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  1. Javier Zanetti n’est pas un joueur ordinaire, c’est un « Clubman », là où certains changent de clubs tous les 2 ou 3 ans; lui joue actuellement sa 11ème saison sous le maillot de l’Internazionale Milano. Javier est un joueur extrêmement précieux de par ses interventions minutieuses et ses longues chevauchées qui lui ont d’ailleurs values d’être surnommé « Il Tractore » par les supporters des Nerazzurri. « Il Capitano », son autre surnom, est et restera à jamais l’une des légendes de l’Internazionale Milano. Javier Aldemar Zanetti naquit le 10 août 1973 à Buenos Aires. Il passa une enfance relativement tranquille dans les docks du district sud de la capitale Argentine. Il commença dès son jeune âge à jouer au Football sur les terrains de son quartier tout en allant à l’école et en aidant son maçon de père. Il débuta sa carrière professionnelle de footballeur à l’âge de 19 ans à l’AC Talleres, club de division 2 Argentine. Il ne fit aucune apparition avec l’équipe première au cours de la saison 1992/93. Mais cette année n’est pas ratée pour autant, loin de là même puisqu’il rencontre Paula, une jeune photographe amatrice, qui deviendra, par après, sa femme et qui lui donnera plus tard une fille, Sol. Pendant l’été 1993, il fut transféré dans un club voisin, le CA Banfield. Ce club du Sud de Buenos Aires évolue en 1ère division Argentine. Il joua son premier match de championnat pour Banfield face à Frente a River (0-0) le 12 septembre. En très peu de temps, Il progressa d’une façon fulgurante et devint un titulaire indiscutable. Il fut l’une des révélations du championnat Argentin 93/94. Il disputa lors cette saison 37 matches et inscrivit également son premier but le 29 septembre 1993 face à l’équipe de Newell’s. Il honore alors le 16 novembre 1994, à 21 ans seulement, sa première sélection en équipe nationale Argentine face au Chili. Lors de sa deuxième saison à Banfield, il joua un peu moins de matchs (29) mais marqua quand même 3 buts. En deux saisons au CA Banfield, il a donc joué 66 matches et marqué 4 buts dans le championnat d’Argentine. A la fin de cette saison, il fut rappelé par la sélection Argentine pour venir disputer la Copa America 1995 dans laquelle il disputa 3 matches puis joua la coupe des confédérations en Arabie Saoudite et joua là aussi 3 matches. En fin de Saison, Javier Zanetti fut acheté par l’Inter Milan pour 2.900.000$. L’inter Milan réalise là l’un de ses meilleurs transferts. Allait alors commencer une véritable histoire d’amour entre Javier et l’Internazionale Milano. Il débute avec son nouveau club lors de la 1ère journée du Calcio le 27 août 1995 face à Vicenza. Il ne manquera au final que 2 matchs de Série A au cours de sa 1ère saison. Il inscrivit d’ailleurs son premier but face à l’équipe de Cremonese. Dés sa première saison à l’Internazionale Milano, Il se révèle donc être un achat judicieux et démontre toute l'étendue de son talent de par un jeu solide au milieu de terrain, position qu'il occupe également en équipe nationale. Javier « Pupi » Zanetti ne quittera dès lors plus son côté droit, d’abord flanc il sera ensuite placé sur le côté droit de la défense. Pendant plus d’une décennie, il sera un titulaire indiscutable à l’Inter Milan. Il sera même nommé capitaine 3 ans après son arrivée à Milan. Javier va alors devenir l’emblème de l’Inter de Milan, épatant tout le monde de par sa longévité et son courage. Adulé des supporters nerazzurri, il va connaître beaucoup de moments forts avec ce club : - Ainsi il gagne la Coupe UEFA en 1998 face à la SS Lazio. Les Nerazzurri remportent ce match 3-0 avec notamment un magnifique but du capitaine emblématique du club, Javier Zanetti. Cela reste à ce jour son meilleur souvenir sous le maillot Nerazzurri - Javier Zanetti dispute également avec l’Inter une finale de coupe UEFA perdue (97), deux demi-finales Européennes (01/03), deux victoires en Coppa Italia (2005/2006) et également les Supercoppe Italiane (2005 & 2006), une finale de Coppa Italia perdue (2000) et un titre de champion d'Italie obtenu au tribunal. Il termine aussi à deux reprises 2ème de Série A (98/02) et plusieurs autres places d’honneur en coupe ou en championnat. - Après une grande déception relative à sa non-sélection pour le mondial en Allemagne, Javier débute sa 11° saison sous les couleurs Nerazzurre. Celle-ci allait se révéler être enfin la bonne. Malgré la mort d'un de ses mentors, Giacinto Facchetti, Javier et l'Inter débute la saison en fanfare avec une victoire très importante en Supercoppa. L'Inter assez rapidement dehors au niveau Européen cartonne et explose tous les records en Italie. Les Nerazzurri emmenés par leur Capitano Zanetti remporte le scudetto avec 5 journées d'avance et bien d'autres records dans l'escarcelle. Javier, une nouvelle fois, occupa un poste primordial dans le dispositif gagnant de Roberto Mancini et retrouva également le chemin des files presque 4 ans après son dernier but. Quelques statistiques de Javier à l’Inter : - Javier vit passer 13 coachs différents sur le banc de l’Inter. - Javier a disputé plus de 540 matchs officiels avec l'Inter. - Javier n’a récolté aucun carton rouge en Série A pour près de 400 matchs disputés. Dans toute sa période Nerazzurra, il n'aura été exclu qu'à une seule reprise. C’est un des joueurs les plus fair-play au monde. Pendant toute sa période interista, le talent et les performances de Javier furent également reconnues à l’étranger, notamment en Argentine : Javier fut appelé à disputer les Jeux Olympiques d’Atlanta pendant l’été 1996. Il y dispute tous les matchs en poste de milieu droit mais malheureusement la sélection Albiceleste, de Daniel Passarella, est défaite en finale par le Nigeria (3-2). Javier remporte donc une médaille d’argent aux jeux olympiques. A la fin de la saison 97/98, déjà bien remplie, Notre Capitano va avoir la chance de disputer sa première coupe du monde avec l’argentine. Javier et son équipe arrivent en quart de finale où ils sont défaits par les Pays-Bas ce qui reste comme l’une des plus grosses déceptions de Javier. En huitième de finale, l’Argentine avait battu l’Angleterre au penalty grâce notamment à un BUT splendide d’« Il tractore » sur une passe de Veron. Javier disputera 4 Cope America (95/99/04/07) avec l’Argentine mais il ne la gagnera jamais échouant en finale en 2004 face au Brésil d’Adriano et en 2007 face au Bresil de Maicon. Javier est rappelé en 2002 pour jouer sa 2ème coupe du monde. Malheureusement l’équipe de Javier ne franchit pas le premier tour bien qu’il ait pourtant joué tous les matchs de son équipe. Javier dispute également sa deuxième coupe des confédérations lors de l’édition 2005 en Allemagne malheureusement pour lui, l’épopée Argentine se termine également par une défaite en finale face au Brésil. Mais Javier retiendra également autre chose dans cette coupe des confédérations : il dispute face au Mexique le 26/06/2005 son 100ème match pour le compte de la sélection Argentine. Il devient ainsi le deuxième joueur le plus capé des Albiceleste derrière Diego Simeone, ancien interiste, 106 sélections. Javier Zanetti fut oublié par Pekermann dans la liste des Argentins sélectionnés pour le Mondial. Malgré son évidnete déception, Javier déclara qu'il n'allait pas pour autant laisser tomber son équipe nationale et qu'il comptait bien revenir défendre les couleurs Biancoceleste. Javier fut rappelé par Alfio Basile dès après le mondial. Javier redevint titulaire pour disputer la Copa America 2007. L'argentine fut une nouvelle fois battue en finale apr le Bresil, une énième déception pour Javier. Javier a, au jour d'aujourd'hui, disputé 110 rencontres avec l'équipe d'Argentine. Il a également Inscrit 5 buts (Vs Slovaquie (95); Vs Bosnie-Herzegovine (98); Vs Angleterre (98); Vs Uruguay (04) et Vs Japon (03)) Javier a disputé plus de 540 matchs officiels sous le maillot Nerazzurro pour 18 buts. Il est d'hors-et-déjà parmis les joueurs à avoir porté le plus souvent le Maillot de l'Inter. Seul 4 joueurs ont fait mieux que lui, Il devrait atteindre le podium au cours de cette année 2007/08, Ne restant devant lui que deux des plus grandes légendes de l'Inter, Beppe Bergomi et Giacinto Facchetti. Javier est tout simplement une légende de l’Internazionale Milano . . . et également un homme de cœur puisque, avec sa femme, ils ont créé la Fondation PUPI qui vient en aide aux enfants défavorisés d’Argentine. Merci pour Tout Javier, Tu seras toujours dans mon cœur. Note: Il a également été nommé par Pelé dans la liste des 100joueurs de tous les temps, encore une reconnaissance pour lui. Fiche complète du joueur
  2. Javier Zanetti, Vice-Président de l’Inter et Parrain d’Internazionale.fr, s’est livré à Planetwin365.news sur le parcours des équipes italiennes en Ligue des Champions et bien évidemment sur l’Inter Lautaro Martinez ? Qui pourrait reprendre le flambeau de Messi en équipe nationale ? Spalletti ? Soulé? Qui seront les joueurs protagonistes dans le futur ? ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  3. Alejandro Camano, propriétaire de Footfeel, l'agence qui gère les intérêts de Lautaro Martinez, s’est livré sur le Capitaine Nerazzurro à Tuttosport Quel type de garçon est-il ? A quoi a-t-il pensé lorsqu’il a vu, pour la première fois, l’Inter ? Vous aviez commencé à le représenter alors qu’il était déjà un joueur de l’Inter ? Que vous ont-ils dit ? Jusqu’où Lautaro peut-il arriver ? Marotta a déclaré qu’il n’y aurait pas de problème pour le prolonger, vous pouvez-vous également nous assurer de cette envie de prolongation ? Des problèmes ? Avez-vous déjà rencontré l’Inter ? Avez-vous déjà songé à vous rencontrer physiquement afin d’approfondir la question ? Est-ce vrai que l’Arabie Saoudite aurait pu le recouvrir d’Or mais que Lautaro n’a même pas voulu entendre parler de cette proposition ? C’est "étrange" dans le football actuel… Javier Zanetti a révélé publiquement qu’il verrait bien en Lautaro son successeur à l’Inter, comme Bandiera des Nerazzurri.... De quoi parlez-vous lorsque vous êtes avec Lautaro ? Martinez peut-il remporter le Ballon d’Or ? ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  4. Le Vice-Président de l’Inter, Parrain d’Internazionale.fr et véritable Bandiera du Club s’est livré à Canale5 au cours de l’émission "Verissimo" sur son arrivée à l’Inter. L’Italie L’Independiente pourra s’en mordre les doigts L’Inter Retraite ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  5. Piero Ausilio, le Directeur Sportif de l’Inter s’est livré sur sa carrière Nerazzurra au cours d’une très longue interview octroyée à Radio TV Serie A avec RDS. Celui-ci s’est livré sans se cacher aux demandes d’Alessandro Alciato. Son long mariage avec l'Inter "Mes pensées fusent dans tous les sens, des matchs qui ont eu lieu à ceux qu’il y aura, je vis à un rythme qui ne me permet pas de me relaxer, mais c’est aussi bien de penser à d’autres choses, parfois, qui t'apporte plus de légèreté par moment. C’est un long parcours, difficile, fait de sacrifices et de beaucoup d’autres choses, comme ça se doit de l'être justement. Pour arriver au niveau de l’Inter actuel, il a fallu passer par un très beau parcours, avec un staff important et avec un propriétaire qui t’apportent énormément de motivation, avec un héritage important. Le tout nous a permis d'être à nouveau conquérant en très peu de temps." Quel type d’interiste es-tu ? "Je cherche à vivre le présent, à travers le travail et le sacrifice, je pense à comment apporter ma contribution pour ce club. J’ai commencé mon parcours il y a 25 ans, en grimpant les échelons qui m’ont formés et rendu plus fort. Aujourd’hui, vu aussi l’âge que j’ai, je me sens fort et compétent pour apporter une contribution à un club aussi important." Es-tu né interiste ? "Je suis né pour le plaisir du football, j’étais un malade du football. Je suis né et j’ai grandi à Pro Sesto, j’ai commencé ma carrière de manager là-bas car j’ai dû assez rapidement interrompre ma carrière de joueur." Un poster dans ma chambre ? "Je n’en avais pas car je n’avais pas de chambre. Je suis fier car j’ai conscience des sacrifices qu’ont fait mes parents : Mon enfance était très normal avec des parents travailleurs. J’ai rapidement fini mes études en 1998. Ensuite j'ai fait ma thèse en Droit en 2005 avec quelques contraintes car j’avais déjà commencé à travailler à l’Inter." "A 16 ans, j’étais en équipe première de la Pro Sesto, ensuite, j’ai connu une série d’interventions chirurgicale et j’ai raccroché. Ma chance a été de commencer à fréquenter l’environnement du Mercato avec le Président de la Pro Sesto." Comment a débuté la carrière de Manager ? "Je me considère extrêmement chanceux car j’ai toujours rêvé de faire ce travail. J’avais mes modèles, des personnalités qui étaient des références importantes. Je savais que j’allais devoir bien bosser pour gravir les échelons, je l’ai accepté et j’ai refusé d’emprunter des raccourcis. J’ai toujours tout pris comme cela arrivait, en faisant des sacrifices, j’ai également demandé des sacrifices à ma famille. Je ne les ai jamais considéré comme tels et cela ne le sera jamais car c’est ma vie et c’est ma passion : Je ne parviens pas à vivre ma carrière comme un métier, mais plutôt comme une grande responsabilité." Quel joueur étais-tu ? "J’allais devenir professionnel. J’étais très en avance vu mon âge, à 16 ans j’étais déjà en équipe première en Serie C1. Je ne sais pas si je serais parvenu au plus haut niveau, car il me manquait ce petit quelque chose pour la Serie A. J’ai été très bon pour tout reprendre à zéro après deux années de calvaire où j’ai dû faire face à pas mal de choses, ce n’était pas donné à tout le monde." Que retiens-tu de cette période de blessures ? "Après les premières interventions, je cherchais à revenir, à tout faire car c’était mon rêve. Je me tuais au travail, en physiothérapie et ensuite j’ai compris. Lorsque je rentrais sur le terrain, il y avait toujours cette seconde de trop où l’autre te découpe, c’était mieux d’arrêter. Être joueur amateur ne m’intéressait pas, je voulais toujours faire les choses au plus haut niveau et j’ai décidé de me lancer en Droit. Ensuite j’ai commencé à travailler comme Manager." "J’ai aussi cherché à être entraîneur mais le Président illuminé qu'était Peduzzi de la Pro Sesto m’avait dit que dans le Calcio, il n’y avait pas de grands managers et qu’il voyait ce talent en moi. J’ai pleuré à de très nombreuses reprises, il y a eu des moments douloureux, mais ce sont des situations qui se doivent d’être vécues car elles te rendent plus fort et te responsabilise : J’ai réussi à accorder la bonne attention à ces choses." Tes premières larmes à l’Inter ? "Je n’ai pas un souvenir triste en particulier. Je n’ai pas pleuré dans les Finales, j’avais juste un peu d’amertume, j’avais déjà l’envie d’en découdre dès le lendemain." Même pour la dernière disputée à Istanbul ? "Je dirais la même chose oui." En 1998, c’est ton premier contact avec l’Inter… "Je m’en souviens parfaitement, il y avait une négociation avec le Responsable du secteur des Jeunes de l’époque. On voulait que je débute immédiatement à temps plein, mais il me manquait un examen et j’ai réussi à négocier un contrat de 6 mois à temps partiel avec 4 heures seulement l’après-midi, ce qui m’a permis par la suite un temps plein de 8-10 heures." "J’ai passé tellement de soirée à Interello avec l’agent de sécurité qui venait m’apporter un sandwich. Cela ne m’a jamais pesé. Je me souviens de mon premier vrai match, dans un stade avec l’armoirie de l’Inter. Elle était là, présente au Parc des Princes, lors de la Finale de l’UEFA entre l’Inter et la Lazio." "Je me souviens de mon début dans la Direction Sportive, j’étais chanceux et c’était un plaisir : Moratti m’avait appelé alors que j’étais au Brésil, il me disait qu’il voulait que je suive l’équipe à Kiev en 2010. La rencontre qui fut décisive pour le Triplé. Depuis lors, je suis toujours l’équipe première." Est-ce possible de résister à la pression ? "Ce n’est pas facile, mais il n’y a qu’un seul secret : Je cherche toujours à donner le maximum, j’ai pu travailler avec trois propriétaire différents et importants. Ils m’ont tous mis à l’épreuve et je suis toujours resté car ils ont vu quelque chose en moi : la promesse du savoir-faire." "Ensuite rester n’est jamais acquis : Tu dois avoir l’envie de bien faire les choses, avec un bon groupe de travail, c’est là qu’est ta chance car seul tu ne sais rien faire, il faut être entouré de personnes compétentes et j’en ai connu tellement." Des personnes à remercier "Je dois énormément à Moratti qui m’a fait rentrer à l’Inter et qui m’a permis de grandir. Le vrai changement est arrivé avec Thohir qui m’a intronisé comme Directeur Sportif. Ensuite, nous avons connu des périodes très difficiles mais j’ai toujours ressenti le soutien de la Famille Zhang et de Steven, même s'il n’était pas là tout de suite. C’était important de ressentir cette confiance. Dès l’arrivée de Steven à Milan, nous avons débuté un nouveau parcours et j’ai ressenti une toute nouvelle confiance : je tiens à les remercier tous les trois." Ton plus beau moment dans l’absolu ? "Beaucoup de choses me lie au Secteur Giovanile (Jeunes), car nous faisions des choses folles et je voyais grandir les garçons : Nous avons remporté beaucoup de Scudetti durant ces 25 années et j’ai aussi apporté ma contribution lors des années Branca, car il m’avait donné aussi de grandes responsabilités. Le dernier Scudetto, celui remporté avec Conte, est celui que je considère le mien à 100%." La recrue dont tu es le plus fier "Elles sont nombreuses, toutes sont de belles histoires et ont leur particularité. Je risque de faire du tort à certains, mais celle de Lautaro est une histoire très particulière car il était, en fait, quasiment un joueur de l'Aletico Madrid. Lorsque j’avais pris l’avion, j’y allais avec 1% de chance de faire face à une situation compromise et 99% de risque de faire mauvais genre, mais ce furent quatre jours de folie. Il ne manquait que la signature avec l’Atletico. Il y avait par chance, une clause que Lautaro ne voulait pas et c’est là que nous avons entrepris un grand travails d’équipe : Zanetti m’a aidé, avec son agent Milito, car son Président était très coriace." "Une fois le tout terminé, j’avais assisté à une rencontre qui était un massacre car il avait inscrit un triplé et obtenu un pénalty. Nous nous sommes revenu le lendemain au tour de la table et nous l’avons payé un peu plus cher, mais nous sommes parvenus à le ramener à la maison. Même Balotelli me fait me rappeler de très beaux souvenirs, celui de l’avoir fait connaitre dans le football qui compte et il y su saisir sa chance à 70%." Et la négociation la plus compliquée ? "Il y en a tellement. Ce n’était pas facile par exemple d’arracher Pavard au Bayern car ils ne voulaient pas s’en priver. Même dans une négociation qui te semble sur la bonne voie, il peut toujours se passer quelque chose à une minute de la fin." Et le recrutement manqué ? "Il y en a eu, mais il vaut mieux ne pas s’en rappeler. J’ai envie de citer Pierluigi Casiraghi, mon second père d’un point de vue sportif et professionnel. Il avait cette vision, il voyait tout avant tout le monde : Il avait vu Fabregas alors âgé de 16 ans, j’avais tout fait pour le recruter, mais il n’y avait pas moyen. Il y a eu aussi d’autres joueurs avec qui nous avions négocié mais qui ont finalement signé ailleurs." Quelle est la plus grande déception de ta carrière ? "J’en ai connu plus d’une en carrière. Avec Lukaku, c’est une désillusion pour la façon dont cela s’est terminé, mais j’ai le respect d’essayer de ne pas m’exprimer sur un joueur d’un autre club. J’aime parler du présent et de l’avenir. Il fait partie du passé. Je me souviens d’un magnifique Scudetto et d’une très belle plus-value, et c’est la vérité, de deux finales perdues." Que s’est-il passé avec Lukaku ? Dites-nous la vérité… "Je préfère ne pas en parler, je dirais seulement qu’il faut faire preuve d’éducation et de respect en toutes choses. A un moment donné, les choses sont allées de l’avant, mais il y avait un manque d'éducation et de respect. Lorsqu’il y a une volonté de se dire les choses droit dans les yeux, il n'y a jamais de problème." "Quand on ne répond pas au téléphone, qu'on se refuse à me répondre ou qu'on répond par l'intermédiaire d'autres personnes, il est temps de passer à autre chose. C'était comme ça depuis le 8 juillet." L’appel où j’étais furieux ? "C'est une légende. Il y a eu ce coup de fil après plusieurs tentatives, mais il a été de courte durée. J’étais ferme, décidé, mais ce n’était rien de spécial, j'ai dit ce que je pensais en très peu de temps". Lukaku, Samardžić et Skriniar : quel été... "Ce sont des expériences, des défaites sur le terrain et sur le mercato, mais on en apprend toujours quelque chose." A combien de reprise as-tu fait l’objet de convoitises ? "C’est arrivé, mais je n’ai jamais eu l’envie de m’en aller, il y a eu des contacts, des situations, mais jamais une négociation ou même la projection d’un projet. Je n’ai jamais eu fondamentalement la pensée de quitter le club, c’est bien trop difficile. Je suis lié à trop de choses qui vont au-delà du Blason : C’est ma seconde famille. Pour moi, c’est différent de tous les autres. Le jour où le Président me dira qu’il est temps de passer à autre chose, je ne pourrais juste que lui dire un très grand merci". As-tu une date d’échéance en tête ? "J’ai songé à la retraite, mais j’aimerais encore continuer un peu après, mais pas trop non plus. Tant que tout va bien avec Steven…. Je me sens super bien ici avec Marotta et Baccin. Nous avons des secrétaires et des Scouts merveilleux, je m’appuie sur des personnes capables." Ausilio et Marotta "C’est un beau duo qui fonctionne car il y a du respect : Marotta comprend le Football, il a des années d’expériences, mais il a une grande qualité : il délègue et fait confiance aux personnes qui l’entourent. Moi aussi je transmets mon expérience aux personnes qui me sont proches. Je pense qu'il est intervenu pour dire non à un joueur deux ou trois fois au cours de ces cinq dernières années, mais uniquement parce qu'il connaissait déjà le joueur ou des aspects du personnage que je ne connaissais pas." "Sinon Il vous laisse travailler, et ensuite vous échangez vos points de vue : Cela permet au directeur sportif de se concentrer sur son travail, car je n'ai ni le temps ni l'envie de m'occuper des relations, de la communication et des autres choses. Je me concentre à 100 % sur l'entraîneur, les joueurs et les réunions avec les agents, sans me disperser sur des choses qui ne sont pas de mon ressort." Lautaro-Thuram ? "C’est un beau duo, mais j’aimerai plus parler d’un quatuor : Ils s’entendent à merveille, nous avons aussi Sanchez et Arnautovic qui vous ferons voir ce qu’ils ont sous le pied." La première fois que tu as pensé à Thuram ? "Après la vente de Lukaku à Chelsea. Il ne savait même pas qu'il pouvait être attaquant. Nous avions obtenu Dzeko gratuitement de la Roma, mais il nous manquait le deuxième attaquant pour compléter le rempart avec Lautaro. J'avais déjà parlé avec lui et son père, les négociations avançaient rapidement, notamment grâce à Mino Raiola, dont je profite de l'occasion pour m’en souvenir. Nous avions presque tout défini, mais le dimanche précédant la réunion finale, il s'est blessé au genou et nous avons dû changer d'objectif." "Ces réunions ont été notre base. J'ai été le premier à dire à Lilian que son fils pouvait devenir attaquant central, il me l'a d’ailleurs rappelé récemment. Notre projet était finalisé et centré sur lui." Onana et Sommer ? "Ce sont des gardiens différents, mais nous avions déjà décidé d’en changer après toutes ces années. Mais Samir va rester, nous avons un projet avec lui pour les deux prochaines années. Nous tenions à avoir une valeur sure, prête immédiatement. Nous aurions pu nous concentrer sur des gardiens plus jeunes, mais Sommer était ce qu'il nous fallait. Il avait déjà pris la peine d'apprendre l'italien pendant les négociations, c'est un professionnel fou". Plus stable le duo Ausilio-Marotta ou Thuram-Lautaro ? "J’espère que les deux pourront encore durer longtemps." A quel point le Mercato a-t-il changé ces dernières années ? "Enormément, tout comme la position des équipes italiennes comparées aux autres. Ici, les Italiens peuvent faire des investissements, mais toujours avec prudence et sans faire de folies. Dans le monde entier, il y a des clubs qui disposent de plus de ressources et vous pouvez sentir cette différence. Mais nous sommes restés bons parce que nous arrivons toujours à trouver des situations moins chères ou à anticiper le Mercato, en récupérant aussi des joueurs qui ne sont pas affirmé à 100% dans de plus grands clubs, en les faisant venir et en leur permettant d’atteindre des niveaux qui correspondent à leurs réelles qualités. Des choses intéressantes peuvent être trouvées en Angleterre." Les agents exagèrent-ils ? "Je parlerais toujours de manière subjective, sans généraliser. Il y a des agents qui aident aussi les clubs et d'autres qui ne s'intéressent qu'à leur propre portefeuille, perdant de vue les intérêts un peu plus globaux. Je travaille avec beaucoup d’entre-eux, j'en ai rencontré beaucoup. Pour certains j’ai moins de considération et pour d’autres beaucoup plus : on acquiert cela avec l'expérience". Le fait de ne pas être une personne médiatique est un choix réfléchi ? "J'aime être comme ça, ce n'est pas un choix. Chacun à sa place et selon moi, la Communication de l'Inter ne peut pas être faite par un Directeur Sportif qui doit s’exprimer quotidiennement. On parlerait toujours des mêmes choses, des choses que je ne tiens pas à exprimer sur la place publique. C’est bien plus intelligent que ce soit le rôle de l’Administrateur-Délégué du club car il peut s’exprimer à 360°." As-tu encore un compte fake Instagram sur les réseaux sociaux actif ? "Oui, bien qu'une phrase un peu ironique ait été extrapolée : Je ne contrôle absolument pas les épouses des joueurs, c'était une blague faite dans un contexte particulier. Elle est née dans un moment d'exposition médiatique excessive, le compte suit les clubs de football, les agents, un peu de tout." As-tu encore des rêves ? "Oui même si je ne me souviens pas de tous." Le prochain ? "C’est quelque chose qui n’est pas si éloigné, mais qui est bien évidemment sportif et qui demande du travail, de la volonté et de la continuité. J’aimerai arriver à la Seconde Etoile qui est là, et pour laquelle d’autres se battent aussi. L’important est de se battre jusqu’au bout, et si quelqu’un d’autres est meilleur, j’irai lui serrai la main." Vous n’étiez pas si loin à Istanbul... "J’avais ce sentiment avant même de disputer la rencontre. Pendant le match, nous semblions si forts et compétitifs, nous avions joué à armes égales avec l'équipe la plus forte du monde. Nous étions ambitieux, même si nous étions conscients qu'il y avait une équipe bien mieux armée que nous face à nous. Nous voulions vendre chèrement notre peau face à tous." "Je sais d'où nous sommes partis : au début de l'ère Suning, nous étions peut-être derrière la 50e place du classement des meilleurs clubs du monde, aujourd'hui nous oscillons entre la septième et la huitième place. Peut-être que cela nous donnera une chance de participer à la Coupe du monde des clubs, qui aura lieu dans peu de temps. Mais pensons déjà à nous qualifier pour les huitièmes de finale." Quel genre de personne est Inzaghi ? "Simple, humble, brillant. C'est l'une des personnes les plus gentilles que je connaisse dans le football. Il a sa propre routine, des exigences qui ne sont pas démesurées : il est brillant, talentueux et encore jeune. Il a le goût prononcé du football de qualité et fait en sorte que tout le monde se sente bien. Il a créé un bon groupe et cela se voit, les résultats ne sont pas seulement le fruit de la performance, mais aussi du fait de se sentir bien tous ensemble et d'avoir envie de partager son temps ensemble." A quel point a-t-il été proche du renvoi ? "Jamais. Je peux me montrer extravagant, mais ce n'est pas dans la culture de Zhang et ni même de Marotta. Je crois que Marotta n'a jamais remercié un entraîneur en 40 ans de football, et encore moins moi. C'était une période difficile, mais nous savions que nous avions besoin de cette force qu’est l’Union et de stimulations, tout en s’attardant sur les choses qui n'allaient pas." "Nous avons tous réussi à nous en sortir et à entamer ce voyage fou lors des deux derniers mois qui nous a menés à la cette qualification pour la Ligue des Champions, à la Finale de la Coupe d'Italie et à Istanbul. Nous n’avions jamais envisager son renvoi : Ce n'est pas dans la culture des dirigeants de l'Inter". Quel président est Steven Zhang ? "Il y a une fausse idée de Steven Zhang en tant que président. D'un point de vue technique, il n'est peut-être pas l’un de ces présidents qui peut juger des qualités d'un joueur et c'est une bonne chose, car les managers et l’entraîneur peuvent faire leur travail. Mais Il est très passionné, il se montre toujours très proche, il regarde tous les matchs et, à tout moment, et il vous apporte de la tranquillité et de la sérénité." "Lorsque des fautes sont commises, il ne se montre jamais exaspéré par la situation. L'échec de la vente de Skriniar par exemple, avec un autre président, aurait provoqués des comportements et des attitudes différentes. Il a immédiatement regardé bien plus loin Sa préoccupation était : OK, qui allons-nous mettre à la place de Skriniar ? C'est un Entrepreneur, il a une vision très large." "Il vous laisse faire ce que vous voulez, il vous apporte de la sérénité et de la sécurité." A quel point a changé Milan ces dernières années ? "J'ai toujours vécu en province, mais Milan a beaucoup changé. C'est une véritable métropole, en constante évolution et vivante. Milan est aussi très attractive pour beaucoup de travailleurs étrangers. Je le vois avec les footballeurs, et avec leurs femmes qui l'aiment et nous en jouons aussi. Cela te permet de bien vivre ton métier, tu n'as pas de grande pression. Il faudrait un peu plus de sécurité pour permettre à chacun d'exprimer ses désirs et ses envies". ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  6. Interviewé par La Gazzetta dello Sport, le défenseur de l'Inter Benjamin Pavard a parlé de sa première expérience avec les Nerazzurri et des raisons qui l'ont poussé à choisir l'Inter : ''C'était le bon choix, j'ai été très bien accueilli par tout le monde, de l'entraîneur Inzaghi à Javier Zanetti en passant par mes coéquipiers. J'ai découvert un bon vestiaire. Après sept ans en Allemagne, j'avais envie d'un nouveau défi, de nouvelles stimulations. L'Inter me voulait déjà en janvier avec un projet qui correspond à ce que je cherchais". Votre ami Olivier Giroud a-t-il essayé de vous "recruter" à l'AC Milan ? "Ah oui (rires, ndlr). Plus que du Milan, Olivier m'a parlé de l'Italie et de la Serie A, des supporters dans les stades. Un point sensible : j'aime la ferveur des supporters. A l'Inter, j'ai trouvé exactement ce que je cherchais". Quelle a été l'importance de votre contact avec Zanetti ? "Zanetti est une légende. Si vous pensez à l'Inter, vous pensez d'abord à lui. Il est respecté par tout le monde, c'est quelqu'un de bien. Il était content de mon choix. Il m'a expliqué ce que signifie être à l'Inter, la passion de l'équipe." Même si vous n'avez pas joué, comment avez-vous vécu le derby ? "Magnifique : quand j'ai vu les fumigènes, nos supporters taper du poing sur les vitres de notre car pour nous charger, les chants dans un Meazza plein, j'ai eu des frissons. Je joue au football pour ce genre d'émotions. J'aime les foules chaleureuses, parce que je suis aussi comme ça : avec les supporters, on se comprend". Votre championnat préféré est la Premier League, mais vous avez choisi la Serie A : pourquoi ? "Pour le projet sportif qui me permet de jouer le rôle que je préfère. Je suis la Serie A depuis des années, aussi pour la tactique. L'Italie est alors la patrie des défenseurs, donc pour moi il y avait toutes les conditions pour ce choix. Même si je joue toujours Adriano". Quels sont les défenseurs de la Serie A qui vous ont inspiré ? "Beaucoup, de Laurent Blanc à Walter Samuel, et plus généralement les légendes, de Paolo Maldini à Lilian Thuram. Ils sont tous une source d'inspiration : j'ai 27 ans et je peux m'améliorer et apprendre beaucoup. À l'Inter, je peux m'épanouir." Quelles sont les différences avec la Bundesliga ? "La Serie A est un championnat beaucoup plus tactique. Les adversaires défendent très bien, en bloc, et il est donc plus difficile d'affronter des équipes de niveau moyen.'' Le travail quotidien change-t-il beaucoup par rapport au Bayern Munich ? "Il y a beaucoup plus de courses. J'ai été surpris par l'intensité des séances d'entraînement, même avant le match. Nous faisons beaucoup de travail tactique. L'approche est différente." Comment vous entendez-vous avec vos nouveaux camarades de quartier ? "J'apprends quelque chose de nouveau tous les jours. Concrètement, nous travaillons beaucoup avec des vidéos et je me compare au staff pour comprendre où je dois m'améliorer, en regardant aussi les matches que nous avons joués. Il y a beaucoup de dialogue avec Acerbi et Bastoni, comme avec De Vrij et Darmian. Ce sont des joueurs nationaux et il est facile de se comprendre. Il y a une saine concurrence entre nous et la défense à trois me permet d'exprimer mes qualités". Même le sélectionneur Didier Deschamps semble vouloir faire de vous un défenseur central : l'Inter vous aide-t-il ? "Même si c'était un objectif pour moi de jouer en défense centrale dans un club, j'ai toujours dit qu'en équipe de France j'étais au service de l'équipe et que je m'adaptais sans problème. L'Inter m'a proposé exactement le rôle que je recherchais. On verra ensuite si l'entraîneur pense vraiment à me faire jouer différemment : il sait que je joue volontiers là où il le souhaite.'' Qu'est-ce qu'Inzaghi vous demande à la place ? "Inzaghi est un leader, un leader, un grand motivateur en match comme à l'entraînement, un grand entraîneur qui ne sous-estime aucune équipe. Voici un exemple de ce qu'il me demande de faire différemment : soutenir le latéral droit et avancer en profondeur, ce que je n'ai pas fait au Bayern où l'on m'a plutôt demandé de rester en retrait, surtout dans une défense à trois. Il y a une bonne relation avec l'entraîneur, mais je dois apprendre rapidement l'italien car il ne connaît que quelques mots de français". Même Marcus Thuram, son collègue en équipe nationale, s'est immédiatement adapté avec des buts et des passes décisives ? "Il s'est intégré immédiatement parce que le club crée des conditions idéales pour que nous nous sentions à l'aise. Je suis très heureux pour lui, c'est un garçon spécial, j'espère qu'il continuera comme ça, et j'ai beaucoup de respect pour son père. Marcus m'aide parce qu'il parle italien. Il en va de même pour Mikhtaryan et Sommer, qui parlent plutôt le français.'' Quels sont vos objectifs ? "Je suis venu ici pour mettre la deuxième étoile sur le maillot et pour rendre aux supporters l'affection qu'ils m'ont donnée avant même que je signe, avec les nombreux messages que j'ai reçus sur les médias sociaux. Ils méritent de grands trophées.'' Peut-être est-il plus difficile de gagner le Scudetto avec l'Inter que la Bundesliga avec le Bayern ? "En fait, la saison dernière, nous avons risqué de perdre le championnat (le titre n'a été remporté sur le Borussia Dortmund que grâce à un dépassement lors de la dernière journée, ndlr), mais il est vrai que les rivaux ne manquent pas ici : Milan, Naples, Juventus, Lazio, Fiorentina. Mais la saison est longue. C'est aussi pour cela que je n'ai pas trop exagéré avec Giroud et Theo après la victoire dans le derby. Je me rattraperai à la fin, si nous gagnons le championnat." L'Inter a été finaliste de la dernière Ligue des champions, pouvez-vous soulever le trophée cette année ? "Tout est possible, mais nous devons penser à nous-mêmes, nous concentrer sur notre jeu et continuer à travailler dur à chaque séance d'entraînement." Comment se passe la vie à Milan ? ''Je connaissais un peu Milan et je l'aimais déjà. On y mange bien, même si je n'ai pas beaucoup de temps pour les restaurants. Pour l'instant, je vis à l'hôtel. Giroud et Theo m'ont donné un conseil : ils sont amis, mais pas quand vient le derby...". Que pensez-vous de Giroud comme gardien de but ? (rires, ndlr) "En fait, j'espérais que le Genoa marquerait à la fin. Il a fait une bonne sortie, peut-être qu'ils vont le mettre dans les buts de l'équipe nationale aussi". ®Jean Idriss – Internazionale.fr
  7. En effet, notre Capitaine actuel de l’Inter cartonne et est devenu le Symbole de la nouvelle génération Nerazzurra sur le terrain, lui qui fait part d’un très grand attachement au maillot : Au point d’avoir droit à une situation privilégiée ? "La fin de son contrat actuel, en 2026, ne met aucune pression à l’Inter car le club Nerazzurro fait face à trois autres priorités : Henrik Mkhitaryan, Federico Dimarco et Denzel Dumfries, qui seront les trois prochains joueurs à faire l’objet de la thématique des renouvellements de contrat. Une fois cette situation d’urgence réglée, ce sera le tour du Toro et les premières approches avec son agent, Alejandro Camano, se sont déjà avérés très constructives, à tel point que dans les prochains mois, nous rentrerons plus dans le détail. "Ce n’est pas juste de parler dans cette phase de chiffres car Lautaro perçoit déjà aujourd’hui 6 millions d’euros net plus bonus, soit le plafond maximal fixé par le club, mais il est également évident que cette somme sera révisée et que le Club est disposé à le faire, et pas uniquement pour une raison technique, ni même pour le rendement que Lautaro propose sur le terrain. Du moins pas uniquement car l’argentin s’est révélé et s’est renforcé depuis qu’il porte le brassard de Capitaine autour de son bras." "Auparavant, le sentiment d’appartenance au club semblait s’être perdu et cet aspect n’était pas passé inaperçu auprès de la Direction et de son président Steven Zhang : Le Club est donc ravi de la façon dont l’argentin occupe ce poste de référence, en interne dans le Vestiaire, et aussi bien vis-à-vis de ses équipiers, qu’avec les cadres même du Club et nous sommes très loin des rapports conflictuelles, bien au contraire: Il est donc juste de penser qu’à la suite de la revalorisation salariale, une nouvelle date d’échéance sera définie." Jusqu’à quand ? "Au moins jusqu’en 2028 et cela voudrait dire que Lautaro serait présent, sur base de cette projection, au moins une dizaine d’années au Club et ils ne sont pas nombreux ceux qui y sont parvenu : Le dernier en date est nul autre que Samir Handanovic, dont Lautaro a justement hérité du rôle de Capitaine." Selon vous, Lauti rend-il ses lettres de Noblesse à notre Brassard de Capitaine ? ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  8. Benjamin Pavard s’est livré à une longue interview à DAZN : Champion du Monde 2018, celui-ci s’est livré sur son arrivée dans la Botte et le Volcanique Giuseppe Meazza Serie A "C’est un championnat que je suis depuis très longtemps, j’ai énormément d’amis qui jouent en Italie. Pour moi c’est un football qui est fort tactiquement, j’ai énormément à apprendre ici et je suis impatient de faire partie de ce grand club : L’Inter. Je joue au football pour gagner des titres, c’est ma raison de jouer et c’est ce qui me plait : A la fin de ma carrière, je serai fier de regarder dans ma vitrine tous les titres remportés : J’espère qu’il y en aura encore tellement car je suis une personne qui a faim de victoire. J’aimerais gagner de très nombreux titres avec l’Inter aussi et, en fin de saison, célébrer le Scudetto et mettre cette seconde étoile sur le maillot." Son arrivée en Italie "J’étais en Allemagne depuis sept années, le moment était arrivé pour un nouveau défi et l’Inter s’est présentée. C’est un grand Club Historique , une grande Histoire écrite par des Légendes comme Javier Zanetti qui travaille encoure aujourd’hui pour le club et envers qui j’ai le plus grand respect. Pour moi, il s’agissait d’une question de choix et de nouveau défi et l’Inter s’est présentée avec les mêmes ambitions : celle de gagner le plus de titre possible. J’espère pouvoir célébrer, en fin de saison, le plus de victoires possible, en compagnie de nos merveilleux Tifosi." Poste de prédilection "Ma position préférée est celle de central dans la défense à trois, c’est là que je me sens le plus à mon avantage." Le fait d’avoir été Latéral droit ? "Vous savez tous que je peux occuper cette position, mais ce n’est pas celle qui m’avantage le plus. Je suis à l’Inter pour m’exprimer au poste que je préfère et où je peux apporter ma contribution, mon expérience." Coupe du Monde 2018 "Lorsque tu vis ce type d’émotions, comme celle de remporter un Mondial, ce qui est le plus beau et le plus important des titres dans l’absolu, tu veux toujours en profiter avec tes supporters." Mon but face à l’Argentine ? "C’est un moment magique, unique pour moi, pour l’équipe et pour toute la France, c’est un instant qui restera gravé dans la mémoire des français et la mienne car c’était un très grand but dans un match important. D’un autre côté, et je ne m’en cache pas, je me dois de continuer à regarder de l’avant, je préfère penser au présent et à l’avenir, beaucoup d’eau a coulé sous les ponts depuis." Un jour vous avez déclaré : Je n’ai pas le talent de Messi, mais je suis fort mentalement : L’aspect mental est fondamental pour un joueur "Oui, absolument, pour un joueur de haut niveau c’est comme ça : Je ne suis pas un génie du football comme Messi, mais je suis un garçon qui a toujours bossé. Personne ne m’a jamais rien donné, tout ce que j’ai, je l’ai gagné par mon travail. Je n’ai jamais abdiqué, même lorsque je traversais des périodes difficiles. Je tiens ça de mon père qui a une grande force mentale et qui me la transmise." "Pour moi c’était important de l’avoir aussi bien dans les bons moments que dans les plus compliqués, c’est la Clé pour réussir une grande carrière dans le football." Un match à annuler "C’est difficile à dire. Je dirais la défaite face à Manchester City lors de la dernière Ligue des Champions." Le plus beau Stade "Celui de l’Inter : Le Giuseppe Meazza." Idole d’enfance "Sergio Ramos, j’aime son style de jeu et sa Grinta, c’est un exemple pour moi." Les sacrifices "Ce n’est pas un sacrifice, mais c’est un privilège d’être un joueur de haut niveau d’apporter de la joie aux supporters qui viennent dans le Stade. C’est vrai qu’il arrive que je rate des anniversaires, Noël, le Nouvel-An en Famille ou avec les amis. C’est compliqué, mais je n’ai pas à me plaindre car je fais le plus beau métier du monde." L’attaquant le plus dur à marquer "Je dois y penser… Je dirais Eden Hazard." Plat préféré "Les frites du Nord et de la Belgique." Quel équipier écoute la pire des musiques ? "Marcus Thuram, il écoute de tout, mais ce n’est pas Top. Ce que j’écoute n’est pas mal : Les années 80, 90, le Reggaeton." ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  9. Javier Zanetti est revenu sur sa carrière dans un podcast en compagnie de Giacomo Poretti "Je continue à m’entrainer, je joue avec mes enfants, cela fait partie de moi, je le fais car je me sens bien. Les temps ont tellement changé comparé à notre enfance, je jouais en Argentine sur un terrain de terre battue avec la boule au ventre avec de la peur à l’intérieur, c’est comme ça que j’apprenais à joueur. "Parfois, je parle à mon fils qui joue sur des terrains parfaits et qui se plaint même lorsqu'il pleut. Nous devons nous adapter à ce que nous vivons aujourd'hui. Quand j'étais enfant, j'encourageais l’Independiente en Argentine et je m’imaginer à commenter ce que je voyais pendant le match, c'est un moment que je n'oublierai jamais: J'étais tellement heureux avec peu de choses, les choses simples sont celles qui vous rendent le plus heureux, une époque fondamentale pour moi. Papa m'avait fait un terrain derrière la maison, ma mère vendait des bonbons, papa venait me voir, c'était la belle époque". Te surnommais-t ’on déjà El Tractor petit ? "J’ai toujours bien aimé courir derrière le ballon et cela n’a jamais changé, puis lorsque je suis arrivé en Italie, j’ai dû m’adapter." Ton idole d’enfance ? "C’était Bochini, le numéro 10 dell'Independiente, qui a ensuite remporté le Mondial avec Maradona : Il a fait une carrière similaire à la mienne avec l’Inter car il a joué toute sa vie à l’Independiente." Trop de parents en demandent tellement parfois à leur enfants.... "Parfois, je préfère m’éloigner pour ne pas entendre certaines choses : C’est le monde dans lequel nous vivons, il y a une misse sous pressions sur des jeunes enfants alors qu’à cet âge-là, il faut s’amuser, grandir avec les valeurs du sport : Si tu deviens professionnel, oui, là tu seras sous pressions, mais à un si jeune âge, il faut s’amuser, point." Y-a-t ’il des différences entre le football argentin et l’talien ? "Les premiers temps tout me semblait particulier car les Tifosi me félicitait car je gardais le ballon dans les pieds et mes équipiers enrageaient et m’insultaient car je ne leur donnais pas le ballon. Je me suis rendu compte que les deux football sont différents : Nous aimons aller de l’avant avec le ballon, avoir de l’espace et prendre le temps que l’Italie ne propose pas. En argentine, tu as plus d’espace, à l’Inter et en Italie, tu as beaucoup moins de temps pour y penser." Ton premier entraineur en Italie ? "Ottavio Bianchi, il m’a appelé et m’a mis face à une map d’un terrain de football en me demandant là où je préférais jouer, je lui ai dit à droite et il m’avait mis sur l’aile gauche là où évoluait Roberto Carlos." "La semaine suivante, c’était l’ouverture du championnat face à Vicenza, j’y ai ressenti cette émotion incroyable qu’est le Meazza et le destin à voulu que nous gagnions le match 1-0 et c’est là le début de mon Histoire avec l’Inter, la première de mes s 858 parties." Tu as eu tellement d’entraineurs, aussi parce que Moratti avait une de ces paires de couilles et qu’il changeait souvent d’entraineur... "Une année, j’en ai connu quatre, elle était difficile : Lorsque tu es dans une équipe comme l’Inter, tu es habitué à gagner : Moratti investissait tellement et il ne parvenait pas à gagner, ensuite le temps nous a permis de…" Te rappelles-tu tous les entraîneurs ? "Tout, vu tout ce qu’ils ont fait avec nous. Je me souviens de Simoni qui était pour nous un Père, il était parvenu à créer une Famille, ce qu’est pour moi l’Inter, il avait créé un groupe compact aussi via son Leadership qui était silencieux, il était très franc, il y avait une excellente ambiance. Hodgson? "J’ai eu un soucis avec lui, mais c’est moi qui m’étais planté. Lors de la première finale de Coupe UUEFA je n’avais pas compris mon remplacement : Bertin était monté et il ne restait qu’une minute de jeu avant d’aller aux tirs aux buts... Lors de ce remplacement, j'étais furieux de n'avoir rien capté mais nous nous sommes serrés dans les bras trois secondes plus tard et aujourd'hui, lorsque nous nous voyons, nous rions de cet épisode." "Et puis, bien sûr, Mourinho est , un très grand connaisseur, avec un grand charisme, un gagnant : J’étais en Argentine et il m’avait appelé pour me prévenir qu’il venait de signer avec l’Inter, il se présentait en me disant que je serai son capitaine et en s’excusant pour son italien qui pour moi était parfait : Il était en avance sur tous, d’une autre catégorie." Mon dernier entraineur ? "Mazzarri" Tu as l’intégrité morale et physique pour toi Javier : Avec un tel surnom, tu n’as connu qu’une seule blessure, mais elle était très sérieuse "Mère Nature m’a fait jouer jusqu’à mes 41 ans sans avoir connu la moindre blessure, sinon celle qui m’est tombé dessus à 39 ans, je m’étais rompu le tendon d’Achille et je m’étais immédiatement rendu compte que c’était quelque chose de grave." "Tous pensaient que ma carrière était finie, moi-même j’avais conscience de sa gravité, mais je pensais déjà à me faire opérer et à revenir. Je n’avais pas envie de partir de cette façon et je voulais offrir à mes Tifosi une nouvelle saison comme protagoniste et prendre ma retraite devant mes Tifosi : Le Sport est comme la Vie de tous les jours, tu dois surmonter les problèmes de la même façon : Je voulais revenir, et je suis revenu et je me suis offert encore une autre saison." Il y aussi l’aspect mental qui joue dans les blessures : Certains ne sont jamais parvenus à s’en sortir... "Si tu es fort mentalement, tu réussiras difficilement à te faire mal, si tu as la tête ailleurs, et c’est valable aussi dans la vie quotidienne, là ça peut influencer. Certains doivent travailler aussi sur le mental car il faut savoir être résistant, se relever si l’on tombe à terre. Les psychologues sont important dans les équipes d’aujourd’hui, ils sont les bienvenus, mais lorsque je jouais, ils n’étaient pas là : Ils sont utile pour ceux qui en ressente vraiment le besoin." Lorsque l’on parle de mental, on se doit de parler du Special One, On percevait que Mourinho était forcément spécial, je ne sais pas s’il a apporté quelque chose de nouveau au football, mais les joueurs de l’Inter semblaient transformés "Il nous a poussé à croire que nous pourrions gagner aussi au niveau européen, il nous a poussé bien au-delà de nos limites, il nous a fait croire que ce que nous faisions quotidiennement durant la semaine allait nous permettre d’atteindre de très grands résultat. Nous avions tous cette conviction, celle d’être sur la bonne voie, il a construit une équipe en deux ans et nous nous sentions imbattables. Pour que l’on s’incline, les autres se devaient de réaliser quelque chose d’extraordinaire, c’était un grand Maestro ? Lorsque je le vois en conférence, il propose une certaine façade car lorsqu’on le connait en réalité, il est très facile à vivre, compréhensif, il traite tout le monde sur le même pied d’égalité, il ne fait aucune différence, si tu jouais, c’est parce que tu le méritais : C’est un Leader né." Que peux-tu ressentir, même si tu ne l’as jamais fait, un joueur qui est sur le banc ? "Souvent, les personnes ne s’expriment pas sur ceux qui viennent du banc, mais ce sont eux qui te font gagner, eux qui te font bien t’entrainer, il faut avoir un très grand respect pour eux. J’allais vers le banc lorsque je marquais car pour moi ils étaient fondamentaux et ils pouvaient s’avérer eux aussi fondamentaux dans les périodes les plus importantes de la saison : Qui venait du banc te faisait gagner le match. A présent, il y a cinq remplacements, et tous sont bien mentalement lorsqu’ils montent car ils peuvent tout te faire gagner le match, peu importante la qualité individuelle." Des râleurs ? "L’équipe du Triplé par exemple était un groupe extrêmement fort : Tous se sentaient important. Nous avions un entraineur qui était parvenu à te transmettre que nous étions tous importants. Je dis toujours à l’équipe que le plus important reste le groupe, si chacun pense pour sa gueule, tu parviendras difficilement à l’emporter. Tu n’as jamais eu peur, Javier au cours de ta carrière, de ne jamais rien gagner ? "La peur fait partie du métier, mais si tu es serein envers toi-même, que tu fais tout pour que les autres aillent vers une certaine direction, tôt ou tard , le travail paye : Si tu te montres constant, résilient, tôt ou tard les résultats arrive, avec l’Inter j’ai connu mes dix premières années compliquées mais ensuite je suis parvenu à tout gagner les dix années suivante : La vie est comme, ce n’est pas uniquement que dans le monde du sport, la peur fait partie de la vie quotidienne. Comment vis-tu l’anxiété en cours de match : En 2010 par exemple, lors de Sienne-Inter, il y avait une pluie d’occasions mais rien ne rentrait jusqu’à dix minutes du terme, Il y avait même eu un milaniste qui avait tenté de te perturber sur ta passe magique vers Milito qui a marqué. J’étais parti à sa recherche et il n’était déjà plus là "Ce match là était bien plus difficile que la Finale de la Ligue des Champions car la tension était incroyable, surtout dans les dernières minutes. Nous avions marqué dans ce match et il restait encore quatre minute de jeu, ensuite Rosi, l’ailier romain a fait un centre qui, jusqu’au moment de sa sortie, a fait que j’ai regardé Maicon qui était devenu blanc (il rit tous) Julio César avait soupiré. Il y avait ce match là et la demi-finale retour à Barcelone, Je l’ai encore regardé, cela semblait être une éternité, un match qui ne se terminerait jamais : Au coup de sifflet final, la libération était totale. Ces trois journées magiques ont débutée avec la Coupe d’Italie: Ma femme était invitée à un concert de Dalla-De Gregori elle voulait y aller et je l'ai satisfaite, même si j'avais conscience que c’était la date de la finale, j'ai crié dans le bus du concert, quand nous avons marqué... "Ce sont des moments que nos épouses ne peuvent pas comprendre." Ensuite, il y a eu la Finale de Madrid, comment l’as-tu vécu ? "J’étais en chambrée avec Cordoba nous sommes tous les deux croyants et lui est dévoué à Sainte Rita. A minuit, nous sommes allés bruler un Cierge pour Sainte-Rita dans la Chambre et nous nous sommes endormis ensuite tous les deux : Heureusement que rien ne s’est enflammé car nous aurions pu être brûlé" "La Finale, avec comme premier impact le Bernabeu, était si belle, notre Curva était pleine, pleine de monde, Chacun d’entre nous avait face à lui des personnes qui pensait que nous ne pouvions pas ne pas leur offrir la Victoire, cette Victoire. Au moment où j’ai soulevé la Coupe, je n’étais plus moi-même et je n’étais as le seul, c’était un moment bien trop beau. Ensuite nous avons vu les images du Duomo à la télé, qui était comble, Milan plein d’Interiste, Seule l’Inter est comme ça, j’avais 37 ans et je disputais mon 700ème match avec l’Inter ce soir-là. L’arbitre laissait trois minutes de récupération et Julio Cesar prenant le ballon, j’étais déjà entrain de pleurer tandis que Samuel était encore contracté et Maicon faisait déjà la fête." Quel est l’impact de la Famille dans une telle carrière ? "L’harmonie à la maison est fondamentale car elle fait partie du métier. Moi et Paulo partageons toute une vie ensemble, elle avait 15 ans et moi 19, elle devait encore en terminer avec la scolarité lorsque nous sommes arrivé en Italie. Nous avons trois enfants, tous les trois sont nés à Milan : Sans Eux, sans Paula, je n’aurais jamais fait une telle carrière." Dévoué à Sainte Rita, à quel point la Foi compte dans ta vie ? "Je suis allé à Cascia, je vais souvent à l’Eglise et même à la Pinetina nous avons une Chapelle. Maicon ne venait pas, mais il nous regardait de la fenêtre. Pourtant les Brésiliens indiquent toujours le ciel avec leur doigts à chaque but (il rit) c’est quelque chose que je ne comprends toujours pas." Javier, je t’en prie, parle-moi de Taribo West "Un phénomène, trop divertissant, Durant 80 minutes, il pouvait être concentré pour faire ensuite ce que bon lui semblait lors des dix minutes restantes, un jour, il a pris le ballon et s’est barré. Taribo revenait ensuite et, faisait à sa mode, c’était trop marrante. Un jour, alors que Lippi parlait tactique, il lui a demandé de raccourcir. A un moment, le milieu de terrain passait à l’attaquant le ballon et Lippi lui avait dit aussi de faire court. Taribo avait refusé et avait répondu : "Dieu m’a dit que je ne devais pas faire court." et nous avons tout de même remporté la Coupe de l’Uefa avec Taribo. Lippi lui avait répondu : Mais Dieu ne m’a rien dit à moi." Le joueur le plus fort avec qui tu as joué ? "Ronaldo sans aucun doute." L’adversaire qui t’a mis le plus en difficulté ? "Un jour, Simoni m’avait demandé de marquer Zidane, c’était difficile durant toute la rencontre. Ensuite, je dirais Kakà du Milan." Et dans les Derby ? "Il y a eu des bagarres folles avec Gattuso et Nedved, mais toujours dans le plus grands des respects, il y aussi eu Maldini et c’était toujours dans les Derby. Lors de mon premier Derby, devant 80.000 personnes, je me souviens d’une faute qui valait un pénalty de Baresi sur moi, il m’avait relevé en sommant de me lever: C’était Baresi et c’était pénalty." Ces batards ne te l’avaient pas accordé "Selon moi, avec la Var, il m’aurait été accordé." Comment vis-tu ta popularité ? "Avec une totale normalité, j’ai un très grand respect pour les personnes et pour les Tifosi : Ils font de très grands sacrifices pour venir voir les entrainements, les matchs et qu’est-ce que ça change pour moi de m’arrêter un peu et de leur apporter du respect ? J’ai la chance d’être sur le terrain pendant 90 minutes, mais après le match, je lui l’un des leurs." Comment est la vie en Italie ? "Je suis amoureux de l’Italie, je me considère comme un Italien, mes trois enfants sont nés à Milan, j’ai pleuré lorsque l’Italie a été éjectée par la Suède de la Coupe du Monde au Meazza : L’Italie m’a ouvert ses portes alors que j’étais un inconnue, je lui dois tout, j’ai un très grand respect pour ce Pays et lorsque je vais à l’étranger, je me rends compte à quel point elle me manque. Mes grands-parents étaient originaires de la province de Pordenone." A quel point as-tu profité de la Victoire de l’Argentine en Coupe du Monde ? "J’étais parti tout le mois au Qatar en Famille et j’avais l’impression que toute l’Argentine était là, Dès mon arrivée, j'ai senti le désir des Tifosi de remporter la Coupe du monde, qui était attendue depuis tant d'années. Et voir Messi soulever le trophée. J'ai ensuite eu la chance d'entrer sur le terrain et de le remercier, au nom de tous les Argentins, pour la joie qu'il nous a donnée. Je retourne toujours là-bas à Noël, en short parce que c'est l'été. Et nous retournons en fin d’année scolaire. Maintenant, je travaille pour mes enfants comme Uber, je prends l'un et j'amène l'autre." Et ta Fondazione Pupi? "Elle est née en 2001 dans une période qui était difficile pour l’Argentine, je me sentais le devoir de faire quelque chose avec Paula pour notre pays, pour les personnes qui étaient en difficultés et nous avons trouvé cette façon de venir en aide à tant d’enfants afin qu’il puisse trouver la bonne voie. Nous avons aidé, jusqu’à présent, plus de milles enfants." Avec qui aurait-tu aimé jouer ? "Avec Maradona forcément, mais il avait arrêté aussi lorsque j’ai débuté ma carrière en équipe national. Pour tout ce qu’il représentait, j’aurais tant voulu jouer avec lui." Et qui aurais-tu voulu à l’Inter ? "Messi" ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  10. Au lendemain d’une victoire Historique, le Vice-Président de l’Inter et Parrain d’Internazionale.fr, Javier Zanetti a tenu à s’exprimer sur Instagram "Félicitations à toute l’équipe et au Staff Technique pour cette si belle victoire qui a rendu si fier le Peuple Interiste. Les déclarations de Mkhitaryan incarnent parfaitement l’état d’esprit de ce groupe!!!! Allons tous ensemble de l’avant !" Mais à quoi fait-il référence ? A cette déclaration d’Henrik : "Nous devons être comme les briques d’un mur : Collés les uns aux autres." Oui, mais pas sous la Douche l’ami ! ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  11. Trois joueurs de l'équipe première de l'Inter ont été honorés lors de la Cérémonie de remise des prix de la saison 2022-2023 du Premio Gentleman Fair Play : Federico Dimarco s'est vu remettre le "Gentleman Inter" "C'est une belle chose d'être né avec ce maillot sur le dos, je me le suis mérité au cours de ma carrière, j'ai évolué dans de nombreuses équipes avant de revenir définitivement à l'Inter, et en revoyant ce que j'ai fait par le passé jusqu'à aujourd'hui, je suis vraiment fier de porter ce maillot". Le Derby ? "Nous savons tous ce que vaut le Derby de Milan, ce sera une très belle rencontre." La victoire avec la Nazionale ? "C'était une victoire dont nous avions besoin, puis jouer au Meazza pour moi est si beau, nous sommes heureux qu'après le match nul contre la Macédoine nous nous somme repris avec cette belle victoire contre l'Ukraine." Lautaro Martinez a reçu le prix du "Meilleur but" Pour son incroyable but de l'extérieur du droit qui a scellé la victoire contre l'AC Milan en Supercoupe d'Italie le 18 janvier 2023. Le capitaine Nerazzurro a remercié toutes les personnes présentes dans un message vidéo : "Merci à tous ceux qui ont voté pour mon but lors de la Super Coupe face au Milan. C'est la deuxième année que je remporte ce prix et j'espère continuer ainsi : Je vous embrasse tous et Forza Inter !" Kristjan Asllani a reçu le prix de la "jeune révélation" "C'est un grand plaisir pour moi de recevoir ce prix." L'appel de l'Inter ? "J'ai tout de suite dit oui car je suis un Tifoso de l'Inter, c'est donc un honneur pour moi de porter ce maillot. " Le vice-président Javier Zanetti et l'Administrateur-Délégué Corporate Alessandro Antonello étaient également présents à cette soirée! ®Antony Gilles - Internazionale.fr
  12. Javier Zanetti, ex-capitaine et vice-président de l'Inter a accordé une longue interview au quotidien espagnol Marca, s'exprimant sur tous les sujets, Serie A, Champions League, Lautaro et Lukaku entre autres. "La Real Sociedad va être difficile à battre" a commencé Pupi, abordant le premier adversaire de l'Inter en phase de poule. Vous venez de gagner le Prix Menarini du Fair Play de la prestigieuse Université Bocconi de Milan. Que signifie-t'il pour vous, du point de vue du leadership? "C'est un grand honneur de voir qu'après tant d'années passées dans le monde du calcioo, on me reconnaisse aussi pour ce qui est fait hors des terrains. Je pense que c'est un prix prestigieux, avec plus de 25 années d'histoires et remporté par les plus grands dans le monde du sport. Je suis très fier." Vous avez été un grand footballeur, tant d'années vous avez été au top. Aujourd'hui en tant que dirigeant, vous sentez-vous investi d'une mission importante? "Surtout, quand j'ai fini mon parcours de joueur, j'ai tout de suite compris qu'il me fallait me préparer pour ma carrière de vice-président. J'ai commencé à étudier à l'Université de Buccoli et j'y ai commencé ma formation pour être le vice-président de l'Inter. Ce qui m'intéressait le plus, c'est que tout n'était pas tourné vers l'aspect sportif et je pouvais être un leader à 360 dégrés. La vérité c'est qu'aujourd'hui, je me sens respecté auprès de l'UEFA, de la CONMEBOL, je fais beaucoup de choses pour l'Inter, loin de cet aspect sportif, pour moi ça a beaucoup de valeur". L'Inter a très bien commencé la saison avec 3 victoires en autant de matches. Êtes-vous satisfait du mercato? "Nous sommes contents car des joueurs importants s'en sont allés, des joueurs que nous devons remercier pour ce qu'ils ont fait, défendant les couleurs de l'Inter, mais des joueurs de grandes qualités, avec beaucoup d'envie sont arrivés. Nous avons bien commencé en gagnant tous nos matches et en montrant que l'Inter est compétitive". La saison passée a vu l'Inter arriver en finale de Ligue des Champions de manière totalement inattendue pour le monde du football européen. Répéter cette performance pourrait être compliqué, surtout vu comment ce sont renforcées les plus grosses équipes européennes? "Ce sera difficile, mais la volonté de réessayer est présente. Nous savons que dans le monde du football tout est possible, mais nous devons juste avancer à petits pas. Il faut d'abord sortir de la poule, c'est le plus important, aujourd'hui". Parlons de deux entraîneurs qui ont marqué votre carrière, l'un est Marcelo Bielsa, l'autre José Mourinho, deux styles plutôt différents. Que vous ont-ils laissé? "Ce qui me reste de Bielsa, c'est sa capacité à toujours tirer le meilleur de ses joueurs et de faire de son équipe une équipe difficile à affronter. En plus de cela, il faut souligner son humilité et sa capacité à réveiller en chaque joueur, l'esprit dont il parle tout le temps ainsi que sa méthodologie de travail. De Mourinho, je garde sa capacité à convaincre le groupe de sa capacité à accomplir de grandes choses, que même si gagner la Serie A est l'objectif principal, nous pouvions toujours aller plus loin, gagner la Ligue des Champions, et finalement nous l'avons fait. C'est un entraîneur très qualifié avec une forte personnalité". A propos d'entraîneurs, vous avez prolongé le contrat de Simone Inzaghi. En tant que leader, qu'est-ce que cela signifie? La reconnaissance de ses mérites, une volonté de stabilité... "La stabilité, cela confirme que Simone fait du bon travail. Avec beaucoup de sérénité et de personnalité, il a continué à avoir confiance en ce qu'il faisait et il faut le lui reconnaître en lui permettant d'avoir de la continuité". Beaucoup de joueurs se sont envolés pour l'Arabie Saoudite. L'Inter a perdu Brozovic... "C'est difficile de les juger, ce sont des décisions personnelles qu'il faut prendre et beaucoup de choses entrent en compte dans cette décision. Durant ma carrière j'ai affronté ce genre de situations, j'aurai pu quitter l'Inter pour d'autres clubs importants, mais dans mon cas la décision penchait toujours vers ce club vu comment je me sentais, vues ses valeurs et les personnes qui le composaient et c'était plus important que n'importe quel salaire. Ca ne signifie pas qu'aller en Arabie Saoudite soit une mauvaise décision. Ce sont des choix personnels". Une de ces décisions a été de ne pas venir à Madrid. Pourquoi avez-vous décidé de ne pas venir au Real Madrid ? "Eh bien, je ne suis pas allé à Madrid pour les raisons que j'ai mentionné précédemment. L'Inter traversait une période difficile et je ne pouvais pas partir sans laisser ma marque. Je voulais être un acteur clé, et dès le premier jour en Italie, je me suis identifié aux valeurs du club. Cela a toujours prévalu, c'est pourquoi j'ai passé toute ma carrière à l'Inter." Il y a 20 ans, il y a eu un derby entre l'Inter et le Milan en demi-finale de la Ligue des champions, et tu étais joueur. L'année dernière, la même situation s'est produite, mais vous étiezen tribune. Quelle est la différence de sensations et de nervosité entre vivre un derby sur le terrain et dans les tribunes ? "Quand tu es sur le terrain, tu cours et tu essaies de changer toi-même le résultat. Être en tribune est très difficile. Jouer le derby est une expérience très particulière, une situation unique, un match que tout le monde veut jouer, et il est très important pour toute la ville. Quand nous avons perdu en 2003, c'était très dur car nous avions fait match nul dans les deux rencontres et avons été éliminés en raison de la règle des buts à l'extérieur. L'année dernière a été différente. L'Inter a remporté les deux matchs, et je pense qu'elle a mérité d'aller en finale de la Ligue des champions." Pensez-vous que Lautaro puisse suivre tes traces en termes de matchs, de saisons, de records... ? Souhaitez-vous garder Lautaro longtemps ? "C'est moi qui suis allé prendre Lautaro, et le fait qu'il soit aujourd'hui le capitaine de l'Inter et qu'il se sente identifié avec l'institution me fait très plaisir. Lautaro incarne tout ce que représente l'Inter. C'est un attaquant qui s'améliore chaque année. J'espère que son avenir lui réserve des choses encore plus importantes." En Premier League, les buts et les attaquants ont beaucoup de valeur... Il doit être difficile de retenir un joueur de ce calibre... "Je suis d'avis que lorsque vous êtes dans un grand club comme l'Inter, il est normal d'avoir de grands joueurs, et il est normal que d'autres grands clubs souhaitent les recruter. Ensuite, il y a de nombreux facteurs qui déterminent si un joueur reste ou part." Même si ce n'était pas l'un de vos joueurs, que pensaient les supporters de la signature de Lukaku à l'AS Rome ? "Nous voulions que Lukaku reste avec nous. Puis, il s'est passé des choses que nous n'attendions pas, et nous avons décidé de mettre fin à la transaction. Lukaku est maintenant un joueur d'un autre club, il fait partie de notre passé, et en tant que club, nous devons regarder vers l'avenir." Quels souvenirs avez-vous de la finale de la Ligue des champions en 2010 au Bernabéu ? "C'était incroyable. Je devais remporter la Ligue des champions dans un stade historique. Ce jour-là, j'ai célébré mon 700e match avec l'Inter. Cela faisait 45 ans que l'Inter n'avait pas atteint une finale de la Ligue des champions, et j'ai eu l'honneur d'être le capitaine et de soulever le trophée. Ramener la Ligue des champions dans la ville de Milan a été quelque chose d'unique. Le Santiago Bernabéu sera toujours un stade emblématique pour moi. Sans aucun doute, c'est l'un des meilleurs stades du monde." Comment voyez-vous cette Serie A ? "Je la vois très équilibrée parce que je vois que toutes les équipes qui ambitionnent de remporter le titre se sont bien renforcées, et je vois une Serie A très compétitive." En décembre, l'Argentine a remporté la Coupe du Monde au Qatar. Comment vous êtes vous senti à ce moment-là ? "Je me suis senti partie prenante de l'équipe. J'ai eu la chance de passer toute la Coupe du Monde avec ma famille, et la vérité est que c'était une émotion unique. Quand nous avons vu Messi soulever le trophée, c'était libérateur. L'Argentine était en attente de la Coupe du Monde depuis longtemps. En bref, j'étais très fier que ces garçons nous aient enfin rendus champions du monde." Qui est, selon vous, le favori de cette Ligue des champions ? "Aujourd'hui, Manchester City a un effectif très complet. Bien sûr, en tant que tenants du titre, ils vont essayer à nouveau. Mais je n'exclus jamais les grandes équipes espagnoles car elles connaissent très bien ces compétitions et ont la tradition de la Ligue des champions." Quelles sont les chances de l'Inter, selon vous ? "Ce qui nous intéresse le plus, c'est que l'Inter ait gagné du respect et reste compétitive, et j'espère que cela nous mènera aussi loin que possible. Répéter une finale est toujours compliqué, mais il faut essayer." La Ligue des champions approche. L'Inter est dans un groupe composé de la Real Sociedad, de Benfica et de Salzbourg. Considérez-vous la Real Sociedad comme un rival pour la première place ? "La Real Sociedad est un adversaire que nous devons beaucoup respecter. Le football espagnol est très compétitif, et affronter des équipes espagnoles est très difficile, je pense. Je crois que le groupe que nous allons affronter est très équilibré." Avez-vous déjà joué contre la Real Sociedad, et quels souvenirs en avez-vous ? "D'après ce que je vois et sais du football espagnol, il semble que la Real Sociedad soit une équipe très difficile à battre. J'ai beaucoup de respect pour le football espagnol." Internazionale.fr ~ © Samus
  13. La chance sourit à l'Inter lors du tirage au sort des groupes de la Ligue des Champions 2023-2024 organisé au Grimaldi Forum de Monaco... et aussi grâce au fait qu'elle dans le deuxième pot, l'équipe de Simone Inzaghi se retrouve dans un groupe dans lequel elle doit être considérée comme favorite. Le groupe est composé du Benfica qui était dans le pot 1 et qui l'année dernière a été éliminé par les Nerazzurri en quarts de finale, de Salzbourg et de la Real Sociedad. Notre omniprésent vice-président, Javier Zanetti, répond aux questions qui suivent. Quel est votre sentiment par rapport à l’année dernière ? "C'est une compétition différente. Une Ligue des Champions se termine, une autre commence. C'est certainement un groupe équilibré. Nous connaissons bien les adversaires que nous allons affronter. Ce n'est jamais facile car en Ligue des Champions tous les matches sont compliqués mais l'important c'est que L'Inter va bien et prépare tous les matches du mieux possible." L'Inter est composée de plusieurs joueurs ayant disputé la finale. Cet aspect est-il important ? "Bien sûr, c'est important. Pour l'estime de soi, pour la mentalité... Les gars qui ont atteint la finale l'année dernière peuvent aider les nouveaux. Nous allons essayer d'être les protagonistes de cette Ligue des Champions, c'est toujours difficile de se répéter mais l'envie ne manque pas et nous y travaillerons avec beaucoup d'humilité comme toujours." Vous ne pensez plus à l'accession en huitièmes de finale mais à la première place. Est-ce un saut de qualité ? "Oui. Certes, atteindre la finale l'année dernière a beaucoup aidé à la croissance de l'équipe. Même si nous avons changé de nombreux joueurs, la base de l'année dernière existe et cela aide. Nous ne devons pas nous reposer sur nos lauriers mais essayer d'être protagonistes et de viser le plus loin possible. C'est compliqué mais, comme je l'ai dit, l'envie est là et on pense encore à cette finale perdue." L'Inter a-t-elle une personnalité différente après la finale ? "Vous avez raison. Dans ces deux matchs joués jusqu'à présent, nous avons vu une équipe très calme, sûre d'elle et de ce qu'elle peut donner. Aller en finale nous a fait grandir en caractère et en mentalité. Je pense que ces gars réfléchissent sur le chemin qu'ils vont devoir parcourir et ils sont à la hauteur. Je les vois entraîner, je vois l'envie qu'ils ont. C'est difficile de se répéter mais nous jouerons contre tout le monde parce que tout le monde a vu que l'Inter est une équipe forte et qui doit être respectée." Traduction alex_j via FCInterNews.
  14. Javier Zanetti fête ses 50 ans et accorde une longue interview au journal argentin La Nacion. Votre relation avec la langue chinoise. "C'est très difficile, c'est une culture complètement différente mais je peux dire quelques mots. La première fois que je suis allé en Chine, j'ai été surpris et à chaque fois que j'y retourne, je suis toujours excité. Les vols en provenance d'Europe arrivent très tôt, vers 5h30 du matin. Il y a 350 personnes qui m'attendent à l'aéroport, avec des photos, des drapeaux, des fleurs, et je ne joue plus, j'ai arrêté de jouer il y a presque 10 ans ! Et avec respect, sans cohue. Incroyable. Un jour, j'étais dans un hôtel et le téléphone dans ma chambre sonne. Ils me parlent en italien, ils me disent que je suis dans une pièce comme celle-ci et m'invite à entrer. Ça m'a semblé étrange, j'y suis allé, je suis entré... Ils avaient installé mon musée dans la pièce en question ! Il y avait des t-shirts, des affiches, des poupées, des drapeaux et ils voulaient faire des photos, des autographes… J'ai fini par leur demander les photos qu'ils avaient parce que je ne les avais jamais vues !" Une anecdote avec Mourinho ? "Il m'a appelé avant tout le monde quand il a choisi l'Inter. J'étais à Rome, également en escale pour Buenos Aires, et mon portable a sonné, c'était un appel d'un numéro portugais. J'ai répondu. 'Salut Javier, je suis José Mourinho. Je viens de signer avec l'Inter et je suis ton nouvel entraîneur, tu seras mon capitaine. J'ai hâte de commencer à travailler avec toi et je suis désolé pour mon italien.' Il parlait parfaitement l'italien et ne s'était pas encore envolé vers l'Italie. C'est là que j'ai réalisé à quel point il était préparé et impliqué, ça m'a frappé. 'C'est du sérieux', pensai-je alors." Vous avez trois restaurants à Milan : El Botinero, El Gaucho et El Patio del Gaucho. Est-il vrai que vous n'engagez que des Argentins ? "Ils sont tous argentins, tous sauf un infiltré brésilien que nous avons transformé en Argentin. Nous avons environ 25 salariés et j'aime l'idée de donner un coup de main aux Argentins qui cherchent du travail en Europe." Quand avez-vous eu une embrouille pour la dernière fois ? "J'étais très en colère à propos d'un fait impliquant la Juventus lorsque nous nous sommes qualifiés pour la dernière finale de la Coppa Italia il y a quelques mois. L'attitude des gens qui travaillent pour ce club m'a beaucoup agacé." Et la dernière fois que vous avez pleuré ? "Pour la joie au Qatar, après la finale. Tout le monde dans ma famille a pleuré en se serrant dans les bras." Vous êtes vice-président de l'Inter, adjoint de la commission des compétitions de la FIFA, du conseil de l'UEFA et représentant de la Conmebol à la FIFA. Existe-t-il une carrière d'entraîneur autre que l'Inter ? "Pour l'instant, les deux carrières, les fonctions multiples, peuvent aller en parallèle. Tant que les institutions me donnent de l'espace et m'écoutent pour que je puisse apporter le point de vue de l'ancien footballeur, je me sentirai très à l'aise. Je vois une réelle volonté de nous donner de l'espace. Quelque chose comme: 'Hé, écoutons ceux qui ont été footballeurs'. Sans avoir de nom de famille, attention, il faut toujours se préparer. Dans le management du football, comme dans une entreprise, vous il faut former des équipes. Et il faut avoir un leader, fixer des objectifs et des éléments qui assument leur rôle." Aimeriez-vous être président de l'Independiente, de l'AFA ou de la FIFA ? "De la FIFA, de la FIFA… J'aime plus le terrain international. La FIFA n'a jamais eu de président argentin, n'est-ce pas? Cela ne veut pas dire que je n'aimerais pas être président de l'AFA, ce serait aussi une bonne expérience mais J'ai déjà développé une vie très internationale. De la façon dont ma carrière a été et de toutes les relations que j'ai établies, la FIFA est un objectif et cela semblerait la poursuite la plus naturelle de mon profil." VAR oui ou VAR non ? "J'aime la technologie mais je pense qu'il y a quand même des choses à régler. Il faut ajouter de la transparence, je pense qu'il faut mieux l'expliquer aux fans. Et que les audios soient écoutés car cela clarifie les doutes. Sinon il y aura toujours polémique." Un chiffre : 1114. "Incroyable, incroyable... 1114 matches officiels. Si vous regardez le top 10 des classements, j'apparais, ufff, dans le top 10 avec le plus de matches dans l'histoire du football mondial. Je n'arrive pas à croire ! Qu'ai-je fait ? La culture du travail, la passion et le fait d'avoir traversé tant de défaites. Les défaites sont ce qui vous améliore et vous font grandir. Celles qui vous mettent à l'épreuve pour voir ce que vous voulez faire." Vous avez remporté 17 titres en tant que footballeur et un autre en tant qu'étudiant : vous avez étudié le management du sport à Bocconi à Milan. "Quand j'ai arrêté de jouer, j'ai tout de suite compris que je devais me préparer, m'entraîner, étudier. Avec l'humilité de comprendre qu'une étape était terminée et qu'une autre commençait... continuer à étudier parce que le monde change tous les jours. Je ne veux pas être identifié uniquement comme un leader dans le football, dans le domaine exclusivement sportif. Je veux être utile pour le marketing, la finance, les relations publiques. Le club grandit dans d'autres domaines aussi, pour que le football soit durable, il y a d'autres domaines qui doivent se développer même dans un club." Quel match rejoueriez-vous ? "Deux. Un pour en profiter à nouveau et un autre pour changer le destin. Je rejouerais en finale de la Ligue des champions, en 2010, pour revivre cette nuit magique au Bernabéu. Et je donnerais tout pour rejouer et gagner le match contre la Suède, celui qu'il nous a mis dehors de la Coupe du monde au Japon." Avez-vous essayé de faire venir Bielsa à l'Inter ? "J'ai parlé à Marcelo pour voir s'il y avait une possibilité mais nous n'étions pas encore tout à fait clairs sur le type d'entraîneur que nous voulions. Il voulait savoir si nous pouvions le présenter comme une option et à ce moment-là j'ai dit oui." Vous avez une statue au Meazza, le numéro 4 est retiré et une tribune Talleres de Escalada porte votre nom. Quelle est la chose la plus excitante ? "Le respect des gens partout dans le monde; partout où je vais, des portes s'ouvrent pour moi, je ressens cette admiration. Et c'est au-dessus de tout trophée, de tout. Même les fans de Milan ne m'ont pas insulté... Ça m'arrive maintenant, je viens à travers les supporters de Milan et de la Juventus et ils me disent : 'Capitaine ici, Capitaine là-bas, je suis fan de Milan mais j'aurais aimé que tu joues pour mon club...' Et regarde, ils sont courageux là-bas." Traduction alex_j la Nacion via FCInterNews
  15. Demain, Javier Zanetti aura 50 ans. Il les passera avec sa famille lors d’une fête surprise organisée par sa femme Paula. Comme il le raconte à la Gazzetta dello Sport , il en a passé 28 en Italie, "à l'Inter, et c'est un privilège. Le club , l'entraîneur, la partie sportive, chacun sait qu'il est là quand il le faut. Toujours en pensant à la croissance du club. J’étudie à nouveau et je suis inscrit au cursus Management et Entrepreneuriat à Bocconi. Toujours avec l'idée d'être utile au club." La finale perdue à Istanbul. "Je m'attendais à une finale comme celle-là, équilibrée et jouée avec courage. Des opportunités exploitées et un peu de chance, c'est ce qui manquait mais nous sommes fiers de nous." Inzaghi. "Sa principale caractéristique est sa tranquillité, Gigi Simoni avait ce calme qu'ont les forts." Lautaro. "Il a pris la bonne mesure, avec humilité. Il doit confirmer son leadership avec encore plus de responsabilités." Lukaku. "Pour ce que l'Inter a fait pour lui, on s'attendait à un autre comportement ; en tant que professionnel et homme. Il a le droit d'aller où il veut, Dieu nous en préserve, il fallait juste qu'il le dise à temps. Personne, cependant, est plus grand que le club et lors de la constitution d'une équipe, vous devez toujours considérer qui vous mettez dans le vestiaire." Parmi les images du passé, il choisit la présentation avec Rambert, la demi-finale perdue en Ligue des champions en 2003, le match d'adieu en 2014 contre la Lazio et la finale des champions remportée en 2010. Outre, bien sûr, sa famille. Le plus fort ? "Zidane (mais dans l'interview on lui a demandé de ne pas citer Messi ou Ronaldo, ndlr)." Le plus sous-estimé ou le plus incompris ? "Recoba n'a pas exprimé sa grandeur. Il n’était pas au bon moment." Les plus sympas ? "Maïcon et West." L’Inter une famille. "Ceux qui passent par ici repensent toujours à l'Inter avec joie. Peut-être qu'ils ont envie de revenir... La direction peut changer mais il ne faut pas perdre notre identité et je me bats pour ça. Un sens de la famille que j'ai senti dès le premier jour Une famille résiliente dans les difficultés, qui se reconstitue." Une énième déclaration d'amour pour le club. "Je me vois actif, toujours prêt à tout donner pour l'Inter. Parce que l'Inter sera toujours là pour moi. Même si je n'ai pas de rôle ou que je reste loin du club, je ne peux pas enlever ces couleurs." Traduction alex_j via FCInterNews.
  16. A travers sa vidéo diffusée sur son canal YouTube, ce mardi, Luca Mastrangelo s’est offert le renégat slovaque "Bravo, bravo bravo, tu as bien fait le faux jeton. Tu te retrouves bien avec l’Argentin simulateur de maladie et le Belge psychopathe.Toi, je vais te surnommer à présent, le Slovaque "Finto Buono" qu’on peut traduire par un faux-jeton. Lorsque l’on ne savait pas ce qu’il se passait, comme dans l’histoire récente de Lukaku, lorsque l’on ne sait pas où vous alliez apparaitre, lors vous faisiez usage de termes cryptique, de mystères: Vous avez toujours fait croire aux Tifosi des choses au point que le Tifoso se disait "Mais le pauvre"…. Vous avez joué sur le fait que le peuple avait de l’affection pour vous, qu'il vous voulait du bien, et en faisant usage de phrases mystérieuses pour le Tifoso, ceux-ci se disaient "Mais non le pauvre , il doit forcément se passer quelque chose dont je ne suis pas au courant, il ne peut pas être aussi mauvais, non." Non, Faux-jeton, non le Slovaque Faux-Jeton, tu te retrouves bien avec le Belge Psychopathe et l’Argentin simulateur de maladie, vous être fameux, 3 Fameuses merdes et même si je ne vous souhaiterai jamais, car je ne suis pas comme ça, du mal sur votre intégrité physique, mais j’espère qu’au niveau sportif vous ferez vraiment de la vraie merde, à m’en saigner les deux mains. Skriniar, vu comment ça s’est passé, je n’ai plus envie d’argumenter, mais aujourd’hui j’ai pris l’air, et je vous montrerai par après où je suis allé et ce que je me suis acheté. regardez bien la vidéo jusqu’au bout. Mais j'ai regardé aussi mon portable et j’ai vu les déclarations de Skriniar, ses déclarations, pas celle d’un autre, depuis Paris: "Nous avons commencé à parler avec le PSG depuis l’été dernier" et c’est vrai et ici, je n’ai rien pour m’énerver , il y avait une négociation en cours l’été dernier, il aurait aussi pu être vendu. Le fait que tu as parlé avec le PSG l’année dernière n’est pas un problème, ce n’est pas quelque chose qui peut m’énerver. "Finalement je suis à Paris et je suis vraiment très heureux" Et là aussi c’est une bonne phrase, qu’est-ce que tu veux dire, tu es sur place, tu ne vas pas dire : "Je suis dans une équipe de merde, je ne suis pas heureux." Si tu es heureux, bonne affaire pour toi "Depuis les premiers contacts, je n’ai jamais eu de doute sur mes intentions" et là, les choses changent, "Depuis les premiers contacts, je n’ai jamais eu de doutes sur mes intentions, je voulais venir à Paris, je pensais que c’était fantastique.." Et là tu es vraiment un batard, un conard, tu es vraiment un connard car TOI, tu nous a fais croire à nous quelque chose que tu avais mis en avant, mais mis en avant depuis des mois et jusqu’à fin janvier, jusqu’en février: Que tu étais vraiment indécis que tu n’avais encore pris aucune décision alors qu’ici tu dis "Depuis les premiers contacts, je n’avais aucun doute sur mes intentions" Tu es quelqu’un de FAUX, tu es un faux-jeton, qui est bien avec l’Argentin simulateur de maladie et le Belge Psychopathe, tu es bien avec eux. "Depuis les premiers contacts, je n’avais pas de doute" avec des Tifosi qui te mettaient des bannières dans la Curva "Resta Con Noi" - "Reste avec Nous". Reste avec nous car ils pensaient, tous croyaient que toi moi-même tu étais indécis, mais en vrai, ça faisait longtemps que tu avais décidé, mais la chose la plus scandaleuse et la plus honteuse est que Toi, tu avais entretemps accepté que le fait que le Club tente de te convaincre par n’importe quel moyen , alors que tu avais déjà accepté depuis le départ, mais tu as continué à faire semblant car tu n’avais pas les couilles de le dire aux Tifosi, aux dirigeants aux équipiers que tu avais déjà pris ta décision, tu n’avais pas les couilles. Que s’est-il passé ensuite ? Le Club t’a offert le brassard de Capitaine pour te montrer à quel point tu comptais pour cette équipe , à quel point tu étais important et TOI, Faux-Jeton, Sous-Merde, tu l’as accepté et tu te l’es mis au bras . Et là, tu as fait croire encore plus au peuple qui t’aime que tu allais devenir le nouveau capitaine et que forcément Nan…Nan.... Si c’est comme tu le dis Toi sous-merde de Slovaque , si comme tu le dis toi-même , que ta décision était prise depuis le début , lorsque l’on a offert le brassard de Capitaine, toi tu aurais du dire NON, non merci, Les gars, je dois vous dire que j’ai déjà pris ma décision : Dans trois, quatre mois, je change d’équipe Et là, le brassard de Capitaine aurait été certainement donné à quelqu’un d’autre, mais tu n’as pas eu les couilles de dire "Non, les gars le brassard de Capitaine je ne la prends pas." Car le Brassard de Capitaine de l’Inter, même si tu pourrais dire l’année dernière, "je n’étais pas le seul à l’avoir porté, car tout le monde l’a vraiment porté", le Brassard de Capitaine n’ets pas une tenue qui chaque dimanche doit passer d’un bras à l’autre , ce n’est pas qu’un bout de tissus, ce brassard qui a été porté par Facchetti, Bergomi, Zanetti, ce n’est pas ça Lorsque l’on t’a donc dit : Tu veux devenir notre Capitaine ? En pensant que tu n’avais pas encore pris ta décision, alors que tu l’avais déjà fait, comme tu l’as dit à présent, Tu aurais dû avoir les couilles de dire : Les gars, Stoppez tout, je dois vous dire quelque chose et tu aurais dû vider ton sac, mais à la place , tu as continué à aller de l’avant: Bravo sous-merde. Je vais d’ailleurs vous présenter ce que j’ai acheté, car grâce à des personnes comme vous qui sont à vomir comme l'Argentin simulateur de maladie, le Belge Psychopathe et le Slovaque faux-jeton, grâce à des personnes comme vous, j’ai décidé de faire quelque chose , une chose que chaque année, je me dis c’est bon , ce sera pour l’an prochain mais je me fais baiser toujours ensuite. Cette année grâce à l’Argentin simulateur de maladie, le Belge Psychopathe, et le slovaque faux-jeton, je suis allé à l’Inter Store et je suis allé acheter le second maillot de l’Inter qui est très beau, très cher et je me rends bien compte qu’il y a des personnes qui se disent qu’elles ne savent pas se le permettre car dépenser autant pour un maillot n’est pas donné à tout le monde, je vous montre le prix de 94.99€ pour l’achat . Je l’ai acheté sans nom, car c’est terminé de me faire avoir comme avec l’Argentin simulateur de maladie, le belge psychopathe et ce faux-jeton de slovaque, je me le disais toujours, mais chaque année, je ne le faisais jamais. De plus, en faisant mettre le nom, le numéro et le patch que l’on met au bras, les 94.99€ devenaient 120€ comme on le lit partout et ça aurait pu encore grimper et ce n’est pas comme si c’était donné . Je me suis donc offert le second maillot de l’Inter qui est très beau et je me suis aussi acheté ce maillot pour le même prix, même je n’ai plus l’étiquette. Celui-ci est aussi très beau, même si personne ne comprend pourquoi le logo est jaune et le sponsor est blanc car ils auraient pu être tous les deux blancs ou tous les deux jaunes, mais celui-ci aussi n’a pas de nom derrière Je veux que le nom des deux derniers joueurs que j’ai pris restent tel quel, et ce sont Darmian et Dimarco, deux joueurs que j’ai dans le cœur et qui, je l’espère, ne me trahiront jamais, mais je pense que si demain, ils viennetà le faire, cela se ferait en toute sincérité, sans vouloir nous enfler sans nous la faire à l’envers, sans rien de rien. Je tiens à vous montrer le ticket de caisse aussi, je l’ai encore car il y en a toujours qui sont là pour dire, "Mais Luca ces vêtements te sont offerts par l’Inter , elle va me régaler deux marrons allez…" Voilà, pour deux maillots, j’ai dépensé 189.90€ vous voyez mais grâce à des personnes comme Lukaku , Skriniar et Icardi, je n’achèterais plus jamais de maillot avec le nom des joueurs dans le dos , je ne veux plus trop m’attacher aux joueurs et c’est juste que vous ayez tous vos idoles, c’est jusque vous aimiez bien un joueur plus qu’un autre, vous connaissez aussi mes petits protégés , j’aime énormément Darmian, j’aime énormément Dimarco, Barella et Bastoni n’en parlons pas, ce sont les joueurs pour qui j’ai le plus d’affection. Vraiment à présent, dans le football d’aujourd’hui, tu as trop de coup de poignard dans le dos, trop et les paroles actuelles du faux-jeton de slovaque sont vraiment pitoyables, très pitoyables, il ne méritait ni le maillot de l’Inter, ni le brassard de l’Inter et encore moins la banderole qu’on fait les Tifosi : Tu ne les méritaient vraiment pas, faux-jeton à la face d’ange, faux-jeton, tu es très bien avec les deux autres. Ciao," Touché, Coulé! ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  17. Si certains critiquent la Direction actuelle, voici le Onze de base que nous présentions, il y a pile dix ans! On envoyait du rêve.... ®Antony Gilles - Internazionale.fr
  18. Notre légendaire Javier Zanetti a parlé de Lautaro Martinez et Facundo Colidio sur ESPN Argentina. Voici ses mots. A propos de Lautaro Martinez. "Aujourd'hui, Lauti est une référence importante pour nous. C'est très difficile pour lui de partir, il sera très probablement le nouveau capitaine. Pendant la coupe du monde au Qatar, je lui ai parlé et nous avons une excellente relation. Il est positif, comme les autres, ils ont mis de côté l'intérêt personnel car le but était de devenir champions du monde. Et il l'a montré. Contre les Pays-Bas, il devait tirer un penalty décisif. Je lui ai dit que c'était très important parce que c'est la vérité, c'était important. Et quand il est revenu, il était tout fou." "Quand nous avons acheté Lautaro, nous n'avons pas considéré le court terme; plutôt le moyen terme, quatre ou cinq ans. C'est arrivé étant si jeune. Au début tu t'enthousiasmes mais il arrive qu'il y ait des hauts et des bas. Et à un certain moment tu trouves un équilibre. C'est également vrai pour la carrière de Lautaro aussi. L'Inter recherche des joueurs avec beaucoup de personnalité et la générosité, surtout pendant les moments difficiles. Les footballeurs argentins, on les aime pour ça, parce que nous nous adaptons à tout type de circonstance." La situation de Facundo Colidio. "Colidio a montré un grand développement à l'Inter. Il a joué avec la Primavera puis a été prêté en Belgique. A Tigre, il avait plus l'impression qu'il pouvait devenir un joueur de haut niveau, et c'est ce qu'il a prouvé. C'est pourquoi certains clubs veulent le signer. Peut-être River Plate. Nous avions un accord avec Boca Juniors mais le joueur voulait attendre et réfléchir à ses options. Maintenant, nous sommes en pourparlers avec River Plate." Concernant le montant de transfert, on parle de 5 millions d'euros. Traduction alex_j via FCInterNews et SempreInter.
  19. A travers un communiqué sur son site officiel, l'Inter acte le départ de Samir Handanovic "Une référence absolue, un leader dans le vestiaire, un capitaine courageux. Samir Handanovic a été tout cela, en 11 saisons où il a défendu le but des Nerazzurri. Sa signature avec l'Inter remonte au 9 juillet 2012, démontrant dès le premier moment technique exceptionnel combiné à un grand charisme qui a fait de lui l'un des meilleurs gardiens de l'histoire de l'Inter. Preuve en sont les 455 apparitions assaisonnées avec 166 Clean Sheets." "Grâce à ces chiffres extraordinaires, Samir a rejoint Ivan Ramiro Cordoba (455) en 10e place dans le classement des joueurs avec le plus d'apparitions pour l'Inter dans toutes les compétitions, entrant ainsi dans le top dix de la liste des apparitions de tous les temps dans l'histoire des Nerazzurri. Une réalisation historique et prestigieuse pour le gardien slovène qui est également le deuxième étranger avec plus d'apparitions dans l'histoire de la Serie A, devant lui seul Javier Zanetti (615 matchs, tous pour l'Inter)." "Tout aussi prestigieux est le record de tirs au but arrêtés en championnat : il y en a 32 au total. Personne comme lui dans l'histoire de la Serie A. Une carrière extraordinaire dans laquelle, en plus du Scudetto, il peut se targuer de 2 Coupes d'Italie et 2 Super Coupes d'Italie." "Salutations, remerciements et affection sincère de tous les fans et de toute la famille Nerazzurri vont à Handanovic: Merci Samir !" Traduction: Twitter GRAZIE CAPITANO! ®Antony Gilles - Internazionale.fr
  20. L'ancien milieu de terrain légendaire des Nerazzurri est décédé à l'âge de 88 ans. Le FC Internazionale Milano, son président Steven Zhang, le vice-président Javier Zanetti, les PDG Alessandro Antonello et Giuseppe Marotta, l'entraîneur Simone Inzaghi et son staff, les joueurs et tout le monde de l'Inter se joignent au deuil de la perte de Luis Suarez et, en sa mémoire, embrassent les membres de sa famille. Des milliers de joueurs ont porté le maillot de l'Inter. Pour des centaines de matches, pour seulement quelques minutes. Tous ont une place dans la mémoire des supporters, ils ont en quelque sorte marqué un pan de l'histoire du Club. 115 ans d'histoire c'est beaucoup : il y a des matchs, des victoires, des défaites, des soirées légendaires, des nuits difficiles. Les histoires et les personnages, les intrigues. Ensuite, il y a les étoiles, celles qui ont si brillamment illuminé le chemin des Nerazzurri. Elles sont là, pour toujours : scintillantes comme elles l'ont été, en tant que joueurs et personnalités. Unique, inimitable, inoubliable. Luis Suárez Miramontes. Impossible de faire des classements, difficile même de l'enfermer dans une description. S'il avait joué de nos jours, les réseaux sociaux seraient encombrés de vidéos de ses pièces sportives. On imagine Tik Tok avec ses lancements millimétrés, les moulinets avec ses dribbles. Dans un monde qui attribue des étiquettes et une exaltation facile, Luisito, depuis qu'il était un garçon, a été le "professeur". Parce qu'il portait un dix, jouait la tête haute, utilisait son pied droit et gauche. Il lisait le jeu, il avait du rythme et un style unique. Dès ses premières sorties avec le Deportivo (il est né à La Corogne le 2 mai 1935) il avait enchanté. Fils de boucher, frère de deux footballeurs. À 18 ans, il entre pour la première fois sur le terrain avec l'équipe de sa ville natale, face à Barcelone. Les blaugrana ont gagné 6-1, mais les yeux et les commentaires étaient pour lui. Le sérieux dans la vie égal à celui sur le terrain, sa démarche allait de pair avec une vision unique et totale du jeu. Il était l'architecte du jeu : une définition parfaite, signée par l'un des plus grands de tous les temps, Alfredo Di Stefano. Lorsque le parcours de Luisito s'est lié à celui d'Helenio Herrera, la route du succès a commencé à s'éclaircir. Victoires et triomphes avec Barcelone, l'acclamation au niveau européen avec la conquête du Ballon d'Or en 1960; le premier, et jusqu'à présent le seul, Espagnol à le remporter. Ainsi que le premier Espagnol à servir dans le championnat italien : il arrive à l'Inter en 1961, à la demande d'Angelo Moratti. Une négociation si importante qu'avec le produit de son transfert, Barcelone a achevé les travaux de construction du Camp Nou. Herrera et Suarez, pour amener l'Inter au sommet de l'Italie, de l'Europe et du monde. Les journaux, 20 ans avant de coller le surnom à Diego Armando Maradona, l'ont rebaptisé "Pibe de Oro". Herrera, le jour de sa présentation aux Nerazzurri, l'a qualifié ainsi : "Il a la vitesse de Bicicli, le dribble de Corso, la force de Lindskog, le dribble de Sivori, le tir d'Altafini". Bref, le footballeur parfait : meneur de jeu et milieu offensif, passeur et finisseur. Il a littéralement construit les triomphes des Nerazzurri : lui, le 10 de la Grande Inter, avec ses coéquipiers, a formé cette comptine unique et légendaire de noms qui a remporté 3 Scudetti, 2 Coupes des Champions, 2 Coupes Intercontinentales. Il y a un schéma classique qui remplirait vraiment aujourd'hui tous les babillards de passionnés, d'experts, d'érudits : Suarez a dribblé, puis presque légèrement a lancé le ballon arrivait toujours, 40 mètres devant, avant que tout le monde puisse comprendre. Et ce ballon était là, il s'est contenté justement de la course de son partenaire, la plupart du temps Giacinto Facchetti. L'amitié avec Armando Picchi, le lien avec tout le monde Nerazzurri, le désir de transmettre son idée du football également dans le rôle d'entraîneur et de commissaire technique. Au service de l'Inter, il a siégé trois fois sur le banc des Nerazzurri, puis dans le rôle d'observateur et d'entraîneur il a signé, entre autres, l'arrivée de Ronaldo. Dire au revoir à Luisito nous laisse dans une profonde mélancolie : la nostalgie de son football parfait et inimitable, qui a d'ailleurs inspiré des générations, rejoint le souvenir d'un footballeur unique et d'un grand, grand joueur de l'Inter. Il nous manquera, car comme le prêchait Helenio Herrera, "Si vous ne savez pas quoi faire, donnez le ballon à Suarez". Traduction alex_j via le site officiel.
  21. En effet, un cercle de "supporters de haut niveau" s'est engagé à contribuer à créer une dynamique pour accélérer les progrès vers la réalisation des objectifs du développement durable. Et ceux-ci viennet de tous les horizons avec un but qui les unit, avec l'engagement sincère d'un rôle à jouer, en se consacrant aux autres grâce à leurs compétences et parmi ceux-ci, on retrouve un certain Javier Zanetti "C'est un honneur de faire partie de ce cercle des supporters et de promouvoir les objectifs de développement durable aux côtés de tant de personnalités du monde de la culture, du sport et du spectacle. Nous sommes tous appelés à agir de manière responsable, en étant un exemple pour les autres par le biais d'actions concrètes" Javier Zanetti, Vice-Président de l'Inter, Ambassadeur à Inter-Campus et Parrain d'Internazionale.fr, témoignera de la manière dont le sport et le football peuvent être de puissants promoteurs du développement et du dialogue, en protégeant les droits de l'homme et les droits de l'enfant: "L'année 2023 marque une étape importante dans la réalisation du développement durable. La route est longue et la COVID-19 a créé de grands défis, mais ensemble, rien n'est impossible. es 17 objectifs de développement durable adoptés par les dirigeants du monde en 2015 ont fourni une feuille de route pour un avenir meilleur pour les personnes et la planète, mais à l'approche de la mi-parcours avant 2030, le monde n'est pas sur la bonne voie pour les atteindre. La mi-parcours est le moment idéal pour faire pression en faveur d'une ambition renouvelée et d'une action mondiale en faveur des SGD." Avec le soutien du Cercle des supporters, comme la légende du football Javier Zanetti, nous pouvons galvaniser le public mondial non seulement pour qu'il prenne des mesures individuelles en faveur des SGD, mais aussi pour faire comprendre aux décideurs qu'il est urgent d'agir maintenant." ®Antony Gilles - Internazionale.fr
  22. Hier, a été inauguré à Piotello le Murales à l’effigie de Javier Zanetti où se trouvaient également tant de Tifosi de l’Inter Et l’amour qui lie Javier Zanetti à l’Inter n’a pas bougé d’un iota, qu’il s’agisse du Club comme de ce qu’il représente, c’est toujours aussi spéciale, même si le temps passe. Et une nouvelle démonstration de cet amour s’est produite hier, lorsque sur le Murales réalisé par la Curva Nord, l’ancien Capitaine Nerazzurro, et Parrain d’Internazionale.fr a une nouvelle fois enthousiasmé toutes les générations via le mot laissé avec sa signature Avez-vous vraiment besoin d'une traduction ? Une Histoire d'Amour qui ne se terminera jamais! ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  23. Javier Zanetti n’est pas un joueur ordinaire, c’est un « Clubman », là où certains changent de clubs tous les 2 ou 3 ans; lui joue actuellement sa 11ème saison sous le maillot de l’Internazionale Milano. Javier est un joueur extrêmement précieux de par ses interventions minutieuses et ses longues chevauchées qui lui ont d’ailleurs values d’être surnommé « Il Tractore » par les supporters des Nerazzurri. « Il Capitano », son autre surnom, est et restera à jamais l’une des légendes de l’Internazionale Milano. Javier Aldemar Zanetti naquit le 10 août 1973 à Buenos Aires. Il passa une enfance relativement tranquille dans les docks du district sud de la capitale Argentine. Il commença dès son jeune âge à jouer au Football sur les terrains de son quartier tout en allant à l’école et en aidant son maçon de père. Il débuta sa carrière professionnelle de footballeur à l’âge de 19 ans à l’AC Talleres, club de division 2 Argentine. Il ne fit aucune apparition avec l’équipe première au cours de la saison 1992/93. Mais cette année n’est pas ratée pour autant, loin de là même puisqu’il rencontre Paula, une jeune photographe amatrice, qui deviendra, par après, sa femme et qui lui donnera plus tard une fille, Sol. Pendant l’été 1993, il fut transféré dans un club voisin, le CA Banfield. Ce club du Sud de Buenos Aires évolue en 1ère division Argentine. Il joua son premier match de championnat pour Banfield face à Frente a River (0-0) le 12 septembre. En très peu de temps, Il progressa d’une façon fulgurante et devint un titulaire indiscutable. Il fut l’une des révélations du championnat Argentin 93/94. Il disputa lors cette saison 37 matches et inscrivit également son premier but le 29 septembre 1993 face à l’équipe de Newell’s. Il honore alors le 16 novembre 1994, à 21 ans seulement, sa première sélection en équipe nationale Argentine face au Chili. Lors de sa deuxième saison à Banfield, il joua un peu moins de matchs (29) mais marqua quand même 3 buts. En deux saisons au CA Banfield, il a donc joué 66 matches et marqué 4 buts dans le championnat d’Argentine. A la fin de cette saison, il fut rappelé par la sélection Argentine pour venir disputer la Copa America 1995 dans laquelle il disputa 3 matches puis joua la coupe des confédérations en Arabie Saoudite et joua là aussi 3 matches. En fin de Saison, Javier Zanetti fut acheté par l’Inter Milan pour 2.900.000$. L’inter Milan réalise là l’un de ses meilleurs transferts. Allait alors commencer une véritable histoire d’amour entre Javier et l’Internazionale Milano. Il débute avec son nouveau club lors de la 1ère journée du Calcio le 27 août 1995 face à Vicenza. Il ne manquera au final que 2 matchs de Série A au cours de sa 1ère saison. Il inscrivit d’ailleurs son premier but face à l’équipe de Cremonese. Dés sa première saison à l’Internazionale Milano, Il se révèle donc être un achat judicieux et démontre toute l'étendue de son talent de par un jeu solide au milieu de terrain, position qu'il occupe également en équipe nationale. Javier « Pupi » Zanetti ne quittera dès lors plus son côté droit, d’abord flanc il sera ensuite placé sur le côté droit de la défense. Pendant plus d’une décennie, il sera un titulaire indiscutable à l’Inter Milan. Il sera même nommé capitaine 3 ans après son arrivée à Milan. Javier va alors devenir l’emblème de l’Inter de Milan, épatant tout le monde de par sa longévité et son courage. Adulé des supporters nerazzurri, il va connaître beaucoup de moments forts avec ce club : - Ainsi il gagne la Coupe UEFA en 1998 face à la SS Lazio. Les Nerazzurri remportent ce match 3-0 avec notamment un magnifique but du capitaine emblématique du club, Javier Zanetti. Cela reste à ce jour son meilleur souvenir sous le maillot Nerazzurri - Javier Zanetti dispute également avec l’Inter une finale de coupe UEFA perdue (97), deux demi-finales Européennes (01/03), deux victoires en Coppa Italia (2005/2006) et également les Supercoppe Italiane (2005 & 2006), une finale de Coppa Italia perdue (2000) et un titre de champion d'Italie obtenu au tribunal. Il termine aussi à deux reprises 2ème de Série A (98/02) et plusieurs autres places d’honneur en coupe ou en championnat. - Après une grande déception relative à sa non-sélection pour le mondial en Allemagne, Javier débute sa 11° saison sous les couleurs Nerazzurre. Celle-ci allait se révéler être enfin la bonne. Malgré la mort d'un de ses mentors, Giacinto Facchetti, Javier et l'Inter débute la saison en fanfare avec une victoire très importante en Supercoppa. L'Inter assez rapidement dehors au niveau Européen cartonne et explose tous les records en Italie. Les Nerazzurri emmenés par leur Capitano Zanetti remporte le scudetto avec 5 journées d'avance et bien d'autres records dans l'escarcelle. Javier, une nouvelle fois, occupa un poste primordial dans le dispositif gagnant de Roberto Mancini et retrouva également le chemin des files presque 4 ans après son dernier but. Quelques statistiques de Javier à l’Inter : - Javier vit passer 13 coachs différents sur le banc de l’Inter. - Javier a disputé plus de 540 matchs officiels avec l'Inter. - Javier n’a récolté aucun carton rouge en Série A pour près de 400 matchs disputés. Dans toute sa période Nerazzurra, il n'aura été exclu qu'à une seule reprise. C’est un des joueurs les plus fair-play au monde. Pendant toute sa période interista, le talent et les performances de Javier furent également reconnues à l’étranger, notamment en Argentine : Javier fut appelé à disputer les Jeux Olympiques d’Atlanta pendant l’été 1996. Il y dispute tous les matchs en poste de milieu droit mais malheureusement la sélection Albiceleste, de Daniel Passarella, est défaite en finale par le Nigeria (3-2). Javier remporte donc une médaille d’argent aux jeux olympiques. A la fin de la saison 97/98, déjà bien remplie, Notre Capitano va avoir la chance de disputer sa première coupe du monde avec l’argentine. Javier et son équipe arrivent en quart de finale où ils sont défaits par les Pays-Bas ce qui reste comme l’une des plus grosses déceptions de Javier. En huitième de finale, l’Argentine avait battu l’Angleterre au penalty grâce notamment à un BUT splendide d’« Il tractore » sur une passe de Veron. Javier disputera 4 Cope America (95/99/04/07) avec l’Argentine mais il ne la gagnera jamais échouant en finale en 2004 face au Brésil d’Adriano et en 2007 face au Bresil de Maicon. Javier est rappelé en 2002 pour jouer sa 2ème coupe du monde. Malheureusement l’équipe de Javier ne franchit pas le premier tour bien qu’il ait pourtant joué tous les matchs de son équipe. Javier dispute également sa deuxième coupe des confédérations lors de l’édition 2005 en Allemagne malheureusement pour lui, l’épopée Argentine se termine également par une défaite en finale face au Brésil. Mais Javier retiendra également autre chose dans cette coupe des confédérations : il dispute face au Mexique le 26/06/2005 son 100ème match pour le compte de la sélection Argentine. Il devient ainsi le deuxième joueur le plus capé des Albiceleste derrière Diego Simeone, ancien interiste, 106 sélections. Javier Zanetti fut oublié par Pekermann dans la liste des Argentins sélectionnés pour le Mondial. Malgré son évidnete déception, Javier déclara qu'il n'allait pas pour autant laisser tomber son équipe nationale et qu'il comptait bien revenir défendre les couleurs Biancoceleste. Javier fut rappelé par Alfio Basile dès après le mondial. Javier redevint titulaire pour disputer la Copa America 2007. L'argentine fut une nouvelle fois battue en finale apr le Bresil, une énième déception pour Javier. Javier a, au jour d'aujourd'hui, disputé 110 rencontres avec l'équipe d'Argentine. Il a également Inscrit 5 buts (Vs Slovaquie (95); Vs Bosnie-Herzegovine (98); Vs Angleterre (98); Vs Uruguay (04) et Vs Japon (03)) Javier a disputé plus de 540 matchs officiels sous le maillot Nerazzurro pour 18 buts. Il est d'hors-et-déjà parmis les joueurs à avoir porté le plus souvent le Maillot de l'Inter. Seul 4 joueurs ont fait mieux que lui, Il devrait atteindre le podium au cours de cette année 2007/08, Ne restant devant lui que deux des plus grandes légendes de l'Inter, Beppe Bergomi et Giacinto Facchetti. Javier est tout simplement une légende de l’Internazionale Milano . . . et également un homme de cœur puisque, avec sa femme, ils ont créé la Fondation PUPI qui vient en aide aux enfants défavorisés d’Argentine. Merci pour Tout Javier, Tu seras toujours dans mon cœur. Note: Il a également été nommé par Pelé dans la liste des 100joueurs de tous les temps, encore une reconnaissance pour lui.
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