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  1. Notre ancien président Massimo Moratti a accordé une interview à il Giornale. Voici ses mots et réflexions. Déçu ? "L'occasion manquée est ce qui reste à l'esprit mais le football est comme ça. N'en faisons pas un drame." C'était quel match ? "City n'était pas ce à quoi nous nous attendions et ils ont joué médiocrement. Cela vous fait penser que vous auriez pu ramener le match à la maison. Mais, dans l'ensemble, ce n'était pas un bon match." Avez-vous eu des nouvelles de quelqu'un du club ? "Le pire, dans ces cas-là, c'est de recevoir les coups de téléphone de consolation. Je n'ai entendu parler que de mes enfants." Qu'est ce qui ne s'est pas bien passé? "Je me répète : si on veut prendre un bon match en exemple, on ne choisit certainement pas celui-là. C'était un match qui ne pouvait se décider que par épisodes. Les deux équipes étaient très discrètes. Même City a montré qu'il souffrait." Si l'écart sur le terrain était relatif, celui financier demeure. Gagnez-vous au football si vous avez plus d'argent ? "Je n'ai pas vu beaucoup de différences sur le terrain, surtout si l'on pense aux centaines de millions dépensés par City. D'un point de vue tactique, l'Inter a très bien fait." Pioli, à Milan, a déclaré qu'il est aujourd'hui difficile d'être compétitif sur deux fronts. Est-ce plus le cas pour les Italiens ? "Je crois que l'Inter a plutôt montré que cela pouvait être fait. La mauvaise passe a été vécue en milieu d'année mais ce n'était pas dû à ce double front. Si à un moment donné quelque chose manque, c'ést la confiance." Était-ce le mérite d'Inzaghi de sortir de ce moment ? "Guardiola a essayé de le dire avec élégance: l'Inter est la deuxième équipe la plus forte d'Europe et le mérite revient au club, aux joueurs et à l'entraîneur. Il a su tenir le coup pendant la période au cours de laquelle il a été sévèrement critiqué. Par moi également." Alors avez-vous changé d'avis à propos d'Inzaghi ? "Bien sûr." Vous êtes amoureux de l'Inter mais cela ne vous dérangera certainement pas de continuer à être le dernier président à avoir remporté la Ligue des champions... "Il y a de la fierté à penser que ma famille a été la dernière à réussir. Mais c'est un sentiment qui peut être renforcé si vous continuez à gagner, sinon tout s'oublie." Si l'Inter avait gagné, Lautaro aurait-il été candidat au Ballon d'Or, lui qui a aussi remporté la Coupe du monde ? "Je ne sais pas, ils ne l'ont pas donné à Milito... Lautaro est très fort, mais il peut s'exprimer à des niveaux encore plus élevés." Au-delà des épisodes malheureux à Istanbul, Lukaku vous le gardez ? "Je ne lui ferais pas toutes ces critiques. Bien sûr, sa tête a mal fini et c'est peut-être son péché mortel. Mais quand lui et Mkhitaryan sont arrivés, qui est très fort pour moi, l'équipe a changé de rythme et était plus dangereuse. Pour l'avenir, Lukaku est toujours utile mais je ne connais pas les comptes." En parlant d'attaquants, avez-vous été impressionné par les adieux d'Ibra au football ? "Ça m'a beaucoup marqué. C'est un garçon avec une belle personnalité, un gentil garçon." Que pensez-vous les adieux de Milan à Maldini ? "Je suis tellement désolé, je suis son ami. Je sais qu'il était très bon." Pendant ce temps, le football italien a fait son triplé à l'envers : trois finales avec la Roma, la Fiorentina et l'Inter. Et trois défaites... "Oui mais regardons. L'un aux tirs au but, l'un à la dernière minute, l'autre dans la façon dont on connait. Arriver avec trois équipes en finale, c'est très digne. Le football italien s'est bien battu." Au-delà de la finale à Istanbul, y a-t-il quelqu'un qui ferait bonne figure dans l'équipe du Triplete ? "Si je devais choisir un nom à ramener mon Inter, je choisirais Barella. Les attaquants sont bons, mais je pense qu'Eto'o et Milito étaient inégalables." Avez-vous vu vos anciens joueurs dans les tribunes du stade olympique Atatürk ? "Quelle belle image. Une fois de plus, nous avons compris la valeur de cette équipe qui avait quelque chose de grand à exprimer." Êtes-vous toujours en contact ? "Oui, on discute. De temps en temps, ils viennent me rendre visite, ils sont liés à moi." Il y a quelque temps, vous disiez qu'aujourd'hui l'âme des fans reste de votre Inter. Avez-vous vu les 45 000 devant l'écran géant de San Siro ? "Chapeau bas pour ceux qui savent se laisser gagner par leur passion." Sera-t-il plus facile de repartir de cette finale que le 5 mai ? "Aujourd'hui, la conviction d'avoir fait quelque chose d'exceptionnel demeure car atteindre la finale de la Champions n'arrive pas souvent dans la vie. Le mérite et la confiance qui lui sont attachés demeurent. L'équipe peut repartir mais sans rien prouver et sans complexe." Traduction alex_j via FCInter1908.
  2. Il Giornale a interviewé notre ancien président Ernesto Pellegrini et a recueilli son ressenti avant la finale de la Ligue des champions à Istanbul. Malheureusement, vous ne pourrez pas assisté au match. "J'ai été invité mais malheureusement je n'ai pas pu y aller car j'ai quelques problèmes personnels. Ainsi, je préfère rester ici au calme, et le voir à la télé. Bien sûr, je suis désolé, j'étais présent à Madrid et l'Inter a gagné, espérons qu'ils gagnent cette fois aussi. De toute façon, je ne joue pas et je ne peux pas influencer le résultat, disons-le. Bien sûr c'est un match difficile, je n'ai pas de doutes. L'Inter n'est pas favorite. City est considéré comme une équipe d'une autre planète. Cependant je suis confiant car j'ai très bien vu notre équipe ces derniers mois tant physiquement que mentalement. Nous pourrions avoir une vraie surprise." Qui voudriez-vous aligner ? "Le coach s'en chargera. Heureusement qu'il est très bon, positif, et dans les matchs à élimination directe, ceux où on gagne ou on perd, il a aussi de la chance. Alors je lui fais confiance aussi..." Par rapport à "votre" Inter, quelles différences voyez-vous ? "Une équipe un peu différente... Pendant mon temps, l'Inter n'avait que 3 étrangers car à l'époque seuls trois pouvaient jouer. Mieux ou pire? Trois peut-être pas, mais peut-être 5 serait le nombre parfait. Une équipe composée uniquement d'étrangers n'est pas beau à voir, ce n'est pas une grande satisfaction pour quelqu'un qui est né fan de l'Inter, mais c'est comme ça maintenant... avant c'était un autre type de football, Rummenigge, Matthäus, Brehme... Cependant, j'espère aussi célébrer cette victoire car le 16 juin nous aurons une soirée avec 400 personnes au dîner et un concert de Gianna Nannini pour les 58 ans de la Fondation Pellegrini." Comment est le football italien selon vous ? "Hormis l'équipe nationale qui n'a pas eu beaucoup de chance, la Roma, l'Inter et la Fiorentina se sont qualifiées pour la finale. Bref, les équipes italiennes se sont très bien comportées sur la scène européenne. Il ne manque pas grand-chose. L'équipe nationale de Mancini a besoin de récupérer un peu." Que pensez-vous du San Siro ? "Il ne faut pas le démolir. C'est un monument, il y a trop de souvenirs de l'après-guerre à aujourd'hui. C'est un beau stade, il y avait tellement de rêves. J'aimerais qu'il ne soit pas démoli." Avec qui verrez-vous le match ? "Avec mon gendre, un grand fan de l'Inter. Et avec mon neveu Guglielmo qui a 7 ans et demi. Il vient toujours avec le maillot de l'Inter et dit à ses amis que quand il sera grand, il veut être président de L'Inter comme son grand-père bien-aimé Ernesto. Et il est né le jour de la fondation de l'Inter, le 9 mars, est-ce un signe du destin ?" Traduction alex_j via FCInterNews.
  3. L'ennui, cependant, c'est si vous jouez la Finale, que vous la perdez et que vous ne vous qualifier pas pour les groupes de l'an prochain, il restera l'honneur sans la gloire et un trou financier dans le bilan. L'attente du Derby de Ligue des Champions entre Milan et l'Inter grandit , les deux équipes rêvent d'un débarquement en Finale. Cependant, tous deux ne doivent pas être distraits de l'objectif principal, à savoir la qualification pour la prochaine édition, comme l'écrit Il Giornale : "Un long Derby qui sent bon les Playoffs, qui risque d'adoucir un résultat sportif bien plus important qu'une quatrième place, parce que la Finale des Champions est un objectif. Le problème, est que si vous la jouez, vous la perdez et ne vous qualifiez pas pour la phase de groupes de l'année prochaine, vous vous retrouverez avec honneur sans la gloire et un trou financier dans le bilan. Des tortures du football contemporain avec lesquelles Inzaghi semble avoir affaire, étant donné que l'argent de l'UEFA est vital pour les comptes de Zhang. Et déjà en ayant atteint les demi-finales, Inzaghi a évité au club de devoir vendre un gros joueur d'ici le 30 juin ". Parlons pas de malheur!! Traduction Lindt1908 Via Fc Inter1908
  4. Giuseppe Marotta, "Il Padrino" s’est livré en exclusivité au Corriere Della Sera, place à une interview qui en révèle plus sur le meilleur Administrateur-Délégué italien en activité! Quel est votre premier souvenir ? "A 4 ans, au jardin d'enfants d'Avigno, avec ma chasuble bleue et un panier à goûter". Comment était votre enfance ? "Le football a été immédiatement le fil conducteur de mon existence : Ma chance a été d’habiter a 500 mètres du stade d’Ossola et de la fenêtre de ma maison, je voyais les terrains d’entrainement de l’équipe, qui, à cette époque, évoluait en Serie A. J’en étais fasciné et je m’étais juré : Un jour, j’irais moi aussi monter sur ce terrain." A quel moment êtes-vous parvenu à rejoindre ce monde si convoité ? "Je devais avoir huit ans. Je me suis placé devant la porte du vestiaire et j'ai demandé à Angelino, le magasinier, si je pouvais assister à l’entrainement : Après quelques tergiversations, il a accepté à une condition: Le marché était que je l'aiderais à nettoyer les chaussures, dégonfler les ballons, mettre les maillots à laver. En contrepartie, il m’était autorisé de porter la tenue de Varese et d’observer les séances. Ensuite, je suis passé à autre chose." C’est-à-dire? "A 11 ans, et précisément le 4 février 1968, j’étais le ramasseur de balle lors du match Varese-Juventus remporté 5-0, c’était un résultat historique avec un triplé de Pietro Anastasi." Maroni était-il déjà un étudiant engagé ? "Il avait déjà l'étoffe d'un politicien à l'époque, il était dans le mouvement estudiantin. Il avait deux ans de plus que moi et il venait déjà à l'école avec des journaux politiques, et moi avec la Gazzetta. On évoluait ensemble dans la même équipe de football de notre lycée, avec "Attila"." Qui ? "Fontana, c’était son surnom, il y avait aussi Beppe Bonomi qui était le Président de la Sea. J’évoluais au poste de milieu de terrain et, à 16 ans, j’ai débuté ma carrière comme dirigeant." C'était précoce... "A 19 ans, je suis devenu le responsable du secteur jeunesse, en abandonnant d’une certaine façon mon autre activité." Qu’était-elle ? "Je travaillais dans un quotidien local de l’époque , Il Giornale, j’écrivais des articles sur les A, un, peu à la Sconcerti. À 25 ans, j'étais déjà Président du Club". Qui a été votre premier recrutement ? "Michelangelo Rampulla de Pattese." En 1987, vous êtes passé à Monza, la créature actuelle de Silvio Berlusconi et d’Adriano Galliani... "Je succédais à Adriano, qui avait quitté l'équipe l'année précédente. C'est une expérience importante car avec Piero Frosio sur le banc, nous sommes parvenu à gagner le Championnat de Serie C." À Venise, est-ce exact que vous avez remonté le Grand Canal sur le Bucintoro ? "C’était pour célébrer la promotion en Serie A, c’était un grand honneur. Savez-vous où j'ai vécu ? Au Palazzo Albrizzi, où pendant un temps Foscolo, amant de la comtesse, avait élu domicile". Alvaro Recoba a été le joueur le plus efficace cette saison-là… "C'était l'une des rares fois où les qualités d’une individualité ont fait mentir le Principe de Michael Jordan selon lequel avec le talent on gagne des matchs mais c’est en travaillant en équipe que l’on remporte des championnats." Quel est le joueur qui vous a le plus diverti ? "Le Cassano de la Sampdoria, j’avais accepté le défi de Garrone de gérer aussi l’équipe en Serie B. En huit ans, je l’ai amené aux préliminaires de la Ligue des Champions. Je n’en oublie pas Alessandro Del Piero, Gianluigi Buffon et Ronaldo." Et le plus indiscipliné ? "Arturo Vidal, c’est un homme qui a une double vie." Est-ce que l’appel de la Juventus a été le point culminant de votre carrière ? "Pour un dirigeant qui arrive de la Province, les grandes équipes comme la Juve auparavant et l’Inter maintenant représente la concrétisation d’un rêve d’enfant." N’est-ce qu’une coïncidence si le système dit "Paratici", basé sur les plus-values, a explosé après votre départ ? "Mes années à la Juventus font partie du passé et je ne peux en garder que des souvenirs positifs. Je ne m'intéresse pas au travail réalisé par les autres, je pense à mon présent Nerazzurro." Un processus de reconstruction est en cours à Turin, après le tremblement de terre relatif aux enquêtes. Pourriez-vous y revenir si l’offre vous était soumise ? "Je suis heureux du chemin que j'ai entrepris. À l'Inter, je me sens bien et je me concentre pour contribuer à de nouveaux succès". À quel trophée êtes-vous le plus attaché ? " Le championnat de Serie B gagné avec la Sampdoria, au premier Scudetto avec la Juventus et au Scudetto remporté avec l’Inter." Mais n’avez-vous jamais été contacté pour vous lancer dans le monde politique ? "Bien évidemment, et il faut toujours avoir un rêve de réserve dans son placard, le mien est d’y entrer sans carte de Parti, d’y offrir ma contribution en termes de compétence, d’expertise et d'expérience". Mais politiquement parlant, votre ami Giorgetti tente de vous séduire... "Non, regardez ici, il m'a envoyé un message pour me taquiner et me dire qu’il m’avait piqué Carlos Alcaraz du Racing car Giancarlo est un supporter de Southampton." Pour qui votez-vous ? "Je suis un modéré du centre, ce n'est pas un hasard si l’on m'a surnommé le Kissinger du football." Aviez-vous eu peur lorsque vous étiez hospitalisé en 2021 à cause du Covid-19 ? "Oui, car je n’avais aucune idée de l’évolution de la maladie: J’ai dû porter un masque à oxygène durant quelques jours, c’était des moments difficiles." Le Seul, l’Unique : Il Padrino Marotta ! ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  5. Les performances de l'ailier de l'Inter Federico Dimarco pour l'équipe nationale italienne pendant la trêve internationale ont démontré que les véritables forces du joueur de 24 ans résident dans ses capacités créatives plutôt que défensives. Selon SportMediaset, notre ailier est à son meilleur lorsqu'il est capable d'opérer plus haut sur le terrain et même au milieu de terrain plutôt qu'en profondeur comme il a souvent été utilisé pour les Nerazzurri. La position habituelle de Dimarco est celle d'ailier ou d'arrière gauche, bien qu'il ait souvent été utilisé à gauche d'une ligne à trois arrières par Simone Inzaghi. Alors que Dimarco peut jouer habilement les deux rôles à la fois et est utilisé pour les deux, c'est dans un rôle offensif plus large que Roberto Mancini l'a utilisé lors des victoires de la Ligue des Nations contre l'Angleterre et la Hongrie. Ces performances ont vu le joueur de 24 ans à son top car impliqué dans les meilleures phases offensives des Azzurri. Pour SportMediaset, c'est la preuve que c'est là où il est le mieux utilisé sur le terrain, au milieux plutôt qu'en défense. S'exprimant lors d'une interview avec Il Giorno, Gianni Dimarco a parlé de l'entreprise que lui et son frère dirigent. Il a expliqué comment les principes en ont été transmis à son fils. "Aujourd'hui, il faut de l'humilité pour maintenir une entreprise comme celle-ci, le reste ne compte pas, c'est un des principes que j'ai enseigné à mon fils. S'il est arrivé à jouer à un haut niveau c'est grâce à une volonté de travailler et avoir sa tête sur les épaules." "C'est mon beau-frère qui a transmis la passion du football à Federico. Alors qu'il n'avait que trois ans il l'a emmené au Meazza voir l'Inter, je l'ai toujours et seulement soutenu dans ses choix. Et le voyant heureux j'ai réalisé que c'était le bon chemin. Je vous laisse imaginer ce que l'appel de son équipe favorite représentait pour lui." "M'a-t-il aidé ? Il avait l'habitude de venir ici les après-midi après l'école, puis quand il a rejoint l'académie des jeunes de l'Inter, il avait moins de temps. Il a fait beaucoup de sacrifices et à un moment donné, il a dû choisir ce pour quoi il valait la peine de se battre." Traduction alex_j via FCInterNews et Sempreinter.
  6. Beaucoup de gens se demandent pourquoi, malgré la situation particulièrement précaire, le Suning roule toujours avec l'Inter. Voici le contexte raconté à Telelombardia par Fabio Ravezzani. Il y a des mois, et aujourd'hui, cela reste la seule offre officielle mise sur la table de Zhang, les fonds BC Partners a proposé 800 M€ pour obtenir la majorité du club, rejetés par l'actuel propriétaire. "Lorsque j'ai demandé qui était directement impliqué dans la négociation entre le Suning et BC Partners pour l'Inter 'Pourquoi ils n'ont pas vendu s'ils sont si mauvais ?', la réponse que j'ai reçue a été 'Parce qu'à mon avis, face à la perspective d'avoir dépensé 700 M€ ces dernières années et d'en ramener très peu à la maison, il a dû se dire : OK, à ce stade autant rester en selle jusqu'à la fin.' Dans cette affaire, Zhang perdra 400-500 M€." Pour compléter l'analyse pertinente de Fabio Ravezzani le Corriere della Sera rapporte que le congrès du Parti Communiste Chinois (PCC) qui se tiendra mi-Octobre sera déterminant pour la vente, ou non, de l'Inter. "Aussi pour cette raison, les nouvelles venant du conseil d'administration peuvent apporter un souffle quelque peu positif, ainsi que la preuve que la propriété chinoise vise à maintenir la compétitivité de l'Inter au plus haut niveau après avoir ajouté plus d'un milliard d'euros en six ans. Cela a freiné brutalement à cause de la pandémie et surtout par le diktat du PCC envers les investissements dans le football étranger qui sera probablement confirmé lors du congrès du PCC débutant à la mi-Octobre. Dans ce cas, cela pourrait encore accélérer la recherche de un investisseur pour l'Inter." Pour compléter le tout, Il Giornale revient sur la décision de Steven Zhang d'injecter 100 M€ du prêt octroyés par Oaktree pour amortir les pertes budgétaires. "D'abord les comptes dans le rouge comme souvent ces dernières années, les Zhang vont couvrir la perte : il y a ceux qui applaudissent et ceux qui s'étonnent. Cependant n'oublions pas que c'est le code civil qui oblige la propriété à couvrir une perte supérieure à l'actif net du club (91 M€ ici). Donc, pas de surprise mais une simple nécessité. Une première tranche de l'argent emprunté il y a un an à Oaktree avait été injectée dans les caisses de la société." Traduction alex_j via FCInter1908.
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