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  1. L'Inter intensifie sa poursuite du défenseur du Red Bull Salzburg Oumar Solet pour le mercato estival. Ceci selon l'édition imprimée d'aujourd'hui du journal milanais Gazzetta dello Sport, via FCInterNews , qui rapporte que le joueur de 23 ans est considéré comme un remplaçant idéal pour Milan Skriniar, et qu'il coûterait environ 15 millions d'euros. L'Inter doit signer un défenseur pour remplacer Skriniar étant donné qu'il se dirige en direction du Paris Saint-Germain à la fin de la saison. Un certain nombre de noms ont émergé sur la liste des Nerazzurri, mais selon la Gazzetta, ils sont de plus en plus convaincus que le défenseur de Salzbourg Oumar Solet pourrait être la bonne option. Le Français est considéré comme ayant les bons attributs pour remplacer Skriniar sur le côté droit des trois arrières, et il sait également jouer dans l'axe. Le prix demandé de 15 millions d'euros pour Solet est considéré comme à portée de main, et les Nerazzurri pourraient se fixer sur lui cet été. Selon-vous, le remplaçant idéal du Slovaque? Traduction Lindt1908 Via Sempre Inter
  2. Le 27 mai 1965, l'Inter de Herrera a remporté la deuxième Coupe des champions consécutive face à Benfica, un but de Jair a suffi. Il s'est exprimé aux micros de La Gazzetta dello Sport. Jair, un match nul en Ligue des champions qui vous rappelle de doux souvenirs. "Bien sûr. Et nous gagnerons à nouveau! Maintenant, je m'organise, je retourne en Italie et je signerai à nouveau… Sérieusement, ça va être un grand match et j'ai hâte de le voir." Ce but a donné la deuxième Coupe des champions consécutive au Grande Inter. Vous souvenez-vous de cette action ? "Et comment puis-je l'oublier. C'était une bonne action sur contre-attaque, avec un bel échange entre moi et Mazzola. Sandro m'a donné la dernière passe et j'ai tiré du mieux que j'ai pu. Il avait beaucoup plu les jours précédents et même ce soir là, le terrain était mouillé et le ballon glissant. Autant de facteurs qui ont rendu l'intervention difficile pour Costa Pereira." L'Inter a eu beaucoup de grandes équipes. La vôtre était-il supérieure à celui du Triplete selon vous ? "Je ne sais pas. La nôtre avait un beau quintette offensif: moi, Mazzola, Domenghini, Suarez, Corso. Il y avait aussi de grands joueurs en défense: je pense à Sarti dans les buts ou à Facchetti, qui était aussi le capitaine de l'Italie. Une équipe de champions, cela ne fait aucun doute. Aujourd'hui, je parle de temps en temps avec Bedin, qui était notre demi-poussée à l'époque. Et c'est agréable de se souvenir de ces émotions que nous avons vécues ensemble." Mais l'Inter aujourd'hui pouvez vous la suivre de temps en temps ? "Je le fais toujours volontiers quand je peux. L'Inter est dans mon cœur. Malheureusement, ces derniers temps, je n'ai pas eu beaucoup d'occasions de les suivre à la télévision, j'ai récemment passé une dizaine de jours à l'hôpital à cause de mes genoux. Je passe beaucoup de temps au lit, je suis blessé, mais j'arrive quand même à sortir un peu. Je suis un vieil homme maintenant (rires, ndlr), mais c'est la vie." Mais l'Inter-Benfica n'y manquera pas. "Absolument pas, je resterai scotché à la télé pour regarder mon Inter. Et je n'ai aucun doute : on va encore gagner !" Traduction nostalgique alex_j via FCInterNews.
  3. Giuseppe Marotta s’est livré à la Gazzetta Dello Sport sur le retour au premier plan de l’Inter dans l’Europe qui compte Euro Derby "Dieu béni, nous sommes heureux d'être arrivés jusqu'ici et nous voulons continuer, nous ne sommes pas rassasiés. Ce serait fascinant, excitant, suggestif : Tout le monde en parlerait, ce serait une exposition mondiale, et c'est tout ce dont Milan parlerait. Mais ce serait encore mieux si ce derby se jouait à Istanbul.... Pour la finale ! Ce serait historique. Voilà, j'aimerais dire à Milan : On se voit en Finale." "Le plus important maintenant, c'est d'avoir ramené non seulement l'Inter mais aussi le football italien là où il mérite d'être. Après avoir chuté au classement, il nous manquait ce retour en beauté. Après avoir remporté l’Euro, la montée en puissance de nos clubs est une excellente nouvelle." "C’est dommage pour la Coupe du Monde, mais cette présence compacte en Ligue des Champions est une embellie pour notre système. Que l'urne nous présente l'Ac Milan ou une autre des 7 formations comme adversaire, le plus important est d'arriver aux matchs avec un état de forme optimal, sans blessures." "Car en deux matches, tout se joue, et plus encore que le blason de l'adversaire, c'est l'état dans lequel on se trouvera à ce moment-là qui sera fondamental. L'Inter dispose d'un effectif qui lui permet d'envisager l'avenir avec optimisme quel que soit son prochain adversaire" Et sur les Tifosi à Inter Connection "Nous allons protéger nos Tifosi, Porto a rompu les accords et il s'agit d'un fait malheureux et déplorable que nous avons condamné. Aujourd'hui, nous avons envoyé une demande d'acte d'enquête à l’UEFA : Nous avons tenu une réunion le matin et, bien qu'il y ait eu un problème d'ordre public, l'accord était de faire rentrer les supporters plus lentement: Nous avions été autorisé à le faire ici et Porto était le seul décisionnaire et cette décision n'a pas été respectée lorsque les supporters se sont présentés au stade." Le communiqué de l’UEFA ? "D'un point de vue réglementaire, l'Inter devait se voir réserver un secteur de 5% du stade : Ce qui a été fait et les billets ont été achetés par nos Tifosi. Au nom de la vérité, ils avaient signalé sur leur site web que les supporters italiens n'auraient pas dû acheter d'autres billets dans d'autres secteurs, mais les autres supporters vivant en Europe les ont achetés et personne ne leur a dit de ne pas les acheter." "Dès lors, une fois qu'ils les ont achetés, Porto a dû les prendre en charge, peut-être même avec le soutien de l'Inter, qui a mis à disposition une quinzaine de stewards, ils étaient là pour assurer la sécurité car il s'agissait aussi de familles, de mères et d'enfants : on est loin des scènes de Naples ou du danger pour l'ordre public." Mais Il ne se passe jamais rien à San Siro ? "Nous pensons que le sport est un moyen d'agrégation qui va au-delà de la foi : L'important est que tout le monde soit assuré de pouvoir rentrer avec toutes les précautions. Nous concernant, nous avions demandé aux supporters de se présenter sans banderoles, sans maillots portés qui puissent être identifiés." "Et il s'est avéré que Porto est allé à l'encontre de ce qui avait été décidé lors de la réunion tenue le matin même entre les clubs, la police et les représentants de l'UEFA." Allez-vous intenter une action collective contre Porto ? "Nous avons les éléments pour le faire, en tant que Club nous ferons tout notre possible pour protéger nos supporters dans les différentes espaces compétents. Nous évaluerons les initiatives à prendre pour atténuer cette déception, et en particulier pour les enfants : Nous essayons de déterminer comment nous pourrons parvenir à apporter une contribution afin de leur offrir cette émotion qu’ils n’ont pas pu ressentir ce soir-là." La qualification ? "Le principal mérite revient aux joueurs sur le terrain et à l'entraîneur. Le travail effectué a donné ces résultats : le club doit les soutenir du mieux qu'il peut et nous le garantissons : Notre présence sur le terrain est quotidienne. Nous voulons mettre les joueurs en situation de donner le meilleur d'eux-mêmes sans avoir d'alibis, car c’est une mauvaise chose dans le football." "Ici ils ont tout donné et ont atteint un objectif très important qui nous ramène à un stade qui reflète l'Histoire de ce club et de ses palmarès." Affronter la Juve sans polémique ? "La controverse est une aguicheuse, mais il faut savoir la laisser passer" L’Inter était, est et restera toujours un Club Familial qui se soucis de tous ! ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  4. L'ancien milieu offensif légendaire de l'Inter, Luis Suarez, estime que l'avantage d'un but que l'Inter a pris sera un avantage crucial ce soir contre Porto! S'adressant au journal milanais Gazzetta dello Sport dans une interview publiée dans l'édition imprimée d'aujourd'hui, via FCInterNews , Suarez a suggéré que le score au début du match pourrait s'avérer essentiel pour donner le ton du match sur le plan tactique. L'Inter sera bien consciente qu'elle n'a qu'une très mince avance à protéger dès le match aller de son huitième de finale contre Porto. En conséquence, l'approche qu'ils adopteront nécessitera un équilibre délicat pour ne pas devenir complaisant, mais en même temps ne pas prendre plus de risques que nécessaire. Du côté de Porto également, il y aura un équilibre à trouver, mais pour l'équipe portugaise, la nécessité de prendre des risques dès la première minute devrait être plus grande que pour les Nerazzurri. De l'avis du légendaire ancien joueur de l'Inter, Suarez, cela pourrait s'avérer être un avantage clé pour son ancienne équipe. "L'avantage d'un but du match aller peut être décisif, car cela signifie que Porto devra laisser de l'espace derrière lui, et l'Inter peut exploiter cela", a-t-il noté. Traduction Lindt1908 Via Sempre Inter
  5. L'ancien défenseur légendaire de l'Inter, Marco Materazzi, estime que si l'Inter peut réserver sa place au prochain tour de la Ligue des champions, il n'y a aucune raison de ne pas rêver encore plus loin. S'adressant au journal milanais Gazzetta dello Sport dans une interview publiée dans l'édition imprimée d'aujourd'hui, via FCInterNews , l'ancien défenseur est également revenu sur sa propre expérience en remportant la compétition en 2010 sur la voie d'un triplé européen. Si l'Inter doit voir ce match aller-retour en huitièmes de finale contre Porto sans perdre son avantage au match aller, alors elle sera l'une des huit seules équipes restantes dans la meilleure compétition européenne. À partir de là, ils seraient sûrs d'affronter un adversaire extrêmement coriace à chaque tour qu'ils doivent atteindre, à commencer par les quarts de finale. Cependant, les Nerazzurri sont déjà arrivés aussi loin contre des équipes comme Barcelone et le Bayern Munich, et prendre le dessus sur cette équipe de Porto ne serait pas une mince affaire en soi. "L'Inter doit continuer à profiter de son voyage en Europe, chaque match sera formidable", a déclaré Materazzi. "S'ils passent ce tour, alors tout peut arriver." "Cependant", a poursuivi l'ancien défenseur, "à partir de maintenant, il ne peut plus y avoir de hauts et de bas, chaque match est comme une finale, y compris en Serie A." Materazzi a également évoqué la fameuse saison en Ligue des champions, notant que "la défaite en phase de groupes contre Barcelone était vitale pour nous". "Nous savions comment en tirer le meilleur parti, nous chérissions la perte et nous en tirions des leçons." "Nous avons ensuite battu Chelsea en huitièmes de finale, puis le Barça en demi-finale", Materazzi a regardé en arrière. Traduction Lindt1908 Via Sempre Inter
  6. Nouveau nom sur la liste du club des Nerazzurri en vue du marché des transferts estival : l'hypothèse d'une double opération est vivante. La dernière idée à l'Inter mène à Manchester United. Dans le viseur des Nerazzurri pour la suite de Dumfries se trouve Diogo Dalot, l'arrière portugais né en 1999. Comme l'explique La Gazzetta dello Sport, un double deal n'est pas à exclure : "L'hypothèse Diables Rouges pour Dumfries pourrait aussi jouer le rôle d'amorcer un double deal". L'ancien latéral milanais est considéré comme le profil idéal pour les Nerazzurri : "Il a 23 ans, mais il a aussi une grande expérience internationale et sa candidature pourrait encore se renforcer dans les mois à venir." Attendons de voir si les 'Red Devils' proposeront le renouvellement du contrat qui expire actuellement en 2024. Seriez-vous satisfaits de voir le Portugais remplacer le Néerlandais? Publication Lindt1908 via Inter1908.it
  7. Avec le départ de Correa, le partenaire de Lautaro n'est pas encore défini. Le Bosniaque doit mériter son renouvellement, et Romelu doit encore confirmer! L'Inter mise tout sur Lautaro, il est le présent et le futur du club. L'Argentin est le leader et le moteur de l'Inter, mais il a besoin d'un coéquipier à la hauteur. Actuellement , cela ne semble pas être un grand moment pour Lukaku, Dzeko, et Correa toujours dans les stands. Tous les trois jouent leur séjour chez les Nerazzurri d'ici la fin de la saison. "L'Argentin sera prêt pour la Ligue des champions. Et pour la première fois cette saison, Inzaghi aura l'effectif complet. Je vais enfin pouvoir choisir", a déclaré le mister. Des choix que l'Inter appréciera. Car s'il est vrai que Correa est de toute façon destiné à être vendu, Dzeko et Lukaku se battent pour la possibilité de rester chez les Nerazzurri l'année prochaine. Si la perspective de renouvellement du contrat de Dzeko, semblait certaine jusqu'à il y a un mois elle est tout autre aujourd’hui. L'INTER de Zhang veut peser son choix avec soin : La discussion sera abordée plus tard. Le renouvellement reste l'option la plus probable, mais il ne faut pas le prendre pour acquis" , rapporte La Gazzetta dello Sport. Et rien n'est tenu pour acquis, même autour de Lukaku. Pas même le prix d'un autre prêt, que l'Inter , juste au cas où, ne voudrait jamais payer 8 millions de plus. Mais les questions ici sont maintenant différentes. Et ce sont celles que vous n'auriez jamais imaginées. Ils sont de nature technique, car Romelu a donné des miettes à cet Inter jusqu'à présent. Ce but contre Porto aurait dû être sa renaissance pour retrouver l'ancien Lukaku. L'Inter a besoin de ses buts, comme ceux de Dzeko. L'Argentin est en grande forme: Sur les 19 buts de l'Inter en 2023, 9 sont les siens. Mais la course à la Ligue des champions est trop risquée, et le déplacement à Porto est trop dangereux pour compter que sur Lautaro. Vous ne dansez pas seul, après tout. Ajoute la Gazzetta dello sport. Pour vous lequel doit rester? Traduction Lindt1908 via Fc INTER1908
  8. Selon, la Gazzetta dello Sport, Hakan Calhanoglu serait sur le point de conclure un nouveau contrat avec l'Inter et une annonce ne devrait pas tarder. En effet, l'international turc est prêt à engager son avenir pour l'Inter et signera de sa plume pour un nouvel accord qui devrait durer jusqu'en 2026. Le milieu de terrain et le club sont parvenus à un accord et il ne manquerait que sa signature. L'Inter cherche à s'attacher de ses service pour les trois prochaines saisons et ce, après une campagne impressionnante en Serie A. Calhanoglu devrait gagner 6 millions d'euros par saison et une annonce officielle sur la prolongation pourrait être faite avant le huitième de finale retour de la Champions contre Porto le 14 mars. Traduction alex_j via Sempreinter.
  9. Daniele Adani, interviewé par la Gazzetta dello Sport, a fustigé les Nerazzurri pour leur parcours inconstant en Serie A, en particulier, faites attention au thème Lukaku. Le parcours de Naples et incroyable. "L'excellent parcours de Naples ne doit pas nous faire oublier les failles des poursuivants. Je ne pense pas que l'Inter risque sa place dans le top quatre mais ils ne peuvent certainement pas être satisfaits de ce qu'ils font, 6 défaites en 22 matchs, les nuls contre Monza et la Sampdoria..." Blessures et difficulté à retrouver la rigueur tactique de l'époque Antonio Conte : par où commencer ? "Commençons par les blessures. Lukaku n'est pas né champion, il n'a pas le naturel d'un attaquant talentueux, comme peut l'être Dzeko, dans ses déplacements et ses jeux. Son football est indissociable de la forme physique et du travail hebdomadaire. Quand Lukaku va bien, il grandit aussi en estime de soi et donc en technique, voire en dribble. Mais quand il va moins bien, il devient un joueur normal qui lutte." Simone Inzaghi y est-il pour quelque chose ? "Je m'attends également à ce que l'entraîneur des Nerazzurri trouve un moyen d'influencer la performance de Lukaku. Comme je le dis toujours, lorsqu'un joueur de niveau ne se comporte pas comme prévu, il faut également blâmer le manager technique. Je voudrais qu'Inzaghi dise publiquement quel genre de travail il veut faire avec le Belge." Avec le recul, peut-être qu'un Dybala aurait été pratique pour l'Inter ? "Si nous voulons parler d'erreurs sur le mercato, ne pas prendre Dybala en était certainement une. Que Lukaku soit arrivé ou que Sanchez soit parti ne change rien. L'Inter est dernière de la Serie A pour les tentatives et les dribbles réussis. Le joueur qui va au-delà des shémas a disparu, cela a également été vu contre la Sampdoria. Avoir un Dybala supplémentaire contre des adversaires hermétiques peut vous garantir un jeu chic qui casse les lignes." La Joya peut être un regret du passé. En revanche, sur l'avenir, est-il juste ou non d'insister sur Lukaku, au cas où il y aurait les conditions pour le garder à Milan ? "Après un an de cette manière, je le garderais pour ne pas renier le choix fait, pour rester cohérent. Lukaku n'est pas du genre à avoir de mauvaises attitudes et il ne peut pas avoir oublié comment jouer au football. Si tu y croyais avant, tu ne peux pas arrêter de le faire pendant une année difficile." Traduction alex_j via FCInterNews.
  10. Notre légende Gianluca Pagliuca nous révèle qu'il a joué une saison en portant un maillot de Tottenham tout en remplaçant le logo par celui des Nerazzurri. Dans sa dernière interview avec la Gazzetta dello Sport, Gianluca Pagliuca a révélé son obsession pour les maillots de football en disant qu'il appellait également les fournisseurs de kits pour concevoir des maillots personnalisés. Extraits. "Je ne voulais pas porter de maillots laids. Je n'ai jamais été mécontent du maillot que j'avais. Aujourd'hui, je vois beaucoup de gardiens porter le deuxième ou le troisième kit et ce n'est pas agréable. Je pense que les maillots des gardiens doivent être colorés et refléter la personnalité du gardien. Zoff ne portait que des maillots noires ou gris mais d'autres comme Albertosi ou Castellini portaient des maillots avec des couleurs vives." "J'adore la Premier League et je regarde beaucoup le football anglais. J'ai tellement aimé le kit du gardien de but de Tottenham parce que les couleurs me rappelaient Aston Villa, l'équipe que je supporte en Angleterre. J'avais l'impression de jouer pour Aston Villa." "Lors de ma première saison à l'Inter en 1994-1995, j'ai appelé Umbro, qui était le fournisseur de kits pour les deux clubs, pour leur demander d'avoir le même maillot. Ils m'en ont envoyé trois ou quatre avec l'écusson de Tottenham que nous avons remplacé par celui de l'Inter, évidemment. De nos jours, il serait impossible de faire quelque chose comme ça." Pour les plus jeunes qui n'ont pas connu les années 90, les maillots des gardiens ressemblaient à ça pendant cette décennie: Traduction alex_j via FCInterNews.
  11. Au vu du match entre ses deux anciennes et uniques équipes, l'Inter et la Sampdoria, le nouvel intronisé au Hall of Fame Ivano Bordon parle de lui dans un long entretien accordé à SportWeek, l'encart hebdomadaire de la Gazzetta dello Sport. Une enquête auprès des fans interisti du monde entier a inclus Bordon dans le Hall of Fame des meilleurs de tous les temps, avec Walter Zenga, Francesco Toldo, Gianluca Pagliuca et Julio Cesar. "Oui, c'est bien. Cela veut dire que j'ai laissé de bons souvenirs, à Milan et à Gênes. Le football a été ma vie. J'ai beaucoup donné, j'ai eu beaucoup et j'ai encore des réflexes." Dix-huit championnats de Serie A avec uniquement l'Inter et la Sampdoria. Seulement deux équipes et un début prédestiné. Dans le derby contre le Milan. "Eh bien, en bref, ce n'était pas un grand début. J'avais dix-neuf ans, je suis entré en deuxième mi-temps à la place de Lido Vieri, mon professeur, avec un 1-0 pour eux. J'en ai pris deux autres, mais ensuite nous avons gagné le Scudetto. Après le derby, Heriberto Herrera a été limogé et Giovanni Invernizzi est arrivé. Je n'ai disputé que neuf matchs mais j'étais sur le terrain à Catane le jour où nous avons dépassé Milan." Heriberto paraguayen. Un entraîneur dont on parle beaucoup. De quel genre était-il ? "Particulier, disons-le. Fanatique des régimes, il contrôlait de manière obsessionnelle la vie des joueurs. Il nous appelait de chez lui le soir, voulait savoir où nous étions, ce que nous faisions. Je partageais l'appartement avec Mauro Bellugi. Heriberto a appelé et a demandé : ‘Tout va bien ? Êtes-vous chez vous ? Pouvez vous me passer Mauro s’il vous plait ?’. J'ai répondu : ‘Monsieur, Mauro est descendu pour sortir les ordures’. Ce n'était pas vrai. Et Heriberto a alors dit : ‘Bon, s'il n'est pas là, une amende’. Puis il s'est opposé aux sénateurs de la Grande Inter, laissant Jair et Bedin hors de l'équipe. Ils l'ont renvoyé et ont promu Invernizzi : nous sommes devenus champions d'Italie." Premier championnat. La seconde avec Eugenio Bersellini. Ils l'appelaient le sergent. Comment c'était ? "J'ai de très bons souvenirs, il m'a donné confiance et grâce à lui j'ai été admis en équipe nationale. Un grand pédagogue, dur, peu de mots, mais clair et honnête. Il ne regardait personne en face. Travail, rapide et même à table, on perd pas de temps et on mange vite. Dix minutes et c'est tout. Mon record est de huit minutes. Il était très rapide, après chaque plat il mangeait une pomme. Mais il nous a appris le sens du groupe et du football. Et de la vie aussi." Est-ce vrai qu'il vous a toujours dit : "Vous les joueurs, vous êtes des privilégiés. Les ouvriers travaillent dur, les agriculteurs travaillent dur..." ? "Oui. Il venait de la région de Parme, du Val di Taro et il nous a parlé de son enfance. Une fois, en plein hiver, nous étions en retraite à Appiano et le chauffage est tombé en panne. Nous lui avons dit : ‘Monsieur, il fait un froid glacial, on va dormir à la maison.’ Il fait une grimace que je ne vous dis pas : ‘Quoi ? Vous êtes des joueurs avec beaucoup d'avantages et de bénéfices. Avez-vous vu le film L'Arbre de sabots? Eh bien, regardez-le et essayez de penser à ce qu'ils diraient ces paysans. Pensez à leurs difficultés et à leurs sacrifices pour nourrir leurs pauvres enfants. Aucune mention de cela, une couverture supplémentaire et bonsoir.’ " Puis Bersellini le retrouve à la Sampdoria… "C'était sympa. C'était une bonne équipe, fun, pleine de gars formidables. Vierchood, Vialli et Mancini. Puis mon vieil ami Scanziani et les étrangers Francis et Souness. On a gagné la Coppa Italia en battant Milan en finale." Samp-Inter au programme ce Lundi. Vous souvenez-vous de la première fois où vous avez rencontré la Sampdoria ? "Oui, je me souviens de tout, ou presque. Je suis un collectionneur, même de souvenirs. J'ai conservé des almanachs, des coupures de journaux, des autocollants, des billets. A San Siro dans la saison 1971-72, un jeu fou : 4- 4. Trois buts de Boninsegna puis de Corso. Savez-vous qui a marqué pour la Sampdoria ? Marcello Lippi. Cette année-là, il n'a marqué qu'un seul but, contre moi. Puis il est devenu l'un de mes meilleurs amis." Et la dernière fois que vous avez rencontré l'Inter avec un maillot de la Sampdoria ? "Une chose belle et un peu triste. Belle parce que les équipes de ma vie étaient dans le dernier match de 1985-86, 0-0. Triste parce que c'était ma dernière en Serie A. Incroyable, hein ? Quoi qu'il en soit, c'était un doux au revoir. L'entraîneur de la Sampdoria, c'était justement Bersellini, celui qui m'avait relancé. Sur le banc de l'Inter, il y avait Mario Corso, un coéquipier extraordinaire et aventurier, dont le fameux match contre le Borussia Mönchengladbach." Combien de fois avez-vous raconté l'histoire de la canette touchant Boninsegna, l'Inter perdant 7-1, le match rejoué et... "Et j'arrête un penalty, on fait 0-0 et on se qualifie pour les quarts de finale. En 1971, à Berlin, carrefour de mon histoire footballistique. Là, 35 ans plus tard, j'ai remporté ma deuxième Coupe du monde avec l'équipe nationale. J'étais l'entraîneur des gardiens, le grand Buffon. Quelle joie..." Des satisfactions footballistiques ? "Difficile de choisir. Peut-être quand Italo Allodi m'a appelé à l'Inter." Et sur les terrains ? "Le premier scudetto avec l'Inter, avec Invernizzi. Le deuxième, celui de 1979-80, je me sens plus moi-même. J'étais un joueur régulier et mature. Nous étions huit dans cette équipe qui a grandi dans l'équipe des jeunes : moi, Oriali, Bini, Canuti, Baresi, Ambu, Muraro et Pancheri. Plus Occhipinti qui a disputé le dernier match. Puis les merveilleux moments de la Sampdoria de Mantovani. Les victoires, les triomphes, cinq championnats avec la Juve. Évidemment les deux Coupes du monde. Ou plutôt trois, parce que, j'aime bien me souvenir, j'ai aussi gagné le militaire, au Congo en 1973. Il y avait Oriali, Furino, Graziani, Zecchini, Speggiorin, Bittolo, Ammoniaci. De belles compagnies, partout. Mais j'ai eu de la chance, dans ma longue carrière, j'ai rencontré des gens, j'ai établi des records, j'ai remporté des défis. Dans et hors des buts. Maintenant, je regarde les autres, parfois au stade, souvent à la télévision." Et que voyez-vous ? "Un nouveau football. Tout a changé : la vitesse, les méthodes, les schémas, les règles, les managers, les joueurs. Il y a encore de bons, d'excellents gardiens. Donnarumma est l'avenir de l'équipe nationale. L'Inter a Onana, fort et réactif. Milan a Maignan. L'année dernière, ils ont très bien fait, voyons comment ils se rétablissent. J'aime Meret, je suis Carnesecchi avec intérêt. Ce que j'ai du mal à comprendre, ce sont leurs relance de derrière. Souvent frénétiques et dangereux. J'en ai vu des statistiques vraiment surprenantes : maintenant, dans un match, un gardien touche plus de ballons qu'un milieu de terrain. Un tout autre monde. Et bien…" Traduction nostalgique alex_j via FCInterNews et FCInter1908.
  12. La Gazzetta dello Sport célèbre un énième derby remporté par l'Inter en soulignant les mérites de la propriété chinoise. Extrait. "Le derby n'est pas un match normal, mais Steven Zhang s'y est bien habitué. De victoires en victoires, l'Inter a dépassé le Milan d'un point de vue sportif en moins de sept ans. C'est la plus grande fierté du président Zhang. Un autre trophée vaut, dans son esprit, un cinquième qui n'est pas dans la vitrine. Le message social post-derby du président Nerazzurri est inévitable : 'Répétons-le encore, nous sommes Milan'. La suprématie de la ville retrouvée au bout d'un an, même si les Nerazzurri ont fait parler de lui l'an dernier en Coppa Italia." "En six championnats et demi, l'Inter a amassé 39 points de plus que les Rossoneri. De plus, les Nerazzurri ont soulevé plus de trophées, 4 contre 2, ont amené de plus en plus de spectateurs au stade que leurs rivaux et ont gagné plus de matchs directs. De 2016 à aujourd'hui, sur 19 derbies, l'Inter en a gagné 10 et en a perdu 4. Malgré l'austérité, les investissements ont souvent porté leurs fruits tant sur le terrain que sur le banc. Désormais, l'objectif est les quarts de finale de la Ligue des champions pour entrer dans le top huit européen. Rien de simple, bien sûr, du moins sur le papier. Mais aussi rien qui soit hors de portée pour cette Inter. C'est un message que Zhang a toujours voulu faire passer aux managers, à l'entraîneur, aux joueurs eux-mêmes. Et des soirées comme celles de dimanche ne font qu'accroître sa conviction, la certitude qu'il ne s'est pas trompé." Traduction alex_j via FCInterNews.
  13. Juventus toujours, lors du Napoli-Juventus Primavera, certaines images ont capté la présence de Luciano Moggi sur le banc : le procureur ouvre une enquête. Le 14 Janvier dernier, lors du match entre Naples et la Juventus Primavera, certaines images ont montré la présence en marge de Luciano Moggi, un ancien manager de la Juventus radié du football après le scandale du Calciopoli de 2006. Beaucoup se demandent comment sa présence fut possible alors qu'il est sensé être radié du monde du football. Et de fait, comme le rapporte la Gazzetta dello Sport, le parquet fédéral a décidé d'ouvrir une enquête. "Comment l'ancien manager de la Juventus, radié pour les événements du Calciopoli, peut-il occuper une telle place lors d'un match officiel ? Une question à laquelle veut désormais répondre le procureur fédéral qui a ouvert un dossier d'enquête sur l'incident. La violation, si elle devait être avérée, concernerait la présence sur le banc de touche d'une personne ne figurant ni dans la liste des matchs, ni parmi les accrédités (photographes, caméramans, etc.), le tout aggravée dans le cas de Moggi par la radiation, ou 'la forclusion à vie de rester dans n'importe quel rang ou catégorie de la FIGC'. Mercredi, Gianluca Pessotto, coordinateur du staff technique de la Juventus, a été entendu. Il s'est longuement entretenu avec Moggi ce jour-là sur le terrain de Cercola. Il est probable que Napoli sera également entendu en tant que responsable de l'organisation du match." Moralité : hé oui, c'est encore un complot ! Traduction alex_j via FCInter1908.
  14. En effet, c’est la grande révélation de la journée signée la Gazzetta Dello Sport : "Si l’on ne considère pas la saison 2016-2017, vu que Steven Zhang n’était pas encore aux manettes, nous assistons à la pire phase aller de l’Inter du Suning : Bien pire que les 39 points récoltés lors de la seconde saison de Luciano Spalletti." "A présent, remporter les deux coupes italiennes ne suffira plus : Il a été demandé à Inzaghi tout autre chose : Ne pas se terminer en Zone Champion’s serait considéré comme une faillite : Qui plus est, la façon dont l’équipe devra y parvenir sera également analyser: Les joueurs devront y parvenir sans faire preuve d’une anxiété exacerbée et sans même plonger dans des température sibériennes comparé au Napoli : Ils devront jouer les 19 prochaines matchs avec l’état d’esprit d’une équipe qui se bat pour remporter le Scudetto même si à présent la seconde étoile n’est plus qu’un mirage." "La qualification pour les quarts de finale de la Ligue des Champions est, par contre, bien plus réaliste vu qu’elle permettrait d’engranger à minima 5 millions d’euros entre les primes en provenance de l’UEFA et les recettes du Giuseppe Meazza car si Porto représente un danger, il n’est pas imbattable." "S’il faudra parvenir à comprendre comment l’équipe peut se montrer si agressive face au Napoli et le Milan comparé à des équipes d’un blason inférieur comme le sont Monza, Vérone, Parme et Empoli, il sera important de compter sur des individualités retrouvés que sont Robin Gosens, Denzel Dumfries et Romelu Lukaku: Romelu semble en avoir terminé une fois pour toute avec ses pépins physique, il doit à présent se mettre des minutes dans les jambes et lancer la machine à but et à Appiano, il y a un programme bien spécifique qui l’attend pour l’installer d’une façon durable au cœur de l’attaque car on ne peut pas compter éternellement sur Edin Dzeko." " Si à ses côtés on retrouvera Lautaro Martinez qui va de certitudes en certitudes, Joaquin Correa réalise continuer a aligner les flops : la destinée des deux argentins est diamétralement à l’opposée. Le troisième argentin, lui, reste un regret car il y a quelques mois il aurait fallu parvenir à trouver une voie de sortie au Tucu afin de ne pas de gâcher la chance Paulo Dybala." Une soufflante aux joueurs Simone Inzaghi s’est entretenu avec les joueurs en leur disant qu'ils devaient absolument réagir après la défaite face à Empoli en Serie A et se ressaisir à l’occasion de la rencontre face à Cremonese Le natif de Piacenza a "insisté sur le fait que louper la Ligue des champions serait un "désastre" car si l'Inter avait abordé le match contre Empoli avec le sentiment qu'il restait un faible espoir de rattraper Naples en tête du classement de la Serie A, ce sentiment laisse à présent la place à l’incertitude de parvenir à terminer dans le Top 4. Et vu la victoire d’une dominante Lazio sur l'AC Milan, combinée aux résultats de la Roma et de l'Atalanta ce week-end, cela signifie que finir dans les quatre premiers est encore moins certain pour les Nerazzurri." "Cet échec ne serait rien de moins qu'un "désastre", une "faillite" pour les Nerazzurri sur le plan financier car le club a planifié son budget en fonction de la manne financière provenant de l’UEFA pour la participation à la plus grande compétition de clubs d'Europe qui parviennent à s’y qualifier: S'en priver, ce serait un énorme coup dur." C’est également pour cette raison qu’Inzaghi a insisté auprès de ses joueurs sur le fait qu'ils ne pouvaient pas se permettre de considérer la défaite d'hier contre Empoli comme autre chose qu'un faux pas temporaire, et qu'ils devaient réagir pour se remettre sur les rails contre Cremonese ce week-end." Validez-vous le comportement de notre Direction : La C1 ou la Porte vu que le Napoli réalise une saison digne du Bayern de Munich en Serie A ? ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  15. André Onana s’est livré au cours d’une très longue interview dans le cadre de Sport Week le complément hebdomadaire de la Gazzetta Dello Sport : "J’étais à l’Ajax et, il y a déjà une paire d’années, Piero Ausilio venait de contacter pour la première fois mon agent, il lui avait expliqué comment était clairement la situation, sans tourner au tour du pot, quelque chose que j’aime." "Dès cette première minute, je me sentais déjà Nerazzurro avant que la négociation commence, j’ai commencé à me ressentir comme le gardien de l’Inter, jour après jour. Quand un tel club de cet envergure pense à toi, comment peux-tu dire non ? Tu es flatté et heureux. A présent, je suis ici, dans une ville si magnifique avec une Tifoserie incroyable qui commence à m'aimer." Mais avant d’arriver à l’Inter, que signifiez, pour vous, le Fc Internazionale ? "Ce serait trop facile de dire Samuel Eto’o vu le lien que nous avons, mais ce n’est pas nécessaire d’attendre d’endosser le maillot pour connaitre l’Inter, vu les nombreux champions qui sont passé ici, avec de grands gardiens interistes en passant de Toldo qui était le cauchemar de Franck De Boer à Julio Cesar qui est l’un de mes préférés, quand je repense qu’il a été quasiment le premier à avoir connaissance de mon transfert." Pourquoi quasi ? "Tout était prêt, réglé, mais je ne pouvais en parler à personne. Je déjeunais à Barcelone et un ancien joueur de l'Inter, Houssine Kharja, s'est approché de ma table et m'a couvert d’éloges, il a ensuite appelé un ancien équipier par téléphone et j’entends qu’il lui dit : "Julio, je suis avec Onana, tu sais à quel point il est très fort, qui sait, peut-être qu'un jour il sera comme toi à l'Inter !". Il me passe le téléphone et Julio s’est immédiatement montré très gentil, il me dit de continuer ainsi, je le remercie mais je me mords la langue : je ne pouvais pas lui dire que Kharja, sans le savoir, m'avait pris en flagrant délit...." "À partir de ce moment-là, j'ai souvent parlé avec Julio Cesar, en plaisantant sur cette situation : Il m’avait aussi surmotivé avant la rencontre du Nou Camp, en me disant aussi de rester très calme et de profiter de la soirée. Des mots spéciaux, qui sont restés gravé en moi." Etes-vous surpris par le fait d’avoir été, en si peu de temps, titulaire ? "Non, car je sais qui je suis, je sais ce que je vaux et je continue mon parcours de croissance, entrainement après entrainement, je sais qu’en faisant du bon travail, que mon moment allait arriver rapidement. Avant d’arriver, j’avais conscience que j’allais devoir disputer cette place avec un gardien extraordinaire, qui a écrit l’histoire du club, mais qui est aussi et vraiment très différent de moi." Pourriez-vous nous en dire plus sur cette diversité ? "Si quelqu'un me demande "Samir est-il votre modèle ?", je ne peux que lui répondre... "non". C'est précisément en raison de cette diversité entre nous. Mais j'ajouterais aussi que c'est un très grandissime champion car sinon, il ne serait pas resté ici, à ce niveau, pendant 11 ans : Face à Handanovic, je ne peux que lui tirer mon chapeau. Il appartient à une école italienne différente de la mienne : il est très bon et sûr entre les poteaux, alors que je me sens comme un gardien moderne et "proactif". Je suis celui qui prend des risques, qui sort, accepte le un contre un et qui joue beaucoup avec ses pieds. Ce sont simplement des façons différentes d’occuper le poste de gardien, c’un enseignement différent du traditionnel, auquel on s'habitue." "Au début, nous nous regardions bizarrement à l'entraînement et l'un disait à l'autre : "Ne fais pas ça, tu le fais mal". Et l'autre lui répondait : "Non, c’est toi qui tu le fais mal" (il rit, ndlr). Personnellement, je fais face à des nouveaux types d’entraînements que je ne comprenais même pas au début, mais qui peuvent me permettre surtout d’évoluer." Quels sont vos rapports, maintenant que vous êtes parvenu à lui prendre sa place ? "Nous parlons beaucoup plus qu’auparavant, Samir se comporte comme un vrai Capitaine, c’est un Leader reconnu et on le perçoit dans tellement de petite chose, il ne suffit pas de penser qu’à moi, mais à tous les aspects au quotidien de l’équipe. J’apprécie le fait qu’il me donne des conseils, qu’il me félicite pour une belle parade et qu’il me corrige si je me trompe. Et même, il faut se rappeler d’une chose : L’Inter, en tant qu’Institution, est quelque chose de plus important que moi, que lui, ou que quelqu’un d’autre : Nous avons tous le devoir d’honorer et de défendre ce maillot, nous sommes seulement de passage alors que le Club et le Peuple Interiste restera, ces derniers points sont ceux qui comptent vraiment." Est-ce mieux de débuter d’une façon banale ou de débuter face à une super équipe comme le Bayern, comme cela s’est produit pour vous ? "Tu ne peux pas te prononcer avant, car si le Bayern t’en colle 5, c’est le pire des débuts. En 2017, je me suis incliné avec l’Ajax en finale de l’Europa League face à Manchester United, ce n’était pas parce que nous étions inférieur à eux, mais parce que nous en avions eu peur. Le lendemain du match ma mère m’a appelé et m’a dit : "Je ne veux plus que tu aies peur sur un terrain de football, même si tu dois jouer face au Barça et au Real réunis : Si tu perds, ce ne doit plus être parce que tu as tremblé ou baissé le regard, mais parce que ton adversaire aura été supérieur." C'est devenu une règle de vie. En général, je m'entraîne et je vis pour défier de grandes équipes comme le Bayern et au final , ça s'est plutôt bien passé, même si je ne me réjouirai jamais d'une défaite." Ressentez-vous le fait que vous avez changé l’Inter, de par votre présence entre les cages ? "Je peux vous dire que l’équipe s’est habituée à mon style: A présent, si sur un centre je ne sors pas, Skriniar me lance un regard noirs et Dumfries me hurler Onaaaaa !Je leur réponds que je ne peux pas toujours sortir, pas toujours, mais le fait qu’eux sont sur mes talons comme ça me rend fier, cela veut dire qu’ils se fient à moi, qu’ils m’ont compris, qu’ils veulent que je prenne des risques. De plus, j’aime les rencontres où il y a des combats en défense, rien de plus ne peut m’exalter plus qu’une rencontre comme celle que nous avons tous joué au Nou Camp." "Je regardais de loin l’équipe et c’était un spectacle, elle était compacte, rapprochée, unique, elle bougeait comme un seul homme, patiente, même si mes anciens équipiers en catalogne nous ont accusé d’être sur la défensive. Quand on voit Skriniar s'en prendre à un joueur avec une telle hargne, je me prends dans la gueule sa motivation et je me dis : "Quel guerrier !. J'irais toujours au combats avec lui, tout le temps !" Mais tous nos défenseurs, sont si grands, si costauds, ils me font me sentir protégé. Même si je sais que nous encaissons trop de buts jusqu'à présent...". Pour certains, il se dit que vous exagérez à sortir avec une telle imprudence... "Je me bats pour l'équipe, pas pour ce qui se dit à l'extérieur. Si je peux attraper une balle haute, alors je peux relancer l’équipe vers l’avant rapidement. Plus je sors, plus on peut se relancer : Le gardien est le premier créateur de jeu maintenant." Une grande partie du mérite, à Barcelone sur le 2-3 de Robin Gosens, vous en revient… "Non, c'est toute l’Inter, c’est une équipe de très très haute qualité : Nous devons juste être conscients de notre potentiel et nous pourrions nous montrer des plus dangereux en Ligue des Champions, croyez-moi. Ce jour-là, j’ai relancé rapidement car j'ai vu Lautaro faire un mouvement avec sa main, comme un signal, et le reste de son action de jeu a été phénoménale avec une conclusion parfaite de Robin:Cette équipe de l’Inter est composée d’énormément de joueurs technique." Est-ce que Lukaku vous manque ? "Enormément, mais lorsqu’il reviendra, il donnera, comme toujours, son maximum. Et d’un autre côté, le peuple interiste l’adore, mais il l’adore vraiment : Lorsqu’il a commencé à s’échauffer face au Viktoria Plzen au Giuseppe Meazza, j’ai entendu un “ohhhh” incroyable accompagné d’un tremblement de terre sous mes pieds : Je n’avais jamais connu une telle manifestation d’amour, je n’avais jamais vu une Tifoserie aussi passionnée, mais savez-vous qui est vraiment le plus grand champion de l’Inter ?" Nous vous le laissons dire... "Alex Cordaz : C’est la personne la plus positive que j’ai pu rencontrer, c’est un être humain merveilleux, si tu arrives à Appiano triste suite à ta contre-performance, tu le regardes en face-à-face et il parvient à te changer ton humeur : S’il n’est pas là, ça ne le fait pas, il fait la toute la différence du monde, et ce n’est pas valable que pour moi, mais aussi pour tous mes équipiers. Ce n’est pas un fou mais c’est aussi grâce à Cordaz que Barella va plus vite : Je lui répète quotidiennement : Alex, c’est un Honneur pour moi de m’entrainer à tes côtés." Mais s’il y a autant de qualité dans l’équipe, pourquoi êtes-vous aussi en retard en championnat ? "Nous devons rester serein et dans le même temps admettre que nous avons mal démarré : Les choses peuvent changer vite aussi bien dans la vie que dans le Calcio, et nous savons que cette fois-ci nous disputerons deux championnats. Personne ne peut savoir, à la reprise, si le Napoli sera encore comme celui qu’il était jusqu’à présent. Mais, en attendant, nous sommes parvenus à redresser définitivement la tête hors de l’eau et à montrer que nous sommes tous vraiment fort, nous serons présent comme ça en février et ensuite, qui sait…" Qui vous a, hors du terrain, le plus aidé à vous intégrer ? "Je dirais un peu tout le monde: En plus de Rom, je partage une belle amitié avec Calha et Dumfries, qui est un autre joueur sur le terrain qui me plait car il n’abdique jamais, il se donne, il tente de toujours y aller en allant jusqu’au bout. Nous ne faisons pas énormément partie de la vie mondaine, mais je suis fier du groupe que nous sommes parvenu à nous créer: Il y a vraiment un très beau climat dans cette Inter." Comprenez-vous que les Tifosi aient déjà de l’affection pour vous ? "En plus de mes parades sur le terrain, j’apporte de l’énergie, de la folie, mais toujours positivement." Pour finir : Un message pour votre nouvelle Tifoserie ? "Je pourrais me toiler, mais je travaillerai quotidiennement pour être à la hauteur de l‘Inter pour que vous, les Tifosi, soyez fier de moi!." ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  16. En effet, c’est une révélation de la Gazzetta Dello Sport, l’Inter et plus particulièrement Giuseppe Marotta rentre dans la dernière ligne droite concernant le renouvellement de Milan Skriniar ! “Aujourd’hui, une nouvelle étape importante est au programme : Si ce n’est pas celle de la signature, il pourrait s’agir sans l’ombre d’un doute de l’accord final : A l’ordre du jour de Giuseppe Marotta et de Piero Ausilio, on retrouve un appel vision avec l’entourage du défenseur slovaque, afin de délimiter les derniers détails en regard aux bonus qui devront lier Skrigno au Club jusqu’au 30 juin 2027 via un contrat de 6 millions d’euros net par saison." Fumée blanche "Marotta, avant la trêve internationale avait ouvertement fait part d’une importante sérénité en regard à cette négociation, mais il faudra tout de même attendre encore au moins une semaine pour finaliser le tout : Les agents de Skriniar sont actuellement à l’étranger et Milan sera de retour en Italie qu’après le 24 novembre. Ce n’est qu’à partir de ce moment-là que pourra arriver la signature, mais ce mercredi pourrait être considéré comme la journée juste pour se serrer virtuellement la main et pour encaisser le oui définitif du défenseur." "Un défenseur devenu désormais une Idole du Peuple Nerazzurro tout en étant un des très rare irremplaçable pour Simone Inzaghi." Comme quoi un Club Historique reste toujours bien plus important qu’un Club pété de thunes ! ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  17. Remo Ruffini, fan de l'Inter dans l'âme et partenaire du club depuis 2021, s'est confié à La Gazzetta dello Sport sur sa relation avec l'Inter. Docteur Ruffini, que représente cet anniversaire pour vous et quel est l'enjeu des 70 prochaines années ? "Moncler est née en 1952 du lien avec la montagne, et ces 20 dernières années, elle est venue avec bonheur en ville. Maintenant que nous célébrons dans un monde modifié, aujourd'hui dans le luxe, le consommateur veut plus une expérience qu'un produit. L'enjeu du futur sera de transformer ce que l'on vit en magasin ou au stade en digital. Ou, qui sait, dans le métaverse." Le mot luxe renvoie peut-être à un univers exclusif : comment se conjugue-t-il avec le football, inclusif et populaire par définition ? "Qu'est-ce que Moncler a à voir avec le football ? Peut-être rien ! Mais l’évolution des différentes cultures génère des émotions. Alors pour exister, le luxe doit être de plus en plus inclusif. Entre autres choses, j'ai toujours vu l'Inter comme une marque sophistiquée, différente des autres équipes, mais cela reste un club qui unit, inclut, amène 80 000 personnes au Meazza." Que signifie "Inter" pour vous ? "Une énorme passion jusqu'à 25 ans, puis j'ai eu moins de temps... Je suis lié à la mémoire d'Altobelli et de Rummenigge: beaucoup de footballeurs de ces années vivaient dans ma région, près du lac de Côme. Je les ai surpris dans un restaurant qui était un vrai repaire de supporters de l'Inter." Comment est née cette doudoune ? "Pour être pertinent dans le monde numérique, il faut avoir des expériences physiques importantes, comme celle-ci: ce sera agréable de voir les joueurs arriver avec ce vêtement. Je l'ai dessiné moi-même et c'était un retour aux passions de la jeunesse. J'ai repensé à la voix de Ciotti et Ameri à la radio et à moi-même, 18 ans, avec la porte ouverte pour écouter l'Inter..." L'événement tombe le jour où l'Inter affronte Bologne, cauchemar de l'an dernier... "Et je retourne au stade après le derby du doublé de Giroud... On espère que cet événement nous fera oublier les mauvais souvenirs du Scudetto perdu et aidera à surmonter même la défaite avec la Juve." Parlez-nous un peu de votre relation avec le président Steven Zhang. "Nous nous sommes rencontrés lors d'un de nos événements, il portait une Moncler il y a deux ans. Il adorait déjà la marque à l'époque ! Au fil du temps, une relation est née plus de collaboration et d'amitié que de sponsoring. On est au bord du terrain, on sent l'odeur de l'herbe sans y entrer. Steven est aussi à un carrefour de cultures, certainement pas facile. Il est curieux, passionné de mode et d'Italie, mais il vient d'un autre monde. Il est entré dans une industrie difficile et était doué pour gagner. Donner de la valeur." Vous attendez-vous à une présidence à long ou à court terme ? "Je dirai simplement qu'il a fait un excellent travail. S'il reste longtemps, on ne peut qu'être heureux : à part quelques défaites cette année, les résultats sont au rendez-vous." Un entraîneur sur le terrain dessine une équipe comme un costume : quel genre de créateur est Inzaghi ? "C'est un homme élégant, il aime beaucoup le beau jeu. Après tout, chaque entreprise a toujours deux moyens : soit vendre de quelque manière que ce soit, soit essayer de le faire en divertissant le consommateur. Bien sûr, nous devons tous apporter les résultats aux investisseurs, mais j'aime ceux qui recherchent la beauté. Et j'aime une équipe avec des joueurs profondément Inter, comme Dimarco, Bastoni et Barella : ils représentent le mieux la marque Inter, l'identité profonde. Ce sens de la famille qui fait la différence dans une entreprise." Traduction alex_j via FCInter1908.
  18. En effet, comme le révèle la Gazzetta Dello Sport, la fête d’anniversaire d’Agustina où à logiquement participé Lautaro Martinez, mais qui s’est tenue 24h00 après la défaite au Stadium de Turin a fait "jaser" "Le site Dagospia a publié des photos de Lautaro dans un club milanais réputé, dans la soirée de lundi à mardi, pour l'anniversaire de sa compagne Agustina: Cela a suscité une Controverse (contenue) sur les réseaux sociaux vu l'heure et la pertinence de la fête en "Après-Juve". Ce dernier point est précisément celui que les dirigeants des Nerazzurri eux-mêmes ont souligné au joueur, hier à Appiano." Un simple recadrage car aucune sanction n’a été prise. ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  19. Lautaro Martinez de plus en plus leader de l'Inter de Simone Inzaghi. Les chiffres révélés aujourd'hui par la Gazzetta le disent. Lautaro Martinez de plus en plus leader de l'Inter de Simone Inzaghi. La Gazzetta dello Sport en parle aujourd'hui en analysant le début de saison du Toro et plus particulièrement, les chiffres des 10 premiers matches de Serie A auxquels il faut ajouter les 4 matches de Ligue des Champions. Voici ce qui est mis en avant par le rose aujourd'hui : "l'utilisation de Lautaro par Inzaghi est différente par rapport à la saison dernière. S'il faut compenser les deux blessures de Romelu Lukaku et Joaquin Correa qui ont empêché toute rotation en attaque pour certains matches, la tendance est de garder autant que possible le Toro. Ceci est expliqué par à son passage de statut de joueur à chef d'équipe, et ceci grâce au fait que l'Argentin peut créer un but de toutes pièces à tout moment, même à bout de souffle." "L'an dernier Lautaro était un 'très fidèle' des remplaçants, il n'est presque jamais resté sur le terrain jusqu'au coup de sifflet final. En cette période 2022-2023, cependant, la tendance est bien différente. Avec le match contre Salernitana, le numéro 10 des Nerazzurri a atteint 6 journées de championnat consécutives avec 90 minutes sur le terrain. Il faut ajouter les matchs contre Lecce et à la Lazio pour arriver à 8 matches complets en 10 journées de Serie A. L'année dernière, il n'y avait eu que 4, le tout à partir de la mi-février. A ceux-ci s'ajoutent trois matches de Ligue des champions (sur quatre) contre un seul disputé en intégralité lors de l'édition précédente. Evidemment le retour der blessure des coéquipiers tendra à privilégier les rotations au moins pendant le match. Cependant la tendance est claire : par rapport à il y a 12 mois, Lautaro compte déjà près de trois fois le nombre de matches joués de la première à la dernière minute. Tant qu'il est sur le terrain, il récolte des opportunités, alors pourquoi l'enlever ?" Traduction alex_j via FCInter1908.
  20. Dans "Non è solo calcio è amore" (Non seulement le football est amour), notre défenseur Alessandro Bastoni parle de ses débuts et de son succès à l'Inter. Voici ses propos rapportés par La Gazzetta dello Sport. Alessandro, votre voyage a commencé dans un oratorio. "Cela a commencé par plaisir et par passion. J'étais un enfant très timide et introverti et j'ai changé avec le temps. Peut-être que j'avais aussi du mal à m'identifier par rapport aux autres. Mais jouer là-bas a éliminé tous préjugés et problèmes. C'était de bons moments. Et aujourd'hui, je suis convaincu que si je suis devenu comme ça, je le dois certainement à ce début, à l'oratorio. L'oratorio doit être compris comme un lieu, comme une communauté de personnes, des animateurs aux compagnons, qui m'ont aidé à progresser. Je leur serai toujours reconnaissant." Dans vôtre carrière, il a eu plusieurs entraîneurs. Y en a-t-il un en particulier qui vous a marqué ? "Ne citer qu'un seul entraîneur serait peu reconnaissant envers tous les techniciens qui m'ont formé. Tout le monde m'a laissé quelque chose d'important, un signe, une valeur que je porterai toujours avec moi. Alors clairement sur la grande scène de la Serie A, Gasperini a été fondamental pour moi. Pourquoi? Celui qui t'appelle en équipe première quand tu n'as que 16 ans tu te souviens de lui. Et à l'époque je jouais pour l'Atalanta qui visait déjà l'Europe. Je reconnais le courage d'avoir misé sur un jeune homme et le mérite d'y avoir cru, peut-être même avant moi. Savoir qu'il y a quelqu'un qui croit en vous est plus facile pour rendre la confiance." Comment ça s'est passé avec Antonio Conte ? "La consécration est venue avec lui, coïncidant avec son arrivée à l'Inter. C'est comme si j'avais fait un saut qualitatif. Conte est un pilote, un motivateur qui fait des demandes spécifiques à ses joueurs en essayant de diffuser une mentalité de gagnant. Je lui dois tellement." Succès, récompenses et feux de la rampe... "Et comment. Ma vie a toujours été faite de sacrifices, partagés par ma famille qui m'a toujours soutenu. Sans une base familiale solide, il est difficile d'atteindre certains résultats. Ensuite, mon père était aussi footballeur. Il dit encore aujourd'hui qu'il était plus fort que moi... tout en reconnaissant qu'il n'avait pas ma tête. Il m'a conseillé, il m'a soutenu. Je peux dire avec joie que j'ai une excellente relation avec lui. J'ai aussi une bonne relation avec ma mère. Je la sens toujours proche. Enfant, les journées étaient dures. J'allais tôt à l'école et je ne rentrais que tard le soir après l'entraînement. Un grand effort." Un moment particulier ? "Non. De mauvais moments, un problème inattendu ou une blessure peuvent arriver. Il faut être doué pour réagir, il faut trouver la force en soi et s'accrocher à la foi. Pour atteindre un objectif, vous devez travailler dur." Vous sentez-vous responsable d'être un modèle pour les plus jeunes ? "C'est certainement agréable. Enfant, j'admirais aussi les footballeurs qui étaient actifs à l'époque. Les sportifs n'ont pas toujours des comportements exemplaires mais il est important qu'ils lancent des messages positifs. Je peux dire aux enfants d'aujourd'hui de s'engager, de s'amuser. Mais ils doivent toujours d'avoir un plan B, une alternative à suivre et de ne pas abandonner les études. La formation scolaire et universitaire sont fondamentales." Le direz-vous aussi à vôtre fille, Azzurra Agnese ? Et pourquoi s'appelle-t-il ainsi ? "Ma meilleure amie s'appelait ainsi et je voulais lui rendre hommage. Elle a été ma camarade de classe, de la maternelle au CE1, puis malheureusement elle est décédée. La nouvelle de sa mort m'a bouleversé. J'étais en Norvège, avec l'équipe nationale U16. J'ai reçu un message de mon père me faisant la triste annonce. Nous étions très proches. Un moment terrible. Pour moi, c'est comme si c'est une trace indélébile. Avant d'aller au lit je pense à elle, s'il te plait, j'essaie de te parler. Des choses comme ça vous font vraiment comprendre quelles sont les choses importantes dans la vie, les choses essentielles, celles qui comptent vraiment." Concernant le nom de sa fille, le site calciotoday.it avait dévoilé cette bien triste histoire le 29 Avril 2022; extrait. En Janvier, à la veille d'un match de championnat contre Venise, Bastoni est devenu père pour la première fois. Grande fête de famille pour la naissance d'Azzurra, fruit de l'amour entre Alessandro et Camilla Bresciani, sa compagne. Le choix du prénom de la petite fille est lié à un drame vécu par le joueur. Le deuxième prénom du bébé, Agnese, a une signification très profonde. Le couple l'a choisi pour se souvenir de sa meilleure amie décédée des suites d'un accident de voiture en 2015. Un deuil qui a marqué la vie de la promotion 99 alors qu'il évoluait encore dans les équipes de jeunes de l'Atalanta. Alessandro a révélé la raison de cette décision convenue avec Camilla. "Le deuxième prénom de ma fille est Agnese en mémoire de mon amie. C'était une de mes camarades de classe, avec elle je suis passé de la maternelle à la deuxième année. J'étais dans l'équipe nationale des moins de 16 ans. J'ai reçu un message de mon père disant qu'Agnese était morte. Ce n'était pas facile. Elle était ma meilleure amie. A chaque fois que j'entre sur le terrain je fais un geste en souvenir d'elle." Traduction alex_j via FCInter1908.
  21. Du jeu aérien au sens des buts, en passant par la plupart des fondamentaux du joueur de foot, pressé par La Gazzetta dello Sport Hernan Crespo ouvre la confrontation entre ses compatriotes Diego Milito et Lautaro Martinez après que Il Toro a atteint Il Principe avec 62 buts en Serie A. Jeu aérien: Milito 9 - Lautaro 8. "Il Principe, grâce aussi à sa taille, savait très bien exploiter les centres et, surtout, il savait se placer dans la bonne position pour recevoir le ballon. Il était maître de ce geste, il lui était difficile de se tromper dans son choix. Lautaro est plus instinctif, tout en ayant moins de qualité physique. Il est bon en acrobatie, il sait prendre le tempo du défenseur, mais il n'a pas l'explosivité de Milito." Pied droit: Milito 8,5 et Lautaro 9. "Il Principe était doué d'une excellente technique individuelle, il frappait très bien, mais il exploitait ces qualités surtout à l'intérieur de la surface de réparation. Il Toro, en revanche, est mortel à la fois lorsqu'il est à l'intérieur ou au bord de la surface. Tire depuis n'importe quelle position et cadre presque toujours au but. Il est aussi bon pour conclure après un slalom." Pied gauche: Milito 8 et Lautaro 8,5. "Il Principe s'accordait aussi très bien avec son pied gauche, même si ce n'était pas son pied préféré. Il Toro l'utilise souvent, parfois il semble qu'il n'y a pas de différence entre le droit et le gauche. Et il l'utilise aussi pour les tirs hors de la surface." Dribble: Milito 9 et Lautaro 9. "Phénoménal aussi avec le ballon aux pieds quand il s'agit de passer l'adversaire. Il Principe a défendu le ballon avec son corps et a dépassé le défenseur avec un dribble net, faisant passer le ballon d'un pied à l'autre. Vous souvenez-vous du but final de la Ligue des champions contre le Bayern Munich en 2010 ? Lautaro est plus un milieu de terrain offensif dans son geste, ce qui signifie qu'il affronte son adversaire en 'face à face', le défie et le trompe avec des feintes de corps." Sens du but: Milito 9,5 et Lautaro 8,5. "Il Principe était une sentence, il avait la voie dans la tête et n'en ratait pas une miette. Il n'avait pas besoin de regarder le gardien, il savait déjà où mettre le ballon. Et puis il avait une impressionnante régularité d'accomplissement. Lautaro est plus inconstant, il prend parfois des moments de pause. C'est un attaquant un peu particulier, il peut aussi jouer le rôle de second attaquant et pour cette raison, il se consacre souvent aux passes décisives." Leadership: Milito 9 et Lautaro 8. "Il Principe, avec son jeu et ses déplacements, a su diriger toute l'équipe. C'était un leader silencieux mais il était respecté et sa voix portait. De ce point de vue, Lautaro doit encore progresser. Il est jeune, il a besoin de faire ressortir toute sa personnalité pour devenir un vrai commandant. Pour l'instant il a beaucoup besoin de l'équipe." Traduction alex_j via FCInterNews.
  22. Un passage aux huitièmes de finale ferait du bien au moral ainsi qu'un portefeuille. La Gazzetta nous donne les chiffres. La qualification pour les huitièmes de finale de la Ligue des champions n'est pas encore mathématique, mais hier au Camp Nou, l'Inter a fait un pas de géant pour revenir dans le top 16 des équipes européennes. Désormais, il suffira de battre Viktoria Plzen au Meazza au prochain match ou faire le même résultat de Barcelone contre le Bayern Munich. Un bel exploit au niveau sportif au regard du groupe mais aussi d'un point de vue économique, ce qui est important. Comme le rapporte La Gazzetta dello Sport, le passage au second tour vaut environ 20 M€ : 9,6 M€ proviendront de l'Uefa comme récompense pour avoir passé les groupes, 2-3 M€ seront pour une augmentation du pool de marché des Nerazzurri et 7 -8 M€ pour le match des huitièmes de finale qui se jouera au Meazza. L'Inter, pour la seule participation à la Ligue des champions, a déjà récolté 36,4 M€ (15,6 M€ pour la phase de poules, 14,8 M€ pour le classement historique et 6 M€ pour la partie liée aux résultats du dernier championnat). A ce chiffre il faut ajouter 5,6 M€ pour les deux victoires obtenues face au Viktoria Plzen et Barcelone, ainsi que 930 000 € pour le match nul au Camp Nou. Nous comprenons que cela produit une liquidité importante pour le bilan des Nerazzurri. Il est difficile de penser à une intervention sur le mercato d'hiver de janvier. Cependant, l'Inter pourra certainement garder Skriniar plus facilement. Le Slovaque se verra proposer un contrat qui, en partie fixe, sera similaire à celui de Lautaro (6,2 M€) et Brozovic (6,5 M€), plus des bonus bien sûr. Il y aura une réunion avec son agent sous peu. Traduction alex_j via FCInterNews.
  23. En vue de Barcelone-Inter, La Gazzetta dello Sport a discuté au téléphone l'un des héros du Triplete, Wesley Sneijder. "Nous étions frères avant d'être coéquipiers, cela restera pour la vie. Le match du Meazza ? Beau, excitant, comme une vraie Inter. Et le résultat n'était pas du tout hasardeux ou chanceux…" Le match aller de l'Inter. "Un match très intelligent. Elle a défendu avec beaucoup d'attention mais elle n'a jamais mis le bus devant son but. Au contraire, elle a eu plusieurs occasions de contrer, et elle n'a pas concrétisé uniquement pour des détails ou des petites erreurs." Sur la comparaison faite entre Sneijder et Calhanoglu. "Hakan Calhanoglu a beaucoup de qualité, mais tout l'entrejeu des Nerazzurri, de Barella à Mkhitaryan, en a. J'étais l'idole d'Asllani ? Je ne savais pas, quel plaisir !" Soutien à Simone Inzaghi. "Les difficultés du début de saison sont normales, compte tenu des nombreux changements et des nombreuses blessures. Vous pouvez voir que les joueurs aiment bien Simone Inzaghi et l'année dernière l'équipe a très bien joué. Cela ne peut pas être une coïncidence." Il y a aussi deux compatriotes à l'Inter comme De Vrij et Dumfries. "Je pense que Stefan a joué un grand match contre Lewandowski. Denzel a connu une progression constante, à la fois physiquement et tactiquement. L'Inter a donné aux Pays-Bas un joueur encore plus complet." Sneijder n'a pas peur du Camp Nou. "Une équipe comme l'Inter va dans n'importe quel stade sans crainte, quelle que soit l'atmosphère qui l'entoure. Je pense qu'après la victoire au match aller, les joueurs ont gagné en confiance et peuvent jouer avec plus de liberté. Barcelone est très fort et il a Lewandowski. Mais eux aussi savent que l'Inter fait peur devant avec Lautaro est désormais une star mondiale et Dzeko est habitué aux soirées de ce calibre. Romelu Lukaku ? Quand il reviendra, son retour sera une bénédiction." Traduction alex_j via FCInterNews.
  24. D'un côté la vitesse et l'imagination de Mbappé, de l'autre la puissance et la constance de Haaland. Diego Milito, dans la Gazzetta dello Sport, parle des deux attaquants les plus forts d'aujourd'hui et, probablement, de demain aussi. Alors Prince, qui est la pointe du futur ? "Difficile à dire car ce sont deux joueurs extraordinaires, uniques, mais complètement opposés." Efforcez-vous et essayez d'en choisir un... "La façon dont je suis, j'ai toujours plus aimé les joueurs qui peuvent résoudre les problèmes par eux-mêmes. Quelqu'un comme Haaland, qui est tout simplement dévastateur, a toujours besoin de l'aide de ses coéquipiers. Mbappé, d'autre part, construit parfois le but lui-même, à partir de rien. Mais, de la même manière, il sait donner des passes décisives et trouver des espaces." Et s'il fallait faire une comparaison avec le passé : qui était un Haaland avant Haaland et un Mbappé avant Mbappé ? "Peut-être que le Français, pour l'explosivité d'une panthère, a quelque chose de Ronaldo, Il Fenomeno qui pour moi après Messi est le plus grand de tous. L'Italien Christian Vieri ou un Martin Palermo en Argentine. Puissant et incroyable dans la surface de réparation. Haaland a pris ce modèle dans une nouvelle ère et une nouvelle dimension." Les grands noms de notre ligue pourront-ils se rapprocher tôt ou tard de ces deux là ? "En Italie, je vois de grands joueurs progresser pour atteindre le sommet : je pense à Lautaro à l'Inter, Leao à Milan, Vlahovic à la Juve et aussi Kvaratskhelia qui est incroyable à Naples. Évidemment, personne ne peut y arriver seul, mais cela est aussi dépendent du parcours des équipes en Ligue des champions. Même en Serie A il y a une grande qualité d'attaquants." Traduction alex_j via FCInterNews.
  25. Marco Materazzi a des idées claires sur ce que l'Inter peut encore faire cette année. Il en a parlé dans une longue interview accordée aujourd'hui à la Gazzetta dello Sport. Moitié question et moitié souhait : comment projeter la victoire de Mardi sur Sassuolo ? "C'est très simple : ne pas regarder le classement, parce que le sommet de la Serie A est trop loin et parce qu'il y a plus d'équipes entre l'Inter et les leaders que l'an dernier. Ensuite : regarder l'équipe qui était Mardi, les joueurs, le public qui est de plus en plus décisif pour la façon dont il encourage le groupe." Penser à un retour est-il un pari? "Ce championnat est comme une Ligue des champions, jusqu'en Novembre un tournoi se joue comme s'il s'agissait de groupes, puis celui qui est le mieux loti en Janvier l'emportera. Je vais vous dire ceci : dans l'année qui a suivi le Triplete, à un moment on s'est retrouvé à -19 par rapport au premier. Puis après le Mondial des Clubs un coach intelligent est arrivé (Leonardo à la place de Benitez, ndlr) et si on n'avait pas perdu le derby retour on aurait gagné le Scudetto. Ici, l'entraîneur intelligent est déjà là : il n'a qu'à faire en sorte qu'à partir de Janvier cela ne dépende que de vous et pas des autres pour reconquérir." Le parcours est-il, d'un point de vue tactique, celui vu avec Barcelone ? "Cela doit être. L'Inter doit partir du fait de ne pas encaisser de but car avec le potentiel offensif qu'elle a, tôt ou tard, elle marque. Dans les quatre défaites en championnat, cependant, cela ne s'est pas produit. Et déjà à Lecce, le premier jour, il y avait une sonnette d'alarme ignorée. J'aimerais revoir le même type d'Inter. La raison est claire : si cette intensité, cette attention, cette méchanceté compétitive étaient parfaites pour arrêter Lewandowski, pourquoi ne pourraient-elles pas l'être Samedi ? Les attaquants n'aiment pas ce genre d'attitude. Mais laissez-moi vous dire quelque chose sur Dimarco." Allez-y. "Son ouverture au but a été LE geste du match. Si vous faites ces gestes là, cela signifie que vous avez une légèreté et une confiance au-dessus de la normale. Dimarco doit être l'âme du groupe : il joue à l'Inter depuis qu'il a six ans, il a des choses à l'intérieur que les autres ne peuvent pas avoir." Et puis un Skriniar revenu à son ancien niveau. Pensez-vous que le mercato a affecté son rendement ? "Non, je pense plutôt qu'il a payé la blessure qui lui a fait manquer le début de la préparation. Alors, bien sûr, il n'aura pas été hermétique à ce qui s'est passé autour de lui. Mais il a toujours répondu présent. J'espère qu'il restera. Ce qui comptera sera le professionnalisme jusqu'au dernier jour, le fait qu'il se souvienne que s'il est devenu Skriniar c'est grâce à l'Inter. Je ne doute pas que ce sera le cas. Disons qu'il ne sait pas ce qu'il perdrait en s'en allant..." Lautaro qui ne marque pas... quel signal est-ce ? "Arrêtez tout le monde : je dis lui et 10 autres, si je dois choisir la formation. Ce n'est que de lui et de Calhanoglu, par caractéristiques, que vous pouvez vous attendre au coup décisif, au jeu hors norme. Je ne sais pas combien auraient joué malgré la fatigue, sans penser à Sassuolo mais surtout à la Coupe du monde. El Toro l'a fait." Peut-être que le retour de Lukaku l'aidera aussi. "Romelu doit d'abord redevenir un athlète à 100 %. Probablement, étant donné le grand désir d'aider, il a fait un pas en avant excessif lors de sa récupération de blessure. Nous l'attendons, débordant comme nous le savons." Traduction alex_j via FcInter1908.
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