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  1. A travers sa vidéo diffusée sur son canal YouTube, ce mardi, Luca Mastrangelo s’est offert le renégat slovaque "Bravo, bravo bravo, tu as bien fait le faux jeton. Tu te retrouves bien avec l’Argentin simulateur de maladie et le Belge psychopathe.Toi, je vais te surnommer à présent, le Slovaque "Finto Buono" qu’on peut traduire par un faux-jeton. Lorsque l’on ne savait pas ce qu’il se passait, comme dans l’histoire récente de Lukaku, lorsque l’on ne sait pas où vous alliez apparaitre, lors vous faisiez usage de termes cryptique, de mystères: Vous avez toujours fait croire aux Tifosi des choses au point que le Tifoso se disait "Mais le pauvre"…. Vous avez joué sur le fait que le peuple avait de l’affection pour vous, qu'il vous voulait du bien, et en faisant usage de phrases mystérieuses pour le Tifoso, ceux-ci se disaient "Mais non le pauvre , il doit forcément se passer quelque chose dont je ne suis pas au courant, il ne peut pas être aussi mauvais, non." Non, Faux-jeton, non le Slovaque Faux-Jeton, tu te retrouves bien avec le Belge Psychopathe et l’Argentin simulateur de maladie, vous être fameux, 3 Fameuses merdes et même si je ne vous souhaiterai jamais, car je ne suis pas comme ça, du mal sur votre intégrité physique, mais j’espère qu’au niveau sportif vous ferez vraiment de la vraie merde, à m’en saigner les deux mains. Skriniar, vu comment ça s’est passé, je n’ai plus envie d’argumenter, mais aujourd’hui j’ai pris l’air, et je vous montrerai par après où je suis allé et ce que je me suis acheté. regardez bien la vidéo jusqu’au bout. Mais j'ai regardé aussi mon portable et j’ai vu les déclarations de Skriniar, ses déclarations, pas celle d’un autre, depuis Paris: "Nous avons commencé à parler avec le PSG depuis l’été dernier" et c’est vrai et ici, je n’ai rien pour m’énerver , il y avait une négociation en cours l’été dernier, il aurait aussi pu être vendu. Le fait que tu as parlé avec le PSG l’année dernière n’est pas un problème, ce n’est pas quelque chose qui peut m’énerver. "Finalement je suis à Paris et je suis vraiment très heureux" Et là aussi c’est une bonne phrase, qu’est-ce que tu veux dire, tu es sur place, tu ne vas pas dire : "Je suis dans une équipe de merde, je ne suis pas heureux." Si tu es heureux, bonne affaire pour toi "Depuis les premiers contacts, je n’ai jamais eu de doute sur mes intentions" et là, les choses changent, "Depuis les premiers contacts, je n’ai jamais eu de doutes sur mes intentions, je voulais venir à Paris, je pensais que c’était fantastique.." Et là tu es vraiment un batard, un conard, tu es vraiment un connard car TOI, tu nous a fais croire à nous quelque chose que tu avais mis en avant, mais mis en avant depuis des mois et jusqu’à fin janvier, jusqu’en février: Que tu étais vraiment indécis que tu n’avais encore pris aucune décision alors qu’ici tu dis "Depuis les premiers contacts, je n’avais aucun doute sur mes intentions" Tu es quelqu’un de FAUX, tu es un faux-jeton, qui est bien avec l’Argentin simulateur de maladie et le Belge Psychopathe, tu es bien avec eux. "Depuis les premiers contacts, je n’avais pas de doute" avec des Tifosi qui te mettaient des bannières dans la Curva "Resta Con Noi" - "Reste avec Nous". Reste avec nous car ils pensaient, tous croyaient que toi moi-même tu étais indécis, mais en vrai, ça faisait longtemps que tu avais décidé, mais la chose la plus scandaleuse et la plus honteuse est que Toi, tu avais entretemps accepté que le fait que le Club tente de te convaincre par n’importe quel moyen , alors que tu avais déjà accepté depuis le départ, mais tu as continué à faire semblant car tu n’avais pas les couilles de le dire aux Tifosi, aux dirigeants aux équipiers que tu avais déjà pris ta décision, tu n’avais pas les couilles. Que s’est-il passé ensuite ? Le Club t’a offert le brassard de Capitaine pour te montrer à quel point tu comptais pour cette équipe , à quel point tu étais important et TOI, Faux-Jeton, Sous-Merde, tu l’as accepté et tu te l’es mis au bras . Et là, tu as fait croire encore plus au peuple qui t’aime que tu allais devenir le nouveau capitaine et que forcément Nan…Nan.... Si c’est comme tu le dis Toi sous-merde de Slovaque , si comme tu le dis toi-même , que ta décision était prise depuis le début , lorsque l’on a offert le brassard de Capitaine, toi tu aurais du dire NON, non merci, Les gars, je dois vous dire que j’ai déjà pris ma décision : Dans trois, quatre mois, je change d’équipe Et là, le brassard de Capitaine aurait été certainement donné à quelqu’un d’autre, mais tu n’as pas eu les couilles de dire "Non, les gars le brassard de Capitaine je ne la prends pas." Car le Brassard de Capitaine de l’Inter, même si tu pourrais dire l’année dernière, "je n’étais pas le seul à l’avoir porté, car tout le monde l’a vraiment porté", le Brassard de Capitaine n’ets pas une tenue qui chaque dimanche doit passer d’un bras à l’autre , ce n’est pas qu’un bout de tissus, ce brassard qui a été porté par Facchetti, Bergomi, Zanetti, ce n’est pas ça Lorsque l’on t’a donc dit : Tu veux devenir notre Capitaine ? En pensant que tu n’avais pas encore pris ta décision, alors que tu l’avais déjà fait, comme tu l’as dit à présent, Tu aurais dû avoir les couilles de dire : Les gars, Stoppez tout, je dois vous dire quelque chose et tu aurais dû vider ton sac, mais à la place , tu as continué à aller de l’avant: Bravo sous-merde. Je vais d’ailleurs vous présenter ce que j’ai acheté, car grâce à des personnes comme vous qui sont à vomir comme l'Argentin simulateur de maladie, le Belge Psychopathe et le Slovaque faux-jeton, grâce à des personnes comme vous, j’ai décidé de faire quelque chose , une chose que chaque année, je me dis c’est bon , ce sera pour l’an prochain mais je me fais baiser toujours ensuite. Cette année grâce à l’Argentin simulateur de maladie, le Belge Psychopathe, et le slovaque faux-jeton, je suis allé à l’Inter Store et je suis allé acheter le second maillot de l’Inter qui est très beau, très cher et je me rends bien compte qu’il y a des personnes qui se disent qu’elles ne savent pas se le permettre car dépenser autant pour un maillot n’est pas donné à tout le monde, je vous montre le prix de 94.99€ pour l’achat . Je l’ai acheté sans nom, car c’est terminé de me faire avoir comme avec l’Argentin simulateur de maladie, le belge psychopathe et ce faux-jeton de slovaque, je me le disais toujours, mais chaque année, je ne le faisais jamais. De plus, en faisant mettre le nom, le numéro et le patch que l’on met au bras, les 94.99€ devenaient 120€ comme on le lit partout et ça aurait pu encore grimper et ce n’est pas comme si c’était donné . Je me suis donc offert le second maillot de l’Inter qui est très beau et je me suis aussi acheté ce maillot pour le même prix, même je n’ai plus l’étiquette. Celui-ci est aussi très beau, même si personne ne comprend pourquoi le logo est jaune et le sponsor est blanc car ils auraient pu être tous les deux blancs ou tous les deux jaunes, mais celui-ci aussi n’a pas de nom derrière Je veux que le nom des deux derniers joueurs que j’ai pris restent tel quel, et ce sont Darmian et Dimarco, deux joueurs que j’ai dans le cœur et qui, je l’espère, ne me trahiront jamais, mais je pense que si demain, ils viennetà le faire, cela se ferait en toute sincérité, sans vouloir nous enfler sans nous la faire à l’envers, sans rien de rien. Je tiens à vous montrer le ticket de caisse aussi, je l’ai encore car il y en a toujours qui sont là pour dire, "Mais Luca ces vêtements te sont offerts par l’Inter , elle va me régaler deux marrons allez…" Voilà, pour deux maillots, j’ai dépensé 189.90€ vous voyez mais grâce à des personnes comme Lukaku , Skriniar et Icardi, je n’achèterais plus jamais de maillot avec le nom des joueurs dans le dos , je ne veux plus trop m’attacher aux joueurs et c’est juste que vous ayez tous vos idoles, c’est jusque vous aimiez bien un joueur plus qu’un autre, vous connaissez aussi mes petits protégés , j’aime énormément Darmian, j’aime énormément Dimarco, Barella et Bastoni n’en parlons pas, ce sont les joueurs pour qui j’ai le plus d’affection. Vraiment à présent, dans le football d’aujourd’hui, tu as trop de coup de poignard dans le dos, trop et les paroles actuelles du faux-jeton de slovaque sont vraiment pitoyables, très pitoyables, il ne méritait ni le maillot de l’Inter, ni le brassard de l’Inter et encore moins la banderole qu’on fait les Tifosi : Tu ne les méritaient vraiment pas, faux-jeton à la face d’ange, faux-jeton, tu es très bien avec les deux autres. Ciao," Touché, Coulé! ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  2. L'ancien défenseur légendaire de l'Inter, Beppe Bergomi, estime que malgré les discussions selon lesquelles l'équipe pourrait être forcée de vendre cet été si elle manquait la Ligue des champions. S'exprimant sur Sky Sport Italia, via FCInter1908 , Bergomi a pesé sur les rumeurs selon lesquelles des ventes importantes pourraient être en cours maintenant si l'Inter ne se qualifie pas pour la prochaine édition de la Ligue des champions. Les rumeurs ne manquent pas sur les conséquences de l'absence de la Ligue des Champions pour l'Inter en termes financier. Il est rapporté que André Onana pourrait être le joueur sacrifié pour combler le manque à gagner budgétaire que représenterait le fait de ne pas avoir de revenus de la compétition, car le Camerounais pourrait rapporter une grosse somme. De plus, selon certaines informations, les négociations contractuelles avec Alessandro Bastoni et Hakan Calhanoglu pourraient bien se heurter à un problème si le club perdait les revenus de la Ligue des Champions. En conséquence, il semble que si l'Inter ne parvient pas à se frayer un chemin dans le top quatre de la Serie A ou à remporter un triomphe improbable en Ligue des Champions cette saison, ils pourraient être confrontés à un bouleversement d'équipe avec de nombreux joueurs clés qui pourraient partir. L' avenir est incertain. Du point de vue de Bergomi, cependant, tout ce discours passe un peu à côté de l'essentiel. L'ancien défenseur estime qu'en fin de compte, c'est la situation dans laquelle l'Inter se trouve depuis deux étés consécutifs. "L'Inter est en Ligue des Champions depuis plusieurs années et ils doivent encore vendre des joueurs chaque été depuis deux ans". "Je pense que la vraie question concerne leur propriété, ainsi que les politiques du gouvernement Chinois". Traduction Lindt1908 Via SempreInter
  3. L'ancien défenseur et capitaine des Nerazzurri a tenté d'analyser la crise de l'équipe d'Inzaghi, l'équipe est de plus en plus en difficulté! Giuseppe Bergomi, ancien défenseur et capitaine de l'Inter, Sky Sport a tenté d'analyser la crise des Nerazzurri : « L'Inter est l'équipe qui jouera le plus dans cette finale de la saison, ils ont besoin de faire des rotations. Mardi il y a la Coppa Italia, ils seront à Salerne vendredi... Au milieu de terrain, faut faire venir des joueurs qu'on voit peu jouer à San Siro. Je dis toujours de Gagliardini, Asllani peut aussi jouer, mais il le voit devant la défense et là vous avez Brozovic et Calhanoglu. Le problème c'est le département offensif : jusqu'à un certain moment il avait une moyenne de 2 buts par match, maintenant 1. Dzeko a beaucoup donné en première partie et maintenant il a du mal, je vois Lautaro fatigué. Après la Coupe du monde, il a eu un mois important, maintenant il paie. Malheureusement, Correa n'a jamais bien fait pour lui et pour l'Inter. Et puis il y a le discours de Lukaku. Comment évaluez-vous la performance d'hier ? Pour moi, il a fait mieux au-delà des buts manqués ." Traduction Lindt1908 Via Fc Inter1908
  4. En effet, être Interiste n'est pas à la portée de tout le monde et si comme Giuseppe Bergomi, le Nerazzurro coule dans vos veines, la fin du match opposant l'Inter à Porto l'a fait craquer....Au point que cela a provoqué un tollé en Italie! En effet, dans les dernières minutes, l'anciennne Bandiera de l'Inter s'est laissé aller avec plus de passion que d'habitude car l'équipe de Simone Inzaghi souffrait et il l'a lui-même admis lors d'un entretien depuis Porto avec le studio de Sky Sport : "On pense que plus on vieillit, mieux on gère ses émotions, mais aujourd'hui je me suis rendu compte que ce n'est pas le cas. On a vu ce sentiment d'appartenance du groupe, celui d'une équipe qui a toujours encaissé des buts à l'extérieur et qui, aujourd'hui, a réussi sa performance. Nous avons souffert, et pas qu'un peu." Et en après-match: "Pour le commentateur que je suis , les dernières minutes ont été une grande souffrance. Quand les matches s'étirent ainsi, il faut savoir résister dans les moments cruciaux : les arrêts d'Onana, de Dumfries et de Darmian sont les situations qui m'ont le plus enthousiasmé. Pour poursuivre ses rêves, il faut faire beaucoup d'efforts et aujourd'hui l'Inter l'a fait." Et un débat s'est immédiatement ouvert sur les médias sociaux, mais il y a une évidence sur l'analyse du ton employé par Bergomi, avec d'un côté les Tifosi de l'Inter enthousiasmés par leur Zio, lui, qui avait aussi souvent critiqué les Nerazzurri au cours de la saison et d'autre part tous les autres qui ont trouvé excessive la façon de raconter la phase finale du match. Et histoire d'en remettre une couche Beppe Bergomi, s'est aussi lâché sur la possibilité de commenter un Derby milanais en quart de finale de la Ligue des Champions : "Si c'est l'issue du tirage au sort, alors je ne serai pas être aux commentaires car ce genre de match est toujours difficile à vivre et j'espère qu'il y aura un autre tirage au sort qui suivra par la suite, comme me le disent aussi certains amis milanais qui m'ont écrit". Uno Di Noi! ®Antony Gilles - Internazionale.fr
  5. Alfredo Pedullà, célèbre journaliste italien dans le monde sportif s’est livré sur l’annonce retentissante en provenance de Marca relative à un échange surprise entre Franck Kessié et Marcelo Brozovic: "Echange Kessié-Brozovic : En respect à l’anticipation de Marca de jeudi dernier, il résulte que Barcelone l’a officiellement proposé et que l’Inter ne fermerait pas à la porte : Le tout sous des conditions bien déterminées, elle serait disposée à y penser." L’avis de Zio Bergomi Interviewé sur ce sujet dans les studios de Sky Calcio Club, Giuseppe Bergomi, l’ancien Capitaine de l’Inter s’est livré sur cette situation : "L’Inter a remporté 8 matchs sur les 10 derniers disputés, en en perdant qu’un seule et en réalisant un match nul, toutefois elle a encaissé 20 buts à l’extérieur ce qui est énorme." Brozovic pour Kessié ? "Moi, je considère Marcelo comme l’irremplaçable de l’Inter: "Avant de "trouver" Çalhanoğlu, l’équipe n’avait jamais trouvé son remplaçant : Elle avait recruté Asllani et elle a ensuite "trouvé" le turc et avec lui, l’Inter a retrouvé plus de continuité qu’avec Brozovic." "L’Inter a un Kessié en la personne de Gagliardini, même s’il a vécu des années très difficiles à Milan : S’il fallait trouver un remplaçant à l’heure actuelle pour Brozovic, Kessié, que nous avons très bien connu dans notre championnat pourrait se montrer dominateur : Le milieu de terrain de l’Inter est quasiment composé de numéro 10 avec de très bons pieds mais sans grand impact physique : Cette négociation aurait une sa propre logique ." L'Inter prendra-t'elle le risque de se séparer de Marcelo au risque de se mettre à dos les Tifosi ? ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  6. Federico Dimarco traverse une très belle période, lui, qui après s’être mis en évidence et avoir marqué en équipe nationale, après avoir marqué face à la Roma, a été finalement l’un des grands artisans de la victoire face au Fc Barcelone Analyse de la Gazzetta Dello Sport "Federico Dimarco est l’un de ceux qui y est parvenu : Un milanais qui a grandi avec l’Inter dans le cœur et le Nerazzurro dans ses veines, lui qui, âgé de trois ans allait déjà dans les bras de son Père dans la Curva, lui qui a neuf ans faisait déjà chanter le ballon avec son pied gauche, un pied gauche qui avec le temps est devenu toujours plus puissant et précis. Peu de personnes doutaient de lui lorsqu’il faisait partie du vivier Nerazzurro : Il deviendra un grand joueur, il arrivera en Serie A et il fera parler de lui." "Simone Inzaghi est d’ailleurs le premier entraineur de l'Inter a lui avoir donné la confiance nécessaire pour s’imposer : S’en est fini de faire des apparitions, Dimarco sous Inzaghi, est devenu une valeur ajoutée et avec le travail, l’abnégation et sa faim, il a atteint un nouveau palier : C’est lui le patron de l’aile gauche laissée orpheline par Ivan Perisic. Et tout ceci est le fruit d’un long parcours qui l’a vu et contraint d’abandonner son confort à la Maison pour grandir en s’éloignant, en passant par Parme et Vérone où la pression était différente." "A présent, Gosens n’est plus sur ses talons car Federico a ce petit plus : Et ce n’est pas uniquement l’Interisme car la Foi footballistique compte jusqu’à un certain point, mais c’est la qualité. Une qualité qui est le fruit d’un travail, de tant de sacrifices qui ont finalement mis en avant le Fils de la Curva Nord." Encensé par Giuseppe Bergomi qui s’est livré à la Rosea Bergomi, qu’est-ce que cela veut dire lorsque l’on grandi à l’Inter et que l’on parvient à s’imposer chez les Grands ? "Ce sont des sensations extraordinaires : Tu regardes derrière toi et tu te félicites du parcours réalisé, des sacrifices qui t’ont porté jusque-là. Pour réussir, tu te dois de franchir énormément de difficultés car rien ne t’est offert." Vous rappelez-vous de vos propres émotions ? "Pour moi, c’était un rêve, mais c’était une autre époque : Je suis arrivé en équipe première et il y avait d’autres garçons qui étaient sortis du vivier comme Bordon, Oriali, Beppe Baresi, Canuti. : Le sens d’appartenance était inné. Et lorsque je suis devenu ensuite le Capitaine, j’ai en tout premier lieu essayé de faire comprendre à tous les nouveaux venus ce que voulait dire "Endosser le maillot de l’Inter"." Quel part du parcours de Dimarco, peut-on retrouver dans son ascension ? "Il y en a énormément, tellement : Le sens d’appartenant et l’Adn de l’Inter sont innés en lui, ce ne sont pas des choses qui s’apprennent, ni qui s’entrainent: Grandir dans le Secteur Jeunesse d’un club comme l’Inter, pour un milanais mais aussi pour un Lombard a beaucoup de significations : Tu apprends depuis ta plus tendre enfance ce qu’est le poids de ce maillot, l’Histoire du club, la responsabilité qui incombe lorsque tu es un joueur Nerazzurro." "Ce qui m’impressionne le plus chez Dimarco c’est sa grande personnalité : Le Giuseppe Meazza est un stade exigeant, dans les moments difficiles, il te met sous pression et lui n’en a que faire, il ne s’effondre pas mais il se magnifie." Voyez-vous dans son regard, ce petit quelque chose en plus, comparé aux autres ? "Federico incarne tout ce qui fait l’état d’esprit Nerazzurro, et comme je l’ai dit, il ne se laisse jamais briser par la pression : Il joue toujours le jeu, il se donne, il frappe. Et même, j’aime son caractère : C’est quelqu’un de généreux, il donne tout sur le terrain et je le vois aussi lorsqu’il vient du banc et qu’il secoue l’équipe et tout l’environnement : S’il se plante, il ne s’effondre pas mentalement mais il continue sa progression." "En ce moment, Dimarco est le joueur avec la meilleure personnalité dans l’équipe : Il y met son cœur et ses jambes font tout le reste." ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  7. Turin - Le penalty de Hakan Calhanoglu a permis à l'Inter de remporter une fantastique victoire à l'arrachée ce dimanche. Cette victoire 0-1 redonne de l'élan aux Nerazzurri à l'approche des derniers matchs de championnat de la saison. Les hommes de Simone Inzaghi comptent 63 points à huit journées de la fin. C'est la onzième fois que l'Inter sort victorieux d'un déplacement à la Juventus depuis la saison 1929/30 (à laquelle on pourrait ajouter une autre victoire après le 0-2 infligé aux Nerazzurri en 1983). La dernière fois que l'Inter s'est imposée sur le terrain de la Juve, c'était en novembre 2012, lorsque Diego Milito avait inscrit deux buts et que Rodrigo Palacio en avait ajouté un autre pour porter le score à 1-3. Pour la première fois depuis 2008/09, l'Inter est invaincu dans ses deux rencontres de championnat avec les Bianconeri, puisqu'ils ont enregistré un match nul 1-1 à domicile et sont sortis vainqueurs de l'Allianz Stadium. En outre, ils ont également remporté la finale de la Supercoupe d'Italie en janvier. Calhanoglu et le penalty re-tiré Hakan Calhanoglu a été le grand artisan du match de dimanche, puisque son troisième penalty de la saison en championnat (les autres ont été obtenus contre Milan et Naples) a permis à l'Inter de marquer le but décisif. Il s'agit de son septième but de la saison en championnat, inscrit à la quatrième minute et demie du temps additionnel de la première mi-temps. C'est le dernier but de l'Inter en première mi-temps d'un match depuis qu'Opta a commencé à recueillir ces données en 2004/05. Le milieu de terrain turc a transformé chacun de ses cinq penalties en Serie A (contre la Roma, Lazio, Milan, Napoli et la Juventus). Le numéro 20 de l'Inter est le troisième joueur turc à marquer en Serie A contre la Juventus, après Sukru Gulesin dans les années 1950 et Can Bartu en 1963. Perisic atteint les 200 matchs en Serie A Ivan Perisic a réalisé une performance monumentale classique ce dimanche, caractérisée par son incroyable couverture défensive à un moment donné pour empêcher la Juventus de se procurer une occasion facile de but. Le match à Turin a marqué sa 200ème apparition en Serie A sous le maillot de l'Inter, le troisième Croate à atteindre ces chiffres, après Marcelo Brozovic et Milan Badelj. Handanovic en septième position en nombre d’apparitions avec le maillot del’Inter La prestation du gardien slovène contre la Juventus a marqué sa 359ème apparition en Serie A pour l'Inter, le plaçant au-dessus de Tarcisio Burgnich dans la liste des joueurs ayant disputé le plus de matches de championnat pour les Nerazzurri. Le classement des apparitions de l'Inter en Serie A est le suivant : Javier Zanetti 615, Giuseppe Bergomi 519, Giacinto Facchetti 475, Sandro Mazzola 417, Mario Corso 413, Giuseppe Baresi 392, Samir Handanovic 359, Tarcisio Burgnich 358, Walter Zenga 328, Ivan Cordoba 323. ®Oxyred – Internazionale.fr via SempreInter
  8. "L’Inter a ré-ouvert le discours Scudetto." - Telle est la déclaration de Giuseppe "Zio" Bergomi qui s’est livré au cours d’une longue interview à Tuttosport, sur les performances actuelles de l’Inter d’Inzaghi L’Inter est-elle l’équipe la plus forte ? "Lors de l’ensemble des confrontations directes, elle a toujours bien joué, en ayant la suprématie durant 60-70 minutes de jeu. C’est aussi dû au fait que c’est une équipe qui attaque avec tellement de joueurs, c’est d’ailleurs celle du championnat qui apporte le plus de joueurs en attaque, en plus de ces deux attaquants, on y ajoute les deux ailiers et deux milieux de terrain : L’Inter est une équipe forte tout en étant différente de celle de l’année dernière." Qu’est-ce qui diffère ? "L’Inter propose toujours une entente collective avec une qualité de jeu très élevé au milieu : C’est très difficile pour les adversaires de faire face à Brozovic et Barella. On pourrait aussi parler de l’absence d’un attaquant ayant les caractéristiques d’Oshimhen, ou du type de joueurs qui te font gagner à eux seuls des matchs comme Lukaku l’année dernière. Il lui manque ce type de joueur mais en même temps, le noyau de l’Inter est le plus complet, il est au niveau des autres équipes." Les défaites du Milan et du Napoli sont synonymes d’une nouvelle espérance pour l’Inter ? "Je ne prends jamais en considération le calendrier, mais cette année,il y a quelque chose de très différents comparés aux précédentes saisons : Nous devrons comprendre comment se concentreront les confrontations directes, à quel période de la saison elles auront lieu. On dit toujours que le championnat se remporte face aux petites équipes, mais jamais, comme cette saison, on retrouve un tel équilibre : Remporter les confrontations directes, cette, année pourrait fera la différence en fin de saison." La Juventus ? "Récupérer des points devient difficile pour tout le monde, lorsque tu fais face à trois équipes telles que l’Inter, le Milan et le Napoli qui réalisent une grande saison." La différence pourrait-elle être les qualifications en Ligue des Champions ? "J’ai toujours pensé qu’il était bien mieux de rester en Coupe d’Europe, surtout que l’Inter et le Milan ont aussi un grand noyau. Ils sont capables, avec cette profondeur, de banc de pouvoir concourir dans les deux compétitions. Aller en avant en Coupe d’Europe compte car cela te rend psychologiquement plus fort." "Et il est tout aussi vrai que lorsque tu en sors et que tu as digéré l’élimination, que tu n’as plus qu’à penser à te préparer de la meilleure des façons pour la rencontre du dimanche : L’Inter de Conte l’avait démontré." Prolongeriez-vous Marcelo Brozovic ? "Il est l’irremplaçable du Onze d’Inzaghi. Tu n’as pas d’autre Brozovic, un autre joueur qui peut réaliser ce type de travail. Et en Europe, combien y-a-t’il de Brozovic ? Si un effort doit être fait, je le ferai pour lui. Le club doit s’accorder avec le garçon, il doit lui faire comprendre qu’il est ici depuis si longtemps, que ce n’est pas qu’une question financière, il faut lui faire comprendre qu’il se trouve dans une grande équipe, avec un grand projet et qu’il peut en devenir une Bandiera." Et si vous, vous étiez Brozovic ? "Cela ne peut pas être uniquement une question d’argent, le sens d’appartenance compte, il faut ressentir le maillot porté, s’identifier à un club important comme l’Inter, qui est un club historiquement gagnant : Brozo se doit de comprendre cela." ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  9. Denzel Dumfries a marqué les esprits ce samedi 18 septembre 2021, en étant l'auteur d’une performance cinq étoiles face à Bologne. Denzel a d'ailleurs été encensé par la Gazzetta Dello Sport: "Son début en tant que titulaire peut être un électrochoc pour la saison de l’Inter : Il semble se confirmer qu’elle pourra continuer toujours à voyager sur les mêmes fréquences que celle de la saison passée." Comparaison inévitable "La succession à droite vole haut, à un rythme très élevé : Denzel, lors de ses accélération a présenté une pointe vertigineuse de 34,38km/h! Nous sommes dans le même registre qu’Achraf qui l’année dernière culminait à 34,52km/h. Face à Bologne, le néerlandais a parcouru quasiment 11km, 10,95 pour être précis, et il a offert une présence physique qui a marqué l’intégralité du staff Nerazzurro. Inzaghi s’était lancé dans l’insertion de son nouvel ailier, un peu dans la précipitation, mais le délai d’attente n’a plus lieu d’être et il n’est plus nécessaire de limiter son utilisation." Une pile électrique "Denzel, nom donné par ses parents en hommage à l’Oscarisé acteur américain Denzel Washington, était obligé, jeune enfant, de réaliser des visites médicales suite à son hyperactivité. A présent, il déploie toute son énergie sur le terrain : Face à Bologne, trois occasions franche, y compris le but d’ouverture de Lautaro, sont venu de ses pieds. Son prédécesseur marocain présentait une moyenne d’une tentative sérieuse par match." "Jusqu’à présent, Dumfries et Hakimi ont démontré également une gestion différente du ballon, la différence se retrouve dans la verticalisation : Hakimi délivrait en moyenne une passe sur quatre vers l’avant, tandis que face à Bologne, Dumfries est resté bloqué à 14% ... Pour être clair, dans cette nouvelle Inter, l’ailier se catapulte toujours vers l’avant mais avec moins de verticalité, sans jamais perdre efficacité. Il faudra bien sur plus de temps pour le confirmer, Mais Denzel semble s’être bien adapté." Encensé par Fabio Caressa…. "L’Inter a obtenu une victoire incroyable. Elle a proposé une démonstration de force physique associé à une force technique totalement incroyable. Ce Dumfries est impressionnant. C’est une Inter qui a vraiment une grande conscience en ses capacités. Dumfries est l’ailier qui, globalement, a marqué le plus de but et délivré le plus de passe décisif en Europe." .....et Beppe Bergomi "L’Inter a toujours cherché à faire le jeu, c’est surtout une équipe qui lorsqu’elle part en contre, fait très mal. C’est aussi cet aspect que l’on retrouve derrière l’intégration de Dumfries. Il est un peu comme Hakimi, mais ses accélérations peuvent briser les défenses adverses, il a un très bon jeu et la façon dont il rentre dans ce dernier avec ses coups de talon lui convient bien. Il peut débloquer les parties, il est important et je suis certain qu’il pourra s’avérer bien meilleur qu’Hakimi en phase défense, car il évoluait dans la défense à 4 du PSV." "L’Inter avait besoin d’un joueur avec des jambes après les départ de Lukaku et d’Hakimi. Dans cet Inter, le seul joueur indiscutable reste Brozovic, Sans minimiser la force de Lukaku qui apportait de la profondeur, l’Inter a trouvé, à présent, plusieurs façons d’attaquer." La Ligue des Champions ? "Pour moi, elle va passer le tour." ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  10. La longue histoire de l'Inter Milan a été remplie de grands succès et de joueurs légendaires. Aujourd'hui, elle fait partie des clubs les plus titrés d'Italie et est devenue le premier club italien à remporter un triplé lorsqu'elle a battu le Bayern Munich en 2010. Cependant, il a fallu attendre 11 ans pour resoulever un trophée et elle a connu des difficultés ces dernières années. Nous, les fidèles de l'Inter, sommes impatients de retrouver nos anciens sommets car nous avons vu des équipes historiques revêtir nos célèbres maillots noirs et bleus au fil des ans et décennies. Qu'il s'agisse de la "Grande Inter" d'Helenio Herrera ou celle du "Triplete" de Jose Mourinho, l'Inter s'est régulièrement retrouvée au sommet du football italien. Voici un onze (possible) de légende. Walter Zenga Peut-être l’un des palmarès les plus légers de ce onze, avec un Scudetto (1989), deux Coupes de l’UEFA (1991, 1994) et une Super Coupe Italienne (1989), mais un talent hors norme, une casquette devenue célèbre et un charisme sans égal dans les buts de l’Inter. Zenga est l’indiscutable titulaire de cette équipe et ce ne sont pas ses 473 matches sous le maillot Nerazzurro qui rendront ce choix illégitime. Derrière, c’est une succession de grands gardiens qui ont défilé, avec des succès souvent plus importants, des souvenirs impérissables, mais aucun n’a réellement su faire oublier le grand Walter. Javier Zanetti Zanetti a rejoint l'Inter en 1995 et était le premier achat de Massimo Moratti (!) L'arrière a passé 19 ans avec le club, récoltant 858 apparitions avec l'Inter dans toutes les compétitions, le laissant quatrième sur la liste pour les apparitions en Serie A. Capitaine de l'équipe pendant treize ans, Zanetti a mené l'Inter à cinq titres de champion et un trophée de la Ligue des champions. Surnommé El Tractor pour son incroyable rythme de travail, la légende de l'Inter était capable de jouer de chaque côté de la défense et a même figuré au milieu de terrain. Giuseppe Bergomi L'un des hommes notables d'un club de l'Inter, Bergomi est passé par les rangs des jeunes et a fait ses débuts pour eux en 1980. Au cours de ses 20 ans de carrière avec le club, Bergomi a disputé 754 matchs, dont 517 en Serie A, et détient actuellement le record du plus grand nombre d'apparitions en Coupe UEFA, 96 matchs. Bergomi a d'abord commencé arrière droit et a ensuite été déplacé au cœur de la défense et a été une figure clé du triomphe au Scudetto en 1989. Le défenseur a remporté trois autres Coupes UEFA tout au long de son séjour avec l'Inter. Ivan Córdoba Peu de temps après son arrivée en provenance de San Lorenzo, le défenseur colombien a noué un formidable duo avec Marco Materazzi. Malgré sa petite taille, Córdoba était un élément crucial de la ligne arrière de l'Inter au début des années 2000 et a mené le club à cinq Scudetti et une Ligue des champions. Connu pour son athlétisme et son rythme, Córdoba a souvent été placé au poste d'arrière. Le défenseur a fait 324 apparitions avec le club au cours de son mandat de 12 ans, remportant quinze titres et a même été vice-capitaine derrière Zanetti. Giacinto Facchetti Facchetti faisait partie intégrante de la "Grande Inter" d'Helenio Herrera, faisant 634 apparitions et marquant 59 buts. L'homme de l'Inter reste le défenseur le plus prolifique de l'histoire de la Serie A. Facchetti a commencé sa carrière en tant qu'attaquant avec son club de la ville natale Trevigliese, mais Herrera l'a rapidement converti en arrière latéral offensif. En 1966, Facchetti a marqué 10 buts en une saison, le plus grand nombre pour un défenseur jusqu'à ce que Materazzi batte ce record. Le défenseur a passé toute sa carrière avec l'Inter, remportant quatre titres de champion, deux coupes d'Europe et une coupe intercontinentale. Facchetti a été le capitaine de l'Italie lors de l'Euro 1968. Esteban Cambiasso Le milieu de terrain argentin a rejoint l'Inter après l'expiration de son contrat avec le Real Madrid en 2004. Cambiasso est rapidement devenu un pilier du milieu de terrain de l'Inter aux côtés de son compatriote Juan Sebastián Verón et a joué un rôle majeur dans le Triplete. Déployé devant la ligne de quatre défenseurs, le milieu de terrain a agi comme un destroyer, mais avait un sens aigu du but, comme en témoignent ses 51 frappes tout au long de sa carrière à l'Inter. Cambiasso a passé dix saisons avec le club, faisant 315 apparitions et remporté 15 titres dont cinq Scudetti, avant de rejoindre Leicester en 2014. Luis Suarez Le maestro espagnol a suivi Helenio Herrera à l'Inter en 1961 et est devenu le joueur le plus cher du monde à l'époque. El Arquitecto reste le seul joueur espagnol à avoir remporté le Ballon d'Or et a été la force créatrice de la Grande Inter de Herrera. Suarez était également capable de trouver le fond du filet et a marqué 55 buts lors de ses 328 apparitions avec le club. Suárez a passé neuf saisons avec les Nerazzurri, remportant trois Scudetti, deux Coupes d'Europe et une Coupe intercontinentale. Mario Corso Un autre membre de la Grande Inter de Herrera, Corso a fourni l'étincelle offensive dans le dernier tiers du terrain, marquant 75 buts en 413 apparitions avec le club. Le natif de Vérone a marqué lors de ses débuts à 16 ans, devenant ainsi le plus jeune joueur de l'histoire de l'Inter à le faire. Corso a été surnommé Il Piede Sinistro di Dio, le pied gauche de Dieu, pour ses centres précis et ses coups francs et s'est rapidement fait un nom sous le maillot noir et bleu. L'ailier a passé 16 ans avec le club, remportant huit titres, dont quatre Scudetti et deux Coupes d'Europe. Corso a brièvement été capitaine de l'équipe avant de terminer sa carrière avec le Genoa. Sandro Mazzola Mazzola est un autre joueur qui a passé toute sa carrière de 17 ans avec les Nerazzurri. L'attaquant a joué un rôle déterminant dans le système de contre-attaque de Herrera et a utilisé son incroyable changement de rythme pour dévaster l'adversaire lors des contres. En 1965, Mazzola a terminé comme capocannoniere de la ligue, marquant 17 buts. À peine six ans plus tard, l'homme de l'Inter a terminé deuxième au Ballon d'Or derrière Johan Cruyff. Mazzola a disputé 417 matches avec le club et marqué 116 buts, aidant les Nerazzurri à remporter quatre Scudetti, deux Coupes d'Europe et une Coupe intercontinentale. Ronaldo (le vrai) L'Inter a battu le record du monde de transfert lorsqu'elle a déclenché la clause libératoire du Brésilien en 1997. Le mandat de cinq ans a finalement déraillé à cause des blessures, mais l'impact d'El Fenomeno sur le club ne peut être sous-estimé. L'attaquant a passé cinq saisons avec l'Inter, marquant 49 buts en 68 apparitions et a mené l'équipe à un triomphe en Coupe UEFA en 1998. Au-delà de son impressionnant record de buts, l'attaquant a remporté deux Ballon d'Or et a été capitaine de l'Inter jusqu'à ce qu'il rejoigne le Real Madrid. Giuseppe Meazza Meazza a été l'un des canonniers les plus prolifiques de l'histoire italienne, marquant 242 buts en 13 saisons avec le club. En fait, il a inscrit 100 buts en championnat à l'âge de 23 ans. Meazza a reçu le surnom de il Ballila, le petit garçon, par son coéquipier Leopoldo Conti après avoir commencé à s'entraîner avec l'équipe senior à seulement 17 ans. L'attaquant est actuellement le meilleur buteur de l'Inter et a mené les Nerazzurri à trois titres de Serie A. Meazza reste l'un des trois joueurs italiens à avoir remporté deux Coupes du monde, en 1934 et en 1938. Un an après son décès, le San Siro a été nommé en son honneur et est depuis devenu le Stadio Giuseppe Meazza. Note: les stats des joueurs sont toujours sujettes à caution (je n'ai jamais compris comment elles sont calculées).
  11. Présent au mémorial organisé pour Mauro Bellugi, Beppe Bergomi revient sur l'actualité du club mais place d'abord un mot pour l'ancien défenseur de l'Inter, décédé en février dernier. "Aujourd'hui Bellugi serait le défenseur idéal. Il participait au jeu et savait marquer. Dans l'Inter actuel il y a un jeune garçon comme Alessandro Bastoni qui en est le prototype idéal." Que pensez-vous de l'arrivée de Simone Inzaghi ? "Je le connais bien. Quand j'entrainais les jeunes de l'Atalanta, il coachait ceux de la Lazio et quand je suis allé lui parler, il s'est mis à nous comparer sur le banc. On pouvait déjà voir le désir d'être entraineur. Je pense que c'est un signe de continuité d'aller chercher et d'avoir quelqu'un comme lui. Maintenant nous devons voir comment le mercato va évoluer, mais je pense que c'est le bon profil pour la suite avec cette équipe." Êtes-vous surpris du départ d'Antonio Conte ? "Non parce que je connais Antonio et son ambition. Pour moi il n'a pas décidé cela au dernier moment. C'est une situation qu'il portait depuis un certain temps. Le chemin a été long, fatigant et ce titre n'était pas gagné d'avance. Peut être avait-il déjà développé cette idée tout au long de la saison." L'éventuelle perte de Hakimi ? "Il y a des joueurs forts et décisifs. En 3-5-2 en restant bas, cela a très bien fonctionné avec lui. Hakimi renverse le terrain. Sa vitesse et ses passes décisives sont dures à trouver. Je pense qu'Inzaghi a demandé de bons joueurs car dans schéma ce poste est fondamental." Quel joueur de la Lazio conviendrait à l'Inter ? "Milinkovic-Savic. J'aime les joueurs physiques et il est bon de la tête mais aussi sur coup franc. Le fait de changer d'environnement pourrait lui donner un nouvel élan. Pour moi c'est le joueur à amener à l'Inter." Ce sera donc l'Inter d'Inzaghi contre la Roma de Mourinho : "Je suis content de son retour. Un personnage comme lui est bon pour le championnat. Ensuite ce ne sont pas les entraineurs qui vieillissent mais le football qui change. Nous verrons de belles rencontres. Maintenant les coachs peuvent créer un staff énorme. Inzaghi a sept personnes avec lui. Si Jose choisit bien ses collaborateurs et qu'il atteint le top 4, il aura déjà fait beaucoup." L'Inter reste favorite pour le titre ? "Quand une équipe sort en tant que championne, elle l'est. Effectuait des changements fondamentaux est une chose importante, pas anodine. Nous l'avons vu par le passé. Nous verrons comment cela se termine mais l'important est que tous les joueurs donnent une disponibilité maximale comme cette saison." Le tournant du titre est venu avec la confiance de Conte pour Eriksen n'est-ce pas ? "Plus que tout autre chose, tout a commencé après Sassuolo lorsqu'il a retiré le milieu offensif et abaissé le centre de gravité de l'équipe. Eriksen a aussi mieux performé dans les phases de non possession du ballon. Il a compris les mécanismes du groupe et dans le final de la saison, il a été décisif." Un mot sur l'Euro de Barella et Bastoni ? "L'équipe est forte. Barella a été récompensé par tous avec son titre de meilleur milieu du championnat. C'est un joueur de classe mondiale. Je ne pense pas que Bastoni trouvera de place au début mais il sera utile au groupe. Les centraux risquent toujours d'être sanctionnés et indisponibles à cause des cartons,. L'occasion se présentera et il est prêt pour l'équipe nationale." Si vous étiez dans la tête de Sensi : "C'est difficile. Il ne peut pas guérir, il n'a pas de régularité dans la performance et les entrainements. Vous dites qu'il y a un problème de préparation mais le problème est le sien, il doit le résoudre. J'en suis désolé car je l'aime bien, il rend l'équipe plus fluide et sait comment gérer le milieu de terrain." ®gladis32 - internazionale.fr
  12. Interviewé par le canal Spotify de l’Inter, Javier Zanetti, le Vice-Président de l’Inter et Parrain d’Internazionale.fr s’est livré à l’occasion du lancement du quatrième maillot. "Mon premier maillot m’a été confiéors de la présentation sur la terrasse Martini, là ou j’ai réalisé les clichés avec Facchetti, Suarez, Mazzola, Angelillo, Bergomi: C’était une présentation émotionnelle, car c’était lors de mon arrivée en Italie, dans une ville telle que Milan, tellement imposante." "J’ai tous les maillots, ils font partie de ma vie : Chez moi, c’est un musée composé de maillots et de brassards de Capitaine. Pour moi, celui du Centenaire est spécial : Il représente les 100 années d’histoire de notre club, et il me plait énormément." "Parmi les plus beau, il y a aussi celui de 2010 qui aura toujours une grande signification vu ce que nous sommes parvenus à remporter. Il y a aussi celui de la Finale à Paris car c’était mon premier titre internationale avec l’Inter et j’avais marqué : Il a une saveur spéciale." Pourquoi le numéro 4 ? "J’avais joué en Argentine avec ce numéro. En Sélection Argentine j’avais le 8, mais à l’Inter le 4 était libre et ils m’ont proposé de le prendre: Et il n’est plus donné à personne. Je l’ai embrassé car j’ai senti qu’il était mien: L’Inter est l’une de mes amours, et j’ai embrassé quelque chose d’unique, je voulais partager ce moment avec les tifosi, c’était un gente empli de sentiment." "Elle se trouve à Milan, mais l’Inter est Internazionale : J’ai rencontré tellement de tifosi avec une telle passion qu’ils te font comprendre leur amour malgré la distance. Pour moi: l’Inter est Internazionale, résiliente, familiale et a une responsabilité sociale : Ce sont des choses que nous ne devrons jamais perdre, elles font partie de notre ADN. Nous devons les conserver et les transmettre au monde entier." ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  13. Intervenu lors de la retransmission de Sky Calcio Club, l'ancien entraineur du Milan et de la Juve, Fabio Capello s’est livré sur la victoire de l’Inter et sur la défaite de Milan. Que doit penser Conte à la suite de la défaite du Milan ? "Cela fait deux semaine que je vous dis que l’Inter a remporté le championnat, je l’ai dit lorsque Milan s’est incliné face à Spezia et je le redis. Lautaro a plus de qualités que Lukaku : Lukaku est fort et puissant, mais il souffre face à quelqu’un de son gabarit. Lautaro bouge bien, est agile et technique." "L’Atalanta a démontré comment bloquer Hakimi et Barella et cela s’est reproduit aujourd’hui. Il faut féliciter Conte car il a compris qu’il ne fallait plus presser trop haut, il est intelligent. Conte, l’année dernière est arrivé à la seconde. Cette année, il est dans sa seconde saison, il connait l’équipe, l’environnement.." Que se serait-il passé si Sarri était resté à la Juve ? "L’Inter et la Juve ont les deux équipes les plus complètes…Être un an de plus avec la même équipe peut valoir tant." Di Canio atomise Cristiano Ronaldo Si le turinois aurait dû être expulsé face à Cagliari, Paolo Di Canio s’est montré tout aussi assassin sur le plateau de Sky Sport en critiquant la virilité du Portugais: "Dans le mur de Juventus-Porto, je me suis enragé envers Ronaldo. Mais comment, avec toute cette virilité, ces abdominaux, ces pectoraux, il peut avoir peur du ballon et se retourner ? Si tu as peur, tu sors !" Giuseppe Bergomi enchaine : "Si j’étais entraineur, le dernier que je mettrais dans un mur serait également Ronaldo." ®Antony Gilles - Internazionale.fr
  14. Le dernier documentaire du programme de Matteo Marani avec Sky Sport est dédié à Ronaldo. Le vrai, Il Fenomeno. En anticipation, accompagné de quelques protagonistes durant les années intéristes de Ronaldo, il a parcouru cette époque de l'attaquant brésilien avec notamment la saison 1997/1998 qui a porté à la conquête du titre en Coupe de l'Uefa à Paris contre la Lazio. L'ex président de l'Inter Massimo Moratti a dit: "La victoire en Coupe de l'UEFA en 1998 représente la satisfaction qu'il nous fallait. C'était une très belle fête avec en toile de fond, l'espoir que le futur soit tout aussi pavé de succès". "Il flottait au-dessus de la boue" Beppe Bergomi, capitaine de cette Inter, rappelle la grandiose prestation de Ronaldo en demi-finale à Moscou contre le Spartak: "La victoire en finale à Paris reste le point focal. C'était pour moi une grande souffrance car j'étais blessé et je ne pouvais pas jouer. J'avais joué dans toutes les rencontres précédentes. Ce qui me revient à l'esprit c'est cette demi-finale contre le Spartak Moscou avec ce but incroyable de Ronaldo. Il y avait de la boue sur le terrain, nous-autres, nous nous y enfoncions et lui flottait au-dessus". Enfin, un célèbre supporter de l'Inter comme Luciano Ligabue est revenu sur le but, magique, d'Il Fenomeno en finale: "C'est inoubliable, le passement de jambe avec lequel il a endormi Marchegiani. C'était la première victoire signée Ronaldo de l'équipe, cela rendait la fête encore plus belle". ®Samus – Internazionale.fr
  15. 113 années d’Histoire, 113 années de buts, l’Inter célèbre aujourd’hui l’anniversaire de la fondation du Club à travers une vidéo Hero qui voit le but comme protagoniste, comme élément constant de l’Histoire Nerazzurra Du premier but inscrit en 1908, quand un groupe de rebelle et d’innovateurs a ouvert les portes de Milan aux joueurs étrangers, la vidéo retrace les buts qui ont menés à la victoire, aux records uniques, inscrits par d’extraordinaires et immortels champions. Des buts qui ont fait la joie de millions de tifosi! Pour les Frères et Sœurs du monde qui ont marqué l’Histoire du club aussi hors du terrain, là où l’Inter a réaffirmé sa propre identité et ses propres valeurs, là où elle a combattu les discriminations et s’est affirmé comme un Club "Not For Every One" unique. Une vidéo qui célèbre le passé mais avec le regard tourné sur le futur! Les célébrations continueront ce soir à 21 heures lorsqu’à l’Inter HQ seront remis les prix de la troisième édition du Hall of Fame de l'Inter: Julio Cesar, Giuseppe Bergomi, Esteban Cambiasso et Diego Milito seront honorés. Leurs histoire sera retracée en compagnie d’invités d’exceptions et de surprises Il y aura également un prix spécial qui sera remis à une personnalité qui se sera distinguée pour ses valeurs telles que l’implication, la fraternité, l’unité, qui depuis toujours font partis de l’Histoire du Club. L’évènement sera retransmis sur les différents canaux officiels du club : Inter TV, YouTube, Facebook et Inter.it. A partir d’aujourd’hui un maillot commémoratif, réalisé pour fêter en compagnie des tifosi le 113ème anniversaire est mis en vente en édition limitée sur le store.inter.it, celui-ci se verra autographié par l’ensemble des joueurs de l’équipe première sur son recto, tandis que son verso verra retranscrit les inscriptions. ®Antony Gilles - Internazionale.fr
  16. Intervenu au Sky Sport Club, Giuseppe Bergomi, l’emblématique capitaine de l’Inter est revenu sur la période actuelle de l’Inter et sur le cas "Christian Eriksen". "L’Inter fait les choses simples et justes. Selon moi, elle est redevenue une équipe, celle de la fin de saison dernière avec ce 3-5-2. Si on la compare aux premières journées de Serie A, elle se crée plus d’espaces en contre-attaque." "En ce moment, l’Inter est une équipe qui me plait, même si je l’avais très critiqué auparavant dans ses matchs. Elle est redevenue ce qu’est l’Inter. Le mérite, je le donne à Conte. Il s’est présenté après un match difficile pour faire face à Bologne dans un match qui ne pouvait pas être sous-estimé." "Eriksen n’est pas adapté au Calcio" "Le cas Eriksen est un cas épineux pour moi. J’ai retenu, sur base de l’évaluation technique du joueur depuis son arrivée, qu’il n’était pas un champion : C’est un bon joueur, mais il n'est pas adapté à notre Calcio et à la façon de jouer de Conte." "Il a été présenté aux tifosi de l’Inter comme un très grand joueur qui allait être capable de changer le destin et ils ne comprennent pas. C’est comme pour Gabigol, les tifosi ne comprenait pas pourquoi il ne parvenait pas à trouver sa place durant les six premier mois. Je ne veux pas entrer dans ce débat de jouer 3 à 5 minutes.' "L’Inter, l’année passée, a perdu du temps et peut-être le Scudetto en tentant d’intégrer Eriksen. Elle perdu, durant beaucoup de temps, Lautaro en tentant de l’insérer en Trequartista. Ensuite, elle s’est dit Basta." Le saviez-vous ? Selon le Corriere Dello Sport, outre le Paris-Saint-Germain et le Borussia Dortmund, le Bayern de Munich souhaiterait s’attacher les services du danois en offrant, en contrepartie technique, Corentin Tolisso. ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  17. Crise du Covid-19 oblige, le BO France Football ne sera pas décerné cette année. Au lieu de cela, les journalistes ont l'idée (casse gueule?) d'élire une équipe BO dream team. Cette semaine, la liste des gardiens et arrières a été publiée. Cette liste tient compte de toutes les générations et n'impose aucune restriction concernant la nationalité comme ce fut le cas avant 1995. Nous pouvons voir de grands noms passés par notre Inter. Gardiens: Gordon Banks (Angleterre) Gianluigi Buffon (Italie) Iker Casillas (Espagne) Sepp Mayer (Allemagne - RFA) Manuel Neuer (Allemagne) Thomas Nkono (Cameroun) Peter Schmeichel (Danemark) Edwin ven der Sar (Pays Bas) Lev Yachine (Russie - URSS) Dino Zoff (Italie) Arrières droits: Giuseppe Bergomi (Italie) Cafu (Brésil) Carlos Alberto (Brésil) Djalma Santos (Brésil) Claudio Gentile (Italie) Manfred Kaltz (Allemagne - RFA) Philipp Lahm (Allemagne) Wim Suurbier (Pays Bas) Lilian Thuram (France) Berti Vogts (Allemagne - RFA) Arrières centraux: Franco Baresi (Italie) Franz Beckenbauer (Allemagne - RFA) Fabio Cannavaro (Italie) Marcel Desailly (France) Ronald Koeman (Pays Bas) Bobby Moore (Angleterre) Daniel Passarella (Argentine) Matthias Sammer (Allemagne) Gaetano Scirea (Italie) Sergio Ramos (Espagne) Arrières gauches: Andreas Brehme (Allemagne - RFA) Paul Breitner (Allemagne - RFA) Antonio Cabrini (Italie) Giancinto Facchetti (Italie) Junior (Brésil) Ruud Krol (Pays Bas) Paolo Maldini (Italie) Marcelo (Brésil) Nilton Santos (Brésil) Roberto Carlos (Brésil) Remarques: Comme nous les voyons, le spectre est assez larges pour les 4 listes. Concernant les gardiens, préférez vous les spectaculaires et instinctifs (Maier et Nkono), les plus sobres et consistants (Zoff et Banks), les plus puissants et athlétiques (Schmeichel, Van der Sar, Buffon) ou les plus constants et décisifs (Casillas)? Pour les latéraux, nous avons un beau match à trois entre l'Allemagne (5), l'Italie (5) et le Brésil (7). Préférez vous les purs défenseurs, ceux qui montent ou ceux plus éclectiques? Pour les centraux, c'est plus diversifié. Préférez vous des rocs indestructibles impossibles à passer ou des stratèges plus élégants? Exprimez vous puisque ce genre de sélections est là pour ça!
  18. Beppe Bergomi et Paolo Di Canio se sont livrés sur Arturo Vidal sur la chaîne Sky Sport Italia. Beppe Bergomi: "Arturo Vidal, un milieu complet. Christian Eriksen n'est pas un joueur Conte-compatible" Bergomi s'est livré sur Vidal et Eriksen lors d'une interview accordée à Sky Sport Italia. "Vidal n'est pas étranger au football italien, ayant déjà joué pour la Juventus, et il n'est pas non plus étranger à Antonio Conte qui était son manager à la Juventus. Conte le voit comme un milieu offensif, mais il est un milieu complet". "Lors d'Inter-Barcelone, il était l'un des deux au milieu de terrain. Il peut être utilisé dans plusieurs rôles, y compris si l'idée tactique de Conte est qu'il entre dans la surface et marque. Mais il peut également jouer en tant que milieu normal." Sur l'impact de l'arrivée de Vidal sur Eriksen "Eriksen? Je ne voudrais même pas lui revenir. La controverse a surgi pour ce que j’ai dit dans le passé! Mais quand je l’ai vu pour la première fois, je me suis dit: "Ce n’est pas un joueur Conte-compatible". C’est tout. Et en fait, il a trouvé peu de place sous Conte." Di Canio sur Arturo Vidal: "Il n'a pas l'énergie pour jouer 90 minutes" L'ancien attaquant de la Lazio, Paolo Di Canio, a partagé son point de vue sur l'arrivée d'Arturo Vidal lors d'une interview accordée à Sky Sport Italia. "Une fois qu'il a pris le ballon à ses adversaires, il entre et marque de nombreux buts. Mais, il n'a pas l'énergie pour jouer 90 minutes complètes de manière constante et il a joué au Barça en tant que joueur de liaison." "Il sait jouer, il est fonctionnel, c’est un joueur expérimenté. Il n'a certainement pas mené une vie saine en tant qu'athlète. Si Conte avait peur des joueurs qui ne se comportent pas impeccablement sur le plan professionnel, Vidal n'est pas irréprochable. Ceci dit, le coach le connaît bien." Sur la réunion entre Conte et la direction nerazzurra. "Si un pantalon a un trou, vous pouvez réparer le trou. Mais les points de suture qui recouvrent le trou, eux, restent. Ensuite, ce pantalon devient vintage et c’est fantastique. Mais les choses doivent bien se passer." "Pour l'instant, ils lui plaisent, ils ont recruté des joueurs expérimentés qui savent gagner. En tout cas, c'était important."
  19. Invité dans les studios de Sky Sport, Beppe Bergomi a évoqué les évolutions de l'équipe d'Antonio Conte : "Le milieu de terrain est le département qui a le plus souffert des absences. Conte est revenu à jouer à cinq après avoir tenté par tous les moyens d'intégrer un trequartista, avec Eriksen ou Borja Valero. Pour le bien de l'équipe, le milieu doit être déterminant. Concernant l'attaque, il fut un temps où j'aimais le duo Sanchez-Lautaro, et où l'Inter n'était pas conditionné à jouer sur Lukaku. Mais le belge est le joueur dominant et il doit forcément jouer. Antonio Conte les gère bien. L'équipe porte le poids de la responsabilité de remporter l'Europa League. La pression est là." Il poursuit sur la fameuse conférence de presse où le coach évoquait son manque de protection au sein du club : "Ce sont des dynamiques qui existent à l'Inter. Déjà quand je jouais je sentais que j'avais moins de protection que le Milan ou la Juventus. Conte veut changer cette mentalité." ®gladis32 - internazionale.fr
  20. C’est une information en provenance de Gianluca Di Marzio : Est-ce qu’Antonio Conte pourrait quitter l’Inter après une seule saison ? Pour le spécialiste mercato en Italie, la réponse est positive. Gianluca fait référence à une fracture quasiment impossible à colmater après une nouvelle sortie extrêmement dure de la part de Conte qui a ouvertement attaqué la Direction Nerazzurra et la Propriété: "Les frictions sont évidentes et la séparation consensuelle entre l’Inter et Conte devient le scénario le plus probable. Seule une intervention présidentielle pourrait assainir cette fracture, qui en ce moment apparaît difficile à colmater." "L’Inter ne veut toutefois pas renvoyer son entraîneur, elle attend donc un pas de retrait de Conte qui dispose encore d’un contrat de 2 ans à 12 millions d’euros net par saison. En cas de départ, le Club Nerazzurro miserait directement sur Max Allegri." "L’histoire entre l’Inter et Conte pourrait donc n’avoir duré qu’à peine 12 mois, composée de confrontations d’opinions qui jour après jour rapproche d’un départ." Beppe Bergomi réagi "C’est difficile pour l’instant de colmater cette fracture, mais j’ai identifié trois points : Son travail n’a pas été reconnu, mais par qui ? Le Club ou nous ? Il y a des critiques pour tous, il voulait une meilleure reconnaissance avec ses joueurs. En début d’année, il a attaqué le club par rapport au Mercato en citant Sensi et Barella." "Hier, il les a laissé de côté pour s’en prendre directement au club, je comprends ce manque de protection, j’ai aussi connu ce sentiment d'encerclement, j'ai vu des clubs bien plus protégés que l'Inter. Mais c’est Marotta qui s’exprime à chaque fois, peut-être voulait-il dire autre chose ? Il est le premier à dire que la deuxième place ne doit pas être célébrée." "Lorsqu’il dit que son travail n’est pas reconnu, il parle des médias car l’Inter est un club qui est facilement attaqué, il voulait être protégé par la Direction, mais sa sortie vise à débusquer certains dirigeants afin de pouvoir créer une mentalité différente : Soit il ne veut plus de ces cadres, soit il veut les faire grandir." Pourquoi agir avec l’Europa League ? "Pour sauver l’équipe et ceux qui l’entourent, il y a des joueurs qui trouvent moins d'espace comme Skriniar et Eriksen, mais ils sont tous derrière l’entraîneur. Il est convaincu qu'il a le soutien de de son équipe pour tenter de gagner l'Europa League. " Barcelone à la manœuvre ? Selon nos confrères de Fcinternews.it, des rumeurs insistantes circulent sur un intérêt du Fc Barcelone pour Antonio Conte, en cas de départ de l'Inter. Pour l’heure, il y n’a aucune confirmation. Pourrions-nous voir derrière ses attaques les sirènes d’un autre Top Club européen ou Conte souhaite-il réellement permettre à l’Inter de renouer avec la victoire, qui est son éternelle obsession ? Qu'en pensez-vous ? ®Antony Gilles - Internazionale.fr
  21. D'abord Javier Zanetti, puis Giacinto Facchetti. Désormais, dans la catégorie défenseur, Beppe Bergomi fait partie du Hall of Fame. Un autre homme qui porte fièrement le brassard depuis des années. Bergomi reste le plus jeune débutant de l'histoire de l'Inter. Né en 1963, il a fait ses débuts pour le Club le 30 janvier 1980, à l'âge de 16 ans et 39 jours, dans un match nul 0-0 contre la Juventus en Coppa Italia. À partir de ce jour, il n'a plus jamais quitté l'Inter. 756 apparitions pour l'Inter, 28 buts, un Scudetto, une Coppa Italia, une Super Coupe d'Italie et trois Coupes de l'UEFA. Capitaine, icône, défenseur extrêmement doué et champion du Monde avec l'Italie avant l'âge de 19 ans. "Je voudrais remercier les Nerazzurri du monde entier d'avoir voté pour moi. Rester dans le cœur des fans après tant d'années me rend vraiment fier. Je vous aime tous, Forza Inter pour toujours!"
  22. Notre légendaire défenseur et ancien capitaine, Giuseppe ‘Beppe’ Bergomi, a révélé qu'il avait eu le coronavirus et a avoué avoir sous-estimé la maladie : "J'ai fait un test sérologique et mon résultat s'est révélé positif pour les anticorps IgG et négatif pour les anticorps IgM. Début mars, j'étais malade. J'ai eu des problèmes avec mon odorat et mon dos, mais pas avec mes poumons" a-t-il dit dans sur Instagram avec le présentateur de télévision italien Giacomo Ciccio Valenti. "Maintenant, la chance voudrait que je possède les anticorps, mais ils m'ont expliqué que cela ne me protégerait pas à 100% parce que le virus mute. Si je dois de nouveau l'attraper, je devrais avoir une version plus légère. Je n'avais pas peur, mais j'avais toujours froid, je devais utiliser deux radiateurs. Je pensais que c'était une grippe, mais j'étais plutôt positif." Il a ensuite révélé qu'il était raillé par ses amis qui l'accusaient de trop y penser, et comment il a sous-estimé le virus : "Mes amis se sont moqués de moi et m'ont dit que j'y pensais trop, mais je n'étais pas bien, j'avais toujours mal, j'étais faible. Je ne pouvais pas m'asseoir à cause de la douleur dans le dos, j'étais toujours debout. J'étais un imbécile, je l'ai sous-estimé. Le 21 février, j'ai eu la dernière séance d'entraînement et l'un des jeune a eu une pneumonie, à partir de là nous ne jouions plus. Le 26 février, j'étais à Naples pour commenter le match contre le Barça, puis j'étais à Pérouse pour regarder le match contre Benevento. À mon avis, je l'ai sous-estimé et j'ai été trop en contact avec les gens." Ensuite, Bergomi a révélé qu'il s'était maintenant remis et qu'il allait beaucoup mieux : "Après un certain temps la douleur a disparu, mais tout a duré de 20-25 jours. Maintenant je vais bien, j'ai même recommencé à courir. Je n'ai fait que le test sérologique, j'ai essayé de faire l'écouvillon, mais ils m'ont dit qu'après 30 jours je devrais aller bien." ®alex_j - internazionale.fr
  23. Le légendaire défenseur de l'Inter Giuseppe Bergomi a discuté sur la chaîne Sky Sport Italia sur divers sujets. Il a commencé par évoquer le jeu et le manager dont il se souvient le plus tout au long de sa carrière, passée entièrement à l'Inter. "Je me souviens d'un match en particulier : la victoire contre Aston Villa en Coupe UEFA (C3 1990-1991, ndlr). Nous avons gagné 3-0 au match retour après avoir perdu 2-0 au match aller. Quant au manager dont je me souviens le plus, ils m'ont tous donné quelque chose mais si je dois en nommer qu'un, je dirais Giovanni Trapattoni." On lui a alors demandé combien de temps il lui avait fallu pour remarquer que Javier Zanetti, qui allait lui succéder comme capitaine à sa retraite, deviendrait un top-joueur. "J'ai été le premier à lui souhaiter la bienvenue, ainsi qu'à Sebastian Rambert. Je me souviens encore de notre première séance d'entraînement. Vous ne pouviez pas lui chiper le ballon. J'ai alors compris que quelqu'un dans l'équipe serait sur le banc à sa place. Il pouvait jouer en défense et au milieu de terrain et était un leader." Ensuite, on lui a demandé ce qui distingue l'Inter du reste des autres clubs. "Être un joueur de l'Inter signifie beaucoup. Chaque équipe a son propre ADN et ses propres valeurs. Celles de l'Inter sont complètement différentes. Porter le brassard impliquait d'être un exemple, transmettre des valeurs et un sentiment d'appartenance. Les fans savent ce que le joueur donne et ils veulent qu’il mouille le maillot. Les valeurs de l'Inter sont différentes et un peu particulières, l'ADN de l'Inter est unique." Bergomi a aussi discuté de l’une des recrues du mercato hivernal, Christian Eriksen, un joueur qui jusqu’ici a du mal à répondre aux attentes. "J'avais identifié certains de ses problèmes et Capello l'a dit aussi. Bien qu'il soit bon sur le ballon, il n'aime pas le contact physique. Lorsque vous jouez là où il joue, vous devez savoir comment intercepter le ballon. Il sait donner la balle et c'est un bon tireur, ce sont ses meilleures qualités." En conclusion, on lui a demandé si Il Fenomeno Ronaldo était le meilleur coéquipier avec lequel il ait jamais joué. "Non, je mettrais Lothar Matthaus devant lui. Il était un vainqueur absolu. Je n'ai jamais vu personne faire ce qu'a fait Ronie mais Lothar était le plus grand, les plus complet." ®alex_j - internazionale.fr
  24. Beppe Bergomi, "Zio" pour les intimes s’est livré à Sky Calcio Club après la défaite de l’Inter à l’Olimpico de Rome "La Lazio a de la qualité au milieu du terrain et elle peut jouer haut, même en étant en difficulté. L’Inter a été contrainte d’alterner Skriniar et Godin. L’Inter jouait trop bas en phase défensive et la Lazio l’a punie sur cela. Il y a eu des incompréhensions entre les défenseurs et le gardien, ce qui a conduit au penalty. Car même en première mi-temps, De Vrij avait anticipé la sortie de Padelli. Se peut-il que les joueurs de l’Inter ne se fie pas à Padelli ?" "La Lazio a tant de solutions, des solutions dont ne disposent pas les autres équipes. C’est quelque chose qui a joué lors de la seconde période face à l’Atalanta, qui est revenu de 3-0 à 3-3. Elle a remporté chaque match en fin de rencontre, elle trouve toujours des solutions au bout du bout. Elle ne joue qu’un match par semaine et peut se préparer sereinement.." "L’Inter et la Lazio sont dans le sillage de la Juve, l’Inter est intervenue économiquement en recrutant derrière tant de joueurs. En ce moment, la qualité du milieu est meilleure à la Lazio, avec des joueurs comme Milinkovic." Eriksen ? "Je me suis déjà exprimé et j’ai exposé mes critiques. C’est un joueur de qualité, mais pas un joueur qui peut s’exprimer dans ce 3-5-2 où il lui est difficile de s’adapter. Le Calcio est tactique et il est en difficulté. Ou il faut du changement ou alors ce sera compliqué." "Conte veut la victoire. Et dans ce type de match il n’avait pas dans l’idée de le faire jouer. Face à la Samp, il jouera. Selon moi, ceux qui ont le moins bien joué sont les sacrifiés du milieu : Caicedo et Lautaro." "Conte était très préoccupé par Milinkovic qui prenait souvent le meilleur sur Diego Godin." ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  25. Le Capitaine légendaire de l'Inter, Giuseppe Bergomi, s’est livré sur l’actualité récente de l’Inter, du terrain au mercato. Voici l’interview sans filtre du Zio à Sky Sport Les contres-performances du top 3 ? "C’était une journée difficile pour tous : La Roma n’a rien offert à la Lazio, en la faisant déjouer et en réaliser un très grand match. L’Inter m’a semblé fatiguée, mais elle s’était créé des occasions pour tuer le match, mais elle n’était pas brillante déjà en première période." Nainggolan peut-il être utile à l’Inter ? "Des choix ont été pris et il s’agit d’un choix au niveau disciplinaire et caractériel. Qu’il soit juste ou pas, ce choix a été fait. Les derniers résultats de l’Inter sont mentaux car, il y a encore quelques journées, il n’y avait pas ce type de problème. L'équipe est actuellement tombé dans un cycle de partage alors qu'elle est une grande équipe qui évolue à domicile." "Elle avait l’avantage face à Lecce, à Firenze et face à Cagliari, mais elle n’est pas parvenu à le conserver." Y-a-t’il trop de pression sur l’Inter ? Est-ce aussi suite aux méthodes de travail de Conte ? "Il veut maintenir la pression. Le Mercato lui offre 3-4 joueurs, mais il explique qu’il y a lieu de rester calme, qu’il n’y a pas lieu d’avoir l’étiquette d’Anti-Juve, même s’il sait pertinemment qu’il a déjà réduit de façon significative la distance. Son Inter doit toujours être au maximum, courrir au maximum et tenir cette cadence tout le match avec ce 3-5-2 est un exercice très difficile. Il doit donc se montrer habile dans le fait de ne pas encaisser de buts. C’est à cause de cela que l’équipe cale." Vecino ? "L’Inter évolue avec Borja Valero, Barella et Sensi, soit un milieu de terrain dynamique, mais sans force physique. Vecino aurait pû être un joueur important aussi pour couper les lignes. Ensuite, je ne sais pas ce qu’il s’est produit…" Le fait de caler ? "Je pense qu’il faut en finir avec ce mercato car c’est une distraction. L’Inter a travaillé sur ses ailes. Eriksen est un joueur différent de tous les autres et il pourra permettre à l’équipe de grandir." Est-ce que les nouveaux joueurs feront la différence ? "Je ne sais pas, le seul qui pourra faire la différence sera Eriksen. Je ne sais pas si ce sera ce grand joueur, mais j’ai très envie de le voir évoluer ici avec nous en Serie A. Je crois que lui, pourrait offrir quelque chose de plus, comparé aux dernières acquisitions." Validez-vous cette analyse du Beppe ? ®Antony Gilles - Internazionale.fr
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