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  1. L'ancien gardien des Nerazzurri, Hall of Fame du Club, fête ses 72 ans. "Les débuts, le Scudetto, tout de suite. La nuit avec Moenchengladbach, les arrêts exceptionnels, un calme glacial. Il a défendu le but des Nerazzurri 388 fois. Ivano Bordon, né à Marghera ( Vénétie )le 12 avril 1951, a aujourd'hui 72 ans. Deux Scudetti et deux Coppa Italia, 13 saisons au cours desquelles il a enregistré la plus longue séquence sans défaite de Serie A avec l'Inter (686 minutes d'invincibilité, de la 7e minute de la 4e journée à la 63e minute de la 11e journée de Serie A 1979-1980)". "Il y a quelques semaines, il a été intronisé au Temple de la renommée de l'Inter, devenant ainsi le cinquième gardien de but de l'histoire des Nerazzurri à recevoir ce prix prestigieux. Ivano Bordon reçoit les vœux d'anniversaire les plus sincères de toute la famille Nerazzurri." C'est le message de vœux de l'Inter à Ivano Bordon qui souffle aujourd'hui 72 bougies. On te souhaite un Joyeux Anniversaire Légende! Traduction Lindt1908 Via Fc Inter1908
  2. Au vu du match entre ses deux anciennes et uniques équipes, l'Inter et la Sampdoria, le nouvel intronisé au Hall of Fame Ivano Bordon parle de lui dans un long entretien accordé à SportWeek, l'encart hebdomadaire de la Gazzetta dello Sport. Une enquête auprès des fans interisti du monde entier a inclus Bordon dans le Hall of Fame des meilleurs de tous les temps, avec Walter Zenga, Francesco Toldo, Gianluca Pagliuca et Julio Cesar. "Oui, c'est bien. Cela veut dire que j'ai laissé de bons souvenirs, à Milan et à Gênes. Le football a été ma vie. J'ai beaucoup donné, j'ai eu beaucoup et j'ai encore des réflexes." Dix-huit championnats de Serie A avec uniquement l'Inter et la Sampdoria. Seulement deux équipes et un début prédestiné. Dans le derby contre le Milan. "Eh bien, en bref, ce n'était pas un grand début. J'avais dix-neuf ans, je suis entré en deuxième mi-temps à la place de Lido Vieri, mon professeur, avec un 1-0 pour eux. J'en ai pris deux autres, mais ensuite nous avons gagné le Scudetto. Après le derby, Heriberto Herrera a été limogé et Giovanni Invernizzi est arrivé. Je n'ai disputé que neuf matchs mais j'étais sur le terrain à Catane le jour où nous avons dépassé Milan." Heriberto paraguayen. Un entraîneur dont on parle beaucoup. De quel genre était-il ? "Particulier, disons-le. Fanatique des régimes, il contrôlait de manière obsessionnelle la vie des joueurs. Il nous appelait de chez lui le soir, voulait savoir où nous étions, ce que nous faisions. Je partageais l'appartement avec Mauro Bellugi. Heriberto a appelé et a demandé : ‘Tout va bien ? Êtes-vous chez vous ? Pouvez vous me passer Mauro s’il vous plait ?’. J'ai répondu : ‘Monsieur, Mauro est descendu pour sortir les ordures’. Ce n'était pas vrai. Et Heriberto a alors dit : ‘Bon, s'il n'est pas là, une amende’. Puis il s'est opposé aux sénateurs de la Grande Inter, laissant Jair et Bedin hors de l'équipe. Ils l'ont renvoyé et ont promu Invernizzi : nous sommes devenus champions d'Italie." Premier championnat. La seconde avec Eugenio Bersellini. Ils l'appelaient le sergent. Comment c'était ? "J'ai de très bons souvenirs, il m'a donné confiance et grâce à lui j'ai été admis en équipe nationale. Un grand pédagogue, dur, peu de mots, mais clair et honnête. Il ne regardait personne en face. Travail, rapide et même à table, on perd pas de temps et on mange vite. Dix minutes et c'est tout. Mon record est de huit minutes. Il était très rapide, après chaque plat il mangeait une pomme. Mais il nous a appris le sens du groupe et du football. Et de la vie aussi." Est-ce vrai qu'il vous a toujours dit : "Vous les joueurs, vous êtes des privilégiés. Les ouvriers travaillent dur, les agriculteurs travaillent dur..." ? "Oui. Il venait de la région de Parme, du Val di Taro et il nous a parlé de son enfance. Une fois, en plein hiver, nous étions en retraite à Appiano et le chauffage est tombé en panne. Nous lui avons dit : ‘Monsieur, il fait un froid glacial, on va dormir à la maison.’ Il fait une grimace que je ne vous dis pas : ‘Quoi ? Vous êtes des joueurs avec beaucoup d'avantages et de bénéfices. Avez-vous vu le film L'Arbre de sabots? Eh bien, regardez-le et essayez de penser à ce qu'ils diraient ces paysans. Pensez à leurs difficultés et à leurs sacrifices pour nourrir leurs pauvres enfants. Aucune mention de cela, une couverture supplémentaire et bonsoir.’ " Puis Bersellini le retrouve à la Sampdoria… "C'était sympa. C'était une bonne équipe, fun, pleine de gars formidables. Vierchood, Vialli et Mancini. Puis mon vieil ami Scanziani et les étrangers Francis et Souness. On a gagné la Coppa Italia en battant Milan en finale." Samp-Inter au programme ce Lundi. Vous souvenez-vous de la première fois où vous avez rencontré la Sampdoria ? "Oui, je me souviens de tout, ou presque. Je suis un collectionneur, même de souvenirs. J'ai conservé des almanachs, des coupures de journaux, des autocollants, des billets. A San Siro dans la saison 1971-72, un jeu fou : 4- 4. Trois buts de Boninsegna puis de Corso. Savez-vous qui a marqué pour la Sampdoria ? Marcello Lippi. Cette année-là, il n'a marqué qu'un seul but, contre moi. Puis il est devenu l'un de mes meilleurs amis." Et la dernière fois que vous avez rencontré l'Inter avec un maillot de la Sampdoria ? "Une chose belle et un peu triste. Belle parce que les équipes de ma vie étaient dans le dernier match de 1985-86, 0-0. Triste parce que c'était ma dernière en Serie A. Incroyable, hein ? Quoi qu'il en soit, c'était un doux au revoir. L'entraîneur de la Sampdoria, c'était justement Bersellini, celui qui m'avait relancé. Sur le banc de l'Inter, il y avait Mario Corso, un coéquipier extraordinaire et aventurier, dont le fameux match contre le Borussia Mönchengladbach." Combien de fois avez-vous raconté l'histoire de la canette touchant Boninsegna, l'Inter perdant 7-1, le match rejoué et... "Et j'arrête un penalty, on fait 0-0 et on se qualifie pour les quarts de finale. En 1971, à Berlin, carrefour de mon histoire footballistique. Là, 35 ans plus tard, j'ai remporté ma deuxième Coupe du monde avec l'équipe nationale. J'étais l'entraîneur des gardiens, le grand Buffon. Quelle joie..." Des satisfactions footballistiques ? "Difficile de choisir. Peut-être quand Italo Allodi m'a appelé à l'Inter." Et sur les terrains ? "Le premier scudetto avec l'Inter, avec Invernizzi. Le deuxième, celui de 1979-80, je me sens plus moi-même. J'étais un joueur régulier et mature. Nous étions huit dans cette équipe qui a grandi dans l'équipe des jeunes : moi, Oriali, Bini, Canuti, Baresi, Ambu, Muraro et Pancheri. Plus Occhipinti qui a disputé le dernier match. Puis les merveilleux moments de la Sampdoria de Mantovani. Les victoires, les triomphes, cinq championnats avec la Juve. Évidemment les deux Coupes du monde. Ou plutôt trois, parce que, j'aime bien me souvenir, j'ai aussi gagné le militaire, au Congo en 1973. Il y avait Oriali, Furino, Graziani, Zecchini, Speggiorin, Bittolo, Ammoniaci. De belles compagnies, partout. Mais j'ai eu de la chance, dans ma longue carrière, j'ai rencontré des gens, j'ai établi des records, j'ai remporté des défis. Dans et hors des buts. Maintenant, je regarde les autres, parfois au stade, souvent à la télévision." Et que voyez-vous ? "Un nouveau football. Tout a changé : la vitesse, les méthodes, les schémas, les règles, les managers, les joueurs. Il y a encore de bons, d'excellents gardiens. Donnarumma est l'avenir de l'équipe nationale. L'Inter a Onana, fort et réactif. Milan a Maignan. L'année dernière, ils ont très bien fait, voyons comment ils se rétablissent. J'aime Meret, je suis Carnesecchi avec intérêt. Ce que j'ai du mal à comprendre, ce sont leurs relance de derrière. Souvent frénétiques et dangereux. J'en ai vu des statistiques vraiment surprenantes : maintenant, dans un match, un gardien touche plus de ballons qu'un milieu de terrain. Un tout autre monde. Et bien…" Traduction nostalgique alex_j via FCInterNews et FCInter1908.
  3. Suite à la mort du roi Pelé, les hommages pleuvent. L'Inter n'est pas en reste, ainsi que Ronaldo parmi d'autres. L'Inter, à travers une note officielle, a voulu rendre hommage à Pelè le jour de sa mort. Le club Nerazzurri a utilisé deux photos: une avec Giacinto Facchetti qui l'a affronté avec le maillot de l'Italie et une autre avec Ronaldo Il Fenomeno et Cannavò avec vue sur San Siro. Voici ce que la société a écrit dans sa note : "Le FC Internazionale Milano, son président Steven Zhang, le vice-président Javier Zanetti, les PDG Alessandro Antonello et Giuseppe Marotta, l'entraîneur Simone Inzaghi et son staff, les joueurs et tout le monde de l'Inter se joignent au deuil de la perte du grand Pelé." "Le roi. Celui qui a inspiré les enfants du monde entier, celui qui a fait rêver toute une population pendant des années et des années, étendant son aura d'invincibilité sur le monde du football, désormais orphelin de l'un des plus grands de tous les temps. Edson Arantes do Nascimento, pour tous, pour toujours, Pelé. Trois Coupes du monde avec le Brésil, des records à n'en plus finir, des générations entières élevées dans le mythe d'un footballeur qui a révolutionné le football." "Pelé. S'en souvenir devient un exercice qui divise : ceux qui l'ont vu, au moins une fois en direct, et ceux qui se sont nourris de la légende, visionnant quelques vidéos, lisant, regardant des films, feuilletant des records et des statistiques. Pelé à Milan. Il a joué plusieurs fois sur le terrain à San Siro, avec le Santos et avec le Brésil. Des exhibitions, des matchs amicaux qui ont attiré des milliers de personnes, des tribunes pleines à craquer pour l'admirer en direct, pour capter un peu de sa magie avec le ballon." "Magie qu'Angelo Moratti avait tenté d'apporter à l'Inter en 1958, avant de céder à la résistance de Santos, au gré des protestations des supporters. Pelé à San Siro, donc, mais comme adversaire, à plusieurs reprises, dans les années 60. Des matches à guichets fermés avec des journaux prêts à raconter chaque instant de ce phénomène débarqué à Milan." "Le Pelé de San Siro s'appelle Corso, lit-on dans le Corriere della Sera en juin 1963, après la victoire 2-0 de l'Inter sur le Santos dans le tournoi de Città di Milano. L'une des occasions qui a fait dire à Pelé que Mario Corso, le pied gauche de Dieu, aurait pu facilement jouer dans son Brésil presque imbattable. Ou quand Pelé lui-même est allé voir Ivano Bordon, qui venait d'entrer au Hall of Fame des Nerazzurri, pour le féliciter de sa performance dans les buts." "Des fragments, des souvenirs, des anecdotes qui contribuent à définir la grandeur d'un immense footballeur et dont toute la famille de l'Inter, ainsi que les supporters du monde entier, se souviendront toujours avec affection et nostalgie." Ronaldo rend un hommage vibrant au roi. "Unique. Fantastique. Technique. Créatif. Parfait. Inégalé. Là où Pelé est arrivé, il est resté sans jamais quitter le sommet. Il nous quitte aujourd'hui. La tristesse de l'adieu se mêle à l'immense fierté de l'histoire écrite. Quel privilège de venir après toi mon ami. Ton talent est une école que chaque joueur devrait suivre. Ton héritage transcende les générations et c'est ainsi qu'il restera vivant. Aujourd'hui et toujours, nous te célébrons. Merci, Pelé. Repose en paix." Javier Zanetti a également tenu à rendre hommage à Pelé. "Une légende éternelle, un véritable symbole du sport, une inspiration pour toujours et à jamais. Repose en paix, légende." Matrix a rendu hommage avec un message court mais émouvant. Enfin, nous terminons avec Diego Milito. Voici son message: "L'inspiration et l'amour ont marqué le voyage du roi Pelé, qui est décédé aujourd'hui. Au cours de son voyage, Edson a charmé le monde avec son génie du sport, arrêté une guerre, créé des œuvres sociales dans le monde entier et diffusé ce qu'il croyait le plus être le remède à tous nos problèmes : l'amour. Son message devient aujourd'hui un héritage pour les générations futures." Traduction alex_j via FCInternews, le site officiel et Sempreinter.
  4. Les Nerazzurri toujours protagonistes des événements mondiaux : des deux titres de Meazza à aux finales où il y a toujours un joueur de l'Inter sur le terrain. Voici le rapport de FCInter1908 qui a tout répertorié et nous dit tout. Inter et Coupe du Monde : tout commence en 1934 Championnat interrompu avec la Coupe du monde qui a commencé hier. Un sentiment que nous associons habituellement à l'été, aux rêves de gloire colorée de bleu. Mais ce n'est pas l'été, il n'y a pas d'Italie et pourtant la Coupe du monde a commencé. Qatar 2022, la première édition en automne, la première à scinder la saison interclubs en deux. Ils sont six joueurs Nerazzurri prêts à concrétiser leur rêve nourri depuis de leur enfance, celui de soulever la coupe. Il s'agit de Lautaro Martinez avec l'Argentine, Denzel Dumfries et Stefan De Vrij avec la Hollande, Marcelo Brozovic avec la Croatie, André Onana avec le Cameroun, Romelu Lukaku avec la Belgique. Interisti et Coupe du monde est une histoire qui commence en 1934 qui est pleine d'anecdotes et d'épisodes clés. Il y a des champions du monde, il y a des buteurs en finale, il y a des records invaincus, des statistiques uniques. Celle du Qatar est la 22e édition de la Coupe du monde. La première, en 1930, comportait 13 équipes nationales mais pas l'Italie. Aucun Nerazzurri n'a participé à cette première édition historique. Depuis lors, les nerazzurri ont souvent laissé leur emprunte en commençant par les éditions de 1934 et 1938, remportées par l'Italie avec la contribution de plusieurs Interisti, Giuseppe Meazza en particulier. Ici, l'appel d'Allemandi, Castellazzi, Demaria et Meazza, en 1934 par Vittorio Pozzo est le premier appel des joueurs de l'Inter pour la Coupe du Monde. L'Italie soulève la Coupe Rimet en 1934 et la conserve en 1938. En 1938, Giovanni Ferrari, Pietro Ferraris, Ugo Locatelli et Renato Olmi sont appelés en plus de Meazza. Il y a donc 8 champions du monde Nerazzurri, avec Meazza qui en tant que capitaine soulève le trophée en France. Le meilleur buteur de l'histoire de l'Inter est le seul Nerazzurri à avoir remporté deux titres mondiaux. 104 Interisti à la Coupe du Monde Les huit Azzurri précités font partie des 104 joueurs qui, tout au long de l'histoire, ont été convoqués pour la Coupe du monde. Une très longue liste dans laquelle se distingue Beppe Bergomi, capable de disputer quatre éditions de la Coupe du monde entre 1982 et 1998. Lothar Matthäus compte bien cinq éditions, mais une seule lorsqu'il portait le maillot de l'Inter, celle de 1990. Pour celles de 1950 et 1954, seuls les joueurs italiens étaient appelés. En 1958, l'Inter n'avait qu'un seul représentant à la Coupe du monde, Lennart Skoglund avec la Suède, l’Italie n’y participant pas. Il y a 24 nations représentées dans l'histoire par les Interisti à la Coupe du Monde : Italie, Suède, Espagne, Angleterre, Autriche, Allemagne, Hollande, Brésil, Chili, France, Nigeria, Argentine, Uruguay, Turquie, Portugal, Croatie, Serbie, Slovénie, Ghana, Cameroun, Colombie, Japon, Algérie, Belgique. L'édition qui a vu le plus de Nerazzurri participer à la Coupe du monde est celle de 2002. 13 joueurs de l'Inter ont été appelés : Toldo, Materazzi, C. Zanetti, Di Biagio, Vieri (Italie) ; J. Zanetti (Argentine); Simic (Croatie); Okan, Emre (Turquie); Conceiçao (Portugal); Recoba, Sorondo (Uruguay); Ronaldo (Brésil). Les interisties champions du monde Il y a 19 joueurs interisti qui ont remporté la Coupe du monde. Au niveau des clubs, les nerazzurri occupent la troisième place en terme de champions du monde, derrière la Juventus et le Bayern Munich. Les 19 champions Nerazzurri sont : Meazza (1934-1938) ; Allemandi, Castellazzi, Demaria (1934); Ferrari, Ferraris, Locatelli, Olmi (1938); Bergomi, Marini, Bordon, Oriali, Altobelli (1982); Matthäus, Klinsmann, Brehme (1990); Djorkaeff (1998); Ronaldo (2002); Materazzi (2006). En 1982, l'Italie a remporté sa troisième Coupe du monde avec cinq joueurs Nerazzurri dans l'équipe, comme cela s'est produit en 1938. Lors de cette édition, Bordon était le seul joueur de l'Inter à ne pas entrer sur le terrain. Les Interisti buteurs en finale Sur 19 Interisti champions du monde, 7 ont marqué en finale de Coupe du monde. Quatre d'entre eux soulevant alors le trophée, trois avec la déception de la défaite. En 1970, premier but des Nerazzurri en finale : l'égalisation de Boninsegna contre le Brésil, avant la domination auri-verde. En 1982, sous les yeux du président de la République, Alessandro Altobelli fait hurler à Pertini la fameuse phrase "ils ne nous prendront plus" en inscrivant le 3-0 contre l'Allemagne, lors de la finale au Bernabeu qui se termine 3-1. Pour l'Italie de Bearzot, un triomphe sous le signe de Paolo Rossi, avec cinq champions Nerazzurri, dont un tout jeune Bergomi qui a touché le dernier ballon de ce bienheureux Mundial. En 1986, le but de Rummenigge en finale au Mexique, que l'Allemagne perd contre l'Argentine. Quatre ans plus tard, lors de Italia 90, la revanche allemande avec les trois Nerazzurri sur le terrain : Brehme, Matthäus et Klinsmann. Une finale nettement Nerazzurri avec Andy Brehme vainqueur du match marquant sur penalty (pied droit alors que c'est un gaucher) à la 81e minute au stade Olimpico de Rome. Un penalty que Matthäus n'a pas tiré, en raison d'un problème avec une de ses chaussures. En 2002, un autre nerazzurri sur le toit du monde : Ronaldo, après la déception de 1998, remporte la Coupe du monde en inscrivant un doublé en finale contre l'Allemagne, exhibant une coupe de cheveux étrange et légendaire. En 2006, Marco Materazzi était la vedette. Il a égalisé en finale contre la France, a subi un coup de tête de Zidane entraînant un carton rouge pour le Français, a marqué l'un des cinq penaltys de la série finale qui a donné aux Azzurri leur quatrième mondial Titre. La liste des attaquants Nerazzurri en finale de la Coupe du monde s'étend jusqu'en 2018 quand Ivan Perisic marque un beau but à Moscou contre la France en finale, la Croatie s'inclinant 4-2. Toujours un interiste en finale depuis 1982 Lothar Matthäus détient le record d'apparitions en Coupe du monde avec 25 matches. Walter Zenga est l'invaincu : 518 minutes en Italie 90, de la première minute du premier match à la 68' de la demi-finale, où il a été battu par la tête de Caniggia. Parmi les meilleurs buteurs on retrouve Ronaldo en 2002 (8 buts) et Wesley Sneijder (5 buts) en 2010. Mais le fait le plus incroyable est que depuis 1982, il y a toujours eu au moins un joueur Nerazzurri sur le terrain lors des finales de la Coupe du monde. Voici la liste : 1982 : Bergomi, Altobelli (but), Oriali 1986 : Rummenigge (but) 1990 : Brehme (but), Matthäus, Klinsmann 1994 : Berti 1998 : Ronaldo, Djorkaeff 2002 : Ronaldo (2 buts) 2006 : Materazzi (but) 2010 : Sneijder 2014 : Palacio 2018 : Brozovic, Perisic (buts) Traduction alex_j via FCInter1908
  5. Federico Dimarco traverse une très belle période, lui, qui après s’être mis en évidence et avoir marqué en équipe nationale, après avoir marqué face à la Roma, a été finalement l’un des grands artisans de la victoire face au Fc Barcelone Analyse de la Gazzetta Dello Sport "Federico Dimarco est l’un de ceux qui y est parvenu : Un milanais qui a grandi avec l’Inter dans le cœur et le Nerazzurro dans ses veines, lui qui, âgé de trois ans allait déjà dans les bras de son Père dans la Curva, lui qui a neuf ans faisait déjà chanter le ballon avec son pied gauche, un pied gauche qui avec le temps est devenu toujours plus puissant et précis. Peu de personnes doutaient de lui lorsqu’il faisait partie du vivier Nerazzurro : Il deviendra un grand joueur, il arrivera en Serie A et il fera parler de lui." "Simone Inzaghi est d’ailleurs le premier entraineur de l'Inter a lui avoir donné la confiance nécessaire pour s’imposer : S’en est fini de faire des apparitions, Dimarco sous Inzaghi, est devenu une valeur ajoutée et avec le travail, l’abnégation et sa faim, il a atteint un nouveau palier : C’est lui le patron de l’aile gauche laissée orpheline par Ivan Perisic. Et tout ceci est le fruit d’un long parcours qui l’a vu et contraint d’abandonner son confort à la Maison pour grandir en s’éloignant, en passant par Parme et Vérone où la pression était différente." "A présent, Gosens n’est plus sur ses talons car Federico a ce petit plus : Et ce n’est pas uniquement l’Interisme car la Foi footballistique compte jusqu’à un certain point, mais c’est la qualité. Une qualité qui est le fruit d’un travail, de tant de sacrifices qui ont finalement mis en avant le Fils de la Curva Nord." Encensé par Giuseppe Bergomi qui s’est livré à la Rosea Bergomi, qu’est-ce que cela veut dire lorsque l’on grandi à l’Inter et que l’on parvient à s’imposer chez les Grands ? "Ce sont des sensations extraordinaires : Tu regardes derrière toi et tu te félicites du parcours réalisé, des sacrifices qui t’ont porté jusque-là. Pour réussir, tu te dois de franchir énormément de difficultés car rien ne t’est offert." Vous rappelez-vous de vos propres émotions ? "Pour moi, c’était un rêve, mais c’était une autre époque : Je suis arrivé en équipe première et il y avait d’autres garçons qui étaient sortis du vivier comme Bordon, Oriali, Beppe Baresi, Canuti. : Le sens d’appartenance était inné. Et lorsque je suis devenu ensuite le Capitaine, j’ai en tout premier lieu essayé de faire comprendre à tous les nouveaux venus ce que voulait dire "Endosser le maillot de l’Inter"." Quel part du parcours de Dimarco, peut-on retrouver dans son ascension ? "Il y en a énormément, tellement : Le sens d’appartenant et l’Adn de l’Inter sont innés en lui, ce ne sont pas des choses qui s’apprennent, ni qui s’entrainent: Grandir dans le Secteur Jeunesse d’un club comme l’Inter, pour un milanais mais aussi pour un Lombard a beaucoup de significations : Tu apprends depuis ta plus tendre enfance ce qu’est le poids de ce maillot, l’Histoire du club, la responsabilité qui incombe lorsque tu es un joueur Nerazzurro." "Ce qui m’impressionne le plus chez Dimarco c’est sa grande personnalité : Le Giuseppe Meazza est un stade exigeant, dans les moments difficiles, il te met sous pression et lui n’en a que faire, il ne s’effondre pas mais il se magnifie." Voyez-vous dans son regard, ce petit quelque chose en plus, comparé aux autres ? "Federico incarne tout ce qui fait l’état d’esprit Nerazzurro, et comme je l’ai dit, il ne se laisse jamais briser par la pression : Il joue toujours le jeu, il se donne, il frappe. Et même, j’aime son caractère : C’est quelqu’un de généreux, il donne tout sur le terrain et je le vois aussi lorsqu’il vient du banc et qu’il secoue l’équipe et tout l’environnement : S’il se plante, il ne s’effondre pas mentalement mais il continue sa progression." "En ce moment, Dimarco est le joueur avec la meilleure personnalité dans l’équipe : Il y met son cœur et ses jambes font tout le reste." ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  6. Ivano Bordon, ancien gardien de l'Inter, est revenu avec Fcinter1908.it sur la victoire de l'équipe d'Inzaghi contre Barcelone en Ligue des champions. Il a aussi évoqué Dimarco et l'alternance dans les buts. Sur le match contre Barcelone. "J'espère que c'est le tournant. C'était très important pour l'environnement et le moral de l'équipe. Je pense que le résultat est très important, mais même plus la performance qui donne de la conviction." L'équipe a montré une attitude tactique différente. "Barcelone a eu la possession du ballon pour une grande partie et aussi pour cette raison, l'Inter a joué plus bas. Tout le monde a fait son devoir dans son rôle, je ne pense pas qu'ils puissent jouer tous les matchs de cette manière tactiquement car dans certains ils devront prendre le contrôle de le jeu." Dimarco se dirige vers la consécration définitive. "Je pense que Dimarco, pour son potentiel athlétique et technique doit y jouer en tant qu'ailier. Cela lui donne la possibilité de s'exprimer au maximum. Défensivement ce n'est pas vraiment un top, Inzaghi l'a bien compris et l'exploite à juste titre là où il est sûr il peut le faire au mieux." Est-il temps de lancer Onana aussi en championnat ? "Contre Barcelone, ce n'est pas qu'Onana ait été très occupé. Je n'ai toujours pas l'impression de pouvoir porter un jugement définitif sur lui. Ce n'est pas facile de jouer un match aussi important, contre un Barcelone toujours si proche de la zone, mais nous devrons le voir plus tard. La seule façon de le juger est de le voir en continu, mais je ne sais pas si Inzaghi acceptera de laisser définitivement Handanovic sur le banc. Onana aux Pays-Bas a eu une très bonne expérience, ici le football se joue et se vit dans un autre psychologie et le garçon a besoin de confiance. Inzaghi devra clarifier la situation avec Handanovic qui n'a pas trop de chance en ce moment car il se sent critiqué, peut-être trop. Mais il devra comprendre que nous agissons pour le bien de l'Inter." Traduction alex_j via FCInter1908.
  7. Interviewé par Tuttomercatoweb.com notre ancien gardien de légende, Ivano Bordon, a commenté les sujets brûlants de la maison Nerazzurra. Que pensez-vous du début de saison des Nerazzurri ? "Ils n'ont pas commencé comme l'année dernière. Mais au début, ils ne sont peut-être pas encore au pic. C'est l'entraîneur qui doit essayer de comprendre les raisons des problèmes, s'il y en a. Mais je pense qu'il est temps d'y aller." Dans les buts l'alternance entre Handanovic et Onana semble se dessiner, en es-tu convaincu ? "Je pars de ce qu'Inzaghi a dit au début de la saison : le gardien numéro un est Handanovic. Il joue en championnat. Maintenant, nous avons vu qu'Onana a joué deux fois en coupe, mais nous ne savons pas ce qui se passera dans le futur. Je pense que l'expérience d'Handanovic signifie beaucoup. En revanche, Onana est plus jeune et a d'autres qualités physiques. Je l'ai peu vu, je suis honnête mais il est réactif et explosif. On voit que c'est un gardien très intéressant." Mais dans cette alternance, y a-t-il plus de risques de créer des problèmes ou la possibilité de stimuler la concurrence ? "Je pense comme je pensais quand je jouais puis quand j'entraînais, et ça fait longtemps. Mais je pense que le gardien de but est un rôle psychologique où la tête est fondamentale. Handanovic est souvent attrapé par la presse, parfois même par son propres supporters. Tout le monde a tort car lui aussi peut bien faire et tout cela me semble un peu trop excessif. L'alternance comporte des risques. En effet, que se passe-t-il s'il n'est pas à son top dans un match et a quelques problèmes, alors qu'Onana joue bien en coupe ? Mais psychologiquement, il doit y avoir un peu de tranquillité." Traduction alex_j via FCInter1908.
  8. Ivano Bordon, ancien gardien historique de l'Inter, s'est confié à SerieAnews sur l'alternance actuelle dans les poteaux des Nerazzurri. Samir Handanovic et André Onana, qu'en pensez vous ? "Samedi dernier, Handanovic a démontré qu'il est un gardien de grande valeur, ainsi que d'une grande expérience. Onana, je le connais depuis un certain temps. J'ai toujours dit de lui que c'est un garçon avec de grandes qualités athlétiques. Il a de l'explosivité, de la réactivité. Cependant, je n'ai toujours pas envie de porter un jugement définitif. J'aimerais le voir dans des matchs plus convaincants et surtout dans la durée." Ne trouvez-vous pas la colère de certains supporters envers Handanovic excessive ? "Je sais très bien ce que cela signifie d'être le gardien de l'Inter. Psychologiquement, je sais ce que peut ressentir Handanovic en ce moment. Le Slovène a très bien fait ces dernières années, puis les mauvais moments arrivent à tout le monde. Il fait partie du match et il est fait partie du rôle. Souvent, vous devez accepter ce que disent les journalistes et les fans. La seule façon d'avoir les deux de votre côté est de le montrer sur le terrain et de faire peu ou pas d'erreurs." Une colère qui ces dernières périodes semble avoir également touché Simone Inzaghi. Êtes-vous toujours l'homme qu'il faut pour diriger cette Inter ? "Depuis son arrivée à l'Inter, j'ai toujours dit qu'il trouverait un environnement très difficile. Et c'est ainsi. Après être allé remplacer quelqu'un comme Conte qui a remporté le championnat tout est plus compliqué. Cela dit, il a très bien fait la saison dernière. Malheureusement, vers la finale, les choses n'ont pas tourné en sa faveur et il n'a pas gagné le Scudetto. Inzaghi, cependant, a toujours montré qu'il est un entraîneur qui fait ses preuves. Ses équipes jouent très bien. Mon avis sur lui reste positif." Traduction alex_j via FCInter1908.
  9. L’Inter du ‘futur’ se dessine et avec l’arrivée d’André Onana, l’équipe renforce un secteur prioritaire : En effet, Samir Handanovic n’est pas éternel et le poids de l’âge se fait tout doucement ressentir Analyse de l'article paru dans la Gazzetta Dello Sport Après Samuel Eto’o, un nouveau joueur camerounais va revêtir le maillot de l’Inter, il s’agit d’André Onana, lui qui s’est soumis, hier, à la traditionnelle visite médicale à Milan, lui qui défendra la saison prochaine, la cage Nerazzurra. Il s’agit d’une opération à paramètre zéro et le joueur paraphera un contrat valide jusqu’au 30 juin 2027. L’Inter a donc enrôlé le gardien du futur : 25 ans, international camerounais, et un physique explosif. Lui et les Tifosi Nerazzurri ont un mythe en commun : Samuel Eto'o. Il prendra également la relève d’un poste occupé par Giuliano Sarti, Ivano Bordon, Walter Zenga, Gianluca Pagliuca, Francesco Toldo, Julio Cesar et, enfin, le bon Handa. Onana André Onana est un numéro un d’origine africaine qui a fait ses classes à Barcelone, et s’il ne quittera l’Ajax gratuitement qu’au mois de juin, il a déjà fait connaissance, hier, avec sa nouvelle ville. En tout premier lieu, l’équipe hollandaise a été avisée officiellement par l’Inter, hier, à travers un courriel qui n’a surpris personne, il s’agissait d’une communication nécessaire d’un fait connu de tous, d’une obligation d’informer le club propriétaire d'une négociation d’un joueur en fin de contrat comme le stipule le règlement de la FIFA, afin de procéder à un recrutement au mois de juillet. Dans le même laps de temps, Onana atterrissait à Linate via un vol privé en compagnie de son agent Albert Botines, l'homme qui a été contact continu, lors de cette dernière année, avec Piero Ausilio. Il a été pris en charge par une voiture officielle du club pour la visite habituelle des installations sanitaires de Milan. La première partie des examens ont eu lieu à l’Istituto Humanitas di Rozzano, avant de rejoindre le Coni pour obtenir le certificat d’aptitude sportif (l’idoneità) et pour rencontrer par la suite la Direction Interiste et échanger également avec Simone Inzaghi. La prochaine étape aura lieu le 1er février, ce jour-là, et conformément aux règles établies par la FIFA, le contrat sera signé et déposé, il ne s’agit plus que d’une simple formalité vu les tests réalisé hier. Onana percevra 3 millions d’euros jusqu’au 30 juin 2027, mais plus que l’aspect financier, ll y a eu une confiance constante qui l’a convaincu : L’Inter a été l’équipe qui s’est montrée la plus insistante pour le recruter, en s’activant il y a déjà un an, s’n est suivi l’intérêt de plusieurs clubs de Premier League en commençant par Arsenal. "L’option d’un retour à Barcelone club qui l’a quitté en 2015 pour partir à Amsterdam, n’a jamais été pris en considération malgré quelques déclarations ringardes lâchées tactiquement ces derniers mois." Handanovic Pour sa première année, l’Onana Nerazzurro pourrait être accompagné de l’éternel Handanovic dont le contrat arrive à échéance le 30 juin 2022. Le Capitaine se verra proposer une prolongation d’une année qu’il va soigneusement évaluer et ce même si son agent Fali Ramadani commence déjà à le proposer aux quatre vents : Le Slovène ne semble pas se voir ailleurs et semble métaboliser son nouveau rôle de "tuteur"pour son futur et jeune concurrent. "Toutefois, son nombre de titularisation dans la saison diminuera drastiquement et cela pourrait être bizarre pour lui, qui était un cannibale habitué à laisser des miettes au reste de la compagnie." Mais l’Inter, avec un gardien âgé de 37 ans était quasiment dans l’obligation de se lancer dans une phase de transition : La contribution de Samir pourrait donc s’avérer décisive pour la destinée des Nerazzurri : Avec deux portiers qui peuvent revendiquet le poste de titulaire, il pourrait "adoucir" l’atterrissage du Camerounais à Milan. "Le tout sera respecté suivant un schéma établi par l’Administrateur-Délégué Giuseppe Marotta qui a expérimenté cette situation en 2017-2018, lorsqu’il était encore à la Juventus, avec l’arrivée de Wojciech Szczesny qui était à la cour de Buffon, une situation utile qui aura ouvert la voie au joueur polonais après une année à avoir coexisté avec Gigi." Pensez-vous que les performances de Samir pourraient être impactées à la suite de la confirmation de l’arrivée d’André à l’Inter ? ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  10. Le vote pour la quatrième édition de l'Inter Hall of Fame a commencé et, comme toujours, nous, les fans des Nerazzurri, sont invités à choisir les quatre prochaines légendes qui marqueront l'histoire du club, avec un gardien, un défenseur, un milieu et un avant devant être intronisé. Là, focus sur les gardiens de but! Voici les 12 joueurs qui ont déjà été intronisés à l'Inter Hall of Fame : Édition 2018 : Walter Zenga, Javier Zanetti, Lothar Matthaus, Ronaldo. Édition 2019 : Francesco Toldo, Giacinto Facchetti, Dejan Stankovic, Giuseppe Meazza. Édition 2020 : Julio Cesar, Giuseppe Bergomi, Esteban Cambiasso, Diego Milito. Aujourd'hui, nous découvrons qui sont les dix candidats gardiens en lice pour suivre les traces de Zenga, Toldo et Julio Cesar. Ils répondent tous aux critères d'au moins 60 apparitions en compétition pour l'Inter, de remporter au moins un trophée, de prendre sa retraite en tant que joueur il y a au moins trois ans ou d'avoir pris sa retraite dans le cadre de l'équipe du Triplete de 2010. IVANO BORDON (13 avril 1951) Bordon a disputé 382 matches avec l'Inter entre 1970 et 1983 et a établi le record du plus grand nombre de minutes sans encaisser de but (686 entre les semaines 4 et 11 en 1979/80). Sa connexion avec l'Inter a commencé dans les rangs des jeunes et son parcours vers la première équipe a abouti à ses deux premières apparitions seniors dans des conditions de feu : un derby de Milan et la seconde moitié du tristement célèbre « Game of the Can » à Mönchengladbach. Bordon a remporté deux Scudetti (1970/71 et 1979/80) et deux Coppa Italia (1978 et 1982). LORENZO BUFFON (19 décembre 1929) Buffon a disputé 89 matches à l'Inter et a remporté le Scudetto 1962/63. Son style de jeu spectaculaire était également familier aux rivaux de la ville, l'AC Milan, où il a remporté quatre titres de champion. ANGELO CAIMO (14 juillet 1914 – 10 mai 1998) Joueur de l'Inter de la saison 1939/40 à 1942/43, il fait 63 apparitions et remporte le Scudetto en 1939/40. PIERO CAMPELLI (20 décembre 1893 – 20 octobre 1946) Gardien de la première équipe de l'Inter qui a remporté le Scudetto en 1910, Campelli a joué sous les couleurs des Nerazzurri de 1909 à 1925, faisant 179 apparitions. Un deuxième Scudetto a suivi une décennie plus tard en 1920. Considéré comme un talent précoce dans sa jeunesse, Campelli était particulièrement connu pour son maniement du ballon et a été l'un des premiers gardiens de but en Italie à tenter d'attraper des tirs ou de sortir de sa ligne pour capter des centres plutôt que de les boxer, contribuant ainsi au développement et à la vulgarisation de cette technique particulière de gardien de but. VALENTINO DEGANI (14 février 1905 - 8 novembre 1974) Degani a fait 176 apparitions entre 1924 et 1938 pour Ambrosiana Inter. Le tireur incroyablement agile a remporté le Scudetto 1929/30. GIORGIO GHEZZI (10 juillet 1930 - 12 décembre 1990) Surnommé "Kamikaze", Ghezzi était notoirement intrépide et avait une forte personnalité. Il a joué pour l'Inter de 1951 à 1958, remportant deux Scudetti consécutifs en 1953 et 1954. Icône des Nerazzurri, il est devenu un entrepreneur à succès après avoir raccroché ses gants. GIANLUCA PAGLIUCA (18 décembre 1966) Prendre les chaussures de Walter Zenga aurait été un défi de taille pour n'importe qui, mais Pagliuca l'a fait sans hésiter, gagnant les fans avec des arrêts inoubliables en cours de route. Un gardien formidable qui a offert au club cinq années de bons et loyaux services, accumulant 234 apparitions et remportant la Coupe UEFA en 1998. GIUSEPPE PERUCHETTI (30 octobre 1907-21 mai 1995) Réflexes, bravoure et un brin de folie – comme tout gardien digne de ce nom. Surnommé la « Panthère noire » pour ses arrêts acrobatiques, Giuseppe Peruchetti a joué 115 fois pour l'Inter entre 1936 et 1940, remportant deux titres de champion et une Coppa Italia. Il a ensuite passé une saison dans le management de l'Inter. GIULIANO SARTI (2 octobre 1933 - 5 juin 2017) Sarti offrait peu de fioritures mais beaucoup de substance. 198 apparitions en tant que n°1 de La Grande Inter : deux Scudetti (1965 et 1966), deux Coupes d'Europe (1964 et 1965) et deux Coupes Intercontinentales 1964 et 1965. LIDO VIERI (16 juillet 1939) Vieri a effectué 199 apparitions de 1969 à 1976, remportant le Scudetto 1970/71 et établissant le record de la plus longue série sans encaisser de buts (685 minutes), plus tard battu par Bordon. Traduction: alex_j via le site officiel de l'Inter
  11. L'ancien gardien légendaire de l'Inter, Ivano Bordon, estime que les critiques envers Samir Handanovic sont trop dures. S'adressant au média italien ItaSportPress.it, la légende des Nerazzurri a défendu l’actuel portier Interiste et a suggéré que la chose la plus importante est qu'il continue de recevoir du soutien et qu'il retrouvera son meilleur niveau, disant la même chose à propos de Federico Dimarco après son penalty raté contre l'Atalanta. Handanovic a été critiqué pour sa forme cette saison, avec un certain nombre d'erreurs très médiatisées causant des problèmes à son équipe et donnant le sentiment qu'il n'est plus à son meilleur. Bordon fait toujours confiance au Slovène et pense qu'il peut montrer les qualités qui ont fait de lui le gardien de premier choix depuis son arrivée en 2012 en provenance de l'Udinese. "Handanovic est également un bon tireur de penalties, et peut-être qu'en ce moment il reçoit trop de critiques ", a déclaré Bordon. "Il faut qu'il soit soutenu et qu'on lui donne le moral, et il reviendra plus fort qu'avant. Il faut le laisser travailler sereinement. Samir est un très bon gardien et en fin de saison ses arrêts vaudront des points importants pour l'Inter." Il a également déclaré qu'il pense que Dimarco peut revenir de son penalty raté contre l'Atalanta samedi dernier, et que la chose la plus importante pour lui est de ne pas perdre sa confiance et d'avoir le bon état d'esprit pour revenir. "Je dis à Federico de se ressaisir parce que les penalties peuvent être manqués", a expliqué Bordon. "J'en ai sauvé plusieurs, car nous, les gardiens, avons un avantage dans cette circonstance par rapport à ceux qui les tirent." "S'il a décidé de le prendre, cela signifie qu'il n'est pas trop excité", a-t-il poursuivi, "et même Beccalossi après les deux erreurs contre Slovan Bratislava est revenu à son meilleur niveau – il craignait d'avoir ruiné la relation avec les tifosi, mais quand il est revenu à San Siro, les supporters l'ont accueilli avec une ovation. Le même rugissement de passion qu'il recevait, et que Dimarco continuera sûrement à recevoir." ®Oxyred – Internazionale.fr via SempreInter
  12. Ivano Bordon pense qu'Handanovic a encore beaucoup à donner et qu'il faut acheter un backup pour Lukaku. Voici son interview accordée à la Gazzetta dello Sport. Samir Handanovic. "Il peut encore continuer pendant de nombreuses années. Handanovic a un physique incroyable et beaucoup de qualité. Il vient d'égaler mon record d'apparition à l'Inter (382, ndlr), mais j'espère qu'il battra mon record de 686 minutes sans encaisser de but, qui est en cours depuis 1980." Le tournant de la saison. "J'avais bon espoir après que l'Inter ait battu la Juventus (en janvier), mais le tournant a été lorsqu'ils ont battu le Milan dans le derby." Vive Conte! "Conte me rappelle Eugenio Bersellini (entraîneur de l'Inter, vainqueur du titre de Serie A en 1980, ndlr), car il était également un chef de file très difficile. Il a construit une équipe solide et a développé des jeunes comme Nicolo Barella et Alessandro Bastoni." "Mis à part Romelu Lukaku et Lautaro Martinez, j'aime aussi beaucoup Achraf Hakimi. L'Inter pourrait commencer un cycle gagnant maintenant, mais ils ont besoin de trois signatures de qualité pour l'Europe. Je penserais surtout à un remplaçant pour Lukaku, mais mon rêve de signer serait… Kylian Mbappe au PSG."
  13. Samir Handanovic (381 matchs) devrait égaliser ce midi le nombre d'apparitions sous le maillot nerazzurro d'Ivano Bordon (382), autre très grand portier ayant défendu notre cage. Mis à part une catastrophe, le slovène deviendra logiquement le second gardien le plus présent de l'histoire du club, derrière Walter Zenga, qui possède 473 rencontres avec l'Inter. Et pourquoi pas battre ce record ? Car la question de son renouvellement est d'actualité, lui qui a un contrat finissant en juin 2022. D'ailleurs, son agent Fali Ramadani a depuis un moment entamé les pourparlers avec la direction. Et comme la situation stratégique de notre poste de gardien a légèrement évolué, passant d'une grosse arrivée style Musso pour remplacer Samir a, au final, un simple retour de Radu au poste de numéro deux sans trop de visibilité pour le roumain, cela peut devenir un très bel objectif. Qui plus est la priorité pour le prochain mercato semble davantage sur d'autres parties du terrain que sur ce poste, la prolongation de contrat est donc une alternative très probable pour Batmanovic. Les 473 capes de Walter Zenga ne sont plus si éloignées que cela... Pour ceux le souhaitent, voici le portrait d'Ivano Bordon : ®gladis32 - internazionale.fr
  14. En effet, le futur gardien de l’Inter ne semble pas être la plus grande priorité de la Casa Inter, du moins pour l’instant : En effet Samir Handanovic qui a été, à plus d’une reprise en discussion, est parvenu à mettre tout le monde d’accord, à commencer par Antonio Conte qui connait également l’importance du slovène Révélation de Tuttosport "Handanovic a connu une saison de haut et de bas, avec des prestations en demi-teinte depuis le début de la saison. Ces derniers temps pourtant, il s’est retrouvé à son réel niveau en restant toujours un joueur toujours important pour Conte, aussi bien pour son importance dans le vestiaire, que pour son habilite à jouer au pied. Il était fondamental pour l’entraineur puisse se fier au joueur de ces dernières années." "Handanovic reste pour Conte un point de référence, comme le démontre le fait qu’il était également aligné en Coupe d’Italie." Soulever un titre "Le "dernier défenseur" aimerait finalement soulever un trophée avec l’Inter, tout en ayant à l’esprit la possibilité de sceller son avenir: Le Tricolore en qualité de capitaine peut, ou pas, lui permettre d'ambitionner une année de contrat supplémentaire." "Son contrat actuel se termine en 2022. Handanovic aimera ajouter de douze mois son aventure, car avec deux années de plus comme titulaire, il pourrait rejoindre Walter Zenga, l’Historique portier de l’Inter qui compte le plus grand nombre de présence, 473 contre 379 pour Handanovic. Bordon complète le podium avec 382 titularisations." "Tout dépendra des garanties qu’il sera capable d’apporter dans les prochains mois à l’Inter et du futur du Club : La stratégie au poste de gardien en sera adaptée : que Suning reste avec des nouvelles ressources financières, ou qu’un nouveau propriétaire arrive." "Faudrait-il aller de l’avant avec Samir Handanovic et un vice comme Ionut Radu qui n’est pas encombrant, ou partir à la recherche d’un autre titulaire tel que Musso, Cragno, Meret, Gollini ou Audero? L’avenir nous le dira!" conclu le quotidien turinois. Et vous, que feriez-vous à la place de Suning ? ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  15. Antonio Conte mènera l'Inter à une victoire 2-1 lors du derby de Milan dimanche, selon notre ancien défenseur, Andreas Brehme. Voici son interview à la Gazzetta dello Sport. "Peu importe qui marque, le résultat est ce qui compte. Je vais regarder le match avec quelques amis chez moi. C'est dommage que le derby se joue sans supporters, cela a été un désastre pour tout le monde et pas seulement en Italie. Les matchs contre le Milan sont toujours spéciaux. Il y a beaucoup de tension et en tant que joueur, il est beaucoup plus facile de jouer d'autres matches." Le derby vous procure t-il une sensation particulière ? "Mamma mia, bien sur ! De même que celui contre la Juve, lequel a toujours été un spectacle. Ce genre de match nous apportait une adrénaline supplémentaire : nous lisions la presse, regardions davantage la télévision. On voyait le stade se remplir du public environ deux heures avant le coup d'envoi." Sur Conte. "Conte est un bon entraîneur qui va bien. L'Inter me semble être sur la bonne voie, vous pouvez voir que c'est une équipe sur le terrain et c'est la chose la plus importante pour eux maintenant. Jouer une fois par semaine peut aussi aider dans ce sens, cela peut certainement être un avantage." "Mais l'élimination en C1 était un désastre. Vous ne pouvez pas manquer autant d'occasions, ne serait-ce qu'un but en deux matchs contre le Shakhtar Donetsk. C'est dommage, j'étais très en colère. L'Inter n'a pas bien joué lors de ce dernier match, elle aurait a dû en faire plus." Sur Romelu Lukaku. "J'aime beaucoup Lukaku, il est très rapide et c'est aussi une personne formidable sur le terrain. La prise de tête avec Ibrahimovic? Ces choses peuvent arriver, mais au début de la seconde période, ils auraient dû se serrer la main sur le terrain pour faire comprendre aux fans, via la télévision, que tout allait bien. Ils avaient tous les deux tort, un simple geste aurait suffi." De votre temps, l'Inter était une grande équipe. Selon vous, une relation "hors terrain" est elle primordiale pour devenir une équipe gagnante ? "Matthäus et moi arrivions du Bayern, il y avait aussi Ramon Diaz comme étranger. Le président ainsi que l'entraineur et son staff ont joué un rôle clé dans mon intégration. Sans négliger l'apport des autres joueurs. C'était un groupe incroyable, exceptionnel. Aujourd'hui j'ai de bonnes relations avec quasiment tout le monde." La ville de Milan à énormément évoluée depuis l'époque ou vous jouiez. Validez vous ce changement ? Et qu'avez vous à dire sur le futur de San Siro ? "Je suis souvent à Milan : avant la pandémie, j’étais plus présent en Italie qu’en Allemagne. Je pense qu’elle s’est améliorée depuis mais même quand je jouais, elle était belle. Les gens sont géniaux. J’espère que l'Inter et le Milan pourront rester à San Siro. C’est un stade magnifique et connu dans le monde entier". Ivano Bordon pense que le derby ne sera pas décisif et que Lukaku sera le top player de ce match. "Je ne pense pas que ce soit décisif étant donné qu'il reste encore beaucoup de matchs à disputer jusqu'à la fin de la saison. Mais si l'Inter gagne, le Milan aurait quatre points de retard et ce serait un bon coup de pouce en termes de moral. Antonio Conte serait en route pour gagner le Scudetto. Pour moi, Lukaku sera décisif dimanche, il sera l'homme qui décidera du derby." "Quand Eriksen a commencé, il s'est toujours révélé être un excellent joueur. Il peut certainement aider l'Inter à passer au niveau supérieur et je le considère comme un joueur important pour l'équipe." ®alex_j & @KarimGizpucoa - internazionale.fr
  16. Ivano Bordon. C'est un nom que trop peu connu. Nous parlons là d'un gardien ayant porté le maillot de l'Inter 382 fois entre 1970 et 1983. Deux titres et deux coupes d'Italie. Mais aussi un titre de champion du monde en 82 (numéro 2 derrière Zoff) et un autre en 2006, en tant que coach des gardiens. Mettez-vous à la place de Giulia Bassi, la journaliste l'ayant interviewé il y a peu par téléphone. Extraits. Ivano Bordon a toujours une belle agilité pour : se présenter, s'exprimer, répondre à des questions mais aussi les poser, afin de satisfaire une curiosité naturelle et sophistiquée à l'égard de celles et ceux qui sont devant lui. Le physique sec n'a pas connu le passage du temps et les yeux clairs dégagent une confiance rassurante, comme celle envoyée à ses coéquipiers toute sa vie en tant que gardien. Parce que le rôle du gardien de but est le plus délicat, peut-être le plus fascinant, le plus romantique, mais aussi le plus risqué et cruel. Dans sa solitude, assurer la tranquillité d'esprit est aussi essentiel qu'une belle parade. Les gardiens sont souvent décrits comme un peu fous, extravertis ou introvertis, mais toujours avec un fort caractère. Bordon n'est pas fou ! Il a beaucoup de rationalité. Aujourd'hui c'est encore un pur talent lié à une sagesse accumulée. C'est du charisme. C'est de l'histoire. La sienne, à la fois personnelle et sportive, l'a dit dans le livre : « In socket high » publié par Caosfera Edizioni. « Les parades d'une vie d'un gentleman du passé » est son sous-titre et surtout une expression efficace et exacte pour le définir ! Un gentleman du passé. L'autobiographie est une succession d'anecdotes, de curiosités et dans les coulisses d'un champion qui est toujours à sa place, qui a toujours gardé les enseignements de ses parents et qui s'est imposé dans le doré monde du football, avec un esprit et un style ancien avec lesquels il a fait face à des victoires et des défaites. Il m'avait parlé de ce livre un soir lors notre rencontre à Monza et à travers une série de messages via Whatsapp. La promesse avait été de se retrouver à Milan pour la présentation de son autobiographie. La présentation s'est ensuite estompée, pour l'urgence sanitaire que nous connaissons tous. Et donc nous avons fini par discuter au téléphone. Nous parlons évidemment de ce livre : qui sait pourquoi quelqu'un comme lui a ressenti le besoin d'en écrire un. "Pour parler aux jeunes", dit-il. "Pour leur transmettre mon expérience, ce qu'elle m'a apporté et aussi coûté sur le plan humain." Et aussitôt son esprit se tourne vers lui-même, le garçon : "Quand j'ai commencé à jouer au football, c'était une période difficile. Pour acheter un vélo, je suis allé travailler pendant un mois à l'usine." Nous parlons de la province de Venise Années 60. Di Marghera, pour être précis. Son domicile, quitté en 1966 pour aller à l'Inter. "Le football a toujours été une importance primordiale dans ma vie au point de quitter ma terre natale à seulement 15 ans. Jusqu'à ce jour, j'avais atteint mon maximum à Jesolo ou au Lido de Venise, donc déménager à Milan n'était pas facile. Quitter ma famille était aussi un sacrifice moral, mais j'étais jeune et insouciant et je me consacrais entièrement au football, dont j'étais vraiment amoureux." Les sacrifices d'un garçon, et sa passion, pourraient alors l'amener à franchir le seuil du monde des rêves : "Il fallait de la passion, puis, lentement, des qualités au vu de l'environnement composé de joueurs que vous n'aviez vu que sur des autocollants." Bienvenue dans le monde du football. Bienvenue sur la planète Inter, la maison de Bordon de 15 à 32 ans. Le maillot nerazzurro, il l'a porté de 1970 à 1983 en devenant l'héritier de Lido Vieri. Il lui a succédé après un derby perdu contre le Milan qui a également représenté ses débuts inoubliables en Serie A, à 19 ans et demi. Il en parle encore aujourd'hui comme l'un des meilleurs moments de sa carrière, malgré un 3-0 (saison 1970-1971, ndlr) : "J'ai rencontré des gens qui m'ont rassuré et qui m'ont fait grandir en tant qu'homme et gardien de but. Cette année-là nous avons gagné le Scudetto. Et pour gagner le Scudetto dans l'année de ses débuts en A...", alors il s'arrête, comme si le bon adjectif à dire au téléphone n'existait pas. Ses yeux clairs, en direct, le diraient certainement mieux, j'en suis sûr. Les souvenirs de Bordon incluent également le championnat de 79-80. Il a été entraîné par Eugenio Bersellini, défendu par Baresi et Oriali, accompagné par Beccalossi et Altobelli. Mais si vous demandez à Bordon un épisode en particulier, il vous parlera d'un penalty sauvé. Le match retour des huitièmes de finale de la C1 1971-1972, contre le Borussia Mönchengladbach. Un 0-0 après le 4-2 du match aller et surtout après le fameux "épisode de la cannette". Le match initialement remporté 7-1 par les allemands mais annulé ensuite pour une cannette de coca-cola (supposée) lancée par un supporter de 'Gladbach sur Boninsegna. Cela a déchaîné l'avocat Peppino Prisco contre l'UEFA. "J'avais 20 ans et ce penalty sauvé m'a fait connaître à l'international. Même aujourd'hui, quand les fans me rencontrent, ils me parlent de ce penalty et de ce match." (voir l'épisode de la cannette ici: https://thevintagefootballclub.blogspot.com/2010/10/match-replay-le-jour-ou-le-borussia.html ) Ivano est un homme qui n'a aucun regret : "Je suis très heureux et reconnaissant pour la carrière que j'ai faite et la vie que j'ai vécue." Parmi les déceptions, il y a cet appel manqué en équipe nationale. "Ne pas aller à la Coupe du monde au Mexique en 1986 a été une déception, d'autant plus que je l'ai découvert à la radio." Ce fut des moments où "la radio a dit" était équivalent à l'actuel "je l'ai lu sur internet". De la radio au web, de l'Inter des années 70 à l'actuelle, Bordon ne perd pas le fil de ses souvenirs, de la gratitude et de la passion. Il parle sagement et rationnellement de l'équipe actuelle, en commençant évidemment par le gardien de but. Même s'il dit qu'il ne peut jamais parler en mal des gardiens, peut-être parce qu'il continue de s'identifier et de jouer ce rôle si romantique et cruel. Handanovic pourtant, l'actuel numéro 1 mais aussi capitaine, il l'aime au point de lui souhaiter de battre son record d’invincibilité. "Deux ou trois ans à un niveau élevé peuvent encore lui permettre de le faire. Depuis qu'il porte le brassard, il a également fait un saut qualitatif en termes de sécurité et de personnalité. Il est devenu encore plus responsable." Est-ce que l'héritier d'Handa est là ? "Vous pouvez penser à Radu qui a de très bonnes qualités, peut-être le mettre remplaçant de Samir pendant un certain temps afin qu'il puisse s'aguerrir. L'Inter devrait toujours faire en sorte d'avoir deux très bons gardiens. Au niveau international, en plus d'Alisson, je pense qu'Oblak est très fort. Ici l'Inter doit viser à avoir des gardiens comme ça." Dit par une légende qui a coûtée cent mille lires au milieu des années 60 et qui a fini par faire partie de l'histoire du football, cela a du poids. Concernant Antonio Conte, avant que tout ne soit bouleversé et interrompu. "Jusqu'à l'arrêt, Conte a fait un très bon championnat. L'Inter reste un cran en dessous de la Juve mais avec deux ou trois achats elle peut devenir encore plus forte. Conte voulait peut-être quelqu'un comme Vidal mais en tout cas il a transmis une mentalité et une façon de vivre le jeu qui sont incroyables. La route choisie est la bonne et le travail qu'il a mis en place est excellent, même pour l'avenir", assure-t-il. ®alex_j - internazionale.fr
  17. Face à la Lazio, Samir Handanovic a atteint la barrière des 300 matchs disputés avec les Nerazzurri. Lui qui a rejoint l’Inter en 2012, est devenu un point ferme du vestiaire, avant de devenir le Capitaine de l’Inter. À présent, il égale Julio Cesar parmi les portiers historiques de l’Inter, en ayant Ivano Bordon dans son collimateur, second derrière l’intouchable Walter Zenga. Il pourrait rejoindre "Spiderman" s’il parvient à rester en place jusqu’à la fin de son contrat qui devrait être prolongé jusqu’en 2022. Le projet à venir de l’Inter En le prolongeant d’une année, l’Inter souhaite s’assurer de disposer d’un gardien de très haut niveau, au moins jusqu’en 2022. Par la suite, Radu devrait rejoindre le club milanais. L’idée Nerazzurra est d’éviter une transition des plus compliquées lors qu’il y aura lieu de s’attarder sur la définition du nouveau gardien titulaire. Radu pouvant continuer à grandir et à prendre de l'expérience ®Antony Gilles - Internazionale.fr
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