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  1. Après la tournée d'interviews, Simone Inzaghi prend place dans la salle de conférence du Meazza pour disséquer la défaite de son Inter face à la Juve lors du 180e derby italien de l'histoire de la Serie A. Il y avait de la nervosité sur le terrain face aux décisions de l'arbitre. Barella est sorti furieux... "Les garçons étaient bons aussi parce que ce qui s'est passé est inacceptable. En deuxième mi-temps, l'équipe a réussi à rester calme pour essayer d'égaliser. Après Monza, j'ai dit que je ne parlerais pas des arbitres mais ce que j'ai vu est trop grave. Il y a un manque de respect face à l'absence d'images. Il leur a fallu 4' pour se décider, il fallait voir. Ce résultat nous pénalise au classement, on sait ce qu'est le match contre la Juve signifie. Concéder un but comme celui-ci est inacceptable." Il était difficile de trouver la profondeur. "Ce n'était pas facile, ils ont défendu bas avec seulement quelques hommes, malgré ce qui s'était passé en première mi-temps, l'équipe a créé. Nous aurions pu tirer un match qui s'est plutôt dirigé vers la Juve par un épisode. Le résultat final ne reflète pas ce que nous avons vu sur le terrain." Brozovic et Calhanoglu ont trop marché sur leurs orteils. Pourquoi sortir de Barella ? "Brozo et Calhanoglu ont fait le match qu'ils étaient censés faire, l'un a dû emmener Soulé et l'autre a mis en place l'action. Barella a longtemps convaincu, il n'a raté que le match à Crémone, de plus il était averti et nerveux pour ce qu'il avait vu à la fin de la première mi-temps." Avez-vous demandé des explications à l'arbitre ? "Non, c'était tellement clair que ça ne semblait pas nécessaire de demander. Les esprits étaient chauds, cela n'a pas été discuté. Je demande le respect, deux choses très graves se sont produites en l'espace de deux mois et demi." Des doutes sur le bras de Rabiot ? "Inutile de mentionner, j'ai vu avec 20 images différentes." Marelli pense que le bras de Rabiot est là, même s'il n'est pas sûr. "J'écoute ce qu'il dit, mais ce but encaissé est inacceptable. On peut encaisser des buts pour des erreurs mais je ne peux pas accepter cela. C'est difficile pour moi de parler du match, ce qui s'est passé est trop grave." Allegri dit qu'il faut être des gentlemen et respecter les décisions des arbitres... "Je ne commente pas ce que disent les autres, mais les faits. J'ai vu les photos, à l'époque de la VAR encaisser un but comme celui-ci est inacceptable." La pause arrive au bon moment ? "Absolument oui pour récupérer les joueurs, on a des petits soucis avec Dimarco. Barella grince des dents depuis deux mois car il vit avec un problème. On attend Gosens, Bastoni et Skriniar avec beaucoup d'optimisme pour la reprise." Que fera-t-il pour éviter la négativité ? "Il ne faut pas se laisser entraîner dans la négativité comme cela s'est produit à Bologne. Je suis venu commenter le match de ce soir par respect pour vous, mais il m'est difficile d'en parler. Un but inacceptable, l'équipe méritait un autre résultat. Ce résultat nous ralentit, ce sera un tête-à-tête pour la Ligue des champions jusqu'au bout." Traduction alex_j via FCInterNews.
  2. Daniele Mari est le Directeur de Fcinter1908.it est celui-ci a noté la prestation des joueurs suite à cette neuvième défaite de la saison André Onana 6 "Il parvient à déjouer une Juventus menaçante alors que le résultat est déjà compromis : Il ne bouge pas sur le tir de Kostic mais c’est bel est bien Dumfries qui l’empale et qui laisse la fenêtre de tir totalement ouverte : Il n’a pas eu besoin de faire de miracle, mais il a repoussé quelques dangers de la meilleure des façons." Matteo Darmian 6 "Sur son aile, on retrouve Kostic qui lorsqu’il voit l’Inter s’illumine : Dumfries ne l’a que trop peu aidé à tel point que le défenseur "latéral" a dû reprendre aussi le poste de défenseur central, il faisait tout tout seul,: Il ne s’en sort globalement pas trop mal, en parvenant même à bloquer des actions." Stefan De Vrij 6,5 "De retour en tant que titulaire face à Vlahovic, un attaquant qui ne combien que trop peu : Il prouve encore être un Monsieur, nous avons tous la conviction qu’il a 38 ans, mais il reste le bon Stefan d’à peine 31 ans : Il est resté trop longtemps sous naphtaline, qui sait si une série de rencontre pourrait faire de lui à nouveau un joueur protagoniste." Francesco Acerbi 6,5 "Il se met à faire le Bastoni et cela s’est vu à plusieurs reprise en phase offensive : Il a tenté à plusieurs reprise d’improviser sur l’aile mais s’est souvent retrouver malchanceux sur ces centres : Sa performance défensive elle, n’a jamais failli." Denzel Dumfries 5 "Sur le but de Kostic, il commet une faute professionnelle très grave qui n'est surpassée que par la faute de Chiffi. Au lieu d'attaquer Kostic qui tire, il recule pour défendre le but, laissant la fenêtre de tir complètement à découvert. Une erreur impardonnable dans un match des plus modeste.s" Nicolò Barella 6,5 "Très nerveux après la faute professionnelle de Chiffi mais aussi le plus pro-positif : Il fait chauffer les gants de Szczesny et les meilleures actions passent systématiquement par ses pieds : Lorsqu’il se fait avertir pour protestation, il est substantiellement condamné à être remplacé, un remplacement qui arrive ponctuellement à l’heure de jeu." Marcelo Brozovic 5 "Une régie bien trop peu illuminée : Lent à la manœuvre, il ralenti le jeu constamment, jamais une intuition, jamais un fait de jeu digne du vrai Brozovic : C’était sa chance pour lui de se retrouver sous le feu des projecteurs, il n’en a pas profité." Hakan Çalhanoğlu 5,5 "Si lui aussi a des difficultés, cela veut dire que quelque chose ne tourne pas rond : Le fait de redevenir Mezzala ne l’a évidemment pas aidé, à tel point qu’il reculait volontiers en afin de récupérer des ballons pour reprendre le rôle de la Régie de l’équipe : Mais il ne s’est montré que trop peu précis avec le ballon, et lorsqu’il avait un bon ballon son contrôle lui fait défaut." Federico Dimarco 5,5 "Il est dans une situation physique précaire et cela se voit. Si Gosens avait été disponible, il n'aurait probablement pas joué dès le début. Il pousse très peu comparé à l’habitude, a un bon ballon mais le centre est trop profond. Il a besoin d'une pause, plus que d'autres" Romelu Lukaku 6 "Beaucoup plus vivace physiquement que lors de ses dernières sorties: Tient le ballon, garde les adversaires à distance, tente même quelques relances. Mais il reste un point négatif : il n'a pratiquement pas d'occasions. Et Lukaku est un joueur qui se crée aussi ses propres occasions. Il doit encore grandir, mais les signes sont encourageants." Lautaro Martinez 5 "Il ne réussit rien. Son engagement n'est pas en cause, mais sa performance est vraiment médiocre. Il est peut-être en manque d'oxygène, mais il arrive toujours en deuxième position et il n'y a pas une seule action qui mérite d'être soulignée." Changements Danilo D'Ambrosio 5 "Entre à la place de Dimarco dans un rôle qui n'est pas le sien. Et en fait il ne montre rien sauf se faire expulser à la fin du match." Henrik Mkhitaryan 5,5 "Lui non plus n'a pas de fulgurances notables. Quelques tirs de l'extérieur de la surface, mais très imprécis." Edin Dzeko non-côté Joaquin Correa non-côté Raul Bellanova non-côté Simone Inzaghi 5 "Il offre littéralement deux victoires à la Juventus. Chiffi est une honte mais il laisse l'équipe imploser, en arrêtant de jouer et en ne le mettant sur la voie de la bagarre quand face à Soulè, Fagioli et Gatti, il fallait garder la tête et se montrer plus attentif. Neuf défaites en championnat : un tableau de chasse inacceptable. La balançoire entre les résultats qui enlèvent cailloux dans la chaussure et les chutes tonitruantes continue. La place en Ligue des Champions est menacée." Daniele Chiffi via Tuttosport 5 "Sur les mains possibles de Rabiot, les images ne l'aident pas et c'est donc la décision prise sur le terrain qui prime d'où la colère des Nerazzurri. En plus de cela, il commet beaucoup d'autres maladresses entre les fautes non-données et les cartons non-sorti. Mauvaise soirée" ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  3. Marco Materazzi interviewé par les chaînes officielles de la Lega Serie Aavant le derby italien prévu demain évoque sans équivoque ce derby. Sur la rivalité Inter - Juventus. "C'était mon deuxième match en Serie A, marquer contre la Juventus malgré une défaite 2-1, avec une petite équipe comme Pérouse était un motif de satisfaction... C'est peut-être là que ma feud avec eux a commencé. Nous avons joué plusieurs fois contre eux, je pense que ce sont les adversaires les plus acharnés, avec ceux avec qui il y a le plus envie de se battre. Le meilleur souvenir est la Supercoppa car elle nous a permis de démarrer un cycle de succès incroyables et gagner énormément. Quand il y a des équipes fortes c'est normal qu'il y ait de la 'haine' sportive, peut-être qu'avec la Juventus il y en avait plus car il y a toujours eu une rivalité au niveau des clubs car nous sommes deux superpuissances qui voulaient se battre. Quand on me parle de Milan, je dis 'non, la Juventus'. Il y a une rivalité sportive avec Milan, la Juventus est l'équipe à battre et à abattre. Ils ont toujours été des challengers très passionnés. On se connaissait tous et il y avait un maximum de respect mais ensuite, une fois sur le terrain, c'est normal qu'il y ait la volonté de gagner et on était prêt à tout pour y arriver. Ensuite, en dehors du terrain, on se marrait mais sur le terrain..." Sur Inzaghi. "A mon avis, Inzaghi fait un super boulot, il est un très bon entraîneur qui a gagné plusieurs coupes. Il lui manque sans doute la plus importante qui lui ferait faire le saut qualitatif. Il faut gagner les titres de champion. L'Inter doit marquer des points pour aller en Ligue des champions, la Juve sait qu'ils ont une pénalité qui ne sera décidée qu'à la fin. Les points serviront aussi à se qualifier à la Champions car c'est la Champions qui fait la différence." L'home clé du match ? "J'espère qu'il est fan de l'Inter, et par fan de l'Inter, je veux dire un vrai, pas seulement parce qu'il porte le maillot de l'Inter. Barella, Dimarco, Calhanoglu qui est devenu fan de l'Inter, je l'aime bien, Bastoni... Peut-être un un attaquant aussi, Lautaro... Nous avons beaucoup de supporters de l'Inter qui, au-delà du maillot qu'ils portent, ont l'Inter dans leur cœur et j'en suis très content. Ce sera un beau scénario car je pense il y aura au moins 75 000 spectateurs, le monde entier verra ce match. Il y a des gens là-bas qui s'excitent quand ils trouvent une grande scène. Et j'espère que l'Inter gagne parce qu'on est à la maison et on essaie de gagner les trois points qui sont très importants pour nous." Traduction alex_j via FCInterNews.
  4. L'équipe de Simone Inzaghi a fait preuve d'un réel courage et d'un désir de passer en quart grâce à une victoire cumulée 1-0. Hier soir, l'Inter a éliminé Porto pour se qualifier pour les quarts de finale de la Ligue des champions pour la première fois en douze ans. La détermination, la concentration et le cœur étaient au rendez-vous lors d'une soirée historique au Portugal, les joueurs de Nerazzurri donnant absolument tout pour passer à l'étape suivante. A partir de ce moment, tout peut arriver. Au début du match, les deux équipes savaient ce qui était en jeu. Porto cherchait à jouer haut sur le terrain pour tenter de forcer l'Inter à reculer et à porter un coup fatal rapide. Dans les premières étapes, Uribe, Eustaquio et Taremi ont fait de leur mieux pour créer des situations dangereuses mais les Nerazzurri ont tenu bon. La première occasion de but de l'Inter est venue de Dzeko en contre, mais Diogo Costa s'est couché pour effectuer l'arrêt (21e). C'était serré et prudent et il n'y avait pas beaucoup d'ouvertures. À la 39e minute, Dimarco s'est littéralement jeté sur le chemin du tir d'Evanilson, une démonstration claire de la pure détermination dans les rangs des Nerazzurri. Avant la pause, Lautaro a cassé son gauche et a tenté dans un angle serré mais le gardien était sur place pour stopper. Les supporters locaux faisaient tout ce qu'ils pouvaient pour faire encourager leur équipe mais la première occasion de la seconde mi-temps est venue de Barella. Porto avait du mal à assembler des mouvements significatifs contre un mur Nerazzurri solide comme le roc. Darmian a excellé à la 65e minute, contrecarrant Galeno. Grujic puis Calhanoglu ont tenté de sortir de l'impasse mais les deux n'y sont pas parvenus. Les Portugais ont tout balancé à la fin alors que Dumfries dégageait sur la ligne (94e) une minute après qu'Onana eut dévié la tête de Taremi sur le poteau. Les palpitations étaient fortes à la fin mais l'Inter a survécu et est maintenant quart de finaliste de la Ligue des champions. PORTO 0-0 INTER PORTO (4-4-2) : 99 Diogo Costa ; 11 Pepê, 2 Cardoso, 5 Marcano, 12 Zaidu (84' 22 Wendell); 46 Eustaquio (70' 20 André Franco), 8 Uribe, 16 Grujic, 13 Galeno ; 30 Evanilson (70' 29 T. Martinez), 9 Taremi. Remplaçants : 14 Claudio Ramos, 94 Samuel Portugal, 4 Carmo, 7 Veron, 17 Conceiçao, 19 Namaso, 67 Vasco Sousa, 70 Gonçalo Borges, 87 Bernardo Folha. Entraîneur : Sergio Conceiçao. INTER (3-5-2) : 24 Onana ; 36 Darmian (79' 37 Skriniar), 15 Acerbi, 95 Bastoni (73' 6 De Vrij); 2 Dumfries, 23 Barella (79' 77 Brozovic), 20 Calhanoglu, 22 Mkhitaryan, 32 Dimarco (69' 33 D'Ambrosio) ; 9 Dzeko (69' 90 Lukaku), 10 Lautaro. Remplaçants : 1 Handanovic, 21 Cordaz, 5 Gagliardini, 11 Correa, 12 Bellanova, 14 Asllani, 45 Carboni. Entraîneur : Simone Inzaghi. Avertis : Darmian, Dzeko, Acerbi. Expulsé : Pepê Arbitre : Szymon Marciniak (POL). Assistants : Sokolnicki, Listkiewicz (POL). Quatrième arbitre : Raczkowski (POL). VAR : Kwiatkowski (POL). Assistant VAR : Frankowski (POL). Résumé vidéo Traduction alex_j via le site officiel et BeInSports.
  5. Les maillots portés par les joueurs interistes lors du huitième de finale aller face à Porto, mis aux enchères par le fonds des Nations unies sur Ebay, ont permis de faire don de plus de 1 360 kits d'urgence à l'UNICEF pour venir en aide à la population sinistrée de Turquie et Syrie. "Le kit de Nicolò Barella a atteint le chiffre record de 1215 euros. Les maillots de Lautaro et Calhanoglu ont également récolté plus d'un millier d'euros, quintuplant la valeur de la base des enchères. Le produit de la vente aux enchères servira désormais à soutenir l'intervention de l'UNICEF dans la zone touchée par le tremblement de terre. Parmi les priorités figurent les fournitures médicales, le nécessaire pour mettre en place des abris d'urgence, pour le chauffage, les fournitures de premiers secours, l'aide alimentaire et nutritionnelle, l'aide à l'eau et de l'assainissement et pour la protection des enfants." C'est pour ça aussi qu'on aime notre Inter Traduction alex_j via le site officiel.
  6. Si l’Inter est parvenue à se qualifier pour les quarts de finale de la Ligue des Champions, elle le doit avant tout à son portier, André Onana, hauteur de miracle au match aller et au match retour Révélation de la Gazzetta Dello Sport "Onana est un grand gardien et il fallait forcément une nuit folle comme celle-ci pour l’affirmer sans peur, et l’Inter peut le crier haut et fort maintenant dans le ciel portugais et elle peut le faire avec le même cran que celui avec lequel le portier camerounais s’est dirigé vers ses Nerazzurri à la fin du match : Avant cela et pendant 100 minutes, temps supplémentaire compris, Onana avait toujours gardé un calme olympien. Et si durant la rencontre on pouvait ressentir de l’inquiétude en défense, les grandes mains d’André répétées sans cesse un mot magique appris au cours de ces derniers mois en Italie : "Tranquilli", "Stiamo tranquilli" - soit, "Tranquille, restons calme" même lorsqu’arrivait les marrées portugaises via les ailes." "Et si en première mi-temps, dès le début du match, Onana a réalisé son premier envol sur un tir très dangereux d'Uribe, c'est en deuxième mi-temps que l'ancien joueur de l'Ajax a excellé : il s'est d'abord étiré sur un tir en diagonal très vicieux de Grujic, puis il a miraculeusement mis sa petite main sur la tête de Taremi qui a frôlé le poteau avant de sortir. Les minutes de récupération se sont toutes passées dans son petit rectangle entre arrêts sur la ligne et double poteau, une situation dont il s’en souviendra lui aussi longtemps." "Et si à cela, vous ajoutez ses interventions miraculeuses du match aller, il y a la signature du camerounais dans cette qualification pour les quarts de finale. Lui que l’Inter avait déniché gratuitement et au-delà de ses arrêts, c'est son charisme et sa façon de diriger la défense avec ses pieds qui font la différence. Des nombreuses accolades ont eu lieu au milieu du terrain avec des Nerazzurri donc une avec Samir Handanovic, l'homme dont il a définitivement pris la place, et qui était peut-être la plus belle. Mais ce n’est en rien surprenant." La réaction d’André à BeIn Sport "C’est un soulagement, c'est une qualification historique pour le club. Nous sommes heureux d'avoir écrit l'Histoire, nous avons fait notre travail, cela n'était pas facile. Nous avons beaucoup souffert, mais le groupe a travaillé, s'est sacrifié : nous avons tout donné, c'est une qualification méritée." Vous êtes dans une très grande forme "C'est le collectif qui a du mérite, je ne regarde pas mes propres performances : J'ai besoin que mes coéquipiers soient en forme, qu'ils soient bien placés pour mieux me guider et aujourd'hui ils ont été exceptionnels. Je suis très content du travail de mes défenseurs, j'espère que ça va continuer comme ça." Le Derby en quarts ? "Nous sommes tranquilles, cette équipe de l'Inter n'a peur de personne : s'il y a un derby, ce sera bien." Le MVP à Çalhanoğlu ? " Il l'a mérité, il a montré le joueur qu'il est : je suis content pour lui. C'est une qualification méritée, je suis content pour le collectif : maintenant reposons-nous et pensons à la Juventus". Et la petite vanne à destination des Tifosi ! "Nous avons un peu souffert, mais cela en valait la peine, n'est-ce pas, les Interistes ?" Mais quel humour! André Onana, la REVELATION de cette saison! ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  7. Hakan Calhanoglu, Matteo Darmian et Henrikh Mkhitaryan commentent cette qualification pour les quarts. Le mvp de Porto-Inter Hakan Calhanoglu est le premier joueur qui se présente aux micros de Sky Sport. "Il y a tellement d'émotions, après tant d'années,nous sommes fiers de cet exploit. On a fait des erreurs mais on a fait un super boulot derrière, c'était très difficile mais je félicite l'équipe pour ce super boulot. Tout peut arriver en Ligue des champions, ce match redonne de la motivation. On a fait un super boulot, on n'a pas marqué mais nous avons obtenu la qualification. C'est normal de souffrir, c'était important de passer. La qualification signifie beaucoup, nous pouvons faire encore plus. C'était très difficile de défendre à la fin, nous avons eu beaucoup de mal, nous l'avons fait en nous défendant jusqu'à la dernière minute. Je dédie le titre de MVP à l'équipe." Juste après le match à Do Dragao, Matteo Darmian s'est confié à Mediaset. "Ce fut une soirée difficile mais maintenant il y a beaucoup de satisfaction. Nous savions que nous affronterions une équipe forte, nous avons tout donné et ramené à la maison un super résultat, à dédier à tout le groupe. On savait qu'il fallait faire attention à chaque ballon, ce n'était pas facile et on a tout donné. Cette qualification nous récompense des efforts consentis jusqu'à présent, il y a eu un manque de continuité dans le championnat surtout dans la dernière période avec les petites équipes mais ce soir doit nous donner une importante injection de confiance pour la suite. Ce soir on va fêter, à partir de demain on va commencer à penser à dimanche. Aucune préférence pour les quarts cat toutes les équipes sont tous difficiles à affronter. Je souhaite bonne chance à Naples, ce serait vraiment bien d'avoir trois Italiens en quart de finale de la Ligue des champions." Henrikh Mkhitaryan arrive sur Sky Sport pour commenter cette qualification pour les quarts de finale. "On savait que ce serait très dur, je tiens à féliciter mes coéquipiers car on s'est bien battus. Il faut se battre pour ce résultat, et jusqu'au bout, on le savait. C'était un super match et on fait de notre mieux dans ces matches mais il faut aussi gagner contre les petites équipes, on a l'obligation de le faire. J'espère que cette qualification nous donnera de l'élan pour les prochains matches. Pour la finale, on peut toujours rêver, on veut faire de notre mieux. C'est une belle opportunité, l'Inter n'avait pas atteint les quarts de finale depuis un certain temps. N'oublions pas cependant qu'il faut jouer avec la tête, nous aurons deux matches très difficiles devant nous mais nous ferons tout pour avancer." Traduction alex_j via FCInterNews.
  8. Lautaro Martinez confirme sa moyenne réputation concernant les tirs au but avec son penalty manqué contre la Spezia. L'Argentin a peut-être marqué le pénalty décisif pour son équipe nationale lors d'une séance de tirs aux buts contre les Pays-Bas en Coupe du monde mais au niveau des clubs, il en a raté plusieurs. Comme l'a souligné Opta dans un tweet après le match, son raté le place derrière Karim Benzema en termes de pénalty manqués. Seuls les joueurs des cinq meilleurs championnats européens sont comptabilisés. "4 – Lautaro Martinez a raté quatre de ses huit penaltys tirés depuis 2021-2022 – dans les championnats européens du Big-5, seul Karim Benzema (5/17) en a raté plus. Déchets.” Hasard ou pas, lors du déjeuner organisé entre le duo Marotta-Ausilio et Simone Inzaghi, la question des tireurs de penalty a également été abordée et ce, après la discussion entre Lukaku et Lautaro à l'occasion du premier penalty. Des scènes qui n'auront jamais à se répéter. Comme le rapporte La Gazzetta dello Sport, il y aura déjà une hiérarchie définitive des tireurs de penalty à partir de mardi, qui inclura également Hakan Calhanoglu. L'ordre sera choisi par Inzaghi. Traduction alex_j via Sempreinter.
  9. En effet, l’information émane de Sky Sport : Simone Inzaghi est prêt à "révolutionner" son équipe à quelques jours du déplacement dans le pays natal de José Mourinho. La première nouveauté est dans les buts : Samir Handanovic sera aligné à la place d’André Onana. En défense, sur le côté droit, l’idée est d’aligner Danilo D’Ambrosio afin de faire monter Matteo Darmian sur l’aile droite contrairement au graphique qui montre Denzel Dumfries occuper cette position. Francesco Acerbi complètera la défense, lui qui a pris le meilleur sur Stefan De Vrij, et Alessandro Bastoni. En ailier gauche, on retrouvera Robin Gosens avec un Federico Dimarco de retour sur le banc. On se dirige aussi vers une mise au repos d’Hakan Çalhanoğlu dans un milieu qui sera composé de Nicolò Barella, Marcelo Brozovic et Henrik Mkhitaryan. En attaque, s’ils sont trois pour deux postes, on devrait retrouver Romelu Lukaku et Lautaro Martinez en lieu et place d’Edin Dzeko. Préparez vos couches ! ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  10. C’est une révélation de la Gazzetta Dello Sport : "Avec cinq titularisations chacun sur la saison actuelle, leur futur sera pourtant opposé: Le Club Nerazzurro a investi 14 millions d’euros entre prêt et obligation d’achat pour l’ancien de l’Empoli, tandis qu’il a versé que 3 millions d’euros pour l’ancien de Cagliari, qui est destiné à ne pas se voir racheté et qui quittera donc l’Inter à l’été." Le cas Asllani "Bien que Simone Inzaghi ne l’utilise qu’avec parcimonie, la Direction de l’Inter le tient en estime, même s’il n’est inexplicablement bloqué à 555 minutes de jeu au total. Il a du mal à se faire une place, à trouver aussi du temps de jeu en match, comme lors de la rencontre face à Lecce et la montée en jeu d'un Roberto Gagliardini qui quittera le club avec certitude contrairement à l’albanais qui est un Capital du club, et cela a suffisamment été souligné." "Ce n’est pas la première fois que cette situation se produit et c’est un détail qui ne peut pas ne pas être observé, et ce même s’il est vrai que Simone Inzaghi, pour son poste a cherché et trouvé en Hakan Çalhanoğlu une véritable révélation, tout comme il est vrai que Marcelo Brozovic est à nouveau à disposition. De plus, Simone Inzaghi ne voit pas en Asllani un Mezzala, mais la croissance d’un joueur passe à travers aussi les présences en match et non qu’aux entrainements et le Club croit énormément au milieu de terrain en provenance de l’Empoli: La satisfaction de la Direction, qui était parvenu à finaliser l’opération durant l'été, était palpable, surtout après les premiers matchs amicaux estivaux et tous s’attendaient à une croissance plus rapide, qu’évidemment Simone Inzaghi n’a pas été capable d’intercepté." Pas cool Raoul "L’Inter ne versera pas à Cagliari les 7 millions d’euros restant et activant le droit de rachat, ce n’est d’ailleurs pas une coïncidence si l’Inter étudie une double opération pour faire face aux départs de Denzel Dumfries combiné à celui de Bellanova. Simone Inzaghi a d'autres priorités, car le joueur lui-même n'a pas donné de réponses convaincantes et le Giuseppe Meazza a été souvent brutal avec lui. Il a fini par s’éteindre, même lorsqu'il a cette potentielle ouverture au mois de janvier, lorsque Dumfries est revenu de la Coupe du Monde la tête dans les nuages et une condition physique exécrable. Un départ en fin de saison est donc acté : Aucune confirmation, aucun rachat, Bellanova quittera l’Inter après seulement une saison." Comprenez-vous la Direction Nerazzurra ? ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  11. À l'occasion du 115e anniversaire de l'Inter, Massimo Moratti était l'invité de TeleLombardia lors de l'émission "Inter Connection", pour évoquer les enjeux liés au club dont il était le président historique. Ses mots. Si vous pensez à l'Inter, vous pensez à la famille Moratti. "C'est sûr que ce que mon père a fait était important parce qu'il a donné un virage international au club. Puis après on a eu une histoire positive avec moi aussi, j'ai aidé l'Inter en me mettant à leur service. C'est un privilège de avons vécu cette aventure. Nous sommes également ravis qu'elle se soit très bien déroulée." Comment évaluez-vous l'Inter et Inzaghi cette saison ? "Ce n'est plus l'habitude de porter des jugements même à l'école (rires, ndlr). On est parti avec beaucoup plus d'ambition que la réalité d'aujourd'hui. Le Napoli est très fort. Mais à 15 points des leaders, c'est quelque chose qui ne te met pas dans une position pour penser qu'il a fait de son mieux. Le côté négatif est dû au manque de Lukaku qui aurait été très utile s'il était en forme mais il y a des circonstances. Et puis le fait de Skriniar a peut-être créé des problèmes." Quel est le joueur qui vous a surpris cette saison ? "Certainement Lautaro. Tant dans le rôle d'avant-centre que dans celui de capitaine, il se débrouille très bien avec la bonne attitude. Calhanoglu se débrouille aussi bien au milieu de terrain. Nous avons des joueurs intéressants après tout." Si vous fermez les yeux, quel joueur imaginez-vous porter un maillot de l'Inter ? "Un peu comme tout le monde, dire Recoba est tout à fait normal. Je le considère comme le top au niveau imagination et exhaustivité. Il savait tirer, dribbler et tout faire. Même si pour moi Ronaldo reste le plus représentatif de la grande classe, il était supérieur." Que pensez-vous de la question du stade ? "Pour ma famille, San Siro a un sens, il est dans le cœur et dans les mémoires de manière forte; bien sûr, je réponds que cela doit rester. Même maintenant, aller au stade, je pense que c'est toujours beau. Si vous allez à le stade pour regarder le foot c'est quand même excellent, si tu vas au cinéma, bien sûr que non." Les meilleurs souvenirs. "Le meilleur souvenir, c'est définitivement Madrid, toucher la coupe et réaliser que c'est plus léger que je ne le pensais. C'était quelque chose de beau et d'intéressant. Le pire ? Je ne veux pas me souvenir, ça m'énerve et je culpabilise (rires, ndlr )." Reverrons-nous un président Moratti ? "Je ne sais pas. En ce qui me concerne, je ne pensais pas que je voulais le racheter après mon père, avant que ça arrive. Les conditions dans le passé étaient plus faciles, même si elles étaient encore délicates. Maintenant c'est difficile pour une famille d'avoir une équipe. Mais je ne pense pas que je me permette de dire à mes enfants de ne pas y penser, mais il y a aussi le bon sens (rires, ndlr)." Et si vous achetiez un joueur maintenant ? "Je n'y ai jamais pensé car à l'heure actuelle, tout joueur a des coûts épouvantables. Mbappé est évident et impossible mais j'aurais fait quelque chose de plus pour Haaland, il est fort." L'inter semble n'avoir personne pour la défendre dans les médias : comment le voyez-vous ? "Après les défaites, il faut toujours lever la tête, ce n'est pas une chose banale. De cette façon, les fans comprennent qu'il y a un avenir positif. Je ne sais pas comment les pouvoirs sont répartis dans la société, prendre position quand ça va bien, c'est très facile. En tant que fan, j'attends que quelqu'un aille la défendre. Je dis cela pour espérer que le Dimanche suivant je serai heureux ou pour l'avenir. Le football est une chose fascinante mais dans laquelle il faut rêver." Un retour de Mourinho ruinerait-il une histoire parfaite ? "Cela dépend du type de soupe qu'elle réchauffe. Si c'est une bonne entrée, elle est également bonne lorsqu'elle est réchauffée. Pour Mourinho, cela me semble toujours intéressant." Et avec vous ? "Il était très bon, c'est quelqu'un qui s'isole, il se met contre tout le monde. Mourinho l'a fait en tant que club, Conte en tant que personne. Mais avec cette attitude, il a ramené des résultats importants, je parle très positivement de Conte." Voyez-vous un avenir en tant qu'entraîneur pour Cambiasso comme le dit Mourinho ? "Je le pense aussi, ce ne serait pas mal s'il commençait une carrière. Il serait génial." Traduction alex_j via FCInterNews.
  12. C’est, en effet, l’analyse de la Repubblica et de la Gazzetta Dello Sport suite à la performance de l’Inter face à Lecce: "Cela ne devrait pas être une annonce, mais en ces-temps, c’est le cas : L’Inter a battu sans forcer Lecce à domicile, contredisant donc le paradoxe que les matchs difficiles deviennent faciles, alors que les matchs annoncés abordables lui sont sacrément compliqués." Analyse de la Repubblica "Les Nerazzurri ont fait le Job en prenant également trois points à l’Ac Milan battu par la Fiorentina, dans la course à la Ligue des Champions, et en répondant à l’exploit de la Lazio qui a battu le Napoli. La Logique simple d’Inzaghi a donc fonctionné : Il a mis sur le terrain Çalhanoğlu et non Brozovic, car le Turc est le Regista de cette année. Il a préféré Dzeko à Lukaku car en ce moment, il est le meilleur. Il a insisté pour faire jouer Mkhitaryan en qualité de titulaire, malgré une fatigue évidente, car il n’a personne d’autres dans son noyau présentant ses caractéristiques." "L’entraineur de Piacenza n’a pas laissé de place à l’improvisation, mais il a misé sur sa solide base surtout lorsque celle-ci tourne bien et que si pour une bonne partie du spectacle, son adversaire est endormi: A présent, pour rendre fier les Interiste, il faudra l’emporter vendredi prochain face à la Spezia et se qualifier en Ligue des Champions à Porto." Fail Brozo C’est la révélation de la Gazzetta Dello Sport: "Brozovic, en ce moment, n’est plus le Regista titulaire de l’équipe, ce poste, il se l’est vu soufflé par Çalhanoğlu, avec Mkhitaryan qui a toujours occupé le poste de titulaire en Mezzala en 2023, sans oublier Barella..." "Le Croate pour parvenir à reconquérir un maillot dans la formation initiale devra retrouver une condition physique perdue et la grinta qu’il avait lors de sa période dorée. A la Pinetina, nombreux, incluant ses équipiers, l’ont vu différent de celui qu’il était, plus sombre, moins souriant : A Bologne, alors qu’il portait le brassard de Capitaine, il a laissé expliquer le KO et la très mauvaise prestation devant les caméras à Lautaro : Il n’a pas pris ses responsabilités et la Direction en a pris note." "Avec le Club, et suite à la complicité de l’affaire entourant son kinésithérapeute, les rapports se sont détériorés et si une offre retenue comme valide sera présentée, il sera sacrifié: Le mieux est qu’elle se présente avant le 30 juin pour équilibrer les comptes pour la saison 2022-2023, mais il reste, avant, une saison à finir avec la sensation qu’il faut viser la seconde place, continuer le parcours en Ligue des Champions et remporter la Coupe d’Italie et pour y parvenir, Inzaghi aura besoin de la meilleure version de Brozovic, avant de se dire aurevoir après une histoire de huit années et demie, débutée le 1er février 2015 par une défaite à Sassuolo sur le score de 3-1 e 2015." Vu l’état de forme d’Hakan Çalhanoğlu et la possible arrivée de Franck Kessié, pensez-vous qu’il soit judicieux de vendre Marcelo Brozovic, fantomatique en club cette saison mais brillant en Coupe du Monde ? ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  13. Franck Kessie veut récupérer Milan et surtout, il veut l'Inter. La Gazzetta dello Sport en est sûre! Cet intérêt mutuel est confirmé par les appels téléphoniques entre lui et Hakan Calhanoglu, son ami et ancien coéquipier à l'époque du Milan. "Quelque chose couve, bien au-delà de leurs appels téléphoniques, alors l'Inter sent le deal, malgré le fait qu'il y ait des problèmes objectifs à surmonter. Le premier est la place à trouver au milieu, où pourtant le plus gros des manœuvres a commencé pour trouver une équipe à Marcelo Brozovic. Indépendamment de la possibilité de monter un échange sur l'axe Milan-Barcelone avec Kessie lui-même, déjà évoqué en Janvier, Brozo n'est pas du tout sûr de rester chez les Nerazzurri. Le deuxième est que le salaire annuel de 6,5 millions de Kessie ne bénéficierait pas du décret sur la croissance. Cependant, la volonté du joueur peut aider à plier le salaire. Quant à la négociation avec Barcelone, cependant, l'idée de l'Inter est de proposer aux Catalans un contrat de prêt, sous réserve d'un rachat la saison suivante. Cependant, le prix du milieu de terrain ne devrait pas dépasser les 30 millions. La situation évolue car même si l'envie de ne pas mettre Frank sur le marché filtre du Barça, le destin sera guidé par les prochains mois. En grandissant dans le temps de jeu et dans le schéma tactique, Franck pourrait même changer d'avis à propos de Barcelone. Mais l'envie de retourner à Milan, en ce moment, est grande." Traduction alex_j via FCInterNews.
  14. Hakan Çalhanoğlu s’’est livré sur son aventure à l’Inter, sur le double visage de celle-ci cette saison et sur son renouvellement à venir Un Napoli inaccessible "Personne ne s’attendait à une Inter aussi en retard, mais le Napoli mérite cette position, il l’a aussi prouvé en Ligue des Champions. C’est aussi de notre faute comme pour l’année dernière, nous aurions être plus proche d’eux si nous n’avions pas perdu contre Monza, Empoli, la Sampdoria et Bologne. A présent, personne ne saura reprendre le Napoli, mais nous devrons à chaque fois monter sur le terrain avec le même état d’esprit que face à Porto, pour chaque matchs : Nous tenons à remporter la Coupe d'Italie et nous pourrions créer la surprise en Ligue des Champions." Double-Face Les deux visages de l’Inter ? "Si nous battons les grandes équipes, c’est parce que nous sommes forts: Mais il nous manque la bonne détermination face aux petits et c’est comme ça que tu perds certains points en Championnat : En respect à certaines rencontres, nous devons tous améliorer notre motivation." Porto ? "Ce sera une guerre, je crois en l’Inter et je rêve de remporter la Ligue des Champions, c’est difficile, j’en suis conscient, mais tout peut arriver, il suffit de répéter notre prestation faite à Barcelone." Le Monde Inter "Je me suis amélioré aussi parce que je suis une personne plus sure d’elle-même, aussi hors du terrain de jeu : Je me sens très bien et à l’Inter il y a une ambiance spéciale, je m'y suis tout de suite senti voulu avec bienveillance: Ce qui a donné confiance, c’est aussi la positivité des Tifosi qui se font entendre, je sais que même si je me plante, ils me soutiendront. L’autre saut mental découle du tremblement de terre en Turquie, c’est une douleur énorme, je suis dévasté." Vice-Brozovic "Chaque joueur qui joue doit toujours donner le maximum et Inzaghi m'a permis de devenir plus complet en m’insérant à ce poste, d’un point de vue défensif, j’aime les duels physique aussi." Brozovic ? "La concurrence est réelle et c’est un bien pour tout le monde, ensuite le choix revient l’entraineur et moi, je dois me faire trouver prêt." Asllani ? "Je vais lui parler si je le vois démoralisé, car nous a vingt ans, nous étions aussi sur le banc et il est très difficile d’émerger de cette Inter, mais tu sais y apprendre énormément : Il doit rester calme et bosser, il grandi en maturité, il devient plus imposant, ensuite son heure arrivera car il a de très grandissime qualité." Quand on évoque les meilleurs milieux de terrain d'Europe, on parle de Modric, De Bruyne , Casemiro et de Pedri, mais jamais de vous : Est-ce juste au niveau ou vous sentez-vous sous-évalué ? "Je me considère en dessous, mais je le dit en toute humilité et tout état de cause. Je ne suis pas si loin des noms que vous avez cités, j'ai tout pour m'en approcher : La façon dont j'ai grandi, je me vois parmi les 5 premiers en Europe dans mon rôle, je le dis avec humilité mais avec conscience. Certains joueurs, qui jouent par exemple en Premier League en ce moment, peuvent avoir plus de visibilité..." Passé Rossonero, Amour Nerazzurro "Au début, les Tifosi de l’Inter avaient quelques doutes car je devais remplacer Eriksen et je venais du Milan : Je me questionnais sur comment me faire apprécier ensuite, et l’amour a été spontané, sans besoin de geste théâtraux Il a grandi tout doucement sans une véritable étincelle." Les insultes des milanais ? "Je n’y prête plus attention, l’amour des Interistes me suffit, j’ai une moitié de la Ville pour qui je suis un ami et une autre moitié pour qui je suis un ennemi." Un Derby en Ligue des Champions ? "J’aimerais énormément, ce serait historique." Le retour de Kessié dans le Milan Nerazzurro ? "Nous parlons énormément, il sait qu’il évolue dans un grand club, mais l’Inter n’est pas moins inférieur." La prolongation de mon contrat ? "Je suis fier que l’Inter ait envie de me prolonger, mon intention est de rester à Milan et cela va bien au-delà du Calcio." ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  15. Cette semaine a marqué sept jours à l'envers pour les Nerazzuri selon Sempreinter. Une victoire lors du match aller des huitièmes de finale de la Ligue des champions contre Porto a ensuite été suivie d'un autre voyage maudit à Bologne qui a infligé une septième défaite en Serie A cette saison à l'Inter. Voici ce que nous avons appris de la Pazza Inter typique. 1) Stefan De Vrij est complètement terminé En tant que défenseur de haut niveau dans un club de haut niveau, Stefan De Vrij est fini. Autrefois pivot de l'Inter de Luciano Spaletti et d'Antonio Conte, c'est maintenant un joueur qui approche de la fin de sa carrière et cela commence vraiment à se voir. Une performance maladroite contre Bologne l'a vu accroché à la mi-temps alors qu'il écopait d'un carton jaune. Compte tenu de la situation financière de Suning et du fait que l'Inter perdra Milan Skriniar cet été, il est peu probable que l'Inter cherche à perdre un pilier expérimenté comme De Vrij, mais si le club a de l'ambition, il devrait être remplacé par un modèle plus jeune. 2) Robin Gosens jouant avec un point à prouver Plus de douze mois après son arrivée, Robin Gosens commence à s'imposer comme un joueur Nerazzuri. Arrivé d'Atalanta avec la réputation d'être l'un des ailiers les plus dynamiques d'Europe, on attendait de grandes choses de l'international allemand. Les choses n'ont pas tout à fait fonctionné de cette façon, cependant, car Gosens a eu du mal à conserver une place de titulaire en raison de l'émergence de Federico DiMarco, son incapacité à soigner une blessure qui a entravé ses mois restants à Atalanta tout en étant également écarté par l'entraîneur. Le match de dimanche contre Bologne a donné à Gosens la chance de commencer et malgré le fait que ce soit un match médiocre du point de vue de l'Inter, il était confortablement leur meilleur joueur. Malgré qu'il ait déçu, la solide performance de Gosens rappelle que l'Inter dispose de deux excellentes options pour le côté gauche. 3) Brozovic victime du succès de Calhanoglu ? Marcelo Brozovic a enduré une campagne très contrastée jusqu'à présent pour l'Inter. Malgré une entrée très solide contre Porto en milieu de semaine, le Croate a semblé timide et fade dimanche midi. Un argument pourrait-il être avancé pour le fait que l'Inter a commencé à s'adapter et à changer cette année pour être passée si longtemps sans Brozovic ? L'introduction de Hakan Calhanoglu, bien qu'il offre des qualités différentes, à la position de Brozovic a vu l'Inter apprendre à vivre sans un joueur qui les a fait fonctionner depuis quelques années maintenant. Est-ce un signe que l'Inter va chercher à prouver que les rumeurs sont exactes et tirer profit de Broz puisqu'ils savent qu'ils peuvent s'adapter sans lui ? Nous verrons. 4) L'Inter cherche à renforcer sa défense Des rumeurs émanant des médias italiens cette semaine ont laissé entendre que l'Inter entamait désormais sa stratégie de recrutement pour l'été. Le magnat des transferts de l'Inter, Piero Ausillio, se tournerait vers l'Autriche et ses liens avec Salzbourg. En effet, il aurait été présent lors du dernier match des Red Bulls pour repérer Oumar Soulet. Avec Milan Skriniar sur le point de partir, Danilo D'Ambrosio et Stefan De Vrij en rupture de contrat ainsi que Francesco Acerbi en prêt, l'Inter a désespérément besoin d'un défenseur central. Evan N'Dicka sur un libre de Francfort quelqu'un? Ça va être un été intéressant. 5) Simone Inzaghi est-elle sous pression maintenant ? Une autre défaite en championnat pour l'Inter les voit maintenant avec leur plus mauvais record de défaites en Serie A depuis la saison 2018-2019 sous Luciano Spaletti au cours de laquelle ils avaient décroché une quatrième place. Une sacrée chute pour les challengers clairs pour le titre avant le dernier match de la saison dernière? Cela signifie-t-il aussi maintenant que leur entraîneur Simone Inzaghi est désormais sous pression ? Malgré le démantèlement d'une équipe gagnant le Scudetto, Inzaghi a réalisé des progrès européens qu'aucun de ses prédécesseurs immédiats n'avait fait et il a également remporté la Coppa Italia et des deux Supercoppa d'affilée. La question est maintenant de savoir ce que les supporters et la hiérarchie du club considèrent comme étant l'ambition du club pour ce mandat. Un top quatre satisfera-t-il et permettra-t-il à Inzaghi d'adapter l'Inter et de rempiler à nouveau l'année prochaine? Ou son incapacité à obtenir des résultats plus réguliers va-t-elle être sa récompense? Les trois prochaines semaines sont essentielles pour répondre à ces questions. Êtes-vous d'accord? Ou pas d'accord ? Qui pensez-vous que l'Inter devrait signer pour renforcer la défense ? Faites-le nous savoir dans les commentaires ci-dessous. Traduction alex_j via Sempreinter.
  16. Giuseppe Marotta a pris ses responsabilités en se livrant à Sky Sport, suite à la septième défaite de l'Inter, sur le terrain de Bologne... Que se passe-t-il ? "Je voudrais faire une analyse de ces dernières années : En 2019-2020 nous avions terminé deuxième et avons été finaliste de l'Europa League, l'année suivante il y a eu le Scudetto, puis avec Inzaghi la victoire de la Coppa Italia et de la Super Coupe d'Italie et une autre à suivi cette année: Nous allons donc de l'avant avec les titres et la performance de l'Inter est la meilleure de toutes." "Mais parler du passé n'a aucun sens, sauf pour s'en rappeler et en apprécier la valeur. La situation actuelle nous voit protagoniste en Coupe d'Italie, nous avons gagner la Super Coupe, mais la manifestation la plus importante reste le Championnat et là nous faisons preuve d'une discontinuité de résultats : Pour être grand un club, tu te doits d'avoir de la continuité." "Inzaghi est certainement un jeune professionnel, c'est un très bon un entraîneur en qui nous croyons, il abbat beaucoup de boulot, mais il y a aussi les adversaires: La confiance placée en lui n'a jamais fait défaut. Aujourd'hui, nous devons savoir qu'il est difficile de gagner et d'être compétitif. Aujourd'hui, et après Bologne, un fait émerge sur lequel nous devons absolument trouver un remède et travailler : Celui de faire preuve de discontinuité face à des adversaires à portée de main. C'est là que nous devons travailler aujourd'hui, que l'entraîneur et l'équipe doivent travailler pour trouver des solutions." Les mots de Lautaro en tant que Leader étaient très durs: Comment les avez-vous perçus et compris ? "J'ai vraiment aimé ce qu'il a dit, cela signifie qu'il a un grand sentiment d'appartenance, c'est ce dont on a besoin et que chaque joueur se doit avoir. Les déclarations d'amour de Lautaro signifient que l'on regrette la défaite mais aussi qu'il y a beaucoup de travail à faire, et ils sont d'une grande utilité pour sensibiliser l'équipe. Ensuite, c'est à l'équipe et à l'entraîneur de parler franchement et avec détermination, ce n'est pas tellement au club d'intervenir car il n'y a pas de raisons spécifiques pour le faire: Il faut rester calme." "Je suis conscient que l'équipe est forte, que l'entraîneur est bon, que nous avons des Tifosi qui nous soutiennent énormément, mais lorsque nous regardons les statistiques, il y a une discontinuité entre les résultats à domicile et à l'extérieur". Les prolongations "En tant que phénomène footballistique, il est aujourd'hui plus difficile de renégocier les prolongations de contrat car la concurrence des clubs étrangers est plus forte du point de vue des négociations. Nous devons poursuivre notre concept de soutenabilité qui garantit la longévité de l'Histoire de tout club. Aujourd'hui, nous avons des joueurs qui arrivent à expiration, et d'autres comme Çalhanoğlu et Bastoni qui ont des dates d'expiration plus lointaines. Du point de vue du cœur, ils devraient tous être confirmés, du point de vue de la rationalité et de la planification, nous devrons faire des choix amers, mais nous travaillons dans cette direction pour nous assurer que nous aurons une équipe compétitive l'année prochaine également." Lukaku reste à l'Inter ? "Lukaku a exprimé à plusieurs reprises son désir de rester, aujourd'hui c'est un joueur de Chelsea, à la fin de la saison il y retournera et ensuite un nouveau scénario s'ouvrira et nous verrons si nous négocierons son retour avec nous". Notre directeur sportif, Piero Ausilio fait un travail concret pour identifier les rôles et les joueurs. Mais nous enregistrons le fait que Lukaku a exprimé plusieurs fois son intention de continuer avec nous. Nous savons de quoi il est capable, nous le connaissons et nous verrons si nous pourrons négocier son retour avec nous". En parlant de groupe: Les épisodes de nervosités vu ces derniers temps sont-ils imputables à cette mentalité et à cette discontinuité ? "Je peux vous garantir que dans le vestiaire il y a une grande compacité, ils rament tous du même côté, sinon nous ne serions pas ici et nous aurions pris des mesures différentes." ®Antony Gilles - Internazionale.fr
  17. Le but d'Orsolini à la 76e minute a décidé le match pour Bologne. Les Nerazzurri restent sur 47 points et encaisse leur septième défaite de la saison. L'Inter a subi sa septième défaite de la saison, s'inclinant 1-0 contre Bologne au Dall'Ara. C'était un match difficile, les conditions ne facilitaient pas les choses. Le match a été décidé par Orsolini à la 76e minute, après quoi les Nerazzurri n'ont pas trouvé l'énergie pour répondre. Après leur match face à Porto en Ligue des champions, les hommes d'Inzaghi ont essuyé un revers et restent sur 47 points en championnat. De la pluie, un terrain mouillé, le ballon ralenti et, parfois, éclaboussant le gazon, les conditions étaient loin d'être idéales, ce qui signifiait qu'il fallait de l'énergie, de l'équilibre et une grande concentration. L'Inter n'a pas pris un bon départ et a lutté pendant longtemps dans la première mi-temps contre une équipe intense de Bologne. Les hôtes pensaient avoir pris les devants à la 12e minute alors que Barrow ouvrait la marque avec son pied gauche. Mais, après un examen de la VAR, ce but a été correctement invalidé en raison de la position de hors-jeu de Dominguez. Les Nerazzurri avaient survécu à une grosse frayeur et avaient failli prendre de nouveau du retard à la 18e minute, après qu'Onana eut repoussé la tentative de Cambiaso, Soriano toucha la barre dans la foulée. L'Inter était sous pression mais n'a pas succombé. Au contraire, Gosens et ses coéquipiers ont commencé à jouer plus haut sur le terrain, visant à impliquer les attaquants. Le premier tir cadré de l'Inter a eu lieu à la 39e minute, immédiatement après quoi Lautaro a repris le centre de Bastoni de peu à côté avec Skorupski battu. Il y a eu des signes positifs en début de deuxième mi-temps. Gosens a réussi à passé à Calhanoglu qui a glissé en tirant et, par conséquent, n'a pas réussi à garder le ballon au sol. L'Inter avait l'air mieux mais devait rester en état d'alerte car Bologne, avec son jeu offensif direct, restait une menace. A la 53e minute, Darmian réalise un contre brillant pour déjouer Soriano. Inzaghi s'est tourné vers son banc, faisant venir Acerbi, Dzeko, Barella et D'Ambrosio. Cherchant à avoir un impact, Dzeko a lancé une belle volée mais Skorupski était en place pour intercepter. Bologne, quant à elle, est restée calme alors qu'elle tentait de trouver un moyen de gagner le match. Ils l'ont fait en profitant d'une erreur de l'Inter dans la construction. Après que le tir Barrow ait été repoussé par Onana, les Nerazzurri ont donné le ballon et Schouten en a été le bénéficiaire en envoyant Orsolini au but avec une passe parfaitement chronométrée. Ce dernier a fait le reste, frappant dans le filet pour porter le score à 1-0. Après avoir pris du retard, l'Inter, qui semblait dépourvu d'énergie, n'a pas réussi à trouver une réponse, malgré les meilleurs efforts de Gosens. Carboni a remplacé Brozovic, mais le score n'a pas changé. BOLOGNE 1-0 INTER Buteur : 76' Orsolini (B) BOLOGNE (4-2-3-1) : 28 Skorupski ; 3 Posch, 4 Sosa, 26 Lucumi, 50 Cambiaso ; 30 Schouten (17 Medel 87'), 8 Dominguez ; 7 Orsolini (20 Aebischer 87'), 19 Ferguson (6 Moro 83'), 21 Soriano (77 Kyriakopoulos 83') ; 99 Barrow (18 Raimondo 87'). Remplaçants : 1 Bardi, 34 Ravaglia, 5 Soumaoro, 22 Lykogiannis, 25 Pyyhtia, 29 De Silvestri. Entraîneur : Thiago Motta. INTER (3-5-2) : 24 Onana ; 36 Darmian, 6 De Vrij (15 Acerbi 46'), 95 Bastoni ; 2 Dumfries (33 D'Ambrosio 68'), 22 Mkhitaryan (23 Barella 63'), 77 Brozovic (45 Carboni 83'), 20 Calhanoglu, 8 Gosens ; 90 Lukaku (9 Dzeko 63'), 10 Lautaro. Remplaçants : 1 Handanovic, 21 Cordaz, 5 Gagliardini, 12 Bellanova, 14 Asllani, 46 Zanotti. Entraîneur : Simone Inzaghi. Avertis : De Vrij (I), Dumfries (I) Temps additionnel : 2' - 6' Arbitre : Orsato. Assistants : Colarossi, Capaldo. Quatrième arbitre : Perenzoni. VAR : Marin. Assistant VAR : Muto. Trauction alex_j via le site officiel.
  18. Selon, la Gazzetta dello Sport, Hakan Calhanoglu serait sur le point de conclure un nouveau contrat avec l'Inter et une annonce ne devrait pas tarder. En effet, l'international turc est prêt à engager son avenir pour l'Inter et signera de sa plume pour un nouvel accord qui devrait durer jusqu'en 2026. Le milieu de terrain et le club sont parvenus à un accord et il ne manquerait que sa signature. L'Inter cherche à s'attacher de ses service pour les trois prochaines saisons et ce, après une campagne impressionnante en Serie A. Calhanoglu devrait gagner 6 millions d'euros par saison et une annonce officielle sur la prolongation pourrait être faite avant le huitième de finale retour de la Champions contre Porto le 14 mars. Traduction alex_j via Sempreinter.
  19. Hakan Çalhanoğlu Informations Générales Nom : Çalhanoğlu Prénom : Hakan Poste : Milieu offensif, ailier Date de naissance : 08/02/1994 Lieu de naissance : Mannheim Pays : Turquie Taille : 178cm Poids : 76 Kg Numéro de maillot : Au club depuis : Juin 2021 Position sur le terrain Biographie Hakan Çalhanoğlu, né le 8 février 1994 à Mannheim en Allemagne, est un footballeur international turc. Il évoluait au poste d'ailier gauche avec l'AC Milan. Carrière en Clubs Il commence sa carrière à Karlsruher SC, son club formateur, en 2011. Il ne tarde pas à se faire remarquer par des clubs de Bundesliga. En 2013, Çalhanoğlu rejoint le Hambourg SV où il accomplira une saison complète. L'année suivante le voit s'engager pour le Bayer Leverkusen. Le Turc se fait alors peu à peu connaître de l'Europe. Sa qualité de frappe et sa précision en font un excellent tireur de coup-franc, l'un des meilleurs au monde à cet exercice. Karlsruher SC Le 5 février 2012, il fait ses débuts avec le club à l'occasion d'un match de 2. Bundesliga face au FC Erzgebirge Aue. Durant cette même rencontre, il délivre deux passes décisives. Le 11 mars 2012, il prolonge son contrat jusqu'en 2017. Durant cette saison, il a pris part à 12 rencontres de championnat. Toutefois, en fin de saison, son club sera finalement relégué en 2.Liga à l'issue des barrages. Le 21 juillet 2012, lors de son premier match de 3.Liga face au FC Heidenheim, il inscrit sur coup franc les deux premiers buts de sa carrière professionnelle. Le 14 août 2012, il est transféré au Hambourg SV, mais il reste dans son club en prêt jusqu'à la fin de la saison. Le 19 août 2012, Çalhanoğlu dispute son premier match de Coupe d'Allemagne face au Hambourg SV. Le Karlsruher SC l'emporte finalement 4-2 avec une passe décisive délivrée par ce dernier. À l'issue de cette saison, le Karlsruher SC remporte la 3. Liga 2012-2013 et se voit ainsi promu en 2.Bundesliga pour la saison suivante, tandis que Çalhanoğlu termine au pied du podium des meilleurs buteurs avec 17 réalisations et est élu meilleur joueur de la saison de 3. Liga. Hambourg SV Hakan Çalhanoğlu rejoint le Hambourg SV lors de l'été 2013. Il fait ses débuts sous ses nouvelles couleurs à l'occasion d'une rencontre de Bundesliga, lors de la première journée de la saison 2013-2014 face au FC Schalke 04. Il est titulaire et les deux équipes se neutralisent ce jour-là (3-3). Le 31 août 2013, il inscrit ses deux premiers buts en championnat face à l'Eintracht Brunswick, contribuant à la victoire de son équipe (4-0). Le 22 février 2014, Hakan Çalhanoğlu, âgé de 20 ans et deux semaines, acquiert une renommée mondiale avec son coup franc des 41 mètres qui parachève la victoire du Hambourg SV contre le Borussia Dortmund (3-0), dans le temps additionnel de la rencontre qui oppose les deux équipes. Bayer Leverkusen Le 11 juillet 2014, Hakan Çalhanoğlu est transféré au Bayer Leverkusen pour 14,5 millions d'euros. Il signe un contrat de cinq ans avec le club, soit jusqu'en 2019. Le 15 août 2014, il joue son premier match avec le club en étant titulaire lors d'une rencontre du premier tour de la DFB-Pokal 2014-2015 face à Waldalgesheim (victoire 0-6). Il joue un rôle essentiel dans la qualification de son club pour la Ligue des champions 2014-2015, en délivrant deux passes décisives (pour l'ouverture du score de Stefan Kießling et pour le but de la victoire de Son Heung-min) lors du match de barrage aller face au FC Copenhague (victoire 2-3) puis en inscrivant un superbe coup franc à la 7e minute lors du match retour (victoire 4-0), le 27 août 2014 à la BayArena. Le 25 février 2015, il inscrit le but de la victoire (1-0) lors du match aller des huitièmes de finale face à l'Atlético Madrid, mais voit son penalty arrêté par Jan Oblak lors de la séance de tirs au but du match retour qui scelle l'élimination du Bayer Leverkusen à ce stade de la compétition, le 17 mars 2015. Le 16 septembre 2015, il inscrit son premier doublé avec le club à l'occasion d'un match du premier tour de l'édition suivante face aux Biélorusses du BATE Borisov (victoire 4-1). Néanmoins son club, qui termine à la troisième place du groupe E, n'est pas qualifié pour les huitièmes de finale comme lors de l'édition précédente, et se voit donc repêcher en seizième de finale de la Ligue Europa 2015-2016 pour une double confrontation face au Sporting Lisbonne, de laquelle le club allemand sort victorieux grâce, entre autres, à un but de Çalhanoğlu lors du match retour (victoire 3-1), le 25 février 2016. Le 5 mars 2016, il obtient son premier capitanat avec le club lors d'un match de Bundesliga face au FC Augsbourg, lors duquel il inscrit le but égalisateur sur penalty dans les arrêts de jeu de la rencontre, permettant ainsi à son équipe, menée 3-0 à l'heure de jeu, d’arracher le match nul 3-3. Il porte également le brassard quelques jours plus tard à l'occasion de la double confrontation contre le Villareal CF en huitième de finale de la Ligue Europa 2015-2016. Confrontation perdue par le Bayer Leverkusen à cause d'un doublé de Cédric Bakambu lors du match aller (défaite 2-0), le 10 mars 2016 AC Milan Le 3 juillet 2017, il signe pour quatre ans à l'AC Milan, pour un transfert estimé à 21 millions d’euros. Il se voit attribué le très prestigieux maillot floqué du numéro 10 (laissé vacant par Keisuke Honda et qui devait normalement échoir à André Silva), qui fut porté par un grand nombre de légendes du club lombard (Gianni Rivera, Ruud Gullit, Dejan Savićević, Zvonimir Boban, Rui Costa et Clarence Seedorf). Il joue son premier match sous ses nouvelles couleurs le 3 août 2017 en match de qualification pour la Ligue Europa face à l'Universitatea Craiova, rencontre que le Milan remporte par deux buts à zéro. Il inscrit son premier but en championnat le 25 octobre 2017 face au Chievo Vérone (victoire 1-4), devenant ainsi le premier joueur turc à marquer en Serie A depuis Emre Belözoğlu en 2003. Internazionale Milano Etant laissé libre par le Milan Ac, Hakan Çalhanoğlu va signer pour le club Champion d'Italie en titre, à savoir l'Inter de Milan pour un contrat triennal annoncé à 5 millions d'euros par saison Equipe Nationale Çalhanoğlu a le choix entre l'Allemagne et la Turquie pour jouer en équipe nationale. Il opte finalement pour la sélection turque et évolue déjà dans les catégories juniors turcs avant de devenir professionnel. Il participe notamment à la Coupe du monde des moins de 20 ans 2013 qui se joue à domicile. Çalhanoğlu fait ses débuts en sélection le 6 septembre 2013, remplaçant Gökhan Töre contre Andorre. Il lui faut attendre mai 2014 pour être titularisé face à l'Irlande à Dublin. Le 31 mars 2015, Çalhanoğlu marque son premier but en sélection durant une victoire 2-1 contre le Luxembourg. En juin 2015, il inscrit son premier doublé pour la Turquie face à la Bulgarie. Petit à petit, Çalhanoğlu s'installe dans l'entre-jeu turc et enchaîne les bonnes performances. Çalhanoğlu est convoqué par Fatih Terim pour l'Euro 2016 en France. La Turquie est dans un groupe compliqué comptant la Croatie, la Tchéquie ainsi que l'Espagne. Contre ces derniers, Çalhanoğlu et ses coéquipiers essuient une défaite 3-0 qui écarte définitivement le pays des phases finales. Le Saviez-Vous ? Son petit frère, Muhammed Çalhanoğlu, est également footballeur professionnel. Tout comme Hakan, il a également été formé au Waldhof Mannheim et au Karlsruher SC, avant d'emprunter une trajectoire différente de celle de son frère et d'évoluer dans les divisions inférieures du football autrichien, puis turc. Il joue désormais au TSG Weinheim. Il a également un jeune cousin, Kerim Çalhanoğlu, qui a signé à Schalke lors du mercato d'été 202039. Hakan Çalhanoğlu est un musulman pratiquant. Il a d'ailleurs effectué la 'Omra à deux reprises : en décembre 2015 et en janvier 2019 avec son coéquipier à l'AC Milan : le Français Tiémoué Bakayoko. Source: Transfermarkt Style de jeu Hakan Çalhanoğlu est connu, notamment, pour ses frappes lointaines, mais surtout pour ses coup-francs dont il est considéré comme un des meilleurs tireurs au monde. Il se dit influencé par l'ancien cannonier brésilien Juninho : "Je me repasse sans cesse les vidéos, les stoppe et use le ralenti pour copier exactement sa course d'élan, sa frappe, presque tout en détails." Souvent comparé à Mesut Özil, d'origine turque, le joueur explique que "C'est grâce aux Allemands que je suis devenu footballeur. Mais jouer pour l'équipe nationale turque est un honneur. Je veux être le Mesut Özil turc." Palmarès: 2012/2013: Champion de 3.Liga Distinctions personnelles 2012/2013: Karlsruhe SC - Joueur de la saison Serie A MVP of the Month: December 2020 Parcours: En Club: 2011-2013: Karlsruhe Sc 2013-2014: Hambourg Sv 2014-2017: Bayern Leverkusen 2017-Juin 2021: Milan Ac Juin 2021: Internazionale Fc En Sélection: 2013 - à ce jour: Turquie ©Wikipedia
  20. L'amour est un phare dressé au-dessus de la tempête ("Amore è un faro fisso che sovrasta la tempesta"). Les fans des Nerazzurri ont cité Shakespeare pour inaugurer la confrontation aller entre l'Inter et Porto en huitièmes de finale de la Ligue des champions. Et puis ils ont regardé un match qui n'a pas déçu : c'était intense, épuisant, électrisant et pourtant pas toujours agréable à regarder. Les deux équipes se sont affrontées, montrant leur volonté de gagner le match aller pour augmenter leurs espoirs de se qualifier au tour suivant. Tout comme l'amour perdure, la volonté de gagner des Nerazzurri est restée tout au long et ils ont obtenu leur récompense dans les minutes finales lorsque Romelu Lukaku a forcé le ballon à rentrer pour s'assurer que l'Inter ait un but devant Porto. Le match aller a donc profité à l'Inter. Le but vainqueur tant attendu est arrivé à quatre minutes de la fin du temps réglementaire, et c'est Romelu qui l'a marqué. Après avoir initialement touché le poteau, le Belge a rapidement réagi pour battre le très impressionnant Diogo Costa. L'autre gardien de but sur le terrain a également apporté une contribution significative, gardant l'Inter à égalité à un moment très compliqué du match. Puis, après qu'Otavio ait été expulsé pour un deuxième avertissement, les Nerazzurri ont tout jeté dans la zone de Conceiçao, faisant finalement cette percée tant attendue. Pour en revenir au début, le match a démarré à un rythme très élevé dans une ambiance fantastique, avec 75 374 fans faisant du Meazza un chaudron bruyant. Dimarco a réussi le premier effort du match, après quoi Calhanoglu a testé Diogo Costa. Les visiteurs ont fermement défendu alors que leur 4-4-2 initial est rapidement devenu un 3-2-4-1 très fluide, ce qui entraîne des contres rapides et directs. Néanmoins, Onana n'a pas été inquiété jusqu'à la demi-heure de jeu, quand il a réussi à empêcher une tentative de Grujic avec ses jambes, Galeno se dirigeant alors pour le rebond. Les choses se sont réchauffées alors que Darmian était apparemment bousculé dans la surface et, après une explication rude, Dimarco et Otavio ont tous deux été avertis. En toute fin de mi-temps, Diogo Costa a réalisé un arrêt sublime pour empêcher la tête éblouissante de Bastoni sur le coup franc de Dimarco. Après la reprise, Barella s'est envolé avec un bel effort pour la première fois à travers le but qui a brièvement inquiété Diogo Costa. Pendant le moment le plus difficile du match pour l'équipe d'Inzaghi, Porto s'est ensuite rapproché devant avant l'heure de jeu. D'abord, Onana déjoue Uribe en contre (55e), puis le gardien de l'Inter réussit un superbe double arrêt pour déjouer Zaidu et Taremi après que Skriniar ait bloqué un tir de Zaidu. Ce fut un moment clé qui a permis à l'Inter de rester à égalité et de continuer, également grâce aux remplacements d'Inzaghi. Brozovic est entré et a commencé à dicter le tempo, Gosens patrouillait sur le flanc gauche et Lukaku gênait devant. Porto s'est contenté d'essayer de frapper l'Inter en contre, puis est venu le carton rouge d'Otavio (deux jaunes). L'Inter a mis la pression et a obtenu sa récompense à la 86e minute: Lukaku a intercepté le centre de l'aile droite de Barella et son tir s'est d'abord dirigé sur le poteau, mais il s'est ensuite rapidement ajusté pour tirer au rebond. Diogo Costa a finalement été battu, mais il n'a pas permis à Romelu de marquer un second à la 90e minute. La victoire 1-0 au Meazza a été accueillie par les applaudissements du public mais il reste encore un match retour à jouer au Portugal le 14 mars. Feuille de match INTER (3-5-2) : 24 Onana ; 37 Skriniar (2 Dumfries 81'), 15 Acerbi, 95 Bastoni ; 36 Darmian, 23 Barella, 20 Calhanoglu, 22 Mkhitaryan (77 Brozovic 72'), 32 Dimarco (8 Gosens 58') ; 9 Dzeko (90 Lukaku 58'), 10 Lautaro. Remplaçants : 1 Handanovic, 21 Cordaz, 5 Gagliardini, 6 De Vrij, 12 Bellanova, 14 Asllani, 33 D'Ambrosio, 45 Carboni. Entraîneur : Simone Inzaghi. PORTO (4-4-2) : 99 Diogo Costa ; 23 João Mário (70 Gonçalo Borges 92'), 3 Pepe, 5 Marcano, 12 Zaidu ; 25 Otavio, 8 Uribe, 16 Grujic, 13 Galeno (30 Evanilson 51') ; 11 Pepê Aquino, 9 Taremi (22 Wendell 83'). Remplaçants : 14 Claudio Ramos, 2 Cardoso, 4 Carmo, 17 Conceiçao, 19 Namaso, 20 André Franco, 29 T. Martinez, 46 Eustaquio, 87 Bernardo Folha. Entraîneur : Sergio Conceiçao. Averti : Dimarco (I), Otavio (P), Pepê Aquino (P) Expulsé : Otavio (P), 78', pour une 2e infraction réservable Temps additionnel : 2' - A un avertissement de la suspension : Lautaro, Bastoni (I ); Simone Inzaghi (I) Arbitre : Jovanović (SRB). Adjoints : Stojković, Mihajlović (SRB). Quatrième arbitre : Simović (SRB). VAR : Dankert (ALL). Assistant VAR : Fritz (GER). Traduction alex_j via le site officiel.
  21. Le premier tour de Inter-Porto nous revient grâce à un but de Romelu Lukaku à la 86e minute. Simone Inzaghi se présentait en salle de presse pour analyser la très importante victoire 1-0. Résultat très important comme le but de Lukaku. "Vous avez bien dit, un léger avantage que nous allons essayer d'exploiter. Porto est une équipe physique et experte, habituée à ces matches. Une belle victoire! En première mi-temps, je ne sais pas comment le gardien a fait cet arrêt. en deuxième mi-temps, on s'est étiré, on a pris un risque dans une relance, puis les joueurs du banc sont bien entrés dans le match. On a gagné le premier tour." Vous avez indiqué en deuxième mi-temps que vous vouliez gagner à tout prix. "Absolument, nous avons fait un excellent match contre une équipe physique. En première mi-temps, il y avait un peu de regret sur les occasions manquées, en deuxième mi-temps, nous avons pris un risque à la reprise, puis les remplacements nous ont aidés. Nous aurions aimé faire quelque chose de plus, mais c'était un grand match." Qu'auriez-vous aimé voir de différent en première mi-temps ? "Nous devions être plus rapides dans le premier tour, construire plus vite et mieux bouger. Ensuite, avec un adversaire très dur, nous avons probablement dû accélérer le rythme." Étiez-vous triste de l'attitude de Dzeko vis-à-vis de son changement ? "Je m'attendais à cette question (rires, ndlr). Moi aussi j'étais fâché, en tant que joueur, quand j'étais remplacé dans ces matches. Mais ça m'a suffit pour voir comment il a exulté après le but de Lukaku. Ces choses-là arrivent quand il y a cette adrénaline. N'oublions pas qu'en 18 mois Dzeko n'a pas fait que chose pour nous, mais il a fait beaucoup." Avez-vous dit quelque chose à Conceicao en première mi-temps ? Quels sont les principaux dangers pour le retour ? "Porto est fort et physique, nous avons dit bonjour à Sergio avant le match et ensuite tout le monde s'est concentré sur son équipe. Nous ne nous attendions pas à Galen, Otavio et Uribe comme partants car ils étaient dans le doute. Au-delà de ça, Porto est fort de toute façon, nous devrons les affronter de la meilleure façon à Porto aussi." Otavio vous a mis en difficulté. "Otavio était sur Calhanoglu, ils étaient agressifs sur les porteurs de ballon. Nous étions bons, nous aurions pu construire plus en vitesse en première mi-temps. Avec ou sans expulsion, la victoire est méritée pour ce que nous avons fait sur le terrain. On aurait pu obtenir plus. Mais ça ne s'arrête pas là car dans 20 jours, il y a le retour qui va être très exigeant." La percée de Lukaku ce soir ? "Chaque match est très important, ce soir on a eu un match acharné et on s'est servi de notre tête." Quelles indications donnent Lukaku et Brozovic ? "Tout le monde est bien entré, même Gosens et Dumfries. J'ai besoin de tout le monde, on sait qu'il y a beaucoup de matchs et on s'investit, ce n'est pas facile." Traduction alex_j via FCInterNews/
  22. Massimo Moratti, Président Historique de l’Inter et du Triplé s’est livré à la Gazzetta Dello Sport, à quelques heures de la réception du Fc Porto: "C’est une équipe dangereuse et organisée, peut-être qu’il n’y a pas de nom, mais c’est une équipe difficile à rencontrer et même si les éliminer ne serait pas considérer comme un exploit, ça le serait tout de même : Ce serait une très belle carte de visite pour continuer la suite du parcours." A l’époque, il y a eu Mourinho qui avait aussi remporté le titre avec Porto... "C’est vrai, mais Inzaghi sait comment s’y prendre en confrontation directe : L’année passée, il a joué au même niveau que le vrai Liverpool, et il y a trois mois, il a éliminé le Fc Barcelone en phase de groupe." En revanche, en championnat, l’Inter, pour la seconde année de suite perd le Scudetto alors que nombreux ont dit qu’elle disposait d'un noyau supérieur à celui qui va le remporter... "Permettez-moi de vous dire que ce Napoli propose est excellent : Chaque entraineur a ses caractéristiques : D' Antonio Conte, on disait que c’était un obsessionnel du résultat, et il a ramené le Scudetto : Avec Simone Inzaghi, l’équipe a plus de liberté pour s’exprimer, mais elle a alterné trop de haut et de bas." Vous attendez-vous à un "Haut" ce soir ? "Oui, si l’équipe alignée présente la même rage que celle vu contre le Napoli et le Milan : Si oui, elle sera la favorite." Qui sera l’Homme du match ? "Lautaro, c’est un attaquant incroyable qui marque qui se bat et qui est décisif, un de ceux que qui doit accompagner l’équipe pour toute la vie." Vous attendez-vous à revoir le Vrai Lukaku ? "Avec le Romelu d’il y a deux saison, l’Inter aurait mis une toute autre pression sur le Napoli: Il a été déterminant pour nous et il a été repris car considéré toujours comme un tel joueur, les blessures l’ont freinées et elles sont bien plus importante pour un joueur ayant un physique comme le sien comparé à d’autres." Il fait preuve de bonne volonté et il a fait de très belle première période, mais ensuite il baisse de régime : Heureusement nous avons Dzeko qui, a presque 37 ans, s’est confirmé être un professionnel exemplaire et doté d’une intelligence supérieure." Est-ce le joueur qui vous a le plus marqué cette saison ? "Non, c’est Çalhanoğlu, par son style et sa classe, et devant la défense, en lieu et place de Brozovic, il apporte une Grinta et une continuité à laquelle je ne me serai jamais attendu." Ce soir, sur le banc adverse, il y aura une vieille connaissance… "Conceiçao était un très bon joueur et était un garçon intelligent: Il avait déjà les ingrédients décisif pour devenir un grand entraineur." Votre jugement sera positif sur la saison interiste si… "Si après avoir remporté la Super Coupe d’Italie face au Milan, elle soulève aussi la Coupe d’Italie si la Juve nous le permet, et que nous nous qualifions pour la prochaine Ligue des Champions." ®Antony Gilles – Internazioonale.fr
  23. C'est une information en provenance de Calciomercato.com: "Hakan Çalhanoğlu est prêt rester à l'Inter pour une très longue période: Il y a déjà la poignée de main." "Çalhanoğlu est un joker, un homme capable de jouer dans différents postes et toujours avec la bonne mentalité. Au cours des deux saisons passées à l'Inter, il a également mûri en termes de personnalité. C'est pourquoi, bien que dans un moment de grande difficulté économique, l'Inter n'a pas hésité à ajuster un contrat déjà assez riche, en augmentant les honoraires du joueur turc pour atteindre, environ, 6 millions d'euros." "Le nouvel accord est très proche, la poignée de main et la fumée blanche sont déjà là, il ne manque plus que l'annonce." Selon la presse italienne, le nouveau contrat devrait voir Hakan rester Nerazzurro au moins jusqu'au 30 juin 2026 ou au 30 juin 2027! ®Antony Gilles - Internazionale.fr
  24. Après le triple coup de sifflet au Meazza et trois points en or glanés, Simone Inzaghi a commenté la victoire 3-1 de l’Inter contre l'Udinese devant les caméras de DAZN, Inter TV et Sky Sports. Était-ce exactement le match auquel vous vous attendiez ou l'avez-vous mieux géré que prévu ? "Oui, nous connaissions les difficultés. L'Udinese est physique, technique, ils nous ont mis en grande difficulté ; nous en avons payé le prix au match aller. L'équipe a fait une excellente première mi-temps malgré le but pris sur un ballon sortant. Mais je suis satisfait, c'est une victoire importante qui nous permet de continuer." La célébration après le 2-1 représente la cohésion de ce groupe. "Absolument, les garçons s'entendent bien et travaillent bien. Ils m'aident dans mes choix. Ce soir, tout le monde a donné des réponses." A quel point avez-vous du mal à choisir les attaquants ? "J'espère avoir le plus d'alternatives possibles. Nous avons joué avec beaucoup d’absences et nous avons fait d'excellentes choses, notamment en Europe. Avec Brozovic et Lukaku les choix se sont multipliés, puis un entraîneur doit choisir de temps en temps." Lukaku est si difficile à laisser de côté. "C'est difficile d'oublier Dzeko et Lautaro aussi. C'est le travail du staff, de choisir le meilleur. Puis à la fin du match on va avec les 'si', mais il faut d'abord choisir avec sérénité." À quel point est-ce important d'avoir récupéré Romelu Lukaku ? "Nous avons besoin de tout le monde, celui qui est entré a fait un excellent travail. Compte tenu de l'engagement qu'ils ont mis, tout le monde doit jouer, puis l'entraîneur doit choisir. Aujourd'hui, j'ai choisi avec une grande tranquillité d'esprit." Qui donne plus de garanties entre Dzeko et Lukaku ? "Après les matches, il est difficile de faire des pronostics. Aujourd'hui, c'était un match dans lequel nous avons dépensé physiquement, l'Udinese nous a fait lutter. Il reste deux jours et demi à Porto, nous verrons et nous ferons des choix pour le bien de l'Inter." Lautaro n'était pas complètement satisfait à la fin du match, vous avez réussi à créer en lui une attente de perfection. "C'est vrai, il aurait pu marquer encore plus tôt. Il se donne toujours à fond, c'est un leader et il doit toujours travailler comme il le fait." Avec le retour de Brozovic, Calhanoglu restera-t-il un meneur de jeu pour vous ou deviendra-t-il milieu de terrain ? "Il peut faire les deux parce qu'il a de la qualité. Je ne savais pas s'il fallait retirer Brozo ou Mkhitaryan qui a beaucoup de matchs consécutifs dans les jambes, alors que Brozo est revenu aujourd'hui. Essayons de les amener au mieux, Calha peut jouer milieu de terrain et a fait des choses extraordinaires en tant que meneur donc pas de problème." Aujourd'hui de nombreuses erreurs techniques liées au terrain. Est-ce quelque chose qui vous touche ? "C'est clair que c'est quelque chose qui nous dérange en ce moment, mon club voulait régler ça au plus vite mais on n'a pas le temps parce qu'on joue tous les deux jours et demi entre nous et Milan. L'année dernière il y avait ce problème également. Espérons que le terrain puisse s'améliorer car nous et Milan en avons besoin." Mkhitaryan a déclaré "nous avons montré au monde entier qu'il ne faut pas plaisanter pas avec nous". De quel message s'agit-il ? "Message important d'un grand professionnel qui va très bien, il nous donne un gros coup de main. Il joue sans interruption depuis octobre et grandit de jour en jour. Il doit continuer comme tout le monde. Le laisser jouer en 10 ? Parfois cela pourrait arriver, nous avons essayé cette chose à Malte au camp d'entraînement et là aussi il a très bien réussi." Handanovic sur le terrain pour le remettre en condition ? "Les choix sont des choix. Il a eu quelques petits problèmes après la retraite à Malte et je ne l'avais pas sous la main. Il va très bien, c'est un gardien important et nous avons aussi beaucoup besoin de lui pour laisser souffler Onana qui enchaîne. Heureux pour Samir mais nous n'avions aucun doute." Le discours des choix concerne-t-il aussi Skriniar ? "La dépense d'énergie est toujours là, en tant que troisième arrière droit j'en ai trois en parfaite forme, lui, Darmian et D'Ambrosio, qui me laisse des choix à chaque match." L'Inter arrivera-t-elle en Ligue des champions comme vous le souhaitez ? "On va bien, on a récupéré des joueurs importants qui m'aident dans les rotations. On attend ce match avec confiance, avec un adversaire de qualité qui a été entraîné par le même entraîneur pendant de nombreuses années. On connaît les difficultés de ce match, nous le préparerons de la meilleure façon possible." Traduction alex_j via FCInterNews.
  25. La Curva Nord Milano 1969, soit nos Ultras, a publiée une vidéo sur sa chaine Youtube et certains de ses membres ont voulu expliquer les raisons du communiqué qui sera publié dans le Fanzine de la rencontre qui opposera l'Inter à l'Udinese, le tout, en anticipant la presse: "Notre communication a déjà été instrumentalisée, et il y a eu beaucoup de critiques. Nous avons fait notre Communiqué car nous voulons faire comprendre à l'entraîneur la vision à adopter pour les prochains matchs: Nous ne contestons pas le Professionnel et l'Homme qu'il est. Nous ne contestons pas l'Entraîneur, nous ne le huerons pas, et nous continuerons jusqu'à la fin de la saison avec lui : Mais nous lui avons fait quelques remarques car au cours de ces deux dernières saisons, nous avons constaté une attitude de soumise plusieurs fois dans les matchs." "Il n'y aura pas de protestations, et toutes les personnes qui veulent déstabiliser le Mondo Inter doivent rester calmes car nous sommes en phase avec ce que fait l'équipe. Pour nous, il n'est pas possible de ne pas oser comme il le fait : contre Empoli, l'équipe était réduite à 10 au Meazza mais nous aurions dû insérer Dzeko et ensuite osé le trio offensif. Idem à Gênes : La Sampdoria a la pire attaque de la Serie A, à quoi bon garder une défense à cinq dans les dernières minutes ? Si tu veux gagner, tu mets trois attaquants et tu fonces. Le message qui doit passer est le suivant : La Curva Nord souhaite se voir projeter la volonté de gagner même en courant des risques. Nous préférons perdre en prenant des risques plutôt que de jouer pour un match nul. À Gênes, nous nous attendions à voir trois attaquants et non à voir une attitude d'une équipe provinciale." "Nous soutiendrons toujours Inzaghi, mais il doit aussi rentrer dans notre mentalité de la Grande Cité que nous sommes et faire le Grand saut qu'ont su faire les grands entraîneurs qui sont passés ici: C'est-à-dire attaquer à 100%. Nous sommes une grande équipe, nous voulons toujours être offensifs, même au prix de perdre des points. Mais pas se présenter à Rome, face à la Lazio, car jouer avec Gagliardini est une attitude provinciale, parce que tu abandonnes Çalhanoğlu par peur." "C'est la Lazio qui doit avoir peur de l'Inter, pas l'inverse. Nous avons échangé quelques mots avec l'entraîneur, nous aimerions que son attitude change. Samedi soir, il n'y aura aucun problème, car nous serons tous là pour encourager l'Inter : mais l'Inter doit attaquer et non pas grignoter de petits points. Que personne ne se permette de huer l'entraîneur samedi : nous encouragerons toujours l'Inter, nous devons tous ramer du même côté comme toujours". Et notre Roby qui se prend une cartouche gratuite alors qu'il n'a rien demandé... ®Antony Gilles - Internazionale.fr
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