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  1. Au terme de la finale de la Ligue des champions, Stéphane Dalmat s'est exprimé concernant ses sensations par le biais d'une vidéo Instagram: "Salut à tous, Dommage, nous sommes presque arrivés au miracle! Nous avions tous envie de gagner ce match. Nous aurions pu le faire car le match était serré. Eux aussi avaient peur de prendre un but. Il n'y a pas eu beaucoup d'occasions, ils ont tiré deux-trois fois au but. Sur une action anodine ils ont réussi à débloquer le match malheureusement. Nous aurions pu égaliser avec la tête de Lukaku qui aurait du maruqer mais bon c'est comme ça." . "Nous pouvons être fiers de l'équipe qui a montré qu'elle méritait d'être là et de jouer cette finale. Ils ont fait tout le possible pour gagner le match avec un stade où les interistes ont mis toute l'ambiance". "Je suis fier de cette équipe, ils se sont dépassé cette saison et ont donné de la satisfaction à tant de personnes lors des matches à élimination directe. Même sur cette finale, en réalité." "Nous pouvons dire que nous avons affronté la meilleure équipe d'Europe. Quand tu vois que sur le banc il y avait du Mahrez, du Walker, des énormes joueurs qui n'ont même pas pris part au match quasiment, à part Walker brièvement. Je pense que le résultat n'est pas mérité, le match aurait du se terminer sur un nul vierge. Manchester City n'a pas spécialement bien joué, l'Inter elle n'a pas su répéter certaines prestations qu'ils ont fait dans le passé. Avec la pression, ça peut arriver de ne pas arriver à jouer libérés, tous les joueurs ne sont pas habitués à jouer ce genre de match. J'ai quand même vu une équipe qui y a mis du cœur et je pense que nous pouvons être fier d'eux. " "Je les remercie pour les émotions qu'ils nous ont offert durant cette saison que je qualifierais de très belle. Seul le résultat final compte et malheureusement le trophée n'est pas revenu avec l'Inter à Milan. Maintenant que la saison est finie je pense que le club va faire un bilan, surtout par rapport au résultat en championnat. Il faudra voir aussi au mercato, quels joueurs arriveront pour renforcer l'équipe, quels joueurs partiront, etc. Pour l'instant remercions les et digérons cette défaite. Pas de la même manière que les autres défaites cela dit, c'était une finale, cela pouvait finir de toutes les manières. C'est le football, bravo à City et de notre côté soyons fiers et espérons que nous puissions performer à ce niveau la saison prochaine. Ce serait beau de pouvoir arriver à ce stade de nouveau." "Je vous remercie pour les moments que nous avons partagé, toutes les vidéos et le support que vous m'avez apporté. Merci aux gens aussi qui m'ont montré tant d'amour quand je suis allé à Milan. Je vous souhaite de passer un bon mercato, de bonnes vacances et de toute façon nous resterons en contact durant l'intersaison." "Comme je dis toujours 'Forza Inter, ciao a tutti'!" Internazionale.fr ~ © Samus
  2. La Serie A ayant tiré sa révérence, place au dernier match de la saison. Et avant la finale de la Ligue des Champions, Stéphane Dalmat a tenu à adresser ses impressions avant le match capital de ce Samedi, un message passé à ses followers sur Instagram: "Salut à tous, "Le championnat est maintenant fini. J'espérais qu'on fasse mieux que cette troisième place, je m'imaginais deuxièmes mais bon, on revient de loin! " "Une saison mi-figue mi-raisin en championnat, beaucoup de confusion. Une saison moyenne, pas mauvaise, disons. Avec deux phases, j'ai le sentiment que si l'Inter avait commencé la saison comme elle l'a fini, nous aurions pu nourrir des ambitions supérieures. Je ne dirai pas le scudetto car cette année, le Napoli a fait la saison de sa vie, tout leur a réussi. En France, c'est arrivé il y a deux-trois ans avec Lille qui a gagné le championnat dans la stupeur générale. Ils ont enchaîné les victoires, des matches qu'ils perdaient quelques années auparavant, il les ont remporté cette fois. " "Nous, nous avons subi une petite crise. Pour être honnête, l'entraîneur a été bon, nous l'avons beaucoup critiqué, demandé son changement, mais je pense que le club, l'entraîneur, les joueurs ont été forts mentalement. Au milieu du chaos ils ont gardé la tête froide au lieu de prendre de mauvaises décisions dans la frénésie. Aujourd'hui, nous avons assuré la Champions League. " "Par rapport à la finale, j'ai vu un peu partout, beaucoup disent que le match contre City sera très difficile, évidemment ce sera le cas. Mais plus le match se rapproche plus je me dis qu'en réalité, nous avons toutes nos chances. Quand je vois l'équipe de City contre la nôtre, à chaque poste, je ne vois pas une si énorme différence que ça. Je pense que les joueurs ont fait une très bonne fin de saison, qu'ils sont libérés et qu'ils joueront libérés avec rien à perdre. Ils pourront faire l'exploit de gagner la Ligue des Champions et clôturer cette saison pour en faire une très bonne saison. Sinon ce serait juste une bonne saison avec un arrière goût amer quand même. " "J'ai confiance, plus les jours passent, plus je me sens optimiste, nous ne sommes que Mardi donc attendons. Je sais que beaucoup voudraient aller à Istanbul! Pour l'instant je ne me sais pas trop, je pense que si il y avait la possibilité d'y envoyer 2 millions de supporters, tout le monde y serait allé mais c'est ainsi, les places sont comptées. Ceux qui y seront auront une belle opportunité d'assister à un match de ce calibre, mais nous aussi devant notre TV ou au bar, ou autre, nous serons aussi à 1000% derrière l'équipe. " "J'y crois, nous pouvons y arriver. C'est City, OK, mais je ne sais pas, je sens quelque chose. L'impression qu'il y a des possibilités. Notre milieu de terrain n'est pas inférieur au leur, nous aurons nos occasions de marquer. " "Nous aurons aussi des périodes où il faudra souffrir, résister. Pour être honnête, je suis là à trépigner d'impatience comme si j'allais moi-même jouer. Quelle sensation, je me retrouves comme 20 ans auparavant à compter les jours avant un match de cette ampleur. " "Nous verrons, je souhaitais saluer tous mes followers sur Instagram, je vous remercie de votre attention et de votre support, je fais de mon mieux pour parler en italien, en français je saurais m'exprimer plus facilement. Mais ça m'a fait plaisir de commenter les matches de l'Inter avec vous cette saison et j'espère que ce samedi, ce sera une fête et une victoire pour nous. Je suis fier d'être interista et j'ai hâte! Je vous souhaite une bonne journée et à Samedi. " "Comme je dis toujours, 'Forza Inter'! " Internazionale.fr ~ © Samus
  3. Sur le retour après avoir assisté à la belle victoire des nerazzurri face au Milan ce Mardi, Stéphane Dalmat a tenu a adressé un message aux tifosi interistes, satisfait de la prestation et de la qualification assurée: "Salut à tous! Après la victoire d'hier soir, nous allons disputer la finale à Istanbul! J'ai passé une soirée extraordinaire, assisté à un bon match, bien géré. Avec une victoire 1-0 à la clé et une qualification 100% méritée. Nous allons en finale! A présent, nous devons bien sûr célébrer cette victoire, ce qui est normal. Mais aussi attendre de voir notre adversaire qui sera City ou le Real, dans tous les cas, un match très difficile nous attend. Mais sur un match, sec, il n'y a pas à se demander qui est le plus fort. Nous savons que sur le papier, nous aurons en face une des deux meilleurs équipes en Europe, mais nous avons toutes les qualités pour gagner cette Ligue des Champions. Ce serait... Ouf... tellement parfait. A présent, je pense que nous devons nous concentrer et être sereins, il y a encore la fin de championnat à jouer, une finale de Coppa Italia à gagner. Personnellement je suis très content d'être retourné 20 ans après au stade et d'avoir assisté à la revanche de 2003. A présent tout cela est oublié! Merci aux joueurs, à vous, tifosi, qui avaient mis l'ambiance et fait le spectacle en tribune. C'était merveilleux, j'ai filmé tout cela avec mon téléphone. Bonne chance pour la fin de la saison, on va se revoir, car la saison n'est pas encore finie! Je m'en retourne à Paris, tranquille, le coeur joyeux, et comme je dis toujours ' Forza Inter, Ciao a tutti'. ". https://www.instagram.com/p/CsWrJWmIT8C/ Internazionale.fr ~ © Samus
  4. L'Inter a impressionné en Ligue des champions cette saison avec une équipe construite sur une base solide de joueurs. Ceci est mis en évidence dans l'édition imprimée d'aujourd'hui du journal romain Corriere dello Sport, via FCInterNews , qui déclare que les Nerazzurri sont "Made in Italy" avec Alessandro Bastoni, Francesco Acerbi, Matteo Darmian, Nicolo Barella et Federico Dimarco tous avoir des rôles clés à jouer. Alors que la réputation "internationale" de l'Inter a longtemps été confirmée par les succès de l'équipe au fil des ans avec des joueurs du monde entier plutôt que de s'appuyer principalement sur les meilleurs talents italiens, les Nerazzurri ont eu plus que leur part de grands joueurs italiens. Cette saison, il y a de nombreux joueurs clés dans l'équipe de l'Inter qui ne sont pas italiens, d'André Onana à Hakan Calhanoglu en passant par Lautaro Martinez. Cependant, note le Corriere, il y a un thème typiquement italien dans l'équipe, en particulier à la base de l'équipe. En Ligue des champions, les Nerazzurri se sont alignés avec une ligne de fond entièrement italienne composée de Darmian, Acerbi et Bastoni mardi contre Benfica. S'il n'y avait ni Milan Skriniar, absent pour cause de blessure, ni Stefan de Vrij, désormais deuxième choix derrière Acerbi, l'équipe n'a guère manqué de ces deux piliers défensif d'Antonio Conte. Pendant ce temps, au milieu de terrain, Barella est devenu de plus en plus important pour les Nerazzurri au fil des années depuis son arrivée de Cagliari à l'été 2019. Cette saison, le joueur de 26 ans a assuré une présence italienne constante à l'Inter, avec sa qualité technique et son style de jeu tout en action, et de plus en plus ses buts et ses passes décisives, des facteurs majeurs pour cette équipe toute la saison. Ensuite, il y a Federico Dimarco, qui n'est pas nécessairement cette saison le titulaire indiscutable sur le flanc gauche mais a mérité son rôle de titulaire régulier. Le joueur de 25 ans a beaucoup plus débuté que Robin Gosens, car même si l'Allemand est arrivé pour un gros montant et avec de grandes attentes de le voir a son niveau de l'Atalanta, c'est l'Italien qui possède vraiment le rôle a ce poste. La même dynamique a également joué sur le flanc droit, Darmian ayant souvent été sélectionné devant le Néerlandais Denzel Dumfries, bien que la blessure de Skriniar ait signifié que l'ancien polyvalent de Manchester United a été plus souvent utilisé en défense ces derniers temps. Outre ces cinq, note le Corriere, il y a aussi la présence de joueurs de l'équipe comme Danilo D'Ambrosio, Raoul Bellanova et Roberto Gagliardini, qui ont assuré que même en dehors du onze de départ régulier, il y a une vraie représentation italienne au sein de cette équipe. Made In Italia! Traduction Lindt1908 Via SempreInter
  5. Le Vendredi 10 Mars à 20h45, l'Inter se déplacera au stade Alberto-Picco de la Spezia lors de la 26è journée de Séria A. Simone Inzaghi à répondu aux questions des journalistes dans sa conférence de presse d'avant match: Après Bologne, il fallait une réaction et elle est arrivée avec Lecce. Maintenant à la Spezia vous avez besoin de trouver de la continuité c'est ce qui vous fait défaut défaut ces dernières semaines ? "Absolument oui, nous avons bien réagi en faisant un excellent match contre Lecce. Il faut continuer comme ça, en maintenant cette détermination à partir de demain à La Spezia". La différence entre les performances à San Siro et les matchs à l'extérieur est claire. Au vu du calendrier de l'Inter, quelles réponses attendez-vous du match de demain ? "Je m'attends à un match difficile contre une équipe qui se bat pour un objectif bien précis et qui a changé d'entraîneur. Ils viennent de deux nuls consécutifs qui sont arrivés dans le bon sens et donc il va falloir interpréter le match de la meilleure façon possible en faisant des choses simples et essentielles". Spezia puis Porto, après beaucoup de travail et la montée en puissance, à quel niveau se situe la condition de Lukaku ? Serait-ce le tournant pour lui ? "Nous connaissons la valeur du joueur, il sort d'une période difficile. Mais maintenant, il donne d'excellents signaux, il s'entraîne de la meilleure façon possible chaque jour et a déjà marqué un but important contre Porto. Nous voulons qu'il continue à améliorer sa condition pour pouvoir nous aider à gagner les matchs". Que répondez-vous à ceux qui prétendent être trop attachés au 3-5-2 et n'ont pas de plans B en lice ? "Au départ dans ma carrière et aussi dans ma première année en tant que professionnel, j'ai joué avec une formation différente. Ici à l'Inter et ces dernières années à la Lazio, à mon avis, il y avait les bonnes caractéristiques pour les joueurs et nous avons obtenu d'excellents résultats, mais pendant vous pouvez toujours changer le match, peut-être en ajoutant un attaquant supplémentaire. J'essaierai de faire les bonnes considérations." Comment vont Skriniar et Dimarco ? "Dimarco va bien, il est appelé. Correa a travaillé partiellement dans un groupe, mais il ne viendra pas à La Spezia avec nous. Malheureusement, Skriniar est toujours indisponible, nous espérons que lorsqu'on rentrera de Spezia samedi qu'il pourra déjà partiellement rejoindre le groupe. Skriniar doit se soigner, mais Darmian bras dessus bras dessous a toujours très bien fait son devoir. L'un est plus défenseur, l'autre participe mieux à la manœuvre : du point de vue de l'entraîneur, quelles sont les principales différences qui impactent l'équipe dans le déploiement de l'un ou de l'autre ? "Ce sont des joueurs très importants, de très grands professionnels. C'est clair que chacun a ses qualités : en ce moment j'ai la chance d'avoir Darmian et D'Ambrosio qui travaillent très bien. On compense l'absence de Skriniar de la meilleure façon possible" Au milieu de terrain, il y a beaucoup d'options et il y a beaucoup de concurrence. Asllani et Gagliardini trouvent moins de place : comment fonctionnent-ils à l'entraînement ? Cette situation pourrait-elle changer compte tenu des nombreux matchs à venir ? « Nous avons beaucoup de matchs d'ici la fin : Gagliardini et Asllani sont deux grands joueurs qui travaillent très bien au quotidien. Avec le retour de Brozovic, les rotations se sont allongées, mais elles seront précieuses d'ici la fin de la saison." Brozovic, et les problèmes physiques qu'il a rencontré l'ont longtemps tenu à l'écart, il est passé de titulaire inamovible à remplaçant. C'est aussi dû aux prestations de Calha. Comment le Croate vit-il ce moment ? "Il travaille très bien et je suis satisfait. Il est très bien entré sur le terrain contre Porto et contre Lecce dimanche : son état continuera de s'améliorer de jour en jour et il redeviendra le joueur que nous connaissons tous." Traduction Lindt1908 Via Inter1908
  6. Sebastien Ledure, l'avocat qui s'est occupé du retour de Lukaku à Milan, a parlé aux micros de SkySports après avoir terminé le processus bureaucratique lié au transfert au siège de l'Inter. Êtes-vous satisfait du déroulement des négociations? "Nous venons de finir les formalités. Nous sommes contents, fatigués aussi, mais nous arrivons à une belle conclusion de cette opération. Nous sommes tous très contents". Beaucoup disaient que c'était impossible d'y arriver. Comment avez-vous réussi à mettre tout le monde d'accord? "C'est vrai qu'au début personne n'y croyait. Beaucoup de personnes disaient que c'était impossible à conclure comme transfert mais il nous fallait rester discrets, travailler dans l'ombre. C'est ce que nous avons essayé de faire en travaillant avec le nouveau propriétaire de Chelsea et les dirigeants de l'Inter. Ils ont tout fait dans la discrétion et le résultat est là. C'est tout ce qui importe, Romelu est revenu à Milan et nous espérons que cela soit un succès". Y a-t-il eu moment où vous avez eu des doutes? Où vous avez pensé que cela allait échouer? Il y avait cette crainte à tout moment car la situation était difficile, un joueur vendu à un tel prix faire le trajet inverse l'année d'après, c'est du jamais vu. C'est une situation très difficile mais nous y avons travaillé petit à petit, c'était la meilleure chose à faire". Comment se porte Lukaku? Que nous réserve le futur vu que c'est un prêt d'un an ? "Qui sait ce qui nous attend. Profitons de cette saison, ce retour à l'Inter puis nous verrons. Le plus important est qu'il soit revenu et qu'il soit heureux. C'est ce qui importe". Internazionale.fr ~ © Samus
  7. Comment communique-t'on dans une entreprise telle qu'un club de foot? Sur quels boutons appuyer et comment atteindre les objectifs fixés? C'est Luca Danovaro, Chief Marketing Officer de l'Internazionale qui l'explique à DailyNet. "L'Inter a fortement cru dans le processus de repositionnement de sa marque sur le marché. Un processus commencé en 2017 avec l'avènement d'Inter Media House et poursuivi par la croissance exponentielle de tous les canaux digitaux du club, ce qui nous a permis de nous connecter à des millions de tifosi de par le monde, la création du nouveau siège dans le district d'innovation de Porta Nuova ainsi que le lancement de notre iconique campagne Not For Everyone", explique t'il. "En Mars 2021, la nouvelle identité visuelle a vu le jour, une identité qui exalte nos valeurs fondatrices, renforce le lien avec la ville de Milan et qui parle aussi le langage digital et global des nouvelles générations faisant de l'Inter une icône culturelle en plus de sportive. L'appeal de notre marque nous positionne comme une entreprise moderne, une global entertainment company, ouverte à la collaboration avec les marques les plus connues du monde de la Mode, du Design et de l'innovation et nous permet de développer de nouveaux accords commerciaux". "Le lancement du nouveau logo a aussi été un pas fondamental dans notre processus de développement entrepris avec l'objectif de donner à la marque Inter une nouvelle jeunesse, la rendre plus contemporaine et plus internationale. Notre coeur de métier est et restera le football mais avec une part de plus en plus importante accordée au monde du divertissement ces dernières années, cela à travers des contenus innovatifs, dynamiques, capables de dialoguer avec tous les segments d'un public toujours plus diversifié, international et plus jeune, habitué à profiter du monde du sport d'une manière différente par rapport au supporter plus 'traditionnel' ". "De plus, nous avons changé de manière de communiquer et dialoguer, avec un ton de voix plus défini, plus jeune qui nous a permis de nous rapprocher des nouvelles générations. L'esprit innovatif et la recherche de nouvelle forme de dialogue ont porté le club à profiter des plateformes digitales émergentes (l'Inter est le premier club italien sur les réseaux en Chine) ainsi que des secteurs en forte croissance d'intérêt au niveau des plus jeunes comme l'eSports. On peut dire que le nouveau logo est la consécration de ce processus, nous voulions donner à l'Inter une emblème qui célèbre la passion de milliers de fans ainsi qu'un héritage construit durant 113 années d'histoire, tout en cherchant à nous connecter aux éléments culturels, de Design et de Mode de la ville de Milan, utilisant des couleurs et des langues qui parleront plus aux générations futures et provenant de partout dans le monde. Nous avons observé une croissance de la valeur de notre marque de 30% (source, Brand Finance Football 50 2022) durant la première saison avec notre nouveau logo". Quant aux objectifs sur les réseaux sociaux "Nous avons été parmi les premiers à prendre place sur les réseaux sociaux en Chine, à arriver sur TikTok ou encore à lancer notre podcast. Tout cela rentre dans le cadre de notre volonté de satisfaire la passion et la curiosité internationale avec des moyens alternatifs. Sur le plan des réseaux sociaux, nous avons eu une croissance de 15% dans notre fanbase avec plus de 7 millions de fan et un grand exploit sur TikTok (+173%). Nos compétiteurs ne sont plus juste les autres clubs de foot mais aussi les grandes plateformes de divertissement comme Netflix ou de gaming parce que la relation avec les nouvelles générations se développe à travers la création de contenus sur ces plateformes qui sont les plus fréquentées par les jeunes". Au niveau des sponsors "Une collaboration avec DigitalBits se concrétisera avec des opportunités de faire du business ensemble, l'intégration de leur technologie dans l'application mobile de l'inter. Un autre cas est celui de Socios avec qui le club a pu créer une nouvelle voie pour susciter de l'engagement auprès des supporters, les nerazzurri de par le monde. Nous avons enregistré une croissance de 14% de nos sponsorings. La plateforme que nous avons construit avec le repositionnement de la marque sur le marché nous permet de parler avec une audience mondiale et diversifié que ce soit sur le plan générationnel comme culturel. C'est cela qui intéresse nos partenaires commerciaux pour profiter des potentialités des accords que nous avons signé avec le maximum d'efficacité. Cette stratégie se base sur la réalisation de notre marketing construit sur-mesure pour correspondre à notre audience-cible ainsi qu'à celle de nos partenaires. Le club investit énormément dans ce sens. Il est possible de géo-localiser en temps réel des messages et ldes campagnes de marketing sur les panneaux autour du terrain durant les matches et ce, depuis plusieurs régions dans le monde. Justement en terme d'affluences dans les stades, l'Inter a explosé le quota des 1.2 millons de spectateurs, clôturant un année de tous les records avec Inter Club (127 000 nouveaux membres de par le monde, +23% par rapport à la saison précédente. Aujourd'hui nous avons 40 000 abonnements déjà renouvelés". "Avec le Président Steven Zhang, nous avons tout de suite partagé la même vision, qui est de reporter l'Inter au sommet, avant tout, avant de chercher à nous engager dans le marketing pour faire croître la valeur de la marque Inter. Ce que nous avons là, c'est une véritable plateforme de divertissement, nous sommes partis des fondements du club, nous sommes devenus internationaux, nous nous sommes modernisé et avons intégrer des problématiques d'inclusivité. Nous avons créé une Media House. Nous avons aussi renouvelé nos 'uniformes' , avec ce logo remodelé, une identité visuelle, moderne et minimaliste. C'est ainsi que nous avons cherché à attirer de nouveaux investisseurs, et les résultats ne se sont pas fait attendre". Internazionale.fr ~ © Samus
  8. Si le terrain a couronné le Milan, l'Inter peut se consoler un tant soi peu sur le plan économique, ayant terminé la saison au sommet du classement des recettes provenant des droits TV de la saison 2021/2022. L'analyse des documents de la Lega Serie A de la part de la Gazzetta dello Sport met en évidence le fait que les droits globaux ont baissés, passant de 1.123 milliards d'euros à 939 millions. A l'Inter, comme annoncé, va la plus grosse part du gâteau avec 84.2 millions contre les 77.9 de la Juventus et les 77.8 des champions milanais. La raison qui explique cela? L'affluence supérieure à San Siro et les performances sur les 5 dernières saisons. Le titre sportif a accordé au Milan 20 millions d'euros, 3 de plus que l'Inter. La Juventus quant à elle est le club qui a le plus reçu sur la base des audiences TV (12 millions comparés aux 10 de l'Inter et 8 du Milan) et aussi des résultats du dernier quinquennat, mais il faut rappeler que c'est le club le plus pénalisé par la récente révision de la loi Melandri : En 2017/2018 elle avait reçut 110 millions, l'année suivante ce montant avait été réduit de 10 millions du à l'abandon du critère démographique mesuré par les différentes enquêtes auprès des utilisateurs ( la Juventus est supportée par 25% des utilisateurs nationaux). Le rapport entre le premier et le dernier de ce classement reste aussi stable, 3.2 à 1 avec l'Inter qui percevrait le triple de Venezia qui émarge à 26 millions d'euros. Internazionale.fr ~ © Samus
  9. Intervenu durant l'émission 'Tempi Supplementari' diffusé sur Rai Radio1 Sport, Beppe Marotta a commenté le tirage au sort du calendrier de la Serie A qui commencera le week-end du 14 Aout. "Ce sera un championnat inédit, il n'y a jamais eu, dans l'histoire du football italien, un championnat avec ce format. Avec une première période qui ira jusqu'au 13 Novembre avec 15 matches entrecoupés de rencontre de Champions League. Il est évident que tous les acteurs du monde du football doivent prendre en compte cette anomalie, en considérant le fait qu'il y aura une trêve, de Novembre à Décembre, tandis que pour les internationaux, il faudra participer à un Mondial dans un climat totalement différente". "Des effectifs très fournis? Absolument, en effet, les rencontres très rapprochées vont augmenter les blessures musculaires, les blessures de tous genres. L'effectif doit être bien fourni toujours en relation avec le fameux business plan des clubs et le concept désormais bien répandu de durabilité. Le calendrier asymétrique? Nous aurons une fin de championnat haletante, l'espoir reste d'arriver à ces dates en pleine forme et avec un position respectable au classement". "Le derby? Il arrive très rapidement, mais je pense qu'à ce moment-là cela veut dire qu'Inter comme Milan seront dans les meilleures conditions pour s'affronter de la meilleure manière. Cela contribuera positivement sur la renommée de cette rencontre que ce soit en Italie comme à l'extérieur". Le calendrier prévoit notamment quatre journées avant la clôture du mercato d'été. "Il faudra aussi gérer cela, il y aura des agents mécontents mais nous, dirigeants, devons nous montrer compétents pour affronter ces 4 journées. Il faudra bien gérer ces moments où il pourrait y avoir de la confrontation avec les joueurs ou leurs agents". Le mercato de l'Inter, orienté durabilité "C'est un modèle qui n'est pas à utiliser et à respecter que par l'Inter, il concerne tout le football italien. Aujourd'hui nous devons nous rendre compte que la Serie A n'est plus un El Dorado footballistique, c'est un championnat qui doit redorer son blason. Mais il faut surtout tenir compte du fait que nous subissons une certaine contraction économique et financière. Il faut limiter les coûts, cette recherche de la durabilité doit toujours être considérée par les dirigeants". Internazionale.fr ~ © Samus
  10. C'était dans l'air, ces derniers temps, les premières confirmations tombent quant aux conditions du transfert de Romelu Lukaku à l'Inter. L'attaquant belge est sur le point de s'engager avec les nerazzurri pour un an. Fabrizio Romano l'affirme sur les réseaux sociaux : " Romelu Lukaku retourne à l'Inter 'Here we Go'! Accord total, il ne manque plus que la signature du contrat qui courra jusqu'à fin Juin 2023, la formule sera celle du prêt payant à hauteur de 8 millions d'euros assorti de bonus divers liés aux prestations de l'équipe. Lukaku aura un salaire de 8 millions d'euros (initialement payé 12 millions nets en Angleterre, ndlr.) et il ne sera inclus aucune option ou obligation d'achat à l'issue du prêt." Selon Di Marzio l'accélération soudaine des négociations serait due à l'arrivée de l'avocat de Lukaku, Sébastien Ledure, au siège du club. Les prochaines heures serviront à mettre en place les visites médicales puis l'officialisation sera faite. Tout semble prêt pour le retour de Lukaku, un peu moins d'un an après son départ du club. Internazionale.fr ~ © Samus
  11. L'Inter vient d'annoncer la prolongation du contrat de son entraîneur Simone Inzaghi après une saison 2021/2022 couronnée de deux titres et d'une seconde place en championnat: "Le FC Internazionale Milano a le plaisir d'annoncer que Simone Inzaghi a signé un nouveau contrat avec le club en tant qu'entraîneur principal jusqu'en 2024". Cela a été suivi par un post du Président Steven Zhang sur les réseaux sociaux: "Mister, c'est un plaisir de travailler avec vous !". Internazionale.fr ~ © Samus
  12. A l'occasion de l'évènement Il Foglia à San Siro, l'administrateur délégué de l'Inter, Beppe Marotta a parlé notamment de la course au scudetto. "Nous avons perdu une bataille mais pas la guerre. Nous devons chercher à nous recompacter, nous sommes en colère, pas abattus. Il manque encore 4 matches, le sort n'est pas scellé comme cela se voyait dans les années 70 ou 80. Même les équipes qui n'ont virtuellement plus rien à jouer auront leur mot à dire". Il y a eu une sorte de nivellement du championnat italien, par le haut comme par le bas, comment cela s'explique-t'il? "Effectivement, il y a ce nivellement, personne n'a encore remporté le trophée, personne n'est encore relégué, les places en Europe ne sont pas encore toutes attribuées. C'est l'un des championnats les plus intéressants de ces dernières années. Nous avons gagné l'année passée avec beaucoup d'avance après une longue domination de la Juve, pour notre championnat qui s'est appauvri, c'est une bonne chose". A maintenant un an de la Superligue, deux ans après le début de la pandémie, quelle est la situation? "Nous sommes en grande difficulté, pour un motif historique, déjà avant la pandémie, les coûts étaient insoutenables comparés aux recettes. Aujourd'hui avec la pandémie qui a généré cette situation économique, c'est encore pire. Les championnats domestiques, comme l'a dit Andrea Agnelli, sont dominés par la Premier League et pour tous les autres ce sont de grandes difficultés. Heureusement, il semble que ce n'est pas celui qui dépense le plus qui gagne. Les compétences des uns et des autres émergent ainsi, et ce, dans toutes les entreprises. Il faut être créatifs dans la manière de rechercher ses compétences pour ceux qui ont cette responsabilité, cela permet d'inculquer une mentalité gagnante". Exit Conte, Lukaku et Hakimi, Eriksen lui n'avait plus le droit d'évoluer en Italie, mais vous êtes toujours compétitifs. Les huitièmes de Ligue des Champions la finale de Coppa Italia, le scudetto qui se dispute encore. Quel est le secret de Marotta pour rester plus ou moins au même niveau sans sentir le contrecoup de ces départs? "Ce n'est pas celui qui dépense le plus qui gagne. Cela a généré une secousse bien sûr, des joueurs sont partis, à part Eriksen, vu que ce n'était pas de sa volonté. Lukaku et Hakimi ont exprimé leur envie d'ailleurs et de notre côté nous avions l'opportunité de réaliser des opérations financières importantes. Nous avons fait comme les autres années, en essayant de garder l'équipe compétitive avec un entraîneur jeune et émergent comme Inzaghi qui satisfait pleinement nos exigences. Nous sommes en lutte pour le scudetto, nous avons gagné la Supercoupe, nous sommes en finale de Coppa Italia, globalement nous sommes contents. Nous espérons encore avoir deux cerises de plus sur notre gâteau. Tout ceci est dû à la structure et à la solidité du club". Revenons sur trois moments de votre carrière. "Recoba à Venise? C'est un coup de chance et sûrement fruit d'une circonstance favorable. Il a totalement changé Venise qui semblait destiné à la relégation. L'individualité a pris le pas sur le collectif pour porter à des résultats finaux. Recoba gagnait des matches tout seul et il nous a porté au maintien. Des rêves se réalisent et permettent d'ouvrir de nouvelles pages, il y a eu la Champions League avec la Samp. J'ai remporté 7 scudetti avec la Juventus, même à l'Inter je ne m'imaginais pas arriver et y remporter le scudetto. Dans le sport tout est possible, le temps l'enseigne. La caractéristique fondamentale est l'expérience dans la vie de tous les jours, cette expérience qui permet de savoir où je me suis raté et comment pour trouver les remèdes et aborder les objectifs différemment". Le présumé décès de Mino Raiola. "On m'a dit que ce n'est pas le cas. J'espère que non". Le rôle des agents dans le football… "Moi je faisais signer les plus vieux en premier et les jeunes suivaient par peur de répercussions. Je ne pouvais pas appliquer la loi de Boniperti. Mino est un agent toujours très préparé, fourbe, astucieux, très correct aussi. Il a cette manière de toujours dire ce qu'il pense. Ses revendications étaient toujours onéreuses mais claires. L'opération Pogba à United, je l'ai géré à la Juventus et il a été très compétent pour l'amener à bon port. C'est le meilleur". Pouvez-vous mieux définir le rôle d'agent? "Autrefois les contrats étaient à vie puis ils ont tendu à plus se libérer et donc ces lignes de métiers se sont formées. Les agents des fois sont très peu professionnels. Souvent nous avons à faire avec des gens incompétents, qui ne savent pas travailler dans l'intérêt de leur client, au-delà de l'aspect économique. Puis il y a les bons agents. Chaque transfert comporte des intermédiaires, ce que j'espère c'est qu'un jour les agents réalisent que des fois il vaut mieux ne pas gagner à la fin si cela fait la fortune de leur client". L'Italie non qualifiée pour le second Mondial d'affilée… "Le gros problème de l'Italie c'est l'absence d'un ministère des Sports. Aujourd'hui, la crise est dans toutes les disciplines sportives, il n'y a plus personne qui transmet la passion. Avec un ministère, tu peux faire comprendre l'intérêt du sport dans les écoles. Avant il y avait plus de passion, cela tend à disparaitre, de même que les clubs amateurs, c'est nécessaire d'inclure le sport à l'école. Il n'y a plus de structures et c'est de là que provient cette crise du Sport. Il n'y a plus de formations, plus les enseignants dans le domaine du football, du basket, du volley. Plus de bons élèves, plus de formateurs, le monde de la politique doit comprendre l'importance du sport.Les résultats des équipes amènent des émotions en plus de recettes copieuses. Au niveau des jeunes, il y a un manque de culture de la part des dirigeants, une culture de la défaite. La manière dont on évalue les entraîneurs est absurde, les dirigeants doivent comprendre leur rôle, former des athlètes qui seront les hommes de demains, pas forcément des professionnels d'ailleurs. Les entraîneurs, eux, par peur de se faire limoger, sont pressés par les résultats. Il faut apprendre à évaluer les entraîneurs sur leurs aspects positifs, comment ils entraînent les jeunes joueurs". Lors de Manchester City - Real Madrid, nous nous sommes exaltés devant le football pratiqué en Ligue des Champions. "Les matches ont souvent pour protagoniste le Real Madrid, un club avec un très bon entraîneur et de bons joueurs qui ne lâchent jamais rien. Je suis sûr qu'ils figureront bien au retour aussi. Cela dépeint une image positive du format de tournoi qui apporte, lors des phases finales, des émotions et du spectacle et surtout des buts. Le but est l'élément central". Qui est l'entraîneur le plus divertissant que vous ayez vu? "Un grand porteur d'innovation en Italie pour moi, qui aurait peut-être pu avoir une meilleure carrière n'eut été son caractère: Eugenio Fascetti. Il m'a énormément enseigné car j'étais jeune et j'apprenais facilement". La question du stade… "Antonello parlera du stade plus tard… Le stade fait aussi la différence dans les résultats sportifs, dans le sens d'appartenance, l'impression d'être chez soi. Le supporter peut y être fortement impliqué pour son équipe, et cela en plus d'apporter d'autres bénéfices. Je suis absolument en faveur d'un stade de propriété, cela a son importance". Comment ça se passe avec Inzaghi? "Tout est au beau fixe, nous sommes très content de Inzaghi. Il a de bons résultats et présente d'importantes marges de progression. Quand il aura l'âge des Conte, Ancelotti, Allegri, il pourrait être l'un des meilleurs entraîneurs en circulation". Internazionale.fr ~ © Samus
  13. Mathématiquement qualifiée pour la prochaine Ligue des Champions, l'Inter devra payer 1.5M aux Giallorossi de la Roma. Selon le Corriere dello Sport, les nerazzurri doivent payer cette somme dans le cadre d'une clause incluse dans le transfert d'Edin Dzeko. En effet, l'Inter n'a pas eu à payer d'indemnité à la Roma lorsque le bosnien rejoignait le club durant l'été 2021 mais l'accord prévoyait un bonus en cas de qualification à la plus grande compétition de clubs. La qualification ne semblait pas être spécifiquement en doute cette saison, à part peut-être durant la courte baisse de forme de l'Inter, mais il restait encore à la confirmer mathématiquement. Paradoxalement, c'est contre la Roma que les interistes ont officiellement compostés leur billet, les engageant à "dédommager" leurs adversaires du soir pour la défaite. Internazionale.fr ~ © Samus
  14. Comme annoncé hier, José Mourinho a perdu un de ses titulaires en vue du match de cet après-midi, en effet selon Gianluca Di Marzio, Bryan Cristante ne sera pas à disposition de l'entraîneur portugais. Le motif n'est pas encore très clair mais le joueur n'est pas parti pour Milan en compagnie de son équipe. Jordan Veretout évoluera à sa place aux côtés de Sergio Oliveira. Inter - Roma : Episode 177 en Serie A avec un bilan en faveur des nerazzurri: Seule la Juve a affronté plus de fois l'Inter en Serie A avec 178 rencontres. Le bilan entre les deux équipes est de 74 victoires interistes contre 49 des giallorossi avec 54 matches nuls. La Roma reste, de plus, l'équipe contre qui l'Inter a gagné le plus de matches (74) et inscrit le plus de buts (287) en première division italienne. Internazionale.fr ~ © Samus
  15. L'Inter est protégée de toute turbulences économiques au moins pour les deux prochaines saisons. C'est ce qui ressort des dires de dirigeants de la Goldman Sachs qui a agit en qualité de Global Coordinator et de Bookrunner tandis que la Rothschild a eu le rôle de Financial Advisor) durant les tractations du club avec les investisseurs pour le récent financement de 415 millions d'euros. Cela provient de Calcio e Finanza après avoir découvert que Greg Carey, Managing Director de la banque Nord-américaine a participé à l'avancée de l'opération. Comme l'explique le dirigeant de la Goldman Sachs, raconte Calcio e Finanza, les quasi 264 millions d'euros de liquidités dans les caisses de l'Inter pourront être utilisés pour subvenir à n'importe quel besoin pour les deux prochaines saisons. Dans ces fameux 264 millions, 133 étaient déjà présents dans les caisses interistes au 31 Décembre 2021 tandis que les 131.6 millions additionnels sont placés dans les caisses de Grand Tower, société d'investissements luxembourgeoise que le Suning utilise pour contrôler l'inter et dans laquelle sont fusionnés les 275 millions d'euros provenant du financement du fond américain Oaktree. Internazionale.fr ~ © Samus
  16. Interviewé par Sport, André Onana a abordé de nouveau son passé au FC Barcelone avant de laisser carrément la porte ouverte à un retour dans son club de formation. Si quasiment toutes les sources s'accordent pour dire que Onana va probablement signer à l'Inter, le gardien de l'Ajax ne semble pas être aussi décidé: Vous êtes de retour sur les terrains, 297 jours après. Comment vous sentez-vous? "Très bien. Je suis content d'être de nouveau un joueur de foot, c'est émouvant. Ce qui ne te tue pas, te rend plus fort". Revenons-en à ce fameux mois d'Octobre 2020. Que s'est-il donc passé? "Nous venions d'affronter l'Atalanta. Nous avons fait un match nul (2-2) dans un match très intense. Nous sommes rentrés très tôt le matin et je me suis réveillé avec des maux de tête. Je suis allé prendre les médicaments qu'on m'avait prescrit (Litacol), mais ma femme venait d'accoucher et on lui avait à l'époque prescrit une pilule qui y ressemblait beaucoup (Lasimac) pour la rétention d'eau et je l'ai prise par inadvertance. Je me suis présenté en premier pour le test anti-dopage avant de rentrer chez moi. Un mois après, j'étais au Cameroun et on m'a contacté pour me dire que j'étais positif. J'ai dit au médecin: 'Non tu te trompes, j'ai fait plus de 23 tests dans ma carrière'. Quand il m'a dit que j'étais positif au Furosémide, j'ai répondu: 'Qu'est-ce que c'est?'. C'est ma femme qui m'a dit que c'était ce qu'il y avait dans ses pilules". Vous dites avoir été testé positif… Vous ne vous êtes pas dopé? "C'est la vérité. J'étais au top de ma carrière, j'avais été nommé quatre fois d'affilée meilleur gardien d'Eredivisie, j'étais parmi les meilleurs au monde. Je me serais dopé pourquoi? Devenir le meilleur de la planète?". Le 13 Novembre, vous avez foulé la pelouse avec le Cameroun de nouveau. "Ca a été comme une renaissance. Au Cameroun, on m'a soutenu dès le début et quand je suis revenu je ne m'attendais pas à rejouer mais l'entraîneur m'a dit :'André, c'est toi mon guerrier'. J'ai pensé: 'Wow, ça fait 9 mois que je n'ai pas joué, j'espère pouvoir lui repayer la confiance qu'il a mis en moi'. Tout s'est bien passé". Votre contrat expire en Juin, vous n'avez pas encore prolongé avec l'Ajax et on parle beaucoup de l'Inter. De quoi votre futur sera-t-il fait? "Les gens parlent beaucoup. On m'a placé au Barca, à l'Inter, Arsenal, Lyon, Nice, Monaco… pendant que j'étais assis chez moi, suspendu (il rit, ndlr.). C'est vrai que nous ne sommes pas arrivés à trouver un accord avec l'Ajax et je remercie le club pour l'opportunité qu'il m'a offert. A présent, après 7 ans, je pense que c'est le moment de faire un pas en avant et laisser de l'espace à d'autres aussi. L'Ajax est un club qui donne souvent l'opportunité aux jeunes et ils ont beaucoup de gardiens prêts à être lancés, ils attendent juste l'opportunité. Je dois partir. Je ne sais pas où, mais j'ai besoin de changer pour me mesurer aux meilleurs gardiens". Vous avez toujours parlé d'un retour au Barca. Même si ce n'est pas dès ce mois de Juin, est-ce toujours l'objectif? "Le Barca, c'est chez moi. Chaque fois que j'ai un peu de temps libre, je vais à Barcelone et je m'y sens très heureux (il sourit, ndlr.)". ---------------------------------------- Selon le Corriere dello Sport, les déclarations du gardien de l'Ajax ne changent pas vraiment la donne et son futur semble être teinté de nerazzurro. Le quotidien semble même savoir qu'il y aurait une nouvelle rencontre entre les parties concernées dès la semaine prochaine: "En milieu de semaine prochaine, l'agent de Onana devrait se rendre à Milan. Au programme, possible réunion avec les dirigeants de l'Inter même si la situation semble être déjà tracée et qu'il n'y aura pas de nouvelle accélération du dossier. Les paroles du portier camerounais ne changent rien. 'Barcelone, c'est chez moi, c'est la priorité', mais en réalité…". Internazionale.fr ~ © Samus
  17. Le gardien de but slovène pourrait rester en tant que second gardien avec un salaire réduit, et en tout cas son agent Ramadani évaluera aussi d'autres destinations. Ce n'est plus qu'une question de détails, désormais. L'annonce du transfert d'André Onana à l'Inter à partir de Juillet 2022 est imminente comme l'anticipait son agent Albert Botines, atterri à Milan il y a quelques jours, potentiellement pour boucler l'opération (sa commission notamment) avec les dirigeants nerazzurri. Le gardien camerounais sur lequel l'Inter compte fortement gagnera environ 3 millions d'euros nets pour les quatre prochaines saisons. L'officialisation sera faite seulement quand les paramètres techniques le permettront mais à l'heure qu'il est les jeux sont faits. Onana défendra les cages de l'Inter la saison prochaine, arrivant gratuit de l'Ajax, l'équipe que l'Inter aurait affronté en Champions League sans la grotesque erreur ayant entraîné un nouveau tirage au sort. Quid de Handanovic? Pour l'actuel capitaine des nerazzurri, les portes sont grandes ouvertes au cas-où il souhaiterait rester mais les dirigeants auraient jouer carte sur table, il sera le second gardien et devra accepter une baisse de son salaire, réduit environ de moitié. La balle est dans son camp et la décision sera probablement prise au printemps lorsque le slovène aura bien réfléchi à la suite de sa carrière. Il se sent encore capable d'être protagoniste et ce, malgré ces 37 ans. Pour cette raison, son agent Fali Ramadani commencera, dans les prochaines semaines, a chercher des alternatives à l'Inter afin d'avoir le maximum d'opportunités possible au moment de répondre aux dirigeants nerazzurri. Internazionale.fr ~ © Samus
  18. Marco Tronchetti provera s'est exprimé aux micros de La Politica del Pallone et il a parlé de l'Inter qui est de retour en première place de la Serie A. "C'est difficile, le championnat est long et les situations imprévisibles. En tant que tifoso depuis plus d'une dizaine d'année, je me divertis beaucoup à voir l'Inter jouer ainsi, c'est une équipe qui produit du beau football grâce à Inzaghi qui a la passion du ballon rond, il produit le jeu que l'on veut voir. L'Inter est parfaitement en place sur le terrain, nous verrons comment cela finira". "Nous sommes dans une bonne position mais il faut dire que c'est aussi beau de voir quatre équipes dans la lutte", ajoute-t'il, "l'Atalanta aussi joue un bon football et ils font peur dans la course au scudetto, ils peuvent se concentrer sur le championnat et ce sera un motif de soucis supplémentaire pour toutes les autres équipes". L'AD vice-président de Pirelli poursuit en parlant de l'enquête relative aux plus-values irrégulières qui anime actuellement le football italien: "L'enquête sur les plus-values s'insère dans un contexte vraiment complexe. Le football a du mal à trouver un équilibre financier. Il faut repenser le fonctionnement pour le faire redevenir compétitif et permettre aux équipes italiennes d'évoluer sur la scène internationale sans occasionner d'énormes pertes. Il faut changer des choses et aider ce sport à redevenir viable, si certains ont des bilans qui tiennent la route et d'autres non, il faut comprendre pourquoi", explique-t'il. Enfin, il a abordé la question de l'Italie et de la qualification au Mondial: "Il y a tout le temps pour remettre sur pieds une Italie forte, Mancini est un grand entraîneur et il a à disposition des bons joueurs donc je reste optimiste. L'équipe est forte et a du potentiel. Le football italien a récupéré en qualité ces derniers temps. Des fois il y a des baisses de tension mais nous avons le temps de revenir". Internazionale.fr ~ © Samus
  19. Après la publication de son nouveau livre 'Adrénaline', Zlatan Ibrahimovic s'est de nouveau exprimé devant les journalistes, il parle notamment de Ronaldo Il Fenomeno, à son avis, le joueur le plus fort de tous les temps. "Meilleur que Maradona? Je ne l'ai jamais vu jouer, peut-être que pour d'autres générations c'est le plus fort. Ronaldo par contre je l'ai vu jouer et quand j'étais jeune, je faisais tout pour l'imiter, en tout cas j'essayais et ça me faisait progresser" dit-il à Corriere TV. Qui remportera le scudetto? "Nous verrons, ce sera intéressant. Ceux qui seront capable d'être au top et d'y rester le plus longtemps repartiront avec le trophée. Le scudetto se remporte en Février/Mars pas maintenant". Concernant le départ d'Hakan Calhanoglu, un extrait de son livre circule ces temps-ci: "Il faut le remercier pour ce qu'il a fait pour l'équipe et lui souhaiter le meilleur pour le futur. Ca sonne un peu mal de le dire mais Calha a profité d'une situation tragique.[...] Eriksen a subi un arrêt cardiaque et l'Inter a donc eu besoin d'un joueur à son poste et c'est là que la porte s'est ouverte pour Hakan. Avant cela il n'avait reçu aucune offre, que ce soit de l'Inter ou d'un autre club. C'est un bon gars, il a beaucoup progressé grâce à moi. Il a gagné en courage et en confiance. [...] Durant l'Euro je lui envoyais des messages, à lui et à Rebic : 'Ben alors, c'est plus difficile sans Ibra, hein?' . Ils me répondaient juste avec des émoji souriant. Avant mon arrivée, Calha n'avait pas les mêmes statistiques qu'en jouant avec moi, je plaisantais souvent avec lui". Internazionale.fr ~ © Samus
  20. Attaquant de l'Inter, Joaquin Correa a accordé une longue interview au Corriere dello Sport. Il a notamment abordé son adaptation au monde interiste ainsi que ses objectifs futurs. Correa, quel bilan faites-vous de vos trois premiers mois à l'Inter? "Un bilan positif. J'ai eu quelques problèmes musculaires qui m'ont un peu freinés mais mes coéquipiers et tout le monde au club m'ont bien accueillis. Je me sens bien içi et j'ai envie de bien faire". Sur le terrain vous semblez déjà à votre aise comme si vous étiez à l'Inter depuis de nombreuses années. Quel est le secret? "C'est grâce au groupe. Quand on a commencé à parler de ma possible arrivée cet été, beaucoup m'ont écrit pour me convaincre de venir et ça a été sûrement une motivation en plus pour orienter ma décision". Qui vous a le plus "tourmenté" pour vous faire venir? (Il rit, ndlr.) "Lautaro a commencé déjà quand nous étions à la Copa America, il me disait que je devais absolument venir, puis il y a eu Calha et Vidal…". J'imagine que la présence d'Inzaghi a aussi eu un certain poids. "Bien sûr, c'était très important. J'avais d'autres opportunité mais je voulais continuer à travailler avec lui. C'est un grand entraîneur, il te fait te sentir à l'aise. A la Lazio, il a eu de très bons résultats et nous avions construit un groupe uni dans lequel chacun savait qu'il pouvait apporter sa pierre à l'édifice. C'est un entraîneur ambitieux, parfait pour l'Inter". Quel est le premier atout d'Inzaghi qui vous vient à l'esprit? "Il a confiance en ces joueurs et il sait gérer les matchs, ce qu'il prépare et dit durant la semaine se vérifie régulièrement durant le match". Après trois ans à Rome, êtes-vous déjà adapté à la vie milanaise? "J'étais très bien installé à Rome, tout le monde me traitait bien mais Milan aussi est une très belle ville, spécialement en tant que joueur de l'Inter. Ca me motive encore plus". Sentez-vous que vous avez passé un cap en arrivant à l'Inter? "Je pense que oui, Estudiantes, la Sampdoria, Séville, la Lazio et maintenant l'Inter, dans le passé j'aurai pu sauter certaines étapes et aller directement dans un top club mais j'ai privilégié le temps de jeu. Pour progresser et m'améliorer graduellement. Je pense que l'Inter est arrivé au bon moment dans ma carrière". Les dirigeants nerazzurri ne vous ont jamais perdu de vue et ils ont eu un observateur spécial! "Ah bon? Qui donc?" Andrea Ranocchia qui a joué 6 mois avec vous à la Sampdoria et qui disait que vous étiez fort, qu'il fallait essayer de vous transférer. "Andrea est un bon gars… A l'époque, j'appartenais à moitié à Manchester City puis la Sampdoria a racheté le reste de mon contrat et j'étais content parce que je n'avais pas spécialement envie d'aller à City pour être sur le banc. Je n'aurai pas supporté de ne pas jouer". A l'Inter certains vous appellent déjà 'Mister Doppietta' (l'homme des doublés, ndlr.), soit vous mettez un doublé soi vous ne marquez pas! "Alors j'espère que les tifosi auront l'occasion de s'habituer à mes doublés. Je cherche toujours à marquer et je trouve dommage de n'avoir pas réussi à faire mieux contre la Spezia(Il a touché la barre, ndlr.), mais sur le terrain l'important est d'aider l'équipe à gagner, se rendre utile. Avec des passes décisives, des dribbles, des mouvements sans ballons…". Alors vous avez du apprécier votre passe décisive pour le 3-1 de Lautaro contre Naples. "Exactement. Beaucoup regardent juste les statistiques de buts mais pour moi le football va plus loin et j'aime d'autres choses, lire le match, jouer intelligemment, ne pas s'économiser pour aider un coéquipier. Cette passe pour Lautaro c'était comme marquer un but. Pour moi en tout cas". Lors de quel match avons-nous vu le meilleur Correa? "Certains diront celui contre le Hellas Verona mais pour moi c'était contre Naples". Que souhaitez-vous pour l'année 2022? "D'offrir de bonnes performances et de la joie dans une équipe forte comme l'Inter. Nous méritons le haut du classement et nous pouvons y rester parce que nous sommes en pleine évolution". L'objectif reste la deuxième étoile du 20ème scudetto? "Oui, bien sûr. Nous voulons le refaire". Il y a juste derrière vous l'image de la Ligue des Champions remportée par l'Inter à Madrid. "Je rêve de la soulever moi aussi, cette coupe. De même que la Coupe du Monde, c'est le rêve de ma carrière". Joaquin Correa a aussi abordé le match de ce week-end contre la Roma. "C'est une équipe forte avec de bons joueurs, ce n'est pas facile de les battre mais je reste convaincu que nous avons les armes pour les mettre en difficulté. Il faut rester concentrés et jouer comme nous savons le faire". Mourinho vous plaît-il en tant qu'entraîneur? "Je l'ai affronté une fois avec Séville en huitièmes de finale de Ligue des Champions quand il était à United, nous avons fait match nul à l'aller (0-0, ndlr.) puis avons gagné le retour en Angleterre (2-1,ndlr.) et nous nous sommes qualifiés. J'espère que demain ça se passera comme cette nuit à Old Trafford... C'est un grand entraîneur comme le montrent les résultats qu'il a eu dans sa carrière. Tous les intéristes ont des souvenirs de son passage au club mais il a démontré sa valeur avant et après être passé à l'Inter. Ce sera un bon match, nous voulons les battre". La Roma fait moins peur sans Pellegrini et Abraham? "Ce sont deux éléments importants mais ils ont beaucoup de bons joueurs". Après s'être débloqué contre Naples, l'Inter est-elle prête à remporter sa deuxième confrontation directe? "Contre l'Atalanta, la Juventus et le Milan, nous avons fait match nul dans des matches où nous aurions pu avoir plus. Nous avons remis les choses en place contre Naples et nous voulons nous répéter". Le message est donc clair, battre la Roma et ne pas se contenter des points du match nul. "Oui, c'est l'objectif". Le fait que Naples soit premier après quinze matches est-il surprenant? "Ils ont commencé fort, comme les équipes bien cimentés, avec des effectifs qui se connaissent bien, peuvent le faire et je suis sûr qu'ils seront dans la lutte pour le scudetto jusqu'au bout. Mais nous ne devons pas regarder les autres, pensons à nous-même, il faut arrêter de laisser des points en route comme nous l'avons fait contre la Lazio par exemple". Internazionale.fr ~ © Samus
  21. Interviewé durant l'évènement 'La Squadra di Milano e le sue sfide presenti e future', Beppe Marotta a abordé divers thèmes, en premier la qualification des nerazzurri en huitièmes de finale de Ligue des Champions. "Ils ont réussi à se qualifier, c'est une réalisation importante. Dans le sport, il ne faut jamais rien juger à l'avance, il faut procéder avec calme et prudence parce l'équation selon laquelle celui qui dépense le plus finit par gagner ne se vérifie pas toujours. C'est sûr qu'avoir un portefeuille bien fourni aide dans certaines circonstances et pour atteindre certains objectifs mais quand ce n'est pas le cas, il faut faire appel à la compétence, à l'humilité, la passion et ce sont des vertus que j'ai trouvé et que j'ai tenté de renforcer à l'Inter". "Nous sommes revenus sur une scène européenne plus conforme avec l'histoire du club". Etonné des débuts de Inzaghi? "Je ne suis pas surpris plus que cela. J'ai eu l'occasion de connaître Inzaghi le joueur à la Sampdoria. Il répond aux critères dont avait besoin l'Inter sur le plan humain et puis on connaît ses capacités d'entraîneur. Ce qu'il a fait à la Lazio, c'est vraiment l'image parfaite de l'entraîneur compétent, jeune et dynamique. Nous avons tout bouclé en quelques heures, tout a été facilité par le fait qu'il joue avec le même schéma que Conte. Il s'est très bien intégré et ses résultats sont plus que positifs". Que ce serait-il passé s'il avait finalement prolongé à la Lazio? "Il était dans nos petits papiers, nos décisions ont été faites de manière collégiales. Même hors du terrain nous devons jouer en équipe, même si la responsabilité maximale sera la mienne. Nous avons voulu faire un choix courage, car c'est ce qu'il faut dans le football. Nous avons tout fait en quelques heures pour, justement, anticiper une possible signature avec la Lazio". La situation des deux Croates Brozovic et Perisic "Le prérequis est que les joueurs veuillent rester à l'Inter. La volonté des joueurs est fondamentale. De notre côté, nous ne pouvons pas laisser certains contrats se terminer. Si la volonté du joueur est de rester et qu'ils comprennent le nouveau modèle économique qui est instauré dans le football italien et à l'Inter en particulier, je pense que nous pouvons continuer ensemble. Je peux dire avec fierté que l'Inter est capable de beaucoup donner à ses joueurs. Ailleurs, il est difficile de trouver cette affection, ce professionnalisme, ce sérieux, cette structure et cette compétitivité". Suning "Les propriétaires ne sont pas toujours impliqués dans la gestion quotidienne des clubs. Il y a des managers pour cela, l'important reste que les propriétaires procurent une sécurité et une stabilité. Je dois dire qu'il ne faut pas oublier ce que la famille Zhang a fait. Steven est quelqu'un de très passionné. En quelques années ils ont dépensé des centaines et des centaines de millions d'euros, il ne faut pas oublier cela. Si l'Inter a retrouvé de la stabilité qui a mené à son renouveau, c'est à la famille Zhang qu'elle le doit. Il est clair que la pandémie a créé de gros problèmes économiques et la famille Zhang a aussi fortement été affectée mais ils n'ont jamais cessé d'être au chevet du club. Le rapport que Steven entretient avec moi et le reste de l'équipe de management n'est pas quotidien mais reste très fréquent. Ils nous garantissent une certaine couverture. Il faut maintenant trouver des modèles de gestion différents. C'est la bonne chose à faire sur le plan éthique". "Il faut reconnaître du mérite à Conte pour avoir posé les bases qui nous ont porté à la victoire. Nous sommes entrain de continuer ce travail". Comment sera le prochain mercato? "Il sera caractérisé par très peu de clubs en solde négatif. Le modèle italien est resté statique pendant longtemps et cela a permis aux autres championnats de nous passer devant. Il faut se réinventer et trouver un équilibre entre dépenses et recettes. Les coûts sont aujourd'hui disproportionnés. Nous devons être forts et limiter ces coûts, en essayant de profiter des valeurs que nos joueurs locaux réussissent déjà à exprimer comme nous l'avons vu durant l'Euro". Lukaku "La volonté du joueur a été fondamentale jusqu'au bout. La volonté du joueur de retourner dans le championnat où il voulait évoluer a fait la différence. D'un autre côté, il y a aussi la situation économique et financière, le club ne pouvait pas refuser cette opération. Mais sans la volonté du joueur, nous ne serions même pas là à en parler aujourd'hui. C'est faux de dire que Zhang voulait vendre Lukaku". Le mercato hivernal "Il faut voir, l'effectif ne souffre pas de grosses grosses failles, il est plutôt homogène et donne satisfaction en championnat et en Europe. Il mérite de continuer son parcours. C'est difficile en Janvier, il nous faudra sauter sur les opportunités à la hauteur pour nous permettre de nous améliorer. Maintenant que nous garantissons une certaine compétitivité, il n'y aura pas de révolution". Dans le passé, vous auriez pu finir au Milan "J'étais à la Juventus à l'époque et je n'ai pas considéré d'autres clubs". Vlahovic ou (Julian) Alvarez "Le fait que Baccin soit en Argentine actuellement rentre dans son activité ordinaire. Il faut surveiller les autres championnats et identifier les joueurs qui correspondent à notre modèle. Vlahovic est un très grand talent, un attaquant moderne. Je sais qu'ils sont dans une certaine situation avec la Fiorentina et j'espère qu'ils réussiront à la résoudre parce qu'en tant que club, ce n'est jamais agréable de voir son patrimoine aller dans un autre club. Ce serait bien qu'ils puissent continuer ensemble. Cela dit, je peux dire que Vlahovic représente l'un des jeunes les plus intéressants du championnat italien. Nous avons un secteur offensif où nous faisons un mix de jeunes et d'expérimentés qui apportent de la qualité". Les plus-values ainsi qu'une prolongation de contrat "Le modèle italien doit comprendre les mouvements des joueurs, c'est ce qui permet de faire des recettes comme dans le cas de Lukaku. Notre championnat est devenu un point de transition avant de finir en Premier League ou dans les clubs comme le PSG. L'Inter impliquée dans l'enquête concernant les plus-values? Absolument pas. Une prolongation de contrat? En tant que management, nous avons tous de bons rapports avec Steven Zhang. Il faut voir comment le Covid conditionnera son retour en Italie mais disons que Samaden, Ausilio, Baccin et moi sommes tous très content de continuer avec l'Inter et que le club est dans les mêmes dispositions. Je pense que dès la prochaine visite de Steven, les éléments seront en place pour que tout se concrétise". Internazionale.fr ~ © Samus
  22. Juan Manuel Cruz, fils de Julio Cruz et attaquant de Banfield s'est confié à la Gazzetta dello Sport pour revenir sur certaines étapes de sa carrière ainsi que son lien avec les couleurs nerazzurri. "Je voyais mon père jouer à l'époque de l'Inter, j'allais regarder les entraînements... des fois même à la place d'aller à l'école! J'ai toujours voulu jouer au foot et atteindre le niveau qu'il a atteint en tant que professionnel", raconte-t'il. "En Italie j'ai joué jusqu'à 10 ans au centre de formation de l'Inter, puis quand nous sommes revenus en Argentine, mes parents voulaient que j'étudie plus sérieusement et j'ai arrêté le football. A 18 ans j'ai commencé l'université et j'ai fait 6 mois dans le but de devenir commercial mais j'ai compris que ce n'était pas pour moi. J'en ai parlé à mon père et nous avons décidé d'essayer le football. En 2017, j'ai fait des tests avec Banfield, durant une semaine et ils ont décidé de me garder. En 4 ans, pleins de choses se sont passés. J'ai grandi, mûri, au début ce n'était pas facile mais j'ai réussi à m'adapter assez rapidement". "Je me rappelle qu'à la maison, Figo et Ibrahimovic venaient souvent dîner, de même que tous les autres argentins (Zanetti, Cambiasso, Samuel et Burdisso)... Ils étaient tout le temps chez nous. Je ne me rendais pas compte des stars avec qui nous étions". " En 2018, nous sommes retourné en Italie pour la première fois, 8 ans après. Ils ont offert à mon père un maillot floqué du numéro 9 bien encadré, l'Inter a gagné 1-0 sur un but de Lautaro et ce fût une très belle soirée". "J'ai passé beaucoup de temps à San Siro, mon rêve serait de revenir pour y jouer, pourquoi pas avec le 9 de mon père. C'est l'équipe que je suis le plus, j'ai un intérêt pour les autres clubs où mon père a évolué (Bologna, Lazio et Feyenord) mais l'Inter est la seule dont je regarde tous les matches". "Mes idoles? Clairement Benzema et Lewandowski, ce sont les modèles que je suis le plus actuellement mais avant j'aimais bien aussi Suarez au temps de Barcelone. Et puis Lautaro Martinez, ce qu'il fait à l'Inter c'est incroyable". Internazionale.fr © ~ Samus
  23. Intervenu aux micros de TMW Radio, Stefan Schwoch, ex-footballeur, notamment du Napoli a parlé ainsi du futur du capitaine Lorenzo Insigne, objectif de mercato de l'Inter: Selon l'ex-joueur italien: "Les renouvellements de contrats se font traditionnellement à la hausse. Insigne demande 6 millions et Naples lui offre carrément moins que ce qu'il touche actuellement". "Naples offre à Insigne encore moins que son salaire actuel. Pour moi il n'y aura même pas de négociations, il me semble destiné à quitter Naples car l'offre de l'Inter est importante et son agent entretient de bons rapports avec les nerazzurri". Internazionale .fr ~ © Samus
  24. Les dirigeants nerazzurri ont demandé au joueur et à son agent de patienter le temps que la situation financière soit un peu plus claire. La rencontre a bien eu lieu et les parties concernées ont fait le point sur la situation. Durant sa tournée de ses clients en Italie, Mino Raiola a pu discuter avec l'Inter du contrat de Stefan De Vrij, un contrat dont le renouvellement est en discussion depuis quelques temps. Les chiffres seraient de 4.5 millions d'euros jusqu'en2025. Il n'y a pour l'instant eu aucune indication, positive ou négative et cela est du à la volonté au fait que la dirigeance, malgré la volonté confirmée de continuer avec le défenseur central hollandais, aurait demandé à l'agent de patienter avant de repartir en négociations. En effet, à ce jour la priorité reste le renouvellement du contrat de Marcelo Brozovic qui expire un an avant celui de De Vrij mais aussi de Skriniar qui est aussi sur la liste d'attente. La situation financière du club est telle que l'Inter ne peut se permettre d'augmenter tous les salaires en un seul coup et c'est la raison pour laquelle la réflexion bat son plein dans l'optique de pouvoir réduire les coûts Ainsi, une fois les contrats prioritaires prolongés, l'objectif sera de garder l'effectif compétitif et d'essayer de réduire la masse salariale en remplaçant des joueurs coûteux contre des joueurs au salaire plus modeste ( comme Ashley Young remplacé par Federico Dimarco par exemple) ou en faisant des renouvellement au rabais (comme cela sera proposé à Samir Handanovic et Ivan Perisic). En d'autres termes, même si la volonté est de continuer le chemin ensemble, l'Inter demande à Stefan De Vrij et Mino Raiola d'attendre que le cadre financier soit un peu plus clair. Une solution qui ne devrait pas trouver grande opposition de la part du défenseur de 29 ans natif de Ouderkerk aan den Ijssel, heureux de rester à Milan et qui entretient d'excellents rapports avec Simone Inzaghi depuis leur temps à la Lazio. Internazionale.fr ~ © Samus
  25. L'ex gardien nerazzurro se rappelle le fameux match à Kiev en 2019 et a abordé quelques uns des sujets importants qui attendent l'Inter en vue du match contre le Shakhtar. L'Inter revient donc à Kiev, 4346 jours après ce fameux 4 Novembre 2009 qui vit les joueurs de Mourinho affronter le Dinamo dans un match clé dans la course à la qualification à la phase à élimination directe de la Ligue des Champions et donc par conséquent, à la conquête du mythique Triplete. Aujourd'hui la formation de Simone Inzaghi croisera le fer avec le Shakhtar Donetsk de De Zerbi lors du second match dans ce groupe D de Ligue des Champions. Julio Cesar, un des protagonistes principaux de l'équipe d'alors, s'est entretenu aux micros de la Gazzetta dello Sport: "Si nous avions perdu contre le Dinamo, nous aurions été éliminé de tout. C'était l'année du Triplé, nous avons fait tout le chemin jusqu'en Mai. La vérité c'est que ce match était notre vraie première finale, ce soir de Novembre. Tout s'était bien passé, nous avons gagné et à partir de ce moment-là, le rêve de Ligue des Champions était plus vivant que jamais". C'était le match référence durant cette saison? "Il fut en tout cas, absolument décisif. Pour moi, on peut dire que c'était un match-référence, c'est comme si le vestiaire avait fait le plein de confiance ce jour-là. Nous avons compris que nous étions sur la bonne voie et que nous pouvions rêver de grandes choses. Et vice-versa, si nous avions été défaits ce jour-là, qui sait si nous aurions eu un quelconque succès cette saison-là. C'est la mentalité du groupe qui en est ressortie grandie, grâce à Mourinho, c'est un sentiment qui nous a ensuite accompagné de match en match en Europe et qui nous a, notamment, permis de battre des équipes championnes dans leur pays". Que s'est-il passé dans le vestiaire à la mi-temps? Mourinho raconte qu'il a mis des coups de pieds un peu sur tout ce qu'il pouvait atteindre pour vous pousser à aller chercher le résultat. "L'atmosphère était tendue, c'est clair. José est fait ainsi, il savait quel genre de groupe il avait en main et c'était là son point fort, pour l'Inter c'était une recrue très importante, il a convaincu les joueurs à tous tirer dans le même sens. A la mi-temps le moral était bas, mais l'entraîneur nous a poussé à croire en ce succès et c'est ce qui s'est passé une fois sur le terrain". Après le but de Sneijder, Mourinho avait parcouru tout le terrain pour venir te prendre dans ses bras, que vous a-t-il dit? "Ah! Sur le but du 2-1 c'était comme une explosion, nous étions conscient du poids de ce but. Nous étions déchaînés? Mourinho a commencé a courir tout droit, même lui ne savait pas où il voulait aller. C'est moi qui suis allé vers lui, je me suis mis sur son chemin, il était comme un fou. Nous n'avions besoin de rien nous dire. C'est l'une des plus belles photos de mon aventure à l'Inter". Le match de ce soir peut être comme celui d'il y'à plus de dix ans? "Ce n'est que le second match, il y a encore beaucoup en jeu après. Mais j'ai eu le plaisir d'être à San Siro contre le Real, j'ai vu une équipe très forte, ils peuvent sortir du groupe avec moins d'inquiétude que nous". Quel joueur de votre Inter ajouteriez-vous à cet effectif? "Ne me faîtes pas faire de comparaisons, c'est injuste. J'ai vu un esprit d'équipe très fort à l'Inter, c'est ce qui compte, plus que les individualités. Les supporters peuvent être sereins". Êtes-vous surpris du feeling entre Lautaro et Dzeko? "Quand l'Inter a vendu Lukaku, tout le monde était préoccupés, mais ceux qui sont dans le football le savent, Dzeko a un très forte personnalité et Lautaro est un jeune très talentueux avec une énorme marge de progression. Ils vont donner beaucoup de satisfaction, non je ne suis pas surpris". Alors dites-nous? Jusqu'où l'Inter peut-elle aller? "Si ils gardent le niveau montré contre le Real, moi j'y crois, ils peuvent aller jusqu'en finale, il faut qu'ils y croient. En Italie, je ne fais pas de comparaison entre cette saison et la précédente mais l'Inter a tout, mais vraiment tout pour s'imposer de nouveau". Internazionale.fr ~ © Samus
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