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  1. Peu de temps après le tirage au sort de la Champions, Javier Zanetti a commenté ce quart de finale. "Un tirage délicat, le Benfica est une équipe forte. Mais chaque adversaire que vous affrontez maintenant est difficile." On n'avait pas vu un tel tirage italien depuis longtemps. "C'est vrai, et c'est une bonne chose. Nous sommes heureux de représenter le football italien. Au vue du tirage au sort, nous avons tous de bonnes opportunités. Nous espérons être à la hauteur." Benfica-Inter était une finale de la Coupe des Champions. "Je me souviens bien quand je suis arrivé à l'Inter, Facchetti et Mazzola m'avaient raconté l'histoire de la Grande Inter. Ils ont évoqué cet exploit de gagner contre Benfica. Maintenant, nous y sommes, nous espérons honorer ces quarts de finale de la meilleure façon possible et atteindre les demi-finales." Otamendi ne sera pas présent au match aller, il manquera un joueur important. "Je suis d'accord, il l'a montré à la Coupe du monde. Il a beaucoup de caractère et d'expérience, ce sera une perte importante pour eux. Cela peut être un avantage pour nous mais nous devons être prudents et très concentrés sur le reste de l'équipe. Ils ont beaucoup de qualité et de joueurs qui peuvent créer du jeu. Nous le jouons, nous le préparerons de la meilleure façon possible." Cette fois, vous avez suivi le tirage au sort sans effusions particulières. "J'étais très concentré, entre autres j'avais Benfica à mes côtés et quand on a vu le tirage au sort on s'est bit à bientôt." Traduction alex_j via FCInterNews.
  2. Et oui, bien plus que le 22 mai 2010, le 9 mars représente la date la plus importante de l’Histoire de l’Inter : Celle de son jour de création en 1908 et pour fêter les 115 ans de notre jeune Bien-Aimée, un programme a été concocté L'Inter célèbre son 115eme anniversaire avec de nombreuses activités liées au tour du Maillot du Club, véritable fil rouge de l'Histoire Nerazzurra depuis sa fondation jusqu'à aujourd'hui. Et Le héros de la vidéo retrace les décennies des Nerazzurri à travers les différentes vareuses de match, celles-ci devient d'ailleurs le fil rouge de l'évolution du club et de sa ville, Milan. La vidéo présente également le Biscione Visconti, l'un des symboles du club, imprimé sur la "Peau" des maillots et qui, pour l'occasion, couvrira l'armoirie du club pour commémorer 115 premières années de l’Histoire du Club. Mais ce n’est pas tout, à partir d'aujourd'hui, il est également possible d'acheter le nouveau livre officiel de l’Inter publié par Giunti Editore : "Le Maglie dell'Inter - Tutte le divise Nerazzurre dal 1908 a oggi". Le livre retrace l'histoire des maillots des Nerazzurri et contient plus d'un millier de reproductions des maillots et environ 120 photos d'archives, dont beaucoup sont inédites, ainsi qu'une analyse approfondie de l'évolution des textiles et du logo, tout en mettant également un accent sur les maillots d'entraînement et d'avant-match. L'introduction du livre a été rédigée par le Vice-Président Javier Zanetti, qui sera présent aujourd'hui à l'Inter Store de la Galleria Passarella pour une séance de dédicaces exclusive destinée aux Tifosi qui souhaiteraient s’offrir un exemplaire du livre en avant-première. Une série de produits dédiés du 115ème anniversaire a également vu le jour, en débutant par un maillot spécial et exclusif reprenant le patch "Inter 115" et les numéros avec un lettrage personnalisé comprenant les autographes de tous les joueurs de l'équipe première. Il y a également la Capsule Collection qui compte un t-shirt, une écharpe et un ballon de match d'époque. Les produits dérivés peuvent être achetés sur l’Inter Store online du Club, dans le Store de la Galleria Passarella et au San-Siro Store, sans oublier le Market Place de l’Inter sur Ebay et sur la boutique du Club sur Amazon. De plus, et à l’occasion du déplacement de l’Inter à la Spezia ce vendredi 10 mars, les joueurs se présenteront sur le terrain avec un maillot orné d'une broderie dorée spéciale portant les mots "115 ans" placés sous l’armoirie du club. 115 ans et Belle comme au premier jour! ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  3. À l'occasion du 115e anniversaire de la fondation du Club et parallèlement à la sortie du nouveau livre officiel "Les maillots de l'Inter", notre vice-président Javier Zanetti a rencontré les fans à l'Inter Store Milano pour célébrer l'anniversaire de notre Beneamata. Notre ancien capitaine, comme en témoignent certains clichés republiés sur les réseaux sociaux de l'Inter, s'est consacré aux fans qui ont obtenu les premiers exemplaires disponibles de son nouveau livre, la Galleria Passarella de Milan devenant noire et bleue et accueillant des centaines de fans. Javier Zanetti a posté sur Instagram: "Merci à tous les fans de l'Inter qui sont venus à l'Inter Store pour fêter ensemble les 115 ans de l'Inter. C'était une grande émotion de revivre l'histoire et des maillots que j'ai 'ai eu l'honneur de défendre pendant tant d'années ! Joyeux anniversaire !" Il a également fait part de son émotion: "C'est une histoire sans fin… Depuis 115 ans et pour toujours. L'Inter c'est un sentiment. Un Amour qui ne connaît pas de limites, notre famille, nos frères du monde et partout dans le monde... jusqu'au Meazza. Les célébrations, les soirées magiques, les victoires indélébiles, l'élégance dans les couleurs du ciel et de la nuit... de cette nuit du 9 mars 1908. Représenter l'Inter est un honneur au quotidien. L'histoire de l'Inter appartient à tous ses supporters, ses habitants, sa ville. Sans frontières, sans limites, passion infinie. Aujourd'hui et toujours, seule, l'Inter. Bon anniversaire !" Traduction alex_j via FCInterNews.
  4. Le fils de l'ancien Vice Président de l'Inter Peppino Prisco a parlé de l'élan des Nerazzurri et aussi de celui de la Juve. Interrogé par Il Giornale, le fils de l'avocat Prisco, ancien Vice Président de l'Inter, a évoqué l'élan des Nerazzurri. Voici les déclarations faites par Luigi Maria: Quel serait l'état d'esprit de votre père aujourd'hui en vers l'Inter ? «En attendant, il serait sur place, en liesse. Et il serait justement préoccupé par le sort économique, pour comprendre où cela finira. J'ai la foi et peut-être que lui aussi. Jusqu'à présent, l'entreprise réussit à faire des miracles: chapeau bas». Est-ce l'équipe qui ne vous convainc pas ou est-ce l'entraîneur ? "L'équipe est ce qu'elle est, Inzaghi fait de bonnes choses avec ce qu'il a." En dehors du terrain, où est l'âme de l'Inter aujourd'hui ? Qui le représente ? « Il y a Zanetti. Quant à Marotta , il faut baiser le sol où il marche : il a réussi à faire des miracles». Dans le passé de Marotta, il y a une Juve qui vit maintenant la question controversée des opérations de marché et de la pénalisation. Mais que diriez-vous en tant qu'avocat ? «Il n'y a jamais rien d'objectif, sinon il n'y aurait pas d'avocats et de juges. J'ai eu l'occasion de lire certaines choses et si j'étais fan de la Juventus, je serais pris de désespoir». Que veux-tu dire? "Cela pourrait être une pénalité importante pas juste une simple piqure" Cependant, l'Inter a un autre problème : Celui du stade. Est-il juste de quitter San Siro ? "Je ne vais pas le faire. Quand je lis des articles sur des émissions ou des matchs de rugby, je frissonne. Je serais également perplexe quant à la recherche d'une solution avec Milan, ce qui n'est pas faisable. Une coentreprise avec eux créerait la situation absurde d'avoir à se réjouir de leurs succès. Quelle est la future taille des Nerazzurri ? « J'ai vécu l'époque des deux Moratti et il y a toujours de la nostalgie, mais le temps du mécénat est révolu. A moins que le Bezos du moment ne tombe sincèrement amoureux de nous... Le football italien ne redeviendra-t-il jamais celui des années 1980 et 1990 ? « La situation déprimante de notre football a été accentuée par le Covid, par l'effondrement des recettes et des droits télévisés. Mais cela vaut pour tout le monde. L'affaire Inter est à part, car l'immobilier chinois a été contraint par le gouvernement de "revenir en arrière" sur les investissements de luxe". Quelles solutions votre père suggérerait-il ? « Vous devriez contacter un médium. Mais à l'avenir, il pourrait y avoir un fonds, qui pourrait faire des calculs et même décider de garder l'entreprise en la pérennisant». Pourquoi Peppino Prisco reste-t-il encore aujourd'hui une icône de l'interisme ? Il a dit catégoriquement ce qu'il pensait. Interisti avec son intensité il y en avait d'autres. Mais si amoureux du politiquement incorrect personne. Traduction Lindt1908 via Inter1908.it
  5. "Le Maglie dell'Inter - Tutte le divise nerazzurre dal 1908 a oggi" est le nouveau livre officiel de notre FC Internazionale Milano, réalisé en collaboration avec Giunti Editore Saison après saison, des premiers maillots des pionniers du football cousu main à ceux réalisés avec des fibres high-tech et performantes des maillots actuels, sans négliger aucune variante, tous les maillots que l'Inter a portés sur le terrain au cours de ses 115 premières années d'histoire sont reproduits avec précision et exactitude, les uns après les autres. Une véritable encyclopédie du "Maillot de l'Inter", contenant plus de 1.000 reproductions précises des maillots et environ 80 photos d'archives, dont beaucoup sont inédites. Le livre contient des chapitres sur le développement des tissus, l'histoire et l'évolution du logo, les maillots spéciaux et ceux des matchs joués par la formation mixte Inter-Milan, l'apparition et l'évolution des patchs, ainsi qu'un focus sur les maillots d'entraînement et d'avant-match. Le livre est enrichi de trois contenus exclusifs : une préface de Javier Zanetti, Vice-Président de l'Inter, une interview de Lee Murphy, directeur du design mondial de Nike Football, et une postface d'Andrea Bocelli. A livre exceptionnel, invité d’exception "Après quelques années, je me suis rendu compte qu'il n'y avait plus de différence entre le Nerazzurro du du maillot et la couleur de ma peau, qui était aussi Nerazzurra, comme ces couleurs le sont devenus pour tous les joueurs qui l'ont porté". - Javier Zanetti Avec une telle préface, vous l'aurez compris, Javier Zanetti rencontrera les supporters de l'Inter qui souhaitent obtenir en avant-première et dans la limite des stocks disponibles "Le Maglie dell'Inter", le nouveau volume officiel sur l'histoire des 115 premières années du maillot des Nerazzurri, réalisé en collaboration avec Giunti Editore. Le rendez-vous est fixé le jour de l'anniversaire de l'Inter, le jeudi 9 mars 2023. À partir de 17 heures, à l'Inter Store Milano, Galleria Passarella, 2 (arrêt San Babila - Métro ligne M1 rouge), le Vice-Président et Capitaine historique des Nerazzurri dédicacera des exemplaires du livre, qui contient des contributions de Zanetti lui-même, Lee Murphy, directeur du design mondial de Nike Football, et Andrea Bocelli. "Le maglie dell'Inter" sera aussi disponible sur la boutique en ligne de l'Inter, à l'Inter Store de Milan et à la boutique de San Siro, sur le Market Place Ebay officiel de l'Inter, dans les librairies et les boutiques Giunti Editore. Pour ceux qui souhaitent se l'acheter, voici les infos: LE MAGLIE DELL'INTER - Tutte le divise nerazzurre dal 1908 a oggi Éditeur : GIUNTI EDITORE S.p.A. Auteur : Francesco Ippolito avec des contributions d'Andrea Bocelli, Lee Murphy, Javier Zanetti. Format : 23,5 x 28 cm Nombre de pages : 240 Couverture : cartonnée Prix : 35 euros ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  6. Javier Zanetti raconte tout à 'Que Mola'. Entre passé, présent et futur, voici l'intégralité de l'interview de notre ancien capitaine. Un adjectif pour Javier Zanetti aujourd'hui ? "Disons qu'aujourd'hui je suis un manager qui a une vision plus large que lorsque j’étais joueur." Votre jeunesse argentine, que pouvez-vous nous dire ? "Si je pense à mon enfance, j'ai de merveilleux souvenirs, liés avant tout à ma passion qui est le football. Depuis que je suis enfant, je courais après le ballon et rêvais avec mes amis de devenir professionnel un jour. J'ai pu faire de ce rêve une réalité. Dans mon quartier, je porte avec moi toutes les choses positives qui m'ont accompagné en tant que footballeur et aujourd'hui en tant que manager. Ce sont des valeurs importantes auxquelles je tiens et que je porte partout." A propos du potrero, le terrain du quartier ? "Ce serait l'oratorio des Italiens, où l'on passe de merveilleux moments entre amis. Vous rêvez, vous apprenez à jouer, vous aidez des amis dans le besoin, vous vous disputez, vous plaisantez. Ce sont des moments qui vous font vraiment grandir." Comment êtes-vous arrivé dans l’équipe jeune de l'Independiente ? "Je suis fan depuis que je suis enfant, j'y suis arrivé parce que je rêvais de porter ce maillot. A travers un tournoi dans mon quartier, les managers m'ont vu et m'ont emmené. Là j'ai commencé ma carrière dans une équipe professionnelle." Cependant, vos débuts professionnels étaient contre Banfield et votre premier match contre River Plate. "Oui, j'ai fait les jeunes là-bas. En réalité, les débuts sont en deuxième division, où j'ai fait un an, puis Banfield m'achète et je fais deux ans en première division. Les débuts sont contre River Plate et après ces deux années, l'appel inattendu de l'Inter m'a pris par surprise. C'était ma grande opportunité d'entrer dans ce football européen et de me comparer à de grands champions." Dans ce transfert est né le mythe chiffre 4… "Oui, c'était le maillot que j'ai toujours porté, il était libre à l'Inter et je l'ai pris de près parce que je l'aimais. Je l'ai gardé tout au long de ma carrière. Avec ce numéro, j'ai passé des moments inoubliables avec l'Inter. Pour moi, elle signifie famille, amour, c'est ma maison. Être lié au club est encore très important pour moi." Vous souvenez-vous de votre premier jour à l'Inter ? "Honnêtement, je ne pouvais pas imaginer à ce moment-là que ma carrière aurait été ici en intégralité. Je savais que je venais dans un grand club, avec une belle histoire et avec de grands champions de différents pays. Je voulais laisser ma marque, je savais c'était ma chance. Le saut était très grand, de Banfield à l'Inter, mais je savais que je devais donner tout ce que j'avais à l'intérieur et apporter mon essence sud-américaine pour que l'Inter apprécie mes qualités." En parlant d'essence sud-américaine, l'Inter l'a dans son ADN et l'avait déjà à l'époque. "Oui, il y a une tradition sud-américaine, beaucoup de joueurs ont bien réussi entre autres. Ensuite, FC Internazionale, même de par son nom, signifie aussi ouvrir les portes aux joueurs non italiens." "Dès le premier entraînement, nous avons la possession du ballon. Il ne le perd jamais, il reste toujours attaché à son pied. Ce jour-là, j'ai pensé qu'il entrerait dans l'histoire de l'Inter." Vous souvenez-vous qui a dit ces choses ? "Oui, le capitaine de l'époque, Beppe Bergomi, une personne qui m'a beaucoup aidé, il m'a tout de suite intégré dans la réalité du football italien, il m'a raconté l'histoire de l'Inter. Avec Giacinto Facchetti, ils ont été importants pour moi dans mon premiers pas dans cette société." À propos de l'âme argentine. Que pensez-vous de Batistuta et Crespo ? "Deux grands attaquants, parmi les principaux de l'histoire du football argentin. Batistuta avait une puissance physique incroyable, il a marqué de toutes les manières. Crespo était très intelligent à l'intérieur et à l'extérieur de la surface, il savait se démarquer avec des mouvements qui permettaient de le trouver et toujours là prêt à marquer." L'Argentine est championne du monde, je vous demande trois noms à mettre dessus. Le meilleur de tout les temps. "Messi, Diego Maradona et Kempes, qui a été l'architecte d'une course extraordinaire en 78 qui nous a fait gagner la première Coupe du monde." Le championnat argentin évolue, s'oriente vers un format européen. "C'est certainement un plus, le football argentin peut beaucoup grandir. Il faut copier les bonnes choses d’Europe et c'était un choix important pour l'avenir du football argentin." Trois raisons pour lesquelles un enfant passionné de football devrait suivre le football argentin. "Parce que c'est très excitant, il y a beaucoup de jeunes qui peuvent émerger et qui font déjà de grandes choses et parce que ça rappelle le potrero, où on voit des joueurs s'amuser. Des joueurs qui possèdent potrero." La Copa Libertadores comme la Ligue des Champions ? "En termes d'importance oui, mais cela se passe d'une manière différente. Parce que les stades sont différents, parce que les gens le vivent différemment. Mais c'est une coupe très convoitée et dernièrement elle a vu la domination des équipes brésiliennes qui s'investissent beaucoup. L'Argentine est un peu en retard, mais je pense que Boca, River et Racing peuvent être des protagonistes." Comment est né votre surnom d'El Tractor ? "Je suis né en Argentine, un commentateur m'a donné ce surnom parce qu'il a dit que lorsque je partais avec boulet et chaîne, je ressemblais à un tracteur que personne n'arrêtait. C'est ainsi que le surnom est né." Comment la formation vous a toujours aidé, dans une longue carrière où vous avez aussi changé de rôle. Vous étiez également milieu de terrain… "Beaucoup. L'entraînement est la chose la plus importante, j'ai toujours essayé de le faire en me donnant à 100% parce que je savais que dimanche je serais prêt pour un grand match. L'entraînement aujourd'hui me fait me sentir à nouveau bien et quand j'ai joué, je pensais que c'était le plus important." Votre but en équipe nationale a sauvé la vie de Marek Kopals. "C'est arrivé lors de la Coupe du monde 98, nous jouions contre l'Angleterre. J'ai découvert après qu'il regardait le match, grâce à mon but, nous sommes allés en prolongation puis aux tirs au but. S'il était parti après 90 minutes, il aurait explosé avec sa voiture là où il y avait une bombe. Disons que mon but l'a fait rester à la maison et l'a empêché de prendre cette voiture." Vous avez déjoué une attaque sans le savoir. Une magie en effet… "Oui, ça ne s'explique pas. Puis il m'a écrit une lettre pleine d'émotions, me remerciant. Quand on vous raconte ces choses, vous comprenez jusqu'où va la passion du football. Sa passion l'a fait rester à la maison plus longtemps, au-delà les 90 minutes." Parlons de Ronaldo. "Pour moi, il était l'un des plus forts avec qui j'ai eu l'opportunité et l'honneur de jouer. Un joueur extraordinaire dans tous les sens. Il vient de Barcelone dans sa meilleure période, avec nous, il a été dévastateur. À l'entraînement, il était difficile d'arrêter lui et dans le jeu aussi." Angelillo a été important pour vous amener à l'Inter… "Il m'a vu et m'a identifié comme un joueur de l'Inter, je le remercierai toujours. Grâce à lui, Mazzola et Suarez m'ont vu, je suis arrivé dans ce grand club. Angelillo est une légende, capitaine, qui a laissé sa grande enseigne à l'Inter." Que signifie cette photo de vous sur le chantier ? "Mon père était maçon, pendant un an je l'ai aidé et ce fut l'un des meilleurs moments de ma vie. Là j'ai compris beaucoup de choses, combien mon père et ma mère se sont sacrifiés pour que mon frère et moi ne manquions de rien. J'ai commencé à comprendre les vraies valeurs de la vie, les fondamentaux pour l'être humain." Est-il vrai que vous risquiez physiquement de ne pas faire partie des sélections professionnelles ? "J'étais très fragile, c'est pourquoi l’Independiente m'a laissé partir en disant que je n'étais pas prêt à jouer au football à ce moment-là. J'ai accepté leur décision mais je ne le nierai pas en tant que fan, c'était un coup dur pour moi. Je rêvais de faire mes débuts avec eux. Mais il fallait que ça se passe différemment et puis quand on a affronté Banfield, les managers d'Independiente avaient les mains dans la nasse. C'est une des choses qui peuvent arriver dans le football." Parlons de l'asado. "Cela fait partie de notre culture, c'est un groupe. A l'Inter, nous nous sommes amusés avec ce groupe, ce n'est pas un hasard si nous avons tout gagné." Parlons de Mourinho. "José a été important pour moi dans ma carrière, une relation qui va au-delà de la relation professionnelle. Il y a une relation humaine très forte qui dure dans le temps, on se parle souvent, on s'envoie des textos. C'était un super leader pour ce groupe-là." Dans l'hymne Pazza Inter, le début est avec le commentaire de votre but. "Un moment de plaisir, cette chanson tous ensemble. Je remercie Scarpini pour le commentaire très émouvant, il a été décidé de commencer l'hymne avec ça." En Argentine, vous êtes passés maîtres dans le commentaire… "Oui, car ils vous font vivre de grandes émotions, qui vous viennent en regardant ou en écoutant les matchs." Parlons de Maldini. "Avec Paolo, il y a toujours eu une grande relation et au-delà de la rivalité un grand respect qui dure encore aujourd'hui et qui durera. Il représente l'un des joueurs que tout le monde respecte dans le monde du football pour sa façon d’être et de jouer." Vous êtes deux capitaines très représentatifs du derby milanais. "Nous nous sommes affrontés plusieurs fois, Paolo était un adversaire très loyal et je l'ai toujours apprécié pour ça." Un conseil pour les jeunes joueurs, pour ceux qui n'ont pas tout de suite un grand talent ou pour ceux qui en ont déjà un. "Le conseil est très simple, dans les deux cas : ne jamais cesser de rêver ! Les rêves peuvent se réaliser mais pour les réaliser, il faut beaucoup de travail, de sacrifice et de résilience car il y aura des moments diffcile à affronter. Une fois fait, vous ressortez plus fort de ces moments." Traduction alex_j via FCInter1908.
  7. L’Inter, dans ce championnat totalement inédit de par sa physionomie, a trouvé en Lautaro Martinez, un Capitaine mélangeant le sérieux de Javier Zanetti et la grinta d’un certain Ivan Zamorano Révélation de la Gazzetta Dello Sport "Lautaro est toujours plus la force motrice et le Leader de cette Inter : Face à Lecce, le Toro a marqué au bon moment en le tuant pratiquement, mais il s’est démontré être en plus un exemple: On ne l’avait jamais vu comme ça, l’Inter n’avait jamais su l’apprécier de cette façon : Capitaine du Navire avec l’âme inné d’un Capitaine, Lautaro se surpasse, il surpasse la fatigue, surpasse les vagues, et comptabilise 14 buts en 25 journée, il fait encore mieux que l’année du Scudetto où il était à la même période avec 13 buts au compteur : Lautaro est toujours plus présent, un véritable Leader qui défend un équipier dans l’effervescence du Giuseppe Meazza qui est capable de faire mal, mal à en mourir." "Lautaro est une certitude pour l’Inter, pour Simone Inzaghi, pour la Ligue des Champions, car dans une période où il faut tuer pour trouver des certitudes on retrouve l’argentin : Un point ferme dans ce monde où tout est statique : Lui qui se trouve entre un Edin Dzeko un peu en froid avec le but, lui qui n’en a plus inscrit un seul en Serie A depuis 9 matchs et un Romelu Lukaku qui continue à perdre du terrain car il n'y avait que sa transparence de visible dès son entrée sur le terrain. Lautaro sort de sa tanière lorsqu’il le faut et tue une rencontre qui était somnolente." "Lautaro fait toujours plus : C’est aussi une nouvelle confirmation qui explique la raison de son brassard autour du bras: Il ne l’est pas devenu dans la confusion, il s’agit d’une Investiture qu’il s’est mérité match après match et après avoir inscrit son but, il est allé rejoindre immédiatement Denzel Dumfries qui venait de lui délivrer la passe décisive : Il l’a réconforté avant de se diriger vers la Curva en pointant du doigt son équipier : Ce geste n’est pas hasardeux car, jusqu’alors, l’hollandais était parmi les plus mauvais joueurs du soir, à tel point que le Meazza commencer à gronder et à prendre avec des pincettes." "Le Toro est l’Inter : Il a tué un match qu’il avait lui-même permis de débloquer, lui qui était à l’initiative de l’action qui a amené au but d’ouverture." Don Fabio charmé Interviewé dans les studios de Sky Sport, Fabio Capello s’est livré sur la performance de notre Capitaine: "Lautaro est le vrai Capitaine de l’Inter, c’était une autre grande prestation de l’attaquant : Il est méritoirement Capitaine, avec ce qu’il propose : Il se sent interiste et cet aspect est très important : Il recevra des offres car il a la maturité pour jouer n’importe où : Il est le vrai Leader de l’Inter, il se sacrifie, vient en aide, il court, c’est si beau : Il est fondamental pour l’Inter ! Il ne peut pas être remis en discussion." Etes-vous sur la même longueur d’onde que l’ancien coach milaniste ? ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  8. Javier Zanetti a retracé les étapes de sa carrière lors de la présentation du livre de Gianluca Pagliuca. "Je suis arrivé à l'Inter en 1995 quand j'étais très jeune. Gianluca était certainement l'un des leaders. J'ai regardé tout ce qu'ils faisaient et ma carrière a commencé à partir de là. Ce n'était pas facile pour moi quand je suis arrivé à l'Inter. J'étais un étranger et dès que j'y ai mis les pieds je me suis dit que c'était ma grande chance de montrer que j'étais prêt à relever un défi avec de grands champions. Le football italien était le meilleur au monde." "Massimo Moratti est un gentleman, une personne toujours disponible. En tant que capitaine, je n'ai jamais discuté d'une prime avec lui, car je savais que si la victoire venait, elle viendrait. Personne n'osait dire le contraire, une relation familiale était créé, l'Inter a toujours été une famille pour moi. En 2010 quand on a tout gagné, je pense que toutes les composantes se sont réunies, c'est-à-dire les supporters, le club et l'équipe. Comme Mourinho qui nous a amenés à nous surpasser. Nous avions créé un groupe composé de grands joueurs, les problèmes du vestiaire ont été résolus entre nous, le club n'a pas eu à intervenir, puis nous sommes passés à autre chose." "Quand je me suis cassé le tendon d'Achille à presque 40 ans, j'ai dit que je devais arrêter de jouer. Quand je suis revenu après le match, je suis retourné aux vestiaires et tout le monde m'a embrassé. Là, j'ai réalisé que c'était ma dernière saison, j'ai montré que je pouvais arrêter de jouer au football. Après que l'Inter m'ait proposé d'être vice-président, j'ai été immédiatement flatté mais pour ce faire, il faut être très responsable. Je ne m'attendais pas à le devenir uniquement pour ma carrière, alors j'ai tout de suite inscrit au Bocconi, j'ai fait un cursus entre finance et marketing." Traduction alex_j via FCInterNews.
  9. Lors de la présentation du livre "Volare Libero" qui retrace les principales étapes de la carrière de Gianluca Pagliuca, Javier Zanetti a également pris la parole et voque divers sujets. "Gianluca était un super mec ! J'ai eu la chance de jouer avec lui. Je suis arrivé à l'Inter très jeune, Gianluca était déjà là et il m'a certainement beaucoup appris. C'était un exemple à suivre. Sans aucun doute, il a été l'un des plus grands gardiens de l'histoire de l'Inter." "Onana ? C'est un gardien très fiable et positif, il le transmet et il le fait très bien. Le rôle du gardien a changé parce que le football a aussi changé. On joue plus avec les pieds et eux aussi doivent avoir une grande technique." "Le manque de continuité de l'Inter ? Plus important encore, aucun de nous ne cherche des alibis ! Après la défaite à Bologne, j'ai entendu les paroles du coach, puis de Lautaro, et quand vous sentez que votre coach et un des joueurs les plus représentatifs ne cherchent pas d'alibi, qu'ils reconnaissent que ce n'était pas un bon match, vous devez recommencer à partir de ce point. Les matchs importants sont nombreux et nous espérons donner une réponse dès dimanche." "Capitaine Lautaro ? Il démontre ce sentiment d'appartenance depuis son arrivée à l'Inter et il essaie de le transmettre sur le terrain." "Lukaku ? Il s'améliore beaucoup, il a eu une blessure très grave qui l'a tenu éloigné pendant longtemps. Ce n'est pas facile pour un attaquant comme lui, avec sa taille, de récupérer complètement, mais je pense que ces dernières semaines, nous avons vu un Lukaku beaucoup plus positif." "Napoli ? Il faut d'abord reconnaître le grand championnat qu'il fait, c'est quelque chose d'extraordinaire. Ensuite, nous sommes conscients que nous avons laissé des points en cours de route. Mais la loi du terrain est comme ça. Il ne faut pas chercher de coupable mais la solution. J'ai lu qu'Inzaghi doit donner plus. Ce n'est pas Inzaghi qui doit donner plus, mais tout le monde. Le club, les joueurs, l'entraîneur. Nous sommes une équipe." "La champions ? Nous sommes très confiants, lors du premier match, nous avons montré que l'Inter a joué avec une grande personnalité. Nous savons que ce ne sera pas facile au retour, Porto jouera son jeu mais nous serons prêts." "Des points perdus contre les petits ? Si seulement j'avais la réponse... Certes, nous travaillons pour nous améliorer, il y a eu quelques matchs où malheureusement nous n'avions pas de continuité, des matchs que nous aurions pu tuer et nous ne l'avons pas fait. Cela fait partie du processus et il nous faut aller de l’avant. Les difficultés sont surmontées tous ensemble. Nous avons maintenant un match contre Lecce Dimanche où nous attendons tous une grande réponse." Traduction alex_j via FCInter1908.
  10. A treize jours de Porto-Inter, match qui déterminera le sort de l'Inter dans cette édition de la Ligue des champions, Javier Zanetti se souvient du hat-trick d'il Imperatore en quarts de finale contre les Portugais en 2005. Ses mots à UEFA TV. "Le 1-1 du match aller a été positif pour nous, nous savions qu'au match retour la qualification serait entre nos mains. C'était une équipe de grands joueurs, avec une grande qualité et des attaquants qui ont fait la différence à n'importe quel moment. Adriano ? Dans ce match, il nous a tirés vers le haut, c'était un joueur fantastique. Grande puissance, force physique et qualité. Un gaucher très fort. Une fois qu'il a vu qu'il pouvait placer le ballon sur son pied gauche, son tir devenait imparable. Le fan de l'Inter comprend quand tu donnes tout et Adri était ce type de joueur. Pour nous, il sera toujours l'Empereur." Traduction alex_j via FCInterNews.
  11. Avant la cérémonie des "The Best FIFA Football Awards" qui s'est tenue hier soir à Paris, Javier Zanetti a accordé du temps aux journalistes argentins d'ESPN. Il a répondu par une boutade à la question concernant une possibilité de signer Lionel Messi, la voici "C'est compliqué, je pense que c'est un peu cher!" Traduction alex_j via FCInterNews.
  12. Depuis sa création en 1908, l'Inter a remporté de nombreux titres, ce qui en fait l'un des clubs les plus titrés du football italien et européen. Le club a remporté 19 Scudetti, 8 Coupes d'Italie, 7 Supercoupes d'Italie, 3 Champions League, 3 Coupes de l'UEFA et 2 Coupes intercontinentales. Depuis 2020, l'Inter Milan est devenu aussi l'un des premiers clubs de football à émettre des fan token pour ses supporters. Inter fan tokens sont des jetons numériques qui permettent aux fans du club d'interagir avec l'équipe, de participer à des sondages et des votes, de gagner des récompenses exclusives avec des légendes, et même d'influencer certaines décisions du club. Ces nombreux titres ont été remportés grâce à de nombreux joueurs talentueux qui ont porté le maillot nerazzurro. Les joueurs mentionnés dans cet article ont tous contribué à l'histoire et au succès du club, en marquant des buts importants, en défendant avec acharnement ou en étant des leaders incontestables sur le terrain. Ils ont écrit leur nom dans l'histoire de l'Inter et ont marqué les esprits des supporters du club. Giuseppe Meazza, la légende absolue de l'Inter Giuseppe Meazza est considéré comme le plus grand joueur de l'histoire de l'Inter et l'une des plus grandes légendes du football italien. Né en 1910, Meazza a commencé sa carrière à l'Inter à l'âge de 17 ans en 1927, et y a joué pendant plus de 10 ans. Au cours de cette période, Meazza a remporté deux Scudetti en 1930 et 1938, et a inscrit un total de 284 buts en 408 matchs sous le maillot nerazzurro. Il a été le meilleur buteur de l'Inter pendant sept saisons consécutives, de 1930 à 1936, et a remporté deux Ballons d'Or en 1934 et 1935. Au-delà de ses performances exceptionnelles sur le terrain, Meazza était également apprécié pour sa personnalité hors du terrain. Il était connu pour son humilité, sa générosité et sa loyauté envers l'Inter. Sa contribution au succès de l'Inter est inestimable et il reste aujourd'hui l'une des plus grandes légendes du club et du football italien. Sandro Mazzola, la légende du football italien Sandro Mazzola est le fils de Valentino Mazzola, lui-même une légende du football italien. Sandro a passé toute sa carrière professionnelle à l'Inter, de 1960 à 1977, et a marqué l'histoire du club avec ses performances exceptionnelles. Mazzola a remporté quatre titres de champion d'Italie et deux Coupes des clubs champions européens avec l'Inter dans les années 60, ce qui en fait l'un des joueurs les plus titrés de l'histoire du club. Il a également remporté l'Euro 1968 avec l'équipe nationale italienne, où il a marqué deux buts en finale contre la Yougoslavie. Au cours de sa carrière, Mazzola a marqué 116 buts en 417 matchs avec l'Inter. Il était un joueur polyvalent et technique, capable de jouer à différents postes sur le terrain. Mazzola était également apprécié pour sa personnalité hors du terrain. Il était connu pour sa modestie, sa gentillesse et son dévouement envers l'Inter. Il est toujours considéré comme l'un des plus grands joueurs de l'histoire du club et reste une figure emblématique pour les supporters de l'Inter. Au-delà de sa carrière de joueur, Mazzola a également travaillé comme entraîneur et a été président de l'Inter Milan de 1996 à 2004. Sa contribution au succès de l'Inter reste inestimable et son nom restera à jamais gravé dans l'histoire du club. Javier Zanetti, l'Argentin qui a tout gagné Javier Zanetti est l'un des joueurs les plus emblématiques de l'histoire de l'Inter. Né en Argentine en 1973, Zanetti a rejoint l'Inter Milan en 1995 en provenance du Club Atlético Banfield. Il a rapidement été considéré comme l'un des meilleurs joueurs du club grâce à son talent, sa ténacité et sa loyauté. Zanetti a joué plus de 600 matchs avec l'Inter au cours de sa carrière de 19 ans au sein du club. Il a remporté cinq titres de champion d'Italie, quatre Coupes d'Italie, une Ligue des champions et une Coupe du monde avec l'Argentine en 1998. Il a également été nommé capitaine de l'Inter en 1999, un rôle qu'il a occupé pendant plus de 15 ans. En 2014, après 19 saisons passées à l'Inter, Zanetti a pris sa retraite de joueur et est devenu vice-président du club. Sa contribution au succès de l'Inter est inestimable et il reste aujourd'hui l'un des plus grands symboles du club. Zanetti est également respecté et admiré dans le monde entier pour son leadership, son humilité et sa longévité exceptionnelle dans le monde du football. Ronaldo, le Brésilien qui a marqué l'histoire Ronaldo Luís Nazário de Lima, plus connu sous le nom de Ronaldo, est l'un des joueurs les plus talentueux et charismatiques de l'histoire du football. En 1997, il a été transféré de Barcelone à l'Inter Milan pour un montant record de 28 millions de dollars. Son arrivée à l'Inter a suscité un grand enthousiasme chez les supporters du club, qui attendaient avec impatience de voir ce que ce joueur exceptionnel pouvait apporter. Au cours de sa première saison avec l'Inter, Ronaldo a remporté la Coupe de l'UEFA en marquant le but de la victoire en finale contre la Lazio. Il a également inscrit 25 buts en 32 matchs de Serie A, ce qui en fait le meilleur buteur du championnat cette saison-là. Malheureusement, les blessures ont souvent perturbé la carrière de Ronaldo à l'Inter. Il a subi une blessure au genou en novembre 1999 qui l'a éloigné des terrains pendant plusieurs mois, puis a subi une deuxième blessure en avril 2000, qui l'a empêché de jouer la finale de la Ligue des champions contre le Real Madrid. Malgré ces blessures, Ronaldo a laissé une forte impression à l'Inter Milan. Au total, il a marqué 49 buts en 68 matchs avec le club, et a été l'un des joueurs les plus électrisants et les plus redoutés de sa génération. Sa technique et sa vitesse sur le terrain ont laissé des souvenirs indélébiles aux supporters de l'Inter et aux fans de football du monde entier. Les autres légendes de l'Inter Armando Picchi a remporté deux Scudetti et deux Coupes des clubs champions européens avec l'Inter dans les années 60. Walter Zenga est considéré comme l'un des meilleurs gardiens de but de l'histoire de l'Inter. Lothar Matthäus a remporté le Scudetto en 1989 avec le club et a été élu meilleur joueur de la Coupe du monde 1990. Giacinto Facchetti a remporté quatre Scudetti et deux Coupes des clubs champions européens avec l'Inter dans les années 60. Iván Zamorano, quant à lui, a marqué 41 buts en 130 matchs avec l'Inter et a remporté la Coupe UEFA en 1998. Enfin, Dejan Stanković a remporté cinq Scudetti, quatre Coupes d'Italie et la Ligue des champions en 2010 avec l'Inter. Au fil des années, l'Inter a également accueilli de nombreux autres joueurs de talent qui ont contribué au succès du club, tels que Giuseppe Bergomi, Alessandro Altobelli, Nicola Berti, Esteban Cambiasso, Samuel Eto'o, Maicon ou encore Diego Milito. Tous ces joueurs ont permis à l'Inter de s'imposer comme l'un des clubs les plus titrés d'Italie et d'Europe, et ont contribué à sa renommée à travers le monde.
  13. Gian Piero Gasperini est le protagoniste de DAZN Heroes. L'entraîneur de l'Atalanta est également revenu sur son expérience à l'Inter. Physiquement, même à l'Inter, vous avez trouvé des joueurs en phase de déclin. "Oui définitivement. J'espérais vraiment redémarrer la voiture. Vous savez, avec une voiture un peu vieille, vous y mettez une nouvelle batterie, puis elle redémarre. Cela ne s'est pas produit et je suis un peu désolé, c'était une expérience très courte et malheureuse. Cependant, pas sur le plan personnel et je le vois quand je rencontre Stankovic, Zanetti, Cambiasso aussi. Ça n'a même pas commencé là, quelques semaines, je n'avais pas le temps, deux pour dire. Mon intention dans cette équipe était de les relancer. Je ne me souviens pas de joueurs qui ait bien fait à l'époque. Certains ont même abandonné tôt, d'autres ont eu des blessures. Le tabou total à l'Inter était la défense à trois (sous entendu que l'Inter était liée au Catenaccio, ndlr), c'était l'interdiction, il n'y avait pas d'autres raisons." Et l'Atalanta ? "Ici, il y a un territoire de joueurs très productif. Même dans les années qui semblent moins bonnes, vous faites ressortir Scalvini. C'est un grand talent, techniquement, en termes de physique, mais c'est surtout un leader avec sa tête. Il est déjà compétitif sur le terrain, il a un très haut sentiment d'appartenance, ce sont des valeurs." Traduction alex_j via FCnter1908.
  14. Matteo Darmian est le protagoniste du deuxième épisode de Footsteps, disponible sur RecastTv. Darmian évoque d'abord le maillot Nerazzurri. "L'Inter est certainement une part très importante de ma carrière, j'y suis maintenant dans ma troisième année. L'espoir nourri par tant de passion m'a poussé à poursuivre ce rêve." Ensuite, ses idoles. "Si je dois en choisir un dans mon rôle, je pourrais choisir Zanetti ou Maicon qui ont inspiré tant d'enfants." Et enfin, son but le plus important. "Celui marqué pour nous rapprocher du Scudetto, celui contre Cagliari au Meazza avec l'enchaînement Hakimi-Lukaku et mon arrivée au deuxième poteau. Il nous a permis de gagner le match et de nous rapprocher du Scudetto." Traduction alex_j via FCInter1908.
  15. Il n'y a pas de place pour un non-Inter, ou presque, dans le top 11 Sportweek de Marco Materazzi qui dresse une line-up à trois quarts noire et bleue. Deux exceptions cependant. Deux champions du monde, deux coéquipiers nationaux de la chevauchée vers Berlin en 2006, Fabio Cannavaro et Francesco Totti. Voici la liste complète et les justifications de Matrix. "J'ai fait une équipe offensive parce que. Dans le football, il faut marquer des buts, même si quand je jouais, mon travail était de les éviter. Il y a beaucoup d'Interista, parce que j'ai tout gagné avec eux." Julio Cesar dans le but, protégé par Maicon, Cannavaro, Samuel et Chivu. Zanetti, Totti et Stankovic dans l'entrejeu, derrière un trident super offensif fait par Ronaldo le phénomène, Milito et Eto'o. José Mourinho entraîneur. "Quand il est arrivé à l'Inter, j'étais très proche de Toldo, mais j'ai encadré le Brésilien et nous sommes devenus amis. Maicon, un train sur l'aile droite. Je ne sais même pas comment il a réussi à faire des allers-retours tout au long du match." Arrière droit Maicon, Christian Chivu en face, ailier gauche. "Moi, lui et Stankovic, trois gitans. Avec Cristian, un coup d'œil suffisait pour se comprendre. Nous avons plaisanté sur les adversaires. Une fois, contre la Lazio, Pandev a rebondi entre lui et moi tout au long du match. 'Regarde ce que tu m'as fait !', me reprochait-il en fin de première mi-temps pour un coup de pied qu'il s'était pris. Il n'avait même pas remarqué que je ne le lui avais pas donné le coup, mais Chivu." Ensuite, Cannavaro et Samuel au centre. "J'aurais pu choisir Cordooba avec qui j'ai le plus gagné à l'Inter mais avec Fabio j'ai gagné une Coupe du monde et c'est peut-être celui aux côtés duquel j'ai concédé le moins de buts de toute ma carrière. En effet, entre nous, nous parions à chaque match de quitter le terrain avec une cage inviolée." Place aussi à l'incontournable mur, l'inoubliable The Wall pour les fans de l'Inter. "Il a fait honneur à son surnom, the Wall, en tant que joueur et en tant qu'homme, solide sur le terrain et silencieux en dehors. Un mur, en fait. , impénétrable. Il battait le terrain et si un attaquant allait contre lui face à face pour protester, il ne répondait même pas. Cela ne lui donnait pas satisfaction de répondre." Milieu de terrain à trois composé de deux grands capitaines et d'un "dragon", prochain adversaire de l'Inter en championnat en tant que manager de la Sampdoria. Zanetti, sur qui Materazzi avoue que "nous n'avons jamais été très proches, mais à chaque fois que j'avais besoin du capitaine, il était là." De capitaine à capitano, Francesco Totti, grand adversaire de l'Inter dans le triplété mais grand coéquipier en équipe nationale, "il me fait toujours sourire. Je ne sais pas s'il est plus fort ou plus sympathique." Avec Stankovic, "on a eu la même chambre pendant 5-6 ans. J'ai gagné tous mes trophées à l'Inter avec lui. Il ne savait même pas à quel point il était fort." Trois forts derrière trois très forts devant avec une ligne offensive que Materazzi confie à Ronie, Milito et Eto'o. "Maradona, Messi... Mama mia, je n'ai jamais vu quelqu'un d'aussi fort que lui. En termes d'explosivité et de talent naturel, un mélange entre Cristiano et Messi" dit-il à propos d'il Fenomeno rejoint par Diego Milito. "En marquant deux fois contre le Bayern en finale de la Ligue des champions 2010, Diego a permis à Materazzi de mettre la cerise sur le gâteau de sa carrière." Pour finir, Samuel Eto'o, "s'il n'était pas venu à l'Inter, on n'aurait jamais gagné la Ligue des champions. Avant lui, il y a eu Ibra qui a joué dans les clubs les plus forts et n'a jamais gagné une coupe. Il doit y avoir une raison." Sur le banc, inutile de le dire, l'équipe est confiée à José Mourinho. "Quand il est arrivé, quelqu'un avait dit que Materazzi allait partir. Il m'a arrêté le premier jour et m'a dit : 'Tu restes ici'." Traduction alex_j via FCInterNews.
  16. Longue conversation de Walter Samuel, dit the Wall, avec ses collègues de la RSE. Il a évoqué la coupe du monde, le Triplété, Massimo Morrati et sa famille. Votre sentiment sur le fait d’voir gagné cette coupe du monde. "Peut-être, comme certains amis me l'ont dit, n'avons-nous pas encore réalisé ce que nous avons fait ? Les protagonistes sont les joueurs mais c'est aussi une source de fierté pour nous qui faisons partie du staff technique. Ceux qui ne sont pas argentins ont du mal à comprendre. C'est vrai, les problèmes du pays n'ont pas été résolus, mais ce succès a donné de la joie à ceux qui en avaient besoin." Vos souvenirs de l'époque romaine. "En tant que défenseur, je ne voulais pas encaisser de buts, j'avais une grande concentration. Ce n'était pas facile de s'installer. Balbo et Batistuta, les Argentins qui étaient en Italie depuis plus longtemps, m'ont aidé. Capello m'a mis au centre de la défense à 3, ça s'est bien passé parce que la première année on a gagné le Scudetto." Quel technicien a eu une influence particulière sur vous ? "A l'époque de l'Inter, José Mourinho a beaucoup changé, à commencer par sa façon de travailler avec le ballon. Il avait confiance en lui et a transmis sa volonté de gagner : c'est très important. Sur le plan technique, cependant, je dis Marcelo Bielsa parce qu’il m'a tellement fait grandir. Peut-être que je suis injuste envers les autres entraîneurs mais il m'a appris à surgir de la ligne défensive, à jouer le ballon entre les lignes, à ne pas perdre les duels avec la tête. C'était vraiment un loco." Avez-vous beaucoup de vrais amis dans le football ? "J'ai beaucoup d'amis dans mon pays, ceux que je connais depuis toujours. J'en ai aussi dans le foot, le problème c'est toujours la distance. Diego (Milito, ndlr) et Pupi (Zanetti, ndlr) je les vois souvent, tout comme Burdisso." L'expérience de Bâle, pourquoi avez-vous décidé d'y terminer votre carrière ? "J'ai vécu deux années spectaculaires en Suisse. La Sampdoria me voulait mais j'avais du mal à rester en Italie, alors j'ai répondu oui à la proposition d'un ami. Au final, j'ai parlé à l'entraîneur de l'époque, Paulo Sousa, et avec le président et ça a pris. Si mes genoux ne m’avaient pas trahi, j'aurais fait quelques années de plus." Quand dirigerez-vous une équipe en tant que manager ? "Je ne sais pas, le moment viendra. J'aimerais entraîner, je ne le cache pas. En Suisse ? J'ai passé un bon moment, je n'aurais aucun problème à entraîner là-bas." Le message de Moratti arrive : "Je voulais t'embrasser et te féliciter pour ce que tu as accompli avec l'Argentine. Tu mérites tout pour ton sérieux. Mon cycle de victoires commence quand je t'ai signé. Enfin, l'Inter a commencé à gagner, je suis particulièrement reconnaissant envers toi." "Moratti transmet la tranquillité, il était très proche de nous même sans être là. L'Inter est un milieu familial, où l'on se sent bien. Neuf ans dans un club, c'est long mais j'ai passé un bon moment et je ne peux pas m'en plaindre. Nous avions tout, ils nous ont très bien traités. Puis, heureusement, nous nous sommes toujours battus pour gagner. Au-delà des victoires, l'important est de se sentir bien dans un club." En 2010, le Triplete arrive. "C'était comme la Coupe du monde, nous aurions pu gagner les trois compétitions comme les perdre en deux semaines. L'équipe y croyait, pour beaucoup d'entre nous déjà vieux, c'était une opportunité unique. Nous avons essayé, heureusement, ça s'est bien passé. C'était quelque chose d'historique, qui restera à jamais. Même si d'autres équipes réussissent à le faire, nous resterons toujours premiers. C'est quelque chose qui vous rend fier rien que d'en parler." Quels souvenirs gardez-vous du Real Madrid ? Les célèbres galactics... "Sur le terrain j'ai beaucoup souffert parce qu'on a encaissé tellement de buts. En club c'est impressionnant, c'était comme aller au théâtre. Je me suis retrouvé avec des stars comme Figo, Ronaldo et Zidane, très simple et modeste." Humilité, sérieux et loyauté : sont-ce les trois caractéristiques dans lesquelles vous vous reconnaissez ? "Je me vois, je ne change pas ma façon d'être pour ce que j'ai fait dans le football. J'ai beaucoup gagné mais j'ai aussi eu de gros revers, l'année au Real a été dure, par exemple, puis je me suis cassé les deux genoux." Quel papa es-tu ? "Depuis que j'ai fini de jouer, j'ai toujours été impliqué dans le monde du football. L'équipe nationale me permet de passer plus de temps avec mes enfants. Ensuite, je suis peut-être absent de la maison pendant 1 à 2 mois. J'aime être un papa, je vais souvent chez ma fille à Madrid. Mes enfants étaient aussi importants au Qatar, quand j'ai regardé dans les tribunes et que je les ai vus, j'ai eu un fort sentiment." Comment Messi a-t-il vécu la Coupe du monde ? "Il le méritait plus que quiconque pour le joueur qu'il est, ses coéquipiers le disent aussi. C'est un garçon tranquille, un professionnel exemplaire et très compétitif. Il a endossé le rôle de leader, sur et en dehors du terrain. Nous pensons que nous, Argentins, nous avons de la chance que lui et Maradona soient Argentins." Traduction alex_j via FCInterNews.
  17. Javier Zanetti est l'invité spécial de Supertele, une émission DAZN animée par Pierluigi Pardo. La conversation avec le journaliste commence évidemment par le derby remporté par les Nerazzurri face à Milan puis évolue sur d'autres sujets. À quel point une victoire dans le derby change votre lundi ? "C'est un lundi différent, gagner un derby a une saveur particulière, surtout parce que nous l'avons gagné à juste titre." Y a-t-il un mystère à l'Inter ? Dans certains matchs, c'est très fort, mais pour d'autres, c'est faible. "Nous aurions certainement pu avoir quelques points de plus mais cela fait partie d'un chemin que cette équipe suit avec une certaine continuité. Un drop peut se produire avec autant de matches serrés. Je vois une équipe qui est protagoniste, qui veut toujours jouer le match et qui sait réagir. L'Inter, de la première année d'Antonio (Conte, ndlr), a toujours eu une continuité ces quatre dernières saisons. Je suis surpris quand je vois des critiques très exagérées envers une équipe qui fait les choses de la meilleure façon possible. Nous pouvons nous améliorer, nous en sommes conscients, par contre nous disons que Naples fait quelque chose d'extraordinaire." Vous pensez à Spalletti ? "Il y a beaucoup de Luciano dans ce Napoli. Il a fait un excellent travail à l'Inter, c'est un entraîneur qui laisse sa marque dans les équipes." Terminer deuxième vaut-il un Scudetto pour vous ? "Nous devons faire de notre mieux jusqu'à la fin. Nous avons la Ligue des champions, la demi-finale de la Coppa Italia contre la Juve, nous devrons faire de notre mieux." Qui choisirez-vous comme symbole de l'Inter cette saison ? "Je vais demander à Darmian son maillot à mettre dans mon musée. C'est un joueur silencieux, toujours au service de l'équipe. Il donne toujours du sien, c'est un gars sérieux et professionnel. C'est quelqu'un qui fait la différence dans n'importe quel groupe." L'Inter vaut Naples, quelle est la raison de cet écart ? "C'est la continuité et il y a le regret d'avoir laissé des points en cours de route. Le championnat est compétitif, il y a beaucoup de matches. Naples, donc, ne s'est pas trompé, les battre a été très dur pour nous." Vous attendiez-vous à un Milan aussi prudent hier ? "J'ai entendu la nouvelle avant le match, puis ce changement s'est produit pendant le match. Mais il y a aussi les mérites de l'Inter qui a pu voir, dès la première minute, qu'elle pouvait gagner le match. Milan est toujours une équipe à respecter, puis il y a des moments. Je connais Pioli, Maldini, ils ont la personnalité pour s'en sortir." Lautaro peut-il être le vrai capitaine? "Honnêtement, je suis très content de sa carrière à l'Inter. Sa performance ne cesse de croître. Maintenant, c'est aussi une confirmation pour l'équipe nationale argentine. Il est important pour l'Inter, et il le montre à chaque fois qu'il entre sur le terrain. C'est un mec généreux, il ne va pas perdre. Hier il a dit que le derby milanais se vit comme en Argentine, il a raison car l'environnement est très chaud." La situation de Skriniar, aurait-elle pu être mieux gérée ? "Je ne sais pas. La chose est simple : nous avons proposé le renouvellement dans nos possibilités (économique, ndlr), il l'a évalué et a dit non. Ça va, nous devons accepter sa décision. Je pense que le plus important, c'était la réponse de tout le milieu. Il va falloir mettre le joueur dans la situation de donner le meilleur de lui-même. L'important c'est le bien du club, il a été le premier à le comprendre. L'inter va continuer, Skriniar va porter un autre maillot à partir de juillet et nous lui souhaitons le meilleur. Il est essentiel pour nous qu'il se comporte comme hier." Pourquoi avez-vous décidé de retirer le brassard à Skriniar ? "C'est un thème avant tout lié à l'avenir, Marotta a été clair. Nous en avons tous discuté et nous avons convenu que c'était le meilleur choix, un choix qu'il a compris de suite. L'Inter va de l'avant. Hier, le capitaine était Lautaro, qui est le présent et l'avenir." Quel est le joueur le plus intéressant de la Serie A ? "En regardant surtout Napoli, je dis qu'Osimhen se révèle être un grand attaquant, il est important pour son équipe." Souvenirs de la coupe du monde. "C'est impossible de rester sobre en tant que champion du monde (rires, ndlr). J'ai vécu la Coupe du monde avec de grands sentiments pour mon pays, pouvoir assister au tournoi avec ma famille m'a permis de célébrer chaque instant. Après la finale, je me suis senti heureux parce que nous attendions depuis 1986. Ceux qui aiment le football attendaient que Messi devienne champion du monde, c'est ce que j'ai entendu des fans au Qatar." Messi ou Maradona ? "Au-delà de ce qu'il a fait sur le terrain, Diego avait un charisme incroyable. On aime Messi parce que c'est comme ça qu'il se montre. En tant qu'Argentin, je suis ravi d'avoir eu Diego qui restera unique." L'histoire Messi-Inter était-elle vraie ? "En raison de la relation que nous entretenons, nous avons parlé quand il y avait cette possibilité. J'ai été surpris quand il a dit au revoir à Barcelone. Mais de manière réaliste, nous ne pouvons pas rivaliser avec des clubs comme le PSG ou les clubs anglais." Comment voyez-vous Mourinho à Rome ? "Êtes-vous surpris par ce Mourinho ? José arrive toujours à donner quelque chose d'important à ses garçons, il les stimule pour leur bien." Zaniolo va quitter la Serie A. "Je suis désolé parce que ce n'est pas bon pour lui de quitter l'Italie. Ce sont des choix qu'il faut respecter. Je ne sais pas ce qui s'est passé au niveau environnemental, mais il n'y a pas de sérénité autour de lui." Traduction alex_j via FCInterNews.
  18. Notre légende Javier Zanetti a accordé une interview à Tuttosport dans laquelle il évoque sa fidélité au club qui l'a fait grandir. Javier, quand l'étincelle vous a-t-elle frappé pour le football ? "J'avais trois ans et ils m'ont donné un ballon que je n'ai jamais lâché. Dans le quartier Dock Sud à Avellaneda, à deux cents mètres de la maison, il y avait une place et un petit terrain et tout a commencé là. Nous vivions près du stade de l'Independiente et ma mère était une grande fan. En Argentine, le magasinier avertit la curva lors de l'entrée de l'équipe sur le terrain. Lorsqu'il a fait, tout a explosé. Je frissonnai et je me disais 'Je me demande si je ressentirai aussi cette émotion'. Je l'ai fait." Était-ce le coup de foudre avec l'Inter ? "Je suis arrivé à Cavalese, parmi les journalistes, avec un sac qui contenait mes chaussures. Ils m'ont pris de Banfield, une équipe inconnue, tandis que Rambert venait d'Independiente où il avait remporté le championnat en tant que meilleur buteur. De plus, Roberto Carlos et Paul Ince sont également arrivés cette année-là. J'étais le quatrième étranger et à l'époque seuls trois pouvaient entrer sur le terrain mais le destin voulait que je joue tout de suite. Un lien très fort est né. Ils m'ont fait me sentir comme chez moi ici." La rumeur avec le Real, en 2001, une aventure ? "J'avais parlé à Valdano, leur entraîneur: il me voulait à Madrid. Presque tout était fait mais j'ai décidé de rester et j'ai prévenu Moratti." Combien avaient-ils offert ? "Un contrat bien plus important que celui que j'avais à l'Inter. Cependant, en plus de l'argent, j'ai pensé à la famille, à la relation avec les fans et au fait que je voulais laisser ma marque à Milan. Et je me suis dit 'Si je vais au Real, je suis un parmi tant d'autres.' J'aurais certainement gagné quelque chose, mais je voulais le faire ici. C'était un choix fort, mais il y a plus..." Histoires. "Manchester United et Barcelone m'ont aussi "tenté". Je ne me souviens plus si c'était en 2001 ou 2002. J'étais avec Paula, ma femme, et j'ai trouvé Ferguson dans un aéroport et il m'a dit bonjour, m'a demandé quand mon contrat était terminé. Mais j'étais heureux à Milan, malgré ces années très compliquées pour l'Inter. Ailleurs j'aurais eu une carrière plus importante, mais je ne me serais pas retrouvé comme à l'Inter." Comment cela s'est-il terminé avec Barcelone ? "Que j'ai "lancé" Puyol ? Il me le dit toujours. Il était dans l'équipe jeune et avait également commencé à faire quelques apparitions dans l'équipe première. Un jour, Van Gaal l'a appelé et lui a dit: 'Je veux signer l'arrière droit le plus fort du monde qui est Zanetti. Si nous ne le signons pas, je te garderai avec moi'. Et Carlos me remercie chaque fois qu'il me voit…" Qu'y avait-il dans cette étreinte avec Messi à Lusail ? "Beaucoup : je l'ai vu débuter en équipe nationale et il méritait cette coupe. Je l'ai remercié car il a couronné le rêve de tous les Argentins. À Doha, à cette époque, il y avait une atmosphère particulière : tout le monde voulait que Leo soulève la coupe." Avez-vous un meilleur ami dans le football? "Avec Zamorano qui est le parrain de Sol et Cordoba qui est le parrain de "Nacho", ainsi que mon colocataire à l'Inter, la complicité va au-delà de ce qu'ont été nos carrières." Vous êtes-vous senti trahi par Hodgson et Lippi ? "J'ai fait une erreur avec Hodgson parce que je n'ai pas compris qu'il m'a remplacé en finale contre Schalke parce qu'il voulait que Berti tire le penalty. Cette querelle s'est arrêtée là et même maintenant, quand on se rencontre, on en rigole. Par contre, je n'ai pas aimé l'attitude de Lippi, quand ça va mal, il ne faut pas chercher des coupables, mais des solutions. Peut-être, avec le recul, l'a-t-il fait pour partir." Traduction alex_j via FCInter1908.
  19. Buteur du derby milanais, Lautaro Martinez s'attarde auprès de Sportmediaset et Rai Sport pour analyser le match. Interview accordée à Sportmediaset Votre sensation après cette victoire. "Cette victoire est importante car c'était un match spécial, comme le sont tous les derbies. Pour nous, l'important est de marquer des points parce que nous en avons perdu beaucoup." "Je suis content parce que le but a donné trois points, l'important est que l'Inter gagne. Et aujourd'hui, nous l'avons encore fait." À un moment donné, à 1-0, il y avait le danger d'un autre vaudeville comme celui de l'année dernière, mais vous étiez plus mature. "Nous grandissons, nous jouons du bon football : l'Inter est une protagoniste! Nous devons continuer sur cette voie car nous travaillons pour cela." Quel est le poids du brassard de capitaine ? Vous sentez-vous plus comme un leader maintenant ? "Oui, oui, mais il ne pèse rien (rires, ndlr). Je suis fier et heureux de le porter, c'est grâce au travail que je fais au quotidien. J'essaie de donner un coup de main à mes coéquipiers, de faire ce que le le personnel me demande et de faire profiter les gens du stade." Le but est-il préparé ? "Il est préparé, nous essayons toujours d'occuper la zone proche du gardien. Le ballon est tombé et je n'ai eu qu'à marquer." Interview accordée à Rai Sport Votre avis général. "C'est certainement le meilleur moment de ma carrière, après le beau cadeau de la Coupe du Monde. Je suis enthousiaste à l'idée de continuer à gagner. Le capitanat peut être revu à chaque match. Aujourd'hui, je le porte parce qu'il n'y a pas d'autres joueurs, je suis fier et je dois continuer comme ça." Pourquoi tant de points de retard sur Naples ? "L'objectif est de récupérer des points, mais Naples doit aussi en perdre. Nous devons être dans le top 4, aujourd'hui nous sommes deuxièmes et nous jouons un bon football. L'écart existe parce que nous avons perdu des points importants. Maintenant la course est lancée et nous essayons de revenir." Qu'est-ce qui a changé après la Coupe du monde ? "Je ne sais pas mais le fait d'avoir gagné te donne beaucoup de confiance. Gagner la Coupe du monde n'est pas pour tout le monde, je suis l'un d'entre eux et je suis fier." Lukaku vous manque-t-il pour former le couple parfait ? "L'année où nous avons remporté le Scudetto, nous avons fait un excellent travail avec Romelu. Il est parti, il est revenu mais les blessures l'ont ralenti. Maintenant, il se remet en forme, nous nous retrouverons certainement lors des prochains matches. C'est important pour nous." Vous attendiez-vous à un Milan aussi faible ? "Ça s'est certainement passé comme ça parce que l'Inter l'a forcé à être comme ça. Nous sommes entrés sur le terrain avec le bon esprit et le bon cœur, commandant le match du début à la fin." Zanetti était là il y a peu de temps, y a-t-il en vous un rêve d'être un étendard de l'Inter ? "Je ne sais pas, je vais vous dire que je donne tout pour l'Inter. Porter le brassard est une source de fierté, je me donne toujours à 100% sur le terrain et les gens m'aiment tellement. Je montre que je tiens tellement à moi beaucoup à ce blason, à ce maillot et à tous les gens de l'Inter." Traduction alex_j via FCInterNews.
  20. Joueur aimé des Tifosi, protagoniste sur le terrain, toujours fiable à l’image d’un Javier Zanetti, Matteo a méritoirement vu se prolonger son aventure à l’Inter jusqu’au 30 juin 2024! Sa déclaration à Inter TV "Je suis très heureux de cette prolongation, elle va me pousser à faire encore mieux, à travailler encore plus. J’espère continuer sur cette voie qui est de remporter encore tant de titres avec ce maillot. Je suis très Fier de faire partie de cette Famille, nous avons remporté quatre titres et j’espère pouvoir en ajouter tant d’antres dans ma carrière: Je me donnerai au maximum tant que je serai ici." "Je cherche à travailler quotidiennement pour m’améliorer, pour mettre en difficultés l’entraîneur dans ses choix, et lorsqu’il fait appel à moi, je cherche toujours à apporter une contribution maximale pour aider l’équipe à atteindre ses objectifs." Mes buts ? "Cela me fait toujours plaisir de marquer, surtout si l’un de mes buts offre la victoire ou une qualification : J’espère pouvoir en inscrire tellement d’autres même si la chose la plus importante est d’atteindre les objectifs d’équipe." ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  21. Javier Zanetti souhaite un bon anniversaire au Special One. Mercredi 26 Janvier 2023 est une date spéciale et quelque peu familière à tous les fans de l'Inter. En effet, des années plus tard, ces mêmes fans continuent d'être liés au personnage en question, à savoir José Mourinho. L'entraîneur portugais, actuellement à la tête de la Roma, fête aujourd'hui ses 60 ans. "Un anniversaire spécial. Soixante ans pour une personne spéciale !!!! Joyeux anniversaire, José Mourinho", a écrit Javier Zanetti qui a envoyé ses meilleurs vœux au légendaire chef d'équipe du Triplete. Traduction alex_j via FCInterNews.
  22. Massimo Moratti, aux micros de TMW, ne craint pas ses idées concernant l'Inter. L'Inter peut-elle encore revenir dans le match pour le Scudetto ? "Je ne pense pas parce que Napoli a beaucoup de points d'avance. Mais dans le football, on ne sait jamais. Jouer de cette manière permet certainement d'espérer plus facilement." Milan Skriniar quitte bientôt l'Inter ? "Je préfère ne pas répondre, c'est un sujet désagréable." L'Inter a-t-elle tout fait pour garder Skriniar ? "Il faut être à l'intérieur de l'entreprise pour comprendre, c'est difficile de juger de l'extérieur. Honnêtement, je ne pense pas que l'Inter bluffait, ils voulaient le garder… Peut-être qu'ils ne pensaient pas que le joueur avait cette volonté." Un joueur comme lui est-il remplaçable ? "Je pense que oui. Il est très fort, mais ce n'est pas Walter Samuel." Les étendards n'existent-ils plus comme Zanetti ? "Les personnages de joueurs existent. Totti est aussi toujours resté à la Roma, d'autres personnalités préfèrent choisir quelle cause défendre et donc changer d'équipe." L'Inter devrait-il également garder Lukaku la saison prochaine ? "Cela dépend de sa condition physique. S'il va bien, il est fort. Au lieu de ça, il a des difficultés. Cet aspect doit être compris." Etes-vous favorable à un éventuel échange entre Brozovic et Kessie ? "Pour moi, Brozovic est bon pour l'Inter. Il avait un rôle précis et le jouait toujours très bien. Il est fort, nous sommes toujours du bon côté avec lui." Traduction alex_j via FCInter1908.
  23. Interrogé par BeIN Sports, Samuel Eto'o, aujourd'hui président de la Fédération camerounaise de football, a évoqué l'été 2009, celui de son transfert chez les Nerazzurri. "Pep Guardiola m'a donné une opportunité dont je serai toujours reconnaissant, celle d'entrer encore plus loin dans l'histoire du football. Il a permis à l'Inter de faire la meilleure affaire de son histoire, avec Zlatan Ibrahimovic pour 90M€ et Samuel dans le deal, était le plus beau deal de l'histoire du football. Quand je suis arrivé à l'Inter, j'ai dit à papa Massimo Moratti: 'Donnez-moi deux ans et je vous donne la Ligue des champions'. J'arrive dans cette merveilleuse famille, avec Marco Materazzi et Javier Zanetti. Autour de moi, donc, j'avais des tueurs. Quand on est entré dans le stade et qu'on regardait nos yeux, ils se disaient: 'Mieux vaut les laisser gagner et retourner dans ma famille. C'était mieux comme ça.'" "José Mourinho est loin de tout ce qu'on dit de lui. Saviez-vous pourquoi nous l'aimions tant ? Parce qu'il a toujours été honnête avec nous. Je me suis toujours senti protégé par lui, même si j'étais sur le banc pendant un mois. Samuel Eto'o sur le banc, c'est incroyable! Puis un jour je lui ai dit: 'José, Samuel ne va pas sur le banc'. Et il a répondu: 'Maintenant, j'ai mon joueur'. C'est là que tout est parti." Voici l'interview: Traduction alex_j via FCInterNews.
  24. Javier Zanetti, Vice-Président de l’Inter, Bandiera des Tifosi et Parrain d’Internazionale.fr s’est livré dans la rubrique "I Fantastici 10" du site Calcio.com : "Lautaro, lorsque j’ai commencé à le suivre, je voyais déjà qu’un grand futur pouvait s’offrir à Lui, j’en avait parlé avec Milito lorsqu’il faisait ses premiers pas au Racing." "Après avoir débuter en équipe-première, on voyait ce parcours, celui d’un joueur qui pouvait aspirer à beaucoup plus et je suis très heureux que Lautaro soi ici, à l’Inter, tout ce qu’il est entrain de démontrer est tout ce que nous avions imaginé qu’il était capable de faire : Il s’améliore saison après saison au point d’être devenu l’un des points de référence de l’Inter et de l’Argentine." Quelles sont ses meilleures caractéristiques ? "C’est un garçon très généreux, il vient énormément aider en phase défensive, il a aussi un excellent timing dans ses coups de têtes, il a d’ailleurs inscrit beaucoup de buts de la sorte. Il demande toujours de la profondeur, il est très puissant via ses jambes et c’est un très bon dribbleur : C’est un garçon qui a un grand sens des responsabilités, un grand professionnel." "Lorsqu’il est arrivé à l’Inter, il a réalisé qu’il était dans un grand club et il se met en valeur dimanche après dimanche : Je pense qu’il se sent bien ici avec nous et c’est pour cela qu’il réalise de très belles prestations: Lautaro avait accepté immédiatement notre proposition, alors qu’en y en repensant, il aurait pu signer dans un autre club, mais il nous a finalement rejoint." Une anecdote ? "Les barbecues qu’il fait pour ses équipiers, Il leur offre des grandes tables de viande pour se regrouper, et ce sont des choses qui sont définitivement très positives. C'est un excellent cuisinier, il cuisine bien l'Asado !" ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  25. C'est une information en provenance de la Repubblica, pour s'assurer les services de Milan Skriniar, le Paris-Saint-Germain aurait sorti les muscles, au point de proposer quasiment deux années de contrat "interiste" comme prime à la signature à l'international slovaque, sous une condition bien précise Le Pressing des Tifosi "Supplier un joueur de rester dans votre club, pour six millions et demi d'euros nets par saison, avec la promesse d'en être le capitaine à vie. C'est la situation actuellement vécue par les Tifosi de l'Inter: Les Ultras des Nerazzurri, lors du match contre Parme, tout comme lors du match à l'extérieur à Monza, ont déployé des banderoles et scandé des chants pour convaincre Milan Skriniar de résister à la tentation parisienne où beaucoup d'argent et des promesses de gloire l'attendent, et il faut comprendre à quel point ils sont sincères. De plus, dans cet élan d'amour désespéré se cache toute la condition de actuelle de notre compétition qui est bien trop pauvre en terme d'argent et de moyens techniques pour parvenir à conserver ses Champions entrés dans la fleur de l'âge." WTF! "Mais voir ces supplications adressées au joueur, afin qu'il ne parte pas gratuitement est une nouveauté de cette année. Comme l'a d'ailleurs souligné Giuseppe Marotta: "C'est normal dans le football actuel...." et il a raison. Mais il y a aussi LA TENTATION, celle qui est encore bien plus grande que le salaire déjà proposé: Le Paris-Saint-Germain semble disposé à signer un chèque de 12 millions d'euros au défenseur, à condition de ne pas avoir devoir verser un seul centime d'euro à l'Inter." Que faire dans une telle position ? "Choisir de devenir un Javier Zanetti en puissance en étant d'abord Capitaine et voir un dirigeant par la suite ? Ou aller chercher plus d'argent dans un vestiaire composé de super-héros ? "Il n'y a pas d'échéances" a déclaré tout récemment Giuseppe Marotta.... Et comme on le retrouve dans les belles histoires des comptes de fées: Les Tifosi chantent la sérénade à Milan dans l'espoir qu'il ne choisira pas Paris." L'Amour ou l'Argent ? Milan est appelé à prendre l'une des décisions parmi les plus importantes de sa carrière... ®Antony Gilles - Internazionale.fr
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