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L'ancien défenseur du grand Inter Aristide Guarneri s'est exprimé sur son équipe coachée par Herrera, mais aussi celle d'Inzaghi. Interrogé par La Gazzetta dello Sport, l'ancien défenseur du grand Inter Aristide Guarneri s'est exprimé sur son équipe entraînée par Herrera, mais aussi sur celle d'Inzaghi qui vient de battre Benfica à Lisbonne. Il a joué dix ans dans la Grande Inter, remporté trois championnats avec Helenio Herrera, dit le Magicien. Il a perdu un match éliminatoire contre Bologne de Fulvio Bernardini, dit Fuffo. Puis il s'installe à Bologne pour une seule saison, 1968, et devient champion d'Europe avec l'équipe nationale. Puis il a joué pour Napoli avec Sivori et Altafini. « Disons que j'ai vécu des moments de bon football, même importants. Je pense que j'ai joué pour le meilleur Inter de tous les temps et je suis coincé avec le credo de Luciano Ligabue : "Je pense qu'il n'y aura plus jamais d'Inter comme Corso, Mazzola et Suarez, mais cela ne veut pas dire qu'il n'y en aura plus ." d'autres, beaux d'une manière différente". Il y en a eu d'autres. Celui du Phénomène Ronaldo, Mancini et Mourinho. Non? "Bien sûr. Magnifique. Je les ai vus, je les ai applaudis. Mais tout le monde se souvient par cœur de notre formation : Sarti, Burgnich, Facchetti, Bedin, Guarneri, Picchi, etc. Je ne veux pas être nostalgique, mais l'odeur de ce football restera toujours avec moi ». Skriniar? Il ira au PSG… "Cela ne sert à rien de trop en parler. Peut-être qu'il le fait exprès, mais cela ne l'aide pas, ni l'équipe. Ce n'est pas facile de jouer comme ça." Que pensez-vous du défenseur central Skriniar ? « Qu'il n'est pas le plus fort. A vrai dire, il y a peu de défenseurs solides. Ce sera peut-être la formation, le type de préparation...». Qui préfères-tu? « Bremer de la Juve et Kim de Naples. Mais aujourd'hui, ils jouent tous en zone. Ils ont aussi des ennuis car on ne sait jamais quel attaquant va arriver. Facchetti était à l'Inter… «Oui, avec ses petites ailes maléfiques, lui aussi se débattait. Mais Giacinto a marqué environ 60 buts en championnat. Et sans pénalty. C'est Herrera qui l'a construit. Le magicien était un magicien pour ça. On parle de Giacinto et on s'en souvient peu, il n'y a pas beaucoup de mémoire dans le football». Herrera était-il aussi un peu sorcier ? Ou non? « Il savait tout sur tout le monde. Il était intelligent, très intelligent, un motivateur. Maintenant, vous voyez tous ces assistants plier et retourner des papiers sur la touche pour les joueurs. Je ne comprends pas. Mais savent-ils qu'il y a aussi des opposants ? Nous, sur le terrain, avons changé le marquage sans avertir le Magicien. Picchi disait : « Tu vas ici, tu bouges, tu montes ». Et Herrera sur le banc a dit : "Bien, bien". Au fait, connaissez-vous la feuille de Carosio ?». Le fameux saut du match contre la Juventus… «Oui, dans les vestiaires de San Siro. On est tous partants après l'échauffement. Quelqu'un frappe à la porte. Le Magicien demande : "Qui est-ce ?". "Je suis Nicolò Carosio". "Oh, et qu'est-ce que tu veux ?". "Laisse moi entrer…". Herrera ouvre lentement la porte : "Et alors ?". Carosio enlève son chapeau : "J'ai besoin de la composition.". Le Magicien le regarde avec méfiance : "Pourquoi dois-je te la donner ?". "Tu sais, Helenio, pour l'interview, on l'enregistre tout de suite, et il sera à l'antenne à sept heures". Le Magicien de plus en plus prudent : "Est-ce que la Juve t'a donné la composition?". Nicolò sourit satisfait et lui montre une feuille manuscrite : « La voici ». À ce moment-là, Herrera lui arrache le morceau de papier, le met dans sa poche et ferme la porte au nez de Carosio: "Merci, amigo". Puis avec un sourire : « Voyons comment ces gars jouent… »». la Ligue des champions pourrait être pour l'Inter ou le Milan ? "L'Inter a été formidable avec Benfica, Milan a battu un Napoli très fort. C'est sûr qu'il y a un retour, tout est ouvert, mais je pense qu'on pourrait aller en finale. Il y a au moins trois équipes qui sont plus fortes que celles Italiennes, mais l'Inter et Milan sont équipés, ils ont le cerveau et l'expérience. La Champions est, et a toujours été, quelque chose de complètement différent». Traduction Lindt1908 Via Fc Inter1908
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FC Internazionale de Milano : un possible XI de légende
alex_j a posté un article dans F.C. Internazionale Milano
Notre club a eu la chance d’avoir des époques très réussies dans notre histoire qui ont apporté de l'argenterie et certains des meilleurs talents mondiaux. Il y a aussi eu des périodes de souffrance, de douleur, de disettes entre ces périodes qui n'ont fait qu'accroître les succès ; ce qui est rare est cher. Salle Richard, chroniqueur du site gentlemanultra.com qui appartient au réseau sportif de The Guardian, a donné son XI de légende. Dans son All Time Inter XI personnel, il essaie de réfléchir à l'histoire du club car c'est quelque chose qui le passionne, car il croit que l'histoire de l'Inter définit son présent. Les meilleurs moments sous des entraîneurs tels que Armando Castellazzi, Tony Cargnelli, Helenio Herrera , Giovanni Trapattoni et Jose Mourinho ont donné au club un riche héritage et des joueurs fantastiques. Il suit l'Inter depuis 1988 et au cours des 18 dernières années, il a écrit à notre sujet, filmé des documentaires, travaillé avec eux dans la presse et il présente maintenant son Inter Podcast en anglais (rassurez vous, vous pouvez mettre des sous titres en français). Il a également eu la chance d'interviewer des joueurs de trois grandes époques : années 1960, 1980 et 2000. Certains des plus célèbres sont peut-être Mario Corso et Giuseppe Bergomi. Donc, cette équipe est personnelle et prend en compte l'histoire. Il y a peut-être une version plus moderne, il en est suis sûr, moi-même également, mais l’Inter ne serait pas là sans ces joueurs qui sont de véritables légendes de l'Inter. Gardien : Walter Zenga (1978-1994) "The Spider" était l'un des plus grands gardiens de but de sa génération. Zenga est né à Milan et était un fervent fan de l'Inter. Il a joué pour les Nerazzurri pendant 23 ans et pendant cette période, il a remporté la Serie A, la Coupe UEFA à deux reprises et la Super Coupe d'Italie. Son style dramatique, showman, est la raison pour laquelle on se souvent de lui si affectueusement. Son agilité et ses bonds incroyable signifiaient qu'il arrêterait le tirs de certains des meilleurs attaquants du monde, divertissant la foule dans le processus. Arrière gauche : Giacinto Facchetti (1960-1978) Personne n'a fait plus pour définir ce que signifie être un joueur de l'Inter que Giacinto Facchetti. L'arrière gauche a joué sous Helenio Herrera dans la "Grande Inter", remportant quatre titres de Serie A, deux Coupes d'Europe, une Coppa Italia et deux Coupes Inter Continentales. Il a porté le noir et bleu 634 fois, marqué 75 buts, c'était un homme à un seul club. En 2006, l'Inter a pris la décision de retirer le célèbre numéro trois. Défenseur central : Giuseppe Bergomi (1979-1999) Si jamais vous interviewez 'Lo Zio', vous comprendrez immédiatement pourquoi il est un meneur d'hommes. Gentleman calme et charismatique, Bergomi, comme Facchetti, est un autre clubman qui a joué plus de 500 matchs de championnat pour les Nerazzurri. L'homme qu'ils appelaient «Oncle» en raison de son incroyable moustache à un jeune âge, a remporté trois Coupes UEFA ainsi qu'un titre de Serie A, une Coppa Italia et une Supercoppa Italiana. Défenseur central : Armando Picchi : (1960-1967) Capitaine de l'équipe Grande Inter sous Helenio Herrera. Vous pourriez vous arrêter là et il est déjà une légende. Picchi était un défenseur polyvalent mais est devenu l'un des grands libéros, la position de balayeur a certainement été définie par lui dans les années 1960. Il est considéré comme l'un des plus grands défenseurs que l'Italie ait jamais produit et a remporté trois titres de Serie A, deux Coupes d'Europe et deux Coupes intercontinentales. Il est décédé tragiquement d'une tumeur à 36 ans. Arrière droit : Javier Zanetti (1995-2014) 'El Capitano'. Javier Zanetti est M. Inter. Il a ramené le professionnalisme de l'ère de la Grande Inter et incarné ce que signifiait être un serviteur du club. Personne n'avait l'endurance de "El Tractor" et on se souviendra toujours de lui comme étant le capitaine ou la grande équipe du Triplete de 2010. Zanetti détient le record du plus grand nombre d'apparitions pour un joueur étranger en Serie A avec 615, il détient le record du plus grand nombre d'apparitions pour l'Inter avec 858 et il a remporté 16 distinctions majeures avec les Nerazzurri. Il était également polyvalent en jouant à l'arrière gauche, à l'arrière droit et au milieu de terrain. L’Inter a retiré de son maillot le numéro quatre par respect. Ailier gauche : Mario Corso (1957-1973) Lorsque votre surnom est "Gods Left Foot", il est facile de comprendre pourquoi Corso est classé comme l'un des plus grands joueurs à avoir jamais joué à son poste. Membre de la Grande Inter, sa technique des coups francs et centres a été la clé de cette grande équipe. Il a fait ses débuts à l'Inter à l'âge de 16 ans et a effectué 413 apparitions en remportant le même nombre de titres que Facchetti. Parfois critiqué pour ne pas courir assez, assez logique à cette époque, Corso était plutôt un joueur intelligent qui préférait placer la balle. Milieu central : Lothar Matthaus (1988-1992) Lothar Matthaus a remporté le titre de joueur mondial de l'année de la FIFA à l'Inter et, dans le même temps, Diego Maradona a déclaré qu'il était l'adversaire le plus dur contre lequel il ait jamais joué, c’est dire. Ses 40 buts en 115 matches de Serie sont survenus à un moment où l'Inter renaissait sous Giovanni Trapattoni. Il a remporté la Serie A en 1989, la Coupe UEFA en 1991 et la Supercoppa Italiana en 1989. Dommage que Lothar ne se soit pas arrêté plus longtemps à Milan. Milieu central : Sandro Mazzola (1960-1977) Être le fils de Valentino Mazzola du Grande Turino, tragiquement perdu dans la catastrophe de Superga, n'allait jamais être facile. Cependant, Mazzola est devenu un grand à son époque. En 17 ans à l'Inter (un autre homme d'un club), il a amassé 117 buts en Serie A en 417 matchs. Le milieu de terrain offensif a remporté autant d etitres que Corso et Facchetti avec la Grande Inter. Il a également eu une rivalité tristement célèbre avec Gianni Rivera de Milan. Ailier droit : Luis Suarez (1961-1970) Connu comme l'un des plus grands joueurs espagnols de tous les temps, il était également le plus cher du monde lorsqu'il a suivi Helenio Herrera à l'Inter depuis Barcelone. Au cours des neuf années qui ont suivi, Suarez jouera 328 fois pour les Nerazzurri marquant 55 buts. Un ailier élégant surnommé «l'architecte», il pouvait également jouer en tant que meneur de jeu et était un autre joueur très adaptable. Il a amassé sept distinctions majeures à l’Inter. Attaquant : Ronaldo (1997-2002) "Il Fenomeno" a battu le record du monde de transfert pour la deuxième fois lorsqu'il a rejoint l'Inter depuis Barcelone. Son temps a été gâché par une blessure mais en 98 matchs, il a marqué 62 buts et laissé trembler les défenses de la Serie A. L'un des plus grands attaquants de tous les temps, il est peut-être étrange qu'il n'ait remporté que la Coupe UEFA avec l'Inter qu'en 1998, bien qu'il ait disputé l'un des matchs de sa vie en finale. Il fait parti des grands joueurs n’ayant pas remporté la C1. Attaquant : Giuseppe Meazza (1927-1940 & 1946-1947) Lorsque l'Inter donne votre nom à son stade, vous savez que vous avez eu un impact et pas le moindre. Meazza a joué pour l'Inter de 1927 à 1940 (et de nouveau en 1946/47) et à cette époque, il est devenu par beaucoup comme le plus grand sportif italien de tous les temps. Ses 242 buts en championnat en 365 matchs étaient un décompte et il a remporté trois Scudetti et une Coppa Italia dans le processus. Ses bouffonneries hors du terrain lui ont souvent apporté autant de publicité que ses capacités sur le terrain, mais cela ne l'a pas empêché de devenir l'un des meilleurs de tous les temps. IL y a quelques mois, j’avais publié un top 10 de l’Inter. Ce XI semble plus logique puisque tous les postes sont pris en compte. Traduction alex_j.- 4 commentaires
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Statistiques de l'Inter : record extérieur à Turin
Oxyred a posté un article dans F.C. Internazionale Milano
Turin - Le penalty de Hakan Calhanoglu a permis à l'Inter de remporter une fantastique victoire à l'arrachée ce dimanche. Cette victoire 0-1 redonne de l'élan aux Nerazzurri à l'approche des derniers matchs de championnat de la saison. Les hommes de Simone Inzaghi comptent 63 points à huit journées de la fin. C'est la onzième fois que l'Inter sort victorieux d'un déplacement à la Juventus depuis la saison 1929/30 (à laquelle on pourrait ajouter une autre victoire après le 0-2 infligé aux Nerazzurri en 1983). La dernière fois que l'Inter s'est imposée sur le terrain de la Juve, c'était en novembre 2012, lorsque Diego Milito avait inscrit deux buts et que Rodrigo Palacio en avait ajouté un autre pour porter le score à 1-3. Pour la première fois depuis 2008/09, l'Inter est invaincu dans ses deux rencontres de championnat avec les Bianconeri, puisqu'ils ont enregistré un match nul 1-1 à domicile et sont sortis vainqueurs de l'Allianz Stadium. En outre, ils ont également remporté la finale de la Supercoupe d'Italie en janvier. Calhanoglu et le penalty re-tiré Hakan Calhanoglu a été le grand artisan du match de dimanche, puisque son troisième penalty de la saison en championnat (les autres ont été obtenus contre Milan et Naples) a permis à l'Inter de marquer le but décisif. Il s'agit de son septième but de la saison en championnat, inscrit à la quatrième minute et demie du temps additionnel de la première mi-temps. C'est le dernier but de l'Inter en première mi-temps d'un match depuis qu'Opta a commencé à recueillir ces données en 2004/05. Le milieu de terrain turc a transformé chacun de ses cinq penalties en Serie A (contre la Roma, Lazio, Milan, Napoli et la Juventus). Le numéro 20 de l'Inter est le troisième joueur turc à marquer en Serie A contre la Juventus, après Sukru Gulesin dans les années 1950 et Can Bartu en 1963. Perisic atteint les 200 matchs en Serie A Ivan Perisic a réalisé une performance monumentale classique ce dimanche, caractérisée par son incroyable couverture défensive à un moment donné pour empêcher la Juventus de se procurer une occasion facile de but. Le match à Turin a marqué sa 200ème apparition en Serie A sous le maillot de l'Inter, le troisième Croate à atteindre ces chiffres, après Marcelo Brozovic et Milan Badelj. Handanovic en septième position en nombre d’apparitions avec le maillot del’Inter La prestation du gardien slovène contre la Juventus a marqué sa 359ème apparition en Serie A pour l'Inter, le plaçant au-dessus de Tarcisio Burgnich dans la liste des joueurs ayant disputé le plus de matches de championnat pour les Nerazzurri. Le classement des apparitions de l'Inter en Serie A est le suivant : Javier Zanetti 615, Giuseppe Bergomi 519, Giacinto Facchetti 475, Sandro Mazzola 417, Mario Corso 413, Giuseppe Baresi 392, Samir Handanovic 359, Tarcisio Burgnich 358, Walter Zenga 328, Ivan Cordoba 323. ®Oxyred – Internazionale.fr via SempreInter- 4 commentaires
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Robin Gosens, qui a pris le numéro 18, s’est livré à chaud à Inter TV Quelle émotion ressens-tu d’arriver à l’Inter et que représente pour toi, cette équipe ? "C’est une grande fierté d’arriver dans l’une des équipes parmi les plus importantes d’Europe, je suis trop content d’être ici et j’ai tellement envie de commencer." As-tu déjà parler avec Simone Inzaghi ? Que vous êtes-vous dit et à quel point as-tu l’envie de travailler avec lui ? "Oui, on en a parlé hier soir en Visio, il m’a dit ce qu’il attendait de moi et je lui ai raconté un peu mes propres idées, il y a une grande volonté de travailler ensemble et je suis impatient d’être sur le terrain avec lui et avec l’équipe." Ici, tu vas retrouver Alessandro Bastoni avec qui tu as déjà joué à Bergame, t’a-t-il déjà dit ce que cela signifie jouer pour l’Inter ? Est-ce qu’il t’a aidé dans ton choix de venir ici ? "Nous discutons quasiment quotidiennement, pas seulement maintenant, cela fait déjà 2 à 3 ans qu’il m’a dit que c’est un grand club, que c’est une fierté de jouer pour l’Inter, mais pour moi ce n’était pas un choix difficile, il n’a pas dû me convaincre car je sais moi aussi que l’Inter est une grande équipe. Il m’a raconté l’histoire du Club, comment on bosse ici et je suis content d’avoir déjà parlé avec lui." L’Inter est un club à forte tradition allemande et elle entretient un lien spécial avec l’Allemagne, A quel point est-tu fier de marcher dans les traces de certains joueurs, parmi les plus forts du football allemand ? "C'est aussi une grande fierté, il y a eu de grands champions ici qui ont écrit l'histoire avec ce club. J'espère pouvoir continuer à écrire cette histoire, c'est une ambition que j'ai, je suis venu avec une grande envie de continuer cette tradition de joueurs allemands et je suis impatient." L'année dernière, tu as inscrit 11 buts en championnat et 9 l'année précédente. Le record du plus grand nombre de buts par un défenseur en Serie A appartient à Marco Materazzi qui en a marqué 12, avant lui c’était Giacinto Facchetti qui en avait marqué 10. Pourrais-tu écrire un nouveau chapitre dans l’histoire des défenseurs goleador de l'Inter ? "Je l'espère, c'est certainement une belle caractéristique que j'ai en moi et j'espère marquer beaucoup de buts au Giuseppe Meazza car c'est une émotion incroyable et j'espère aider l'équipe avec beaucoup de buts et continuer cette histoire." As-tu une message pour les Tifosi de l’Inter ? Ciao les Tifosi Nerazzurri, je suis vraiment trop fier d’être et trop content d’être ici, je suis impatient de vous voir tous au Meazza et de donner tout ce que j’ai sur le terrain pour L’Inter." ®Antony Gilles – Internazionale.fr
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Interviewé par le canal Spotify de l’Inter, Javier Zanetti, le Vice-Président de l’Inter et Parrain d’Internazionale.fr s’est livré à l’occasion du lancement du quatrième maillot. "Mon premier maillot m’a été confiéors de la présentation sur la terrasse Martini, là ou j’ai réalisé les clichés avec Facchetti, Suarez, Mazzola, Angelillo, Bergomi: C’était une présentation émotionnelle, car c’était lors de mon arrivée en Italie, dans une ville telle que Milan, tellement imposante." "J’ai tous les maillots, ils font partie de ma vie : Chez moi, c’est un musée composé de maillots et de brassards de Capitaine. Pour moi, celui du Centenaire est spécial : Il représente les 100 années d’histoire de notre club, et il me plait énormément." "Parmi les plus beau, il y a aussi celui de 2010 qui aura toujours une grande signification vu ce que nous sommes parvenus à remporter. Il y a aussi celui de la Finale à Paris car c’était mon premier titre internationale avec l’Inter et j’avais marqué : Il a une saveur spéciale." Pourquoi le numéro 4 ? "J’avais joué en Argentine avec ce numéro. En Sélection Argentine j’avais le 8, mais à l’Inter le 4 était libre et ils m’ont proposé de le prendre: Et il n’est plus donné à personne. Je l’ai embrassé car j’ai senti qu’il était mien: L’Inter est l’une de mes amours, et j’ai embrassé quelque chose d’unique, je voulais partager ce moment avec les tifosi, c’était un gente empli de sentiment." "Elle se trouve à Milan, mais l’Inter est Internazionale : J’ai rencontré tellement de tifosi avec une telle passion qu’ils te font comprendre leur amour malgré la distance. Pour moi: l’Inter est Internazionale, résiliente, familiale et a une responsabilité sociale : Ce sont des choses que nous ne devrons jamais perdre, elles font partie de notre ADN. Nous devons les conserver et les transmettre au monde entier." ®Antony Gilles – Internazionale.fr
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Le Derby d’Italie de ce mardi 09 février risque d’être aussi retentissant que celui de 1998 et l’épisode Juliano/Ronaldo. Si dans les années 1990, il s’agissait d’un évènement du terrain, cette fois-ci la polémique prend une tournure vicieuse digne des plus mauvais film de Serie B Eclaircissements de la Gazzetta Dello Sport 'L’Inter est convaincue que les insultes continues en provenance de la Tribune de la Juve en direction de Conte ont été préméditées: Dès la première minute de jeu, l’objectif clair était de rendre nerveux l’entraineur, d’où le fait que l’indignation était de mise hier." "Andrea Agnelli, selon les Nerazzurri, aurait à plusieurs reprises, au moins trois fois insulté Conte de "Couillon". Des tribunes de la Direction sont partis "Un Clown" et un "Pense à entrainer Couillon" ce qui explique le doigt d’Honneur et le Stronzo (Conard) hurlé en retour" Confirmation des faits: "Agnelli a continué à insulter Conte en passant très près de lui dans la zone menant aux vestiaires, le traitant à plusieurs reprises de couillon, l’entraineur lui a répondu : Si tu as du courage, viens me le dire en face" "Leonardo Bonucci s’est rendu coupable de paroles insultants envers Nicolò Barella, ce qui explique le comportement d’Oriali qui est intervenu pour tenter de retrouver un peu de sérénité: Il s'est tourné vers Bonucci et lui a demande de ne pas parler aux joueurs des Nerazzurri, mais de simplement parler à ses coéquipiers. Une demande que Bonucci accepte comme raisonnable, mais c’est là que Paratici prononce une phrase menaçante envers Lele "Vous, taisez-vous sinon je vais vous frapper!" Ce comportement exagéré de la part de la Juventus, n'est pas anondin, celle-ci déjà au matchs aller, s’en était pris avec véhémence au Chef de la Sécurité interiste Claudio Sala. Selon la Gazzetta, "Conte s’est senti trahi à titre personnel par des personnes avec qui il avait traversé un long parcours dans le club bianconero...." Pour les images, on repassera "Les images non-télévisées appartiennent au groupe de la Juve qui était productrice de l’évènement." La promesse du quatrième arbitre Conte insulté, Agnelli qui le cherche dans les vestiaires, la réponse de celui-ci…. Si Agnelli s’est senti tout puissant, il a omis la présence du quatrième arbitre Daniele Chiffi Celui-ci est intervenue pour tranquilliser l’entraineur Nerazzurro : "J’ai tout entendu Mister, j’ai tout entendu." Sur base de cela, Le Procureur de la FIGC est entré dans la danse en ouvrant une enquête relative aux comportement des dirigeants et employés turinois et milanais lors du match retour de la Coupe d’Italie. Mais ce qui est surtout attendu, c’est le rapport qui sera rendu et les informations communiquées par Daniele Chiffi, le quatrième arbitre "Un excellent rapport détaillé de ce qui a été entendu est attendu. Car il est vraiment difficile d’expliquer, comment à Turin, dirigeants et entraineurs peut crier n’importe quoi sans risque la moindre amendes ou le moindre avertissements." "Dans le monde du football, celui qui comment des erreurs doit tout simplement payer....Mais vous savez, à Turin, les règles ont tendance à être établie selon des interprétations propres et cela ne date certainement pas d’hier." Javier Zanetti s’exprime en toute diplomatie En citant tout simplement Giacinto Facchetti : "Il y a des jours où être interiste est facile, il y a d’autres jours où l’être est un Honneur" Le Saviez-vous ? Maurizio Pistocchi lâche une bombe : Paratici s’en est pris à Barella!: "De Milan circule une rumeur selon laquelle la Direction Interiste est devenu furieuse suite au comportement de Paratici qui, à plusieurs reprise, à tenter de convaincre Barella d’abandonner l’Inter pour la Juve.!" Confirmation par Nicolò en personne: "Conte a su par Barella que Paratici l’a contacté à plusieurs repirse pour le convaincre de rompre avec l'Inter et d'aller à la Juve Réservez votre week-end du 15-16 mai 2021. Il s’agira de l’avant-dernière journée de Serie A et du Derby d’Italie qui se disputera à nouveau à Turin. Gageons que Conte et sa bande auront envie de tout faire pour célébrer le titre sur le terrain de l’ennemi-juré… ®Antony Gilles – Internazionale.fr
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L’Inter rend hommage à Giacinto Facchetti
Victor "Antony" Newman a posté un article dans F.C. Internazionale Milano
Le 4 septembre 2006, l’ancien défenseur et Président de l’Inter, Giacinto Facchetti, s’éteignait des suites d’une très longue maladie à l’âge de 64 ans. L’Inter a tenu à lui rendre hommage ce jour: "Il y a quelque chose que le temps ne peut pas annuler ou estomper, ce sont les enseignements, les valeurs et l’exemple de celui qui a réussi à laisser son empreinte, dans sa propre vie et dans cette des autres. Et c’est pour cette raison que le souvenir de Giacinto Facchetti est toujours vif. L’élégance de ses mouvements, la classe de ses buts, sa loyauté sportive, son intégrité morale et sa capacité à être un Fuoriclasse et un innovateur, lui qui pensait à l’avenir et aux jeunes. Son message continue à se transmettre entre les différentes générations en conservant toute sa force." ®Antony Gilles - Internazionale.fr -
Massimo Moratti célèbre le Triplé et vanne Agnelli
Victor "Antony" Newman a posté un article dans F.C. Internazionale Milano
Massimo Moratti s’est livré à la Gazzetta Dello Sport à l’occasion du 10ème anniversaire du Triplé qui a débuté le 5 mai à Rome pour se conclure en beauté le 22 mai 2010 à Madrid. Des festivités étaient-elles prévues ? "Une rencontre était organisée avec Mou et les joueurs, nous avions une table au restaurant El Botin de Madrid". Pour revivre ce Triplé, nous allons partir de la Coupe d’Italie. Ce 5 mai 2010 a-t-il exorcisé celui du 5 mai 2002 ? "Rien n’est exorcisé dans le football, ce 5 mai restera, même si Milito l’a rendu ensuite moins amer. Ce jour-là, je n’étais pas allé à Rome par superstition." Quel a été l’impact de cette victoire ? "Elle a posé les bases pour le reste, nous avions remporté la rencontre la plus dure des trois dans un style "Inter". La Roma était le rival historique de ces années-là et nous tenions à les surclasser. Il a fallu un exploit venu d’ailleurs, un but qui n’est pas Da Milito." Seconde étape, le Scudetto à Sienne... "Autre combat, mais différent. L’adversaire était moins fort que celui de Rome, mais il jouait avec une détermination féroce. Ensuite Zanetti a décidé qu’il fallait réécrire l’Histoire, il a réalisé des dribbles et a servi un but en or à Milito." Aviez-vous la tête à faire la fête ou était-elle déjà à Madrid ? "La vraie fête s’est tenue dans le vestiaire. Le Scudetto nous préparait de la meilleure des façons à la Ligue des Champions. Je me souviens du retour à Milan en voiture : une longue vague de bleue et de noire, les Tifosi m’ont aussi rejoint pour me souhaiter mon anniversaire, c’était magnifique !" Six jours plus tard, la rencontre face au Bayern... "Paradoxalement, ce fut la moins difficile. Nous avions tellement souffert à Barcelone. De façon émotionnelle, la Ligue des Champions fut remportée au Nou Camp. C’était le match le plus dramatique de ma vie. Nous avions joué quasi tout le match à 10 après l’expulsion injuste de Thiago Motta." "Voir Eto’o se sacrifier sur l’aile était un signal fort envoyé à tous. Là, j’avais compris que le destin était entre nos mains, que nous pouvions surmonter tous les obstacles." Quand a eu lieu la vraie révolte lors de cette édition de la Ligue des Champions ? "Lors des deux buts inscrits en fin de match au Dinamo Kiev, ce qui nous a évité l’élimination en phase de groupe, et aussi le huitième face à Chelsea. Après tant d’années de douleurs en Europe, nous nous sommes comporté comme une vraie équipe. Mou était un formidable chef tacticien." Revenons à Madrid, votre première chose en tête ? "Cela peut vous sembler étrange, mais c’est une image vu ensuite à la télé : Une fille en cheveu court et en maillot qui pleurait. C’était l’emblème de la joie offerte à tant de gens. Ensuite, le premier but de Milito pour l’importance et la conception, cette beauté dans la façon dont il enrhume le gardien de but et le défenseur. Diego était comme ça : la classe pure, même lorsqu’il se montrait silencieux, c’était un donneur de leçon." C’est Sneijder qui l’avait lancé au but. Est-ce vos meilleurs 16 millions d’euros dépensés tout au long de votre Présidence ? "Wes a changé l’Inter, il lui a permis d’hausser le rythme, il lui a donné une nouvelle dimension." Après tant de dépenses, ce noyau a finalement coûté que 150 millions d’euros... "C’est vrai, mis à part l’opération avec le Genoa pour Milito et Motta, sans oublier l’échange Ibra-Eto’o plus de l’argent." Julio Cesar était arrivé très récemment, Cambiasso gratuitement sur une belle intuition de Branca. Je ne comprends pas, encore à l’heure actuelle, comment le Real est parvenu à en perdre un comme lui." "Cuchu était arrivé avec Mancini, il a bien débuté et le staff technique pensait que grâce à son physique, il était déjà en forme, mais il y une étape de croissance. Tôt ou tard, Cambiasso entraînera l’Inter." Maicon a 6 millions d’euros… "A l’époque, quelqu’un m’avait pris la tête avec cette dépense. Il sera tout de même devenu le plus grand arrière droit de l’Histoire de l’Inter !" Le meilleur gaucher, lui, a vécu la nuit de Madrid d’en haut… "J’ai pensé à Facchetti après chaque victoire, sans oublier cette citation : "Après tant d’années de souffrances ensemble, tu aurais dû être là pour en profiter", lui ais-je dit." Comment était la fête à Madrid ? "J’étais vidé, nous avions atteint l’objectif de toujours et j’ai pensé : Qu’est-ce qui peut mal tourner à présent ? Et je me suis dit : Déjà, il y a Mou qui nous quitte. J’ai préféré ne pas rentrer à Milan car Mou était absent et je ne voulais pas devenir le centre de l’attention, j’ai préféré laisser présenter la Coupe à mon fils, qui comme le reste de la Famille, était très proche de moi dans cette épopée." Avant de revenir sur Mou, quel est le mérite attribué à Mancini dans ces titres ? "Ils sont nombreux, il avait construit la maison durant les années précédentes. Avant lui, nous ne gagnions pas en Italie, même si il y avait une raison très importante. C’est un grand entraîneur et il l’a démontré avec l’équipe nationale." "J’ai pensé à le recruter à Noël en 2003 après qu’il m’est offert un maillot de l’Inter avec un Scudetto énorme et un billet sur lequel était écrit "Si tu veux goûter à la victoire…Je suis à ta disposition."." Revenons à Mourinho et aux phrases un peu polémique de Milito... "L’adieu de Mourinho était préparé. Mais Il fut tout de même douloureux, mais je me rappelle que lorsque nous nous étions entassés sur le terrain, je lui avait dit qu’il pouvait faire ce qu’il voulait. Et c’est lui qui fut le premier à pleurer." En avez-vous reparlé ? "Jamais, je ne veux pas rompre ce charme. Nous nous sommes toutefois déjà échangés des regards qui valent milles paroles. Nous nous sommes revus le surlendemain chez moi, avec la Coupe au milieu de la table et tellement de sourires." Milito en fin de match avait dit : "Je ne sais pas si je resterai..." "L’erreur commise ce soir là était de dire qu’il n'était pas du niveau du Ballon d’Or. Peut-être qu’il ne se sentait pas assez apprécié, mais je n’ ai pas donné d’importance à cette déclaration." Quelqu’un vous avait dit qu’après une année comme celle-ci, vous auriez du le vendre... "Cela me fait encore sourire. Il était au Top et s’il ne s’était pas blessé, il aurait réédité l’année suivante. Lorsque tu as une équipe aussi forte, tu n’as pas besoin d’argent : Pourquoi la changer ?" "La vérité est que je me suis trompé dans le choix de l’entraîneur : Benitez était très bon, mais ce n’était pas la personne adaptée. J’aurais du prendre Léo immédiatement et pas à Noel." Y-a-t-il eu d’autres erreurs post-Triplé ? "Non, ce qui m'inquiétait était la recapitalisation du club. Je m'occupais des choses sur le terrain et moins de l’aspect commercial. C’est un football qui a changé." Pouvez-vous nous révéler une anecdote sur Madrid, qui à présent, ne poserait aucun problème à l’intéressé ? "Il rit… Mais non, à la limite Sneijder. Il me mettait la pression pour avoir une de mes montres qui lui plaisait, et je pense qu’elle valait un millième de ce qu’il venait de gagner cette année-là, et des cadeaux, je leur en avait déjà fait de nombreux." Mou et Conte sont-ils similaires ? "Je ne connais pas assez bien Conte pour le juger, mais ce sont deux marteau-piqueur, obsédés par le football avec l’envie de tout donner." Lautaro peut-il quitter l’Inter ? "Si Messi arrive, il restera et si Leo est impossible, à la place du Toro, j’aimerai Dybala." Etes-vous favorable à la reprise ? "C’est mieux de préparer la saison prochaine. Mais tu as toujours quelqu’un comme Lotito qui parle comme un supporter." Assigneriez-vous le Scudetto ? "Actuellement, ce n’est pas la priorité. L’Inter a toutes ses chances pour le remporter." Andrea Agnelli a liké un post d’un supporter qui ne voudrait pas du Scudetto car la Juve n’est pas comme l’Inter... "Il y a une très légère différence : à l’époque, il s’agissait d’une arnaque, ici d’un virus qui paralyse le monde" Stopper maintenant mettrait un terme au rêve de Triplé de la Juve. "Ils auront d’autres occasions. Si cela me dérangerait qu’ils y parviennent ? Aucun record ne résiste éternellement. Ce qui est sur, c’est qu’on ne nous enlèvera jamais le Triplé." ®Antony Gilles - Internazionale.fr- 5 commentaires
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Gianfelice Facchetti: "C'est particulier contre le Torino"
gladis32 a posté un article dans Interviews
Pour Gianfelice Facchetti, fils de Giacinto, un Torino-Inter n'est pas une rencontre comme les autres. Pour Tuttosport il raconte ses liens historiques avec les deux clubs. Expliquez-nous votre relation avec les grenats : "En dehors de mon cher Inter j'éprouve une sympathie particulière pour le Toro, pour des raisons personnelles et familiales. Enfant j'ai joué dans l'équipe de Cassano d'Adda (commune proche de Milan) qui est également la ville de naissance de Valentino Mazzola. Notre famille a vécu là-bas, et l'équipe locale y porte les couleurs du Grande Torino à la mémoire de Valentino justement. J'y jouais gardien et la tenue ne changeait pas de celle du Toro des années 80. Il m'est aussi arrivé de porter le maillot noir de Bacigalupo. Mon père m'appelait Baci dans le but. Un rôle que j'ai joué quelques années plus tard pour le film Il Grande Torino de Claudio Bonivento. Mon père, né sept ans avant la catastrophe du Superga, gardait un immense respect pour ce Torino, pour les valeurs morales et sociales qu'il incarnait. En outre il avait pour coéquipier Sandro Mazzola, fils de Valentino. Il n'a voulu garder à vie qu'une seule chose d'un autre footballeur à la maison, la photo dédicacée de Virgilio Maroso, l'arrière gauche du Toro et de la sélection." "Il y a déjà des expositions, des rues ou des places en Italie dédiées à mon père, mais c'est la première fois qu'il y a une exposition faites par un tifoso adverse. Nous en sommes honorés, c'est une très belle reconnaissance. C'est aussi un message de fierté, de respect lancé au football et vu que le match approche, cela met des valeurs positives en avant. Il est à souligner que tout est géré par des fans. Cela apporte une plus grande sensibilité, une certaine passion que j'aime beaucoup. Cela m'a toujours surpris qu'il n'y ait pas de jumelages entre supporters. J'ai aussi découvert de nombreuses affinités historiques que je ne connaissais pas. Il y a une petite anecdote qui remonte à 2008 et fera certainement plaisir aux tifosi du Torino. Pour notre centenaire j'ai appelé Bearzot pour l'inviter aux festivités. Il m'a répondu « Je n'en ai pas envie. Oui l'Inter est mon premier amour mais ensuite j'ai épousé le Toro. » Dans ses mots j'ai senti un lien très fort de loyauté, indestructible." Et puis il y a la rivalité avec la Juventus, cela unit aussi... "C'est vrai. Une fois à la télévision j'ai dit que la Juve a son Cristiano, mais tout le monde sait que Jesus est tifo du Toro." Maintenant le rêve c'est le Scudetto : "Il y a des supporters qui viennent me voir et me disent « Nous nettoyons Conte maintenant qu'il est ici. » La vérité c'est que Conte n'a jamais dit qu'il s'interdirait un club ; « jamais à la Juve » - « jamais à l'Inter » etc. En devenant entraineur il a immédiatement déclaré qu'il ne serait supporter que du maillot qu'il coacherait. J'aime son Inter en constante progression. Cette année nous voyons une nette amélioration du point de vue technique et personnel. L'équipe est plus forte que l'an passé. Quant à Marotta il n'a pas seulement travaillé pour la Juventus, mais aussi ailleurs. Quand papa était à la tête de l'Inter, il avait déjà essayé de le ramener. Il reconnaissait déjà en lui une personne très compétente." Est-il plus réaliste d'imaginer l'Inter gagner le titre ou de voir Torino remonter et se qualifier pour l'Europa ? "Ce sont deux scénarios réalistes pour moi. C'est important de rester dans le sillage et d'arriver en janvier cote à cote avec la Juventus, et tenter le dépassement décisif. En ce qui concerne le Toro, le premier aspect c'est que Sirigu et Belotti continuent leurs performances exceptionnelles. Tout autour ils ont les joueurs pour le faire. Il reste encore beaucoup de rencontres c'est réalisable." C'est Mazzari qui se trouve là-bas. Il n'est pas très aimé à Milan... "En effet. Il n'a pas eu de chance, il est arrivé à un moment compliqué pour n'importe qui. Avec les joueurs qu'il a -et je ne pense pas seulement à Belotti- ils devraient peut être plus attaquer. Avoir un jeu plus agressif, plus courageux. Un jeu plus en phase avec l'histoire de ce club et de ses fans, sans qui le courage est un élément fondamental dans leur existence." ®gladis32 - internazionale.fr-
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