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  1. L'Inter et Hakan Çalhanoğlu poursuivent leurs parfaits début de saison en Série A contre Empoli. En effet, un merveilleux but à longue distance de Federico Dimarco était suffisant pour sécuriser les trois points. Si les Nerazzurri ont également préservé leur cage inviolée une nouvelle fois., le seul point noir de cet après-midi aura été la blessure de l'attaquant Marko Arnautovic. Et si l'Inter enchaine sa cinquième victoire en cinq matchs de championnat pour l'Inter, son architecte, Hakan Çalhanoğlu a également fêté sa 100ème apparition pour l'Inter lors de cette victoire en série A. Notre international turc s'est laissé aller sur sur Instagram, avec ce commentaire "J'en ai aimé chaque minute." ®Zanetti63 - Internazionale.fr
  2. Hakan Çalhanoğlu Informations Générales Nom : Çalhanoğlu Prénom : Hakan Poste : Milieu offensif, ailier Date de naissance : 08/02/1994 Lieu de naissance : Mannheim Pays : Turquie Taille : 178cm Poids : 76 Kg Numéro de maillot : Au club depuis : Juin 2021 Position sur le terrain Biographie Hakan Çalhanoğlu, né le 8 février 1994 à Mannheim en Allemagne, est un footballeur international turc. Il évoluait au poste d'ailier gauche avec l'AC Milan. Carrière en Clubs Il commence sa carrière à Karlsruher SC, son club formateur, en 2011. Il ne tarde pas à se faire remarquer par des clubs de Bundesliga. En 2013, Çalhanoğlu rejoint le Hambourg SV où il accomplira une saison complète. L'année suivante le voit s'engager pour le Bayer Leverkusen. Le Turc se fait alors peu à peu connaître de l'Europe. Sa qualité de frappe et sa précision en font un excellent tireur de coup-franc, l'un des meilleurs au monde à cet exercice. Karlsruher SC Le 5 février 2012, il fait ses débuts avec le club à l'occasion d'un match de 2. Bundesliga face au FC Erzgebirge Aue. Durant cette même rencontre, il délivre deux passes décisives. Le 11 mars 2012, il prolonge son contrat jusqu'en 2017. Durant cette saison, il a pris part à 12 rencontres de championnat. Toutefois, en fin de saison, son club sera finalement relégué en 2.Liga à l'issue des barrages. Le 21 juillet 2012, lors de son premier match de 3.Liga face au FC Heidenheim, il inscrit sur coup franc les deux premiers buts de sa carrière professionnelle. Le 14 août 2012, il est transféré au Hambourg SV, mais il reste dans son club en prêt jusqu'à la fin de la saison. Le 19 août 2012, Çalhanoğlu dispute son premier match de Coupe d'Allemagne face au Hambourg SV. Le Karlsruher SC l'emporte finalement 4-2 avec une passe décisive délivrée par ce dernier. À l'issue de cette saison, le Karlsruher SC remporte la 3. Liga 2012-2013 et se voit ainsi promu en 2.Bundesliga pour la saison suivante, tandis que Çalhanoğlu termine au pied du podium des meilleurs buteurs avec 17 réalisations et est élu meilleur joueur de la saison de 3. Liga. Hambourg SV Hakan Çalhanoğlu rejoint le Hambourg SV lors de l'été 2013. Il fait ses débuts sous ses nouvelles couleurs à l'occasion d'une rencontre de Bundesliga, lors de la première journée de la saison 2013-2014 face au FC Schalke 04. Il est titulaire et les deux équipes se neutralisent ce jour-là (3-3). Le 31 août 2013, il inscrit ses deux premiers buts en championnat face à l'Eintracht Brunswick, contribuant à la victoire de son équipe (4-0). Le 22 février 2014, Hakan Çalhanoğlu, âgé de 20 ans et deux semaines, acquiert une renommée mondiale avec son coup franc des 41 mètres qui parachève la victoire du Hambourg SV contre le Borussia Dortmund (3-0), dans le temps additionnel de la rencontre qui oppose les deux équipes. Bayer Leverkusen Le 11 juillet 2014, Hakan Çalhanoğlu est transféré au Bayer Leverkusen pour 14,5 millions d'euros. Il signe un contrat de cinq ans avec le club, soit jusqu'en 2019. Le 15 août 2014, il joue son premier match avec le club en étant titulaire lors d'une rencontre du premier tour de la DFB-Pokal 2014-2015 face à Waldalgesheim (victoire 0-6). Il joue un rôle essentiel dans la qualification de son club pour la Ligue des champions 2014-2015, en délivrant deux passes décisives (pour l'ouverture du score de Stefan Kießling et pour le but de la victoire de Son Heung-min) lors du match de barrage aller face au FC Copenhague (victoire 2-3) puis en inscrivant un superbe coup franc à la 7e minute lors du match retour (victoire 4-0), le 27 août 2014 à la BayArena. Le 25 février 2015, il inscrit le but de la victoire (1-0) lors du match aller des huitièmes de finale face à l'Atlético Madrid, mais voit son penalty arrêté par Jan Oblak lors de la séance de tirs au but du match retour qui scelle l'élimination du Bayer Leverkusen à ce stade de la compétition, le 17 mars 2015. Le 16 septembre 2015, il inscrit son premier doublé avec le club à l'occasion d'un match du premier tour de l'édition suivante face aux Biélorusses du BATE Borisov (victoire 4-1). Néanmoins son club, qui termine à la troisième place du groupe E, n'est pas qualifié pour les huitièmes de finale comme lors de l'édition précédente, et se voit donc repêcher en seizième de finale de la Ligue Europa 2015-2016 pour une double confrontation face au Sporting Lisbonne, de laquelle le club allemand sort victorieux grâce, entre autres, à un but de Çalhanoğlu lors du match retour (victoire 3-1), le 25 février 2016. Le 5 mars 2016, il obtient son premier capitanat avec le club lors d'un match de Bundesliga face au FC Augsbourg, lors duquel il inscrit le but égalisateur sur penalty dans les arrêts de jeu de la rencontre, permettant ainsi à son équipe, menée 3-0 à l'heure de jeu, d’arracher le match nul 3-3. Il porte également le brassard quelques jours plus tard à l'occasion de la double confrontation contre le Villareal CF en huitième de finale de la Ligue Europa 2015-2016. Confrontation perdue par le Bayer Leverkusen à cause d'un doublé de Cédric Bakambu lors du match aller (défaite 2-0), le 10 mars 2016 AC Milan Le 3 juillet 2017, il signe pour quatre ans à l'AC Milan, pour un transfert estimé à 21 millions d’euros. Il se voit attribué le très prestigieux maillot floqué du numéro 10 (laissé vacant par Keisuke Honda et qui devait normalement échoir à André Silva), qui fut porté par un grand nombre de légendes du club lombard (Gianni Rivera, Ruud Gullit, Dejan Savićević, Zvonimir Boban, Rui Costa et Clarence Seedorf). Il joue son premier match sous ses nouvelles couleurs le 3 août 2017 en match de qualification pour la Ligue Europa face à l'Universitatea Craiova, rencontre que le Milan remporte par deux buts à zéro. Il inscrit son premier but en championnat le 25 octobre 2017 face au Chievo Vérone (victoire 1-4), devenant ainsi le premier joueur turc à marquer en Serie A depuis Emre Belözoğlu en 2003. Internazionale Milano Etant laissé libre par le Milan Ac, Hakan Çalhanoğlu va signer pour le club Champion d'Italie en titre, à savoir l'Inter de Milan pour un contrat triennal annoncé à 5 millions d'euros par saison Equipe Nationale Çalhanoğlu a le choix entre l'Allemagne et la Turquie pour jouer en équipe nationale. Il opte finalement pour la sélection turque et évolue déjà dans les catégories juniors turcs avant de devenir professionnel. Il participe notamment à la Coupe du monde des moins de 20 ans 2013 qui se joue à domicile. Çalhanoğlu fait ses débuts en sélection le 6 septembre 2013, remplaçant Gökhan Töre contre Andorre. Il lui faut attendre mai 2014 pour être titularisé face à l'Irlande à Dublin. Le 31 mars 2015, Çalhanoğlu marque son premier but en sélection durant une victoire 2-1 contre le Luxembourg. En juin 2015, il inscrit son premier doublé pour la Turquie face à la Bulgarie. Petit à petit, Çalhanoğlu s'installe dans l'entre-jeu turc et enchaîne les bonnes performances. Çalhanoğlu est convoqué par Fatih Terim pour l'Euro 2016 en France. La Turquie est dans un groupe compliqué comptant la Croatie, la Tchéquie ainsi que l'Espagne. Contre ces derniers, Çalhanoğlu et ses coéquipiers essuient une défaite 3-0 qui écarte définitivement le pays des phases finales. Le Saviez-Vous ? Son petit frère, Muhammed Çalhanoğlu, est également footballeur professionnel. Tout comme Hakan, il a également été formé au Waldhof Mannheim et au Karlsruher SC, avant d'emprunter une trajectoire différente de celle de son frère et d'évoluer dans les divisions inférieures du football autrichien, puis turc. Il joue désormais au TSG Weinheim. Il a également un jeune cousin, Kerim Çalhanoğlu, qui a signé à Schalke lors du mercato d'été 202039. Hakan Çalhanoğlu est un musulman pratiquant. Il a d'ailleurs effectué la 'Omra à deux reprises : en décembre 2015 et en janvier 2019 avec son coéquipier à l'AC Milan : le Français Tiémoué Bakayoko. Source: Transfermarkt Style de jeu Hakan Çalhanoğlu est connu, notamment, pour ses frappes lointaines, mais surtout pour ses coup-francs dont il est considéré comme un des meilleurs tireurs au monde. Il se dit influencé par l'ancien cannonier brésilien Juninho : "Je me repasse sans cesse les vidéos, les stoppe et use le ralenti pour copier exactement sa course d'élan, sa frappe, presque tout en détails." Souvent comparé à Mesut Özil, d'origine turque, le joueur explique que "C'est grâce aux Allemands que je suis devenu footballeur. Mais jouer pour l'équipe nationale turque est un honneur. Je veux être le Mesut Özil turc." Palmarès: 2012/2013: Champion de 3.Liga Distinctions personnelles 2012/2013: Karlsruhe SC - Joueur de la saison Serie A MVP of the Month: December 2020 Parcours: En Club: 2011-2013: Karlsruhe Sc 2013-2014: Hambourg Sv 2014-2017: Bayern Leverkusen 2017-Juin 2021: Milan Ac Juin 2021: Internazionale Fc En Sélection: 2013 - à ce jour: Turquie ©Wikipedia Fiche complète du joueur
  3. Simone Inzaghi et Lautaro Martinez se sont présentés à la traditionnelle conférence d’avant-match, dans le cadre de la première journée de cette Ligue des Champions 2023/2024, auréolé du titre de Vice-Champion d’Europe : Pour une meilleure lisibilité, les deux interviews sont scindées dans deux articles différents Quel a été le moment clé et quels sont les risques liées à ce type d’euphorie ? "Les mots de Guardiola font plaisir, nous savons tous comment s’est déroulé la Finale d’Istanbul et c’était un honneur de la disputer, un détail aurait pu en changer son issue. Nous avons remporté quelque chose de spécial ce soir-là, car l’étreinte des Tifosi était similaire à celles des victoires. Cette soirée est un si beau souvenir. Nous reprenons cette année face à une équipe forte, dans un environnement chaud. La Real Sociedad est avec Newcastle, l’équipe que j’aurais préféré éviter, mais nous la jouerons comme nous l’avions fait l’année passée. Nous voulons essayer de réitérer le parcours réalisé la saison passée." Que change pour vous le forfait de Çalhanoğlu? Avez-vous déjà pris une décision ? "C’est une absence importante, vous savez ce qu’il représente pour nous. Il nous manquera Cuadrado aussi, tout comme ceux qui ne sont pas dans la liste. Avec tant de matchs rapprochés, nous avons laissé les autres années des choses derrières nous, mais nous avons Asllani pour occuper ce poste et c’est un joueur important. Beaucoup d’équipes nous l’avaient demandé, mais nous l’avons gardé car je tiens énormément à lui." Asllani partira donc avec le maillot de titulaire ? "Oui, absolument. Il a joué de nombreuses partie comme titulaire, il est prêt à jouer. Demain, je prendrais, avec mon staff, mes décisions comme je l’ai toujours fait." Qu’avez-vous fait ces derniers jours ? "J’ai revisionné notre dernier match, les choses ou nous avons été bons et celle où nous aurions pût faire mieux. C’était une belle soirée pour nous, pour nos Tifosi, mais cela fait partie du passé. Ce qui compte, c’est le match de demain et ce sera une rencontre tout aussi intense contre la Real Sociedad." L’Inter est différente de l’année passée, est-ce que tout cela découle du parcours réalisé l’année dernière ? "Sans doute, mais pas seulement même si ce que nous avons réalisé l’année passée est quelque chose de spéciale. Notre derrière accolade avec les Tifosi n’était pas la plus facile, c’était une belle aventure, surtout en se souvenant des difficultés que nous avons du surmonter en phase de Groupe : Les garçons savent qu’en travaillant tous ensemble, il est possible de faire de très belles chose, comme nous l’avons déjà fait ces dernières années." Quel type d’équipe est la Real Sociedad ? "C’est une équipe très organisé avec un entraineur en place depuis de très nombreuses années ici, comme de nombreux joueurs : C’est une équipe organisée, je les ai vu contre la Roma. Ils ont changé de dispositif face au Real Madrid, mais elle a de très nombreux joueurs de qualité : Nous devrons réaliser un match important : Da Inter." Est-ce le moment pour titulariser immédiatement Frattesi et pour les débuts de Pavard ? "Mes propres joueurs ne le savent pas encore, je préfère en discuter avec eux en premier. Ils se sont tous bien entrainer, j’ai une idée en tête, mais j’attends demain pour la communiquer à mes garçons." A quel type de match faut-il s’attendre demain ? Un match nul pourrait-il vous convenir ? "On ne peut pas anticiper le résultat, ce sera une rencontre difficile car la Real Sociedad est une équipe solide, avec d’excellents joueurs qui ont de l’endurance, de la force et de la technique : Nous devrons nous montrer brave, nous entraider et défende ensemble pour ensuite, attaquer en équipe." ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  4. Le Corriere Dello Sport a rendu Hommage à l'Inter et plus précisément à Giuseppe Marotta et à Piero Ausilio dans un article paru ce lundi : "L'apothéose du Mercato à coût zéro. De Mkhitaryan à Thuram, en passant par Çalhanoğlu : Quatre des cinq buts de l'Inter contre l'AC Milan ont été marqués par des joueurs récupérés libres sur le Mercato, sans que la direction des Nerazzurri n'ait déboursé un seul euro au club auquel ils appartenaient" "Une stratégie qui s'explique aussi par les besoins budgétaires du club, mais qui s'avère être une arme redoutable cette saison: De Mkhitaryan à Thuram en passant par Çalhanoğlu, ce sont tous des joueurs qui ont atterri à la Pinetina en tant qu'agents libres. Et l'exploit dans le Derby n'est certainement pas isolé, car le niveau de performance qu'ils garantissent depuis qu'ils portent les couleurs de l'Inter est très élevé: Si le Français n'en est qu'au début de sa nouvelle aventure, ce qu'il a montré de son talent va déjà au-delà des attentes initiales." "La signature de joueurs en fin de carrière est désormais devenue une spécialité de la Maison Nerazzurra. Ausilio avait déjà réalisé des coups importants, il suffit surtout de penser à De Vrij. Et même s'il est vrai que d'autres n'ont pas réussi à performer au plus haut niveau, il est tout de même parvenu à convaincre des joueurs tel que Godin ou Banega de rejoindre l'Inter, et le mérite, rien que pour cela, lui en revient." "Depuis la fin de l'année 2018, Giuseppe Marotta, un autre "Expert" en matière d'agents libres a également rejoint le club, et, désormais, la puisse de frappe a doublé, avec pour résultat les arrivées des susmentionnés Çalhanoğlu, Mkhitaryan et Thuram qui ont franchi les portes de la Pinetina, rejoints cet été par Cuadrado et, si l'on veut, même par Sanchez, gratuitement." "Cette "Vertu" des dirigeants de l'Inter est aussi une "nécessité" dans le sens où, avec un club qui lutte depuis plusieurs années avec les difficultés économiques et financières bien connues, il est devenu une obligation de se concentrer sur des opérations à faible coût, en limitant les grands investissements. Et l'habileté, évidemment, est d'avoir choisi les éléments qui, tout en coûtant peu, assure un rendement important." "Et même si c'est inévitable de prendre quelques risques, surtout en raison de l'âge, il arrive souvent que les agents libres âgés de plus de trente ans, apportent dans certains matches, comme le Derby, l'expérience, ce qui est souvent un facteur décisif. Mkhitaryan en est le meilleur exemple : Signé à 33 ans, il pourrait, à la fin de la saison, renouveler son contrat jusqu'en 2025." "Mais il est clair que faire venir Çalhanoğlu (27 ans, en 2021) et De Vrij (26 ans, en 2018) et Thuram (cet été), c'est réaliser de Véritables Coups, car la concurrence est toujours plus importante et toujours plus prestigieuse dans le cadre de leurs signatures." Ajoutez à cela que Marotta sait parfaitement quand se libérer des joueurs (Skriniar, André, Romelu) si vous nous entendez...! ®Antony Gilles - Internazionale.fr
  5. Les mots de Simone Inzaghi aux micros DAZN après le triomphe 5-1 contre le Milan. Quel signal pour le championnat ? "Un signal fort que je voulais, gagner cinq derbys consécutifs, c'est quelque chose qui manquait depuis longtemps (en réalité, cela n'était jamais arrivé, ndlr). Je suis content pour la famille de l'Inter, c'est quelque chose d'important mais nous nous n'en sommes qu'au quatrième match. Maintenant vient la partie difficile, il va falloir bien jouer les autres matches comme ces quatre premiers." Quelle marge de progression l’équipe a-t-elle ? "Nous devons introduire les nouveaux joueurs au bon moment, Pavard est un joueur très important, Sanchez est revenu parfaitement, il avait besoin de jouer, comme Klaassen. Nous savons que nous avons beaucoup changé, l'heure de chacun viendra." Vous avez changé trois joueurs et annihiler le retour de Milan : est-ce une stratégie conçue pour chaque match ? "Les nouveaux joueurs sont très bien entrés, il n'y avait aucun signe du but de Leao. Nous aurions pu être plus propres après le 1-0. Après le 2-1, ceux qui sont entrés étaient bons parce que nous avons encore élevé le centre de gravité. Continuons comme ça, dans cet esprit, comme nous le faisons depuis le 13 Juillet." Votre groupe d'équipe vous a-t-il amené à triompher dans le vestiaire ? "J'ai d'excellentes relations avec le groupe depuis mon arrivée. Ce soir, nous étions tous satisfaits, nous savons que les gens ressentent ces matches et nous ont portés. C'est une soirée importante, il faut continuer ensemble, comme nous l'avons fait lors des deux dernières années." Comment va Dimarco? "Apparemment, ce n'est rien, il est resté au sol mais le médecin ne m'a rien dit. Il avait beaucoup dépensé en équipe nationale, idem pour Bastoni, Barella et les sud-américains. Je craignais ce match parce que nous avons revu les Sud-Américains 24 heures avant le match, avec cette attitude nous pouvons faire des choses importantes." Hier, vous disiez en plaisantant que l'Inter devait gagner la C1, quelle sera la situation après ce derby ? "Cela ne changera pas, ce n'est pas un problème. Je suis très satisfait, j'ai promis aux supporters et au club de jouer le plus de matches possible. Nous avons atteint des objectifs importants, le temps nous dira ce que sera l'Inter." Beaucoup de revanche après le derby du 2-1 de Giroud ? "Je n'ai pas besoin de vengeance, je connais seulement le travail, avec le staff nous sommes toujours restés clairs. Il faut continuer comme ça, ce soir c'est bien d'être heureux car nous savons que nous avons rendu les supporters heureux." Thuram peut-il devenir plus fort que Lukaku ? "Le temps nous le dira. Mon seul souhait est que nous puissions continuer comme ça. J'ai la chance d'avoir des joueurs préparés." Pourquoi le déroulement du derby était-il le même, malgré les changements du mercato ? "Les principes du jeu sont restés les mêmes, Milan est organisé. Nous avons su garder nos distances, nous avons marqué des buts aux bons moments. Nous n'avons rien risqué après le 2-1. Nous avons respecté le Milan. Nous avons largement gagné, nous sommes heureux." Plus de choix pour le remplacement de Frattesi et Calhanoglu. "Le remplaçant de Calhanoglu est Asllani, que de nombreux clubs ont demandé cet été. Nous le voulions, il travaille bien et doit continuer comme ça." Traduction alex_j via FCInterNews.
  6. Ce sera un derby de haut niveau, mais aussi de grande valeur. Les deux équipes de Milan sont équivalentes avec une valeur totale d'environ 550 millions chacune. Lautaro d'un côté et Leao de l'autre sont à trois chiffres. "Pour l'Inter, le total de l'équipe est de 549,2 millions d'euros. Ajouté à la valeur de Milan (550,2), cela donne un derby d'une valeur totale de plus d'un milliard d'euros. Au sommet de l'Inter se trouve Lautaro, le seul à avoir une valeur à trois chiffres : même lorsque Barcelone le cherchait, c'est-à-dire au début de 2020, Toro ne coûtait pas autant. Ce n'est pas non plus un hasard si Barella est le deuxième derrière l'Argentin : les deux sont les seuls candidats nerazzurri au Ballon d'Or. Lautaro est au sommet de sa carrière : il a atteint une maturité sur et en dehors du terrain qui a fait de lui le capitaine et la référence, ainsi que le premier problème à résoudre pour les adversaires", écrit La Gazzetta dello Sport. "Çalhanoğlu est là, au pied du podium où Bastoni trouve sa place. En parlant d'opérations à coût zéro, le Turc est une affaire emblématique, arrachée à Milan à l'époque du chaos Eriksen. L'Inter a gagné deux fois avec lui : quand ils l'ont choisi et quand ils ont changé son rôle, ayant ainsi la possibilité de vendre Brozovic sans trop de soucis. L'idéal est précisément celui-ci : construire le pilier de demain à la maison." "Après tout, l'affaire Frattesi répond précisément à cette idée. Il s'agit de la transaction la plus chère de toute la Serie A lors de la dernière séance du marché." La deuxième ? "Elle est toujours chez les Nerazzurri : Pavard. Et là aussi c'est un choix : les Nerazzurri sont convaincus qu'il vaut mieux dépenser plus pour un seul joueur et en prendre un de moins, plutôt que de diviser l'investissement." ®Jean Idriss - Internazionale.fr
  7. Une version "2.0" qui pourrait rimer avec le "20"ème Scudetto, car l’Inter a débuté de la meilleure des manières cette nouvelle saison, avec tout le sérieux que l’on peut attendre d’un Vice-Champion d’Europe! Voici l’analyse de la Gazzetta Dello Sport qui fait suite aux trois victoire en trois matchs et une première place en compagnie du Milan avec le maximum de points avant le Derby de la Madonnina de la reprise: "L'Inter n'a pas encaissé de but en trois journées, ce qui ne lui était plus arrivé depuis 57 ans, avec Helenio Herrera assis sur le banc. De plus, personne d'autre dans le Big 5 des meilleurs championnats européen n'a réussi à faire la même chose. Simone Inzaghi peut par-dessus tout être satisfait de la façon dont l'Inter se défend car elle n’est jamais placée dans une situation de crise, jamais mise en difficulté et Yann Sommer en est le premier reconnaissant, lui qui peut se sentir comme au Paradis dans la cage de l’Inter." "Ce zéro est savoureux car il gomme les doutes, il rassure: Lors de la tournée estivale, et alors que la tournée au Japon battait son plein, l'entraîneur et le club ont tenu à comprendre où investir la majeure partie des fonds restants. Et l'idée qui est ressortie très clairement de cette réunion était la suivante : "Nous avons besoin d'un défenseur. Nous devons nous occuper de cet aspect, parce que par caractéristiques, nous sommes une équipe qui n'aura jamais de problèmes pour marquer des buts". C’est pour cette raison que Benjamin Pavard est arrivé, avec un investissement de 30 millions d'euros." "Mais le travail va au-delà du Français, qui n'a d'ailleurs jamais été vu sur le terrain jusqu'à présent. Il va même au-delà d'Acerbi, le meilleur joueur de ce secteur la saison dernière, aujourd'hui encore à zéro minute de jeu à cause d'une blessure: Le travail est global, l’Inter différente car elle a changé sa façon de jouer par rapport à la saison dernière." "Et les différences ont également profité à sa phase défensive. L'Inter a très vite appris à attaquer l'adversaire en haussant son pressing. L’année dernière, lorsqu’elle avait tenté de le faire, elle n’y était pas parvenue lors de la première partie de la saison, mais aujourd'hui, le timing est parfait, le pressing est exercé en équipe et, sans surprise, avec une récupération du ballon est beaucoup plus importante et surtout, cela marche et la défense n’est presque jamais en difficulté." "L'autre clé réside dans le travail réalisé les milieux de terrain. Car même si l'équipe adverse parvient à surmonter cette première phase de pression, l'écran de protection offert par Çalhanoğlu et ses compagnons est remarquable et ce n'est pas un hasard si nous parlons de Çalhanoğlu : Sa qualité de construction du jeu ne fait l'objet d'aucun doute et ce début de saison met en évidence une capacité de couverture surprenante et pas seulement au niveau de ses tacles, pas uniquement dans les contre-attaques : l'ancien joueur du Milan se montre également exceptionnel dans la lecture des lignes de passe adverses." "Il y a finalement les individualités tel que Darmian qui est un véritable ordinateur de fiabilité : Pavard aura vraiment du mal à prendre sa place. De Vrij est redevenu le défenseur du Scudetto sous Conte, physiquement en forme, mentalement toujours sur le ballon. Et enfin Bastoni, n'a jamais baissé son niveau de concentration et a également progressé en termes de marquage." "Sans oublier le lourd héritage dont hérite Yann Sommer, un héritage qu’il a repris avec l'aisance des plus grands. Son nom n'est peut-être pas celui des couvertures de presse et son style n'attire pas l'œil des photographes. Mais derrière l'invincibilité de l'Inter lors des trois premières rencontre, on retrouve également le gardien suisse qui a été le Visage du cauchemar du dernier échec mondial de notre équipe nationale pour nous, les Tifosi." "Après le bref règne d'André Onana, il semblait difficile de trouver un nouveau numéro un capable de se mettre immédiatement au diapason de cet environnement et auprès des Tifosi, mais Yann Sommer a réussi le faire à sa manière : avec discrétion et travail. Yann a déjà convaincu le monde Nerazzurro en trois matches. A Cagliari, il a démontré l’étendue de son talent pour parer le tir d’Azzi, contre la Fiorentina, il a bloqué Sottil à deux reprises." "Derrière la Muraille défensive l'Inter présente un nouveau gardien, expérimenté et fiable: Et ce n'était pas gagné d'avance" ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  8. Neuf sur neuf et trois clean sheets. L'Inter l'emporte sur la Viola 4-0 grâce à un doublé de Lautaro Martinez complété par Marcus Thuram et Hakan Calhanoglu. Des chiffres, des records, des buts et beaucoup d'émotions. Pour faire le calcul après la fin l'Inter-Fiorentina, il faut s'armer d'une calculatrice. Voyons. Trois victoires, neuf points marqués, et premier but avec l'Inter de Marcus. Et puis il y a Lautaro Martinez qui entre avec force dans le top dix des buteurs Nerazzurri de tous les temps, d'abord aux côtés d'Ermanno Aebi (106 buts), puis le dépassant avec 107 buts marqués grâce à son doublé contre la Viola. Mais cela ne s'arrête pas là car après le but et la passe décisive pour le premier but d'el Toro, Marcus Thuram a également obtenu un penalty transformé par le numéro 20, Hakan Calhanoglu. Le tout accompagné de plus de 72 000 spectateurs, une seule voix Nerazzurri accompagnant les 90 minutes du match. Il y a aussi une cage inviolée, la troisième consécutive. Cela permet à l'équipe de clôturer le premier trio de matches avec zéro but encaissé et huit marqués, dont cinq par le capitaine Nerazzurri en tête du classement des buteurs à la fin du match. Mais il n'y a pas que les chiffres, il y a la force d'une équipe affamée. Cela se voit sur le ballon arraché avec force à la Viola et terminé par Dimarco pour le premier but des Nerazzurri de Thuram qui marque et débloque le match à la 24e minute. Il y a l'entêtement du numéro 9 qui après le but tente de doubler la mise servi par Bastoni. Il y également a la puissance de Calhanoglu qui à la 41ème minute sur coup franc laisse le stade sans voix. Il y a l'organisation d'une équipe qui a terminé avec 21 tirs, 11 cadrés et a également ajouté un poteau, celui touché par Dumfries en début de seconde période. Christensen cède sur la spectaculaire contre-attaque des Nerazzurri qui se termine par une passe décisive de Thuram pour notre capitaine. Le troisième est arrivé cinq minutes plus tard avec Thuram qui a sauté sur le ballon lâche et a été bousculé par Christensen; Calhanoglu a été impeccable pour le penalty. Après le but, l'Inter change de visage avec plusieurs remplacements. Parmi ceux-ci il y a Cuadrado qui sert Lautaro qui se retourne et scelle le 4-0 pour l'Inter. Le but met fin au suspense du match. Les Nerazzurri ont gagné trois points et une standing ovation du Meazza. INTER-FIORENTINA 4-0 Buts : 24' Thuram (I), 53' Lautaro (I), 58' stylo. Calhanoglu (I), 73' Lautaro (I). INTER (3-5-2) : 1 Sommer; 36 Darmian, 6 De Vrij, 95 Bastoni ; 2 Dumfries (7 Cuadrado 70'), 23 Barella (16 Frattesi 59'), 20 Calhanoglu (21 Asllani 78'), 22 Mkhitaryan, 32 Dimarco (30 Carlos Augusto 70') ; 9 Thuram (8 Arnautovic 70'), 10 Lautaro. Disponibles : 40 Calligaris, 77 Audero, 14 Klaassen, 28 Pavard, 31 Bisseck, 42 Agoumé, 47 Kamatè, 49 Sarr. Entraîneur : Simone Inzaghi. FIORENTINA (4-2-3-1) : 53 Christensen; 2 Dodò, 4 Milenkovic, 16 Ranieri, 3 Biraghi; 6 Arthur (73 Amatucci 75'), 38 Mandragore ; 10 Nico Gonzalez (77 Brekalo 54'), 5 Bonaventura (19 Infantino 54'), 99 Kouamé (7 Sottil 46') ; 9 Beltran (18 Nzola 46'). Disponibles : 1 Terracciano, 30 Martinelli, 26 Mina, 28 Quarta, 32 Duncan, 33 Kayode, 37 Comuzzo, 65 Parisi, 91 Kokorin. Entraîneur : Vincenzo Italiano. Avertis : Ranieri (F), Barella (I). Temps additionnel : 5', 5'. Arbitre : Marchetti Assistants : Costanzo, Passeri Quatrième arbitre : Sacchi. VAR : Mazzoleni. Assistant VAR : Paganessi. Traduction alex_j via le site officiel.
  9. Après le coup de sifflet final de l'Inter-Fiorentina, Simone Inzaghi s'est livré devant les caméras d'InterTV. Premières impressions. "Nous avons eu un très bon impact sur le match, nous connaissions les qualités de la Fiorentina. Au départ, nous gardions notre positions, puis après, nous avons commencé à prendre l'avantage en sachant que nous avions un bel adversaire devant nous." L'Inter prend désormais les devants et gère sans souci. C'est l'impression. "Nous avons joué trois matches de la meilleure façon possible, nous avons bien travaillé pendant 50 jours et nous l'avons également fait loin de l'Italie, avec des températures élevées (en référence à la tournée au Japon, ndlr). Il y a un grand esprit, nous voulons le maintenir et continuer ainsi." L'Inter est la seule équipe d'Italie avec zéro but encaissé. "Les gars se comportent bien dans les deux phases, ils se sacrifient tous. Cela ne dépend pas seulement des défenseurs mais aussi des milieux de terrain et des attaquants." Une grande humilité s'est imposée face à un adversaire de qualité, sans forcément vouloir garder le contrôle pendant 90 minutes. En seconde période, l'équipe est entrée en action pour accélérer. "Nous connaissons la Fiorentina, c'est une équipe qui a une grande arme en possession. Nous étions organisés, nous avons traversé une phase sans possession de la meilleure façon possible." Belle performance de Thuram. Comment jugez-vous sa prestation ? "Très bien, il a fait une excellente pré-saison et à Cagliari j'ai dit que j'étais désolé qu'il n'ait pas marqué. C'est un gars généreux qui travaille pour l'équipe. Je suis heureux qu'il ait couronné sa performance avec un but." Lautaro, en revanche, marque toujours, mais il prouve aussi qu'il est un vrai capitaine. "Absolument, c'est l'un de nos leaders et je suis content de sa disponibilité constante pour ses coéquipiers." Hakan Calhanoglu est-il le tireur du penalty ? "Nous avons celui qui est le premier, puis nous avons Lautaro, Sánchez... Aujourd'hui, c'était bien qu'il ait marqué, c'était un penalty très important." Les attaquants jouent bien entre eux, comme cela s'est vu aujourd'hui. "Ils ont été très bons, même Arnautovic lors de son entrée. Après la pause, nous récupérerons également Acerbi, Sensi et Sanchez qui sont des solutions très importantes pour nous." L'Inter première du championnat, ce n'était plus arrivé depuis 2022 avant le derby. Quelle est l'importance de ce derby ? "C'est important pour les supporters, pour le club, pour ce qu'il représente. Nous avons du respect pour Milan, une équipe bien entraînée avec d'excellents principes de jeu. Nous le jouerons de la meilleure façon possible, nous aurions aimé le préparer comme d'habitude mais il y a les équipes nationales. Les joueurs sont heureux de les représenter et nous, les entraîneurs, savons que nous avons 2-3 jours pour nous préparer, mais cela s'applique à tout le monde. Ce sera un match très important." Traduction alex_j via FCInterNews.
  10. Notre club continue de miser sur la réduction de sa masse salariale et ce, malgré les arrivées de Marcus Thuram et Benjamin Pavard. Voici TOUS les chiffres de Calcio e Finanza. La politique de réduction des coûts de l'Inter se poursuit et elle verra sa masse salariale diminuer cette saison. Si en 2022-2023 le club Nerazzurri a dû engager 75 millions d'euros de dépenses pour les salaires nets, qui auparavant s'élevaient à près de 129 millions bruts, désormais elle devra dépenser 70,9 millions nets, soit environ 117,8 millions d'euros pour le brut. Cela représente une économie annuelle d'environ 11,2 millions. Total des salaires toujours en baisse Globalement, le montant des salaires a diminué par rapport au chiffre global de la saison dernière qui prend également en compte les joueurs arrivés lors du mercato de Janvier et ceux qui ont été vendus au cours de la saison en cours (avec prorata en fonction des mois passés avec le maillot Nerazzurri). Pour établir le classement des salaires, Calcio e Finanza a utilisé les chiffres salariaux publiés par le passé par La Gazzetta dello Sport. L'analyse a ensuite été intégrée aux salaires des nouveaux joueurs arrivant après le mercato d'été et ajusté les chiffres avec les contrats. Pour le calcul du salaire brut, l'allégement fiscal prévu par le décret sur la croissance a été pris en compte pour tous les joueurs qui peuvent en bénéficier (c'est-à-dire les joueurs qui avaient leur résidence fiscale hors d'Italie au moins pendant deux années précédant leur arrivée en Serie A et qui conservent leur résidence fiscale en Italie pendant au moins deux ans à compter de leur arrivée). Pour les nouveaux joueurs arrivant après le 2 juillet, l’allègement s’applique uniquement pour 2024, et donc pour la moitié de la saison. Tous les chiffres Voici les salaires nets des joueurs de l'Inter pour la saison 2023-2024 (le brut entre parenthèses et en gras pour ceux qui bénéficient de l'allègement du décret de croissance) : Hakan Calhanoglu – 6,5 millions nets (12,03 bruts) Lautaro Martinez – 6 millions nets (11,1 bruts) Marcus Thuram – 6 millions nets (11,1 bruts) Alessandro Bastoni 5,5 millions nets (10,18 bruts) Benjamin Pavard – 5 millions nets (7,9 bruts) Nicolò Barella – 4,5 millions nets (8,33 bruts) Stefan De Vrij – 3,8 millions nets (7,03 bruts) Henrikh Mkhitaryan – 3,8 millions nets (4,98 bruts) Davide Frattesi – 3 millions nets (5,55 bruts) Marko Arnautovic – 3 millions nets (3,93 bruts) Yann Sommer – 2,5 millions nets (3,95 bruts) Matteo Darmian – 2,5 millions nets (3,28 bruts) Juan Cuadrado – 2,5 millions nets (4,63 bruts) Denzel Dumfries – 2,5 millions nets (3,28 bruts) Alexis Sanchez – 2,5 millions nets (4,63 bruts) Carlos Augusto – 2,2 millions nets (2,88 bruts) Stefano Sensi – 2 millions nets (3,7 bruts) Federico Dimarco – 1,6 million net (2,96 brut) Francesco Acerbi – 1,5 million net (2,78 brut) Davy Klaassen – 1,5 million net (2,37 brut) Yann Bisseck – 800 mille euros net (1,26 million brut) Kristian Asllani – 800 mille euros net (1,48 million brut) Emil Audero – 800 mille euros net (1,48 million brut) Raffaele Di Gennaro – 150 mille euros net (277 mille euros brut) TOTAL – 70,95 millions d'euros net (117,8 brut) Chiffres en millions d'euros; Traitement CF sur les données de la Gazzetta Le footballeur le mieux payé est Hakan Calhanoglu avec 6,5 millions d'euros net. L'ancien joueur milanais hérite ainsi du sceptre de Romelu Lukaku parti pour la Roma via un prêt couteux. Derrière, on retrouve le capitaine Lautaro Martinez et le nouveau venu Marcus Thuram qui reçoivent tous deux 6 millions d'euros nets par saison . Derrière eux se trouve Alessandro Bastoni qui, après avoir renouvelé son contrat en Juillet dernier, gagne 5,5 millions net par an. Le dernier arrivé à l'Inter, Benjamin Pavard, a signé un contrat de cinq ans pour 5 millions d'euros net. Dit de Lukaku, qui a "libéré" les caisses de l'Inter de son salaire de 8,5 millions d'euros net, d'autres départs ont permis au club de réduire encore la masse salariale. Les plus grosses économies sont venues de Marcelo Brozovic (6,5 millions nets), Edin Dzeko (5 millions) et Joaquín Correa (3 millions). Outre ces trois, on trouve André Onana qui a reçu 3,5 millions d'euros net, Milan Skriniar (3 millions), Robin Gosens (2,5 millions), Samir Handanovic (2,5 millions), Danilo D'Ambrosio (2 millions) et Roberto Gagliardini (1,5 million). Traduction alex_j via Calcio e Finanza.
  11. Notre milieu de terrain turc s’est livré après le pyrotechnique 3-4 obtenu par nos Vice-Champions d’Europe sur le terrain du Red Bull Salzbourg : "Nous voulons immédiatement bien débuter le championnat et éviter de commettre les erreurs de la saison passée." “J’ai vu une bonne équipe, nous avons encore 10 jours avant le début du championnat. Nous avions bien débuté mais la pluie a ensuite compliqué les choses : Ce n’était pas simple de jouer sur un terrain aussi lourd. Nous devrons analyser chacune des erreurs commises en vue de la première rencontre du championnat, mais nous avons très bien travaillé jusqu’à présent, même au Japon." "Il nous reste encore 10 jours pour bien bosser et pour nous améliorer car nous voulons bien débuter en championnat et ne plus commettre les erreurs de la saison dernière, Nous avons amélioré, lors de cette présaison, notre possession de balle et nos phases défensives. Aujourd’hui, nous avons tenté de construire de l’arrière à plusieurs reprises, nous devons encore nous améliorer sur les coups de pieds arrêtés." "L’unique chose qui compte c'est d’être près dans une dizaine de jours." Partagez-vous la même analyse ? ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  12. En effet, avec l’arrivée de Davide Frattesi et la future arrivée de Lazar Samardzic nous retrouvons deux éléments au milieu de terrain qui peuvent renforcer, avec la Manière, celui déjà redoutable composé de Nicolò Barella, Hakan Çalhanoğlu, Henrik Mkhitaryan et Kristjan Asllani Droit au Buts Car en prenant en compte les deux dernières saisons de Serie A, selon les statistiques recueillies par Kickest, il apparaît que l'Inter va disposer d'un Milieu de terrain qui aime aller au but, et en le faisant de différente manière: En ce qui concerne les buts en dehors de la surface, derrière Koopmeiners, Malinovskyi et Fabian Ruiz avec 6 buts (le deuxième et le troisième ne jouant plus en Italie), nous trouvons Hakan Çalhanoğlu et Lazar Samardzic avec 5 mines chacun. La situation est similaire en ce qui concerne les buts dans les 16 mètres : Milinkovic-Savic et Pasalic sont en tête avec 18 buts, tandis que Frattesi, occupe la troisième place avec 11 buts, suivi de Candreva avec 9 buts et de Barella avec 8 buts. Comme le souligne Fcinter1908.it: "L'Inter a ainsi remplacé Brozovic (vendu à Al-Nassr) et Gagliardini (dont le contrat expiré n'a pas été renouvelé) par deux jeunes joueurs capables d'offrir des alternatives à Simone Inzaghi sur base de rajeunissement voulu par la Politique du Club cet été. Avec Çalhanoğlu et Asllani comme meneurs de jeu et les Barella, Mkhitaryan, Frattesi et Samardzic interchangeables, les Nerazzurri peuvent se vanter d'avoir un département d'une qualité absolue, avec des interprètes capables de tourner sans affecter le niveau de compétitivité de l'équipe." Ça va bouger bouger ! ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  13. Notre international turc s’est livré à The Digest au cours de la tournée japonaise de l’Inter dont l’objectif est de coudre la seconde étoile sur le maillot Vous vous entrainez durement et vous jouez, mais comment est votre condition physique après ces deux semaines de reprises des entrainements ? "Il faudra encore un peu de temps pour me remettre en forme, je suis revenu dans l’équipe il y a une dizaine de jour car j’avait disputé un match avec mon équipe nationale, mais l’entrainement de présaison est toujours dur, cela l’a toujours été et j’y suis habitué. Les entrainement se déroulent bien, mis à part la chaleur." Il y a des changements chaque année dans l’équipe, des joueurs vont et viennent : Quels sont vont rapports avec vos nouveaux partenaires d’équipe ? "Les changements sont inévitablement dans le monde du football : Je me suis énormément diverti à l’Inter avec les joueurs qui sont partis et je leur souhaite tout le meilleur possible dans leur nouvelle équipe. Je peux dire aussi pour les nouveaux joueurs de l’Inter : Ils sont tous brave, jeune et fort, ils apporteront leur contribution à l’équipe de la même manière que ceux qui sont parti l’avaient apporté. Et après mes nombreuses années dans l’équipe, je chercherai à venir en aide aux nouveaux à tout point de vue." L’Inter a salué ses vétérans comme Samir Handanovic, Danilo D'Ambrosio, Marcelo Brozovic et Edin Dzeko, tout en acquérant des jeunes joueurs comme Yann Aurel Bisseck, Davide Frattesi et Marcus Thuram. Dans l’équipe, il y a aussi des joueurs d’expérience comme toi, cela semble être un équilibrage positif... "Je suis d’accord, les jeunes sont en forme et nous sommes expérimentés, je pense que la balance est positive: Je pense aussi savoir m’entendre avec eux sur et hors du terrain, je veux faire en sorte que cela se produise : A titre d’exemple, Thuram et Bisseck viennent de l’étranger, je leur ai donc montré comment les choses se font en Italie : Nous sommes une Famille et nous nous entraidons." Pensez-vous que l’Inter réalisera une meilleure saison comparée à l’année écoulée ? "Nous avons réalisé d’excellents résultat la saison dernière en remportant la Coupe d’Italie, la Super Coupe d’Italie et en atteignant, pour la première fois depuis 13 ans, la Finale de la Ligue des Champions." "Pour cette saison, nous voulons nous envoler immédiatement en nous concentrant particulièrement sur la Serie A : Il y a des équipes redoutables en Serie A, mais nous sommes bien préparé : L’Inter doit toujours être en tête au classement." Parlez-nous des points forts de l’Inter... "Le Club fait de l’excellent travail car ces dernière années, nous avons aussi fait de belles choses en Serie A : Le fait est que nous avons remportés deux titres pour la seconde année consécutive, ce qui est la preuve que le club fait de très bonnes choses et cette saison ne sera pas différente: Nous, les joueurs, nous en avons conscience : Il y a un sentiment d’union entre les joueurs et le Staff du Club, nous sommes comme une Famille." "C’est ma troisième saison à l’Inter et je pense que tous les joueurs qui composent l’équipe sont habités d’un grand cœur, ce sont tous des gars divertissants, quand un nouveau arrive, nous sommes tous là prêt à lui venir en aide, que ce soit sur ou hors du terrain et c’est également valable pour le Personnel du Club : ce sont tous de très braves personnes." Juan Cuadrado est arrivé de la Juve, comment avez-vous vécu son transfert ? "Je suis content qu’il soit ici, c’est un grand joueur et je n’ai aucun doute sur ses capacités. Je pense qu’il est venu car il a conscience de la Force de l’Inter : Nous avons tellement de braves joueurs dans cette équipe, mais avec son expérience, l’Inter devrait être encore plus forte." ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  14. Au cours d’un évènement organisé par Nike à Osaka, le vice-champion du Monde français s’est livré à la presse. Celui-ci s’est également livré par la suite à DAZN L’Interview pour le compte de Nike "Je suis en train de m’ajuster avec mes équipiers, ce sont des journées à exploiter. Je suis prêt pour jouer contre All-Nassr." Je suis très fier de travailler avec ce groupe de personne qui m’ont très bien accueille." Pour Dazn "Il y a deux ans, j’aurai dû signer ici, mais je me suis blessé. Et lorsque j’ai su que l’Inter cette année était présente, je n’ai pas hésité. Mon père me laisse prendre mes responsabilités, mes décisions et j’ai choisi l’Inter. Mes équipiers sont tous très gentils." "Lorsque je suis arrivé, j’ai parlé avec Barella et Dimarco, il y a aussi eu Çalhanoğlu et Mkhitaryan qui lui parle le français." Le Giuseppe Meazza ? "Je suis allé rechercher les chants et les chœurs des Tifosi, je les avais déjà vu lors de la Demi-Finale face au Milan." Black Panther ? "J’en ai la vitesse et parfois l’intelligence. Et quand je le veux, je la réveille. J’ai parlé avec l’entraineur et il veut me voir attaquer rapidement, que j’attaque la profondeur." La Famille ? "Nous échangeons énormément, je parle avec mon père, mon frère, ma mère, nous prenons les décisions tous ensemble." Mon italien ? "Je suis né à Parme et je ne l’ai pas oublié même avec un papa qui parle le français." Tikus? "Cela veut dire "petit". Je ne sais pas si cela a encore du sens à présent. Mes amis et ma grand-mère m’ont surnommé ainsi, et ce surnom est resté aussi dans le football, ils m’appellent tous comme ça." Ce que j’aime ? "J'aime la cuisine italienne, j'adore les spaghettis aux palourdes. J'aime Naruto et Dragon Ball, Vegeta, je suis heureux d'aller au Japon." "Pendant la pandémie au Covid-19, On ne m’avait pas laissé rentrer au Giuseppe Meazza car je portais un masque: J'espère qu'ils me laisseront entrer maintenant." Et une petite cartouche gratuite au Steward, une ! ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  15. A la surprise générale, Hakan Calhanoğlu est parvenu à mettre sur le banc, durant une très longue partie de la saison, Marcelo Brozovic, au poste de Regista du milieu central à 3 de l’Inter. Suite au départ épique du croate, la Course au Scudetto passera inévitablement par les prestations de l’ancien milanais et la Gazzetta Dello Sport s’est penchée sur cette thématique "Il n'y a peut-être pas de joueurs plus précieux que Calhanoğlu, un "milieu de terrain polyvalent" qui possède la classe et le dribble d'un numéro 10, le mouvement vertical d'un numéro 8 et le sens de l'orientation d'un défenseur central. Calha appartient à la catégorie des meneurs de jeu "créatifs" inaugurée par Luis Suárez et renforcée par Andrea Pirlo : Il s'agit d'ailleurs d’une interprétation très difficile du rôle de Regista central, car théoriquement, ils ne vous garantissent pas une protection dorsale." "Un entraîneur doit donc trouver des mécanismes d'équipe, comme l'a fait Simone Inzaghi en plaçant Henrik Mkhitaryan à ses côtés, avec lequel le joueur turc a échangé son poste et sa position" Et Inzaghi a été récompensé par une présence totale de son international turc : "6 passes décisives et 70 passes clés expliquent la centralité de Calha. Il n'y a pas beaucoup de 10 comme Pirlo dans le monde, mis à part Modric, qui a été déplacé au poste de Mezz’ala. Le plus proche à lui ressembler est Frenkie De Jong, mais qui présente des difficultés et préfère jouer "à deux" couvert par Sergio Busquets (au Barça) ou Lasse Schöne ( à l’Ajax)" Pour vous, le Scudetto 2024 peut-il porter la signature de notre Playmaker ? ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  16. La conférence de presse lançant la saison 2023-2024 s’est tenu ce mercredi 12 juillet soir à 18h00. Celle-ci a vu Giuseppe Marotta et Simone Inzaghi se livrer ouvertement sur l’objectif de la saison : Le Scudetto de la Seconde Etoile Giuseppe Marotta : Des joueurs qui aiment l’Inter Le Calcio "Il s’est passé environ un mois depuis la fin de la saison écoulée qui a vu le Calcio se montrer à nouveau protagoniste avec 3 finales européennes et 5 demi-finalistes. Nous sommes revenus à un poste de grande crédibilité, mais l’écart des recettes des droits télés ne fait que croitre.Une négociation est en cours avec les diffuseurs, je crois en une issue positive." "II y a aussi d’autres difficultés bureaucratiques: L’Italie éclaire l'avant-scène dans l’établissement des codes pour les bâtiments, pour rendre difficile la constructions des stades et pour faire preuve de carence au niveau des structures pour les jeunes. Un autre aspect important à considérer est les capitaux de l’Arabie Saoudite qui peuvent ébranler la nature du football, aussi l’Italien. D’un autre côté, cela vous donne aussi l’opportunité de percevoir des recettes à réinvestir. Mon espoir est qu’Abodi puisse être accompagné dans le processus de réforme du mouvement footballistique italien." Les mérites d’Inzaghi "La saison dernière a été contradictoire, en plus de la Finale d’Istanbul, nous avons aussi remporté deux trophées et le mérite en revient à l’entraineur qui a fait face à des critiques assez sévère, elle a été influencée aussi par la trêve forcée pour la Coupe du Monde. Nous nous sommes bien repris lors de sa phase finale et nous sommes parvenu à conquérir méritoirement une place en Ligue des Champions." "Tout cela est un motif de fierté : Être vice-champion d’Europe est également un autre motif de fierté : L’année qui débute devra être stimulante pour faire de belles choses." Le Mercato "Dans une campagne de recrutement, notre très bravissimme Directeur Sportif Piero Ausilio travaille en étroite collaboration avec Baccin et Inzaghi, dans le respect de la ligne de conduite dictée par la Propriété. Ces dernières années, la Direction a su démontrer que, même sans procéder à de grands investissements, qu’il était possible de parvenir à composer des équipes importantes." "Il reste encore 40 jours d’ici à son terme et il y a encore tant à faire : Ce qui est certain, c’est que nous chercherons à construire une équipe compétitive, avec des connotations aussi différentes comparées à celle du passé avec des jeunes joueurs qui pourront aussi apporter leur contribution à l’équipe nationale." Love Inter "L’Inter sera compétitive, c’est ce que nous voulons : Nous sommes vraiment une belle équipe directionnelle qui aime l’Inter : Je tiens à remercier nos Tifosi qui nous ont toujours accompagné. Le remerciement le plus important doit être fait à la Propriété qui, même dans les difficultés, ne nous a jamais laissé sans ressources afin que notre travail puisse être finalisé. Je remercie aussi Antonello qui est en charge des activités sportives du Club : J’espère que la saison à venir nous régalera de satisfaction." Simone Inzaghi : Nous avons le devoir de remporter la Seconde Etoile Avec quel état d’esprit reprenez-vous ? "Il y a tant d’envie, nous avons vécu une longue saison : 57 matchs, une saison longue et intense composé d’enthousiasme différents car fait de victoire et de titre : Il y a eu des périodes difficiles et l’ensemble du Monde Interiste a été bon pour se compacter et pour en ressortir une saison riche de satisfaction. Je reprends avec l’envie de parvenir à une saison également pleine de satisfaction." Objectif Scudetto ? "Clairement oui, mon idée et l’Adn de l’Inter est la Victoire, c’est le grand objectif, cela ne me convient pas d’y participer avec l’étiquette de favori : Nous sommes l’Inter et nous avons le devoir de remporter la Seconde Etoile, nous y mettrons toutes nos forces. Il y aura de nombreuses équipes en course, mais nous nous y efforcerons." Vous en êtes à votre troisième année… "C’est un motif de grande fierté, je remercie le club et les joueurs qui m’ont aidé au cours de ces deux années, nous avions tant de défis important devant nous, notre parcours en coupe a été presque parfait car nous nous sommes inclinés face à Liverpool et face à City. En championnat, nous sommes arrivé à la troisième place, nous nous devons de faire mieux." Que signifierait le retour de Lukaku à Milan ? Un commentaire sur le Mercato ? "Je suis en parfaite syntonie avec cette Direction qui a toujours été à mes côtés, avec le Président, il y a également cette grandissime harmonie. Nous sommes au travail, il s’agit d’un mercato difficile mais j’estime que nous l’opérons de la meilleure des façons possible : Nous connaissons tous Frattesi et Thuram et Bisseck vient à peine d’en finir avec l’Euro U-21." "Lukaku est un joueur d’une autre équipe et nous savons ce qu’il représente et ce qu’il nous a apporté lors du finale de la saison : Je me suis battu pour le faire revenir la saison dernière, nous aimerions le faire à nouveau cette année, il appartient à un autre club et nous verrons ce que nous pouvons faire." Très prochainement, vous partiez en Tournée, quand est-ce que votre équipe sera au grand complet ? "Cela aurait été un rêve : Il reste 50 jours d’ici à la fin du mercato et j’ai conscience que cela changera encore énormément. Il y a de l’espérance et elle est importantissime en cette première phase de travail, mais le mercato reste imprévisible : Un mercato ouvert ne nous aide pas, nous les entraineurs, mais nous en avons l’habitude." Pouvez-vous déclarer que l’Inter joue la Ligue des Champions pour la gagner ? "Nous avons démontré qu’il n’y avait pas un si grand écart avec City, nous avons joué à armes égales mais nous nous sommes inclinés : Nous avons tenu tête à l’équipe la plus forte d’Europe. Lors de ces deux dernières années, nous avons énormément travaillé, nous avons connu un long parcours. Nous connaissons l’Histoire des dix dernières années qu’a connu l’Inter et lors de ces deux dernières saisons, nous nous sommes améliorés. Nous savons que cela sera difficile de nous reconfirmer en Ligue des Champions, mais il y a de l’espoir et de l’envie." Le départ de Brozovic peut-il poser un problème ? "Je ferai un discours général pour tous ceux qui ne sont plus là : Ils ont écrit l’Histoire de l’Inter, d’Handanovic à Bellanova, ils ont toujours fait de très belles choses. Avec la Direction, nous avons choisi de rajeunir l’équipe : Nous avons perdu des joueurs importantissimes mais d’autres arriveront. Notre espoir à tous est que les nouveaux arrivants feront tout aussi bien." Le Turnover s’est avéré efficace l’année dernière, repartirez-vous sur les mêmes base l’année prochaine ? "Clairement, cette année, nous savons qu’il n’y aura plus la trêve pour la Coupe du Monde et qu'il n’y aura qu’une seule journée en milieu de semaine, mais nous aurons les Coupes. J’aurai besoin de tous les joueurs. J’ai eu besoin de tout le monde de début avril jusqu’à Istanbul, je me souhaite que tous pourront répondre présent." Vous débutez la saison en étant en fin de contrat… "Le club connait ma pensée : Ce qui prime pour moi c’est le terrain, j’ai exprimé le fond de ma pensée au Club et au Président : Je suis très serein." Lautaro sera-t ’il le Capitaine ? "Je dois encore en parler avec l’équipe." Le calendrier est bon, à quel point est-ce important de bien débuter ? "Il sera fondamental de mieux démarrer que la saison dernière, j’ai regardé le calendrier, mais sans plus, les deux derniers mois que nous avions connu aurait dû être les plus difficile et sans notre défaite face au Napoli, nous aurions récolté le maximum de point. Le début de la saison semble assez soft mais toutes les rencontres du championnat réservent des surprises." Est-ce qu’il y a une auto-estime supérieure comparée à la saison écoulée ? "Oui, il y a tellement plus de confiance en soi comparé à la saison précédente. Mais même là, le parcours de l’année précédente en Ligue des Champions, nous avait apporté de l’auto-estime car nous avions affronté le Real Madrid et Liverpool qui se sont ensuite rencontré en Finale et nous avions joué les deux à armes égales." Que perdrait l’Inter avec le départ d’Onana ? "Nous parlons d’Onana qui est un joueur de l’Inter et il sera convoqué demain au stage de présaison. Le mercato est imprévisible et nous savons tous que toutes les équipes italiennes doivent vendre, en premier, avant d’acheter. C’est risqué mais je suis serein : La propriété et le Club m’ont assuré que l’Inter sera compétitive. Nous en avions déjà discuté lors de notre réunion d’avant-mercato." "L’important est que l’Inter soit compétitive comme lors de ces deux dernières années, nous avons connu des problèmes Post-Covid, mais nous avons réalisé des mercato intelligents et nous avons vu à quel point ils étaient positifs." ESPN vous a nommé dans le Top 10 au niveau Mondial : Quel effet cela vous a-t ’il fait ? "Cela m’a fait énormément plaisir, j’espère pouvoir grignoter d’autres places dans le futur." Avez-vous envie de régler vos comptes ? "Non, je n’ai rien à redire: Je pense au terrain, au travail et je chercher à travailler du mieux possible pour mon Club. Chaque entraineur a son propre parcours, sa propre histoire, je me sens bien ici avec le Club, avec les Tifosi, je cherche sur cette voie." Croyez-vous encore en Correa ? "Oui, les joueurs que j’entraine sont les meilleurs du monde et je pense que c’est le cas pour chaque entraineur : Correa est un excellent joueur, il n’a pas répondu présent comme on aurait pu s’y attendre, mais j’ai une confiance maximale en lui : Il est capable de faire mieux et bien plus, je l’ai entrainé et je connais ses qualités." Qui selon vous peut vous défier dans la Course au Scudetto ? "Il y a tellement d’envie de reprendre la compétition, c’est difficile d’établir un classement, le Napoli a réalisé un parcours extraordinaire, mais nous voulons être compétitif, notre désir est de remporter la Seconde étoile, les Tifosi en rêve depuis des années et j’espère pouvoir leur offrir cette satisfaction." A choisir : Remporter le Scudetto ou jouer une nouvelle Finale de Ligue des Champions ? "C’est une demande difficile. Même si l’année dernière nous n’avons pas remporté le Scudetto, c’était une saison incroyable, composée de nuits incroyable vécues avec les Tifosi. Après Istanbul, j’ai embrassé tous les joueurs, c’était comme-ci nous l’avions emporté nous." Auriez-vous aimé entrainer Milinkovic-Savic? "Je ne m’exprimerai pas sur les choix personnels, je l’ai entrainé à la Lazio et il a de très grandes qualités, une habilité technique, de la force physique et c’est un très grandissime joueur, il a choisi de partir en Arabie et il aura aussi le temps de revenir en Europe." Quelle Inter est en train de naitre et qu’attendez-vous du Mercato ? "Nous avons conscience qu’il y a des cases à combler, nous sommes en parfaite harmonie, nous composerons une équipe de 20 joueurs plus 3 gardiens, avec 3-4 jeunes fixes avec nous. Il nous manque encore un milieu et Çalhanoğlu et Asllani seront nos deux PlayMaker, nous devrons être bons et nous améliorer. Avec Bastoni, Acerbi, De Vrij, Bisseck et Darmian, il nous manque encore un homme dans ce secteur." Avec le départ d’Onana, les gardiens qui arriveront devront-ils présenter les mêmes habilités techniques ? "Le gardien devra être bon techniquement, nous verrons si nous pourrons en trouver plus d'un. Ces deux dernières années, d'abord avec Samir, puis avec Onana, nous avons eu des gardiens avec de très bons dribbles. Ce sera à nouveau le cas" Avez-vous l’intention de lancer quelque jeunes de la Primavera ? "Carboni sera avec nous, il fera la mise au vert avec nous: Il a déjà fait ses débuts et a énormément muri. Zanotti a aussi joué l’année dernière et il est maintenant parti en prêt. Il y aura d’autres jeunes qui seront ajoutés: A eux de prouver qu’ils méritent d’être à l’Inter." Avez-vous vu le match de Ligue des Nations avec Barella et Frattesi aux poste de Mezz’ala ? Thuram est-il un premier ou un second attaquant ? "Frattesi et Barella peuvent tranquillement jouer ensemble : Barella a, de temps en temps, déjà été Mezzala gauche: Ce sont deux joueurs très forts. Thuram est un joueur important, il a une très bonne structure physique, il a réalisé trois excellente saisons au Borussia. Il joue pour l’Equipe de France, c’est un joueur d’une valeur absolue." Gosens peut-il être un joueur important pour l’Inter ? Absolument oui, il a bien fini la saison, il a alterné avec Dimarco et s'en est très bien sorti. De là à dire ce que le Mercato peut nous apporter, je ne sais pas, mais je compte énormément sur tout le monde." ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  17. Après Alessandro Bastoni, Hakan Çalhanoğlu s'engage à son tour à poursuivre l'aventure avec l'Inter. Voici le communiqué officiel "Le FC Internazionale Milano communique qu'il est parvenu à un accord pour la prolongation du contrat du joueur Hakan Çalhanoğlu : le milieu de terrain né en 1994 sera nerazzurro jusqu'en 2027" ®Antony Gilles - Internazionale.fr
  18. En marge de l’évènement "Sport e Musica nell'era della performance. Basta ancora il solo talento?" qui s’est tenu au Triennale di Milano, le Taulier des Directeur Sportif en Italie s’est livré, hier soir, sur le mercato Nerazzurro C’était une fameuse journée pour l’Inter…. "Les prolongations de Çalhanoğlu et Bastoni étaient deux situations bien préparées depuis longtemps: L’officialisation est finalement arrivée et j’en suis heureux car nous comptons construire le présent et le futur de l’Inter autour d’eux. C’était vraiment quelque chose de voulu, ensemble, d’allonger la durée des contrats en mérite aux prestations des dernières saisons. C’est une reconnaissance pour le travail qu’ils ont réalisé à l’Inter ces dernières années." Était-ce difficile pour Frattesi car on parlait aussi d’un Grand Derby ? "Comme pour toutes les négociations et code promo premier bet, il y a toujours des difficultés et lorsqu’il s’agit de Sassuolo, les difficultés augmentent. Lorsque tu as un club qui prend un joueur, les autres disent qu’ils n’étaient pas intéressés, mais en réalité, il était suivi depuis tant de temps. Ce n’était pas une thématique d’une ou deux équipes, c’est un joueur très fort qui a énormément grandi, un joueur de la Nazionale, et il a attiré l’attention d’énormément d’équipes italiennes." "Nous y avons travaillé et nous avons forcément su nous montrer convaincant car ce garçon nous a donné un coup de main en voyant, en l’Inter, le projet le plus convaincant : Et nous sommes très heureux d’avoir pu porter à terme cette opération." Il reste un autre poste vacant au milieu : Est-ce pour Samardžić ou pour d’autres profils ? "Plus que d’un poste libre, je parlerai plutôt de situation qui peuvent prendre en considération plus qu’un nom : Il y a tant de garçons dont il est important de régler la situation en sortie, et une fois cette situation de réglée, nous pourrons mieux comprendre comment compléter ce secteur qui reste compétitif malgré le fait que Brozovic soit parti." Deux sont partis : Brozovic et Gagliardini, deux arriveront ? "Nous débuterons la saison avec six milieux : En accord avec Simone et Marotta, nous chercherons à composer le meilleur noyau possible pour faire face à toutes les compétitions : Il devra s’agir de joueurs importants. Je cherche à doubler les postes avec 20 joueurs de terrains et trois gardien, nous nous préparons à cela pour le début de la saison." Aimeriez-vous ravoir Lukaku rapidement comme Inzaghi ? Est-ce qu’une semaine de négociation va débuter avec Chelsea ? "Je ne parle pas de temps mais d’idée est Lukaku est une idée importante partagée par tous dans l’Aile Sportive, mais c’est un joueur de Chelsea : Les dialogues avec le club anglais ne se sont jamais interrompu et j’ai bien conscience que le joueur ne sera plus donné en prêt pour une seconde année : Nous évaluons donc la façon dont il nous sera possible de le recruter à titre définitif : Lukaku sait parfaitement bien que nous tenons à le faire revenir à l’Inter et que nous cherchons à trouver une solution." Le Mercato laisse suggérer d’autres ventes, comme Onana ? "C’est le gardien de l’Inter, et nous tenons à aller de l’avant avec des joueurs forts, Onana est un point de force de l’équipe : S’il arrive des offres nous les écouterons. Au jour d’aujourd’hui aucune n’est arrivée ou du moins aucune ne répond à nos attentes : Le discours Onana se termine ici : C’est le gardien de l’Inter. Nous n’attendrons pas jusqu’à la fin du Mercato, mais d’ici à une vingtaine de jour. Et c’est valable pour tout le monde, si nous recevons des offres importantes, nous les évaluerons toutes. Il n’y a pas de date butoir, mais nous ne voulons pas nous priver de quelqu’un." Avez-vous été lassé par les dernières sorties sur les réseaux sociaux de Brozovic avant sa cession ? "Les déclarations sur les réseaux sociaux ne m’intéressent que très peu, ce qui m’intéresse c’est ce qu’a fait Brozo au cours de ses huit années à l’Inter : Elles ont toutes étaient importantes même ce n’est pas non plus comme si toutes étaient excellentes : Ce sont surtout ces dernières saisons qui ont été importantes. Je le remercie pour cela, à présent Brozovic est le passé et Frattesi représente le présent et le futur, comme tous les autres joueurs qui sont restés." Aurez-vous un budget de plus-values solide via la vente des jeunes joueurs ? "Nous avons besoin de travailler dans le respect des paramètres qui nous ont été donnés : L’Inter, comme tous les clubs de l’UEFA, travaille dans le respect de cette règle : Tu dépenses ce que tu gagnes. Si tu parviens à gagner plus alors tu peux dépenser plus, mais il est possible de se montrer très imaginatif : Chaque année nous parvenons à être compétitif et nous avons remportés et disputés deux finales : Nous voulons continuer à être compétitif aussi pour les prochaines années : La qualité d’une équipe ne s’établi pas uniquement sur la somme qu’elle dépense, mais bien plus sur la base d’autres facteurs." Où en est la situation avec Handanovic ? "Son contrat a pris fin, mais nous procéderons à des évaluations à la lumière de ce qu’il se passera dans les prochains jours." Trubin ? "C’est un joueur de talent comme tous les autres joueurs, l’Inter a le devoir de l’observer, et de le surveiller : Il fait partie de ce type-là." Est-ce qu’il s’agira d’un mercato toujours actif dans les prochaines semaines ou est-ce que toutes les opérations seront réalisées en fin de mercato ? "Je vous promets que nous ne ferons rien jusqu'à la fin du mois d'août, à condition que ce soit la dernière discussion et que nous en reparlions en septembre" (il rit) Kovacic ? "Je l'apprécie. D'abord parce que c'est un gars formidable. Ensuite, il y a la satisfaction de l'avoir découvert. Je regrette de ne pas pouvoir eu le temps l'apprécier, non pas parce que quelqu'un m'a forcé à le vendre, mais quand une offre importante arrive comme celle du Real Madrid pour un jeune garçon, et que cette offre vous permet de résoudre certaines situations, il est difficile de dire non. Il est également difficile pour le joueur de dire non au Real Madrid lorsqu'il l'appelle." "À l'époque, nous n'étions pas structurés pour le conserver et le prolonger, car nous devions composer une équipe très compétitive. Aujourd'hui, nous aurions la force de le garder. Nous devons chaque année maintenir un équilibre et un sacrifice par an doit avoir lieu : Cette année Brozovic est parti, et après tant d’années nous nous sommes mis d’accord pour changer quelques personnalités." "Nous avons aussi immédiatement investi aussi sur Frattesi et des jeunes en développement comme Asllani : Nous allons de l’avant." Inconnue mystère "Je dois vous confesser quelque chose : Je n’ai pas de compte Instagram Officiel, je m’en suis créé un pour contrôler les épouses car certaines m’avait créés des problèmes. Tu comprends énormément de choses via les épouses et les fiancées, tu cernes aussi la personnalités des joueurs. J’ai aussi suivi des joueurs, même d’autres équipes. Mais je l’ai créé car l’épouse d’un joueur me posait énormément de problèmes." Frattesi ? "Il représente l’idée que nous avons d’un joueur, il a démontré son talent déjà en Primavera, c’est là qu’il s’est fait connaitre avec la Roma et a fait parler de lui. Ensuite, il a connu un parcours compliqué dans des compétitions inférieures. Il s’est retrouvé à Sassuolo dans une opération comme certains le font pour rejoindre par la suite la Serie B. J’ai eu la possibilité de le voir à Monza et il est revenu assiéger la Serie A, en ayant une croissance constante avec Sassuolo : Il s’est toujours nourrit de ses détracteurs pour s’améliorer, il a de l’ambition et une volonté d’émerger qui ne s’est jamais perdue." "Il a encore une belle marge de croissance, il est jeune. Mais Sassuolo n’est pas l’Inter, la scène change, le stade change, les ambitions changent, les objectifs changent : C’est une chose de vouloir jouer pour faire une belle impression, c’en est une autre de jouer pour gagner des titres, comme cela doit être le cas lorsque tu es à l’Inter : Je suis certain que ce garçon a toutes les qualités et caractéristiques requises pour répondre à ce que nous recherchions." Les Giovanile? "J’ai toujours été chanceux car j’ai énormément travaillé avec les jeunes, j’en ai visionné énormément. Je me souviens du premier talent qui m’a frappé, je venais d’être nommé Responsable du secteur des Jeunes et Beppe Baresi et moi avions convenu de parvenir à convaincre le Président Moratti d’investir davantage sur les jeunes joueurs. "Il nous a accordé un très gros budget et nous sommes partis à leur recherches. L’un des premiers que nous avions acheté se nommait Pandev, il avait tout de suite montré qu’il était très fort. Je l’avais découvert un peu par hasard, mais ce qui compte, c’est l’instinct, le moment clé, celui où tu ressens l’émotion que te procurer un joueur. Nous l’avions recruté aux confins de la frontière hongroises. Et à partir de lui, il y en a eu énormément d’autres en 25 années passées à l’Inter." "Chaque fois que je recroise l’un de ses garçons, ils viennent me saluer, cela me fait plaisir." Est-ce vrai que Kvaratskhelia était sur votre Agenda, il y a quatre ans ? "Oui, mais pas que sur le mien,ce garçon était connu de tous. Des rendez-vous ont eu lieu à l’époque, j’avais même rencontré l'agent personnellement, mais si vous jouez en 3-5-2 avec Conte et Inzaghi, vous avez du mal à l’insérer." "Il y avait aussi la Juventus et la Roma, puis Naples a profité d'une très bonne situation et s'en est bien sorti. Il lui a aussi fallu du courage. Ce n'était pas un joueur très connu, mais tout le monde le connaissait. Tous nos recruteurs le considéraient comme un talent important, qui aurait mérité un investissement. Mais il n'était pas considéré comme adapté à notre système de jeu." Le Fair-Play-Financier "Le football d’aujourd’hui est différent, il y a des systèmes de contrôles qui ne te permettent plus d’investir autant que tu le voudrais, indépendamment des possibilités. Si aujourd’hui il y avait encore un Moratti passionné et avec l’envie de dépenser, les règles actuelles l’en empêcherait : Tu dois dépenser ce que tu gagnes en respectant le palier de 30 millions d’euros sur le triennal." "Si tu ne parviens pas à te créer des opportunités pour les recettes, alors tu dois renoncer à quelque chose : Le Système européen tient compte d’énormément de paramètres, nous vivions avec cette réalité depuis 2014 et ce sera toujours comme ça à présent." La Premier League ? "Juste pour les seuls droits télés, le rapport est de 1/4: La dernière équipe de la Premier League gagne plus que la première de la Serie A. Nous devons utiliser d'autres stratégies : Nous avons de bons Dirigeants, de bons entraîneurs, de bons secteurs de jeunes. Nous avons aussi besoin d'imagination et d'une prise de décision rapide. Eux, sont plus lents dans ce domaine, et nous parvenons parfois à nous faufiler et à ramener le joueur à la maison. Même si, en toute honnêteté, il faut dire que lorsqu'on est sur le même joueur, c’est très rare que nous parvenions à l’emporter." Balotelli "En ce qui concerne les footballeurs, vous abordez les choses de différentes manières. Parfois, nous avons pris des joueurs tout en sachant qu'ils n'étaient pas les meilleurs, mais parce que nous ne pouvions pas faire autrement : Il y en a des exemples de mauvais achats ou de prêts permanents. Peut-être même partagées avec les entraîneurs, qui échappent souvent à toute responsabilité. Parfois, on se trompait parce qu'on avait des attentes qui n'ont pas été satisfaites." "Parfois, on s'imposait encore plus durement, parce qu'on a pris trop confiance en certains joueurs." Mon geste le plus romantique ? "C’est bien connu c'est moi qui ai découvert Balotelli, j'aurais tout misé sur lui, c'était mon Recoba. A ce moment-là, c'était comme un fils. Il est inexplicable que, par rapport au talent qu'il avait, il ne soit pas devenu une folie du football mondial pendant 20 ans." ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  19. Contrat prolongé jusqu’en 2027 !
  20. Hakan Çalhanoğlu Informations Générales Nom : Çalhanoğlu Prénom : Hakan Poste : Milieu offensif, ailier Date de naissance : 08/02/1994 Lieu de naissance : Mannheim Pays : Turquie Taille : 178cm Poids : 76 Kg Numéro de maillot : Au club depuis : Juin 2021 Position sur le terrain Biographie Hakan Çalhanoğlu, né le 8 février 1994 à Mannheim en Allemagne, est un footballeur international turc. Il évoluait au poste d'ailier gauche avec l'AC Milan. Carrière en Clubs Il commence sa carrière à Karlsruher SC, son club formateur, en 2011. Il ne tarde pas à se faire remarquer par des clubs de Bundesliga. En 2013, Çalhanoğlu rejoint le Hambourg SV où il accomplira une saison complète. L'année suivante le voit s'engager pour le Bayer Leverkusen. Le Turc se fait alors peu à peu connaître de l'Europe. Sa qualité de frappe et sa précision en font un excellent tireur de coup-franc, l'un des meilleurs au monde à cet exercice. Karlsruher SC Le 5 février 2012, il fait ses débuts avec le club à l'occasion d'un match de 2. Bundesliga face au FC Erzgebirge Aue. Durant cette même rencontre, il délivre deux passes décisives. Le 11 mars 2012, il prolonge son contrat jusqu'en 2017. Durant cette saison, il a pris part à 12 rencontres de championnat. Toutefois, en fin de saison, son club sera finalement relégué en 2.Liga à l'issue des barrages. Le 21 juillet 2012, lors de son premier match de 3.Liga face au FC Heidenheim, il inscrit sur coup franc les deux premiers buts de sa carrière professionnelle. Le 14 août 2012, il est transféré au Hambourg SV, mais il reste dans son club en prêt jusqu'à la fin de la saison. Le 19 août 2012, Çalhanoğlu dispute son premier match de Coupe d'Allemagne face au Hambourg SV. Le Karlsruher SC l'emporte finalement 4-2 avec une passe décisive délivrée par ce dernier. À l'issue de cette saison, le Karlsruher SC remporte la 3. Liga 2012-2013 et se voit ainsi promu en 2.Bundesliga pour la saison suivante, tandis que Çalhanoğlu termine au pied du podium des meilleurs buteurs avec 17 réalisations et est élu meilleur joueur de la saison de 3. Liga. Hambourg SV Hakan Çalhanoğlu rejoint le Hambourg SV lors de l'été 2013. Il fait ses débuts sous ses nouvelles couleurs à l'occasion d'une rencontre de Bundesliga, lors de la première journée de la saison 2013-2014 face au FC Schalke 04. Il est titulaire et les deux équipes se neutralisent ce jour-là (3-3). Le 31 août 2013, il inscrit ses deux premiers buts en championnat face à l'Eintracht Brunswick, contribuant à la victoire de son équipe (4-0). Le 22 février 2014, Hakan Çalhanoğlu, âgé de 20 ans et deux semaines, acquiert une renommée mondiale avec son coup franc des 41 mètres qui parachève la victoire du Hambourg SV contre le Borussia Dortmund (3-0), dans le temps additionnel de la rencontre qui oppose les deux équipes. Bayer Leverkusen Le 11 juillet 2014, Hakan Çalhanoğlu est transféré au Bayer Leverkusen pour 14,5 millions d'euros. Il signe un contrat de cinq ans avec le club, soit jusqu'en 2019. Le 15 août 2014, il joue son premier match avec le club en étant titulaire lors d'une rencontre du premier tour de la DFB-Pokal 2014-2015 face à Waldalgesheim (victoire 0-6). Il joue un rôle essentiel dans la qualification de son club pour la Ligue des champions 2014-2015, en délivrant deux passes décisives (pour l'ouverture du score de Stefan Kießling et pour le but de la victoire de Son Heung-min) lors du match de barrage aller face au FC Copenhague (victoire 2-3) puis en inscrivant un superbe coup franc à la 7e minute lors du match retour (victoire 4-0), le 27 août 2014 à la BayArena. Le 25 février 2015, il inscrit le but de la victoire (1-0) lors du match aller des huitièmes de finale face à l'Atlético Madrid, mais voit son penalty arrêté par Jan Oblak lors de la séance de tirs au but du match retour qui scelle l'élimination du Bayer Leverkusen à ce stade de la compétition, le 17 mars 2015. Le 16 septembre 2015, il inscrit son premier doublé avec le club à l'occasion d'un match du premier tour de l'édition suivante face aux Biélorusses du BATE Borisov (victoire 4-1). Néanmoins son club, qui termine à la troisième place du groupe E, n'est pas qualifié pour les huitièmes de finale comme lors de l'édition précédente, et se voit donc repêcher en seizième de finale de la Ligue Europa 2015-2016 pour une double confrontation face au Sporting Lisbonne, de laquelle le club allemand sort victorieux grâce, entre autres, à un but de Çalhanoğlu lors du match retour (victoire 3-1), le 25 février 2016. Le 5 mars 2016, il obtient son premier capitanat avec le club lors d'un match de Bundesliga face au FC Augsbourg, lors duquel il inscrit le but égalisateur sur penalty dans les arrêts de jeu de la rencontre, permettant ainsi à son équipe, menée 3-0 à l'heure de jeu, d’arracher le match nul 3-3. Il porte également le brassard quelques jours plus tard à l'occasion de la double confrontation contre le Villareal CF en huitième de finale de la Ligue Europa 2015-2016. Confrontation perdue par le Bayer Leverkusen à cause d'un doublé de Cédric Bakambu lors du match aller (défaite 2-0), le 10 mars 2016 AC Milan Le 3 juillet 2017, il signe pour quatre ans à l'AC Milan, pour un transfert estimé à 21 millions d’euros. Il se voit attribué le très prestigieux maillot floqué du numéro 10 (laissé vacant par Keisuke Honda et qui devait normalement échoir à André Silva), qui fut porté par un grand nombre de légendes du club lombard (Gianni Rivera, Ruud Gullit, Dejan Savićević, Zvonimir Boban, Rui Costa et Clarence Seedorf). Il joue son premier match sous ses nouvelles couleurs le 3 août 2017 en match de qualification pour la Ligue Europa face à l'Universitatea Craiova, rencontre que le Milan remporte par deux buts à zéro. Il inscrit son premier but en championnat le 25 octobre 2017 face au Chievo Vérone (victoire 1-4), devenant ainsi le premier joueur turc à marquer en Serie A depuis Emre Belözoğlu en 2003. Internazionale Milano Etant laissé libre par le Milan Ac, Hakan Çalhanoğlu va signer pour le club Champion d'Italie en titre, à savoir l'Inter de Milan pour un contrat triennal annoncé à 5 millions d'euros par saison Equipe Nationale Çalhanoğlu a le choix entre l'Allemagne et la Turquie pour jouer en équipe nationale. Il opte finalement pour la sélection turque et évolue déjà dans les catégories juniors turcs avant de devenir professionnel. Il participe notamment à la Coupe du monde des moins de 20 ans 2013 qui se joue à domicile. Çalhanoğlu fait ses débuts en sélection le 6 septembre 2013, remplaçant Gökhan Töre contre Andorre. Il lui faut attendre mai 2014 pour être titularisé face à l'Irlande à Dublin. Le 31 mars 2015, Çalhanoğlu marque son premier but en sélection durant une victoire 2-1 contre le Luxembourg. En juin 2015, il inscrit son premier doublé pour la Turquie face à la Bulgarie. Petit à petit, Çalhanoğlu s'installe dans l'entre-jeu turc et enchaîne les bonnes performances. Çalhanoğlu est convoqué par Fatih Terim pour l'Euro 2016 en France. La Turquie est dans un groupe compliqué comptant la Croatie, la Tchéquie ainsi que l'Espagne. Contre ces derniers, Çalhanoğlu et ses coéquipiers essuient une défaite 3-0 qui écarte définitivement le pays des phases finales. Le Saviez-Vous ? Son petit frère, Muhammed Çalhanoğlu, est également footballeur professionnel. Tout comme Hakan, il a également été formé au Waldhof Mannheim et au Karlsruher SC, avant d'emprunter une trajectoire différente de celle de son frère et d'évoluer dans les divisions inférieures du football autrichien, puis turc. Il joue désormais au TSG Weinheim. Il a également un jeune cousin, Kerim Çalhanoğlu, qui a signé à Schalke lors du mercato d'été 202039. Hakan Çalhanoğlu est un musulman pratiquant. Il a d'ailleurs effectué la 'Omra à deux reprises : en décembre 2015 et en janvier 2019 avec son coéquipier à l'AC Milan : le Français Tiémoué Bakayoko. Source: Transfermarkt Style de jeu Hakan Çalhanoğlu est connu, notamment, pour ses frappes lointaines, mais surtout pour ses coup-francs dont il est considéré comme un des meilleurs tireurs au monde. Il se dit influencé par l'ancien cannonier brésilien Juninho : "Je me repasse sans cesse les vidéos, les stoppe et use le ralenti pour copier exactement sa course d'élan, sa frappe, presque tout en détails." Souvent comparé à Mesut Özil, d'origine turque, le joueur explique que "C'est grâce aux Allemands que je suis devenu footballeur. Mais jouer pour l'équipe nationale turque est un honneur. Je veux être le Mesut Özil turc." Palmarès: 2012/2013: Champion de 3.Liga Distinctions personnelles 2012/2013: Karlsruhe SC - Joueur de la saison Serie A MVP of the Month: December 2020 Parcours: En Club: 2011-2013: Karlsruhe Sc 2013-2014: Hambourg Sv 2014-2017: Bayern Leverkusen 2017-Juin 2021: Milan Ac Juin 2021: Internazionale Fc En Sélection: 2013 - à ce jour: Turquie ©Wikipedia
  21. C'est la révélation de la journée signée par la Gazzetta Dello Sport: "Les dirigeants d'Al-Nassr devaient rencontrer Marcelo Brozovic à Zagreb, hier, pour le convaincre d'accepter leur riche offre . Mais le milieu de terrain n'a pas souhaité se rendre à la réunion et le club saoudien s'est donc "limité" à rencontrer quelques hommes de son entourage: Une rencontre qui s'est soldée par une impasse." Cette situation complique donc les plans prévu par l'Inter qui ne sait pas se prononcer de manière décisive sur son remplaçant car il est évident que pour Marcelo Brozovic, ce n'est même pas une question d'argent: "Le milieu de terrain s'amuse sur les réseaux sociaux, et il n'est pas intéressé par un départ en Arabie Saoudite: Le fait est que Brozovic a quelque chose d'autre en tête et plus précisément le FC Barcelone". "Et son "plus à venir", en vérité accompagné de deux émoticônes souriantes, a peut-être entraîné précisément la discussion avec Barcelone car Brozovic veut la Liga. Il a déjà parlé à Xavi et il ne jure que par la Catalogne: Avec le club, il a déjà conclu un accord pluriannuel sur base d'un salaire croissant, dont le minimum est de 7 millions d'euros. Le problème reste que Barcelone, en raison des problèmes financiers connus, n'a pas de liberté d'action sur son Mercato en entrée Et l'Inter ? "Il n'est pas dans une position confortable car à la Viale della Liberazione, tous sont sceptiques sur les deux destinations, à tel point qu'ils n'excluent pas la possibilité que le Croate reste finalement à Milan, ce qui représenterait une double peine pour les Nerazzurri: D'une part, en termes de masse salariale, car le renoncement à Brozovic doit être interprété principalement dans cette direction, mais compte tenu également des renouvellements millionnaires que le club a choisi d'accorder à Bastoni et à Çalhanoğlu." Sans oublier les renforts que l'Inter a identifiés pour son milieu de terrain: "Brozovic met en échec l'Inter" ®Antony Gilles - Internazionale.fr
  22. Arrivé à l’Inter en janvier 2015, Marcelo Brozovic pourrait et devrait s’engager avec le club d’Al-Nassr qui lui propose un contrat de 15 millions d’euros par saison, soit plus du double de ce qu’il perçoit à l’Inter Mais pourquoi s’en séparer ? La Gazzetta Dello Sport nous en dit plus : "Pour l’Inter c’est un choix clair de terrain, qui trouve son origine non seulement pour une question économique, mais qui touche également la sphère technique et comportementale. : Vendre Brozo est nécessaire pour avoir immédiatement les fonds pour Frattesi, mais cette vente permettra également de procéder à une réduction décisive de la masse salariale comme l’exige..... le Settlement Agreement." Car Brozo est le joueur le plus payé de la bande et il pèsera encore pour plus de 13 millions d’euros par saison pour les trois ans à venir où il est encore sous contrat : Pour l’Inter, s’en séparer équivaut à alléger la masse salariale d’un roc de 50 millions d’euros. "Cela pourrait permettre également de stabiliser Calha dans un poste qui lui convient celui de Regista". Même si en fin de saison le Croate est revenu au plus haut niveau et qu’il a démontré ses qualités pures à Istanbul, l'Inter n'a pas aimé les hauts et les bas de sa saison: "La fracture a eu lieu principalement en raison de la gestion de ses blessures au tournant de la Coupe du Monde au Qatar" Selon le Corriere Dello Sport, si le croate aime bien la vie milanaise, le fait qu’il s’est vu proposer par Al Nassr un salaire de plus de 15 millions par saison, soit plus du double de ce qu'il reçoit de l'Inter, alors qu’il n’aura 31 ans que le 16 novembre prochain "lui fait envisager sérieusement l’idée de de quitter l'Europe". ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  23. Comme le révèle Fcinter1908 mais également Il Messagero, l'Inter a décidé de se lancer immédiatement à l'assaut de l'ancienne pépite de Simone Inzaghi à la Lazio En effet, si hier encore Simone Inzaghi a réclamé Milinkovic-Savic, celui-ci s'est retrouvé face à une Direction Sportive... qui lui a répondu positivement en soulignant le fait qu'il faudrait vendre pour libérer une place au milieu et certains suggèrent un départ de Marcelo Brozovic... Et nous apprenons ce matin que La Lazio attend maintenant la contre-offensive de l'Inter sur la Juventus pour Milinkovic car "Ci Siamo"" et l'agent Kezman est au téléphone et Inzaghi a donné son feu vert pour vendre Brozovic et le remplacer par son ancien élève serbe. Une offre de 30 millions plus des bonus pourrait permettre d'avoir le OUI de Claudio Lotito car si en janvier, il ne voulait absolument pas descendre sous le palier des 40 millions d'euros, nous approchons à grand pas de la fin de contrat de Sergej qui est au 30 juin 2024. De plus, l'indice de liquidité de la Lazio doit être débloqué rapidement. A noter que cette négociation pour le Sergent pourrait être déliée de celle pour Acerbi (pas de rabais sur les 4 millions) ou il serait possible que cette double négociation se concluent simultanément. Bare-Hakan-Sms au milieu, vous validez ? ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  24. La saison n'est pas encore terminée pour certains Nerazzurri : 12 joueurs de l'Inter seront engagés dans les prochains jours avec leurs équipes nationales respectives. L'Italie, les Pays-Bas et la Croatie s'affronteront en demi-finales de la Ligue des Nations, l'Espagne étant la quatrième équipe en demi-finale. Les autres équipes nationales ont rendez-vous sur le terrain pour les éliminatoires du Championnat d'Europe et pour des matchs amicaux. ITALIE : Acerbi, Barella, Bastoni, Darmian, Dimarco Espagne vs. Italie | Demi-finale de la Ligue des Nations - Enschede, 15 juin 20h45 CEST Playoffs pour la finale/la troisième place | Rotterdam/Enschede, 20h45/15h CEST TURQUIE : Calhanoglu Lettonie vs. Turquie | Éliminatoires Euros - Riga, 16 juin Turquie vs. Pays de Galles | Éliminatoires Euros - Samsun, 19 juin PAYS-BAS : Dumfries Pays-Bas vs. Croatie | Demi-finale de la Ligue des Nations - Rotterdam, 14 juin 20h45 CEST Playoffs pour la finale/la troisième place | Rotterdam/Enschede, 20h45/15h CEST ALLEMAGNE : Gosens Allemagne vs. Ukraine | Amical - Brême, 12 juin 18h00 CEST Pologne vs. Allemagne | Amical - Varsovie, 16 juin 20h45 CEST Allemagne vs. Colombie | Amical - Gelsenkirchen, 20 juin 20h45 CEST ALBANIE : Asllani Albanie vs. Moldavie | Éliminatoires Euros - Tirana, 17 juin Îles Féroé vs. Albanie | Éliminatoires Euros - Torshavn, 20 juin CROATIE : Brozovic Pays-Bas vs. Croatie | Demi-finale de la Ligue des Nations - Rotterdam, 14 juin 20h45 CEST Playoffs pour la finale/la troisième place | Rotterdam/Enschede, 20h45/15h CEST SLOVAQUIE : Skriniar Islande vs. Slovaquie | Éliminatoires Euros - Reykjavik, 17 juin Slovaquie vs. Liechtenstein | Éliminatoires Euros - Vaduz, 20 juin BOSNIE-HERZÉGOVINE : Dzeko Portugal vs. Bosnie-Herzégovine | Éliminatoires Euros - Lisbonne, 17 juin Bosnie-Herzégovine vs. Luxembourg | Éliminatoires Euros - Zenica, 20 juin
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