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Gianluca Pagliuca : "L'Inter quasiment en finale et le Milan dans le top 4"
alex_j a posté un article dans Interviews
S'exprimant aujourd'hui sur Radio Anch'io Lo Sport, notre ancienne légende Gianluca Pagliuca s'est exprimé sur les divers sujets brulants de l'Inter. L'Inter passant le Milan pour la finale de la Ligue des Champions ? "L'Inter commencera comme favorite avec son 2-0 mais je ne vois pas le Milan 'battu' d'avance. Je suis convaincu que l'Inter a d'excellentes chances et j'espère qu'ils atteindront la finale mais les Rossoneri vendront chèrement leur peau. En championnat, je pense que le Milan sera dans le top 4 car les quatre plus forts y iront : Naples, l'Inter, la Juventus et Milan... La Roma aurait quelques points de plus s'il n'y avait pas eu les coupes." Onana vs Maignan "Ils sont tous les deux très forts. Pour l'instant je suis du côté de Maignan mais Onana connaît une saison incroyable en Serie A. Je ne pensais pas qu'il éclorait si tôt car je pensais qu'Handanovic avait plus de 'touché'. Mais Maignan est l'un des trois plus forts du monde." Plus peur d'affronter le duo Lukaku-Martinez ou Dzeko-Martinez ? "Lukaku est vraiment en forme, il redevient le joueur décisif qu'il était. J'aurais plus peur d'affronter Lukaku-Lautaro que Dzeko-Lautaro. Ils s'entendent bien, ils ont remporté le championnat avec Conte et cette année ils étaient à leur paroxysme. Je pense qu'ils finiront la saison sur une bonne note." Les jeunes gardiens italiens "J'aime vraiment Vicario , il a eu un championnat incroyable et il est déjà prêt pour des clubs plus importants. Carnesecchi est bon mais je le laisserais faire une autre année dans une équipe moyenne pour ensuite sauter le pas aussi." La confrontation joueurs-fans qui a eu lieu à la Spezia après la défaite du Milan "Je ne comprends pas comment les joueurs de Milan qui ont fait une belle saison doivent s'excuser d'avoir perdu. Je peux comprendre si vous êtes relégués. Milan a perdu mais parce qu'ils sont probablement déjà concentrés sur le derby. Quiconque a fait ce travail pendant tant d'années peuvent comprendre cela. Certains fans ne le comprennent pas. Ils pensent que Milan devrait aller à La Spezia et gagner 3-0 et ce n'est pas le cas." Traduction alex_j via FCInterNews.- 7 commentaires
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Ce qui s'est passé mardi soir à l'Allianz Stadium suite aux honteuses insultes racistes contre Lukaku n'est que le dernier épisode d'une saga sans fin. Juventus-Inter est une rivalité féroce et amère qui va au-delà du football et prend souvent des tonalités de Far West. Voici donc, avant le match retour, toutes les polémiques et les bagarres les plus enflammées des 114 ans du Derby d'Italie : Pour retracer l'origine du poison de chaque match entre l'Inter et la Juve, il faut remonter au 16 avril 1961. Ce jour-là, l'Inter d'Helenio Herrera débarque à Turin en plein sprint pour le titre. Le match a cependant été interrompu après une demi-heure en raison d'une invasion de terrain qui, suite à une plainte des Nerazzurri, a donné la victoire à l'Inter. Cependant, une victoire annulée par un appel des Turinois, qui a obligé à rejouer le match. En réponse le président de L'inter Angelo Moratti, à envoyé l'équipe de la Primavera à Turin, qui a été humilié 9-1. Jusqu'au mémorable 26 avril 1998 37 ans plus tard, jour qui inaugura une nouvelle ère de feu et de flammes même sur le terrain : En pleine lutte pour le titre à quelques journées de la fin du championnat, L'Inter est sorti battu après s'être vu refuser un penalty très clair à Ronaldo, qui a été renversé dans la surface par Iuliano quelques instants avant que l'arbitre Ceccarini accorde un penalty à la Juventus sur un contre qui à été rondement mené, Del Piero échoue face à Pagliuca. Alors Une bagarre furieuse s'ensuit, avec Pagliuca qui a récemment révélé d'avoir donné un coup de poing sur le côté à Ceccarini. Traduction Lindt1908 Via Fc Inter1908
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Les considérations de l'ancien gardien des Nerazzurri sur l'éventuel départ du Nigérian qui a trouvé des admirateurs à travers l'Europe! André Onana pourrait sérieusement se retrouver dans le viseur de la grande Premier League. La Gazzetta dello Sport le souligne également, qui a interrogé à ce sujet l'ancien Nerazzurri Gianluca Pagliuca. Voici ses considérations : « Certes, André progresse et la Premier League est une ligue plus belle et surtout plus riche que la ligue italienne. Alors… Pourquoi pas ? Il est arrivé en transfert gratuit, avec une telle plus-value c'est impossible de dire non à la Premier League." Si vous étiez à l'Inter, comment vous comporteriez-vous ? "Pour un montant très élevé, je dirais disproportionné, je le vendrais. Evidemment il faut prendre un bon substitut et il y en a plusieurs à la hauteur. Donc si une bonne offre arrive, je dirais tout de suite oui" D'autre part, que pensez-vous du Vicario ? "C'est le gardien que j'aime le plus. Si l'Inter vend Onana pour une bonne somme et le signe ensuite, ils feront une bonne affaire. Il s'est beaucoup amélioré ces deux dernières années, il n'est même plus très jeune (26 ans , ndlr) et a déjà fait ses expériences. Pour moi, il est mûr pour sauter le pas". Y a-t-il d'autres noms que vous aimez ? "J'aime Provedel de la Lazio, mais Meret est aussi un grand gardien. Et il y en a d'autres, de Carnesecchi à Audero et Falcone". Traduction Lindt1908 Via Fc Inter1908
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Dimanche, nous avons traduit et publié la première partie de l'interview exclusive de SempreInter.com avec notre légende Gianluca Pagliuca. Aujourd'hui, nous publions la traduction de la deuxième partie, une conversation approfondie sur les sujets les plus brûlants concernant l'Inter Milan. Gianluca Pagliuca pense qu'Onana était l'homme du match contre Porto en Ligue des champions. "Contre Porto, à mon avis, il était le meilleur joueur sur le terrain. J'ai vraiment beaucoup aimé sa prestation. Le sentiment de sécurité qu'il diffuse, sa distribution de balle, sa rapidité, les arrêts décisifs, en particulier ceux qui semblent faciles mais qui sont en réalité très difficiles, lorsque la balle rebondit devant vous. Il a vraiment bien fait, il m'a donné un sentiment de sécurité. Il a fait un match fantastique." Si une grosse offre d'argent arrivait pour Onana, le vendriez-vous ? Et signeriez-vous quelqu'un comme Guglielmo Vicario d'Empoli à sa place? "Vicario est un très bon gardien, il sera le gardien le plus sollicité du mercato. Cela dit, si un club étranger arrive et offre 100 millions d'euros, l'Inter ferait bien de le vendre [Onana]. Sinon, à moins qu'une énorme offre d'argent n'arrive, je pense que l'Inter le gardera." Simone Inzaghi a été très critiqué pour la rotation des gardiens de but, Samir Handanovic remplaçant parfois André Onana. Pagliuca pense que le gardien slovène jouera en Coppa Italia ainsi que dans le match hors Serie A. "Si j'ai bien compris la mentalité d'Inzaghi, Handanovic jouera en Coppa Italia et quelques matches en Serie A. Il [Handanovic] donnera toujours des performances satisfaisantes mais la décision du club est claire. Handanovic a fait des choses extraordinaires [dans sa carrière]. Il n'est plus ce qu'il était mais il reste un gardien aguerri. C'est normal qu'il joue dans la Coppa Italia." Peut-être que Handanovic terminera sa carrière à l'Inter en remportant la Coppa Italia ? "Je lui souhaite ça. Il méritait après de nombreuses années à l'Inter de remporter des trophées, comme le Scudetto il y a deux ans. Il aurait également pu gagner la Serie A la saison dernière, mais au final, les Nerazzurri ont remporté les coupes nationales et non la Serie A." Alors que Napoli fonce pour le Scudetto cette saison, l'objectif principal de l'Inter en championnat est de terminer dans le top 4, ce que Pagliuca pense qu'elle fera. "Je pense que oui [l'Inter finira dans le top 4 de la Serie A. Je dirai aussi ceci, je pense que la Juventus le peut aussi malgré sa pénalité de 15 points. Ils [Juventus] sont une équipe en forme qui se remet sur les rails. Les Bianconeri font également partie des favoris pour remporter la Ligue Europa." Pendant ce temps, les Nerazzurri verront le Benfica pour les quarts de la Ligue des champions, un tirage qui, selon Pagliuca, permet à l'Inter de rêver de gloire européenne sans sous-estimer aucun de ses adversaires. "C'est un bon tirage [pour l'Inter]. Mais Benfica est une équipe très dangereuse et c'est une très bonne équipe qui peut aller jusqu'au bout dans cette compétition. Cela dit, si j'étais l'entraîneur de l'Inter, j'aurais choisi de jouer contre Benfica ou Chelsea. Ensuite, si vous passez, vous jouez à Naples ou à Milan, ce qui signifie que vous évitez le Real Madrid, Man City et le Bayern Munich. Le tirage au sort s'est très bien passé même si ce sera très dur et il faut le redire. Les deux fois où l'Inter a affronté le Milan en Ligue des champions, elle a été éliminée. Le Napoli est une équipe que nous connaissons tous, qui domine en Italie et qui est dévastatrice. Mais cela dit, bien sûr, vous pouvez rêver grand, aussi parce que l'autre moitié est beaucoup plus compliquée. Je me souviens qu'au fil des années, une équipe a parfois remporté la Ligue des champions comme celle-ci. Alors bien sûr, il est décisif d'être en forme au bon moment. En ce moment, l'Inter connaît un déclin dans toutes les compétitions auxquelles elle participe. Mais maintenant, le véritable objectif, en plus de terminer dans le top 4, est d'essayer d'aller jusqu'au bout en Ligue des champions ainsi qu'en Coppa Italia." Traduction alex_j via Sempreinter.
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Notre légende Gianluca Pagliuca pense que le Derby D'Italia de ce soir n'est pas aussi important que le prochain match de la demi-finale de la Coppa Italia contre la Juventus. En effet, notre ancien gardien de but pense qu'il est plus important de remporter la Coppa Italia et de terminer la saison avec un trophée que de remporter ce choc de Serie A étant donné l'énorme avance de Naples, considérant le match de ce soir comme une bataille pour la deuxième place. "Je considère cet affrontement entre l'Inter et la Juventus en Serie A comme une affaire en demi-teinte. Cette confrontation particulière ne m'excite pas comme d'habitude. Dans deux semaines, ils se retrouveront en Coppa Italia et le Napoli a trop d'avance pour que quiconque pense à les rattraper. Donc c'est vraiment une bataille pour la deuxième place. Je pense que si c'était un match que j'aurais pu éviter de jouer, je l'aurais fait, étant donné que les quarts de finale de la Ligue des champions et de la Ligue Europa s'ajoutent à la demi-finale de la Coppa Italia." "L'Inter est entrée dans ce match à la suite de la bataille à Porto, et la Juventus d'un match contre Fribourg qui était tout sauf facile. Ce choc Inter vs Juventus Serie A est donc moyennement important. Le choc de la Coppa Italia est plus important. Si je pouvais choisir quel match gagner, je pense qu'Inzaghi et Allegri seraient d'accord après avoir remporté la Coupe nationale. Comme je l'ai dit, le choc en Serie A n'est pas aussi important, même s'il s'agit d'une bataille pour la deuxième place." Au cours de son passage de cinq ans à l'Inter, Gianluca Pagliuca a pris part à l'une des plus controversées jamais disputées en Serie A entre les Nerazzurri et la Juventus, à savoir lors de la saison 1997-1998 au Stadio Delle Alpi. Dans son autobiographie récemment publiée, Volare Libero, Pagliuca écrit qu'il a discrètement frappé l'arbitre de ce match, Piero Ceccarini. "Écoutez, j'ai été fortement insulté sur les réseaux sociaux pour avoir prétendu avoir frappé l'arbitre. J'ai tout écrit dans le livre. Je l'ai déjà écrit, tout est dans le livre et tout est vrai. Tout le monde se souvient et ne parle que de cet incident malheureux. Mais ils ne savent pas ou ne se souviennent pas des nombreuses autres erreurs de cette saison." "Par exemple, le but de Bianconi d'Empoli et le gardien de but de la Juventus, Peruzzi, a poussé le ballon alors qu'il était à un mètre de la ligne de but et que le but n'était pas debout. Il en va de même pour le but de Bierhoff, pour l'Udinese, à Turin, contre la Juventus, mais le but a été refusé, puis la Juventus a remporté un match où elle aurait dû prendre un but. Il existe de nombreuses situations que vous pouvez trouver sur lesquelles j'écris dans le livre. C'est une autre raison de le lire." Au sujet du livre, écrit avec Federico Calabrese, Pagliuca raconte tout, de ses premières années à son adolescence et de ses débuts à la Sampdoria à l'Inter et à la fin de sa carrière. "J'ai été contacté il y a plus d'un an par Federico Calabrese qui m'a demandé si j'étais partant pour écrire un livre. Je l'ai accepté parce que c'était une bonne idée. Ce fut une belle expérience, remonter les années et remonter le temps. Heureusement, j'ai une bonne mémoire, donc je me suis souvenu de nombreuses anecdotes qui n'ont jamais été racontées ou connues." "J'ai cherché à raconter des histoires que personne ne connaît. Les bons et les mauvais moments, les matchs, ce qui s'est dit, les buts encaissés qui sont connus de tous les aficionados du Calcio. Cependant, ce qui s'est passé dans le vestiaire et d'autres événements sont tous nouveaux et n'ont jamais été racontés auparavant." "Je reviens depuis le tout début, depuis mon enfance, tout a commencé là-bas. La première fois sur un terrain, les années scolaires, la famille, l'adolescence, jouer à l’oratorio. Ensuite, bien sûr, jouer pour Bologne, la Sampdoria, l'Inter, Bologne encore, l'équipe nationale et bien sûr quand j'ai arrêté de jouer. J'ai cherché à révéler des choses de mon enfance que personne ne connaît, comme ma relation avec mes parents et mes amis. Ou les bêtises que nous avons commises à l'école. Il y a des choses amusantes. Vous pouvez tout trouver dans le livre. Je peux vraiment le recommander chaleureusement." Traduction alex_j via Sempreinter.
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Gianluca Pagliuca est intervenu lors du dernier épisode de Domenica Sportiva. Il est revenu sur ce Juve-Inter en 1998, a évoqué les performances de l'Inter et, bien évidemment, Porto. Le coup de poing contre Ceccarini lors d ece Juventus-Inter en 98 ? "Il y a eu une mélée, avec beaucoup de joueurs qui s'en prennent à l'arbitre. Je n'ai rien fait, absolument.. (rires, ndlr). Je lui ai donné un petit coup de poing sur le côté, disons le comme ça. Il l'a senti, s'est tourné vers moi et m'a demandé qui avait fait ça. Evidemment je l'ai 'frappé' quand on était tout le monde sur lui. Je n'étais pas le seul à vouloir le prendre, tous mes coéquipiers aussi. J'ai raconté cet épisode parce que dans un livre il faut aussi écrire des choses qu'on ne peut pas dire." Des excuses ? "Non, aussi parce qu'il n'arbitrait plus. Évidemment, il y a une raison... Je ne l'ai pas encore digéré et tous mes compagnons aussi. C'était un vrai vol, c'est la vérité. Ceccarini n'a plus arbitré, d'autres arbitres qui ont fait l'objet d'enquêtes identiques également... certains cadres n'ont plus fait d'arbitrage..." Inzagi ? "L'inter est discontinue, elle manque de continuité. Il fait de grandes performances quand il y a un match à faire, ils se trompent à peine, le suivant ils se plantent. C'est arrivé à Bologne, c'est arrivé à La Spezia, c'est arrivé à d'autres occasions aussi. Il y a une grosse tension et un manque de concentration qu'une équipe de ce niveau ne devrait pas avoir." Tireurs de penalty ? "Cela m'a beaucoup surpris. Lukaku tire très bien les penaltys alors que Lautaro non. Il a déjà raté 4-5 et même l'an dernier un penalty arrêté par Tatarusanu lui a coûté le Scudetto. A mon avis c'est absurde. Avant chaque match, l'entraîneur décide 2 tireurs de penalty, puis celui qui en a envie tire. Evidemment Lautaro en avait envie mais il est bon pour faire beaucoup d'autres choses, les penaltys, c'est ne pas son fort." Porto ? "Porto je le vois très fort, c'est une excellente équipe. Déjà au match aller, Onana était l'un des meilleurs sur le terrain. Je m'attends à un match très difficile. L'Inter a les qualités pour passer mais Porto est une équipe experte, ils sont habitués, ils ont déjà éliminé des bonnes équipes ces dernières années. Ce sera très dur pour l'Inter mais ils ont un léger avantage, un but, mais ils devront faire attention." Traduction alex_j via FCInter1908.
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Paroles et musique de Gianluca Pagliuca présentant son autobiographie qui s'est attardé dans un espace mixte avec les journalistes présents. Il aborde évidemment divers sujets dont une anecdocte amusante. "André Onana est un gardien très réactif, très rapide. Il a une grande marge de progression, peut-être sur le plan technique mais il est très réactif. C'est quelque chosequi doit s'améliorer. C'est la première année qu'il joue en Serie A et ce n'est pas facile. Il bénéficiera des enseignements et conseil des entraîneurs que vous trouvez ici en Italie. Concernant Handanovic, maintenant Onana est plus fiable. Si on se place 4-5 ans en arrière, Handanovic était beaucoup plus fort. Si avant il sauvait de 10 buts, ces dernières années il en sauve 7. Donc c'est pour ça qu'ils ont pris cette décision (de remplacer Handanovic par Onana, ndlr) que je peux considérer comme la meilleure." "Thiago Motta est un très bon entraîneur, moderne, il a des nouvelles idées et c'est certainement un entraîneur qui serait aussi bon pour l'Inter. J'espère qu'il restera à Bologne pendant un certain temps (pour gagner de l'expérience, ndlr) et alors, ce serait bien qu'il s'envole pour un autre club plus grand." Gianluca Pagliuca évoque le choc entre Luliano et Ronaldo lors du fameux match contre la Juventus en 1998. "Heureusement qu'il n'y avait pas de caméras à cette époque. Je ne sais pas comment on ne l'a pas vu mais j'ai frappé l'arbitre aux côtés de Ceccarini. Nous l'avions entouré à 11 et il s'est retourné en demandant, 'Quel joueur m'a frappé ?'. Après le match, nous avons rattrapé Lippi à deux ou trois et nous étions assez chauds. L'année suivante, quand la rumeur a couru qu'il arriverait comme entraîneur à l'Inter, j'ai compris que je serais le premier à partir, et c'est ainsi." Pour les plus jeunes: Traduction alex_j via FCInterNews.
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Javier Zanetti a retracé les étapes de sa carrière lors de la présentation du livre de Gianluca Pagliuca. "Je suis arrivé à l'Inter en 1995 quand j'étais très jeune. Gianluca était certainement l'un des leaders. J'ai regardé tout ce qu'ils faisaient et ma carrière a commencé à partir de là. Ce n'était pas facile pour moi quand je suis arrivé à l'Inter. J'étais un étranger et dès que j'y ai mis les pieds je me suis dit que c'était ma grande chance de montrer que j'étais prêt à relever un défi avec de grands champions. Le football italien était le meilleur au monde." "Massimo Moratti est un gentleman, une personne toujours disponible. En tant que capitaine, je n'ai jamais discuté d'une prime avec lui, car je savais que si la victoire venait, elle viendrait. Personne n'osait dire le contraire, une relation familiale était créé, l'Inter a toujours été une famille pour moi. En 2010 quand on a tout gagné, je pense que toutes les composantes se sont réunies, c'est-à-dire les supporters, le club et l'équipe. Comme Mourinho qui nous a amenés à nous surpasser. Nous avions créé un groupe composé de grands joueurs, les problèmes du vestiaire ont été résolus entre nous, le club n'a pas eu à intervenir, puis nous sommes passés à autre chose." "Quand je me suis cassé le tendon d'Achille à presque 40 ans, j'ai dit que je devais arrêter de jouer. Quand je suis revenu après le match, je suis retourné aux vestiaires et tout le monde m'a embrassé. Là, j'ai réalisé que c'était ma dernière saison, j'ai montré que je pouvais arrêter de jouer au football. Après que l'Inter m'ait proposé d'être vice-président, j'ai été immédiatement flatté mais pour ce faire, il faut être très responsable. Je ne m'attendais pas à le devenir uniquement pour ma carrière, alors j'ai tout de suite inscrit au Bocconi, j'ai fait un cursus entre finance et marketing." Traduction alex_j via FCInterNews.
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Lors de la présentation du livre "Volare Libero" qui retrace les principales étapes de la carrière de Gianluca Pagliuca, Javier Zanetti a également pris la parole et voque divers sujets. "Gianluca était un super mec ! J'ai eu la chance de jouer avec lui. Je suis arrivé à l'Inter très jeune, Gianluca était déjà là et il m'a certainement beaucoup appris. C'était un exemple à suivre. Sans aucun doute, il a été l'un des plus grands gardiens de l'histoire de l'Inter." "Onana ? C'est un gardien très fiable et positif, il le transmet et il le fait très bien. Le rôle du gardien a changé parce que le football a aussi changé. On joue plus avec les pieds et eux aussi doivent avoir une grande technique." "Le manque de continuité de l'Inter ? Plus important encore, aucun de nous ne cherche des alibis ! Après la défaite à Bologne, j'ai entendu les paroles du coach, puis de Lautaro, et quand vous sentez que votre coach et un des joueurs les plus représentatifs ne cherchent pas d'alibi, qu'ils reconnaissent que ce n'était pas un bon match, vous devez recommencer à partir de ce point. Les matchs importants sont nombreux et nous espérons donner une réponse dès dimanche." "Capitaine Lautaro ? Il démontre ce sentiment d'appartenance depuis son arrivée à l'Inter et il essaie de le transmettre sur le terrain." "Lukaku ? Il s'améliore beaucoup, il a eu une blessure très grave qui l'a tenu éloigné pendant longtemps. Ce n'est pas facile pour un attaquant comme lui, avec sa taille, de récupérer complètement, mais je pense que ces dernières semaines, nous avons vu un Lukaku beaucoup plus positif." "Napoli ? Il faut d'abord reconnaître le grand championnat qu'il fait, c'est quelque chose d'extraordinaire. Ensuite, nous sommes conscients que nous avons laissé des points en cours de route. Mais la loi du terrain est comme ça. Il ne faut pas chercher de coupable mais la solution. J'ai lu qu'Inzaghi doit donner plus. Ce n'est pas Inzaghi qui doit donner plus, mais tout le monde. Le club, les joueurs, l'entraîneur. Nous sommes une équipe." "La champions ? Nous sommes très confiants, lors du premier match, nous avons montré que l'Inter a joué avec une grande personnalité. Nous savons que ce ne sera pas facile au retour, Porto jouera son jeu mais nous serons prêts." "Des points perdus contre les petits ? Si seulement j'avais la réponse... Certes, nous travaillons pour nous améliorer, il y a eu quelques matchs où malheureusement nous n'avions pas de continuité, des matchs que nous aurions pu tuer et nous ne l'avons pas fait. Cela fait partie du processus et il nous faut aller de l’avant. Les difficultés sont surmontées tous ensemble. Nous avons maintenant un match contre Lecce Dimanche où nous attendons tous une grande réponse." Traduction alex_j via FCInter1908.
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Gianluca Pagliuca : "J'ai joué avec un maillot de Tottenham !"
alex_j a posté un article dans F.C. Internazionale Milano
Notre légende Gianluca Pagliuca nous révèle qu'il a joué une saison en portant un maillot de Tottenham tout en remplaçant le logo par celui des Nerazzurri. Dans sa dernière interview avec la Gazzetta dello Sport, Gianluca Pagliuca a révélé son obsession pour les maillots de football en disant qu'il appellait également les fournisseurs de kits pour concevoir des maillots personnalisés. Extraits. "Je ne voulais pas porter de maillots laids. Je n'ai jamais été mécontent du maillot que j'avais. Aujourd'hui, je vois beaucoup de gardiens porter le deuxième ou le troisième kit et ce n'est pas agréable. Je pense que les maillots des gardiens doivent être colorés et refléter la personnalité du gardien. Zoff ne portait que des maillots noires ou gris mais d'autres comme Albertosi ou Castellini portaient des maillots avec des couleurs vives." "J'adore la Premier League et je regarde beaucoup le football anglais. J'ai tellement aimé le kit du gardien de but de Tottenham parce que les couleurs me rappelaient Aston Villa, l'équipe que je supporte en Angleterre. J'avais l'impression de jouer pour Aston Villa." "Lors de ma première saison à l'Inter en 1994-1995, j'ai appelé Umbro, qui était le fournisseur de kits pour les deux clubs, pour leur demander d'avoir le même maillot. Ils m'en ont envoyé trois ou quatre avec l'écusson de Tottenham que nous avons remplacé par celui de l'Inter, évidemment. De nos jours, il serait impossible de faire quelque chose comme ça." Pour les plus jeunes qui n'ont pas connu les années 90, les maillots des gardiens ressemblaient à ça pendant cette décennie: Traduction alex_j via FCInterNews.- 5 commentaires
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Au vu du match entre ses deux anciennes et uniques équipes, l'Inter et la Sampdoria, le nouvel intronisé au Hall of Fame Ivano Bordon parle de lui dans un long entretien accordé à SportWeek, l'encart hebdomadaire de la Gazzetta dello Sport. Une enquête auprès des fans interisti du monde entier a inclus Bordon dans le Hall of Fame des meilleurs de tous les temps, avec Walter Zenga, Francesco Toldo, Gianluca Pagliuca et Julio Cesar. "Oui, c'est bien. Cela veut dire que j'ai laissé de bons souvenirs, à Milan et à Gênes. Le football a été ma vie. J'ai beaucoup donné, j'ai eu beaucoup et j'ai encore des réflexes." Dix-huit championnats de Serie A avec uniquement l'Inter et la Sampdoria. Seulement deux équipes et un début prédestiné. Dans le derby contre le Milan. "Eh bien, en bref, ce n'était pas un grand début. J'avais dix-neuf ans, je suis entré en deuxième mi-temps à la place de Lido Vieri, mon professeur, avec un 1-0 pour eux. J'en ai pris deux autres, mais ensuite nous avons gagné le Scudetto. Après le derby, Heriberto Herrera a été limogé et Giovanni Invernizzi est arrivé. Je n'ai disputé que neuf matchs mais j'étais sur le terrain à Catane le jour où nous avons dépassé Milan." Heriberto paraguayen. Un entraîneur dont on parle beaucoup. De quel genre était-il ? "Particulier, disons-le. Fanatique des régimes, il contrôlait de manière obsessionnelle la vie des joueurs. Il nous appelait de chez lui le soir, voulait savoir où nous étions, ce que nous faisions. Je partageais l'appartement avec Mauro Bellugi. Heriberto a appelé et a demandé : ‘Tout va bien ? Êtes-vous chez vous ? Pouvez vous me passer Mauro s’il vous plait ?’. J'ai répondu : ‘Monsieur, Mauro est descendu pour sortir les ordures’. Ce n'était pas vrai. Et Heriberto a alors dit : ‘Bon, s'il n'est pas là, une amende’. Puis il s'est opposé aux sénateurs de la Grande Inter, laissant Jair et Bedin hors de l'équipe. Ils l'ont renvoyé et ont promu Invernizzi : nous sommes devenus champions d'Italie." Premier championnat. La seconde avec Eugenio Bersellini. Ils l'appelaient le sergent. Comment c'était ? "J'ai de très bons souvenirs, il m'a donné confiance et grâce à lui j'ai été admis en équipe nationale. Un grand pédagogue, dur, peu de mots, mais clair et honnête. Il ne regardait personne en face. Travail, rapide et même à table, on perd pas de temps et on mange vite. Dix minutes et c'est tout. Mon record est de huit minutes. Il était très rapide, après chaque plat il mangeait une pomme. Mais il nous a appris le sens du groupe et du football. Et de la vie aussi." Est-ce vrai qu'il vous a toujours dit : "Vous les joueurs, vous êtes des privilégiés. Les ouvriers travaillent dur, les agriculteurs travaillent dur..." ? "Oui. Il venait de la région de Parme, du Val di Taro et il nous a parlé de son enfance. Une fois, en plein hiver, nous étions en retraite à Appiano et le chauffage est tombé en panne. Nous lui avons dit : ‘Monsieur, il fait un froid glacial, on va dormir à la maison.’ Il fait une grimace que je ne vous dis pas : ‘Quoi ? Vous êtes des joueurs avec beaucoup d'avantages et de bénéfices. Avez-vous vu le film L'Arbre de sabots? Eh bien, regardez-le et essayez de penser à ce qu'ils diraient ces paysans. Pensez à leurs difficultés et à leurs sacrifices pour nourrir leurs pauvres enfants. Aucune mention de cela, une couverture supplémentaire et bonsoir.’ " Puis Bersellini le retrouve à la Sampdoria… "C'était sympa. C'était une bonne équipe, fun, pleine de gars formidables. Vierchood, Vialli et Mancini. Puis mon vieil ami Scanziani et les étrangers Francis et Souness. On a gagné la Coppa Italia en battant Milan en finale." Samp-Inter au programme ce Lundi. Vous souvenez-vous de la première fois où vous avez rencontré la Sampdoria ? "Oui, je me souviens de tout, ou presque. Je suis un collectionneur, même de souvenirs. J'ai conservé des almanachs, des coupures de journaux, des autocollants, des billets. A San Siro dans la saison 1971-72, un jeu fou : 4- 4. Trois buts de Boninsegna puis de Corso. Savez-vous qui a marqué pour la Sampdoria ? Marcello Lippi. Cette année-là, il n'a marqué qu'un seul but, contre moi. Puis il est devenu l'un de mes meilleurs amis." Et la dernière fois que vous avez rencontré l'Inter avec un maillot de la Sampdoria ? "Une chose belle et un peu triste. Belle parce que les équipes de ma vie étaient dans le dernier match de 1985-86, 0-0. Triste parce que c'était ma dernière en Serie A. Incroyable, hein ? Quoi qu'il en soit, c'était un doux au revoir. L'entraîneur de la Sampdoria, c'était justement Bersellini, celui qui m'avait relancé. Sur le banc de l'Inter, il y avait Mario Corso, un coéquipier extraordinaire et aventurier, dont le fameux match contre le Borussia Mönchengladbach." Combien de fois avez-vous raconté l'histoire de la canette touchant Boninsegna, l'Inter perdant 7-1, le match rejoué et... "Et j'arrête un penalty, on fait 0-0 et on se qualifie pour les quarts de finale. En 1971, à Berlin, carrefour de mon histoire footballistique. Là, 35 ans plus tard, j'ai remporté ma deuxième Coupe du monde avec l'équipe nationale. J'étais l'entraîneur des gardiens, le grand Buffon. Quelle joie..." Des satisfactions footballistiques ? "Difficile de choisir. Peut-être quand Italo Allodi m'a appelé à l'Inter." Et sur les terrains ? "Le premier scudetto avec l'Inter, avec Invernizzi. Le deuxième, celui de 1979-80, je me sens plus moi-même. J'étais un joueur régulier et mature. Nous étions huit dans cette équipe qui a grandi dans l'équipe des jeunes : moi, Oriali, Bini, Canuti, Baresi, Ambu, Muraro et Pancheri. Plus Occhipinti qui a disputé le dernier match. Puis les merveilleux moments de la Sampdoria de Mantovani. Les victoires, les triomphes, cinq championnats avec la Juve. Évidemment les deux Coupes du monde. Ou plutôt trois, parce que, j'aime bien me souvenir, j'ai aussi gagné le militaire, au Congo en 1973. Il y avait Oriali, Furino, Graziani, Zecchini, Speggiorin, Bittolo, Ammoniaci. De belles compagnies, partout. Mais j'ai eu de la chance, dans ma longue carrière, j'ai rencontré des gens, j'ai établi des records, j'ai remporté des défis. Dans et hors des buts. Maintenant, je regarde les autres, parfois au stade, souvent à la télévision." Et que voyez-vous ? "Un nouveau football. Tout a changé : la vitesse, les méthodes, les schémas, les règles, les managers, les joueurs. Il y a encore de bons, d'excellents gardiens. Donnarumma est l'avenir de l'équipe nationale. L'Inter a Onana, fort et réactif. Milan a Maignan. L'année dernière, ils ont très bien fait, voyons comment ils se rétablissent. J'aime Meret, je suis Carnesecchi avec intérêt. Ce que j'ai du mal à comprendre, ce sont leurs relance de derrière. Souvent frénétiques et dangereux. J'en ai vu des statistiques vraiment surprenantes : maintenant, dans un match, un gardien touche plus de ballons qu'un milieu de terrain. Un tout autre monde. Et bien…" Traduction nostalgique alex_j via FCInterNews et FCInter1908.
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Ivan Zamorano: "On nous a volé le Scudetto en 98"
Victor "Antony" Newman a posté un article dans F.C. Internazionale Milano
Présent en compagnie de Javier Zanetti à la Coupe du Monde au Qatar, mais sans son Chili, ni l’Italie, Ivan Zamorano s’est livré à la Gazzetta Dello Sport Au cours de vos cinq saisons à l’Inter, vous êtes parvenu à rentrer dans le cœur des Tifosi... "Mais eux sont dans le mien, j’ai vécu à l’Inter une expérience fantastique, j’y ai vécu les meilleurs années de ma carrière. L’Inter est une équipe spéciale dans laquelle je me suis toujours reconnu pour une question caractérielle: Nous partagions tous les deux de la Grinta, nous n’abdiquons jamais." Impossible de résumer en deux lignes tant de souvenirs, mais nous vous le demandons... "Beaucoup de chose me viennent en tête : L’Histoire du 1+8 sur le maillot, la Coupe de l’UEFA gagné à Paris face à la Lazio, le Scudetto que l’on nous a volé en 1998." Comment étaient vos rapports avec Ronaldo ? "Ils étaient et sont optimaux : Nous sommes toujours un Chat WhatsApp avec il Fenomeno, Zanetti, Pagliuca, Simeone, Colonnese, Taribo West. Nous nous appelons, échangeons nos opinions. J’ai vécu de si belles années dans ce groupe Nerazzurro, nous étions uni et nous allions tous dans la même direction." A quel point, dans ce Chat, vous manque le Grand Simoni... "Gigi s’en est allé mais il restera dans notre cœur à tous : C’était un seigneur, un Homme de football fantastique, on ne pourra jamais oublier son style." Bam Bam ! ®Antony Gilles – Internazionale.fr-
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A quelques heures de Fiorentina - Inter, voici un résumé du match Inter - Fiorentina joué la 3eme journée, Dimanche 21 Septembre 1997. Le score final de 3-2 reflète bien le match qui fut engagé. Le texte a été rédigé par de Bilal Mirza travaillant pour SempreInter. L'Inter a commencé la saison 97/98 avec un nouveau manager en la personne de Luigi Simoni, après le départ de Roy Hodgson cet été. Pour renforcer l'équipe, l'Inter a ajouté une galaxie de star avec les achats de Francesco Moriero, Alvaro Recoba, Diego Simeone et un certain attaquant brésilien nommé Ronaldo. Avant le match très attendu de la troisième journée contre Gabriel Batistuta engagé à la Fiorentina, l'Inter a pris le départ pour commencer sa nouvelle campagne avec Recoba marquant un premier doublé pour battre Brescia et le duo Ronaldo-Zamorano emmenant l'équipe devant un Roberto Baggio menant Bologne. Donc, deux victoires dans la musette. Après une saison décevante l'année précédente, la Fiorentina a commencé sa saison avec Batistuta portant l'équipe sur son dos et menant la charge, marquant cinq des six buts lors des deux premiers matchs, obtenant un triplé et un doublé; rien que ça. Alors que les deux équipes cherchaient à poursuivre leur bon début de saison, le Meazza bourdonnait d'excitation ! Simoni avait aligné les Nerazzurri dans une formation 4-5-1 avec Gianluca Pagliuca dans les buts, Giuseppe Bergomi, Fabio Galante, Taribo West et Luca Mezzano en défense. Javier Zanetti, Youri Djorkaeff, Salvatore Fresi, Diego Simeone et Maurizio Ganz au milieu de terrain et Ronaldo comme seul attaquant. De l'autre côté, Alberto Malesani a fait installer la Fiorentina avec une défense à trois composée d'Andrea Tarozzi, Aldo Firicano et Giulio Falcone devant le gardien Francesco Toldo. Au milieu de terrain pour la Viola se trouvaient Andrei Kanchelskis, Sandro Cois, Rui Costa, Michele Serena et le trident offensif d'Anselmo Robbiati, Gabriel Batistuta et Luis Oliveira pour compléter la formation 3-4-3. Au coup d'envoi du match, les deux équipes se méfiaient de la menace imminente posée par Ronaldo et Batistuta alors qu'elles adoptaient une approche prudente et méthodique de leur attaque. Construire lentement le jeu depuis l'arrière et attaquer par les ailes de chaque côté et jouer occasionnellement de longs ballons pour trouver leurs attaquants en perforant la haute ligne défensive. C'est la Viola qui a failli marquer en premier lorsque Kanchelskis a reçu un long ballon du milieu de terrain et s'est placé derrière Taribo West sur l'aile droite, faisant la course en avant et a passé le ballon vers le centre de la surface vers Batistuta. Batigol l'a reçu, étant non marqué l'a frappé à la volée, a battu Pagliuca mais a été repoussé par la barre transversale pour maintenir le score à 0-0. L'Inter essayait continuellement de trouver des moyens de passer le ballon à Ronaldo qui semblait parfois imparable, courant vers la défense de la Fiorentina en dribblant devant autant de défenseurs que possible. La Viola faisait tout ce qu'elle pouvait pour l'empêcher de passer, n'ayant souvent pas d'autre choix que de faire des faute pour l'empêcher d'obtenir un tir au but. Les deux équipes se battaient pour la possession, jouant méthodiquement, mais physiquement. À une de ces occasions, Kanchelskis a été blessé, blessure résultant d'un tacle très, très dur de West. Cela a conduit Malesani à effectuer un remplacement et à faire entrer Stefano Bettarini. Taribo West a eu beaucoup de chance de ne recevoir qu'un carton jaune pour un tacle dur, quasiment un ciseau, qui a blessé un joueur sans réellement jouer le ballon. À l'approche de la mi-temps, les deux équipes semblaient se diriger vers l'intervalle à 0-0. Cependant, Ronaldo a réussi à sortir de l'impasse juste avant la mi-temps, lorsque Simeone a pris la défense de la Fiorentina au dépourvu et a joué un ballon parfaitement dosé à Ronaldo entre les deux défenseurs centraux. Le ballon a roulé devant Toldo et dans le filet pour donner à l'Inter une avance de 1-0. Cependant, l'Inter n'a pas été devant longtemps, alors que le jeu reprenait, la Fiorentina a joué le ballon vers l'aile droite pour Oliveira qui a passé le ballon vers le bord de la surface pour Serena. L'arrière gauche de la Viola a reçu le ballon et l'équipe a étiré la défense pour créer suffisamment d'espace pour qu'il puisse déclencher une frappe du pied gauche qui a battu Pagliuca, dans le coin supérieur gauche du but. Score de 1-1 à la mi-temps. Lorsque le jeu a repris en seconde période, l'Inter avait remplacé Maurizio Ganz sur l'aile droite par le nouveau venu Francesco Moriero. La Fiorentina a frappé peu après la mi-course lorsque Mezzano a tenté de renvoyer le ballon à Pagliuca. Malheureusement, il n'a réussi qu'à le jouer directement pour Batistuta qui a battu les deux défenseurs et a dribblé Pagliuca se précipitant à sa rencontre pour marquer dans le but vide, filet opposé. Les visiteurs obtiennent une avance de 2-1. Ayant déjà encaissé un but en raison d'un jeu bâclé, l'Inter a failli encaisser un troisième but après avoir de nouveau retourné le ballon sur le bord de la surface, cette fois par Taribo West; il poussa trop son ballon. Batistuta a intercepté le ballon et a tenté un enroulé devant Pagliuca dans le coin supérieur droit. Mais il a de nouveau été repoussé par la transversale. La Fiorentina semblait contrôler le match et menaçait de creuser l'écart avec son capitaine en pleine forme. L'Inter a continué à chercher l'égalisation et a fait venir des renforts du banc. Zamorano a remplacé Simeone pour donner une autre arme en attaque. Il a immédiatement fait sentir sa présence. Après un long dégagement de Pagliuca et une passe de Ronaldo, Zamorano contena son défenseur direct et a trouvé Moriero courant dans la surface après avoir battu son vis-à-vis pour obtenir un tir au but. Il plaça le ballon dans le coin inférieur gauche pour égaliser à 2-2 avec plus que dix-huit minutes à jouer. Avec les deux équipes attaquant de chaque côté pour marquer le but vainqueur, il semblait qu'un troisième but pour l'une ou l'autre équipe était sur la table. Oliveira a failli sortir de l'impasse lorsqu'il a dribble deux défenseurs à l'intérieur de la surface pour un tir à bout portant, pour être repoussé par un brillant arrêt réflexe de Pagliuca. Alors que le match touchait à sa fin, l'Inter a réussi à trouver le but vainqueur à la 81e minute lorsque Djorkaeff a fait rebondir le ballon après une interception ou contre d'une passe dédiée à Batistuta; ce n'est pas très clair. Il a reçu le ballon dans ce qui semblait être une position de hors-jeu. Sans défenseur de la Fiorentina autour de lui, il n'avait que Toldo à battre et il a placé le ballon dans le coin inférieur droit. L'arbitre avait à l'origine levé le drapeau pour hors-jeu. Mais le but a été autorisé car la balle déviée était considérée comme une passe en arrière par un joueur de la Viola et ne pouvait donc pas être déclarée hors-jeu. Compte tenu de la nature physique du match, les esprits se sont enflammés des deux côtés lorsque le but a été autorisé. Les joueurs de la Fiorentina et de l'Inter plaident avec véhémence leur cause devant les arbitres. Le match s'est terminé par une victoire 3-2 pour les Nerazzurri et l'équipe a poursuivi son début invaincu de la nouvelle saison et était en bonne voie pour une course au scudetto contre les Bianconeri. Traduction alex_j via Sempreinter, texte de Bilal Mirza.
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Gianluca Pagliuca, Gardien légendaire de l’Inter s’est livré sur la situation entourant la Cage Nerazzurra Handanovic et Onana ? "Ahi,Ahi, c’est une thématique très délicate : Pour un gardien, l’alternance est fatale, cela s’est bu l’année passée à Paris, lorsque Donnarumma jouait une partie et Navas une autre. Les années passent aussi pour un grand gardien comme Handa et vous ne savez pas à quel point cela me désole de le voir prendre certains buts : A présent, c'est insuffisant." "Je pense que dans un court laps de temps qu’Onana jouera d’une façon fixe : Il a déjà disputé, avec l’Ajax, une dizaine de match en Ligue des Champions." ®Antony Gilles – Internazionale.fr
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Il y a 25 ans, Il Fenomeno marquait son 1er but avec l'Inter
alex_j a posté un article dans F.C. Internazionale Milano
Le club des Nerazzurri se souvient du premier but de Ronaldo sous le maillot de l'Inter. Cela fait 25 ans que Ronaldo a fait applaudir et exciter les fans Nerazzurri pour la première fois à la Dall'Ara contre Bologne. Baggio a marqué un doublé pour Bologne pendant que Galante, Ganz et Djorkaeff pour clôturer ont marqué les trois buts de l'Inter. Le club des Nerazzurri se souvient ainsi du premier but de notre Phénomène il y a 25 ans de cela, contre Bologne. Toute la classe et l'élégance du brésilien en un seul geste. Voici le Tweet ainsi que la vidéo YouTube. Admirez au passage la classe de Gianluca Pagliuca. Traduction alex_j via FCInter1908.- 7 commentaires
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L’Inter des années 90: une décennie de frustration !
alex_j a posté un article dans F.C. Internazionale Milano
La Serie A dans les années 1990 était inondée d'argent, de drames et de résultats carrément déconcertants. Mais rien n'était plus dramatique ou déconcertant que notre Internazionale chérie pendant cette décennie. Tout au long des années 1990, notre Inter a terminé deux fois deuxième du championnat, remporté la Coupe UEFA trois fois, a failli être reléguée 1994, a battu le record de transfert deux fois, a eu 13 managers différents et n'a jamais remporté de trophée national. Incroyable non ? C'est ainsi que notre club favori a réussi à se tirer une balle dans le pied pendant une décennie entière. Voici la chronologie de l’Inter des années 90 rapportée par Eion Smith en Janvier 2019 sur le site Tale of Two Halves. L’Inter des allemands Sous la direction de Giovanni Trapattoni, l'Inter avait remporté le Scudetto en 1989 grâce à ses Allemands Lotthar Matthaus et Andreas Brehme et aux buts d'Aldo Serena. Le changement pour faire entrer l'Inter dans les années 90 consistait à remplacer le partenaire de Serena, l'Argentin Ramon Diaz, par un autre Allemand sous le nom de Jurgen Klinsmann. Malgré l'adaptation immédiate de Klinsmann à l'Italie (meilleur buteur de l'Inter avec 15 buts toutes compétitions confondues) et une victoire en Supercoppa au début de la saison, 1989-1990 verrait l'Inter terminer troisième du championnat et sortir tôt de la Coppa Italia et de la Coupe d'Europe. Une grande partie de cela peut être attribuée aux luttes de Klinsmann et Serena pour développer un partenariat cohérent ainsi que les champions Napoli et Milan (qui remporteraient la Coupe d'Europe) étant beaucoup trop forts. La Coupe du monde 1990 verra les trois Allemands de l'Inter revenir en tant que champions du monde et les espoirs étaient grands pour que l'équipe de Trapattoni puisse donner le coup d'envoi et remporter un autre Scudetto. Propulsée par un Matthaus inspiré du milieu de terrain, l'Inter était bien en lice pour le Scudetto avec le Milan et la Sampdoria. Cependant, les défaites en fin de saison contre la Sampdoria puis le Genoa ont anéanti leurs espoirs de titre et ont donné à la Samp leur premier et, à ce jour, le seul titre de Serie A. Une certaine consolation a été trouvée en Coupe UEFA alors que l'Inter a battu la Roma 2-1 au cumulé en finale. Les 16 buts de Matthaus ont été la clé de la troisième place de l'Inter en championnat tandis que les 18 de Klinsmann dans toutes les compétitions ont aidé à remporter la Coupe UEFA. Les choses semblaient bonnes pour l'Inter, mais tout était sur le point de changer très soudainement… comme d’habitude pourrait on dire. Trap-ée dans une ornière L'été 1991 a vu Trapattoni prendre la décision de quitter l'Inter pour la Juventus. Le choix du président Ernesto Pellegrini pour remplacer le légendaire patron ? Corrado Orrico. Une rapide recherche sur Google de M. Orrico vous dit que c’est mérité car il a presque fait un miracle au petit Lucchese la saison précédente. Le club toscan est passé si près de la promotion en Serie A en 1991 que cela a suffi à convaincre Pellegrini de céder les rênes de l'Inter à Orrico… mais… Ça ne s'est pas bien passé ! Orrico aurait fait passer Lotthar Matthaus de son habituel 8 à 5 et aurait complètement perdu le vestiaire. Les divisions au sein de l'équipe ont commencé à être profondes et certains résultats assez médiocres n'ont pas aidé les choses. La forme scintillante de Matthaus et Klinsmann avait disparu, les buts se tarissant et une défense apprivoisée en Coupe UEFA s'est terminée tôt par l'équipe portugaise de Boavista. Avec Orrico pataugeant, l'Inter pataugeait, il a été licencié au début de 1992 et remplacé par la légende de l'Inter Luis Suarez. Suarez a peu ajouté à l'équipe alors que les choses allaient d'une catastrophe à une autre. Le cas le plus éloquent est survenu lors du match nul 1-1 à Naples lors de la 25e journée lorsque Stefano Desideri a égalisé pour l'Inter et a commencé à célébrer en pointant Suarez sur la touche et en faisant signe qu'il était un "connard" à plusieurs reprises. Suarez a dû être retenu par Matthaus et d'autres comme cela s'est produit et Desideri a été suspendu par l'Inter. L'Inter terminerait la saison huitième avec une défaite à domicile en fin de saison contre un Cremonese déjà relégué, résumant parfaitement sa saison. Les Allemands out L'été 1992 a vu Pellegrini décidé de repartir à zéro avec l'Inter. Suarez et le trio allemand Brehme, Matthaus et Klinsmann sont partis. Le manager du Genoa Osvaldo Bagnoli et de nouvelles stars étrangères sous la forme de Darko Pancev, Igor Shalimov, Matthias Sammer et Ruben Sosa ainsi que la star d'Italia 90 Toto Schillaci sont venues. Cette décision fut inspirée, l'Inter domina une bonne partie de la Serie A en 1992-1993, grâce aux buts de l'Uruguayen Sosa. Ses 20 buts en championnat ont maintenu le rythme de l'Inter avec le Milan, qui était presque à son apogée sous Fabio Capello. Sammer était également impressionnant, mais une lutte pour s'adapter à la vie italienne l'a amené à partir en janvier, bien que l'ancien homme de Foggia, Shalimov, l’ait aidé. Cependant, l'Inter classique a frappé tout au long de la saison et leur a coûté le Scudetto. Une défaite 3-0 en début de saison à Ancône était l'une des quatre seules défaites de la saison, mais elle était particulièrement choquante étant donné qu'Ancône finirait deuxième relégué et encaissera 73 buts dans le processus. Une défaite 2-0 à Parme lors de leur avant-dernier match sonnerait finalement le glas de leurs espoirs de titre. Une autre préoccupation était la confiance dans les buts de Sosa. Schillaci n'a réussi que six buts en championnat malgré un jeu constant, tandis que la signature de la machine à buts du Red Star Pancev a été un désastre absolu. Bagnoli n'aimait pas le style de jeu de Pancev et les deux se sont constamment disputés tout au long de la saison, Pancev n'ayant réussi qu'un seul but en championnat. L'Inter avait besoin de renforts. Les Hollandais in Pellegrini n'était en aucun cas en mesure de dépenser autant que ses rivaux du Milan ou ses rivaux historiques, la Juventus, mais l'Inter a quand même pu faire sensation sur le mercato si nécessaire. 7 millions de livres sterling ont été posés par Pellegrini à l'été 1993 sur l'attaquant de l'Ajax Dennis Bergkamp et il a rapidement été rejoint par son compatriote Wim Jonk. Notons que l’Inter copia le Milan. Les espoirs étaient grands mais, dans une moindre mesure que Pancev, l'Inter a eu du mal à tirer le meilleur parti de ses nouvelles stars néerlandaises. Bergkamp serait en fait le meilleur buteur avec 18 en 93/94, mais seulement 8 en Serie A car l'état d'esprit défensif de Bagnoli a étouffé la créativité et les compétences du légendaire Néerlandais. L'Inter a également eu du mal dans la ligue avec une seconde moitié de saison d'horreur les entraînant dans un sérieux combat contre la relégation !! Et oui, pour la première fois de son histoire, l’Inter pouvait descendre. Rappelez-vous, c'était une équipe qui venait de dépenser des millions pour Dennis Bergkamp et ils luttaient contre la relégation. À l'approche de l'hiver, à seulement quatre points de l'AC Milan, l'Inter ne récolterait que 11 points de plus lors des 17 derniers matchs pour terminer un point au-dessus de la zone roue en 13e position. Les 16 buts de Ruben Sosa en championnat ont permis aux Nerazzurri de ne pas tomber avec une victoire en fin de saison contre Lecce qui s'est avérée particulièrement cruciale. La baisse de forme a coûté son poste à Bagnoli en février et il a été remplacé par Giampiero Marini. Heureusement pour Marini, l'Inter était toujours en lice en Coupe UEFA et le nouvel homme à la tête de la pirogue a mené l'équipe jusqu'en finale grâce aux 8 buts de Bergkamp dans la compétition. Ils affronteraient les Autrichiens du Casino Salzburg (aujourd'hui Red Bull Salzburg) et un seul but de Nicola Berti et Wim Jonk à chaque match suffirait à assurer une deuxième Coupe UEFA à l'Inter en quatre ans. 1994 verrait l'Inter remplacer Marini par l'ancien entraîneur de Naples Ottavio Bianchi et remplacer le gardien de but de longue date Walter Zenga par Gianluca Pagliuca de la Sampdoria pour un record mondial pour un gardien de but. Bianchi aiderait l'Inter à se stabiliser après la tourmente de la saison précédente, mais l'histoire de 1994-1995 n'a jamais vraiment eu à voir avec le football. L'Inter finirait sixième, luttant pour les buts, mais ce n'était pas la nouvelle. La nouvelle était dans la salle de conférence. Salut Massimo ! En mars 1995, il a été annoncé que Massimo Moratti remplacerait Ernest Pellegrini en tant que président de l'Inter. Le mandat de Pellegrini avait duré un peu plus d'une décennie et avait vu une victoire de Scudetto et la signature de quelques grands joueurs, mais les résultats des dernières années laissaient beaucoup à désirer. Moratti est venu avec de l'ambition. Il voulait rendre l'Inter aussi grande que Milan et la Juventus et ne connaissait qu'une seule façon de le faire : dépenser, dépenser, dépenser. Le premier été de Moratti en charge a vu les arrivées de Roberto Carlos, Paul Ince, Javier Zanetti, Marco Branca et l'adolescent le plus cher du monde Caio Ribeiro ainsi que le départ de Bergkamp pour Arsenal. Ça ne s'est pas bien passé au départ. Bianchi est devenu le premier de nombreux limogeages de Moratti, à peine quatre matchs dans la saison après une défaite à Naples tandis que son remplaçant, Luis Suarez de retour pour un autre mandat a duré sept autres. Avec l'Inter enracinée au bas de tableau, Moratti a opté pour le patron anglais/suisse Roy Hodgson dans ce qui serait l'un de ses premiers choix les plus astucieux. Hodgson a présidé à une reprise de forme qui a éloigné l'Inter des problèmes de relégation et dans la course pour une place européenne. Il comprenait une série de cinq victoires. L'Inter de Hodgson a également écrasé le club de Padoue 8-2 à domicile pour ajouter un moment fort à son mandat. Gratter la qualification pour la Coupe UEFA en septième était quelque chose à célébrer compte tenu des débuts de l'Inter, mais c'était la troisième saison consécutive où l'Inter était loin d'être en tête de la Serie A. Reconstruite et prête L'été 1996 a vu l'Inter commencer à se préparer pour une progression soutenue dans le classement. Roberto Carlos est parti pour le Real Madrid après s'être brouillé avec Hodgson sur sa place sur le terrain, mais il a été remplacé par Alessandro Pistone ainsi que les arrivées de Youri Djorkaeff, Aron Winter et Ivan Zamorano. Les hommes de Hodgson ont été constants toute la saison, ne perdant que cinq fois en championnat et obtenant des résultats pour terminer troisième pour leur meilleur résultat depuis 1993. La première saison de Djorkaeff l'a vu marquer 14 buts en championnat tandis que Maurizio Ganz a bien travaillé avec 11. Surtout, l'Inter a terminé juste six points derrière la Juventus, ce qui était un signe que les choses allaient bien sous Hodgson. Leur campagne européenne était également prometteuse. Après avoir éliminé Guingamp, Graz AK, Boavista, Anderlecht et Monaco, tout ce qui empêchait l'Inter de remporter une troisième Coupe UEFA dans les années 90 était l'équipe allemande de Schalke dirigée par Huub Stevens. C'était la dernière fois que la finale de la Coupe UEFA se disputait sur deux manches et c'était un drame, un vrai comme l’Inter sait les faire. Le match aller a été joué en Allemagne au Parkstadion de Schalke où les Allemands gagneraient grâce à un but de Marc Wilmots. Le match retour au Meazza a été une affaire tendue qui a été prolongée tardivement par un but de Zamorano. Malgré la perte de Salvatore Fresi sur un carton rouge à la 89 e minute, l'Inter est allée aux tirs au but. La foule attendait. Pagliuca était un sauveur de penalities, donc c'était sûrement dans le sac. Ben non, bien au contraire ! Ingo Anderbrugge, Olaf Thon et Martin Max ont marqué les trois premiers pour Schalke et seul Youri Djorkaeff a marqué pour l'Inter. Cela a laissé à Wilmots la tâche de faire rouler le ballon dans le coin pour faire tomber le rideau sur le règne de Hodgson à l'Inter. Après le match, l'Anglais a été bombardé par toutes sortes de critiques et Moratti l'a viré, vexé par la défaite finale. Luciano Castellani a repris les deux derniers matchs de la saison de Serie A, assurant à l'Inter la troisième place. En vérité, Moratti n'a été contrarié que pendant un petit moment car l'élan positif de la saison 96/97 et une impasse contractuelle à Barcelone signifiaient qu'il serait très rapidement remonter le moral. Son médicament… Il Fenomeno L'été 1997 a vu Luigi Simoni se faire confier le poste de manager après le départ de Roy Hodgson et, pour assurer une amélioration par rapport à la saison précédente, Moratti a battu le record du monde de transfert. Il n'y avait qu'un seul homme qui en valait la peine à l'époque : Ronaldo. Avec le meilleur joueur du monde, les espoirs étaient grands que l'Inter puisse construire sur les fondations que Hodgson avait posées et remporter le Scudetto. L'Inter a encore été renforcée par les signatures de Taribo West, Diego Simeone, Alvaro Recoba, Francesco Moriero, Paulo Sousa et Ze Elias. L'Inter commencerait la saison de manière incroyable, ne perdant aucun match jusqu'à son dernier match de 1997 à Udine. Ils ouvriraient 1998 avec une victoire sur les principaux rivaux au titre, la Juventus, mais l'Inter classique a frappé à certains des pires moments. Les défaites à domicile contre Bari et Bologne lors des 16e et 19e journées ont été extrêmement coûteuses pour leur titre. Cependant, la Juventus ne s'éloignerait jamais de l'Inter à aucun moment de la saison. Les matchs nuls étaient le problème de la Vieille Dame (ils finiraient la saison avec 11) et, alors que l'Inter trébuchait en février et mars, la Juve n'a jamais vraiment pu capitaliser et s'éloigner. Après la défaite de l'Inter à Parme début mars, les Nerazzurri ont remporté six victoires d'affilée pour se rapprocher d'un point de la Juve. Cela comprenait une victoire décisive 3-0 dans le derby contre une équipe de Milan en difficulté, une victoire à l'extérieur contre la Roma et une revanche sur l'Udinese. Avec seulement quatre matchs à jouer, l'Inter était à 65 points en deuxième position tandis que la Juve était en tête du peloton mais seulement un point devant. Le match 31 a vu l'Inter se rendre à Turin. L'arrivée de Ronaldo avait conduit à des duels individuels qui avaient retenu l'attention du monde entier. Lorsque la Juventus et l'Inter se sont affrontées, le récit est devenu Ronaldo contre Del Piero. Les deux attaquants étaient considérés comme les meilleurs du monde et étaient au sommet absolu. En janvier, on avait vu Ronaldo subir un traitement brutal de la part des défenseurs de la Juve, mais il aiderait pour le but vainqueur de Djorkaeff. Cette fois, ce ne serait pas la beauté qui gagnerait la partie. La Juventus a pris les devants alors que Del Piero a attrapé le ballon sous ses pieds dans la surface avant de scorer dans un angle fermé. Ce fut un moment de qualité individuelle et d'impudence de la part de l'Italien alors qu'une rencontre amère et décousue faisait rage autour de lui. Edgar Davids et Simeone étaient particulièrement désireux de se donner des coups de pied, mais aucune véritable controverse ne s'est produite en première mi-temps. Ce serait la seconde mi-temps où les choses tourneraient au vinaigre pour l'Inter. Alors que le jeu devenait de plus en plus capricieux et que le patron de la Juve, Marcello Lippi, était heureux de s'en tenir à un 1-0, l'Inter obtint un coup franc. Le long ballon pour Ronaldo reviendrait au remplaçant Ivan Zamorano qui a trébuché dans la surface. Cela fut OK pour Ronaldo qui l'a pris dans la foulée et l'a frappé à l'intérieur. Le Brésilien et le défenseur Mark Iuliano sont entrés en collision et Ronaldo est tombé. Tout le monde s'est arrêté pour un coup de sifflet de l'arbitre Piero Ceccarini… qui n’est jamais arrivé ! Dans les secondes qui s'étaient écoulées, la Juve en avait profité et Del Piero recevait le ballon dans la surface. Taribo West est venu et l'a poussé dans le dos. Ceccarini a indiqué l'endroit et a énervé toute l'équipe de l'Inter. Luigi Simoni a été renvoyé dans les tribunes, Pagliuca est sorti de son but alors que Zamorano et d'autres ont fait irruption et harangué l'arbitre. Ils ne pouvaient pas croire qu'aucune pénalité n'était donnée à l'autre bout du terrain, pour Ronaldo ! Del Piero verrait son penalty sauvé par Pagliuca mais l'Inter ne serait pas en mesure de capitaliser à cause d’Angelo Peruzzi. Le mal était pourtant fait. La Juve assurerait le titre dans l'avant-dernier match grâce à l'effondrement tardif de l'Inter à Bari et remporterait le titre par cinq points. Les fans de l'Inter ont été laissés là à fulminer sur ce qui aurait pu être un nouveau titre. L'Inter connaîtra le succès en 97/98, encore une fois en Coupe UEFA. Disposant de Neuchâtel Xamax, Lyon, Strasbourg, Schalke et Spartak Moscou, ils ont battu la Lazio 3-0 à Paris pour remporter leur troisième Coupe UEFA des années 90. C'est un match dont on se souvient le plus pour la performance sensationnelle de Ronaldo, son troisième but ainsi que celui de Javier Zanetti. Moratti se tire une balle dans le pied L'été 1998 a vu Ronaldo au bord de l'immortalité avant que la nuit fatidique précédant la finale de la Coupe du monde ne change un peu la donne. Il était toujours terriblement brillant, mais il n'était pas invincible. Cela a continué dans la saison 1998/99. Moratti a sanctionné un autre été de grandes entreprises pour tenter d'obtenir un Scudetto. Roberto Baggio, Nicola Ventola, Andrea Pirlo, Dario Simic, Sebastian Frey et Mikael Silvestre. L'Inter a eu du mal alors que les genoux de Ronaldo ont commencé à lui poser des problèmes. Le Brésilien ne commencerait que 19 matchs de championnat toute la saison (marquant 14 buts dans le processus) mais ne pourrait jamais soutenir pleinement une série de matchs. Alors que l'équipe se débattait sur le terrain, Moratti, avec son doigt sur la gâchette, est devenu très nerveux. Quatre défaites lors des 11 premiers matches de championnat, dont une défaite 5-3 à domicile contre la Lazio et Simoni a été licencié au grand désarroi des supporters de l'Inter. Il a été remplacé par le Roumain Mircea Lucescu qui a duré jusqu'au début de 1999 avant que Luciano Castellani puis Roy Hodgson ne reviennent pour essayer de sauver la saison. À ce moment-là, cependant, quatre managers et un chaos total avaient conspiré pour laisser l'Inter s'effondrer à la huitième place, un étonnant 24 points derrière ses rivaux du Milan. Une série de deux points en six matchs le tout couronné par une défaite 4-0 à la Samp ainsi qu'une défaite 2-0 contre la petite Salernitana. Même une course en C1 jusqu'aux quarts de finale ne pourrait pas sauver cette saison. Moratti voulait quelque chose de grand pour ramener l'Inter au sommet. Ce quelque chose est venu sous la forme de l'entraîneur Marcello Lippi. L'Inter a passé l'été 1999 à déchirer son équipe pour faire place à un autre été de dépenses. Silvestre, Pagliuca, Ventola, Djorkaeff, Winter, Ze Elias, Simeone, Sousa et West sont sortis. Le capitaine et légende du club Giuseppe Bergomi a également pris sa retraite cet été. La nomination de Lippi était conditionnée à une chose, signer Christian Vieri. Il faudrait un autre record du monde pour le faire, mais Moratti était heureux de conclure le contrat de 32 millions de livres sterling avec la Lazio pour l'attaquant. Vieri a été rejoint dans les arrivées par une foule de noms, Angelo Peruzzi, Luigi Di Biagio, Fabrizio Ferron, Christian Panucci, Grigoris Georgatos, Laurent Blanc, Cyril Domoraud, Adrian Mutu, Clarence Seedorf et Vladimir Jugovic. Dans l'esprit de Moratti, cela aurait dû être la saison, mais le règne de Lippi a été un désastre dès le départ. Il s'est immédiatement engrainé avec Roberto Baggio et a constamment cherché à le saper à chaque occasion, notamment en refusant de le jouer alors que tous les autres attaquants étaient absents pour longues blessures. Cette liste de blessés comprenait Ronaldo pendant la majeure partie de la saison, le Brésilien ne jouant que 8 matchs toute la saison en raison de problèmes de genou. Les 18 buts de Vieri sont survenus en seulement 24 matchs, tandis que les problèmes persistants avec Baggio signifiaient qu'une forte confiance était placée sur Alvaro Recoba et Zamorano, plutôt incohérents, au détriment des résultats. Il y avait de l'espoir à l'approche du millénaire alors que les hommes de Lippi entamaient une campagne de Coppa Italia qui les voyait affronter la Lazio en finale. La campagne décevante de la ligue avait vu Lippi commencer à ressentir le froid de Moratti et il avait précipité Ronaldo pour la finale. Le grand retour du Brésilien a duré six minutes avant qu'il ne s'effondre sur le gazon et soit absent pendant près de deux ans. Vieri avait déjà perdu une blessure à la cuisse qui lui coûterait également une place à l'Euro 2000, donc la pression était vraiment forte lorsque la finale de la coupe a été perdue. À l'approche de la dernière journée de la saison, l'équipe de Lippi devait gagner à Cagliari pour participer à un barrage pour la dernière place en Ligue des champions avec Parme. C'était littéralement le travail de Lippi sur la ligne. Au fil de l'histoire, il a refusé de jouer à nouveau avec Baggio et ne s'est tourné vers lui que tard lorsqu'il a réalisé que son équipe allait perdre des points. Baggio a marqué une fois et en a créé un autre pour assurer cette place en barrage. Lippi était désespéré de gagner, alors il a mordu la balle et a choisi Baggio dès le départ contre Parme. "The Divine Ponytail" a travaillé sa magie, marquant deux fois pour donner à l'Inter une victoire 3-1 et assurer une place en Ligue des champions, le travail de Lippi et son départ de l'Inter pour clôturer une décennie chaotique. Conclusion La période de sous-performance de l'Inter dans les années 1990 est une leçon sur les effets négatifs d'être un excité de la gâchette dans vos décisions. Le nombre d'entraîneurs et la saveur des joueurs du mois sont vraiment remarquables. C'est un club qui a battu le record de mercato deux fois en trois ans, mais qui n'a pu terminer deuxième que deux fois en Serie A et a failli être reléguée une saison. Pensez aux noms qui se sont révélés en bleu et noir, Ronaldo, Bergkamp, Blanc, Pirlo, Djorkaeff, Pagliuca, Jonk, Winter, Simeone, Zamorano, Pancev, Ince, Roberto Carlos, Brehme, Klinsmann, Matthaus. L'Inter était un endroit où certains des meilleurs et des plus prometteurs du monde allaient se faire payer et voir leur carrière patauger dans de nombreux cas. Les malheurs de l'Inter ont été une leçon sur la nature inconstante du football. Leur réponse à tout était de changer de manager et d'acheter plus de stars. Qu'est-ce que ça nous a apporté ? Une décennie de frustration. Traduction alex_j.- 11 commentaires
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Les Hall Of Famers honorés avant Inter-Salernitana
Victor "Antony" Newman a posté un article dans F.C. Internazionale Milano
En effet, après l’intronisation de Samuel Eto’o, tous les titres honorifique du Hall of Fame de l'Inter pour l’Edition 2021 ont été décernés. Les quatre nouvelles légendes, élues par les Tifosi à travers un système de votes en novembre dernier, seront honorés quelques minutes avant le coup d’envoi du match opposant l’Inter à la Salernitana. Gianluca Pagliuca, Marco Materazzi, Wesley Sneijder et Samuel Eto'o recevront le trophée du Hall of Fame sur la pelouse du Stade Giuseppe Meazza, sous l’ovation des Tifosi qui ne les ont pas oubliés. Cette soirée verra également un Prix spécial assigné par les Tifosi à Giuseppe Prisco, le Légendaire avocat et Dirigeant du Club élu parmi une liste de présélectionné comprenant entre autre, la Policlinico di Milano, en lice pour ses efforts dans la lutte contre le Covid-19, Claudio Bertazzi, président de l'Inter Club Desenzano del Garda, et Enzo Bernasconi, membre de l'Inter Club Tri Basei Voici l’Album d’Or du Hall Of Fame Edition 2018: Walter Zenga; Javier Zanetti; Lothar Matthäus; Ronaldo. Edition 2019: Francesco Toldo; Giacinto Facchetti; Dejan Stankovic; Giuseppe Meazza. Edition 2020: Julio Cesar; Giuseppe Bergomi; Esteban Cambiasso; Diego Milito. Edition 2021: Gianluca Pagliuca, Marco Materazzi, Wesley Sneijder, Samuel Eto'o. ®Antony Gilles – Internazionale.fr-
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Handanovic : est-il responsable des buts de Liverpool contre l'Inter ?
Oxyred a posté un article dans Interviews
Pendant qu’une grande majorité des supporters de l'Inter se demandent si leur gardien de but Samir Handanovic est responsable des deux buts de Liverpool, l'ancienne légende des Nerazzurri, Gianluca Pagliuca, le défend. Les tifosi critiquent Handanovic sur les médias sociaux après la défaite 2-0 de l'Inter contre Liverpool mercredi soir. Nombreux sont ceux qui considèrent que le manque de réactivité présumé du joueur de 37 ans constitue un problème pour les champions de Serie A. Plusieurs fans de l'Inter suggèrent qu'il était trop lent lorsque Firmino a ouvert le score en seconde période et qu'il n'a même pas bougé lorsque Mohamed Salah a doublé l'avance pour les Reds. Ce n'est pas la première fois que Handanovic est accusé de ne pas être assez réactif, concédant des buts que d'autres gardiens auraient pu éviter. Cependant, l'ancienne star de l'Inter Gianluca Pagliuca a défendu Handanovic dans une interview accordée à Notizie.com, affirmant que le capitaine des Nerazzurri "n'est pas responsable des buts de Liverpool ". "Peut-être, ils veulent juste blâmer quelqu'un pour la défaite", a ajouté l'ancien gardien de l'Italie. L'Inter signera André Onana en tant qu'agent libre de l'Ajax cet été. L'international camerounais a passé sa visite médicale avec les champions de Serie A en janvier. Cependant, Handanovic devrait rester à l'Inter une saison de plus, prolongeant son contrat avec les Nerazzurri. ®Oxyred – Internazionale.fr via Football-Italia- 22 commentaires
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Le légendaire ancien milieu de terrain de l'Inter, Wesley Sneijder, est fier d'avoir été intronisé au Hall of Fame des Nerazzurri. Dans un entretien accordé au site officiel du club, le héros du triplé s'est exprimé sur le fait d'avoir été choisi par les fans pour être intronisé dans le Hall of Fame de cette année. Sneijder n'a passé que trois saisons et demie sous le maillot de l'Inter, mais il a laissé sa marque en jouant un rôle clé sur la voie d'un triplé européen historique lors de la saison 2009-10, sa première campagne avec le club. Le néerlandais est devenu l'une des figures emblématiques de l'une des plus grandes périodes de succès de l'histoire du club, et a été choisi pour rejoindre le Hall of Fame aux côtés de Marco Materazzi et Gianluca Pagliuca. Sneijder est très fier d'avoir gagné cette place dans le Hall of Fame, et fier de son temps passé avec les Nerazzurri. Voici l'article : MILAN - Wesley Sneijder est désormais membre du Hall of Fame de l'Inter. Le milieu de terrain néerlandais, né le 9 juin à Utrecht, est le troisième ancien joueur des Nerazzurri à être intronisé au Hall of Fame en 2021, après Gianluca Pagliuca et Marco Materazzi. Sneijder est le quatrième milieu de terrain à recevoir cette prestigieuse reconnaissance et se trouve en compagnie de Lothar Matthäus, Dejan Stankovic et Esteban Cambiasso. Après l'annonce du vainqueur dans la catégorie des milieux de terrain, la prochaine étape consistera à annoncer quel attaquant entrera au Hall of Fame en mars. Le vote pour l'entrée au panthéon des Nerazzurri a eu lieu en novembre dernier et quatre lauréats ont été annoncés chaque mois depuis lors. On peut dire que Wesley Sneijder a fait ses preuves en tant que joueur de l'Inter. Arrivé à Milan le 28 août 2009, le Néerlandais est entré sur le terrain le lendemain lors d'une victoire 4-0 contre le rival de l'Inter, enchantant les supporters dès son premier contact. C'est le début d'une saison exceptionnelle au cours de laquelle Sneijder joue un rôle clé dans le triplé des Nerazzurri, en marquant à huit reprises en 2009/10. Ses contributions ont été essentielles dans la campagne de l'Inter en Ligue des champions ; il a marqué contre le CSKA et le FC Barcelone en Ligue des champions et a offert des passes décisives à Samuel Eto'o à Chelsea en huitième de finale et à Diego Milito en finale à Madrid contre le Bayern Munich. Le Néerlandais n'a pas seulement connu une année exceptionnelle en club, il est sorti de la Coupe du monde 2010 en tant que meilleur buteur et avec une médaille de finaliste. Au total, Sneijder a représenté l'Inter pendant trois saisons et demie, faisant 116 apparitions et marquant 22 buts. Il entretenait une relation particulière avec les tifosi de San Siro, qui s'extasient encore aujourd'hui sur ses performances. "J'aimerais remercier tous les tifosi de l'Inter de m'avoir choisi pour le Hall of Fame de l'Inter", a-t-il déclaré, "c'est un grand honneur pour moi et je leur en suis vraiment reconnaissant." "Je n'oublierai jamais ce que j'ai vécu avec les Nerazzurri", a-t-il poursuivi, "cette période est une partie importante de ma vie. L'Inter est comme une famille pour moi et je suis honoré d'en faire partie." Il a rappelé qu'"en 2010, nous avons réécrit l'histoire en remportant le triplé : J'ai hâte de retourner à San Siro pour pouvoir revivre ces sensations incroyables que le stade vous procure." "Cela me manque d'être à Milan, dans notre stade, avec nos supporters", a-t-il poursuivi. "J'espère pouvoir célébrer cette reconnaissance que vous m'avez accordée avec vous tous. Forza Inter, pour toujours !" ®Oxyred – Internazionale.fr via Inter.it
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André Onana, Samir Handanovic : Deux prétendants pour un seul poste
Victor "Antony" Newman a posté un article dans Mercato
L’Inter du ‘futur’ se dessine et avec l’arrivée d’André Onana, l’équipe renforce un secteur prioritaire : En effet, Samir Handanovic n’est pas éternel et le poids de l’âge se fait tout doucement ressentir Analyse de l'article paru dans la Gazzetta Dello Sport Après Samuel Eto’o, un nouveau joueur camerounais va revêtir le maillot de l’Inter, il s’agit d’André Onana, lui qui s’est soumis, hier, à la traditionnelle visite médicale à Milan, lui qui défendra la saison prochaine, la cage Nerazzurra. Il s’agit d’une opération à paramètre zéro et le joueur paraphera un contrat valide jusqu’au 30 juin 2027. L’Inter a donc enrôlé le gardien du futur : 25 ans, international camerounais, et un physique explosif. Lui et les Tifosi Nerazzurri ont un mythe en commun : Samuel Eto'o. Il prendra également la relève d’un poste occupé par Giuliano Sarti, Ivano Bordon, Walter Zenga, Gianluca Pagliuca, Francesco Toldo, Julio Cesar et, enfin, le bon Handa. Onana André Onana est un numéro un d’origine africaine qui a fait ses classes à Barcelone, et s’il ne quittera l’Ajax gratuitement qu’au mois de juin, il a déjà fait connaissance, hier, avec sa nouvelle ville. En tout premier lieu, l’équipe hollandaise a été avisée officiellement par l’Inter, hier, à travers un courriel qui n’a surpris personne, il s’agissait d’une communication nécessaire d’un fait connu de tous, d’une obligation d’informer le club propriétaire d'une négociation d’un joueur en fin de contrat comme le stipule le règlement de la FIFA, afin de procéder à un recrutement au mois de juillet. Dans le même laps de temps, Onana atterrissait à Linate via un vol privé en compagnie de son agent Albert Botines, l'homme qui a été contact continu, lors de cette dernière année, avec Piero Ausilio. Il a été pris en charge par une voiture officielle du club pour la visite habituelle des installations sanitaires de Milan. La première partie des examens ont eu lieu à l’Istituto Humanitas di Rozzano, avant de rejoindre le Coni pour obtenir le certificat d’aptitude sportif (l’idoneità) et pour rencontrer par la suite la Direction Interiste et échanger également avec Simone Inzaghi. La prochaine étape aura lieu le 1er février, ce jour-là, et conformément aux règles établies par la FIFA, le contrat sera signé et déposé, il ne s’agit plus que d’une simple formalité vu les tests réalisé hier. Onana percevra 3 millions d’euros jusqu’au 30 juin 2027, mais plus que l’aspect financier, ll y a eu une confiance constante qui l’a convaincu : L’Inter a été l’équipe qui s’est montrée la plus insistante pour le recruter, en s’activant il y a déjà un an, s’n est suivi l’intérêt de plusieurs clubs de Premier League en commençant par Arsenal. "L’option d’un retour à Barcelone club qui l’a quitté en 2015 pour partir à Amsterdam, n’a jamais été pris en considération malgré quelques déclarations ringardes lâchées tactiquement ces derniers mois." Handanovic Pour sa première année, l’Onana Nerazzurro pourrait être accompagné de l’éternel Handanovic dont le contrat arrive à échéance le 30 juin 2022. Le Capitaine se verra proposer une prolongation d’une année qu’il va soigneusement évaluer et ce même si son agent Fali Ramadani commence déjà à le proposer aux quatre vents : Le Slovène ne semble pas se voir ailleurs et semble métaboliser son nouveau rôle de "tuteur"pour son futur et jeune concurrent. "Toutefois, son nombre de titularisation dans la saison diminuera drastiquement et cela pourrait être bizarre pour lui, qui était un cannibale habitué à laisser des miettes au reste de la compagnie." Mais l’Inter, avec un gardien âgé de 37 ans était quasiment dans l’obligation de se lancer dans une phase de transition : La contribution de Samir pourrait donc s’avérer décisive pour la destinée des Nerazzurri : Avec deux portiers qui peuvent revendiquet le poste de titulaire, il pourrait "adoucir" l’atterrissage du Camerounais à Milan. "Le tout sera respecté suivant un schéma établi par l’Administrateur-Délégué Giuseppe Marotta qui a expérimenté cette situation en 2017-2018, lorsqu’il était encore à la Juventus, avec l’arrivée de Wojciech Szczesny qui était à la cour de Buffon, une situation utile qui aura ouvert la voie au joueur polonais après une année à avoir coexisté avec Gigi." Pensez-vous que les performances de Samir pourraient être impactées à la suite de la confirmation de l’arrivée d’André à l’Inter ? ®Antony Gilles – Internazionale.fr- 6 commentaires
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Gianluca Pagliuca intronisé au Inter Hall of Fame !!!
alex_j a posté un article dans F.C. Internazionale Milano
MILAN - Gianluca Pagliuca a été intronisé au Inter Hall of Fame. Le gardien de but, né à Bologne le 18 décembre 1966, est le premier ancien joueur à être intronisé au Temple de la renommée 2021. Il devient le quatrième gardien à recevoir cette prestigieuse distinction, suivant les traces de Walter Zenga, Francesco Toldo et Julio Cesar. Il s'agit de la première annonce d'intronisations au HoF. D'ici mars, il y aura un joueur par mois intronisé : un défenseur, un milieu de terrain et un attaquant. Aux côtés de Zenga, Toldo et Julio Cesar, Gianluca Pagliuca, qui a représenté l'Inter entre 1994 et 1999, a été capitaine des Nerazzurri et a remporté la Coupe UEFA en 1998 contre la Lazio. Pagliuca a fait 234 apparitions pour l'Inter, après avoir été chargé de remplacer les gants légendaires de Zenga. Il a disputé dix derbys milanais sans en perdre, tout en offrant des compétences incroyables en tant que gardien, excellent pour arrêter des tirs aux buts, des réactions impressionnantes et une volonté de fer. Il était également connu pour ses kits légendaires qui ont joué un rôle dans son statut légendaire au fil des ans. Un gardien hors du commun qui n'a été dépassé par Samir Handanovic concernant le record des tirs au but arrêtés en Serie A. Pagliuca a sauvé 24 des 91 qu'il a du affronter en 592 matchs de Serie A. De plus, il est le cinquième ayant fait le plus d'apparitions de l'histoire de la Serie A, avec la Sampdoria, l'Inter, Bologne et Ascoli. "Je suis vraiment fier d'être intronisé au HoF. Historiquement, l'Inter a toujours eu de très bons gardiens, de Giuliano Sarti à Ivano Bordon, et de Zenga à mes successeurs. Être choisi par les fans des Nerazzurri est un honneur pour moi et témoigne de la qualité de ces cinq années que j'ai passées à l'Inter. Je tiens à les remercier, ils ont une place particulière dans mon cœur." "Si je regarde en arrière, j'ai beaucoup de bons souvenirs. Cependant, je choisirais le triomphe de la Coupe UEFA 1998 avant tous; ce fut un voyage incroyable, tant de matches difficiles et de retours incroyables. C'était un vrai triomphe. Je capitaine de l'équipe ce jour-là parce que Giuseppe Bergomi s'est blessé. Nous avons soulevé le trophée ensemble, un très beau souvenir." "Malgré que ce soit une si belle aventure, je regrette de ne pas avoir remporté le championnat. C'est dommage car cela aurait été un doublé vraiment incroyable. Mais je vais prendre les points positifs, comme le fait que j'ai gagné six derbys et fait quatre nuls, restant invaincu." "En étant intronisé au HoF, je rejoins deux de mes incroyables coéquipiers Bergomi et Ronaldo. Zio a fait un excellent travail en m'accueillant dans le club lorsque je l'ai rejoint en 1994. C'était un ami proche de Zenga. Il était génial, à la fois en tant que joueur et en tant que personne. Et que dire de Ronnie ? Le meilleur joueur avec qui j'ai jamais joué, ses performances lors de la saison 1997-1998 étaient incroyables et sans précédent." Bravo Gianluca!!! Traduction alex_j via le site officiel.- 1 commentaire
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11 avril 1998 l'Inter battit la Roma grâce à un flamboyant doublé de ronaldo Il Fenomeno. Reci de ce match. Avant le début de la saison 1997-1998 de la Serie A, Massimo Moratti a nommé Luigi Simoni au poste de manager dans l'espoir de mettre enfin un terme à la disette. L'équipe comptait également sur Ronaldo pour rester en bonne santé et mener l'équipe à un Scudetto. Pour renforcer leurs chances, l'équipe a ajouté Diego Simeone, Francesco Moriero et Alvaro Recoba lors du mercato estival. Terminant la campagne précédente à seulement deux victoires des champions Juventus, la saison a commencé avec de grands espoirs de la part des fidèles Nerazzurri. Pour la vingt-neuvième journée de la Serie A, l'Inter s'est rendue à Rome pour affronter l'équipe offensive de Zdenek Zeman, l'AS Roma, qui avait également des difficultés défensives. Les Romains n'avaient pas trouvé de cohérence, incapables d'enchaîner une série de victoires. Avant le match contre l'Inter, ils n'avaient remporté plus de deux matchs d'affilée qu'une seule fois toute la saison. Les Nerazzurri ayant déjà remporté une victoire totale 3-0 au Meazza à l'aller, les visiteurs ont eu le dessus dans le match. Le onze de départ de Zeman et de l'AS Roma était Michael Konsel, Cafu, Aldair, Fabio Petruzzi, Vincent Candela, Eusebio Di Francesco, Luigi Di Biagio, Damiano Tommasi, Paolo Sergio, Abel Balbo et Francesco Totti. Du côté des Nerazzurri, le onze fut Gianluca Pagliuca, Giuseppe Bergomi, Taribo West, Francesco Colonnese, Luigi Sartor, Javier Zanetti, Diego Simeone, Ze Elias, Benoit Cauet, Youri Djorkaeff et Ronaldo, (que du lourd, ndlr). En première mi-temps, la Roma semble bien contrôler le match. Ils ont conservé plus de possession et ont réussi plus de tirs au but que l'Inter. Le style offensif de Zeman causait des problèmes aux Nerazzurri alors que la jeune star Giallorossi, Francesco Totti, continuait à mettre le ballon sur l'aile gauche pour tenter de centrer ou de revenir à l'intérieur et de tirer. Pagliuca a connu une première mi-temps chargée mais a réussi à garder sa cage inviolée. De l'autre côté, l'Inter a joué strictement en contre-attaque laissant souvent Ronaldo isolé en pointe sans ballon. Zanetti a effectué un certain nombre de courses vers l'avant pour tenter de trouver Ronaldo, mais n'a pas pu le faire. La pression haute la Louve a rendu la vie difficile aux Nerazzurri et les a empêchés de conserver le ballon et de s'imposer dans le match. 0-0 à la mi-temps mais ce score n'est pas resté longtemps. Aux alentours de la 50e minute, Ronaldo a reçu une passe lobée contournant la ligne défensive de la Roma et a confortablement dribblé autour du gardien de but pour marquer le premier but du match. La Roma n'a pas tardé à égaliser vers la 63e, une erreur défensive de Giuseppe Bergomi a permis à Cafu de passer au but qui a facilement placé le ballon dans le coin inférieur gauche pour égaliser. Le match s'était brièvement ouvert pour les Nerazzurri alors que les Romains devaient s'engager plus pour égaliser, ce qui a permis à l'Inter de faire plus de contre-attaques. Cependant, avant de pouvoir capitaliser, le match était à égalité 1-1. Au fur et à mesure que le match avançait et que les défenseurs Giallorossi se fatiguaient, le rythme et les puissantes courses en avant de Ronaldo devenaient de plus en plus difficiles à défendre pour les défenseurs adverses alors que le dynamique Brésilien continuait de s'ouvrir et causait toutes sortes de problèmes à l'équipe locale. Vers la soixante-quinzième minute, Ronaldo a fait une course fulgurante devant les défenseurs et a de nouveau dribblé le gardien de but pour marquer son deuxième et but vainqueur du match pour les visiteurs pour faire basculer le match en faveur de l'Inter à 2-1. L'assaut romain s'est encore produit en fin de match mais les défenses de l'Inter et l'éclat de Pagliuca ont maintenu les Nerazzurri devant et l'Inter repart du Stadio Olimpico en tant que vainqueur 2-1. Traduction alex_j via sempreinter et connaissances personnelles.
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Le vote pour la quatrième édition de l'Inter Hall of Fame a commencé et, comme toujours, nous, les fans des Nerazzurri, sont invités à choisir les quatre prochaines légendes qui marqueront l'histoire du club, avec un gardien, un défenseur, un milieu et un avant devant être intronisé. Là, focus sur les gardiens de but! Voici les 12 joueurs qui ont déjà été intronisés à l'Inter Hall of Fame : Édition 2018 : Walter Zenga, Javier Zanetti, Lothar Matthaus, Ronaldo. Édition 2019 : Francesco Toldo, Giacinto Facchetti, Dejan Stankovic, Giuseppe Meazza. Édition 2020 : Julio Cesar, Giuseppe Bergomi, Esteban Cambiasso, Diego Milito. Aujourd'hui, nous découvrons qui sont les dix candidats gardiens en lice pour suivre les traces de Zenga, Toldo et Julio Cesar. Ils répondent tous aux critères d'au moins 60 apparitions en compétition pour l'Inter, de remporter au moins un trophée, de prendre sa retraite en tant que joueur il y a au moins trois ans ou d'avoir pris sa retraite dans le cadre de l'équipe du Triplete de 2010. IVANO BORDON (13 avril 1951) Bordon a disputé 382 matches avec l'Inter entre 1970 et 1983 et a établi le record du plus grand nombre de minutes sans encaisser de but (686 entre les semaines 4 et 11 en 1979/80). Sa connexion avec l'Inter a commencé dans les rangs des jeunes et son parcours vers la première équipe a abouti à ses deux premières apparitions seniors dans des conditions de feu : un derby de Milan et la seconde moitié du tristement célèbre « Game of the Can » à Mönchengladbach. Bordon a remporté deux Scudetti (1970/71 et 1979/80) et deux Coppa Italia (1978 et 1982). LORENZO BUFFON (19 décembre 1929) Buffon a disputé 89 matches à l'Inter et a remporté le Scudetto 1962/63. Son style de jeu spectaculaire était également familier aux rivaux de la ville, l'AC Milan, où il a remporté quatre titres de champion. ANGELO CAIMO (14 juillet 1914 – 10 mai 1998) Joueur de l'Inter de la saison 1939/40 à 1942/43, il fait 63 apparitions et remporte le Scudetto en 1939/40. PIERO CAMPELLI (20 décembre 1893 – 20 octobre 1946) Gardien de la première équipe de l'Inter qui a remporté le Scudetto en 1910, Campelli a joué sous les couleurs des Nerazzurri de 1909 à 1925, faisant 179 apparitions. Un deuxième Scudetto a suivi une décennie plus tard en 1920. Considéré comme un talent précoce dans sa jeunesse, Campelli était particulièrement connu pour son maniement du ballon et a été l'un des premiers gardiens de but en Italie à tenter d'attraper des tirs ou de sortir de sa ligne pour capter des centres plutôt que de les boxer, contribuant ainsi au développement et à la vulgarisation de cette technique particulière de gardien de but. VALENTINO DEGANI (14 février 1905 - 8 novembre 1974) Degani a fait 176 apparitions entre 1924 et 1938 pour Ambrosiana Inter. Le tireur incroyablement agile a remporté le Scudetto 1929/30. GIORGIO GHEZZI (10 juillet 1930 - 12 décembre 1990) Surnommé "Kamikaze", Ghezzi était notoirement intrépide et avait une forte personnalité. Il a joué pour l'Inter de 1951 à 1958, remportant deux Scudetti consécutifs en 1953 et 1954. Icône des Nerazzurri, il est devenu un entrepreneur à succès après avoir raccroché ses gants. GIANLUCA PAGLIUCA (18 décembre 1966) Prendre les chaussures de Walter Zenga aurait été un défi de taille pour n'importe qui, mais Pagliuca l'a fait sans hésiter, gagnant les fans avec des arrêts inoubliables en cours de route. Un gardien formidable qui a offert au club cinq années de bons et loyaux services, accumulant 234 apparitions et remportant la Coupe UEFA en 1998. GIUSEPPE PERUCHETTI (30 octobre 1907-21 mai 1995) Réflexes, bravoure et un brin de folie – comme tout gardien digne de ce nom. Surnommé la « Panthère noire » pour ses arrêts acrobatiques, Giuseppe Peruchetti a joué 115 fois pour l'Inter entre 1936 et 1940, remportant deux titres de champion et une Coppa Italia. Il a ensuite passé une saison dans le management de l'Inter. GIULIANO SARTI (2 octobre 1933 - 5 juin 2017) Sarti offrait peu de fioritures mais beaucoup de substance. 198 apparitions en tant que n°1 de La Grande Inter : deux Scudetti (1965 et 1966), deux Coupes d'Europe (1964 et 1965) et deux Coupes Intercontinentales 1964 et 1965. LIDO VIERI (16 juillet 1939) Vieri a effectué 199 apparitions de 1969 à 1976, remportant le Scudetto 1970/71 et établissant le record de la plus longue série sans encaisser de buts (685 minutes), plus tard battu par Bordon. Traduction: alex_j via le site officiel de l'Inter
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L'ancien gardien de l'Inter Gianluca Pagliuca donne son avis sur l'été des Nerazzurri et la saison en cours, ainsi que la Champions League. Dans une interview pour la Gazzetta dello Sport, le légendaire portier de 54 ans parle de ses expériences en Champions League avec l'Inter et ensuite de l'équipe actuelle. Les Nerazzurri entretiennent une rivalité historique avec le Real Madrid, un autre grand club Européen, et Pagliuca était le gardien lors de la campagne 98-99 de la Champions League lors de laquelle les Merengues l'avaient emporté à Madrid avant de voir l'Inter s'imposer au retour à San Siro. L'ancien gardien croit que les Nerazzurri peuvent surpasser le Real et sortir victorieux de la phase de groupe, mais cela pourrait être aussi compliqué. A propos de son expérience personnelle contre le Real: "C'était spécial, vous savez pourquoi ? Nous étions en phase de groupe, le match aller en Espagne fut un massacre. On a perdu 2-0, ils ont eu 19 corners et nous 0, il n'y avait quasiment pas match. Le retour deux mois plus tard était magique." Pagliuca croit que les Nerazzurri actuels auront l'expérience et le bon état d'esprit pour passer la phase de groupe cette année après les difficiles et décevantes dernières campagnes. "Les expériences des éliminations des deux dernières saisons seront utiles. Et de ce que j'ai vu lors des 2 premières journées, il me semble que les joueurs sont aussi fiers et ont autant faim que l'année dernière." "Je pense qu'avec les départs de Conte, Hakimi et Lukaku ils se sont un peu affaiblis. Mais pas énormément." "En attaque j'aurais préféré Zapata, mais le club a fait un très bon travail pour amener des joueurs fonctionnels. Dzeko a encore 2 saisons de haut niveau devant lui, Dumfries a montré de quoi il est capable à l'Euro, Correa est l'homme juste et j'applaudis la rapidité avec laquelle ils ont remplacé Eriksen par Calhanoglu." Au sujet du coach Simone Inzaghi: "L'idéal est de poursuivre le travail établi par Conte. L'année dernière j'étais sûr à 100% de la conquête du Scudetto. Cette année je vois une compétition plus équilibrée. Mais en même temps je ne vois personne finir devant l'Inter, même après le départ de 3 éléments importants." ©Internazionale.fr via Gazzetta dello Sport - Traduction Trent_FCI
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Notre ancien gardien de but n'a que du respect et de merveilleux souvenirs de son ancien patron alors que Roy Hodgson tire sa révérence demain. Ce texte est une traduction de ''Gianluca Pagliuca: Roy Hodgson was a great Inter coach but the press got under his skin.'' publié le 22 Mai 2021 sur le site du Guardian. J'ai de merveilleux souvenirs de jouer sous Roy Hodgson. C'était une personne honnête, sincère mais, surtout, un excellent entraîneur avec beaucoup de connaissances. Il s'est très bien préparé aux matches et nous a beaucoup appris. Bien qu'il n'ait rien gagné à l'Inter (finale de C3 en 1997 perdue contre le Schalke 04, ndlr), son impact a été excellent. J'ai une image fixe dans ma tête quand je pense à Roy: avant chaque séance d'entraînement, il serrait la main des joueurs, un à la fois. Nous nous sommes regardés en souriant, presque incrédules, parce que nous ne comprenions pas (il ne parlait pas italien, ndlr), mais c'était un vrai gentleman et c'était sa façon de faire. Je n'ai jamais vécu cela à aucun autre moment de ma carrière, mais c'était un homme d'un autre temps et une personne fantastique. Parfois je lui parlais après l'entraînement, je discutais de golf ou de tennis qui étaient ses grandes passions, mais aussi je me confiais sur des choses de ma vie privée. Roy a répété le nom de Björn Borg avant, pendant et après l'entraînement. ''Nous devons être comme Björn Borg. Je veux une mentalité comme Björn Borg.'' Puis, une fois l'entraînement terminé, il s'est arrêté pour discuter de tennis et de Borg avec certains d'entre nous. Disons que Borg était une de ses belles obsessions. Le seul défaut de Roy était qu'il détestait la presse, car il avait reçu beaucoup de critiques. Il achetait des journaux tous les jours pour apprendre la langue mais il considérait les journalistes comme ses ennemis. C'était une lutte constante entre Roy et les journalistes. Il entrerait dans le vestiaire vraiment nerveux à cause de cela. Je lui ai dit avec mes coéquipiers: ''Oubliez ça… pas de problème. L'Inter est un grand club et les critiques sont normales.'' Mais il ne pouvait pas accepter les critiques des journalistes. Cela le rendit furieux. Quand il s'est mis en colère, il ne parlait qu'en anglais. Penser à cela me fait rire car les scènes étaient étranges: une fois nous sommes entrés dans la loge et l'avons vu crier et jurer à chaque article qui le critiquait. Je n'oublierai jamais quand nous étions en tête et que nous avions perdu 2-0 à la Juventus. Roy était furieux quand il est revenu dans le bus de l'équipe. Il montait et descendait en disant: ''Nous ne méritions pas de perdre, ce n'est pas juste...'' plus quelques mots grossiers en anglais. Nous avions mérité de perdre mais il s'inquiétait de ce que les journaux allaient écrire. Roy était un homme intelligent qui vivait aussi bien pour les relations humaines que pour le football. Il voulait apprendre l'italien pour mieux communiquer avec l'équipe et il s'est fait comprendre. Son langage n'était pas parfait mais ces choses sont appréciées par les joueurs. Roy parlait anglais qu'avec Paul Ince. Nous nous sommes qualifiés pour la Coupe UEFA lors de la première année de Roy et avons atteint la finale pour perdre contre Schalke aux tirs au but, mais Roy a été attaqué parce que sa défense était jugée trop haute. Nous avons joué un football très offensif, risquant toujours de concéder des buts, mais il n'a pas accepté les critiques. Dans cette finale retour, Roy a remplacé Javier Zanetti, véritable icône de l'équipe, quelque minutes avant les tirs au but pour amener un tireur de penalties. Zanetti a montré sa colère devant tout le Meazza et 85 000 fans furieux l'ont fait savoir à Roy. Roy a répondu aux fans à son tour, et après cet épisode, nous avons eu les tirs aux buts en pensant que le match était perdu. En général, Roy aimait féliciter les joueurs. Au début, quand il ne parlait pas bien l'italien, si nous gagnions, il me serrait dans ses bras et me disait: ''Bon arrêt, Gianluca. Dai, Gianluca. Forza grande, Gianluca.'' Il m'a toujours motivé. Je n'ai eu qu'une seule dispute avec lui. Lors d'un match de la Coppa Italia contre Cagliari, il a dit un mauvais mot en anglais à voix basse, je l'ai compris et je lui ai répondu de la même manière. Le lendemain, il a rassemblé l'équipe et s'est excusé. J'ai beaucoup apprécié et le problème a été résolu. C'était le geste d'une grande personne. Il y a une légende populaire ici en Italie selon laquelle Hodgson a demandé la vente de Roberto Carlos au Real Madrid. Tout le monde lui reproche d'avoir soi-disant forcé l'Inter à vendre Roberto Carlos, qui était jeune et est devenu pendant de nombreuses années le meilleur arrière gauche du monde. Mais cela me dérange parce qu'à mon avis, le club a vendu Roberto Carlos. Je pense qu'ils ne croyaient pas en lui. Roy n'est jamais entré dans les détails de cette histoire ni accusé le club de la vente et les fans de l'Inter l'aiment en tant que personne à cause de cela. Cela montre quel homme il est. Il a un style extraordinaire qui a fait de lui l'une des figures les plus populaires du football au fil des ans, je lui souhaite le meilleur. C'est un gentleman, pas seulement un manager. Gianluca Pagliuca, notre ancien gardien de but italien, intersite de 1994 à 1999.
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