Aller au contenu

Rechercher dans la communauté

Affichage des résultats pour les étiquettes 'hakan çalhanoğlu'.

  • Rechercher par étiquettes

    Saisir les étiquettes en les séparant par une virgule.
  • Rechercher par auteur

Type du contenu


Forums

  • La Communauté
    • Présentations
    • Vos Déplacements
    • La Curva du Forum
    • Annonces & Support
  • F.C. Internazionale
    • Le Club
    • Effectif
    • Transferts & Rumeurs
    • Les Matchs
  • Football en général
    • Calcio
    • Coupe d'Italie
    • Coupes d'Europes
    • Autres championnats
    • Les Equipes Nationales
    • Les Débats
    • Autres Sports
  • Contact et inscriptions de Inter Club Paris
  • Le QG : La Taverne des Korrigans de Inter Club Paris
  • Photos de Inter Club Paris
  • Le QG Casablanca : Café place des gameurs de Inter Club Morocco
  • Le QG Rabat : Café Nostalgia de Inter Club Morocco

Catégories

  • F.C. Internazionale Milano
  • Mercato
  • Interviews
  • Serie A
  • Coupes d'Europe
  • Nos Dossiers
  • Football

Catégories

  • Gardiens
  • Défenseurs
  • Milieux
  • Attaquants

Calendriers

  • Amicaux
  • Serie A
  • ICC
  • Coupe d'Italie
  • Ligue des Champions
  • Ligue Europa
  • Inter Women

Fonctionnalités

Catégories

  • Carte du Monde des Nerazzurri

Rechercher les résultats dans…

Rechercher les résultats qui…


Date de création

  • Début

    Fin


Dernière mise à jour

  • Début

    Fin


Filtrer par nombre de…

Inscription

  • Début

    Fin


Groupe


Ville


Joueurs

  1. Après une entame de championnat réussie face à Monza à Giuseppe Meazza, l'Inter se déplaçait en Sardaigne pour y affronter le Cagliari de Claudio Ranieri, fraîchement promu, dans le cadre de la 2ème journée de Serie A. Et c'est avec une grande maîtrise que les hommes de Simone Inzaghi ont triomphé. C'est avec le même onze que celui aligné face à Monza que l'Inter se présente à la Sardegna Arena : Sommer entre les poteaux, Bastoni - De-Vrij - Darmian en défense centrale, le néerlandais palliant l'absence d'Acerbi, l'habituel milieu Mkhitaryan - Çalhanoğlu - Barella, avec Dimarco et Dumfries sur les côtés, et le tandem Lautaro - Thuram devant. Et dès le coup d'envoi, les Sardes annoncent la couleur : bloc mi-haut et remarquable combativité. Mais ce scénario ne durera hélas guère longtemps pour Cagliari. L'Inter, faisant preuve d'une telle sérénité à la relance, reprend progressivement le dessus sur la fougue Sarde. Elle maîtrise parfaitement le tempo du match, et reste audacieuse face au but, à l'image de la volée manquée de Barella à la 5'. Elle se projette superbement, bien aidée par les décrochages successifs de Thuram. L'Inter ne tarde alors pas à élever l'intensité, avec notamment une reprise de Lautaro échouant sur le poteau gauche du portier de Cagliari. L'Inter ne laisse que des miettes aux attaquants adverses : une tête manquée de Pavoletti, ainsi qu'une frappe totalement dévissée de Nandez. Cette domination des Nerazzurri se concrétise à la 21' : Thuram récupère le ballon suite à une passe imprécise, se décale côté droit, et sert Dumfries : celui-ci finit d'une frappe imparable, croisée et dans le petit filet. L'Inter mène 1 but à 0 et vient de se faciliter grandement la tâche. Cependant, l'Inter est coupable d'une dangereuse inattention, laissant Nandez filer au but. Il faut une somptueuse intervention de Çalhanoğlu pour interrompre le mouvement Sarde et leur refuser l'égalisation. Ceci fait, l'Inter remet le pied sur l'accélérateur : projections, combinaisons et contre pressing haut permettent à l'Inter de se mettre à l'abri. Joli une-deux côté gauche entre Dimarco et Thuram, l'Italien percute puis sert Lautaro : notre capitaine se saisit du ballon, et d'un subtil crochet, vient éliminer son vis à vis. Dès lors, il n'a plus qu'à ajuster le portier adverse d'une frappe ras de terre (que le football est simple pour El Toro <3). L'Inter mène alors 2 buts à 0, et a fait le plus difficile. De l'autre côté, les Sardes voient leur capitaine Pavoletti sortir, remplacé par le dynamique Luvumbo. Ce dernier s'illustre dès lors par sa percussion et son imprévisibilité. L'Inter clôt alors tranquillement la 1ère mi-temps, forte d'un avantage de 2 buts. Au retour des vestiaires, la volonté Interiste est clairement établie : contrôler la fin de match et ne pas se mettre en danger. Thuram satisfait par sa capacité à faire jouer ses coéquipiers, grâce à une excellente qualité technique : ses contrôles sont fluides et ses passes bien senties. Au fil des minutes, le rythme ralentit : les Sardes, bien qu'ayant fait monter leur bloc, sont anesthésiés par la troublante maîtrise de l'Inter. Inzaghi effectue un triple changement à 20 minutes du terme de la rencontre : Dumfries, Dimarco et Barella cèdent respectivement leur place à Cuadrado, Augusto et Frattesi. Par ailleurs, l'ancien de Cagliari est applaudi à sa sortie par ses anciens supporters : une bien belle image. Mais les joueurs de Ranieri n'abandonnent pas : ils montent d'un cran en intensité et sont même proche d'obtenir un pénalty, par l'intermédiaire de Luvumbo. L'Inter doit son salut à un joli retour de Bastoni. Inzaghi effectue ensuite ses deux derniers changements : Arnautovic prend la place d'un très bon Thuram, tandis que Sensi remplace un Mkhitaryan moins en vue, souvent rattrapé par Çalhanoğlu, et victime d'un coup au genou. L'Inter termine son match tout en maîtrise, Çalhanoğlu heurtant le poteau droit en conclusion d'un beau mouvement collectif. Mais Luvumbo met encore la pagaille dans la défense : son centre, dévié, arrive dans les pieds de Azzi. Celui ci contraint Sommer, jusque là assez tranquille, à la parade. Les esprits s'échauffent quelque peu, puis l'arbitre, M. Michael Fabbri, siffle la fin du rendez-vous au terme des 5 minutes de temps additionnel. Match extrêmement sérieux de la part de nos Nerazzurri, ayant su se mettre à l'abri tôt pour confirmer une deuxième victoire de rang, ainsi qu'un second clean-sheet. Rendez-vous dimanche prochain, 18h30 à Meazza pour le premier test de la saison, et la réception de la Fiorentina d'Italiano. Tableau Récapitulatif Résumé Cagliari 0-2 Inter Buteur(s): 21' Dumfries (I), 30' Lautaro (I) Cagliari (4-2-3-1): 1 Radunovic; 27 Augello, 33 Obert, 4 Dossena, 28 Zappa (85' 61 Shomurodov); 25 Sulemana (85' 14 Deiola), 29 Makoumbou; 21 Jankto (60' 37 Azzi), 8 Nandez, 19 Oristanio (45' 99 Di Pardo); 30 Pavoletti (35' 77 Luvumbo) Banc: 22 Scuffet, 10 Viola, 14 Deiola, 39 Kourfalidis, 18 Aresti, 37 Azzi, 16 Prati, 77 Luvumbo, 3 Goldaniga, 61 Shomurodov, 99 Di Pardo Entraîneur: Claudio Ranieri Inter (3-5-2): 1 Sommer; 95 Bastoni, 6 De Vrij, 36 Darmian; 32 Dimarco (71' 30 Augusto), 22 Mkhitaryan (82' 5 Sensi), 20 Çalhanoğlu, 23 Barella (71' 16 Frattesi), 2 Dumfries (71' 7 Cuadrado); 9 Thuram (77' 8 Arnautovic), 10 Lautaro Banc: 8 Arnautovic, 31 Bisseck, 34 Agoumé, 7 Cuadrado, 21 Asllani, 49 Sarr, 50 Stankovic, 5 Sensi, 48 Guercio, 12 Di Gennaro, 77 Audero, 30 Augusto, 16 Frattesi Entraîneur: Simone Inzaghi Arbitre: Michaele Fabbri Averti(s): 81' 22 Mkhitaryan (I), 81' 77 Luvumbo (C) Exclu(s): / Internazionale.fr ~ © Aurios-Inter
  2. En effet, selon Tuttosport, la rencontre opposant l’Inter à la Fiorentina devrait représenter la dernière rencontre de Samir Handanovic entre les poteaux Nerazzurro pour un total de 454 matchs disputés sous nos couleurs, en étant qu’à une seule petite longueur d’Ivan Cordoba, actuel dixième au classement historique des présences des joueurs ayant évolués à l’Inter Le capitaine tentera de remporter son cinquième trophée en onze ans à l'Inter, après le Scudetto en 2020-21, cette Super Coupe et celle de l'an dernier, ainsi que la Coppa Italia de la saison dernière. Pour le joueur né en 1984, et suspendu lors de la demi-finale retour contre la Juventus, il pourrait s’agir de "The Last Dance" soit "La dernière danse": Son dernier match chez les Nerazzurri. Pour le reste, Simone Inzaghi semble enclin à aligner les titulaires. Edin Dzeko, qui n'a pas joué une seule minute contre Naples, devrait être présent aux côtés de Lautaro en attaque. En défense, toujours Darmian, Acerbi et Bastoni. A droite Dumfries, à gauche Dimarco, tandis qu'au milieu de terrain on retrouvera Çalhanoğlu, Brozovic et Barella. ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  3. En effet, auteur d’une saison en demi-teinte en Serie A, L’Inter pourrait tout de même rafler la mise en empochant pas moins de 160 millions d’euros d’ici au 30 juin 2023. 110 Millions d’euros ont déjà été récolé entre les différents matchs de coupes, et ce y compris l’accession à la Super Coupe d’Italie dans le Royaume d’Arabie Saoudite la saison prochaine et la recette historique, à venir, de mardi prochain A cette modique somme, il y a lieu d’ajouter les 50 millions d’euros qui sont à percevoir pour une place dans le Top 4 italien. Comprenez, terminer dans le top 4 viendrait à compenser de la plus belle des manières la perte, en fin de contrat, du traitre qui se nomme Skriniar. Mais s’il est douloureux d’enregistrer une perte de genre, cette situation est également valide dans le sens inverse : André Onana, Matteo Darmian, Henrik Mkhitaryan, Hakan Çalhanoğlu et Edin Dzeko, cinq titulaire indiscutable de cette Inter sont tous arrivés à titre gratuit ! ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  4. Il y a un réel espoir que le milieu de terrain de l'Inter Hakan Calhanoglu revienne de sa blessure à la cuisse à temps pour le match de Serie A de l'équipe contre Monza ce samedi. Ceci selon l'édition d'aujourd'hui du journal turinois Tuttosport, via FCInterNews , qui rapporte que l'international turc de 29 ans pourrait être disponible pour ce week-end, alors qu'il y a moins d'espoir pour un retour de Milan Skriniar. Calhanoglu a été absent lors des quatre derniers matches de l'Inter, après s'être blessé à la cuisse pendant la trêve internationale. Le joueur de 29 ans s'est blessé lors du match de qualification de l'équipe nationale turque pour l'EURO 2024 contre la Croatie et devrait être absent pendant deux ou trois semaines tout en se remettant d'un problème aux muscles adducteurs de sa cuisse droite. Alors que les Nerazzurri ont réussi à remporter une victoire 2-0 sur Benfica en Ligue des champions en l'absence de Calhanoglu, avec un Marcelo Brozovic exceptionnel dans le rôle de meneur de jeu, il ne fait aucun doute que le Turc est un joueur que Simone Inzaghi voudra le voir revenir dès que possible. L'Inter a encore quatre matches dans un calendrier chargé en avril, avec cinq autres à disputer, et les choses ne deviendront pas beaucoup moins mouvementées en mai. À cet égard, l'équipe pourrait obtenir un gros coup de pouce sous la forme d'un retour de Calhanoglu à l'horizon. La Gazzetta rapporte qu'il y a de l'espoir que le milieu de terrain, qui a jusqu'à présent fait un total de 37 apparitions pour l'Inter dans toutes les compétitions cette saison, puisse revenir pour au moins une apparition contre Monza ce week-end. Ensuite, l'objectif serait de rapprocher le joueur de 29 ans de sa pleine forme pour le match retour des quarts de finale de la Ligue des champions la semaine prochaine contre Benfica. Pendant ce temps, il y a moins d'espoir que Skriniar revienne samedi. Le Slovaque continue d'être absent avec une blessure au dos qui l'affecte depuis avant la trêve internationale, et la Gazzetta rapporte que le club n'espère pas le revoir contre Monza. Une Très Bonne Nouvelle! Traduction Lindt1908 Via SempreInter
  5. Stephane Dalmat s'est livré suite à la nouvelle défaite de l'Inter en Serie A, la neuvième de rang.... https://www.instagram.com/reel/CqASKC3IuRG/?utm_source=ig_web_copy_link "Bonjour à tous, Hier, c’était une défaite de l’Inter contre la Juventus, moi je vais vous dire la vérité, pour moi un match nul… la Juve mérite sa victoire: Je suis sur que l’on parlera toujours de la main que l’on peut siffler, que l’on peut ne pas siffler. Pour Vlahovic, je le vois bien, il ne la prend pas de la main, mais du ventre. Pour Rabiot, on peut discuter, ensuite on dira c’est toujours avec la Juve, ça se passe toujours avec la Juve: Oui, oui, ces situations se passent toujours avec la Juventus, mais il faut savoir accepter la vérité que sur ce match l’équipe d’Allegri et par-dessus tout l’entraineur ont été tactiquement extrêmement fort La Juve a joué bas, très bas et a laissé le ballon a l’Inter qui l’a fait tourné, qui avait la possession de balle à quasi 60 % mais elle pouvait jouer comme ça 4-5 heures et je suis certains qu’elle n’aurait jamais marqué, car lorsque tu joues contre une équipe comme ça qui joue bas : Toi tu as la possession du ballon, tu la fais tourner gauche, droite au milieu, tu fais des une deux …. Alors que la Juve, elle, attendait une perte de balle pour se projeter vers l’avant et elle a un joueur comme Rabiot qui sait comment aller de l’avant: C'est un milieu qui sait défendre et monter avec le ballon pour mettre ses attaquants en situation en attaquant la profondeur. C’est quelque chose que nous n’avons pas, nous avons quatre milieux, Çalhanoğlu, Mkhitaryan, Barella, Brozovic qui sont très fort en possession de balle, mais nous n’avons pas un ou deux joueurs qui savent passer l’homme pour faire la différence et pour se montrer dangereux face à la défense de la Juventus: C’est ce qui nous a manqué: Savoir prendre le ballon , on voyait Çalhanoğlu pour Brozovic pour Barella pour derrière, on fait tourner à gauche, à droite, des centres faciles pour le gardien, pour le défenseur… Comme ça non : Cela ne va pas tu peux jouer 4-5 heures comme ça, mais ça ne va pas face à une telle équipe: La Juve a joué très bien tactiquement et cela me fait mal de dire la vérité mais c’est comme ça : Elle a fait une partie parfaite. Ensuite, pour moi, l’Inter n’a pas ce genre de joueur ou deux joueurs qui prennent le risque de dribbler l’homme, faire le un contre un et faire la différence pour les attaquants. Ensuite, il y aura toujours la faute de main, "toujours avec la Juventus," mais selon moi ce n’est pas une excuse: Je suis déçu pour hier, je pensais comme je vous l’aviez dit auparavant que l’Inter allait procurer de très nombreuses sensations comme en Ligue des Champions face à Porto ou nous étions tous très content car l’équipe avait fait le travail, un match de guerrier, une très belle rencontre: En premier, il y a eu la défaite face à la Spezia et après la Ligue des Champions c’est une nouvelle défaite. On verra, on verra face à Benfica car ce sera encore un match difficile, mais il faut se concentrer sur le Championnat, vivement qu’elle se finisse cette saison et, selon moi, il faut changer l’entraineur car tactiquement, il a été inférieur, il n'a pas su trouver la solution pour mettre en difficulté la Juventus et il faut recruter deux trois joueurs qui savent faire la différence pour eux même ou pour les autres: Je suis triste. Je vous salue et je vous souhaite une bonne journée, que ce soit en bien ou en mal je vous parle toujours avec sincérité : Ce que je dis peut ne pas faire plaisir, mais je dis toujours ce que je pense et parfois lorsque je dis la vérité , les gens n’aime pas, mais c’est moi, je suis comme ça , je ne raconte pas de connerie. Comme je le dis toujours mes amis : Forza Inter! On se revoit pour le prochain match" ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  6. L'Inter a atteint le stade des quarts de finale de la Ligue des champions pour la première fois en 12 ans après une masterclass défensive à l'Estadio Do Dragao contre Porto s'est terminée sans but. Les Nerazzurri ont montré dès le départ que cela allait être un match où l'accent était mis sur la défense de l'avance dès le match aller, un plan de match exécuté à la perfection. En seconde période, les hommes de Simone Inzaghi ont continué à travailler dur en tant qu'unité et en équipe défensivement, sacrifiant l'attaque pour garder une cage inviolée, c'est pourquoi l'équipe n'a presque rien créé. Et l'Inter a eu de la chance vers la fin lorsque Porto a frappé les boiseries à quelques reprises après que Denzel Dumfries ait effectué un dégagement décisif sur la ligne de but et qu'André Onana ait effectué des arrêts gagnants. André Onana – 7 : A prouvé une fois pour toutes pourquoi il doit commencer chaque match à la place de Handanovic. Des arrêts d'une importance monumentale et gagnants. MOTM. Matteo Darmian - 7 : Performance héroïque qui ne sera jamais oubliée par les fans de l'Inter tant qu'il sera vivant sur cette terre. Le professionnalisme personnifié. Francesco Acerbi – 7 : phénoménal défensivement tout au long du jeu, faisant preuve de leadership et de caractère. A été moqué et ri à son arrivée. Qui rit maintenant? Alessandro Bastoni - 7: A été critiqué à juste titre pour ne pas être assez bon défensivement, mais sur la base de cette performance, ces pourparlers peuvent être mis au lit. Denzel Dumfries – 6: La note est uniquement pour le dégagement de la ligne de but qui a valu à l'Inter l'égalité parce que sa performance était par ailleurs catastrophique. Comme d'habitude. Nicolo Barella – 6 : N'a pas du tout fait un bon match, surtout en première mi-temps où il a égaré des passes simples à maintes reprises, mettant l'équipe en danger. Hakan Calhanoglu - 7 : Phénoménal une fois de plus au plus haut niveau. Aurait été MOTM sans l'héroïsme d'Onana et il est difficile de ne pas le lui attribuer. Henrikh Mkhitaryan – 6,5: A lutté en première mi-temps mais s'est travaillé dans le match et a montré pourquoi Inzaghi lui fait autant confiance qu'il le fait. Présence apaisante. Federico Dimarco – 7: A montré à quel point il se souciait en travaillant ses chaussettes à partir de la minute où le match a commencé jusqu'à ce qu'il ne puisse plus faire un pas de plus et qu'il soit sorti. Edin Dzeko – 5,5 : Mauvaise performance dans la phase offensive où il n'a absolument rien offert en perdant le ballon trop facilement mais a travaillé si dur en défense. Lautaro Martinez – 5,5 : Pire performance jusqu'à présent cette saison. Invisible pendant les 20 premières minutes des deux phases. Amélioré au fur et à mesure que le jeu avançait sans être bon. Romelu Lukaku – 5,5 : A remplacé Dzeko à la 70e minute pour aider l'Inter à conserver le ballon dans la moitié de terrain de Porto, ce qu'il n'a fait que quelques fois au maximum. Danilo D'Ambrosio – 6,5 : A remplacé Dimarco à la 70e minute et a montré à quel point il est important d'avoir sur le banc dans ces situations particulières. Stefan de Vrij - 6,5: Remplacé à la place d'un Bastoni blessé à la 74e minute et a bien aidé à renforcer la défense lorsque l'Inter était dans les cordes. Marcelo Brozovic – N/A : A été engagé pour sa BFF Barella à la 80e minute et n'a pas joué assez longtemps pour pouvoir être noté. Milan Skriniar – N/A : est entré sur le terrain à la 80e minute pour l'héroïque Darmian et n'a pas joué assez longtemps pour pouvoir être noté. Simone Inzaghi – 7 : A donné une masterclass défensive dont Helenio Herrera, Giovanni Trapattoni et José Mourinho auraient été fiers. Réalisation fantastique. Szymon Marciniak – 6 : Ennuyeux pointilleux et incohérent, ce qui a semblé irriter les joueurs des deux équipes. Vous avez toutes les bonnes décisions importantes, ce qui est le principal. Inter – 7 : En quarts de finale de la Ligue des champions pour la première fois depuis 2011 après une performance héroïque qui est déjà un classique de l'Inter. Qui était votre homme du match ? Traduction Lindt1908 Via Sempre Inter
  7. Stéphane Dalmat s'est livré suite à la qualification de l'Inter, pour les quarts de finale, de la Ligue des Champions! https://www.instagram.com/reel/CpzZMSXIRj3/?igshid=MDJmNzVkMjY%3D "Bonjour à tous Nous sommes en quart de finale et c’est fort mérité, fort fort mérité. Mais c’est vrai que l’on n’a pas vu une très belle partie , mais ça je m’en bats les c**lles. Le plus important c’est d’aller en quart de finale et l’équipe a superbement bien joué d’un point de vue tactique : La défense a été extraordinaire , le milieu de terrain, Barella, Çalhanoğlu Mkhitaryan, ils ont tous été très fort Je suis un peu déçu de Porto car Porto se devait d’attaquer, de marquer des buts pour se qualifier mais il n’a rien montré . Nous avons pu compter sur un très Grandissime Onana qui a sorti deux trois ballons en première mi-temps et ensuite plus rien : L’Inter l’a joué tranquille comme une rencontre du dimanche comment disent les vieux comme je le suis aussi (il rit) Mais ensuite, en seconde mi-temps, Porto a été un peu plus dangereux, mais nous n’avions pas peur, nous étions serein et l’Inter a eu quelques opportunité pour marquer, mais ce n’était pas son objectif car derrière, tous ont fait le job, tous ont se sont entraidés et ensuite nous sommes arrivés dans les cinq dernières minutes où Ouf, j’ai assez eu peur mais quand Onana fait une parade, t’en fais une seconde et que le ballon touche le poteau et ensuite la transversale, je n'avais pas peur à 100% car lorsque tu voyais la partie qu’avait fait l’Inter, tu savais que rien ne pouvait lui arriver. Et c’est comme ça que je veux voir l’Inter: Plus tard je vous parlerai du fond de jeux des autres matchs, mais pour ce match , elle a été parfaite , elle a 100% de mérite et je suis extrêmement content pour les joueurs, pour le Club pour les Tifosi. Jj’ai vu énormément de vidéos des Tifosi qui se baladaient déjà la veille à Porto et le jour du match, c’est dommage qu’un nombre de Tifosi n’a pas eu accès au Stade, mais la victoire est aussi pour eux. Je suis fier d’être un Tifoso de l’Inter, même quand ça va mal, et aussi ici quand ça va bien et j’attends tranquillement le tirage au sort pour les quarts de finale, ce sera autre chose mais c’est que du positif, ça faisait douze ans que l’Inter n’était plus arrivé à ce niveau, c’est si beau. Je vous souhaite une bonne journée, une très belle semaine et comme je vous le dis toujours : FORZA INTER" ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  8. Simone Inzaghi a levé les derniers doutes sur la formation en vue du match très important de ce soir contre Porto. La Défense devra se passer de Milan Skriniar et Lukaku qui devrait commencer sur le banc. "Milan Skriniar , 28 ans, a serré les dents et a accepté. Mais hier, c'était la première séance d'entraînement complète avec ses coéquipiers depuis le match aller contre Porto il y a trois semaines. L'autonomie est limitée, c'est pourquoi tout laisse croire que le Le Slovaque sera sur le banc. Et ce n'est pas un hasard si les tests tactiques d'hier parlaient d'un trio entièrement italien, avec Darmian aux côtés d'Acerbi et Bastoni. L'autre gros doute concerne le partenaire de Lautaro. Romelu Lukaku, hier à l'entraînement il était motivé, mais le favori pour s'élancer dès la première minute est Dzeko, tout comme au match aller. Ce sera probablement un relais entre les deux", révèle La Gazzetta dello Sport . « En attaque, Inzaghi a aussi récupéré Joaquin Correa, qui partira du banc. Il n'y a aucun doute au milieu de terrain : Brozovic ne représente pas une menace pour ces trois là, c'est-à-dire Barella-Calhanoglu-Mkhitaryan. Seul Gosens est resté à Milan : l'Allemand a ramené un problème musculaire au jumeau médial de la jambe gauche. Il manquera également le match de dimanche face à la Juventus et sera de nouveau disponible après la pause", ajoute le journal . Traduction Lindt1908 Via Inter1908
  9. Notre gardien André Onana a accordé une interview aux micros de DAZN pour le format "Culture". Voici ses mots À quoi ressemble votre journée type dans votre pays d'origine ? — Quand j'habitais là-bas j'étais très jeune, on se levait, on prenait le petit déjeuner et on allait travailler en ville. Je me souviens que des trains passaient près de chez moi, il fallait traverser les voies. Et nous marchions 45 minutes pour atteindre les champs où nous travaillions. Nous avons passé les journées à travailler et à être ensemble, puis nous rentrions à la maison. La chose la plus étonnante est que nous n'avions pas de lumière, nous avions des lanternes - nous les utilisions pour nous frayer un chemin dans l'obscurité. Il n'y avait pas d'école, je l'ai fréquentée à Yaoundé car mes parents travaillaient dans cette ville et mes frères et moi les suivions. Les enfants ont-ils joué au football ? — Oui, mais sans attentes. Ce que je vis est un rêve. Être joueur de l'Inter est quelque chose que je ne pouvais même pas imaginer dans mon enfance au Cameroun. Je ne sais pas si vous pouvez me comprendre parce que si je pense que je viens d'un endroit totalement différent, je viens d'un village sans lumière et d'une famille modeste. Imaginez ce que cela signifie pour moi si on me disait "tu joueras pour l'Inter" quand j'étais enfant. Je ne pouvais même pas en rêver, c'était impossible d'y penser. Quand avez-vous pensé à être gardien de but ? — Toujours enfant. J'ai 4 frères : nous étions 5, un nous a quitté. Mais quand on me pose cette question je dis instinctivement que nous sommes 5, je l'emporte toujours avec moi. Je suis le plus jeune de 4 garçons, l'aîné nous a quitté. Mon frère Christian, également gardien de but, joue en Indonésie : avant d'y jouer, quand on était au Cameroun, je l'accompagnais aux matchs, je portais son sac. J'ai vu comment il jouait et je suis tombé amoureux du rôle. Que seriez-vous devenu sinon ? — Officier de police. J'aime les responsabilités. J'aime beaucoup être gardien mais c'est un poste compliqué : tu fais bien aujourd'hui et tu fais des erreurs demain et c'est fini. Il faut être très fort mentalement car chaque erreur est un but L'Académie Eto'o ? — J'étais enfant, j'avais 11 ans, je rentrais de l'école et ma mère m'a dit qu'elle avait quelque chose d'important à me dire. L'entraîneur de l'Académie était venu me demander d'y aller et de jouer comme j'habite là-bas. Je vivais dans la maison du coach. J'y suis resté environ 4 ans : c'était très drôle quand le coach m'a appelé pour me dire que j'allais à Barcelone. Je ne savais rien, ma mère a appelé et lui a dit : je ne savais rien pendant une semaine, pendant ce temps je jouais. Avec l'Académie, nous avons fait de nombreux voyages en Europe, dans l'un d'entre eux, nous avons dû aller à Irun. Et le coach m'a dit : "Prends tous tes vêtements pour ce voyage." J'ai demandé pourquoi, il a répondu parce qu'il m'a dit. J'ai commencé à être nerveux parce que j'étais le seul à devoir faire mes affaires. Alors j'ai appelé ma mère pour lui dire, elle riait tout le temps : mon frère lui a dit de me dire la vérité. Puis il m'a dit de me calmer car il avait une nouvelle importante, que j'allais à Barcelone. Je veux dire, c'est comme ça que tu me le dis. Là j'ai commencé à réaliser : Cela s'est bien passé et j'ai signé quand j'avais 14 ans. Adama Traoré, Munir, Deulofeu, Thiago, Rafinha, beaucoup de talents ont joué avec moi. Où habitiez-vous? — Dans l'ancienne ferme. Y avez-vous appris à jouer avec vos pieds ? — Je savais déjà le faire, là j'ai appris l'approche par le bas, en apprenant à lire les situations. Cela dépend aussi de la formation avec laquelle vous jouez, ce n'est pas la même chose avec un 4-3-3 ou un 3-5-2. Pour moi c'est plus facile à 4, j'ai l'habitude, mais tous les schémas vont bien, si on se comprend, on joue bien au foot. Vous avez changé l'Inter dans celui-ci. — C'est moi qui ai changé pour l'Inter. Au cours des 20 dernières années, la position du gardien de but a changé. Ma façon de jouer et de voir le football, surtout dans les buts, est différente. Maintenant s'il y a de l'espace, la balle doit être jouée, il faut toujours chercher de l'espace. Quand je vous parle du gardien de but, je parle du moderne : un joueur au pied fort, en 1 contre 1, qui est courageux et qui transmet de la confiance et qui est fort dans les ballons hauts. Si tu as un gardien comme ça, tu as une force remarquable, tu joues en supériorité numérique avec le gardien. Le canard n'est plus un drame. — Pour progresser, il faut faire des erreurs. Si vous ne vous trompez pas, vous n'apprenez pas : quand vous gagnez, vous n'apprenez rien, la victoire couvre tout. Nous pouvons mal jouer, mais si nous gagnons, personne ne parle d'erreurs. En tant que gardien, il faut apprendre à nous convaincre, je n'y pense pas, je sais que ça va arriver : c'est un risque calculé. Ça fait partie de l'apprentissage, il faut être fort mentalement : si tu penses ne pas pouvoir faire d'erreur, tu te trompes. On n'a même pas à parler de ceux de Courtois et d'Alisson, ils sont très forts et prennent des risques. Si vous ne les dirigez pas, vous ne prenez aucun risque et vous n'aidez pas l'équipe. Ne prendre aucun risque, c'est jeter le ballon. Aimez-vous le bruit du San Siro lorsque vous prenez des risques ? — Je ne l'entends pas. A ce moment je suis dans mon monde. J'ai eu la chance de jouer des matchs importants dans de grands stades. J'ai ma musique dans la tête, je m'isole de la réalité. J'y suis, je vois beaucoup de monde, mais je n'y pense pas, je ne veux pas me faire écraser par le jeu. Je fais mon travail et je rentre chez moi. Vous avez joué une finale avec la peur de perdre. — Oui, avec beaucoup de peur. Et après ce match, je me suis dit que je ne jouerais jamais avec cette peur sur moi. Si nous jouions ensemble contre le Real et le Barça, je n'aurais pas peur. Même s'ils avaient 22 ans, je ne crains personne sur le terrain. J'ai perdu une finale de Ligue Europa par peur. Nous avons perdu ce match avant de le jouer : nous devions jouer contre United, nous sommes arrivés à Stockholm, j'ai appelé Van Der Sar et lui ai dit que je ne jouerais pas parce que je n'allais pas bien. Nous nous sommes réveillés le matin avec 7 joueurs malades. On était jeune, on était dans le tunnel, je vois De Gea derrière moi : six mois plus tôt je jouais sur PlayStation. Younes est venu vers moi et m'a dit de regarder l'énorme bras de Valencia et qu'il ne pouvait pas jouer contre lui. Que vous a dit Handanovic lors de votre rencontre ? — II m'a dit "bienvenue". Je le connaissais, je ne sais pas s'il me connaissait. Cela m'aide beaucoup. Je me souviens de son visage sérieux : nous sommes très différents, j'aime chanter, je suis gai. Il est très calme. Que s'est-il passé avec Dzeko ? — Ce sont des choses qui arrivent dans le football. Si nous devons faire cela pour gagner, faisons-le toujours. Si je dois crier sur Dzeko comme ça pour gagner, je le ferai. C'est moi qui ai le ballon et qui décide quoi faire : tout le monde le veut, Lautaro, Calhanoglu, Brozo, tout le monde ! Mais je décide et tu dois respecter ça. Je peux me tromper, mais vous devez l'accepter. Au final j'ai aimé ce qu'il a dit : il veut le ballon, je jouerai avec lui la prochaine fois. Quel est l'impact de votre personnalité sur l'équipe ? — Je dois aider l'équipe et si les aider signifie se disputer avec Dzeko ou Lautaro, j'ai la personnalité pour le faire. De ma position, je peux voir tout le terrain. Skriniar ou Acerbi me disent "à gauche", parce que si je suis concentré sur la croix, je ne vois nulle part ailleurs. A ce moment-là, ils voient mieux le terrain que moi et je dois leur faire confiance. Votre arrêt face à Porto ? — L'important est de parer, aussi beau soit-il. Le ballon rebondit et je ne le bloque pas, je le repousse et je sais que Barella sera là : je le fais parce que je fais confiance à mes coéquipiers au rebond. C'est quelque chose que j'aime vraiment. Votre retour au Cameroun après la Coupe du monde ? — J'y suis né et j'y ai grandi, j'y mourrai probablement. C'est mon pays, je l'aime. Pour le bien du pays, il faut parfois se retirer. Je jouais au foot, j'étais avec mes amis et ma famille en paix. Au final c'est important d'être avec eux et avec des gens qui vous connaissent, ce sont des gens qui ont toujours su comment ils sont. J'adore ces instants. Neuer ? — Pour moi c'est le meilleur gardien de l'histoire, il a révolutionné le poste : grâce à lui on est des gardiens qui jouent dans le football moderne. Lors de la Coupe du monde 2014, il a fait quelque chose d'incroyable et de jamais vu auparavant. Neuer m'a fait penser différemment. Buffon ? — En tant que gardien de but, il m'est difficile de parler de lui, c'est l'un des plus grands. J'ai joué contre lui en Coupe d'Italie : je lui ai demandé son maillot et il m'a aussi donné ses gants. J'étais heureux comme un enfant. Maignan ? — En 2017, j'étais le seul gardien noir qui jouait à un haut niveau. Maintenant, je suis content de revoir Mendy, Maignan et les autres. Je le connais bien, nous avons joué mille fois contre lui. Nous sommes amis, pas intimes : c'est un grand gardien, j'aime jouer contre lui. Nous avons joué contre 4 fois. Le meilleur? Je ne sais pas, mais dans ma tête je sais qui est le meilleur. Bravo à toi André pour ce si beau parcours! Traduction Lindt1908 Via Inter1908
  10. Selon le média italien Gazzetta.it , qui rapporte que les relations entre le joueur de 30 ans et son club se sont considérablement rompues, et que la porte de sortie est très probable étant donné qu’il n’occupe plus un rôle de premier choix sur le terrain. Brozovic est entré dans la saison en cours comme l'un des joueurs les plus importants de l'équipe de l'Inter. Le Croate a signé une prolongation de contrat avec les Nerazzurri au printemps dernier, engageant son avenir plutôt que de partir en transfert gratuit l'été dernier. Brozovic était considéré comme pratiquement irremplaçable sur le terrain, alors qu'il était également considéré comme un leader de l'équipe sur et en dehors du terrain. Cependant, cette saison, Hakan Calhanoglu a émergé comme un regista de qualité de départ lors des longues absences pour blessure de Brozovic, tandis que Henrikh Mkhitaryan est devenu un titulaire régulier au milieu de terrain. Cela a laissé peu de place à Brozovic, qui même depuis son retour est loin d'être assuré de sa place au milieu de terrain. Hier soir face à Lecce, c'est une nouvelle fois Calhanoglu et Mkhitaryan qui ont débuté aux côtés de Nicolo Barella au centre du terrain. Le fait que, même si Brozovic avait porté le brassard de capitaine lors de la défaite de dimanche dernier à Bologne, c'est Lautaro Martinez qui a affronté les médias après le match n'est pas non plus passé inaperçu auprès des dirigeants de l'Inter. Le sentiment est que le joueur de 30 ans a rapidement perdu beaucoup de son importance pour l'équipe à plus d'un titre, et est maintenant considéré comme inutile. En dehors de cela, les relations de l'Inter avec le joueur et ses représentants n'ont pas été excellentes en raison de la gestion de ses blessures cette saison par son physiothérapeute personnel. En conséquence, rapporte la Gazzetta, tous les signes indiquent maintenant que Brozovic est sur le point de partir cet été. Pour ou contre un départ du Croate cet été? Traduction Lindt1908 Via SempreINTER
  11. Simone Inzaghi s’est livré suite à la victoire ô combien compliquée de l'Inter sur Parme, en huitième de finale de la Coupe d'Italie: À Inter TV "Je savais que cette rencontre pourrait nous créer quelques problèmes. Selon moi, nous avons réalisé une très discrète première période et leur "Eurogol" nous a pénalisé. Ensuite, nous avons été lucide sans jamais perdre le fil et nous sommes revenu dans le match." Acerbi ? "Il a été bon, comme tous les joueurs qui sont rentrés et ceux que j’ai aligné en début de match. Tous m’ont apporté d’excellentes réponse: Après une trêve aussi longue que celle que nous avons connu, nous avons besoin de tout le monde. Nous étions mieux en place en phase de possession et j’ai demandé bien plus aux cinq entrants: Nous aurions dû égaliser avant, et nous avons été bon pour ne plus rien leur concéder et ce malgré le fait qu’ils avaient aligné sur le terrain trois attaquants." A Sport Mediaset "Je m’attarde sur ce qui s’est passé ce soir, pour samedi, tout le monde a bien vu ce qu’il s’est passé : C’était une rencontre difficile que nous avons joué discrètement, nous aurions pu bien faire circuler le ballon et mieux nous positionner. Ensuite, nous avons pris un but sur leur seul tir cadré, mais j’ai eu de très bons retoursde ceux qui ont le moins de temps de jeu. J’aurais préféré éviter de jouer 120 minutes, mais je savais que ce serait un match compliqué comme celui vécu face à Empoli, nous allons de l’avant avec confiance." Il y a tant d’absences, allez-vous les récupérer pour samedi et pour la Super Coupe ? "Les changements sont toujours impactés par le résultat, avant c’est toujours facile pour tout le monde. Ceux qui sont montés ont fait de très belles choses et ceux qui ont le moins joués m’ont apportés d’excellentes réponses. Nous devons continuer de la sorte, notre parcours en Ligue des Champions a été fantastiques tandis que nous avons perdus quelques points en championnat. Nous avons tant de matchs à disputer, les rotations vont s’avérer importantissime vu le nombre de matchs rapprochés : J'aurais besoin de tout le monde." Vu vos remplacements aujourd’hui, les titulaires auront souffert un peu plus d’une heure... "Concernant les changements, ça dépend toujours du résultat, seul ce dernier compte finalement. Ceux qui sont montés ont fait de belles choses et ceux qui avaient le moins joués m’ont apporté d’excellentes réponses : En Ligue des Champions, nous sommes allé au-delà des projections et il reste tant de matchs à disputer en championnat : Les rotations seront donc très importantes." Quel est le soucis avec Lukaku ? "Romelu est clairement importantissime pour nous, il est hélas confronté à une blessure musculaire et il a du mal à la gérer. Il s’était bien entrainé et samedi son inflammation était limité à son genou. Je l’ai laissé au repos et il le sera aussi demain, j’évaluerai quotidiennement comment faire pour le faire revenir au meilleur de sa forme : C’est une très grande valeur ajoutée, s’il avait été bien il aurait aussi pu nous apporter ces quelques points qui nous manquent en championnat : Par chance, nous n’avons pas ressenti son absence en Ligue des Champions." Vérone est en forme, à quel point il était important pour vous de jouer sur les ailes comme cela s’est passé ce soir avec Dimarco ? "Avoir de l’amplitude est fondamental dans tous nos matchs et nous cherchons à l’obtenir tout en récupérant nos forces : Avec Barella et Calha forfaits, le système de rotation était limité: Mkhitaryan a disputé son troisième match de la semaine. Je suis satisfait que nous sommes parvenus à remonter au score, cela m’a fait plaisir : Nous sommes l’Inter et nous tenons à aller de l’avant dans toutes les compétions que nous avons rempoté l’année dernière." En conférence de presse "Je dois revoir le match contre Empoli l'année dernière, mais je crois que ce soir nous avons plus souffert. Nous avons trouvé une équipe qui attendait de jouer ce match depuis longtemps. Nous avons dû faire circuler le ballon plus rapidement et nous nous sommes pris un but européen." "L'équipe, malgré le fait qu’il y ait eu tant de changement n’a pas été déstabilisée et est toujours restée concentrée et lucide: C'est de bon augure. Après une si longue trêve, la condition physique doit être améliorée. Nous parlons d'une équipe de l'Inter qui a battu Naples, et vu ce qu’il s’est passé à Monza, je considère que nous parlons d’une Inter qui a pratiquement gagné ses trois matchs en une semaine, avec un système de rotation réduit." "Nous devons améliorer notre condition physique, et j’espère récupérer les joueurs très importants que je n'ai jamais eus à ma disposition. Nous savons que nous sommes en retard en championnat, mais il reste encore tant de matchs à disputer et ils seront nombreux à être rapprochés. J’aurai besoin de tout mon effectif, de tout le monde." Dumfries? "Il revient d’une Coupe du Monde où il a disputé cinq matchs, il est fatigué : C’est un garçon généreux qui travaille pour revenir au top de sa forme. Il y a aussi des joueurs qui sont revenus en excellente condition, comme Lautaro et d'autres comme Denzel qui doivent s'améliorer. Il le sait et il travaille au mieux de ses capacités. C'est à moi que revient la décision de le faire jouer." Les chants pour Skriniar ? "Il s'échauffait et il sait qu’il est entouré de tifosi qui l’aime : Je le vois serein. Cela fait maintenant quelques années que l’Inter se qualifie en prolongation. Nous tenons à cette compétition, l'année dernière nous avons gagné ce trophée et il est représenté sur notre maillot." Est-ce mieux de se qualifier pour la Ligue des Champions ou de gagner des titres ? "Il faut avoir de la chance pour faire les deux. Je pense à la finale que nous avons gagnée en prolongation contre la Juventus, elle était magnifique. Ce soir c’était également une excellente soirée, je dédie la victoire aux Tifosi." ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  12. André Onana s’est livré au cours d’une très longue interview dans le cadre de Sport Week le complément hebdomadaire de la Gazzetta Dello Sport : "J’étais à l’Ajax et, il y a déjà une paire d’années, Piero Ausilio venait de contacter pour la première fois mon agent, il lui avait expliqué comment était clairement la situation, sans tourner au tour du pot, quelque chose que j’aime." "Dès cette première minute, je me sentais déjà Nerazzurro avant que la négociation commence, j’ai commencé à me ressentir comme le gardien de l’Inter, jour après jour. Quand un tel club de cet envergure pense à toi, comment peux-tu dire non ? Tu es flatté et heureux. A présent, je suis ici, dans une ville si magnifique avec une Tifoserie incroyable qui commence à m'aimer." Mais avant d’arriver à l’Inter, que signifiez, pour vous, le Fc Internazionale ? "Ce serait trop facile de dire Samuel Eto’o vu le lien que nous avons, mais ce n’est pas nécessaire d’attendre d’endosser le maillot pour connaitre l’Inter, vu les nombreux champions qui sont passé ici, avec de grands gardiens interistes en passant de Toldo qui était le cauchemar de Franck De Boer à Julio Cesar qui est l’un de mes préférés, quand je repense qu’il a été quasiment le premier à avoir connaissance de mon transfert." Pourquoi quasi ? "Tout était prêt, réglé, mais je ne pouvais en parler à personne. Je déjeunais à Barcelone et un ancien joueur de l'Inter, Houssine Kharja, s'est approché de ma table et m'a couvert d’éloges, il a ensuite appelé un ancien équipier par téléphone et j’entends qu’il lui dit : "Julio, je suis avec Onana, tu sais à quel point il est très fort, qui sait, peut-être qu'un jour il sera comme toi à l'Inter !". Il me passe le téléphone et Julio s’est immédiatement montré très gentil, il me dit de continuer ainsi, je le remercie mais je me mords la langue : je ne pouvais pas lui dire que Kharja, sans le savoir, m'avait pris en flagrant délit...." "À partir de ce moment-là, j'ai souvent parlé avec Julio Cesar, en plaisantant sur cette situation : Il m’avait aussi surmotivé avant la rencontre du Nou Camp, en me disant aussi de rester très calme et de profiter de la soirée. Des mots spéciaux, qui sont restés gravé en moi." Etes-vous surpris par le fait d’avoir été, en si peu de temps, titulaire ? "Non, car je sais qui je suis, je sais ce que je vaux et je continue mon parcours de croissance, entrainement après entrainement, je sais qu’en faisant du bon travail, que mon moment allait arriver rapidement. Avant d’arriver, j’avais conscience que j’allais devoir disputer cette place avec un gardien extraordinaire, qui a écrit l’histoire du club, mais qui est aussi et vraiment très différent de moi." Pourriez-vous nous en dire plus sur cette diversité ? "Si quelqu'un me demande "Samir est-il votre modèle ?", je ne peux que lui répondre... "non". C'est précisément en raison de cette diversité entre nous. Mais j'ajouterais aussi que c'est un très grandissime champion car sinon, il ne serait pas resté ici, à ce niveau, pendant 11 ans : Face à Handanovic, je ne peux que lui tirer mon chapeau. Il appartient à une école italienne différente de la mienne : il est très bon et sûr entre les poteaux, alors que je me sens comme un gardien moderne et "proactif". Je suis celui qui prend des risques, qui sort, accepte le un contre un et qui joue beaucoup avec ses pieds. Ce sont simplement des façons différentes d’occuper le poste de gardien, c’un enseignement différent du traditionnel, auquel on s'habitue." "Au début, nous nous regardions bizarrement à l'entraînement et l'un disait à l'autre : "Ne fais pas ça, tu le fais mal". Et l'autre lui répondait : "Non, c’est toi qui tu le fais mal" (il rit, ndlr). Personnellement, je fais face à des nouveaux types d’entraînements que je ne comprenais même pas au début, mais qui peuvent me permettre surtout d’évoluer." Quels sont vos rapports, maintenant que vous êtes parvenu à lui prendre sa place ? "Nous parlons beaucoup plus qu’auparavant, Samir se comporte comme un vrai Capitaine, c’est un Leader reconnu et on le perçoit dans tellement de petite chose, il ne suffit pas de penser qu’à moi, mais à tous les aspects au quotidien de l’équipe. J’apprécie le fait qu’il me donne des conseils, qu’il me félicite pour une belle parade et qu’il me corrige si je me trompe. Et même, il faut se rappeler d’une chose : L’Inter, en tant qu’Institution, est quelque chose de plus important que moi, que lui, ou que quelqu’un d’autre : Nous avons tous le devoir d’honorer et de défendre ce maillot, nous sommes seulement de passage alors que le Club et le Peuple Interiste restera, ces derniers points sont ceux qui comptent vraiment." Est-ce mieux de débuter d’une façon banale ou de débuter face à une super équipe comme le Bayern, comme cela s’est produit pour vous ? "Tu ne peux pas te prononcer avant, car si le Bayern t’en colle 5, c’est le pire des débuts. En 2017, je me suis incliné avec l’Ajax en finale de l’Europa League face à Manchester United, ce n’était pas parce que nous étions inférieur à eux, mais parce que nous en avions eu peur. Le lendemain du match ma mère m’a appelé et m’a dit : "Je ne veux plus que tu aies peur sur un terrain de football, même si tu dois jouer face au Barça et au Real réunis : Si tu perds, ce ne doit plus être parce que tu as tremblé ou baissé le regard, mais parce que ton adversaire aura été supérieur." C'est devenu une règle de vie. En général, je m'entraîne et je vis pour défier de grandes équipes comme le Bayern et au final , ça s'est plutôt bien passé, même si je ne me réjouirai jamais d'une défaite." Ressentez-vous le fait que vous avez changé l’Inter, de par votre présence entre les cages ? "Je peux vous dire que l’équipe s’est habituée à mon style: A présent, si sur un centre je ne sors pas, Skriniar me lance un regard noirs et Dumfries me hurler Onaaaaa !Je leur réponds que je ne peux pas toujours sortir, pas toujours, mais le fait qu’eux sont sur mes talons comme ça me rend fier, cela veut dire qu’ils se fient à moi, qu’ils m’ont compris, qu’ils veulent que je prenne des risques. De plus, j’aime les rencontres où il y a des combats en défense, rien de plus ne peut m’exalter plus qu’une rencontre comme celle que nous avons tous joué au Nou Camp." "Je regardais de loin l’équipe et c’était un spectacle, elle était compacte, rapprochée, unique, elle bougeait comme un seul homme, patiente, même si mes anciens équipiers en catalogne nous ont accusé d’être sur la défensive. Quand on voit Skriniar s'en prendre à un joueur avec une telle hargne, je me prends dans la gueule sa motivation et je me dis : "Quel guerrier !. J'irais toujours au combats avec lui, tout le temps !" Mais tous nos défenseurs, sont si grands, si costauds, ils me font me sentir protégé. Même si je sais que nous encaissons trop de buts jusqu'à présent...". Pour certains, il se dit que vous exagérez à sortir avec une telle imprudence... "Je me bats pour l'équipe, pas pour ce qui se dit à l'extérieur. Si je peux attraper une balle haute, alors je peux relancer l’équipe vers l’avant rapidement. Plus je sors, plus on peut se relancer : Le gardien est le premier créateur de jeu maintenant." Une grande partie du mérite, à Barcelone sur le 2-3 de Robin Gosens, vous en revient… "Non, c'est toute l’Inter, c’est une équipe de très très haute qualité : Nous devons juste être conscients de notre potentiel et nous pourrions nous montrer des plus dangereux en Ligue des Champions, croyez-moi. Ce jour-là, j’ai relancé rapidement car j'ai vu Lautaro faire un mouvement avec sa main, comme un signal, et le reste de son action de jeu a été phénoménale avec une conclusion parfaite de Robin:Cette équipe de l’Inter est composée d’énormément de joueurs technique." Est-ce que Lukaku vous manque ? "Enormément, mais lorsqu’il reviendra, il donnera, comme toujours, son maximum. Et d’un autre côté, le peuple interiste l’adore, mais il l’adore vraiment : Lorsqu’il a commencé à s’échauffer face au Viktoria Plzen au Giuseppe Meazza, j’ai entendu un “ohhhh” incroyable accompagné d’un tremblement de terre sous mes pieds : Je n’avais jamais connu une telle manifestation d’amour, je n’avais jamais vu une Tifoserie aussi passionnée, mais savez-vous qui est vraiment le plus grand champion de l’Inter ?" Nous vous le laissons dire... "Alex Cordaz : C’est la personne la plus positive que j’ai pu rencontrer, c’est un être humain merveilleux, si tu arrives à Appiano triste suite à ta contre-performance, tu le regardes en face-à-face et il parvient à te changer ton humeur : S’il n’est pas là, ça ne le fait pas, il fait la toute la différence du monde, et ce n’est pas valable que pour moi, mais aussi pour tous mes équipiers. Ce n’est pas un fou mais c’est aussi grâce à Cordaz que Barella va plus vite : Je lui répète quotidiennement : Alex, c’est un Honneur pour moi de m’entrainer à tes côtés." Mais s’il y a autant de qualité dans l’équipe, pourquoi êtes-vous aussi en retard en championnat ? "Nous devons rester serein et dans le même temps admettre que nous avons mal démarré : Les choses peuvent changer vite aussi bien dans la vie que dans le Calcio, et nous savons que cette fois-ci nous disputerons deux championnats. Personne ne peut savoir, à la reprise, si le Napoli sera encore comme celui qu’il était jusqu’à présent. Mais, en attendant, nous sommes parvenus à redresser définitivement la tête hors de l’eau et à montrer que nous sommes tous vraiment fort, nous serons présent comme ça en février et ensuite, qui sait…" Qui vous a, hors du terrain, le plus aidé à vous intégrer ? "Je dirais un peu tout le monde: En plus de Rom, je partage une belle amitié avec Calha et Dumfries, qui est un autre joueur sur le terrain qui me plait car il n’abdique jamais, il se donne, il tente de toujours y aller en allant jusqu’au bout. Nous ne faisons pas énormément partie de la vie mondaine, mais je suis fier du groupe que nous sommes parvenu à nous créer: Il y a vraiment un très beau climat dans cette Inter." Comprenez-vous que les Tifosi aient déjà de l’affection pour vous ? "En plus de mes parades sur le terrain, j’apporte de l’énergie, de la folie, mais toujours positivement." Pour finir : Un message pour votre nouvelle Tifoserie ? "Je pourrais me toiler, mais je travaillerai quotidiennement pour être à la hauteur de l‘Inter pour que vous, les Tifosi, soyez fier de moi!." ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  13. C’est une information que nous relaye Tuttosport : "Jusqu'à il y a quelques semaines, l'Inter ne prévoyait pas cette possibilité, mais ces derniers jours, l'orientation du club a changé lors des réunions organisées pour analyser les performances de l'équipe et dont l’objectif est d’évaluer la préparation athlétique." "Quelque chose n'a pas fonctionné est sous les yeux de tous, même si selon les données en possession du Staff de Simone Inzaghi il n'y aurait pas de points alarmants et s’il est inutile de ne pas ressasser le passé, mais de se concentrer sur l'avenir, c’est parce que tous sont convaincu que le Tournant de la saison aura lieu après la Coupe du Monde au Qatar." "Et c’est précisément là où le Club compte s’envoler, étant donné que le 18 janvier, la Super Coupe d’Italie se disputera à Riyadh contre le Milan AC et le premier trophée revêtira une importance toute particulière à la lumière des étincelles qui ont produit les derniers derbys: Avec l'élimination de l'Italie, Simone Inzaghi aura beaucoup d’éléments avec qui travailler, comme les joueurs présents hier à Appiano : Alex Cordaz, Samir Handanovic, Danilo D’Ambrosio, Matteo Darmian, Roberto Gagliardini, Henrik Mkhitaryan, Hakan Çalhanoğlu et Romelu Lukaku. Mais le Big Rom sera lui "absent" car occupé au Mondial avec la Belgique. Toutefois, il y aura la présence des Francesco Acerbi, Nicolò Barella, Alessandro Bastoni, Federico Dimarco, Edin Dzeko, Milan Skriniar et Raoul Bellanova, sans oublier Joaquin Correa et Robin Gosens qui ne sont pas sûr de disputer le Mondial avec l’Argentine et l'Allemagne." "Cette thématique sera d’ailleurs abordée aujourd'hui à la Pinetina lors de la rencontre entre Giuseppe Marotta, Piero Ausilio et Simone Inzaghi entouré de son staff. L'objectif est que tous se regardent droit dans les yeux pour tout mettre en œuvre pour inverser la tendance de la saison… Et un stage dans la chaleur qatarie pourrait, peut-être, être la première clé d'un nouveau départ après la Coupe du Monde." ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  14. Pour son retour à Giuseppe Meazza, et dans le cadre de la 2ème journée de Série A, l'Inter recevait La Spezia de Luca Gotti, ancien de l'Udinese. Après une timide entrée en matière la semaine dernière, qui a été marquée par le but inespéré de Dumfries au bout de la nuit à Lecce, les joueurs de Simone Inzaghi ont remis l'église au centre du village en dominant La Spezia 3-0. Dès le coup d'envoi, les intentions étaient claires : attaquer et marquer rapidement ce premier but. Romelu Lukaku et Lautaro Martínez sont beaucoup recherchés, ainsi que les deux pistons, Denzel Dumfries à droite et Federico Dimarco à gauche. Cela conduit à un grand nombre de hors-jeu signalés dans les premières minutes. La première occasion de la partie arrive à la neuvième minutes de jeu, lorsqu'Hakan Çalhanoğlu botte un coup franc excentré sur la tête de Dumfries, qui vient butter sur Dragowski. Le Hollandais est très entreprenant sur son côté droit, proposant de bonnes solutions à ses partenaires. C'est ensuite au tour de Lautaro de tester la vigilance du portier Polonais. Suite à un bon contrôle orienté, l'Argentin frappe fort au premier poteau, sans succès. L'ancien du Racing se montre créatif dans le dernier tiers. Au milieu de terrain, la dynamo Nicoló Barella propose en permanence des solutions de passes, avec un volume de jeu débordant. Marcelo Brozović, quant à lui, nous fait du Brozović : il nettoie les ballons du milieu et les recycle à merveille, malgré quelques pertes de balles inhabituelles. Le troisième mousquetaire, Çalhanoğlu, est celui qui oriente le jeu des Nerazzurri, maniant la pelota à la perfection, en la faisant fuser d'un côté à l'autre du rectangle vert. La défense, elle, est plutôt tranquille tant La Spezia est invisible. Notons tous de même les quelques sautes de concentration de notre ami Stefan De Vrij, qui, de match en match, semble de moins en moins serein. Le rythme retombe un peu. Jusqu'à la trente-deuxième minute, et la tentative de Lautaro en pivot, suivie de celle de Dumfries, bien aidé par le bon travail de Lukaku : les deux échouent. Mais l'Inter est déterminée à faire la différence avant la mi-temps. Et la différence va effectivement venir quelques minutes plus tard. Barella trouve Lukaku derrière la défense des Spezzini, qui remise de la tête pour Lautaro Martínez, alors seul. Le natif de Bahía Blanca, dans la Province de Buenos Aires, ne se fait pas prier : il envoie une mine du gauche en une touche de balle dans le petit filet droit de Dragowski. La LuLa fait mouche et ça fait 1-0 pour l'Inter. Les Nerazzurri poussent pour faire le break avant la pause : Lukaku trouve la barre transversale après un superbe coup de tête suite à un centre d'Alessandro Bastoni, tandis que Lautaro, sur l'action suivante, est coupable d'un petit raté, alors qu'il était plutôt seul au cinq mètres cinquante. L'arbitre de la rencontre, Davide Ghersini, siffle la mi-temps sans accorder de temps additionnel. L'Inter est l'auteure d'une première période sérieuse, avec un bon nombre d'occasions à l'appel. Il faudra faire preuve de plus d'efficacité en seconde mi-temps. Et de fait, les coéquipiers de Milan Škriniar () ne vont pas mettre longtemps à tuer la rencontre. Après une tête non cadrée de De Vrij au retour des vestiaires, c'est Hakan Çalhanoğlu qui, après un exellent boulot de Lukaku balle au pied, vient placer son ballon à ras-de-terre au premier poteau : plat du pied sécurité, 2-0 pour l'Inter. Après avoir réalisé le break, l'Inter poursuit son match en maîtrisant le rythme. La Spezia patauge et ne parvient toujours pas à se créer d'occasions franches. Le temps passe, Edin Džeko et Robin Gosens entrent en jeu. À la quatre-vingt-deuxième minutes, Džeko, à la réception d'un bon ballon de Barella, réussit à glisser celui-ci à Joaquín Correa, fraîchement rentré sur la pelouse. L'ancien protégé de Simone Inzaghi à la Lazio reste lucide et place son ballon, avec beaucoup de lucidité, dans le petit filet gauche d'un Dragowski parti aux champignons. Un dernier changement avec Kristjan Asllani, qui se laisse aller à un petit élastico, et l'Inter dit au revoir à une Spezia décidément bien inexistante. Davide Ghersini siffle la fin d'une rencontre dominée, avec beaucoup de sérieux par l'Inter, à l'inverse du déplacement périlleux de la semaine dernière dans les Pouilles. Trois buts marqués, un clean-sheet et la connexion LuLa retrouvée, l'Inter a rendez-vous vendredi prochain, 20:45, à l'Olimpico pour y affronter la Lazio de Maurizio Sarri. Tableau Récapitulatif Résumé vidéo Inter 3 - 0 Spezia Buteur(s): 35' Lautaro (I), 52' Çalhanoğlu (I), 82' Correa (I) Inter (3-5-2): 1 Handanović; 37 Škriniar, 6 De Vrij, 95 Bastoni; 2 Dumfries, 23 Barella, 77 Brozović (85' 14 Asllani), 20 Çalhanoğlu (76' 5 Gagliardini), 32 Dimarco (68' 8 Gosens); 90 Lukaku (68' 9 Džeko), 10 Lautaro (76' 11 Correa) Banc: 11 Correa, 5 Gagliardini, 8 Gosens, 21 Cordaz, 24 Onana, 12 Bellanova, 33 D'Ambrosio, 36 Darmian, 9 Džeko, 42 Agoumé, 14 Asllani Entraîneur: Simone Inzaghi Spezia (3-5-2): 69 Dragowski; 29 Caldara (67' 15 Hristov, 14 Kiwior, 43 Nikolaou; 11 Gyasi (90' 2 Holm), 33 Agudelo (90' 28 Ellertsson), 6 Bourabia, 20 Bastoni (79' 24 Kovalenko), 13 Reca; 7 Sala (67' 44 Strelec), 18 Nzola Banc: 28 Ellertsson, 77 Bertola, 40 Zovko, 44 Strelec, 30 Maldini, 89 Sanca, 24 Kovalenko, 17 Podgoreanu, 2 Holm, 8 Ekdal, 23 Capradossi, 15 Hristov, 1 Zoet Entraîneur: Luca Gotti Arbitre: Davide Ghersini VAR: Marco Guida Averti(s): / Exclu(s): / ®Internazionale.fr ~ Aurios-Inter
  15. L'Inter a clôturé sa saison avec une victoire 3-0 sur la Sampdoria, à Giuseppe Meazza. Ce fut le 52ème match de l'équipe cette saison (38 en Série A, 8 en Ligue des champions, 5 en Coupe d'Italie et un en Super Coupe d'Italie) durant lesquels les Nerazzurri ont remporté la Coupe d'Italie et la Super Coupe, sécurisé une seconde place en championnat et accroché les 8ème de finale de la C1. En Série A, l'Inter a récolté 84 points grâce à 25 victoires, 9 nuls et 4 défaites. Au total, les hommes d'Inzaghi ont la meilleure attaque du championnat, avec 84 buts inscrits, et 32 encaissés. Les Nerazzurri ont trouvé le chemin des filets lors de 35 des 38 rencontres de Série A, plus que quiconque. Il y a également eu 15 cleans sheets en cours de route. Le Troisième doublé de Correa Joaquín Correa a joué un rôle clé contre la Sampdoria avec un doublé lors du second acte. L'Argentin compte 6 buts en championnat au bout du compte, tous marqué grâce à des doublés, contre le Hellas Vérone et l'Udinese. Ses 2 buts sont venus avec seulement 1 minute et 59 secondes d'intervalle. Correa a marqué plus d'1 but lors des 5 derniers matchs de Série A au cours desquels il en a inscrit 1. Les passes décisives de Barella et de Çalhanoğlu Les deux milieux de terrain de l'Inter ont apporté leur contribution lors de ce dernier match de la saison. Nicolò Barella et Hakan Çalhanoğlu ont distribué une passe décisive chacun à Meazza, à Ivan Perišić pour l'Italien et à Joaquín Correa pour le Turc. Ils ont fini la saison avec 12 passes décisives chacun, ce qui est plus que n'importe quel autre joueur de l'Inter depuis qu'Opta analyse ces données (2004/05). Et alors que Çalhanoğlu a souvent distribué depuis le poteau de corner, les 12 passes décisives de Barella sont toutes venues du jeu. De tous les joueurs dans les 5 grands championnats européens, seul Christopher Nkunku égale l'Italien dans cette catégorie. Perišić marque encore Perišić a ouvert le score contre la Sampdoria pour terminer une magnifique saison. Le Croate a marqué 10 buts en 49 apparitions, dont 8 en championnat, aidant l'ailier à devenir le joueur avec le plus de buts en Série A pour l'Inter, actuellement présent dans l'effectif. ®Internazionale.fr ~ Aurios-Inter Via Inter.it
  16. Excitation, tension, drame... La Juventus contre l'Inter était un match qui avait tout pour plaire. Au final, la détermination et le cœur ont suffi à faire la différence, puisque les Nerazzurri sont revenus de Turin avec 3 pts pour la première fois en dix ans, grâce au but décisif de Hakan Çalhanoğlu. Pour marquer ce grand match du calendrier, l'Inter et Socios.com se sont associés pour organiser un événement spécial pour les détenteurs de jetons $INTER Fan, qui ont été accueillis au QG de l'Inter pour profiter de tout le match. Ils ont été rejoints par l'invité spécial Fabio Galante. L'ancien défenseur de l'Inter a passé quatre saisons avec les Nerazzurri, avec la victoire en Coupe de l'UEFA 1997/98 comme point culminant de son aventure à l'Inter. Il a accompagné les invités pendant toute la soirée. Avant le coup d'envoi, tout le monde a eu l'occasion d'explorer le QG de l'Inter dans le Viale della Liberazione, en visitant les salles du Patrimoine et des Trophées du club, où tout le monde a pu revivre les succès historiques de l'Inter. Mais tous les yeux étaient rivés sur l'action lorsque le match a commencé, sous le regard attentif de la salle des médias. Ici, ils ont pu partager la joie et la douleur des hommes de Simone Inzaghi pendant le match, avant de célébrer le fantastique résultat à la fin. ®Internazionale.fr ~ Kroutch Via Inter.it
  17. Tout ce dont vous devez savoir avant le match de dimanche soir. Milan - Les Nerazzurri feront face au Torino ce dimanche à 20:45, dans le cadre de la 29ème journée de Série A. Leur dernière rencontre était le 22 Décembre, un match qui a clôturé l'année 2021 de l'Inter par une victoire, grâce à un but décisif de Denzel Dumfries à la 30ème minute de jeu à Giuseppe Meazza. Rencontres précédentes Il y a eu 155 matchs entre les deux équipes. L'Inter mène au nombre de victoire, avec 70 matchs remportés. Le Torino compte quant à lui 36 victoires. Il y a également eu 49 matchs nuls. Seule la Juventus, avec 74, a plus de victoires contre le Toro en Série A. Plus récemment, l'Inter a remporté les 5 dernières confrontations, ainsi que 12 des 17 derniers matchs à l'extérieur, perdant seulement 2 fois et concédant le nul 3 fois. Formes L'Inter arrive à Turin avec une victoire 5-0 contre Salernitana à leur actif. Ils comptent 58 points après 27 journées. Sur leur route, les Nerazzurri ont glané 3 points lors de leurs 3 derniers déplacements, faisant matchs nuls contre l'Atalanta, le Napoli et le Genoa. L'équipe de Simone Inzaghi a concédé seulement 2 buts lors de leurs 8 derniers matchs à l'extérieur en Série A. En fait, depuis début Octobre, aucune équipe dans les 5 championnats majeurs a encaissé moins de buts (6) et obtenu plus de clean sheets (6) hors de leurs stade que l'Inter. Le Torino, pendant ce temps, reste sur un match nul et vierge contre Bologne. Les hommes d'Ivan Juric n'ont pas connu la victoire lors de leurs 6 derniers matchs, avec 3 nuls et 3 défaites. La dernière fois qu'is ont connu une si longue série sans victoire, c'était en Décembre 2020, sous Marco Giampaolo : 8 matchs sans victoire. Leurs résultats contre les meilleures équipes ne sont pas plus réjouissants, ayant perdu 1-0 chacun des trois matchs qu'ils ont joués contre une équipe du top 2 cette année. Note plus positive, le Toro a trouvé le chemin des filets lors de leurs 10 derniers matchs de Série A à domicile, marquant 20 buts au total, soit environ 2 par match. Ils n'ont pas dépassé ce chiffre en une saison depuis Décembre 2018. Statistiques générales Le Torino a la plus grande différence (+14) entre les points obtenus à domicile (24) et à l'extérieur (10) en Série A cette année. La rencontre oppose l'équipe avec le record de point obtenus après avoir été menée, contre l'équipe avec le pire score. L'Inter est allé chercher 17 points depuis une position perdante, alors que le Torino n'en a pris que 4. En revanche, en ce qui concerne la défense, seul Naples (8) a encaissé moins de buts que le Torino (10) avant le coup de sifflet de la mi-temps, tandis que l'Inter (9) a le meilleur bilan défensif de la Serie A en deuxième mi-temps. Focus sur les joueurs Lautaro Martínez a été directement impliqué dans cinq buts lors des cinq derniers matches contre le Torino en championnat, avec quatre buts pour lui et une passe décisive. Il n'y a que contre Cagliari qu'il a un meilleur bilan en première division Italienne, avec sept contributions. Si l'attaquant argentin venait à marquer, il deviendrait le cinquième joueur de l'Inter (depuis le début de la victoire à 3 points) à faire trembler les filets lors de trois matchs consécutifs à l'extérieur contre un même adversaire. Il a marqué en déplacement contre le Toro du 23 novembre 2019 au 14 mars 2021. Les seuls autres joueurs à avoir réalisé cette prouesse depuis sont Christian Vieri (contre Pérouse), Álvaro Recoba (contre Empoli et contre la Reggina), Ivan Perišić (contre la Fiorentina) et Mauro Icardi (contre Cagliari). Pour Edin Džeko, en revanche, la rencontre a été moins fructueuse. De toutes les équipes qu'il a affrontées au moins 10 fois, le Torino est l'un des trois adversaires, avec la Lazio et la Juventus, où il a été impliqué dans le moins de buts (4 au total, avec 3 buts et 1 passe décisive). Nicolò Barella a le plus grand nombre de passes décisives dans le jeu (9) dans les cinq grands championnats européens cette année. Florian Wirtz, Sergej Milinkovic-Savic et Paul Pogba sont juste derrière lui, avec 8. Il pourrait devenir le premier joueur de l'Inter à atteindre les 10 passes décisives en championnat avant la 30e journée depuis 2004/05. Dans le même idée, Hakan Çalhanoğlu est le joueur qui a délivré le plus grand nombre de passes décisives sur coups de pied arrêtés, soit 6 depuis le début de la saison. Si l'on compare avec les autres gardiens de but ayant au moins 25 apparitions en Série A cette saison, Samir Handanović a le meilleur pourcentage d'arrêts, de 77 %. Vanja Milinkovic-Savic est deuxième avec 62%, et Lorenzo Montipò, qui suit de près, avec 61%. Milan Škriniar fera sa 200e apparition en Série A depuis ses débuts en championnat le 24 avril 2016 contre la Sampdoria. En défense, seul Francesco Acerbi a disputé plus de matchs de première division (205). C'est lors de la rencontre à l'aller, en Décembre, que Denzel Dumfries a inscrit son dernier but en championnat. De tous les défenseurs des cinq grands championnats européens, c'est celui qui a touché le plus de ballon dans la surface de réparation adverse (92). Le Torino est la seule équipe contre laquelle Federico Dimarco a marqué plus d'un but en Série A, les deux ayant été inscrits en 2021 pour Vérone sous la direction d'Ivan Juric (le 6 janvier et le 9 mai). Alexis Sánchez a obtenu son plus grand nombre de passes décisives contre une équipe dans cette confrontation, avec 5 en 6 rencontres. Le Chilien a également marqué lors de la rencontre du 22 novembre 2020. C'est contre le Toro que Stefan De Vrij a inscrit son tout premier but avec l'Inter, en Août 2018. Danilo D'Ambrosio, quant à lui, affrontera son ancienne équipe, avec laquelle il a fait 42 apparitions et marqué 4 buts en championnat lors des saisons 2012/13 et 2013/14. Matteo Darmian est également passé de l'autre côté du terrain, puisqu'il a disputé 100 matchs de championnat pour le Toro entre 2012 et 2015, marquant 2 buts. DÉTAILS DISCIPLINAIRES Suspendu : Torino : N/A Inter : N/A À un avertissement d'une suspension : Torino : Aina, Buongiorno, Djidji, Pobega Inter : Lautaro Martínez, Vidal ®Internazionale.fr ~ Aurios-Inter Via Inter.it
  18. Samuel Eto’o, légende de l’Inter du Triplé s’est livré sur les cinq clés qui débloqueront, quoiqu’il arrive, la double confrontation face à Liverpool: Son interview au Mirror VIDAL-HENDERSON "Dans un soir comme celui-ci, l’expérience compte énormément, aucun des deux n’est le plus jeune ou le plus rapide, mais ils ont tous les deux disputé énormément de parties importantes ces dernières années: Il y aura des moments, lors du match, ou chaque équipe aura besoin de sérénité." DZEKO-VAN DIJK "Même à son âge, Edin reste un des plus grands buteurs d'Italie, il est très fort de la tête et si l’Inter parvient à le servir dans des bonnes conditions, il sera dangereux. Les qualités de Van Dijk sont évidentes, c’est l’un des meilleurs défenseurs du tournoi." CALHANOGLU-THIAGO "Hakan a été une acquisition importante pour l’Inter, il déborde de créativité et d’imagination. Thiago aura un rôle important pour devoir le canaliser. Çalhanoğlu a tant d’impact pour l’Inter, il sera important pour Liverpool de parvenir à le museler." SKRINIAR-MANÉ "Skriniar est l’un des défenseurs parmi les plus expérimentés d’Italie, et il aura besoin de faire usage de toute son expérience pour faire face aux qualités offensives de Liverpool. Mané sera très confiant suite à la Coupe d’Afrique des Nations, il aura faim de titres." LAUTARO-MATIP "Martinez est très brave, il a énormément de qualité et il peut faire la différence pour l’Inter. S’il parvient à les démontrer lors de ces deux matchs, ce sera difficile pour les défenseurs, même pour quelqu’un aussi expérimenté que Matip." Selon vous, quel secteur fera, déjà, la différence ce soir ? ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  19. Après la triste défaite contre le Milan samedi dernier, l'Inter devait se racheter. Mais un gros client se présentait face à elle: le Napoli de Luciano Spalletti, qui pouvait dépasser son adversaire du jour, et ainsi prendre la tête du championnat avec une victoire. Mais aucune équipe n'empochera la mise. L'Inter alignait son onze titulaire, à l'exception d'Alessandro Bastoni, blessé à la cheville (et suspendu). Il est remplacé par Federico Dimarco. Du côté du Napoli, il y avait le grand retour en défense du récent champion d'Afrique Kalidou Koulibaly. Le reste du onze était classique. Dès les premières minutes, quelque chose cloche du côté de l'Inter. Elle n'a pas sa maîtrise habituelle du terrain. Le duo Napolitain Lobotka-Ruiz donne du fil à retordre au milieu Nerazzurri. Ce malaise se traduit par un pénalty concédé par Stefan De Vrij pour une faute sur Victor Osimhen. Le Néerlandais accroche la cheville du Nigérian, en étant très en retard. Le capitaine du Napoli Lorenzo Insigne ne se fait pas prier, et envoie un missile dans les filets de Samir Handanović. Un à zéro pour Naples. L'Inter ne parvient pas à se montrer dangereuse offensivement, tandis que le plan de jeu tout en contre attaque de Spalletti est parfaitement exécuté. Piotr Zielinski trouve d'ailleurs le poteau sur une frappe lointaine. Début de match catastrophique des Nerazzurri, qui ne passent pas loin de la correctionnelle. L'Inter parvient tout de même à calmer les ardeurs Napolitaines, en mettant progressivement en place son jeu de possession. Mais les individualités font défaut à l'Inter. De Vrij est malmené par Osimhen, et Çalhanoğlu retrouve son niveau du début de saison. L'Inter perd la bataille du milieu. Elle ne maîtrise pas la partie. La possession est là, certes, mais les occasions ne suivent pas. Le seul joueur apportant un peu de danger est Denzel Dumfries. L'ailier montre une grande volonté d'aller de l'avant, mais c'est malheureusement l'un des seuls. Au delà de cela, l'inter n'est pas dangereuse. En revanche, le Napoli arrive à se monter sur chaque incursion dans le camp Nerazzurri. Il le fait par deux fois grâce à Osimhen, sans succès. L'on sent une défense de l'Inter fébrile. Petit point noir malgré tout côté Napoli : la sortie précoce de Matteo Politano, à la suite d'une blessure au mollet. Il est remplacé par Eljif Elmas. De l'autre côté du terrain, Edin Džeko et Lautaro Martínez ont énormément de mal à bouger le tandem Napolitain Rrahmani-Koulibaly, comme le montre la seule vraie situation de l'Inter en cette première période, à savoir cette tête anodine de Džeko, sur Ospina. Le Sénégalais tout juste champion d'Afrique se démarque dans cette défense et annihile chaque semblant d'occasion de l'Inter, à l'image de son tacle fabuleux sur Dumfries, qui partait seul. Le Napoli est plus globalement très solide. Le Néerlandais parvient à se créer une dernière occasion en débordant côté droit sur un service de Lautaro. Mais la frappe de l'ancien du PSV passe assez largement à côté des buts d'Ospina. M. Doveri siffle la fin d'une première période ratée de la part de l'Inter. Le Napoli maîtrise complètement son sujet. Mais dès le retour des vestiaires, un sursaut d'orgueil permet à l'Inter de revenir au score. Après un bon décalage de Džeko, Lautaro centre pour le Bosniaque, qui manque sa tête. Mais un mauvais dégagement de Di Lorenzo remet le ballon en jeu. Džeko suit bien et envoie une mine sous la barre d'Ospina, pratiquement dans la lucarne. Un but partout. Cette égalisation donne de la force aux joueurs d'Inzaghi. Le pressing est plus intense, les passes plus appuyées. Mais le mur Napolitain en béton armé ne concède quasiment rien, à la différence de celui de l'Inter, qui ressemble plus à un mur en papier mâché qu'à autre chose. Les Nerazzurri sont coupables d'erreurs techniques grossières. Barella remise mal un ballon de Brozović, Osimhen récupère, progresse puis frappe. Handanović répond présent et détourne la tentative de l'attaquant des Super-Eagles. À la suite de cette action, et après un centre de Perisić, Koulibaly sauve lui aussi son équipe. Dumfries arrivait dans le même temps lancé au second poteau. Dans son élan, il vient percuter Ospina. Alerte au genou pour le Colombien, qui s'en sort finalement indemne. Brozović est ensuite averti pour une faute sur Victor Osimhen. Le Croate manquera la prochaine journée contre Sassuolo. Nouvelle chaleur sur le but de l'Inter. Le ballon fuse dans la surface et arrive sur Osimhen mais il manque sa reprise. Par chance, le ballon fini sur Elmas. Le Macédonien frappe mais est repris par une exellente sortie de Samir Handanović. Une sortie qui rassure, malgré le fait qu'Elmas était hors-jeu. La fin de match arrive, et plus les minutes défilent, plus les deux équipes se recroquevillent. Le rythme et l'intensité diminuent. Et les changements de Spalletti y contribue fortement. Sortie de Zielinski pour Juan Jesus, le Napoli passe à cinq derrière et souhaite conserver ce nul. L'Inter tente timidement d'appuyer en cette fin de rencontre, mais pas suffisamment pour aller gagner les trois points. Les entrées de Sánchez et Vidal sont trop tardives pour espérer quelque chose. Daniele Doveri siffle la fin de la rencontre après cinq minutes de temps additionnel. L'Inter évite la défaite, ce qui était le plus important pour les Nerazzurri. Ils restent leader, devant son adversaire du jour (un point), et devant le Milan (deux points), en attendant son match contre la Sampdoria. Le Napoli loupe quant à lui une belle occasion de passer premier. Rendez-vous dimanche prochain face à Sassuolo pour reprendre notre marche vers la deuxième étoile. Mais avant cela, rencontre de prestige à jouer face aux Reds de Liverpool, en 8ème de finale aller de la Ligue des Champions, mercredi à 21:00, à Giuseppe Meazza. Tableau récapitulatif Résumé Vidéo Naples 1 - 1 Inter Buteur(s): 7' Insigne (sp)(N), 47' Džeko (I) Naples (4-2-3-1): 25 Ospina; 22 Di Lorenzo, 13 Rrahmani, 26 Koulibaly, 6 Rui; 8 Ruiz (74' 99 Anguissa), 68 Lobotka; 21 Politano (26' 7 Elmas), 20 Zielinski (84' 5 Jesus), 24 Insigne (84' 33 Ounas); 9 Osimhen (84' 14 Mertens) Banc: 37 Petagna, 4 Demme, 99 Anguissa, 7 Elmas, 12 Marfella, 33 Ounas, 2 Malcuit, 1 Meret, 31 Ghoulam, 5 Jesus, 59 Zanoli, 14 Mertens Entraîneur: Luciano Spaletti Inter (3-5-2): 1 Handanović; 37 Škriniar, 6 De Vrij, 32 Dimarco (90' 33 D'Ambrosio); 2 Dumfries, 23 Barella, 77 Brozović, 20 Çalhanoğlu (84' 22 Vidal), 14 Perisić; 9 Džeko, 10 Martínez (83' 7 Sánchez) Banc: 11 Kolarov, 5 Gagliardini, 21 Cordaz, 33 D'Ambrosio, 13 Ranocchia, 47 Carboni, 97 Radu, 36 Darmian, 7 Sánchez, 22 Vidal, 88 Caicedo Entraîneur: Simone Inzaghi Arbitre: Daniele Doveri VAR: Di Paolo Averti(s): 37' Insigne (N), 60' Brozović (I) Exclu(s): / Suspendu(s) pour le prochain match: Brozović (I) Internazionale.fr ~ © Aurios-Inter
  20. Dans ce choc de la 22ème journée de Série A, l'Inter avait l'occasion de prendre une petite avance sur son dauphin, tandis que l'Atalanta pouvait se décrocher d'une Juventus menaçante pour le top 4. Et malgré les deux meilleures attaques de Série A, la Beneamata et la Dea se sont neutralisées. Du côté de l'Inter, plusieurs changements par rapport à la victoire en Super Coupe d'Italie. Danilo D'Ambrosio prend la place de Stefan De Vrij, faisant basculer Milan Škriniar dans l'axe de la défense; Matteo Darmian remplace Denzel Dumfries et le héros de mercredi, Alexis Sánchez, remplace Lautaro Martínez. Du côté de l'Atalanta, de nombreux absents sont à noté : Duvan Zapata, Robin Gosens, Joakim Maehle, Rafael Toloï ainsi que Ruslan Malinovski. Dès le début du match, on voit une physionomie qui va être quasiment la même durant tout le match. L'Inter tente d'attirer l'Atalanta jusqu'à la surface de Samir Handanović, tandis que l'Atalanta bloque parfaitement les relances Nerrazzuri. Dans les premières minutes, l'Atalanta ne voit pas le ballon, et attends même plus de 5 minutes pour avoir sa première phase de possession. L'Inter tente de perforer cette équipe Bergamasque, avec de nombreuses permutations au milieu, entre Hakan Çalhanoğlu, Nicolò Barella et Marcelo Brozović. Les Interistes ne sont pas dangereux, mais certaines imprécisions techniques les mettent en danger. Par ailleurs, la pelouse du Gewiss Stadium de Bergame ressemblait plus à une grande patinoire verte qu'à un terrain de foot. Brozović et Alessandro Bastoni en ont fait les frais, mais heureusement, sans danger. La première occasion de ce match vient d'un exellent centre de Brozović, depuis la ligne de touche, pour Edin Džeko. Le Bosniaque ne parvient pas à rabattre ce ballon, qui s'envole au dessus des montants de Juan Musso. L'on sent la pression de l'enjeu sur le contenu de la partie, les deux équipes rechignant à prendre des risques. Le match est lent, l'Inter a le ballon, mais est considérablement gênée par le marquage individuel et le pressing de l'Atalanta. Malgré cela, le match va un petit peu s'accélérer à la demi-heure de jeu, avec deux occasions de Sánchez et Džeko, les deux hors cadre. Matteo Pessina teste ensuite Samir Handanović de la tête, sans succès. L'arbitre de la rencontre Davide Massa siffle la fin de cette première période. Les deux équipes rentrent aux vestiaires avec le sentiment que tout reste à faire. Pas de changement à la pause, les mêmes 22 acteurs reviennent sur la pelouse. Et cette fois-ci, le match va redémarrer un peu plus fort. Remo Freuler s'essaie de loin, mais sa frappe est trop sur le portier Nerrazzuri. Puis vient la plus grosse occasion du match. Pessina se présente en face à face avec Handanović, quasiment dans les 5,50 mètres. Et c'est bien le Slovène qui va remporter ce duel, avec un superbe arrêt au sol. S'en suit une nouvelle tête, encore au dessus, de Pessina. L'inter est un peu sonnée par cette reprise, et met du temps à se reprendre. L'on a la sensation que les Nerrazzuri ne sont jamais réellement rentrés dans leur match. À la 59', Džeko tente une frappe angle fermé, un jeu d'enfant pour Juan Musso. Le Bosniaque n'est pas dans son meilleur jour. Il loupe quasiment tous ses ballons offensifs. Sauf à l'heure de jeu, où il déborde sur Freuler, au physique, pour ensuite adresser un centre vers Matteo Darmian. Mais un excellent retour de German Pezzella sauve la Dea et Musso, totalement battu. Simone Inzaghi effectue ses premiers changements à la 66' : Çalhanoğlu, Sánchez et Darmian sortent respectivement pour Arturo Vidal, Joaquín Correa et Denzel Dumfries. Le Néerlandais réalise une bonne entrée, en proposant davantage de solution offensive que son homologue Italien. À la 70', et après un superbe centre de Barella, Dumfries remise parfaitement dans l'axe vers Edin Džeko. Et alors qu'il est seul face au but, il trouve le moyen de mettre ce ballon au dessus. Les changements ont, momentanément, fait beaucoup de bien à l'Inter. À un quart d'heure du terme, c'est Vidal qui tente sa chance aux 16,50 mètres. Juan Musso se montre vigilant et sort ce ballon. L'Atalanta termine ensuite la rencontre tambour battant. La tête de Mario Pasalić est contrée in-extremis par Danilo D'Ambrosio, et sortie en corner. Et à la 81', Luis Muriel s'échappe seul vers le but Interiste, avec l'espoir de clôturé ce match. Mais c'est sans compter sur l'immense Samir Handanović, qui remporte à nouveau son face à face. Le véritable homme du match côté Nerrazzuri. Sur le corner suivant, Merih Demiral tente une reprise, en vain. La frappe passe largement à côté des filets. Inzaghi sort alors sa dernière cartouche de sa poche : Il Toro Lautaro Martínez, ainsi que Stefan De Vrij. Ils prennent la place de Džeko et Bastoni. Pasalić tente pour la dernière fois d'inquiéter Handanović, mais sans succès. Le Slovène fut absolument impérial. La balle de match vient à la 89' : grâce à la superbe inspiration de Barella, D'Ambrosio est trouvé seul face à Juan Musso. Mais bien malheureusement, il croque complètement cette occasion, en envoyant une frappe devisée dans le petit filet. L'Inter tente d'arracher la victoire dans les derniers instants, mais il est trop tard. Davide Massa siffle la fin de cette rencontre. L'Inter prend malgré tout un bon point, et se contentera du nul. Un nul finalement très juste tant les statistiques des deux équipes sont similaires. L'Atalanta de son côté, voit la Juventus revenir dangereusement sur cette 4ème place. Rendez-vous mercredi, 21h00, pour la réception d'Empoli, en 8ème de finale de coupe d'Italie, avant d'accueillir Venezia, samedi à 18h00. Tableau récapitulatif Atalanta 0 - 0 Inter Buteur(s): / Atalanta (3-4-2-1): 1 Musso; 28 Demiral, 6 Palomino, 19 Djimsiti; 11 Freuler, 15 De Roon, 7 Koopmeiners, 13 Pezzella; 32 Pessina (78' 59 Miranchuk), 88 Pasalić (90' 77 Zappacosta); 9 Muriel (86' 99 Piccoli) Banc: 59 Miranchuk, 57 Sportiello, 46 Cittadini, 99 Piccoli, 48 Panada, 45 Zucon, 77 Zappacosta, 42 Scalvini, 31 Rossi Entraîneur: Gian Piero Gasperini Inter (3-5-2): 1 Handanović; 33 D'Ambrosio, 37 Škriniar, 95 Bastoni (83' 6 De Vrij); 36 Darmian (66' 2 Dumfries), 23 Barella, 77 Brozović, 20 Çalhanoğlu (66' 22 Vidal), 14 Perisić; 9 Džeko (82' 10 Martínez), 7 Sánchez (67' 19 Correa) Banc: 32 Dimarco, 2 Dumfries, 10 Lautaro Martínez, 11 Kolarov, 5 Gagliardini, 6 De Vrij, 22 Vidal, 12 Sensi, 8 Vecino, 97 Radu, 13 Ranocchia, 19 Correa Entraîneur: Simone Inzaghi Arbitre : Davide Massa VAR : Di Paolo Averti(s): 37' De Roon (A), 42' Brozović (I), 62' Çalhanoğlu (I), 84' Palomino (A) Exclu(s): / Internazionale.fr ~ © Aurios-Inter
  21. Plus de 100 buts en 2021, Çalhanoğlu: une machine à passes décisives, etc... Tous les chiffres clés et les faits derrière notre victoire 5-0 contre la Salernitana. Après le déplacement à Salerne, avec un match riche en buts et en beau jeu, l'Inter a ramené les 3 points à Milan. L'équipe de Simone Inzaghi a inscrit 5 buts, par Ivan Perisić, Denzel Dumfries, Alexis Sánchez, Lautaro Martínez et Roberto Gagliardini, menant l'Inter à sa 6ème victoire consécutive en Série A, et à un total de 43 points. Plus de 100 buts en 2021 Avec les 5 buts passés à l'équipe de Stefano Colantuono, l'Inter a marqué plus de 100 buts lors de l'année civile (103) pour la première fois de leur histoire en Série A, battant ainsi le précédent record de 99 buts, en 1950. L'Inter est la 4ème équipe de l'histoire de la Série A à réaliser cette prouesse, avec l'AC Milan (105 en 1949 et 120 en 1950), le Torino (111 en 1947 et 114 en 1948), ainsi que la Juventus (100 en 1933). Les statistiques de Calhanoğlu Depuis début novembre, et le match contre l'AC Milan, Hakan Çalhanoğlu est impliqué sur plus de buts (10, 5 buts et 5 passes décisives) que quiconque dans les 5 grands championnats, et est l'un des deux milieu de terrain avec au moins 6 buts et 6 passes décisives cette saison, au côté de Dimitri Payet. Contre la Salernitana, il a offert sa 5ème passe décisive suite à un coup de pied arrêté en Série A cette saison. Personne ne fait mieux dans les 5 grands championnats en 2021/2022 (égalité avec Vincenzo Grifo). 533 apparitions pour Handanović, 200ème fois qu'Inzaghi gagne des points en Série A Contre la Salernitana, Samir Handanović a décroché son 5ème clean-sheet consécutif en championnat. Et avec 533 matchs joués, il passe à la 10ème place des joueurs avec le plus d'apparitions en Série A, dépassant ainsi Enrico Albertosi (532). En revanche, Simone Inzaghi a récolté des points pour la 200ème fois en tant que coach : l'entraîneur des Nerazzurri cumule 150 victoires et 50 matchs nuls (pour 75 défaites) entre la Lazio et l'Inter. Les buts : Qui, Comment et Quand L'Inter a sécurisé son titre d'équipe avec le plus de buts de la tête dans le top 5 européen en 2021/2022: 12. Les Nerazzurri ont remporté un match à l'extérieur en Série A avec 5 buts pour la première fois depuis mars 2018: 5-0 contre la Sampdoria. Lautaro Martínez a marqué le 4ème but des Nerazzurri, marquant ainsi son 5ème but en autant de match en Série A pour l'attaquant Argentin. Depuis son arrivée à l'Inter en 2019/2020, Alexis Sánchez est impliqué dans 24 buts en 25 matchs titulaire en Série A (11 buts et 13 passes décisives). Il a marqué son 3ème but de la saison, son deuxième consécutif, lors de son 400ème match titulaire dans le top 5 européen. Ivan Perisić a été le premier joueur des Nerazzurri à marquer à l'extérieur contre Salernitana. Pour l'ailier Croate, c'était son 4ème but de la saison, tous inscrits en Série A, égalant son total de la saison dernière, mais en moitié moins de match (16 en 2021/2022 contre 32 en 2020/2021). Denzel Dumfries a marqué son 2ème buts en Série A, tous deux à l'extérieur et en première période (le premier contre la Roma). ®Internazionale.fr ~ Aurios-Inter Via Inter
  22. L'Inter se déplaçait à Madrid pour tenter d'accrocher la première place du groupe D. L'occasion était belle, le cadre presque idyllique. L'Inter était sur une exellente dynamique, avec une série de 10 matchs sans défaite pour les hommes de Simone Inzaghi. En face, le Real Madrid était également dans une forme olympique, avec pas moins de 8 victoires consécutives. Mais bien malheureusement pour les supporters Nerazzuri, la marche était trop haute pour l'Inter. Dès le début du match, le jeu de possession de l'Inter se met en place. Le ballon circule bien, et le Real défend plutôt bas. Le plan de jeu Merengue est essentiellement basé sur leur diamant Vinícius Jr. Le Brésilien empile les buts et les passes décisives lors de ce début de saison, son génie et sa vitesse étant ses armes principales. Il tente une première percée à la septième minute, déposant Danio D'Ambrosio mais étant repris de justesse par un superbe tacle glissé de Nicolò Barella. Sur l'action suivante, Marcelo Brozović reprend un ballon fort de volée. Sa frapppe passe légèrement au-dessus de la transversale de Thibault Courtois. L'Inter entre dans un temps fort; Barella est acroché par le maillot dans la surface, mais pas suffisamment pour M.Brych, l'arbitre de la rencontre. À la douzième minute, sur un bon centre de Denzel Dumfries, Ivan Perisić fouette bien le ballon à ras de terre. Sa frappe part très bien, mais elle est contrée par Eder Militão. Le Néerlandais réalise un bon début de match, son jeu de remise étant très bénéfique à Barella et D'Ambrosio, ses acolytes de l'aile droite. Le Real est dans un état passif, et à la récupération, l'absence de Karim Benzema se fait ressentir dans la circulation de balle. Mais les Madrilènes n'en ont que faire. Sur une passe de Rodrygo, Toni Kroos, alors seul à 20 mètres du but, envoie une frappe instantanée et puissante dans le petit filet de Samir Handanović. Reprise imparable pour un très grand nombre de gardien, n'en déplaise à certains. Mais l'Inter réagit de suite, par l'intermédiaire de Lautaro Martínez, l'Argentin voit son centre contré et sa frappe passer au-dessus des buts de Courtois. Ensuite, c'est Edin Džeko, peu en vue lors de ce début de match, qui teste le Belge, de la tête, sur un centre de Perisić. Arrêt facile pour le portier du Real Madrid. Globalement, c'est un match plutôt équilibré, avec des situations de part et d'autre. Mais il y a quand même une équipe plus menaçante que l'autre dans la zone de vérité. Sur une nouvelle contre attaque, le Real Madrid se projette à 4, alors que les Nerazzuri ne sont que 3. Brozović sauve les meubles et gagne ce quatre contre trois. Sur un corner, Perisic trouve ensuite l'extérieur du poteau. L'Inter conserve la maîtrise du ballon, mais s'expose aux contre attaque rapides du Real, qui passe souvent par un côté gauche déserté par D'Ambrosio. Vinícius se retrouve souvent en position de force pour déclencher les mouvements dangereux. Sur une énième transition rapide, le Brésilien trouve Luka Jović dans l'espace. Le Serbe, alors en un contre un exentré face à Handanović, trouve le petit filet du Slovène. Brozović, encore une fois stellaire, éteint les situations et le peu de pressing Madrilène. Il organise le jeu à merveille, dicte le tempo de la rencontre. Mais le Croate ne peut pas tout faire. Les errements défensifs des hommes de Simone Inzaghi sont lourds de conséquences. Avant la pause, Rodrygo est trouvé seul en plein milieu de la surface, une anomalie pour la meilleure défense d'Italie. Heureusement pour l'Inter, il trouve le poteau gauche d'Handanović, ainsi que son petit filet sur l'action suivante. Felix Brych, pas tout à fait au niveau ce soir, avec un carton jaune donné à D'Ambrosio sur une faute inexistante sur Vinicius; ainsi qu'un coup franc très dangeureux aux abords de la surface donné à Kroos, sifffle la mi-temps sur ce score de 1-0 pour le Real Madrid. Les deux équipes reviennent sur la pelouse, avec un changemet pour les Nerazzuri : la sortie de Denzel Dumfries, pourtant auteur d'une bonne première période, pour Federico Dimarco. Ce dernier prend la place de Bastoni dans l'axe gauche de la défense, Bastoni passe au centre, Škriniar axe droit et D'Ambrosio piston droit. Des choix pour le moins contestables. Les deux formations maintiennent leurs idées en place. L'Inter a la possession, et le Real contre attaque avec Vinícius et Rodrygo, lancés par Kroos ou Modrić, encores fantastiques ce soir. Une balle d'égalisation est manquée par Barella, trouvé par Hakan Çalhanoglu. La frappe du Sarde passe nettemment au-dessus. Après cela, l'Inter va marquer un coup d'arrêt. Son emprise sur le ballon diminue, les occasions Merengue défilent, avec des frappes de Casemiro et de Vinícius. Arrive l'heure de jeu et le triple changement extrêmement significatif de Simone Inzaghi. Les sorties de Brozović, Çalhanoglu et Džeko pour Vidal, Vecino et Sánchez trahissent les ambitions du coach Italien. Avec la sortie de son métronome et de son point de fixation, l'Inter se retrouve drastiquement diminuée. Il devient alors très difficile de conserver le ballon, face à un milieu du Real techniquement époustouflant. Mais le vrai tournant du match arrive à la soixante-quatrième minute. Sur un long ballon, Nicolò Barella et Eder MIlitão sont à la lutte. Le ballon sort en faveur du Real, mais Barella est violemment projetté par Militão sur les panneaux publicitaires. Le milieu Italien, connu pour avoir fort caractère, craque complètemment et assène un coup de poing à la jambe gauche de Militão. Les esprits s'échauffent. Et ce qui devait arriver arriva. M. Brych sort le carton rouge pour Barella. De son côté, Militão s'en sort (très) bien, avec un simple jaune. Ce rouge est synonyme de suspension pour les huitièmes de finale pour Nicolò Barella, un énorme coup dur pour les champions d'Italie. Barella maintenant exclu, les trois milieux de terrains titulaires se retrouvent hors du rectangle vert. Simone Inzaghi souhaite maintenir son milieu à trois et sort Lautaro Martínez pour Roberto Gagliardini. Le niveau technique du milieu de terrain devient un vrai problème. Mais les entrants s'en sortent plutôt bien et parviennent à ressortir les ballons. Problème, Alexis Sánchez est tout seul devant. Le Chilien n'est pas avare d'efforts, court pour deux hommes. Mais il n'y a pas assez de présence offensive du côté de l'Inter pour espérer quelque chose. Surtout après la balle finale signée Marco Asensio. Sur un corner joué à deux, Asensio est trouvé anormalement seul aux abords de la surface de réparation Interiste. Dimarco ne sort pas sur l'Espagnol. Son pied gauche de velours fait le reste : frappe sublimement enveloppée dans la lucarne droite d'Handanović. Poteau rentrant, 2-0, et les minces espoirs de revenir pour les Nerazzuri sont réduits en poussières. L'Inter ne possède tout simplement plus les ressources pour réagir, et elle s'éteint peu à peu. La fin de match est plutôt anecdotique. Le Real fait tourner le ballon et gère tranquillement, à l'expérience, cette fin de rencontre. Seule une tête puissante de Milan Škriniar sur corner à la quatre-vingt-cinquième minute, directement sur Courtois, donne un dernier petit frisson aux supporters Nerazzuri. M. Brych siffle la fin de ce match, sans temps additionnel. L'Inter ne terminera pas à la première place de ce groupe D, et elle devra avoir à faire à un des huit géants européens ayant terminé premier de son groupe, en huitième de finale. Malgré la, voire les classes d'écart entre les deux équipes, l'Inter a quand même proposé des choses et fait preuve de caractère, ce qui est plutôt encourageant. Mais elle devra passer ce cap, aussi bien sur le terrain que dans la tête, d'ici février si elle souhaite rêver plus grand. En attendant, rendez-vous dimanche, 20:45, à Giussepe Meazza pour la réception de Cagliari. Tableau récapitulatif Résumé Vidéo Real 2-0 Inter Buteur(s): 17' Kroos (R), 79' Asensio (R) Real (4-3-3): 1 Courtois; 2 Carvajal, 3 Militão, 4 Alaba, 23 Mendy; 10 Modrić, 14 Casemiro (71' 25 Camavinga), 8 Kroos (78' 15 Valverde); 21 Rodrygo (78' 11 Asensio), 16 Jovic (24 Mariano Diaz), 20 Vinicius Jr (81' 7 Hazard) Banc: 40 Fuidias, 12 Marcelo, 17 Vazquez, 22 Isco, 13 Lunin, 5 Vallejo, 6 Nacho Entraîneur: Carlo Ancelotti Inter (3-5-2): 1 Handanović; 33 D'Ambrosio, 37 Škriniar, 95 Bastoni; 2 Dumfries (45' 32 Dimarco), 23 Barella, 77 Brozović (60' 22 Vidal), 20 Çalhanoglu (60' 8 Vecino), 14 Perisić; 10 Martinez (66' 5 Gagliardini), 9 Džeko (60' 7 Sánchez) Banc: 21 Cordaz, 6 De Vrij, 11 Kolarov, 97 Radu, 12 Sensi, 46 Zanotti Entraîneur: Simone Inzaghi Arbitre: Félix Brych VAR: ? Averti(s): 54' D'Ambrosio (I), 64' Militão (R), 74' Bastoni (I) Exclu(s): 64' Barella (I) ®Internazionale.fr ~ Aurios-Inter
  23. Lautaro Martinez s’est livré à Sky Sport et à Sport Mediaset à la suite de la victoire de l’Inter, sur son terrain, face à la Spezia Sur sa prolongation de contrat "J’ai parlé énormément avec ma famille et je suis content d’être resté ici, je m’y sens bien. Milan est une ville qui me plait énormément et les projets du club m’ont séduit, j’ai aimé la façon dont on m’a parlé, dont les choses m’ont été proposées. Je suis content d’être resté à l’Inter et ma famille aussi." Maturité "Je suis devenu papa et j’ai énormément mûri sur et hors du terrain, je cherche toujours à faire les meilleurs choix en tant qu’homme et sur le terrain : Parfois je m’énerve rapidement, mais je cherche toujours à rester serein, je veux défendre le Scudetto gagné l’année passée, c’était important pour nous de le retrouver sur notre torse après tant d’années." Simone Inzaghi "Je travaille en répondant aux demandes de l’entraîneur, je cherche toujours à faire de mon mieux et à aider mes équipiers, parfois j’y parviens, d’autres fois non, mais comme je le dis toujours, je me sens bien : Je me sens bien avec le groupe, mes équipiers, c’est important car cela veut dire que je me sens bien et que j’ai ma tête ici." "J’ai un grand rapport avec notre nouvel entraîneur, Inzaghi me donne un grand coup de main, il est arrivé ici alors que j’étais en l’Argentine, et même lorsque j’étais en Coppa America, j’échangeais avec lui au téléphone, il m’a donné un grand coup de main, il m’aide beaucoup dans ce que je réalise. Je cherche toujours à apprendre des entraîneurs, il a de l’expérience et il sait ce qu’il y a de mieux pour tout le monde." La Roma et Le Real "Nous nous préparons pour la rencontre qui arrive : La Roma est une équipe forte avec un entraîneur qui sait bien jouer au football, nous allons devoir bien nous reposer, aller là-bas et proposer notre jeu sur le terrain. Il y aura une chaude ambiance avec leur tifosi et nous tenons à envoyer un message au Championnat." "Ensuite, nous penserons à Madrid, nous irons là-bas pour l’emporter et si nous y parvenons, ce sera un signal envoyé à tout le monde : Ce sera une rencontre importante pour la croissance, elle est très importante pour nous tous." Est-ce vrai que Messi te voulait à Barcelone ? "Oui c’est vrai, nous en avions énormément parlé en équipe nationale. Il me parlait de la situation de Barcelone, mais je suis toujours resté serein, j’ai toujours parlé avec le club pour parvenir à un accord car je suis fier d’être ici, je suis fier d’être resté ici car je me sens bien ici, tout comme ma famille." Selon vous, Lukaku va-t-il regretter d’avoir quitté ce groupe ? "Je ne le sais pas, c’est un choix personnel, il était heureux ici. On parlait énormément, il a décidé de partir car il en ressentait le besoin. Je suis ici et je veux faire le maximum pour l’Inter." Le Saviez-Vous ? Lautaro est comme un Mini-Zamorano, ultra-motivé : Une scène particulière a eu lieu lors du pénalty qu’il s’était procuré face à la Spezia Immédiatement après que l’arbitre ait sifflé, Çalhanoğlu s’était planté devant le point de penalty. Dans le même laps de temps, Lautaro a embrassé le ballon pour le convertir. Brozovic a tenté de lui parler, mais il a été gentiment éloigné, tout comme Çalhanoğlu l’a été par Danilo D’Ambrosio. Il n’y a pas eu de polémique, mais reste à savoir comment est défini l’ordre des tireurs de penalty! ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  24. L'ex-joueur de l'Inter Beppe Bergomi a suggéré que Denzel Dumfries est à un pas d'occuper la position de piston droit à l'Inter, selon un papier paru dans les médias Italiens aujourd'hui. Alors qu'il s'adresse à la Gazzetta Dello Sport à propos du choc qui verra s'affronter l'Inter et la Juventus ce dimanche soir à Giuseppe Meazza, Beppe Bergomi a expliqué que si Matteo Darmian peut jouer ce match, Denzel Dumfries est voué à prendre sa place de titulaire. "Darmian pourrait jouer. Dumfries a raté sa dernière entrée sur le terrain, mais il est destiné à prendre le poste. Cependant, en perspective du match contre la Juve, je crois que Darmian apportera plus de garantie et plus d'équilibre." (me too) Beppe Bergomi a aussi parlé du dilemme Çalhanoglu/Vidal, et de qui d'entre eux devrait être le troisième milieu de terrain pour cette rencontre. "S'il est en forme, je suppose Çalhanoglu. D'un autre côté, cela peut très bien être Vidal, qui apporte l'intensité physique, fondamentale, et l'expérience pour des matchs comme ceux-ci." L'ex-défenseur a loué le jeu offensif pratiqué cette saison, mais a souligné qu'ils étaient en difficulté à la récupération, ce qui gêne considérablement les trois défenseurs. "L'Inter est magnifique à voir jouer. Ils attaquent avec qualités et idées, mettent beaucoup de joueurs devant le ballon. Quand vous avez de longues phases de possession c'est bien, mais quand vous perdez le ballon il devient difficile de le récupérer, si vous n'êtes pas en mesure d'en reprendre le contrôle immédiatement avec une pression élevée." "Les trois défenseurs sont forts, très forts. Mais comparé au passé, ils sont forcés de défendre plus souvent dans des zones ouvertes, et là l'histoire devient plus complexe." Il serait difficile pour n'importe qui de couvrir parfaitement de si grands espaces. Ils sont puissants, ont un bon timing et font particulièrement attention au marquage individuel. "Cependant, s'ils ont besoin de vitesse, ils n'ont ni cette dernière, ni la réactivité nécessaires pour couvrir les espaces derrière eux." La Juventus est la sorte d'équipe qui peu froidement prendre l'avantage, ce qui est une faiblesse de l'Inter, comme le pointe Beppe Bergomi. "Contre le Shériff Tiraspol il y a eu de dangereuses situations, et quand Bruno a continué de faire l'épine en seconde période, la défense a souffert. Le risque est que vous ne pouvez pas courir après le score contre une opposition telle que Chiesa, Morata ou Cuadrado." Beppe Bergomi pense qu'une défaite pour les hommes de Simone Inzaghi pourrait avoir de sérieuses conséquences pour la suite de leur saison. "Ils vont de l'avant et même pour une place en Ligue des champions, ce sera vraiment difficile cette année. Une défaite dimanche pourrait avoir des répercussions, notamment sur le plan mental." ®Internazionale.fr ~ Aurios-Inter Via SempreInter
  25. En effet, l’Inter propose sur son site officiel "Inter Stats", soit un condensé d’informations comme on les aime. Voici les analyses publiées après la victoire 6-1 sur Bologne : "Six buts inscrits, cinq buteurs, une longue liste de protagonistes et surtout trois points d’engrangés qui permettent à l’Inter d’atteindre les 10 points au classement après 4 journées de championnat. Face à Bologne, l’Inter s’est relancée en proposant une prestation typique aux grandes équipes, avec faim et qualité" Dans le signe de la continuité "Pour la première fois en Serie A, Lautaro a marqué lors de 4 rencontres consécutives. De son denier but, face à l’Udinese lors de la dernière journée de la saison écoulée, aux trois buts inscrits cette saison face à l’Hellas Vérone, la Sampdoria et Bologne." "Cette continuité se ressent aussi dans le nombre de buts inscrits par l’équipe : L’Inter a marqué lors de ses 23 dernières rencontres de Serie A. Pour trouver mieux, il faut remonter à 1950 avec le palier de 24 rencontres atteint." "L’Inter a inscrit toujours aussi inscrit au moins trois buts lors de ses cinq derniers matchs à domicile en Serie A. Le record remonte à 2011 avec une série de six matchs." Le Doublé de Dzeko "En rentrant à la demi-heure de jeu à la place de l’infortuné Joaquim Correa, Edin Dzeko a marqué la rencontre de son empreinte en inscrivant son premier doublé sous le maillot interiste. Il s’agit de son 17ème doublé en Serie A. Le précédent remonte au mois d’octobre 2020 face à Benevento." 15 buts en 4 matchs avec 9 buteurs différents "Avec 6 buts inscrit contre Bologne, l’Inter a déjà atteint en 4 journées de championnat le palier des 15 buts inscrits. On retrouve 9 buteurs différents Dzeko (3) Lautaro Martinez (3), Skriniar (2), Correa (2), Vidal (1), Çalhanoğlu(1), Dimarco (1), Vecino (1), Barella (1)." En avoir dans la tête "Nicolò Barella s’est montré, lors des quatre dernières rencontres de Serie A, décisif en étant impliqué à chaque fois dans un but: Il s’agit de sa meilleure série." "Face à Bologne, Milan Skriniar a inscrit son second but de la tête. Depuis son arrivée en Serie A. Six des sept derniers buts du défenseur slovaque ont d’ailleurs été tous inscrit de la tête." Appréciez-vous ce style de statistiques ? Souhaitez-vous les voir apparaître de façon régulière sur le site ? ®Antony Gilles – Internazionale.fr
×
×
  • Créer...

Information importante

En naviguant sur ce site, vous acceptez l'utilisation des cookies. Nous ajoutons des cookies sur votre appareil pour aider à améliorer votre expérience sur notre site. Consultez notre Politique de confidentialité. Vous pouvez choisir d’ajuster vos paramètres de cookie, sinon nous supposerons que vous êtes d’accord pour continuer...