneur des gardiens, le grand Buffon. Quelle joie..." Des satisfactions footballistiques ? "Difficile de choisir. Peut-être quand Italo Allodi m'a appelé à l'Inter." Et sur les terrains ? "Le premier scudetto avec l'Inter, avec Invernizzi. Le deuxième, celui de 1979-80, je me sens plus moi-même. J'étais un joueur régulier et mature. Nous étions huit dans cette équipe qui a grandi dans l'équipe des jeunes : moi, Oriali, Bini, Canuti, Baresi, Ambu, Muraro et Pancheri. Plus Occhipinti qui a disputé le dernier match. Puis les merveilleux moments de la Sampdoria de Mantovani. Les victoires, les triomphes, cinq championnats avec la Juve. Évidemment les deux Coupes du monde. Ou plutôt trois, parce que, j'aime bien me souvenir, j'ai aussi gagné le militaire, au Congo en 1973. Il y avait Oriali, Furino, Graziani, Zecchini, Speggiorin, Bittolo, Ammoniaci. De belles compagnies, partout. Mais j'ai eu de la chance, dans ma longue carrière, j'ai rencontré des gens, j'ai établi des records, j'ai remporté des défis. Dans et hors des buts. Maintenant, je regarde les autres, parfois au stade, souvent à la télévision." Et que voyez-vous ? "Un nouveau football. Tout a changé : la vitesse, les méthodes, les schémas, les règles, les managers, les joueurs. Il y a encore de bons, d'excellents gardiens. Donnarumma est l'avenir de l'équipe nationale. L'Inter a Onana, fort et réactif. Milan a Maignan. L'année dernière, ils ont très bien fait, voyons comment ils se rétablissent. J'aime Meret, je suis Carnesecchi avec intérêt. Ce que j'ai du mal à comprendre, ce sont leurs relance de derrière. Souvent frénétiques et dangereux. J'en ai vu des statistiques vraiment surprenantes : maintenant, dans un match, un gardien touche plus de ballons qu'un milieu de terrain. Un tout autre monde. Et bien…" Traduction nostalgique alex_j via FCInterNews et FCInter1908.
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Les Nerazzurri toujours protagonistes des événements mondiaux : des deux titres de Meazza à aux finales où il y a toujours un joueur de l'Inter sur le terrain. Voici le rapport de FCInter1908 qui a tout répertorié et nous dit tout. Inter et Coupe du Monde : tout commence en 1934 Championnat interrompu avec la Coupe du monde qui a commencé hier. Un sentiment que nous associons habituellement à l'été, aux rêves de gloire colorée de bleu. Mais ce n'est pas l'été, il n'y a pas d'Italie et pourtant la Coupe du monde a commencé. Qatar 2022, la première édition en automne, la première à scinder la saison interclubs en deux. Ils sont six joueurs Nerazzurri prêts à concrétiser leur rêve nourri depuis de leur enfance, celui de soulever la coupe. Il s'agit de Lautaro Martinez avec l'Argentine, Denzel Dumfries et Stefan De Vrij avec la Hollande, Marcelo Brozovic avec la Croatie, André Onana avec le Cameroun, Romelu Lukaku avec la Belgique. Interisti et Coupe du monde est une histoire qui commence en 1934 qui est pleine d'anecdotes et d'épisodes clés. Il y a des champions du monde, il y a des buteurs en finale, il y a des records invaincus, des statistiques uniques. Celle du Qatar est la 22e édition de la Coupe du monde. La première, en 1930, comportait 13 équipes nationales mais pas l'Italie. Aucun Nerazzurri n'a participé à cette première édition historique. Depuis lors, les nerazzurri ont souvent laissé leur emprunte en commençant par les éditions de 1934 et 1938, remportées par l'Italie avec la contribution de plusieurs Interisti, Giuseppe Meazza en particulier. Ici, l'appel d'Allemandi, Castellazzi, Demaria et Meazza, en 1934 par Vittorio Pozzo est le premier appel des joueurs de l'Inter pour la Coupe du Monde. L'Italie soulève la Coupe Rimet en 1934 et la conserve en 1938. En 1938, Giovanni Ferrari, Pietro Ferraris, Ugo Locatelli et Renato Olmi sont appelés en plus de Meazza. Il y a donc 8 champions du monde Nerazzurri, avec Meazza qui en tant que capitaine soulève le trophée en France. Le meilleur buteur de l'histoire de l'Inter est le seul Nerazzurri à avoir remporté deux titres mondiaux. 104 Interisti à la Coupe du Monde Les huit Azzurri précités font partie des 104 joueurs qui, tout au long de l'histoire, ont été convoqués pour la Coupe du monde. Une très longue liste dans laquelle se distingue Beppe Bergomi, capable de disputer quatre éditions de la Coupe du monde entre 1982 et 1998. Lothar Matthäus compte bien cinq éditions, mais une seule lorsqu'il portait le maillot de l'Inter, celle de 1990. Pour celles de 1950 et 1954, seuls les joueurs italiens étaient appelés. En 1958, l'Inter n'avait qu'un seul représentant à la Coupe du monde, Lennart Skoglund avec la Suède, l’Italie n’y participant pas. Il y a 24 nations représentées dans l'histoire par les Interisti à la Coupe du Monde : Italie, Suède, Espagne, Angleterre, Autriche, Allemagne, Hollande, Brésil, Chili, France, Nigeria, Argentine, Uruguay, Turquie, Portugal, Croatie, Serbie, Slovénie, Ghana, Cameroun, Colombie, Japon, Algérie, Belgique. L'édition qui a vu le plus de Nerazzurri participer à la Coupe du monde est celle de 2002. 13 joueurs de l'Inter ont été appelés : Toldo, Materazzi, C. Zanetti, Di Biagio, Vieri (Italie) ; J. Zanetti (Argentine); Simic (Croatie); Okan, Emre (Turquie); Conceiçao (Portugal); Recoba, Sorondo (Uruguay); Ronaldo (Brésil). Les interisties champions du monde Il y a 19 joueurs interisti qui ont remporté la Coupe du monde. Au niveau des clubs, les nerazzurri occupent la troisième place en terme de champions du monde, derrière la Juventus et le Bayern Munich. Les 19 champions Nerazzurri sont : Meazza (1934-1938) ; Allemandi, Castellazzi, Demaria (1934); Ferrari, Ferraris, Locatelli, Olmi (1938); Bergomi, Marini, Bordon, Oriali, Altobelli (1982); Matthäus, Klinsmann, Brehme (1990); Djorkaeff (1998); Ronaldo (2002); Materazzi (2006). En 1982, l'Italie a remporté sa troisième Coupe du monde avec cinq joueurs Nerazzurri dans l'équipe, comme cela s'est produit en 1938. Lors de cette édition, Bordon était le seul joueur de l'Inter à ne pas entrer sur le terrain. Les Interisti buteurs en finale Sur 19 Interisti champions du monde, 7 ont marqué en finale de Coupe du monde. Quatre d'entre eux soulevant alors le trophée, trois avec la déception de la défaite. En 1970, premier but des Nerazzurri en finale : l'égalisation de Boninsegna contre le Brésil, avant la domination auri-verde. En 1982, sous les yeux du président de la République, Alessandro Altobelli fait hurler à Pertini la fameuse phrase "ils ne nous prendront plus" en inscrivant le 3-0 contre l'Allemagne, lors de la finale au Bernabeu qui se termine 3-1. Pour l'Italie de Bearzot, un triomphe sous le signe de Paolo Rossi, avec cinq champions Nerazzurri, dont un tout jeune Bergomi qui a touché le dernier ballon de ce bienheureux Mundial. En 1986, le but de Rummenigge en finale au Mexique, que l'Allemagne perd contre l'Argentine. Quatre ans plus tard, lors de Italia 90, la revanche allemande avec les trois Nerazzurri sur le terrain : Brehme, Matthäus et Klinsmann. Une finale nettement Nerazzurri avec Andy Brehme vainqueur du match marquant sur penalty (pied droit alors que c'est un gaucher) à la 81e minute au stade Olimpico de Rome. Un penalty que Matthäus n'a pas tiré, en raison d'un problème avec une de ses chaussures. En 2002, un autre nerazzurri sur le toit du monde : Ronaldo, après la déception de 1998, remporte la Coupe du monde en inscrivant un doublé en finale contre l'Allemagne, exhibant une coupe de cheveux étrange et légendaire. En 2006, Marco Materazzi était la vedette. Il a égalisé en finale contre la France, a subi un coup de tête de Zidane entraînant un carton rouge pour le Français, a marqué l'un des cinq penaltys de la série finale qui a donné aux Azzurri leur quatrième mondial Titre. La liste des attaquants Nerazzurri en finale de la Coupe du monde s'étend jusqu'en 2018 quand Ivan Perisic marque un beau but à Moscou contre la France en finale, la Croatie s'inclinant 4-2. Toujours un interiste en finale depuis 1982 Lothar Matthäus détient le record d'apparitions en Coupe du monde avec 25 matches. Walter Zenga est l'invaincu : 518 minutes en Italie 90, de la première minute du premier match à la 68' de la demi-finale, où il a été battu par la tête de Caniggia. Parmi les meilleurs buteurs on retrouve Ronaldo en 2002 (8 buts) et Wesley Sneijder (5 buts) en 2010. Mais le fait le plus incroyable est que depuis 1982, il y a toujours eu au moins un joueur Nerazzurri sur le terrain lors des finales de la Coupe du monde. Voici la liste : 1982 : Bergomi, Altobelli (but), Oriali 1986 : Rummenigge (but) 1990 : Brehme (but), Matthäus, Klinsmann 1994 : Berti 1998 : Ronaldo, Djorkaeff 2002 : Ronaldo (2 buts) 2006 : Materazzi (but) 2010 : Sneijder 2014 : Palacio 2018 : Brozovic, Perisic (buts) Traduction alex_j via FCInter1908
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Federico Dimarco : Le Fils de la Curva Nord
Victor "Antony" Newman a posté un article dans F.C. Internazionale Milano
Federico Dimarco traverse une très belle période, lui, qui après s’être mis en évidence et avoir marqué en équipe nationale, après avoir marqué face à la Roma, a été finalement l’un des grands artisans de la victoire face au Fc Barcelone Analyse de la Gazzetta Dello Sport "Federico Dimarco est l’un de ceux qui y est parvenu : Un milanais qui a grandi avec l’Inter dans le cœur et le Nerazzurro dans ses veines, lui qui, âgé de trois ans allait déjà dans les bras de son Père dans la Curva, lui qui a neuf ans faisait déjà chanter le ballon avec son pied gauche, un pied gauche qui avec le temps est devenu toujours plus puissant et précis. Peu de personnes doutaient de lui lorsqu’il faisait partie du vivier Nerazzurro : Il deviendra un grand joueur, il arrivera en Serie A et il fera parler de lui." "Simone Inzaghi est d’ailleurs le premier entraineur de l'Inter a lui avoir donné la confiance nécessaire pour s’imposer : S’en est fini de faire des apparitions, Dimarco sous Inzaghi, est devenu une valeur ajoutée et avec le travail, l’abnégation et sa faim, il a atteint un nouveau palier : C’est lui le patron de l’aile gauche laissée orpheline par Ivan Perisic. Et tout ceci est le fruit d’un long parcours qui l’a vu et contraint d’abandonner son confort à la Maison pour grandir en s’éloignant, en passant par Parme et Vérone où la pression était différente." "A présent, Gosens n’est plus sur ses talons car Federico a ce petit plus : Et ce n’est pas uniquement l’Interisme car la Foi footballistique compte jusqu’à un certain point, mais c’est la qualité. Une qualité qui est le fruit d’un travail, de tant de sacrifices qui ont finalement mis en avant le Fils de la Curva Nord." Encensé par Giuseppe Bergomi qui s’est livré à la Rosea Bergomi, qu’est-ce que cela veut dire lorsque l’on grandi à l’Inter et que l’on parvient à s’imposer chez les Grands ? "Ce sont des sensations extraordinaires : Tu regardes derrière toi et tu te félicites du parcours réalisé, des sacrifices qui t’ont porté jusque-là. Pour réussir, tu te dois de franchir énormément de difficultés car rien ne t’est offert." Vous rappelez-vous de vos propres émotions ? "Pour moi, c’était un rêve, mais c’était une autre époque : Je suis arrivé en équipe première et il y avait d’autres garçons qui étaient sortis du vivier comme Bordon, Oriali, Beppe Baresi, Canuti. : Le sens d’appartenance était inné. Et lorsque je suis devenu ensuite le Capitaine, j’ai en tout premier lieu essayé de faire comprendre à tous les nouveaux venus ce que voulait dire "Endosser le maillot de l’Inter"." Quel part du parcours de Dimarco, peut-on retrouver dans son ascension ? "Il y en a énormément, tellement : Le sens d’appartenant et l’Adn de l’Inter sont innés en lui, ce ne sont pas des choses qui s’apprennent, ni qui s’entrainent: Grandir dans le Secteur Jeunesse d’un club comme l’Inter, pour un milanais mais aussi pour un Lombard a beaucoup de significations : Tu apprends depuis ta plus tendre enfance ce qu’est le poids de ce maillot, l’Histoire du club, la responsabilité qui incombe lorsque tu es un joueur Nerazzurro." "Ce qui m’impressionne le plus chez Dimarco c’est sa grande personnalité : Le Giuseppe Meazza est un stade exigeant, dans les moments difficiles, il te met sous pression et lui n’en a que faire, il ne s’effondre pas mais il se magnifie." Voyez-vous dans son regard, ce petit quelque chose en plus, comparé aux autres ? "Federico incarne tout ce qui fait l’état d’esprit Nerazzurro, et comme je l’ai dit, il ne se laisse jamais briser par la pression : Il joue toujours le jeu, il se donne, il frappe. Et même, j’aime son caractère : C’est quelqu’un de généreux, il donne tout sur le terrain et je le vois aussi lorsqu’il vient du banc et qu’il secoue l’équipe et tout l’environnement : S’il se plante, il ne s’effondre pas mentalement mais il continue sa progression." "En ce moment, Dimarco est le joueur avec la meilleure personnalité dans l’équipe : Il y met son cœur et ses jambes font tout le reste." ®Antony Gilles – Internazionale.fr- 2 commentaires
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Quel rôle pour Riccardo Ferri ?
Victor "Antony" Newman a posté un article dans F.C. Internazionale Milano
Giuseppe Marotta a défini un rôle très clair pour le tout nouveau "First Manager" de l’équipe première, Riccardo Ferri, pour la prochaine saison. Selon Tuttosport: "L’ancien défenseur des Nerazzurri aura la tâche de représenter le club lors des entraînements quotidiens auprès des joueurs et des coachs, mais aussi d’aider le coach principal Simone Inzaghi. Ferri a été identifié comme le parfait candidat pour ce rôle bien précis déjà l’été dernier, mais a seulement pris ces fonctions officielles en ce début de semaine." "Concrètement l’ancien défenseur tiendra un poste similaire à celui de Gabriele Oriali, qui a travaillé aux côtés d’Antonio Conte pendant deux saisons, offrant à l’Inter son 19ème Scudetto, avant de quitter le club l’été dernier. Oriali a grandement aidé Conte dans les tâches quotidiennes, notamment sur les terrains d’entrainement ; et a surtout joué le rôle précieux d’intermédiaire entre le coach, les joueurs, et les intérêts du club." "Ferri est prêt à endosser cette fonction, avec le soutien de Marotta et Ausilio, qui sont convaincus qu’il est la bonne personne pour représenter au quotidien le club aux côtés d’Inzaghi." D’après vous, était-ce le maillon qui nous a manqué lors de cette dernière saison ? ®QG1989 – Internazionale.fr- 5 commentaires
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Ce Derby d’Italie sera le 178ème en Serie A depuis la saison 1929/1930 et le bilan est largement à l’avantage des turinois Victoires de la Juve : 85 Matchs Nul : 45 Victoires de l’Inter : 47 En déplacement à Turin, l’Inter a remporté 10 matchs dont une victoire, déjà sur tapis vert, en 1983: A l’époque, le match s’était soldé par un 3-3, mais la victoire sur tapis vert fut actées suite à des agressions. Comme le révèle Calciomercato.com, c'était le premier mai et peut-être le plus beau derby italien jamais disputé au Stadio Comunale de Turin. Cette saison-là, la Roma de Liedohlm allait remporter le Scudetto. De leurs côtés, l'Inter et la Juventus se disputaient la deuxième place, la Juventus devant bientôt disputer la finale de la Coupe des Champions à Athènes contre Hambourg, qu'elle a perdue, pour ne pas changer Le match a malheureusement mal commencé, dans le sens où un groupe de supporters idiots de la Juventus a accueilli l'arrivée du bus de l'Inter en lançant des pierres, dont quelques-unes ont brisé les vitres et blessé Giampiero Marini et aussi Oriali. Le premier a fini à l'hôpital pour des examens, le second fut blessé superficiellement. Peu avant le début du match, le rapport médical est arrivé, rassurant tout le monde, mais Rino Marchesi ne pourra pas aligner Marini, alors qu'Oriali disputera la rencontre Con un jour, Con toujours! ®Antony Gilles – Internazionale.fr
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Tous les milieux de terrain ont une chance d'être intronisés au Hall of Fame 2021. Les votes affluent alors que les fans de Nerazzurri décident des quatre prochaines entrées au HoF. C'est la quatrième édition des intronisations et voyons qui rejoindra les 12 qui y siègent actuellement. Un joueur par poste est à choisir dans cette édition, et après avoir déjà dévoilé les candidats gardiens et défenseurs, il est maintenant temps de parler des milieux de terrain. Il y a 57 joueurs qui peuvent suivre les traces d'Esteban Cambiasso, le dernier milieu de terrain intronisé. Nous avons ici une série de noms qui ont énormément contribué à l'histoire du club: des légendes de la Grand Inter comme Mario Corso, Luis Suarez et Sandro Mazzola, d'autres personnages historiques comme Gabriele Oriali, Evariso Beccalossi et Nicola Berti, ainsi que des héros des temps modernes comme Wesley Sneijder. Les premières années jusqu'à la Seconde Guerre mondiale Parmi les stars des premières années de l'Inter figurent des joueurs qui ont non seulement triomphé avec leur club, mais ont également joué un rôle dans les deux premières victoires de l'Italie en Coupe du monde dans les années 1930. Giovanni Ferrari entre dans cette catégorie, il a remporté les éditions 1934 et 1938. Virgilio Fossati était une autre figure mémorable, qui est devenu le premier joueur de l'Inter à représenter l'Italie. Armando Castellazzi a réussi à la fois en tant que joueur et en tant qu'entraîneur des Nerazzurri, tandis qu'Attilio Demaria a joué dans la Coupe du monde 1934. Les autres joueurs de cette époque qui les rejoignent en tant que candidats au HoF sont: Emilio Agradi, Antonio Blasevich, Enrico Candiani, Aldo Cevenini I, Osvaldo Fattori, Renato Olmi, Enrico Rivolta, Paolo Schleider, Pietro Serantoni et Giuseppe Viani. Après la guerre Lennart 'Nacka' Skoglund est le nom le plus connu du milieu de terrain de l'Inter dans les années 1950. Le Suédois, qui pourrait être décrit comme un génie téméraire, a joué un rôle dans deux triomphes des Nerazzurri Scudetto. Enea Masiero, Bruno Mazza, Maino Neri et Fulvio Nesti sont d'autres figures marquantes de cette période. L'ère de la Grand Inter L'Inter de Helenio Herrera est entrée dans les annales de l'histoire du football. Les personnages clés de son équipe étaient Gianfranco Bedin, Mario Corso, le vainqueur du Ballon d'Or Luis Suarez et Sandro Mazzola. Ce dernier, un milieu de terrain offensif talentueux et polyvalent, a joué 565 fois pour le club, remportant une litanie de trophées et terminant deuxième derrière Johan Cruyff lors du vote du Ballon d'Or 1971. Les Nerazzurri dans les années 1970 et 1980 Salvatore Bagni, Evaristo Beccalossi, Domenico Caso, Gabriele Oriali, Gianpiero Marini (qui a ensuite entraîné l'Inter jusqu'au succès de la Coupe UEFA en 1994), Giancarlo Pasinato, Giuseppe Pavone, Herbert Prohaska et Alessandro Scanziani sont les meilleurs joueurs de cette époque, soit en faisant au moins 60 apparitions pour le club ou remporter un trophée dans l'une ou les deux décennies. L'Inter des années 1990 Lothar Matthaus étant déjà entré au HoF lors de sa première édition de vote, Nicola Berti est un candidat solide pour être intronisé en 2021. Pourtant, il a de la concurrence de cette époque sous la forme de: Alessandro Bianchi, Enrico Cucchi, Pietro Fanna, Gianfranco Matteoli, Benoit Cauet, Youri Djorkaeff, Davide Fontolan, Wim Jonk, Antonio Manicone, Francesco Moriero, Angelo Orlando, Igor Shalimov, Diego Simeone et Aaron Winter. Succès avec Mancini et le triplé Enfin, nous avons plusieurs noms d'équipes de l'Inter du 21e siècle qui ont de bonnes chances de faire partie du HoF. Parmi eux se trouvent les vainqueurs du Scudetto et de la Coppa Italia sous Roberto Mancini et ceux qui ont mené les Nerazzurri au triplé en 2010. Voici les joueurs en lice pour l'intronisation: Luis Figo, Kily Gonzalez, Thiago Motta, Wesley Sneijder, Santiago Solari, Patrick Vieira et Cristiano Zanetti. Traduction alex_j via le site officiel.
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Giuseppe Marotta s’est livré à cœur ouvert sur le parcours de sa carrière et sur son avenir, avec et sans, l’Inter au Festival du Sport La victoire du Scudetto "Le 2 mai, nous l’avions mathématiquement remporté. Lorsque j’ai entrepris cette aventure, l’objectif était de ramener la Coupe à la maison. C’était une libération après tant de difficultés." Le moment clé du championnat remporté "Contre la Juve, nous avions compris que nous serions protagoniste : Nous étions le chasseur, puis le lièvre, et nous avions pris conscience que nous pourrions aller très loin." Le Championnat et la Ligue des Champions "La différence entre la Serie A et la Ligue des champions est que le second doit être un tournoi où tu es dans les meilleures conditions : Les victoires en Ligue des Champions ne sont pas toujours celles des équipes les plus forte, tandis qu’en Championnat, c’est l’équipe la plus forte qui le gagne. Le Giro n’est pas Milan-Sanremo. Le jour de notre élimination, il y avait tant d’amertume, mais nous l’avons concentré sur l’objectif Scudetto." Les difficultés financières et le départ d’Antonio Conte "La décision finale est le fruit des échanges des jours précédents. On n’entrevoyait plus un parcours commun, mais cela fait partie du sport et de la vie : Si une personne décide d’interrompre tout rapport, il est important de respecter sa décision et de regarder devant soi avec optimisme. Dirigeants, joueurs, entraîneurs passent, mais le club reste. Nous avions besoin d’aller de l’avant en ayant, ici, la conscience d’être un grand club et nos professionnels ont remporté le Scudetto avec un très grand mérite." Le choix de Simone Inzaghi "La décision de Conte n’était pas si prévisible, celle nous a un peu surpris et nous avions dû agir rapidement en définissant le meilleur profil . J’ai décidé de miser sur un entraîneur jeune qui avait déjà derrière lui un parcours important: Il était en pleine négociation avec la Lazio et l’opportunité s’est présentée : En lui soumettant notre projet et son sérieux, il nous a immédiatement suivi, et nous sommes reparti de là. Nous venions de recruter un entraîneur capable de se calquer sur le dispositif tactique de Conte, afin de ne pas devoir le modifier, même s’il y allait y avoir d'autres changements." Le malaise d’Eriksen "C’était un moment dramatique pour une personne que je connaissais et qui risquait de mourir, là aussi les informations nous sont parvenues rapidement. Le Professeur Volpi s’était mis immédiatement en contact avec les médecins qui étaient allé sur le terrain, pour avoir un premier diagnostic suite à ce qu’il s’était passé. Encore aujourd’hui, nous sommes dans une phase d’hypothèse, mais la chose la plus belle est que le joueur avait donné des signes de réveils. La nouvelle la plus belle est qu’il continue à vivre, au-delà du vide laissé à l’intérieur du vestiaire, qui est d’une importance relative. En ce moment, c’est difficile d’émettre des hypothèses, nous attendons l’évolution de la situation. Nous évoluerons la situation au moment opportun." Lukaku "L’expérience me fait dire qu’il faut toujours se préparer aux imprévus. Lukaku a manifesté son intention d’être transféré à Chelsea. Devant une situation de ce type, tu ne peux qu’accéder à sa demande. Il y a eu, à ce moment-là un début de négociation avec le club qui le désirait aussi, c’est comme cela que nous avons agi. Nous avons établi notre prix et pensé aux alternatives. Ce sont des dynamiques qui peuvent arriver dans le football. Je ne me suis pas senti trahis ou contrarié, j’ai évalué l’opportunité comme celle de pouvoir injecter une somme importante pour les caisses du club. Nous avons fait valoir notre requête économique et nous avons réalisé une belle opération." L’option Vlahovic et le choix de Dzeko "Dzeko était un choix prioritaire, nous avions déjà tenté notre chance l’année dernière : Il disposait d’une promesse de la Roma pour être libre gratuitement en cas de demande. Notre demande est arrivée et le sérieux de nos entretiens a facilité la définition de la négociation." "Je considère Vlahovic comme un grand talent, il y a une différence entre talent et champions. Nous nous sommes retrouvé dans une situation de négociation engagée. Nous n’étions dans les conditions, même si j’avais imaginé miser sur deux attaquants : Le premier était Dzeko, le second Vlahovic. Un était prêt pour l’immédiat, l’autre pour le futur. Cela aurait été le mieux, et je suis content de ce qu’offre Dzeko." Les difficultés financières "La pandémie a accéléré le processus: L’Inter, le Milan et la Juventus ont perdu, globalement, un milliard d’euros: Cela signifie que le modèle actuel ne te donne plus de garantie sur la continuité." "Il faut trouver des remèdes, car je dois dire qu’il n’est pas juste de toujours dépendre des augmentation des capitaux en provenance des actionnaires. Le football romantique du mécénat est révolu, nous besoin d’arriver à un modèle différent. La Famille Zhang a injecté 700 millions d’euros environs et c’est normal de revoir, tôt ou tard les conditions économique." "Le travail du Management est celui de concilier les objectifs sportifs et l’équilibre financier. Par le biais de ces deux opérations nous sommes désormais chanceusement serein, nous pouvons donc poursuivre les objectifs préfixés déjà l’année dernière étant donné que l’ossature est restée et que ceux qui sont arrivés nous donnes satisfactions. Il faut savoir contenir les coûts et faire comprendre aux joueurs que nous traversons une période de grande difficultés : Revoir les salaires est fondamental pour parvenir à un équilibre." Y-aura-t ’il des ventes importantes à l’avenir ? "Je peux les exclure, je tiens à rassurer nos Tifosi : l’Inter existera dans le futur aussi, la compétitivité est garantie. Ce n’est pas celui qui dépense le plus qui l’emporte toujours, il existe un patrimoine de ressources humains connu de tous qui n’est pas mis en lumière, une équipe invisible qui se trouve derrière ceux qui sont sur le terrain le dimanche : Si cette équipe est forte, tu peux allez très loin, et cela va bien au-delà de ton nom et des joueurs." Est-ce possible de voir un nouveau partenaire arriver au Club ? "Ce sont des évaluations qui doivent être analysées par l’actionnaire. Par expérience, je dis toujours qu’un club doit rester dans les mains d’une famille, d’une entreprise. Le fait de devoir vendre une partie des actions des fins d’un actionnariat minoritaire existe, mais je ne pense pas que cela soit la meilleure façon pour résoudre les problèmes car l’impact d’un partenaire minoritaire ne te garantit pas le changement de modèle radical, ce ne serait qu’un bien-être momentané." "Il est nécessaire d’identifier un modèle de soutenabilité et de sécurité de référence, vous l’obtenez si vous disposez d’un projet. Nous sommes parvenus à reprendre notre projet et à le remettre sur les rails. Nous avions des choix difficiles devant nous car nous avions décidé d’engager Conte tout en continuant à rémunérer Spalletti qui avait encore deux ans de contrat, mais nous l’avons fait car la consigne de notre priorité était de gagner." "Tu construis une équipe conquérante si tu as une vision précise et si l’équipe a conscience de faire face à un objectif, qu’elle dispose d’une vision du futur. Nous avons construit nos victoires en nous basant sur la force de nos hommes et le mérite en revient principalement à Conte qui a transmis des valeurs qui représente un patrimoine. J’ai en tête Marchionne qui déclarait qu’un Manager avait deux grands droits: Le droit de choisir des valeurs et choisir des hommes. Si tu en disposes, l’aspect économique est relégué au second plan car tu traverses un moment de difficulté que tu sauras le surmonter en te basant sur les valeurs que tu portes avec toi. Et nous en avons connu des difficultés." Les contrats des joueurs "Les joueurs ne l’ont peut-être pas bien compris, car ils vivent dans un monde doré. Ils gagnent tellement qu’ils ne sont pas habitués à faire face aux problématique familiales qui sont vécu quotidiennement : Ce sont des garçons très jeunes qui doivent être éduqués. Les réponses ont été d’un côté positive, et d’un autre coté négative, à nous de les former, de leur donner cette culture." "Il y a eu une prise de conscience de la part des joueurs, mais le drame a davantage été vécu dans le contexte de préserver sa propre santé. Néanmoins, nous avons respecté les contrats des joueurs: nous les avons tous payés, nous n’avons pas obtenu un euro de ristourne, mais nous l’avons fait eu égard aux performances réalisées lors de la saison 2019/2020 et de cette dernière années. Nous avons décidé, après une discussion courtoise avec les joueurs de ne pas les pousser trop fort à faire quelque choses qu’ils ne se sentaient pas capable de faire." Un message d’Adriano Galliani est arrivé "Nous avons été victime ensemble du Covid, il était dans un état bien pire que le mien. Lorsque des choses de ce genre arrivent, tu apprécies encore plus les valeurs de la vie et tu apprécies le fait d’être là, c’est valable aussi pour lui qui a quelques années de plus. L’autre jour au Meazza, il m’avait raconté qu’il s’énervait toujours lorsqu’arrivait un résultat négatif. Dernièrement Monza avait perdu 3-0 à Lecce et il avait vécu une soirée en toute insouciances, c’est le revers de la médaille de ce que nous avons connu. Je peux aussi m’énerver mais j’affronte la vie avec une vision différente. Dans le football, il faut toujours donner le maximum, mais la culture de la défaite est utile. Au mieux tu la maîtrises, au mieux tu vis." Un message de Simone Inzaghi arrive aussi "C’était l’un de mes joueurs à la Sampdoria, je le remercie aussi lorsqu’il me dit que je suis très visionnaires. Je suis principalement amoureux de mon travail, je l’avais fait aussi par hobby et ensuite, c’est devenu mon travail depuis 45 ans. Je me suis toujours plus appliqué à rester humble et respectueux, tout en ayant l’ambition de toujours vouloir gagner." Un dernier message arrive en provenance de son frère Salvatore. "Cela me fait me rappeler de mon adolescence où j’’étais déjà malade du Calcio et où j’écoutais à la radio "Tutto il calcio minuto per minuto". J’aimais imiter les chroniqueurs." La prolongation de Barella "C’est l’un des cas qui de talent est devenu Champion. J’ai eu à faire à Cassano que je viens de rencontrer à l’Hôtel, je lui ai toujours dit qu’il n’était jamais devenu un Champion. Le talent est inné et fait partie de son ADN. Encore aujourd’hui je n’ai pas revu de joueurs potentiellement plus fort que lui, mais celles-ci n’ont jamais été accompagné de qualités humaines, d’un comportement sérieux, discipliné, d’une vision de la vie et de la professions. Il a la conscience d’être resté un joueur qui n’a pas atteint le top niveau." "Barella a confirmé déjà à Cagliari et à présent à l’Inter que je suis devant un champion et il est juste de le gratifier économiquement pour ce qu’il réalise. Ce n’est pas une prolongation mais une reconnaissance adaptée à un style de joueurs important qui font partie de l’Inter. Nous en reparlerons dans les prochaines semaines. Nous ne devons certainement pas le laisser s’enfuir et ce sera si beau qu’il devienne notre prochain Capitaine. C’est une qualification qui ne s’offre pas, tu dois démontrer avoir des qualités de leader." "Piero Volpi, le médecin de notre Club a toujours été le Capitaine dans les équipes de football car c’est un Leader : Barella peut commencer à le devenir." Cassano et Gheddafi à la Sampdoria "Il n’y a pas de mots, c’était une expérience sympathique, très belle aussi, mais je devais toujours rester très attentif à ce qu’il se passait." Les objectifs de la saison "Les attentes de tous sont de nous voir comme celui à battre, un rôle que nous sommes heureux d’endosser : Nous sommes l’Inter et nous devons placer la barre très haut, mais vu que nous sommes dans un sport d’équipe, nous avons besoin aussi d’évaluer nos propres capacités tout comme celle des adversaires avec qui nous luttons." "Il peut arriver que certaines années tu investisses 100 millions, mais que les autres investissent 150 millions ou qu’ils parviennent à réaliser des opérations plus importantes et s’en retrouvent plus fort. Nous sommes dans une saison qui ne comprends pas qui est le plus fort: Le Sheriff a six point et il l’a emporté à Madrid. Dans le Championnat il y a les fameuses sept sœurs avec le Napoli comme équipe gagnante. Je crois qu’il est bien prématuré de procédé à une évaluation sur ce qui s’avèrera définit en mai. Je tiens toujours à la culture de la victoire." "Je prends toujours en considération ceux qui ont la culture de la victoire la plus forte, donc la Juventus et le Milan. Naples a clairement un grand mérite, mais gagner est toujours quelque chose de difficile et qui va au-delà de qu’une équipe propose et met en pratique : Il y a des valeurs qui s’acquièrent avec le temps, il n’y a pas que le seul choix de l’équipe." "Tu dois prendre en considération tous les aspects complémentaires, si tu réussi à améliorer la qualité des terrains, des médecins, tes physiothérapeute, de l’alimentation, tu l’emporteras certainement plus facilement." Osimhen "C’était une opération très onéreuse, et ce n’est pas un inconnu, les circonstances nous ont amené à suivre une route plutôt qu’une autre." Son arrivée à l’Inter, les cas Nainggolan et Icardi "Je ne tiens pas à critiquer celui qui a géré cela avant moi. Icardi était sincèrement un grand talent, il était devenu un joueur optimal en étant investi d’une responsabilité dont il n’était pas encore en capacité de recouvrir, je me réfère au brassard de capitaine. Lorsque je l’ai connu, il se comportait bien avec moi, mais il y a eu des évaluations qui différaient. Je dis toujours que la vision que vous devez avoir se doit d’être précise. L’entraineur et le club procèdent à des évaluations et il a été évalué qu’il devait y avoir une équipe avec des valeurs à respecter." "Conte les a d’ailleurs interpréter de la meilleur des façons.: Il nous a laissé quelque chose d’important, il a posé les fondations et c’est tout aussi vrai que nous avons recruté un entraîneur qui a de grandes qualités, certains aspects sont essentiels." L’arrivée à l'Inter en provenance de la Juventus "Je suis resté émerveillé par la rapidité dont tout cela s’est produit. Dès le lendemain de mon départ, Steven Zhang m’a écrit un message en m’invitant à une réunion avec lui. Je voulais forcément me reposer, mais j’ai saisi directement cette opportunité. Je laissais la Juve et je trouver l’Inter, nous étions à armes égales. Je me suis lancé dans ce métier avec des caractéristiques que j’ai en moi depuis plus que quarante ans et qui se sont toujours enrichie dans chaque club." "L’expérience est une autre caractéristique importante dans le vie de tous, surtout dans le milieu professionnel. A 24 ans, à Varese, j’ai perdu un championnat d’une façon retentissante, alors que si je reviens en arrière, ce tournois, nous l’aurions remporté avec 15 points d’avances." La conscience d’avoir tant gagné te permet d’affronter les difficultés avec une grande détermination. C’est ainsi que je me suis relancé en illustrant mon projet à l’Inter, un projet que le club a épousé, c’était un projet difficile car il consistait à laisser Spalletti à la maison et prendre Conte allait demander du courage." La méfiance initiale à l’égard de l’environnement "Le Derby d’Italie apporte avec lui une grande rivalité. Je n’ai jamais connu de grande difficulté car je suis toujours parvenu à m’accorder avec les personnes, j’ai rencontré un club préparé, composé de bonnes personnes qui avait besoin de nouvelles motivations." Ses débuts "J’ai terminé le Liceo Classico et j’ai commencé à Varese. Certains faits de la vie m’ont ouvert la voie à suivre, je suis devenu directement Directeur Sportif car le précédent avait été victime d’une blessure et le Président m’avait demandé si je me sentais capable d’occuper un tel poste." Le poster de Rivera lorsqu’il était jeune "Je m’identifie à lui, j’ai été footballeur durant une courte période, j’ai arrêté car je me rendais compte que j’avais quelques limites, je me considérais perdu. Mais j’ai joué jusqu’au niveau des Primavera et j’occupais le même poste que Rivera. Il y avait une émulation, je voulais l’imiter comme footballeur. Mon rêve, depuis ma plus tendre enfance était de devenir un dirigeant, ma première expérience fut un oratoire. C’était la première étape de ma profession de dirigeants, je commençais aussi à organiser des toujours à comprendre le sens de la compétition, de la victoire, C’est à partir de là que j’ai commencé mes activités et que j’ai rangé mon poster de Rivera." Son surnom: le “Jeune Kissinger" "Il m’a été attribué par Colantuoni, qui me disait de l’appeler Avocat car pour devenir Président, il fallait une signature et pour devenir avocat, il avait dû passer trois diplômes. Je considère la diplomatie comme une vertu qui ne cache pas derrière un aspect décisionnel très fort. Décider n’est pas simple. Tu peux également devenir un leader sans devoir imposer ton timbre de voix, mais en faisant ressortir ta force intérieure : Pirlo était un leader silencieux. Il avait une si grande valeur dans le vestiaire et cela venait de sa communication non-verbale." Pensez-vous pouvoir confirmer à nouveau la victoire du Scudetto ? "Absolument, notre objectif est la seconde étoile." Le prêt de Recoba au Venezia "Gagner à Venise était si beau, j’habitais dans la région de Carampagne, j’allais au siège et cela avait une valeur inestimable. En plus tu gagnes un championnat et tu te sauves en recrutant Recoba, et je vais vous dévoiler le comment : A l’époque j’étais plus conditionné qu’aujourd’hui. Avec Zamparini, j’avais songé à Orlandini, j’avais appelé Oriali qui était le Directeur Sportif et nous nous organisions pour le contrat." "Il m’avait appelé et il m’avait dit que Tanzi avait été échangé avec Giusti. A ce moment-là, Regalia qui était un grand Manager m’avais appelé et j’en avais profité pour lui parler. Il m’a dit qu’il avait observé Recoba la veille, j’avais rappelé Zamparini pour lui dire que je ne voulais plus viser Orlandini mais que je songeais à un objectif encore plus important : Recoba. J’ai négocié et conclu avec Mazzola, je ne l’avais vu qu’en coups de vent, mais il nous a littéralement porté au maintien." A quel point étiez-vous proche de l’Inter de Pellegrini ? "Je l’ai rencontré une fois, l’alternative était moi ou Dal Cin. Je me souviens toujours d’une particularité avec Pellegrini : Je me suis toujours dit que si j’étais arrivé déjà à l’Inter à ce moment-là, que je me serais brûlé les ailes, tu dois embarquer dans le train au moment opportun. Âgé de 25 ans, je me serais perdu à l’Inter, je n’avais pas la connaissance que j’ai actuellement. J’ai fait un parcours graduel: De la province aux grandes provinces, de la Juventus, à l’Inter, C’est un parcours chanceux." Un regret sur le mercato ? "Il y en a tellement, le dernier est que j’avais eu l’opportunité de prendre Haaland pour deux millions d’euros. Parfois, tu as besoin d’avoir la volonté de miser sur un budget supplémentaire : Si c’est un champion, tu as besoin de le recruter. C’est ici qu’intervient la créativité financière pour réaliser des opérations, nous aurions pu l’avoir pour rien, et il est actuellement l’un des joueurs parmi les plus important au monde. A présent, il ne peut plus venir en Italie." "En 2000, il y avait dans le top 10 des meilleurs chiffres d’affaires cinq équipes italiennes, aujourd’hui, il ne reste que la Juventus. Nous avons un grand retard sur la Premier League. Aujourd’hui, nous sommes devenu un championnat de transition: Regardez Lukaku, nous sommes dans une réalité qui te porte à gouîer aux Champions qui, une fois leur position renforcée, cherchent à obtenir de meilleurs salaires ailleurs." "Nous sommes obligé de faire preuve d’ingéniosité, nous avons travaillé avec Ausilio sur cette vertu, cela va aussi de pair avec la Nazionale qui nous a offert de grande satisfactions. L’Italie met toujours en vitrine de grands entraîneurs et des grands joueurs. Nous avons besoin d’avoir la force les faire mûrir en équipe première, et ici doit entrer également la culture de la défaire. "Les joueurs qui se font siffler se font brûler les ailes et c’est quelque chose qui doit être combattu. L’Espagne a montré l’exemple avec ses jeunes sur le train. Aujourd’hui le Tifoso est plus ouvert et plus compréhensif vis-à-vis des difficultés du clubs. Dans notre cas, lorsque Conte et les joueurs sont parti, il y a eu un dialogue avec la Curva et nous leur avons fait comprendre que c’était pour le bien de l’Azienda. Ils l’ont compris et nous sommes toujours restés proche, ils nous sont toujours soutenu et c’est un très bel exemple de ce que doit être le rapport entre les Tifosi et le Club." Ronaldo à la Juve "J’avais fait part de mon évaluation, tout le monde aurait voulu s’offrir Ronaldo, je l’ai connu six mois avant mon départ. J’apprends toujours des champions, même comme dirigeants. Il a une culture du travail maximale, il est très soigneux sur sa propre condition physique et caractérielle. Toutefois, il devait être contextualisé et selon moi, cela passait aussi par des évaluations économico-financière : Mais j’entretiens encore aujourd’hui un grand rapport cordial avec la Juventus." Choisissez vos meilleurs acquisitions lors de votre carrière, poste par postes "J’avais recruté Rampulla de Pattese et je le conserve pour des raisons affectives. J’en ai trouvé un comme Buffon par exemple. J’ai vendu Taibi à United et c’était un flop, au final il n’était pas prêt. En défense, Bonucci fait preuve d’un très grand leadership, et il venait aussi du vivier interiste. Je le prends lui et Barzagli, à droite Hakimi et à gauche Alex Sandro." "Je dois vous dire qu’Evra était aussi très important dans l’économie du vestiaire : Il arrivait en provenance de United et il apportait avec lui des caractéristiques de champion dans le groupe. A la Juve, j’ai connu des champions, à l’Inter, je rencontrais des joueurs qui n’avaient plus gagné depuis tellement d’années et c’est pour cela qu’il était utile d’avoir un grand entraîneur." "A la Juve, j’ai connu des joueurs qui ont remporté la Coupe du Monde, des championnats: Khedira me disait qu’ils agissaient pareil au Real, j’en avais pris note et je l’ai retenu. Cela vaut aussi pour Evra ou Daniel Alves, tu apprends quelques choses des champions. Evra avait un certain âge mais en dehors du terrain, il avait tant à donner. C’est là que tu retrouves de la richesse et Conte a commencé à le faire , il l’avait transmis aux joueurs." "Nos joueurs à l’Inter n’avaient pas de palmarès et les difficultés étaient donc importantes. Aujourd’hui, ils ont une meilleure connaissance de ce qu’il faut avoir pour gagner. Au milieu du terrain, Barella représente une jeunesse devenue réalité. Je le choisi lui comme Pirlo et Pogba qui était arrivé gratuitement pour être revendu 110 millions d’euros. J’ai à mes côtés une équipe de travail qui me porte à faire des choix, mes décisions sont le fruit de ce travail : Pogba était quelqu’un de rare : pris gratuitement et rendu contre 110 millions d’euros. J’ajouterai Cuadrado comme ailier au milieu." "En attaque, j’en ai deux. Le plus difficile fut l’opération Dybala, je l’ai recruté grâce à mon rapport avec Zamparini qui était devenu le propriétaire de Palerme: Il m’avait contacté un jour pour me dire de me dépêcher car il était tout proche de signer avec Thohir. C’est grâce à notre amitié que j’ai su concrétiser cette opération. Je retire Ronaldo car c’est trop facile. L’autre personnalité avec qui je m’était lié d’affection était Recoba, mais j’aurais pu dire Pazzini ou Vieri. Même Lukaku mais cela aurait été trop facile : Peut-être que je dirais Higuain vu comment cela été devenu difficile." Une parenthèse sur Hakimi: Serait-il resté si Lukaku serait parti avant ? "Comme je l’ai dit, lorsque les joueurs sont intéressés par un salaire plus alléchant, il est très difficile de les garder." Pogba pourrait-il revenir en Italie ? "Je pense que ce serait difficile, même s’il y a aussi l’outil du Décret Croissance, qui s’il est boycotté, il nous a tout de même permis de réduire le coût du travail. Mais face à la valeur qu’il représente, je ne pense pas que quelqu’un puisse se permettre de l’engager." Dybala a l'Inter? "C’était possible lorsque l’on avait parlé d’une possible négociation entre lui et Icardi, mais je pense qu’il va signer avec la Juve pour prolonger." Lautaro Martinez est-il la pierre angulaire du futur ? "Il prouve qu’il est un joueur sur qui l’ont peut baser le présent et le futur, il est brave, professionnel, je souhaite que son futur soir à l’Inter, nous ferons tout. Très prochainement nous annoncerons sa prolongation car il est important: Je tiens à poser les bases pour un futur composé d’un juste équilibre entre des joueurs d’expérience et les plus jeunes." Quelle est votre évaluation sur la situation du club ? "L’Inter continuera à voyager haut avec une sécurité financière. Le modèle ne peut plus être celui qui existait auparavant, le tout doit retrouver une normalité. Mais nous ne pouvons pas nous imaginer que la famille Zhang, qui veut aller de l'avant et je peux le dire avec certitude, doivent toujours nous assainir. Nous voulons nous battre pour des objectifs de plus en plus ambitieux, mais nous voulons construire à partir de l'arrière, du secteur Giovanile, pour disposer d’une équipe qui pourra atteindre des objectifs importants." Votre meilleur entraîneur en carrière ? "Je prends Conte car il a gagné à Turin et à Milan et c’est statistiquement important. J’ai connu tant de très bons entraîneurs en carrière, et j’ai dû congédier des entraîneurs qui étaient humainement très bons mais qui n’étais pas des gagnants. Je pense qu’un entraîneur est bien plus souvent gagnant lorsqu’il est dans une situation des plus inconfortable. Ce rôle qui l’occupe doit être vécu comme une stimulation." "Je ne peux pas nier que Conte est un dur à cuire, mais il nous a prouvé qu’il était un gagneur. Il est très extrêmement exigeant avec une culture de la victoire comme peu en ont. Je dois vous dire qu’Inzaghi, vu comment j’apprends à le connaitre suit ce profil : Nous ne pouvions pas faire meilleur choix." Jusqu’à quand resterez-vous à l’Inter ? "Je me sens très bien ici, moi-même, tout comme l’équipe dirigeants avons parlé avec Steven Zhang. Lorsqu’il reviendra en Italie, je pense au mois de décembre, nous parlerons du futurs, les feux sont tous au vert, je dois vous dire également que j’ai plus une vision d’ensemble de la vie. Aujourd’hui c’est ce défi, puis il y en aura d’autre." "L’Inter sera mon dernier club, il n’y en aura plus de place pour un autre par la suite. Je me sens épanoui dans mon parcours et c’est bien que je puisse songer à des défis différentes, je me sens redevable envers le monde du ballon rond qui m’a enrichi en tant qu’homme, et cela va au-delà des récompenses." "A présent, ma capacité à faire face aux difficultés de la vie trouve son origine que je suis sûr de les surmonter grâce à ce que le sport m’a donné. Je veux y rester mais plus avec le stress d’aujourd’hui, et je pense également qu’il est juste de ralentir mes activités en songeant à ma santé." ®Antony Gilles – Internazionale.fr
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Gabriele Oriali: "Inter est et sera toujours ma maison!"
alex_j a posté un article dans F.C. Internazionale Milano
S'adressant au diffuseur italien SportMediaset, Lele Oriali a déclaré que malgré son départ, il n'est pas mécontent et se sent toujours à l'Inter. Oriali et le club ont décidé de se séparer et il se concentre maintenant sur son rôle d'assistant de Roberto Mancini avec l'équipe nationale italienne. Cependant, il a toujours l'Inter dans son cœur. "De toute évidence, je regrette. Comment peut-on être désolé quand on doit continuer son voyage alors que tout a été fait pendant tant d'années?" "Mais ce qui s'est passé m'a fait comprendre, si j'avais encore besoin d'une confirmation, qu'il y a tellement de gens qui m'aimaient et m'aiment toujours." "La banderole déployée Samedi au stade et les chansons qui m'ont été adressées resteront toujours en moi." "Par conséquent, je tiens à remercier tous les fans qui m'ont soutenu ces dernières années également avec des marques de respect qui valent plus qu'une grande victoire. Soyons clairs pour tout le monde : l'Inter est et sera toujours ma maison." "Un merci spécial à Javier Zanetti pour ce qu'il a dit. Il sait très bien à quel point nous avons travaillé pour gagner le Scudetto que les fans attendaient depuis onze ans. Ce fut un grand succès auquel beaucoup ont contribué, à commencer par Antonio Conte qui a réussi à ramener l'Inter au niveau de la compétition." "Plus fidèle à Conte qu'au Club? C'est une question que je ne me pose pas. Je respecte juste la décision prise par le club, qui a parfaitement le droit de choisir son staff." "La victoire contre le Genoa est une très bonne impression. Je les considère parmi les favoris pour le Scudetto." "Concernant Lukaku, comme je l'ai dit, je respecte les décisions du club. À Lukaku, je ne peux que souhaiter le meilleur." "L'Inter redémarre avec le Scudetto sur la poitrine, et pour cette raison, ils devraient être inclus parmi les favoris. Par conséquent, Conte doit être crédité de leur avoir remporté le Scudetto et de son travail qui a ramené le club à sa place naturelle." "Dans les prochains jours, j'aurai une réunion avec la FA italienne pour comprendre quel sera mon avenir avec les Azzurri. Je pense qu'il y a toutes les conditions pour continuer ensemble jusqu'à la Coupe du monde 2022."- 8 commentaires
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Gabriele Oriali serait resté selon Tuttosport !
Victor "Antony" Newman a posté un article dans F.C. Internazionale Milano
S’il y a un départ bien plus difficile à supporter de la part de l’Inter, bien plus qu’un simple attaquant, c’est bel et bien celui de Gabriele Oriali, pour lequel aucun communiqué n’a d’ailleurs été émis… Révélation de Tuttosport "Depuis plus d’un mois, même les pierres savent que Gabriele Oriali ne sera plus un Dirigeant de l’Inter. Pourtant, à deux semaine du début du championnat, aucune annonce officielle de cette séparation n’a eu lieu avec le Manager qui a côté les entraîneurs des derniers Scudettis : Antonio Conte, José Mourinho et Roberto Mancini. Cette situation est étrange, surtout en raison de l’amour que les tifosi portent pour Lele, protagoniste de la Chevauchée de la Squadra Azzurra jusqu’à Wembley." "La rédaction du communiqué semble s’avérer encore plus compliquée étant donné l'origine de l'accord trouvé: En effet, Oriali n’avait nullement l’intention de partir, bien au contraire, il serait resté pour travailler aussi aux côtés de Simone Inzaghi. Il a donc demandé au club de prendre la paternité de cette décision : Une demande épineuse qui a laissé la place à l’étrange calme connu depuis des semaines." Pensez-vous que l’Inter puisse rétro-pédaler si cela s’avère vrai? ®Antony Gilles – Internazionale.fr- 3 commentaires
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Gabriele Oriali quitte à nouveau l’Inter
Victor "Antony" Newman a posté un article dans F.C. Internazionale Milano
Après avoir "suivi" José Mourinho, place à Antonio Conte : En effet, Gabriele Oriali a donc décidé, comme il y a onze ans, de quitter l’Inter, même si cette fois-ci Simone Inzaghi aurait bien aimé le conserver à son poste, au sein de son staff Révélation de la Gazzetta Dello Sport "Dans le fond, le modèle de gestion du club a changé, et pas uniquement suite à l’avènement d’Inzaghi. Si l’on entre plus dans le détail, il y a une approche différente du travail sur le terrain : Conte souhaitait une gestion monocratique du Centre Sportif, en contrôlant chaque détail se trouvant à l’intérieur d’Appiano. Mais à présent, cet environnement a changé." Giuseppe Marotta et Piero Ausilio vont assurer le rôle de tampon le temps de trouver celui qui succédera à Oriali: "Pour l’instant, il n’y aura pas de recrutement au poste de Team Manager. Si le nom de Riccardo Ferri, ancienne gloire Nerazzurra a été proche du club, le dernier pas n’a pas été franchi. De son côté Gabriele Oriali va se concentrer sur son rôle de Team Manager au sein de la Nazionale." ®Antony Gilles – Internazionale.fr- 10 commentaires
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Ricardo Ferri pour remplacer Gabriele Oriali ?
alex_j a posté un article dans F.C. Internazionale Milano
Selon des médias, Gabriele Oriali semble prêt à quitter son rôle de directeur technique de l'Inter après l'Euro. Il serait remplacé par Ricardo Ferri. L'ancien joueur de l'Inter et de l'Italie travaille avec Roberto Mancini et concentre actuellement toute son attention sur le match contre la Belgique ce Vendredi en quart de finale. Oriali s'entretiendra avec le club concernant son avenir une fois l'Euro italien terminé. Il semble maintenant que le résultat probable sera son départ. D'après le Corriere dello Sport, le club a son remplaçant en tant que Riccardo Ferri. Oriali nous a rejoint à l'été 2019 avec Antonio Conte agissant en tant que directeur technique. D'après Tuttosport, si Conte était resté comme manager, Oriali serait probablement resté pour continuer à travailler avec lui pendant au moins une saison de plus et ne resterait probablement pas dans son rôle actuel avec Simone Inzaghi. Enfin, s'adressant au média italien L'Interista, Riccardo Ferri a minimisé les rumeurs de son retour au club et a souligné qu'il ne suivait l'histoire que dans les médias. En effet, il a déclaré : ''Je lis aussi tout dans les journaux. Je peux dire que j'ai le plus grand respect pour le propriétaire de l'Inter et pour Oriali, et je n'ai rien de plus à ajouter.''- 4 commentaires
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Quel avenir pour Gabriele Oriali ?
Victor "Antony" Newman a posté un article dans F.C. Internazionale Milano
Après l’Euro 2020, l’Inter va rencontrer Gabriele Oriali, qui est actuellement en poste avec la Nazionale aux côtés de Roberto Mancini, pour répondre à la question suivante: L'aventure va t'elle se poursuivre avec la Légende Nerazzurra suite au départ d’Antonio Conte ? Révélation de Calciomercato.com Actuellement, la priorité est donnée à l’Euro, mais après celui-ci, l’Inter et le First Technical Manager Nerazzurro devront se regarder droit dans les yeux pour définir du futur: "Il est inutile de tourner autour du pot, de rentrer dans une ambiance de départ, encore plus après la résolution du contrat d’Antonio Conte" Si l’entraîneur et l’ancien milieu de terrain ont travaillé ensemble à l’unisson, au sein du club, il s’agit de deux entités différentes, un choix qui a d’ailleurs permis de scinder leurs rapports: "L’idée de la Direction était d’avoir deux figures distinctes que sont Oriali et Antonio Conte, l’actuel Team Manager de la Nazionale a d’ailleurs été intégré au Staff directement par le Club." Oriali a toujours travaillé comme un Homme de Conte, en faisant preuve également de perplexité en regard à la propriété et si les rapports ne sont pas dans un niveau optimal historique, le départ est loin d’être acté: "Dans le même temps, Beppe Marotta a également commencé à scruter l’horizon, car l’Inter n’a aucunement l’intention de laisser, vacant, le poste actuellement occupé par Oriali. Parmi les noms qui plaisent à la Direction, celui de Riccardo Ferri se distingue, lui qui a été lié depuis toujours aux couleurs Nerazzurre." ®Antony Gilles – Internazionale.fr- 1 commentaire
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L’Inter tente le All-In pour Massimiliano Allegri
Victor "Antony" Newman a posté un article dans F.C. Internazionale Milano
“C’est comme l’année dernière, le film est toujours le même : Massimiliano Allegri est au sommet des pensées de l’Inter, Ce ne peut pas être un autre que lui, il n’y a pas d’autres issue possible que de tenter l’assaut à Max!" - Telle est le constat de la Gazzetta Dello Sport Il Padrino à la manœuvre Giuseppe Marotta pourrait prendre l’avantage sur la Juve en proposant un salaire à deux chiffres, une proposition qui s’accorde mal avec la politique de maitrise des coût, mais qui s’avère bien plus que nécessaire pour confier le banc à une personnalité de haut niveau. Antonio Conte Après avoir officialisé le départ d’Antonio Conte, sur base d’une prime de départ de 6,5millions d’euros plus bonus pour le Lecesse, en faveur d’une clause lui interdisant d’entrainer tout club de Serie A pour la saison à venir, il y aura lieu d’analyser la position de Gabriele Oriali, Il fera l’objet d’une thématique lors du Conseil d’Administration qui aurai lieu aujourd’hui Max la menace Il y a eu des échanges ces derniers jours avec l’entraineur livournais, encore plus ces dernières heures, et aujourd’hui est attendu la tentative qui pourrait surclasser la proposition de la Juventus Giuseppe Marotta est prêt à lui offrir un contrat de trois ans à 10 millions d’euros. Si l’offre est élevée, elle témoigne de l’importance, pour le Club Nerazzurro de conserver une vitesse de croisière continue pour reprendre le parcours entrepris. Steven Zhang, pour la saison à venir, se doit d’investir sur l’entraineur: Entre négociation et accord avec le nouvel entraineur, il est vrai qu'il dispose de quelques fonds supplémentaires que s’il était allé au bout avec Conte. La Rosea souligne également le feeling entre Giuseppe Marotta et Massimiliano Allegri qui a grandi et qui s’est consolidé grâce au passé à la Juve en commun. De son côté, le livournais pourrait être séduit à l’idée de remporter le Scudetto avec la Juve, le Milan et l’Inter : "C’est un All-In risqué, mais qui s’avère à présent obligatoire." Le Real remercié En effet, le Real n’aurait pas l’appeal suffisant pour convaincre Massimiliano Allegri de quitter la Botte. Si Conte n’était pas parti de l’Inter, la Rosea nous informe qu’Agnelli aurait proposé au livournais un contrat triennal, voir quadriennal à hauteur de 8 ou de 9 millions d’euros. Une annonce aurait même dû avoir lieu au plus tard ce vendredi! Toutefois, l’arrivée de l’Inter dans la danse redistribuerait les cartes : Le club Nerazzurro proposant un salaire plus important que le club bianconero. Cette journée du 27 mai devrait s’avérer décisive pour le futur des Deux Géants d’Italie et du Sextuple entraineur champion d’Italie. Si Giuseppe Marotta parvient à l’arracher à la Juventus, la Vieille Dame, selon la Rosea se tournerait également vers Simone Inzaghi ou Gian Piero Gasperini Une réunion secrète ? Cela vaut ce que ça vaut étant donné la source : Le Corriere Dello Sport, mais selon ce dernier, il se dit qu’un rendez-vous a eu lieu dans le plus grand secret, hier soir, entre Massimiliano Allegri et Giuseppe Marotta. Un rendez-vous qui connaitra une suite avec une nouvelle entrevue fixée aujourd’hui dans l’agenda. De son côté : Allegri se serait montré ouvert à discuter avec le club Nerazzurro Enfin selon la Rosea, celle-ci présume qu’en cas d’échec, l’Inter explorerait la piste portugaise pouvant mener à Paulo Fonseca ou Sergio Conceicao, voir même Gian Piero Gasperini pour Il Giorno malgré son échec dans l’Inter de Massimo Moratti ®Antony Gilles – Internazionale.fr- 11 commentaires
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Lele Oriali: "Quitter l'équipe nationale d'Italie? Je suis content d'y être."
Samus a posté un article dans Interviews
La Nazionale est en rassemblement depuis peu à Forte Village de Santa Margherita di Pulla avant un match amical ce Vendredi à Cagliari contre Saint-Marin. Laisser les joueurs en mode relax en Sardaigne, avant de participer au vrai ritiro de la Nazionale avant le début de l'Euro, voilà la décision de Lele Oriali, team manager de la Nazionale italienne. "C'est un choix qui permet aux joueurs de passer 4 ou 5 jours avec leur famille et en même temps nous donnes l'occasion prendre un peu des informations sur la condition de chacun d'entre eux. Nous sommes contents de nous retrouver tous ensemble. Des libertés seront accordées aux joueurs. Quand nous reprendrons à Coverciano nous serons en environnement plus restreint". Oriali ne pense pas quitter l'équipe nationale: "Je suis content d'être ici, j'évaluerai les conditions de travail plus tard en parlant avec le président et Mancini". Quelques mots sur le dernier arrivant: "Giacomo Raspadori a montré des qualités cette saison, ce n'est pas une surprise qu'on l'appelle. Il n'a pas la structure physique d'un attaquant de surface de réparation. Mais devant les buts, il sait quoi faire, il a le sens du but". Climat serein, selon Oriali: "C'est un groupe que j'ai vu grandir, c'est la confirmation du travail de Mancini. N'oublions pas que nous sortons d'une grosse désillusion. Les joueurs ont enchaîné deux saisons sans trêve, certains ont joué des finales en Août dernier. Le stress sera tout aussi bien mental que physique mais c'est valable pour nos adversaire aussi". Concernant le futur de Donnarumma: "Nous nous sommes salués rapidement, il me semble tranquille et serein. C'est sûr que l'idéal serait que toutes les situations soient résolues avant le début de l'Euro". Donnarumma est de plus en plus proche d'un départ du Milan. © Samus - Internazionale.fr-
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"Je commence aussi à croire que ce n’est pas dû au hasard" - Lele Oriali a lui-même confirmé à la Gazzetta Dello Sport que le fait que son retour à l'Inter, qui coïncide avec le retour à la Victoire du club, n’est pas qu’un simple concours de circonstance..... Passons à la fin d’année 2018, lorsque Marotta vous a appelé "J’ai été clair tout de suite : J’ai demandé la gestion complète de l’aile sportive de la Pinetina. Si nécessaire, j’en aurai référé moi seul à Zhang et au même Marotta." Comment êtes-vous parvenu à transformer l’incident Conte-Lautaro en un barbecue avec un ring moyenâgeux ? "Tout s’était déjà résolu en fin de match : Lautaro avait présenté ses excuses au Mister et à ses équipiers. L’idée du ring est venue de Lukaku et de Ranocchia. C’est la confirmation de l’unité saine de ce groupe : Il s’est construit quelque chose d’important qui peut durer dans le temps." Passons à l’été 2019 : A peine arrivé, vous vous êtes retrouvé avec la bombe à retardement Icardi..... "Je l’ai aussi géré. Je crois que le discours que j’ai fait à tous, au staff technique, aux médecins, aux magasinier et à l’équipe, avant le stage à Lugano a été fondamental : Ils ont tous compris à cet instant que : Tout doute, ennui, ou problème devait passer par moi." La rivalité avec la Juve ne change jamais… "Mais il est juste qu’une rivalité sportive ne cessera jamais." Vous avez dû hausser le ton lors, en février dernier, en Coupe d’Italie face à la Juve… "Si quelqu'un offense les miens hors du terrain, j’interviens." Qu’avez-vous à dire sur Calvarese? "Cela m’attriste car il terminait une belle carrière, et tous vont se rappeler de cette direction arbitrale malheureuse. C’est aussi vrai également, que nous, les dirigeants, ne venons pas souvent en aide aux arbitres." Etes-vous préoccupé pour la saison à venir ? "Je le suis, car il n’y a pas encore eu de programme de défini : Pas de date ni de lieu de stage, rien ne nous a été communiqué." Conte restera ? "Nous devons tous comprendre les plans de la propriété." A quel niveau, cela a été pesant de travailler durant tous ces mois si particulier ? "Ce n’était pas une année facile pour personne, et spécialement pour nous. Mais nous sommes parvenu à nous cimenter. Vous savez, il y a en a eu des nuits blanches à Appiano Gentile, avec Antonio et moi…" Est-ce que l’on vous a aussi demandé de renoncer aux deux mensualités ? "Quand le Président en a parlé à l’équipe, Conte et moi étions absent." ®Antony Gilles – Internazionale.fr
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2 Mai 1971, l'Inter remportait son 11e Scudetto
alex_j a posté un article dans F.C. Internazionale Milano
Il y a des réalisations qui restent dans la mémoire pour la joie finale qu'elles procurent, et certaines réalisations qui deviennent encore plus significatives pour le chemin parcouru pour y parvenir. Voici un résumé du 11e Scudetto remporté le 02 Mai 1971, soit 50 ans avant. Il y a 50 ans, l'Inter élevait son onzième Scudetto vers le ciel, au terme d'un retour qui a été remporté match après match. Le parcours pour y arriver ne s'est pas déroulé sans difficultés, et comportait un changement de manager, et l'unité d'une équipe déterminée à ne rien laisser pour arriver directement à son objectif. Le championnat a commencé avec Heriberto Herrera sur la pirogue, et avec deux nuls et trois défaites dans les cinq premiers matchs, celui du derby a conduit à son limogeage et à la mise en place de Giovanni Invernizzi, rejoignant l'équipe première de la Primavera. Lors de son premier match officiel, l'équipe combina un mélange de jeunes joueurs et de grands champions de la grande Inter, de Burgnich à Facchetti, de Jair à Mazzola et Corso, battant le Torino grâce à un doublé de Boninsegna, qui à sa deuxième saison à l'Inter est devenu l'un des les hommes clés du Scudetto grâce à ses 24 buts en 28 matches, le consacrant comme le meilleur buteur du tournoi. Ce jour-là, il a marqué un but sur penalty et une tête suite à une passe décisive de Corso. Après la victoire à ses débuts, la défaite est survenue à Naples le 22 novembre 1970: ce serait la dernière de cette saison. De là, a commencé une série de résultats positifs qui ne se termineraient que 23 jours plus tard, à la fin de la saison. Au milieu des défis clés pour l'équipe, il y avait une nouvelle prise de conscience et une adaptation à la configuration tactique, avec des performances importantes de joueurs tels que Bedin au milieu de terrain ou Bellugi à l'arrière jumelé avec Facchetti, le joueur le plus utilisé avec 30 apparitions en championnat. Parmi les résultats positifs, nous pouvons citer: la victoire 2-0 contre la Juventus (première partie) avec des buts de Corso et Boninsegna, le succès dans le Derby de Milan grâce aux buts de Corso et Mazzola (deuxième partie), la victoire sur Naples, toujours avec un doublé de Boninsegna, mais aussi le match dans lequel nous avons maté Catane où Gabriele Oriali s'est rendu sur le terrain après ses débuts avec la Roma. Un voyage sans imperfections qui s'est terminé le 2 mai 1971 avec un match parfait pour franchir la ligne d'arrivée et conquérir le onzième Scudetto. Un point culminant et un défilé de buts contre Foggia, dont un but fantastique pour ouvrir: la passe de Facchetti, a été brillamment convertie par Boninsegna. Ensuite, Jair est entré, protagoniste avec un doublé, avec Facchetti et Mazzola obtenant les autres buts. Moralité: Histoire, quand tu te répètes.- 3 commentaires
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Gabriele Oriali : Il Signor Inter
Victor "Antony" Newman a posté un article dans F.C. Internazionale Milano
Telle est la définition employée par la Gazzetta Dello Sport pour définir la Légende Interiste, l’homme de l’ombre qui laisse parler volontiers les autres passer devant les projecteurs, mais l’homme Oriali ne manque jamais d’apporter son soutien et de faire ressentir le sentiment d’appartenance pour l’amour de ses couleurs bleues et noires La patte Oriali du 19ème Scudetto Confident, il est l’homme de l’avant-dernière passe, de part ses assists et ses buts, il laisse la couverture aux autres…mais le tout en ayant une importance incroyablement élevée dans cette Inter: Si le Scudetto arrive, il s’agira aussi de la victoire de Lele Oriali, Il Signor Inter, qui, plus que les autres à la Pinetina est capable de faire passer le message suivant : "Soigner le maillot qui est porté" Et il sait de quoi il parle : Il a été joueur, dirigeant, et il est à présent entre les deux entités, son poste exact est First Team Technical Manager. Pour faire simple, il est en très grande partie, la raison pour laquelle, on retrouve une très grande sérénité dans cette saison tintée de Nerazzurre Le Saviez-vous ? Lors du rendez-vous fixé entre la Direction Interiste et Antonio Conte à la Villa Bellini l’été dernier, Gabriele Oriali a joué un rôle qui s’est avéré fondamental: "Il était proche de Conte lors des moments les plus tendus du Monde interiste, peu avant la rencontre de la Villa Bellini. C’est également grâce à son intervention, s’il est redevenu plus serein. Plus l’ont avançait et plus il récoltait les impressions des joueurs, tout en faisant ensuite face aux rumeurs relatives des difficultés financières de la propriété. Et aujourd’hui, il peut se vanter d’avoir amener le paquebot à bon port." Lele Oriali, le Monsieur Plus et Monsieur Propre de l'Inter de Conte selon vous ? ®Antony Gilles – Internazionale.fr -
L'Inter repart là où elle s'était arrêtée, en gagnant. Après cette victoire à Bologne, l'écart se creuse encore plus au classement. Antonio Conte commente avec satisfaction la prestation de ses joueurs : "C'est une victoire importante contre une très bonne équipe, dirigée par un excellent entraineur qu'est Sinisa. N'oublions pas que nous n'avions pas joué depuis vingt jours, que nous avons eu des problèmes de Covid et qu'il y a eu les sélections nationales. Renouer avec le fil n'est jamais facile mais ils ont été bons, ont fait preuve d'une grande attention et d'un bon esprit. Bravo à eux. Ce fut une longue journée après avoir vu l'AC Milan et je n'ai pas regardé la Juve nous étions à l'avant match. Ce n'était pas simple de jouer après tout le monde. Il est inévitable que pour valider ce succès, il faut être capable de vaincre Sassuolo mercredi." Est-ce que gagner de cette manière est important pour le Scudetto ? "Je pense que pour gagner vous devez avoir de la régularité, une cohérence dans les résultats et un savoir qui vous amène à avoir confiance en vous. Cette équipe a grandi de tous les points de vue depuis presque deux ans. Nous avons essayé différentes solutions et je pense que nous avons trouvé le bon équilibre qui nous amène à avoir de grands résultats. Tout le crédit revient aux garçons, à tous. Voir les performances de Ranocchia et de Young démontrent le grand sérieux, le professionnalisme de ces joueurs et l'habilité du staff à travailler avec tout le monde. Nous n'avons encore rien fait et il y a encore trente points à distribuer. C'est beaucoup." Justement Ranocchia est un homme du banc, de vestiaire, et quand il entre il est bon. Toute l'équipe est à haut niveau et c'est à votre honneur : "Cela leur revient, tout le mérite est pour eux. Il était toujours prêt. C'est grâce à lui, à l'engagement qu'il met. Au staff aussi qui fait travailler tout le monde. C'est comme s'ils étaient appelés, ils savent très bien quoi faire. Ils sont soutenus par une très bonne condition physique. Cela permet à des gens comme Ranocchia d'avoir de l'assurance lorsqu'il remplace de Vrij. Toute l'équipe a ma confiance." Est-il juste de dire que votre principal adversaire, c'est vous ? "Je ne pense pas parce que si nous étions nos propres adversaires nous gagnerions tout. Imaginez si nous devions jouer contre nous-mêmes nous serions d'accord" déclare-t-il en souriant. "Nous faisons des choses importantes et elles nous amènent à dire et entendre d'autres. Il faut se boucher les oreilles et rester concentré sur notre objectif. Ce serait formidable vu que l'Inter n'a pas gagné depuis de nombreuses années. Nous progressons mais la route est encore longue. Nous sommes silencieux et nous pédalons en trouvant inutile certaines proclamations." Vous avez beaucoup œuvré sur le mental. Vous avez atteint l'objectif sur ce point ? "Nous avons travaillé de nombreux aspects avec ce groupe, qui a connu une croissance exponentielle. Nous avons acquis une sérieuse crédibilité de la part des autres teams. Ils savent qu'ils devront prendre en compte l'Inter dans toutes déclarations. Je pense que c'est important. Alors avoir cette crédibilité scellée par un prestigieux succès serait encore plus capital. La saison passée nous sommes arrivés tout près avec l'Europe League et la seconde place. Cette année nous faisons quelque chose de très beau et nous espérons continuer." Quelles sont les situations de Perisic et Kolarov ? "Ivan avait une fatigue musculaire, rien de particulier. Inévitablement en ce moment nous ne prenons aucun risque, aussi parce que j'ai une grande confiance en toute l'équipe. Il y a Darmian, Young, Hakimi et D'Ambrosio est de retour. Kolarov par contre a eu un souci au dos et nous espérons le récupérer le plus vite possible." Un mot sur votre étreinte avec Oriali en fin de match ? "Il y a une relation très forte avec lui. Nous avons commencé à travailler ensemble en équipe nationale. A mesure que nous nous approchons de la fin, chaque victoire pèse un peu plus lourdement." Compte tenu de la situation difficile au club, de votre parcours, que serait ce Scudetto pour vous ici à l'Inter ? "L'Inter m'a appelé pour changer l'histoire de ces dernières années. L'espoir était qu'en trois ans, pouvoir gagner ou construire quelque chose de crédible et redonner de la fierté aux tifosi. Certains choses ont changé depuis les débuts, mais nous devons rester focus. Nous devons influencer ce que nous pouvons, ce qui se passe à l'extérieur nous ne pouvons pas agir dessus." Vous avez un lien spécial apparemment : "Je pense que quelque chose de très beau s'est créé entre moi, le staff et les joueurs. Ils savent que je suis cohérent. Je ne regarde pas le plus petit, le plus grand ou le nom. Ils savent qu'il y a un choix à faire, le meilleur d'entre eux. Ce respect a été créé, c'est une symbiose. Maintenant ce serait bien d'apporter quelque chose dans cette saison difficile et de donner satisfaction aux fans après tant d'années." ®gladis32 - internazionale.fr
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C’est une révélation de Sky Sport : L’Ats de Milan a libéré les internationaux de l’Inter et les joueurs étrangers ont déjà répondu à l’appel de leurs sélectionneurs et rejoint le camp de base. De son côté, Roberto Mancini doit encore patienter pour retrouver ses trois Nerazzurri : "Les trois joueurs ont été soumis ce matin, comme le reste de l’équipe, à des nouveaux tests. S’ils s’avèrent négatifs, ils pourront rejoindre la Nazionale, demain, à Parme. Les Azzurri se sont entrainés ce matin à la Pinetina avec leurs équipiers, et ils reprendront l’entrainement cet après-midi." Pour rappel, Gabriele Oriali partira avec les trois joueurs , lui qui a également des impératifs avec la Sélection Nationale Italienne ®Antony Gilles – Internazionale.fr
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Giuseppe Baresi a réfléchi sur sa carrière et mentionné les entraîneurs avec lesquels il a travaillé à la fois avec et à côté pendant ses piges chez nous dans une interview accordée au journal Il Giornale. "Eugenio Bersellini était presque comme un père pour moi, un point de référence. Je suis reconnaissant à Giovanni Trapattoni parce qu'il m'a aidé à arrêter, il m'a fait comprendre qu'à un certain moment, je devais faire autre chose. Mourinho était le meilleur pour gérer les gens et transmettre ses idées. Il fut facile de se mettre en phase avec lui, tandis que les résultats ont aidé." Fan du Milan pas toujours eu l'intention de devenir footballeur. "À l'époque, nous étions tous fascinés par Gianni Rivera. Puis mon sang a changé rapidement. J'ai d'abord joué à la ferme, nous vivions dans une ferme typiquement lombarde avec une cour intérieure. Je jouais souvent pieds nus parce que nous n'avions pas de chaussures à l'époque. Il y avait six familles, celles de mon père et de ses trois frères, dont deux à louer. Nous avons attendu qu'ils coupent l'herbe pour le foin et avons eu deux jours pour jouer dans les champs. J'avais l'habitude de jouer en tant que milieu de terrain mais Venturi m'a placé arrière gauche. J'ai pensé être agriculteur jusqu'à ce que je réalise que je devais faire du football mon métier. J'ai toujours aimé notre propriété et si j'avais gagné de l'argent plus tôt, je l'aurais rachetée. J'ai bien aimé, même si l'agriculture est un travail fatigant. Je me souviens que mon père se réveillait à cinq heures tous les matins, donc c'était mieux d'être joueur!" S'acclimater Milan après avoir rejoint l'Inter et remerciements à Beresellini. "J'ai vécu à la campagne et mon monde était composé de 50 personnes. Je ne savais pas si je devais aller à Milan ou pas, mais ils m'ont convaincu. J'étais un personnage timide et peu disposé à m'ouvrir. Je me souviens de mes débuts contre Vicenza, le 18 septembre 1977. C'était une grande émotion. Honnêtement, je n'ai jamais imaginé ce métier, j'ai quitté la maison sans penser à devenir professionnel mais j'ai saisi cette opportunité. C'était grâce à Bersellini, c'était une personne formidable. Ils l'appelaient le "sergent de fer", il exigeait beaucoup et établissait des règles. Il a été l'un des premiers à changer les méthodes d'entraînement et à faire appel à du personnel de fitness, ce qui n'était pas courant à l'époque." Ses meilleures années dans les années 80 et l'apogée du football italien. "Tous les grands sont arrivés en Italie à un moment ou à un autre, de Maradona à Zico, Platini et Van Basten, Falcao à Matthaus. J'étais le Mastiff qui était appelé pour les arrêter! Ils ont influencé des matches, mais ont été difficiles à affronter. Je me souviens de grands défis physiques avec Causio, Claudio Sala et Novellino. De vraies batailles, mais avec respect. Pendant quelques années, j'ai vécu paisiblement avec mon frère, nous avons toujours eu une bonne relation. J'ai vécu ma vie et lui la sienne, nous nous rencontrions le soir. Nous avons discuté de choses pendant les semaines du derby, en faisant des pronostics et des dîners de paris. Je me souviens bien de mon premier derby, contre de grands champions. Puis dans la seconde, j'ai fait face à mon frère. Maintenant, ce serait une grande histoire dans les médias, mais à l'époque, c'était moins médiatisé. Gabriele Oriali était le meilleur compagnon de voyage pour commencer, puis Giuseppe Bergomi."
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Le Derby d’Italie de ce mardi 09 février risque d’être aussi retentissant que celui de 1998 et l’épisode Juliano/Ronaldo. Si dans les années 1990, il s’agissait d’un évènement du terrain, cette fois-ci la polémique prend une tournure vicieuse digne des plus mauvais film de Serie B Eclaircissements de la Gazzetta Dello Sport 'L’Inter est convaincue que les insultes continues en provenance de la Tribune de la Juve en direction de Conte ont été préméditées: Dès la première minute de jeu, l’objectif clair était de rendre nerveux l’entraineur, d’où le fait que l’indignation était de mise hier." "Andrea Agnelli, selon les Nerazzurri, aurait à plusieurs reprises, au moins trois fois insulté Conte de "Couillon". Des tribunes de la Direction sont partis "Un Clown" et un "Pense à entrainer Couillon" ce qui explique le doigt d’Honneur et le Stronzo (Conard) hurlé en retour" Confirmation des faits: "Agnelli a continué à insulter Conte en passant très près de lui dans la zone menant aux vestiaires, le traitant à plusieurs reprises de couillon, l’entraineur lui a répondu : Si tu as du courage, viens me le dire en face" "Leonardo Bonucci s’est rendu coupable de paroles insultants envers Nicolò Barella, ce qui explique le comportement d’Oriali qui est intervenu pour tenter de retrouver un peu de sérénité: Il s'est tourné vers Bonucci et lui a demande de ne pas parler aux joueurs des Nerazzurri, mais de simplement parler à ses coéquipiers. Une demande que Bonucci accepte comme raisonnable, mais c’est là que Paratici prononce une phrase menaçante envers Lele "Vous, taisez-vous sinon je vais vous frapper!" Ce comportement exagéré de la part de la Juventus, n'est pas anondin, celle-ci déjà au matchs aller, s’en était pris avec véhémence au Chef de la Sécurité interiste Claudio Sala. Selon la Gazzetta, "Conte s’est senti trahi à titre personnel par des personnes avec qui il avait traversé un long parcours dans le club bianconero...." Pour les images, on repassera "Les images non-télévisées appartiennent au groupe de la Juve qui était productrice de l’évènement." La promesse du quatrième arbitre Conte insulté, Agnelli qui le cherche dans les vestiaires, la réponse de celui-ci…. Si Agnelli s’est senti tout puissant, il a omis la présence du quatrième arbitre Daniele Chiffi Celui-ci est intervenue pour tranquilliser l’entraineur Nerazzurro : "J’ai tout entendu Mister, j’ai tout entendu." Sur base de cela, Le Procureur de la FIGC est entré dans la danse en ouvrant une enquête relative aux comportement des dirigeants et employés turinois et milanais lors du match retour de la Coupe d’Italie. Mais ce qui est surtout attendu, c’est le rapport qui sera rendu et les informations communiquées par Daniele Chiffi, le quatrième arbitre "Un excellent rapport détaillé de ce qui a été entendu est attendu. Car il est vraiment difficile d’expliquer, comment à Turin, dirigeants et entraineurs peut crier n’importe quoi sans risque la moindre amendes ou le moindre avertissements." "Dans le monde du football, celui qui comment des erreurs doit tout simplement payer....Mais vous savez, à Turin, les règles ont tendance à être établie selon des interprétations propres et cela ne date certainement pas d’hier." Javier Zanetti s’exprime en toute diplomatie En citant tout simplement Giacinto Facchetti : "Il y a des jours où être interiste est facile, il y a d’autres jours où l’être est un Honneur" Le Saviez-vous ? Maurizio Pistocchi lâche une bombe : Paratici s’en est pris à Barella!: "De Milan circule une rumeur selon laquelle la Direction Interiste est devenu furieuse suite au comportement de Paratici qui, à plusieurs reprise, à tenter de convaincre Barella d’abandonner l’Inter pour la Juve.!" Confirmation par Nicolò en personne: "Conte a su par Barella que Paratici l’a contacté à plusieurs repirse pour le convaincre de rompre avec l'Inter et d'aller à la Juve Réservez votre week-end du 15-16 mai 2021. Il s’agira de l’avant-dernière journée de Serie A et du Derby d’Italie qui se disputera à nouveau à Turin. Gageons que Conte et sa bande auront envie de tout faire pour célébrer le titre sur le terrain de l’ennemi-juré… ®Antony Gilles – Internazionale.fr
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Juve/Inter : Conte, déclencheur des hostilités ?
Victor "Antony" Newman a posté un article dans Serie A
C’est un fait Antonio Conte a, avec la manière, proposé un examen rectal à Andrea Agnelli. Pour la Juventus, c’est Conte le coupable…mais la réalité est tout autre Durant les 45 première minutes de jeu, l’entraineur s’est fait traiter, et cela s’est entendu à plusieurs reprises de Couillon de la part du Président Agnelli et de Clown par le duo composé de Paratici et Nedved, soit des caïds de seconde main… Outre la Direction de la Juve, le Staff bianconero s’est fait entendre aussi auprès des joueurs de l’Inter et, durant toute la première période, Antonio Conte a subi une volée d’insultes La tentative de médiation d’Oriali De retour de la mi-temps, Lele Oriali a demandé au groupe Bianconero de modéré ses ardeurs, en contre parti, il a reçu une réponse sur une intonation menaçante de la part de Paratici, s'en est suivi de vives tensions... " "Vous feriez mieux de rester loin de nous, sinon je vous tabasserai", aurait déclaré Paratici au Responsable technique de l'Inter dans le tunnel pendant la pause à la mi-temps. Lors de cet échange, étaient présent Leonardo Bonucci et l'arbitre Maurizio Mariani Le clou du spectacle a été le comportement d’Andrea Agnelli lors du coup de sifflet final et la scène captée par les caméras. Agnelli a continué à suivre, sous le tunnel menant au vestiaire, Antonio Conte, qui, l’a cette-fois apostrophé avec une main sur la bouche avec un "Dis-moi ces choses en face si tu as le courage. Si tu as quelque chose à me dire, dis-le moi en face." A la lumière de cette situation, l’entraineur de l’Inter s’est présenté avec un calme exemplaire aux micros de la Rai et en conférence d’après match. Un comportement de style pour le Nerazzurro et un comportement plus bas que terre pour la Direction de la Juventus! Vous savez comment on appelle un Juventine qui remporte trois titres durant une seule et même saison ? ®Antony Gilles – Internazionale.fr- 19 commentaires
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La Justice sportive de Serie A a tranché sur la rixe entourant l'après-match d'Udinese Inter en la personne de Monsieur Gerardo Mastrandrea. Celui-ci a décidé de suspendre Antonio Conte pour deux matchs à la suite de ses déclarations à l’encontre de l’arbitre Maresca à la fin du match opposant l’Inter à l’Udinese. L’entraineur devra également s’acquitter d’une amende de 20.000€ La motivation "Pour avoir, à la 45’ de la seconde période continué à protester de façon véhémente et pour avoir proférer des phrases irrespectueuses à haute voix à la suite de son avertissement envers l’arbitre de la rencontre et ce également après son expulsion avant de quitter le terrain de jeu. Pour avoir également, au terme du match, rejoint l’arbitre dans le tunnel menant au vestiaire pour faire face à l’arbitre du match en se comportant de façon menaçante et en faisant usage d’une expression gravement offensante. Cette dernière infraction a été actée également par le collaborateur du Procureur Fédéral." "De son côté, Gabriele Oriali a été suspendu pour un match et devra s'acquitter d'une amende de 5.000€ pour avoir hurlé sur le terrain des propos irrespectueux envers l'arbitre du match." Fabio Maresca n’arbitrera plus l’Inter En effet, si Conte a pété les plombs face à Maresca, l’allusion de l’entraineur italien était recevable et a été prise en considération par Nicola Rizzoli, le désignateur des arbitres. En effet, lors du match opposant l’Inter à Parme en octobre dernier, la performance de Maresca était également au cœur du cyclone, avec notamment un pénalty qui aurait dû être sifflé suite à la faute reprise ci-dessus... Hé Fabio....Ma va fan….! ®Antony Gilles - Internazionale.fr
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Selon l'édition papier du jour de Tuttosport, si Massimiliano Allegri venait à prendre la place de Conte sur le banc de l'Inter, il utiliserait le 4-3-1-2 comme nouveau système de jeu. Allegri est très régulièrement cité pour prendre les rênes de l'Inter ces dernières semaines à cause de l'incertitude qui règne autour du futur d'Antonio Conte. En utilisant un 4-3-1-2, Christian Eriksen pourrait avoir la possibilité de mieux s'exprimer tout en ne perturbant pas le partenariat offensif Lautaro/Lukaku. Allegri utilisait ce dispositif quand il était en charge de Cagliari, avec un certain Radja Nainggolan y jouant un rôle très important. Le Belge est encore sous contrat jusqu'en 2022 et les rumeurs prétendent qu'il pourrait devenir un joker pouvant être utilisé à différents postes du milieu de terrain. Le journal turinois évoque également la possibilité qu'Ivan Perisic, qui vient de remporter la Champion's League avec le Bayern Munich, pourrait lui aussi avoir une autre "chance" compte tenu de la flexibilité de "Max" Allegri. Tuttosport toujours, mentionne aussi que Gabriele ‘Lele’ Oriali pourrait suivre Antonio Conte et quitter l'Inter. Oriali est actuellement le Team Manager du club. Un des nombreux rôles qu'il a occupé durant son association de plus de 20 ans avec l'Inter, dont 13 en tant que joueur. Conte avait personnellement insisté pour que le club ramène Oriali l'été dernier. Ce dernier pourrait quitter l'Inter pour la deuxième fois en emboîtant le pas d'un entraîneur, après Mourinho en 2010. ®Trent_FCI - internazionale.fr
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Antonio Conte : Steven Zhang a appelé Giuseppe Marotta
Victor "Antony" Newman a posté un article dans F.C. Internazionale Milano
C’est une révélation du Corriere Della Sera, le séisme à Bergame a laissé des traces et "Un divorce à l’amiable est rare" le licenciement n’étant pas une option, seule une démission de l’entraîneur sera acceptée. En effet en cas de démission, Antonio Conte renoncerait de fait à ses 12 millions d’euros net par saison courant jusqu’en juin 2022. Les deux parties pourrait donc s’asseoir au tour de la table afin de définir d’un éventuel Gentlemen Agreement. Révélations du Corriere Della Sera Si l’Inter songe à Massimiliano Allegri, il y aura aussi des dommages collatéraux : Lele Oriali pourrait retourner s’occuper à temps plein de l’équipe nationale. La sortie de l’entraîneur visait une personnalité : Piero Ausilio avec qui il n’a jamais entretenu de très bons rapports d’où sa remarque lors du recrutement de Lukaku. Sans oublier le fameux pack pré-emballé. Du côté de l’Inter, les accusations sont non-fondées étant donné l’arrivée de Lukaku, Barella, Sensi et Eriksen. Il Padrino en a aussi pris pour son grade Beppe Marotta est celui qui a voulu par-dessus tout recruter Conte à l’Inter, fort du solide lien qui les unissaient au départ, mais ce lien s’est effrité avec le temps : Conte lui impute le fait de ne pas l’avoir défendu, ni lui, ni l’équipe, lorsque en janvier on parlait de Scudetto. De même Conte lui-même avait abordé ce sujet à la reprise post-Lockdow : "Nous sommes à 6 points de la Juve, nous verrons." Lorsqu’il parle du fait que le club s’est défilé, il fait référence à la sortie post-Roma, et sur la question du calendrier. Après la victoire sur l’Atalanta, personne ne songeait à une telle réaction de la part d’Antonio Conte, Marotta soulignant les mérites de l’entraîneur. Le coup de trop sera peut-être celui asséné à Steven Zhang : "Je devrais parler avec le Président, mais il est actuellement en Chine, nous évaluerons le futur." Traduisez par, cela fait 4 mois qu’il est absent, je veux comprendre les programmes, la gestion en plus du mercato… Le rapport entre Conte et la Direction semble ne plus être un rapport de confiance et les marges de négociations sont étroites, pour ne pas dire nulles. L’entraîneur ne veut pas travailler avec certains selon ses dires, il ne se met pas face aux difficultés et prends tout le mérite ensuite… Il a finir par "irriter" le club par ses déclarations. Steven Zhang et Beppe Marotta se sont déjà entretenus par téléphone et aujourd’hui, à Appiano, une confrontation entre l’entraîneur et l’Administrateur-Délégué n’est pas à exclure. Reviendra-t-on à une pacification de la situation ou à une issue toute tracée ? ®Antony Gilles - Internazionale.fr- 18 commentaires
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