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  1. Le journaliste s'est exprimé sur Libero sur le sursaut d'Inzaghi suite à sa qualification pour les 1/4 de finale de la Ligue des champions de l'Inter Milan Simone Inzaghi est un entraîneur parfait dans la mesure où Schettino peut commencer à donner des leçons d'héroïsme, mais il n'est même pas celui que certains voudraient vous faire croire. Les huit défaites en championnat sont énormes, mais elles impressionnent davantage par la façon dont elles surviennent. Inzaghi n'est en aucun cas parfait. Il doit s'améliorer dans la gestion des 90 minutes, il doit trouver des alternatives à son 3-5-2 quand les matchs ne vont pas dans le bon sens, il doit aussi grandir en termes de communication, ce qui est très important à l'ère moderne meurtrière de football. Et pourtant il y a aussi tout le reste, messieurs. Il y a le travail d'un technicien qui, qu'on le veuille ou non, produit du bon football, un technicien dont les matchs de novembre et décembre 2021 ont conduit les mêmes qui le massacrent aujourd'hui à écrire "c'est le plus beau Inter de tous les temps. C'est le même entraîneur qui a affaire à un effectif certes très compétitif (il ne serait pas parmi les 8 meilleurs d'Europe), mais qui est passé de Hakimi à Dumfries, de Perisic à Dimarco, de Skriniar (mais le chef est déjà à Montmartre) à Darmian, de Lukaku « docteur Jekyll » à Lukaku « Mr. Hydé". Attention : le soussigné adore Dumfries, Dimarco, Darmian et même ce Lukaku, mais il n'est pas facile de vivre la comparaison avec ceux qui vous ont précédé si ceux qui vous ont précédé avaient un très gros distributeur de billets en main, puis une fois vidé il a laissé le problème du tri à la postérité. L'autre soir à Porto, l'Inter n'a pas joué un match esthétiquement beau. Et ceux qui ont pris le terrain ont répondu par des faits à ceux pour qui "le vestiaire vaque à ses occupations". Conneries, le vestiaire est uni, imparfait mais en aucun cas résigné. C'est pourquoi "l'Inter est en déroute" (multicit.) est une phrase inacceptable, c'est pourquoi la colère d'Inzaghi - contenue mais tangible - l'autre soir est justifiée : critiquer est légitime, massacrer est une pratique barbare et typique de la communication moderne. Inzaghi avait raison de montrer les dents, car les malins dans le foot sont ceux qui quand ils gagnent "j'ai gagné" et quand ils perdent "ils ont perdu les garçons", alors que les bons, ceux qui "c'est de ma faute". Traduction Lindt1908 Via FcInter1908
  2. Que peuvent bien avoir en commun José Mourinho, Antonio Conte, Achraf Hakimi, Romelu Lukaku et à présent, Ivan Perisic ? Après leur départ de l’Inter, TOUS, ont regretté très amèrement ce choix ! Révélation de Marco Barzaghi Dans une vidéo publiée sur sa chaîne YouTube, Marco Barzaghi journaliste à Sky Sport, s’est livré sur Ivan Perisic, éliminé hier, en Ligue des Champions avec son équipe de Tottenham face à l’Ac Milan… "Je vous l’aviez dit qu’il serait difficile, dès la phase aller, de revoir le Perisic de la saison dernière et qu’il y avait toujours la phase descendante: Perisic aussi aimerait revenir, d’autant plus qu’il a compris qu’Antonio Conte partira à la fin de la saison et que les choses pourraient sérieusement se compliquer pour lui." "Ivan, comme Hakimi , aimerait revenir, comme le confient ses anciens coéquipiers: A présent, il se mord les doigts car il ne pensait pas vivre une expérience aussi modeste en Premier League" Who’s Next ? ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  3. Robin Gosens se livre après la victoire de l’Inter : "Je suis heureux de faire ce que j'aime, c'est important pour moi de trouver de la cohérence". L'ailier de l'Inter Robin Gosens estime qu'il est sur la bonne voie et qu'il lui reste maintenant à trouver plus de constance au cours des prochains matchs. S'adressant à InterTV après la victoire 2-0 de l'équipe sur Lecce, via FCInterNews , l'Allemand a souligné que l'important est de faire ce qu'il aime et qu'il espère travailler pour enchaîner de meilleures performances. Gosens a réalisé deux performances très solides sur le flanc gauche de l'Inter lors de ses deux dernières titularisations. Alors que l'ancien homme de l’Atalanta âgé de 28 ans, a été derrière Ivan Perisic puis Federico Dimarco dans l'ordre de la hiérarchie à son poste depuis son arrivée, il y a toujours eu de grandes attentes à son égard compte tenu de la qualité dont il a fait preuve quand il défendait les couleurs de la Dea. Alors que Gosens n'est pas encore vraiment à son meilleur niveau lors de ses deux dernières performances, il commence à sembler pouvoir se faire une place dans l'équipe. "C'est très important pour moi d'être à nouveau sur le terrain et de commencer à avoir de la constance", a déclaré l'Allemand. "Je suis très heureux que l'entraîneur m'ait fait confiance deux fois de suite." "C'est ce dont j'avais besoin, et aujourd'hui nous avons gagné le match a juste titre", at-il ajouté. Gosens peut-il prendre la place de Federico Dimarco selon-vous?? Traduction Lindt1908 via FC INTER NEWS
  4. En effet, l’Inter peut se féliciter de retrouver, en la personne de Lautaro Martinez, un Champion du Monde dans ses rangs à Appiano Gentile, une victoire qui grâce à l’effet Coupe du Monde fait exploser la valeur marchande du joueur! Révélation de la Gazzetta Dello Sport : "Lors de la signature de son premier contrat, l’Inter avait prévu une clause libératoire de 111 millions d’euros, une somme qui sans le Covid-19 en 2020, aurait plus que probablement était payée par le Fc Barcelone. A présent, cette clause n’existe plus et la valeur de Lauti est retourné à la hausse, mais pour combien ? A la Viale Della Liberazione, tous soutiennent une somme à trois chiffres. Et grâce à l’effet Coupe du Monde, le Toro ne sera pas le sacrifié sur l’hôtel des bilans." "L’élu pour mettre en place les comptes ,et qui est donc prié de faire ses valises se nomme Denzel Dumfries. Et l’Inter se présente à nouveau un élément dans son noyau capable de remporter la Coupe du Monde depuis Marco Materazzi et Fabio Grosso, qui s’il était à Palerme, avait déjà paraphé son contrat à l’Inter, en 2006. Wesley Sneijder en 2010, Rodrigo Palacio en 2014 et le duo Marcelo Brozovic-Ivan Perisic en 2018 avaient été stoppé net lors de l’ultime match de la Coupe du Monde." En revanche hier Lauti souriait pour ce qui sera plus que probablement, la plus belle nuit de toute sa carrière, une nuit que l’argentin n’est pas près d’oublier en se livrant à chaud: "Ma Famille a fait le tour du Monde pour venir me voir , elle m'a toujours soutenu: Je la dédicace à ma fille qui a changé ma vie. Merci à tous!" Suivi de: "Le Qatar est pourtant si loin, mais j’avais l’impression de jouer à domicile : Je ne parviens pas encore à réaliser ce que nous avons fait : Je pense immédiatement à ma Famille et à tout le peuple argentin qui nous attends pour faire la fête: C’était mon rêve depuis que j’ai commencé à jouer." Si Lautaro s’est mangé beaucoup d'occasions, trop peut-être, il s’est toujours donné sans compter en sprintant comme toujours vers le but. Moins technique que Julian Alvarez, cette Coupe du Monde porte aussi sa signature comme en témoigne son tir aux buts face au Pays-Bas. ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  5. Interrogé par Tuttomercaroweb, l'ancien directeur général de l'Inter de Moratti, Ernesto Paolillo, a évoqué la possibilité de la vente de l'Inter, le renouvellement de Skriniar et autres choses. L'Inter en vente, inévitable? "Je pense que oui. Si on raisonne en termes financiers, en termes de bilan et qu'on regarde l'endettement de l'entreprise et surtout le taux d'endettement, ça devient difficile de pérenniser les choses et de pouvoir continuer dans ces conditions avec un refinancement assez lourd qui me semble évident que Zhang n'est pas en mesure de faire pour le moment." Quel est votre sentiment sur le renouvellement de Skriniar ? "Mes peurs plus qu'autre chose (rires, ndlr). En tant que fan, j'ai vraiment peur qu'un pilier, une référence défensive comme Skriniar, même au niveau personnage en tant que leader, puisse être perdu et qu'il faille recommencer. Quand on trouve un nouveau joueur qu'il devient rapidement leader de la défense, il est important pour l'avenir de l'équipe de le conserver si on veut qu'elle soit compétitive. J'espère qu'ils trouveront un accord." Dumfries est-il le joueur à sacrifier, peut-être même en été ? "On n'y peut rien, au final un ailier se sacrifie toujours car en théorie c'est l'un des plus facilement remplaçables. Cependant, je me souviens qu'à cause de ces politiques on a perdu Hakimi, qu'on voit comment il joue à la coupe du monde, on a perdu Perisic. On risque de perdre Dumfries. Si une équipe veut rejouer des victoires significatives comme le Scudetto, la Ligue des champions, vendre les meilleurs joueurs n'est pas la meilleure stratégie, même si je comprends que cela est inévitable." Le retour de Hakimi est-il un football fantastique en ce moment? "Oui, je pense que c'est un football fantastique, mais c'est surtout un budget fantastique. Je pense que le budget de l'Inter ne peut pas se le permettre." Lukaku pourra-t-il apporter la contribution que tout le monde attend ? "Je pense que lui-même doit trouver la force de réagir pour prouver qu'il est le vrai champion qu'il est réellement et sortir de cette crise actuelle. Peut-être qu'il n'a pas été en mesure de donner le meilleur de lui-même dans le l'équipe nationale parce qu'il était revenu de blessure et ça le démoralise encore plus. Il a besoin de calme. Mais c'est certain que la situation au classement de l'inter, s'il veut se battre pour le scudetto, ne le tranquillise pas. Il faut qu'il rentre dans la bagarre immédiatement. C'est un grand champion que si l'équipe l'aide, il peut trouver une revanche facile." Traduction alex_j via FCInter1908.
  6. L'Argentine est arrivée en demi-finale de la Coupe du monde et Javier Zanetti exprime sa joie au micro de Rai Sport. Soirée incroyable, avez-vous pu dormir? "Non, assez peu, mais heureux! C'était une soirée de Coupe du monde. Cette Argentine est une équipe nationale compacte, après la première défaite contre l'Arabie saoudite, ces gars se sont encore plus unis. Beaucoup d'Argentins sont venus ici au Qatar parce que tout le monde a le même rêve de les joueurs." Quelle est l'importance du résultat de l'équipe nationale pour le pays ? "Beaucoup car nous sommes dans une période de grande crise sociale et éducative. Ce n'est pas facile de vivre en Argentine. Les gars veulent donner une grande joie au peuple argentin." À propos de Messi. "Il est beaucoup plus mature, un vrai leader. Tous les gars le suivent, il se rend compte que la Coupe du monde est spéciale et il donne tout." Êtes-vous déplacé? "Beaucoup, j'étais avec ma famille et mes amis. Après 2-2, mon fils pleurait, c'est pourquoi je voulais que l'Argentine passe." Sur le geste de Leo Perisic envers Neymar. "Seul le football vous donne ces émotions. Je comprends la déception de Neymar, eux aussi voulaient gagner la Coupe du monde. Je suis désolé pour lui, mais c'est bien que le fils de Perisic, qui a Neymar comme idole, soit allé le consoler." Traduction alex_j via FCInterNews.
  7. Alessandro Bastoni s’est livré du stage de préparation hivernal de l’Inter, à Malte, au Corriere Dello Sport: Quel effet cela vous fait-il de ne pas être au Qatar et de regarder la Coupe du Monde à la télé ? "Comme pour tous mes équipiers en équipe nationale, j’aurai voulu y participer et représenter notre pays. Je peux seulement remettre les compteurs à zéro et tenter le coup dans 4 ans. Le coup a été rude, encore plus en sachant que cela arrive pour la seconde fois d’affilée pour l’Italie. Nous étions des joueurs averti, avec un grand sens des responsabilité, mais nous avons manqué cet objectif." Remporter la Nation League peut-elle atténuer ce flop ? "Jusqu'à ce que la prochaine Coupe du monde arrive et que nous nous y qualifions, il sera difficile d'oublier. Néanmoins, nous ferons tout pour gagner cet autre trophée. Ce serait un moyen de nous prouver, également à nous-mêmes, quelle est notre valeur réelle. Supportez-vous une équipe nationale en particulier ? "J’ai toujours eu une grande passion pour Lionel Messi, je dirais donc Forza Argentina. Et j’en serai aussi fier pour Lautaro, c’est évident." L’Inter, repartie d’Udine, avait-elle touché le fond de ce début de saison ? "Nous nous sommes raccrochés à nous-mêmes, à un groupe qui est solide et fort. Nous nous sommes ressaisis, en réalisant que ce n'est qu'unis et ensemble que nous pourrions nous sortir de cette situation. Nous nous sommes parlé, nous avons essayé d'identifier les problèmes et, aujourd'hui encore, nous essayons de les résoudre une fois pour toutes". Une des images d’Udine a été votre réaction suite à votre remplacement en première mi-temps : S'agissait-il d'un de ces gestes ou d'une de ces attitudes que vous vous étiez promis de ne plus jamais manifester ? "Toute réaction est mauvaise. Cela s'applique également à cette situation, cela découle de la nervosité que j'éprouvais à l'idée de ne pas être capable de faire ce que je sais faire: Je sais de quoi je suis capable normalement. Encore une fois, il était important de se parler. À partir de ce moment-là, nous sommes sortis plus solidaires que nous ne l'étions auparavant." Si vous êtes parvenu à vous redresser au niveau des résultats, il reste tout de même encore des choses à corriger, comme le trop grand nombre de buts encaissés lors des matchs à l'extérieur. Comment l’expliquer ? "Il est difficile d'y trouver une réponse, car il n'y a pas de raison technique. Je pense que c'est avant tout un aspect mental. Dans ces cas, la recette consiste uniquement à travailler." L'Inter joue-t-elle le tout pour le pour contre Naples pour le Scudetto ? "Nous sommes, à présent, à un grand tournant de la saison : Ne pas réaliser un résultat positif à la maison serait un coup très dur à digérer et cela deviendrait extrêmement compliqué de résorber ce retard." Après le Scudetto avec Conte, après la Super Coupe et la Coppa Italia avec Inzaghi, considéreriez-vous comme une déception une année blanche dans l'armoire à trophées ? "Nous ne pouvons pas nous cacher : Nous sommes conscients de la force et des valeurs de notre équipe. Notre objectif est toujours d'aller jusqu'au bout dans toutes les compétitions auxquelles nous participons. C'est pourquoi ce serait une grande déception si finalement nous nous retrouvons les mains vides." Vous vous êtes spécialisé dans les passes décisives : C’est aussi arrivé ici à Malte : lors du match amical contre Gzira United, vous en avez-même réalisé deux... "Je dois remercier la Primavera de l'Atalanta, en particulier Favini, l’ancien responsable de l'académie des jeunes de Bergame qui est aujourd’hui décédé : C’était le numéro un. Avant même l'aspect physique, il vous enseignait la technique de base. Et c'est une approche fondamentale, à mon avis, pour jouer au football. Pour le reste, c'est une question de mentalité et d’une attitude que j'ai toujours eues depuis que je suis enfant." Celui qui en profite le plus est votre ami : Nicolò Barella... "Disons qu’avec lui, je connais les mouvements qu’il réalise tout le temps : On s’en rend compte que lorsque je lui donne un caviar... (il rit). Quoi qu'il en soit, lorsque j'ai le ballon au pied, je regarde toujours ce que fait Barella : Nous nous connaissons à la perfection. C'est le premier que je recherche car, grâce à l’un de ses mouvements, soit il se libère, soit quelqu'un d'autre le fait. Son jeu est toujours décisif pour notre phase de développement d’une action." La défense à trois renforce-t-elle vos caractéristiques ? "Evidemment car j'ai la possibilité de monter sans avoir la préoccupation excessive de ce qui pourrait arriver si je commettais une erreur. J'ai la sensation que l’on couvre mes arrières et d'avoir plus de liberté. De plus, c'est une tactique qui devient de plus en plus populaire : On l’a également vu en équipe nationale. Ce que je pense est que si vous jouez de la bonne façon, avec des joueurs qui ont un certain type de préparation mentale, vous disposez d’un gros avantage car les attaquants sont forts en phase de possession, tandis que lorsqu'il s'agit de défendre, ils sont bien plus paresseux et en forçant des situations, le défenseur qui va de l’avant se retrouve souvent démarqué." En un an et demi, vous avez dû composer avec trois ailiers gauches différents : Perisic, Dimarco et Gosens. Avec qui vous sentez-vous le plus à l'aise et comment modifiez-vous votre façon de jouer, compte tenu des différentes caractéristiques ? "La grandeur d'un footballeur, c'est aussi de pouvoir changer son jeu en fonction des personnes qu'il côtoie. Par exemple, Dimarco, qui possède une qualité particulière en matière de centres, préfère recevoir le ballon sur ses pieds. Gosens, en revanche, attaque la profondeur et le ballon doit être devant lui." En parlant de comparaisons, quelles sont les différences entre Conte, Inzaghi et Mancini ? "Avec Conte, tu entrais sur le terrain en sachant parfaitement ce que tu dois faire, car tout avait été étudié de manière maniaque. Les deux autres sont très similaires en termes de préparation des matches, d'attitude sur le terrain et d'approche des joueurs. Dans le sens où ils sont très calmes et ouverts au dialogue. Je peux ajouter que, au niveau du jeu, Inzaghi m'a beaucoup apporté, car la propension à jouer des coudes est née avec lui." En parlant de Conte, est-il vrai qu'il vous aurait voulu à Tottenham ? "Il y a eu des contacts, mais je suis heureux d'être resté à l'Inter." Skriniar devrait donc être tout aussi heureux de rester… "Je ne peux que lui conseiller de faire ce qu'il pense être juste. Nous sommes tous adultes et chacun doit faire ses propres évaluations, avec sa famille. L'important est qu'il soit convaincu du choix final. Je ne peux pas juger, seulement espérer qu'il reste ici". ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  8. Les Nerazzurri toujours protagonistes des événements mondiaux : des deux titres de Meazza à aux finales où il y a toujours un joueur de l'Inter sur le terrain. Voici le rapport de FCInter1908 qui a tout répertorié et nous dit tout. Inter et Coupe du Monde : tout commence en 1934 Championnat interrompu avec la Coupe du monde qui a commencé hier. Un sentiment que nous associons habituellement à l'été, aux rêves de gloire colorée de bleu. Mais ce n'est pas l'été, il n'y a pas d'Italie et pourtant la Coupe du monde a commencé. Qatar 2022, la première édition en automne, la première à scinder la saison interclubs en deux. Ils sont six joueurs Nerazzurri prêts à concrétiser leur rêve nourri depuis de leur enfance, celui de soulever la coupe. Il s'agit de Lautaro Martinez avec l'Argentine, Denzel Dumfries et Stefan De Vrij avec la Hollande, Marcelo Brozovic avec la Croatie, André Onana avec le Cameroun, Romelu Lukaku avec la Belgique. Interisti et Coupe du monde est une histoire qui commence en 1934 qui est pleine d'anecdotes et d'épisodes clés. Il y a des champions du monde, il y a des buteurs en finale, il y a des records invaincus, des statistiques uniques. Celle du Qatar est la 22e édition de la Coupe du monde. La première, en 1930, comportait 13 équipes nationales mais pas l'Italie. Aucun Nerazzurri n'a participé à cette première édition historique. Depuis lors, les nerazzurri ont souvent laissé leur emprunte en commençant par les éditions de 1934 et 1938, remportées par l'Italie avec la contribution de plusieurs Interisti, Giuseppe Meazza en particulier. Ici, l'appel d'Allemandi, Castellazzi, Demaria et Meazza, en 1934 par Vittorio Pozzo est le premier appel des joueurs de l'Inter pour la Coupe du Monde. L'Italie soulève la Coupe Rimet en 1934 et la conserve en 1938. En 1938, Giovanni Ferrari, Pietro Ferraris, Ugo Locatelli et Renato Olmi sont appelés en plus de Meazza. Il y a donc 8 champions du monde Nerazzurri, avec Meazza qui en tant que capitaine soulève le trophée en France. Le meilleur buteur de l'histoire de l'Inter est le seul Nerazzurri à avoir remporté deux titres mondiaux. 104 Interisti à la Coupe du Monde Les huit Azzurri précités font partie des 104 joueurs qui, tout au long de l'histoire, ont été convoqués pour la Coupe du monde. Une très longue liste dans laquelle se distingue Beppe Bergomi, capable de disputer quatre éditions de la Coupe du monde entre 1982 et 1998. Lothar Matthäus compte bien cinq éditions, mais une seule lorsqu'il portait le maillot de l'Inter, celle de 1990. Pour celles de 1950 et 1954, seuls les joueurs italiens étaient appelés. En 1958, l'Inter n'avait qu'un seul représentant à la Coupe du monde, Lennart Skoglund avec la Suède, l’Italie n’y participant pas. Il y a 24 nations représentées dans l'histoire par les Interisti à la Coupe du Monde : Italie, Suède, Espagne, Angleterre, Autriche, Allemagne, Hollande, Brésil, Chili, France, Nigeria, Argentine, Uruguay, Turquie, Portugal, Croatie, Serbie, Slovénie, Ghana, Cameroun, Colombie, Japon, Algérie, Belgique. L'édition qui a vu le plus de Nerazzurri participer à la Coupe du monde est celle de 2002. 13 joueurs de l'Inter ont été appelés : Toldo, Materazzi, C. Zanetti, Di Biagio, Vieri (Italie) ; J. Zanetti (Argentine); Simic (Croatie); Okan, Emre (Turquie); Conceiçao (Portugal); Recoba, Sorondo (Uruguay); Ronaldo (Brésil). Les interisties champions du monde Il y a 19 joueurs interisti qui ont remporté la Coupe du monde. Au niveau des clubs, les nerazzurri occupent la troisième place en terme de champions du monde, derrière la Juventus et le Bayern Munich. Les 19 champions Nerazzurri sont : Meazza (1934-1938) ; Allemandi, Castellazzi, Demaria (1934); Ferrari, Ferraris, Locatelli, Olmi (1938); Bergomi, Marini, Bordon, Oriali, Altobelli (1982); Matthäus, Klinsmann, Brehme (1990); Djorkaeff (1998); Ronaldo (2002); Materazzi (2006). En 1982, l'Italie a remporté sa troisième Coupe du monde avec cinq joueurs Nerazzurri dans l'équipe, comme cela s'est produit en 1938. Lors de cette édition, Bordon était le seul joueur de l'Inter à ne pas entrer sur le terrain. Les Interisti buteurs en finale Sur 19 Interisti champions du monde, 7 ont marqué en finale de Coupe du monde. Quatre d'entre eux soulevant alors le trophée, trois avec la déception de la défaite. En 1970, premier but des Nerazzurri en finale : l'égalisation de Boninsegna contre le Brésil, avant la domination auri-verde. En 1982, sous les yeux du président de la République, Alessandro Altobelli fait hurler à Pertini la fameuse phrase "ils ne nous prendront plus" en inscrivant le 3-0 contre l'Allemagne, lors de la finale au Bernabeu qui se termine 3-1. Pour l'Italie de Bearzot, un triomphe sous le signe de Paolo Rossi, avec cinq champions Nerazzurri, dont un tout jeune Bergomi qui a touché le dernier ballon de ce bienheureux Mundial. En 1986, le but de Rummenigge en finale au Mexique, que l'Allemagne perd contre l'Argentine. Quatre ans plus tard, lors de Italia 90, la revanche allemande avec les trois Nerazzurri sur le terrain : Brehme, Matthäus et Klinsmann. Une finale nettement Nerazzurri avec Andy Brehme vainqueur du match marquant sur penalty (pied droit alors que c'est un gaucher) à la 81e minute au stade Olimpico de Rome. Un penalty que Matthäus n'a pas tiré, en raison d'un problème avec une de ses chaussures. En 2002, un autre nerazzurri sur le toit du monde : Ronaldo, après la déception de 1998, remporte la Coupe du monde en inscrivant un doublé en finale contre l'Allemagne, exhibant une coupe de cheveux étrange et légendaire. En 2006, Marco Materazzi était la vedette. Il a égalisé en finale contre la France, a subi un coup de tête de Zidane entraînant un carton rouge pour le Français, a marqué l'un des cinq penaltys de la série finale qui a donné aux Azzurri leur quatrième mondial Titre. La liste des attaquants Nerazzurri en finale de la Coupe du monde s'étend jusqu'en 2018 quand Ivan Perisic marque un beau but à Moscou contre la France en finale, la Croatie s'inclinant 4-2. Toujours un interiste en finale depuis 1982 Lothar Matthäus détient le record d'apparitions en Coupe du monde avec 25 matches. Walter Zenga est l'invaincu : 518 minutes en Italie 90, de la première minute du premier match à la 68' de la demi-finale, où il a été battu par la tête de Caniggia. Parmi les meilleurs buteurs on retrouve Ronaldo en 2002 (8 buts) et Wesley Sneijder (5 buts) en 2010. Mais le fait le plus incroyable est que depuis 1982, il y a toujours eu au moins un joueur Nerazzurri sur le terrain lors des finales de la Coupe du monde. Voici la liste : 1982 : Bergomi, Altobelli (but), Oriali 1986 : Rummenigge (but) 1990 : Brehme (but), Matthäus, Klinsmann 1994 : Berti 1998 : Ronaldo, Djorkaeff 2002 : Ronaldo (2 buts) 2006 : Materazzi (but) 2010 : Sneijder 2014 : Palacio 2018 : Brozovic, Perisic (buts) Traduction alex_j via FCInter1908
  9. Giuseppe Marotta s’est livré à Radio Anch'Io Sport afin d’analyser cette première partie de saison, ô combien particulière étant donné le nombre de matchs extrêmement rapprochés et une Coupe du Monde hivernale ! Qu’est-ce qui a changé à l’Inter ? "Depuis hier, rien d’important si ce n’est la conscience que nous pourrions être protagoniste "fino in fondo" dans ce championnat, un championnat que tout le monde défini comme anormal. Aujourd’hui nous en avons terminé avec sa première partie, il reprendra le 4 janvier, c’est quelque chose d’inédit. Nous sommes tous curieux de comprendre les répercussions, surtout dans le domaine de la performance sportive : Entre ceux qui vont à la Coupe du monde et ceux qui vont rester à la maison, il sera difficile et inédit pour les préparateurs sportifs d'assurer un suivi. Nous devrons comprendre, joueur par joueur, les lacunes d'un point de vue athlétique à combler." Qu’est-ce qui a changé au cours de ce mois ? "Nous avons fait face à un handicap silencieux et mystérieux dont nous ne connaissons pas les origines, ensuite l’équipe et l’entraineur ont fait des corrections, il y a aussi cette sensation que nous réalisons une autre compétition à domicile qu’à l’extérieur : Nous avons connu quatre défaites à l’extérieur et on peut mettre en évidence 18 buts encaissés hors de notre base sur un total de 22 buts, c’est énorme: C’est le secteur qui doit nous porter le plus de réflexions avec l’entraineur qui doit trouver des remèdes : C’est son devoir de vacances." Dzeko va-t-il prolonger ou risquons-nous qu’il fasse une Perisic bis ? "Je ne crois pas qu’il fera une Perisic-Bis : Dzeko a démontré vouloir rester avec nous et c’est un joueur qui mérite sans l’ombre d’un doute une prolongation car c’est un très grand professionnel, très attaché au maillot. Comme tant d’ "anciens" en circulation, il a la vision du but, je le considère comme une excellente ressource et tous les clubs doivent l’avoir à l’œil, nous y compris. Au moment opportun nous établirons les contacts, c’est notre désir, mais cela doit l’être aussi, via une volonté explicite du joueur." Comment est la situation sociétale ? "Il faut accorder énormément de respect à la Famille Zhang qui s’est dernières années a injecté tant d’énergie, il me semble 800 millions d’euros : Ils ont tant donné au système du Calcio et à l’Inter, ensuite il est vrai qu’une certaine éthique combiné à tant de contractions financières lié à la pandémie ne leur permet plus de procéder à des investissements de millionnaires. C’est normal, cette contraction force à redimensionner les couts mais il faut savoir être toujours bon pour rester compétitif dans un monde compliqué." Quelles sont les attentes pour l’année 2023 de Romelu Lukaku ? Et pour le Mercato ? "En ce qui regarde Lukaku, il a été sans le moindre doute victime d’une blessure imprévue et imprévisible, conditionnée par la volonté de revenir rapidement et en forme, le tout motivé aussi par la Coupe du Monde. Cela fait partie des risques à prévoir, lorsque tu dispose d’un noyau composé de 25 joueurs, les blessures sont à l’ordre du jour: Je suis d'avis qu'il ne devrait pas y avoir autant de stress compétitif comme il y en a cette saison, car cela entraîne un nombre élevé de blessures." "Nous ne sommes qu'à la moitié de la saison, et nous verrons ce qui se passera plus tard. L'espoir est qu'il puisse revenir dès le 4 janvier, c'est ce que j'imagine et ce que je pense". Inzaghi a-t’ il demandé quelque chose pour le Mercato ? "Il faut saisir les opportunités, on parle d'un grand club, il faut garder les yeux grands ouverts. Mais notre groupe est assez compétitif pour nos objectifs." Est-ce que la rencontre importantissime face au Napoli pourrait être celle de la relance ? "Nous disputerons notre 15ème match à domicile, c'est un nombre impair. Dans le top 7, nous sommes les seuls à avoir joué 7 fois à domicile, et les autres 8. Cela n'a l'air de rien, mais nous avons un parcours gagnant à domicile, cela pourrait équivaloir à un avantage supplémentaire par rapport au classement d'aujourd'hui, qui nous voit être en retard de 4 points comparé à l’année dernière: L’an dernier, le Napoli était également en tête et cette saison, ils ont 5 points de plus et cette performance est la plus extraordinaire à souligner." "Il reste 23 matchs donc 69 points : La rencontre du 4 janvier ne sera pas décisive car il ne faut pas sous-estimer le danger que peuvent représenter les équipes "provinciales" : Il sera problématique, pour tous, de comprendre quel sera son état de forme au retour à la compétition." Qu’en est-il du Giuseppe Meazza ? "L'image générale est que nous sommes en bas de l’échelle : Il y a des stades dont l'âge moyen est de 60 ans et seulement quatre sont de propriété. Au-delà des problèmes de sécurité et de précarité, le stade en tant qu'actif pour augmenter les revenus en Italie est considéré comme un aspect très négatif: Vous devez faire face aux difficultés bureaucratiques, nous devrions avoir un processus plus fluide au lieu de devoir faire face à ces bureaucrates compliquées. La situation, prise en charge par Antonello, est dans l'impasse et j'espère qu'elle pourra être résolue". Et la délinquance dans la Curva ? "Je ne veux pas parler de répression, car c'est un outil extrême. Mais de prévention, et il s'agit de créer un phénomène de plus grande culture. Le stade se révèle parfois être une arène où les gens s'affrontent, s’opposent. Au lieu de cela, il se doit être un contexte d'agrégation et cela fait partie de notre société civilisée. Parfois, les valeurs sont mises de côté, même notre jeunesse a perdu une partie de sa valeur, c'est à nous, en tant que personne un peu plus expérimentés et de sages, de leur inculquer, grâce aux outils disponibles pour valoriser le sport en tant que phénomène social et de croissance, le retour à ses valeurs." La sortie de Cristiano Ronaldo contre Manchester United ? " Au sein d'un club, il est normal qu'il y ait des positions et des visions différentes, mais cela ne signifie pas que j'étais contre cette opération parce que CR7 est une icône, un champion. Ce n'était pas la raison de mon divorce avec la Juventus". ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  10. En effet, plus que les autres années, cette saison l’Inter n’est plus seulement folle (Pazza), mais elle a décidé d’ajouter un petit côté Schizophrène à son ADN. Preuve en est sa récente partition au Stadium de Turin ou encore plus récemment, ce mercredi 9 novembre au Giuseppe Meazza où l’on donnait peu de chance aux hommes de Simone Inzaghi après une vingtaine de minute de jeu, un but de la Chatte à Deschamps signé Lykogiannis, mais également un arrêt du cul d’André Onana. Dans une soirée qui s’annonce donc maussade face à l’équipe qui a coûté le Scudetto aux Nerazzurri l’année dernière, la lumière au bout du tunnel est représentée par le Cygne de Sarajevo, auteur d’un but Zidanesque à la 26ème minute de jeu. S’en suivra un but sur coup franc de Federico Dimarco (36’) qui, gourmand, s’offrira son premier doublé à domicile en concrétisant une très belle phase de jeu à la 48’. Entre-temps, le "festif" Lautaro Martinez aura brisé les reins de l’équipe bolognaise après avoir brisé ceux de sa moitié lundi dernier. Hakan Çalhanoğlu décide aussi de participer à la fête en convertissant un pénalty, avant que Gosens ne conclue le set à la 76’. A une journée de la fin de cette première partie du championnat, trois constats sont flagrants Edin Dzeko reste l’un des meilleurs attaquants du Calcio malgré son âge Federico Dimarco fait oublier Ivan Perisic L’Inter ne fait pas les choses à moitié : Soit elle gagne, soit elle perd, mais elle ne partage jamais l’enjeu! Au classement, l’Inter parvient "miraculeusement" à rejoindre le Top 5 en étant toutefois largement distancé par un explosif et surprenant Napoli Tableau Récapitulatif Résumé Vidéo Inter 6-1 Bologne Buteur(s): 22' Lykogiannis (B), 26' Dzeko (I), 36', 48' Dimarco (I), 42' Lautaro Martinez (I), 59' Çalhanoğlu (I, rig.), 76' Gosens (I) Inter: 24 Onana; 37 Skriniar, 15 Acerbi, 95 Bastoni; 2 Dumfries (61' 12 Bellanova), 23 Barella (74' 5 Gagliardini), 20 Çalhanoğlu (74' 14 Asllani), 22 Mkhitaryan, 32 Dimarco (61' 8 Gosens); 9 Dzeko, 10 Lautaro Martinez (61' 77 Brozovic) Banc: 1 Handanovic, 21 Cordaz, 5 Gagliardini, 6 De Vrij, 11 Correa, 14 Asllani, 45 Carboni, 46 Zanotti, 47 Fontanarosa Entraîneur: Simone Inzaghi Bologne: 28 Skorupski; 3 Posch, 5 Soumaoro, 26 Lucumi (46' 4 Sosa), 22 Lykogiannis; 30 Schouten, 17 Medel (46' 6 Moro), 19 Ferguson (61' 21 Soriano); 7 Orsolini, 9 Arnautovic (61' 11 Zirkzee), 99 Barrow (74' 55 Vignato) Banc: 1 Bardi, 23 Bagnolini, 8 Dominguez, 10 Sansone, 20 Aebischer, 29 De Silvestri, 33 Kasius, 50 Cambiaso Entraîneur: Thiago Motta Arbitre: Colombo VAR: Mazzoleni Averti(s): Arnautovic (B), Lucumì (B), Lautaro Martinez (I), Medel (B), Orsolini (B) Expulsé(s) : / Affluence: 69.312 tifosi Comment jugez-vous la performance de l’équipe et plus particulièrement d’Edin Dzeko auteur d’un but sensationnelle et d’une reprise de la tête monumentale sur la barre transversale ? ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  11. C’est une information relayée par le Sun : Antonio Conte a été clair, pour rester au sommet, son Tottenham devra investir dans les grands joueurs, et cet investissement doit avoir lieu le plus tôt possible Objectif Bastoni "Et c'est pour cette raison que l’entraineur des Spurs a sauté sur l’occasion pour demander des renforts dans tous les secteurs, même si cet été 150 millions de livre sterling ont déjà été dépensés. Parmi toutes les dépenses, seul Ivan Perisic est parvenu à conquérir un maillot de titulaire." “Tottenham aurait prépare une offre de 43 millions de livre sterling pour le défenseur Nerazzurro, soit environ 50 millions d’euros pour le signer déjà en janvier. Conte a été visionnaire pour Bastoni, car c’est justement lui qui l’a lancé en Nerazzurro lorsqu’il n’était âgé que de 20 ans et qu’il n’avait que très peu de matchs professionnel derrière lui. Il lui avait confié un maillot de titulaire dans un rempart qui comptait déjà Milan Skriniar et Stefan de Vrij, mais surtout un élément d’expérience en la personne de Diego Godin. Il y a une estime réciproque car le joueur lui-même a reconnu l’importance de son ancien entraineur dans son processus de croissance." La Position de l’Inter "Malgré cette somme importante et les difficultés financières de l’Inter, il n’est pas écrit que le club de la Viale Della Liberazione marque son accord pour céder Bastoni. Le Club Nerazzurro croit aveuglément au potentiel du joueur, en ses qualités et en sa valeur, il est considéré comme un pilier de l’équipe pour le présent et pour le futur, tant est si bien qu’il a paraphé en mai 2021 un nouveau contrat le liant jusqu’au 30 juin 2024." Une première offre de Tottenham avait d’ailleurs été présentée durant cet été, celle-ci a été refusée : Et si les Spurs ne comptent pas abandonner, il sera difficile, pour eux, de convaincre l’Inter ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  12. Simone Inzaghi s’est livré en conférence de presse, mais également à Sky Sport, Amazon Prime et Inter TV suite à la qualification "inattendue" de l’Inter en huitième de finale de la Ligue des Champions avec une journée encore à disputer dans le Groupe de la Mort Simone à Inter TV "C’était une rencontre jouée sérieusement, bien organisée, nous savions ce qu’il y avait en jeu ici. Je dois féliciter les garçons, ils ont réalisé une phase de groupe incroyable. Cela nous apportera de l’auto-estime pour les prochains match et c’est juste de profiter de ce succès devant nos Tifosi. Dès demain, nous penserons à la prochaine rencontre. C’était un match où nous avions tout à perdre, dont l’issue était à l’avance connue. En Ligue des Champions, tu dois aborder toutes tes rencontres de la meilleure des façons." "J’applaudis nos garçons qui ont réalisé une grande rencontre : L’équipe a interprété les différentes périodes de celle-ci de la meilleure des façons : Lorsqu’il fallait attaquer nous le faisions bien, de même lorsqu’il fallait défendre. Lukaku? "C’est un Homme important qui nous a énormément manqué, je suis content aussi bien pour lui que pour Gaglia qui était aussi forfait. J’attends à présent Brozo, il ne reste plus trop à attendre. Lorsque tu as tout le monde à ta disposition, tu te dois ensuite de faire les bons choix." Simone en conférence de presse "Lukaku sera extrêmement important, nous l’avions perdu durant deux mois, c’est un joueur important connu de tous, il revient en forme et il a une envie folle, pendant que dans le même temps, les autres donnent tout : Je suis content pour Correa qui a délivré une délicieuse passe décisive, Lautaro a réalisé un match extraordinaire et Dzeko a été génial dans la gestion du ballon et pour nous permettre de remonter. J’ai toujours dû jouer avec deux attaquants, à présent je devrai être bon pour les choisir." "Marotta avait dit ce soir que nous pourrions réaliser un petit rêve après un tel tirage au sort : Nous avons été excellent et, pour la seconde année de suite, nous sommes en huitième de finale avec une journée encore à jouer. Je suis content pour les garçons, pour le Club et pour les Tifosi : Voir un Meazza comme ça, c’est si beau. En Ligue des Champions, les garçons ont fait quelque chose de totalement inattendu! : Nous avons tous remonté les manches pour toucher le Bayern et Barcelone et Cette qualification doit nous apporter énormément d’auto-estime, nous avons atteint le premier objectif de notre saison, nous l’avons atteint avec des prestations toujours plus performantes." "En championnat, nous avons du retard, mais j’estime que nous travaillons pour le réduire, je suis confiant et j’ai de l’espoir avec le retour des joueurs blessés qui vont me venir en aide : Nous devrons fournir de derniers efforts jusqu’à la trêve, nous avons réalisé une emprise qui te donne de l’estime en toi, c’est juste d’en profiter en ce moment, ensuite nous serons à nouveau de retour ici pour le championnat, nous devrons nous réorganiser pour faire face à une rencontre importante face à la Sampdoria." "Dimarco et Bastoni ont été excellent et parler de Perisic ne me va pas : Ils ont été excellent, Gosens est en reprise continue. En ce moment, Dimarco et Bastoni, qui ont été écarté face à la Salernitata pour choix technique et à Florence car ils avaient quelques pépins, ont réalisé un excellent match. J’ai vu une équipe qui avait tout à perdre dont on attendait d’elle une victoire attendue, et nous avons été très bon sur le terrain, les gars ont été très sérieux pour remporter une rencontre fondamentale." Steven Zhang? "J’ai d’excellents rapport avec le Président et nous allons de l’avant depuis le jour de ma signature, il y a une très grande estime réciproque, et elle s’est renforcée entre nous car nous traversons une période importante. Je sais ce que représente la Champions pour l’Inter, je voulais lui offrir une suite à ce que nous avons vécu l’année dernière : Nous avons donné de très belle satisfaction au club et au Tifosi qui ont été ce soir, notre véritable moteur." Simone à Sky Sport "Je suis très fier de mes joueurs, pour le club et pour ces merveilleux tifosi. Lors du tirage au sort, nous n’étions pas heureux, mais nous avions de l’espoir. Nous avions la possibilité de couronner ce petit rêve et nous y sommes parvenu. C’est juste de profiter de la soirée ce soir car cela fait deux saisons de suite que nous nous qualifions pour les huitième de finale de la Ligue des Champions, c’est quelque chose qui n’était plus arrivé depuis longtemps à l’Inter." "Je suis heureux pour mes garçons qui ont réalisé un match sérieux, ordonné, dans lequel nous avions tout à perdre mais notre équipe a fait preuve de maturité. Ce type de match est difficile à jouer, dans le passé nous en souffrions, et déjà lors du match aller nous avions fait preuve de maturité. Nous ne pouvions également pas laisser s’échapper cette possibilité après les deux rencontres face au Barça." Le Championnat ? "En ce moment, profitons de ce résultat, dans 48 heures, nous serons de nouveau sur le terrain. Nous savons que nous avons du retard mais nous allons chercher à nous relancer via le retour des joueurs importants et à coup de victoire." Lukaku? "Je suis très heureux pour lui et pour Correa avec sa passe décisive, je suis content pour Lautaro qui dimanche avait été extraordinaire et qui ce soir aurait mérité de marquer. Dzeko, au-delà des deux buts qu’il a inscrits a été l’auteur d’un match extraordinaire. Ce sont des signaux excellent et nous avons atteint notre premier objectif, nous allons de l’avant avec confiance." Simone à Amazone Prime "Nous avions l’espoir de nous qualifier dans un groupe extrêmement difficile : Barcelone et le Bayern sont extrêmement fort, mais nous avions de l’espoir. Nous voulions réaliser une très grande phase de groupe et nous sommes allés au-delà de nos attentes, je dois vraiment encenser les joueurs." "Je suis satisfait du jeu exprimé, nous avons atteint le premier objectif de la saison en parvenant à réaliser quelque chose de spécial. Le début face au Bayern était très dur, mais nous avons grandi de match en match, surtout lors de la double confrontation face à Barcelone: C’est une récompense pour le Club et pour nos merveilleux Tifosi." Çalhanoğlu Play-Maker "Il réunit la qualité et la quantité, l’année passée, il était discret à ce poste. Asllani s’exprime très bien, mais nous étions dans une période vraiment délicate et j’ai retesté Hakan qui s’améliore continuellement." Les retours importants "Lorsque Brozovic et Lukaku seront de retour à plein régime, nous serons dans de bonne conditions, car nous jouons tous les trois jours et j’aurais plus de choix et de possibilité pour alterner. C’est une période de match très rapproché, et ce ne sera pas facile de les mener tous à bon terme." ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  13. Retrouvailles entre Antonio Conte et Christian Eriksen capturées par les caméras lors de Spurs - United. Pour les fans de l'Inter, le match de Premier League entre Manchester United et Tottenham, terminé 2-0 en faveur des hôtes, était spécial. En effet, à Old Trafford, plusieurs anciens joueurs de l'Inter se sont rendus sur le terrain et sur le banc. Si l'ancien entraîneur de l'Inter, Antonio Conte, et notre ancien ailier , Ivan Perisic, n'ont pas souri à cause du résultat final, ce ne fut pas le cas pour l'entraîneur des Spurs et un autre ancien Nerazzurri, Christian Eriksen. Le Danois, à propos duquel le manager du Salento avait exprimé des mots mielleux, a été capturé par les caméras alors qu'il discutait et riait avec Conte. Traduction alex_j via FCInterNews.
  14. C’est du moins l’analyse de la Gazzetta Dello Sport vis-à-vis de l’allemand qui, surclassé par Federico Dimarco, aurait déjà un bon de sortie pour le Mercato Hivernal "Tout est acté, d’ici à la Coupe du Monde, il semble compliquer de voir la hiérarchie changer : L’explosion de Dimarco signifie encore moins de temps de jeu pour Robin Gosens et la révolution opérée par Inzaghi est également claire : L’allemand est derrière maintenant, il n’a jamais pleinement convaincu l’entraîneur, qui avait pourtant été l’un des principaux sponsors de son arrivée en janvier dernier. Et il n’est pas faux de penser que, 12 mois plus tard, il va de nouveau être au centre du Mercato du Club." "C’est presque naturel de croire que Gosens va se retrouver à nouveau sur le Mercato et si ça vente au mois d’août a sauté in extremis, le Bayer Leverkusen était une option concrète même si le joueur allemand avait déclaré: "C’est moi qui ai dit non." "A présent, en janvier le scénario devrait changer et l’Inter regarde déjà ce qu’il y a à sa disposition : Les noms de Pedraza et Mazzocchi ont déjà été cité, mais il est fort possible que le Club Nerazzurro recherche un profil plus offensif…Soit un autre Ivan Perisic pour être clair…Un joueur que Gosens n’a jamais été jusqu’à ce jour ." ®Antony Gilles - Internazionale.fr
  15. Federico Dimarco traverse une très belle période, lui, qui après s’être mis en évidence et avoir marqué en équipe nationale, après avoir marqué face à la Roma, a été finalement l’un des grands artisans de la victoire face au Fc Barcelone Analyse de la Gazzetta Dello Sport "Federico Dimarco est l’un de ceux qui y est parvenu : Un milanais qui a grandi avec l’Inter dans le cœur et le Nerazzurro dans ses veines, lui qui, âgé de trois ans allait déjà dans les bras de son Père dans la Curva, lui qui a neuf ans faisait déjà chanter le ballon avec son pied gauche, un pied gauche qui avec le temps est devenu toujours plus puissant et précis. Peu de personnes doutaient de lui lorsqu’il faisait partie du vivier Nerazzurro : Il deviendra un grand joueur, il arrivera en Serie A et il fera parler de lui." "Simone Inzaghi est d’ailleurs le premier entraineur de l'Inter a lui avoir donné la confiance nécessaire pour s’imposer : S’en est fini de faire des apparitions, Dimarco sous Inzaghi, est devenu une valeur ajoutée et avec le travail, l’abnégation et sa faim, il a atteint un nouveau palier : C’est lui le patron de l’aile gauche laissée orpheline par Ivan Perisic. Et tout ceci est le fruit d’un long parcours qui l’a vu et contraint d’abandonner son confort à la Maison pour grandir en s’éloignant, en passant par Parme et Vérone où la pression était différente." "A présent, Gosens n’est plus sur ses talons car Federico a ce petit plus : Et ce n’est pas uniquement l’Interisme car la Foi footballistique compte jusqu’à un certain point, mais c’est la qualité. Une qualité qui est le fruit d’un travail, de tant de sacrifices qui ont finalement mis en avant le Fils de la Curva Nord." Encensé par Giuseppe Bergomi qui s’est livré à la Rosea Bergomi, qu’est-ce que cela veut dire lorsque l’on grandi à l’Inter et que l’on parvient à s’imposer chez les Grands ? "Ce sont des sensations extraordinaires : Tu regardes derrière toi et tu te félicites du parcours réalisé, des sacrifices qui t’ont porté jusque-là. Pour réussir, tu te dois de franchir énormément de difficultés car rien ne t’est offert." Vous rappelez-vous de vos propres émotions ? "Pour moi, c’était un rêve, mais c’était une autre époque : Je suis arrivé en équipe première et il y avait d’autres garçons qui étaient sortis du vivier comme Bordon, Oriali, Beppe Baresi, Canuti. : Le sens d’appartenance était inné. Et lorsque je suis devenu ensuite le Capitaine, j’ai en tout premier lieu essayé de faire comprendre à tous les nouveaux venus ce que voulait dire "Endosser le maillot de l’Inter"." Quel part du parcours de Dimarco, peut-on retrouver dans son ascension ? "Il y en a énormément, tellement : Le sens d’appartenant et l’Adn de l’Inter sont innés en lui, ce ne sont pas des choses qui s’apprennent, ni qui s’entrainent: Grandir dans le Secteur Jeunesse d’un club comme l’Inter, pour un milanais mais aussi pour un Lombard a beaucoup de significations : Tu apprends depuis ta plus tendre enfance ce qu’est le poids de ce maillot, l’Histoire du club, la responsabilité qui incombe lorsque tu es un joueur Nerazzurro." "Ce qui m’impressionne le plus chez Dimarco c’est sa grande personnalité : Le Giuseppe Meazza est un stade exigeant, dans les moments difficiles, il te met sous pression et lui n’en a que faire, il ne s’effondre pas mais il se magnifie." Voyez-vous dans son regard, ce petit quelque chose en plus, comparé aux autres ? "Federico incarne tout ce qui fait l’état d’esprit Nerazzurro, et comme je l’ai dit, il ne se laisse jamais briser par la pression : Il joue toujours le jeu, il se donne, il frappe. Et même, j’aime son caractère : C’est quelqu’un de généreux, il donne tout sur le terrain et je le vois aussi lorsqu’il vient du banc et qu’il secoue l’équipe et tout l’environnement : S’il se plante, il ne s’effondre pas mentalement mais il continue sa progression." "En ce moment, Dimarco est le joueur avec la meilleure personnalité dans l’équipe : Il y met son cœur et ses jambes font tout le reste." ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  16. Riccardo Trevisani s’est également montré lapidaire envers Simone Inzaghi dans le cadre de l’émission Pressing : "Après 14 mois sous Inzaghi, l’Inter est plus pauvre que jamais, c’est le terrain et les statistiques qui le disent !" "Une distinction doit être faite entre les Parties : L’équipe de l’Inter a clairement remplacé les joueurs âgés qu’étaient Alexis Sanchez et Arturo Vidal par Henrik Mkhitaryan et Romelu Lukaku, Francesco Acerbi pour Andrea Ranocchia, on ne peut pas dire que cette situation est alarmante! Il n’y a que la perte, très importante d’Ivan Perisic, mais l’Inter a tout fait pour le garder, ça ne me semble pas être une pire équipe." "Le problème reste le suivant : L’Inter qui nous a été raconté l’année dernière, est-elle l'équipe qui a remporté deux trophées contre la pire Juventus de la décennie ou doit-elle être vue comme celle qui a perdu le Scudetto en qualité de plus grand favori ? L’année dernière, j’ai vu Vidal jouer une demi-heure et marcher sur le terrain : Cette demi-heure, c’est le temps qu’Asllani a joué avant-hier en 9 matchs. Peut-être y a-t-il une gestion vieux/jeune d’Inzaghi qui n’est pas vraiment méritocratique… Et c’est la faute que je lui donne." "L’Inter après le Derby de février a eu des matchs, durant lesquelles, elle n’a plus démontré être une équipe puis elle s’est ressaisie. S’en est suivi la présaison ou elle a pris des buts face à tout le monde: Vous voulez donc rire en déclarant qu’hier elle ne méritait pas de s’incliner ? D’accord, elle ne le méritait pas, mais elle s’est inclinée dans tous les matchs où elle faisait face à une équipe décente sur le terrain, alors on en rit ?" "Rien que dans les buts, il y a un problème, il faudra choisir Le gardien tôt ou tard non ? Vous avez un gardien qui n’arrête plus rien, ne serait-ce pas là La solution ? Car à chaque fois que le tir n’est pas sur lui, il rentre à l’intérieur. L’Inter s’est brisée l’année dernière." Inzaghi ? "Si j’avais alternativement un coach que je considère comme potable, je le remplace face à une situation qui me semble irréversible : Quand les choses sont cassées, elles ne se réparent pas. Après 14 mois sous Inzaghi, l’Inter est plus pauvre que jamais, c’est le terrain et les statistiques qui le disent !" ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  17. Giuseppe Bergomi, ancien défenseur de l'Inter, s'est exprimé aux micros de SerieANews.com : voici ses réflexions sur le moment vécu par les Nerazzurri. Giuseppe Bergomi s'est confié hier matin à SerieANews.com. Notre légende est, à ce jour, l'une des voix les plus averties du monde du football et des commentateurs. Il nous a fait part de ses réflexions sur le moment délicat que vit l'Inter. "Ce que je vois pour le moment, c'est que l'équipe, qui sous l'aspect tactique technique joue plus ou moins comme l'année dernière même si elle a perdu Perisic et retrouvé Lukaku, même s'il a eu peu de temps de jeu. Il y a un manque d'enthousiasme et de compacité ce qui amplifie les lacunes que l'équipe a en ce moment." "Si vous ne trouvez pas ces composants, cela devient difficile, très difficile. Vous luttez. Vous devez trouver ce feu de l'intérieur, ce dernier mètre pour marquer. Aller et faire plus que l'adversaire. Ce sont des choses souvent difficiles à expliquer car le fan ne voit pas. Mais si tu ne réussis pas tu vas aggraver les problèmes qu'a l'équipe." "Dans les moments difficiles, nous devons aller vers les joueurs qui ont une identité forte. Qui représentent l'Inter. Qui sont des jeunes qui sentent que l'Inter est à eux. Si ce sont eux qui sont le plus en difficulté, ce n'est pas facile car ils en sont précisément le pivot. Il y a Skriniar qui a peut-être des soucis causés par sa blessure estivale. Bastoni et Barella, je ne sais pas. Je ne me focalise pas trop sur eux." "Le discours est toujours celui-ci : quand on construit une équipe, il faut lui donner une identité forte. Et cette Inter en trois ans l'avait, elle pouvait gagner ou perdre mais elle doit retrouver son identité. Elle a gagné avec Conte, elle a gagné quelques trophées l'année dernière, elle s'est battue jusqu'au bout. Elle doit retrouver l'envie de se battre pour chaque balle, pour éviter la défaite. Mais avant de se faire battre, il faut lutter jusqu’au bout." "Aujourd'hui, battre l'Inter semble trop facile. Le football évolue vite, les équipes sont fortes et pressées. Parce que si tu vas à Turin, Bergame, Vérone, ce sont tous des matches compliqués et si tu ne te mets pas sur le même niveau de compétition et de détermination, de compacité, les problèmes remontent. Si vous ne liez pas ça, quand vous jouez tous les trois jours, ça devient difficile." "Concernant Simone Inzaghi, quand un club renouvelle son contrat et le prolonge, il est certain qu'il croit en l'entraîneur, au staff et en son travail. Il faut donc absolument lui faire confiance car changer maintenant, à mon avis, devient difficile. Pour trouver un bon profil et pour beaucoup de choses. Je dois donc faire confiance à Simone. Oui, absolument ! Mais je pense quand même qu'il y a quatre composantes : le club, l'entraîneur, les joueurs et les supporters. S'ils rament tous dans le même sens et trouvent de l'enthousiasme, alors il est juste de continuer avec lui." "Mais nous devons tous ramer dans le même sens, je le répète. Cela ne veut pas dire que vous pouvez alors gagner automatiquement un Scudetto, mais vous êtes une équipe. Et quand vous l'êtes, vous pouvez affronter n'importe qui. Le Bayern, Barcelone, Milan sont-ils plus forts ? Mais vous êtes une équipe. Si vous trouvez cela, cela devient plus facile et ce n'est pas un problème pour les fans." Traduction alex_j via SerieANews.com.
  18. Le moment n'est pas le plus heureux. Mais il y a du temps et un moyen de remettre la saison sur les rails : les mots de Francesco Colonnese au FCInter1908. Le moment n'est pas le plus heureux. Mais il y a le temps et le moyen de récupérer et de se remettre sur les rails d'une saison qui a sans doute mal commencé. Ciccio Colonnese, ancien défenseur de l' Inter , n'a aucun doute : "Tous unis et compacts avec Simone Inzaghi, il sait réagir." Après la défaite à Udine, les pensées chez les Nerazzurri sont intenses, mais la pause arrive probablement au bon moment. Il est temps de réorganiser les idées, de se rassembler, d'analyser les erreurs. "Maintenant, vous commencez la phase 2", dit Colonnese. Voici ses paroles à FCInter1908.it. Mauvaise défaite de l'Inter à Udine. Quel est le principal problème de cette équipe ? "Les problèmes sont nombreux et ont été déjà largement analysés par tous. Il était temps de comprendre où étaient les erreurs. Désormais, les mots ne servent plus à rien : il faut être calme et lucide dans les décisions et l'analyse critique du moment. L'heure n'est plus aux essais, mais il est temps d'inaugurer la phase 2 : le redémarrage. La déception est grande, mais les épreuves ne mènent nulle part. L'Inter a un entraîneur qui sait très bien quoi faire pour s'améliorer, il faut se rassembler pour surmonter les problèmes et seul le temps dira si les difficultés seront surmontées. L'ensemble de l'environnement et les fans doivent être un seul corps. Ça ne sert à rien d'être là pour dire ce qui ne va pas sans apporter de solution. Il faut redonner de la sérénité à une équipe qui en a désormais peu. Le projet ne peut pas être brisé comme ça de cette façon." Inzaghi devrait-il envisager de changer de module ? "Je pense que c'est dans la tête d'Inzaghi qui aura fait une analyse minutieuse de ce qu'il peut améliorer. C'est une personne très intelligente et à l'écoute technique. Mais vous le connaissez, nous ne pouvons certainement pas tous devenir entraîneurs maintenant. Ce n'est ni constructif ni productif. Tout ce dont vous avez besoin, c'est de la compacité." Tu étais un grand footballeur : si tu avais été remplacé à la 30e minute, comment l'aurais-tu vécu ? N'y a-t-il pas un risque d'enlever la confiance à l'équipe ? Entre autres, à l'Inter, les joueurs savent désormais qu'une fois avertis, ils sont systématiquement remplacés. N'est-ce pas un élément de pression pour un footballeur ? "Ce sont toutes des préoccupations relatives à la phase 1, ce sont des situations qui ont déjà été largement analysées. Dans la nouvelle phase, j'espère que certaines choses ne se reproduiront plus. Je ne pense pas qu'on les reverra, car Inzaghi est trop intelligent et aura certainement analysé tous ces aspects." Certes, il va falloir faire quelque chose en défense, vu les trop nombreux buts encaissés... "Il faut améliorer l'attention et la concentration, chaque joueur doit prendre conscience qu'il doit s'améliorer de ce point de vue. Il faut se remettre à défendre avec la volonté de ne pas encaisser, comme cela s'est produit l'année dernière. Il doit y avoir un désir de réagir à un moment difficile. Tout le monde aura sûrement le désir de sortir d'une situation difficile." Comment vivez-vous certains moments dans un vestiaire ? Parlons-nous avec sérénité ou, parfois, même un combat sain peut-il aider ? "Cela dépend du vestiaire. J'ai dû faire face à des disputes, mais aussi à de longs moments de silence. Quoi qu'ils fassent maintenant, il faut avoir l'intelligence, la clarté et la volonté commune de s'en sortir. Inzaghi est un ami cher et je suis très attaché au milieu de l'Inter : je suis sûr qu'il est capable de trouver la bonne clé pour remettre le groupe sur les rails. Je veux un signal de sa part : il doit prouver à tout le monde qu'il est un top pour à l'Inter, il doit combattre les sceptiques, les mêmes qui ne croyaient pas qu'il pourrait gagner des trophées en arrivant à l'Inter. Je m'attends à ce qu'il les fasse réfléchir à nouveau comme ils l'ont fait l'année dernière." Comment expliquez-vous la faible utilisation de Gosens ? "Perisic était un phénomène et il est difficile pour quiconque de se mesurer à un phénomène. Il faut nécessairement partir de ce postulat. Perisic était unique, il n'y en a pas un comme lui en Europe. Cela dit, Gosens a été un grand joueur par le passé, mais il sort d'une longue période d'inactivité, qui ne lui a pas permis de s'exprimer au mieux à l'Inter. Inzaghi s'attend probablement à un signal fort de sa part, aussi parce que, objectivement, quand il a joué, il n'a pas été formidable. La place doit se mériter, d'abord à l'entraînement. Il doit montrer à tout le monde que, même s'il ne sera jamais Perisic, il peut faire bien plus." Sur l'ensemble du dernier championnat, les Nerazzurri ont essuyé 4 défaites, cette année après 7 journées ils en sont déjà à 3. Trop pour concourir pour le Scudetto ? "Trop tôt pour mettre l'Inter hors de combat. Maintenant que les Nerazzurri ont quitté la route, nous devons nous remettre sur les rails. Ce n'est qu'après être revenu sur le droit chemin que d'autres discours pourront être prononcés. Si vous pensez au Scudetto maintenant, vous n'en sortez pas, car vous faites preuve de présomption. Il faut travailler tête baissée. Lorsque vous serez à nouveau fort, vous pourrez redéfinir vos objectifs. Vous ne vivez pas dans le passé et vous ne pouvez pas penser à la dernière saison, lorsque nous avons terminé deuxièmes et remporté deux trophées. Si vous me demandez aujourd'hui, l'Inter n'est pas prête à gagner le Scudetto. L'objectif premier est de se remettre sur les rails. Le championnat est long et les équipes sont toutes là." A votre avis, la saison dernière, avec le scudetto manqué lors de la dernière journée, a-t-elle laissé des séquelles ? "Cela peut certainement rester dans la tête des joueurs, mais maintenant l'Inter va tellement mal qu'il faut penser au présent, pas au passé. Sinon, on ne s'en sort pas." L'Inter devrait-elle envisager l'idée d'un changement sur son banc ? "Immédiatement après le match, en tant que fan, bien qu'étant un ami très cher, j'ai exprimé ma souffrance. Mais je suis heureux qu'il entraîne l'Inter, je lui souhaite de résoudre les problèmes au plus vite de tout mon cœur. Je pense que c'est la personne la plus apte à remettre l'Inter sur pied, tant qu'ils sont tous avec lui, à ses côtés. Je le crois. Je crois tellement en lui." Traduction alex_j via FCInter1908.
  19. S'adressant au média italien TuttoMercatoWeb , Massimo Moratti a apporté son soutien à Simone Inzaghi malgré la mauvaise passe et a estimé que la perte d'Ivan Perisic pèse plus que ce que la plupart ne l'avaient prévu. "Si je m'attendais un tel début? Peut-être pas, compte tenu de la saison dernière le fait que l'équipe et Inzaghi aient déjà fait un bon parcours ensemble. Certes, la blessure de Lukaku a été un facteur. Cela a un peu changé la situation et à partir de ce moment-là, ils ont semblé être désavantagés." "Cependant, il me semble que le problème est plus large que cela. Si cela concerne les relations internes entre les joueurs et l'entraîneur, alors c'est un vrai problème. Espérons que ce ne soit pas le cas car je pense qu'Inzaghi est un très bon homme et un excellent entraîneur et l'équipe est plus ou moins la même que la saison dernière." "Ne me demandez pas ce que je ferais, car j'ai fait ma part de changements d'entraîneur (rires). Mon avis n'est pas fiable. Sérieusement, oui, je resterais avec lui, notamment parce que si peu de matchs ont été joués. Trois défaites, c'est important, c'est vrai, mais je persévérerais avec un entraîneur qui a déjà montré qu'il est bon." "Ivan Perisic est un joueur de haut niveau, dont le départ pour Tottenham avait peut-être été un peu sous-estimé." Traduction alex_j via Sempreinter.
  20. Christian Vieri et Marco Matterazzi donnent leurs avis après la défaite contre l'Udinese. Dans le dernier épisode de Bobo TV, Christian Vieri s'est exprimé sur le moment difficile des Nerazzurri, se focalisant sur le double changement d'Inzaghi en première mi-temps. "Je ne quitte pas le terrain à la demi-heure pour un carton jaune! Cela me pesait déjà en fin de match. Il faut se fritter avec le coach et tout casser à Pinetina pour un truc comme ça. L'Inter ne peut pas être dans cette condition là !" Dans le cadre de la tournée qui la mènera au Qatar, le trophée de la Coupe du monde a fait escale à Split, en Croatie. Marco Materazzi, en tant qu'ambassadeur, s'est entretenu avec HRT. "Brozovic est le moteur de l'équipe, pour le meilleur ou pour le pire. Tout passe par lui, on le voit à chaque fois qu'il ne joue pas. C'est toujours difficile quand il n'est pas là. C'est un joueur de football très important pour nous. Je suis désolé pour Perisic, il a joué un rôle décisif la saison dernière et il y a deux ans quand nous avons remporté le championnat. Ils ont essayé de le refaire la saison dernière et il était, à mon avis, le meilleur joueur de l'équipe. Malheureusement, nous l'avons perdu par décision de la direction du club." Traduction alex_j via FCInter1908.
  21. Le Corriere dello Sport explique que Simone Inzaghi est frustré par les performances récentes de notre défense pendant que la Gazzetta dello Sport évoque l'absence d'Ivan Perisic. Selon un article imprimé d'aujourd'hui dans le Corriere dello Sport, Simone Inzaghi était particulièrement ennuyé par la manière dont les défenseurs n'ont pas réagi face à un danger évident lorsque les Rossoneri attaquaient. Inzaghi a été frustré par le premier but du Milan causé par une passe mal placée de Hakan Calhanoglu qui a provoqué une contre-attaque rapide sur notre côté droit. Il a cependant estimé qu'il s'agissait d'un problème structurel qui montrait où l'équipe avait besoin de travail. Pour les deuxième et troisième des Rossoneri, il a estimé que ses joueurs se sont simplement éteints lors des moments décisifs, semblant rester immobiles et ne faisant en grande partie rien pour empêcher Olivier Giroud ou Rafael Leao de trouver le fond du filet. Pour être plus complet, un article imprimé dans la Gazzetta dello Sport blâme les performances du duo vieillissant Samir Handanovic - Stefan de Vrij, la forme bâclée d'Alessandro Bastoni et la perte de l'influence d'Ivan Perisic provoquant une défense poreuse des Nerazzurri. Handanovic et de Vrij ont indéniablement très bien performé pour les Nerazzurri par le passé, mais aucun des deux n'a montré de son mieux cette saison. En effet, ils ont semblé lents à réagir au danger à divers moments, peut-être le reflet d'une baisse de forme voire d'un déclin? Dans le cas de Bastoni, l'âge peut difficilement être mis en avant pour le déclin que le joueur de 23 ans a montré cette saison. Il a également indéniablement semblé bâclé et lent à réagir au danger lors des récentes apparitions. Pour la Gazzetta, le départ de Perisic pourrait jouer un rôle clé dans tout cela, car l'énergie et le rythme de travail du Croate pour aider sur le côté gauche avaient été la clé de la forme défensive de l'équipe pendant une grande partie de la saison dernière, et ils n'ont pas encore trouvé comment reproduire son influence. Traduction alex_j via Sempreinter.
  22. En effet, via la Gazzetta Dello Sport, le célèbre site économique s’est penché sur les coûts salariaux des Nerazzurri au terme de la fenêtre de ce mercato estival Une baisse confirmée Les joueurs qui composent le noyau représentent ensemble 74 millions d’euros net, ce qui se traduit par une masse salariale brut proche des 127 millions d’euros. D’une façon générale, le plafond salarial a diminué en comparaison à la saison dernière, session hivernale incluse, car celle-ci était de 137,3 millions d’euros. Il y a donc une différence d’une dizaine de millions d’euros. Pour établir ce classement, Calcio&Finanza s’est basé sur les statistiques salariales communiquées par la Gazzetta Dello Sport. L’analyse a ensuite intégré les salaires des nouveaux joueurs recrutés cet été, sur base des indiscrétions communiquées par la presse, le tout ajusté également par les chiffres des contrats renouvelés. Pour calculer le salaire brut, Calcio&Finanza a pris en compte l'allégement fiscal prévu via le Décret Croissance, pour tous les joueurs qui peuvent en bénéficier, c'est-à-dire pour les joueurs qui ont été résidents fiscaux hors d'Italie pendant au moins deux ans avant leur arrivée en Serie A (ceux-ci doivent maintenir leur résidence fiscale en Italie durant au moins deux ans après leur arrivée). Lukaku & Brozovic mènent la danse Le joueur le mieux payé du noyau est Romelu Lukaku qui perçoit 8,5 millions d’euros net, celui-ci est de retour après une saison passée à Chelsea. Il est suivi de Marcelo Brozovic et ses 6,5 millions d’euros, via un contrat qu’il a renouvelé au cours de la saison écoulée. Pour compléter le Podium, on retrouve plusieurs joueurs qui perçoivent 5 millions d’euros net, il s’agit d’Hakan Çalhanoğlu, d’Edin Dzeko et de Lautaro Martinez. Chez les "nouveaux" Henrik Mkhitaryan est le mieux payé, il est suivi par André Onana et Francesco Acerbi arrivé sur le gong. Parmi les joueurs qui ont quitté l’Inter, la masse salariale la plus importante dégagée est celle en provenance du duo chilien formé par Alexis Sanchez et Arturo Vidal, qui ont perçu, en contrepartie, une prime de départ à hauteur de 4,5 millions d’euros pour le premier et de 4 millions d’euros pour le second. Les départs les plus importants actés sont ceux d’Ivan Perisic, parti à Tottenham gratuitement et celui de Matias Vecino parti, sur la même base, à la Lazio. Validez-vous cette nouvelle grille salariale ? ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  23. L’Inter a fait l’objet d’un mercato estival animé : Entre la nécessité de faire des économies, recruter sans disposer de réels fonds pour se renforcer, combiné à la conservation de tous les Bigs, la partie était loin d’être gagnée. Toutefois, comme le révèle le Corriere Dello Sport, l’Inter est parvenu à réaliser l’impossible, en conservant tous ses "Top Players" et en reprenant Romelu Lukaku, en respectant, pour une bonne partie, les exigences imposée par la propriété représentée par le Président Steven Zhang. "A la différence de la Juve et du Napoli, l’Inter n’a vendu aucun de ses meilleurs joueurs, au contraire, le feu vert a été donné pour poursuivre les discussions relatives aux renouvellement des contrats de Milan Skriniar et Stefan De Vrij, soit les deux priorités du trio formé par Giuseppe Marotta, Piero Ausilio et Dario Baccin." "L’Inter n'a perdu qu’Ivan Perisic, qui était probablement celui que ne devait absolument pas partir tant il apportait des garanties dans les duels et pour apporter une supériorité numérique, mais le club a fait tout son possible pour le convaincre de rester." "Le président n'a pas pu investir dans l’acquisition de joueurs payants, il s’est donc plus concentré sur des prêts ou des joueurs à paramètres zéro, le tout en accordant sa confiance à ses Manager et à son entraineur. Ceux-ci ont également pu le convaincre de ne pas réunir immédiatement les fonds exigés des 60 à 80 millions d’euros de plus-value nécessaires pour ce mercato 2022-2023 car l’équipe en aurait été affaiblie, bien au contraire, finalement Steven Zhang aura marqué aussi son accord pour l’arrivée de Francesco Acerbi". Comment jugez-vous le travail réalisé par Piero Ausilio, Dario Baccin et Giuseppe Marotta ? ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  24. Le journaliste italien Luca Marchetti a expliqué que la quasi-totalité de l'argent dépensé par l'Inter pour le mercato provenait de l'accord ferme pour Joaquin Correa. Xavier Jacobelli pointe le remboursement pour Oaktree. S'exprimant lors de sa chronique pour Tuttomercatoweb, Luca Marchetti a décomposé les finances de la fenêtre de transfert de l'Inter alors qu'elle tire à sa fin. Il a mentionné que l'Inter n'avait en fait dépensé que 28 M€ cet été et que 24 M€ sont partis pour Joaquin Correa contrat permanent après l'année qu'il a passée en prêt avec nous. "L'Inter a dépensé un peu moins que la Lazio, bien que (en fait) presque tout l'argent dépensé (24 millions sur 28) soit précisément pour Correa." Il a ensuite expliqué comment l'Inter avait besoin de créer de l'argent en vendant des joueurs marginaux et des jeunes stars qui n'ont actuellement aucun rôle dans l'équipe A . "La reine du marché de juin est avec l'arrivée de Lukaku, surtout ces derniers jours, a dû se méfier des assauts sur Skriniar et Gosens." "L'Inter a dû faire face aux nécessités économiques et a réussi à subventionner le marché (manquant toujours de ce plus que la propriété avait demandé) avec les cessions de joueurs qui n'avaient en fait jamais (ou presque jamais) porté le maillot de l'Inter en équipe A. (Casadei, Di Gregorio, Gravillon, Pinamonti)." "Les arrivées sont toutes techniquement en prêt (ou sur un paramètre zéro), dépensant environ 15 M€ cette année." Il a ensuite ajouté que l'été prochain il y aura des obligations comme l'achat de Robin Gosens. "Bien sûr : l'année prochaine il y aura des obligations (dont celle de Gosens) mais l'Inter se retrouve avec la même équipe que l'an dernier, qui est passée à un cheveu du Scudetto avec Perisic en moins et Lukaku en plus. Et avec des alternatives encore plus solides. Tant qu'il n'y a pas de surprises aujourd'hui." S'adressant à la radio italienne TMW, Xavier Jacobelli a estimé que les Nerazzurri sont conscients de la nécessité de rembourser le prêt en temps voulu dans toutes leurs transactions tant que la dette est impayée. "Les préoccupations au sein de l'Inter sont liées aux problèmes des entreprises. D'ici 2024, le prêt doit être remboursé à Oaktree, et dans cet esprit, ils ont opéré sur le marché des transferts, concluant des accords intelligents. Les joueurs importants ont été gardés, de Skriniar (pour l'instant) à Bastoni, et ils ont essayé de faire venir de l'argent des joueurs 'secondaires'." traduction alex_j via Sempreinter.
  25. Comme nous le savons tous, l’Inter a hérité du groupe de la mort avec le Bayern, le Barça et Plzen. Voici les réactions de Carlo Ancelotti, Hasan Salihamidzic, Jordi Cruyff et Daniele Adani. S'exprimant lors d'une interview avec Sky Sport Italia après le tirage au sort, Carlo Ancelotti a admis que les Nerazzurri n’ont pas été gâtés. "L'Inter est dans un groupe difficile avec Barcelone et le Bayern. Naples est dans un groupe plus équilibré. La Juve a le PSG… Dans quelques mois, il y a tellement de matches, on joue tellement en peu de temps, ça ne sert à rien de faire des pronostics." S'exprimant via les chaînes officielles du club du Bayern Munich, Hasan Salihamidzic n'a pas hésité à dire que notre groupe est très difficile même s'il est content de jouer contre nous. "C'est sûr que c'est un groupe difficile, mais nous l'attendons avec impatience. Jouer contre des adversaires de haut niveau comme ceux-ci dans des stades exceptionnels sera très amusant. Les garçons devront donner le meilleur d'eux-mêmes dès le début et trouver la bonne attitude à chaque match. Évidemment, nous visons à terminer premiers et nous essaierons de gagner tous les matchs de cette belle manche." S'exprimant lors d'un entretien avec Mundo Deportivo, Jordi Cruyff n'a pas hésité à dire qu'il s'agit du groupe le plus dur, du moins sur papier. "Ce sera difficile, avec des équipes fortes et importantes, un groupe de la mort pour s’amuser et souffrir. Pour Lewandowski, ce sera un match spécial, mais aussi pour nous parce que nous avons eu trois ou quatre matchs très, très difficiles contre eux, mais nous avons une équipe différente des autres saisons et je pense que nous pouvons le jouer." "L'Inter s'est renforcé avec Lukaku et ce sera un match difficile. Et il ne faut jamais perdre de vue la quatrième équipe, qui est généralement une équipe très physique, il faut respecter tout le monde." S'exprimant lors d'un entretien avec La Gazzetta dello Sport, Daniele Adani a laissé entendre que la première place du groupe C était déjà hors de portée pour l'Inter. "Dans la préparation du challenge, il faut considérer que ce sont deux grosses équipes habituées à imposer leur football. Barcelone a un plan clair, il suffit de penser à la façon dont ils ont gagné à domicile contre la Real Sociedad, avec De Jong, Gabi, Pedri, Rafinha, Ansu Fati et Lewandowski sur le terrain." "Quant au Bayern, si Ancelotti le permet, est mon favori pour un succès ultime avec City et Liverpool. Mané s'est déjà installé. À part Lewa lui-même, dont d'autres marqueront des buts, ils ont gardé tous les grands joueurs. Et De Ligt ne peut que grandir." "Viktoria n'a aucune chance, le Bayern est supérieur à tous, alors que pour la deuxième place, je dirais le Barça 60% et l'Inter 40%. Inzaghi aime aussi imposer le jeu, l'an dernier il a su regarder le Real Madrid et Liverpool dans les yeux." "Les bases ont été posées d'abord par Spalletti puis Conte, mais Simone a su moderniser le jeu et diversifier les manières d'attaquer. L'Inter est prêt pour la Ligue des champions. Certes, il a perdu Perisic, mais maintenant il ajoute le poids de Lukaku." Comme l'a suggéré La Gazzetta dello Sport, l'Inter a un groupe très dur. L'équipe allemande est toujours capable de produire des performances étonnantes et elle semble particulièrement forte en début de saison. Barcelone a une superbe équipe malgré un été marqué par une controverse financière. Simone Inzaghi doit entrer dans le tournoi avec le sentiment qu'il n'y a rien à perdre car beaucoup s'attendent à ce que les Nerazzurri terminent à la troisième place. Il doit également utiliser le sentiment lorsque l'Inter a battu le Bayern Munich et Barcelone pour remporter le tournoi en 2010. Traduction alex_j via Sempreinter.
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