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"Une course contre le temps". Tel est le résumé de la situation selon La Repubblica, car d’ici à la fin du mois de mai, il y aura lieu de procéder à l’inscription au championnat et à la Ligue des Champions. Pour ce faire, il faudra disposer des 200 millions d’euros de prêt : Steven Zhang, et ses négociateurs, dialoguent de façon séparée avec les différents fonds d’investissement américain. La FIGC exige que les arriérés salariaux soient versés d’ici au 30 mai 2021, sauf si un report de certaine mensualités ont fait l’objet d’un accord. De son côté, l’UEFA exige que les versements des tranches convenus auprès des clubs étrangers, soient actés. Parmi ceux-ci, on retrouve Achraf Hakimi et Romelu Lukaku Le timing est encore plus serré et le prêt devra impérativement être accordé avant le 30 mai 2021 à la HoldCo1, soit l’antenne satellite luxembourgeoises qui remplacera Great Horizon comme propriétaire de l’Inter. Cette dernière se chargera de reverser les fonds là où cela s’avérera nécessaire. Pour mener à bien cette mission, Greg Carey, un Top Manager de la Goldman Sachs a été appelé à la rescousse. Celui-ci a déjà joué un rôle central lors de l’acquisition de la Roma de la part de Pallotta. Il avait également travaillé avec Erick Thohir lors de la renégociation de la dette du club. La seule bonne nouvelle actuellement reste que l’Inter "consomme" 10 millions d’euros par mois et avec la réouverture des stades, cette consommation pourrait se voir être annihilé. ®Antony Gilles – Internazionale.fr
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Milan - Greg Carey, responsable de la Division Sports et Finances de la Goldman Sachs, s’est livré au Financial Times sur les motifs qui ont poussés l’Inter, a émettre des obligations à hauteur de 300M€ avec une échéance en 2022 et un taux de 4,875%. "Nous avons développé une structure qui constitue une assise financière solide, en veillant à ce que les créanciers soient payés, et en inculquant de la discipline dans le club. Cette opération offre des sommes énormes supplémentaires pour le budget de l’Inter, cela va permettre au club de se gérer sans avoir à compter sur le soutien de sa propriété : le Suning." Le Financial Times souligne également que l’Inter est bien plus ferme, solide et avantageuse que le Milan, Cela passe aussi par l’aspect financier, vu que le taux d’intérêt de l’Inter est nettement plus bas que celui octroyé aux Rossoneri. De plus, le Milan est dans le dur, vis-à-vis de l’obtention d’un refinancement de sa dette avec Elliott. "L'émission des obligations a garantit à l’Inter une une injection de liquidités de 82 millions d’euros. Et l’opération a été un "succès", vu la réponse du marché (la demande double par rapport à l’offre)". ®Antony Gilles – Internazionale.fr
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