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Stéphane Dalmat s’est livré ce jeudi sur la première manche de l’EuroDerby Della Madonnina https://www.instagram.com/p/CsGP9nSo_RF/ "Bonjour à tous, C’est une très belle journée aujourd’hui car hier c’était fantastique, l’Inter a réalisé une partie extraordinaire, une première mi-temps comme je n’en avais jamais vu cette saison : Nous n’avons pas laissé le Milan jouer, nos trois au milieu du terrain ont été extraordinaire. Devant, Lautaro et Dzeko ont réalisé un travail de pression sur les défenseurs du Milan qui ne pouvait pas relancer. Et derrière nous avions trois montres qui me faisaient penser, même si c’étaient des défenseurs de la Juve, à Bonucci, Barzagli et Chiellini mais ceux de la Nazionale. Lorsque je les vois jouer, ce sont trois monstres et quand les autres rentrent : Lukaku, Brozovic en seconde mi-temps, ils ont tenu le ballon et nous avons géré en seconde mi-temps. En première période, nous avons été formidable, en seconde c’était de la gestion: Je suis content pour tout le monde, pour les gens, les tifosi pour ceux qui attendait ce match, j’aspirais à prendre du plaisir mais j’étais sur mon divan et j’étais fou de voir cette première mi-temps. En seconde, c’était de la pure gestion même s’il y avait la possibilité d’inscrire un troisième ou un quatrième but. Nous devons rester serein, c'est un 0-2 à l’extérieur car ce n’était pas sur "notre" terrain mais faisons attention car le Milan est aussi capable, sur un match, de marquer deux buts. Hier ils n’ont eu aucune occasion, je n’ai quasiment jamais vu Onana. Si nous jouons comme hier, nous serons en Finale et ensuite qui sait…. Mais il faut rester serein : Nous avons fait une belle première manche de cette demi-finale et la Route est similaire à ce que nous avions faite face à Benfica : Une route ouverte mais à aborder avec sérénité. Ce sera une demi-finale retour sans pression car elle est pour le Milan: Milan va devoir attaquer attaquer et il y aura des espaces libres pour les joueurs de l’Inter. Félicitations à l’équipe et pour une fois Félicitations à l’entraineur car il a énormément souffert et pour une fois je peux vraiment dire qu’Inzaghi a donné quelque chose à cette équipe, comme un ovni, avec de la solidarité et avec énormément de qualité, surtout au milieu : Nos milieux ont mangé ceux du Milan. A présent, il faut bien se reposer et j’espère que le 16 mai, nous terminerons le travail et nous envolerons pour la Finale : Je vous souhaite à tous une très belle journée : Une journée où nous sommes tous si Fier Et comme je le dis toujours FORZA INTER : Nous avons Gagné, l’INTER est MILAN." ®Antony Gilles – Internazionale.fr
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L'attaquant belge, titulaire hier soir face à la Juventus, a été transparent : il est logique d'attendre plus de lui! Cela aurait pu être "son" jeu. L'occasion de montrer qu'il peut encore être décisif, qu'il peut être déterminant pour l'équipe. Qu'il vaut la peine de re parier sur lui, aussi - et surtout - en vue de la saison prochaine . Romelu Lukaku, en revanche, n'a pas envoyé de signaux positifs : aligné comme titulaire contre la Juventus, l'attaquant belge est toujours apparu lent, maladroit et maladroit, parent éloigné du joueur qu'il admirait jusqu'à il y a 2 ans. En fait, il n'est pas arrivé hier soir, comme l'écrit le Corriere dello Sport : "Lukaku a encore raté sa chance". Lors des précédentes confrontations avec la Juventus, il avait certainement souffert du marquage de Chiellini. Hier soir, il ne l'a pratiquement jamais rattrapée même contre Bremer, Danilo et Gatti. Le seul flash a été le ballon offert à Barella en première mi-temps, Szczesny s'y est interposé. L'instant du choix — Une chance gâchée, étant donné que Lukaku joue pour la re confirmation à l'Inter lors de cette finale de la saison : les Nerazzurri aimeraient satisfaire les souhaits du joueur, qui a toujours exprimé son intention de rester à Milan. Mais management de l'Inter, avant d'aller discuter avec Chelsea, veut des garanties techniques et physiques : " Clairement, sans changement de direction, il est difficile de penser que sa deuxième aventure avec les Nerazzurri pourra également se poursuivre la saison prochaine". une autre certitude devant, en plus de Lautaro. Et le Big Rom actuel, dans ces conditions, est très loin d'être celui q'on a connu il y a deux ans. Traduction Lindt1908 Via FcInter1908
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Notre ancien défenseur Walter Samuel s'est exprimé au micro de la chaîne YouTube du journaliste Gianluca Rossi. Il évoque divers sujets. "Je me souviens grâce à une grande gratitude des supporters de l'Inter qui se souviennent encore de moi aujourd'hui et me saluent quand ils me voient. Je suis heureux d'avoir contribué à une petite partie de l'histoire des Nerazzurri." Deux mots aussi sur le Triplete. "En une semaine on a tout joué, on a joué la finale de la Coupe d'Italie, puis la finale de la Ligue des Champions, et la Serie A à Sienne. On aurait pu tout perdre. Nous avons commencé à jouer et à y croire, remportant un Triplete auquel peut-être personne ne s'y attendait." Sur votre choix de rester à Milan. "Beaucoup de mes anciens coéquipiers sont restés à Milan, même Chivu. Il fait beau et on s'entend bien. On a toujours gardé l'idée de rester ici parce qu'on va bien, ça sera difficile de partir. Nous serions toujours heureux de rester, il y a une belle complicité. Mes enfants vont souvent au stade, avec moi et seuls aussi." Passons ensuite à l'analyse de la situation actuelle. "Ils ont beaucoup de qualité mais ils sont, peut-être, trop irréguliers. Ils sortent des grands matchs comme contre Porto et puis ils peinent en championnat. C'est vraiment dommage parce que maintenant tu te bats avec quatre ou cinq équipes pour la Ligue des champions. Porto? Je vois le match positivement car ce sont des matchs ponctuels et l'Inter a un avantage. Je m'attends à un bon match, je ne vois pas tout en noir, j'ai la foi dans cette équipe." Lautaro est-il déjà un champion ? "Nous l'apprécions dans l'équipe nationale, c'est un grand joueur, jeune, il a encore beaucoup à donner. Je le vois enthousiaste à l'idée d'être à l'Inter. L'Argentine ? En tant que joueur, je n'ai pas eu la chance de gagner en équipe nationale. En 2022, nous l'avons fait et c'était fantastique pour tout le peuple argentin. Le mérite, c'est tous les joueurs qui ont toujours cru en nous. Nous aussi, nous avons pris beaucoup d'épaisseur." Un possible futur en tant qu'entraîneur. "Pour l'instant ça va, j'aimerais bien dans le futur mais je dois encore aller jusqu'au bout. Je sens que je dois encore beaucoup apprendre et je le fais avec Scaloni. Après avoir joué pour l'Inter, ce n'est pas une obligation de l'entraîner à l'avenir. Cambiasso, il est peut être un entraîneur capable, il est très calme. Lui aussi attendra le bon moment, l'entraînement n'est pas une obligation et c'est aussi juste de profiter de la famille." Au final, un excursus sur le rôle du défenseur. "Je ne sais pas s'il y a un Samuel aujourd'hui, les temps sont différents. Nous étions plus solides et concentrés sur l'homme. On avait plus de liberté. Peut-être que le dernier était Chiellini. Aujourd'hui, il faut se présenter et rester debout comme le fait Bastoni, je l'aime beaucoup, il est confiant, il court beaucoup. J'ai essayé d'être toujours là et de me sentir bien. Je n'ai jamais fait de tacles durs, en fait nous aussi nous en avons pris car nous avons affronté des attaquants qui frappaient. Je pense à Vieri, Lucarelli, Toni, contre eux c'était très dur parce qu'ils étaient très forts." Traduction alex_j via FCInterNews.
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Giorgio Chiellini, en lien vidéo avec Sky Sport lors de l’after match de la Champions, a fait les déclarations suivantes. Nuits des clubs italiens ? "La soirée a été belle, Naples continue de donner du spectacle pendant que l'Inter a fait quelque chose d'extraordinaire. Mardi pourtant, il y eut deux mauvais matches. Le premier est celui de la Juventus, il fut très mauvais. Le deuxième celui du Milan avec des faits très négatifs. Les deux équipes ont passé une très mauvaise nuit." Piqué pas génial ce soir. "Il n'a pas remarqué le mouvement de Barella. C'est quelque chose qu'ils font depuis l'époque de Conte avec Bastoni qui le trouve bien grâce à son coup de patte. Nicolo avait déjà fait une première mi-temps extraordinaire et quand il garde le rythme, sans s'arrêter pour un moment, il fait partie des meilleurs milieux de terrain d'Europe." Est-il difficile d’être sur le banc, comme Handanovic ? "Beaucoup. Mais si vous comprenez que vous pouvez être utile, peut-être d'une manière différente, peut-être en tant que point de référence quotidien pour vos coéquipiers, alors ça passe. L'âge doit être combattu mais aussi accepté, on peut être important même en jouant moins. Il ne faut que l'accepter et le comprendre, si Handanovic a vraiment dit certaines choses à l'équipe c'est une démonstration d'une grande maturité, une valeur ajoutée." Quel est le meilleur geste de Lautaro ? "L'attaque au but et le mouvement à l'intérieur de la surface sont incroyables. Mais aussi la capacité aérienne, la technique... C'est un joueur complet et quand il est en forme, il devient décisif. En Europe, avec quelques espaces en plus, il est souvent décisif. Bravo à l'Inter et à Zanetti, ils ont découvert un joueur extraordinaire alors qu’il n’était encore presqu’un enfant." Maintenant que Lukaku est de retour, que se passe-t-il avec l'Inter ? "Est-ce que Lautaro joue mieux avec Lukaku ou avec Dzeko ? Je ne sais pas, je suis curieux de comprendre s'il profitera de tout ça, d'avoir Lukaku à ses côtés..." Que diriez-vous à Conte ? "J'ai passé un très bon moment avec Conte, il m'a appris non seulement à détruire, mais aussi à proposer. Je l'ai vu jugé mais je sais qu'il a vécu des jours difficiles à cause de la disparition de Gian Piero Ventrone." Traduction alex_j via FCInterNews.
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C'est la dernière idée en date concernant un match des stars, typique du sport américain comme le rapporte The Times. L'équipe de stars de la Serie A rivaliserait avec celles de la Premier League, de la Liga et de la Bundesliga, avec des compétitions qui pourraient être organisées dans le monde entier afin d'élargir la base de fans à l'échelle mondiale, selon le Times. Organiser des matches à travers l'Europe ou ailleurs dans le monde pendant l'été ou la trêve hivernale serait un moyen de faire défiler les stars des grands championnats européens sur les marchés en expansion. Selon des sources de la Premier League citées par le journal anglais, l'idée devrait être suivies par d'autres suggestions sur de nouvelles façons de continuer à augmenter les audiences et donc à augmenter les droits de télévision à l'étranger pour, bien entendu, enfranger plus de sous. L'idée du All Star Game a récemment été lancée par le copropriétaire milliardaire de Chelsea, Todd Boehly qui a suggéré d'introduire un match Nord contre Sud avec toutes les stars de la Premier League. Il a déclaré : "Cela pourrait bénéficier financièrement à l'ensemble de la Premier League. Les gens veulent plus d'argent pour l'ensemble de la pyramide du football anglais. Lors du All-Star Game de la MLB cette année, nous avons fait 200 M$ avec juste un lundi et un mardi." La proposition a été fortement critiquée par Jürgen Klopp : "Oh super, quand vous trouvez une date disponible sur le calendrier, vous pouvez m'appeler. Dans les sports américains, les joueurs ont quatre mois de congé, ils sont donc assez heureux pour pouvoir pratiquer pendant leurs pauses. C'est complètement différent dans le football." "Il n'a pas froid aux yeux, il n'attend pas longtemps. Je ne suis pas sûr que les gens veulent voir les joueurs de Manchester United, Liverpool, City, Everton réunis. Ce n'est pas une équipe nationale." Plus tard, le président de la ligue de Serie A, Lorenzo Casini, a déclaré : "L'idée d'un Serie A All Star Game mérite l'attention. Nous étudierons le projet et les entreprises de l'assemblée évalueront tous les pour et les contre." Dans le même temps, la FIFpro, le syndical mondial des joueurs, a lancé hier un nouveau conseil des joueurs dans le but que ces derniers apportent leur voix sur leurs conditions de travail. La FIFpro a créé ce vendredi un nouveau conseil mondial des joueurs. Celui-ci regroupe 29 membres, dont l'Anglaise Lucy Bronze et l'Italien Giorgio Chiellini, et permet aux acteurs du jeu de s'impliquer davantage sur des questions clés au niveau international. Le Conseil assistera la FIFpro et ses 66 associations nationales affiliées sur des problématiques telles que le calendrier des matches, les normes d'emploi ou encore les abus sur les médias sociaux. Giorgio Chiellini a déclaré : "C'est le meilleur moyen de commencer à faire entendre notre voix auprès des autorités du football", David Aganzo, le président de la FIFpro, complétant : "Tous ces joueurs sont des leaders sur et en dehors du terrain dans différents pays du monde et feront un travail fantastique en représentant leur profession au niveau international." Traduction alex_j via Calcio e Finanza, RMC Sport, l'Equipe, AFP.
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La saison dernière aurait été une campagne qui a fait mal pour les Nerazzurri, contraints de laisser le Scudetto au rival de la même ville, l'AC Milan. Cependant, le club n'a pas perdu de temps pour essayer de se remettre sur les rails pour la saison prochaine. Un long été de transferts en Serie A ne fait qu'aiguiser l'appétit pour ce qui devrait être une campagne captivante dans l'élite italienne en 2022-2023. Mais, avec les recrutements déjà effectués, l’Inter est-elle suffisamment forte pour se battre pour le titre de champion d'Italie la saison prochaine ? Où est-ce que l'Inter failli la saison dernière ? Il est difficile de déterminer exactement où l'Inter a été faible lors de la saison 2021-2022. Les Nerazzurri ont marqué plus de buts et encaissé moins de buts que lors de la campagne victorieuse en 2020-2021. L'Inter a marqué 84 buts, un record en championnat, et a encaissé le deuxième plus petit nombre de buts (32). Bien que le club n'ait pas remporté le championnat, il a pu fêter son succès en Coppa Italia et a atteint les huitièmes de finale de la Ligue des champions. Cependant, le facteur principal qui a contribué à ce que l'Inter ne remporte pas le championnat en 2021-2022 est le nombre de matchs nuls. Au total, l'Inter a concédé neuf matches nuls en 2021-2022, soit deux de plus que lors de la saison précédente. On pourrait dire que leur point faible vers la fin du championnat était en fait la créativité en fin de saison, n’ayant pas réussi à briser des adversaires comme le Torino ou la Fiorentina. Des victoires dans ces rencontres les auraient mis au bord de la gloire en Serie A, mais au lieu de cela, ils ont dû regretter les occasions manquées. Les matches nuls contre l'Atalanta et le Genoa à l'extérieur ont également été préjudiciables en milieu de saison : l’Inter a manqué de qualité offensive sur le banc, surtout après le départ de Romelu Lukaku. Qu'est-ce que l'Inter a corrigé jusqu'à présent au mercato d’été ? L'Inter a déjà été très actif cet été, le plus grand renfort à son effectif étant le retour de Romelu Lukaku. Après une année noire à Chelsea, le recordman des Blues est revenu à Milan pour un prêt d'un an, pour un montant de 8 millions d’Euros. Son retour donnera certainement un coup de pouce pour d'attaque et les options s’offrant à Inzaghi. Car, n’oublions pas qu’il a été sensationnel lors de son séjour de deux ans au club. De plus, il semble toujours être à la hauteur avec l'équipe nationale belge. Les Diables Rouges étant parmi les favoris de la prochaine Coupe du Monde au Qatar, il est possible que Romelu améliore sa forme cette saison afin d’être prêt pour le grand tournoi. BigRom a marqué un nombre impressionnant de 47 buts en 72 matchs de championnat avec l'Inter, et a réussi à enregistrer 64 buts en 95 matchs. Sa relation avec Lautaro Martinez a été un facteur clé dans leur campagne de titre, et un retour à cette dynamique les rend immédiatement des candidats de premier plan pour le titre de champion en 2022-2023. L'Inter s'est également attaqué à ses problèmes défensifs, avec un prêt pour Raoul Bellanova et le transfert définitif de Robin Gosens. Ce dernier pourrait être un élément important de l'équipe dans la saison à venir, car il ajoutera une option différente pour la construction des attaques. L'Allemand était un latéral libre lors de son passage à l'Atalanta, et l'un des meilleurs buteurs de son équipe nationale lors de l'EURO 2020 l'été dernier. Les problèmes liés au manque de créativité ont également été résolus avec les signatures officielles d'Henrikh Mkhitaryan et de Joaquin Correa à l'Inter en vue de cette saison. Alors que l'Arménien semble prêt à jouer un rôle sur le banc de touche, le transfert de Correa pour 23 millions d’Euros pourrait signifier qu'il sera un élément essentiel des plans offensifs de Simone Inzaghi pour la saison à venir. L'ancien joueur de la Lazio a marqué six buts en 36 matchs toutes compétitions confondues la saison dernière lors de son prêt à l'Inter. Cependant, il ne semble pas que l'Inter en ait fini avec ses dépenses, puisqu'ils travaillent toujours sur un accord pour faire venir Paulo Dybala à la Pinetina. Un dossier compliqué, avec la concurrence de Manchester United. l'Inter a aussi déjà confirmé la signature d'André Onana, le gardien de but de l'Ajax, qui remplacera à moyen terme Samir Handanovic. Contre qui l'Inter se battra-t-elle ? La course au titre pourrait être très intéressante en Italie la saison prochaine, avec un certain nombre de prétendants à la première place de la Serie A. L'AC Milan pense s'être suffisamment renforcé pour défendre son titre, tandis que Napoli et la Roma devraient revenir plus solides. Ces deux derniers viseront probablement davantage une place en Ligue des champions qu'un titre. Le plus grand concurrent semble être la Juventus, qui construit tranquillement une équipe qui semble redoutable. L'arrivée en janvier de Dusan Vlahovic a été très intéressante, mais les récentes acquisitions gratuites d'Angel Di Maria et de Paul Pogba ne font qu'ajouter de la qualité. Sur le plan défensif, l'équipe est toujours à la recherche d'un nouveau défenseur pour remplacer Giorgio Chiellini, déjà parti, et Matthijs de Ligt qui semble de plus en plus proche de la sortie. ®Oxyred - Internazionale.fr via SempreInter
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Giorgio Chiellini voit l’Inter Championne d’Italie 2022/2023
Victor "Antony" Newman a posté un article dans Serie A
Même si l’Ac Milan s’est offert le Scudetto 2021/2022, pour Giorgio Chiellini, l’Inter reprendra son trône. Celui-ci s’est livré à Radio Anch'io sport: "L’Inter est devant tout le monde, même si elle a perdu ce Scudetto." Dybala et Di Maria ? "Les équipes doivent être jugées dans leur intégralité, il est trop tôt maintenant pour en parler, on ne gagne pas seul. Il faut trouver le bon équilibre dans le groupe pour surmonter les valeurs d'un adversaire lorsqu’il est plus fort". Toujours sous les effets de la Morsure du Poto Luis selon vous ? ®Antony Gilles – Internazionale.fr- 8 commentaires
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Paulo Dybala : "Si Moi et Lautaro, pourrions former un duo de fou ?"
Victor "Antony" Newman a posté un article dans Mercato
L’Argentine a fouetté la Squadra Azzurra ce mercredi en match amical 0-3. Au terme de la rencontre, la Joya qui est annoncée à l’Inter s’est livré sur son futur: "Je suis très serein, ce sont les personnes qui travaillent avec moi qui y pensent. Je me dédie au football, je me sens très bien en Italie, on me traite comme si j’étais un Italien. J’aimerai aussi connaitre d’autres championnat comme la Premier League ou la Liga, mais je suis très heureux en Italie." Interviewé par Sportitalia Si Moi et Lautaro, pourrions former un duo de fou ? "Lautaro est un phénomène, aujourd'hui il a fait un match incroyable avec un but et une passe décisive, mais nous n'avons parlé que de l'équipe nationale." Avez-vous donné des conseils à Di Maria sur la Serie A ? "Nous n'avons parlé que de l'Argentine." Chiellini ? "Nous nous connaissons depuis sept ans, il est un exemple pour tout le monde." Envie d’ailleurs, vraiment ? Voici ce que nous révèle la Gazzetta Dello Sport: "Paulo Dybala n'a d'yeux que pour la ville de Milan, même lorsqu'il est à Londres et qu'il marque avec l'Argentine. L’ancien Juventino vit une étrange attente, pleine d'espoir mais aussi sans anxiété particulière, car le pacte avec l'Inter est très clair et il ne date pas d’hier : Le club l'a "bloqué" pour un temps limité avec la promesse de faire le saut décisif quand il aura l'espace salarial adéquat." "Et pour valider ce pacte d'Honneur avec Beppe Marotta, qui a presque fait office de père à Turin, Paulo lui-même envoie des signaux dans toute l'Europe : Tous ceux qui lui tournent autour voient leurs propositions être déclinées : Les NON aux autres deviennent, cependant, des OUI aux oreilles de l’Inter. Parmi les clubs qui ont fait des démarches pour Paulo, celui qui a le portefeuille le plus important est celui du club saoudien de Newcastle." "Bien que l'offre financière soit extra-large, Dybala n'a pas failli : jouer la Ligue des Champions est la condition préalable à toute offre. Ces dernières heures une tentative a eu lieu aussi en provenance de la Bundesliga: Le Borussia Dortmund s'est montré intéressé par ce deal à zéro paramètre, tout comme Séville qui a déplacé ses premiers pions en Espagne et si les Andalous l'apprécient davantage, pour la énième fois, Paulo les a remercié d’un geste de la main." "Ce n'est pas le même non franc prononcé d’ailleurs, mais ça y ressemble beaucoup : c'est aussi pourquoi les Sévillans ont entamé des démarches pour enrôler Alexis Sanchez. Ce n'est pas d’ailleurs pas un hasard car le destin de l'Argentin est lié à celui du Chilien : l'un est destiné à prendre la place de l'autre. Ce n'est que lorsque l'Inter économisera les 7,5 nets qu'il donne au Niño, qu'il pourra donner corps à l'offre qu'il a déjà faite officieusement à Dybala". "Sur la Table, Paulo a une offre de l'Inter pour un contrat pluriannuel estimé entre 3 et 4 ans pour un contrat de 6 millions d'euros nets par saison plus des bonus importants, ce qui lui permettrait d’atteindre les 7 millions d’euros, soit le pic convoité pour le oui. Il sait qu'en ce moment il ne peut que gagner du temps en attendant le feu vert : c'est un exercice de patience, plus ou moins comme celui qu'il a fait hier sur le banc avant de se déchaîner sur le terrain" Confirmation de Javier Zanetti en personne à Rai Sport Est-ce possible de voir Lautaro et Dybala jouer ensemble aussi à l’Inter ? "Peut-être, le Mercato vient de débuter, nous avons énormément de temps, nous sommes un Club qui se doit de saisir les opportunités et, lorsqu’elles se présentent, nous les évaluons tous ensembles. Il faut aussi être réaliste car nous devons tenir en compte tout ce que vous savez déjà, mais oui, nous parlons d’un très grandissime joueur qu’est Dybala." ®Antony Gilles – Internazionale.fr- 1 commentaire
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10 ans après, La Beneamata ken la Vieille Dame au Stadium!
Victor "Antony" Newman a posté un article dans Serie A
Une rencontre tranquille et sereine, une victoire avec la manière, une première cartouche qui mettait fin à une invincibilité totale au Stadium de Turin…. 10 ans après cette performance signée par le prometteur Andrea Stramaccioni, l’Inter se présente en tant que Championne d’Italie après avoir mis un terme à 9 ans de domination turinoise en Serie A, à croire que la Vieille Dame aime connaitre ses premières fois de ce nouveau siècle avec la Bien-Aimée. Là où Luciano Spalletti, Stefano Pioli, Walter Mazzari et Antonio Conte, pour ne citer qu’eux, sont tous revenus vaincus, Simone Inzaghi a prouvé qu’il était toujours en vie, que son Inter était toujours en vie et dans un match de cour d'école , avec un arbitre totalement dépassé par l’engagement des deux clubs, c’est bel et bien l’Inter qui, totalement dominée en long et en large, a bien serré les fesses, pour placer une seule et unique cartouche sur la Juve qui ne les avaient qu'entrouvertes. Le Seum turinois Un match en souffrance, tout en résistance, tel Rocky face à Drago, l’Inter n'a absolument rien montré, si ce n'est une seule occasion réellement semi-dangereuse via un corner repris par Milan Skriniar et bien arrêté par le portier turinois. De son côté et en réponse, le second club de Turin trouve la barre transversale via une action à l’image de la rencontre : un cafouillage. Preuve que le match allait être particulier, cette occasion était signée Giorgio Chiellini qui s’est finalement montré bien plus dangereux qu’un Dusan Vlahovic muselé par un Skriniar digne d'un Capitaine de son équipe. Place au meilleur moment de la soirée Sur une percée d’un Denzel Dumfries qui tenait à faire oublier sa faute au match aller, celui-ci se fait écraser le pied à l’intérieur de la surface de réparation turinoise. Si la première et logique réaction de l’arbitre Massimiliano Irrati est de ne rien voir, la VAR est bel et bien là pour "Irriter" tout le clan turinois. Place également au moment lunaire de la soirée Hakan Çalhanoğlu se présente face à Wojciech Szczesny et lui offre quasiment un ballon d’entrainement en guise de tir au but. Pourtant, ce ballon pourri est relâché, se retrouve à nouveau devant le joueur turc qui se fait charger par l’arrière garde turinoise. Le ballon étant balancé dans les filets via un auto-goal, Irrati parvient à trouver une faute Nerazzurra pour annuler celui-ci. Toutefois, il était écrit que l’Inter allait réaliser le Hold-Up parfait en s’imposant à la turinoise : un arbitrage (ou plutôt une Var de très belle qualité signée Paolo Silvio Mazzoleni) favorable et un penalty douteux et polémique. Après une nouvelle analyse vidéo, l'arbitre ordonne de retirer le penalty. Ne nous demandez pas la raison, celle qui est invoquée serait l’intrusion dans sa surface de réparation de De Ligt avant qu’Hakan ne tire. Le turc montre une nouvelle fois qu’il en a dans le slip en bottant à nouveau le tir au but et en le tirant cette fois-ci avec bien plus de force. Nous sommes là à la 50ème de jeu d’une première mi-temps qui se terminera à la 55ème ! Du jamais vu pour une première période dans un Derby d’Italie. La seconde période se résumera de la façon suivante : Simulations turinoise, bastons, polémique sur d'éventuels penaltys en faveur de la Juventus à plusieurs reprises, pour ne pas changer et seulement deux belles actions : La première signée par Dusan Vlahovic qui prend, une seule fois de la soirée le meilleur, sur l’international slovaque Zakaria qui trouve le poteau. L’Inter serre les fesses, plie mais ne rompt pas et remporte une Victoire en mode Corto Muso, une victoire fondamentale qui permet aux Nerazzurri de rester en vie dans la Course au Scudetto, car en cas de victoire sur Bologne, les Champions d’Italie resteraient au contact du cousin milanais. Avec seulement trois points éventuellement de retard, la pression n’est plus sur les épaules Nerazzurre, mais bel et bien sur le Milan qui ne peut pas se permettre le moindre faux pas. On a retrouvé Locatelli! De son côté, la Beneamata est revenue de l’enfer en Vie, en mettant un terme aux espoirs de titre turinois. L’emporter de cette manière après autant d’années de polémiques, n’efface pas l’ardoise, mais cela restera très certainement l’une des meilleurs performances de l’Inter d’Inzaghi après la victoire à Anfield Road! Tableau Récapitulatif Résumé vidéo Juventus 0-1 Inter Buteur(s) : 50' Çalhanoğlu (Pen) Juventus: 1 Szczesny; 6 Danilo, 4 De Ligt, 3 Chiellini, 12 Alex Sandro (73' 2 De Sciglio); 27 Locatelli (34' 28 Zakaria), 25 Rabiot (85' 5 Arthur); 11 Cuadrado (85' 20 Bernardeschi), 10 Dybala, 9 Morata (73' 18 Kean); 7 Vlahovic Banc: 23 Pinsoglio, 36 Perin, 19 Bonucci, 24 Rugani T1: Massimiliano Allegri INTER: 1 Handanovic; 33 D'Ambrosio, 37 Skriniar, 95 Bastoni; 2 Dumfries (59' 36 Darmian), 23 Barella, 77 Brozovic (79' 22 Vidal), 20 Çalhanoğlu (79' 5 Gagliardini), 14 Perisic; 9 Dzeko (91' 18 Gosens), 10 Lautaro Martinez (59' 19 Correa) Banc: 97 Radu, 6 De Vrij, 7 Sanchez, 8 Vecino, 13 Ranocchia, 32 Dimarco, 88 Caicedo T1: Simone Inzaghi Arbitre: Massimiliano Irrati VAR: Paolo Silvio Mazzoleni Averti(s): Lautaro Martinez (I), Rabiot (J), Locatelli (J), Morata (J), Cuadrado (J), Skriniar (I), Perisic (I), Calhanoglu (I) Expulsé(s): / Affluence: 40.093 turinois pour 979 Champions ®Antony Gilles – Internazionale.fr- 19 commentaires
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Une Histoire qui a du mordant, voir du croquant et si cela vient à se confirmer, Giorgio Chiellini risque de retrouver une vieille connaissance ! En effet, selon Marca, Luis Suarez qui est en fin de contrat au 30 juin 2022, fait l’objet d’énormément de convoitises. Selon Marca, le téléphone de son agent ne fait que sonner. Si parmi les offres reçues certaines proviennent des Etats-Unis et de l’Amérique du Sud, Il Pistolero a confirmé son intention de vouloir encore jouer au plus haut niveau. Et selon Marca, trois propositions intéressantes de trois écuries européennes ont été déposées sur sa table : L’Ajax Amsterdam (son ex), le Fc Séville, et l’Inter qui a "défini Suarez comme un objectif : Les Nerazzurri veut un attaquant pour la saison prochaine, mais l’objectif prioritaire reste Gianluca Scamacca vu son âge et sa progression." Chiellini, futur professeur "universitaire" de Suarez dans un Derby d’Italie, croquant non ? ®Antony Gilles – Internazionale.fr
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L'ancien défenseur de l'Inter, Beppe Bergomi, a déclaré que l'Inter est désormais l'équipe à laquelle les autres équipes italiennes se mesureront, selon les médias italiens. S'exprimant sur Sky Sport, via FCInternews, Beppe Bergomi a expliqué que même s'il est difficile pour l'Inter de construire un cycle de domination comme celui de la Juventus pendant de nombreuses années, ils sont certainement maintenant le point de référence en Italie. "Un nouveau cycle est difficile à maintenir car si l'on pense au cycle réalisé par la Juventus, dans le football moderne, c'est impensable". "Mais l'Inter en ce moment, après ce qu'ils ont fait l'année dernière et ce qu'ils font cette année, y compris la finale de la Coppa, c'est une équipe forte qui sait ce qu'elle est et qui agit comme un point de référence dans notre championnat." Lorsqu'on lui a demandé quel entraîneur devait s'attribuer le plus de mérite pour cette équipe exceptionnelle de l'Inter, Beppe Bergomi a suggéré qu'en fait, il devrait être divisé entre Luciano Spalletti, Antonio Conte, et Simone Inzaghi, car ils ont tous joué un rôle dans le club et l'équipe actuelle. "Les mérites doivent être divisés. L'Inter a commencé avec Spalletti, avec qui ils ont obtenu deux quatrièmes places à la dernière minute en allant en Ligue des champions. Nous devons partir de derrière". "Puis Conte avec de nombreux recrutements et avec une façon de jouer qu'Antonio Conte arrive à donner à ses équipes en peu de temps. Cette année, l'Inter joue un football différent, plus beau, plus amusant, qui emmène beaucoup de joueurs au-delà de leur ligne". "Je pense que dans cette équipe, où on parle beaucoup de Brozovic, il faut prendre en compte un joueur qui donne beaucoup d'imprévisibilité qui est Bastoni. Vous le trouvez en train de jouer comme défenseur, ailier, au milieu de terrain, vous le trouvez dans la surface de réparation, il vous apporte des solutions et des buts." "Il vous fait comprendre à quel point il est bon. Cependant, le mérite revient à l'entraîneur et au club qui ont bien travaillé. " Beppe Bergomi n'a pas tari d'éloges sur le défenseur de l'Inter Alessandro Bastoni, qui a impressionné récemment dans la défense des Nerazzurri. Beaucoup considèrent Alessandro Bastoni comme l'avenir de la défense de l'équipe nationale italienne, mais ce n'est peut-être pas si simple. "L'équipe nationale joue d'une manière différente. Il sera donc difficile de voir Bastoni abandonner sa position et se jeter dans le vide. Il est le défenseur moderne que tout le monde recherche aujourd'hui." "Il joue avec le risque, mais à partir de ce risque, l'Inter se retrouve en haut du terrain et dans des situations favorables. Le rôle de titulaire en Italie arrivera sans doute très vite pour ce garçon, sans rien enlever à Bonucci et Chiellini." ®Internazionale.fr ~ Oxyred Via SempreInter
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Alors qu’au fin fond de la nuit, on semblait tous se diriger vers le douloureux épilogue d’une séance de tirs au buts, alors que l’Inter a dominé son sujet, face à un bunker turinois, le karma a parlé. Si lors du dernier déplacement de la Juve au Giuseppe Meazza Nerazzurro, la Var lui est venue miraculeusement en tête, les Dieux du football ont écrit un thriller pour célébrer le titre Nerazzurro remporté ce soir: A l’ultime seconde de la dernière minute de la dernière prolongation, le Giuseppe Meazza a explosé ! En effet, cette partie était loin de la partie spectaculaire attendue, si l’Inter se créait d’importantes occasions en début de match, la première polémique ne tarde pas à venir: À la 11’, l'Inter réclame un penalty pour une faute de Chiellini sur Barella. Lors du choc entre les Champions d'Europe, c'est le joueur sarde qui s'est emparé du ballon en premier, le capitaine de la Juventus le renversant sur son élan. Après un contrôle rapide de la Var, Doveri fait reprendre le match au milieu des protestations des Nerazzurri. Peu de temps après, Inzaghi a demandé à l'arbitre pourquoi il n'était pas allé revoir le contact sur le moniteur, le quatrième homme Fabbri s'efforçant de le calmer. A la 25’ place à l’ouverture du score qui est turinoise: La poussée de Morata sur Skriniar au début de l’action n’est pas sanctionnée : Le centre de l'Espagnol se situant sur l’aile gauche trouvait McKennie esseulé dans la surface, qui de la tête surprend la défense Nerazzurra, Stefan De Vrij en premier. L’Inter se relance dans le match via… un penalty : A la 34’ Dzeko traverse toute la surface de réparation turinoise et trouve De Sciglio, sur son chemin. Ce dernier, naïf, le touche du pied en négligeant dans le ballon. Doveri n'a aucun doute et désigne immédiatement le point de penalty. Celui-ci sera converti par Lautaro Martinez qui prendra à contre-pied Mattia Perrin. Nouvelle polémique à la 40’ dans la surface de la Juventus : Bastoni se plaint d'un croche-pied de Kulusevski, Doveri ne siffle pas mais ne semble pas si sûr de la décision prise. En effet, la jambe du Suédois est "assez large" et le doute sur l'intensité du contact subsistera. A la fin du temps réglementaire, la Juve fait de la Juve, en l’absence de Cuadrado, McKennie tombe au sol dans la surface de réparation milanaise, en touchant son visage après une main involontaire de Bastoni : Pour Doveri, ainsi que pour l'arbitre de la Var Mazzoleni, il n’y a absolument rien Au cours de la première prolongation, Skriniar et Chiellini "s'entrelacent" dans la surface turinoise, alors que la tête d’Alexis Sanchez, monté au jeu avec Joaquin Correa en remplacement d'Edin Dzeko et Lautaro Martinez, flirte avec la cage de Perrin. Si Doveri siffle, celui-ci indiquera un coup de pied de but. Place à l’épilogue de cette fin de match, une fin de match typiquement Pazza Inter. Alors que nous sommes à la 120’ et que Massimiliano Allegri voit son plan d’action se confirmer, celui d’aller au tirs au but, alors que Leonardo Bonucci se prépare à rentrer, Le Giuseppe Meazza rugit de plaisir: Profitant d’une incompréhension dans la surface turinoise sur un centre de Federico Dimarco, Darmian fait irruption dans la surface, anticipe Chiellini suite à une remise suicidaire de la poitrine d'Alex Sandro pour servir Alexis Sanchez! Et si le Capitaine de la Juventus s’est arrêté à temps pour ne pas provoquer de penalty, le numéro 7 chilien met tout le monde d’accord en faisant trembler les filets : Averti pour avoir retiré son maillot, Alexis se dirige vers le poteau de corner, sous la Curva Nord en étant rejoint par l’intégralité de l’équipe, Simone Inzaghi et son staff inclus. Doveri siffle immédiatement après ce but la fin du match, l’Inter remporte la Super Coupe d’Italie tandis que Bonucci a piqué une crise et a attaqué Le secrétaire de l'équipe-première équipe de l'Inter, Cristiano Mozzillo. Un comportement honteux qui, espérons-le, ne restera pas impuni! La nuit magique est Nerazzurra et Simone Inzaghi ramène déjà son premier titre à la tête de l’Inter à la maison, avec un taux de victoire insolent de 100% en Super Coupe d'Italie! Étiez-vous comme Tramontana ? Tableau Récapitulatif Résumé vidéo Inter 2-1 Juventus Buteur(s) : 25’ McKennie (J), 35’ Lautaro Martinez (I, pen.), 120’ Sanchez (I) Inter : 1 Handanovic ; 37 Skriniar, 6 De Vrij, 95 Bastoni ; 2 Dumfries (89’ 36 Darmian), 23 Barella (89’ 22 Vidal), 77 Brozovic, 20 Çalhanoğlu, 14 Perisic (101’ 32 Dimarco) ; 9 Dzeko (75’ 19 Correa), 10 Lautaro Martinez (75’ 7 Sanchez) Banc : 97 Radu, 5 Gagliardini, 8 Vecino, 11 Kolarov, 12 Sensi, 13 Ranocchia, 33 D'Ambrosio T1 : Simone Inzaghi Juventus : 36 Perin ; 2 De Sciglio, 24 Rugani, 3 Chiellini, 12 Alex Sandro ; 14 McKennie, 27 Locatelli (91’ 30 Bentancur), 25 Rabiot ; 20 Bernardeschi (79’ 5 Arthur) ; 44 Kulusevski (74’ 10 Dybala) ; 9 Morata (88’ 18 Kean) Banc : 1 Szczesny, 23 Pinsoglio, 6 Danilo, 17 Pellegrini, 19 Bonucci, 21 Kaio Jorge, 38 Ake, 45 De Winter T1 : Massimiliano Allegri Arbitre : Daniele Doveri VAR : Paolo Silvio Mazzoleni Averti(s): Bernardeschi (J), Dybala (J), Correa (I), Rugani (J), Vidal (I), Sanchez (I) Expulsé(s): / Affluence: 29.696 tifosi ®Antony Gilles – Internazionale.fr
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Simone Inzaghi s’est livré ce mardi 11 janvier, à la veille de la Finale de la Super Coupe d’Italie, qui verra l’Inter, Championne de Serie A, défier la Juventus, qui a remporté la Coupe d’Italie 2020/2021 Quel est l’importance d’avoir Steven Zhang à vos côtés pour ce match ? Vous a-t ’il demandé quelque chose en particulier ? "La proximité du Président me rend heureux, mais même si ces derniers mois il n’était présent, je l’ai toujours senti très proche de nous. Nous nous entendions, nous nous échangions des messages avant et après chaque match. Il a vu la rencontre face à la Lazio, et j’espère que demain soir, nous disputerons une grande rencontre pour lui et les Tifosi, nous devons la préparer au mieux." La Juventus est invaincue depuis 8 matchs que signifie jouer la Juve pour remporter un titre important ? "C’est une finale, il n’y a pas de favori dans ce type de rencontre. Ils sont en forme, dimanche ils sont inversé la tendance dans une partie extrêmement compliquée à l’Olimpico. Je connais la Juve, elle est habituée à jouer des finales, elle a des joueurs de grandes expériences, mais nous sommes dans une excellente période et j’espère offrir une belle satisfaction à nos tifosi : Les faits de jeu et la motivation seront importants." Comment battre la Juve ? "Les finales sont toujours particulières, elles peuvent se décider sur un fait de jeu. Nous devrons faire une partie composée de courses, d’agressivités et de détermination. Il y aura des périodes où nous serons en difficulté et des périodes où la Juve sera mise en difficulté, nous devrons être bon pour bien ressortir car nous voulons réaliser un très grand match." Quel est le poids d’être considéré, comme les autres vous le disent : "L’équipe à abattre." ? "Nous n’avons pas peur, le fait d’être en tête du classement doit être un stimulant. Le 20 août, avant que la saison débute, la nette favorite pour le titre était la Juve avec d’autres équipes comme l’Inter qui se devaient de contenir les Bianconeri. Regardez comment joue le Milan, le Napoli et l’Atalanta qui réalise de très grandes choses : La première position doit être une motivation." Il manque trois titulaire à la Juve, les absences peuvent-elle être comblés de façon plus responsable par les remplaçants ? "La Juve est une équipe qui dispose d’un noyau important, Allegri sait comment les remplacer. Ils retrouvent Bonucci et Chiellini, ils auront une équipe certainement compétitive. Je souhaite bonne chance à Chiesa, c’est un patrimoine du football italien." Qu’est-ce qui a changé entre l’Inter et la Juve depuis le match nul du match aller ? "Nous pensions avoir remporté la rencontre du championnat, ensuite il y a eu l’épisode du penalty. L’Inter et la Juve ont grandi depuis cette rencontre. C’était une rencontre avec deux équipes contractées qui avait du retard au classement. Les deux équipes ont joué en deçà de leur capacité." Est-ce plus facile d’avoir à faire à un groupe nouveau avec un Capitaine reconnu par tous comme Handanovic ? "Depuis le premier jour, ce groupe m’avait preuve d’une grande disponibilité. J’ai eu la chance de jouer aussi bien avec Samir qu’avec Kolarov et ils me sont venus en aide. Avoir joué avec eux m’a aidé, mais plus qu’eux, il y a aussi toutes les composantes du noyau qui collaborent au mieux. Cela vaut aussi pour le Club et les Tifosi qui m’ont très bien accueilli." Quel sera l’impact de l’issue du match de demain ? "Au-delà du championnat, la motivation sera plus importante, il faudra se donner à 120%, l’atmosphère sera plus importante, c’est une finale qui se disputera devant nos Tifosi : Il n’y aura pas de match retour, celui qui gagne soulèvera le trophée." Comment vont les attaquants ? Comment vont Dzeko et Correa ? "Aujourd’hui, nous avons un entrainement, hier j’ai vu ceux qui n’ont pas joué face à la Lazio et ils sont tous en bonne condition : Dzeko et Correa y compris. J’ai, à ce jour, 4 attaquants tous à disposition et deux jouent. Je choisirai quel sera le duo le plus fonctionnel." Vous êtes l’antidote pour battre la Juve ? "J’ai disputé deux finales avec la Lazio face à la Juve, l’une avec Allegri, l’autre avec Sarri et je l’ai remporté à chaque fois en étant pas favori. J’ai perdu une Finale de Coupe d’Italie face à la Juve. Je chercherai à donner de la joie aux Tifosi, demain, nous nous donneront à 120% sur le terrain." Le Saviez-Vous ? Simone Inzaghi propose une statistique impressionnante avec 100% de succès en Finale de Super Coupe d’Italie ! Après celle remportée en 2017 et en 2019, il tentera de réaliser le Triplé avec l’Inter en 2022 ! Jamais deux sans trois comme on dit ! ®Antony Gilles – Internazionale.fr
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Alessandro Bastoni s’est livré sur son passé, son présent et son futur, sur et hors du terrain à la Repubblica. La Famille Quand as-tu compris que tu voulais devenir footballeur ? "A Parme en Serie A, la première fois où j’étais titulaire, je me suis dit : "Ale, si tout va bien, c’est fait". Nous avons gagné à Turin et j’ai finalement pu charrier mon père." Il a joué pour Cremonese...... "Quand j'étais enfant, il faisait son malin à chaque fois. Maintenant, c'est moi qui lui rappelle qu'il n'a pas joué la moitié d'un match en Serie A, mais il se croit toujours plus fort que moi. Nous en plaisantons parce que nous savons que nous en sommes arrivés ici ensemble." Sur vos protège-tibias, on retrouve l’image de vos frères…. "Oui et je les embrasse en avant-match, j’ai choisi le numéro 95 car c’est l’année de naissance de mon frère aîné. Le cadet m’a dit : "Et moi?" C’est comme ça que j’ai eu cette idée : Il n’y a pas de jalousie entre nous et j’en suis chanceux." Jouer vous encore au football ensemble ? "Le plus grand est arrivé jusqu’en Serie C et il a ensuite choisi les études, le plus jeune a une aversion pour le football : Il me demande de lui raconter quelque choses pour répondre aux demandes de ses amis." Après l’Euro, êtes-vous retourné là où tout a commencé ? "C’était beau car je me suis identifié aux enfants, j’étais un petit compétitif qui rêvait, comme eux, de devenir footballeur." Comment transforme-t-on le talent en succès ? "Chez les plus jeunes de l’Atalanta, j’ai rencontré des garçons bien plus talentueux que moi, je m’entrîinais avec les plus grands ce qui était difficile. Mon père m’a appris à ne jamais abandonner. Il m’a accompagné durant tant d’années de Cremona à Zingonia en aller-retour : 130 kilomètres sans jamais me le faire ressentir. Avec une autre famille, j’aurais eu un autre métier aujourd’hui." Etiez-vous un Tifoso enfant ? "Papa est de sang interiste et il m’a transmis sa foi, lorsque je commets une erreur en plein match, il m’en veut." Votre mère, lors de la fête du Scudetto vous a offert de la Pizza et vous a essuyé votre bouche avec une serviette… "Elle a toujours été proche de moi. J’aime être avec elle et aller manger un plat de Tortelli. Fais maison: comme ça le nutritionniste n’enrage pas!" Les modèles Vous avez les pieds et la vision d’un meneur de jeu : Qui vous a imaginé au poste de défenseur ? "J’ai toujours joué derrière, les qualités techniques sont apparues à l’Atalanta avec Mino Favini et Gianluca Polistina. Je passais des heures à m’améliorer." Quelle est votre idole footballistique ? "Sergio Ramos : J’admire tout de lui, comment il est sur le terrain, sa personnalité : Pour mon anniversaire, il m’a offert son maillot et j’ai aussi pu échanger avec lui." Que vous êtes-vous dit ? "Belle demande, on parlait espagnol et j’ai perçu la personne, plus que le joueur, il est comme Materazzi." Ramos et Materazzi : La fourberie s’apprend-t’elle ou est-elle innée ? "Cela peut se travailler, mais ce n’est pas simple, tout comme la légende qui dit que les bons joueurs sont techniquement bons sont mous caractériellement." Voudriez-vous être plus vicieux ? "Non, il y a eu une période où je prenais trop d’avertissements, je crois que je peux m'améliorer en tout grâce à d’exceptionnels équipiers." L'Inter d'Inzaghi Jusqu’où peut arriver cette Inter ? "C’est beau d'avoir le Scudetto sur le torse, nous prouverons à tous, et de toutes les façons possible, que nous le conserverons : Il y a aussi la Ligue des Champions." Comment avez-vous réagi lorsque vous êtes passé de l’Ajax à Liverpool, suite à une erreur de tirage...... "Je n’ai pas juré, si c’est votre question: J’ai aussi écrit la préface d’un livre pour un Curé. Blague à part, nous devrons réaliser deux grands matchs : Jouer à Anfield sera extraordinaire." Vous divertissez-vous sur le terrain ? "Oui, Inzaghi nous donne la liberté qui nous permet de nous souvenir que le football est un jeu : Même lorsque tu es mené." Face à Cagliari, vous êtes rentré dans la surface en dribblant une série d’adversaire…. "J’aime énormément sortir de ma zone, et lorsque je vois une possibilité, je tente de marquer. Cela ne s’est pas bien passé, j’espère que cela ira mieux la fois prochaine." Hors du terrain En dehors du terrain, vous semblez toujours être un bon pochtron, est-ce une réalité ou les réseaux sociaux exagère-t ’il la réalité ? "Hélas, les réseaux sociaux n’exagèrent rien, disons que j’aime beaucoup me divertir." Qui est le meilleur aux fléchettes ? "Brozo est le champion indiscuté." Gasperini, Conte, Inzaghi, Mancini. Partant des caractères : quels duos formeriez-vous ? "Je mettrais Gasperini avec Conte et Mancini avec Inzaghi : Les deux premiers sont toujours sur la brèche. Inzaghi et Mancini, en plus d’être fort engagés, attachent une importance au contact humain : Le résultat est que nous somme plus relaxé lors des moments cruciaux." Conte blindait la défense en abaissant le cendre de gravité de l’équipe : Inzaghi, en revanche, augmente le pressing...... "Aujourd’hui, nous avons moins la possibilité de partir en contre : Edin et Romelu sont différents et nous nous sommes adaptés." L’Italie Ressentez-vous la responsabilité de devoir reprendre l’héritage de Leonardo Bonucci et Giorgio Chiellini en défense ? "Oui, je ressens cette urgence, je suis impatient de me montrer protagoniste aussi en équipe nationale." La seule erreur de votre carrière fut lors d’Italie-Espagne à l’Euro, mais vous avez immédiatement démontré être capable de retrouver immédiatement votre niveau : D’où puisez-vous cette maturité ? "C’est caractériel, je suis serein : En plus du football, j’ai en tête d’autres pensées qui m’apaise : A partir de ma fille qui va naître en janvier." Comment allez-vous l’appeler ? "C’est ma compagne qui me le dira lorsqu’elle l’aura trouvé. Elle partage mes valeurs : Léducation, la reconnaissance, la générosité, elle étudie le design, elle aimerait trouver un bon job : Ses réalisations sont aussi importantes que les miennes." Si l’Italie ne devait pas se qualifier en mars, l’absence en Coupe du Monde passerait à 12 années : Cette pensée vous effraie-t ’elle ? "Non, même pas dans l’antichambre de nos cerveaux : Nous sommes Champions d’Europe en titre, nous devons y parvenir." Qui méritait le Ballon d’Or ? "Vu que je n’étais pas en course : Lewandowski ou Jorginho". Allez-vous encore tirer les penalty en équipe nationales ? "Certainement, tout comme Lautaro : Il n’y a que celui qui n’en a jamais tiré qui n’en a jamais raté." Ses anciens équipiers Échangez-vous avec Eriksen ? "Oui, c’est lui qui nous a rassuré et non l'inverse : Je lui souhaite de vivre la vie qu’il désire : En plus du fait d’être un champion, c’est une belle personne." Et avec Hakimi et Lukaku ? "Hakimi est mon compagnon de Playstation, et il est très mauvais. Quant à Romelu, je lui souhaite bonne chance pour sa nouvelle aventure." Le schéma de la rampe de lancement pour Barella, lors d’Inter-Juve (2-0), a-t-il été importé d’Angleterre par Conte ? "Non, nous l’avons toujours testé : J’ai gagné notre dernière partie d’entrainement avec celui-ci. Le problème est que les adversaires nous étudient : Nous devons imaginer de nouvelles choses." ®Antony Gilles – Internazionale.fr
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Zlatan Ibrahimovic a réussi l’exploit d’avoir évolué dans les trois géants d’Italie sans jamais avoir déçu. Celui-ci s’est livré dans les colonnes du Corriere Della Sera sur sas situation avec Romelu Lukaku et Marco Materazzi Sur Lukaku en Coupe d’Italie "Il s’est d’abord embrouillé avec Romagnoli et ensuite avec Saelemaekers: Je suis intervenu pour défendre mes équipiers et Lukaku est venu m’attaquer sur le plan personnel : Cela m’a choqué car nous avions été équipiers à Manchester." Est-ce vrai que vous lui aviez tout de même proposé de débourser 50 livre-sterling pour chaque contrôle manqué ? "C’était une façon de le forcer à s’améliorer...Il rit. Et il n’avait jamais accepté ce pari : Lukaku a un grand égo, il est convaincu d’être un Fuoriclasse, d’être très fort. Mais j’ai grandi dans le Ghetto de Malmö, et lorsque quelqu’un s’en prend à moi tête baissée, je le remets à sa place et j’ai donc visé son point faible : les rituels de sa mère et il a perdu tout contrôle, même si je suis resté avec un terrible doute..." Lequel ? "Nous avons perdu ce Derby suite à mon expulsion et je me suis blessé ensuite : Beaucoup de mauvaises choses sont arrivées par la suite…" "Lukaku m'a-t'il vraiment fait cela ? J’ai donc demandé à des amis croyants de prier pour moi." "Je dois encore régler mes comptes avec lui, j’espère le croiser très bien tôt." Dans la rue ? "Mais non, ce sont des choses qui doivent être résolues sur le terrain : Je ne déteste personne, même pas Lukaku, la Haine est un sentiment qui me répugne." Sur Marco Materazzi "Il était sur le terrain pour faire mal, et nous les joueurs, nous comprenons immédiatement lorsque quelqu’un veut te rentrer dedans pour te faire mal ou si c’est pour te rentrer dans le lard comme Chiellini, Stam, Maldini..." "J’avais un compte à régler avec lui depuis des années et je l’ai soldé lors de ce Derby : Lorsqu’il est arrivé vers moi les pieds levés, j’ai sauté, je l’ai évité et je l’ai frappé avec un coup de coude dans la tempe." "Pippo Inzaghi l’avait commenté : "C’est le plus beau Derby de ma vie : 1-0 avec un but d’Ibra et Materazzi à l’hôpital !" C’était bien sur une plaisanterie de sa part !" Simone appréciera la réflexion du fraternel ! ®Antony Gilles – Internazionale.fr
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Au cours d’une interview octroyé à DAZN, Giorgio Chiellini, le mythique défenseur de la Juventus a fait part de sa vision futuriste et polémique du Calcio: Attention, ça pique La Super League "Avec mon Président, nous en avons parlé il y a quelques années. Le futur du football va toujours plus vers une européanisation comparé aux championnat nationaux. Un joueur du niveau de la Juve veut jouer ce type de match, avec tout mon respect. Nous sommes arrivés à un point de non-retour. Institutions et club doivent se rencontrer pour réformer le calendrier." La Serie A ? "Il y a trop d’équipes en Serie A en ce moment, nous devrions passer à 18. Paradoxalement, nous pourrions aussi retourner à 16 équipes, mais je pense que 18 est le nombre juste pour retourner à une certaine compétitivité et pour donner plus d’espaces aux rencontres européennes." La Var ? "Je suis moi aussi un romantique et je voudrais l’abolition de la Var, la suppression du hors-jeu et je réintroduirais la passe au gardien. Le monde avance et il ne faut pas être fermé au changement : Il est essentiel de trouver des personnes qui savent discuter ensemble dans le but d’améliorer le football. En ce moment, nous manquons de dialogue et nous nous dirigeons vers une situation insoutenable pour tous : Pour les clubs, mais aussi pour les tifosi qui le ressentent." Valideriez-vous de telles adaptations ? ®Antony Gilles – Internazionale.fr
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Edin Dzeko : "La Roma avait un accord me concernant avec la Juventus!"
Victor "Antony" Newman a posté un article dans Serie A
Edin Dzeko s’est livré dans la Gazzetta Dello Sport à quelques jours du Derby d’Italie. Auteur de 7 buts et de 3 passes décisives, toutes compétitions confondues sous le maillot de l’Inter, l’international bosniaque se livre à cœur ouvert: "Sur le terrain, je ne suis pas Dzeko, je suis Edin, je suis l’enfant qui a commencé à jouer car je ne savais pas faire sans courir derrière un ballon à la maison. Et pour moi c’est encore ce football : Je deviens fou lorsque je vois un ballon. Je tiens aussi à m’excuser pour mon retard à l’interview, mais je n’avais jamais vu autant de trafic à milan. Je savais que j’arrivais dans un grand club, j’avais comme objectif de me faire apprécier immédiatement : C’est vraiment ce que je voulais. Le reste provient des champions que j’ai retrouvé ici." Reprenons dans l’ordre chronologique: Face au Sheriff vous avez marqué un but, montré décisif en défense et délivré une passe décisive à Arturo Vidal, détaillez-nous ces trois faits de jeu... "Le but est une joie extrême car tant de personnes en attendent toujours plus de moi. Mais c’est normal car je suis un attaquant, ce sprint en défense a été mis en avant, et c’est normal aussi, car si nous ne l’emportions pas, mon but aurait servi à rien." L’Inter est une machine à but, elle se produit des actions en continue, est-ce l’équipe la plus offensive dans laquelle vous avez évolué ? "Oui, avec le Manchester City de Roberto Mancini. Nous attaquons avec énormément d’hommes, nous sommes pro positif, cela s’est aussi vu en Ligue des Champions. Et c’est aussi pour cela que nous prenons plus de buts que ce que nous devrions : C’est sur ce point-là qu’il faut grandir." Justement, Dimanche, c’est la Juve, la Maîtresse de la contre-attaque... "C’est le Derby d’Italie, les points en jeu sont important: Il n’y a pas tant à inventer: Nous devrons neutraliser ce qu’ils ont l’habitude de bien faire, à savoir les contre-attaques." Celui qui perd risque de se retrouver à une distance de 10-13 points de la tête, est-ce déjà une rencontre décisive ? "Le championnat ne se gagne pas en octobre ou en novembre, l’Inter et la Juve le savent bien. Mais si tu perds encore d’autres points maintenant, cela va commencer à devenir difficile de les rattraper." Dzeko contre Chiellini. Est-ce le défenseur le plus fort que vous avez rencontré ? "Il est l’un des meilleurs à son poste sur cette dernière décennie, il est déterminant pour la Juve, C’est un dur, c’est du lourd, il est toujours en train de t’attaquer, même trop. C'est face à lui que j’ai inscrit mon premier but en Italie, mais il m’a empêché de marquer tellement de foi. Je pourrais me passer de lui ce dimanche: Je veux que l’on gagne, même si je ne marque pas." Vous êtes à 7 points du Napoli, est-ce un écart qui respecte la valeur des deux équipes ? "Ils ont gagné tous leur matchs, je les félicite. Mais il suffit d’un rien, d’une étincelle pour revenir sur eux." Racontez-nous l’appel de de l’Inter... "Saviez-vous qui était celui qui m’avait téléphoné ? Kolarov ! C’était lui qui m’avait dit que l’Inter était intéressée et qu’il y avait la possibilité de réaliser le transfert." "Ils te veulent ici, viens !" m'avait-il dit, et me voici." Comment vivez-vous cette comparaison continue avec Lukaku ? "Il a réalisé des choses importantes ici, l’Inter doit lui dire merci, il a remporté un Scudetto avec Conte. Ensuite, il a pris ses décisions et honnêtement, je suis habitué à toujours aller de l’avant." On parle de tant de différence entre vous, mais vous avez tout de même quelque chose en commun ? "Oui, le numéro de maillot." L’Inter, dimanche, doit gagner parce que…. Complétez la phrase... “Il réfléchit…. Gagner démontrera que nous sommes les Champions d’Italie: Si tous les joueurs apportent leurs contributions, pour le bien de l’équipe et pas pour son bien personnel, nous pourrons l’emporter, peu importe la façon : Qu’il s’agisse d’une stratégie offensive ou défense, peu importe, ce qui compte, c’est de l’emporter." Vous avez déjà inscrit six buts en championnat, l’année dernière, vous n’en aviez inscrit que sept au final: Qu’est-ce qui a changé ? "Je n’avais pas sû donner la meilleure version de moi-même, mais il y avait tant de facteurs externes qui ont joué." Est-ce vrai que l’on vous a demandé à vous porter candidat à la Présidentielle de la Bosnie ? "Non et je n’y pense même pas. Je ne me vois pas en politique. Par contre, j’aimerai encore jouer cinq saison au football avant de penser au futur : Qui sait si je pourrais toutes les faire à l’Inter, n’est-ce pas ?" Quel est votre rapport avec Milan ? "Je n’ai pas encore trouvé de maison, actuellement je vis proche du siège du Club." Ibra est-il votre voisin ? "Je ne le sais pas. Je croise souvent Iličić, qui est un ami cher. Milan est bien plus petite que Rome, la vie quotidienne est bien plus facile, tu sais te déplacer facilement pour rejoindre le centre de la ville." Vous, Giroud et Ibra: Milan propose des attaquants qui ont plus de 35 ans, est-ce un hasard ? "Non, ce n’est absolument pas un hasard. Il y en a aussi qui ont déjà arrêté à notre âge. Si nous sommes encore là, malgré notre âge, cela veut dire que nous sommes toujours fort et que nous pouvons encore nous montrer décisif. Je n’ai pas encore tout donné et c’est pour cette raison que je suis ici, encore à jouer : Je ne suis pas encore pleinement satisfait de ma carrière." Etes-vous lassé par les références continuelles sur votre âge ? "Non, la carte d’identité ne fait pas tout. Vous voyez uniquement ce qu’il se passe sur le terrain, mais je travaille tous les jours, avant et après l’entrainement pour rester en forme. Et mentalement, je cherche toujours à éviter tous les sujets qui me prennent de l’énergie." Avez-vous un exemple ? "Ben, les demandes sur mon âge, il rit." A qui donneriez-vous le Ballon d’Or ? "Messi va encore le gagner." Pourquoi en avez-vous toujours été écarté ? Pourquoi êtes-vous toujours perçu comme un ton en dessous de Lewandowski ou de Benzema? "Peut-être que le fait de ne pas être parti au Real Madrid a joué ou peut-être qu’il m’aurait fallu juste un peu plus de continuité. J’ai inscrit tant de buts dans ma carrière, j’en ai marqué partout. Et ce n’est pas encore fin, car lorsque je raccrocherai, c’est que j’aurais tout donné, ce n’est pas encore le cas." Dire que vous auriez pu disputer ce match, dimanche, avec le maillot Bianconero…Pourquoi l’affaire a-t ’elle capotée ? "Première chose: Je ne regarde jamais en arrière, je suis très fier d’être à l’Inter, stop. Seconde chose: C’était la Roma qui avait commencé à discuter et à se mettre d’accord avec la Juve, je n’étais pas au courant de la négociation, je suis rentré en scène seulement plus tard." "Le transfert a sauté car la Roma n’était pas parvenu à me trouver un remplaçant." Qu’-est-ce qui vous a marqué le plus à la Roma, malgré le cas relatif au Capitanat ? "Beaucoup de choses m’ont plu, beaucoup personnes m’ont déçu, mais je préfère penser aux six belles années que j’y ai vécu." Sans aucun titre pourtant... "J’aurai aimé gagner quelque chose, ma seconde année était celle où nous avions une équipe très forte, mais cela devient difficile d’y parvenir lorsque tu vends les joueurs les plus important. A présent, je suis venu ici à l’Inter justement pour combler cette lacune, je veux apporter ma contribution pour gagner. Je veux y parvenir, même si ce n’est jamais facile : Si l'Inter avait gardé Conte, Lukaku et les mêmes joueurs que l'an dernier, une nouvelle victoire du Scudetto n'aurait pas été une fatalité." Auriez-vous aimé être un peu plus entraîné par Mourinho ? "Il m’a vraiment entraîné durant un mois. Je vais vous dire la vérité: Je me suis diverti: Mourinho est Mourinho, pour toujours: Iil est dans le privé comme il est publiquement. Tu as droit à tout avec lui, il sait aussi bien blaguer que s’enrager. C’était de très beaux entrainements, l’équipe se divertissait bien." Qu’est-ce qu’Inzaghi a de Mourinho ? "Mou mise sur la solidité pour développer son jeu, Inzaghi aime plus jouer offensivement." On le dépeint comme un grand frère pour vous, est-ce la vérité ? "Oui, c’est le cas, il est aussi très sincère et direct: Il te dit toujours la vérité, parfois cela peut te plaire, d’autre fois non. C’est aussi ce à quoi je m’attends, car savoir la vérité est toujours bénéfique: Si quelqu’un ne te dit jamais les choses telles quelles sont, tu ne pourras jamais t’améliorer." Vous l’avez connu en qualité d’adversaire lors des Derby l'avez-vous trouvé tel que vous l'attendiez ? "Je me l’imaginais exactement comme cela: Aussi dans sa façon de jouer, j’étais marqué par les qualités de sa Lazio : Je me suis tout de suite dit : Si ici nous jouons de la même façon, je vais bien m'amuser." Vous avez joué avec Aguero, en quoi Lautaro lui ressemble-t ’il ? "Le fait est qu’ils sont argentins…. Blague à part, Lautaro est très jeune et il dispose d’une très grande marge d’amélioration. Je me sens bien avec lui, ce n’est pas seulement un grand joueur, c’est aussi quelqu’un qui pense au bien-être collectif. Regardez-le, A chaque fois que quelqu’un inscrit un but, il exulte comme si c’était lui qui l’avait inscrit. C’est ce type de joueur qu’il faut avoir pour gagner." ®Antony Gilles – Internazionale.fr- 9 commentaires
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Hakan Çalhanoğlu s’est livré à Cbs Sport, à Dazn et à Inter.it sur les raisons qui l’ont poussé à rejoindre la Beneamata, au lieu de renouveler chez le Diavolo Son interview à Cbs Sport "La Grande différence à l’Inter, c'est l’attention portée par Piero Ausilio et par l’entraîneur: Ils m’ont appelé une série de fois, ils m’ont fait me sentir vraiment important et c’est pour cette raison que j’ai rapidement décidé de venir, ici, à l’Inter. Le premier appel d’Inzaghi a été très important pour moi, pour me convaincre de venir ici. Son attention envers moi a été très importante : Je crois en lui, en ce qu’il a fait à la Lazio ces dernières années, et je crois qu’il en ce qu’il fera à l’Inter pour cette année, pour aider l’équipe à grandir toujours plus." "Piero m’a appelé tellement de fois, il m’a dit vraiment des choses importantes pour me convaincre et je me suis dit : "Oui, je dois y aller vu les objectifs présentés." : Je voulais rester en Italie, je connais la langue, l’Inter vise de grands objectifs, elle a une bonne équipe de qualité, elle joue pour gagner quelque chose, c’est pour cela que j’ai pris rapidement ma décision." "Je pense que ce sera exquis de délivrer des passes décisives à Romelu Lukaku et à Lautaro Martinez, ce sera beau. Je suis impatient de joueur avec Romelu et Lautaro, ce sont des joueurs vraiment très fort que l’on a devant. Et s'il faudra du temps pour se comprendre, eux se connaissent, mais ils devront apprendre à connaitre aussi mes mouvements tout comme je devrai bien connaitre les leurs, je suis impatient de joueur avec eux et de leur délivrer des assists." Eriksen ? "Je l’attends ici à l’Inter les bras grand ouverts, c’est un très grand joueur avec de très grande qualité : Je le respecte beaucoup et je suis impatient de le revoir ici." Son interview à Dazn "Nous voulons remporter à nouveau ce Scudetto, et je l’espère aussi avec moi, j’ai envie d’aider mes équipiers. Le transfert s’est passé très rapidement grâce à Piero Ausilio qui m’a appelé à de plusieurs reprises, il l’a fait aussi avec mon agent. Mister Inzaghi m’a aussi appelé à plusieurs reprises. Lorsque l’on t’appelle et qu’il s’agit d’une grande équipe déjà forte qui te veut, tu as ensuite une très grande envie d'y aller, et cela s’est passé vite, très vite. En premier lieu, mon agent m’a appelé et me dit : "Regarde Piero veut te parler", j’ai répondu "ça me va", ensuite tout est allé assez vite." Vous passez du Milan à l’Inter..... "Les tifosi font du bruit et c’est normal, pour un joueur qui fait ça, c’est normal, mais je ne suis pas le premier et je ne serai pas le dernier. Tant de joueurs sont passé du Milan à l’Inter et vice-versa, c’est pour cela que je ne serai ni le premier, ni le dernier. Je veux seulement aller de l’avant, vers l’avenir, en conservant un grand respect pour le Milan. J’y ai réalisé tant de choses durant 4 années, je les ai tous respectés. Ceux qui me connaissent savent tout. Ici, je me sens prêt pour une nouvelle aventure à l’Inter et je dois aller de l’avant." Vous sembliez très complice avec Ibra, vous a-t ’il dit quelque chose ? "J’étais à l’Euro et lui en vacances, il avait son problème au genou et il pensait à cela, et moi à l’Euro. Nous n’avons pas parlé de ce transfert, peut-être que dans quelques jours, nous en parlerons, mais pour l’instant, il n’y a rien." Pioli a-t ‘il tenté de vous retenir ? "Pioli était le seul homme qui me voulait avec envie au Milan : J’ai parlé tant de fois avec lui, et lui avec moi, il a respecté ma décision et je lui souhaite le meilleur." Quel sera votre rôle dans le 3-5-2 ? "C’est un système de jeu qui me plait. Luis Alberto jouait avec Inzaghi dans un poste où nous sommes similaire. J’aime l’attention portée par l’entraîneur, comment il me parle, comment nous échangeons, j’espère que l’on se divertira dans ce championnat." Pourriez-vous revoir votre ambition ? "On ne te donne pas le maillot sans sacrifice et sans souffrance. J’ai entendu ce que voulait l’entraîneur, il faudra un peu de temps, mais nous verrons par la suite." Vous étiez le leader en Europe pour les occasions créées et le premier pour les passes décisives lors des deux dernières saisons de Serie A..... "Je dois remercier Pioli car il a réalisé du bon boulot avec moi: Il m’a laissé jouer dans mon rôle, comme j’en avais l’envie, un rôle pour lequel j’ai créé tant d’occasions et délivré tant de passes décisives. Je veux vraiment lui dire merci. Tu peux avoir avec évidence un talent, mais sans travail, tu ne parviens pas à réaliser ces choses-là." Avez-vous envoyé cette statistique à Lukaku et Lautaro ? "J’attends qu’ils reviennent, je suis impatient de jouer avec eux et de leur donner des passes décisives, de créer des occasions pour eux. Je veux me divertir, mais avant tout je dois connaitre les façons de jouer, eux devront connaitre mes mouvements et moi les leurs. J’espère que l’on se divertira." Comment avez-vous vécu ce qu’a traversé Eriksen ? "J’ai le plus grand respect pour Eriksen, c’est un joueur qui me plait beaucoup, nous avons le même rôle. Je l’attends à bras ouvert, il mérite tant de chose : C’est un exemple, un garçon sympathique, je l’ai connu via Kjaer, je lui ai demandé immédiatement ce qu’il s’était passé, j’espère le revoir au plus vite." Vous avez choisi le numéro 20, en référence au numéro de Recoba ? "Je l’ai lu sur les journaux, mais je ne l’ai pas choisi pour cette raison. J’ai toujours eu le numéro 10, mais ici, il appartient à Lautaro Martinez : J’ai donc fait 10+10, 20 !" Vous avez croisé la Nazionale de près..... "J’avais déjà dit à mes équipiers, en Turquie, qu’elle était très forte, qu’elle cherchait à créer du jeu, qu'elle dispose d’un système fort avec Mancini. C’était ma favorite pour le titre et je la félicite encore car elle le mérite. J’ai écrit à Donnarumma. Après mon arrivé à l’Inter, Bastoni m’a écrit pour me dire ‘Bienvenue dans notre Famille", j’ai aussi parlé avec Bonucci, Chiellini, et Gigio." Son interview à Inter.it Pourquoi avoir choisi l’Inter ? "Choisir l’Inter est un choix facile, tout s’est passé très rapidement grâce au Directeur Ausilio et à Mister Inzaghi." As-tu déjà lié des amitiés avec vos nouveaux équipiers ? Oui, j’ai déjà lié des liens d’amitié avec Radu, Kolarov, Nainggolan, Sensi, avec quasiment tout le monde. J’apprends à connaitre mes nouveaux équipiers." Quel numéro vas-tu prendre ? "J’ai choisi le 20. J’ai toujours utilisé le 10, donc 10+10 égale 20, le numéro que je porterai." Pourrions-nous te prendre au Fantacalcio ? "Oui, absolument ! Car cette année, je vais tenter de délivrer énormément de passes décisives à Romelu et à Lautaro." Que préférez-vous entre les passes décisives et marquer des buts ? "J’aime beaucoup faire des passes décisives, car c’est gratifiant d’aider mes équipiers." Quel sont tes 5 joueurs préféré de l’Histoire de l’Inter ? "Zanetti, Ronaldo, Adriano, Eto'o et Sneijder" Penalty ou coup-franc ? "Je préfère les coups francs, je cherche toujours à marquer." ®Antony Gilles – Internazionale.fr
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L’ancien Diable Rouge s’est livré à Il Messaggero sur l’affiche de l’Euro: "Je serais devant la télé, avec l’écharpe de la Belgique, comme ça, j’aurais dans mon viseur mes amis italien… "..... Vous avez choisi votre camp ? "Je plaisante, c’est difficile. Et comment le faire ? Je suis un sympathisant des deux équipes, je les supporte en parallèle, mais cette fois, c’est l’une face à l’autre." Que donneriez-vous pour jouer ce type de match ? "Je suis sincère, ce n’est pas mon match, il y a trop de sentiment en jeu. Ce genre de match, je ne les jouent jamais aussi bien que je le voudrais. Cela s’est produit lorsque je devait faire face à Cagliari ou la Roma. C’est difficile pour quelqu’un qui s’est pris d’affection pour une équipe. Je préfère regarder ce type de match en somme. Jusqu’à maintenant, j’ai toujours supporté l’Italie, un pays qui m’a tant donné c’es certains, mais la Belgique reste la Belgique." Aimez-vous l’Italie de Mancini ? "Énormément : C’est une belle formation, elle joue bien et va toujours de l’avant. Elle sait aussi souffrir, comme on a pu le voir lors du match face à l’Autriche." Qu’aimez-vous en particulier ? "Que celui qui rentre fait la différence, c’est un aspect important. Pessina, Chiesa et Belotti ont été décisif lors des huitièmes, comme s’il s’agissait de leur dernier match. Ils ont joué les dernières minutes face à l’Autriche avec la bonne mentalité." Quelle est la différence avec la Belgique ? "Les Diables Rouges ont forcément plus d’individualités. L’équipe de Martinez peut compter sur Lukaku, sur les Hazard, sur De Bruyne qu’elle compte toujours récupérer car ce serait une perte importante pour la Belgique. C'est une équipe qui vit avec beaucoup de pression sur son dos : Ce sont des joueurs important." Et comment est, par contre, l’équipe italienne ? "Elle est forte collectivement, mais elle n’a pas ce Fuoriclasse qui rompt les équilibres. Celui qui te fait sortir la tête de l’eau lors des moments difficiles. Les Azzurri sont des joueurs très talentueux, mais elle n’’ont pas un Lukaku. Elle est meilleure collectivement." Vous étiez présent en 2016, quelles sont les différences entre la rencontre actuelle et celle d’il y a cinq ans ? "C’est difficile de le dire : Lors de cette soirée à Lyon, l’Italie était supérieure, mais je pense que la Belgique a ouvert un grand cycle avec des joueurs qui, à présent sont arrivé à maturation. C’est plus ou mois la même équipe mais avec certains éléments en moins, tel que Fellaini qui ne joue plus. Elle doit l’emporter pour boucler la boucle. Elle doit le faire maintenant, ou ce sera plus difficile par la suite." Quel duel sera le plus fascinant ? "Sans doute Chiellini-Lukaku. Il faudra voir dans quelle condition se présentera Giorgio. S’il se sent bien, ce sera difficile pour Romelu et le contraire est aussi vrai. J’imagine un duel très physique, spectaculaire." Est-ce vrai que Lukaku aime manger ? Comme fait-il pour être toujours aussi élancé ? "Non, c’est un professionnel extrêmement sérieux, peut être qu’il peut se laisser aller en vacances, mais il est extrêmement précautionneux les jours d’avant-mach, il ne laisse rien au hasard." Avez-vous échangé avec Florenzi ? "Non, je dois encore le faire, mais je le connais. Ale, même s’il devra faire la grimace se battra, et ce, même en étant blessé, je sais à quel point il tient à jouer." ®Antony Gilles – Internazionale.fr
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Les Bianconeri sortent vainqueurs de ce derby,3-2 avec des buts de Ronaldo et Cuadrado (doublé), le penalty de Lukaku et le but contre son camp de Chiellini ne suffisant pas pour les Nerazzurri. Turin : Trois penalties, deux cartons rouges, trois interventions de la VAR. Un match entre Juventus et l'Inter n'est jamais ennuyeux. L'affrontement d'aujourd'hui s'est terminé par un 3-2 en faveur des Bianconeri, résultat qui est survenu à la suite d'une série d'évènements impliquant l'arbitre. Tout d'abord, Ronaldo a ouvert le score. Le Portugais shoutant dans la balle après avoir vu son penalty repoussé par Handanovic. Ensuite, Lukaku a converti le sien. Cuadrado a marqué grâce à un boulet dévié, Chiellini a mis le ballon dans son propre filet et Cuadrado a retrouvé le chemin du but via un autre penalty qui a été donné à la suite d'un contact entre Perisic et Cuadrado dans la surface. C'est une défaite qui ne fera évidemment aucun dommage à l'Inter: les Nerazzurri restent sur 88 points avec une seule journée à faire et avec + 13 devant les Bianconeri. Malgré le fait que l'Inter ait atteint son objectif il y a deux semaines de ça, les Champions d'Italie voulaient continuer à accumuler des points. Les Nerazzurri sont venus sur le terrain au stade Allianz en sachant que l'écusson actuellement sur les maillots des Bianconeri serait bientôt placé sur le leur. Mais le fait que l'Inter ait déjà remporté le championnat n'était pas une raison valable pour prendre le Derby d'Italia à la légère. C'était un match de grande importance pour la Juventus qui se bat pour finir dans le top quatre. Contre la Sampdoria et la Roma, l'Inter, libre de tout tracas, a gardé le pied sur l'accélérateur. Huit buts en deux matchs et une déclaration claire: nous allons continuer jusqu'à la toute fin. Et au stade Allianz, aucune des deux équipes n'a cédé un pouce de terrain alors qu'elles se battaient même si le départ des Nerazzurri n'était pas particulièrement électrisant. En effet, la Juve était l'équipe la plus brillante au départ. La figure la plus dominante des Nerazzurri était Skriniar, qui a gêné les tirs adverses à plus d'une occasion. Puis, à la 23e minute, l'arbitre Calvarese a été convoqué par la VAR pour analyser un contact dans la surface interiste. L'incident s'est terminé avec un avertissement pour Darmian pour une faute peu évidente sur Chiellini alors que la Juventus s'est vu accorder un penalty. Ronaldo s'est empressé de prendre le prendre le ballon et tirer. Handanovic a initialement sauvé le péno mais li renvoya la balle sur le Portugais qui a converti, cette fois, de la même manière qu'Ibrahimovic l'a fait. Un revers qui n'a pas vraiment affecté l'Inter et, certainement, n'a pas changé la donne: la Juve a déployé son habituel 4-4-2 et les hommes de Conte sont restés fidèles à leur formation classique. À la 35e minute, les Nerazzurri égalisaient grâce à un penalty lorsque, à la poursuite d'une passe, Lautaro était victime d'une faute de De Ligt par derrière. Calvarese n'a initialement rien donné, mais la VAR l'a rappelé et le penalty a été converti par Lukaku, aussi calme que jamais. La Juve avait besoin des trois points et, bien qu'elle ne se soit pas trop imposée sur le match, a repris la tête à la fin de la première mi-temps, lorsque le tir de Cuadrado a été dévié, battant finalement Handanovic. Les Bianconeri sont entrés à la pause avec un bon 2-1. Après la mi-temps, l'Inter est sortie avec un objectif clair: attaquer la Juve pour l'égalisation. Le carton rouge de Bentancur à la 56e minute, en raison d'un deuxième carton jaune, a rendu les choses difficiles pour la Juve. Pirlo a cherché à défendre, la Juve voulant blinder le milieu et jouer bas. Quant à l'Inter, ils campaient dans la moitié de la surface adverse à la recherche d'une ouverture. L'entrée de Vecino a posé quelques problèmes à l'arrière-garde des Bianconeri, alors que l'Uruguayen cherchait à s'imposer dans le match. L'Inter a égalisé après un beau ballon de Barella en direction de Lukaku: le Belge a été marqué un peu trop près par Chiellini, qui a dévié le ballon par inadvertance dans son propre filet. Un csc qui a été refusé par Calvarese, qui, cependant, l'a donné après un autre examen de la VAR. C'était similaire à une situation quelques minutes plus tôt: Lautaro a marqué mais Calvarese avait arrêté le jeu pour un contact présumé de Lukaku sur Chiellini. Le théâtre n'était pas terminé: avec le score à 2-2, un penalty décisif a été donné. Cuadrado a battu Perisic et est allé au sol, avec l'arbitre pointant pour un penalty qui a ensuite été converti par le Colombien. Il y a eu de vives protestations, avec Brozovic averti. Il a ensuite été expulsé pour un deuxième jaune et, malgré la pression tardive de l'Inter, les visiteurs n'ont pas pu égaliser. Résumé du match : JUVENTUS (4-4-2) : 1 Szczesny; 13 Danilo, 4 De Ligt, 3 Chiellini, 12 Alex Sandro; 16 Cuadrado, 30 Bentancur, 25 Rabiot, 22 Chiesa (28 Demiral 70 '); 44 Kulusevski (14 McKennie 58 '), 7 C. Ronaldo (9 Morata 70'). Remplaçants : 31 Pinsoglio, 77 Buffon, 5 Arthur, 8 Ramsey, 10 Dybala, 19 Bonucci, 33 Bernardeschi, 53 Felix Correira. Entraîneur : Andrea Pirlo. INTER (3-5-2) : 1 Handanovic; 37 Skriniar, 6 de Vrij, 95 Bastoni (8 Vecino 80 '); 2 Hakimi, 23 Barella, 77 Brozovic, 24 Eriksen (12 Sensi 73 '), 36 Darmian (14 Perisic 46'); 9 Lukaku, 10 Lautaro. Remplaçants : 27 Padelli, 97 Radu, 5 Gagliardini, 13 Ranocchia, 15 Young, 33 D'Ambrosio, 99 Pinamonti. Entraîneur : Antonio Conte. Buteurs : 24 'C. Ronaldo (J), 35' Lukaku (I) pen., 45 'Cuadrado (J), 83' Chiellini (J) og, 88 'Cuadrado (J) pen. Avertissements : Kulusevski (J), Darmian (I), Lautaro (I), Bastoni (I), Chiellini (J), Cuadrado (J) Expulsions : Bentancur (J) 56' pour un deuxième carton jaune; Brozovic (I) 92 'pour une deuxième infraction réservable. Temps supplémentaire : 3 '- 4'. Arbitre : Calvarese. Assistants : Longo, Valeriani. Quatrième arbitre : Guida. VAR : Irrati. Assistant VAR : Peretti.
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Suarez/Paratici : Le Directeur Sportif vraiment intouchable ?
Victor "Antony" Newman a posté un article dans Serie A
En effet, la Repubblica a publié le procès-verbal de l’interrogatoire de Luis Suarez, qui s’est tenu le 18 décembre dernier, au Parquet de Pérouse. N’ayant absolument rien à perdre, ni à se reprocher, la déclaration du meilleur ami de Giorgio Chiellini sème le trouble "La professeur Spina m’a envoyé un mail avec une annexe pdf, elle m’avait dit de bien l’étudier car ce texte pouvait être celui demandé à l’examen." Pour rappel, le but de l’opération était de permettre à la star uruguayenne de rejoindre la Juventus en possession d’un passeport italien Quand avez-vous pris connaissance de l’intérêt de la Juventus ? "Vers la fin aout-début septembre, j’ai reçu un premier appel de Nedved, ensuite de Paratici." Y-avait-il un accord sur les termes du contrat ? "Non, c’était seulement pour savoir si j’étais intéressé par la négociation. Ensuite, c’est mon agent qui s’en est occupé." Quand avez-vous pris connaissance que la Juventus comptait vous faire passer en communautaire ? "Je n’ai pas de souvenir, mais Paratici m’avait dit qu’il m’avait contacté car il pensait que j’avais le passeport italien, comme mon épouse. Je lui ai répondu que je ne l’avais pas. Que je commençais seulement à demander tous les documents nécessaire à la pratique, dans tous les pays où j’allais vivre." Quand vous a-t ’il dit que vous alliez devoir être soumis à un examen de langue italienne ? "Cela devait être entre le 8 et le 10 septembre, quand j’ai commencé les leçons." Durant les leçons online, est-ce qu’il n’y avait juste que la Professeur Spina ? "Il y avait les deux premiers jours une autre fille, une sorte de tutrice qui intervenait pour chaque traduction espagnole. Un autre jour, il y avait Lorenzo (Rocca)." Qu’avez-vous fait avec Lorenzo ? "La même chose que je faisais avec Stefania : Il m’a questionné sur ce qu’ils auraient pu me demander à l’examen" Vous ont-ils fait voir des images ? "Oui, 15 à 20 images à choisir et à décrire . Ils me les ont fait voir en me disant que deux ou quatre, c’était au choix, auraient pu être l’objet de l’examen." Spina vous-a-t ’elle envoyé du matériel à étudier ? "Elle m’envoyait le matériel qui était nécessaire pour une leçon online." Dans l’enquête, il est fait état que la Professeur Spina vous a envoyé un mail avec une annexe pdf sur lequel était repris le texte de l’examen. Vous souvenez-vous avoir reçu un tel message ? "Oui." Vous a-t’elle dit que vous deviez spécifiquement étudier ce texte ? "Elle m’a dit que je devais bien l’étudier car ce texte pouvait être celui demandé à l’examen." Vous souvenez-vous quand a eu lieu cette demande ? Est-ce lorsque la négociation avec la Juve avait échoué ? "Je ne m’en souviens pas. Mon agent avait parlé avec Paratici et j’avais appris qu’il était difficile d’obtenir la citoyenneté. J’ai donc décidé de continuer la pratique pour tout de même obtenir mon passeport. Je ne me souviens pas de la date exacte, mais c’était durant les leçons." Jusqu’au 14 septembre, vous disiez être heureux de venir à Turin pour remporter la Ligue des Champions, le confirmez-vous ? "Oui, mais j’ai ensuite dit à Spina que je n’allais plus venir à la Juve." Après l’examen avez-vous parlé avec la Juve ? "Oui, le même jour : Paratici m’avait appelé quand j’étais à l’aéroport pour me dire que j’avais fait le meilleur choix pour ma famille." "Deux jours, après le Président Agnelli m’avait appelé pour me dire qu’il était déçu que la négociation n’avait pas été à son terme, il m’avait remercié pour ce que j’avais fait pour faciliter la négociation, en forçant également les rapports avec Barcelone." Avec quelles personne de contact de la Juve avez-vous eu des contacts durant cette période ? "Avec Nedved pour l’aspect sportif, avec Paratici et avec Agnelli, deux ou trois jours après l’examen linguistique, ils m’ont remercié pour les efforts que j’avais réalisé pour me libérer de Barcelone." "Agnelli me disait que dans le football, on ne pouvait jamais rien programmer de certain, je n’avais jamais parlé avec lui avant." ®Antony Gilles – Internazionale.fr- 6 commentaires
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transfermarkt L’éclosion Bastoni
Victor "Antony" Newman a posté un article dans F.C. Internazionale Milano
La tranquillité et la sécurité d’un vétéran combiné à la volonté de s’améliorer et à la faim de la jeunesse : Alessandro Bastoni, après avoir conquis l’Inter, a conquis la Nazionale en étant complimenté et applaudi à chaque sélection. Moment Magique Agé de 21 ans, le défenseur Nerazzurro s’est affirmé comme l’un des meilleurs joueurs prometteurs à son rôle, non seulement dans le Calcio, mais également à l’internationale: Titulaire indéboulonnable de l’Inter d’Antonio Conte, il est à présent mis en lumière suite à ses débuts optimaux avec la Nazionale, lui qui était pourtant appelé pour remplacer au pied levé deux piliers tels que Bonucci et Chiellini. Il ne s’est pas fait submerger par l’émotion et a répondu présent en bombant le torse face à un attaquant pure race tel que Lewandowski. Ces prestations excellentes font qu’ils sont nombreux, ceux qui souhaitent le voir convoquer pour le prochain Euro. Une évaluation d’un Top Player Sa croissance exponentielle se répercute inévitablement sur sa valeur marchande : Selon Transfermarkt, l’évaluation de Bastoni est de 45 millions d’euros, une valeur qui fait de lui le sixième joueur de la génération 99 le plus cher du monde, juste derrière les talentueux Havertz, Joao Felix, De Ligt, Donnarumma et Rice. Il s’agit d’une reconnaissance prestigieuse pour le défenseur Nerazzurro, qui prouve encore une fois le flair de la décision prise par la Direction Nerazzurra, lorsqu’à l'été 2017, elle avait décidé d’investir 31 millions d’euros pour un joueur formé par le secteur jeune de l’Atalanta. Une somme qui était à l’époque retenu comme excessive, mais qui au net des prestations du joueur, est à présent représenté comme le petit chef d’œuvre du mercato de la part de l’Inter ®Antony Gilles - Internazionale.fr- 7 commentaires
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Dans le cadre de son nouveau livre, Giorgio Chiellini a fait l'éloge de l'attaquant de l'Inter Mauro Icardi. "Parmi les grands adversaires que j'ai rencontrés, je respecte énormément Icardi, qui dans la surface est toujours sur le but, quasiment impossible à marquer. Je le définirais comme impressionnant. Mauro a souvent marqué contre la Juventus et cela m'a fait mal." Il a ensuite discuté des problèmes d'Icardi qui l'ont conduit à partir de l'Inter et a spéculé sur une force potentielle en attaque que l'Inter pourrait déployer à l'avenir si le Paris Saint Germain ne gardait pas l'argentin : "Je suis convaincu que c'est un bon garçon. Quelque chose a dû se passer à l'Inter, je le dis en tant que 'frère aîné'. Peut-être qu'il a forcé un peu trop la main, mais d'un point de vue sportif, je me demande comment un joueur de haut niveau comme lui n'est pas resté chez les nerazzurri pendant 15 ans, marquant 200 autres buts. En tant que joueur de la Juventus, je dirais que par chance, ce n'est pas arrivé. En effet, pouvez-vous imaginer Icardi avec Romelu Lukaku et Lautaro Martinez ?" Cependant, il a admis que le vendre était probablement la bonne décision pour l'équipe nerazzurra : "Si deux personnes comme Beppe Marotta et Antonio Conte avaient décidé de continuer sans Icardi, c'est qu'elles avaient leurs raisons. C'était probablement la bonne décision, mais Maurito est un numéro neuf qui fait pencher la balance." ®alex_j - internazionale.fr
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Chiellini vanne Conte "'Le soir en regardant les armoiries de l'Inter."
Victor "Antony" Newman a posté un article dans Serie A
La définition d’être un malade du football est une équation reconnue par tous les joueurs qui ont évolué sous Antonio Conte. A l’intérieur de son livre, Giorgio Chiellini l’a inséré parmi ses maîtres les plus important : "Antonio parvient à créer un univers parallèle." Tacle à l’Inter "Je lui pardonne d’être à l’Inter car je le connais, je l’aime et je sais qu’il l’a fait en qualité de professionnel sérieux. Je reste convaincu que des doutes viennent à lui, lorsque le soir il regarde les armoiries de l’Inter sur sa veste, ça doit se passer un peu comme ça. Ceci étant dit, je reste dans l’idée que la Juve est plus forte que l’Inter, même si ce n’est pas l’équipe la plus forte qui l’emporte, c’est l’équipe la plus constante." Le redimensionnement de l’Inter depuis juin dernier "Conte t’implique comme personne, il t’envoie sur tous les fronts contre tous et contre tout. Il rend son équipe prête à tout, soit tu es avec lui, soit tu es contre lui et si vous êtes contre lui, vous partez. Beaucoup chez nous sont partis, cela vaut aussi cette année pour l’Inter." Lorsqu’Antonio arrive, il fait le ménage. Le Club Nerazzurro avait déjà décidé de ne plus miser sur Icardi et Nainggolan, mais Perisic était encore à disposition. On a pu constater que Conte l’avait évalué durant le stage estival, il a ensuite pris la décision qu’il ne serait pas utile." "A la Juve, lors de sa première année, Ziegler n’avait même pas terminé le stage estival, Melo et Amauri ont tenu deux jours." Le maximum "Tous avec Conte, il te pousse à faire le maximum, si tu ne vis pas avec lui cette passion, tu ne sera jamais en accord avec lui. La force qu’i transmet à son équipe est quelque chose d’automatique. Regardez ce qu’il est parvenu à faire à l’Inter depuis son arrivée: Il lui a suffit de quelques semaines de travaux durant l’été, et à présent, son équipe a commencé à gagner et à répétition." ®Antony Gilles - Internazionale.fr- 39 commentaires
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Interviewé dans le cadre de la sortie de sa biographie, Giorgio Chiellini, qui est "apprécié" par Luis Suarez, a taclé l’Inter : "Je déteste l’Inter". "Je pense que les gens comprendront ce que je veux dire, qu’ils ne l'interpréteront pas mal. Je déteste sportivement l’Inter, comme Michael Jordan détestait les Pistons, je ne peux pas ne pas la détester. Mais les 99,9% de fois que j’ai rencontré des personnes hors du terrain, et avec qui je disputais des matchs, nous nous sommes fait des sourires." "L’un des messages qui m’a fait le plus plaisir, lorsque je me suis blessé au genou, a été celui de Javier Zanetti. La haine sportive est ce qui te pousse à battre ton adversaire, si tu la prends dans le bon sens, elle devient une composante essentielle du sport." Vous jugez Balotelli et Felipe Melo comme irrévérencieux ? "Je ne voulais rien dire de mal de personne, mais si je ne l’avais pas fait, je n’aurais pas été totalement moi-même. Ce sont les deux qui m’ont déçu le plus, vraiment." Citations du livre : "Balotelli est une personne négative, sans aucun respect pour le groupe. En Coupe des Confédérations, face au Brésil en 2013, il ne nous a pas aidé, il méritait des baffes. Certains ont dit qu'il était l’un des cinq meilleurs joueurs du monde, je ne crois pas qu’il était capable de faire partie des dix ou vingt premiers. [....] "Un autre était encore pire, c'était Felipe Melo. Le pire du pire. Je ne supporte pas les personnes qui manquent de respect, celles qui cherchent toujours la confrontation avec les autres. Avec, lui, j’étais toujours à la limite d’une baston. Je l’avais dit aux Dirigeants : C’était une pomme pourrie." "Je le confirme, mais je n’ai aucune rancœur, cela ne m’intéresse pas d’en garder. Si je dois vivre quelque chose avec eux, je le ferai. Je ne suis pas le meilleur ami de tous, mais ce sont les deux seuls qui ont été capable de dépasser une limite acceptable. Vu comment je suis, le problème n’est pas que si tu joues bien ou si tu joues mal voire ce que tu fais le soir, mais si tu manques de respect, c’est que tu ne vaux rien. Une fois passe encore, mais si c’est récurrent, c’est non." Réponse de Felipe Melo "Avant tous, ce serait intéressant de savoir les épisodes auxquels il fait référence. De mon côté, cela ne me pose aucun problème de répondre à ce "défenseur" : Quand j’étais à Turin, je n’ai manqué de respect à personne : ni aux équipiers, ni à la Direction, ni à la Juventus de façon générale. A présent, je n’ai plus du tout de respect pour lui et je n’en aurai plus jamais." "Il déclare que Balotelli doit se prendre des baffes et que je suis le pire des pires, et qu’il a toujours risqué de se bagarrer par ma faute ? Et beh…il a toujours pris la fuite. En plus, c’est très facile de critiquer les autres avec un livre." "Peut-être que "ce défenseur" est toujours furieux contre moi car, lors de mon arrivée à Galatasaray, nous les avons éliminé de la Ligue des Champions ou alors parce que l’Inter a tout gagné et que je suis Interiste. Lui est comme ça, il se prend toujours pour un phénomène." "Et il me revient une autre chose : j'ai battu l’Italie en Coupe des Confédérations en 2009 3-0, le Brésil l’a ensuite remporté. Il est surement aussi amer pour cela. Au niveau international, il n’a jamais rien remporté. Je vais clôturer comme ceci : s’exprimer de la sorte est peu professionnel. C’est un manque de respect, je n’ai rien à dire de plus, si ce n’est que certaines choses doivent rester dans le vestiaire." Réponse de Mario Balotelli "Moi, au moins, j’ai eu le courage et j’ai été sincère pour te dire les choses en face. Depuis 2019, tu as eu de nombreuses occasions pour le faire, pour te comporter en homme, mais tu ne l’a pas fait. Qui sait un jour ce que tu diras sur tes équipiers actuel. Tu es un étrange capitaine. Si cela veut dire être un Champion, alors je préfère ne pas l’être. Et je n’ai jamais manqué de respect au maillot Azzurro." Place au Parrain d’Internazionale.fr, Javier Zanetti Javier Zanetti, au cours de sa longue carrière s’est toujours distingué pour sa loyauté et ses valeurs, sur et hors du terrain. Auteur d’un livre "Giocare da uomo" co-écrit avec Gianni Riotta, il ne s’est exprimé en mal que sur deux joueurs, l’un deux était Giorgio Chiellini… "Tant de fois sur le terrain, j’ai vu l’arrogance, les torses bombés, des joueurs qui, quand un équipier est victime d’une faute, au lieu d'apaiser les esprits et de faire un appel au calme, se jettent en avant en cherchant une bagarre de saloon, en prenant soin d’être visionné par les ultras pour des gestes déplorables." "Je n’aime pas ces intimidations. La joie, la solidarité, le respect entre adversaire, doivent toujours être garant de la partie. Au niveau international, il y a des joueurs assez bon, comme Piqué, Chiellini ou Bonucci (Ce dernier a grandi à l’Inter et je l’ai vu s’entraîner à mes côtés lorsqu’il faisait parti de notre Primavera) qui entrent sur sur le terrain tel des aristocrates à la Cour du Roi Soleil, en vous observant de haut en bas, en méprisant l’adversaire et en exagérant avec véhémence." "Prenez un calmant les gars ! C’est ce que j’ai envie de leur dire. Le football est un sport et pour nous aussi un travail, mais il est inutile de le charger de stress. La vie est longue, difficile, la chance capricieuse, elle tourne en fonction du vent ." "Mieux vaut se serrer la main, s’encourager et se rappeler ce qui nous unit plutôt que de prôner ce qui nous divise. Hélas, tout le monde ne pense pas de cette façon". Petit tour d'Horizon "La haine déclarée envers un autre club engendre de la haine. Des Capitaines comme Zoff et Scirea, j'ai appris a respecter l'adversaire, même dans les batailles les plus dures -" Marco Tardelli, Champion du Monde 1982. "Je suis déçu car Chiellini m'était sympathique, c'est un garçon intelligent, éduqué, je ne m'attendais pas à une telle sortie. Je suis déçu rien de plus. Et cela m'attriste pour Balotelli qui est un brave garçon." - Massimo Moratti, Président du Triplé de l'Inter et multiple champion d'Italie "Chiellini est notre Capitaine. Nous t'aimons nous et nous t'estimons, nous sommes fier de toi. Forza Chiello" - Lapo Elkann - Rubentus "Je ne connais pas Felipe Melo, mais je connais Mario, c'est un enfant, un brave garçon, je ne sais pas à quoi fait référence Chiellini. J'ai un énorme respect pour Giorgio, un garçon intelligent qui comprend le football, il devrait être séché sur un terrain car c'est quelqu'un qui te donne des coups, mais en dehors, c'est une grande personne, une des plus intelligentes que j'ai connu dans ce monde et s'il dit cela, c'est qu'il dit avoir ces raisons. Avec Mario, je me suis retrouvé que très peu de fois en équipe nationale, avec Chiellini, une bonne dizaine de fois, il est bon, intelligent et éduqué." - Antonio Cassano Et vous, dans quel clan êtes-vous ? ®Antony Gilles - Internazionale.fr
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