Aller au contenu

Rechercher dans la communauté

Affichage des résultats pour les étiquettes 'josè mourinho'.

  • Rechercher par étiquettes

    Saisir les étiquettes en les séparant par une virgule.
  • Rechercher par auteur

Type du contenu


Forums

  • La Communauté
    • Présentations
    • Vos Déplacements
    • La Curva du Forum
    • Annonces & Support
  • F.C. Internazionale
    • Le Club
    • Effectif
    • Transferts & Rumeurs
    • Les Matchs
  • Football en général
    • Calcio
    • Coupe d'Italie
    • Coupes d'Europes
    • Autres championnats
    • Les Equipes Nationales
    • Les Débats
    • Autres Sports
  • Contact et inscriptions de Inter Club Paris
  • Le QG : La Taverne des Korrigans de Inter Club Paris
  • Photos de Inter Club Paris
  • Contact et inscriptions de Inter Club Morocco
  • Le QG Casablanca : Café place des gameurs de Inter Club Morocco
  • Photos de Inter Club Morocco
  • Le QG Rabat : Café Nostalgia de Inter Club Morocco
  • Contacts de Inter Club Mulhouse

Catégories

  • F.C. Internazionale Milano
  • Mercato
  • Interviews
  • Serie A
  • Coupes d'Europe
  • Nos Dossiers

Calendriers

  • Amicaux
  • Serie A
  • ICC
  • Coupe d'Italie
  • Ligue des Champions
  • Ligue Europa
  • Inter Women

Fonctionnalités

Catégories

  • Inter
  • Serie A
    • Serie A 2022/2023
    • Serie A 2021/2022
    • Serie A 2020/2021
    • Serie A 2019/2020
    • Serie A 2018/2019
  • Coupes d'Europe
    • Ligue des Champions 2022/2023
  • Coupe d'Italie
  • Joueurs
  • Primavera
  • Femmes
  • Top
  • Histoire
  • Matchs entiers
  • eSports
  • Curva Nord & Tifos

Catégories

  • Carte du Monde des Nerazzurri

Rechercher les résultats dans…

Rechercher les résultats qui…


Date de création

  • Début

    Fin


Dernière mise à jour

  • Début

    Fin


Filtrer par nombre de…

Inscription

  • Début

    Fin


Groupe


Lieu


Joueurs

  1. Romelu Lukaku et Lautaro Martinez se sont respectivement livrés à quelques jours de la Finale de la Ligue des Champions Notre Romelu Lukaku s’est livré à CNN au cours d’une longue interview justifiant aussi la raison pour laquelle il regarde vers le ciel à chaque but: En effet, son grand-père est décédé lorsqu’il avait 12 ans, soit quatre avant ses débuts au Rsc Anderlecht : "Je lui avais promis que j’allais prendre soin de ma mère lorsque j’avais 12 ans et j’ai tenu parole, et chaque fois que je regarde ma mère, je le vois dans les tribunes, je regarde vers lui après chaque but." Est-ce que disputer la Finale de la Ligue des Champions signifierait aussi quelque chose pour votre grand-père ? "Cela voudrait dire beaucoup, lorsque je regarde mon fils, je retrouve tellement de lui c’était mon numéro 1 et c’était mon plus grand fan (il est très ému). Je n’avais pu, que regarder jusqu’à présent quelques finales de Ligue des Champions, mais à présent et Grâce à Dieu, je peux en jouer une. Être dans cette position maintenant, avec ma famille sur place sera quelque chose de très beau car ce sera comme boucler la boucle." Une Inter Fraternelle En effet, lors de la pandémie liée au Covid-19, une sorte de Fraternité s’est créé entre les joueurs et on retrouve encore, à l’heure actuelle cette base dans le noyau: "C’était un moment émouvant car nous avions passé beaucoup de temps ensemble, en tant qu’équipe. J’ai passé beaucoup plus de temps avec mes équipiers durant cette périodes qu’avec mon fils ainé…. C’était jouer, rentrer à l’Hôtel, rester dans la chambre, regarder les matchs ensembles, des choses comme ça." Ce lien peut être rappeler celui de l’état d’Esprit qui entourait l’Inter de Mourinho auréolé du Triplé en 2010 ? "C’est assez similaire et pour être honnêtes pour être honnête, ce qui est amusant, c'est que beaucoup de ces joueurs de l'équipe de 2010 viennent voir nos matches et ressentent la même chose. Ce sera une très belle rencontre, nous allons jouer face à ce qui est probablement la meilleure équipe du monde : Je veux seulement en profiter, sans pression, profiter du moment et aller là-bas pour réaliser le meilleur résultat possible." Haaland? "Je pense qu’il dominera le football mondial comme Mbappé pour la prochaine décennie : Ils vont prendre la relève de Messi et Ronaldo au cours des deux prochaines années, mais City n’est pas qu’Haaland, c’est une équipe bien entrainée et Guardiola est un excellent entraineur car il adapte à chaque match un plan de jeu différent, il propose diverses dispositions tactiques en cours match en sachant qu’en jouant de cette façon, cela ouvrira pour Haaldand des brèches dans la défenses. En ayant ce type de mouvement et de schéma de jeu très bien synchroniser, tu as des chances de marquer." Romelu à Sky Sport La Finale d’Istanbul "Je savais que l’on en était capable et je l’avais dit au Président. Finalement, nous sommes arrivé en Finale et je suis très heureux. Il m'a envoyé un émoticône quand j'ai dû revenir à l'Inter. Un joueur doit toujours avoir confiance en l'équipe. Nous avons mérité d'avoir cette opportunité, nous espérons réaliser notre rêve." Nulla è impossibile? "C’est notre Slogan vu que tout le monde donne City pour favori." Comment affronter City ? "Nous devrons être très compact défensivement mais aussi montrer que nous n’avons pas peur de City. Je pense que l’entraineur et son staff vont bien analyser la rencontre et que nous serons prêts." Avez-vous envie d’être titularisé ? "Les personnes savent, à présent, ce que je suis capable de faire à nouveau mais l’Inter est la plus importante, l’entraineur doit faire les choix: Ce n’est pas une réponse politique, cela regarde l’Inter et je veux que l’Inter gagne : Nous devrons tous répondre présent." Et votre futur ? "On en reparlera après la Finale." Le Saviez-vous ? Pour Romelu Lukaku, son expérience chez les Blues est pour dire terminée : Il n’a plus envie d’y retrouver même en cas de consécration européenne. Mais comme le révèle la Gazzetta Dello Sport, au 30 juin prochain, il sera de retour à Londres après son prêt annuel et une négociation aura lieu entre l’Inter et Chelsea Si Mauricio Pochettino pense à d’autres profils d’attaquant pour construire sa créature, Romelu pourrait servir de monnaie d’échange, avec dans le viseur un certain Dusan Vlahovic. Toutefois, Romelu ne jure que par l’Inter et pour parvenir à un prêt bis et sur une éventuellement diminution de la charge Nerazzurro du prêt, bien plus que le travail diplomatique qui s’annonce entre les deux clubs, ce sera la volonté de fer de Romelu qui fera la différence… "Et l’Histoire récente nous apprend que lorsque le belge à un objectif en tête, il fait tout pour y parvenir…Et il pourrait être encore plus têtu auréolé du titre de Champion d’Europe !" Lautaro Martinez Lauti s’est livré à Uefa.com à quelques jours de la Finale de la Ligue des Champions Son But au Milan "C'est l'un des plus importants de ma carrière. Pas à cause de sa beauté, mais à cause de son importance, de son ampleur et de l'histoire qui se cache derrière", les yeux rempli fierté. Marquer un but est toujours très spécial, alors imaginez à quel point c'est spécial lors d’un match comme celui-là.L'important, c'est que mes coéquipiers aient apprécié, les supporters aussi, et que cela ait permis à l'équipe d’être sereine. Nous savions que s'ils marquaient un but, les choses pouvaient changer rapidement, il était donc important de réduire l'anxiété et de se détendre." A propos de la finale contre Manchester City "Il ne fait aucun doute que c'est l'une des meilleures équipes du monde. Ils jouent un football que j'aime beaucoup et ce seront des adversaires très difficiles à affronter. Mais nous avons affronté des équipes très difficiles lors de la phase de groupe et de la phase à élimination directe et nous nous sommes très bien comportés." "Nous devons essayer d'en profiter, car une finale de Ligue des champions ne se joue pas tous les jours. Tout ce qu'il nous reste à faire, c'est de travailler dur et de jouer aussi bien que possible, en espérant que la meilleure équipe gagne et que nous soulevions le trophée à la fin du match." Sur la relation entre l'Inter et l'Argentine "Dès mon arrivée dans ce club, on m'a fait sentir que je faisais partie de la Famille, que j'avais grandi ici, et c'est très important pour un joueur. Je savais qu'il y avait toujours eu beaucoup d'Argentins ici, comme Milito, Zanetti, Cambiasso et Samuel, qui ont effectué un travail extraordinaire dans ce club. C'est une grande responsabilité de porter ce maillot. Je suis très fier de ce que j'accomplis ici et je ne cesse de répéter que je dois continuer à fournir des efforts". A propos de Dzeko et Lukaku "Ce sont deux joueurs très différents. Edin aime avoir le ballon, il recule et relie ses coéquipiers, tandis que Romelu a tendance à attaquer les espaces et à se faire suivre par les défenseurs pour créer de l'espace pour le deuxième attaquant. Je m'entends très bien avec les deux. J'essaie de m'adapter à eux et de faire ce dont l'équipe a besoin. Si je dois attaquer des espaces pour libérer de l'espace pour Edin, je peux le faire facilement, et c'est la même chose pour Romelu." A propos d'Inzaghi "Il est toujours important de savoir comment nous voulons jouer et de comprendre les idées de l'entraîneur. Quand on a des idées claires et qu'on étudie les matches et les adversaires, c'est beaucoup plus facile. Nous nous entendons très bien avec l'entraîneur car il travaille bien et prépare bien les matchs. D'un point de vue mental, ces matches n'ont pas besoin d'être préparés en raison de leur importance." ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  2. 13 ans après la double confrontation historique entre son Fc Barcelone et l’Inter de José Mourinho, Pep Guardiola est prêt à retrouver sa "maudite" Bien-aimée. Et pour ce rendez-vous romantique sous le ciel d’Istanbul, celui-ci s’est livré à la Gazzetta Dello Sport "J’ai commencé à regarder quelques minutes l’Inter, quelques phases de jeu et je suis resté impressionné, ils m’ont impressionné par leur façon de faire, leur langage corporel. Après les avoir visionnés, j’ai sonné à quelques amis proches qui vivent en Italie pour avoir leur avis sur l’Inter : Ils m’ont tous dit de rester sur mes gardes et de la prendre vraiment au sérieux. Je n’avais pas besoin qu’ils me le disent, je l’avais déjà compris en les observant sur quelques minutes, sur quelques situations." "C’est clair que l’Inter peut nous battre, elle a déjà gagné trois fois ce tournoi et nous jamais, mais nous voulons le disputer de la meilleure des façons pour que cela ne soit plus le cas. Ce n’est pas un hasard s’il y a 3 équipes italiennes dans les Finales des 3 coupes d’Europe, il y en a eu d’autres qui ont disputés les demi-finales." "J’ai joué en Italie et je connais la mentalité qu’ont les équipes italiennes dans des Finales: Il ne faut pas oublier, qu’il y a vingt ans, la Serie A était le meilleur championnat du monde est que tout le monde, joueurs, entraineurs, voulaient y jouer : L’Italie a aussi gagné quatre fois le Mondial et elle a toujours cette mentalité: C’est aussi pour cette raison que je pense que jouer une Finale contre une équipe italienne reste et restera compliqué." "Nous avons énormément gagné depuis mon arrivée, et je trouve parfois injuste qu’il faille remporter la Ligue des Champions pour avoir du crédit sur tout ce que nous avons réalisé, mais c’est ainsi, je dois l’accepter : Je sais que nous n’aurons pas tout réalisé sans avoir gagner la Ligue des Champions." "Jouer parfois avec cette pression est fantastique, nécessaire, nous échangeons entre nous et nous nous disons que nous allons le faire. Dans le même temps, si nous ne parvenons pas à l’emporter mais que nous continuons à gagner, je suis sûr que tôt ou tard nous y parviendrons, mais nous avons l’occasion, ici, d’être en finale et nous allons essayer de l’emporter." Pep, Avant de monter en l’Air la Bien-Aimée, n’oublie pas qu’il faut son consentement ! ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  3. Invité de Gianluca Gazzoli le 16 Mai dernier, Marco Materazzi est revenu sur sa carrière et des passages de l'Inter. Comment avez-vous vécu l'après-retraite ? "J'ai arrêté en 2011, la première année tu fais tout ce que tu n'as jamais fait durant ta carrière. Puis vient l'effondrement deux ans plus tard. Les vestiaires, les gens me manquent mais ce soir je vais au coin pour Inter-Milan parce que je me sens comme l'un d'eux, comme lorsque je jouais. C'est pour ça que ça me manque moins évidemment. Ensuite, quand vous avez une vie bien remplie, si vous avez créé quelque chose au-delà du football, vous la vivez bien." Votre carrière d'entraîneur. "Je l'ai fait en Inde pendant trois ans, en remportant un championnat. J'ai aimé ça parce que c'était 'vierge', je devais tout faire moi-même. On a monté une équipe, la dernière franchise. On a gagné la saison régulière, puis on a perdu en demi-finale parce que nous étions cuits. L'année suivante, nous avons gagné, l'année dernière nous ne nous sommes même pas qualifiés. En Inde, la religion, c'est le cricket mais quand vous allez jouer à Calcutta, il y a un énorme public." Tu es devenu l'idole des fans des équipes pour lesquelles vous avez joué parce que tu avez toujours donné votre cœur. "Je préfère avoir l'amour de mes parents et la haine des autres. Au moins tu es quelqu'un qui divise, qui a le courage de dire ce qu'il pense." Puis tu es devenu l'idole de tout le monde en 2006. "Pendant un mois et c'est tout, le temps de célébrer. Ma situation à la Coupe du monde a été décrite de manière incorrecte : sur 10 personnes que je rencontre, 9 disent que j'avais raison. On n'a jamais vu un joueur dans l'histoire du football écoper d'une suspension de deux matches pour provocation, j'en suis fier. Je sais comment les choses se sont passées, je n'aurais certainement pas mérité une disqualification en deux matchs. Mais il y avait un "bandit" à la Fifa, il a fait en sorte que ça se passe comme ça. L'avocat de la Fifa m'a appelé alors que j'étais en vacances aux Maldives pour rentrer à Zurich. Je lui ai répondu : 'tu es stupide, quand je reviendrai peut-être que je viendrai'. Puis je suis finalement allé et j'ai été jugé sans être entendu. Ils l'ont joué et chanté, mais il n'en reste pas moins que je suis champion du monde. J'étais un peu désolé parce que j'aurais aimé jouer au Stade de France après la Coupe du monde, j'aurais aimé les défier. Malheureusement ils m'ont empêché... C'était des conneries, Tassotti lui a pris 9 matches pour un coup de coude, un de plus que moi. J'aime me souvenir des deux buts que j'ai marqués, l'un avec la tête et l'autre avec le ballon médicinal de 10 kilos, car ce n'est pas facile de marquer un penalty. Heureusement, Barthez n'est pas si grand mais je savais que je devais marquer. Zidane ? Je le félicite pour ce qu'il a fait en tant que joueur et en tant qu'entraîneur. Ce qui s'est passé cette nuit-là est son problème plutôt que mon problème." Le Triplete. "Pour moi, et pour tous ceux qui ont souffert en 2002, c'était la cerise sur le gâteau. Le noyau historique de cette équipe a atteint son apogée, ils ont gagné à juste titre après avoir souffert. C'était une gratification sportive, pas qu'en Italie personne ne l'a jamais et nous l'avons fait, nous seuls. Pas même le Real Madrid, qui est l'équipe la plus titrée de l'histoire. Ce n'est pas facile ce que nous avons fait. Dans le sport, ce n'est pas toujours l'équipe la plus forte qui gagne mais aussi l'unité d'un groupe, les détails , l'entraîneur n'a rien fait de mal." Aviez-vous des stratégies pour intimider ? "Non. Si je te le faisais, on se disputerait. Samuel, mon idole, si tu lui disais quelque chose il ne te répondait pas. Peut-être que j'ai eu tort de discuter, oui. Ai-je exagéré? Non, ce qui est fait est fait, je ne nie pas le passé." Ronaldo. "La puissance de Cristiano avec la vitesse d'exécution et le talent naturel de Messi. Et il a fait ces choses il y a 20 ans, il était dans une autre catégorie." Le câlin avec Mourinho après la victoire à Madrid. "'M'abandonnez-vous l'année prochaine?'. Je savais qui arriverait malheureusement (Benitez, ndlr). Avec José on s'est toujours dit des choses, je l'ai toujours aidé. Il m'a dit lui-même que la deuxième année il aimait m'entraîner, même s'il m'a dit que je pouvais aussi jouer zéro match. Après 1' j'ai répondu : 'je reste avec vous'." Souvenirs du derby et de la photo iconique avec Rui Costa. "L'ambiance était belle, c'étaient de bons matchs. J'ai signé de nombreuses photos... Le gâchis s'est produit dans la Curva, dans cette circonstance ils ont exagéré, et je dis cela en ayant une excellente relation avec les fans. Ce n'est plus du football, c'est ce que il nous a fait du mal, pour le match perdu et la disqualification du terrain, mais aussi à Milan. Ça n'a pas de sens de gâcher des matches comme ça." Êtes-vous un fan de l'Inter ? "Je ne l'étais pas, mais je le suis devenu. Lors de ma première année à l'Inter, j'aurais pu tout gagner et à la place, j'ai tout perdu. Ce n'était pas facile de recommencer après le 5 mai. Nous avions beaucoup changé, l'année après le 6 -0 du derby. Nous sommes partis de zéro, nous aurions mérité le Scudetto même si nous n'étions pas les plus forts. Je ne veux pas être rhétorique mais quelque chose s'est mal passée." La relation avec Ibrahimovic. "Il n'y a aucune aversion de ma part, il le jette de temps en temps, c'est aussi arrivé à son retour à Milan. Il aime attaquer l'idole Interisti. Il n'y a pas de rancune de ma part. Il ne gagnera jamais la Ligue des champions et la Coupe du monde, parlons de gagner des scudetti avec la Juve, le Psg, Milan et Barcelone... Ils sont tous bons, il l'a fait. C'est un phénomène, c'est un champion mais il n'est pas le plus fort, pas aussi fort qu'il se voitt. Il a créé une marque, mais il n'est pas le plus fort. Lui, comme moi, est fier du parcours et d'où il vient. Chapeau bas pour ce qu'il a fait, alors que mère nature lui a donné un physique et deux pieds incroyables. Dans les championnats, c'est un phénomène. Son adieu fut agité. J'ai perdu le Scudetto la première année et je suis resté à l'Inter, puis j'ai été récompensé. Maintenant, il s'est un peu calmé, il est l'idole des supporters milanais et il est heureux à Milan." Des relations privées après des joutes publiques ? "Je n'ai aucun contact avec lui et je m'en fous, chacun suit son chemin." Traduction alex_j via FCInterNews.
  4. Ancien footballeur pro devenu consultant, Alexandre Teklak s’est livré à une interview exclusive pour Internazionale.fr, lui qui est devenu consultant sportif à Eleven Sport et à la RTBF où il fait part de ses excellentes analyses dans le cadre des matchs d’Europa et de Conférence League. Comment jugez-vous la saison actuelle de l’Inter ? "C’est une saison un peu contrastée, l’Inter a très bien réussi dans tout ce qui est match de Coupe, un peu comme Inzaghi sait le faire. C’est plutôt un entraineur de Coupes, sans être péjoratif, c’est un entraineur qui, sur des évènements ponctuels, parvient à faire la différence. La preuve , l’année dernière il a gagné la Coupe d'Italie, il est en finale aujourd’hui, il est en finale de la Champion’s League, il a remporté la Super Coupe." "Au contraire de Conte qui est un entraineur bâtisseur sur le long terme et qui est plutôt prêt pour acquérir des titres sur le long terme comme l'est un championnat, je pense qu'Inzaghi est un peu un entraineur qui est capable de briller sur des compétitions où c’est quitte ou double. Il l’a fait avec la Lazio aussi à l’époque. C’est vraiment devenu un spécialiste des Coupes, et ce n’est pas par hasard. Quand tu en gagnes une, deux, on peut se dire que c’est le hasard qui a fait que... mais ici il le fait depuis quelques saisons, pour moi, c’est ce qui caractérise la saison de l’Inter avec Inzaghi, paradoxalement avec celles sous Antonio Conte." "Maintenant c’est une saison en dents de scie même si cela va mieux ces dernières semaines, car l'Inter a des joueurs comme Lukaku, notamment, qui reviennent bien qui pèsent à nouveau. Mais c’est vrai qu’ils ont connu beaucoup de soucis avec des résultats très inégaux et je pense à la défaite à domicile face à Monza 0-1." "Je me suis dis 'On est en préparation pour la Ligue des Champions' mais voilà, l’Inter joue avec son bonheur et ils auront la rencontre à Turin et le match face à l’Atalanta qui restent à disputer pour se qualifier en Ligue des Champions. Il y aura City aussi, mais ce n’est pas normal d’avoir attendu si longtemps pour assurer la place en Ligue des Champions car, cette année, il y avait la place pour l’acquérir beaucoup plus tôt même si Naples a survolé la compétition." "Honnêtement, au vue des oppositions qu’ils ont eu à l'Inter, vu le noyau qu’ils ont, je trouve que c’est quand même tardif. Je peux l’expliquer aussi par le fait qu’il y a un noyau " vieux" et il n’y a rien à faire quand on veut aborder plusieurs compétitions, il faut le préserver. Toute proportions gardées, l’Inter a un peu le même problème que le Real : un noyau vieillissant. Ce sont des équipes qui sont capables d’avoir un objectif majeur, mais pas trois ou quatre dans une saison, c’est difficile." "Lorsque l’on regarde la saison du Real, elle a fait un peu une saison similaire en termes de prix remportés au niveau des Coupes, il y a une saison en Liga complétement manquée, gâchée pour un club comme le Real. L’Inter, toute proportions gardées j’insiste un peu, vit une saison similaire au niveau des résultats et je l’explique par ça : prenez la moyenne d’âge." "Ce sont des supers joueurs, vous vous rendez comptes aussi qu’avec ces mecs-là, si vous ne les faites pas tourner, vous les blessez. Ici on arrive en fin de saison, on voit que Mkhitaryan s’est fait mal en demi-finale retour, Dzeko qui va jouer ce soir a aussi eu quelques bobos. Tout le long de cette saison a été jalonnées par des petits bobos que les joueurs importants, les cadres ont eu parce qu’à un certain âge, jouer au très haut niveau toutes les compétitions, tout le temps, ce n’est plus possible et je pense qu’Inzaghi l’a très bien compris, aussi dans sa rotation car il n’avait pas trop le choix." Pensez-vous que la Coupe du Monde a eu un impact ? Qu’elle a faussé un peu les tournois ? "Oui, la Coupe du Monde a eu sa part d’influence sur toutes les équipes. Surtout au retour de Coupe du Monde pour la plupart des équipes où il y a eu beaucoup d’engagés. Oui, il y a pu y avoir un impact, forcément pour les Italiens, non, pour l’Inter je ne le sais pas, mais ils n'étaient pas tous concernés par la Coupe du Monde, pas du tout même. Toutefois, par l'entracte qu'elle a provoqué, oui." Et des matchs tous les trois jours… "Le problème a été l’accélération de match et là évidemment dans un calendrier qui est déjà surchargé... faut savoir ce qu’on veut, car même si les dirigeants pensent construire des noyaux très larges, pléthoriques pour aborder toutes les compétitions, les aborder toutes avec le même niveau de performances est impossible car on ne sait pas disposer de deux équipes de même niveau dans son noyau, en tout cas l’Inter n’a pas ça, ça lui couterait beaucoup trop cher." Malheureusement nous n’avons pas le propriétaire qui va avec pour l’instant… c’est assez compliqué… "Mais City est capable d’avoir ça , ils ont deux équipes, une pour la Premier League quasiment et une pour la Champion’s League mais c’est la seule équipe, c’est une exception." En parlant justement de City, pensez-vous que ce club a un point faible ? Ou est-ce que la Finale est déjà perdue d’avance pour l’Inter ? "Perdue d’avance non, même si c’est vrai que cette année City écrase tout, ils sont terriblement efficaces, ils ont un peu revu leur système avec la présence d’Haaland aussi, parce qu’ils sont capables, à présent, de varier aussi leur manière de marquer, ils peuvent partir de beaucoup plus bas, ils n’ont plus besoin d’une construction élaborée, très élaborée comme Guardiola les aiment lorsqu’il joue avec un faux neuf." "ici, ils ont vraiment dans des situations avec Haaland et une manière de marquer qui est différente. C’est évidemment un gros avantage pour Guardiola même s’il doit laisser tomber un petit peu et parfois ses préceptes et ses principes. Je dirais plutôt s’en éloigner un tout petit peu et les varier un tout petit peu, mais c’est le gros avantage de City. C’est vrai que j’ai aussi vu des matchs où Haaland était bien bloqué comme face à Rudiger lors du match aller au Real, ceci dit, le gros soucis avec cette équipe, c’est qu’elle est capable de marquer de manière très différente et d’être dans un mouvement perpétuel. C’est une équipe qui est très difficile à jouer techniquement." "Elle a des faiblesses et pour moi ce sont les situations de contre-attaques car elles portent beaucoup de joueurs vers l’avant. Une fois qu’Haaland manque d’efficacité, c’est un soucis aussi pour cette équipe, car il est vraiment très important. Ils ont tout de même des difficultés parfois à pouvoir, sur la longueur d’un match, contenir les contre-attaques des adversaires. Ce n’est pas une équipe qui n’a aucune faiblesse, c'est une équipe qui peut aussi à un moment donné s’agacer, par exemple, de la roublardise de l’adversaire, du fait que le rythme soit faible dans le match." Ce qui est un peu la force des clubs italiens… "Oui et c’est quelque chose qui pourrait très vite les agacer, car ils sont parfois impatient et il ne faut pas oublier non plus la plus grande faiblesse de City cette année est qu’ils doivent la gagner : Guardiola a beau relativiser dire oui… Toujours un peu avec son dogme caractéristique, il doit la gagner ! Cela fait presque 10 ans qu’il est là, ils ont investi beaucoup d’argent dans le club pour y parvenir." "Je crois qu’ils la veulent à tout prix et c’est l’occasion où jamais. Ils se sont plantés, il y a deux ans, face à Chelsea, City n'a plus trop le droit à se planter à nouveau. Pour moi, c’est ce côté impatient, ce côté obligation à devoir aller la chercher qui peut jouer pour l’Inter, car l’Inter va être l’outsider de Luxe." "Quelque soit le résultat de l’Inter, elle n’a rien à perdre et tout le monde dira que c’est déjà formidable d’avoir atteint la Finale de la Ligue des Champions, c’est déjà le cas maintenant et je pense que c’est un grand avantage pour l’Inter de ne pas être "Obligé de" alors que pour City oui, car si City la perd, vu la force en présence, vu leur noyau vu toutes ce qui entoure ce titre en Ligue des Champions, ce sera de nouveau un camouflet pour Guardiola et ce sera de nouveau une Finale de perdue." "Il ne faut pas minimiser aussi l’aspect psychologique de cette rencontre qui aura beaucoup d’influence, parce que c’est vrai que l’Inter est un peu une équipe d’emmerdeurs." C'est un peu le cas aussi… Il y a une cohésion d’équipe chez nous, car si l'on se base que sur le plan individuel,on ne fait pas le poids : Est-ce que le 3-5-2 est une bonne idée face à City ? "Je pense que l’Inter est très dépendante de ce que va produire comme foot et comme prestation son trio au milieu de terrain car, pour moi, c’est le poumon de l’équipe: Pas seulement parce que ce sont de très bons joueurs, mais aussi parce qu’ils abattent un travail exceptionnel. Que ce soit Çalhanoğlu, Mkhitaryan et Barella c’est vraiment incroyable ce qu’ils sont capable de faire surtout dans les contre-efforts défensif et là ils sont vraiment redoutable." "Quand je vois comment ils se sont mis minable dans le Derby sur les deux matchs et les prestations encore qu’ils ont eu, je me dis que ça peut vraiment embêter le milieu de terrain de city. De Bruyne n’aimera pas avoir ce type d’opposition, pas du tout même, il n'aimera pas ce type de marquage et d’une manière générale tous les joueurs de City n’aimeront pas." "Je pense que derrière, Acerbi a prouvé aussi que ce ne sera pas un problème pour lui de jouer contre Haaland: L'Inter ne va pas non plus ouvrir le jeu avec 50 mètres dans son dos, ils vont rester organisé et pour moi l’Inter a des atouts à faire valoir. Je ne vois pas l’Inter s’écrouler contre City, je ne vois pas ça, je vois une équipe qui est vraiment capable de les emmerder." Passons à Lukaku, la Serie A est-elle le mieux pour lui ? Ou est-ce mieux qu’il retourne à Chelsea ? "Je pense que sa saison a été marquée en plusieurs temps, son premier temps est évidemment son retour de la Coupe du Monde, fragilisé moralement, fragilisé physiquement et je connais un tout petit peu Romelu et son caractère, il a voulu forcer les choses et aller plus vite au niveau de son retour et il s'est passéce qu'il s’est passé. Maintenant, il est en forme , il joue, il veut reprendre sa place de titulaire." "Il ne faut pas oublier non plus qu’il joue dans un club qui possède deux paires d’attaquants, et l'on oublie trop souvent de le dire mais pour un Club comme l’Inter: 4 attaquants de ce niveau-là, c’est tout de même rare, c’est très rare : Il faut bien se rendre compte qu'il s'agit de Correa, Dzeko, Lautaro qui est un super joueur et Romelu : Vous imaginez quand même ! " "Vous êtes là, vous commencez le match avec Dzeko et à un moment donné vous faites monter Romelu pour les vingt dernières minutes avec Correa, ou un autre si Correa est déjà titulaire, mais vous voyez ce que je veux dire en termes de possibilités: C’est énorme ce qu’Inzaghi a à sa disposition , il ne faut pas le négliger non plus, ce sont quatre attaquants de grandes qualités." "Maintenant en ce qui concerne Romelu en tant que tel, il a voulu refaire sa place, peut-être un peu trop vite et il est parti de blessure en blessure et de rechute en rechute et ça, ça a été son grand soucis parce que la pression aidant, le fait aussi que sa Coupe du Monde soit manquée, le match contre la Croatie qui lui reste dans la tête : Tout a joué beaucoup contre lui et il l’a dit récemment, que cela lui a pesé énormément car si vous n’êtes pas bien dans votre tête, le reste ne sait pas suivre, même au niveau de la prise en charge d'une blessure." "Et une compétition exigeante comme l’est la Serie A a fait aussi qu’il s’est reblessé, qu’il n’a jamais été prêt. Maintenant il commence à l’être, ici, il enchaine les matchs et surtout les bouts de matchs et je sais, à ce niveau-là qu’Inzaghi est beaucoup critiqué mais je trouve qu’il les a bien gérer : Il a bien géré la rotation et l’intégration de Romelu pour ne pas qu’il aille trop loin d’une part et pour qu’il se sente bien physiquement d’autre part." "On l’a vu ces derniers temps, il marque au meilleur moment pour lui car c’est maintenant le Money Time, c’est maintenant ici que tout ce décide et c’est surtout maintenant que les contrats sont revus : Il y a quelques semaines l’Inter avait dit non, Romelu on n’en veut plus: Aujourd’hui, ils ont changé de fusil d’épaule et c’est d’ailleurs la même chose à l’égard d’Inzaghi Je pense qu’il y a vraiment une progression dans sa saison qui est bonne avec la possibilité , aujourd’hui, de rester à l’Inter et surtout d’apporter un plus sportivement à l’équipe." "Maintenant, pour sa situation avec Chelsea, je pense que l’Inter a de l’argent, mais l’Inter est en dette et doit faire attention. Oui, elle est en auto-financement…. "Je le sais, je pense qu’ils vont être tributaire un peu de ce que Chelsea va exiger : L’Inter est une équipe spécialiste pour faire des prêts , je crois que c’est Marotta qui en est le Directeur comme c’était le cas du temps de la Juve." Tout à fait, avec Piero Ausilio… "Marotta est un adepte de ce genre de manœuvre , vous me direz si je me trompe mais je suis quasiment certain qu’à l’époque de la Juve, c’est lui qui va rechercher Pirlo car plus personne n’y croit." Oui, il a fait la même chose avec Pogba…. "C’est un très grand spécialiste, il s’est parfois trompé, je ne dis pas qu’il a toujours tout réussi, mais il a quand même bien plus réussi que raté au niveau de ses prêts et de certains fin de contrat qu’il a été chercher." Oui, c’est lui qui a reconstruit l’équipe de l’Inter à son arrivée et on voit la différence avec la Juve à l’heure actuelle…C’est sa plus grosse perte... "Tout à fait, la Juve a beaucoup perdu avec son départ et l’Inter a beaucoup gagné, je sais qu’on ne parle pas beaucoup de lui mais c’est un Dirigeant Sportif qui a été l’architecte de l’Inter." Il est le plus respecté, encore plus que Steven Zhang…. "Cela ne m’étonne pas je crois vraiment que sa présence a été la clé du succès de l’Inter et pour revenir sur le prêt, sur la continuité de Romelu à l’Inter le problème sera à Chelsea : Qu’est-ce qu’ils vont vouloir, qu’est-ce que le nouveau propriétaire va vouloir : Accepteront-ils encore un prêt ou alors vont-ils vouloir le vendre définitivement sachant que Romelu n’a peut être pas envie de retourner à Chelsea." "Cela pourrait dépendre du nouvel entraineur de Chelsea , peut être qu’il aura une bonne connexion avec Lukaku, Dieu seul le sait : Je n’en sais rien, c’est trop tôt pour le savoir: Je pense qu’aujourd’hui vu la manière avec laquelle joue Lukaku, et son amour pour l’Inter et pour la Serie A, qu’il a envie de se faire pardonner quelque chose vu la façon dont il est parti." Oui, il était fort aimé, on a vécu son départ comme une trahison, pour certains ils sont encore rancuniers "Je sais, en Italie, ils ont la rancune tenace et il y en a encore beaucoup qui lui en veulent d’être parti car certains disent "Oui mais l’Inter avait des problèmes financiers et c’est pour ça qu’il est parti" mais je pense que ce n’était pas que pour ça, cette raison-là n’est pas vraie, c’est du Pippo." A l’Inter, lorsque Conte est parti, s’il avait dit à ce moment-là: Je veux quitter le club aussi, je demande à être transféré il n’y aurait eu aucun soucis", mais lui avait fait une interview une semaine avant son départ pour dire : "Ne vous inquiétez pas Conte est parti et je reste", c’est pour cela que la pilule n’est pas passée... "Je pense que Romelu a commis à la fois une erreur de communication, mais aussi une erreur de choix car on s’est ce qu’il est advenu de sa saison à Chelsea. Donc aujourd’hui, il se fait petit, il se met minable car il sait aussi ce qu’il doit à l’Inter et c’est pour ça qu’il a à tout prix voulu y revenir." "C’est aussi pour cela qu’aujourd’hui il est en forme et c’est pour cela qu'à chaque fois qu’il marque un but, il le fait avec beaucoup de respect et aussi avec une certaine forme de redevance si vous voyez ce que je veux dire, on le sent dans sa communication avec les supporters, il est toujours en train de les mettre en avant : Il marque toujours beaucoup de sollicitude à leur égard." Il est très communicatif… "C’est normal et il doit se rattraper et il est authentique car je le connais un peu, les critiques des supporters l’ont touchés, l’ont blessés , surtout lorsqu’ils l’ont traité de Traitre, mais voilà…" Face à la Salernitana c’était d’ailleurs l’un des seuls joueurs à aller voir les supporters lorsque l’on s’est inclinés sur leur terrain, il les "a porté", s’est excusé et ça lui permet de revenir aussi dans les bonnes grâces des Tifosi... "Tout à fait et il n’était pas obligé de le faire, il y a d’autres joueurs qui ne se seraient pas comportés comme cela et je pense que ça compte beaucoup pour lui : Il aime l’Inter et je pense que l’Inter l’aimera de nouveau et que tout se passera bien pour lui." "Vous savez l’Inter a perdu un peu son lustre d’antan: On n’était plus habituée à la voir dans les compétitions européenne comme elle le faisait à l’époque de Mourinho mais quand on voit cette équipe aujourd’hui, elle n’est pas là par hasard , elle n’est pas arrivée en Finale de Ligue des Champions par hasard." Dernière question : votre prono pour ce soir, pour la Finale de la Coupe... "Je trouve que la Fiorentina est une superbe équipe, on voit le boulot d’Italiano. Je l'’ai suivi aussi avec la Conference League, c’est une super équipe de foot, elle joue très bien au foot, elle a un gros problème : Elle se crée plus d’occasions qu’elle ne marque de buts mais elle s’en crée vraiment beaucoup, énormément grâce à un football léché et elle pourrait être un bon adversaire pour l’Inter." "Elle est un peu similaire à City, ça pourrait être une mini-répétition de ce qu’il pourrait se passer face à City, sans exagérer bien sûr et c’est une Finale . Je pense qu’on va assister à un beau match et cette année, j’ai rarement vu des mauvais matchs de sa part, c’est une équipe agréable à voir , mais j’aurais un petit penchant pour l’Inter, un petit." ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  5. José Mourinho, de son nom complet José Mário dos Santos Mourinho Félix, est un entraîneur de football portugais. "The Special One" comme il se surnomme lui-même, bien que décrié par certains, et adulé par d'autres, fait partie des meilleurs techniciens au monde. Mourinho fut notamment l'entraîneur du FC Porto et de Chelsea. Il quitte son poste d'entraîneur de Chelsea le 19 septembre 2007 au soir, officiellement à l'amiable, à la suite d'une altercation orageuse avec le président du club Roman Abramovitch, après un match nul concédé contre Rosenborg à domicile en Ligue des Champions. CARRIERE Nouvel Entraineur de l'Inter, il fut entraîneur et manager du Chelsea Football Club du 2 juin 2004 jusqu'au 19 septembre 2007. Il dirigeait le FC Porto avant d'arriver au club londonien. Avec le club portugais, il remporte la Coupe UEFA, la Ligue des Champions 2 coupes du Portugal et deux Championnats du Portugal de football. Il est né le 26 janvier 1963 à Setúbal au Portugal. Il est le fils de l'ancien gardien de but Félix Mourinho. Il ne poursuit pas de carrière de joueur professionnel mais montre des aptitudes au management. Il détient une formation universitaire en éducation physique spécialisé dans le football. C'est avec cette formation qu'il commencera comme soigneur. Remarqué par l'entraîneur de l'Estrela da Amadora, il se verra offrir un poste d'assistant-entraîneur. Ensuite viendront des postes comme traducteur puis entraineur-adjoint pour des entraîneurs comme Bobby Robson et surtout Louis Van Gaal qui est sans aucun doute le manager qui influencera le plus Mourinho dans la façon de diriger un club de football, lors de son passage au FC Barcelone. Après son séjour en Catalogne, Mourinho retourne au Portugal où il prend en charge le Benfica Lisbonne. Mais il se fera vraiment connaître en tant qu'entraîneur d'abord de l'Uniao Leiria puis surtout du FC Porto durant les saisons 2002-2003 et 2003-2004. Il ne résistera pas aux sirènes du milliardaire russe de Chelsea, Roman Abramovitch, désireux de bâtir un club de football de tout premier plan sur la scène européenne. Il devient l'entraîneur le mieux payé du monde (£4,2 millions en 2003, puis £5,2 millions en 2005). La célébrité de Mourinho en tant qu'entraîneur n'a d'égal que son côté provocateur, ce qui lui vaut de nombreuses inimitiés dans le monde du football. En effet, ses déclarations tapageuses et son ton arrogant (il s'est autoproclamé "The Special One" et a traité Arsène Wenger de "voyeur", parce que selon lui, il passait son temps à regarder et à parler de Chelsea, avant de s'excuser) ont fait le bonheur des tabloïds britanniques. Le 19 septembre 2007, après un début de saison difficile (défaite face à Aston Villa en championnat, match nul face aux Blackburn Rovers et contre Rosenborg en Ligue des Champions), Mourinho décide de quitter le club, sous la pression du propriétaire du club, Roman Abramovich, avec lequel il entretenait des relations difficiles depuis plusieurs mois. Selon le club, le départ se fait par consentement mutuel. En trois saisons, Mourinho fait mieux que tous les entraîneurs précédents de Chelsea, avec deux titres de champion d'Angleterre, une Coupe d'Angleterre et deux Coupes de la Ligue. Seule la Ligue des Champions se refusera à lui (deux fois demi- finaliste: 2004-2005 et 2006-2007), ce qui constitue une des raisons de son départ. De plus, Mourinho, en comptabilisant les saisons passées à Porto et à Chelsea, détient le record d'invincibilité en championnat à domicile avec 99 matchs sans défaite en 5 saisons (38 matchs invaincu avec Porto et 61 avec Chelsea). Il a donc finalement signé, ce mardi 02 juin 2008 un contrat de trois ans qui le lie à l'Inter. CLUBS 2000-2001 Benfica 2001-2002 UD Leiria 2002-2004 FC Porto 2004-2007 Chelsea 2008 Internazionale F.C. PALMARES 2003 Coupe UEFA avec le FC Porto Coupe du Portugal avec le FC Porto Supercoupe du Portugal avec le FC Porto Champion du Portugal avec le FC Porto Meilleur entraineur d'Europe selon l'UEFA 2004 Ligue des Champions avec le FC Porto Championnat du Portugal avec le FC Porto Finaliste de la coupe du Portugal avec le FC Porto Meilleur entraineur du monde (source IFFHS) Meilleur entraineur d'Europe selon l'UEFA 2005 Carling Cup avec Chelsea FC. Champion d'Angleterre avec Chelsea FC Community Shield avec Chelsea FC Entraîneur de l'année Meilleur entraineur du monde (source IFFHS) Meilleur entraineur d'Europe selon l'UEFA 2006 Champion d'Angleterre avec Chelsea FC Entraîneur de l'année Meilleur entraineur de Premier League 2007 Carling Cup avec Chelsea FC. FA Cup avec Chelsea FC. Vice champion d'Angleterre Posté le 02 juin 2008 à 16.05 par Randy Sources associé(e)s: Wikipedia
  6. En effet, l’arbitre polonais a été désigné pour diriger la Finale tant attendue qui se déroulera le 10 juin prochain à Istanbul: Il s’agira de sa première finale dans la plus prestigieuse des Coupes d’Europe par Club, lui qui en avait été le quatrième arbitre en 2018 Cette saison, il a dirigé huit parties à débuter par les phases préliminaires jusqu’à la demi-finale retour entre Manchester City et le Real Madrid. Il a également dirigé la Finale de la Coupe du Monde 2022 au Qatar. Il est d’ailleurs le second arbitre de l’Histoire à arbitrer successivement la Ligue des Champions et la Coupe du Monde. Et cette anecdote peut faire sourire les Tifosi de l’Inter car le seul et unique précédent remonte à l’année 2010, un certain 22 mai avec l’anglais Howard Webb qui dirigeait un certain Bayern-Inter Et une anecdote peut en cacher une autre : José Mourinho a été titré à l’Inter à l’âge de 47 ans avec M comme Madrid….Simone Inzaghi pourrait être titré à l’âge de 47 ans avec un I comme Istanbul ! De bon augure les amis ! ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  7. Simone Inzaghi signant des autographes et les premiers détails du voyage à Istanbul. Un moment de satisfaction et de sourires pour Simone Inzaghi capable d'emmener l'Inter en finale de la Ligue des champions après son triomphe historique en 2010. L'entraîneur des Nerazzurri, comme en témoigne une vidéo de Sky Sport, a été accueilli par la chaleur des supporters d'Appiano Gentile. En effet, il y a ceux qui lui ont demandé de prendre une photo avec lui, ceux qui voulaient un autographe sur le maillot ou sur le ballon mais aussi ceux qui, déjà la tête tournée vers le match compliqué à Istanbul face à Manchester City, ont fait la demande de ramener la coupe aux grandes oreilles à Milan. Les premiers détails relatifs à la mission de l'Inter à Istanbul émergent également. Hé oui, le 10 Juin l'Inter partira à la recherche de la quatrième Ligue des champions de l'histoire du club en défiant Manchester City. Selon les informations de Tuttosport, les Nerazzurri quitteront Milan pour la Turquie le Jeudi 8 juin, avec un jour d'avance sur le calendrier, après un entraînement qui aura lieu à Appiano Gentile. Rappelons qu'en 2010, José Mourinho est arrivé à Madrid un Mercredi soir. Cependant à l'époque le ciel de l'Europe était encore menacé par l'éruption du volcan islandais qui, en demi-finale, avait contraint Barcelone à arriver à Milan en bus. Juste une question: ceux qui demandent à Inzaghi de signer un autographe, ce sont les mêmes qui voulaient le virer ? Traduction alex_j via FCInterNews.
  8. A San Siro mercredi dernier pour le match aller de l'Euroderby, Samuel Eto'o est aujourd'hui l'un des invités de marque du 'Milan Football Week', un événement organisé par la Gazzetta dello Sport à l'Anteo Palazzo del Cinema. Le Roi Lion monte sur scène accueilli par les applaudissements des personnes présentes et commence à évoquer le sens du derby milanais. "Dans mon top dix, il est en deuxième position derrière le Clasico, Barça-Madrid, dans des conditions normales. Mais ça va à la première place s'il s'agit d'une demi-finale de Ligue des champions. En Italie, j'ai eu des matchs exceptionnels mais quelque chose comme ça est unique." Quel match c'était Mercredi ? "Un très bon match pour nous car on prévoyait tous un match nul la veille, pensez à gagner 2-0... Il reste encore un match retour, mais c'est un bel avantage." Quel était le secret ? "L'Inter est entré sur le terrain avec la bonne mentalité. Milan a mis plus de temps à entrer dans le match et a fait mieux en deuxième mi-temps. J'espère que, Mardi, elle pourra rentrer sur le terrain comme dans les premières minutes de la première mi-temps." Moratti est-il le président dont vous êtes le plus proche ? "Moratti n'est pas un président mais le père de tout le monde, joueurs et entraîneurs. Il se comporte comme un père, c'est la première chose. Je ne peux pas le comparer à d'autres présidents car il m'a donné l'opportunité de jouer dans l'un des meilleurs équipes du monde. Quelles années nous avons vécues, quels compagnons j'ai eus. Tout s'est parfaitement déroulé." Materazzi t'a dit 'viens à Milan, avec toi on va tout gagner' : une histoire incroyable. "Des histoires comme ça n'arrivent pas souvent dans le football. Tout d'abord, je suis fier d'avoir joué avec lui, c'est le partenaire que tout joueur rêve d'avoir à ses côtés. Quand j'ai reçu ce message, je ne l'ai pas bien compris. Comment est-il possible qu'un joueur m'écrive comme ça ? Albertini m'a confirmé que c'était le numéro de Materazzi. La négociation a été rapide car il y avait une forte volonté des deux côtés, la parole de Materazzi comptait plus que l'argent." Message de Materazzi de Naples : 'Je ne le remercierai jamais assez car il m'a aidé à gagner la Ligue des champions, ce que je n'aurais fait avec personne d'autre. Il sait qui.' (Zlatan Ibrahimovic, ndlr) "Je t'aime aussi. Félicitations à Napoli et Anguissa, un joueur unique." La fête avec les sacs à la Coupe du monde des clubs. "Seuls Materazzi et moi le savons." Vous êtes lié à trois entraîneurs : Mourinho, Capello et Aragones. "Tout le monde m'a appris à vivre, pas seulement le football. A 15 ans, à Madrid, Capello m'a appris à utiliser le corps sur le terrain. Le deuxième, Aragones, m'a aidé à être un homme discipliné. Le troisième est Mourinho, nous tous joué l'un pour l'autre grâce à lui." Vous avez remporté le Triplete et trois Ligue des champions, mais peut-être que la Copa del Rey avec Majorque contre le Real est dans votre cœur avant tout. Vous vouliez y terminer votre carrière mais vous ne l'avez pas fait : est-ce un regret ? "J'essaie de ne pas avoir de regrets parce que quand tu le fais, tu regardes en arrière. J'ai tout donné au football, c'est Majorque qui m'a ouvert les portes de l'Europe, me permettant de jouer au football et d'être père. Je suis tellement attaché à la Copa del Rey, puis est venue la Ligue des champions avec l'Inter battant Barcelone qui, selon certains, aurait dû nous battre 4-0. J'ai dit à Materazzi 'nous allons gagner'. Je me souviens de n'avoir jamais couru aussi vite que dans ce match." Quel joueur est Lukaku ? "Il n'a pas exprimé son potentiel, il est physique et intelligent. Il marque beaucoup de buts. A Everton, j'acceptais d'être sur le banc s'il était là. Je pense que le retour à Chelsea l'a freiné mais avec la confiance et la qualité qu'il a, il peut être parmi les meilleurs attaquants du monde avec Benzema, Haaland et les autres." Vous avez toujours défini Onana comme un fils, reviendra-t-il en équipe nationale du Cameroun ? "Triste épisode à la Coupe du monde. Ils me posent toujours des questions à ce sujet et me mettent dans une position délicate. Vous connaissez le Onana d'aujourd'hui ou de l'année dernière, mais en 2017, Onana était déjà parmi les cinq meilleurs gardiens du monde. André a joué pour l'Ajax mais il a souvent fini sur le banc : celui qui m'accuse d'avoir des problèmes avec lui aujourd'hui, c'est le même qui a dit à l'époque qu'il ne méritait pas de jouer. Pour moi, c'est le meilleur gardien du monde mais je suis le président d'une fédération, de millions de joueurs camerounais, je ne suis pas le genre de manager qui impose quoi que ce soit à son entraîneur, je n'ai jamais vu Moratti dire à Mourinho qui doit jouer et qui ne doit pas jouer. C'est juste une affaire entre le joueur et son entraîneur. Quand ce dernier me dira qu'il est content d'Onana, il n'aura pas de problèmes. Je dois être une solution pour le technicien, pas un problème." Maignan et Onana sont-ils deux des meilleurs gardiens du monde ? "Pour moi, Onana est meilleur que Maignan dans le jeu de jambes, il ressemble à un joueur de champ. Il n'y avait pas de conviction à l'Inter avant de le signer mais je leur ai assuré qu'ils feraient de grands progrès avec lui. Aujourd'hui, je suis heureux parce que c'est extraordinaire de jouer une finale de Ligue des champions. S'il n'avait pas eu cette trajectoire à l'Inter, on m'aurait reproché de l'avoir encensé (rires, ndlr)." Qui va en finale entre l'Inter et Milan rencontre le Real ou City ? "J'espère qu'il y a l'Inter, bien sûr. Une finale est un match en soi, pensez à l'Inter-Barcelone, seul Mourinho et moi étions convaincus de gagner ce match. Je pense que l'idée de pouvoir affronter des équipes comme Le Real ou City doit être une motivation supplémentaire pour l'Inter." Est-il vrai que vous alliez à City avant de venir à l'Inter ? "Oui, j'ai pris la décision dans l'avion. Materazzi m'a envoyé le message Jeudi, puis j'ai dû parler à Moratti le lendemain alors que la proposition était déjà arrivée. Mourinho m'a appelé sept fois mais j'étais en contact avec City. A bord de cet avion, j'ai dit à mon avocat que j'aurais dû aller en Italie. Il m'a répondu que c'était un pays raciste mais je lui ai dit que je voulais le voir de mes propres yeux. La société italienne n'est pas raciste, il y a 2- 3 salopards ici qui font des putains de chants de merde. Je suis content du choix, je suis en paix avec moi-même : regardez ce que j'ai gagné en un an, alors que tout le monde me recommande l'Angleterre." Le sujet de la lutte contre le racisme vous tient beaucoup à cœur. "Mon combat a commencé après que des fans m'aient scandé en m'appelant 'noir'. Je me suis demandé : 'mais comment est-il possible que tu aies payé un billet pour voir un noir, tu es stupide ?'. A partir de là, j'ai changé en tant que personne, je prends des positions que les autres ne comprennent parfois pas parce qu'ils n'ont pas mon expérience." La situation dans le football s'est-elle améliorée sur cette question ? "Oui, beaucoup, mais malheureusement dans certains stades on voit encore des choses désagréables." Traduction alex_j via FCInterNews.
  9. Paroles et musique de Simone Inzaghi rejoint par les micros de Rai Radio 1 après la victoire 0-2 de l'Inter contre la Roma. Impressions générales. "Nous savions que c'était un match très difficile! Je félicite les gars qui doivent être embrassés un par un car nous jouons tous les 3 jours depuis le 1er Avril. Je suis content de tout le monde, de grands éloges doivent être faits car ils font des matchs de grande qualité." Vous avez retrouvé de la solidité défensive et des buts. "Oui, nous avons bien joué. Mais au-delà des buts marqués et de ceux encaissés, il y a l'unité de l'équipe, un groupe qui sait qu'il doit être uni pour sortir de la difficulté, comme ce fut le cas contre la Roma." Mourinho a remporté la Ligue des champions en 2010. Lui avez-vous demandé des conseils pour la demi-finale ? "Nous savons que c'est très important. Avec Mourinho, il y a un grand respect, nous nous sommes dit au revoir et nous nous sommes souhaité bonne chance." Maintenant que vous avez retrouvé Lukaku, à quels choix peut-on s'attendre en attaque étant donné qu'en Ligue des champions vous avez souvent débuté avec Dzeko et Lautaro ? "Je n'ai jamais eu de problèmes d'abondance. Maintenant nous les avons en attaque et au milieu de terrain alors qu'en défense nous avons moins de rotations. Il reste encore 72 heures et ensuite je déciderai très calmement. Tout le monde espère avoir l'embarras du choix!" Comment envisagez-vous la double confrontation de l'Euroderby ? "Ce sera un match très délicat pour les deux équipes. Nous y arriverons avec un long chemin, pour nous deux c'est une demi-finale souhaitée et obtenue. Maintenant, nous allons la jouer chacun avec nos propres armes." Traduction alex_j via FCInterNews.
  10. Vous l’avez très récemment découverte sur les réseaux sociaux entrain de chanter l’Hymne de l’Inter : Elle, c’est Romina Sorbelli qui est Interiste depuis la naissance. Ayant la chance de pouvoir travailler pour nos confrères d'Inter-News.it, celle-ci- s’est livrée à cœur ouvert pour Internazionale.fr A sa demande, vous retrouverez également à la fin de notre article, la version italienne intégrale de notre échange Bonjour Romina, peux-tu nous dire quelque chose à ton sujet ? Quelles sont tes passions dans la vie ? On suspecte un peu la musique... "Volontiers, j’ai 26 ans et je suis étudiante/aspirant journaliste, je suis diplômée en Communication et je termine mes études universitaires à la Faculté de l’Information, de l’Edition, et du Journalisme, j’en ai terminé avec mes examens et j’écris actuellement ma thèse." "Mes passions principales sont aux nombre de trois : Le football, la musique et la cuisine : Celle pour le football se transforme tout doucement en un travail : j’en suis à ma seconde année pour devenir journaliste indépendante, et mon rêve est de devenir une journaliste sportive. J’ai hérité de l’amour de la musique de ma famille, ils sont tous musicien (en plus d’être Interiste) : Je joue de la guitare, du ukulélé, et j’aime chanter et c’est devenu, à tous les effets, un hobby. J’aime aussi la cuisine et j’aime cuisiner, j’aime cuisiner pour tous les autres car je pense aussi qu’il s’agit d’une preuve d’affection." Pourquoi l’Inter ? Est-ce que tu fais partie d’une famille interiste ? Et pourquoi pas une autre équipe ? "Comme je vous l’ai dit auparavant, nous sommes tous interiste dans la Famille. Dans ma Commune, Sutri, il y a un Inter-Club, l’Inter-Club Peppino Prisco, auquel je suis membre depuis toute petite et je dois surement ma passion pour l’Inter à mon père qui est un grand Tifoso Interiste! Comme je l’ai toujours dit, j’ai choisi l’Inter en suivant les traces de mon père, mais j’ai ensuite décidé de moi-même de continuer sur cette voie en suivant par-dessus tout mon cœur, un cœur qui est entièrement Nerazzurro je dirais, il ne pouvait pas en être autrement." "A présent, d’une simple passion, cela se transforme en un travail et cette opportunité m’a été offerte par la Rédaction d’ Inter-News.it, rédaction que je remercierais toujours pour m’avoir fait confiance et m’avoir accueillir au sein de leur famille." Quel est le plus beau souvenir qui te lie à l’Inter ? "Sans aucun doute, la première fois que je suis allé à San Siro, j’avais seulement dix ans et je ne l’oublierai jamais, comme je n’oublierais jamais toutes les soirées passées à l’Inter-Club à voir les matchs, nos diners et nos célébrations pour les victoires. Je me rappelle en particulières d’une soirée organisée pour fêter le Centenaire de l’Inter en 2008 et à cette occasion, j’ai rencontré Recoba et Stankovic, deux de mes idoles. Mais plus que tout, je garderai toujours en moi ma rencontre avec Massimo Moratti, il y a quelques années : C’est une personne accueillante, un gentleman, c’était un honneur et un privilège pour moi de le rencontrer." Que penses-tu du Giuseppe Meazza qui pour nous est une Institution, qui fait partie de l’Histoire mondiale de notre Calcio ? Aimerais-tu qu’il reste encore notre stade ? "San Siro fait partie de nous tous, nous les Interistes, comme je l’ai dit avant, la première fois que j’y suis allé, je n’avais que dix ans et chaque fois que j’y retourne, c’est toujours comme la première fois : Je pense qu’il serait difficile qu’un autre stade parvienne à nous offrir, à nous les Tifosi, les mêmes émotions : San Siro te coupe le souffle." Quel est ton joueur préféré et pourquoi ? "Dans l’absolu, même si c’est forcément prévisible : Javier Zanetti pour ce qu’il représente et représentera toujours pour nous les Interistes : C’est une vrai Institution de l’Histoire Nerazzurra. Mon rêve est de l’interviewer et j’espère y parvenir un jour." "Dans l’actuel noyau de l’Inter, je dirai Nicolò Barella. Au-delà de son talent inégalable, il y a aussi une raison spécifique pour laquelle je me sens proche de ce joueur. Je revenais à San Siro après onze ans d’absence à l’occasion d’Inter-Verona et Barella marquait ce jour-là son premier but en Serie A sous le maillot de l’Inter, un but qui décidait de l’issue de la rencontre. A ce moment-là j’ai compris que cela allait faire la différence et la joie que cela m’a procurée était incroyable car après avoir passé 14h dans le car, j’avais peur de rentrer à la maison sans victoire." "Je pense qu’il doit encore un peu affiner son caractère sur le terrain car il est, de façon objective, très impulsif, mais je sais aussi m’identifier en partie à lui, c’est ce qui fait que je l’apprécie encore. Pour mon vingt-troisième anniversaire, mes amis m’ont offert son maillot que j’endosse à chaque fois que je vais au Stade. Lors du dernier Derby face au Milan, il a porté bonheur !" Que penses-tu de l’Inter cette saison : Vois-tu une explication suite à une telle saison ? "Je pense que l’Inter nous offre tellement de surprise aussi bien en positif qu’en négatif. Après la désillusion de la saison dernière en championnat, j’espérais que nous aurions fait mieux cette année et au contraire, il y a eu cette involution : Je crois que même l’équipe en elle-même n’est pas capable de vraiment l’expliquer, mais je suis habitué à voir le verre à moitié plein : Nous avons gagné des coupes qui nous manquaient depuis tant de temps. Nous devons prendre en considération ce qui nous fait plaisir et pas seulement ce qui nous fait souffrir." "Et ne pas se qualifier à la prochaine Ligue des Champions serait une humiliation bien plus qu’une désillusion, mais nous n’avons pas encore dit notre dernier mot et j’espère qu’en cette fin de saison, l’équipe pourra retrouver de la sécurité et de la concentration aussi en championnat." Qui est pour toi la révélation de l’année et qui, au contraire, t’as le plus déçu ? "Je débute par les désillusions et je pense principalement à deux noms, en écartant Skriniar sur qui nous parlerons ensuite : Romelu Lukaku et Marcelo Brozovic : Ils ont tous les deux été pénalisés par des blessures, mais ils ne se montrent objectivement pas sous leur meilleurs jours. Certains étaient méfiant du retour du belge et d’autres lui ont fait confiance : je fais personnellement partie de la seconde catégorie et, avec le recul, je crois que nous reverrons difficilement le Lukaku de Conte. Et si d’un côté, nous avons perdu notre référence en régie (Brozovic), mais nous faisons la connaissance d’un nouveau Çalhanoğlu qui est parmi les grandes révélations de cette année , lui qui est passé de son poste naturel de Mezz'ala à celui de pivot au milieu de terrain : C’est devenu totalement un nouveau joueur, et il est parmi les meilleurs selon moi." "L’autre grand protagoniste de cette années est Mkhitaryan qui, de réserviste est devenu un titulaire inamovible dans le onze d’Inzaghi et qui est toujours capable de faire la différence et il est surtout infatigable ! Je suis aussi très fier de la saison de Darmian et Dimarco." Comment juges-tu l’incident au Stadium de Turin avec Romelu ? "En un seul mot : Vergognoso (Honteux). Je sais qu’il y a eu une marche arrière et que la FIGC a levé la suspension infligée à l’attaquant Belge. En Italie, on dit “ci hanno messo una pezza” que l’on peut littéralement traduire par "ils ont mis Un pansement sur une jambe de bois". Et c’est ce qu’il s’est passé littéralement : On s’est rendu compte de la très mauvaise image que cela provoquait au niveau mondial et tout a été fait pour y remédier. Toutefois, la décision prise initialement reste, je dirais même mieux, c’est le mauvais message qui a été envoyé qui restera marquant. La conscience demeure qu'une fois de plus il y a ceux qui ont préféré les slogans et les paroles aux actes en eux-mêmes et cela ne peut plus être toléré." Comment te prépares-tu à une rencontre ? Es-tu calme, stressée ? En Famille, au Stade ? "Je suis toujours très tendue avant un match car j’y tiens beaucoup. Lorsque je suivais l’Inter en tant que Tifoso j’allais voir les rencontres au Club et l’ambiance y était très chaude. Aujourd’hui, je vis à Rome, et je regarde les matchs seule et lorsque nous sommes dans les dernières minutes, je suis en direct avec la rédaction d’Inter-News.it (suivez-vous !) ." "Je dois donc me montrer sereine, calme et professionnelle, même si j'ai peut-être mille émotions en moi, mais je dois avouer que très souvent ma spontanéité m'amène à montrer quasiment toutes mes émotions." Penses-tu qu’Inzaghi soit toujours l’homme juste ou devrions-nous changer d’entraineur ? "Je m’en réfère au discours précédent : Je suis habitué à voir le verre à moitié plein : Je pense qu’Inzaghi a ses propres fautes et qui lui manque un peu cette poigne dans certaines situations, mais c’est aussi le premier entraineur depuis Mourinho à avoir remis l’Inter à un certain niveau européen, et à Milan, les titres manquaient depuis très longtemps . Il faut aussi se dire qu’il est à la tête d’une équipe qui manque de tellement de certitudes (je fais référence aussi bien à la situation sociétal qu’aux joueurs en particulier) ce n’est pas facile et nous tirerons le bilan à la fin de la saison. Peu importe comment cela ira, que cela soit positif ou négatif, tout lui retombera inévitablement dessus." Que penses-tu du départ de Skriniar ? "Je pense que nous nous sommes bercés d’illusions et qu’il nous a bercé d’illusions car nous pensions trouver en lui une nouvelle référence, mais il va sans dire qu’en ce moment, c’est très difficile qu’un joueur regarde autre chose que le profit. D’autre part, il n’y a qu’un seul Javier Zanetti." Qui remportera l’Euro Derby ? "On peut passer à la prochaine question ? Blague à part, le Milan et l’Inter traversent une situation similaire : Ils sont, ensemble, momentanément hors des quatre premières équipes en Italie et ils ne réalisent pas un championnat satisfaisant. Toutefois ils sont parvenu à se retrouver parmi les quatre meilleures équipes européennes en battant des adversaires très compétitifs : Ils ont tous les deux de l’expérience et un noyau valable : Celui qui l’emportera sera celui qui aura le moins peur." Que fais-tu si tu es abordée par un Milaniste ou un Juventino ? "Se uno juventino mi stringe la mano, conto le dita (cit!). Si c’est un Juventino, je me coupe les doigts), Plus sérieusement, j’ai beaucoup d’amis dans la vie qui sont des "ennemis" en tant que supporters, mais il y a du respect et chacun se nourrit de ses propres passions. Mais pour te dire la vérité, je suis aussi très compétitrice, il vaut donc mieux ne pas regarder les matchs ensemble !" Vu ton talent pour la musique, si l’on te demandait de produire un nouvel hymne pour le Club, de quoi parlerait-il ? "Je suis plus une interprète qu’une compositrice, mais ce serait surement une chanson qui me ressemblerait un peu : Pleine de passion et d’enthousiasme, une mélodie et un texte qui peuvent te donner cette motivation juste d’avant-match, qui serait adaptée pour célébrer les victoires et qui pourrait aussi te consoler après une défaite : Ce serait un Hymne qui raconterait notre Histoire, la nôtre, celle des tifosi : une histoire d’amour." Versione italiana L'avete scoperta di recente sui social network mentre cantava l'inno dell'Inter: è Romina Sorbelli, interista dalla nascita. Romina Sorbelli, ha la fortuna di lavorare per i nostri colleghi di Inter-News.it e che ha parlato apertamente con Internazionale.fr. Ciao Romina, puoi raccontarci qualcosa di te? Quali sono le tue passioni nella vita? Sospettiamo un po' la musica. 'Volentieri. Ho 26 anni e sono una studentessa/aspirante giornalista. Sono laureata in comunicazione e sto terminando gli studi universitari alla facoltà di Informazione, Editoria e Giornalismo. Ho terminato gli esami e sto scrivendo la tesi. Le mie passioni principali sono tre: il calcio, la musica e il cibo. Quella per il calcio si sta trasformando pian piano in un lavoro: sono al secondo anno di formazione per prendere il tesserino da giornalista pubblicista e sogno di diventare una giornalista sportiva. L'amore per la musica l'ho ereditato dalla mia famiglia, sono tutti musicisti (oltre che interisti). Io suono la chitarra, l'ukulele e adoro cantare ma adesso è diventato a tutti gli effetti solo un hobby. Infine, mi piace la cucina e amo il cibo; mi diverto a cucinare soprattutto per gli altri perché penso che sia una dimostrazione d'affetto." Perché l'Inter? Fai parte di una famiglia interista? E perché questa e non un'altra squadra? "Come accennavo prima, in famiglia siamo tutti interisti. Nel mio paese, Sutri, c'è un Inter Club (Inter Club Peppino Prisco) al quale sono iscritta fin da bambina. Sicuramente devo la mia passione per l'Inter a mio padre, grande tifoso interista! Come ho sempre detto, ho scelto l'Inter seguendo le orme di mio papà ma poi ho deciso di continuare su questa strada seguendo soprattutto il mio cuore. Un cuore interamente nerazzurro direi, e non potrebbe essere altrimenti." "Adesso da semplice passione si è trasformata in un lavoro e questa possibilità mi è stata concessa dalla redazione di Inter-News.it, che ringrazierò sempre per avermi dato fiducia e accolta nella loro famiglia." Qual è il tuo ricordo più bello legato all'Inter? "Sicuramente la prima volta che sono andata a San Siro. Avevo solo dieci anni e non lo dimenticherò mai. Così come non dimenticherò tutte le serate passate all'Inter Club a vedere le partite, le cene e i festeggiamenti per le vittorie. Ricordo in particolare una serata organizzata per festeggiare il centenario dell'Inter nel 2008: in quell'occasione ho incontrato Recoba e Stankovic, due dei miei idoli. E soprattutto porterò sempre con me l'incontro con Massimo Moratti di qualche anno fa. Una persona disponibile e un gentiluomo, è stato per me un onore e un privilegio conoscerlo." Cosa ne pensi dello stadio Meazza che per noi è un'istituzione, parte della storia mondiale del nostro calcio? Vorresti che fosse ancora il nostro stadio? "San Siro è parte di tutti noi interisti. Come ho detto, la prima volta che ci sono andata avevo solo dieci anni e ogni volta che ci torno è sempre come la prima. Penso che difficilmente un altro stadio riuscirebbe a regalare a noi tifosi le stesse emozioni. San Siro toglie il fiato." Chi è il tuo giocatore preferito e perché? "In assoluto (forse scontato) Javier Zanetti, per ciò che rappresenta e rappresenterà per sempre per noi interisti. Una vera istituzione della storia nerazzurra. Il mio sogno è intervistarlo e spero di riuscirci un giorno. Dell'attuale rosa dell'Inter dico Nicolò Barella. Al di là del suo talento innegabile c’è un motivo specifico per il quale mi sono avvicinata a questo giocatore: tornai a San Siro dopo undici anni di assenza nel 2019 in occasione di Inter-Verona. Barella segnò il suo primo gol in Serie A in maglia nerazzurra, decidendo la partita." "Da quel momento ho capito che avrebbe fatto la differenza e la gioia che mi ha regalato è indescrivibile, dopo 14 ore totali di pullman temevo di tornare a casa senza vittoria. Penso che debba affinare solo un po' il carattere in campo. È oggettivamente molto impulsivo ma in parte mi ci rispecchio e questo me lo fa apprezzare ancora di più. Per il mio ventitreesimo compleanno gli amici mi hanno regalato la sua maglietta, che ovviamente indosso ogni volta che vado allo stadio. All’ultimo derby contro il Milan ha portato fortuna!" Cosa ne pensi dell'Inter in questa stagione? Vedi una spiegazione per una stagione del genere? "Penso che l'Inter ci stia regalando tantissime sorprese sia in positivo che in negativo. Dopo la delusione della scorsa stagione in campionato ho sperato che quest'anno potessimo fare molto meglio e invece c'è stata un'involuzione. Credo che neanche la squadra sappia darsi una vera e propria spiegazione ma io sono abituata a guardare il bicchiere mezzo pieno: siamo tornati ad imporci sul palcoscenico europeo dopo anni e abbiamo vinto coppe che mancavano da tempo. Dobbiamo tenere in considerazione quello che ci fa gioire e non solo ciò che ci fa soffrire." "Sicuramente mancare la qualificazione alla prossima Champions League sarebbe un'umiliazione oltre che una delusione, ma non è ancora detta l'ultima parola e spero che in queste ultime giornate la squadra possa tornare a trovare la sicurezza e la concentrazione anche in campionato." Chi è per te la rivelazione dell’anno e chi invece ti ha deluso di più? "Parto dalle delusioni e penso principalmente a due nomi (tenendo fuori Skriniar di cui parleremo dopo): Romelu Lukaku e Marcelo Brozovic. Entrambi sono stati penalizzati dagli infortuni ma oggettivamente non stanno mostrando il loro lato migliore. C'è chi era diffidente sul ritorno del belga e chi invece gli dava fiducia, io faccio parte della seconda categoria ma col senno del poi credo che difficilmente rivedremo il "Lukaku di Conte". Se poi da un lato abbiamo perso il nostro riferimento in cabina di regia (Brozovic) dall'altro abbiamo scoperto un "nuovo" Çalhanoğlu, tra le grandi rivelazioni di quest'anno: spostandosi dal suo ruolo naturale di mezz'ala a perno di centrocampo è diventato totalmente un altro giocatore; tra i migliori a mio parere. Altra grande protagonista di quest'anno è Mkhitaryan che da riserva è ormai titolare inamovibile tra gli undici di Inzaghi e capace di fare sempre la differenza, soprattutto instancabile! Sono anche molto felice per la stagione di Darmian e Dimarco." Come giudica l'incidente allo stadio di Torino con Romelu? "Una sola parola: vergognoso. So che è stato fatto un passo indietro e che la FIGC ha rimosso la squalifica inflitta all’attaccante belga. In Italia si dice “ci hanno messo una pezza”. E a tutti gli effetti è stato così. Ci si è resi conto della pessima figura a livello mondiale e si è tentato in tutti i modi di risolvere. La decisione presa inizialmente comunque rimane, o meglio rimane il messaggio sbagliato che è stato mandato. Resta la consapevolezza che c’è chi per l’ennesima volta ha preferito slogan e parole ai fatti e questo non può più essere accettabile." "Sono sempre molto tesa prima di una partita perché ci tengo molto. Quando seguivo l'Inter (solo) da tifosa andavo a vedere le partite al club e l'atmosfera era molto accesa, ora che vivo a Roma guardo le partite in solitaria e negli ultimi minuti sono in diretta con la redazione di Inter-News.it (seguiteci!), quindi devo mostrarmi calma e professionale, anche se magari dentro ho mille emozioni. C'è da dire però che molto spesso la mia spontaneità mi porta comunque a mostrarle quasi tutte." Pensi che Inzaghi sia l'uomo adatto o dovremmo cambiare allenatore? "Mi ricollego al discorso precedente. Sono abituata a guardare il bicchiere mezzo pieno. Penso che Inzaghi abbia le sue colpe e che gli manchi un po' il "pugno duro" in alcune situazioni. Ma è il primo allenatore dopo Mourinho ad aver riportato l'Inter a certi livelli in Europa e a Milano trofei che mancavano da tempo. C'è da dire anche che guidare una squadra a cui mancano tante certezze (mi riferisco sia alla situazione societaria che a quella dei singoli giocatori) non è facile. Le somme vanno tirate a fine stagione. Ma a prescindere da come andrà, sia meriti che colpe ricadranno inevitabilmente su di lui." Cosa ne pensi della partenza di Skriniar? "Penso che ci siamo illusi, e che ci abbia illuso, di poter trovare in lui un nuovo riferimento ma, sarà scontato dirlo, di questi tempi è molto difficile che un giocatore guardi oltre il guadagno. D'altronde, di Javier Zanetti ce n'è solo uno!" Chi vincerà l'Euro Derby? "Passiamo alla prossima domanda? A parte gli scherzi, Milan e Inter vengono da una situazione simile: entrambe sono momentaneamente fuori dalle prime quattro squadre in Italia e non stanno disputando un campionato soddisfacente, ma sono riuscite a rientrare tra le migliori quattro in Europa battendo avversari molto competitivi. Entrambe hanno esperienza e una rosa valida. Vincerà chi avrà meno paura!" Cosa fai se vieni avvicinata da un milanista o da uno juventino? "Se uno juventino mi stringe la mano, conto le dita (cit!). Scherzo ovviamente, ho molti amici nella vita che sono "nemici" di tifo ma c'è rispetto ed è giusto che ognuno coltivi le proprie passioni. Ma, dico la verità, sono anche molto competitiva quindi meglio non vedere insieme le partite!" Dato il tuo talento per la musica, se ti venisse chiesto di produrre un nuovo inno per il club di cosa parlerebbe? "Sono un'interprete più che una cantautrice ma sarebbe sicuramente una canzone un po' come me: carica di entusiasmo e di passione. Una melodia ed un testo che possano dare la giusta carica nel pre-partita, che siano adatti per festeggiare le vittorie e possano consolare dopo una sconfitta. Un inno che racconti la storia di tutti noi tifosi, una storia d'amore." Je tiens à remercier personnellement Romina, que je vous invite à suivre sur son Twitter Officiel et je tiens également à saluer l’équipe d’Inter-News.it : Suivez-la également via le lien suivant : https://www.inter-news.it/ Ringrazio personalmente Romina, che vi invito a seguire sul suo Twitter ufficiale e saluto anche il team di Inter-News.it: Seguitela anche al seguente link: https://www.inter-news.it/ ®Antony Gilles - Internazionale.fr
  11. En effet, malgré un parcours des plus tumultueux en Serie A cette saison, Simone Inzaghi a atteint cette barrière symbolique des 500 points en carrière comme le révèle la Rosea "L'entraîneur de l'Inter a accumulé ce demi-millier de points en 267 matchs, et ce compris, le match de dimanche dernier face à son ancien club, la Lazio, en montant de la sorte sur le podium des entraineurs les plus précoces d’Italie à y être parvenu: Il n'est devancé que par Maurizio Sarri et Carlo Ancelotti, avec respectivement 255 et 256 matches. Mais c'est aussi en lisant les noms qui le suivent que l'on se rend compte de la grandeur de cette performance, car il ne lui a fallut que sept années dans la profession : Le top 5 est, en effet, complété par Roberto Mancini et Massimiliano Allegri, puis Luciano Spalletti, Walter Mazzarri, Gian Piero Gasperini, Stefano Pioli et Luigi Delneri." "On peut également jeter un coup d'œil sur la moyenne de points de tous les entraîneurs ayant disputé au moins 100 matchs match en Serie A : Là aussi, Simone Inzaghi figure dans le top 10, mais à un rang inférieur, ce qui est compréhensible : Il y occupe la neuvième place précisément, avec un coefficient de 1,87 points par match. Au palier des deux points par matchs, on retrouve le leader incontesté Antonio Conté suivi d’Allegri, Carlo Carcano, Fabio Capello, José Mourinho, Maurizio Sarri, Carlo Ancelotti et Carlo Parola." "Il est curieux que ces objectifs apparaissent précisément au cours d'une saison où la progression enchampionnat risque d'être un boulet "moqueur" dans l'évaluation de ses performances. Se vanter de ses réalisations n'est pas exactement un symbole d'humilité, mais ces chiffres parlent en sa faveur et si à la fin de la saison, la cinquième place est évitée, ces chiffres brilleront d’autant plus sur le torse de l’ancien joueur âgé de 47 ans." Le Saviez-vous ? Comme nous le révèle Tuttosport: Outre le fait qu’il ait atteint les 500 points en un temps record, "Simone dirigera ce soir la 100ème rencontre sur le banc de l’Inter. A la fin de la saison, il aura égalé Mourinho (108) et pourrait même le dépasser en allant à Istanbul. Et il sera parvenu à dépasser Antonio Conte (102) et Giovanni Invernizzi (107), tous des entraîneurs qui, contrairement à lui, ont remporté le Scudetto, le premier "péché capital" imputé à Inzaghi il y a une saison." ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  12. "La Ligue des Champions se décide en mai." Pour paraphraser un vieux proverbe de Giovanni Trapattoni, la lutte pour la qualification à la prochaine Ligue des Champions va se jouer entre six équipes prêtes à concourir pour les trois places restantes. En ce qui concerne l'Inter, comme le souligne La Gazzetta dello Sport, concernant le double Derby électrisant en Demi-Finale et de la Coupe d'Italie, les Nerazzurri devront décrocher le laissez-passer pour la prochaine Ligue des Champions lors du dernier sprint de la saison. Les Nerazzurri auront trois matchs contre des concurrents directs pour pouvoir se qualifier, la Rosea les analyses un par un. Inter-Lazio - 32e journée Maurizio Sarri est deuxième, il n'a pas d'engagements en coupe il se concentre uniquement sur la Série A: Dimanche, il a l'occasion d'envoyer Simone Inzaghi à 10 points de retard et il peut aussi profiter de l'autre gros match entre la Roma et le Milan pour étendre son avance, à condition que la défaite face au Torino n'ai pas sapé le moral et cassé la dynamique des derniers matchs. L'Inter est énigmatique: Brillante en Coupe et démoralisante en Série A, elle a perdu ses trois derniers matches de Serie A à San Siro sans jamais marquer et la Lazio n'a encaissé aucun but lors de ses 5 derniers matches à l'extérieur. Les résultats récent donne l'avantage aux invités, ce qui peut aussi être très bien. Mais la fierté de l'Inter, polie par le succès en Demi-Finale de la Coupe contre la Juve, peut aussi rabattre les cartes sur la table. Simone Inzaghi voyage entre louanges et critiques son Inter doit retrouver un visage unique. Rome-Inter - 34e journée La Lazio et Vérone (à l'extérieur) ne sont pas de simples obstacles pour les Nerazzurri qui concluront un triptyque hebdomadaire à l'Olimpico. Si Inzaghi devra penser au Derby de la Ligue des Champions, Mourinho ne pourra pas ignorer Leverkusen, même s'il aura un jour de repos supplémentaire. De plus, la Roma sera à Monza, face à une équipe qui semble vouloir tout prendre sur son passage. Inter-Atalanta - 37e journée Le discours ci-dessus est valable mais uniquement pour l'Inter, qui saura s'il peut jouer pour la Ligue des Champions. En tout cas, sur le papier Inzaghi dispose du parcours le plus difficile. Il lui faudra un mois avec beaucoup de caractère. Traduction Lindt1908 Via Fc Inter1908
  13. Le Juge Sportif contredit rarement les décisions de l'Arbitre et la Cour, rendant la suspension de l'avant-centre définitive. La disqualification de Romelu Lukaku pour le match retour de la Coupe d'Italie face à la Juventus a été confirmée par la Cour d'Appel. L'avant-centre Belge, victime de grossiers hurlements racistes, a réagi envers la Curva et a été expulsé pour y avoir réagi. Le Corriere dello Sport rapporte : « Le PDG des Nerazzurri, Beppe Marotta, s'est également exprimé lors de l'audience d'hier, demandant aux juges un « choix de courage et de sensibilité » qui irait au-delà de la stricte application des règles . Même à la lumière de l'indignation mondiale pour ce qui s'est passé. Le Juge Sportif contredit rarement l'arbitre et la Cour, rendant définitive la suspension de l'avant-centre pour la Demi-Finale de la Coupe d'Italie mercredi soir à San Siro. Les motifs de la sentence, signés par le président de la Section I, Carmine Volpe, arriveront dans 15 jours. C'est, ironiquement, le même Tribunal qui a décidé de rouvrir le secteur des supporters de la Juventus et qui a confirmé la disqualification en deux matches de Mourinho pour la dispute avec le quatrième officiel Serra. Les raisons "techniques" du choix se devinent déjà : Après avoir marqué, Lukaku aurait dit "idiot, idiot" aux supporters qui l'insultaient. L'officiel de match n'a cependant noté que le "comportement incorrect envers un adversaire et un comportement non réglementaire sur le terrain" comme indiqué dans la décision du Juge des Sports que la Cour a confirmée hier, prenant la responsabilité de faire la plus simple des équations du football : Double jaune égale rouge, égale suspension d'un match, sans compter que dans cette affaire tout le monde a été acquitté sauf celui qui a été traité de « singe ». Massa a continué à arbitrer. Une fois la collaboration du club établie des mesures immédiates ont été prises pour punir les responsables. Tout de suite après la Tribune Sud de l'Allianz stadium a été réouverte. "Le dernier juge que j'ai vu avait plus de vices que le dealer de ma rue". Traduction Lindt1908 Via Fc Inter1908
  14. Simone Inzaghi s’est livré à la conférence de presse d’avant-match, en compagnie de Matteo Darmian, dans le cadre du match retour des quarts de finale de la Ligue des Champions opposant l'Inter à Benfica. Auteur d’un excellent résultat à Lisbonne, l’Inter devra éviter de tomber dans la suffisance ! Pour une meilleure lecture, l’interview de Matteo Darmian fera l’objet d’un second article Quel type de rencontre devra réaliser l’Inter ? "Nous savons que c'est un match très important : Nous partons avec un avantage, mais nous connaissons la valeur de l'adversaire. Nous devons être bons pour ressortir vainqueur de ce duel. Nous pourrions être dans les quatre de l'Europe et ce serait une emprise importante pour nous." Herrera, Invernizzi et Mourinho. Qu'allez-vous demander à l'équipe pour atteindre la Finale comme ces entraîneurs ? "Ce sont de grands entraîneurs. Il est inutile de dire ce que nous avons fait jusqu’à présent nous savons qu'en championnat nous ne sommes pas dans la position que nous voulions. Mais maintenant, nous nous concentrons sur Benfica. Nous savons que nous avons un avantage que nous ne pourrons pas nous permettre gérer. Benfica un grand adversaire qui est dans une mauvaise passe comme nous en termes de résultats, mais pas en termes de jeu." Le fait que vous soyez plongé dans une période d’incertitude est-elle une explication ou un alibi ? "Il faut savoir nous isoler de tout ce qui nous entoure, j’ai de nombreux joueurs en fin de contrat, mais je les vois bien bosser au quotidien : Être critiqué, remis en question ou être en fin de contrat fait partie du football: Il faut savoir se montrer fort mentalement et garder la tête froide." Pensez-vous que quelque chose a changé par rapport au match aller ? "Nous nous présentons avec une défaite à domicile en championnat qui nous ralenti, mais c’est le passé: A présent, nous sommes focalisés sur Benfica, nous savons que nous avons un avantage, mais que nous disputerons une rencontre importante et difficile : Nous devrons faire preuve de bravoure tous ensemble, avec nos tifosi et ce sera intense." "Benfica court énormément et sait couvrir tout le terrain et nous nous devrons de les rendre le moins dangereux possible, je me répète, mais ils sont parvenu à se créer beaucoup d’occasions même dans les matchs où ils se sont inclinés." Comment gérez-vous votre situation personnelle ? Vous êtes en quart de finale de la Ligue des Champions mais on parle d’un éventuel renvoi en cas d’élimination... "A l'Inter, ces rumeurs ne sont pas si étranges, on en parlait déjà avant Barcelone et Porto. Tant que vous me critiquez, ce n'est pas un problème. Il est clair qu'en championnat, le chemin est insuffisant, mais nous avons encore de la marge. Maintenant, nous avons un match très important pour entrer dans le top 4 européen, ce qui serait un grand objectif." Comment gériez-vous vos périodes de crise lorsque vous étiez attaquant : Faisiez-vous des exercices particuliers ? Après Barcelone, aviez-vous pensé que vous pourriez vraiment rentrer dans le top 4 européen ? "Il y avait l’espoir d’y parvenir car nous avons joué contre des équipes extrêmement fortes et que nous avions démontré que nous pouvions les affronter à armes égales. Sur le discours relatif aux attaquants, je dirais que le vrai problème est de ne pas avoir d’occasions : Il suffit juste d’un fait de jeu et la situation changera totalement pour eux, comme pour toute l’Inter." La formation sera-t ’elle différente comparé au match aller ? "J'ai mes idées mais je sais, par expérience, que ce que l'on pense n'est pas toujours réalisable, il me reste deux entraînements et ils m'aideront à prendre ma décision." Au match aller, l'Inter a bien exploité les espaces. Vous attendez-vous à ce qu’il en soit de même ? "La possession sera une phase importante. Au match aller, les deux équipes ont bien joué le jeu, tout comme la phase de non-possession. Nous devrons être bons dans les deux phases." Avez-vous lu la déclaration de Noel Gallagher qui voudrait l’Inter en Finale car c’est la plus faible ? Qu’en pensez-vous ? "C’est un très grand chanteur ! J'espère qu’il aura raison car voir l’Inter en Finale nous rendrait tous fier." ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  15. Massimo Moratti s’est livré à l’occasion de la réception du prix "Grandi Guglie Della Grande Milano" durant la présentation du livre "Interottanta" Inzaghi ? "Vous savez tous très bien qu’il n’aurait jamais survécu jusqu’aux 11 défaites, absolument pas." Un Derby en demi-finale ? "Il y a ce désir de revanche, car en 2003 cela s’est terminé par deux matchs nuls et l’un des nôtres avait d’ailleurs raté un but des plus faciles, il y a de l’envie. D’un autre côté, je ne voudrais pas que ce malaise et cette émotion ne se répète…" Revenir à la Présidence ? "Lorsque tu penses à la somme d’argent que cela nécessite…Je ne vois pas cette solution avec facilité : Une Famille gérée par un Fonds d’investissement peut la gérer, mais cela reste difficile." Un duo Moratti-Pellegrini? "Non, c’est difficile et pour quelle raison le faire ?" Thiago Motta? "C’était un joueur très intelligent et il le prouve aussi comme entraineur, il montre à quel point, lorsqu’il était joueur, il était pragmatique, intelligent et misait sur le résultat." Pour un Conte ou un Mourinho Bis ? "Je suis favorable aux changements qui apporte de l’espérance, je dirais oui sans le moindre doute. L’équipe n’est pas déprimée, mais ses résultats sont déconcertants : En Ligue des Champions, elle est bonne, très bonne." Momo, tu parlais vraiment de la C1 à la fin de l'interview ? ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  16. L'ancien gardien de but légendaire de l'Inter, Julio Cesar, pense que cette équipe de l'Inter sera capable d'aller en Finale de la Ligue des Champions. S'adressant à Amazon Prime, via FCInterNews , le Brésilien a exprimé sa confiance quant aux chances des Nerazzurri d'aller même jusqu'à la finale, tout en faisant des louanges à l'actuel gardien de l'Inter André Onana comme étant de la plus haute qualité. L'Inter a encore beaucoup de travail à faire s'il veut réserver sa place dans le plus grand match européen, mais il est certainement devenu beaucoup plus proche que beaucoup ne l'auraient imaginé. Contre Benfica à San Siro mercredi soir, les Nerazzurri ont l'occasion de concrétiser l'avantage de deux buts qu'ils ont acquis sur l'équipe Portugaise lors du match aller de leur quart de finale. À partir de là, les Nerazzurri rencontreront l'AC Milan ou Naples, selon l'équipe Italienne qui remportera le match retour du quart de finale de ce soir. Étant donné que l'Inter a déjà battu les Rossoneri et les Partenopei en Serie A cette saison, ils auront toutes les raisons de penser que ses deux matchs seront a leurs portés. Du point de vue de Julio César, qui a remporté la compétition avec l'Inter en 2010, il n'y a aucune raison pour que cette équipe ne puisse pas rêver d'une apparition en finale de la Ligue des Champions. "Je pense qu'ils peuvent le faire, tout peut arriver dans le football, mais je vois l'Inter aller en demi-finale après sa victoire à Lisbonne." "Ils ont toutes les chances d'atteindre la Finale, ils se heurtent à des équipes qu'ils ont déjà affrontées." "L'Inter a joué contre des équipes assez difficiles dès les huitièmes de finale, et cela les a fait progresser." "Si le prochain tour s'avérait être un Derby, ce serait bien, même contre Naples, ce serait très ouvert." De sa propre expérience en remportant la Ligue des champions, Cesar a rappelé que: "Moratti tenait beaucoup à gagner une Ligue des champions, j'ai pu le voir tout de suite, puis Mourinho est arrivé." "Nous avons ressenti la pression sur nous, vous sentez toujours les papillons dans votre estomac dans les matchs importants, quand un joueur cesse de ressentir cela, cela veut dire qu'il n'y a plus cette passion." "Puis quand le match commence, tu es concentré et tu oublies tout." Lorsqu'on lui a demandé entre Onana et le portier de l'AC Milan Mike Maignan qui été le meilleur cette saison, Julio Cesar a répondu: "Qu'il y a toujours eu des comparaisons et il y en aura toujours." "J'aime Maignan, et puis Onana montre pourquoi l'Inter le voulait." "Je sais que c'est un gars très positif et optimiste, et c'est un excellent gardien Onana. "Et quand vous commencez à faire des arrêts décisifs, votre confiance augmente." "Les deux gardiens sont dans une très bonne phase actuellement". Traduction Lindt1908 Via SempreInter
  17. C'est l'analyse de Sport Mediaset, car si le match contre Benfica représente un tournant crucial pour l'Inter et pour Simone Inzaghi, les Nerazzurri auront quoiqu'il arrive, besoin d'un choc immédiat pour faire face à un calendrier démentiel avec potentiellement 14 matches à disputer en l'espace de 50 jours calendrier! En effet, si Benfica devient la clé de voûte de la saison Nerazzurra, l'Inter affrontera ensuite Empoli, la Juventus en Coppa Italia et la Lazio pour clore un mois d'avril des plus enflammé. Et si le mois de mai débutera par un match à domicile contre Vérone, il s'en suivra le déplacement à la Roma d'un certain José Mourinho suivi de la rencontre face à Sassuolo qui sera à jouer entre les éventuelles demi-finales de la Ligue des Champions! Mieux encore, si Naples parvient à se qualifier tout comme l'Inter, Simone Inzaghi affrontera Luciano Spalletti trois fois en l'espace de 11 jours, en tenant compte du match de championnat du 21 mai. Enfin, si l'Inter est parvenue à prendre le meilleur sur la Juventus en Coupe d'Italie, la Finale aura lieu après ce tryptique face au club du Vésuve, s'en suivra quatre jours plus tard l''Atalanta, et le dernier déplacement de la saison face au Torino! Un calendrier fou de matchs à enjeu pour une équipe qui ne se transcende que devant l'adversité! ®Antony Gilles - Internazionale.fr
  18. Ça n'arrive pas souvent, mais ça arrive de temps en temps. Les équipes endurcies gagnent généralement la Ligue des champions, mais parfois l'outsider gagne aussi! Ça n'arrive pas souvent, mais ça arrive de temps en temps. Les équipes endurcies gagnent généralement la Ligue des champions , mais parfois l'outsider gagne aussi. C'est arrivé au moins trois fois dans l'histoire de la coupe : le Porto de Mourinho, le Dortmund de Hitzfeld et le Chelsea de Roberto Di Matteo. « Outsider triomphant ? A l'époque de la Ligue des champions, cela arrivait rarement. Mais la finale entre outsiders par excellence fut celle de 2004 à Gelsenkirchen : Porto-Monaco 3-0. L'exploit d'un jeune Mourinho, qui l'année précédente avec les Portugais avait gagné l'UEFA. Face au club de la Principauté emmené par Deschamps, 35 ans, arrivé en Allemagne en favori. Il avait éliminé le PSV, le Real des Galactiques et le Chelsea de Ranieri. Porto a fait sensation avec United, avec un but de Costinha à la 90e minute au retour à Manchester, puis ils ont gagnés contre Lyon et le Deportivo, avec un penalty à La Corogne. Et la victoire en finale". « D'autres surprises ? On se souvient de Dortmund, roi en 1997, en finale avec la Juve de Lippi. Les jaunes et noirs d'Hitzfeld, dans une Coupe à 16 équipes, ont eu la vie facile avec Auxerre en quart de finale, mais en demi-finale. ils ont vaincu l'United de Ferguson, le battant également 1-0 à Manchester. La Juve avait dépassé Rosenborg et l'Ajax et s'était vu attribuer le statut de favori, en tant que champion en titre. Mais ils n'avaient pas considéré Kalle Riedle, 32 ans, ex-Lazio, doublé en finale et 4 buts dans le tournoi, sa meilleure saison en Ligue des Champions." Cech à fait un arrêt exceptionnel sur Robben. Mata à été mauvais pour les Blues. Mais encore une fois le géant Cech s'oppose à Olic, puis Schweinsteiger frappe le poteau gauche et Drogba ne tremble pas. Victoire surprise en Champions du Chelsea de Di Matteo. A Notre Tour!! Traduction Lindt1908 Via Fc Inter1908
  19. L'ancien défenseur du grand Inter Aristide Guarneri s'est exprimé sur son équipe coachée par Herrera, mais aussi celle d'Inzaghi. Interrogé par La Gazzetta dello Sport, l'ancien défenseur du grand Inter Aristide Guarneri s'est exprimé sur son équipe entraînée par Herrera, mais aussi sur celle d'Inzaghi qui vient de battre Benfica à Lisbonne. Il a joué dix ans dans la Grande Inter, remporté trois championnats avec Helenio Herrera, dit le Magicien. Il a perdu un match éliminatoire contre Bologne de Fulvio Bernardini, dit Fuffo. Puis il s'installe à Bologne pour une seule saison, 1968, et devient champion d'Europe avec l'équipe nationale. Puis il a joué pour Napoli avec Sivori et Altafini. « Disons que j'ai vécu des moments de bon football, même importants. Je pense que j'ai joué pour le meilleur Inter de tous les temps et je suis coincé avec le credo de Luciano Ligabue : "Je pense qu'il n'y aura plus jamais d'Inter comme Corso, Mazzola et Suarez, mais cela ne veut pas dire qu'il n'y en aura plus ." d'autres, beaux d'une manière différente". Il y en a eu d'autres. Celui du Phénomène Ronaldo, Mancini et Mourinho. Non? "Bien sûr. Magnifique. Je les ai vus, je les ai applaudis. Mais tout le monde se souvient par cœur de notre formation : Sarti, Burgnich, Facchetti, Bedin, Guarneri, Picchi, etc. Je ne veux pas être nostalgique, mais l'odeur de ce football restera toujours avec moi ». Skriniar? Il ira au PSG… "Cela ne sert à rien de trop en parler. Peut-être qu'il le fait exprès, mais cela ne l'aide pas, ni l'équipe. Ce n'est pas facile de jouer comme ça." Que pensez-vous du défenseur central Skriniar ? « Qu'il n'est pas le plus fort. A vrai dire, il y a peu de défenseurs solides. Ce sera peut-être la formation, le type de préparation...». Qui préfères-tu? « Bremer de la Juve et Kim de Naples. Mais aujourd'hui, ils jouent tous en zone. Ils ont aussi des ennuis car on ne sait jamais quel attaquant va arriver. Facchetti était à l'Inter… «Oui, avec ses petites ailes maléfiques, lui aussi se débattait. Mais Giacinto a marqué environ 60 buts en championnat. Et sans pénalty. C'est Herrera qui l'a construit. Le magicien était un magicien pour ça. On parle de Giacinto et on s'en souvient peu, il n'y a pas beaucoup de mémoire dans le football». Herrera était-il aussi un peu sorcier ? Ou non? « Il savait tout sur tout le monde. Il était intelligent, très intelligent, un motivateur. Maintenant, vous voyez tous ces assistants plier et retourner des papiers sur la touche pour les joueurs. Je ne comprends pas. Mais savent-ils qu'il y a aussi des opposants ? Nous, sur le terrain, avons changé le marquage sans avertir le Magicien. Picchi disait : « Tu vas ici, tu bouges, tu montes ». Et Herrera sur le banc a dit : "Bien, bien". Au fait, connaissez-vous la feuille de Carosio ?». Le fameux saut du match contre la Juventus… «Oui, dans les vestiaires de San Siro. On est tous partants après l'échauffement. Quelqu'un frappe à la porte. Le Magicien demande : "Qui est-ce ?". "Je suis Nicolò Carosio". "Oh, et qu'est-ce que tu veux ?". "Laisse moi entrer…". Herrera ouvre lentement la porte : "Et alors ?". Carosio enlève son chapeau : "J'ai besoin de la composition.". Le Magicien le regarde avec méfiance : "Pourquoi dois-je te la donner ?". "Tu sais, Helenio, pour l'interview, on l'enregistre tout de suite, et il sera à l'antenne à sept heures". Le Magicien de plus en plus prudent : "Est-ce que la Juve t'a donné la composition?". Nicolò sourit satisfait et lui montre une feuille manuscrite : « La voici ». À ce moment-là, Herrera lui arrache le morceau de papier, le met dans sa poche et ferme la porte au nez de Carosio: "Merci, amigo". Puis avec un sourire : « Voyons comment ces gars jouent… »». la Ligue des champions pourrait être pour l'Inter ou le Milan ? "L'Inter a été formidable avec Benfica, Milan a battu un Napoli très fort. C'est sûr qu'il y a un retour, tout est ouvert, mais je pense qu'on pourrait aller en finale. Il y a au moins trois équipes qui sont plus fortes que celles Italiennes, mais l'Inter et Milan sont équipés, ils ont le cerveau et l'expérience. La Champions est, et a toujours été, quelque chose de complètement différent». Traduction Lindt1908 Via Fc Inter1908
  20. Discours d'Antonio Cassano après la réponse de José Mourinho. L'ancien attaquant s'en prend à nouveau à l'entraîneur portugais qui, après Turino-Roma, avait eu son mot à dire sur les polémiques constantes de FantAntonio envers son travail. Comme d'habitude, tout dans la finesse! "Je le répète : en 18 ans de carrière, je n'ai jamais porté de coups avec qui que ce soit. J'ai foiré et j'ai toujours pris mes responsabilités. Mais je n'ai jamais porté de coups. De toute évidence, certains de ses lapins lui ont dit du mal et ont écorné ce cher José." "N'ai-je jamais rien gagné? Le football a toujours été pour moi amour, passion et plaisir. J'ai choisi la Roma pour ces raisons, sinon je serais allé à la Juve. Mourinho va demander à Conti, De Rossi et Totti ce que j'ai fait à Rome. Il a gagné mais il cause un gâchis : il fait des catastrophes, un spectacle dégueulasse." "L'Inter ? Il a gagné ce qu'il a gagné, pas moi, mais j'ai toujours joué pour divertir. Il a gagné en jouant au football crade. Il doit comprendre que, en tant qu'entraîneur, il est pauvre! Il parle, il joue au magicien avec des incompétents. Mais les gens ne sont pas stupides, ils ont compris qu'il était resté 30 ans en arrière. Il a eu la chance d'entraîner de grands champions en jouant à un football de merde." "Le Real Madrid ? J'ai très mal joué, je n'ai jamais joué à cause de mes défauts. Mais s'ils m'ont pris, parmi les Galactiques, cela signifie que j'étais un phénomène. Ils t'ont renvoyé de Madrid parce que tu jouais un football dégueulasse. Et je me souviens d'Inter-Samp, quand tu faisais du bruit, du cinéma, des menottes, incitant tout le monde. Tu ne sais pas parler de foot, José : je peux t'expliquer tout ce que tu veux parce que j'étais un grand footballeur. Michels, Sacchi, Guardiola : ils ont vraiment changé le football et on se souviendra d'eux. José, le jour où tu arrêteras d'entraîner, après trois jours, personne ne se souviendra de toi. Tu ne laisseras que des querelles et des emmerdes!" Sacré Cassano, "Le football a toujours été pour moi amour, passion et plaisir.", c'est sûr que pour lui le football n'était pas "Amour, Gloire et Beauté" Traduction alex_j vis FCInterNews.
  21. L'entraîneur a répondu à l'ancien attaquant pour toutes les fois où il l'a critiqué sur Bobo TV en disant que l'entraîneur se fiche de la Roma! Pas du genre à mâcher ses mots, José Mourinho a encore une fois justifié cette étiquette qui lui colle à la peau. Attaqué par Antonio Cassano cette semaine, qui avait déclaré sur la chaîne Youtube Bobo TV qu’il n’était pas "au niveau" pour entraîner le Real Madrid. Il se fiche de la Roma, il se fout de la gueule du monde. Il veut juste retourner en Angleterre, qui est un championnat qui compte." L'entraîneur de l’AS Rome a réagi après la victoire des siens ce samedi face au Torino (0-1). Et comme souvent, le Special One y est allé sans prendre de gants: Chacun est libre d’avoir ses préférences ou même de critiquer. Mais quand il s’agit des autres, comme Antonio Cassano, les choses sont différentes. Il s’amuse et les autres travaillent sérieusement. Cassano a joué pour la Roma, l’Inter et le Real Madrid. A Madrid on se souvient de lui pour son manteau, avec la Roma, il a remporté une Supercoupe sans jouer et avec l’Inter, il n’a même pas remporté la Coupe de Lombardie. »Vous savez ce que j'ai gagné avec l'Inter, le Real Madrid et la Roma. Il aura un problème avec moi, je n'en aurai pas avec lui. Je ne lui dirai qu'une chose : Attention Antonio, tu as 40 ans et j'en ai 60". Ça t'apprendra Antonio! Traduction Lindt1908 Via Fc Inter1908
  22. Les mots de l'ancien président : "On a des matchs difficiles et l'équipe doit rester concentrée et ne pas subir de chocs". Massimo Moratti , ancien président de l'Inter, a accordé une interview à Radio Anch'Io Sport sur le moment des Nerazzurri. Ce sont ses mots: Quel est le problème avec cet Inter? Le problème est-il Inzaghi ? "Cela représente certainement un problème car c'est l'entraîneur qui a pris la responsabilité de faire avancer l'équipe. Les résultats ne lui donnent pas raison. Ce que je regrette, c'est qu'il y ait un manque de courage notable. Cela ressemblait à un beau match amical. Il n'y avait pas que "je dois gagner à tout prix", je ne l'ai pas perçu. C'était un match important, c'est décisif pour que l'Inter aille en Ligue des champions l'an prochain." Conte serait-il l'homme idéal pour les Nerazzurri ? "En tant que passeur, je ne sais pas, mais en tant qu'entraîneur, il a montré qu'il a été si bon avec nous qu'il est impossible de dire le contraire. Il garantit plus de victoires, c'est sûr." Les engagements de l'équipe nationale affectent-ils les performances des joueurs ? "Je pense que cela dépend de sa forme. Lukaku n'est pas encore en forme. Il n'a pas perdu ses qualités, mais physiquement, il ne tient pas. Que ce soit la faute de l'équipe nationale ou du club, ils sont d'accord mais quelque chose de plus peut être fait". Quelle est votre opinion sur la saison de la Juventus ? "Allegri va très bien. Ce qu'il fait dans un moment aussi difficile est une chose merveilleuse. Il ramène beaucoup de points. Je ne sais pas ce qui va se passer mais il a très bien fait son job." Que pensez-vous de Naples ? "La nuit dernière a été une surprise. Il se prépare à jouer un match difficile en Ligue des champions, où une défaite comme celle-ci aurait été pire. Il a compris que Milan est fort et que traditionnellement, ils évoluent bien en Ligue des champions". Est-il vrai que l'année du triplé, vous étiez sur le point de limoger Mourinho ? "Ce contexte n'est pas vrai, ça ne s'est pas passé comme ça. Nous espérions tous les deux gagner, puis je ne sais pas ce qui s'est passé et il a voulu partir mais aucun de nous ne s'est disputé". Changeriez-vous Inzaghi ? "J'ai changé trop d'entraîneurs, je suis un exemple négatif en ce sens. Nous avons des matchs difficiles et l'équipe doit rester concentrée et ne pas subir de chocs mais elle a aussi besoin d'un réveil. Les managers et le président prendront une décision." Qui aimeriez-vous affronter si vous vous qualifiez pour la Ligue des Champions ? "Je ne sais pas. Je dois dire honnêtement que Naples est la nouveauté de cette année. Ce serait plus excitant". L'avenir de Mourinho en équipe nationale ou les supporters de la Roma peuvent-ils se rassurer ? "J'espère qu'ils pourront se reposer tranquillement à Rome car je le vois bien intégré, je vois la ville heureuse. J'espère qu'il y restera". Traduction Lindt1908 Via Fc Inter1908
  23. L'Inter pourrait être en mesure de signer Paulo Dybala de Roma cet été, douze mois après avoir raté la signature de l'Argentin de la Juventus. Ceci selon l'édition imprimée d'aujourd'hui du journal turinois Tuttosport, via FCInterNews , qui note que le joueur de 29 ans a une clause de libération dans son contrat avec les Giallorossi, et pourrait partir si José Mourinho ne reste pas entraîneur. Dans le cadre de son accord à signer avec la Roma l'été dernier, Dybala a une clause de libération dans son accord avec le club de la capitale. Le montant qu'une équipe en dehors de la Serie A devrait payer pour signer l'ancien joueur de la Juventus et de Palerme serait de 12 millions d'euros, tandis que pour les équipes italiennes, il est de 20 millions d'euros. Tuttosport note que, bien que l'Inter ait renoncé à signer Dybala l'été dernier, il reste une option potentielle sur leur radar étant donné qu'au moins un attaquant devra être amené a quitter l'équipe cet été alors que Joaquin Correa semble être sur le point de partir. Pendant ce temps, du point de vue du joueur, Dybala pourrait décider de quitter la capitale italienne après une seule saison si Mourinho part, en particulier dans le cas où il n'y aurait pas de Ligue des champions la saison prochaine. Dybala nerazzurri cet été? Traduction Lindt1908 Via SempreInter
  24. Devons-nous nous préparer à un jeu de chaise musicale sur le banc des entraîneurs de Serie A ? D’Antonio Conte à Simone Inzaghi, en passant par José Mourinho et Thiago Motta, cet été risque d’être animé dans la Botte ! Révélation de Fabio Caressa sur Sky Sport ®RTL-INFO "Je savais, avant même Noël, que l’histoire allait se finir comme ça avec Tottenham : Conte a un leadership obsessionnel qui part de la tête, il vous apporte les outils afin de pouvoir faire ressortir le meilleur de vous, mais cela fini par user ses équipes: Et si Antonio ne voit pas que le Club le soutenir sur certaine choses, cela ne lui convient pas, il n'est pas là pour jouer pour la cinquième place, il veut avoir au moins la possibilité de l’emporter, sinon il se barre." "Une nouvelle porte s’ouvre pour l’entraineur selon moi : Je crois que Conte est le seul qui pourrait faire remporter la Ligue des Champions au Paris-Saint-Germain : Antonio peut y parvenir, c’est le seul. Mais Paris misera sur Thiago Motta, il y a déjà eu une rencontre avec lui : Les choses peuvent aussi changer mais l’ancien milieu de terrain connait bien l’environnement et c’est un atout à mettre en avant." "Conte présent sur le banc du mercato des entraineurs change pas mal de chose, mais si Mourinho dit certaines choses sur Tottenham, qu'un autre type d'entraîneur arrive et que les Spurs ne gagnent toujours pas , et qu’ensuite Antonio Conte arrive et que la même situation se reproduit, peut-être que quelque chose ne va pas dans le Groupe et qu'il voulait que le club prenne ses responsabilités." ®Antony Gilles – Internazionale.fr
×
×
  • Créer...

Information importante

En naviguant sur ce site, vous acceptez l'utilisation des cookies. Nous ajoutons des cookies sur votre appareil pour aider à améliorer votre expérience sur notre site. Consultez notre Politique de confidentialité. Vous pouvez choisir d’ajuster vos paramètres de cookie, sinon nous supposerons que vous êtes d’accord pour continuer...