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  1. La présence de la marque Inter Academy en Amérique du Sud se consolide avec la nouvelle section Chili inaugurée aujourd'hui à Santiago. On note la présence de Javier Zanetti et de l'ancien joueur et ambassadeur de l'Inter Academy Chili Ivan Zamorano. Ivan a inauguré le projet et organisé une session de formation spéciale avec 200 garçons et filles de la région. Zanetti et Zamorano ont également rencontré les médias et participé à divers gala avec les principales institutions locales d'éducation et de formation. L'événement du lancement a également vu la présence de certains membres de l'Inter Club Chili. La nouvelle Inter Academy Chile sera développée dans deux centres d'excellence de la région : la Ciudad Universitaria y del Deporte de l'Universidad San Sebastián, l'un des principaux établissements d'enseignement supérieur du Chili, qui se concentre sur la valeur du processus de formation, en embrassant pleinement la philosophie du projet Nerazzurri et le Club Liga Amigos del Fútbol, un club sportif de longue tradition et doté d'un centre sportif d'avant-garde. Les mots de Javier Zanetti. "Nous sommes extrêmement heureux d'être ici au Chili pour inaugurer la nouvelle Inter Academy dans une région qui a toujours eu une grande tradition de football et un grand amour pour les couleurs Nerazzurri. Ce nouveau projet partage l'attention que l'Inter a toujours portée à la formation des nouvelles générations et permettra aux enfants et jeunes chiliens de grandir en portant notre maillot tout en restant dans leur pays d'origine." Les mots d'Ivan Zamorano. "Je suis très satisfait de la naissance du nouveau projet Inter Academy au Chili. Je suis lié par une grande relation d'amitié et de confiance au Club Nerazzurri et je suis heureux de pouvoir être un ambassadeur du projet dans mon pays et de pouvoir contribuer à la formation de nos jeunes athlètes, non seulement d'un d'un point de vue sportif mais aussi d'un point de vue humain. Le club de la Liga de Futbol, qui offre une installation de 8 hectares au cœur de Peñalolén, et l'USS Sports City, l'une des principales universités privées du pays et qui compte en son sein un club sportif de haut niveau, seront le siège du projet avec 200 enfants déjà inscrit. Nous espérons pouvoir bientôt ajouter plus d'écoles dans la région métropolitaine de Santiago." Traduction alex_j via FCInterNews.
  2. Arrivé à l’été 2000 sous l’ère Marcelo Lippi, Robbie Keane n’aura duré que six mois à l’Inter, une courte période certes, mais une période qui aura tout de même marqué l’international irlandais qui s’est livré dans le Podcast We Are Liverpool. "Si je regarde derrière moi, j’étais vraiment trop jeune pour y aller et il y a eu des choses qui échappent à tout contrôle, mais lorsque tu vois les joueurs que nous avions à l’époque….. Ronaldo était toujours blessé car il avait connu de très graves problèmes à son genou. Mais tu avais Christian Vieri, Hakan Sukur, Alvaro Recoba, Ivan Zamorano, c’était les meilleurs, ce qui se faisait de mieux en joueurs." "Je ne regrette rien même si je sais que je n’y suis resté que très peu de temps, pourtant j’ai énormément appris en terme de culture et sur les modes de vie, comme la façon de se nourrir par exemple. Nous restions sur le terrain d’entrainement lorsque nous devions jouer le soir: Il y avait des chambres sur place et Clarence Seedorf était mon colocataire et c’est surement l’un des pire que l’on peut avoir." "Il ne dormait pas, il aimait regarder des films d’animation, les lits étaient étroits avec qu’un très léger espace entre eux, une chaise les séparaient: Il mettait son pc portable sur cette chaise et nous regardions le Roi Lion et d’autres choses jusqu’à une heure ou deux heures du matin, alors que je préférais me coucher toujours vers minuit: Si la rencontre se jouait que le lendemain, il en profitait pour parvenir durant deux ou trois heures dans la journée sans problème alors que moi j’étais toujours bien éveillé : Il ronflait comme un porc!" ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  3. L’Inter, dans ce championnat totalement inédit de par sa physionomie, a trouvé en Lautaro Martinez, un Capitaine mélangeant le sérieux de Javier Zanetti et la grinta d’un certain Ivan Zamorano Révélation de la Gazzetta Dello Sport "Lautaro est toujours plus la force motrice et le Leader de cette Inter : Face à Lecce, le Toro a marqué au bon moment en le tuant pratiquement, mais il s’est démontré être en plus un exemple: On ne l’avait jamais vu comme ça, l’Inter n’avait jamais su l’apprécier de cette façon : Capitaine du Navire avec l’âme inné d’un Capitaine, Lautaro se surpasse, il surpasse la fatigue, surpasse les vagues, et comptabilise 14 buts en 25 journée, il fait encore mieux que l’année du Scudetto où il était à la même période avec 13 buts au compteur : Lautaro est toujours plus présent, un véritable Leader qui défend un équipier dans l’effervescence du Giuseppe Meazza qui est capable de faire mal, mal à en mourir." "Lautaro est une certitude pour l’Inter, pour Simone Inzaghi, pour la Ligue des Champions, car dans une période où il faut tuer pour trouver des certitudes on retrouve l’argentin : Un point ferme dans ce monde où tout est statique : Lui qui se trouve entre un Edin Dzeko un peu en froid avec le but, lui qui n’en a plus inscrit un seul en Serie A depuis 9 matchs et un Romelu Lukaku qui continue à perdre du terrain car il n'y avait que sa transparence de visible dès son entrée sur le terrain. Lautaro sort de sa tanière lorsqu’il le faut et tue une rencontre qui était somnolente." "Lautaro fait toujours plus : C’est aussi une nouvelle confirmation qui explique la raison de son brassard autour du bras: Il ne l’est pas devenu dans la confusion, il s’agit d’une Investiture qu’il s’est mérité match après match et après avoir inscrit son but, il est allé rejoindre immédiatement Denzel Dumfries qui venait de lui délivrer la passe décisive : Il l’a réconforté avant de se diriger vers la Curva en pointant du doigt son équipier : Ce geste n’est pas hasardeux car, jusqu’alors, l’hollandais était parmi les plus mauvais joueurs du soir, à tel point que le Meazza commencer à gronder et à prendre avec des pincettes." "Le Toro est l’Inter : Il a tué un match qu’il avait lui-même permis de débloquer, lui qui était à l’initiative de l’action qui a amené au but d’ouverture." Don Fabio charmé Interviewé dans les studios de Sky Sport, Fabio Capello s’est livré sur la performance de notre Capitaine: "Lautaro est le vrai Capitaine de l’Inter, c’était une autre grande prestation de l’attaquant : Il est méritoirement Capitaine, avec ce qu’il propose : Il se sent interiste et cet aspect est très important : Il recevra des offres car il a la maturité pour jouer n’importe où : Il est le vrai Leader de l’Inter, il se sacrifie, vient en aide, il court, c’est si beau : Il est fondamental pour l’Inter ! Il ne peut pas être remis en discussion." Etes-vous sur la même longueur d’onde que l’ancien coach milaniste ? ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  4. Notre légende Javier Zanetti a accordé une interview à Tuttosport dans laquelle il évoque sa fidélité au club qui l'a fait grandir. Javier, quand l'étincelle vous a-t-elle frappé pour le football ? "J'avais trois ans et ils m'ont donné un ballon que je n'ai jamais lâché. Dans le quartier Dock Sud à Avellaneda, à deux cents mètres de la maison, il y avait une place et un petit terrain et tout a commencé là. Nous vivions près du stade de l'Independiente et ma mère était une grande fan. En Argentine, le magasinier avertit la curva lors de l'entrée de l'équipe sur le terrain. Lorsqu'il a fait, tout a explosé. Je frissonnai et je me disais 'Je me demande si je ressentirai aussi cette émotion'. Je l'ai fait." Était-ce le coup de foudre avec l'Inter ? "Je suis arrivé à Cavalese, parmi les journalistes, avec un sac qui contenait mes chaussures. Ils m'ont pris de Banfield, une équipe inconnue, tandis que Rambert venait d'Independiente où il avait remporté le championnat en tant que meilleur buteur. De plus, Roberto Carlos et Paul Ince sont également arrivés cette année-là. J'étais le quatrième étranger et à l'époque seuls trois pouvaient entrer sur le terrain mais le destin voulait que je joue tout de suite. Un lien très fort est né. Ils m'ont fait me sentir comme chez moi ici." La rumeur avec le Real, en 2001, une aventure ? "J'avais parlé à Valdano, leur entraîneur: il me voulait à Madrid. Presque tout était fait mais j'ai décidé de rester et j'ai prévenu Moratti." Combien avaient-ils offert ? "Un contrat bien plus important que celui que j'avais à l'Inter. Cependant, en plus de l'argent, j'ai pensé à la famille, à la relation avec les fans et au fait que je voulais laisser ma marque à Milan. Et je me suis dit 'Si je vais au Real, je suis un parmi tant d'autres.' J'aurais certainement gagné quelque chose, mais je voulais le faire ici. C'était un choix fort, mais il y a plus..." Histoires. "Manchester United et Barcelone m'ont aussi "tenté". Je ne me souviens plus si c'était en 2001 ou 2002. J'étais avec Paula, ma femme, et j'ai trouvé Ferguson dans un aéroport et il m'a dit bonjour, m'a demandé quand mon contrat était terminé. Mais j'étais heureux à Milan, malgré ces années très compliquées pour l'Inter. Ailleurs j'aurais eu une carrière plus importante, mais je ne me serais pas retrouvé comme à l'Inter." Comment cela s'est-il terminé avec Barcelone ? "Que j'ai "lancé" Puyol ? Il me le dit toujours. Il était dans l'équipe jeune et avait également commencé à faire quelques apparitions dans l'équipe première. Un jour, Van Gaal l'a appelé et lui a dit: 'Je veux signer l'arrière droit le plus fort du monde qui est Zanetti. Si nous ne le signons pas, je te garderai avec moi'. Et Carlos me remercie chaque fois qu'il me voit…" Qu'y avait-il dans cette étreinte avec Messi à Lusail ? "Beaucoup : je l'ai vu débuter en équipe nationale et il méritait cette coupe. Je l'ai remercié car il a couronné le rêve de tous les Argentins. À Doha, à cette époque, il y avait une atmosphère particulière : tout le monde voulait que Leo soulève la coupe." Avez-vous un meilleur ami dans le football? "Avec Zamorano qui est le parrain de Sol et Cordoba qui est le parrain de "Nacho", ainsi que mon colocataire à l'Inter, la complicité va au-delà de ce qu'ont été nos carrières." Vous êtes-vous senti trahi par Hodgson et Lippi ? "J'ai fait une erreur avec Hodgson parce que je n'ai pas compris qu'il m'a remplacé en finale contre Schalke parce qu'il voulait que Berti tire le penalty. Cette querelle s'est arrêtée là et même maintenant, quand on se rencontre, on en rigole. Par contre, je n'ai pas aimé l'attitude de Lippi, quand ça va mal, il ne faut pas chercher des coupables, mais des solutions. Peut-être, avec le recul, l'a-t-il fait pour partir." Traduction alex_j via FCInter1908.
  5. Ivan Zamorano nous a parlé de ses derbies. Nostalgie quand tu nous tient... Grinta, élévation, puissance et beaucoup de cœur. Chaque fois qu'Ivan Zamorano est entré sur le terrain, les fans étaient sûrs qu'il donnerait tout. Sa passion aujourd'hui est toujours la même, et quand il s'agit du Derby, ses yeux s'illuminent de belles images et de beaux souvenirs, revivant le premier but qu'il a marqué dans un derby lors de la victoire 3-1 le 13 avril 2007. "Je porte dans mon cœur tous les buts que j'ai marqués sous le maillot de l'Inter, mais ceux du derby sont spéciaux. Mon premier but était une tête, un but montrant ma qualité, mon attitude, le dénivelé et la tête, c'était aussi beau que l'ambiance du jour." "Chino Recoba et moi avions fait un pari avant le match, s'il marquait je le prendrais sur mes épaules mais si je marquais ce serait moi sur ses épaules... et à la fin j'ai marqué ! Je me souviens du ballon de Di Biagio pour Recoba qui était pratiquement seul dans la surface et qui m'a vu venir dans l'autre sens en criant 'Chino, Chino !!!', c'était un beau but et une belle victoire dans un match difficile." "Je suis un joueur de derby, à chaque fois que j'ai joué un clásico important, Real Madrid vs Barcelone, Séville vs Betis, j'avais beaucoup de confiance et je suis content d'avoir marqué ces buts qui sont restés dans le cœur des supporters de l'Inter. Le derby n'a pas besoin de motivation, mon jeu était sérieux, je voulais juste monter sur le terrain et 'manger' le match. Je dormais peu la nuit, je réfléchissais et repensais à ce que je pouvais faire sur le terrain, mon cœur, ma tête étaient sur le match. Maintenant je le vis avec la même intensité, la différence c'est que lorsque j'étais sur le terrain je pouvais décider du match, maintenant en tant que fan je ne peux qu'applaudir, crier 'Forza Inter !' mais avec la même passion !" Traduction nostalgique alex_j via le site officiel.
  6. Présent en compagnie de Javier Zanetti à la Coupe du Monde au Qatar, mais sans son Chili, ni l’Italie, Ivan Zamorano s’est livré à la Gazzetta Dello Sport Au cours de vos cinq saisons à l’Inter, vous êtes parvenu à rentrer dans le cœur des Tifosi... "Mais eux sont dans le mien, j’ai vécu à l’Inter une expérience fantastique, j’y ai vécu les meilleurs années de ma carrière. L’Inter est une équipe spéciale dans laquelle je me suis toujours reconnu pour une question caractérielle: Nous partagions tous les deux de la Grinta, nous n’abdiquons jamais." Impossible de résumer en deux lignes tant de souvenirs, mais nous vous le demandons... "Beaucoup de chose me viennent en tête : L’Histoire du 1+8 sur le maillot, la Coupe de l’UEFA gagné à Paris face à la Lazio, le Scudetto que l’on nous a volé en 1998." Comment étaient vos rapports avec Ronaldo ? "Ils étaient et sont optimaux : Nous sommes toujours un Chat WhatsApp avec il Fenomeno, Zanetti, Pagliuca, Simeone, Colonnese, Taribo West. Nous nous appelons, échangeons nos opinions. J’ai vécu de si belles années dans ce groupe Nerazzurro, nous étions uni et nous allions tous dans la même direction." A quel point, dans ce Chat, vous manque le Grand Simoni... "Gigi s’en est allé mais il restera dans notre cœur à tous : C’était un seigneur, un Homme de football fantastique, on ne pourra jamais oublier son style." Bam Bam ! ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  7. Sébastien Frey met un point final sur les polémiques suite à son post sur Instagram. En marge de la remise des prix du Temple de la renommée de la Fiorentina, Sébastien Frey est revenu sur les faits lors de ce Fiorentina-Inter, et ce, sur et en dehors du terrain. A commencer par son post Instagram où il a exprimé des plaintes envers la VAR qui lui ont valu les réponses piquantes de deux autres anciens Nerazzurri, Marco Materazzi et Ivan Zamorano. "J'ai été submergé par les insultes des fans de l'Inter alors que je n'ai rien écrit contre l'Inter ! J'ai juste a souligné qu'il y a eu des faits qui ont pénalisé la Fiorentina comme à d'autres occasions d'autres équipes ont été pénalisées. La VAR utilisée de cette manière est inutile. Mais, encore une fois, l'Inter n'a rien à voir avec cela. Ainsi, demain ils ne m'insulteront plus. Seuls les enragés du claviers et les haters continueront." Ensuite, il revient sur les affrontements dans les tribunes. "Florence n'est pas une ville violente. D'accord, il y a eu un fait violent à condamner mais ça se passe dans tous les stades tous les dimanches. Il y a des choses qui ne sont pas captées par les caméras. Ce n'est pas Florence, nous ne sommes pas des criminels. Ne commençons pas à accuser Florence, Florence est une ville de football, point final." Traduction alex_j via FCInterNews.
  8. Théâtre social entre trois anciens joueurs de l'Inter. Zamorano et Materazzi n'ont pas aimé les plaintes de Sébastien Frey. L'après-match Fiorentina-Inter se poursuit sur les réseaux sociaux. Sébastien Frey, qui a joué à l'Inter et à la Fiorentina, s'est plaint des torts subis par la Fiorentina. Il a, cependant, oublié la faute de Jovic sur De Vrij qui menait au 3-3. "Je commence ce message en félicitant les deux équipes pour le spectacle d'hier soir. Malheureusement, le spectacle a de nouveau été entaché d'épisodes désagréables. Si l'Inter gagnait et parce qu'ils y croyaient jusqu'au bout, mais.... J'ai toujours été un PRO VAR parce que je crois que cela peut faciliter et aider tout le monde…. Utilisé comme ça (ou pas utilisé) peut-être que j'ai besoin de revoir ma façon de penser (malheureusement)." Vives réactions de deux anciennes légendes de l'Inter, Ivan Zamorano et Marco Materazzi. Zamorano a répondu à Frey comme suit, "Seba, va pleurer à l'église. Forza Inter." alors que Materazzi est plus direct, "Seba ne dit pas de conneries !". Traduction alex_j via FCInter1908.
  9. A quelques heures de Fiorentina - Inter, voici un résumé du match Inter - Fiorentina joué la 3eme journée, Dimanche 21 Septembre 1997. Le score final de 3-2 reflète bien le match qui fut engagé. Le texte a été rédigé par de Bilal Mirza travaillant pour SempreInter. L'Inter a commencé la saison 97/98 avec un nouveau manager en la personne de Luigi Simoni, après le départ de Roy Hodgson cet été. Pour renforcer l'équipe, l'Inter a ajouté une galaxie de star avec les achats de Francesco Moriero, Alvaro Recoba, Diego Simeone et un certain attaquant brésilien nommé Ronaldo. Avant le match très attendu de la troisième journée contre Gabriel Batistuta engagé à la Fiorentina, l'Inter a pris le départ pour commencer sa nouvelle campagne avec Recoba marquant un premier doublé pour battre Brescia et le duo Ronaldo-Zamorano emmenant l'équipe devant un Roberto Baggio menant Bologne. Donc, deux victoires dans la musette. Après une saison décevante l'année précédente, la Fiorentina a commencé sa saison avec Batistuta portant l'équipe sur son dos et menant la charge, marquant cinq des six buts lors des deux premiers matchs, obtenant un triplé et un doublé; rien que ça. Alors que les deux équipes cherchaient à poursuivre leur bon début de saison, le Meazza bourdonnait d'excitation ! Simoni avait aligné les Nerazzurri dans une formation 4-5-1 avec Gianluca Pagliuca dans les buts, Giuseppe Bergomi, Fabio Galante, Taribo West et Luca Mezzano en défense. Javier Zanetti, Youri Djorkaeff, Salvatore Fresi, Diego Simeone et Maurizio Ganz au milieu de terrain et Ronaldo comme seul attaquant. De l'autre côté, Alberto Malesani a fait installer la Fiorentina avec une défense à trois composée d'Andrea Tarozzi, Aldo Firicano et Giulio Falcone devant le gardien Francesco Toldo. Au milieu de terrain pour la Viola se trouvaient Andrei Kanchelskis, Sandro Cois, Rui Costa, Michele Serena et le trident offensif d'Anselmo Robbiati, Gabriel Batistuta et Luis Oliveira pour compléter la formation 3-4-3. Au coup d'envoi du match, les deux équipes se méfiaient de la menace imminente posée par Ronaldo et Batistuta alors qu'elles adoptaient une approche prudente et méthodique de leur attaque. Construire lentement le jeu depuis l'arrière et attaquer par les ailes de chaque côté et jouer occasionnellement de longs ballons pour trouver leurs attaquants en perforant la haute ligne défensive. C'est la Viola qui a failli marquer en premier lorsque Kanchelskis a reçu un long ballon du milieu de terrain et s'est placé derrière Taribo West sur l'aile droite, faisant la course en avant et a passé le ballon vers le centre de la surface vers Batistuta. Batigol l'a reçu, étant non marqué l'a frappé à la volée, a battu Pagliuca mais a été repoussé par la barre transversale pour maintenir le score à 0-0. L'Inter essayait continuellement de trouver des moyens de passer le ballon à Ronaldo qui semblait parfois imparable, courant vers la défense de la Fiorentina en dribblant devant autant de défenseurs que possible. La Viola faisait tout ce qu'elle pouvait pour l'empêcher de passer, n'ayant souvent pas d'autre choix que de faire des faute pour l'empêcher d'obtenir un tir au but. Les deux équipes se battaient pour la possession, jouant méthodiquement, mais physiquement. À une de ces occasions, Kanchelskis a été blessé, blessure résultant d'un tacle très, très dur de West. Cela a conduit Malesani à effectuer un remplacement et à faire entrer Stefano Bettarini. Taribo West a eu beaucoup de chance de ne recevoir qu'un carton jaune pour un tacle dur, quasiment un ciseau, qui a blessé un joueur sans réellement jouer le ballon. À l'approche de la mi-temps, les deux équipes semblaient se diriger vers l'intervalle à 0-0. Cependant, Ronaldo a réussi à sortir de l'impasse juste avant la mi-temps, lorsque Simeone a pris la défense de la Fiorentina au dépourvu et a joué un ballon parfaitement dosé à Ronaldo entre les deux défenseurs centraux. Le ballon a roulé devant Toldo et dans le filet pour donner à l'Inter une avance de 1-0. Cependant, l'Inter n'a pas été devant longtemps, alors que le jeu reprenait, la Fiorentina a joué le ballon vers l'aile droite pour Oliveira qui a passé le ballon vers le bord de la surface pour Serena. L'arrière gauche de la Viola a reçu le ballon et l'équipe a étiré la défense pour créer suffisamment d'espace pour qu'il puisse déclencher une frappe du pied gauche qui a battu Pagliuca, dans le coin supérieur gauche du but. Score de 1-1 à la mi-temps. Lorsque le jeu a repris en seconde période, l'Inter avait remplacé Maurizio Ganz sur l'aile droite par le nouveau venu Francesco Moriero. La Fiorentina a frappé peu après la mi-course lorsque Mezzano a tenté de renvoyer le ballon à Pagliuca. Malheureusement, il n'a réussi qu'à le jouer directement pour Batistuta qui a battu les deux défenseurs et a dribblé Pagliuca se précipitant à sa rencontre pour marquer dans le but vide, filet opposé. Les visiteurs obtiennent une avance de 2-1. Ayant déjà encaissé un but en raison d'un jeu bâclé, l'Inter a failli encaisser un troisième but après avoir de nouveau retourné le ballon sur le bord de la surface, cette fois par Taribo West; il poussa trop son ballon. Batistuta a intercepté le ballon et a tenté un enroulé devant Pagliuca dans le coin supérieur droit. Mais il a de nouveau été repoussé par la transversale. La Fiorentina semblait contrôler le match et menaçait de creuser l'écart avec son capitaine en pleine forme. L'Inter a continué à chercher l'égalisation et a fait venir des renforts du banc. Zamorano a remplacé Simeone pour donner une autre arme en attaque. Il a immédiatement fait sentir sa présence. Après un long dégagement de Pagliuca et une passe de Ronaldo, Zamorano contena son défenseur direct et a trouvé Moriero courant dans la surface après avoir battu son vis-à-vis pour obtenir un tir au but. Il plaça le ballon dans le coin inférieur gauche pour égaliser à 2-2 avec plus que dix-huit minutes à jouer. Avec les deux équipes attaquant de chaque côté pour marquer le but vainqueur, il semblait qu'un troisième but pour l'une ou l'autre équipe était sur la table. Oliveira a failli sortir de l'impasse lorsqu'il a dribble deux défenseurs à l'intérieur de la surface pour un tir à bout portant, pour être repoussé par un brillant arrêt réflexe de Pagliuca. Alors que le match touchait à sa fin, l'Inter a réussi à trouver le but vainqueur à la 81e minute lorsque Djorkaeff a fait rebondir le ballon après une interception ou contre d'une passe dédiée à Batistuta; ce n'est pas très clair. Il a reçu le ballon dans ce qui semblait être une position de hors-jeu. Sans défenseur de la Fiorentina autour de lui, il n'avait que Toldo à battre et il a placé le ballon dans le coin inférieur droit. L'arbitre avait à l'origine levé le drapeau pour hors-jeu. Mais le but a été autorisé car la balle déviée était considérée comme une passe en arrière par un joueur de la Viola et ne pouvait donc pas être déclarée hors-jeu. Compte tenu de la nature physique du match, les esprits se sont enflammés des deux côtés lorsque le but a été autorisé. Les joueurs de la Fiorentina et de l'Inter plaident avec véhémence leur cause devant les arbitres. Le match s'est terminé par une victoire 3-2 pour les Nerazzurri et l'équipe a poursuivi son début invaincu de la nouvelle saison et était en bonne voie pour une course au scudetto contre les Bianconeri. Traduction alex_j via Sempreinter, texte de Bilal Mirza.
  10. Ivan Zamorano s'est exprimé sur Supertele, une émission DAZN. Il a évoqué plusieurs choses. Le début en Serie A. "Nous pensions tous que nous commencerions mieux, mais c'est l'Inter : il est difficile de trouver la bonne condition pour le fan." Le Scudetto perdu. "Oui, l'année dernière, nous avons perdu le championnat, Milan ne l'a pas gagné." Niveau mental. "Les deux Les défaites contre Milan et le Bayern ont eu un impact sur l'équipe, nous espérons continuer à gagner pour faire un bon championnat." Ronaldo. "Ronaldo était numéro un, c'est le meilleur attaquant qui ait jamais été sur un terrain de football." Le maillot 1+8 ? "Il n'y avait pas de problème car le 9 avait le meilleur du monde (Ronaldo, ndlr). Quand c'est le cas, il faut faire preuve d'humilité : j'ai demandé de faire 1 + 8 et Moratti a dit oui." Handanovic-Onana? "Inzaghi doit gérer ça, on ne sait pas ce qui se passe pendant la semaine : pour moi le gardien est le plus important sur le terrain et il a besoin de continuité. Changer souvent enlève aussi la sécurité de l'équipe." La polémique sur le but de Milik annulé dimanche soir. "Quand cela arrivait dans mon temps on parlait de faire justice hein..." L'histoire du maillot 1+8 A son arrivée en 1996 en provenance du Real, Zamorano opte pour le numéro 9. A l'été 1997, un phénomène arrive à l'Inter du Barça, Il Fenomeno, Ronaldo ou R9. Le brésilien arrive mais son numéro fétiche, le numéro qui lui colle à la peau, est sur le dos de Zamorano. Pour sa première saison au club, le génie brésilien choisira le numéro 10 et laissera le 9 à Zamorano. Mais Nike insiste pour que R10 redevienne R9. Zamorano, en grand seigneur et avec grande humilité, lui cèdera. Pas d'échange ? Non car Roberto Baggio a débarqué entre temps et on ne peut pas lui enlever le numéro 10. Zamorano se retrouve alors sans numéro, un peu bête. Sandro Mazzola, directeur sportif, lui émet alors l'idée de choisir deux chiffres dont la somme fait 9. Zamorano propose quelque chose d'encore plus atypique, rajouter un "+" entre les deux chiffres. La ligue italienne de football accepte et l'histoire du numéro 1+8 d'Ivan Zamorano est née. Source principale : https://www.vintagefootballarea.com/blogs/les-articles/ivan-zamorano-numero-1-8 Traduction alex_j via FCInter1908, connaissances personnelles et vintagefootball .
  11. 13 Avril 1997, l'Inter de Hodgson affronte le Milan de Sacchi revenu à son chevet. Voici le récit de ce derby. Pour sa première année complète à la présidence du club, Massimo Morrati voulait faire oublié la triste 7e place de la saison 1995-1996. Pour y parvenir, il fait venir Roy Hodgson. La saison 1996-1997 se termina mieux que les précédente, 3e avec une finale de C3 contre le Shalke 04. Du côté rouge et noir de Milan, les choses étaient en plein désarroi au début de la saison 1996-1997. Fabio Capello avait quitté le club après avoir remporté un Scudetto pour prendre la relève en tant qu'entraîneur du Real Madrid. Le nouveau manager Oscar Tabarez a eu du mal à remplir son rôle et a été remplacé avant Noël par le légendaire manager Arrigo Sacchi. Malgré le retour de la légende milanaise sur le banc, les Rossoneri n'ont réussi qu'à terminer onzième du championnat et ont peiné tout au long de la saison. Au vingt-septième round de la saison 1996-1997, les Nerazzurri se préparaient à accueillir les Rossoneri dans le Derby Della Madonnina. L'Inter a bien commencé sa saison, capable de suivre Parme et la Juventus pour les premières places. Cependant, dans la seconde partie, après une série de matches nuls, les Nerazzurri risquaient d'être décrochés par les leaders de la Serie A. À l'approche du week-end du derby, le Milan venait de se faire démolir 1-6 par la Juventus et n'avait réussi à remporter que trois de ses dix matches précédents. Le onze de départ des Nerazzurri était: Gianluca Pagliuca, Giuseppe Bergomi, Massimo Paganin, Salvatore Fresi, Alessandro Pistone, Paul Ince, Ciriaco Sforza, Youri Djorkaeff, Javier Zanetti, Ivan Zamorano et Maurizio Ganz. Pour les visiteurs, Sacchi avait aligné: Sebastiano Rossi, Alessandro Costacurta, Pietro Vierchowood, Francesco Baresi, Crancesco Coco, Stefano Eranio, Marcel Desailly, Zvonimir Boban, Jesper Blomquist, Roberto Baggio et George Weah. Comme le dit le dicton, tous les records disparaissent lorsqu'il s'agit d'une rencontre de derby passionnée. Les deux équipes se sont concentrées sur le calme, le sang froid et ont méthodiquement construit des mouvements d'attaque. Le rythme de George Weah a causé des problèmes de défense de l'Inter dès le début. Baggio plongeant plus profondément et faisant des passes parfaites au-dessus pour trouver les courses de Weah. Cela a déclenché tôt des sonnettes d'alarme. Les premières opportunités de but des deux équipes sont venues de situations de contre-attaque. Elles ont joué un football basé sur le marquage, ne laissant pas un pouce d'espace à leurs adversaires. Au fur et à mesure du match, l'Inter a commencé à dominer la possession et s'est appuyé sur des séquences de passes rapides autour de la surface de réparation pour débloquer la situation. Vers la 32e minute, Maurizio Ganz a été percuté dans la surface par Franco Baresi. Youri Dorjaeff a confortablement converti le penalty pour donner une avance rapide à l'Inter. Désireux de retrouver le chemin de la victoire, Milan a continué à chercher l'égalisation avant la mi-temps, mais l'héroïsme de Pagliuca a gardé son bute intacte et vers la 43e minute, la tête de Zamorano a donné à l'Inter une confortable avance de 2-0 avant la mi-temps. Après la reprise du jeu dans la seconde moitié du match, Sacchi a remplacé Baresi et Blomqvsit et les Rossonerri ont avancé en nombre à la recherche de l'égalisation. Cependant, au lieu de combler l'écart, les Rossoneront concédé un troisième but à Maurizio Ganz suite à une opportunité de contre-attaque à la cinquante-septième minutes. Bien que Sacchi et Milan aient fait tout leur possible pour rechercher des buts, les Rossonerri ont continué à lutter. Roberto Baggio a marqué un but de consolation à la quatre-vingt-huitième minute pour amener les visiteurs à moins de deux buts, mais le match s'est terminé par une victoire catégorique 3-1 pour les Nerazzurri. Traduction alex_j via sempreinter et connaissances personnelles.
  12. 149 apparitions, 41 buts pour l'Inter et la combativité: joyeux anniversaire à l'ancien attaquant chilien qui fête aujourd'hui ses 55 ans. "Mes sentiments envers l'Inter ont commencé le jour où j'ai atterri à Milan, et ils n'ont jamais cessé. Quelque chose de puissant me lie aux couleurs Nerazzurri, c'est quelque chose qui est gravé dans l'histoire de ce club. Caractère, détermination et souffrance pour réussir: c'est la philosophie de l'Inter, mais aussi mon histoire de joueur." Ce fut le coup de foudre pour Ivan Zamorano et l'Inter. Arrivé du Real Madrid à l'été 1996, à partir du moment où l'attaquant chilien a porté pour la première fois le maillot des Nerazzurri, il a reconnu la passion et les valeurs du club. Sa détermination et son attachement au maillot combinés à son énergie et à son leadership lui ont permis d'apporter d'importantes contributions à l'histoire de l'Inter. En 149 apparitions toutes compétitions confondues, l'attaquant a inscrit 41 buts, aussi beaux que ses célébrations pour partager sa joie avec les fans des Nerazzurri. Bam Bam a apporté une contribution cruciale au triomphe de la Coupe UEFA 1998 (marquant le premier but lors de la victoire 3-0 contre la Lazio en finale) et a laissé sa marque grâce à son attitude, son tempérament et un nombre qui est entré dans l'histoire : 1+ 8. Toute la famille Nerazzurri lui souhaite le meilleur pour ses 55 ans. Traduction alex_j via le site officiel.
  13. Youri Djorkaeff a marqué avec un superbe retourné acrobatique contre la Roma le 5 janvier 1997. Il y a des moments où le temps semble s'être arrêté. Comme ce 5 janvier 1997 lorsque Youri Djorkaeff s'est élevé majestueusement et a réussi un parfait retourné lors de notre victoire 3-1 contre la Roma. Les Nerazzurri menaient 1-0 grâce à la frappe de Maurizio Ganz lorsqu'à la 39e minute, la star française a effectué un geste emblématique qui restera dans les buts légendaires. Ce but a été suivi par le rugissement du Meazza et sa célébration avec Ivan Zamorano. Un moment inoubliable qui fête aujourd'hui ses 25 ans. Traduction alex_j via le site officiel.
  14. Voici les faits et stats suivant ce Roma - Inter. MILAN – La victoire de l'Inter sur la Roma au Stadio Olimpico a propulsé l'équipe à la deuxième place de la Serie A avec 37 points, à un seul point du premier. Les Nerazzurri ont inscrit trois buts contre les Giallorossi de Jose Mourinho : le premier inscrit par Hakan Calhanoglu directement sur corner fut suivi des buts d'Edin Dzeko et de Denzel Dumfries. L'Inter a marqué 39 buts en Serie A cette saison, confirmant qu'elle possède la meilleure attaque ainsi que la deuxième meilleure défense de la Serie A avec seulement 15 buts encaissés. Contre la Roma, elle a décroché sa troisième clean-sheet consécutive en championnat, sa quatrième d'affilée si l'on compte également la victoire en Ligue des champions contre le Shakhtar. L'Inter a désormais marqué lors de 18 matches consécutifs de Serie A, égalant son propre record établi entre octobre 1950 et septembre 1951. Quant à la Roma, elle a perdu sept de ses 16 premiers matches de Serie A pour la première fois depuis 2008-2009. L'Inter a marqué trois buts en première mi-temps dans un match de Serie A pour la première fois depuis mai 1999, lorsque Ronaldo, le vrai pas le GOAT, en a marqué un et Ivan Zamorano deux. Sauf erreur de ma part, c'était contre la Roma, décidemment, avec 4-5 comme score final (but de Ronaldo et Simeone). La Roma en a concédé trois en première mi-temps d'un match de Serie A pour la première fois depuis février 2020, lorsqu'elle a affronté Sassuolo. Depuis 2011-2012, Hakan Calhanoglu n'est que le sixième joueur à marquer directement sur corner en Serie A (après Callejón, Pulgar, De Paul, Papu Gómez et Marco Rigoni). Le milieu de terrain a été impliqué dans six buts (quatre buts, deux passes décisives) lors des cinq derniers matches de championnat, autant que lors des 19 derniers matches de Serie A. Le milieu de terrain a marqué quatre fois lors de ses cinq derniers matches de championnat, autant que lors de ses 28 précédentes sorties en Serie A. Seul Mario Pasalic (sept) a été impliqué dans plus de buts que le milieu de terrain turc (six) en Serie A depuis novembre. En inscrivant le troisième de l'Inter contre la Roma, Denzel Dumfries a trouvé le chemin des filets pour la première fois sous les couleurs des Nerazzurri et dans l'élite italienne, avec son cinquième tir cadré dans la compétition. Dumfries est le dixième joueur néerlandais à marquer pour l'Inter en Serie A. Edin Dzeko était de retour parmi les buts en Serie A, après une séquence stérile de 393 minutes depuis son but contre la Juventus en octobre. Après le but contre la Roma, il a désormais marqué contre 69 équipes différentes. Depuis sa première saison dans les cinq meilleures ligues européennes (2007-2008), seuls Cristiano Ronaldo (75) et Zlatan Ibrahimovic (76) ont marqué contre plus d'équipes différentes. Les deux derniers buts de l'attaquant bosniaque sont intervenus en première mi-temps, après que les huit précédents aient été marqués en deuxième période. Traduction alex_j via le site officiel et connaissances personnelles.
  15. Lautaro Martinez s’est livré à Sky Sport et à Sport Mediaset à la suite de la victoire de l’Inter, sur son terrain, face à la Spezia Sur sa prolongation de contrat "J’ai parlé énormément avec ma famille et je suis content d’être resté ici, je m’y sens bien. Milan est une ville qui me plait énormément et les projets du club m’ont séduit, j’ai aimé la façon dont on m’a parlé, dont les choses m’ont été proposées. Je suis content d’être resté à l’Inter et ma famille aussi." Maturité "Je suis devenu papa et j’ai énormément mûri sur et hors du terrain, je cherche toujours à faire les meilleurs choix en tant qu’homme et sur le terrain : Parfois je m’énerve rapidement, mais je cherche toujours à rester serein, je veux défendre le Scudetto gagné l’année passée, c’était important pour nous de le retrouver sur notre torse après tant d’années." Simone Inzaghi "Je travaille en répondant aux demandes de l’entraîneur, je cherche toujours à faire de mon mieux et à aider mes équipiers, parfois j’y parviens, d’autres fois non, mais comme je le dis toujours, je me sens bien : Je me sens bien avec le groupe, mes équipiers, c’est important car cela veut dire que je me sens bien et que j’ai ma tête ici." "J’ai un grand rapport avec notre nouvel entraîneur, Inzaghi me donne un grand coup de main, il est arrivé ici alors que j’étais en l’Argentine, et même lorsque j’étais en Coppa America, j’échangeais avec lui au téléphone, il m’a donné un grand coup de main, il m’aide beaucoup dans ce que je réalise. Je cherche toujours à apprendre des entraîneurs, il a de l’expérience et il sait ce qu’il y a de mieux pour tout le monde." La Roma et Le Real "Nous nous préparons pour la rencontre qui arrive : La Roma est une équipe forte avec un entraîneur qui sait bien jouer au football, nous allons devoir bien nous reposer, aller là-bas et proposer notre jeu sur le terrain. Il y aura une chaude ambiance avec leur tifosi et nous tenons à envoyer un message au Championnat." "Ensuite, nous penserons à Madrid, nous irons là-bas pour l’emporter et si nous y parvenons, ce sera un signal envoyé à tout le monde : Ce sera une rencontre importante pour la croissance, elle est très importante pour nous tous." Est-ce vrai que Messi te voulait à Barcelone ? "Oui c’est vrai, nous en avions énormément parlé en équipe nationale. Il me parlait de la situation de Barcelone, mais je suis toujours resté serein, j’ai toujours parlé avec le club pour parvenir à un accord car je suis fier d’être ici, je suis fier d’être resté ici car je me sens bien ici, tout comme ma famille." Selon vous, Lukaku va-t-il regretter d’avoir quitté ce groupe ? "Je ne le sais pas, c’est un choix personnel, il était heureux ici. On parlait énormément, il a décidé de partir car il en ressentait le besoin. Je suis ici et je veux faire le maximum pour l’Inter." Le Saviez-Vous ? Lautaro est comme un Mini-Zamorano, ultra-motivé : Une scène particulière a eu lieu lors du pénalty qu’il s’était procuré face à la Spezia Immédiatement après que l’arbitre ait sifflé, Çalhanoğlu s’était planté devant le point de penalty. Dans le même laps de temps, Lautaro a embrassé le ballon pour le convertir. Brozovic a tenté de lui parler, mais il a été gentiment éloigné, tout comme Çalhanoğlu l’a été par Danilo D’Ambrosio. Il n’y a pas eu de polémique, mais reste à savoir comment est défini l’ordre des tireurs de penalty! ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  16. Qui sera le quatrième attaquant à entrer dans l'Inter Hall of Fame? Il y en a 31 parmi lesquels choisir et ils ont chacun de bonnes raisons d'être pris en considération. Nous parlons bien sûr des attaquants en lice pour entrer au Hall of Fame, avec la phase de vote en cours. Ils aspirent à rejoindre le trio de Ronaldo, Giuseppe Meazza et Diego Milito, qui seront toujours des légendes de l'Inter. Les candidats couvrent toutes les époques de l'histoire du club et ont tous laissé une marque indélébile sur l'Inter. Samuel Eto'o pourrait-il suivre Milito? Alors que l'attaquant camerounais n'a joué pour le club que pendant deux saisons, il a inscrit 53 buts en 102 apparitions et a joué un rôle clé dans les matchs cruciaux de la Ligue des champions contre Chelsea et Barcelone en 2010. Cependant, il y a beaucoup plus à choisir! Nous remontons dans le temps pour nous souvenir de certains des joueurs qui ont fait de la ligne d'attaquant de l'Inter l'une des meilleures d'Europe. Cela inclut Adriano l'empereur, qui n'était pas seulement un joueur de classe mondiale, mais était également adoré par les fans qui l'ont toujours soutenu. Ensuite, il y a Christian Vieri, le neuvième meilleur buteur de l'histoire du club avec 123 réalisations à son actif. Son complice depuis de nombreuses années, Alvaro Recoba, qui invoquait régulièrement la magie avec son pied gauche, figure également sur la liste. L'Argentine a deux représentants des équipes de l'Inter qui ont remporté le Scudetto et la Coppa Italia dans les années 2000: Julio Cruz et Hernan Crespo. Alors que Ronaldo était le roi à la fin des années 1990, c'est son partenaire de frappe Ivan Zamorano qui a remporté le premier match de la finale de la Coupe UEFA 100 % italienne à Paris en 1998, contre la Lazio. Marco Branca et Maurizio Ganz ont mené la ligne pour les Nerazzurri avant le duo Sud Américain, avec Ruben Sosa et Dennis Bergkamp lors du succès de la Coupe UEFA en 1994. Plus tard, Jurgen Klinsmann a rejoint l'Inter en tant que champion en titre et a renvoyé le club vers sa première Coupe UEFA en 1991. Il y a certainement une place sur la liste pour Aldo Serena, qui faisait partie de l'équipe du record en 1988-1989. Alessandro Altobelli, le deuxième meilleur buteur du club derrière Meazza, est également en lice, avec sa série de buts entre 1977 et 1988 aidant les Nerazzurri à remporter le Scudetto une fois et la Coppa Italia deux fois. L'attaquant restera dans les mémoires pour son but lors du succès de l'Italie à la Coupe du monde 1982, mais ses 209 buts pour l'Inter lui vaudront-ils une place au HoF ? En remontant plus loin dans le temps, Roberto Boninsegna, Jair da Costa, Istvan Nyers et Benito Lorenzi avaient tous des attributs différents, mais leur sens du but a aidé à définir différentes périodes de l'histoire du club. Aux côtés de Pietro Anastasi, Carlo Muraro, Angelo Domenghini, ces quatre-là ont une chance de gagner une place au HoF. Les 143 buts de Lorenzi avec l'Inter le placent au sixième rang du classement des buteurs de tous les temps, avec Nyers juste derrière lui en septième position après avoir inscrit 133 buts en 182 apparitions pour le club. Le jeu maraudeur de Jair a aidé l'Inter à remporter la Coupe d'Europe pour la deuxième fois, le Brésilien remportant le vainqueur lors de la finale de 1965. Les 173 buts de Boninsegna pour les Nerazzurri entre 1969 et 1976 signifient qu'il occupe le troisième rang des buteurs. Gino Armano, Mauro Bicicli, Renato Cappellini, Leopoldo Conti, Pietro Ferraris II, Umberto Guarnieri et Umberto Visentin III sont quelques-uns des noms qui remontent à plusieurs générations aux débuts du club, mais trois en particulier méritent d'être mentionnés. Luigi Cevenini III était un buteur implacable qui a réussi 158 buts en 190 apparitions, se classant cinquième au classement des buteurs. Ermanno Aebi le rejoint dans le top 10 avec 106 buts en seulement 142 matchs. Enfin, les lunettes d'Annibale Frossi sont entrées dans l'histoire, tout comme ses buts qui ont aidé l'Italie à remporter le succès olympique en 1936. L'attaquant est devenu un entraîneur à succès et un journaliste estimé. Traduction alex_j via le site officiel.
  17. En effet, Simone Inzaghi s’était exprimé avant cette double confrontation: Si l’Inter voulait avoir son mot à dire lors de cette édition européenne, elle se devait de le prouver en récoltant un 6 sur 6 face au Champion de Moldavie. Et si lors de la première manche, le Sheriff a secoué l’Inter au Giuseppe Meazza, les joueurs moldaves n’ont tout simplement pas existé ce mercredi soir tant la domination Nerazzurra était importante. Si la domination Nerazzurra est stérile avec une pluie d’occasion dévorées en première période, dont un tir lointain sur le poteau d’un Lautaro Martinez combatif à la Ivan Zamorano à la 40’, la libération aura lieu peu avant l’heure de jeu. A la 54’, Arturo Vidal tente de trouver Edin Dzeko dans la surface moldave, toutefois, le ballon revient sur l’architecte croate, Marcelo Brozovic, qui d’un contrôle et d’une feinte efface deux adversaires. Nicolò Barella, présent sur la trajectoire à venir plonge immédiatement au sol pour ne pas faire écran sur le tir à venir du Vice-Champion du Monde, un tir qui fera trembler les filets d’Athanasiadis. Inexistant depuis le début de la rencontre, le Sheriff ne réagira pas et l’Inter fera le break à la 66’ via son homme fort de la défense: Milan Skriniar! Sur un corner botté par Marcelo Brozovic, Stefan De Vrij et Milan Skriniar se trouvent à la retombée du ballon : Si la tête à bout portant de l’international néerlandais est miraculeusement parée par le gardien grec, de même que la première reprise de Skriniar, la troisième tentative sera la bonne! L’Inter s’offrira le luxe d’alourdir le score via Alexis Sanchez. Monté au jeu quelques secondes avant à la 81', Alexis est lancé en profondeur et l’international chilien profite de l’imprudence de Duranto pour lui voler le ballon devant la cage d’Athanasiadis. Seul devant le gardien, Il Nino ne laissait aucune chance au portier de l’équipe hôte. Le Sheriff sauvera l’honneur à la 91’. Sur un coup-franc de l’international luxembourgeois Thill, Traore anticipe bien Milan Skriniar, sa reprise de la tête laissant sur place un Samir Handanovic qui aura vécu une soirée des plus calme Impact au classement La prochaine journée devra être celle de la confirmation et de la qualification : En effet, le Real Madrid se déplacera en Moldavie, avec un sentiment de revanche suite à sa cuisante humiliation, lors de la deuxième journée. Dans le même temps, l’Inter recevra au Giuseppe Meazza le club ukrainien quasiment éliminé de toute compétition européenne Selon vous, l’Inter peut-elle se qualifier lors de la prochaine journée ? Tableau Récapitulatif Résumé Vidéo Sheriff Tiraspol 1-3 Inter Buteur(s): 54’ Brozovic (I), 66’ Skriniar (I), 82’ Sanchez (I), 91’ Traore (S) Sheriff Tiraspol: 30 Athanasiadis; 13 Costanza, 2 Arboleda, 55 Dulanto, 15 Cristiano; 31 Thill, 21 Addo (62’ 6 Radeljic); 9 Traore, 22 Kolovos (73’ 77 Bruno), 10 Castaneda; 17 Yakhshiboev (82’ 16 Julien) Banc: 1 Celeadnic, 33 Pascenco, 8 Belousov, 19 Cojocari, 98 Cojocaru T1: Vernydub Inter: 1 Handanovic; 37 Skriniar, 6 De Vrij (85’ 13 Ranocchia) 95 Bastoni; 36 Darmian (46’ 2 Dumfries), 23 Barella, 77 Brozovic, 22 Vidal, 32 Dimarco; 9 Dzeko (81’ 19 Correa), 10 Lautaro Martinez (82’ 7 Sanchez) Banc: 97 Radu, 5 Gagliardini, 8 Vecino, 11 Kolarov, 12 Sensi, 20 Calhanoglu, 33 D'Ambrosio T1: Simone Inzaghi Arbitre: Felix Zwayer (All) VAR: Fritz (All) Averti(s): Addo (S), Darmian (I), Cristiano (S), Costanza (S), Skriniar (I) Expulsé(s): / ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  18. Massimo Moratti s’est livré au Corriere Dello Sport sur la légendaire confrontation avec la Juventus, l'ennemi-juré de la Serie A. Quel est l’Inter-Juve que vous ne pourrez jamais oublier ? "Inter-Juve, pour nous les Interiste, c’est LA Partie, celle qui te procure de la souffrance, elle me faisait rester éveiller la nuit. Tu y penses en continue dans la semaine qui la précède : Que des émotions! il rit." Vous étiez un Président qui vivait le football comme un entraîneur ou un joueur, totalement investi... "Le football, au-delà de la passion, était une distraction des autres pensées: Avec le football, les rêves te viennent facilement, comme lorsque j’achète un joueur et que j’imagine qu’il inscrit le but de l’année dans les deux-secondes et demi qui suivent, tu t’attends toujours à de nouvelles merveilles. A sa façon, l’Inter-Juve de du 16 avril 2010 est inoubliable, un 2-0 avec un but de Maicon devenu iconique." J’aurais cru que vous alliez répondre “celle avec ce penalty non donné par Ceccarini" "C’est la partie qui a ruiné nos relations." Le Calciopoli a fait le reste…. "Le Calciopoli a exaspéré le concept de sympathie. Aujourd’hui, je vis cette partie avec plus de sérénité, moins dans le passé et plus dans le présent, l’émotion est gérable. Je suis un Tifoso moins souffrant…… avant de rentrer dans le stade." Que ce serait-il passé si, à votre époque, il y aurait eu la Var ? "Cela n'aurait rien changé, car derrière la Var, tu aurais eu des personnes qui aurait pensé de la même façon." Soutenez-vous le projet InterSpac ? "J'apprécie l’intention, ils ont eu beaucoup de courage. Je ne pense pas que ce type d'actionnariat soit réalisable en Italie, et les chiffres que le club présente aujourd’hui sont dramatiques. En Allemagne, tu peux arriver à obtenir 15 ou 20 % de l'actionnariat, mais avec des sommes accessibles et des risques limités pour les souscripteurs..." "J’ai énormément de tendresse envers les tifosi les plus méconnu et qui sont disposé à verser 1.000 €." Passons à la Super League... "Elle a été très mal présentée, à tel point que le projet a été immédiatement annulé. L’objectif des clubs était celui de trouver une façon d’encaisser plus d’argent et je peux aussi le comprendre, mais tu ne peux pas développer un plan de ce genre sans écouter la population, les passionnés, et en tuant le système." Etes-vous inquiet par l’état financier de Suning ? "Les problèmes en amont finissent par affecter les entreprises en aval. Le gamin (Steven Zhang) est bon et gentil, j'entends des gens dire que les choses s'améliorent lentement, du moins en termes de gestion quotidienne, et je veux rester optimiste." Durand ces dernières années, beaucoup ont tenté de vous faire revenir…. "C’est souvent arrivé, encore récemment même. Une défaite de l’Inter et un appel arrive: Mais c’est un chemin qu’il n’est plus possible à emprunter pour moi." Acheter ce qu’il doit être acheté, vendez un peu moins…. "Oui, je n’aimais pas vendre, toutefois Ronaldo et Ibra furent deux très grandes opérations, des authentiques investissements : Deux opposés. Le Ronaldo de 1998 ne pouvait pas être décrit par des traits humains, il avait été embrassé par Dieu." Et Ibra ? A 25 ans, se sentait-il déjà être un dieu sur terre ? "Oui, c’est un gars assez spécial, mais très sympathique. Comme un chanteur d’opéra, il voulait être respecté, l’équipe devait lui reconnaître le leadership, il voulait être le boss, même aujourd’hui à quarante ans, il ne semble pas avoir changé." L’Inter a laquelle vous êtes la plus liée est celle du Triplé ? "Ce serait une injure d’en désigner une autre que celle qui a tout gagner, mais l’équipe composée de Ronaldo, Zamorano, Recoba et Djorkaeff, reste également dans mon cœur." Échangez-vous encore avec Mourinho ? "C’est évident: Mourinho est brave et je suis fier qu’il soit allé à la Roma, où il fait de bonnes choses. Lorsque je l’ai recruté, il me rappelait énormément Herrera, j’aimais le fait que, comme Il Mago, il était différent, provocateur, habile dans la communication, très intelligent, en plus d’être un exceptionnel gagneur." Et les qualités de Mancini ? "Son mérite pourrait être aussi son défaut : son émotivité: Nous sommes toujours resté liés." "Roberto était un garçon qui conservait en lui toute l’émotivité du joueur. Nous venions de perdre face à la Lazio, et je l’ai retrouvé ce jour-là, en pleur dans le vestiaire, il était dans un coin, il était désespérément à la recherche continuelle de bien faire." "Vous vous attachez à Roberto de par la façon dont il vit le football, la partie, les faits de jeu. Mais l’émotivité devient un défaut lorsqu’elle prend le dessus sur tout le reste et c’est précisément cet aspect de son caractère qui l’avait amené à dire qu’il quitterait le club à la fin de la saison." Massimo Moratti, préférez-vous l’Inter de l’année dernière: Solide et hermétique? Ou l’Inter actuelle qui marque énormément, mais qui se prend aussi trop de but ? "L’Inter solide de l’année dernière a servi pour remporter un championnat attendu depuis tant de temps, elle a apporté des satisfactions aussi de par son caractère. Sous l’aspect footballistiques, celle-ci est bien plus amusante car tu as des joueurs de classes mondiales et tu ne sais jamais comment ça va se terminer, donc tu cela te fait vivre encore plus d’émotions, il rit." A propos, que répondre à Bonucci qui a très récemment déclaré que le dernier Scudetto était plus du démérite de la Juve que du mérite de l’Inter... "Bonucci aurait dû ajouter pour les “considérables démérites de la Juve", cela aurait été mieux pour lui. Je ne comprends pas une telle sortie. Le championnat a été remporté par l’équipe la plus forte et l’Inter était, l’année dernière, nettement plus forte que la Juve. Sinon, tout le monde va commencer à parler des Scudetti perdu par démérite et là, on n’en finira plus." Qui pour vous enthousiasmer dans cette bataille ? "Tout le monde devra y parvenir, mais ma pensée va objectivement vers Barella, un garçon qui donne toute son âme, et encore plus contre la Juve." ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  19. "Certains restent dans votre esprit comme de grands Interisti parce que ce sont des gens formidables" Massimo Moratti Lorsque Paul Ince a troqué l'United pour l'Inter à l'été 1995, c'est une décision qui a laissé perplexes les supporters du club. Ince faisait partie d'une équipe jeune et passionnante de Manchester United qui a émergé à la fin des années 1980 et au début des années 1990. Les Red Devils commençaient à dominer le football anglais à l'époque de la création de la Premier League et, dans un partenariat formidable avec l'Irlandais talismanique Roy Keane, Ince a remporté dix trophées majeurs en six ans à Old Trafford. "Le Guv'nor'', comme il était surnommé dans sa jeunesse au club précédent de West Ham, avait été un élément essentiel d'une équipe gagnante qui a jeté les bases de ce qui allait devenir deux décennies de succès effréné pour l'United, à la fois à la maison et en L'Europe. Les fans ne pouvaient pas vraiment y croire quand, après que le manager Alex Ferguson ait accepté une offre de 7 M£ de l'Inter, Ince a quitté le nord-ouest de l'Angleterre pour relativement peu de considération pour les fans: "Ce n'était pas facile", a déclaré Ferguson, en réfléchissant à sa décision de vendre Ince en 2008, "mais je sentais que c'était une bonne affaire pour le club à l'époque." Il est également possible qu'avec la fameuse "Classe 92'' commençant à avoir des revendications importantes en tant que joueurs réguliers de la première équipe pour l'United, l'Écossais a estimé que laisser partir un joueur du calibre d'Ince ne serait pas un choc aussi important qu'il aurait pu être autrement. Ce n'était pas une décision qu'Ince souhaitait non plus, comme il l'a dit à Paddy Power en 2016. "Quand j'ai quitté United, ce n'était pas ma décision. J'étais sur le point de négocier un contrat de quatre ans, mais c'était à l'aval de Sir Alex Ferguson et au conseil d'administration et ils voulaient me vendre à l'Inter Milan. J'étais dévasté de partir." Néanmoins, la défaite de Manchester United était le gain de l'Inter et Ince s'est dirigé vers le sud pour commencer peut-être la période la plus mémorable de sa carrière de joueur. Ince est arrivé au Meazza à un moment de grande agitation pour les Nerazzurri. Le club avait évité de justesse la relégation en 1994, terminant à un point de la zone de relégation dans ce qui reste, à ce jour, leur pire résultat. Bien qu'ils aient réussi à remporter la Coupe UEFA en 1991 et en 1994, ils ont échoué au niveau national. La domination de la Serie A par ses rivaux le Milan et ses adversaires de longue date, la Juventus avait fait en sorte que l'Inter n'avait pas remporté de trophée national majeur depuis 1989, année au cours de laquelle ils ont remporté à la fois le Scudetto et la Supercoppa Italia. Mais la signature d'Ince est intervenue à un moment de grands changements pour l'Inter. Il a été l'une des premières acquisitions faites par le club sous le nouveau président Massimo Moratti et sera bientôt rejoint par beaucoup d'autres. Avec des joueurs tels que Youri Djorkaeff, Ivan Zamorano et Aron Winter rejoignant Ince au cours des douze prochains mois, Moratti a clairement exprimé son désir de ramener les Nerazzurri au sommet du football italien. Interista de très longue date, Moratti était désespéré de voir son club retourner dîner à la table du football italien et européen, comme ils avaient été si habitués tout au long de leur histoire. Ince revendiquerait immédiatement une première place dans l'équipe à l'arrivée, faisant ses débuts lors d'une victoire 1-0 sur Vicenza au Meazza. Il a formé un duo cohérent avec son collègue au milieu de terrain Nicola Berti et, ce faisant, a créé un couple "travailleur et industrieux" qui a fonctionné efficacement dans le monde tactiquement complexe du calcio. Ince et Berti étaient athlétiques et énergiques avec des moteurs rarement fatigués pendant 90 minutes. Cela ne veut pas dire qu'ils n'avaient pas de capacités techniques. Ince, en particulier, a montré le genre de finesse et de classe dans le dernier tiers du terrain qui en faisait beaucoup plus qu'une menace de but qu'on ne le croit au départ. Bien qu'il n'ait marqué que trois buts lors de sa première saison, il s'est toujours avéré une terrible menace pour les défenses adverses, que ce soit par ses courses dans la surface ou par son œil pour faire une passe, qui pouvait souvent ouvrir les défenses italiennes semblables à des coffres forts. À la fin de sa première année en Italie, Ince avait aidé l'Inter à décrocher une sixième place en Serie A. Dans ce qui pourrait être considéré comme un succès modéré pour l'Anglais, il avait aidé les Nerazzuri à sécuriser une place dans le football européen pour la deuxième fois consécutive, grâce à la qualification pour la Coupe UEFA (4 clubs italiens étaient qualifiés et Parme avit remporté la Coppa tout en étant 3e, ndlr). D'un point de vue individuel, il montrait également des signes d'enracinement en Italie, notamment vers la fin de la saison. Ses trois buts sont survenus au cours des deux derniers mois de la campagne, le plus notable étant l'un des huit marqués par l'Inter dans une raclée 8-2 contre l'humble Padoue. De plus, ses efforts ne sont pas passés inaperçus par la Curva Nord. "Allez Paul Ince, allez" était un chant qui a rempli le Meazza quelques mois après son arrivée, prouvant que le joueur né à Illford avait trouvé une place dans le cœur du célèbre Interisti hostile . L'intégration rapide et considérable d'Ince dans la vie de l'Inter était d'autant plus remarquable compte tenu du climat social en Italie à l'époque. Ince est noir et, comme même le club lui-même l'a admis, il était douteux pour beaucoup de savoir si un joueur de son ethnie serait en mesure de trouver une place dans le cœur de ceux de la Curva Nord. Comme le rapporte le Telegraph juste avant la finalisation du transfert d'Ince à l'Inter, des graffitis racistes sur les murs du stade du club l'ont accueilli à son arrivée à Milan lors de la négociation de son contrat. Il n'était pas inhabituel que des bananes gonflables soient agitées sur les terrains d'Italie chaque fois qu'un joueur noir touchait le ballon et la culture du racisme en Italie était aussi notoire que vicieux. Ince avait déjà dû surmonter les préjugés et briser les barrières pour devenir le premier capitaine noir de l'équipe nationale d'Angleterre et il était clair que, s'il voulait avoir un minimum de succès en Italie, il devrait y surmonter des obstacles similaires. L'exemple le plus tristement célèbre des abus qu'il a subis était peut-être lors d'un match à Cremonese en avril 1996. Ince avait marqué le premier but dans une victoire de 4-2 pour les Nerazzurri et avait en conséquence encouru la colère de la foule hostile. "Ils me criaient, Négro, négro", se souvient Ince dans un article du The Independent un mois après l'incident, "Alors je me suis tourné vers eux et j'ai applaudi, comme pour dites: "Ouais, bien joué". C'est à ce moment-là que l'arbitre m'a averti.'' L'abus était si grave qu'Ince lui-même a admis qu'il envisageait de retourner en Angleterre. L'arrivée de son compatriote Roy Hodgson en tant que manager vers la fin de sa première année a cependant beaucoup aidé à améliorer la situation, comme Ince l'a confirmé lors d'une conférence de presse sur le terrain d'entraînement de l'Inter plus tard. "Si Hodgson n'était pas arrivé il y a cinq ou six mois, je serais probablement retourné en Angleterre. Il est comme moi; il veut gagner. Nous venons tous les deux de Londres, donc nous avons ce genre d'agressivité pour vouloir bien faire et gagner. S'il devait partir, l'année prochaine ou l'année d'après, cela changerait complètement ma position. J'espère que cela n'arrivera pas." Ince a également appelé Moratti et d'autres personnes influentes à faire davantage pour lutter contre le racisme, notant que le travail considérable effectué par la FA dans son pays avait beaucoup contribué à améliorer la situation en Angleterre. "Je pense qu'il faut en faire un vrai problème pour que nous ayons une idée de jusqu'où les gens et la fédération vont aller concernant ce sujet". Malgré cela, le succès obtenu par Ince sur le terrain était louable, et sa deuxième saison a été sans doute plus réussie que la première. Son total de buts est passé à sept toutes compétitions confondues et l'Inter a obtenu une troisième place en Serie A, ratant la qualification en Ligue des champions de seulement quatre points. Plus impressionnant encore, ils ont atteint la finale de la Coupe UEFA et, malgré leur défaite face à Schalke 04 sur deux matchs, ont prouvé qu'ils étaient à nouveau une force majeure sur la scène européenne. L'influence d'Ince sur l'équipe était largement reconnue dans toute l'Italie. Il était considéré comme si essentiel au succès de l'Inter qu'un journal italien décrivait l'équipe sans lui comme "Inter sensa Anima" (Inter sans âme). Le président Moratti tenait à ce que l'Anglais prolonge son séjour en Italie, convaincu qu'un partenariat entre Ince et Ronaldo ne ferait que renforcer la montée exponentielle de l'Inter. Ince, que Moratti a appelé "Le Tigre'', en raison de son rythme de travail féroce, rejetterait les avances du club afin de rentrer chez lui, mais cela n'a pas contribué à aiguiser l'impression de Moratti sur le joueur. S'adressant à Inter Channel en 2013 après la nomination de Walter Mazzarri au poste de directeur, Moratti a salué son travail considérable, en disant: "Peu importe combien de temps vous restez, et Ince n'était là que pendant un an et demi, il y a certaines personnes qui restent dans votre esprit comme de grands Interisti parce que ce sont des gens formidables." Le temps d'Ince avec nous a peut-être été court, mais était vraiment impactant. Il conserve un penchant pour le club à ce jour et, grâce à une relation étroite avec Massimo Moratti qui se poursuit, son fils Thomas a presque suivi ses traces en faisant un passage en Italie en 2014. C'est peut-être une bénédiction que le transfert n'a pas pu se matérialiser. Non seulement Thomas aurait eu du mal à exceller dans un club qui a connu une période instable ces dernières années en raison de changements de propriétaires, mais la pression pour être à la hauteur de ce que son père a réalisé était peut-être trop lourde à supporter pour lui. Ince n'est peut-être pas revenu d'Italie en 1997 avec plus de médailles à ajouter à sa collection, mais ce qu'il a gagné était peut-être encore plus précieux. Face aux préjugés raciaux et à l'opposition sociale, il a trouvé un moyen de faire tomber les barrières et de trouver une place dans le cœur des fans de l'Inter qu'il occupe encore aujourd'hui. Moratti l'a décrit comme "un grand Interista'' et, quels que soient les paramètres que l'on pourrait utiliser pour mesurer cela, il est difficile de discuter lorsque l'ancien président du club fait une telle déclaration. Ince restera pour toujours un favori des fans à l'Inter et, avec du recul, il est facile de comprendre pourquoi. Cet article est une traduction de "How Paul Ince overcame oppression to become an Inter great" de Laura Bradburn paru sur gentlemanultra.com le 14 Mars 2017.
  20. Alexis Sanchez est devenu le premier Chilien à marquer un doublé pour l'Inter en Serie A depuis Ivan Zamorano il y a environ 22 ans, comme l'a souligné la société de statistiques Opta. Ca remonte à loin! Et voici le résumé de match remporté 5-1 par notre équipe favorite Que de beaux souvenirs!
  21. Antonio Conte comprend maintenant ce que signifie être entraîneur à l'Inter, selon l'ancien défenseur Francesco Colonnese. Voci son interview accordée à TeleLombardia lors de du programme Top Calcio 24. "Conte fait partie de la Juventus et pour ceux qui ont joué contre lui, comme moi, c'est étrange de le voir entraîner l'Inter." "Il a fait son travail et il donne tout. Il a eu tort lors de sa première année de commenter négativement ce que faisait le club. Parce que, objectivement, l'Inter est l'Inter et il l'a compris maintenant, seulement plus tard. Maintenant, il sait ce que signifie être à l'Inter. Je n'aimais pas quand il était critique, parce que l'Inter doit être comprise, il faut comprendre pourquoi ils ne gagnent pas. Maintenant qu'il comprend ce qu'est l'Inter, je l'aime davantage. Je suis de son côté maintenant parce que la réaction, l'envie de se rebeller, vous montre que les couleurs Nerazzurri sont des couleurs différentes." Sur l'altercation Agnelli - Conte. "J'ai envie de rire car s'il y avait eu toutes ces caméras sur le terrain lorsque nous les avons joués il y a 22 ans, nous aurions certainement tous été suspendus (il rit, ndlr). Ce sont des scènes désagréables, certes, mais il y a une vive rivalité et puis il y a aussi le fait que Conte a quitté la Juve, donc il y a eu des désaccords entre eux. Certainement quelque chose n'était pas clair et ce que nous ne savons pas, ils le savent avec certitude." Manque d'identité Inter? "Pour moi, il manque dans tout le club. L'Inter a besoin de gens qui ont porté le maillot et qui savent ce que cela signifie parce que les fans de l'Inter sont différents de tous les autres, et j'ai joué dans différentes équipes. J'ai joué à Naples, à Rome, mais le fan de l'Inter est particulier et si vous perdez, il y a encore 70 000 personnes au stade. Seuls ceux qui ont joué pour l'Inter savent ce que signifie Inter. Pendant longtemps, personne n'a pu aider à transmettre la passion, le sens de l'interisme, la diversité par rapport aux autres équipes. Ce sentiment d'être pur parce que l'Inter a toujours gagné proprement. L'Inter a souffert et quand ils disent que -l'Inter ne gagne jamais-, la réponse est vraie, ce n'est pas facile de gagner à l'Inter. Vous pouvez le voir même maintenant et tout le monde le remarque. À l'Inter, ce n'est pas facile de gagner, ce n'est pas facile pour beaucoup de choses." Des noms pour cette identité? "Je faisais partie d'un grand Inter dans lequel il y avait des joueurs avec de la personnalité (1997-2000, ndlr). Marco Materazzi pourrait être une figure importante, Riccardo Ferri est un tempérament. Il y en a tellement qui pourraient aider comme Gianluca Pagliuca et Ivan Zamorano, qui pourraient être importants. Je suis petit par rapport à eux, mais je pourrais aider parce que j'ai construit ma carrière à partir de difficultés et je sais ce que cela signifie de jouer au Meazza et d'être apprécié par une base de fans aussi importante. Si après de nombreuses années vous êtes aimé, cela signifie que vous avez tout donné, que vous avez fait quelque chose de bien. Une charge émotionnelle doit être transmise aux joueurs et à toute personne portant le maillot Nerazzurri, même dans le secteur jeunesse. Inter doit être revitalisée, ils ont un marché cible qui a du potentiel."
  22. Notre légendaire vice-président, Javier Zanetti, a admis qu'il était convaincu qu'il pouvait se tailler une place lorsqu'il nous a rejoint en 1995. "C'est vrai que Rambert était présenté comme un joueur plus fort que moi, il était le meilleur buteur du championnat. J'étais le quatrième étranger que l'Inter pouvait aligner car ils avaient signé Ince, Rambert et Roberto Carlos", a-t-il expliqué dans une interview accordée à l'émission Inter Futbol Club. "J'étais convaincu que je pouvais abattre mes cartes. Je savais que l'Inter, avec son histoire, était un grand saut. C'était une belle opportunité et je devais tout faire pour bien faire." Il a ensuite expliqué comment Massimo Moratti l'a découvert. "Il y avait des cassettes à l'époque, ne disons pas combien d'années se sont écoulées depuis!" "J'ai très bien joué dans ce match, mais l'Inter regardait Ortega. Lorsque Mazzola a appelé le président, ce dernier a répondu: «Je veux le numéro 4». C'est comme ça que tout a commencé." Le lien fort entre l'Inter et l'Argentine. "Il est vrai que dans le passé, il y a eu de grands entraîneurs et joueurs qui ont laissé leur empreinte ici, puis nous sommes venus. Je pense que ce sentiment est dû à la passion et à la façon dont nous vivons le football, qui va de pair avec l'ADN de l'Inter." "Pour nous, l'Inter est une famille, nous avons apporté nos coutumes au club, à la Pinetina. Lorsque vous portez ce maillote, vous ressentez quelque chose de spécial et nous, les Argentins, le percevons." Ensuite, Zanetti a rappelé un match au début de sa carrière entre Banfield et Boca Juniors au cours duquel le commentateur a suggéré que son prochain club serait River Plate. "C'est le match où le monde a commencé à me connaître, nous avons gagné à la Bombonera et j'ai fait un très bon match." "Le lendemain, toutes les informations et tous les journaux ont commencé à parler de moi et de l'intérêt du River, mais personne ne connaissait l'Inter." Il a ensuite parlé du fort contingent sud-américain qui était à l'Inter pendant son passage. "Chacun de nous a sa propre personnalité. Je suis proche de beaucoup d'entre eux. En plus des Argentins, je suis proche de Cordoba et de Zamorano." "Parmi nous, il y a eu immédiatement de l'empathie, notre amitié va durer. Ils sont pratiquement frères, il y a eu l'alchimie du premier jour." Son adversaire le plus difficile à marquer. "L'un d'eux est Giggs, nous allions et venions sur l'aile en se défiant à grande vitesse. J'ai eu la chance d'affronter de grands champions, j'ai marqué Zidane qui est quelqu'un à qui vous avez à peine enlevé le ballon." "Kaka du Milan était l'un des adversaires qui vous oblige à toujours rester tout le temps concentré." Pourquoi le numéro quatre? "Pour moi, c'était un numéro important, c'était gratuit, je l'ai pris et je l'ai emporté avec moi aujourd'hui". Ses chansons préférées que les fans lui ont dédiées. "Le chant 'Un capitaine, il n'y a qu'un seul capitaine' ou 'Parmi les Nerazzurri, il y a un joueur qui…' Les fans de l'Inter sont fantastiques, c'est un lien qui durera pour toujours." "Ils m'ont fait sentir le bienvenu dès le premier jour où j'étais un étranger et je n'oublierai jamais cela."
  23. Arturo Vidal s’est livré à la veille de la rencontre opposant l’Inter au Real Madrid dans le cadre de la troisième journée de la Ligue des Champions Son interview à Inter.it Vous aviez inscrit de nombreux buts lors de votre première expérience en Italie. Cette année, vous êtes dans une position différente. Parviendrez-vous à en inscrire tout autant ? "Je suis heureux d’être ici et de faire ce que demande l’entraîneur. Si avant j’inscrivais tant de buts, à présent je dois donner le maximum, faire ce que me demande l’entraîneur en mettant toujours l’équipe en avant." Quel souvenir gardez-vous de vos confrontation face au Real avec le Bayern ? "J’étais très furieux, car si nous passions nous avions la possibilité de remporter la Ligue des Champions. Mais demain c’est un autre match, un défi où il faudra donner le maximum. J’ai tellement l’envie de l’emporter et nous avons les armes pour nous battre et y parvenir." Zidane a défini ce match comme une finale, comment le vivez-vous ? "Pour nous, chaque match est une finale, qu’il s’agisse du Championnat oui de la Ligue des Champions. Demain, ce sera une rencontre très intense, c’est toujours beau de faire face à une équipe aussi forte que le Real, mais pour nous tous, chaque match est une finale. C’est une belle partie, face à un adversaire que j’ai affronté à de nombreux reprises, il faut donner le maximum." Son interview à Sport Mediaset "L’Inter est une équipe forte et elle doit le démontrer sur le terrain avec l’envie de gagner, ce sera une rencontre importante, pas uniquement pour la Ligue des Champions, mais partout." Lukaku ? "C'est dommage, mais c’est le football. Nous avons disputé tant de matchs en si peu de jours, c’est comme ça. Nous devons secouer la tête et penser au joueur que l’entraîneur alignera." Petit, il se dit que vous vouliez jouer au Real Madrid, est-ce vrai ? "Oui, je l’avais dit car lorsque j’étais petit, il y avait Zamorano au Real Madrid et au Chili, on ne voyait que le Real. Puis j’ai eu la change d’évoluer dans l’équipe la plus forte du Monde, Barcelone. J’ai aussi joué au Bayern et à présent à l’Inter. Je suis heureux, je ressens la confiance de l’entraineur et je joue énormément. Nous devons à présent démontrer que l’Inter est une équipe forte, nous pouvons tout remporter cette année." Conte ? "Celui qui dit que Conte n’a plus la gagne ne le connait pas. Il en a encore plus que lorsqu’il était à la Juventus." ®Antony Gilles - Internazionale.fr
  24. Dans une interview accordée à PassioneInter.com, l'ancien défenseur Jocelyn Angloma a notamment évoqué son temps avec nous. Il commença avec: "L'Inter a été une belle période de ma vie. J'ai pu grandir encore plus après mon expérience à Turin, dans une grande équipe. Je voulais rester plus longtemps mais je devais aller à Valence. Depuis ce moment, j'ai toujours suivi les Nerazzurri, je les ai vu grandir. Nous avons atteint la finale de la Coupe UEFA (1997, ndlr), mais Valence, l'année après mes adieux, a gagné cette C3 (en 2004, ndlr). Ceci dit, l'Inter reste toujours dans mon cœur, pour moi, c'était un plaisir et un honneur de jouer à Milan." Angloma, qui est actuellement le manager de l'équipe nationale de Guadeloupe, s'est ensuite vu demander quel était son meilleur souvenir de sa seule saison avec le club Nerazzurro. "Nous n’avons pas remporté de titres, mais nous avons eu une bonne saison. Nous avons joué une finale, fait de bonnes choses en championnat et j'ai joué avec des champions comme Pagliuca, Zamorano, Djorkaeff, Ince et Winter. Nous avions une équipe pour faire de grandes choses, même si nous n’avons pas tout fait. Puis il y avait Moratti, un gentleman. Il me manque beaucoup." A propos de Moratti. "Nous avions une relation normale, mais il connaissait bien le football et a établi une relation spéciale avec les joueurs. Il était toujours présent, il parlait de la bonne façon, j'aimais beaucoup cette facette de lui. Nous avions une relation d'homme à homme normale. Mais, d'un certain côté, elle ressemblait à celle d'un père avec son fils. Les joueurs ont toujours eu cette affection pour lui." A propos d'il capitano. "J'ai un grand souvenir de Zanetti, c'était un grand joueur et j'aime aussi beaucoup le travail qu'il fait maintenant. Il est important pour l'Inter d'avoir quelqu'un comme lui qui a écrit l'histoire et qui reste ensuite dans la direction. J'ai pu jouer avec Javier et il était incroyable. Il pouvait jouer à l'arrière, au milieu et il a même joué une fois en attaque. Nous avons eu une belle relation." Sur Roy Hodgson. "Il a certainement été un peu mal traité, car nous n’avions pas les résultats qu’une équipe comme l’Inter devait avoir, en particulier avec des joueurs de classe mondiale. Il savait comment gérer les joueurs, il était très affectueux. Une équipe comme l'Inter a besoin de quelqu'un avec une grande personnalité et il l'avait, mais il lui manquait quelque chose. Il ne pouvait pas terminer le travail comme il le voulait mais c'est comme ça. Les grandes équipes changent souvent de managers." Souvenirs de Youri et Ivan. "Je connaissais déjà Djorkaeff, jouant avec lui en équipe nationale. Je savais très bien ce qu'il pouvait faire. Je me souviendrai toujours de son but contre la Roma. Zamorano? L'hélicoptère, Bam Bam Zamorano! Il a fait de grandes choses, il était notre buteur. C'était une vraie équipe, il y avait une vraie amitié dans cette équipe, nous sortions manger de temps en temps puis repartions chez nous. Tous deux étaient deux champions." Suit-il l'Inter? "J'ai joué dans sept équipes et je les suis toujours. En particulier, l'Inter, qui est une excellente équipe et qui joue bien au football." Sur l'Inter actuelle. "Cette équipe a quelque chose de spécial. Cette année, je pensais que les Nerazzurri pouvaient gagner, ils avaient bien commencé, mais à long terme, ils ont perdu beaucoup. C'était difficile pour Conte d'arriver et de gagner immédiatement. Mais je sais qu'il fait tout pour gagner et même maintenant, il fera tout pour donner du fil à retordre à la Juventus. L’année prochaine, l’Inter pourra de nouveau retourner en Ligue des champions et c’est très agréable pour les fans, c’est fondamental." ®alex_j - internazionale.fr
  25. Leurs noms sont non seulement gravés dans l'histoire nerazzurra, mais également sur la feuille de match de cette finale inoubliable du 6 mai 1998, au cours de laquelle l'Inter a remporté sa troisième Coupe UEFA lors d'une nuit magique à Paris. Javier Zanetti et Ivan Zamorano sont les invités de cet épisode d'Inter Calling qui a commencé par se souvenir de Gigi Simoni : Zanetti - "L'entraîneur était toujours là pour ce groupe. Je l'ai vu comme un père, car il a toujours donné les bons conseils quand il vous parlait. Ce groupe avait une grande unité ; nous étions comme une famille. Quand je parle de la Coupe UEFA, je pense à cette finale à Paris, non seulement à cause de la victoire, mais aussi parce que l'entraîneur a tant fait pour nous tous afin de remporter ce trophée. Je pense que nous nous souviendrons tous de son caractère, de sa sincérité, car il était un gentleman et un homme au grand cœur." Zamorano - "Il a bâti une famille, cette équipe de l'Inter en 1997/1998 a réalisé un rêve en remportant cette incroyable Coupe UEFA. Il n'était pas seulement un grand entraîneur, mais aussi un grand homme et ce n'était pas facile de le faire avec une équipe contenant autant de champions, mais nous nous sommes tous battus ensembles pour atteindre nos objectifs. Nous avons un merveilleux souvenir de lui. Il a fait tout ce qu'il pouvait pour fonder cette famille. Personnellement, Simoni m'a fait bien jouer dans les matchs les plus importants de cette Coupe UEFA et c'était tellement gratifiant pour moi d'avoir un entraîneur comme lui, car il m'a toujours encouragé." Cette soirée au Parc des Princes et ces trois buts de la finale toute italienne contre la Lazio ont été inoubliables, comme l'a dit Zanetti : "Après la tête d'Ivan, il y avait une chance pour moi de frapper la balle et c'était le but qui nous a donné une certaine tranquillité d'esprit, parce que cette équipe de la Lazio était très bonne, et ce n'était pas un match facile. Mais nous avions tellement faim de réussir, nous voulions gagner à tout prix et ramener la Coupe UEFA à Milan, et nous y sommes parvenus ! En finale, nous nous sommes alignés avec une équipe très offensive et derrière eux il y avait plusieurs guerriers, il était clair que l'entraîneur voulait imposer sa marque sur ce match." Zamorano a ouvert la marque dans ce match et le but incroyable de Ronaldo a scellé la victoire : "Seul Ronaldo a pu marquer un but comme celui-là, avec sa griffe. Il pourrait faire tellement de choses incroyables, pour moi, il est le meilleur n° 9 du monde. Ce but représente tout ce qui le caractérise : la vitesse et la magie. Ronaldo était un phénomène et je suis un bourreau de travail, donc nous nous sommes bien complétés parce que dans chaque grande équipe, vous avez besoin d'un joueur talentueux et un qui travaille pour le groupe. C’est ainsi que j’ai joué à mon football et les fans se souviennent encore de moi en tant que guerrier. Bien sûr, j'avais un certain talent, surtout avec ma tête, mais j'aime qu'on se souvienne de moi comme quelqu'un qui a toujours tout donné sur le terrain, qui s'est battu sans relâche pour chaque ballon." Le résumé de la finale --> https://www.youtube.com/watch?v=oXJMrDWJbkc ®alex_j - internazionale.fr
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