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Billetterie : L’Inter fait sauter la banque !
Victor "Antony" Newman a posté un article dans F.C. Internazionale Milano
Si le premier EuroDerby à l'Ac Milan, a établi un record de billetterie pour le football italien, le match retour programmé à l'Inter fera l'objet d'une mise à jour immédiate : Record déjà battu. Le match aller chez les Rossoneri a enregistré une recette de 10 millions d'euros. Inter-Milan dépassera les 12 millions d'euros de recettes et actualisera le record établi il y a, à peine, quelques jours. En effet, les 75 532 spectateurs de Milan - Inter ont rapporté 10 461 705 euros au Diavolo. C'est actuellement le match qui a rapporté le plus d'argent dans l'Histoire de notre Calcio. Il a d'ailleurs surclassé les 9,1 millions d'euros de Milan-Tottenham, le match aller des huitièmes de finale remporté par les Rossoneri contre l'équipe d'Antonio Conte, il y a trois mois. Mais cette somme impressionnante disparaitra immédiatement face au Sold-Out à venir, déjà confirmé pour la demi-finale retour que les Nerazzurri joueront en tant qu'équipe hôte : L'assaut sur la billetterie en ligne a été extrêmement massif, l'accès aux différents canaux de vente s'est poursuivi sans relâche. Les Nerazzurri ont calculé que la demande générale de billets était d'environ 500 000 demandes ! Dans le détail, il aurait fallu sept Giuseppe Meazza côte à côte pour satisfaire tout le monde... Les prix plus élevés que leurs cousins ont fait le reste, et à la Viale della Liberazione tous s'attendent à ce que le palier des 12 millions d'euros de recettes soient largement atteints pour mettre à jour le nouveau record. De plus, face à cette demande qualifiée d' Historique", l'Inter a essayé, d'une part, de récompenser les plus fervent et anciens abonnés, mais d'autre part, elle a voulu se montrer dur face à certains supporter catégorisés de "malhonnêtes" de façon ferme et définitive. Ceux-ci s'étant montrés si nombreux, le club à dû intervenir avec une note officielle. Le club a en effet annoncé pour les contrevenants, s'ils sont détenteurs d'un abonnement, qu'ils feront l'objet d'une interdiction également de renouveler leurs places pour la saison 2023/24. ®Antony Gilles – Internazionale.fr via Gazzetta dello Sport- 12 commentaires
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Bonucci : "Perdre ce genre de match fait mal"
Lindt1908 a posté un article dans F.C. Internazionale Milano
Les propos du footballeur de la Juventus aux micros de Sport Medias après le match face à l'Inter en Coupe d'Italie: Après le coup de sifflet final au Meazza. Leonardo Bonucci, s'est exprimé au micro de Sport Mediaset après le match face à l'Inter: "Perdre ces matches et la possibilité de jouer une finale fait toujours mal. Dans ce match, nous avons commencé un peu avec le frein à main et avons encaissé un but évitable. À partir de là, nous avons eu du mal à créer des actions pour égaliser et blesser l'Inter: Malheureusement c'est comme ça que ça s'est passé, on doit tous passer à autre chose et donner plus dans tous les aspects, il fallait mieux faire avec le ballon ainsi que dans les phases de jeu. L'Inter a pratiqué une forte pression et on était obligé de jouer de long ballon, on aurait dû mieux interpréter les 20 premières minutes. Concernant votre remplacement? "Je ne le discute pas. Etant donné que je commençais à avoir des crampes, j'ai juste voulu dire qu'on pouvait attendre un peu et faire deux changements pour ne pas rater un créneau. Il manquait quelque chose surtout dans les 25 premières minutes, on n'a pas construit grand-chose aussi parce que l'équipe était fatiguée, mais il ne faut pas s'accrocher à ces alibis. Certains matches doivent être joués avec une attitude qui nous manquait ce soir." Fatigue physique ou mentale ? "Trouver des alibis n'est pas agréable ni même juste, les matchs doivent être joués pendant 95 minutes. Nous avons dépensé beaucoup d'énergie contre Naples et cela nous a privé de l'énergie physique et mentale et nous l'avons payée ce soir, nous sommes entraînés à jouer tous les trois jours. Maintenant il faut tourner la page et penser au championnat, il faut récupérer les points sur la Lazio pour finir au moins deuxième". Il y a encore un autre objectif, la Ligue Europa? "La demi-finale de la Ligue Europa est l'occasion de montrer autre chose dans cette saison compliquée". Bonucci est toujours à San Siro en train d'attendre le penalty ( de l'année passée )! Traduction Lindt1908 Via Fc Inter1908- 2 commentaires
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Empoli 0 - 3 Notes des joueurs de l'Inter Milan: 8/10 Romelu Lukaku!
Lindt1908 a posté un article dans F.C. Internazionale Milano
L'Inter Milan a gagné 3-0 à l'extérieur contre Empoli lors de la 31e journée de la saison de Serie A où Romelu Lukaku a réalisé un doublé en faisant profiter Lautaro Martinez pour la troisième réalisation, cela se reflète dans les notes des joueurs de l'Inter Milan. Les Nerazzurri n'ont pas bien commencé ce match. Pendant la majeure partie des 45è premières minutes, l'Inter avait l'air de jouer un match amical de pré-saison. Tellement que le rythme et l'intensité n'y était pas. En seconde période, l'Inter a bien mieux commencé et à la 48è minutes, Romelu Lukaku a ouvert le score en inscrivant son deuxième but dans le jeu en Serie A cette saison, le premier depuis la première journée contre Lecce. Empoli s'est ensuite réveillé dans le match sans vraiment se créer d'occasions avant que Big Rom ne marque son deuxième buts à la 76e minutes pour donner l'avantage à l'Inter. Il aura suffit seulement 12 minutes pour que Lukaku se transforme en passeur pour Lautaro Martinez qui marque le troisième but de l'Inter en permettant de rentrer à Milan avec les trois points. Étant donné que la Lazio a perdu hier contre le Torino et si l'Inter battait les Biancocelesti le week-end prochain à San Siro, Simone Inzaghi pourrait n'être qu'à quatre points des hommes de Maurizio Sarri dimanche prochain. Mais d'abord, il y a le match retour de la Demi-Finale de la Coppa Italia contre la Juventus mercredi soir au Giuseppe Meazza, avec un coup d'envoi prévu à 21h00. Samir Handanovic – 7: A effectué des arrêts importants en première mi-temps, et en particulier sur un face à face pour éviter Empoli d'ouvrir le score, il a terminé le match avec un Clean Sheet. Danilo D'Ambrosio - 6 : Pas grand chose à redire aujourd'hui. Il a bien joué tout en faisant le travail, il s'est montré en faisant des montées, on peut toujours compter sur lui. Stefan De Vrij – 6,5 : Un match de qualité tout en étant solide en défense, bloquant les attaques adverses. Il aurait pu marquer en seconde période, mais sa tête à heurté la barre transversale. Francesco Acerbi – 6: Solide performance du vétéran Italien, parfaitement intégré à son rôle. Raoul Bellanova -7 : Bien installé dans le match. Le seul joueur de l'Inter qui ose affronter ses adversaires en un contre un. Il Semblait vif tout en aillant beaucoup d'energie a revendre sur son côté droit. Roberto Gagliardini –6 : Des performances fiables aujourd'hui, mettant à profit son physique. Rien à redire, son travail a été bien fait et n'a commis aucune erreur majeure. Marcelo Brozovic – 5,5: A eu une première mi-temps extrêmement médiocre, il a semblé complètement hors de lui, à l'image de sa saison. Il a obtenu une passe décisive sur le premier but pour compenser. Hakan Calhanoglu – 6,5 : Des performances silencieuses tout en qualité. Il a manqué de créativité, une bonne nouvelle qui soit de retour sur le terrain. On retiendra quelques bons tirs cadrés de sa part avec une belle passe décisive. Robin Gosens – 5,5: A eu du mal à délivré des centres de qualité dans la surface ainsi que de longs ballon en général. Il à été généreux en défense et beaucoup moins visible en attaque. Joaquin Correa – 6,5: Il à utilisé ses talents en dribblant pour essayer de se montrer. Tout en essayant de se replier défensivement. Romelu Lukaku – 8 (MOTM) Impliqué dans les trois buts aujourd'hui, très bonne performance de sa part en espérant que cela soit un signe pour les matchs à venir. INTER Remplacements: Denzel Dumfries – 6 : Entrée en jeu à la 69è minutes à la place de Raoul Bellanova. Il a fait de bonnes montées, tout en commettant quelques fautes inutiles, ralentissant l'élan de l'équipe. Lautaro Martinez -6,5 : A remplacé Joaquin Correa à la 69′ minutes en marquant un joli but pour mettre le match dans la poche. Il avait besoin de ce genre d'action pour se mettre en confiance. Federico Dimarco - N/A : Entré à la 77è minutes pour Robin Gosens. Nicolo Barella - N/A : Remplacé par Marcelo Brozovic à la 77è minutes. Kristjan Asllani - N/A : Entré à la 86è minutes à la place Hakan Calhanoglu. Entraîneur: Simone Inzaghi – 7: A fortement fait tourné sa composition initiale, tout en faisant confiance à son équipe. Des remplacements parfaits pour tirer le meilleur parti de son équipe aujourd'hui. Arbitre: Livio Marinelli – 7: N'avait aucune décision majeure à prendre et s'est bien assuré de la cohérence pour chaque équipe tout au long du match. Rendement de l'équipe: Inter - 7: A joué lentement en première période, mais grâce à une belle performance de Romelu Lukaku, le travail a été effectué en seconde mi-temps. Enfin une première victoire en championnat bien méritée depuis début mars. Traduction Lindt1908 Via SempreInter- 7 commentaires
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Non au racisme, Gravina 'grâce' Lukaku!
Lindt1908 a posté un article dans F.C. Internazionale Milano
Le président de la FIGC Gabriele Gravina à gracié le joueur de l'Inter Romelu Lukaku "de manière exceptionnelle et extraordinaire" Le président de la FIGC Gabriele Gravina à gracié Romelu Lukaku "de manière exceptionnelle et extraordinaire". Lukaku avait été expulsé pour un deuxième carton jaune pour avoir réagi aux chants racistes d'une partie de la Curva de la Juve à la fin de la Demi-Finale aller de la Coupe d'Italie, puis avait été suspendu un match. "La lutte contre les formes de racisme, explique les mesures de la FIGC". Lukaku sera donc disponible pour le match retour entre l'Inter et la Juventus prévu ce mercredi. Gravina, "considère qu'il ressort sans équivoque du rapport du Parquet Fédéral que ledit joueur a fait l'objet, à plusieurs reprises, de manifestations graves, répétées et regrettables de haine et de discrimination raciale de nature injustifiée non formel a un comportement réglementaire". L'acte souligne: "La lutte contre toutes les formes de racisme constitue l'un des principes fondateurs du système sportif, dans sa dimension Internationale et Nationale". Dans le cas de Lukaku,"il y a de sérieuses raisons d'accorder une grâce exceptionnelle et extraordinaire" pour permettre au joueur d'être présent lors du match retour contre la Juventus, prévu mercredi 26 avril à 21h au Stade Giuseppe Meazza de Milan. Mieux vaut tard que jamais! Traduction Lindt1908 Via Fc Inter1908- 5 commentaires
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Interrogée par la Gazzetta dello Sport, Carla Ferreira, fille du grand Eusebio, explique pourquoi l'Inter-Benfica est un match familial. Interrogée par la Gazzetta dello Sport, Carla Ferreira, fille du grand Eusebio, explique pourquoi Inter-Benfica est un match familial. « C'est un match particulier, c'est l'histoire du football et une histoire de famille. Malheureusement, notre équipe est dans une situation difficile et imprévue, mais ils vont tout donner pour tenter d'éliminer les Nerazzurri et se qualifier. Malgré le nul 0-2 à la Luz, je ne considère certainement pas Benfica comme déjà éliminé ." Mais croyez-vous que la victoire européenne n'est pas encore arrivée après 61 ans à cause de… Bela Guttmann ? « La malédiction de Guttmann n'existe pas ! elle n'a jamais existé ! Ce n'est qu'une légende, une rumeur. Depuis 1962, Benfica n'a pas gagné en Europe simplement parce que le rival actuel, pour une raison ou une autre, nous est supérieur. Ou peut-être juste un peu de malchance. Mon père, soit dit en passant, avait une immense admiration pour Guttmann, qui a été son premier entraîneur à Benfica. Et l'entraîneur lui-même, lorsqu'il a vu papa lors de son premier entraînement tout juste arrivé du Mozambique, s'est immédiatement exclamé : 'C'est de l'or' ». Mais papa a dû aussi lui raconter la finale qu'ils ont perdue en 1965 contre le Grande Inter dans un terrible San Siro… "Oui, cette défaite a été une énorme déception : Il m'a lui-même souvent parlé du bourbier du Meazza, de la tristesse du gardien Costa Pereira qui était absent en raison d'une blessure, Germano à dû aller au but, parce que tout les remplacements avaient été opérés . Il a reconnu la grandeur de son rival, mais il a toujours pensé qu'à 11 contre 11, lui et ses coéquipiers auraient réussi". Mais est-il vrai que, précisément en cet été il y a près de 60 ans, le père Eusebio était déjà pratiquement un joueur Nerazzurri ? "Il l'a dit lui-même. Il était venu à Milan pour chercher une maison, l'accord avec le président Moratti était fait, mais ensuite la fermeture des frontières Italiennes a tout fait sauter. Papa dans sa carrière était également proche de la Juve et d'autres grandes équipes européennes. J'aurais aimé grandir dans un beau pays comme l'Italie, mais je dois admettre que j'étais très, très heureuse ici au Portugal. Bien sûr, maintenant, ce serait encore plus facile si cet Inter-Benfica se terminait différemment que par le passé. Traduction Lindt1908 Via Fc Inter1908
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Un match pour marquer l'histoire, mais aussi pour renflouer les caisses de la Viale Della Liberazione. Le quart de finale à domicile contre Benfica, prévu mercredi soir au Meazza, pourrait tout simplement rapporter à l'Inter une avalanche d'argent. Soyons précis. Ceux qui se qualifient pour les demi-finales récoltent 12,5 millions d'euros . Chaque victoire en Ligue des champions vaut 2,8 millions (alors que l'argent garanti est de 930 000€ pour chaque match nul). A ces sommes, il faut ajouter les gains ( contre Porto c'était d'environ 6,7 millions ). Mais ce n'est pas tout, car une fois arrivés aux demi-finales, il y aurait évidemment les prix déjà mentionnés pour une victoire ou un match nul, plus un match à San Siro a guichet fermé. Et à partir de là, ceux qui atteindront la Finale empocheront 15,5 millions d'euros (et 4,5millions d'€ supplémentaires pour l'équipe qui soulèvera le trophée). Sans aller trop loin, battre Benfica également au match retour pourrait rapporter environ 23-24 millions d'€ pour l'Inter, environ 30 en considérant la garantie d'un autre match au Meazza avec un gain important. Dai Ragazzi!! Traduction Lindt1908 Via Fc InterNews
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L'Inter Milan a perdu 0-1 contre Monza lors de la 30e journée de Serie A 2022/2023 au Stade Giuseppe Meazza, après une performance lamentable qui se reflète dans les notes des joueurs de SempreInter.com. Les Nerazzurri ont bien commencé le match mais ont à peine créé quelque chose de qualité à l'exception d'un tir de Joaquin Correa qui a été sauvé par le gardien de Monza Di Gregorio. En deuxième mi-temps, c'était encore pire que la première, avec un manque total d'intensité, d'énergie, pas d'idées, pas de cohésion jusqu'à ce que Caldirola marque le seul but du match. Notes des joueurs de l'Inter Milan contre Monza: André Onana - 5,5 : N'a rien pu faire sur le but venu d'une tête puissante. N'a rien eu a faire, car Monza n'a eu que 2 tirs cadrés dans tout le match. Matteo Darmian - 6 (MOTM) : Le « moins mauvais » de l'équipe aujourd'hui. A fait de bonnes interceptions et s'est bien projeté vers l'avant, créant des solutions. Stefan de Vrij - 5: Malheureusement, il est sorti en raison d'une blessure au début de la seconde période après avoir stoppé une éventuelle opportunité de but avec un tacle solide. Malchanceux. Alessandro Bastoni - 4 : S'est loupé plusieurs fois, et a complètement perdu son joueur au marquage sur le corner qui a amené le seul but du match. Mauvaise soirée pour le jeune défenseur. Denzel Dumfries - 4 : Première mi-temps vraiment médiocre et vraiment choquant qu'il ait joué tout le match. Il a perdu presque tous ses duels et avait l'air absolument perdu sur le terrain. Nicolo Barella – 5 : La performance d'aujourd'hui est bien en deçà de ses standards. Il a beaucoup lutté dans la moitié de terrain adverse et en terme de passes et de tirs, il a beaucoup loupé, un match aussi à oublié. Kristjan Asllani - 5 : A eu des moments où il a montré sa qualité, mais a compensé ces moments avec ceux où il a montré son inexpérience et son immaturité sur le terrain. Henrikh Mkhitaryan – 5 : Se faire dominer en jouant presque tout le match. Mérite un repos et montre clairement qu'il en a plus que besoin. Robin Gosens – 4,5 : N'a guère eu d'impact sur le match d'aujourd'hui. N'a pas gagné un seul duel, n'a pas réussi un seul bon centre. Une soirée aussi à oublier pour l'Allemand. Joaquin Correa - 4 : Il s'est trop compliqué les choses en première mi-temps. Aurait pu et aurait dû marquer 2 buts, mais perd tout son sang-froid dans la surface adverse. Romelu Lukaku - 4 : A perdu toute confiance pour se retourner et tirer dans la surface. A l'air timide et effrayé quand il a le ballon, il le donne à ses coéquipiers et perd tout intérêt par la suite. Remplaçants: Francesco Acerbi - 6 : A remplacé un Stefan de Vrij blessé à la 50è minute. Il est entré et à créé des occasions tout en assurant une couverture défensive. Marcelo Brozovic - 5,5: A remplacé Kristjan Asllani à la 71è minute et a montré comment il commande le milieu de terrain. Sa présence s'est immédiatement remarquée. Hakan Calhanoglu - 5,5 : Rentré à la 71′ pour remplacer Henrikh Mkhitaryan il avait l'air plus vif que tout autre milieu de terrain de l'Inter. Il a montré à quel point il manque à l'équipe. Lautaro Martinez - 4 : Entré à la 71′ minute a la place de Joaquin Correa a raté une grosse occasion qui aurait pu permettre de revenir au score. Une nouvelle performance stérilité choquante devant le but. Edin Dzeko - N/A : Entré à la 81è minute pour remplacer Matteo Darmian. N'a pas assez joué pour pouvoir être noté. Entraineur: Simone Inzaghi - 4 : Constamment déçu par ses joueurs. Quelque chose doit changer et vite. La formation de départ était correcte et aurait dû être suffisante pour gagner, il à échoué. Arbitre: Luca Pairetto - 6 : Des fautes douteuses tout au long du match, tels que les hors-jeu et autres fautes mineures. N'a pas eu de décision majeure à décider et a plus ou moins bien géré celle qu'il a eu. Rendement de l'équipe: Inter - 3: Pas de mots, encore une fois. Pathétique devant le but. Toute l'équipe semble peu confiante et n'a plus réussi à gagner pour le 5e match consécutif de Serie A. Incroyable. Êtes-vous d'accord ou pas d'accord avec les notes des joueurs de l'Inter Milan de Sempreinter.com ? Qui était votre Inter Milan Man of the match ? Et qui a été le pire joueur des Nerazzurri ce soir si vous deviez en choisir UN seul? Traduction Lindt1908 Via SempreInter
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Le duo de l'Inter Milan Hakan Calhanoglu et Milan Skriniar pourraient être aptes à jouer le match retour de la Ligue des champions contre Benfica au Stade Giuseppe Meazza le 19 avril, coup d'envoi prévu à 21h00. En ce qui concerne l'international Turc Hakan Calhanoglu, la Gazzetta dello Sport d'aujourd'hui, rapporte via FCInterNews , qu'il a commencé à s'entraîner sur le rectangle vert.. Cependant, Il n'y a aucune chance que l'ancien milieu de terrain de l'AC Milan soit titulaire dans le match aller du quart de finale de la Ligue des champions ce mardi 11 mai à 21h00 CET au stade de la Luz. Au lieu de cela, le fait que Calhanoglu ait recommencé à s'entraîner sur le terrain suscite un petit espoir qu'il puisse jouer dans une certaine mesure le match retour à San Siro le 19 avril. Le même discours s'appliquait au défenseur international slovaque Milan Skriniar, où le diffuseur italien Sky Sport Italia, selon FcInterNews , a fait le point sur son rétablissement il y a quelques instants. Selon ce rapport, Skriniar progresse, tout comme Calhanoglu, dans le processus de récupération de sa blessure et on espère qu'il pourra participer au match retour à San Siro dans 10 jours. Lautaro Martinez et Edin Dzeko sont favoris pour commencer: Cependant, comme indiqué, les deux joueurs manqueront le premier affrontement mardi soir en raison d'une blessure, mais Sky Sport Italia nous éclaire sur qui pourrait être titulaire pour les Nerazzurri contre Benfica. Actuellement, Lautaro Martinez et Edin Dzeko sont les favoris pour commencer le match du côté de l'Inter, Romelu Lukaku commençant très probablement la rencontre sur le banc, selon Sky Sport Italia. L'attaquant international belge Lukaku, actuellement prêté à l'Inter Milan par Chelsea, pourrait encore commencer le match car Simone Inzaghi n'a pas encore pris sa décision finale concernant l'attaque. Traduction Lindt1908 Via SempreInter
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L'Inter a perdu trois matches consécutifs en Serie A après avoir terminé une fois de plus après une défaite 0-1 contre la Fiorentina au Stadio Giuseppe Meazza dans le quartier de San Siro à Milan, ce qui a entraîné de faibles notes pour tout le monde dans les notes des joueurs de l'Inter Milan de SempreInter.com. Les Nerazzurri ont plutôt bien commencé le match, se créant pas mal d'occasions, mais que ce soit Henrikh Mkhitaryan, Romelu Lukaku ou Robin Gosens, ils n'ont tout simplement pas pu mettre le ballon au fond des filets. La Fiorentina a créé quelques occasions de grande qualité mais André Onana a réussi de superbes arrêts pour empêcher les hommes de Vincenzo Italiano. En seconde période, les Nerazzurri ont continué alors qu'ils s'étaient arrêtés, créant des occasions encore meilleures, mais après que Romelu Lukaku ait raté à environ un mètre du but avec tout le filet béant, il était clair qu'elle allait dedans. Et c'est exactement ce qui s'est passé lorsque quelques instants plus tard, l'ancien joueur de l'AC Milan Giacomo Bonaventura a marqué le seul but du match après une mauvaise défense. L'Inter s'est créé plus d'occasions, Nicolo Barella frappant le poteau et le tir de Raoul Bellanova étant arrêté par Terracciano à bout portant. L'Inter n'a tout simplement pas pu marquer et a donc perdu le match, enregistrant sa 10e défaite en Serie A cette saison. Notes des joueurs de l'Inter Milan contre la Fiorentina: André Onana – 5,5 : A bien distribué le ballon mais a eu quelques moments de flottement en relâchant le ballon sur les arrêts. Aurait pu faire mieux sur le but. Matteo Darmian - 6 (MOTM): Performance décente et fiable lors d'une mauvaise soirée pour l'équipe. A fait son travail et l'a bien fait, contribuant à la fois défensivement et offensivement. Francesco Acerbi – 5 : Pris plusieurs fois et a perdu trop de ses duels. Les attaquants de la Fiorentina n'ont pas pu concrétiser leurs occasions. Alessandro Bastoni – 4,5 : Après avoir apparemment demandé à 7M net de renouveler son contrat, il doit avoir la tête ailleurs pour ne pas être au marquage lors de l'action du but. Denzel Dumfries – 4: A créé quelques occasions en première mi-temps mais n'a pas réussi à capitaliser sur la quantité d'espace ouvert avec une ligne défensive élevée. Inoffensif une nouvelle fois. Nicolo Barella – 5: A eu une première mi-temps épouvantable et avait l'air de l'ombre de lui-même. A fait un peu mieux en seconde période et a frappé le poteau d'un beau tir. Marcelo Brozovic – 5,5 : Il ressemblait plus à lui-même par rapport à ce que nous avons vu récemment. A bien fait de conserver le ballon et de conserver la possession au milieu de terrain. Henrikh Mkhitaryan - 5 : A raté une occasion incroyable en début de match. La mauvaise prise de décision était un thème tout au long du match d'aujourd'hui et semblait lente. Robin Gosens – 5: A bien fait mais n'a pas réussi à marquer ou à avoir un impact sur le match. N'était pas génial offensivement mais a contribué plus défensivement. Joaquin Correa - 3 : Oubliez de lui donner plus d'occasions, il ne les mérite pas. il a couru partout aujourd'hui sans rien faire, comme un poulet sans tête. Romelu Lukaku – 3,5 : A eu beaucoup trop d'occasions gaspillées et a raté absolu , il a raté sa saison. Encore une nuit à oublier pour lui. Lautaro Martinez – 5: Entré à la place de Correa a la 63', n'a eu pratiquement aucun impact sur le match. Mauvais match encore une fois. Edin Dzeko N/A – : Entré à la 78′ minute à la place de Marcelo Brozovic. N'a pas assez joué pour pouvoir être noté. Kristjan Asllani – N/A : Entré à la 78′ minute pour Henrikh Mkhitaryan. N'a pas assez joué pour pouvoir être noté. Remplaçants : Stefan de Vrij – 5 : A remplacé Alessandro Bastoni à la 63′ minute et a fourni une solitude défensive lorsque l'Inter pressé haut. Raoul Bellanova – 5,5 : Entré à la 63′ pour Robin Gosens il à très bien fait. A fait de bons tacles et a affronté les joueurs adverses à plusieurs reprises. Entraineur: Simone Inzaghi – 4 : Composition douteuse et changements encore plus discutables. Même tactique chaque semaine, rien ne change. Fatiguant à regarder. Arbitre: Fabio Maresca – 6 : Pas beaucoup d'appels majeurs à faire, et a assez bien réussi pour tous les appels mineurs tout au long du match. Rien à redire. Rendement de l'équipe: Inter - 3 : Encore une performance minable. Chances gâchées, mauvaise défense, troisième défaite consécutive en Serie A et 10e défaite en Serie A cette saison. Affreux. Êtes-vous d'accord ou pas d'accord avec les notes des joueurs de l'Inter Milan de Sempreinter ? Qui était votre Inter Milan Man of the match ? Et qui a été le pire joueur des Nerazzurri ce jour-là ? Traduction Lindt1908 Via SempreInter
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Top des meilleurs joueurs de l'histoire de l'Inter
Damien a posté un article dans F.C. Internazionale Milano
Depuis sa création en 1908, l'Inter a remporté de nombreux titres, ce qui en fait l'un des clubs les plus titrés du football italien et européen. Le club a remporté 19 Scudetti, 8 Coupes d'Italie, 7 Supercoupes d'Italie, 3 Champions League, 3 Coupes de l'UEFA et 2 Coupes intercontinentales. Depuis 2020, l'Inter Milan est devenu aussi l'un des premiers clubs de football à émettre des fan token pour ses supporters. Inter fan tokens sont des jetons numériques qui permettent aux fans du club d'interagir avec l'équipe, de participer à des sondages et des votes, de gagner des récompenses exclusives avec des légendes, et même d'influencer certaines décisions du club. Ces nombreux titres ont été remportés grâce à de nombreux joueurs talentueux qui ont porté le maillot nerazzurro. Les joueurs mentionnés dans cet article ont tous contribué à l'histoire et au succès du club, en marquant des buts importants, en défendant avec acharnement ou en étant des leaders incontestables sur le terrain. Ils ont écrit leur nom dans l'histoire de l'Inter et ont marqué les esprits des supporters du club. Giuseppe Meazza, la légende absolue de l'Inter Giuseppe Meazza est considéré comme le plus grand joueur de l'histoire de l'Inter et l'une des plus grandes légendes du football italien. Né en 1910, Meazza a commencé sa carrière à l'Inter à l'âge de 17 ans en 1927, et y a joué pendant plus de 10 ans. Au cours de cette période, Meazza a remporté deux Scudetti en 1930 et 1938, et a inscrit un total de 284 buts en 408 matchs sous le maillot nerazzurro. Il a été le meilleur buteur de l'Inter pendant sept saisons consécutives, de 1930 à 1936, et a remporté deux Ballons d'Or en 1934 et 1935. Au-delà de ses performances exceptionnelles sur le terrain, Meazza était également apprécié pour sa personnalité hors du terrain. Il était connu pour son humilité, sa générosité et sa loyauté envers l'Inter. Sa contribution au succès de l'Inter est inestimable et il reste aujourd'hui l'une des plus grandes légendes du club et du football italien. Sandro Mazzola, la légende du football italien Sandro Mazzola est le fils de Valentino Mazzola, lui-même une légende du football italien. Sandro a passé toute sa carrière professionnelle à l'Inter, de 1960 à 1977, et a marqué l'histoire du club avec ses performances exceptionnelles. Mazzola a remporté quatre titres de champion d'Italie et deux Coupes des clubs champions européens avec l'Inter dans les années 60, ce qui en fait l'un des joueurs les plus titrés de l'histoire du club. Il a également remporté l'Euro 1968 avec l'équipe nationale italienne, où il a marqué deux buts en finale contre la Yougoslavie. Au cours de sa carrière, Mazzola a marqué 116 buts en 417 matchs avec l'Inter. Il était un joueur polyvalent et technique, capable de jouer à différents postes sur le terrain. Mazzola était également apprécié pour sa personnalité hors du terrain. Il était connu pour sa modestie, sa gentillesse et son dévouement envers l'Inter. Il est toujours considéré comme l'un des plus grands joueurs de l'histoire du club et reste une figure emblématique pour les supporters de l'Inter. Au-delà de sa carrière de joueur, Mazzola a également travaillé comme entraîneur et a été président de l'Inter Milan de 1996 à 2004. Sa contribution au succès de l'Inter reste inestimable et son nom restera à jamais gravé dans l'histoire du club. Javier Zanetti, l'Argentin qui a tout gagné Javier Zanetti est l'un des joueurs les plus emblématiques de l'histoire de l'Inter. Né en Argentine en 1973, Zanetti a rejoint l'Inter Milan en 1995 en provenance du Club Atlético Banfield. Il a rapidement été considéré comme l'un des meilleurs joueurs du club grâce à son talent, sa ténacité et sa loyauté. Zanetti a joué plus de 600 matchs avec l'Inter au cours de sa carrière de 19 ans au sein du club. Il a remporté cinq titres de champion d'Italie, quatre Coupes d'Italie, une Ligue des champions et une Coupe du monde avec l'Argentine en 1998. Il a également été nommé capitaine de l'Inter en 1999, un rôle qu'il a occupé pendant plus de 15 ans. En 2014, après 19 saisons passées à l'Inter, Zanetti a pris sa retraite de joueur et est devenu vice-président du club. Sa contribution au succès de l'Inter est inestimable et il reste aujourd'hui l'un des plus grands symboles du club. Zanetti est également respecté et admiré dans le monde entier pour son leadership, son humilité et sa longévité exceptionnelle dans le monde du football. Ronaldo, le Brésilien qui a marqué l'histoire Ronaldo Luís Nazário de Lima, plus connu sous le nom de Ronaldo, est l'un des joueurs les plus talentueux et charismatiques de l'histoire du football. En 1997, il a été transféré de Barcelone à l'Inter Milan pour un montant record de 28 millions de dollars. Son arrivée à l'Inter a suscité un grand enthousiasme chez les supporters du club, qui attendaient avec impatience de voir ce que ce joueur exceptionnel pouvait apporter. Au cours de sa première saison avec l'Inter, Ronaldo a remporté la Coupe de l'UEFA en marquant le but de la victoire en finale contre la Lazio. Il a également inscrit 25 buts en 32 matchs de Serie A, ce qui en fait le meilleur buteur du championnat cette saison-là. Malheureusement, les blessures ont souvent perturbé la carrière de Ronaldo à l'Inter. Il a subi une blessure au genou en novembre 1999 qui l'a éloigné des terrains pendant plusieurs mois, puis a subi une deuxième blessure en avril 2000, qui l'a empêché de jouer la finale de la Ligue des champions contre le Real Madrid. Malgré ces blessures, Ronaldo a laissé une forte impression à l'Inter Milan. Au total, il a marqué 49 buts en 68 matchs avec le club, et a été l'un des joueurs les plus électrisants et les plus redoutés de sa génération. Sa technique et sa vitesse sur le terrain ont laissé des souvenirs indélébiles aux supporters de l'Inter et aux fans de football du monde entier. Les autres légendes de l'Inter Armando Picchi a remporté deux Scudetti et deux Coupes des clubs champions européens avec l'Inter dans les années 60. Walter Zenga est considéré comme l'un des meilleurs gardiens de but de l'histoire de l'Inter. Lothar Matthäus a remporté le Scudetto en 1989 avec le club et a été élu meilleur joueur de la Coupe du monde 1990. Giacinto Facchetti a remporté quatre Scudetti et deux Coupes des clubs champions européens avec l'Inter dans les années 60. Iván Zamorano, quant à lui, a marqué 41 buts en 130 matchs avec l'Inter et a remporté la Coupe UEFA en 1998. Enfin, Dejan Stanković a remporté cinq Scudetti, quatre Coupes d'Italie et la Ligue des champions en 2010 avec l'Inter. Au fil des années, l'Inter a également accueilli de nombreux autres joueurs de talent qui ont contribué au succès du club, tels que Giuseppe Bergomi, Alessandro Altobelli, Nicola Berti, Esteban Cambiasso, Samuel Eto'o, Maicon ou encore Diego Milito. Tous ces joueurs ont permis à l'Inter de s'imposer comme l'un des clubs les plus titrés d'Italie et d'Europe, et ont contribué à sa renommée à travers le monde.- 9 commentaires
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Le défenseur latéral de l'Inter, Denzel Dumfries, a confirmé qu'il avait évité une blessure après avoir été ce samedi lors de la victoire 3-0 contre la Sampdoria en Serie A. Comme le rapporte nos confrère de FCInter1908.it, l'international néerlandais a répondu en ligne aux messages des supporters Nerazzurri pour les rassurer quant à son absence en raison sa blessure, et a révélé qu'il allait bien. Dumfries avait risqué de manquer complètement le match au Giuseppe Meazza lorsqu'il s'est blessé à la cheville pendant l'échauffement, mais il a été jugé suffisamment apte pour commencer et a tenu la majeure partie du match. Cependant, il a été contraint de sortir à la 79ème minute après avoir ressenti une gêne, et a été remplacé par Raoul Bellanova pour la fin du match. S’adressant aux supporters qui lui ont demandé sur Instagram s'il s'était blessé, Dumfries a répondu : "Je vais bien, pas de problème ! Merci beaucoup !" ®Oxyred – Internazionale.fr via SempreInter
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Une victoire confortable au Giuseppe Meazza grâce à des buts de de Vrij, Barella et Correa. Trois buts, trois points et de quoi applaudir. L'Inter a battu la Sampdoria 3-0 ce soir, enregistrant ainsi sa quatrième victoire consécutive en championnat, pour le plus grand plaisir des plus de 73.000 supporters présents au Giuseppe Meazza. De Vrij, Barella et Correa ont été les joueurs qui ont inscrit les buts, et ils ont tous bien fini leur travail. C'était une performance d'équipe fantastique contre une équipe de Samp qui n'a jamais été dans le jeu. La victoire d'aujourd'hui signifie que l'Inter compte désormais 24 points après douze journées, avant le déplacement de la semaine prochaine à la Juventus, avant lequel un voyage à Munich est prévu. Le retour de Dejan Stankovic a apporté un peu de nostalgie au Giuseppe Meazza, l'entraîneur des Blucerchiati saluant un public qui l'a vu combattre et gagner tant de fois sous les couleurs des Nerazzurri. Mais dès le coup d'envoi, il n'était question que de l'Inter contre la Sampdoria et de prendre trois points essentiels. Les Nerazzurri savaient qu'ils devraient être patients face à une équipe compacte qui ne voulait pas se découvrir. Les hommes d'Inzaghi cherchaient à travailler sur les flancs et à mettre en place les bons mouvements pour perturber l'équilibre de l'équipe adverse, qui se contentait de défendre. Les débuts n'étaient pas très spectaculaires, l'Inter cherchant à trouver un moyen d'ouvrir le score, mais ils y parvenaient à la 22ème minute. Calhanoglu jouait un corner pour de Vrij, qui se levait impérialement et envoyait une tête de balle qui trompait Audero. Le Néerlandais n'avait plus marqué de but en Serie A depuis 661 jours, et c'était aussi contre la Sampdoria, dont le plan de jeu n'a pas changé ce soir, même après avoir concédé un but. Une fois la pression retombée, l'Inter a continué à contrôler la possession du ballon à San Siro. Les hommes d'Inzaghi jouaient bien et avec beaucoup de conviction. Mkhitaryan, Dimarco et Bastoni menaçaient tous le but d'Audero, tandis que Dzeko tricotait le jeu avec quelques excellentes touches. Le deuxième but était l'œuvre d'une combinaison très bien travaillée, celle de Bastoni et Barella. Dans un remake de ce but stupéfiant de janvier 2021 contre la Juventus, les deux Italiens ont produit une œuvre d'art. En effet, Bastoni a envoyé une merveilleuse balle sur le dessus et Barella s'en est emparé, la contrôlant brillamment en plein vol et déclenchant une frappe spectaculaire qui s'est envolée dans le filet. C'était le troisième but de Nicolò dans trois matchs consécutifs de Serie A et son quatrième en cinq matchs toutes compétitions confondues. Magnifique! En seconde période, l'Inter a eu le luxe de pouvoir gérer le match avec un grand calme. L'équipe a continué à faire preuve d'un excellent caractère et d'une grande qualité technique, passant tout près d'un troisième but à plusieurs reprises. Lautaro a eu deux tentatives, mais Audero s'est interposé. Dzeko et Skriniar se procurent également des occasions, mais le score reste de 2-0. Jusqu'à ce que Correa entre en jeu et, comme la saison dernière, plante le dernier clou dans le cercueil des espoirs de la Sampdoria de revenir dans le match. L'Argentin, entré en jeu quatre minutes plus tôt, s'est élancé depuis le milieu de terrain, s'est heurté à la défense des Blucerchiati et a décoché une superbe frappe qui a fini dans la lucarne. Le match étant terminé, la Samp a fait de son mieux pour marquer un but de consolation dans les derniers instants, mais une solide défense de l'Inter et un excellent arrêt d'Onana l'en ont empêché. Une feuille propre et trois points importants! Résumé vidéo INTER 3-0 SAMPDORIA Buteurs : 21' De Vrij (I), 44' Barella (I), 73' Correa (I) Inter (3-5-2) : 24 Onana ; 37 Skriniar, 6 De Vrij, 95 Bastoni (15 Acerbi 68') ; 2 Dumfries (12 Bellanova 79'), 23 Barella, 20 Calhanoglu (14 Asllani 83'), 22 Mkhitaryan, 32 Dimarco ; 9 Dzeko (11 Correa 68'), 10 Lautaro (90 Lukaku 68'). Remplaçants : 1 Handanovic, 21 Cordaz, 5 Gagliardini, 8 Gosens, 33 D'Ambrosio, 36 Darmian. Entraîneur : Simone Inzaghi. Sampdoria (4-4-1-1) : 1 Audero ; 24 Bereszynski, 25 Ferrari, 15 Colley, 2 Amione ; 23 Gabbiadini (34 Montevago 78'), 4 Villar (5 Verre 53'), 28 Yepes (14 Vieira 46'), 37 Leris ; 7 Djuricic (8 Rincon 78') ; 10 Caputo (18 Pussetto 66'). Remplaçants : 22 Contini, 3 Augello, 11 Sabiri, 13 Conti, 21 Murillo, 29 Murru, 70 Trimboli. Entraîneur : Dejan Stankovic. Avertis : Yepes (S), Colley (S), Djuricic (S), Verre (S), Gabbiadini (S), Bastoni (I), Vieira (S). Arbitre : Massimi. Assistants : Galetto, Massara. Quatrième arbitre : Cosso. VAR : Nasca. Assistant VAR : Paganessi. ®Oxyred – Internazionale.fr
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Les discussions et querelles liées à Giuseppe Meazza ne datent pas d'hier, et il est évident depuis maintenant plusieurs années que le stade situé dans le quartier de San Siro nécessite une réelle remise à niveau ou une destruction, comme annoncée en 2019 par les clubs dans un communiqué joint, représentant un fait rarissime. La mairie ne le voyait pas d'un si bon oeil et jouait la carte du temps le même jour, quelques minutes après avoir obtenu l'organisation de l'un des plus grands événements planétaires. Giuseppe Meazza a vu passer les plus grands joueurs de football au monde ainsi que ceux comptant parmi les plus excentriques, à l'instar du trublion Mario Balotelli passé à l'Inter, mais également, à l'AC Milan. Un héritage des plus grands pour un stade bientôt centenaire et sans cesse discuté à l'heure actuelle du côté transalpin. Si le projet d'une construction commune semblait être la suite logique et validée par les deux clubs rivaux se partageant la même antre depuis plusieurs décennies, le récent rachat du rival rossoneri remet plusieurs choses en cause. Elles ne sont pas les seules et aujourd'hui, est-il possible d'imaginer les deux équipes de Serie A posséder chacune leur stade d'attache ? Une chose est désormais certaine : rien ne se passera avant 2026. Explications. En place jusqu'à 2026 Le 24 juin 2019, la ville de Milan et la station de sports d'hiver de Cortina d'Ampezzo obtenaient l'organisation des Jeux Olympiques d'hiver 2026, vingt ans après ceux organisés à Turin avec une grande réussite. Il devenait alors évident pour la mairie lombarde en place de profiter des infrastructures existantes afin de ne pas faire exploser la dette publique, comme annoncé et promis lors des différents audits auprès du CIO par le comité d'organisation. Pour ce dernier, l'idée était claire : se servir du stade Giuseppe Meazza, ou de San Siro si vous préférez l'appellation adverse, était évident. Les premiers travaux de démolition souhaités en 2021 avec une potentielle reconstruction d'un nouveau stade en lieu et place de celui actuel prenaient donc un sacré coup de massue - sans mauvais jeu de mots - et étaient mis en suspens. Milan et les Dolomites voisines vont accueillir les JO Acceptant leur sort, l'Inter et son rival s'en tenaient donc à cet après 2026. Avant que le rachat récent de l'AC Milan ne vienne bouleverser quelques plans. Nouvel investisseur pour l'AC Milan Récemment, le fonds d'investissement Redbird vient d'acquérir l'AC Milan pour plus d'un milliard d'euros. Le fondateur de cette société, Gerry Cardinale, souhaiterait, selon certaines rumeurs, associer cette reprise économique à la construction d'un nouveau stade, uniquement destiné à sa nouvelle équipe. Avec des investisseurs bien connus comme LeBron James ou le rappeur Drake, cette nouvelle opération financière pourrait bien venir chambouler les plans communs et la collaboration entre les deux équipes de la ville, redevenue plus cordiale ces dernières années. Quels sont les projets officiels à ce jour ? Le stade servira aux cérémonies d'ouverture et de clôture des prochains Jeux d'hiver, mais dans son projet général, l'organisation prenait en compte l'éventuel nouveau stade local, situé non loin de San Siro. Les deux clubs ainsi que la mairie - dans le projet initial mentionné ci-dessus - s'étaient mis d'accord avec Populous, l'une des entreprises phares en matière de constructions d'arènes et stades sportifs à travers la planète. Pour citer un exemple, le très réussi Groupama Stadium de l'OL, symbole de modernité et parfaitement bien pensé pour l'acheminement des supporters, est l'œuvre du groupe américain basé à Kansas City. Aujourd'hui, la santé financière des deux clubs n'est pas optimale et les collectivités italiennes refusent de participer financièrement, aux mêmes hauteurs que dans le passé pour de telles infrastructures. Plus qu'une inclusion au sein du Grand Milan avec un coût exorbitant, les deux clubs (si l'AC Milan s'en tient au projet initial) pourraient changer leur plan. Et à ce sujet, la commune voisine de Sesto San Giovanni, à une quinzaine de kilomètres au nord de la ville, pourrait être la grande gagnante de ces manœuvres.
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Pour son retour à Giuseppe Meazza, et dans le cadre de la 2ème journée de Série A, l'Inter recevait La Spezia de Luca Gotti, ancien de l'Udinese. Après une timide entrée en matière la semaine dernière, qui a été marquée par le but inespéré de Dumfries au bout de la nuit à Lecce, les joueurs de Simone Inzaghi ont remis l'église au centre du village en dominant La Spezia 3-0. Dès le coup d'envoi, les intentions étaient claires : attaquer et marquer rapidement ce premier but. Romelu Lukaku et Lautaro Martínez sont beaucoup recherchés, ainsi que les deux pistons, Denzel Dumfries à droite et Federico Dimarco à gauche. Cela conduit à un grand nombre de hors-jeu signalés dans les premières minutes. La première occasion de la partie arrive à la neuvième minutes de jeu, lorsqu'Hakan Çalhanoğlu botte un coup franc excentré sur la tête de Dumfries, qui vient butter sur Dragowski. Le Hollandais est très entreprenant sur son côté droit, proposant de bonnes solutions à ses partenaires. C'est ensuite au tour de Lautaro de tester la vigilance du portier Polonais. Suite à un bon contrôle orienté, l'Argentin frappe fort au premier poteau, sans succès. L'ancien du Racing se montre créatif dans le dernier tiers. Au milieu de terrain, la dynamo Nicoló Barella propose en permanence des solutions de passes, avec un volume de jeu débordant. Marcelo Brozović, quant à lui, nous fait du Brozović : il nettoie les ballons du milieu et les recycle à merveille, malgré quelques pertes de balles inhabituelles. Le troisième mousquetaire, Çalhanoğlu, est celui qui oriente le jeu des Nerazzurri, maniant la pelota à la perfection, en la faisant fuser d'un côté à l'autre du rectangle vert. La défense, elle, est plutôt tranquille tant La Spezia est invisible. Notons tous de même les quelques sautes de concentration de notre ami Stefan De Vrij, qui, de match en match, semble de moins en moins serein. Le rythme retombe un peu. Jusqu'à la trente-deuxième minute, et la tentative de Lautaro en pivot, suivie de celle de Dumfries, bien aidé par le bon travail de Lukaku : les deux échouent. Mais l'Inter est déterminée à faire la différence avant la mi-temps. Et la différence va effectivement venir quelques minutes plus tard. Barella trouve Lukaku derrière la défense des Spezzini, qui remise de la tête pour Lautaro Martínez, alors seul. Le natif de Bahía Blanca, dans la Province de Buenos Aires, ne se fait pas prier : il envoie une mine du gauche en une touche de balle dans le petit filet droit de Dragowski. La LuLa fait mouche et ça fait 1-0 pour l'Inter. Les Nerazzurri poussent pour faire le break avant la pause : Lukaku trouve la barre transversale après un superbe coup de tête suite à un centre d'Alessandro Bastoni, tandis que Lautaro, sur l'action suivante, est coupable d'un petit raté, alors qu'il était plutôt seul au cinq mètres cinquante. L'arbitre de la rencontre, Davide Ghersini, siffle la mi-temps sans accorder de temps additionnel. L'Inter est l'auteure d'une première période sérieuse, avec un bon nombre d'occasions à l'appel. Il faudra faire preuve de plus d'efficacité en seconde mi-temps. Et de fait, les coéquipiers de Milan Škriniar () ne vont pas mettre longtemps à tuer la rencontre. Après une tête non cadrée de De Vrij au retour des vestiaires, c'est Hakan Çalhanoğlu qui, après un exellent boulot de Lukaku balle au pied, vient placer son ballon à ras-de-terre au premier poteau : plat du pied sécurité, 2-0 pour l'Inter. Après avoir réalisé le break, l'Inter poursuit son match en maîtrisant le rythme. La Spezia patauge et ne parvient toujours pas à se créer d'occasions franches. Le temps passe, Edin Džeko et Robin Gosens entrent en jeu. À la quatre-vingt-deuxième minutes, Džeko, à la réception d'un bon ballon de Barella, réussit à glisser celui-ci à Joaquín Correa, fraîchement rentré sur la pelouse. L'ancien protégé de Simone Inzaghi à la Lazio reste lucide et place son ballon, avec beaucoup de lucidité, dans le petit filet gauche d'un Dragowski parti aux champignons. Un dernier changement avec Kristjan Asllani, qui se laisse aller à un petit élastico, et l'Inter dit au revoir à une Spezia décidément bien inexistante. Davide Ghersini siffle la fin d'une rencontre dominée, avec beaucoup de sérieux par l'Inter, à l'inverse du déplacement périlleux de la semaine dernière dans les Pouilles. Trois buts marqués, un clean-sheet et la connexion LuLa retrouvée, l'Inter a rendez-vous vendredi prochain, 20:45, à l'Olimpico pour y affronter la Lazio de Maurizio Sarri. Tableau Récapitulatif Résumé vidéo Inter 3 - 0 Spezia Buteur(s): 35' Lautaro (I), 52' Çalhanoğlu (I), 82' Correa (I) Inter (3-5-2): 1 Handanović; 37 Škriniar, 6 De Vrij, 95 Bastoni; 2 Dumfries, 23 Barella, 77 Brozović (85' 14 Asllani), 20 Çalhanoğlu (76' 5 Gagliardini), 32 Dimarco (68' 8 Gosens); 90 Lukaku (68' 9 Džeko), 10 Lautaro (76' 11 Correa) Banc: 11 Correa, 5 Gagliardini, 8 Gosens, 21 Cordaz, 24 Onana, 12 Bellanova, 33 D'Ambrosio, 36 Darmian, 9 Džeko, 42 Agoumé, 14 Asllani Entraîneur: Simone Inzaghi Spezia (3-5-2): 69 Dragowski; 29 Caldara (67' 15 Hristov, 14 Kiwior, 43 Nikolaou; 11 Gyasi (90' 2 Holm), 33 Agudelo (90' 28 Ellertsson), 6 Bourabia, 20 Bastoni (79' 24 Kovalenko), 13 Reca; 7 Sala (67' 44 Strelec), 18 Nzola Banc: 28 Ellertsson, 77 Bertola, 40 Zovko, 44 Strelec, 30 Maldini, 89 Sanca, 24 Kovalenko, 17 Podgoreanu, 2 Holm, 8 Ekdal, 23 Capradossi, 15 Hristov, 1 Zoet Entraîneur: Luca Gotti Arbitre: Davide Ghersini VAR: Marco Guida Averti(s): / Exclu(s): / ®Internazionale.fr ~ Aurios-Inter
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Quelques chiffres après la dernière victoire de la saison
Aurios-Inter a posté un article dans F.C. Internazionale Milano
L'Inter a clôturé sa saison avec une victoire 3-0 sur la Sampdoria, à Giuseppe Meazza. Ce fut le 52ème match de l'équipe cette saison (38 en Série A, 8 en Ligue des champions, 5 en Coupe d'Italie et un en Super Coupe d'Italie) durant lesquels les Nerazzurri ont remporté la Coupe d'Italie et la Super Coupe, sécurisé une seconde place en championnat et accroché les 8ème de finale de la C1. En Série A, l'Inter a récolté 84 points grâce à 25 victoires, 9 nuls et 4 défaites. Au total, les hommes d'Inzaghi ont la meilleure attaque du championnat, avec 84 buts inscrits, et 32 encaissés. Les Nerazzurri ont trouvé le chemin des filets lors de 35 des 38 rencontres de Série A, plus que quiconque. Il y a également eu 15 cleans sheets en cours de route. Le Troisième doublé de Correa Joaquín Correa a joué un rôle clé contre la Sampdoria avec un doublé lors du second acte. L'Argentin compte 6 buts en championnat au bout du compte, tous marqué grâce à des doublés, contre le Hellas Vérone et l'Udinese. Ses 2 buts sont venus avec seulement 1 minute et 59 secondes d'intervalle. Correa a marqué plus d'1 but lors des 5 derniers matchs de Série A au cours desquels il en a inscrit 1. Les passes décisives de Barella et de Çalhanoğlu Les deux milieux de terrain de l'Inter ont apporté leur contribution lors de ce dernier match de la saison. Nicolò Barella et Hakan Çalhanoğlu ont distribué une passe décisive chacun à Meazza, à Ivan Perišić pour l'Italien et à Joaquín Correa pour le Turc. Ils ont fini la saison avec 12 passes décisives chacun, ce qui est plus que n'importe quel autre joueur de l'Inter depuis qu'Opta analyse ces données (2004/05). Et alors que Çalhanoğlu a souvent distribué depuis le poteau de corner, les 12 passes décisives de Barella sont toutes venues du jeu. De tous les joueurs dans les 5 grands championnats européens, seul Christopher Nkunku égale l'Italien dans cette catégorie. Perišić marque encore Perišić a ouvert le score contre la Sampdoria pour terminer une magnifique saison. Le Croate a marqué 10 buts en 49 apparitions, dont 8 en championnat, aidant l'ailier à devenir le joueur avec le plus de buts en Série A pour l'Inter, actuellement présent dans l'effectif. ®Internazionale.fr ~ Aurios-Inter Via Inter.it -
Plus de 50 000 tifosi attendus à Meazza pour Inter - Hellas Vérone
Aurios-Inter a posté un article dans Serie A
Plus de 50 000 spectateurs sont attendus à Giuseppe Meazza pour le choc de l'Inter contre l'Hellas Vérone selon les médias italiens. Le choc entre l'Inter et le Hellas Vérone, samedi soir en Serie A, devrait réunir plus de 50 000 spectateurs. C'est ce qu'indique le média italien FCInterNews, qui rapporte qu'hier, plus de six mille billets ont été vendu pour le match, et que le montant total devrait largement dépasser les 50 000 supporters dans le stade. Les stades italiens sont enfin ouverts à pleine capacité depuis le début du mois, le gouvernement ayant levé toutes les restrictions de capacité. Les restrictions avaient été de 75% le mois dernier, après avoir été progressivement augmentées au cours de la saison, à l'exception des capacités dans tous les stades qui ont été temporairement limitées à 5 000 pendant le pic de cas de COVID, causé par la vague Omicron. Les Nerazzurri joueront leur premier match devant leur public sans restrictions de capacité depuis le début de la pandémie, lorsqu'ils accueillaient les Gialloblu, après avoir affronté la Juventus devant un Allianz Stadium plein à craquer dimanche dernier. ®Internazionale.fr ~ Kroutch Via SempreInter- 1 commentaire
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Tout ce dont vous devez savoir avant le match de dimanche soir. Milan - Les Nerazzurri feront face au Torino ce dimanche à 20:45, dans le cadre de la 29ème journée de Série A. Leur dernière rencontre était le 22 Décembre, un match qui a clôturé l'année 2021 de l'Inter par une victoire, grâce à un but décisif de Denzel Dumfries à la 30ème minute de jeu à Giuseppe Meazza. Rencontres précédentes Il y a eu 155 matchs entre les deux équipes. L'Inter mène au nombre de victoire, avec 70 matchs remportés. Le Torino compte quant à lui 36 victoires. Il y a également eu 49 matchs nuls. Seule la Juventus, avec 74, a plus de victoires contre le Toro en Série A. Plus récemment, l'Inter a remporté les 5 dernières confrontations, ainsi que 12 des 17 derniers matchs à l'extérieur, perdant seulement 2 fois et concédant le nul 3 fois. Formes L'Inter arrive à Turin avec une victoire 5-0 contre Salernitana à leur actif. Ils comptent 58 points après 27 journées. Sur leur route, les Nerazzurri ont glané 3 points lors de leurs 3 derniers déplacements, faisant matchs nuls contre l'Atalanta, le Napoli et le Genoa. L'équipe de Simone Inzaghi a concédé seulement 2 buts lors de leurs 8 derniers matchs à l'extérieur en Série A. En fait, depuis début Octobre, aucune équipe dans les 5 championnats majeurs a encaissé moins de buts (6) et obtenu plus de clean sheets (6) hors de leurs stade que l'Inter. Le Torino, pendant ce temps, reste sur un match nul et vierge contre Bologne. Les hommes d'Ivan Juric n'ont pas connu la victoire lors de leurs 6 derniers matchs, avec 3 nuls et 3 défaites. La dernière fois qu'is ont connu une si longue série sans victoire, c'était en Décembre 2020, sous Marco Giampaolo : 8 matchs sans victoire. Leurs résultats contre les meilleures équipes ne sont pas plus réjouissants, ayant perdu 1-0 chacun des trois matchs qu'ils ont joués contre une équipe du top 2 cette année. Note plus positive, le Toro a trouvé le chemin des filets lors de leurs 10 derniers matchs de Série A à domicile, marquant 20 buts au total, soit environ 2 par match. Ils n'ont pas dépassé ce chiffre en une saison depuis Décembre 2018. Statistiques générales Le Torino a la plus grande différence (+14) entre les points obtenus à domicile (24) et à l'extérieur (10) en Série A cette année. La rencontre oppose l'équipe avec le record de point obtenus après avoir été menée, contre l'équipe avec le pire score. L'Inter est allé chercher 17 points depuis une position perdante, alors que le Torino n'en a pris que 4. En revanche, en ce qui concerne la défense, seul Naples (8) a encaissé moins de buts que le Torino (10) avant le coup de sifflet de la mi-temps, tandis que l'Inter (9) a le meilleur bilan défensif de la Serie A en deuxième mi-temps. Focus sur les joueurs Lautaro Martínez a été directement impliqué dans cinq buts lors des cinq derniers matches contre le Torino en championnat, avec quatre buts pour lui et une passe décisive. Il n'y a que contre Cagliari qu'il a un meilleur bilan en première division Italienne, avec sept contributions. Si l'attaquant argentin venait à marquer, il deviendrait le cinquième joueur de l'Inter (depuis le début de la victoire à 3 points) à faire trembler les filets lors de trois matchs consécutifs à l'extérieur contre un même adversaire. Il a marqué en déplacement contre le Toro du 23 novembre 2019 au 14 mars 2021. Les seuls autres joueurs à avoir réalisé cette prouesse depuis sont Christian Vieri (contre Pérouse), Álvaro Recoba (contre Empoli et contre la Reggina), Ivan Perišić (contre la Fiorentina) et Mauro Icardi (contre Cagliari). Pour Edin Džeko, en revanche, la rencontre a été moins fructueuse. De toutes les équipes qu'il a affrontées au moins 10 fois, le Torino est l'un des trois adversaires, avec la Lazio et la Juventus, où il a été impliqué dans le moins de buts (4 au total, avec 3 buts et 1 passe décisive). Nicolò Barella a le plus grand nombre de passes décisives dans le jeu (9) dans les cinq grands championnats européens cette année. Florian Wirtz, Sergej Milinkovic-Savic et Paul Pogba sont juste derrière lui, avec 8. Il pourrait devenir le premier joueur de l'Inter à atteindre les 10 passes décisives en championnat avant la 30e journée depuis 2004/05. Dans le même idée, Hakan Çalhanoğlu est le joueur qui a délivré le plus grand nombre de passes décisives sur coups de pied arrêtés, soit 6 depuis le début de la saison. Si l'on compare avec les autres gardiens de but ayant au moins 25 apparitions en Série A cette saison, Samir Handanović a le meilleur pourcentage d'arrêts, de 77 %. Vanja Milinkovic-Savic est deuxième avec 62%, et Lorenzo Montipò, qui suit de près, avec 61%. Milan Škriniar fera sa 200e apparition en Série A depuis ses débuts en championnat le 24 avril 2016 contre la Sampdoria. En défense, seul Francesco Acerbi a disputé plus de matchs de première division (205). C'est lors de la rencontre à l'aller, en Décembre, que Denzel Dumfries a inscrit son dernier but en championnat. De tous les défenseurs des cinq grands championnats européens, c'est celui qui a touché le plus de ballon dans la surface de réparation adverse (92). Le Torino est la seule équipe contre laquelle Federico Dimarco a marqué plus d'un but en Série A, les deux ayant été inscrits en 2021 pour Vérone sous la direction d'Ivan Juric (le 6 janvier et le 9 mai). Alexis Sánchez a obtenu son plus grand nombre de passes décisives contre une équipe dans cette confrontation, avec 5 en 6 rencontres. Le Chilien a également marqué lors de la rencontre du 22 novembre 2020. C'est contre le Toro que Stefan De Vrij a inscrit son tout premier but avec l'Inter, en Août 2018. Danilo D'Ambrosio, quant à lui, affrontera son ancienne équipe, avec laquelle il a fait 42 apparitions et marqué 4 buts en championnat lors des saisons 2012/13 et 2013/14. Matteo Darmian est également passé de l'autre côté du terrain, puisqu'il a disputé 100 matchs de championnat pour le Toro entre 2012 et 2015, marquant 2 buts. DÉTAILS DISCIPLINAIRES Suspendu : Torino : N/A Inter : N/A À un avertissement d'une suspension : Torino : Aina, Buongiorno, Djidji, Pobega Inter : Lautaro Martínez, Vidal ®Internazionale.fr ~ Aurios-Inter Via Inter.it
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Le 10 décembre 1921, Peppino Prisco est né "le plus grand Interista qui ait jamais vécu" La question la plus évidente, mais aussi la plus intrigante, est peut-être la suivante: comment le plus grand fan de l'Inter de tous les temps est-il devenu un fan de l'Inter ? Seul Peppino Prisco aurait pu répondre efficacement et directement à cette question. Sa réponse aurait été une plaisanterie pleine d'esprit qui vous aurait laissé à moitié stupéfait et à moitié amusé. Il y a une histoire sur la façon dont cela s'est passé, mais nous devons remonter 100 ans en arrière, au Corso Buenos Aires 66, à Milan. C'est là, le 10 Décembre 1921, que Giuseppe, connu de tous sous le nom de Peppino, Prisco est né. Les Bussola venaient souvent rendre visite à ses parents et ils étaient comme un oncle et une tante pour lui. Un Dimanche, ils sont arrivés avec des gâteaux. "Qu'est-ce qu'on fête ?" C'était la saison 1929-1930 et l'Inter, Ambrosiana Inter à l'époque, venait de battre le Milan. "Nous devons célébrer la victoire de l'Inter dans le derby." C'est ainsi qu'a commencé l'histoire du plus grand Interista de tous les temps. Il y a tant d'autres anecdotes et émotions depuis cet après-midi avec ces gâteaux. Le jeune garçon a grandi en nourrissant sa passion Nerazzurra, alternant ses études au Berchet avec des matchs dans la Via Podgora (entre Porta Romana et Porta Vittoria), savourant chaque mot de La Gazzetta dello Sport et Il Calcio Illustrato. Les matchs de l'Inter à l'Arena, discussions d'après-match au Bar Vittorio Emanuele de la Via Orefici, ses premiers déplacements à l'extérieur. La graine de Nerazzurri plantée à Peppino n'a cessé de croître et les racines sont devenues encore plus fortes quand, en 1938, Peppino, 17 ans, est monté à bord d'un train pour les Pouilles pour regarder Bari vs Inter, un match remporté par le but d'Annibale Frossi, remettant à l'Inter le Scudetto. Et oui, l’Inter sera sa vie. Les couleurs sont “plus belles” mais surtout, les noirs et bleus gagnent plus que leurs cousins. Champions en 1930, 1938 et 1940 ils sont les patrons de la ville. Ils peuvent compter sur le meilleur buteur de leur histoire, Giuseppe Meazza, qui en plus ajoute une dimension glamour aux nerazzurri dont les milanistes ne peuvent se vanter. Prisco révèlera dans son autobiographie que son amour inconditionnel pour Meazza (qu’il qualifie comme ''un Seigneur parmi des animaux'') l’avait définitivement convaincu à supporter l’Inter. Et c’est un amour qu’il revendique fièrement jusqu’à la fin : quelques jours avant sa mort, il annonce à la télé italienne avoir remplacé la photo de ses parents sur sa table de chevet par celles de Meazza et Ronaldo, ses deux idoles incontestables. Un sens aigu de la justice coulait dans les veines de la famille. Son père était avocat et sa mère devait s'assurer qu'il suivait son travail scolaire. Il deviendrait lui-même avocat mais pas avant un voyage marquant en Russie en tant que membre des Alpini (sous-lieutenant, division Julia, bataillon l'Aquila), marchant péniblement sur des kilomètres dans le froid glacial et luttant pour sa survie. Il écrivit des lettres à ses parents et emporta avec lui un ballon en cuir dans la steppe. Des mois difficiles en effet, une guerre terrible et une retraite de 380 kilomètres. Quand tout semble fini, à Brest-Litovsk, la première chose qu'il cherche est un exemplaire de La Gazzetta dello Sport. Pour illustrer l'horreur, 1 600 soldats alpins et 53 officiers étaient partis, 159 soldats et 3 officiers sont revenus. Cela en dit long. Il a ensuite étudié le droit, et l'Inter, encore une fois. A Milan et en Italie. Jusqu'au jour où le vice-président de l'époque lui a demandé : "Pourquoi tu ne rejoins pas le club ?" Il rejoint le club en tant qu'avocat le 10 octobre 1949 et devient lui-même vice-président en 1963, sous la direction d'Angelo Moratti. Le président, fatigué de payer des amendes pour les diatribes d'après-match d'Helenio Herrera, a demandé à Prisco de mener des interviews à sa place. Il était toujours là au stade, pour chaque triomphe, ainsi que pour d'autres moments qui ont changé l'histoire du football. Comme l'appel lancé après le match contre le Borussia Moenchengladbach, le tristement célèbre "incident de la canette", lorsque son entêtement et son esprit magnifique ont permis de rejouer le match. Il a travaillé sous cinq présidents mais un seul patron: "Je n'ai jamais servi que l'Inter." Cela explique également pourquoi il était si tranchant et irrévérencieux avec les rivaux de l'Inter. Il était l'ultime ennemi juré de l'AC Milan. Légendaires en effet sont ses phrases sur les cousins milanistes, notamment lors de l’épopée de Sacchi et Capello. Aujourd'hui, San Siro chante "La Serie A est dans notre ADN", une référence à l'un des nombreux coups de Prisco aux Rossoneri. Dit avec un sourire aux lèvres et sans avoir besoin de mentionner l'autre équipe. "Les fans de l'Inter n'ont pas à s'inquiéter : après de nombreuses années dans ce club, je peux affirmer que la Serie B ne fait pas partie de notre code génétique." Sa dialectique n'était jamais ennuyeuse et a même amusé les supporters milanais, qui voyaient en lui un rival impossible à haïr. En effet, intelligemment, Peppino utilisait le seul moyen pour défendre son club des nombreux triomphes milanistes en Italie et en Europe: l’ironie. ''Si le Scudetto ne peut être conquis par l’Inter, je supporterais sans aucun doute l’autre équipe de Milan: la Scarioni, dans laquelle j’ai moi-même joué'' ou encore ''Je suis contre toute forme de racisme, mais je ne permettrais jamais que ma fille épouse un joueur du Milan''. En 1982, alors qu’il vient d’être opéré d’une tumeur, il répond à un journaliste qui lui demande comment se passe sa réhabilitation, ''Je vous avoue Monsieur, que regarder Milan-Cavese 1-2 à la télévision, avec nos chers cousins en Série B est quelque chose qui fait beaucoup de bien aux malades.'' Son autre victime préférée est bien sûr la Juventus, avec son arrogance, son stade toujours vide et ses victoires douteuses. Même s’il concède que la Juve, par rapport au Milan, est presque une équipe aimable, il n’épargne pas son humour aux bianconeri. En effet, pour Peppino, ''la Vieille Dame est comme une maladie qu’on a dès sa plus jeune enfance. Après des années, on s’y résigne''. Souvent, il arrive même à se moquer des couleurs bianconere et rossonere avec une seule intervention: ''Quand je serre la main à un milaniste, je me la lave. Quand je la serre à un juventino, je me compte les doigts''. Une ironie poignante, de temps à autres très dure, mais qui n’a jamais choqué. Au contraire, Prisco initiait des débats hilarants avec des comiques milanistes et juventins tels Teo Teocoli ou Giampiero Mughini. Selon Peppino, le football est bien plus qu’une simple question de vie ou de mort, mais il faut l’affronter avec ironie et sarcasme. Le seul moyen pour éviter de rabaisser l’adversaire est de l’attaquer, de le chambrer et d’éviter le politiquement correct. Et l’Avvocato a toujours été loyal à cette philosophie. La fierté intrinsèque ressentie par un véritable fan était la même à l'âge adulte que dans l'enfance. Sur son bureau, parmi les photos de ses parents, il a placé une photo de Ronaldo, le joueur qu'il adorait le plus, avec Meazza. De Meazza à Ronaldo. Le 10 Décembre 2001, Prisco a célébré son 80e anniversaire avec les supporters de l'Inter alors que la veille, Ronaldo marquait contre Brescia. Vieri et Ronaldo jouent ensemble. Il a reçu des centaines d'appels d'anniversaire, qui faisaient tous référence à l'Inter, alors en tête de la ligue. Deux jours plus tard, le 12 décembre, il est décédé subitement. Il a toujours plaisanté lors de ses interviews et a déclaré un jour : "La veille de ma mort, je vais devenir un fan de Milan - comme ça, il y en aura un de moins." En réalité, il a quitté ce monde comme l'un des nôtres. Et avec nous, il continue à vivre, au Meazza, alors comme aujourd'hui, chaque fois que la foule scande "Peppino Prisci, donne-nous un but". Traduction alex_j via le site officiel, Faute Tactique et connaissances personnelles.
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ligue de champions 8ème de finale aller: Inter - Liverpool
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Après la triste défaite contre le Milan samedi dernier, l'Inter devait se racheter. Mais un gros client se présentait face à elle: le Napoli de Luciano Spalletti, qui pouvait dépasser son adversaire du jour, et ainsi prendre la tête du championnat avec une victoire. Mais aucune équipe n'empochera la mise. L'Inter alignait son onze titulaire, à l'exception d'Alessandro Bastoni, blessé à la cheville (et suspendu). Il est remplacé par Federico Dimarco. Du côté du Napoli, il y avait le grand retour en défense du récent champion d'Afrique Kalidou Koulibaly. Le reste du onze était classique. Dès les premières minutes, quelque chose cloche du côté de l'Inter. Elle n'a pas sa maîtrise habituelle du terrain. Le duo Napolitain Lobotka-Ruiz donne du fil à retordre au milieu Nerazzurri. Ce malaise se traduit par un pénalty concédé par Stefan De Vrij pour une faute sur Victor Osimhen. Le Néerlandais accroche la cheville du Nigérian, en étant très en retard. Le capitaine du Napoli Lorenzo Insigne ne se fait pas prier, et envoie un missile dans les filets de Samir Handanović. Un à zéro pour Naples. L'Inter ne parvient pas à se montrer dangereuse offensivement, tandis que le plan de jeu tout en contre attaque de Spalletti est parfaitement exécuté. Piotr Zielinski trouve d'ailleurs le poteau sur une frappe lointaine. Début de match catastrophique des Nerazzurri, qui ne passent pas loin de la correctionnelle. L'Inter parvient tout de même à calmer les ardeurs Napolitaines, en mettant progressivement en place son jeu de possession. Mais les individualités font défaut à l'Inter. De Vrij est malmené par Osimhen, et Çalhanoğlu retrouve son niveau du début de saison. L'Inter perd la bataille du milieu. Elle ne maîtrise pas la partie. La possession est là, certes, mais les occasions ne suivent pas. Le seul joueur apportant un peu de danger est Denzel Dumfries. L'ailier montre une grande volonté d'aller de l'avant, mais c'est malheureusement l'un des seuls. Au delà de cela, l'inter n'est pas dangereuse. En revanche, le Napoli arrive à se monter sur chaque incursion dans le camp Nerazzurri. Il le fait par deux fois grâce à Osimhen, sans succès. L'on sent une défense de l'Inter fébrile. Petit point noir malgré tout côté Napoli : la sortie précoce de Matteo Politano, à la suite d'une blessure au mollet. Il est remplacé par Eljif Elmas. De l'autre côté du terrain, Edin Džeko et Lautaro Martínez ont énormément de mal à bouger le tandem Napolitain Rrahmani-Koulibaly, comme le montre la seule vraie situation de l'Inter en cette première période, à savoir cette tête anodine de Džeko, sur Ospina. Le Sénégalais tout juste champion d'Afrique se démarque dans cette défense et annihile chaque semblant d'occasion de l'Inter, à l'image de son tacle fabuleux sur Dumfries, qui partait seul. Le Napoli est plus globalement très solide. Le Néerlandais parvient à se créer une dernière occasion en débordant côté droit sur un service de Lautaro. Mais la frappe de l'ancien du PSV passe assez largement à côté des buts d'Ospina. M. Doveri siffle la fin d'une première période ratée de la part de l'Inter. Le Napoli maîtrise complètement son sujet. Mais dès le retour des vestiaires, un sursaut d'orgueil permet à l'Inter de revenir au score. Après un bon décalage de Džeko, Lautaro centre pour le Bosniaque, qui manque sa tête. Mais un mauvais dégagement de Di Lorenzo remet le ballon en jeu. Džeko suit bien et envoie une mine sous la barre d'Ospina, pratiquement dans la lucarne. Un but partout. Cette égalisation donne de la force aux joueurs d'Inzaghi. Le pressing est plus intense, les passes plus appuyées. Mais le mur Napolitain en béton armé ne concède quasiment rien, à la différence de celui de l'Inter, qui ressemble plus à un mur en papier mâché qu'à autre chose. Les Nerazzurri sont coupables d'erreurs techniques grossières. Barella remise mal un ballon de Brozović, Osimhen récupère, progresse puis frappe. Handanović répond présent et détourne la tentative de l'attaquant des Super-Eagles. À la suite de cette action, et après un centre de Perisić, Koulibaly sauve lui aussi son équipe. Dumfries arrivait dans le même temps lancé au second poteau. Dans son élan, il vient percuter Ospina. Alerte au genou pour le Colombien, qui s'en sort finalement indemne. Brozović est ensuite averti pour une faute sur Victor Osimhen. Le Croate manquera la prochaine journée contre Sassuolo. Nouvelle chaleur sur le but de l'Inter. Le ballon fuse dans la surface et arrive sur Osimhen mais il manque sa reprise. Par chance, le ballon fini sur Elmas. Le Macédonien frappe mais est repris par une exellente sortie de Samir Handanović. Une sortie qui rassure, malgré le fait qu'Elmas était hors-jeu. La fin de match arrive, et plus les minutes défilent, plus les deux équipes se recroquevillent. Le rythme et l'intensité diminuent. Et les changements de Spalletti y contribue fortement. Sortie de Zielinski pour Juan Jesus, le Napoli passe à cinq derrière et souhaite conserver ce nul. L'Inter tente timidement d'appuyer en cette fin de rencontre, mais pas suffisamment pour aller gagner les trois points. Les entrées de Sánchez et Vidal sont trop tardives pour espérer quelque chose. Daniele Doveri siffle la fin de la rencontre après cinq minutes de temps additionnel. L'Inter évite la défaite, ce qui était le plus important pour les Nerazzurri. Ils restent leader, devant son adversaire du jour (un point), et devant le Milan (deux points), en attendant son match contre la Sampdoria. Le Napoli loupe quant à lui une belle occasion de passer premier. Rendez-vous dimanche prochain face à Sassuolo pour reprendre notre marche vers la deuxième étoile. Mais avant cela, rencontre de prestige à jouer face aux Reds de Liverpool, en 8ème de finale aller de la Ligue des Champions, mercredi à 21:00, à Giuseppe Meazza. Tableau récapitulatif Résumé Vidéo Naples 1 - 1 Inter Buteur(s): 7' Insigne (sp)(N), 47' Džeko (I) Naples (4-2-3-1): 25 Ospina; 22 Di Lorenzo, 13 Rrahmani, 26 Koulibaly, 6 Rui; 8 Ruiz (74' 99 Anguissa), 68 Lobotka; 21 Politano (26' 7 Elmas), 20 Zielinski (84' 5 Jesus), 24 Insigne (84' 33 Ounas); 9 Osimhen (84' 14 Mertens) Banc: 37 Petagna, 4 Demme, 99 Anguissa, 7 Elmas, 12 Marfella, 33 Ounas, 2 Malcuit, 1 Meret, 31 Ghoulam, 5 Jesus, 59 Zanoli, 14 Mertens Entraîneur: Luciano Spaletti Inter (3-5-2): 1 Handanović; 37 Škriniar, 6 De Vrij, 32 Dimarco (90' 33 D'Ambrosio); 2 Dumfries, 23 Barella, 77 Brozović, 20 Çalhanoğlu (84' 22 Vidal), 14 Perisić; 9 Džeko, 10 Martínez (83' 7 Sánchez) Banc: 11 Kolarov, 5 Gagliardini, 21 Cordaz, 33 D'Ambrosio, 13 Ranocchia, 47 Carboni, 97 Radu, 36 Darmian, 7 Sánchez, 22 Vidal, 88 Caicedo Entraîneur: Simone Inzaghi Arbitre: Daniele Doveri VAR: Di Paolo Averti(s): 37' Insigne (N), 60' Brozović (I) Exclu(s): / Suspendu(s) pour le prochain match: Brozović (I) Internazionale.fr ~ © Aurios-Inter
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Ce samedi soir, à Giuseppe Meazza, deux des plus grandes entités du football européen, l'Inter et le Milan, s'affrontaient dans le cadre de la 24ème journée de Série A. L'enjeu était énorme pour les deux formations. Pour les hommes de Simone Inzaghi, il y avait la possibilité de s'échapper en tête de la Série A, en prenant 7 points d'avance sur son adversaire du jour. Les Rossoneri quant à eux avaient une formidable opportunité de récoller à 1 petit point de son rival Nerazzurri. Et c'est bien l'équipe de Stefano Pioli qui raffle la mise au cours d'un fantastique Derby della Madonnina. Retour sur un match qui laissera de gros regrets à l'Inter. L'Inter de Simone Inzaghi est fidèle à elle-même. Elle prend les commandes du jeu dès la première minute. De son côté, le Milan presse haut les Nerazzurri, avec notamment un "marquage à la culotte" de Franck Kessié sur Marcelo Brozović, le cerveau du milieu de terrain de l'Inter. Le début de match est plutôt haché, les contacts sont rugueux, autoritaires. Le jeu de l'Inter se passe en grande partie sur le côté du Néerlandais Denzel Dumfries, qui rencontrait un sacré client, en la personne de Theo Hernandez. Au milieu de terrain, la bataille tactico-physique fait rage : Marcelo Brozović, Nicolò Barella et Hakan Çalhanoğlu d'un côté, et Ismaël Bennacer, Sandro Tonali et Franck Kessié de l'autre. L'on sent de grandes qualités techniques des deux équipes. Cela se confirme quelques minutes plus tard. Çalhanoğlu décale Ivan Perisić dans l'intervalle, qui centre fort en première intention au second poteau. Tout là bas, Dumfries mange Theo Hernandez et envoie une tête placée dans le tier inférieur des cages de Mike Maignan. Le stade exulte, mais bien malheureusement, Perisić est signalé hors-jeu au départ de l'action. C'est la première grosse alerte pour le Milan. Dans la foulée, à la onzième minute, c'est Brozović qui tente sa chance de loin. Sa frappe est déviée par Pierre Kalulu puis miraculeusement stoppée par Maignan. Les vagues déferlent, notamment du côté droit, où Dumfries domine Theo Hernandez. Le piston Interiste réalise très certainement son meilleur match sous les couleurs Nerazzurri. Barella déclenche lui aussi, de l'extérieur du droit. Sa tentative passe à côté du poteau droit de Maignan. Sur l'action suivante, Dumfries parvient à se retrouver seul en face à face avec Maignan. Mais le portier français remporte encore une fois son duel. Encore après, Edin Džeko contraint Kalulu à mettre sa tête pour sauver la maison Milanaise, sur une remise de la tête de Lautaro Martínez. Les occasions défilent, mais le but lui ne vient pas. Le Milan est noyé par l'Inter. Au milieu de terrain, le trio Nerazzurri prend l'ascendant sur celui des Rossoneri. Brozović se joue de Kessié, tandis que Barella et Çalhanoğlu se baladent à ses côtés. Devant, le duo Džeko-Lautaro domine la charnière Romagnoli-Kalulu. Derrière, l'Inter musèle parfaitement les attaquants Milanais, en particulier leur côté gauche Rafael Leão-Theo Hernandez. L'Inter maîtrise son match et son adversaire. La première frayeur pour l'équipe d'Inzaghi vient d'une frappe lourde de Tonali. Samir Handanović s'employe pour détourner la tentative du milieu Italien. Dans la foulée, une frappe de Leão est déviée de justesse par Perisić, qui voit le ballon filer à quelques centimètres du but d'Handanović. Le couperet tombe à la trente-huitième minute. Çalhanoğlu botte un énième corner dans la boite, et Perisić, qui vient de sauver une balle décisive, reprend le ballon de volée. Sa reprise ras de terre ne laisse aucune chance à Mike Maignan, enfin battu. Le Turc égalise Sergej Milinković-Savić au nombre de passe décisive en haut du tableau des passeurs de la Série A. La domination Interiste est récompensée. Les Rossoneri s'agacent, Theo Hernandez commet une vilaine faute sur Barella. Il s'en sort très bien, sans avertissement. La mi-temps arrive, mais Brozović en décide autrement. Le Croate envoie sur orbite Çalhanoğlu, mais une superbe sortie de Maignan coupe l'action et prive les Nerazzurri d'une balle de break. Dernière chaleure pour les coéquipiers de Tonali, les deux équipes rentrent au vestiaires sur ce score de un à zéro pour l'Inter. Tactiquement, Simone Inzaghi mate son adversaire du jour en bloquant tout ce qui fait ses forces. L'on parlerai presque d'une leçon de football. Au retour des vestiaires, Alexis Saelemaekers, totalement inexistant, cède sa place à Junior Messias. Le match redémarre là où il s'était arrêté : un bon enchaînement de passe se termine dans les pieds de Çalhanoğlu, qui est repris in-extremis par un énorme retour de Bennacer. Le match se poursuit de la sorte, avec tout de même un peu moins de rythme. Mais tout va changer à la cinquante-huitième minute. Pioli sort Kessié et fait rentrer Brahim Díaz. Le petit Espagnol, de part son petit gabarit et son agilité, perturbe énormément la défense Nerazzurri. Partant de là, le Milan ressort progressivement la tête de l'eau. Tonali s'essaie sur coup-franc, sans succès, puis Leão, qui voit sa frappe terminée dans les travées de Meazza. Le deuxième tournant du match vient à la soixante-dixième minute. Simone Inzaghi décide de sortir Perisić et Lautaro, pour faire entrer Alexis Sánchez et Federico Dimarco. Le match contre le Napoli, la semaine prochaine, est déjà dans les têtes. Mais ces changements sont le début de la fin pour l'Inter. Olivier Giroud égalise à un quart d'heure du terme, sur une passe contrée de Díaz. Les Nerazzurri perdent le contrôle du match, notamment à cause de la sortie de Perisić, qui fût un des meilleurs sur la pelouse. Dimarco ne parvient pas à réaliser la moitié du quart de ce que faisait le Croate. Le match va virer au cauchemar trois minutes plus tard, quand Giroud malmène Stefan De Vrij puis place une frappe puissante dans la petit filet droit d'un Samir Handanović pas exempt de tout reproche. Le Milan prend les devants et mène deux buts à un. La désillusion est totale. Une Inter qui avait pourtant tant dominée les débats se retrouve menée à dix minutes du terme. Inzaghi abandonne presque le match en sortant Brozović, sous le coup d'une suspension. L'Inter sort de sa rencontre et se tend, à l'image de Milan Škriniar. Les quelques coups de pied arrêtés sont mal négociés par Dimarco, décidément pas dans un bon jour. Le match va s'achever sur une faute dangereuse de Theo Hernandez sur Dumfries, qui va écopé d'un carton rouge. Il sera suspendu pour la réception de la Sampdoria. L'arbitre Marco Guida siffle la fin d'un Derby qui nourrira de gros regrets du côté des Nerazzurri, qui voient leur voisin se rapprocher à un petit point d'eux. À noter que l'Inter a toujours un match en retard, qui sera à joué contre Bologne. Toujours est-il que les hommes de Simone Inzaghi doivent vite se remettre la tête à l'endroit, car la semaine prochaine, ils iront au stade Diego Armando Maradona pour y défier le Napoli, qui a lui aussi la possibilité de revenir à 1 point en cas de victoire face à Venise. Tableau récapitulatif Résumé Vidéo Inter 1-2 Milan Buteur(s): 38' Perisić (I), 75' 78' Giroud (M) Inter (3-5-2): 1 Handanović; 37 Škriniar, 6 De Vrij, 95 Bastoni (82' 36 Darmian); 2 Dumfries, 23 Barella, 77 Brozović (82' 8 Vecino), 20 Çalhanoğlu (73' 22 Vidal), 14 Perisić (70' 32 Dimarco); 10 Martínez (70' 7 Sánchez), 9 Džeko Banc: 7 Sánchez, 36 Darmian, 8 Vecino, 22 Vidal, 21 Cordaz, 33 D'Ambrosio, 11 Kolarov, 13 Ranocchia, 97 Radu, 32 Dimarco, 41 Curatolo, 5 Gagliardini Entraîneur: Simone Inzaghi Milan (4-2-3-1): 16 Maignan; 2 Calabria, 20 Kalulu, 13 Romagnoli, 19 Hernandez; 8 Tonali, 4 Bennacer (80' 33 Krunić); 56 Saelemaekers (45' 30 Messias), 79 Kessié (58' 10 Díaz), 17 Leão; 9 Giroud Banc: 10 Díaz, 41 Bakayoko, 25 Florenzi, 27 Maldini, 33 Krunić, 23 Tomori, 30 Messias, 22 Lazetić, 46 Gabbia, 7 Castillejo, 83 Mirante, 1 Tătăruşanu Entraîneur: Stefano Pioli Arbitre: Marco Guida VAR: Paolo Silvio Mazzoleni Averti(s): 21' Romagnoli (M), 60' Çalhanoğlu (I), 72' Díaz (M), 76' Bennacer (M), 84' Škriniar (I), 90+1' Krunić (M) Expulsé(s): 90+5' Hernandez (M) Internazionale.fr ~ © Aurios-Inter
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L’Inter visite le mémorial de la Shoah à la mémoire d'Arpad Weisz
alex_j a posté un article dans F.C. Internazionale Milano
Le défenseur des Nerazzurri Stefan de Vrij a rendu visite au Mémorial de la Shoah à Milan afin de coïncider avec la Journée internationale de commémoration de l'Holocauste. Comme le veut la tradition à l'occasion de la Journée internationale de commémoration de l'Holocauste, l'Inter s'est rendue au Mémorial de la Shoah à Milan pour honorer la mémoire d'Arpad Weisz et les victimes de l'Holocauste. Stefan de Vrij s'est rendu au Mémorial pour représenter les Nerazzurri et le défenseur a apporté un maillot de l'Inter en guise d'offrande. Au dos du maillot se trouvait le numéro 18, qui en hébreu a la même valeur numérique que le mot "Alive", ainsi que le nom d'Arpad Weisz en souvenir du grand footballeur et entraîneur d'origine hongroise qui a remporté le Scudetto en tant qu'entraîneur de l'Inter lors de la saison 1929-1930. Il s'agit de garder la mémoire vivante et de ne jamais oublier. En effet, l'histoire d'Arpad Weisz est une partie importante de l'histoire des Nerazzurri et du Calcio en général. C'est lui qui a lancé la carrière d'un jeune nommé Giuseppe Meazza en Serie A. Sa vie est l'histoire de quelqu'un qui n'a pas pu échapper complètement au terrible racisme de l'époque. Weitz est né en Hongrie d'ascendance juive et tout au long de sa vie il a fait face aux difficultés causées par les idéologies dominantes de l'époque. Suite à la promulgation des lois raciales en Italie en 1938, il a tenté de fuir le pays avec sa famille le plus loin possible. Pourtant, aucun d'entre eux n'a eu cette chance, car ils ont été déportés à Auschwitz et ne devaient plus jamais en repartir. C'est à travers sa mémoire que l'Inter entretient chaque année la mémoire des victimes des camps de concentration et d'extermination nazis, pour que l'histoire nous apprenne à ne pas répéter les erreurs du passé et à ne jamais oublier. Le site footballski.fr, via Tristan Trasca, dresse un portrait émouvant d’Arpad Weisz. Voici les extraits se focalisant sur son passage à l’Inter et ses dernières années. A l’été 1924, Arpad Weisz découvre la Botte. Alessandria n’est cependant qu’une étape vers un club qui semble avoir été fondé pour des hommes comme le Hongrois : l’Internazionale Milan. Une institution italienne dont les pères fondateurs avaient écrit en 1908 à la création : "Le club s’appellera Internazionale car nous sommes des frères du monde." La carrière de joueur de Weisz à l’Inter est relativement courte. Après quelques rencontres, le Hongrois se blesse sérieusement et doit mettre un terme à sa vie de joueur. Il en fait vite le deuil, semblant convaincu qu’une autre voie s’ouvre à lui. L’ex-international magyar entreprend donc un voyage de quelques mois sur un continent où le football semble mieux compris, mieux estimé, mieux aimé : l’Amérique du Sud. Les détails de cette escapade sont peu clairs mais il semblerait que Weisz ait passé du temps en Uruguay afin de laisser essaimer ses idées sur le jeu et pour s’imprégner de nouveaux concepts. Après cette parenthèse outre-Atlantique, Árpád Weisz en est maintenant certain : il sait qu’il deviendra entraîneur. Et c’est bien entendu l’Italie qui lui offre la possibilité d’assouvir cette aspiration naissante. Il passe tout d’abord quelques temps à Alessandria en tant qu’adjoint, puis retourne à l’Inter. Les dirigeants du club milanais font confiance à cet homme qu’ils ont connu sur les terrains. Les talents d’entraîneur et de tacticien de Weisz convainquent très rapidement. Il éblouit l’Italie avec son WM que seul l’Anglais Herbert Chapman utilise à l’époque sur le Vieux Continent. Lors de la saison 1929-1930, la première à se disputer sous la forme d’une poule unique en Italie, Weisz mène l’Inter au titre de champion d’Italie. Le Hongrois n’a alors que 34 ans, il est à l’époque le plus jeune technicien à remporter cette compétition (un record qui tient toujours aujourd’hui – si vous pouvez confirmer –, ndlr). Au-delà de ce trophée, Weisz offre surtout à l’Inter l’éclosion du meilleur joueur de l’histoire du club. Giuseppe Meazza n’a que 17 ans quand le Hongrois décide de le propulser en équipe première. Les observateurs sont sceptiques, mais Weisz voit en Meazza un talent unique. Le Hongrois aide le jeune Italien à développer son rapport au ballon en multipliant les heures devant un mur dans des exercices très simples mais diablement efficaces. Très vite, Weisz obtient un surnom révélateur au sein du football italien : "Le Mage". Le Hongrois semble être né pour révolutionner le football italien. Il a un œil sur tout, il recrute (il trouve notamment Fulvio Bernardini à la Lazio), participe aux entraînements avec ses joueurs, surveille leur diététique et initie ce qui est aujourd’hui un incontournable en Italie : la mise au vert. Ses préceptes et idées se retrouvent dans un livre qu’il écrit en 1930. Il Giuoco Del Calcio devient rapidement la Bible de tout entraîneur de l’époque. Mais l’histoire d’amour entre Weisz et l’Inter tourne au vinaigre après quelques querelles entre l’entraîneur et les dirigeants. Le Hongrois connaît alors quelques piges au sein d’équipes sans envergure (Bari et Novara) avant de trouver sa deuxième maison au sein du football italien : Bologne. Cet homme intelligent et passionné n’a cependant que peu de temps pour profiter de ses succès et de son statut. En juillet 1938, le Manifeste de la race est publié par le régime de Benito Mussolini. Quelques mois plus tard, les lois raciales sont mises en application. A l’époque, Mussolini déclare : "Maintenant, l’antisémitisme est inoculé dans le sang des Italiens. Il continuera de lui-même à circuler et à se développer." Compte tenu de son aura, Weisz espère bénéficier d’une certaine immunité lui permettant de continuer à vivre et travailler en Italie. Mais il est juif avant d’être un entraîneur reconnu, le plus grand en Italie à l’époque. Le club de Bologne se plie donc aux nouvelles lois et le licencie. Le Hongrois doit à nouveau s’exiler avec sa famille. La presse italienne ne salue même pas ce départ. Pour Árpád Weisz, c’est la fin de quatorze années en Italie, un pays qui lui aura laissé la possibilité d’exprimer son génie avant de le réduire à si peu. Le Hongrois part avec femme et enfants aux Pays-Bas, après un transit de quelques mois en France. Il s’occupe de l’équipe de Dordrecht, bien loin du niveau auquel il avait été habitué dans le Calcio. Malgré tout, Weisz, en homme passionné, offre le même niveau de professionnalisme à ces joueurs néerlandais moins doués. Malheureusement, à Dordrecht comme à Bologne, l’histoire se termine de la même manière. L’Allemagne nazie occupe les Pays-Bas dès 1940 et la famille Weisz vit dans une peur constante. Deux ans plus tard, Árpád Weisz, sa femme et ses enfants sont finalement déportés à Auschwitz. A leur arrivée dans ce camp, l’entraîneur de football, compte tenu de sa bonne condition physique, est le seul membre de la famille à ne pas être gazé immédiatement. Le Hongrois travaille et survit deux ans à Auschwitz avant d’être fusillé en janvier 1944. Si la grande Histoire a conduit Árpád Weisz vers une fin prématurée, celle du football lui offre à jamais une place dans son panthéon. A chaque rencontre entre l’Inter et Bologne, les deux clubs célèbrent la mémoire de cet homme qui a marqué une époque. Au printemps 2020, l’ensemble du football italien a tenu à se joindre à cet hommage en faisant entrer le Hongrois au Hall of Fame du Calcio. Une marque de respect méritée pour celui que Moratti a décrit comme "un innovateur, un vainqueur avec l’Inter et Bologne. Un homme qui fait partie de l’histoire de l’Inter et pour lequel nous gardons un souvenir particulièrement affectueux." Traduction alex_j via le site officiel, footballski.fr et connaissances personnelles.- 14 commentaires
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Le milieu de terrain Lucien Agoumé, actuellement prêté par l'Inter au Stade Brestois, espère qu'il pourra, à l'avenir, jouer dans l'équipe première des Nerazzurri. S'adressant au média Amlux, via FCInterNews, le joueur de 19 ans a souligné que son objectif est de faire ses preuves en prêt pour gagner une place à l'Inter. Agoumé a trouvé plus qu'un rôle proéminent grâce à son prêt à Brest cette saison en Ligue 1, plus que ce qu'il avait eu lors de la saison dernière à la Spezia. Le français a decidé de rejoindre le club Breton dans le but d'emmagasiner du temps de jeu et de progresser, et c'est exactement ce qui se passe pour lui cette saison. Pour Agoumé, le but final est de revenir à l'Inter, et il espère que son travail acharné et continu lors de son prêt va taper dans l'oeil des Nerazzurri. Il souhaite être apte à jouer à Giussepe Meazza dans le futur. "Revenir jouer à l'Inter est mon objectif principal," a-t-il déclaré. "J'ai signé à l'Inter en ayant conscience de la grandeur de ce club. Ils ont remporté le Scudetto la saison passée. J'aimerais trouver ma place là bas, Forza Inter !" ®Internazionale.fr ~ Aurios-Inter Via SempreInter
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