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Giuseppe Marotta, "Il Padrino" s’est livré en exclusivité au Corriere Della Sera, place à une interview qui en révèle plus sur le meilleur Administrateur-Délégué italien en activité! Quel est votre premier souvenir ? "A 4 ans, au jardin d'enfants d'Avigno, avec ma chasuble bleue et un panier à goûter". Comment était votre enfance ? "Le football a été immédiatement le fil conducteur de mon existence : Ma chance a été d’habiter a 500 mètres du stade d’Ossola et de la fenêtre de ma maison, je voyais les terrains d’entrainement de l’équipe, qui, à cette époque, évoluait en Serie A. J’en étais fasciné et je m’étais juré : Un jour, j’irais moi aussi monter sur ce terrain." A quel moment êtes-vous parvenu à rejoindre ce monde si convoité ? "Je devais avoir huit ans. Je me suis placé devant la porte du vestiaire et j'ai demandé à Angelino, le magasinier, si je pouvais assister à l’entrainement : Après quelques tergiversations, il a accepté à une condition: Le marché était que je l'aiderais à nettoyer les chaussures, dégonfler les ballons, mettre les maillots à laver. En contrepartie, il m’était autorisé de porter la tenue de Varese et d’observer les séances. Ensuite, je suis passé à autre chose." C’est-à-dire? "A 11 ans, et précisément le 4 février 1968, j’étais le ramasseur de balle lors du match Varese-Juventus remporté 5-0, c’était un résultat historique avec un triplé de Pietro Anastasi." Maroni était-il déjà un étudiant engagé ? "Il avait déjà l'étoffe d'un politicien à l'époque, il était dans le mouvement estudiantin. Il avait deux ans de plus que moi et il venait déjà à l'école avec des journaux politiques, et moi avec la Gazzetta. On évoluait ensemble dans la même équipe de football de notre lycée, avec "Attila"." Qui ? "Fontana, c’était son surnom, il y avait aussi Beppe Bonomi qui était le Président de la Sea. J’évoluais au poste de milieu de terrain et, à 16 ans, j’ai débuté ma carrière comme dirigeant." C'était précoce... "A 19 ans, je suis devenu le responsable du secteur jeunesse, en abandonnant d’une certaine façon mon autre activité." Qu’était-elle ? "Je travaillais dans un quotidien local de l’époque , Il Giornale, j’écrivais des articles sur les A, un, peu à la Sconcerti. À 25 ans, j'étais déjà Président du Club". Qui a été votre premier recrutement ? "Michelangelo Rampulla de Pattese." En 1987, vous êtes passé à Monza, la créature actuelle de Silvio Berlusconi et d’Adriano Galliani... "Je succédais à Adriano, qui avait quitté l'équipe l'année précédente. C'est une expérience importante car avec Piero Frosio sur le banc, nous sommes parvenu à gagner le Championnat de Serie C." À Venise, est-ce exact que vous avez remonté le Grand Canal sur le Bucintoro ? "C’était pour célébrer la promotion en Serie A, c’était un grand honneur. Savez-vous où j'ai vécu ? Au Palazzo Albrizzi, où pendant un temps Foscolo, amant de la comtesse, avait élu domicile". Alvaro Recoba a été le joueur le plus efficace cette saison-là… "C'était l'une des rares fois où les qualités d’une individualité ont fait mentir le Principe de Michael Jordan selon lequel avec le talent on gagne des matchs mais c’est en travaillant en équipe que l’on remporte des championnats." Quel est le joueur qui vous a le plus diverti ? "Le Cassano de la Sampdoria, j’avais accepté le défi de Garrone de gérer aussi l’équipe en Serie B. En huit ans, je l’ai amené aux préliminaires de la Ligue des Champions. Je n’en oublie pas Alessandro Del Piero, Gianluigi Buffon et Ronaldo." Et le plus indiscipliné ? "Arturo Vidal, c’est un homme qui a une double vie." Est-ce que l’appel de la Juventus a été le point culminant de votre carrière ? "Pour un dirigeant qui arrive de la Province, les grandes équipes comme la Juve auparavant et l’Inter maintenant représente la concrétisation d’un rêve d’enfant." N’est-ce qu’une coïncidence si le système dit "Paratici", basé sur les plus-values, a explosé après votre départ ? "Mes années à la Juventus font partie du passé et je ne peux en garder que des souvenirs positifs. Je ne m'intéresse pas au travail réalisé par les autres, je pense à mon présent Nerazzurro." Un processus de reconstruction est en cours à Turin, après le tremblement de terre relatif aux enquêtes. Pourriez-vous y revenir si l’offre vous était soumise ? "Je suis heureux du chemin que j'ai entrepris. À l'Inter, je me sens bien et je me concentre pour contribuer à de nouveaux succès". À quel trophée êtes-vous le plus attaché ? " Le championnat de Serie B gagné avec la Sampdoria, au premier Scudetto avec la Juventus et au Scudetto remporté avec l’Inter." Mais n’avez-vous jamais été contacté pour vous lancer dans le monde politique ? "Bien évidemment, et il faut toujours avoir un rêve de réserve dans son placard, le mien est d’y entrer sans carte de Parti, d’y offrir ma contribution en termes de compétence, d’expertise et d'expérience". Mais politiquement parlant, votre ami Giorgetti tente de vous séduire... "Non, regardez ici, il m'a envoyé un message pour me taquiner et me dire qu’il m’avait piqué Carlos Alcaraz du Racing car Giancarlo est un supporter de Southampton." Pour qui votez-vous ? "Je suis un modéré du centre, ce n'est pas un hasard si l’on m'a surnommé le Kissinger du football." Aviez-vous eu peur lorsque vous étiez hospitalisé en 2021 à cause du Covid-19 ? "Oui, car je n’avais aucune idée de l’évolution de la maladie: J’ai dû porter un masque à oxygène durant quelques jours, c’était des moments difficiles." Le Seul, l’Unique : Il Padrino Marotta ! ®Antony Gilles – Internazionale.fr
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Federico Dimarco plus haut sur le terrain ? Interview de son père
alex_j a posté un article dans F.C. Internazionale Milano
Les performances de l'ailier de l'Inter Federico Dimarco pour l'équipe nationale italienne pendant la trêve internationale ont démontré que les véritables forces du joueur de 24 ans résident dans ses capacités créatives plutôt que défensives. Selon SportMediaset, notre ailier est à son meilleur lorsqu'il est capable d'opérer plus haut sur le terrain et même au milieu de terrain plutôt qu'en profondeur comme il a souvent été utilisé pour les Nerazzurri. La position habituelle de Dimarco est celle d'ailier ou d'arrière gauche, bien qu'il ait souvent été utilisé à gauche d'une ligne à trois arrières par Simone Inzaghi. Alors que Dimarco peut jouer habilement les deux rôles à la fois et est utilisé pour les deux, c'est dans un rôle offensif plus large que Roberto Mancini l'a utilisé lors des victoires de la Ligue des Nations contre l'Angleterre et la Hongrie. Ces performances ont vu le joueur de 24 ans à son top car impliqué dans les meilleures phases offensives des Azzurri. Pour SportMediaset, c'est la preuve que c'est là où il est le mieux utilisé sur le terrain, au milieux plutôt qu'en défense. S'exprimant lors d'une interview avec Il Giorno, Gianni Dimarco a parlé de l'entreprise que lui et son frère dirigent. Il a expliqué comment les principes en ont été transmis à son fils. "Aujourd'hui, il faut de l'humilité pour maintenir une entreprise comme celle-ci, le reste ne compte pas, c'est un des principes que j'ai enseigné à mon fils. S'il est arrivé à jouer à un haut niveau c'est grâce à une volonté de travailler et avoir sa tête sur les épaules." "C'est mon beau-frère qui a transmis la passion du football à Federico. Alors qu'il n'avait que trois ans il l'a emmené au Meazza voir l'Inter, je l'ai toujours et seulement soutenu dans ses choix. Et le voyant heureux j'ai réalisé que c'était le bon chemin. Je vous laisse imaginer ce que l'appel de son équipe favorite représentait pour lui." "M'a-t-il aidé ? Il avait l'habitude de venir ici les après-midi après l'école, puis quand il a rejoint l'académie des jeunes de l'Inter, il avait moins de temps. Il a fait beaucoup de sacrifices et à un moment donné, il a dû choisir ce pour quoi il valait la peine de se battre." Traduction alex_j via FCInterNews et Sempreinter.- 9 commentaires
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Fabio Ravezzani : "Pourquoi Zhang ne vend-il pas ?" et l'ombre du PCC ?
alex_j a posté un article dans F.C. Internazionale Milano
Beaucoup de gens se demandent pourquoi, malgré la situation particulièrement précaire, le Suning roule toujours avec l'Inter. Voici le contexte raconté à Telelombardia par Fabio Ravezzani. Il y a des mois, et aujourd'hui, cela reste la seule offre officielle mise sur la table de Zhang, les fonds BC Partners a proposé 800 M€ pour obtenir la majorité du club, rejetés par l'actuel propriétaire. "Lorsque j'ai demandé qui était directement impliqué dans la négociation entre le Suning et BC Partners pour l'Inter 'Pourquoi ils n'ont pas vendu s'ils sont si mauvais ?', la réponse que j'ai reçue a été 'Parce qu'à mon avis, face à la perspective d'avoir dépensé 700 M€ ces dernières années et d'en ramener très peu à la maison, il a dû se dire : OK, à ce stade autant rester en selle jusqu'à la fin.' Dans cette affaire, Zhang perdra 400-500 M€." Pour compléter l'analyse pertinente de Fabio Ravezzani le Corriere della Sera rapporte que le congrès du Parti Communiste Chinois (PCC) qui se tiendra mi-Octobre sera déterminant pour la vente, ou non, de l'Inter. "Aussi pour cette raison, les nouvelles venant du conseil d'administration peuvent apporter un souffle quelque peu positif, ainsi que la preuve que la propriété chinoise vise à maintenir la compétitivité de l'Inter au plus haut niveau après avoir ajouté plus d'un milliard d'euros en six ans. Cela a freiné brutalement à cause de la pandémie et surtout par le diktat du PCC envers les investissements dans le football étranger qui sera probablement confirmé lors du congrès du PCC débutant à la mi-Octobre. Dans ce cas, cela pourrait encore accélérer la recherche de un investisseur pour l'Inter." Pour compléter le tout, Il Giornale revient sur la décision de Steven Zhang d'injecter 100 M€ du prêt octroyés par Oaktree pour amortir les pertes budgétaires. "D'abord les comptes dans le rouge comme souvent ces dernières années, les Zhang vont couvrir la perte : il y a ceux qui applaudissent et ceux qui s'étonnent. Cependant n'oublions pas que c'est le code civil qui oblige la propriété à couvrir une perte supérieure à l'actif net du club (91 M€ ici). Donc, pas de surprise mais une simple nécessité. Une première tranche de l'argent emprunté il y a un an à Oaktree avait été injectée dans les caisses de la société." Traduction alex_j via FCInter1908.-
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