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  1. En marge de l’évènement "Sport e Musica nell'era della performance. Basta ancora il solo talento?" qui s’est tenu au Triennale di Milano, le Taulier des Directeur Sportif en Italie s’est livré, hier soir, sur le mercato Nerazzurro C’était une fameuse journée pour l’Inter…. "Les prolongations de Çalhanoğlu et Bastoni étaient deux situations bien préparées depuis longtemps: L’officialisation est finalement arrivée et j’en suis heureux car nous comptons construire le présent et le futur de l’Inter autour d’eux. C’était vraiment quelque chose de voulu, ensemble, d’allonger la durée des contrats en mérite aux prestations des dernières saisons. C’est une reconnaissance pour le travail qu’ils ont réalisé à l’Inter ces dernières années." Était-ce difficile pour Frattesi car on parlait aussi d’un Grand Derby ? "Comme pour toutes les négociations et code promo premier bet, il y a toujours des difficultés et lorsqu’il s’agit de Sassuolo, les difficultés augmentent. Lorsque tu as un club qui prend un joueur, les autres disent qu’ils n’étaient pas intéressés, mais en réalité, il était suivi depuis tant de temps. Ce n’était pas une thématique d’une ou deux équipes, c’est un joueur très fort qui a énormément grandi, un joueur de la Nazionale, et il a attiré l’attention d’énormément d’équipes italiennes." "Nous y avons travaillé et nous avons forcément su nous montrer convaincant car ce garçon nous a donné un coup de main en voyant, en l’Inter, le projet le plus convaincant : Et nous sommes très heureux d’avoir pu porter à terme cette opération." Il reste un autre poste vacant au milieu : Est-ce pour Samardžić ou pour d’autres profils ? "Plus que d’un poste libre, je parlerai plutôt de situation qui peuvent prendre en considération plus qu’un nom : Il y a tant de garçons dont il est important de régler la situation en sortie, et une fois cette situation de réglée, nous pourrons mieux comprendre comment compléter ce secteur qui reste compétitif malgré le fait que Brozovic soit parti." Deux sont partis : Brozovic et Gagliardini, deux arriveront ? "Nous débuterons la saison avec six milieux : En accord avec Simone et Marotta, nous chercherons à composer le meilleur noyau possible pour faire face à toutes les compétitions : Il devra s’agir de joueurs importants. Je cherche à doubler les postes avec 20 joueurs de terrains et trois gardien, nous nous préparons à cela pour le début de la saison." Aimeriez-vous ravoir Lukaku rapidement comme Inzaghi ? Est-ce qu’une semaine de négociation va débuter avec Chelsea ? "Je ne parle pas de temps mais d’idée est Lukaku est une idée importante partagée par tous dans l’Aile Sportive, mais c’est un joueur de Chelsea : Les dialogues avec le club anglais ne se sont jamais interrompu et j’ai bien conscience que le joueur ne sera plus donné en prêt pour une seconde année : Nous évaluons donc la façon dont il nous sera possible de le recruter à titre définitif : Lukaku sait parfaitement bien que nous tenons à le faire revenir à l’Inter et que nous cherchons à trouver une solution." Le Mercato laisse suggérer d’autres ventes, comme Onana ? "C’est le gardien de l’Inter, et nous tenons à aller de l’avant avec des joueurs forts, Onana est un point de force de l’équipe : S’il arrive des offres nous les écouterons. Au jour d’aujourd’hui aucune n’est arrivée ou du moins aucune ne répond à nos attentes : Le discours Onana se termine ici : C’est le gardien de l’Inter. Nous n’attendrons pas jusqu’à la fin du Mercato, mais d’ici à une vingtaine de jour. Et c’est valable pour tout le monde, si nous recevons des offres importantes, nous les évaluerons toutes. Il n’y a pas de date butoir, mais nous ne voulons pas nous priver de quelqu’un." Avez-vous été lassé par les dernières sorties sur les réseaux sociaux de Brozovic avant sa cession ? "Les déclarations sur les réseaux sociaux ne m’intéressent que très peu, ce qui m’intéresse c’est ce qu’a fait Brozo au cours de ses huit années à l’Inter : Elles ont toutes étaient importantes même ce n’est pas non plus comme si toutes étaient excellentes : Ce sont surtout ces dernières saisons qui ont été importantes. Je le remercie pour cela, à présent Brozovic est le passé et Frattesi représente le présent et le futur, comme tous les autres joueurs qui sont restés." Aurez-vous un budget de plus-values solide via la vente des jeunes joueurs ? "Nous avons besoin de travailler dans le respect des paramètres qui nous ont été donnés : L’Inter, comme tous les clubs de l’UEFA, travaille dans le respect de cette règle : Tu dépenses ce que tu gagnes. Si tu parviens à gagner plus alors tu peux dépenser plus, mais il est possible de se montrer très imaginatif : Chaque année nous parvenons à être compétitif et nous avons remportés et disputés deux finales : Nous voulons continuer à être compétitif aussi pour les prochaines années : La qualité d’une équipe ne s’établi pas uniquement sur la somme qu’elle dépense, mais bien plus sur la base d’autres facteurs." Où en est la situation avec Handanovic ? "Son contrat a pris fin, mais nous procéderons à des évaluations à la lumière de ce qu’il se passera dans les prochains jours." Trubin ? "C’est un joueur de talent comme tous les autres joueurs, l’Inter a le devoir de l’observer, et de le surveiller : Il fait partie de ce type-là." Est-ce qu’il s’agira d’un mercato toujours actif dans les prochaines semaines ou est-ce que toutes les opérations seront réalisées en fin de mercato ? "Je vous promets que nous ne ferons rien jusqu'à la fin du mois d'août, à condition que ce soit la dernière discussion et que nous en reparlions en septembre" (il rit) Kovacic ? "Je l'apprécie. D'abord parce que c'est un gars formidable. Ensuite, il y a la satisfaction de l'avoir découvert. Je regrette de ne pas pouvoir eu le temps l'apprécier, non pas parce que quelqu'un m'a forcé à le vendre, mais quand une offre importante arrive comme celle du Real Madrid pour un jeune garçon, et que cette offre vous permet de résoudre certaines situations, il est difficile de dire non. Il est également difficile pour le joueur de dire non au Real Madrid lorsqu'il l'appelle." "À l'époque, nous n'étions pas structurés pour le conserver et le prolonger, car nous devions composer une équipe très compétitive. Aujourd'hui, nous aurions la force de le garder. Nous devons chaque année maintenir un équilibre et un sacrifice par an doit avoir lieu : Cette année Brozovic est parti, et après tant d’années nous nous sommes mis d’accord pour changer quelques personnalités." "Nous avons aussi immédiatement investi aussi sur Frattesi et des jeunes en développement comme Asllani : Nous allons de l’avant." Inconnue mystère "Je dois vous confesser quelque chose : Je n’ai pas de compte Instagram Officiel, je m’en suis créé un pour contrôler les épouses car certaines m’avait créés des problèmes. Tu comprends énormément de choses via les épouses et les fiancées, tu cernes aussi la personnalités des joueurs. J’ai aussi suivi des joueurs, même d’autres équipes. Mais je l’ai créé car l’épouse d’un joueur me posait énormément de problèmes." Frattesi ? "Il représente l’idée que nous avons d’un joueur, il a démontré son talent déjà en Primavera, c’est là qu’il s’est fait connaitre avec la Roma et a fait parler de lui. Ensuite, il a connu un parcours compliqué dans des compétitions inférieures. Il s’est retrouvé à Sassuolo dans une opération comme certains le font pour rejoindre par la suite la Serie B. J’ai eu la possibilité de le voir à Monza et il est revenu assiéger la Serie A, en ayant une croissance constante avec Sassuolo : Il s’est toujours nourrit de ses détracteurs pour s’améliorer, il a de l’ambition et une volonté d’émerger qui ne s’est jamais perdue." "Il a encore une belle marge de croissance, il est jeune. Mais Sassuolo n’est pas l’Inter, la scène change, le stade change, les ambitions changent, les objectifs changent : C’est une chose de vouloir jouer pour faire une belle impression, c’en est une autre de jouer pour gagner des titres, comme cela doit être le cas lorsque tu es à l’Inter : Je suis certain que ce garçon a toutes les qualités et caractéristiques requises pour répondre à ce que nous recherchions." Les Giovanile? "J’ai toujours été chanceux car j’ai énormément travaillé avec les jeunes, j’en ai visionné énormément. Je me souviens du premier talent qui m’a frappé, je venais d’être nommé Responsable du secteur des Jeunes et Beppe Baresi et moi avions convenu de parvenir à convaincre le Président Moratti d’investir davantage sur les jeunes joueurs. "Il nous a accordé un très gros budget et nous sommes partis à leur recherches. L’un des premiers que nous avions acheté se nommait Pandev, il avait tout de suite montré qu’il était très fort. Je l’avais découvert un peu par hasard, mais ce qui compte, c’est l’instinct, le moment clé, celui où tu ressens l’émotion que te procurer un joueur. Nous l’avions recruté aux confins de la frontière hongroises. Et à partir de lui, il y en a eu énormément d’autres en 25 années passées à l’Inter." "Chaque fois que je recroise l’un de ses garçons, ils viennent me saluer, cela me fait plaisir." Est-ce vrai que Kvaratskhelia était sur votre Agenda, il y a quatre ans ? "Oui, mais pas que sur le mien,ce garçon était connu de tous. Des rendez-vous ont eu lieu à l’époque, j’avais même rencontré l'agent personnellement, mais si vous jouez en 3-5-2 avec Conte et Inzaghi, vous avez du mal à l’insérer." "Il y avait aussi la Juventus et la Roma, puis Naples a profité d'une très bonne situation et s'en est bien sorti. Il lui a aussi fallu du courage. Ce n'était pas un joueur très connu, mais tout le monde le connaissait. Tous nos recruteurs le considéraient comme un talent important, qui aurait mérité un investissement. Mais il n'était pas considéré comme adapté à notre système de jeu." Le Fair-Play-Financier "Le football d’aujourd’hui est différent, il y a des systèmes de contrôles qui ne te permettent plus d’investir autant que tu le voudrais, indépendamment des possibilités. Si aujourd’hui il y avait encore un Moratti passionné et avec l’envie de dépenser, les règles actuelles l’en empêcherait : Tu dois dépenser ce que tu gagnes en respectant le palier de 30 millions d’euros sur le triennal." "Si tu ne parviens pas à te créer des opportunités pour les recettes, alors tu dois renoncer à quelque chose : Le Système européen tient compte d’énormément de paramètres, nous vivions avec cette réalité depuis 2014 et ce sera toujours comme ça à présent." La Premier League ? "Juste pour les seuls droits télés, le rapport est de 1/4: La dernière équipe de la Premier League gagne plus que la première de la Serie A. Nous devons utiliser d'autres stratégies : Nous avons de bons Dirigeants, de bons entraîneurs, de bons secteurs de jeunes. Nous avons aussi besoin d'imagination et d'une prise de décision rapide. Eux, sont plus lents dans ce domaine, et nous parvenons parfois à nous faufiler et à ramener le joueur à la maison. Même si, en toute honnêteté, il faut dire que lorsqu'on est sur le même joueur, c’est très rare que nous parvenions à l’emporter." Balotelli "En ce qui concerne les footballeurs, vous abordez les choses de différentes manières. Parfois, nous avons pris des joueurs tout en sachant qu'ils n'étaient pas les meilleurs, mais parce que nous ne pouvions pas faire autrement : Il y en a des exemples de mauvais achats ou de prêts permanents. Peut-être même partagées avec les entraîneurs, qui échappent souvent à toute responsabilité. Parfois, on se trompait parce qu'on avait des attentes qui n'ont pas été satisfaites." "Parfois, on s'imposait encore plus durement, parce qu'on a pris trop confiance en certains joueurs." Mon geste le plus romantique ? "C’est bien connu c'est moi qui ai découvert Balotelli, j'aurais tout misé sur lui, c'était mon Recoba. A ce moment-là, c'était comme un fils. Il est inexplicable que, par rapport au talent qu'il avait, il ne soit pas devenu une folie du football mondial pendant 20 ans." ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  2. Marco Materazzi et Goran Pandev s'expriment sur le retour de l'Euroderby aux micros de Sky Sport. Marco Materazzi A propos de Goran Pandev. "On s'entendait très bien avec Goran, on avait la fraterie tzigane avec Chivu, Stankovic, on était comme des frères. On s'aimait. Cette année (2010, ndlr), il est est arrivé en Janvier et a fait la différence. Ce n'est pas donné à tout le monde." L'Inter peut perdre ? "Oui. C'est vrai. Quand tu joues sans plus rien à perdre, tu es plus calme comme eux maintenant. Voyons comment ça se passe. On joue à domicile, il va falloir commencer fort. Nous devons les mettre sous pression immédiatement." Avez-vous bien dormi avant le Camp Nou ? "Non avant le Camp Nou mais avant le match aller oui. On savait qu'aller là-bas pour défendre la victoire 3-1 n'était pas facile, il y avait le but à l'extérieur. Puis Thiago Motta a été expulsé et l'obstacle semblait insurmontable. Mais nous voulions vraiment cette finale et nous l'avons atteinte." L'Inter n'aura pas à gérer. "En tant que fan, c'est la seule peur, si vous le maintenez à 0-0, une étincelle ou un but audacieux suffit pour relancer le match. Je pense que les garçons montrent qu'ils sont en excellente condition physique et ils essaieront d'en faire une formalité. Quand on joue 7 matchs de Ligue des Champions sans encaisser de but, ça veut dire qu'on a fait quelque chose. Ils voudront prouver qu'ils méritent la finale." Une comparaison avec votre Inter ? "Je n'aime jamais faire de comparaisons. Je préfère la mienne, mais j'aimerais que celle-ci gagne à nouveau, surtout parce que cette année ce serait vraiment inattendu. Ils peuvent nous faire rêver, je l'espère. Ce serait merveilleux comme fan, nous serions les premiers Italiens après tant d'années." Goran Pandev Ses souvenirs du derby. "Je me souviens quand je venais d'arriver de la Lazio en Janvier, on avait gagné 2-0 avec un but sur coup franc. Nous étions dix parce que Sneijder a été expulsé. Ce sont toujours des matches passionnants." Aimé partout ? "J'ai essayé, là où j'étais, de donner le meilleur de moi-même. Parfois tu réussis et parfois non. J'ai toujours tout donné sur le terrain. Materazzi m'a tellement donné. Il était comme un père, il m'a aussi donné des coups mais pour moi c'était fondamental." Un conseil aux joueurs ? "Dans les deux soirées avant Barcelone, je n'ai pas dormi. Mais après 5 minutes, dès que le match commence, tout semblait normal. Il y a beaucoup de gens expérimentés à l'Inter, physiquement ils vont bien, mais il va falloir oublier le match aller. Je pense qu'ils peuvent passer le tour, ils ont aussi récupéré des joueurs sur le banc, ils marquent tous des buts et en encaissent peu. On sait que Leao est de retour mais ils le connaissent bien et je pense ils joueront un grand match. Cette Inter est forte mais la nôtre a certainement eu des gens comme Eto'o qui a gagné des matchs tout seul. Ce sont deux Inters très différentes." Inzaghi ? "Il a beaucoup changé, nous avons passé cinq ans ensemble à la Lazio. Il a montré qu'il savait souffrir, il a eu des difficultés mais s'il atteint la finale de la Ligue des champions, il aura fait une grande chose. J'espère qu'il pourra le gagner car un club comme l'Inter le mérite." Comment jugez-vous la saison de l'Inter ? "L'Inter a deux grands directeurs sportifs à Marotta et Ausilio, je sais ce qu'ils peuvent faire. À mon avis, cette saison pour l'Inter est positive si au final ils terminent à la deuxième place, vont en finale de la Ligue des champions et remportent la Coupe d'Italie. Ils ont quatre grands attaquants, à mon avis. Vous ne pouvez pas vous planter maintenant parce que tout le monde va bien. Correa a eu quelques problèmes mais ce sont les attaquants qui font la différence." Traduction alex_j via FCInterNews
  3. Il n'y a pas de place pour un non-Inter, ou presque, dans le top 11 Sportweek de Marco Materazzi qui dresse une line-up à trois quarts noire et bleue. Deux exceptions cependant. Deux champions du monde, deux coéquipiers nationaux de la chevauchée vers Berlin en 2006, Fabio Cannavaro et Francesco Totti. Voici la liste complète et les justifications de Matrix. "J'ai fait une équipe offensive parce que. Dans le football, il faut marquer des buts, même si quand je jouais, mon travail était de les éviter. Il y a beaucoup d'Interista, parce que j'ai tout gagné avec eux." Julio Cesar dans le but, protégé par Maicon, Cannavaro, Samuel et Chivu. Zanetti, Totti et Stankovic dans l'entrejeu, derrière un trident super offensif fait par Ronaldo le phénomène, Milito et Eto'o. José Mourinho entraîneur. "Quand il est arrivé à l'Inter, j'étais très proche de Toldo, mais j'ai encadré le Brésilien et nous sommes devenus amis. Maicon, un train sur l'aile droite. Je ne sais même pas comment il a réussi à faire des allers-retours tout au long du match." Arrière droit Maicon, Christian Chivu en face, ailier gauche. "Moi, lui et Stankovic, trois gitans. Avec Cristian, un coup d'œil suffisait pour se comprendre. Nous avons plaisanté sur les adversaires. Une fois, contre la Lazio, Pandev a rebondi entre lui et moi tout au long du match. 'Regarde ce que tu m'as fait !', me reprochait-il en fin de première mi-temps pour un coup de pied qu'il s'était pris. Il n'avait même pas remarqué que je ne le lui avais pas donné le coup, mais Chivu." Ensuite, Cannavaro et Samuel au centre. "J'aurais pu choisir Cordooba avec qui j'ai le plus gagné à l'Inter mais avec Fabio j'ai gagné une Coupe du monde et c'est peut-être celui aux côtés duquel j'ai concédé le moins de buts de toute ma carrière. En effet, entre nous, nous parions à chaque match de quitter le terrain avec une cage inviolée." Place aussi à l'incontournable mur, l'inoubliable The Wall pour les fans de l'Inter. "Il a fait honneur à son surnom, the Wall, en tant que joueur et en tant qu'homme, solide sur le terrain et silencieux en dehors. Un mur, en fait. , impénétrable. Il battait le terrain et si un attaquant allait contre lui face à face pour protester, il ne répondait même pas. Cela ne lui donnait pas satisfaction de répondre." Milieu de terrain à trois composé de deux grands capitaines et d'un "dragon", prochain adversaire de l'Inter en championnat en tant que manager de la Sampdoria. Zanetti, sur qui Materazzi avoue que "nous n'avons jamais été très proches, mais à chaque fois que j'avais besoin du capitaine, il était là." De capitaine à capitano, Francesco Totti, grand adversaire de l'Inter dans le triplété mais grand coéquipier en équipe nationale, "il me fait toujours sourire. Je ne sais pas s'il est plus fort ou plus sympathique." Avec Stankovic, "on a eu la même chambre pendant 5-6 ans. J'ai gagné tous mes trophées à l'Inter avec lui. Il ne savait même pas à quel point il était fort." Trois forts derrière trois très forts devant avec une ligne offensive que Materazzi confie à Ronie, Milito et Eto'o. "Maradona, Messi... Mama mia, je n'ai jamais vu quelqu'un d'aussi fort que lui. En termes d'explosivité et de talent naturel, un mélange entre Cristiano et Messi" dit-il à propos d'il Fenomeno rejoint par Diego Milito. "En marquant deux fois contre le Bayern en finale de la Ligue des champions 2010, Diego a permis à Materazzi de mettre la cerise sur le gâteau de sa carrière." Pour finir, Samuel Eto'o, "s'il n'était pas venu à l'Inter, on n'aurait jamais gagné la Ligue des champions. Avant lui, il y a eu Ibra qui a joué dans les clubs les plus forts et n'a jamais gagné une coupe. Il doit y avoir une raison." Sur le banc, inutile de le dire, l'équipe est confiée à José Mourinho. "Quand il est arrivé, quelqu'un avait dit que Materazzi allait partir. Il m'a arrêté le premier jour et m'a dit : 'Tu restes ici'." Traduction alex_j via FCInterNews.
  4. En deux jours, deux joueurs interistes ont tiré leur révérence. Raffaele Caruso de FcInterNews a écrit une lettre ouverte à Goran Pandev et Andrea Ranocchia. Voici la traduction. Quelques heures plus tard Goran Pandev, puis Andrea Ranocchia ont annoncé jeudi leurs adieux du football sur les réseaux sociaux. Un double "salut" qui a ravi tous les fans de ce sport, en particulier les fans de l'Inter. Parce qu'il n'est pas nécessaire de marquer 500 buts pour rester dans l'histoire d'un club aussi prestigieux que les Nerazzurri. Humilité, professionnalisme et amour du maillot sont les trois valeurs qui vous rendent éternel et vous permettent de gagner le respect et l'admiration de vos fans. Pandev est un produit de la cantera Nerazzurri. Après avoir vécu plusieurs expériences en Italie, dont la plus illustre à la Lazio, il revient à l'Inter dans la saison des saisons, celle du Triplete. Et il a été un grand protagoniste malgré son arrivée cette saison en Janvier. Goran a été immédiatement utilisé par Mourinho, notamment grâce à l'absence de Samuel Eto'o en Coupe d'Afrique des Nations. Et le Macédonien a tout de suite répondu présent : le 6 Janvier, il fait ses débuts en championnat face au Chievo et est immédiatement décisif, il inscrit son premier but sous le maillot de l'Inter, quelques jours plus tard face à Bari ouvrant le chemin du retour de 2-0 à 2-2 et a répliqué le 24 Janvier dans le derby contre Milan avec un coup franc, marquant le deuxième but. Tout le monde n'a pas ce truc. Il faut avoir la classe pour pouvoir le faire, mais surtout l'humilité pour s'intégrer dans un groupe avec autant de champions. Mourinho se classe lui aussi en finale de la Ligue des champions contre le Bayern Munich, il sera l'un des protagonistes de la course finale vers le Triplete. Et comment oublier le but du 2-3 marqué quelques mois plus tard contre les Bavarois, toujours en Ligue des champions, lors du match retour des huitièmes de finale : il le définira lui-même comme le but le plus important de sa carrière. Comment oublier cette exultation. Et ce jour-là, Andrea Ranocchia était également sur le terrain, dans l'un des matchs les plus emblématiques de son histoire de plus de 10 ans avec le maillot Nerazzurri. L'arrêt sur la ligne de but, avec un poteau. Ses débuts à l'Inter rappellent beaucoup ceux de Pandev. Arrivé à l'Inter lors de la saison en cours à l'hiver 2010-2011, il s'est d'emblée imposé parmi les titulaires aux yeux de l'entraîneur Leonardo , remportant alors son premier titre en fin de saison, la Coppa Italia, remportée contre Palerme. Confirmé plus tard par les entraîneurs suivants, dans la première moitié des années 2010, Ranocchia fait partie des rares jalons de l'équipe interiste : lors de la pré-saison 2014-2015, l'investiture en tant qu'héritier de Zanetti en tant que nouveau capitaine de l'Inter, semble être le prélude à une belle histoire. De manière inattendue, cependant, sa carrière prend une tournure inverse : Andrea ne parvient pas à s'imposer comme le leader du groupe des Nerazzurri et se fait retirer le brassard au profit d'Icardi. Il est ainsi devenu l'un des plus critiqués et ciblés par le public Nerazzurri. Mais jamais un mot déplacé, jamais une interview provocatrice. Ranocchia continue de travailler en silence, s'investissant toujours dans l'entraînement. Pour se retrouver il décide aussi de changer d'air, tentant d'abord l'expérience du prêt à la Sampdoria puis à Hull City. Le premier tournant est intervenu en 2017 avec l'arrivée sur le banc de l'Inter de Luciano Spalletti. La vidéo dans laquelle il défend Ranocchia en retraite des critiques d'un fan des Nerazzurri, elle certifie immédiatement l'importance et la gratitude de l'entraîneur Certaldo envers lui. Ce n'est pas un titulaire, mais il redevient un élément très important pour les rotations en défense et surtout un homme du vestiaire. Un double rôle qui devient encore plus évident avec l'arrivée de Conte à Milan, l'entraîneur qui l'avait lancé au début de sa carrière dans les expériences d'Arezzo et de Bari. Et grâce à lui, Ranocchia remporte son premier Scudetto avec l'Inter après 10 ans. Un championnat qui est venu après tant de chutes, tant de sacrifices, tant de larmes, qui témoigne pourtant de la grandeur d'un vrai homme et joueur, d'un professionnel exemplaire et d'un joueur de l'Inter comme peu d'autres. Nous ne pouvons que remercier Goran Pandev et Andrea Ranocchia. Merci de faire partie de notre histoire et de comprendre l'importance de cet maillot. Pour l'avoir honoré. Merci les gars, ce fut un honneur et un beau voyage. Traduction alex_j via FCInterNews.
  5. Goran Pandev, via un post sur Instagram, a annoncé sa retraite du football. Voici le message de l'attaquant macédonien. "Je regarde en arrière et ça ne semble toujours pas réel… Ça a été un voyage incroyable. Tant d'émotions, je les porte toutes en moi et je sais que je les partage avec ceux qui m'ont accompagné tout au long de ce voyage. Je remercie ma famille, ma femme Nadica, mes enfants Filipo Ana Sofia qui ont été mon soutien. Je remercie mon père et ma mère de m'avoir permis de poursuivre un rêve. Je remercie mon peuple pour la chaleur qu'il m'a apportée... Tu as été magnifique. Je remercie tous les Branchini, Giovanni, Carlo Leo sans vous je n'aurais pas fait tout cela. Je remercie tous mes coachs, managers pour la confiance reçue, pour tout ce que j'ai appris. Je remercie tous mes fans, du premier au dernier." Traduction alex_j via FCInter1908.
  6. Massimo Moratti, Président Historique de l’Inter s’est livré au cours d’une très longue interview au Corriere Dello Sport sur la réception de la Roma de José Mourinho, une première pour le portugais qui n’avait plus foulé la pelouse version "Nerazzurra" depuis un certain mois de mai 2010 Comment imaginez-vous le retour de Mourinho au Giuseppe Meazza ? "Je l’admets, cela va me faire une drôle d’impression de le voir se diriger du vestiaire, monter les escalier et s’asseoir sur le banc, mais pas celui de l’Inter. Je sais que je serai ému car des flash-backs me reviendront en tête, lorsque nous étions protagonistes : José a offert tant de choses à l’Inter, et elles ne s’oublieront jamais même si le temps passe." A vous entendre, vous transmettez la sensation que le rapport ne s’est jamais interrompu entre vous...... "Ces derniers jours nous n’avons pas discuté, et ce n’est pas un hasard, peut être que nous parlerons ensemble après le match ou dans les prochains jours. Nous nous téléphonons régulièrement et il est toujours très affectueux et très gentil envers moi. Nous sommes resté liés, c’est vrai, et pas uniquement pour ce que nous avons gagné, mais aussi pour la personne que Mourinho est." Ne vous êtes-vous jamais demandé quelle aurait été l’histoire de l’Inter, si après le triomphe en Ligue des Champions à Madrid, le 22 mai 2022, Mourinho n’avait pas quitté l’Inter pour signer au Real ? "Il est impossible de s’exprimer sur certains sujet, c’est comme ça que cela s’est passé, il avait aussi l’envie de tenter l’expérience au Real Madrid. Avec le temps et à tête reposée, je me dis que cela s’est terminé de la meilleure des façons pour tout le monde : Lui était satisfait des résultats obtenus lors de cette saison et il avait accepté un nouveau défi. Nous car nous avions obtenu le maximum, à savoir goûter à un succès attendu depuis tant d’années, le Triomphe en Coupe des Clubs Champions : S’il fallait en venir à une séparation, il n’y avait pas de meilleur épilogue." Quelques tifosi en ont pourtant voulu au portugais de ne pas être revenu cette nuit-là à Milan, pour fêter la victoire en Ligue des Champions, à l’aube au Meazza...... "De l’eau a coulé sous les ponts, il avait déjà pris sa décision bien avant la finale, mais nous n’en avions pas parlé car lors de ce mois de mai, nous étions en course pour les trois titres et nous ne voulions pas rompre le charme. Notre accolade sur le terrain du Bernabeu après la victoire sur le Bayern et notre dîner deux jours après chez moi, ont éclairci tout le reste." Ce soir, il s’agira aussi des "retrouvailles" entre José et le Peuple Nerazzurro...... "Il sera accueilli avec beaucoup d’affection et de sympathie, je n’ai aucun doute à ce sujet. S’il entraîne à présent la Roma, il a écrit l’Histoire avec nous, et quelle histoire." L’Unique équipe italienne à avoir réalisé le Triplé...... "Cela continue à toujours bien sonner avec le temps...... il rit. Et c’est pour cela que ce sera un plaisir de revoir Mourinho au Meazza. Pour vous dire la vérité, je suis moi aussi curieux de le voir avec sa nouvelle vareuse. Jusqu’à présent, au Meazza, je l’ai vu au Meazza comme adversaire du Milan, jamais de l’Inter." Allez-vous le soutenir ? "Non, non je ne suis pas fou. Même si j’ai beaucoup de sympathie pour lui, je supporte l’Inter, José le sais et il le comprendra." Mourinho pourrait-il être touché par le fait de faire face à son ancien public ? "Je crois que oui, car il y a à l’Inter et chez les interistes un vrai lien, mais personne ne se fera de cadeau." Ses récentes sorties sur les arbitres vous rappellent-elles celles vécues lors de ses deux années à l’Inter ? "Tu sais quoi ? Le temps a beau passé, mais José se défendra toujours...... et il le fait assez bien (il rit)". Peut-être parce que les arbitres italiens ne lui sont pas sympathique ? "Je ne le dirais pas de cette façon car je ne crois pas que c’est le cas. José est tout simplement une personne qui n’est pas hypocrite, lorsqu’il défend son club, il le fait en mettant les mains dans le cambouis et en disant toujours ce qu’il pense. Ensuite, c’est Mourinho et lorsqu’il fait quelque chose, il le fait pour le bien." Comme ce geste du 20 janvier 2010 lorsqu’il a protesté en mimant les menottes face à Tagliavento qui venait d’expulser Samuel et Cordoba ? "J’ai souris ce jour-là et je souris encore maintenant lorsque j’y repense. Au-delà de la raison pour laquelle il a fait ce geste, il faut vraiment avoir un esprit spécial, comme le sien, pour protester de cette façon à chaud, c’était génial, vraiment génial." Au-delà des protestations arbitrales, passées et actuelles, le portugais ne parvient plus à la Roma à obtenir de grands résultats...... "Au début de saison, je pensais qu’il avait une bonne équipe mais qu’il ne disposait pas d’un noyau complet pour disputer le titre et je ne me suis pas trompé. A présent, il me semble que l’équipe s’est améliorée et il peut disputer une bonne seconde partie de saison. Pour lui, c’est une nouvelle aventure dans une place chaude et ce n'est jamais simple : Il faut lui donner du temps, mais il fera de belles choses." Vous êtes convaincu par le fait qu’il peut aussi gagner dans la Capitale ? "Selon moi, oui, sa carrière parle pour lui. C’est évident qu’il faut lui donner le temps de tout construire, mais je n’ai aucun doute sur ses capacités et sur le fait que c’est un gagneur." En attendant, il est parvenu à rentrer dans le cœur des tifosi Giallorossi...... "C’est normal, c’est quelqu’un qui vous veut du bien, il est aussi doué, sérieux et professionnel. Il séduit tout le monde car il ne prend pas les choses qui se présentent à lui de façon superficielle, il donne tout pour obtenir les résultats qui lui ont été demandé, voire plus." Friedkin a bien fait de l’engager alors ? "Je pense qu’il a pris l’un des meilleurs entraîneurs en circulation, et son retour a aussi été important pour le Calcio, c’est un entraîneur intelligent, sa présence est médiatique et ses capacités professionnelles sont une valeur ajourée pour la Serie A." Quelle est l’atout Plus du Special One ? "Au-delà de sa capacité à bien faire jouer l’équipe et à faire ressortir le meilleur de chacun, comme par exemple Zaniolo, je dirais qu’il excelle dans le fait de créer un rapport exceptionnel avec le groupe et qu’il sait toujours quelle chose dire." Avez-vous une anecdote ? "Lors de l’année du Triplé, lors du Derby retour, nous étions devant au score (1-0) mais Sneijder avait été expulsé et je voyais de la nervosité sur le terrain. J’étais parti au vestiaire pour tranquilliser les garçons et je les ai tous vu concentré et à l’écoute de Mourinho. Il expliquait ce qu’l fallait faire pour doubler la mise et tuer le match, même à dix, il y avait un calme olympien, on n’entendait pas une mouche voler." "D’autres entraîneurs pour motiver l’équipe aurait chargé l’arbitre mais José parlait uniquement de tactique, avec le sang-froid d’un pilote qui sait qu’il doit faire face à une situation des plus difficile. Pandev doublait la mise et nous l’avons emporté. Je ne me souviens plus en revanche de ce qu’a dit Mourinho en conférence de presse sur l’arbitrage, il rit." Quel match sera Inter-Roma ? "C’est difficile de le dire, les Giallorossi se présente suite à un match nul face au Genoa caractérisé par de nombreuses polémiques, l’Inter se présente après avoir jeté le Derby par la fenêtre d’une façon que je ne m’attendais pas, surtout vu comment s’était déroulé la rencontre." Si vous aviez été Président, qu’auriez-vous fait ? "Je laisse tomber certains discours, je suis resté surpris par la perte du rythme que l’Inter imposait depuis 65-70 minutes et le Milan en a profité. Les Derbys sont dangereux pour une équipe qui a l’avant et cette fois, nous avons pris une leçon nous. Une défaite de ce genre est riche d’enseignements et il faut surtout renouer immédiatement avec la victoire car ce mois de février est composé de match de haut niveau." Avez-vous peur que le Derby ait miné les certitudes du groupe ? "Je ne crois pas, l’équipe existe, elle est forte, composé de bons joueurs et d’un excellent entraîneur. Inzaghi s’est, pour moi, intégré très rapidement au Monde Nerazzurro et il est capable d’apporter encore plus à un groupe qui a gagné avec Conte. Tout le monde pensait avoir vu à ce moment-là l’Inter a son meilleur niveau. Pourtant sans Romelu Lukaku, Achraf Hakimi et Christian Eriksen, elle est parvenue à faire mieux, le mérite en revient à Inzaghi qui a des capacités importantes. De temps en temps, des erreurs peuvent se produire, comme dans le derby, mais je pense qu'il fait beaucoup mieux que ce que beaucoup attendaient." Serez-vous un Tifoso serin et optimiste ? "Je le suis et les autres tifosi doivent l’être aussi, je suis convaincu que l’Inter vivra une belle fin de saison." Reste-t ’elle la favorite pour le Scudetto ? "Je ne parle pas de favorite, je dis qu’elle peut l’emporter, mais que ce ne sera pas facile, le Napoli m’impressionne énormément, il dispose d’un axe central redoutable et il me semble qu’il a surmonté sa période de difficulté." Pensez-vous à la seconde étoile ? "Elle serait si belle sur ce Maillot Nerazzurro, j’en suis convaincu." ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  7. Les phases de groupes de l'Euro 2020 sont terminées. Les internationaux Nerazzurri ont disputé un total de 1450 minutes, marqué six buts et contribué aux qualifications de leur pays en huitièmes de finale. Nicolò Barella et Alessandro Bastoni ont terminé en tête du groupe A avec l'Italie, qui a obtenu 9 points sur 9, marquant sept buts égalant ainsi leur plus grand nombre de leur histoire dans une phase de groupes, record établi en 1998, et n'en concédant aucun. Notre milieu de terrain central, qui a joué 177 minutes au cours des matchs contre la Turquie et la Suisse, a fait la passe décisive du 2-0 lors du dernier match. Bastoni, qui fait ses débuts à l'Euro, a disputé les 90 minutes du dernier match contre le Pays de Galles. L'Italie affrontera l'Autriche à Londres en huitièmes de finale le Samedi 26 juin à 21h00. Romelu Lukaku a terminé la phase de groupes avec trois buts en trois matchs, au cours desquels il a joué 264 minutes. L'attaquant belge a débuté avec un doublé lors du match d'ouverture du Groupe B contre la Russie, où il a été deux fois l'Homme du match. Il a joué 90 minutes lors du deuxième match contre le Danemark, qui a assuré la qualification, puis il a marqué le deuxième but lors d'une victoire 2-0 sur la Finlande, ce qui a permis aux Diables Rouges de terminer en tête du groupe B, avec 9 points sur 9. Ils affronteront le Portugal, champion en titre, lors d'un choc de ces huitièmes à Séville le Dimanche 27 juin à 21h00. Milan Skriniar a joué chaque minute en défense pour la Slovaquie. L'arrière central des Nerazzurri a également marqué le but pour leur donner la victoire 2-1 sur la Pologne lors de leur match d'ouverture du Groupe E. L'équipe de Tarkovic a ensuite été battue 1-0 par la Suède à Saint-Pétersbourg et à coulé 5-0 contre l'Espagne. Stefan de Vrij et ses coéquipiers néerlandais ont pris le maximum de points dans le groupe C, notre défenseur central ayant joué 225 minutes sur les trois matchs. Les Oranje ont battu l'Ukraine 3-2 lors d'un premier match stressant, avant de s'imposer tranquillement respectivement 2-0 et 3-0 contre l'Autriche et la Macédoine du Nord. Ils ont terminé avec neuf points, en tête d'un groupe qui a également vu notre ancien attaquant, Goran Pandev, faire ses adieux au football international. Les Pays-Bas affronteront la République tchèque au prochain tour le Dimanche 27 à Budapest à 21h00. La Croatie est également qualifiée, avec Ivan Perisic et Marcelo Brozovic jouant respectivement 261 et 163 minutes. Leur parcours a commencé par une défaite 1-0 contre une assez belle Angleterre à Wembley, avant un respectable nul 1-1 contre la République tchèque grâce à un superbe but de Perisic. Notre ailier est désormais l'un des deux seuls joueurs en Europe à avoir marqué au moins un but dans chacun des cinq derniers grands tournois internationaux (Coupes du monde et Euros); l'autre joueur étant l'inaltérable Cristiano Ronaldo. Leur dernier match du Groupe D a décidé de la qualification: la victoire 3-1 sur l'Écosse (avec Perisic obtenant un but et une passe décisive) garantissait qu'ils passeraient. Avec trois passes décisives, l'homme de l'Inter est désormais le meilleur passeur croate de tous les temps pour l'Euro. Ils affronteront l'Espagne en huitièmes de finale à 18h00 le Lundi 28 juin. Félicitations à tous nos gars qui se sont qualifiés pour le tour suivant, et un spécial ''Bonne chance'' au Danemark, normalement dirigé par Christian Eriksen, qui a battu la Russie 4-1 en son absence pour terminer deuxième du groupe B. Leur match en huitièmes de finale est contre le Pays de Galles à la Johan Cruijff ArenA à 18h00 le Samedi 26 juin.
  8. Si Simone Inzaghi est à présent le nouvel entraineur de l’Inter, il y a lieu de constater que ce n’est pas la première fois que le club laziale "fournit" des recrues de qualités à la Beneamata En effet, Simone Inzaghi est le dernier homme d’une longue série de transferts de la Lazio vers l’Inter. Les plus récents sont les arrivées d’Antonio Candreva et d’Hernanes, qui ont eu lieu lors de l’ère Lotitio Si l’on remonte dans le passé, on retrouve le transfert de Christian Vieri, qui avait quitté le club romain pour gagner : Bobo est d’ailleurs l’un des attaquants les plus prolifiques de l’Histoire de l’Inter Quelques saisons auparavant, on retrouve également l’arrivée d’Aaron Winter et celle de Cesar, qui est loin d’être inoubliable, malgré les titres remportés. On retrouve également la trace d’Hernan Crespo qui avait comme but de remplacer Ronaldo. Il y également l’arrivée de Roberto Mancini et de Stefan De Vrij qui, ensemble, représente les départs les plus douloureux de la Lazio : Le Sélectionneur de la Lazio abandonnait une équipe en déroute financière économique après y avoir passé 7 saisons. Le néerlandais, quant à lui, ne s’est jamais vu pardonner la faute qui avait amené à un pénalty décisif lors de la confrontation directe entre la Lazio et l’Inter (2-3). L’Inter allant devenir son nouvel employeur Le seul transfert négatif a été celui de Mauro Zaraté lors de la saison 2011-2012 qui a été suivi de son retour dans la Capitale On retrouve au rayon des meilleurs coups l’expérimenté Dejan Stankovic qui a pris part au Triplé 2010, tout comme Goran Pandev, qui, en décembre 2009 quittait la Lazio après six mois de tensions avec Lotito. Pour conclure cette liste, on retrouve Sinisa Mihajlovic, qui est pressenti pour être le futur entraineur Biancoceleste, et Giuseppe Favalli, arrivé en 2004, lorsque la Lazio était également en grande difficulté financière Avec l’arrivée de Simone Inzaghi, la Lazio envoie à nouveau ‘un traitre’ à l’Inter, tandis que celle-ci espère avoir trouvé le digne hérité d’Antonio Conte Fallait tout simplement pas nous la faire à l’envers en mai 2002 les gars ! ®Antony Gilles - Internazionale.fr
  9. Certains joueurs sont simplement destinés à être aimés, que ce soit au sommet de leur carrière ou plus tard, lorsque les gens se sont rendu compte qu'ils n'appréciaient pas pleinement ce qu'ils regardaient. Bien sûr, les gens voient ces joueurs et les évaluent très bien, personne ne doute de leurs capacités, mais très peu voient tout à fait à quel point ils sont bons et à quel point ils sont importants pour leur équipe, ou une équipe. Il y en a quelques-uns qui, pour une raison quelconque, ne sont pleinement appréciés que lorsqu'il est tard, voire trop tard. Certains joueurs de classe mondiale sont exclus des conversations pour une raison quelconque, mais celui dont nous allons parler était tout simplement le meilleur joueur du monde, seulement dans une mauvaise génération. En 2010, Lionel Messi et Cristiano Ronaldo venaient de marquer 80 buts entre eux pour le Barça et le Real, et ils volaient haut, ensemble, au sommet de la hiérarchie footballistique, mais ils n'étaient pas les meilleurs joueurs du monde à l'époque, à cette époque. Malgré les buts et l'adulation, aucun d'eux n'a pu mettre le doigt sur la saison de Wesley Sneijder pour l'Inter. Le Néerlandais était le joueur clé d'une équipe de l'Inter qui a dominé le football italien, et a décroché le Triplete sous Jose Mourinho. Il a été le catalyseur du jeu offensif de l'Inter, menant des joueurs comme Samuel Eto'o, le léthal Diego Milito, Goran Pandev et Dejan Stankovic. L'équipe de Mourinho a joué presque exclusivement sur la contre-attaque, que ce soit dans un 4-2-3-1, un 4-3-1-2 ou même un 4-4-1-1 quand ils avaient besoin de jouer plus bas. Dans l'un des trois systèmes, Sneijder a toujours été le point focal du flanc, étant l'homme qui a amené l'Inter au niveau suivant, offensivement parlant comprenons nous. Sa capacité à choisir une passe courte ou longue était la clé, surtout lors de la rupture, essayant de jouer contre Eto'o ou Pandev sur les flancs, et son partenariat avec Milito a si bien fonctionné. Le meneur de jeu était la star de cette équipe, mais reprenons quelques années en arrière et découvrons comment il s'est retrouvé en tant qu'homme clé de Jose Mourinho pour les Nerazzurri . Sneijder a gravi les échelons à l'Ajax, et dès son plus jeune âge il a impressionné les joueurs et les entraîneurs. Il était clair pour tous de voir que ce jeune enfant avait quelque chose de spécial à son sujet, entrant dans la première équipe avec son camarade jeune diplômé Rafael van der Vaart, et jouant aux côtés de Zlatan Ibrahimovic et du futur coéquipier de l'Inter, Maxwell. Comme c'est le cas avec presque tous les jeunes talentueux de l'Ajax, les grands clubs européens finiront par l'appeler, et cela s'est concrétisé lorsque l'Ajax a vendu Sneijder au Real Madrid pour 27 M€, ce qui faisait de lui le deuxième footballeur néerlandais le plus cher de tous les temps. Los Blancos ont beaucoup fait confiance au joueur, et ses débuts à Madrid n'auraient pas pu être mieux. Quatre buts lors de ses trois premiers matches signifiaient que Sneijder devenait un héro du début de saison pour le Real Madrid, rejoignant les Néerlandais Royston Drenthe et Arjen Robben dans le cadre de trois des quatre plus grosses transactions réalisées par Madrid cet été. Mais malgré sa bonne forme et sa volonté de rester, le nouveau patron Manuel Pellegrini l'a transféré car il ne jouerait tout simplement pas de matches parce que Kaka, Karim Benzema et Cristiano Ronaldo venaient d'être achetés. Sneijder a admis qu'il ne voulait pas partir, mais ce qui s'est passé ensuite était sans aucun doute la meilleure chose qui lui soit jamais arrivée. Mourinho avait été déterminé à l'emmener au Meazza tout au long de l'été 2009, et quand Jose veut un joueur à ce point, vous savez qu'il va faire des merveilles avec lui. Sneijder a rejoint l'Inter pour un montant de 15 M€, ce qui, selon les normes d'aujourd'hui, est l'un des hold-ups du siècle, mais à l'époque, c'était un énorme changement. Le milieu de terrain avait un point à prouver. Il a été lâché sans doute par le plus grand club du monde, mais était sur le point de devenir l'homme principal de l'Inter. C'était sa chance de prouver que les sceptiques avaient tort et d'avoir enfin une équipe construite autour de lui et de ses qualités. Mourinho avait passé la première saison en Italie à essayer de rassembler les pièces d'une équipe qui pourrait sérieusement se battre pour la Ligue des champions. Le milieu de terrain de l'Inter était très solide sur le plan défensif, mais il manquait un lien créatif, quelqu'un qui pouvait transformer la défense en attaque avec une passe. Sneijder était ce joueur. Il avait la capacité de changer la "chance" de cette équipe. La flexibilité de l'Inter a été favorisée par un afflux de nouvelles signatures. Le duo du Genoa Diego Milito, l'un des finisseurs les plus cool d'Europe, et Thiago Motta, qui a ajouté de la profondeur au milieu de terrain. À leurs côtés, le Brésilien Lucio, partenaire Walter Samuel, fut sollicité du Bayern Munich pour seulement 8 M€. Un recrutement intelligent, en quelques sortes. À mi-saison, Pandev a rejoint l'Inter en provenance de la Lazio. Mais le plus gros coup était de faire entrer Eto'o dans l'échange qui a vu Ibrahimovic rejoindre Barcelone. Combinez tout cela avec Sneijder étant effectivement le chef d'orchestre de Mourinho, et vous aviez une équipe qui avait tout ce qu'il fallait pour réussir. Dans la première moitié de la campagne de Serie A 2009-2010, l'Inter n'a perdu que deux fois et dans les deux cas, Sneijder n'était pas présent. La première défaite est survenue face à la Sampdoria lorsque Mourinho a opté pour un 4-2-3-1 avec Esteban Cambiasso et Patrick Vieira au milieu de terrain. L'absence de Sneijder s'est fait sentir dans l'équipe et quand il est revenu pour le prochain match contre l'Udinese, il a enroulé une frappe dans le coin inférieur à la 92e minute pour garder l'Inter en tête du classement alors qu'Octobre se pointait. L'influence du Néerlandais sur le côté s'est poursuivie avec deux passes décisives lors de la victoire 5-0 à l'extérieur contre Genoa, mettant en place à la fois Vieira et Mario Balotelli, et contre Catane à domicile, où son coup franc d'environ 30 mètres s'est avéré être décisif. À la suite de ces deux brillantes performances, il a été victime d'une blessure qui lui a fait manquer six matchs de la fin Octobre à Décembre. Sa blessure signifiait qu'il ne pouvait jouer que deux matchs dans ces trois mois, deux matchs nuls 1-1 contre la Roma et l'Atalanta, et il a aggravé sa blessure avec les Pays-Bas, ce qui lui a de nouveau fait manquer plus de matchs avant l'hiver. Pause. Après la pause, l'Inter et Sneijder ont continué dans la même forme dans laquelle ils étaient, invaincus lors des 11 premiers matchs de 2010, même si cinq d'entre eux étaient des matchs nuls (dont trois 0-0, merci la défense). Cependant, alors qu'ils naviguaient en Serie A, Mourinho et son groupe de frères ont tourné leur attention vers un prix plus important, un prix qui avait échappé à l'Inter pendant 45 ans : la Ligue des champions. L'Inter avait été dotée d'un groupe plutôt facile à l'exception des champions en titre, le FC Barcelone, mais lorsqu'ils ont terminé deuxième du groupe F, ils ont tiré au sort contre l'ancien employeur de Mourinho, Chelsea, ce qui promettait d'être une partie équilibrée et incroyable. Le match aller au Meazza a vu les Nerazzurri sortir avec une victoire 2-1, avec Milito et Esteban Cambiasso sur la feuille. Bien que Sneijder n'ait pas inscrit de but ou fait d'assists, il était toujours crucial pour la performance de l'équipe. Ses passes et ses coups de pied arrêtés ont créé le danger, mais c'est au match retour où son influence s'est vraiment fait sentir. Le magnifique ballon traversant du Néerlandais sur Branislav Ivanovic a permis à Eto'o de faire glisser le ballon devant Petr Cech et de permettre d'affronter en quart de finale contre le CSKA Moscou. Ses performances en Ligue des champions ont conduit beaucoup à le placer parmi les premiers du Ballon d'Or aux côtés de Messi et Ronaldo. Les merveilleuses performances de Sneijder en Serie A alors que les Nerazzurri n'ont perdu que 12 points sur 33 dans la dernière ligne droite de la saison. Milito a terminé en tant que joueur de l'année en Serie A et deuxième du classement Capocannoniere avec 22 buts (sept derrière Antonio Di Natale) et cette équipe Bleue et Noire volait haut, très haut. Le CSKA a été expédié avec deux victoires 1-0 qui n'ont peut-être pas été les plus jolies, mais un but vital à l'extérieur de Sneijder les a envoyés en demi-finale pour affronter Barcelone, une revanche du choc de la phase de groupes. Le Barça a pris les devants grâce à Pedro Rodriguez, mais cela a été aussi bon que cela a été pour eux lorsque Sneijder a intensifié et conduit l'Inter à une victoire 3-1. Il a marqué à peine 10 minutes plus tard pour égaliser avant de relancer complètement le jeu et même construisant le troisième but important, non, capital de Milito. Des performances comme celle-ci ont rendu Sneijder spécial. L'Inter avait le dos au mur pendant une grande partie du match, mais il avait toujours la capacité et la présence d'esprit de créer et de marquer. Après ce match, les gens ont commencé à vraiment croire qu'il avait une chance de remporter le Ballon d'Or, d'autant plus qu'il venait d'orchestrer la défaite de deux de ses rivaux à Xavi et Messi. Alors que l'Inter terminait la Coppa Italia et le Scudetto pour leur cinquième titre consécutif, ils ont jeté leur dévolu sur la Ligue des champions. Un doublé de Milito a rendu la Old Big Ears à notre équipe Bleue et Noire pour la première fois en près d'un demi-siècle, mais alors que l'Argentin a été élu homme du match officiel de l'UEFA, c'est Sneijder qui fut vu homme du match par les fans, ce qui en dit long sur la façon dont les fans l'ont évalué. C'est là que ça devient poétique. Mourinho, qui avait été fortement lié au poste du Real Madrid, venait de remporter son deuxième titre en Ligue des champions avec deux clubs différents, au domicile du club qui le courtisait depuis des mois. C'était un envoi approprié et une introduction emphatique à la vie à Madrid, mais c'était une autre sorte de poésie pour Sneijder car ce jeu symbolisait le chemin parcouru depuis son départ du Real Madrid. Il avait été contraint de quitter le club pour faire de la place à Kaka et envoyé à l'Inter où il avait été autorisé à devenir le joueur de classe mondiale que tout le monde savait qu'il serait. Il était le point focal du chef-d'œuvre de Jose et a montré à quel point il était bon au Santiago Bernabeu, dans l'arrière-cour du Real Madrid. Gagner la Ligue des champions à Madrid signifiait beaucoup pour Sneijder, mais cela lui a également permis de remporter le Ballon d'Or. Nous savons tous que ce que vous gagnez est tout aussi important que votre qualité de jeu, et il n'y avait rien de plus que Sneijder aurait pu faire pour être en pole position. Pourtant, bien qu'il ait guidé les Pays-Bas en finale de la Coupe du monde, en terminant deuxième, il n'a pas remporté le prix, ce prix individuel qu'est le Ballon d'Or. En fait, il n'est même pas arrivé deuxième ou troisième. Il est arrivé quatrième. Même Xavi, qui a terminé troisième, a déclaré qu'il était ridicule que son rival ne soit pas dans les trois premiers. Les performances de Sneijder à la Coupe du monde ont été assez bonnes pour lui gagner ce titre seul: marquant cinq fois, remportant l'Homme du match en quatre matchs et étant nommé deuxième meilleur joueur du tournoi. Qu'aurait-il pu faire de plus? Nous savons tous à quel point il était bon pour l'Inter et pour les Pays-Bas, mais le voir briser le monopole de Messi et Ronaldo aurait été cool à voir. Sneijder restera à jamais dans les mémoires comme l'homme qui aurait dû remporter le Ballon d'Or 2010, mais à ceux qui n'ont pas eu le plaisir de le regarder en direct ou en live, en particulier lors de la saison 2009-2010, allez sur YouTube et retrouvez des "vieux" Inter clips pendant cette saison. Il était magnifique, tout comme toute l'équipe. C'était vraiment dommage que le Néerlandais n'ait pas obtenu la reconnaissance qu'il méritait, mais les fans de football n'oublieront jamais à quel point il était bon à ce moment-là. La saison 2009-2010 était la sienne et il a gouverné l'Italie, l'Europe et le Monde en l'espace de 12 mois. C'était une campagne de classe mondiale d'un joueur de classe mondiale. Cet article est une traduction de "Remembering Wesley Sneijder’s poetic campaign at Inter" écrit par de Tom Scholes et publié sur gentlemanultra.com le 18 Décembre 2017.
  10. Tuttosport a souligné que chaque joueur de l'équipe 2009-2010 de Jose Mourinho est toujours impliqué dans le sport à ce jour... les exceptions étant Marco Materazzi et McDonald Mariga. Julio Cesar est devenu agent tandis qu'Ivan Cordoba est maintenant consultant avec l'équipe de Serie B Venezia. Lucio étudie pour devenir entraîneur, Cristian Chivu est en charge des U18 de l'Inter et Thiago Motta est à la recherche de son prochain poste après avoir dirigé Genoa en 2019. Dejan Stankovic entraîne l'Etoile Rouge de Belgrade et a remporté son premier titre le 29 Mai 2020, tandis que Walter Samuel travaille avec Lionel Scaloni pour l'équipe nationale argentine. Esteban Cambiasso a obtenu sa licence d'entraîneur bien qu'il travaille actuellement en Italie en tant que consultant sportif. Wesley Sneijder s'entraîne avec une équipe de cinquième division aux Pays-Bas, et Maicon a récemment rejoint le club de Serie D Sona. Goran Pandev (Genoa), Mario Balotelli (Monza) et Ricardo Quaresma (Vitoria Guimaraes) jouent toujours au football, tandis que Javier Zanetti reste notre vice-président. Marco Materazzi a entraîné brièvement en Inde avant de s'arrêter, tandis que Mac Donald Mariga a commencé une carrière en politique dans son Kenya natal.
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