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  1. Daniele Mari est le Directeur de Fcinter1908.it est celui-ci a noté la prestation des joueurs suite à cette neuvième défaite de la saison André Onana 6 "Il parvient à déjouer une Juventus menaçante alors que le résultat est déjà compromis : Il ne bouge pas sur le tir de Kostic mais c’est bel est bien Dumfries qui l’empale et qui laisse la fenêtre de tir totalement ouverte : Il n’a pas eu besoin de faire de miracle, mais il a repoussé quelques dangers de la meilleure des façons." Matteo Darmian 6 "Sur son aile, on retrouve Kostic qui lorsqu’il voit l’Inter s’illumine : Dumfries ne l’a que trop peu aidé à tel point que le défenseur "latéral" a dû reprendre aussi le poste de défenseur central, il faisait tout tout seul,: Il ne s’en sort globalement pas trop mal, en parvenant même à bloquer des actions." Stefan De Vrij 6,5 "De retour en tant que titulaire face à Vlahovic, un attaquant qui ne combien que trop peu : Il prouve encore être un Monsieur, nous avons tous la conviction qu’il a 38 ans, mais il reste le bon Stefan d’à peine 31 ans : Il est resté trop longtemps sous naphtaline, qui sait si une série de rencontre pourrait faire de lui à nouveau un joueur protagoniste." Francesco Acerbi 6,5 "Il se met à faire le Bastoni et cela s’est vu à plusieurs reprise en phase offensive : Il a tenté à plusieurs reprise d’improviser sur l’aile mais s’est souvent retrouver malchanceux sur ces centres : Sa performance défensive elle, n’a jamais failli." Denzel Dumfries 5 "Sur le but de Kostic, il commet une faute professionnelle très grave qui n'est surpassée que par la faute de Chiffi. Au lieu d'attaquer Kostic qui tire, il recule pour défendre le but, laissant la fenêtre de tir complètement à découvert. Une erreur impardonnable dans un match des plus modeste.s" Nicolò Barella 6,5 "Très nerveux après la faute professionnelle de Chiffi mais aussi le plus pro-positif : Il fait chauffer les gants de Szczesny et les meilleures actions passent systématiquement par ses pieds : Lorsqu’il se fait avertir pour protestation, il est substantiellement condamné à être remplacé, un remplacement qui arrive ponctuellement à l’heure de jeu." Marcelo Brozovic 5 "Une régie bien trop peu illuminée : Lent à la manœuvre, il ralenti le jeu constamment, jamais une intuition, jamais un fait de jeu digne du vrai Brozovic : C’était sa chance pour lui de se retrouver sous le feu des projecteurs, il n’en a pas profité." Hakan Çalhanoğlu 5,5 "Si lui aussi a des difficultés, cela veut dire que quelque chose ne tourne pas rond : Le fait de redevenir Mezzala ne l’a évidemment pas aidé, à tel point qu’il reculait volontiers en afin de récupérer des ballons pour reprendre le rôle de la Régie de l’équipe : Mais il ne s’est montré que trop peu précis avec le ballon, et lorsqu’il avait un bon ballon son contrôle lui fait défaut." Federico Dimarco 5,5 "Il est dans une situation physique précaire et cela se voit. Si Gosens avait été disponible, il n'aurait probablement pas joué dès le début. Il pousse très peu comparé à l’habitude, a un bon ballon mais le centre est trop profond. Il a besoin d'une pause, plus que d'autres" Romelu Lukaku 6 "Beaucoup plus vivace physiquement que lors de ses dernières sorties: Tient le ballon, garde les adversaires à distance, tente même quelques relances. Mais il reste un point négatif : il n'a pratiquement pas d'occasions. Et Lukaku est un joueur qui se crée aussi ses propres occasions. Il doit encore grandir, mais les signes sont encourageants." Lautaro Martinez 5 "Il ne réussit rien. Son engagement n'est pas en cause, mais sa performance est vraiment médiocre. Il est peut-être en manque d'oxygène, mais il arrive toujours en deuxième position et il n'y a pas une seule action qui mérite d'être soulignée." Changements Danilo D'Ambrosio 5 "Entre à la place de Dimarco dans un rôle qui n'est pas le sien. Et en fait il ne montre rien sauf se faire expulser à la fin du match." Henrik Mkhitaryan 5,5 "Lui non plus n'a pas de fulgurances notables. Quelques tirs de l'extérieur de la surface, mais très imprécis." Edin Dzeko non-côté Joaquin Correa non-côté Raul Bellanova non-côté Simone Inzaghi 5 "Il offre littéralement deux victoires à la Juventus. Chiffi est une honte mais il laisse l'équipe imploser, en arrêtant de jouer et en ne le mettant sur la voie de la bagarre quand face à Soulè, Fagioli et Gatti, il fallait garder la tête et se montrer plus attentif. Neuf défaites en championnat : un tableau de chasse inacceptable. La balançoire entre les résultats qui enlèvent cailloux dans la chaussure et les chutes tonitruantes continue. La place en Ligue des Champions est menacée." Daniele Chiffi via Tuttosport 5 "Sur les mains possibles de Rabiot, les images ne l'aident pas et c'est donc la décision prise sur le terrain qui prime d'où la colère des Nerazzurri. En plus de cela, il commet beaucoup d'autres maladresses entre les fautes non-données et les cartons non-sorti. Mauvaise soirée" ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  2. Stéphane Dalmat s'est livré suite à la qualification de l'Inter, pour les quarts de finale, de la Ligue des Champions! https://www.instagram.com/reel/CpzZMSXIRj3/?igshid=MDJmNzVkMjY%3D "Bonjour à tous Nous sommes en quart de finale et c’est fort mérité, fort fort mérité. Mais c’est vrai que l’on n’a pas vu une très belle partie , mais ça je m’en bats les c**lles. Le plus important c’est d’aller en quart de finale et l’équipe a superbement bien joué d’un point de vue tactique : La défense a été extraordinaire , le milieu de terrain, Barella, Çalhanoğlu Mkhitaryan, ils ont tous été très fort Je suis un peu déçu de Porto car Porto se devait d’attaquer, de marquer des buts pour se qualifier mais il n’a rien montré . Nous avons pu compter sur un très Grandissime Onana qui a sorti deux trois ballons en première mi-temps et ensuite plus rien : L’Inter l’a joué tranquille comme une rencontre du dimanche comment disent les vieux comme je le suis aussi (il rit) Mais ensuite, en seconde mi-temps, Porto a été un peu plus dangereux, mais nous n’avions pas peur, nous étions serein et l’Inter a eu quelques opportunité pour marquer, mais ce n’était pas son objectif car derrière, tous ont fait le job, tous ont se sont entraidés et ensuite nous sommes arrivés dans les cinq dernières minutes où Ouf, j’ai assez eu peur mais quand Onana fait une parade, t’en fais une seconde et que le ballon touche le poteau et ensuite la transversale, je n'avais pas peur à 100% car lorsque tu voyais la partie qu’avait fait l’Inter, tu savais que rien ne pouvait lui arriver. Et c’est comme ça que je veux voir l’Inter: Plus tard je vous parlerai du fond de jeux des autres matchs, mais pour ce match , elle a été parfaite , elle a 100% de mérite et je suis extrêmement content pour les joueurs, pour le Club pour les Tifosi. Jj’ai vu énormément de vidéos des Tifosi qui se baladaient déjà la veille à Porto et le jour du match, c’est dommage qu’un nombre de Tifosi n’a pas eu accès au Stade, mais la victoire est aussi pour eux. Je suis fier d’être un Tifoso de l’Inter, même quand ça va mal, et aussi ici quand ça va bien et j’attends tranquillement le tirage au sort pour les quarts de finale, ce sera autre chose mais c’est que du positif, ça faisait douze ans que l’Inter n’était plus arrivé à ce niveau, c’est si beau. Je vous souhaite une bonne journée, une très belle semaine et comme je vous le dis toujours : FORZA INTER" ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  3. Hakan Calhanoglu, Matteo Darmian et Henrikh Mkhitaryan commentent cette qualification pour les quarts. Le mvp de Porto-Inter Hakan Calhanoglu est le premier joueur qui se présente aux micros de Sky Sport. "Il y a tellement d'émotions, après tant d'années,nous sommes fiers de cet exploit. On a fait des erreurs mais on a fait un super boulot derrière, c'était très difficile mais je félicite l'équipe pour ce super boulot. Tout peut arriver en Ligue des champions, ce match redonne de la motivation. On a fait un super boulot, on n'a pas marqué mais nous avons obtenu la qualification. C'est normal de souffrir, c'était important de passer. La qualification signifie beaucoup, nous pouvons faire encore plus. C'était très difficile de défendre à la fin, nous avons eu beaucoup de mal, nous l'avons fait en nous défendant jusqu'à la dernière minute. Je dédie le titre de MVP à l'équipe." Juste après le match à Do Dragao, Matteo Darmian s'est confié à Mediaset. "Ce fut une soirée difficile mais maintenant il y a beaucoup de satisfaction. Nous savions que nous affronterions une équipe forte, nous avons tout donné et ramené à la maison un super résultat, à dédier à tout le groupe. On savait qu'il fallait faire attention à chaque ballon, ce n'était pas facile et on a tout donné. Cette qualification nous récompense des efforts consentis jusqu'à présent, il y a eu un manque de continuité dans le championnat surtout dans la dernière période avec les petites équipes mais ce soir doit nous donner une importante injection de confiance pour la suite. Ce soir on va fêter, à partir de demain on va commencer à penser à dimanche. Aucune préférence pour les quarts cat toutes les équipes sont tous difficiles à affronter. Je souhaite bonne chance à Naples, ce serait vraiment bien d'avoir trois Italiens en quart de finale de la Ligue des champions." Henrikh Mkhitaryan arrive sur Sky Sport pour commenter cette qualification pour les quarts de finale. "On savait que ce serait très dur, je tiens à féliciter mes coéquipiers car on s'est bien battus. Il faut se battre pour ce résultat, et jusqu'au bout, on le savait. C'était un super match et on fait de notre mieux dans ces matches mais il faut aussi gagner contre les petites équipes, on a l'obligation de le faire. J'espère que cette qualification nous donnera de l'élan pour les prochains matches. Pour la finale, on peut toujours rêver, on veut faire de notre mieux. C'est une belle opportunité, l'Inter n'avait pas atteint les quarts de finale depuis un certain temps. N'oublions pas cependant qu'il faut jouer avec la tête, nous aurons deux matches très difficiles devant nous mais nous ferons tout pour avancer." Traduction alex_j via FCInterNews.
  4. En effet, l’information émane de Sky Sport : Simone Inzaghi est prêt à "révolutionner" son équipe à quelques jours du déplacement dans le pays natal de José Mourinho. La première nouveauté est dans les buts : Samir Handanovic sera aligné à la place d’André Onana. En défense, sur le côté droit, l’idée est d’aligner Danilo D’Ambrosio afin de faire monter Matteo Darmian sur l’aile droite contrairement au graphique qui montre Denzel Dumfries occuper cette position. Francesco Acerbi complètera la défense, lui qui a pris le meilleur sur Stefan De Vrij, et Alessandro Bastoni. En ailier gauche, on retrouvera Robin Gosens avec un Federico Dimarco de retour sur le banc. On se dirige aussi vers une mise au repos d’Hakan Çalhanoğlu dans un milieu qui sera composé de Nicolò Barella, Marcelo Brozovic et Henrik Mkhitaryan. En attaque, s’ils sont trois pour deux postes, on devrait retrouver Romelu Lukaku et Lautaro Martinez en lieu et place d’Edin Dzeko. Préparez vos couches ! ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  5. Selon le média italien Gazzetta.it , qui rapporte que les relations entre le joueur de 30 ans et son club se sont considérablement rompues, et que la porte de sortie est très probable étant donné qu’il n’occupe plus un rôle de premier choix sur le terrain. Brozovic est entré dans la saison en cours comme l'un des joueurs les plus importants de l'équipe de l'Inter. Le Croate a signé une prolongation de contrat avec les Nerazzurri au printemps dernier, engageant son avenir plutôt que de partir en transfert gratuit l'été dernier. Brozovic était considéré comme pratiquement irremplaçable sur le terrain, alors qu'il était également considéré comme un leader de l'équipe sur et en dehors du terrain. Cependant, cette saison, Hakan Calhanoglu a émergé comme un regista de qualité de départ lors des longues absences pour blessure de Brozovic, tandis que Henrikh Mkhitaryan est devenu un titulaire régulier au milieu de terrain. Cela a laissé peu de place à Brozovic, qui même depuis son retour est loin d'être assuré de sa place au milieu de terrain. Hier soir face à Lecce, c'est une nouvelle fois Calhanoglu et Mkhitaryan qui ont débuté aux côtés de Nicolo Barella au centre du terrain. Le fait que, même si Brozovic avait porté le brassard de capitaine lors de la défaite de dimanche dernier à Bologne, c'est Lautaro Martinez qui a affronté les médias après le match n'est pas non plus passé inaperçu auprès des dirigeants de l'Inter. Le sentiment est que le joueur de 30 ans a rapidement perdu beaucoup de son importance pour l'équipe à plus d'un titre, et est maintenant considéré comme inutile. En dehors de cela, les relations de l'Inter avec le joueur et ses représentants n'ont pas été excellentes en raison de la gestion de ses blessures cette saison par son physiothérapeute personnel. En conséquence, rapporte la Gazzetta, tous les signes indiquent maintenant que Brozovic est sur le point de partir cet été. Pour ou contre un départ du Croate cet été? Traduction Lindt1908 Via SempreINTER
  6. C’est, en effet, l’analyse de la Repubblica et de la Gazzetta Dello Sport suite à la performance de l’Inter face à Lecce: "Cela ne devrait pas être une annonce, mais en ces-temps, c’est le cas : L’Inter a battu sans forcer Lecce à domicile, contredisant donc le paradoxe que les matchs difficiles deviennent faciles, alors que les matchs annoncés abordables lui sont sacrément compliqués." Analyse de la Repubblica "Les Nerazzurri ont fait le Job en prenant également trois points à l’Ac Milan battu par la Fiorentina, dans la course à la Ligue des Champions, et en répondant à l’exploit de la Lazio qui a battu le Napoli. La Logique simple d’Inzaghi a donc fonctionné : Il a mis sur le terrain Çalhanoğlu et non Brozovic, car le Turc est le Regista de cette année. Il a préféré Dzeko à Lukaku car en ce moment, il est le meilleur. Il a insisté pour faire jouer Mkhitaryan en qualité de titulaire, malgré une fatigue évidente, car il n’a personne d’autres dans son noyau présentant ses caractéristiques." "L’entraineur de Piacenza n’a pas laissé de place à l’improvisation, mais il a misé sur sa solide base surtout lorsque celle-ci tourne bien et que si pour une bonne partie du spectacle, son adversaire est endormi: A présent, pour rendre fier les Interiste, il faudra l’emporter vendredi prochain face à la Spezia et se qualifier en Ligue des Champions à Porto." Fail Brozo C’est la révélation de la Gazzetta Dello Sport: "Brozovic, en ce moment, n’est plus le Regista titulaire de l’équipe, ce poste, il se l’est vu soufflé par Çalhanoğlu, avec Mkhitaryan qui a toujours occupé le poste de titulaire en Mezzala en 2023, sans oublier Barella..." "Le Croate pour parvenir à reconquérir un maillot dans la formation initiale devra retrouver une condition physique perdue et la grinta qu’il avait lors de sa période dorée. A la Pinetina, nombreux, incluant ses équipiers, l’ont vu différent de celui qu’il était, plus sombre, moins souriant : A Bologne, alors qu’il portait le brassard de Capitaine, il a laissé expliquer le KO et la très mauvaise prestation devant les caméras à Lautaro : Il n’a pas pris ses responsabilités et la Direction en a pris note." "Avec le Club, et suite à la complicité de l’affaire entourant son kinésithérapeute, les rapports se sont détériorés et si une offre retenue comme valide sera présentée, il sera sacrifié: Le mieux est qu’elle se présente avant le 30 juin pour équilibrer les comptes pour la saison 2022-2023, mais il reste, avant, une saison à finir avec la sensation qu’il faut viser la seconde place, continuer le parcours en Ligue des Champions et remporter la Coupe d’Italie et pour y parvenir, Inzaghi aura besoin de la meilleure version de Brozovic, avant de se dire aurevoir après une histoire de huit années et demie, débutée le 1er février 2015 par une défaite à Sassuolo sur le score de 3-1 e 2015." Vu l’état de forme d’Hakan Çalhanoğlu et la possible arrivée de Franck Kessié, pensez-vous qu’il soit judicieux de vendre Marcelo Brozovic, fantomatique en club cette saison mais brillant en Coupe du Monde ? ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  7. Le génial Coluche commençait toujours ses blagues par "C'est l'histoire d'un mec...". Ici nous resterons plus sérieux, mais c'est quand même l'histoire d'un mec, un mec parmi tant d'autres, qui décide d'aller voir un match de coupe d'Europe dans l'incroyable Stadio Giuseppe Meazza. Suivez le guide! Arrivée en fin d'après-midi dans le quartier San Siro de Milan, l'organisation est carrée: Parcheggio Via Novara pour poser la voiture, il vous en coûtera maximum 10€ la soirée (contre 30€ aux abords du stade) puis 15-20minutes de marche. On est immédiatement dans l'ambiance, le parking est bleu et noir, les gens chantent le long du trajet et les premiers stands de merchandising viennent garnir les trottoirs. Cette promenade en guise d'échauffement, on tombe rapidement sur notre sainte Cathédrale, illuminée au crépuscule de la nuit qui tombe. Plus on s'approche, plus la nuit tombe, et plus cette enceinte est belle! Immense par sa taille, impressionnante par son histoire, comment ne pas rester subjugué devant cette architecture si iconique? Les grilles n'ouvrent qu'à 19h? Pas grave, c'est l'occasion de flâner sur l'allée Merchandising qui devance le stade (et d'acheter une veste pour ma part ), mais surtout de partager un verre avec mes compagnons d'un soir: @Jazzi, @lepacha31et son fils. Quel plaisir de rencontrer des membres de ce beau forum autrement que derrière notre clavier! 19h00, les grilles s'ouvrent! L'organisation est parfaite et les nombreux spectateurs entrent en un temps record, y compris les 5.000 supporters portugais qui circulent en toute sécurité. Et c'est parti pour la randonnée dans cet incroyable labyrinthe. Les Loges VIP, l'entrée est belle mais ce n'est malheureusement pas par là. Ces longs colimaçons grimpent jusqu'aux 3e anneaux, pas par là non plus. Ces écharpes blanches et bleues, définitivement pas par là! Ca y est, 2e anneau rouge, secteur 224. Le scan de mon billet confirme que je suis au bon endroit, il ne reste plus qu'à gravir ces interminables escaliers. On y est, tout est bien indiqué, les Stadiers sont là au besoin et on se retrouve dans un univers très familial, où femmes et enfants accompagnent sans souci les messieurs les plus passionnés. On est très loin de l'époque où des scooters descendaient les tribunes. Le seul engin pyrotechnique sera d'ailleurs déployé dans la tribune visiteurs. Le stade se remplit progressivement, et l'échauffement commence. Le hasard a voulu que les Portugais soient les premiers à fouler la pelouse, Pepe en tête. L'occasion parfaite pour voir à quel point ce stade sait donner de la voix. Les sifflements viennent couvrir la musique d'ambiance. 20h45: Le stade est comble, le Tifo se déploie. Il est aussi magnifique que censé. Le message est clair: Nous [Supporters] devons toujours être la lumière qui guidera le club malgré ses difficultés, et ça doit passer par notre amour [notre soutien]. Outre le message de la Curva, chaque siège dispose d'un carré de couleur noire ou bleue à afficher. La machine est en marche, le stade devient Nerazzurro en quelques secondes et il faut vraiment avoir un œil aiguisé pour encore distinguer du blanc dans cette arène... Cerise sur le Panettone: cette douce mélodie du Mercredi soir qui vient envahir les enceintes. The Champions.mp4 Chair de poule, larmes aux yeux, bouche bée,... Je vous laisse choisir votre camp. Personnellement j'ai encore les 3 en même temps à la relecture de cet extrait (que je connais pourtant par cœur). Si moi piètre amateur assis je suis galvanisé, je n'ose imaginer ce qu'il se passe dans la tête des professionnels sur le terrain. C'est parti! Le match commence. Je ne m'attarderai pas sur le résumé du match et des performances individuelles, puisque nos rédacteurs ont déjà merveilleusement fait le boulot . Je peux néanmoins vous documenter quelques Off, ce qu'on n'entends pas, ou ce qu'on ne voit pas à la télé car la caméra s'attarde ailleurs (faute, replay, joueur au sol, gros plan,...). La vraie définition du verbe Supporter: Le sentiment qui saute immédiatement aux oreilles est la bienveillance infinie de la part des supporters. Chaque geste est applaudi, même une course loupée, même un ballon dégagé en touche, même un tir qui finit dans le 2e anneau, même un dribble qui ne donne rien,... Ils sont derrière les joueurs quoi qu'il arrive, comme si c'étaient leurs propres enfants, toujours! Aucun mal n'est dit de nos joueurs, l'unique intention est de motiver, rien d'autre. Est-ce ça "être un phare"? En tout cas cette attitude est assez différente de certains Topics Live sur notre cher forum, et elle contribue à maintenir un niveau d'excitation maximale (dans un match avec pourtant des temps faibles). En revanche, nos adversaires et l'arbitre (qui nous était très défavorable) ont subi la colère des tribunes, parfois avec un soupçon de mauvaise foi plutôt amusant. Les premiers soupirs côté Inter sont apparus après 55min, quand nous avons vraiment accumulé les maladresses. C'est qui le patron: J'ai été véritablement bluffé par ce qu'il s'est passé sur notre ligne défensive hors-caméra. Acerbi, en plus d'être intraitable en gagnant tous ses duels dans le jeu, agit en véritable patron de la défense (homme du match selon moi). A chaque arrêt de jeu, il interagit, motive et conseille ses coéquipiers et/ou Onana. A l'inverse, Skriniar était comme un jeune enfant, perdu et ne sachant pas quoi faire. J'ai surpris Acerbi lui dire au moins 10 fois ce qu'il aurait du faire (monter, presser, écarter, redescendre, arrêter de reculer,...), comme s'il parlait à un débutant. J'ai trouvé ça très étrange, venant de notre défenseur le plus ancien au club, ex-capitaine, et soi-disant "parmi les meilleurs d'Europe". Le travailleur de l'ombre: Similaire au cas Acerbi, à un degré moindre, j'ai trouvé Mkhitaryan très intéressant pour son jeu sans ballon. Pendant que le jeu se fait sur un autre secteur, Mkhitaryan se replace énormément. Le but est de presser, couper les possibilités de passes offensives et freiner le départ des contre-attaques portugaises. Il a tenu avec brio un rôle ingrat, prenant des coups (et en distribuant quelques uns), faisant les fautes tactiques et récupérant des ballons précieux. Tout cela ne s'est clairement pas ressenti "face-caméra", où il a alterné le bon et le moins bon lors de la construction avec le ballon. Je garde en tête ma très bonne opinion de lui "en direct", alors qu'effectivement il semble "quelconque" lorsque j'ai revu le match à la TV. Toujours faire confiance: Voyant tous les acteurs, y compris Inzaghi, à 100% du temps; l'on sent un climat de sérénité et de confiance chez les supporters. Certes le stress augmente au fur et à mesure des actions loupées, mais la compréhension des décisions est bien plus grande. Par exemple, les tifosi très bavards derrière moi ont immédiatement compris que l'échauffement de D'ambrosio avec Dumfries était un bluff pour perturber Conceiçao dans ses choix tactiques. On est loin du haut de cœur lorsque l'ont voit le visage de Danilo en gros plan sur notre téléviseur. Selon moi, la meilleure action du match reste le quadruple arrêt Skriniar + Onana + Onana + Barella. D'abord parce qu'elle a eu lieu sous mes yeux, ensuite parce qu'elle vaut largement un but, enfin parce qu'elle nous a instantanément chargé en adrénaline. Cette action fut célébrée comme un but et applaudie par tout le stade (y compris quelques portugais) pendant des dizaines de secondes... frissons garantis. Vient enfin la délivrance, avec ce but tardif de Romelu Lukaku! Le stade explose, on devient sourd, on se prends dans les bras entre inconnus, on saute de joie partout, et le nom de Romeluuuuu LU-KA-KUUU fait une dizaine de va-et-vient entre le Speaker et le public... Incroyable. Le match se termine sous les meilleurs chants interisti, on voit les joueurs faire un tour de parade pour féliciter le public et revoit le résumé du match sur le grand écran. Il est malheureusement temps de redescendre, tant en ambiance que les nombreuses marches d'escaliers. Un débrief détaillé jusqu'au parking avec les acolytes du jour et il est déjà l'heure de se dire au revoir, ou plutôt "à la prochaine" J'espère que vous aurez eu autant de plaisir à lire ce récit, que moi à le revivre pour le rédiger. Je ne peux que vous recommander d'aller voir l'Inter lorsque vous en aurez l'occasion, ou de provoquer cette occasion ; qui plus est dans notre Meazza. Forza Inter, Amala Récit par @QG1989. Le texte, les photos et vidéos restent la propriété de QG1989 et Internazionale.fr©
  8. Notre légende Beppe Bergomi pense que Simone Inzaghi fait du bon travail dans une situation où les Nerazzurri sont obligés de vendre un grand joueur chaque été, a-t-il déclaré en exclusivité à SempreInter. Sur le dossier Skriniar. "Nous devons revenir à l'été dernier. Malheureusement chaque été, l'Inter doit sacrifier un top player, on l'a vu avec Lukaku, Hakimi et Perisic. L'été dernier, ils ont choisi Skriniar. Au lieu de cela, le joueur est resté et nous savons ce qui s'est passé. Nous devons partir de ce point. J'ai connu Milan, c'est un bon garçon, timide, sérieux. C'est un professionnel qui a pris sa décision. Peut-être qu'il aurait pu mieux le communiquer, même si souvent ce n'est pas facile de le faire même pour ces joueurs." "Je pense que nous devons tirer une conclusion de ce cas et d'autres cas similaires : la Serie A est un championnat que les joueurs traversent, et n'est pas la destination finale. En ce qui concerne les joueurs d'un club et la bandiera, le monde a changé par rapport au passé. Nous devons accepter cela. Nul doute que Skriniar va tout donner d'ici la fin de la saison. Les gens doivent comprendre cela et le laisser tranquille. Il était nerveux lors du match contre Empoli et cela a coûté le match à l'Inter, ce sont des choses qui peuvent arriver." Milan Skrinar a-t-il trahi l'Inter ? "Il a été clair avec ses coéquipiers, leur a communiqué sa décision, c'est le plus important. Je n'aime pas parler de relations dont je ne suis pas au courant. Je dirai seulement que je suis triste qu'il parte, c'est un grand joueur, qui a bien représenté l'Inter ces dernières années. N'oublions pas d'autres cas similaires dans d'autres clubs. Nous devons nous rappeler que les choses ne sont plus comme elles étaient dans les années 90 et au début des années 2000. Aujourd'hui, ces acteurs trouvent d'autres solutions. Peut-être qu'ils auraient pu trouver un accord, similaire à celui que le Torino a trouvé avec Bremer. Là, il a signé une prolongation de contrat d'un an. Ils auraient pu mettre en place une clause libératoire minimale. Mais ensuite, il y a des agents qui avaient peut-être déjà accepté toutes les conditions et à ce moment-là, vous ne signez pas de prolongations de contrat et cela devient difficile." Critiques adressées au PDG du club, Beppe Marotta "On a vu qu'il y avait une ligne claire décidée par le club. Je ne vois pas cela comme une erreur, ils ont cherché à gérer la situation mais ils n'ont pas pu. Mais ce n'est pas une erreur. Il faut accepter ces situations contingentes, avec lesquelles l'Inter a dû vivre ces trois dernières années. Le club ne peut pas dépenser sur le marché des transferts mais reste compétitive, remporte des trophées et passe par la phase de groupes de la Ligue des champions. Bien sûr, ils sont loin derrière Napoli qui a fait quelque chose d'extraordinaire. Dans cette optique, un match nul contre la Sampdoria, par exemple, n'est pas suffisant. Mais pour le reste, que pouvez-vous dire à cette équipe ? Ces dernières années, c'est une équipe qui s'est appauvrie mais qui parvient toujours à rester compétitive et c'est un signe de mérite." "Si nous revenons au moment où l'Inter a remporté le titre de Serie A et que vous imaginez que vous pourriez ajouter un ou deux joueurs, vous auriez bien sûr pu donner une continuité. Mais la continuité est donnée, vous avez remporté la Coppa Italia, la Supercoppa Italiana, mais bien sûr vous auriez pu être encore plus compétitif, cela ne fait aucun doute. Des joueurs comme Acerbi, Dzeko et Mkhitaryan sont des joueurs forts, ils vous donnent beaucoup maintenant." La question du Suning "Étant donné que je ne connais pas toutes les situations internes, cela me rend inconfortale. Je comprends les difficultés auxquelles ils ont été confrontés, de la pandémie au respect des règles du fair-play financier de l'UEFA. Cependant, vous devez toujours offrir un rêve aux fans, mais souvent, les fans ont du mal à comprendre la situation actuelle et cela me rend désolé. Je ne veux pas entrer dans les problèmes auxquels le président du club est confronté. Il est évident pour tout le monde de voir que la propriété connaît des difficultés mais essaie de les gérer de la meilleure façon possible." "Nous sommes déjà à un certain niveau, alors tout le monde veut toujours quelque chose de plus. Mais encore une fois, je le répète, nous avons vu passer 9-10 ans sans rien gagner. Et maintenant, les Nerazzurri gagnent, il y a une continuité en ce sens, c'est ce qui est le plus important. Ensuite, si Suning décide de ne plus continuer et de vendre le club pour le bien de l'Inter, alors ce n'est pas grave. En ce moment, les choses se passent comme elles sont et nous devons les laisser faire." Le verdict sur Simone Inzaghi "Souvent, d'autres entraîneurs sont félicités, puis vivent des moments difficiles, mais un match suffit et ils recommencent à être félicités. Simone est toujours sous surveillance. À mon avis, l'Inter joue bien au football, l'équipe joue bien, elle ne fait pas d'erreurs dans les matchs de coupe. Il y a toujours cette statistique sur le dribble qui me fait réfléchir, la statistique qui dit que l'Inter est la deuxième équipe en bas de tableau pour les dribbles réalisés en Serie A et en Ligue des champions. Savez-vous ce que cela signifie dans le football moderne ? Le changement de rythme et d'accélération est fondamental. L'Inter d'aujourd'hui est toujours en bonne position pour bien faire, pour faire avancer de nombreux joueurs au-delà des lignes avec le ballon et pour jouer un type de football spécifique. Face à des équipes qui ferment, cela devient beaucoup plus difficile. Inzaghi fait un excellent travail. Beaucoup disent que l'Inter devrait changer d'entraîneur mais cette équipe a été construite pour jouer comme ça. Il est très difficile d'imaginer cette équipe sur le terrain jouer d'une manière différente, et aussi mettre en place une défense. Mais les ailiers ? Qui joue en dehors des défenseurs centraux. Je ne veux pas le défendre (Inzaghi, ndlr) à tout prix, mais à mon avis, Inzaghi fait un excellent travail." L'Inter manque de courage pour donner une chance aux jeunes ? "Kvaratskhelia, dans ce sens, n'était pas un joueur inconnu. Je parle aux scouts de l'Inter et on m'a dit que l'Inter surveillait Kim Min-jae au cas où Milan Skriniar aurait été vendu l'été dernier. Ils connaissaient également Kvaratskhelia. Mais ensuite, il faut les mettre dans un système de jeu, avec un 3-5-2, il deviendrait trop difficile de les faire jouer dans ce système. L'Inter connaît et connaît tous les joueurs, il faut souvent avoir le courage de faire certains types d'investissements. Le football italien doit avoir des idées et être prêt à prendre des risques sur certains joueurs qui n'ont pas encore explosé mais où l'on peut voir du potentiel. C'est vrai pour l'Inter comme pour toutes les équipes italiennes. "Si quelqu'un comme Kvaratskhelia s'était adapté à un 3-5-2 ? Je suis d'accord. Mais on revient toujours là-dessus. Il y a beaucoup de bons joueurs en Europe. Maintenant que vous savez que Skriniar s'en va, il faut être prêt et bien faire pour le remplacer. Vous devez être bon pour identifier le bon joueur avec les bonnes caractéristiques, qui est rapide et bon pour aller de l'avant. Parfois, et je parle ici de manière générale, on essaie de s'accrocher aux joueurs qui finissent par compliquer les transactions sur le marché des transferts. Mais vous devez être prêt à récupérer votre argent et à trouver immédiatement un remplaçant." Traduction alex_j via Sempreinter.
  9. Interviewé par Amazon Prime, Youri Djorkaeff, le Snake, s'est livré sur son aventure à l'Inter et sur l'équipe de Simone Inzaghi: "Mon but face à la Roma s'est retrouvé sur les cartes d'abonnement, Moratti voulait en faire une statue mais le Giuseppe Meazza n'appartenait pas à l'Inter." "Il y avait des gens qui aimaient le Calcio à ce moment-là et nous aimions aller sur le terrain ensemble, c'était la plus grande chose que nous pouvions offrir aux Tifosi: Le premier jour chez Moratti, il m'a dit de laisser gérer le contrat à ses hommes et nous sommes allés manger: Nous avons mangé et parlé de football." "Après mon premier match au Meazza, je suis rentré à la maison et je n'ai pas pu dormir: Il y avait les Tifosi, le Stade, la chanson Youri Youri Djorkaeff, que j'ai aussi chanté à tel point que ma femme me disait que: "ça suffit, je veux dormir!" Mes joueurs préférés de l'Inter ? "J'aime Barella et Dimarco. Ils sont jeunes et représentent l'avenir de l'Inter et de l'équipe nationale." Mkhitaryan ? "C'est mon Frère arménien. Je l'ai rencontré, j'espère lui avoir donné de ma force. Il a fait beaucoup pour le football mondial et aussi pour le football arménien". ®Antony Gilles - Internazionale.fr
  10. Après le triple coup de sifflet au Meazza et trois points en or glanés, Simone Inzaghi a commenté la victoire 3-1 de l’Inter contre l'Udinese devant les caméras de DAZN, Inter TV et Sky Sports. Était-ce exactement le match auquel vous vous attendiez ou l'avez-vous mieux géré que prévu ? "Oui, nous connaissions les difficultés. L'Udinese est physique, technique, ils nous ont mis en grande difficulté ; nous en avons payé le prix au match aller. L'équipe a fait une excellente première mi-temps malgré le but pris sur un ballon sortant. Mais je suis satisfait, c'est une victoire importante qui nous permet de continuer." La célébration après le 2-1 représente la cohésion de ce groupe. "Absolument, les garçons s'entendent bien et travaillent bien. Ils m'aident dans mes choix. Ce soir, tout le monde a donné des réponses." A quel point avez-vous du mal à choisir les attaquants ? "J'espère avoir le plus d'alternatives possibles. Nous avons joué avec beaucoup d’absences et nous avons fait d'excellentes choses, notamment en Europe. Avec Brozovic et Lukaku les choix se sont multipliés, puis un entraîneur doit choisir de temps en temps." Lukaku est si difficile à laisser de côté. "C'est difficile d'oublier Dzeko et Lautaro aussi. C'est le travail du staff, de choisir le meilleur. Puis à la fin du match on va avec les 'si', mais il faut d'abord choisir avec sérénité." À quel point est-ce important d'avoir récupéré Romelu Lukaku ? "Nous avons besoin de tout le monde, celui qui est entré a fait un excellent travail. Compte tenu de l'engagement qu'ils ont mis, tout le monde doit jouer, puis l'entraîneur doit choisir. Aujourd'hui, j'ai choisi avec une grande tranquillité d'esprit." Qui donne plus de garanties entre Dzeko et Lukaku ? "Après les matches, il est difficile de faire des pronostics. Aujourd'hui, c'était un match dans lequel nous avons dépensé physiquement, l'Udinese nous a fait lutter. Il reste deux jours et demi à Porto, nous verrons et nous ferons des choix pour le bien de l'Inter." Lautaro n'était pas complètement satisfait à la fin du match, vous avez réussi à créer en lui une attente de perfection. "C'est vrai, il aurait pu marquer encore plus tôt. Il se donne toujours à fond, c'est un leader et il doit toujours travailler comme il le fait." Avec le retour de Brozovic, Calhanoglu restera-t-il un meneur de jeu pour vous ou deviendra-t-il milieu de terrain ? "Il peut faire les deux parce qu'il a de la qualité. Je ne savais pas s'il fallait retirer Brozo ou Mkhitaryan qui a beaucoup de matchs consécutifs dans les jambes, alors que Brozo est revenu aujourd'hui. Essayons de les amener au mieux, Calha peut jouer milieu de terrain et a fait des choses extraordinaires en tant que meneur donc pas de problème." Aujourd'hui de nombreuses erreurs techniques liées au terrain. Est-ce quelque chose qui vous touche ? "C'est clair que c'est quelque chose qui nous dérange en ce moment, mon club voulait régler ça au plus vite mais on n'a pas le temps parce qu'on joue tous les deux jours et demi entre nous et Milan. L'année dernière il y avait ce problème également. Espérons que le terrain puisse s'améliorer car nous et Milan en avons besoin." Mkhitaryan a déclaré "nous avons montré au monde entier qu'il ne faut pas plaisanter pas avec nous". De quel message s'agit-il ? "Message important d'un grand professionnel qui va très bien, il nous donne un gros coup de main. Il joue sans interruption depuis octobre et grandit de jour en jour. Il doit continuer comme tout le monde. Le laisser jouer en 10 ? Parfois cela pourrait arriver, nous avons essayé cette chose à Malte au camp d'entraînement et là aussi il a très bien réussi." Handanovic sur le terrain pour le remettre en condition ? "Les choix sont des choix. Il a eu quelques petits problèmes après la retraite à Malte et je ne l'avais pas sous la main. Il va très bien, c'est un gardien important et nous avons aussi beaucoup besoin de lui pour laisser souffler Onana qui enchaîne. Heureux pour Samir mais nous n'avions aucun doute." Le discours des choix concerne-t-il aussi Skriniar ? "La dépense d'énergie est toujours là, en tant que troisième arrière droit j'en ai trois en parfaite forme, lui, Darmian et D'Ambrosio, qui me laisse des choix à chaque match." L'Inter arrivera-t-elle en Ligue des champions comme vous le souhaitez ? "On va bien, on a récupéré des joueurs importants qui m'aident dans les rotations. On attend ce match avec confiance, avec un adversaire de qualité qui a été entraîné par le même entraîneur pendant de nombreuses années. On connaît les difficultés de ce match, nous le préparerons de la meilleure façon possible." Traduction alex_j via FCInterNews.
  11. La Honte Skriniar aura servi de leçon, preuve en est la déclaration de Gianluca Di Marzio qui nous informe que l’Inter a changé son fusil d’épaule dans le cadre des renouvellements: "Après les déclarations de son agent, c’est désormais acté que Milan Skriniar ne prolongera pas et qu’il partira plus que probablement au Paris-Saint-Germain en fin de saison." "Mais au Siège de l’Inter, la Direction travaille sur d’autres renouvellements à présent : Matteo Darmian a trouvé un accord avec l’équipe milanaise pour un renouvellement qui se veut biennal. Dans les semaines à venir, ils vont s’occuper des renouvellements d’Edin Dzeko et d’Henrik Mkhitaryan. Il y aura ensuite le raisonnement à tenir en regard des prêts de Romelu Lukaku et Francesco Acerbi pour la saison à venir" "Pour Alessandro Bastoni qui est en fin de contrat en juin 2024 des premiers contacts ont été établi et il y a une volonté réciproque pour continuer l’aventure ensemble, une situation en tout point similaire pour Hakan Çalhanoğlu" ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  12. Simone Inzaghi s’est livré suite à la victoire ô combien compliquée de l'Inter sur Parme, en huitième de finale de la Coupe d'Italie: À Inter TV "Je savais que cette rencontre pourrait nous créer quelques problèmes. Selon moi, nous avons réalisé une très discrète première période et leur "Eurogol" nous a pénalisé. Ensuite, nous avons été lucide sans jamais perdre le fil et nous sommes revenu dans le match." Acerbi ? "Il a été bon, comme tous les joueurs qui sont rentrés et ceux que j’ai aligné en début de match. Tous m’ont apporté d’excellentes réponse: Après une trêve aussi longue que celle que nous avons connu, nous avons besoin de tout le monde. Nous étions mieux en place en phase de possession et j’ai demandé bien plus aux cinq entrants: Nous aurions dû égaliser avant, et nous avons été bon pour ne plus rien leur concéder et ce malgré le fait qu’ils avaient aligné sur le terrain trois attaquants." A Sport Mediaset "Je m’attarde sur ce qui s’est passé ce soir, pour samedi, tout le monde a bien vu ce qu’il s’est passé : C’était une rencontre difficile que nous avons joué discrètement, nous aurions pu bien faire circuler le ballon et mieux nous positionner. Ensuite, nous avons pris un but sur leur seul tir cadré, mais j’ai eu de très bons retoursde ceux qui ont le moins de temps de jeu. J’aurais préféré éviter de jouer 120 minutes, mais je savais que ce serait un match compliqué comme celui vécu face à Empoli, nous allons de l’avant avec confiance." Il y a tant d’absences, allez-vous les récupérer pour samedi et pour la Super Coupe ? "Les changements sont toujours impactés par le résultat, avant c’est toujours facile pour tout le monde. Ceux qui sont montés ont fait de très belles choses et ceux qui ont le moins joués m’ont apportés d’excellentes réponses. Nous devons continuer de la sorte, notre parcours en Ligue des Champions a été fantastiques tandis que nous avons perdus quelques points en championnat. Nous avons tant de matchs à disputer, les rotations vont s’avérer importantissime vu le nombre de matchs rapprochés : J'aurais besoin de tout le monde." Vu vos remplacements aujourd’hui, les titulaires auront souffert un peu plus d’une heure... "Concernant les changements, ça dépend toujours du résultat, seul ce dernier compte finalement. Ceux qui sont montés ont fait de belles choses et ceux qui avaient le moins joués m’ont apporté d’excellentes réponses : En Ligue des Champions, nous sommes allé au-delà des projections et il reste tant de matchs à disputer en championnat : Les rotations seront donc très importantes." Quel est le soucis avec Lukaku ? "Romelu est clairement importantissime pour nous, il est hélas confronté à une blessure musculaire et il a du mal à la gérer. Il s’était bien entrainé et samedi son inflammation était limité à son genou. Je l’ai laissé au repos et il le sera aussi demain, j’évaluerai quotidiennement comment faire pour le faire revenir au meilleur de sa forme : C’est une très grande valeur ajoutée, s’il avait été bien il aurait aussi pu nous apporter ces quelques points qui nous manquent en championnat : Par chance, nous n’avons pas ressenti son absence en Ligue des Champions." Vérone est en forme, à quel point il était important pour vous de jouer sur les ailes comme cela s’est passé ce soir avec Dimarco ? "Avoir de l’amplitude est fondamental dans tous nos matchs et nous cherchons à l’obtenir tout en récupérant nos forces : Avec Barella et Calha forfaits, le système de rotation était limité: Mkhitaryan a disputé son troisième match de la semaine. Je suis satisfait que nous sommes parvenus à remonter au score, cela m’a fait plaisir : Nous sommes l’Inter et nous tenons à aller de l’avant dans toutes les compétions que nous avons rempoté l’année dernière." En conférence de presse "Je dois revoir le match contre Empoli l'année dernière, mais je crois que ce soir nous avons plus souffert. Nous avons trouvé une équipe qui attendait de jouer ce match depuis longtemps. Nous avons dû faire circuler le ballon plus rapidement et nous nous sommes pris un but européen." "L'équipe, malgré le fait qu’il y ait eu tant de changement n’a pas été déstabilisée et est toujours restée concentrée et lucide: C'est de bon augure. Après une si longue trêve, la condition physique doit être améliorée. Nous parlons d'une équipe de l'Inter qui a battu Naples, et vu ce qu’il s’est passé à Monza, je considère que nous parlons d’une Inter qui a pratiquement gagné ses trois matchs en une semaine, avec un système de rotation réduit." "Nous devons améliorer notre condition physique, et j’espère récupérer les joueurs très importants que je n'ai jamais eus à ma disposition. Nous savons que nous sommes en retard en championnat, mais il reste encore tant de matchs à disputer et ils seront nombreux à être rapprochés. J’aurai besoin de tout mon effectif, de tout le monde." Dumfries? "Il revient d’une Coupe du Monde où il a disputé cinq matchs, il est fatigué : C’est un garçon généreux qui travaille pour revenir au top de sa forme. Il y a aussi des joueurs qui sont revenus en excellente condition, comme Lautaro et d'autres comme Denzel qui doivent s'améliorer. Il le sait et il travaille au mieux de ses capacités. C'est à moi que revient la décision de le faire jouer." Les chants pour Skriniar ? "Il s'échauffait et il sait qu’il est entouré de tifosi qui l’aime : Je le vois serein. Cela fait maintenant quelques années que l’Inter se qualifie en prolongation. Nous tenons à cette compétition, l'année dernière nous avons gagné ce trophée et il est représenté sur notre maillot." Est-ce mieux de se qualifier pour la Ligue des Champions ou de gagner des titres ? "Il faut avoir de la chance pour faire les deux. Je pense à la finale que nous avons gagnée en prolongation contre la Juventus, elle était magnifique. Ce soir c’était également une excellente soirée, je dédie la victoire aux Tifosi." ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  13. Pour son premier match de 2023, l'Inter a battu le Napoli jusque là invaincu en Serie A. Les feux d'artifice tirés pour marquer la nouvelle année sont noirs et bleus : beaux, spectaculaires et puissants. Un unique but a suffi pour gagner trois points importants devant une foule en délire. L'Inter 2023 a pris le meilleur des départs avec tous les bons ingrédients parfaitement mélangés: une équipe en forme, un bon football, une action de but et un but de Dzeko pour décider du match et infliger au Napoli à première défaite en championnat. La soirée s'est ouverte avec le président Steven Zhang présentant une plaque commémorative au vainqueur de la Coupe du monde Lautaro; il y a également eu une minute de silence en l'honneur du grand Pelé. C'était l'ouverture d'un match très attendu, avec 94 minutes d'action à haute intensité, scellées par la tête de Dzeko, une excellente performance de Barella, Acerbi et Calhanoglu, et le tout sécurisé par le bel arrêt d'Onana en fin de match. L'Inter dépasse désormais la Lazio, se hissant à la quatrième place du classement, et compte désormais huit points de retard sur le leader Napoli. 75.470 étaient présents dans un Meazza à guichets fermés, tous avides de football, tous avides de voir leur Inter bien-aimée après près de deux mois depuis le dernier match officiel. Et un affrontement aussi important pour commencer 2023 a commencé de la plus belle des manières avec l'Inter sortant rapidement des pièges napolitains, mais sans avoir de la chance devant le but. Les cinq premières minutes ont vu les visiteurs immédiatement sur leurs fesses: Kim a dû se jeter pour revenir pour arrêter Lukaku, puis le même Big Rom a mis Dzeko qui n'a pas pu obtenir une touche gagnante, avant que Dimarco ne rate un but à bout portant. Le match a ensuite connu une accalmie pendant les 25 minutes de jeu suivantes alors que les deux équipes cherchaient à prendre le contrôle. La pression des Nerazzurri et leur récupération haute du ballon ont constamment mis Napoli sous pression. Un Napoli qui a eu du mal à jouer le ballon dans la moitié de terrain de l'Inter et s'est souvent retrouvé en difficulté. Après 26 minutes, l'occasion la plus nette est venue lorsque Lukaku a joué un ballon de la droite, Dzeko l'a habilement renvoyé à Darmian, mais sa frappe du pied droit a survolé la barre. C'était un beau mouvement mais pas de produit final. Geste également vu à la fin de la mi-temps mais avec le même résultat final, après que Lukaku ait tiré après la passe du talon de Barella. C'était toute l'Inter, avec seulement le but manquant, poussée par un soutien vocal et exemplaire à domicile. Les Nerazzurri forment une équipe et jouent en équipe, dans toutes les situations. Lorsque Calhanoglu est revenu défendre pour arrêter Osimhen, il était clair que les efforts des joueurs d'Inzaghi devaient être récompensés, et ils l'ont étés. Ceci grâce à un beau jeu de construction magistral : la belle passe de Mkhitaryan à Dimarco, son centre était parfait et a trouvé la tête de Dzeko, battant Meret pour rendre la foule locale folle. Le rugissement de San Siro a rempli le cœur de tout le monde. Napoli devait réagir et sortir et attaquer, mais Kvaratskhelia n'a pas pu se libérer de Skriniar de toute la soirée. Au milieu, Acerbi a joué un match parfait annulant totalement Osimhen. Onana n'avait presque rien à faire de tout le match, car le dernier quart d'heure a vu de nombreux changements se présenter. Le jeu est devenu décousu, celui des batailles gagnantes, des nerfs et des prières. Napoli a fracassé un tir dans la poitrine d'Onana dans la dernière minute du temps réglementaire, avant qu'il ne réagisse bien et repousse une frappe de Raspadori d'un bras droit inflexible, leur seule vraie chance du match. Après quatre minutes de temps d'arrêt, avec Barella se distinguant par son énergie et sa détermination à marquer les trois points, le Meazza a accueilli le début de la nouvelle année avec une grosse victoire, avec la joie d'un groupe spécial de joueurs, mais avec la conscience que la route est encore longue et ardue. Prochain arrêt, Monza. INTER-NAPLES 1-0 Buteur : 56' Dzeko (I) INTER (3-5-2) : 24 Onana ; 37 Skriniar, 15 Acerbi, 95 Bastoni ; 36 Darmian, 23 Barella, 20 Calhanoglu, 22 Mkhitaryan, 32 Dimarco ; 9 Dzeko, 90 Lukaku. Remplaçants : 1 Handanovic, 21 Cordaz, 2 Dumfries, 5 Gagliardini, 6 De Vrij, 8 Gosens, 10 Lautaro, 11 Correa, 12 Bellanova, 14 Asllani, 33 D'Ambrosio, 45 Carboni, 46 Zanotti. Entraîneur principal : Simone Inzaghi. NAPLES (4-3-3) : 1Meret ; 22 Di Lorenzo, 13 Rrahmani, 3 Kim, 17 Olivera ; 99 Anguissa, 68 Lobotka, 20 Zielinski; 21 Politano, 9 Osimhen, 77 Kvaratskhelia. Remplaçants : 12 Marfella , 30 Sirigu, 4 Demme, 5 Juan Jesus, 6 Mario Rui, 7 Elmas, 11 Lozano, 18 Simeone, 23 Zerbin, 31 Zedadka, 55 Ostigard, 59 Zanoli, 81 Raspadori, 91 Ndombele. Entraîneur principal : Luciano Spalletti. Arbitre : Sozza. Arbitres assistants : Meli, Peretti. Quatrième arbitre : Piccinini. VAR : Fabbri. Assistant VAR : Aureliano. Traduction alex_j vis la site officiel.
  14. En effet, c’est l’information relayée par la Gazzetta Dello Sport : Lautaro Martinez étant plus que certainement en vacances Post-Mondial, l’Inter devrait aligner une attaque inédite pour la réception du Napoli Romelu & Edin "Face à la Reggina, nous avons vu ce binôme avec Dzeko, soit une répétition générale de ce qui pourrait se passer dans une douzaine de jours face au Napoli : Les deux joueurs ont souvent échangé leurs positions : Avec Lukaku fixé au centre-droit mais qui proposait une alternance assez continue. Et il est juste de souligner le côté positif et le côté négatif de ce nouveau d’attaquant récemment formé : Le côté positif est la quantité de balles de but remarquables arrivant la plupart du temps à Dzeko, lui qui les a presque toutes gâchées. Mais une telle double présence dans la surface pourrait poser des problèmes aux défenses adverses." "L’aspect négatif est que l’on ressent que les deux doivent se trouver, ils dialoguaient rarement, se sont peu cherchés : Tout doit être construit. Mais entre les deux, il parait comme logique que ce soit le Bosniaque qui baisse son rayon d'action pour lier le jeu avec le milieu de terrain. En pratique, aucun des ballons de Dzeko ne cherchait Lukaku. Et Si ce déplacement a servi à améliorer la condition physique de Lukaku, il a également donné à ce duo une chance d'apprendre à se connaître, et ce même si le processus est encore long, comme en témoigne la performance à Reggio." "Finalement, chacun a inscrit un but et il semble évident que se duo sera répété dans six jours contre Sassuolo, lors du dernier match amical avant la reprise de la Serie A et la rencontre face au Napoli. Il est également bon de noter que l’alternative Henrik Mkhitaryan, en tant que deuxième attaquant, n'a pas été testé ne serait-ce qu'une minute hier: Simone Inzaghi voulait vraiment voir autre chose" Croyez-vous que ce duo puisse fonctionner ou est-il totalement incompatible ? ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  15. Deuxième match amical et deuxième victoire. L'Inter a battu RB Salzbourg 4-0. Les quatre buts de l'Inter lors du deuxième match de Malte contre Salzbourg, doublé de Mkhitaryan et buts d'Acerbi et Carboni, ont décidé du match. Deux jours après leur succès contre Gżira, les Nerazzurri ont affronté l'équipe de Matthias Jaissle, l'actuel leader du championnat autrichien, terminant le match par une belle victoire et une cage inviolée. L'équipe de Simone Inzaghi a adopté une excellente approche du match, trouvant sa première chance après quatre minutes avec la volée de Barella assistée par Gagliardini. Après une double chance de Dzeko, ils ont pris les devants à la 20e minute. Le but était le résultat d'un effort collectif avec plusieurs joueurs clés, de Calhanoglu à Dzeko lui-même, excellent pour protéger le ballon et ouvrir pour Dimarco. Le ballon dangereux de l'ailier a été conclu par Mkhitaryan pour le premier but des Nerazzurri. Le deuxième qui est venu avant la mi-temps est venu d'un coup franc tiré du droit par Calhanoglu, la trajectoire précise du numéro 20 trouvant la tête d' Acerbi qui a conclu au deuxième poteau pour 2-0. En seconde période, Gosens et Asllani sont entrés en jeu à la place de Dimarco et Calhanoglu. Salzbourg a tenté de réagir en s'appuyant sur Konate, qui a tenté à plusieurs reprises de tromper Samir Handanovic, qui a réalisé un superbe arrêt sur un tir de Wöber dévié par Skriniar. A la demi-heure de jeu de la seconde mi-temps, Mkhitaryan a marqué son deuxième. Le mouvement entamé par le même milieu de terrain a été complété par Bellanova et Dzeko, qui s'est retrouvé au deuxième poteau, a fait une passe décisive pour le but de l'Arménien. Vers la fin, l'équipe a été rajeunie avec l'entrée de plusieurs garçons Primavera. Le sceau final du match est venu de Valentin Carboni, qui après ses débuts en Serie A et en Ligue des champions a retrouvé le plaisir de marquer. Le prochain match amical des Nerazzurri aura lieu le 17 décembre contre le Betis. FEUILLE DE MATCH BUTEURS : 20' Mkhitaryan (I), 41' Acerbi (I), 72' Mkhitaryan (I), 91' Carboni INTER 4 -0 SALZBOURG INTER (3-5-1-1) : 1 Handanovic (72' 21 Cordaz) ; 37 Skriniar (85' 52 Di Pentima), 15 Acerbi (85' 47 Fontanarosa), 95 Bastoni (85' 56 Pelamatti) ; 12 Bellanova (80' 53 Biral), 23 Barella (72' 45 Carboni), 20 Calhanoglu (46' 14 Asllani), 5 Gagliardini (85' 51 Guercio), 32 Dimarco (46' 8 Gosens); 22 Mkhitaryan (80' 50 Stankovic) ; 9 Dzeko (72' 58 Zuberek). Remplaçants : 40 Botis, 55 Nascimento Brazao, 42 Curatolo, 54 Iliev, 57 Andersen. Entraîneur : Simone Inzaghi. SALISBOURG (4-3-1-2) : 1 Mantl (46' 40 Stejskal) ; 70 Dedic (46' 2 Van der Brempt), 6 Baidoo, 95 Bernardo, 39 Wöber ; 35 Agyekum (65' 34 Hofer), 13 Seiwald (65' 45 Sahin), 14 Kjaergaard; 8 Kameri (65' 37 Jano); 20 Koita (31' 23 Simic), 19 Konaté.33 Walke, 4 Piatkowski, 55 Wallner. Entraîneur : Matthias Jaissle. Arbitre : Trustin Farrugia Cann Assistants : Luke Portelli, Edward Spiteri Quatrième arbitre : Malcolm Spiteri Traduction alex_j via le site officiel.
  16. Après une bonne série, les Nerazzurri tombent avec une défaite à Turin suite aux buts de Rabiot et Fagioli. Voici le résumé du match. Un résultat difficile à encaisser, il a terminé par un 2-0 pour la Juve face à l'Inter à l'Allianz Arena, les Nerazzurri n'ayant pas réussi à convertir leurs chances et les hôtes punissant impitoyablement l'équipe d'Inzaghi. Dans un match étrange à Turin, la Juventus a marqué avec son premier tir cadré et a ensuite infligé à l'Inter sa cinquième défaite en championnat de la saison. Lautaro, Dzeko et Dumfries ont tous eu des occasions en première mi-temps avant que Calhanoglu ne frappe la barre peu après la reprise. Puis est venu un coup inattendu lorsque les Bianconeri ont ouvert le score, et cela a été suivi d'une grande chance pour Lautaro d'égaliser. Enfin, les hôtes ont lancé une contre-attaque réussie pour tuer le match et devancer l'Inter dans le classement. L'objectif était de prendre un bon départ, comme c'est toujours le cas dans une confrontation aussi historique que celle-ci. Sachant à quel point une victoire serait importante pour le classement, l'Inter a commencé brillamment, affichant une réelle concentration et jouant de manière compacte. Quant à la Juve, elle était principalement préoccupée par la fermeture des espaces et avait du mal à monter des attaques impactantes. Les Nerazzurri semblaient vifs, déplaçaient bien le ballon et ont failli marquer avec un premier effort de Lautaro après cinq minutes. Peu de temps après, Calhanoglu décochait un tir de loin que Szczesny avait besoin de deux tentatives pour sauver. Avec Milik à peine impliqué dans le match, la Juve espérait que Kostic et Cuadrado pourraient fournir une inspiration par les flancs. Mais l'occasion revenait une nouvelle fois aux Nerazzurri, Lautaro décochait un corner de Dimarco et, Szczesny battu, Dzeko fit une tête à bout portant (26e). Le match ne se jouait pas à un tempo effréné et le rythme ne diminuait qu'après la demi-heure de jeu. Allegri, qui avait Chiesa et Di Maria sur le banc, attendait la mi-temps pour revigorer son équipe. L'Inter, quant à elle, était l'équipe qui assemblait des mouvements et a presque pris les devants à la 42e minute, Barella repris la transversale de Mkhitaryan et a joué un ballon vers Dumfries, qui, glissant, l'a placé au-dessus de la barre. L'équipe locale avait vraiment du mal et, avec l'Inter qui mettait la pression, était contente de tenir le nul à la mi-temps. Les hommes d'Inzaghi semblaient également dangereux juste après le redémarrage alors qu'Allegri envoyait Chiesa s'échauffer. A la 47e minute, Calhanoglu a décoché une belle frappe que Szczesny a repousser sur la barre. L'Inter n'a pas réussi à marquer et, comme c'est souvent le cas dans le football, ils ont été punis. Kostic s'est échappé sur le flanc gauche et a repéré Rabiot, qui a trouvé la lucarne du pied droit (52e). C'est un but qui a donné vie au stade et, le vent en poupe, la Juve pensait avoir porté le score à 2-0 grâce à Danilo après 63 minutes. Cependant, après un long examen de la VAR, il a été annulé en raison d'une main du Brésilien. Inzaghi a envoyé Gosens et Correa, et ce dernier s'est immédiatement impliqué en envoyant Lautaro au but. El Toro, pour sa 200e apparition, ne parvient pas à battre Szczesny, qui sauve des jambes (75e). Cependant, ce n'était pas le début d'un siège des Nerazzurri sur le but de la Juventus, les hôtes bouclant ensuite le match après la tentative de Dzeko de jouer à Brozovic (faisant sa 300e apparition). En effet, Kostic offrait une nouvelle passe décisive en contre, cette fois pour Fagioli (84e). Soirée amère donc pour l'Inter, qui doit désormais passer rapidement à autre chose et finir 2022 du mieux qu'elle peut face à Bologne et à l'Atalanta. JUVENTUS 2-0 INTER Buteurs : 52' Rabiot (J), 84' Fagioli (J) JUVENTUS (3-5-1-1) : 1Szczesny ; 6 Danilo, 3 Bremer, 12 Alex Sandro ; 11 Cuadrado, 44 Fagioli, 5 Locatelli, 25 Rabiot, 17 Kostic ; 20 Miretti (22 Di Maria 81') ; 14 Milik (7 Chiesa 73'). Remplaçants : 23 Pinsoglio, 36 Perin, 15 Gatti, 19 Bonucci, 24 Rugani, 30 Soule. Entraîneur : Massimiliano Allegri. INTER (3-5-2) : 24 Onana ; 37 Skriniar (36 Darmian 81'), 6 De Vrij, 15 Acerbi ; 2 Dumfries (12 Bellanova 81'), 23 Barella, 20 Calhanoglu (11 Correa 73'), 22 Mkhitaryan (77 Brozovic 81'), 32 Dimarco (8 Gosens 73') ; 9 Dzeko, 10 Lautaro. Remplaçants : 1 Handanovic, 21 Cordaz, 5 Gagliardini, 14 Asllani, 33 D'Ambrosio, 45 Carboni, 95 Bastoni. Entraîneur : Simone Inzaghi. Avertis : Calhanoglu (I), Skriniar (I), Danilo (J), Dzeko (I) Temps additionnel : 1' - 6' Arbitre : Doveri. Assistants : Carbone, Giallatini. Quatrième arbitre : Ayroldi. VAR : Di Paulo. Assistant VAR : S. Longo. Traduction alex_j via le site officiel.
  17. Henrikh Mkhitaryan est le joueur qui s'assoit aux côtés de Simone Inzaghi en conférence de presse d'avant match contre le Viktoria Plzen. Voici les propos du milieu de terrain arménien. Où peut aller cette Inter ? "Nous voulons monter le plus loin possible, il y a encore place à l'amélioration car ce n'est pas encore l'Inter que nous voulons. Nous devons travailler davantage avec toute l'équipe, il y a un grand potentiel et nous ne sommes pas satisfaits de cela." Sur le groupe de la Ligue des champions et la possible qualification. Qu'est-ce que cela signifierait de passer dans ce groupe ? "Nous ne sommes pas encore passés, il reste deux matchs. Au début, personne ne croyait en nous car le groupe était difficile. Mais nous avons cru en nous et avons montré qu'avec cette équipe nous pouvons atteindre les objectifs que nous voulons. C'est celui de demain." Vous avez écrit sur Instagram après Sassuolo "le début du retour". Dans quel aspect avez-vous le plus progressé ? "Ce que nous écrivons sur Instagram est pour les réseaux sociaux, ce n'est pas ce que nous pensons. Après Barcelone, j'ai dit que nous avions tourné la page, nous savions que nous ferions mieux match après match. Contre Sassuolo, c'était difficile de gagner. Au Camp Nou tout le monde a vu ça on voulait gagner. Demain, c'est le match le plus important du groupe, plus encore que la double confrontation avec Barcelone. Il faut être parfait." Maintenant tu réagis toujours après les buts de tes adversaires, qu'est-ce qui a changé ? "Je ne suis que 4 mois à l'Inter, je ne sais pas comment c'était avant. Je peux dire qu'on s'est parlé et on a compris qu'il faut jouer jusqu'au bout. Peu importe ce qui se passe pendant le match, il y a 95 minutes et non 90. C'est arrivé aussi à Florence, après le 3-3, on n'a pas lâché ni baissé la tête. On s'est dit que c'était le match de notre vie, j'ai tiré après que Dzeko ait pris le ballon, sachant que Barella me le donnerait." Qu'est-ce que Lukaku vous apportera de plus ? "C'est un joueur très important, on l'attend comme Brozovic. On a besoin de tout le monde, il n'y a pas que les 11 titulaires. J'espère qu'avec son tempérament il va nous donner beaucoup. C'est un joueur avec l'envie de gagner et marquer des buts." Quelle erreur ne faut-il pas commettre ? "Les risques sont toujours là. La seule chose que nous devons faire est de jouer notre jeu. Il n'y a pas de matchs faciles, chacun cache des difficultés. Nous voulons gagner et aller en huitièmes." Comment voyez-vous la progression d'Asllani ? "L'entraîneur a trouvé la solution sans Brozovic, nous essayons de nous aider. Asllani a un grand potentiel, à mon avis il a une grande envie d'étudier et de s'améliorer. Nous l'aidons car nous savons que nous avons besoin de tout le monde." Pourquoi en êtes-vous arrivé si tard à la quadrature du cercle ? "Toutes les équipes ont des hauts et des bas. Nous avons mal commencé. Maintenant nous sommes dans un haut et nous voulons aller encore plus haut. La vie est comme ça, maintenant nous trouvons notre jeu. Il n'y a pas de place pour les erreurs, donc nous voulons gagner chaque match sans faire d'erreurs." Vous êtes un joueur polyvalent : où vous êtes-vous le mieux trouvé sur le terrain ? "Je me sens très à l'aise de jouer, peu importe où. Je me sens mieux près du but, mais j'aime aussi en tant que milieu de terrain parce que nous savons jouer en équipe. Il n'y a pas de différence en jouant aux côtés de Brozovic ou de Calhanoglu, nous nous comprenons très bien parce qu'ils sont bons." Comment vivez-vous cette expérience à l'Inter ? "Je me retrouve très bien. Je remercie mes coéquipiers qui m'ont aidé dès le premier jour à me sentir chez moi. Je ne suis pas encore au niveau que je veux. Je dois travailler pour être au niveau que tout le monde connaît. Je sais que je peux faire encore mieux." Traduction alex_j via FCInterNews.
  18. L'Arménien marque le but vainqueur à la 95e minute après une rencontre palpitante au Franchi, avec Barella et Lautaro (x2) également inscrits sur la feuille de match. Résumé du match. Après Barcelone, nous nous sommes retrouvés avec un sentiment étrange en sachant que nous aurions pu gagner. Le match contre la Fiorentina a été une autre confrontation incroyable, avec retournements sur retournements. Et il avait des similitudes frappantes avec ce match au Camp Nou. En effet, la Fiorentina a fait 3-3 à la 90e minute, puis il y a eu le désespoir de voir une chance pour Mkhitaryan partir mendier avec 92 minutes au compteur, comme ce fut le cas avec Asllani en Ligue des champions. Mais une chose qui ne change pas, c'est le cœur de cette équipe, son altruisme, son désir d'apporter de la joie à tous les Interisti. Et c'est exactement ce qu'ont fait les Nerazzurri ce soir puisque Mkhitaryan a eu le dernier mot après 95 minutes. Trois énormes points que les hommes d'Inzaghi ont dû creuser très profondément pour les récolter. Barella a de nouveau marqué, tandis que Lautaro était tout simplement imparable. L'Inter était agressive dans le jeu, envoyant le ballon devant au bon moment pour causer des problèmes en continu. Dzeko est entré en jeu et s'est immédiatement impliqué, laissant le ballon à ses coéquipiers. Et pourtant, la Fiorentina a rendu les choses difficiles, même après avoir perdu 2-0 après 15 minutes. Kouamé et Ikoné ont été une vraie nuisance et il y avait aussi une foule bruyante à affronter. Mais l'Inter a finalement prévalu, remportant sa septième victoire en championnat de la saison. Les Nerazzurri comptent désormais 21 points après onze matches. L'Inter a pris un départ aussi brillant que le jaune du nouveau Third Kit. En effet, les Nerazzurri se sont retrouvés à 0-2 après 15 minutes grâce à deux buts fantastiques. Pas même 90 secondes ne s'étaient écoulées avant qu'ils ne prennent la tête, Correa et Lautaro travaillant pour récupérer le ballon devant et ce dernier passant à Barella, qui, malgré un léger déséquilibre, a pu battre Terracciano pour marquer son troisième but consécutivement. A la 15e minute, c'était au tour d'El Toro. L'Argentin a conduit vers le but et a réussi à laisser Martínez Quarta en poussière avant de tirer avec une frappe basse du pied gauche. C'était la démonstration parfaite de la façon d'aborder un match. Cependant, la Fiorentina n'était pas prête à baisser les bras et trouvait de l'énergie grâce à Ikoné, qui avait remplacé Gonzalez, blessé à la neuvième minute. Pendant ce temps, les rafales de Kouamé sur la gauche étaient également quelque chose dont l'Inter devait se méfier. C'est sur ce flanc que le but qui a ramené les hôtes dans le match est arrivé: Biraghi fit un centre intercepté par Bonaventura qui a envoyé une volée à côté du poteau. Cependant, peu de temps après avoir touché le ballon, Dimarco le tamponnant, entraînant un penalty après un contrôle VAR. Cabral le transforma et le 1-2. Le match s'est échauffé alors que les esprits s'échauffaient, avec plus d'un carton jaune distribué. Les Nerazzurri ont dû garder leur sang-froid en seconde période. Cependant, ils ont été accueillis par une Viola très offensive après le redémarrage. Italiano a décidé de faire jouer quatre attaquants, et cela a porté ses fruits à la 60e minute, l'enroulé du pied gauche d'Ikoné frappant le dessous de la barre et terminant dans le filet. 2-2 et les hommes d'Inzaghi avaient été rejoints. L'action n'allait pas s'arrêter. À la 67e minute, Barella a été repoussé par Terracciano suite à une passe fantastique de Dzeko, qui cherchait constamment à choisir ses coéquipiers après son entrée. C'est l'une de ces passes qui a conduit au troisième but de l'Inter : le Bosnien passa à Lautaro, bousculé par Terracciano. Après un autre contrôle de la VAR, le penalty a été confirmé et El Toro le transforma pour un 2-3. L'Inter était à nouveau devant. Mais la Fiorentina est revenue en jetant toutes ses forces et en forçant les Nerazzurri à défendre. Tout comme à Barcelone, l'Inter est passé dans un 5-4-1 avec Bellanova à l'arrière droit pour tenter de tenir le coup. Cependant, à la 90e minute, Jovic avec une volée égalisa après un corner de la Fiorentina. Le temps d'arrêt a commencé et Mkhitaryan est apparu deux fois dans la surface de la Viola. À la première occasion, il n'a pas pu se tirer depuis une très bonne position. Puis, avec 95 minutes au compteur, Venuti n'a pas réussi à dégager et Mkhitaryan était là pour placer le ballon dans le filet. Son premier but Nerazzurri et sa joie débridée. Tout simplement, une fin incroyable pour un match incroyable. FIORENTINA 3-4 INTER Buteurs : 2' Barella (I), 15' Lautaro (I), 33' Cabral (F) (pen.), 60' Ikoné (F), 73' Lautaro (I) (pen.), 95' Mkhitaryan (I) FIORENTINA (4-3-3) : 1 Terracciano ; 2 Dodò (23 Venuti 83'), 4 Milenkovic, 28 Quarta, 3 Biraghi (15 Terzic 83') ; 5 Bonaventura, 34 Amrabat (72 Barak 83'), 32 Duncan (22 Gonzalez (11 Ikoné 9'), 9 Cabral, 99 Kouame. Remplaçants : 31 Cerofolini, 95 Gollini, 8 Saponara, 14 Maleh, 16 Ranieri, 27 Zurkowski , Mandragora 38, Bianco 42, Igor 98. Entraîneur : Vincenzo Italiano. INTER (3-5-2) : 24 Onana ; 37 Skriniar, 6 De Vrij, 15 Acerbi; 36 Darmian (2 Dumfries 67'), 23 Barella, 20 Calhanoglu, 22 Mkhitaryan, 32 Dimarco (8 Gosens 67') ; 10 Lautaro (12 Bellanova 85'), 11 Correa (9 Dzeko 61'). Remplaçants : 1 Handanovic, 21 Cordaz, 14 Asllani, 33 D'Ambrosio, 45 Carboni, 46 Zanotti, 50 Stankovic, 95 Bastoni. Entraîneur : Simone Inzaghi. Avertis : Acerbi (I), Bonaventura (F), Dodò (F), Barella (I), Milenkovic (F) Temps additionnel : 3' - 8' Arbitre : Valeri. Assistants : Preti, Di Iorio. Quatrième arbitre : Serra. VAR : Mariani. Assistant VAR : Costanzo. Traduction alex_j via le site officiel.
  19. Victoire en douceur avec quelques occasions gâchées pour l'Inter qui a battu Salernitana 2-0. Simone Inzaghi commente ce qu'il a vu cet après-midi au Meazza aux micros de DAZN, Sky Sport et FCInternews. Aux micros de DAZN Le bon travail de l'Inter a été de faciliter un match qui ne l'était peut-être pas ? "Absolument oui, on sortait de matches importants où on s'était dépensé aussi bien mentalement que physiquement. Mais j'ai demandé la bonne attitude et les garçons ont tenu le match pendant 93 minutes, sans souffrir vis-à-vis adversaire bien organisé." La Ligue des champions vous a-t-elle donné des points et la prise de conscience qui vous a amené à remporter deux victoires en championnat ? "Oui, c'est évident que des performances importantes comme celles contre le Barça donnent beaucoup d'estime de soi. Mais pour un entraîneur, des matchs comme celui-ci sont les plus difficiles à affronter car après deux jours et demi après un match à l'extérieur." Le choix définitif pour Onana ? "Aujourd'hui Handanovic n'était pas disponible, après Barcelone il a eu un problème avec un doigt, une luxation, mais il voulait être là. Ce sera une alternance comme pour les joueurs. Ce sera un doute que je veux apporter. Handanovic a fait un excellent parcours, Onana a montré qu'il devait être à l'Inter. Je veux toujours avoir la chance de choisir dans les buts aussi." À quel point Calhanoglu vous surprend-il ? "Peut-être que cela vous surprend, pas tant que ça pour moi. Si je l'ai mis à ce poste à Barcelone, cela signifie que je l'avais bien placé. Ensuite, il y a aussi Asllani qui progresse bien. Maintenant j'ai quatre joueurs à ce poste et j'attends Brozovic et Gagliardini. Nous avons besoin de 7-8 joueurs." Sera-t-il possible de voir Lukaku à Florence ? "On verra jour après jour. Il y avait un peu d'espoir pour ce match, mais le contrôle a dit non. Il travaille jour après jour, on espère qu'il pourra revenir bientôt pour nous donner un coup de main dans les rotations." Aux micros de Sky Sport L'Inter toujours maîtresse du match : signes de reprise ? "Absolument oui. Nous avons toujours été en contrôle, l'équipe s'est bien développée. Je redoutais ce match en tant qu'entraîneur compte tenu du match à Barcelone. Je les avais vus concentrés. Maintenant, nous devons travailler encore plus pour nous améliorer." Calhanoglu nouvelle carte aussi tactique : une solution de plus ? "Asllani travaille très bien, mais en même temps j'ai Mkhitaryan qui progresse malgré son départ retardé pour cause de blessure. Et Calhanoglu me donne de très bonnes réponses. Mais Asllani va aussi très bien et sera un atout pour le club." On t'a critiqué et tu es sorti vainqueur... "Nous les entraîneurs sommes toujours critiqués, ça m'est arrivé aussi à la Lazio malgré les objectifs et trophées engrangés. Ici on regardait 84 points et les deux trophées comme une défaite. Dans le calcio, les entraîneurs sont jugés tous les dimanches et l'Inter n'a pas pu faire 4 KO en 8 matchs. Maintenant, je regarde le terrain et je vois les gars s'entraider, c'est l'aspect le plus positif. J'ai toujours visé le travail, je sais ce que j'ai fait et ce que je fais." Quand et comment avez-vous décidé de cette petite révolution technico-tactique ? "Je ne parlerais pas de révolution. J'ai fait jouer Calhanoglu aussi l'année dernière. Dans les buts, en voyant les niveaux d'Onana, tous les dimanches j'ai un choix à faire, même si Handanovic s'est luxé un doigt et n'était pas disponible aujourd'hui. Au milieu de terrain, nous n'en avons plus que quatre de disponibles. Correa est de retour en attaque et nous donne un coup de main depuis 20 minutes. J'espère récupérer tout le monde pour faire des choix compte tenu du calendrier chargé." Aux micros de FCInterNews Est-il si évident que Brozovic prendra le relais de Calhanoglu lorsqu'il se remettra de sa blessure ? "Il n'y a pas de sortants malgré tout, en tant qu'entraîneur, j'aimerais avoir Brozovic, Gagliardini, Lukaku... Tout le monde. Quand vous jouez beaucoup, vous devez avoir tous les joueurs disponibles. Nous avons récupéré Correa, maintenant nous espérons récupérer les autres." Bastoni et Lautaro ont dit qu'il y avait eu un changement d'attitude après ce départ négatif. L'avez-vous vu aussi ? "Il y a des comparaisons quotidiennes avec les joueurs, les dirigeants et la présidence. Ce qui me reste, c'est ce que je vois à l'entraînement et sur le terrain. Aujourd'hui, nous étions en contrôle, les gars s'entraidant. Nous avons joué un match sérieux et concentré. Je suis satisfait mais à partir de demain on pensera à la Fiorentina." Parmi les critiques, lesquelles vous ont le plus dérangé ? "Non, je peux distinguer les critiques, celles constructives et celles recommandées par les autres. Rien ne me dérangeait, j'ai toujours été concentré sur mon équipe. Je sais ce qu'ils ont gagné ces mois-ci avec moi. Nous sommes en retard dans le classement, mais il y a beaucoup de matchs devant nous." Avez-vous remarqué un changement d'attitude de la part du groupe ? "L'attitude est fondamentale, je pense que vous l'avez remarqué aussi. L'équipe a le bon état d'esprit, vous n'allez plus encaisser de but comme avant. C'était agréable de voir l'équipe en contrôle contre un groupe organisé qui n'est pas un adversaire facile. On aurait pu marquer quelques buts de plus mais ça va. N'oublions pas qu'on était sortis de trois matches en dix jours, deux avec Barcelone et un avec Sassuolo." Traduction alex_j via FCInterNews.
  20. En effet, 12 ans après avoir été terrassé par l’Inter, le Fc Barcelone joue de nouveau gros face aux Nerazzurri. Car en 2010 et sous la houlette de José Mourinho, l’Inter prenait le meilleur sur un très jeune, mais déjà multititré, Josep Guardiola! Une histoire différente pour la Gazzetta Dello Sport "C’était une demi-finale de Ligue des Champions, ici la phase de groupe et il y a trop de différences au niveau des entraineurs : En 2010, Guardiola alors âgé de 39ans avait déjà en poche une Ligue des Champions, une Coupe du Monde des Club, une Super Coupe d’Europe, 2 Liga et un peu de monnaie. Mou, âgé de 47 ans avait une Ligue des Champions, une Coupe de l’Uefa, 6 titres nationaux et de la monnaie, c’était un Duel de géant. A présent, le duel proposé par Xavi et Inzaghi fait office de poids plume : L’espagnol âgé de 42 ans peut se targuer d’avoir un titre de champion du Qatar et l’italien cinq Coupe d’Italie, dont il a d’ailleurs dernièrement parlé." Se remémorer le passé "Il y a une affinité qui lie la rencontre de ce soir, et celle d’il y a 12 ans car deux résultats sur trois sont bons pour l’Inter et l’ambiance qui sera proposée aujourd’hui sera tout aussi volcanique, après les polémiques de la rencontre du Giuseppe Meazza." "L’Inter d'Inzaghi devra imiter celle de Mourinho car, à son échelle, il devra dans son propre style essayer le tout pour le tout, fort d’une excellente manche aller: Il présentera une équipe de l’Inter surmotivée et bien plus organisée dans les moments critiques. Il devra, ce soir, à nouveau donner du courage et apporter de la sérénité à ses joueurs dans un sulfureux Nou Camp, et plus que tout, il devra imiter le Mou dans une gestion lucide et glaciale de la rencontre." Un plan de jeu clair comme de l’eau de roche "Il faudra priver Barcelone d’oxygène en étouffant Pedri et Gavi comme ce fut le cas à Milan, mais sans renoncer à l’idée de marquer un but, car survivre au Nou Camp est bien différent de survivre au Giuseppe Meazza. Est-ce que nous verrons Dzeko derrière le ballon dès le début du match, avec un Roberto Gagliardini aligné, ou retrouveras-t ’on Miki derrière Lautaro ? Ce choix donnera déjà une information sur le déroulement de la rencontre." Xavi en plein doute : "Défendre à 3 ou à 4 ? Que faire d’Ansu Fatu ? En 2010, Piqué avait marqué, et il a besoin que quelqu’un fasse de même que lui avec Lewandoski pour retrouver le sourire et non pour être sorti comme Guardiola dans une faillite de la tant attendue Remuntada…. Il pourrait faire mieux que lui sur ce point." "Sa glorieuse carrière lui apporte énormément de crédit, mais il sait que les deux prochaines étapes qui se présentent à lui , soit l’Inter et le Real Madrid influenceront quoiqu’il arrive l’humeur des catalan car quoiqu’il arrive, pour Inzaghi et Xavi, il s’agit du match à ne pas perdre et un seul sortira du Nou Camp un peu plus "Special" Selon vous, le fait que Barcelone doive jouer le Real en Liga peut-il l’impacter psychologiquement face à l'Inter ? ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  21. En effet, l’Inter de Simone Inzaghi, victorieuse face à Sassuolo, se projette sur l’une des rencontres phare de sa saison : Le match retour face à un Fc Barcelone revanchard et excité comme une pucelle un soir de bal de fin d’année Indiscrétion sur la formation "Aller à l'Inter et jouer titulaire avec Gagliardini, a toujours été le rêve de ma vie" Comme le révèle nos confrères de Fcinter1908, pour ce déplacement, Simone Inzaghi devra faire sans la moitié de son rempart offensif : Romelu Lukaku et Joaquin Correa sont encore blessés. Il aura donc à sa disposition "que" Lautaro Martinez et Edin Dzeko qui seront accompagnés par les très jeunes Valentín Carboni et Dennis Curatolo. Il est possible de voir juste qu’un seul attaquant d'aligné, à choisir entre le "Toro" et le bosniaque, afin de conserver au moins un élément expérimenté prêt à monter en cours de jeu, et dans cette optique, la solution pourrait être de faire monter dans l’échiquier Henrik Mkhitaryan afin qu’il puisse soutenir la seule flèche offensive. En se déplaçant de la sorte, l’arménien libèrerait un slot au milieu de terrain composé de Nicolò Barella et Hakan Çalhanoğlu…Et si l’on considère le fait que lancer Kristjan Asllani dans le volcanique Nou Camp comme extrêmement compliqué, les chances de voir Roberto Gagliardini augmentent de façon exponentielle. Un mauvais choix pour tous Le milieu de terrain né en 1994 est devenu, bien malgré lui, la cible d’une bonne partie de la Tifoserie de l’Inter : A Milan depuis janvier 2017, l’ancien de l’Atalanta a toujours été considéré comme un précieux mouton docile toujours prêt à l’emploi, mais avec Simone Inzaghi, il a vu son temps de jeu être réduit drastiquement : Cette année, il n’a joué qu’à six reprises entre le Championnat et la Ligue des Champions pour une seule titularisation, ce qui représente un total de 184 minutes. En considérant ses capacités physiques et caractérielles, l’aligner face aux très techniques Pedri et Gavi pourrait s’avérer être très contre-productif pour l’Inter, mais par-dessus tout pour lui-même, lui qui risquerait de se retrouver dans d’importantes difficultés et qui compromettrait, encore plus, son image auprès des Tifosi les plus critiques. A présent, même la presse le démonte avant qu’il soit aligné, Chapeau ! ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  22. A quelques heures de la rencontre opposant le Fc Barcelone à l’Inter, Hakan Çalhanoğlu s’est livré à Amazon Prime : "Nous étions déjà prêt mentalement avant de rencontrer Barcelone, nous savions qu’ils étaient forts, avec des joueurs de renom, ils sont vraiment fort avec la balle, mais si tu sais que tu es prêt mentalement, en montant sur le terrain, tu sais déjà que tu donneras le maximum. Inzaghi voulait que nous travaillions en tant qu’équipe sur le terrain et non en homme contre homme, et mardi nous avions travaillé tous l’un pour l’autre, nous avons réalisé plus de course, avec de l’envie, du courage, du cœur, tout ce qui nous manquait, selon moi, lors des derniers matchs. A présent, nous voulons seulement pédaler, pédaler et travailler." C’est justement face à Barcelone que vous avez réalisé le meilleur match de votre saison, en tant que Vice-Brozo, est-ce un poste que vous considérez comme le vôtre ? "Je n’ai pas l’habitude de jouer à ce poste, je me sens mieux avec un autre milieu proche de moi. Mais je joue toujours comme ça en équipe nationale et ici, même si j’étais esseulé, j’avais tout de même Bare et Mkhitaryan qui me donnait un grand coup de main, nous avons réalisé un grand boulot." "J'ai demandé à Rom de forcer un peu et de revenir plus vite, c’est normal qu’on ressente le manque d’un joueur tel que lui, mais même lui travaille vraiment bien quotidiennement, il fait de son mieux pour revenir dans l’équipe, c’est un joueur qui sait conserver le ballon avec son physique, ry cela t’aide pour ressortir au mieux de l’arrière. Nous avons tous des qualités différentes, mais avec un comme lui qui tient bien mieux le ballon, tu te sens plus serein." Racontez-nous cette histoire d’Onana et Lukaku qui vous ont conseillé comment tirer pour battre Ter Stegen… "Avant la rencontre, Romelu est venu me voir et m’a dit : Lorsque tu pourras tirer au but, tente de frapper du côté droit de Ter Stegen, c’est là qu’il est le plus faible et André qui le connait mieux que moi, me l’a dit aussi. Avant de tirer, j’ai immédiatement pensé à leurs mots et tout est allé très vite, je n’ai pas eu le temps de tergiverser et j’ai très bien tiré." "Barcelone est furieux et a le feu au cul, nous savons que ce sera difficile là-bas, mais nous donnerons notre maximum, nous travaillerons de cette façon sur le terrain, pour 90 minutes et pour toutes les dernières secondes, car je ne crois pas qu’énormément d’équipes ont la possibilité de l’emporter face à nous." ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  23. Alessandro Cavasinni éditorialiste chez FCInterNews nous livre une rapide analyse de ce retour de l'Inter... du moins, pour l'instant. Au bord du gouffre, Simone Inzaghi reprend son destin en main et chasse les voix prônant son licenciement qui commençaient à dominer au détriment de la permanence. Un triptyque Roma-Barcelone-Sassuolo décisif qui avait mal commencé avec le KO au Meazza contre les Giallorossi de Mourinho. Puis? Et puis ce tournant lors du match le plus difficile, le plus complexe. Le 1-0 face aux Catalans a probablement représenté le tournant de la saison, le premier qui est positif. Après des débuts lents, poussifs, approximatifs, rendus encore plus difficiles par les blessures de Lukaku d'abord puis de Brozovic, voilà que l'équipe a retrouvé une physionomie bien définie et surtout une âme. Deux indices ne sont pas encore probants mais qui laissent certainement entrevoir une tendance : L'Inter est là. Il y a l'Inter, surtout avec la tête et le cœur. L'essence de l'équipe des dernières saisons a été revue. Certains avaient rapidement qualifié le succès contre le Barça d'accidentel, mais celui de Reggio Emilia met en lumière la vertu retrouvée, confirmée après le 1-1. Jusqu'à présent, très souvent, Lautaro et ses compagnons s'étaient égarés après le premier coup de poing au foie. Mais cette fois, ils ont réagi et assommé l'adversaire, même en se rapprochant du contrôle et sans prendre davantage de risques. Une avancée non négligeable. Maintenant, le ballon revient métaphoriquement entre les pieds d'Inzaghi, appelé à nouveau pour faire des choix précis pour le match au Camp Nou. Et les premières indiscrétions montrent à quel point le chemin emprunté semble être celui des certitudes. Dans le but, par exemple, arrêtons d'alterner : bons discours dans le vestiaire de Handanovic, mais Onana passe entre les poteaux. De Vrij devrait être confirmé à des niveaux élevés, tout comme Barella et Calhanoglu. Darmian est un autre pion sur lequel on peut toujours compter et, en attendant le retour de Lukaku et Correa, un 3-5-1-1 pourrait émerger avec Mkhitaryan derrière un entre Lautaro et Dzeko. En tout cas, au-delà des interprètes, ce qui compte c'est qu'Inzaghi ait retrouvé l'âme de l'Inter. Traduction alex_j via FcInterNews.
  24. L'Inter, après sa victoire contre Barcelone, est revenue avec les trois points de Sassuolo. Lorsque les choses ne se passent pas comme vous le souhaitez, vous avez besoin de la bonne mentalité. Après un bon résultat suivant un autre bon résultat, vous avez besoin de la bonne mentalité. Quand vous êtes en tête, mais que l'équipe adverse riposte, vous avez besoin d'une bonne mentalité. Et quand vous avez besoin que vos meilleurs joueurs trouvent des atouts, vous avez besoin de la bonne mentalité. C'est exactement ce qu'Edin Dzeko a fait alors que son doublé donna à l'Inter une précieuse victoire 2-1 contre Sassuolo au stade Mapei. L'attaquant bosniaque en a marqué un avec ses pieds et un avec sa tête, mettant fin à la série de résultats négatifs en championnat et confirmant la fabuleuse victoire en milieu de semaine contre Barcelone. Sassuolo contre l'Inter était le spectacle de Dzeko, tout comme la saison dernière lorsque le numéro 9 a marqué d'une tête plongeante; Sassuolo est l'équipe favorite d'Edin avec huit buts en Serie A contre les Neroverdi. Avec son doublé au stade Mapei, Dzeko a maintenant dépassé les 100 buts en Serie A, 101. Mais ce n'était pas seulement un match à buts pour lui, il a également été efficace pour faire jouer les autres, avec des appels et en gardant la possession. Il était également proche d'un triplé à la fin, dans un match que l'Inter a parfaitement clôturé après le doublé du numéro neuf. Onana a fait ses débuts en Serie A, avec un trio composé D'Ambrosio, Acerbi et Bastoni. Asllani a été placé au centre du milieu de terrain avec Dzeko et Lautaro à la pointe. L'équipe d'Inzaghi était agressive mais prudente, se méfiant des qualités de Sassuolo : courses profondes au bon moment et vitesse dans les zones d'attaque. L'imprévisible Lauriente a été occupé et menaçant tout l'après-midi sur le côté gauche. A l'intérieur, Frattesi et Cie. étaient toujours à la recherche d'espaces et de poches dans lesquels entrer. Onana a d'abord été appelé à l'action avec un sauvetage intelligent avec ses pieds, mais l'Inter a bien déplacé le ballon en trouvant souvent Dimarco et Dumfries. Le Néerlandais était le plus dangereux de la mi-temps sur le côté droit, mettant beaucoup de balles dans la surface. Mais Sassuolo a inquiété la ligne de fond des Nerazzurri : Frattesi était partout avec Lauriente faisant avancer son équipe. L'Inter, cependant, était compacte et solide et a pris les devants à la fin de la mi-temps: le corner de Calhanoglu a frappé Dumfries et Dzeko a enroulé avec son pied droit à bout portant. A la mi-temps, Mkhitaryan a remplacé Asllani, mais le match a recommencé comme il s'était terminé, avec Sassuolo exploitant bien le côté gauche : un centre de Rogerio a trouvé Frattesi qui était là pour trouver le filet et faire 1-1. Mais cela n'a pas énervé l'Inter qui a pris le contrôle de la dernière demi-heure pour montrer sa valeur et son caractère. Consigli a réalisé un arrêt exceptionnel sur Lautaro mais n'a pas pu arrêter la tête à bout portant de Dzeko peu après, à la 75e minute, sur le sublime centre de Mkhitaryan depuis la gauche. Les 4 000 Nerazzurri de Mapei se sont déchaînés alors qu'ils menaient 2-1. Sassuolo n'est pas revenu et c'est l'Inter qui a dominé le match à partir de là, gardant la possession du ballon et ne concédant rien à l'équipe locale; Gagliardini et Dzeko ont tous les deux failli aggravé la marque en fin de match. SASSUOLO 1-2 INTER Buteurs : 45' Dzeko (I), 60' Frattesi (S), 75' Dzeko (I) SASSUOLO (4-3-3) : 47 Consigli ; 22 Toljan, 28 Erlic ( 5 Ayhan 82'), 13 Ferrari (44 Tressoldi 89'), 6 Rogerio ; 16 Frattesi (11 Alvarez 82'), 27 Maxime Lopez, 42 Thorstvedt (8 Harroui 71') ; 45 Lauriente, 9 Pinamonti, 15 Ceide (18 Antiste 71'). Remplaçants inutilisés : 25 Pegolo, 64 Russo, 3 Marchizza, 7 Henrique, 14 Obiang, 35 D'Andrea, 77 Kiriakopoulos. Entraîneur principal : Alessio Dionisi. INTER (3-5-2) : 24 Onana ; 33 D'Ambrosio (37 Skriniar 58'), 15 Acerbi, 95 Bastoni ; 2 Dumfries, 23 Barella (5 Gagliardini 84'), 14 Asllani (22 Mkhitaryan 46'), 20 Calhanoglu, 32 Dimarco (36 Darmian 68') ; 9 Dzeko, 10 Lautaro. Remplaçants inutilisés : 1 Handanovic, 40 Botis, 6 De Vrij, 8 Gosens, 12 Bellanova, 42 Curatolo, 45 Carboni, 50 Stankovic. Entraîneur principal : Simone Inzaghi. Avertissements : Asllani (I), Ferrari (S), D'Ambrosio (I), Harroui (S), Tressoldi (S). Note : Averti S. Inzaghi (I) Temps additionnel : 1' - 4'. Arbitre : Sozza. Assistants : Valeriani, Dei Giudici. Quatrième arbitre : Colombo. VAR : Guide. Assistant VAR : Maggioni. Traduction alex_j via le site officiel.
  25. Après son doublé contre Sassuolo, Edin Dzeko s'est livré aux micros de DAZN. Les 100 buts... "Ils devaient être 103, mais les deux derniers les ont malheureusement annulés pour hors-jeu (rires, ndlr)." Le plus beau? "Tous sont beaux, peut-être le dernier. Pour moi, il suffit que le ballon passe la ligne, mais je me souviens du premier contre la Juve. Celui contre le Torino avec un pied gauche ? Cela pourrait être l'un des plus beaux." Quelle est la valeur de cette victoire ? "Peut-être que nous aurions perdu un match comme celui-ci il y a trois ou quatre semaines. Nous n'avons pas joué un grand match aussi grâce aux mérites de Sassuolo, ce n'était pas facile de gagner après tant de défaites en championnat mais nous voulions confirmer après Barcelone. Au final, les points comptent toujours." Vous avez réussi à prendre les trois points grâce à l'attitude. "Avant le match, on s'est dit qu'il ne fallait pas avoir honte de rester derrière et d'attendre de temps en temps. Souvent on en voulait trop avec la pression et les buts encaissés, mais il faut gagner. On a tous souffert ensemble, on voulait la victoire et à la fin je pense que c'est mérité." A quel point avez-vous envie d'être important et de continuer à marquer ? "Beaucoup. Marquer est une belle chose et quand le ballon franchit la ligne, vous êtes le plus heureux du monde. Aujourd'hui, je suis un homme heureux et je veux apporter ma contribution aussi longtemps que je le peux. Maintenant je vais bien et je dois continuer comme ça." Combien de stimuli la compétition avec Lukaku vous donnera-t-elle ? "Je ne dirais pas compétition, nous sommes dans une grande équipe et pour moi ce n'est pas nouveau car l'équipe compte et quand on gagne on est tous contents. L'important c'est de gagner." Allez-vous acheter une pizza à Mkhitaryan pour l'assistance ? "Bien, j'invite certainement l'équipe à dîner parce que vous n'obtenez pas 100 buts tous les jours." Traduction alex_j via FCInterNews.
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