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L'Inter pourrait être en mesure de signer Paulo Dybala de Roma cet été, douze mois après avoir raté la signature de l'Argentin de la Juventus. Ceci selon l'édition imprimée d'aujourd'hui du journal turinois Tuttosport, via FCInterNews , qui note que le joueur de 29 ans a une clause de libération dans son contrat avec les Giallorossi, et pourrait partir si José Mourinho ne reste pas entraîneur. Dans le cadre de son accord à signer avec la Roma l'été dernier, Dybala a une clause de libération dans son accord avec le club de la capitale. Le montant qu'une équipe en dehors de la Serie A devrait payer pour signer l'ancien joueur de la Juventus et de Palerme serait de 12 millions d'euros, tandis que pour les équipes italiennes, il est de 20 millions d'euros. Tuttosport note que, bien que l'Inter ait renoncé à signer Dybala l'été dernier, il reste une option potentielle sur leur radar étant donné qu'au moins un attaquant devra être amené a quitter l'équipe cet été alors que Joaquin Correa semble être sur le point de partir. Pendant ce temps, du point de vue du joueur, Dybala pourrait décider de quitter la capitale italienne après une seule saison si Mourinho part, en particulier dans le cas où il n'y aurait pas de Ligue des champions la saison prochaine. Dybala nerazzurri cet été? Traduction Lindt1908 Via SempreInter
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Thiago Motta vers le Paris-Saint-Germain ?
Victor "Antony" Newman a posté un article dans Coupes d'Europe
Devons-nous nous préparer à un jeu de chaise musicale sur le banc des entraîneurs de Serie A ? D’Antonio Conte à Simone Inzaghi, en passant par José Mourinho et Thiago Motta, cet été risque d’être animé dans la Botte ! Révélation de Fabio Caressa sur Sky Sport ®RTL-INFO "Je savais, avant même Noël, que l’histoire allait se finir comme ça avec Tottenham : Conte a un leadership obsessionnel qui part de la tête, il vous apporte les outils afin de pouvoir faire ressortir le meilleur de vous, mais cela fini par user ses équipes: Et si Antonio ne voit pas que le Club le soutenir sur certaine choses, cela ne lui convient pas, il n'est pas là pour jouer pour la cinquième place, il veut avoir au moins la possibilité de l’emporter, sinon il se barre." "Une nouvelle porte s’ouvre pour l’entraineur selon moi : Je crois que Conte est le seul qui pourrait faire remporter la Ligue des Champions au Paris-Saint-Germain : Antonio peut y parvenir, c’est le seul. Mais Paris misera sur Thiago Motta, il y a déjà eu une rencontre avec lui : Les choses peuvent aussi changer mais l’ancien milieu de terrain connait bien l’environnement et c’est un atout à mettre en avant." "Conte présent sur le banc du mercato des entraineurs change pas mal de chose, mais si Mourinho dit certaines choses sur Tottenham, qu'un autre type d'entraîneur arrive et que les Spurs ne gagnent toujours pas , et qu’ensuite Antonio Conte arrive et que la même situation se reproduit, peut-être que quelque chose ne va pas dans le Groupe et qu'il voulait que le club prenne ses responsabilités." ®Antony Gilles – Internazionale.fr- 1 commentaire
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Mourinho sur le départ, Dybala vers l'Inter ?
Victor "Antony" Newman a posté un article dans Serie A
C'est l'information relayée par Tuttosport: "Si l'Argentin était tout proche de porter le maillot de l'Inter la saison dernière, avant de rejoindre finalement la Roma, un nouvel assaut est-il à prévoir cette été ?" "L'Inter n'a pas arrêté de penser à Paulo Dybala, surtout Giuseppe Marotta qui avait tout tenté pour faire signer l'Argentin l'été dernier et qui l'a même gardé en stand-by dans l'espoir que le départ d'Alexis Sanchez adoucisse le délicat équilibre de la masse salariale cher au Président Steven Zhang. Et la saison, jusqu'à présent, a montré que Dybala aurait été très utile à l'Inter: Les statistiques le confirment, les difficultés offensives des Nerazzurri face à des blocs fermés également là où le jeu de Dybala, son imagination et ses dribbles, auraient fait la différence." "En fin de saison, l'Inter devra revoir son secteur offensif avec une seule certitude qui se nomme Lautaro Martinez, tandis que les trois autres joueurs à la disposition de Simone Inzaghi ont tous un point d'interrogation au-dessus de leur tête: Et si finalement Edin Dzeko et Romelu Lukaku venaient à rester, il faudra tout de même trouver un "arrangement" complexe pour Joaquin Correa. Il faudra donc recruter au moins un attaquant et entre des profils gratuits et des joueurs assez couteux, voir même des joueurs âgés, Paulo Dybala pourrait à nouveau être considéré comme un premier choix." " La Joya, en effet, a signé un contrat de trois ans avec la Roma pour 3,8 millions plus des bonus, mais il y a aussi une double clause de résiliation dans le contrat. Une pour l'étranger de 12 millions d'euros et une pour l'Italie de 20 millions d'euros. Celle pour les clubs de Serie A donne à la Roma la possibilité de l'annuler en augmentant son salaire à 6 millions d'euros net et en cas de départ, les Giallorossi percevraient 80% des 20 millions, tandis que 20% iraient à l'Argentin." "Si la Roma a une carte pour garder Dybala, tout dépendra de la fin de saison liée à la Ligue des Champions, mais surtout de la volonté de José Mourinho de rester dans la capitale car si le Portugais part, il sera très compliqué pour la Roma de conserver son joueur." Valideriez-vous le packaging Dybala-Mourinho à la Pinetina ? ®Antony Gilles - Internazionale.fr- 3 commentaires
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Interviewé par Tuttosport, Alessandro Altobelli analyse le passage de l'Inter en se tournant également vers l'avenir proche. Votre avis général ? "L'Inter a une bonne équipe mais je ne suis pas si satisfait des résultats. Vous ne pouvez pas perdre neuf matchs en championnat. Sur 27 matchs, c'est une défaite tous les trois matchs. Je n'aime pas non plus le fait que trop de buts soient encaissés, malgré leur propre force : les Nerazzurri ne paient pas pour leur propre valeur." Que pensez-vous de Lukaku? L'Inter devrait-il continuer à se concentrer sur lui ? "C'est un joueur particulier. Avec Conte, c'était un pilote, décisif pour gagner le Scudetto. Puis il est allé à Chelsea et cela ne s'est pas bien passé. Il a donc voulu retourner en Italie mais aujourd'hui, ce n'est plus ce Lukaku que tout le monde se souvient de sa première aventure Nerazzurri. Il ne passe pas un bon moment, il ne marque pas, il a du mal. De plus, il est également prêté : je pense que l'histoire de Lukaku avec l'Inter est terminée... à moins que d'ici à la fin, il ne nous fait voir des choses extraordinaires." Aujourd'hui, le principal attaquant de l'Inter est Lautaro. "Je l'aime beaucoup, je le considère comme l'un des meilleurs buteurs du championnat italien. Et cela se voit aussi dans le classement des buteurs. Il participe à l'action, chasse et défend. Pour moi, c'est un joueur complet. Je suis satisfait de lui. Alors c'est vrai, grâce aux qualités qu'il possède, il pourrait marquer plus, j'espère que ce saut de qualité viendra bientôt car avec les buts de Martinez, l'Inter pourrait aller loin dans les coupes et gagner plus de matchs en championnat." Dzeko a beaucoup tiré mais n'a pas marqué depuis début Janvier. "C'est vrai, mais je l'aime bien en tant qu'attaquant. Il sait ce qu'il a à faire, il connaît les moments du match. Il peut donner un coup de main à l'équipe." Le garderiez-vous à Milan encore un an ? "Je ne veux pas parler de chiffres mais seulement du plan technique, aussi parce que si nous regardons le côté économique, nous devrions remonter aux dix dernières années et voir combien de dettes l'Inter a contractées avec de mauvais achats. Cela dit, je garderais Dzeko." Et Corréa ? "L'Argentin avait très bien joué à la Lazio et Inzaghi le connaissait parfaitement. Il l'a amené à Milan avec l'idée qu'il pourrait être utile en tant que troisième ou quatrième attaquant. De toute évidence, cependant, ce n'est pas un joueur qui peut jouer en réserve. Avec la Lazio, il avait plus de confiance, il était en phase avec tout le monde, parmi les Nerazzurri, il n'a pas réussi. Je ne pense pas qu'il faille dire qu'il n'est pas un joueur de l'Inter, juste qu'il n'était pas le type de joueur auquel l'Inter s'attendait. Il aurait dû être prêté lorsqu'on l'a appelé mais cela ne s'est pas produit. Peut-être qu'il n'est pas de ceux qui peuvent jouer en tant que quatrième attaquant." Avec le recul, n'aurait-il pas été préférable de confier ce rôle à des gens comme Satriano ou Mulattieri qui s'en sortent si bien avec Empoli et Frosinone ? "Absolument. En fait, le moment est venu de donner plus d'espace à ces gars qui se montrent quand ils sont prêtés ailleurs. Si l'un sort de la Primavera de l'Inter et qu'on lui demande de jouer en équipe première, il donne le maximum, mille pour cent, même pour une minute. Contrairement peut-être à ceux qui sont achetés de l'extérieur, ils aiment être dans la formation de départ et ne donneraient rien s'ils entraient pour une très courte période." Que pensez vous d’Inzaghi? "Il a remporté trois trophées et est en quart de finale de la Ligue des champions. Mais à mon avis, il pourrait obtenir beaucoup plus de cette équipe." L'Inter peut-elle rêver de gagner la Ligue des Champions ? "Tout d'abord, je dirai que si les Nerazzurri ne triomphent pas, j'espère que Napoli pourra ramener la coupe en Italie car aucun club italien ne l’a ramenée depuis le triplé de Mourinho. Cependant, il ne faut pas penser que Benfica est une équipe facile à gérer, ni qu'il s'agit d'un simple duo. Les Portugais ne sont pas là par hasard. Ils ont éliminé la Juventus et ont terminé premiers du groupe devant le PSG. Ensuite, il est logique que si vous voulez aller loin, vous devez vous casser la tête et les éliminer. En demi-finale, il y aurait donc un derby italien et là tout dépendrait des performances futures. Il faut dire que l'Inter, ainsi que Milan et Naples, ont très bien fait en Ligue des champions jusqu'à présent. Qui sait..." Si Inzaghi devait mettre un terme à son expérience à l'Inter, sur qui parierez-vous ? "Je serais indécis concernant Mourinho et Conte. Je les considère comme deux grands entraîneurs, parmis ceux qui ont tant donné et gagné à l'Inter. Je suis sûr qu'ils gagneraient plus de trophées avec les Nerazzurri." Thiago Motta devra patienter. "Oui, je lui donnerais plus d'expérience, le temps est de son côté." Traduction alex_j via FCInterNews.
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Les propos du journaliste : "Le scénario voit Mourinho-Real Madrid, Ancelotti-Brésil et Conte qui feraient de fausses cartes pour revenir à l'Inter" S'adressant aux micros de TMW Radio, Fabio Santini , journaliste, a ainsi évoqué un possible retour d' Antonio Conte à l'Inter : « Conte gagne 15 millions nets par an à Tottenham. Je vois Mourinho-Real Madrid, Ancelotti-Brésil et Conte qui feraient de fausses cartes pour revenir à l'Inter : l'Inter n'a pas d'argent, ils ne peuvent pas supporter un entraîneur aussi fort avec une présidence aussi faible. Je n'exclurais donc pas les Romains, s'ils décident de réduire son salaire, ou une année sabbatique en bonus. Telle est la situation, voyons maintenant ce qui va se passer. Il a le profil adapté à une reconstruction. Si l'Inter voulait se reconstruire, il serait idéal. Je le vois bien à Rome pour ça. Reviendrait-il vraiment à l'Inter ? Oui, il y a déjà eu des contacts il y a quelque temps mais l'Inter n'y arrive pas." Antonio prépare t-il son retour en Série A? Traduction Lindt Via Fc Inter1908
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Des esprits très chauds après le derby d'hier entre la Lazio et Rome. Il y aurait eu une vive dispute entre Mourinho et Lotito! Des esprits très chauds après le derby d'hier entre la Lazio et Rome. Selon ce qui a été reconstitué par la Gazzetta dello Sport, il y aurait eu une vive dispute dans le vestiaire de l'Olimpico entre l'entraîneur des Giallorossi, Josè Mourinho, et le président des Biancoceleste, Claudio Lotito. Il s'est dit: " En quittant le terrain, Romagnoli en effet, selon la Roma, s'est écarté de l'itinéraire autorisé. Il serait passé devant le vestiaire de la Roma en disant à haute voix: " Maintenant, tu ne parles plus ? ". A ce moment-là, Mancini est venu il aurait insulté la Lazio avec un "morceau de m...". Le président Lotito est intervenu et a commencé à les diviser, tandis que tout le monde s'échauffait. Malgré la défaite, José Mourinho est apparu. Le Special One aurait adressé a Lotito en disant : "Qui crois-tu être.... ? " Le numéro un de la Lazio aurait répondu : "Je suis le président de la Lazio et qui es-tu ? C'est chez moi, tu ne devrais même pas être ici". et il a fallu les diviser, Pinto est intervenu pour essayer de faire la paix! Ambiance, ambiance Traduction Lindt1908 Via Fc Inter1908
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Les mots de l'ex-footballeur : "L'Inter a énormément souffert. Ils feront passer Inzaghi pour quelqu'un qui a atteint un énorme objectif : pas du tout! S'adressant aux micros de Bobo TV, Antonio Cassano , un ancien footballeur, évoquait ainsi la qualification de l'Inter pour les quarts de finale de la Ligue des Champions : « Si on doit être honnête, l'Inter a eu beaucoup de chance entre les tours. Sur le papier, Cependant, l'Inter est beaucoup plus fort que Porto. Dans ces matches, il faut suivre le rythme, il faut avoir la qualité que les Nerazzurri n'ont pas : ils n'ont joué que le ballon et voyons. Au niveau international, c'est difficile si vous n'avez pas de champions qui fassent la différence : si Onana ne fait pas le gros arrêt, on va en prolongation. L'Inter a énormément souffert. Ils feront passer Inzaghi pour quelqu'un qui a atteint un objectif énorme : absolument pas. Avec Barcelone, ils n'avaient rien à perdre s'ils le jouaient en jouant un grand match : face à une équipe bien moins forte et inférieure à eux-mêmes, l'Inter n'a préparé qu'un match défensif. C'était un Inter moche et chanceux : ils sont passés devant et nous sommes contents, mais ce n'est pas suffisant pour le tour suivant, la chance est bonne une fois. Lautaro ? Je l'adore beaucoup, mais je m'attends à ce qu'il soit là dans ces genres de matches. Je m'attends à quelque chose de différent du joueur le plus fort de l'Inter. Les déclarations d'Inzaghi ? Renvoyez-le en mai. Les fans se font jeter de la fumée au visage pour pisser dessus, stop. Entre l'aller-retour que tu ne mérites pas, tu as joué un match nul : et tu me dis que tu as mérité et marqué l'histoire pour un quart de finale ? Ces mots montrent clairement que l'entraîneur n'est pas génial. S'il le pense vraiment, c'est une limite : ce n'est pas un grand entraîneur qui peut faire gagner l'Inter. Parlera-t-il bientôt ? Qu'est-ce que tu veux dire? Vous avez l'équipe la plus forte de la ligue et vous faites de la merde. Inzaghi a tout le temps d'évoluer, sinon il finira comme Allegri et Mourinho." Traduction Lindt1908 Via FcInter1908
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José Mourinho, de son nom complet José Mário dos Santos Mourinho Félix, est un entraîneur de football portugais. "The Special One" comme il se surnomme lui-même, bien que décrié par certains, et adulé par d'autres, fait partie des meilleurs techniciens au monde. Mourinho fut notamment l'entraîneur du FC Porto et de Chelsea. Il quitte son poste d'entraîneur de Chelsea le 19 septembre 2007 au soir, officiellement à l'amiable, à la suite d'une altercation orageuse avec le président du club Roman Abramovitch, après un match nul concédé contre Rosenborg à domicile en Ligue des Champions. CARRIERE Nouvel Entraineur de l'Inter, il fut entraîneur et manager du Chelsea Football Club du 2 juin 2004 jusqu'au 19 septembre 2007. Il dirigeait le FC Porto avant d'arriver au club londonien. Avec le club portugais, il remporte la Coupe UEFA, la Ligue des Champions 2 coupes du Portugal et deux Championnats du Portugal de football. Il est né le 26 janvier 1963 à Setúbal au Portugal. Il est le fils de l'ancien gardien de but Félix Mourinho. Il ne poursuit pas de carrière de joueur professionnel mais montre des aptitudes au management. Il détient une formation universitaire en éducation physique spécialisé dans le football. C'est avec cette formation qu'il commencera comme soigneur. Remarqué par l'entraîneur de l'Estrela da Amadora, il se verra offrir un poste d'assistant-entraîneur. Ensuite viendront des postes comme traducteur puis entraineur-adjoint pour des entraîneurs comme Bobby Robson et surtout Louis Van Gaal qui est sans aucun doute le manager qui influencera le plus Mourinho dans la façon de diriger un club de football, lors de son passage au FC Barcelone. Après son séjour en Catalogne, Mourinho retourne au Portugal où il prend en charge le Benfica Lisbonne. Mais il se fera vraiment connaître en tant qu'entraîneur d'abord de l'Uniao Leiria puis surtout du FC Porto durant les saisons 2002-2003 et 2003-2004. Il ne résistera pas aux sirènes du milliardaire russe de Chelsea, Roman Abramovitch, désireux de bâtir un club de football de tout premier plan sur la scène européenne. Il devient l'entraîneur le mieux payé du monde (£4,2 millions en 2003, puis £5,2 millions en 2005). La célébrité de Mourinho en tant qu'entraîneur n'a d'égal que son côté provocateur, ce qui lui vaut de nombreuses inimitiés dans le monde du football. En effet, ses déclarations tapageuses et son ton arrogant (il s'est autoproclamé "The Special One" et a traité Arsène Wenger de "voyeur", parce que selon lui, il passait son temps à regarder et à parler de Chelsea, avant de s'excuser) ont fait le bonheur des tabloïds britanniques. Le 19 septembre 2007, après un début de saison difficile (défaite face à Aston Villa en championnat, match nul face aux Blackburn Rovers et contre Rosenborg en Ligue des Champions), Mourinho décide de quitter le club, sous la pression du propriétaire du club, Roman Abramovich, avec lequel il entretenait des relations difficiles depuis plusieurs mois. Selon le club, le départ se fait par consentement mutuel. En trois saisons, Mourinho fait mieux que tous les entraîneurs précédents de Chelsea, avec deux titres de champion d'Angleterre, une Coupe d'Angleterre et deux Coupes de la Ligue. Seule la Ligue des Champions se refusera à lui (deux fois demi- finaliste: 2004-2005 et 2006-2007), ce qui constitue une des raisons de son départ. De plus, Mourinho, en comptabilisant les saisons passées à Porto et à Chelsea, détient le record d'invincibilité en championnat à domicile avec 99 matchs sans défaite en 5 saisons (38 matchs invaincu avec Porto et 61 avec Chelsea). Il a donc finalement signé, ce mardi 02 juin 2008 un contrat de trois ans qui le lie à l'Inter. CLUBS 2000-2001 Benfica 2001-2002 UD Leiria 2002-2004 FC Porto 2004-2007 Chelsea 2008 Internazionale F.C. PALMARES 2003 Coupe UEFA avec le FC Porto Coupe du Portugal avec le FC Porto Supercoupe du Portugal avec le FC Porto Champion du Portugal avec le FC Porto Meilleur entraineur d'Europe selon l'UEFA 2004 Ligue des Champions avec le FC Porto Championnat du Portugal avec le FC Porto Finaliste de la coupe du Portugal avec le FC Porto Meilleur entraineur du monde (source IFFHS) Meilleur entraineur d'Europe selon l'UEFA 2005 Carling Cup avec Chelsea FC. Champion d'Angleterre avec Chelsea FC Community Shield avec Chelsea FC Entraîneur de l'année Meilleur entraineur du monde (source IFFHS) Meilleur entraineur d'Europe selon l'UEFA 2006 Champion d'Angleterre avec Chelsea FC Entraîneur de l'année Meilleur entraineur de Premier League 2007 Carling Cup avec Chelsea FC. FA Cup avec Chelsea FC. Vice champion d'Angleterre Posté le 02 juin 2008 à 16.05 par Randy Sources associé(e)s: Wikipedia
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En effet, au triple coup de sifflet final scellant la qualification de l'Inter pour les quarts de finale de la Ligue des Champions, Simone Inzaghi s’est livré en conférence de presse. Voici ses déclarations relayées par nos confrères de Fcinter1908.it De quoi êtes-vous le plus fier ? "Du groupe, des garçons qui ont réalisé quelque chose d’Historique, qui nous manquait depuis tant de temps avec des milliers de difficultés : Nous avons connus des problèmes la veille du match et pendant celui-ci, et nous faisions face à un adversaire redoutable : Nous allons profiter de la soirée car nous avons réalisé le pas important que nous voulions : L’Inter et les Tifosi en avaient besoin, nous sommes en quart de finale et nous y participeront avec énormément d’enthousiasme." Que vous faut-il encore pour que ce qu'il s'est produit ce soir devienne un tournant de la saison ? "Il y a dix-huit mois, j’ai été appelé pour qualifier l’Inter en huitième de finale : Il m’avait été demandé de terminé dans le top quatre car il y avait quelques problèmes à mon arrivée. J'ai réalisé un travail important composé de titres et de victoire avec quelques défaites qui peuvent arriver. L’Inter est seconde, elle est en quart de finale de la Ligue des Champions, ce qui représente un immense objectif d’atteint : C’est juste de profiter de ce résultat, ensuite je penserai au quart de finale : Mes garçons sont capable de tout et il ne faut pas oublier que nous sommes second en championnat." C’est une partie Mourinhnienne qui rappelle celle du Nou Camp en 2010, est-ce que cet environnement vous a permis de faire ressortir quelque chose de plus ? "Nous n’avons pas souffert à part dans le dernier quart d’heure : Onana a été décisif mais l’équipe s’était auparavant montrée courageuse : Nous avons connu quelques petits problèmes, mais l’Inter mérite sa qualification sur l’ensemble des 180 minutes, car elle a l’a voulu de toute ses forces, sans encaisser de buts, face à une équipe composée de grands attaquants." Les Quarts de finale de la Ligue des Champions et second de Serie A, faut-il voir en ses résultats le verre à moitié plein ? "Je n’ai aucune revanche à prendre et ce n’est pas le moment d’en parler. Je sais quel est le parcours que j’ai réalisé ici, à l’Inter, avec mon Staff et les grands hommes que sont les joueurs à ma disposition." "Lors des douze dernières années, l'Inter a remporté un Scudetto qui a causé quelques problèmes financiers et au cours des 18 derniers mois, j’ai remporté trois titres et nous sommes en quart de finale de la Ligue des Champions, c’est facile de parler de Simone Inzaghi parce que l'éducation et l'intelligence sont peut-être confondues dans la vie. Quand le moment sera venu, je parlerai : je le dois à moi-même et à ma famille." Que faut-il améliorer en phase offensives ? "Aujourd’hui, nous avons eu quelques situations que nous aurions du bien mieux exploiter avec Barella et Lautaro, mais ce n’est pas le moment de critiquer. Nous sommes la seconde meilleure attaque de Serie A et l’année dernière nous étions la meilleure, lorsque nous avons un but en ligne de mire, nous essayons de l’atteindre : Ici le but de Lukaku a suffi lors de cette double confrontation et c’est juste de profiter de cette qualification en quart de finale. Dès demain, je penserai à la rencontre face à la Juventus." Mais c’est qu’il nous sort ses biscotto le petiot ! ®Antony Gilles – Internazionale.fr
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Jorge Nuno Pinto da Costa est le Président du Fc Porto depuis le 17d’avril 1982 et celui-ci s’est livré à la Gazzetta Dello Sport sur la rencontre à venir face à l’Inter et sur l’évolution du Calcio au cours de ces dernières décennies : "Le sentiment de Vendetta n’existe pas dans le football, l’Inter cherchera à faire de son mieux, et pour nous, ce sera exactement la même chose." Place à présent à la tentative de remontée sur l’Inter, mais vous avez déjà fait pleurer le Calcio : Auquel de nos clubs êtes-vous le plus lié ? "Dans le football, il n’y a de juste milieu, seule la victoire vous rend heureux et les parties face aux italiens sont toujours des rencontres enthousiasmantes car elles sont très compétitives et incertaines et je n'en attend pas moins dans ce huitième de finale." "Nous gagnons, nous perdons, mais ce qui compte c'est le fait de continuer à vous défier en Europe car nous sommes ambitieux, tout comme vous: Si je devais choisir une rencontre, j’en choisirais une lorsque je n’étais pas encore Président mais Administrateur-Délégué : La Coupe des Champions 1979-1980 et le 0-1 de San Siro face à Milan avec un but de Duda." Comment jugez-vous la différence entre le modèle de Porto et de l'Inter, où son propriétaire qui n’est pas italien, a bloquér les investissements ? "Notre situation est différente de celle de l’Inter et du Calcio d’une manière Générale : Porto appartient aux Socios, il s’est organisé pour rester à l’abri de tout investisseur. Chaque pays propose son propre modèle, je ne pourrais pas dire lequel est meilleur que l’autre, mais le nôtre se basera toujours sur ce sentiment d’appartenance: Ensuite, les joueurs qui sont ici sont dans de parfaites conditions pour s’améliorer, ils sont choisis sur base de certaines qualités et nous nous montrons patient." Au début de votre Mandat, le Calcio était la force dominante, à présent il l’est nettement moins, comment expliquer un tel déclin ? "Oui c’est vrai, lorsque je suis devenu Président, le Calcio était le plus dur du Monde, le système a bénéficié aussi aux Présidents qu’étaient les Berlusconi, Moratti et Agnelli, mais à présent tout ce pouvoir a été transféré en Angleterre et vos clubs ont perdu de leurs superbes car ils ne sont plus dirigés par des personnes ayant l’expérience de ceux que j’ai cité. Ceci étant dit, vous restez toujours parmi les meilleurs et ce n’est jamais facile de vous faire face comme le prouve l’Inter. En 41 ans de Présidence, ma plus grande fierté est celle d’être parvenu à nous maintenir toujours compétitif en Europe." Sergio Conceiçao vous a-t ’il parlé de son ami Inzaghi ? "Oui, et son vécu en Italie a été très formateur pour Sergio. Je ne connais pas énormément le travail d’Inzaghi mais pour entrainer un des plus grands clubs du Monde, tu te dois d’avoir des qualités : Plus que l’entraineur ou des individualités, j’ai peur du Collectif de l’Inter." Tôt ou tard, verrons-nous Sergio en Italie et peut-être à l’Inter ? "Il est compétent et passionné par son travail, c’est l’un des meilleurs entraineurs du football européen. Ce n’est pas moi qui le dit, mais ses résultats : Il a de la qualité pour travailler n’importe où, mais il se trouve déjà dans le bon club et j’espère qu’il restera." Il y a une connexion entre Porto et l’Inter qui se nomme José : Comment jugez-vous le Mourinho romain ? "Son succès ne me surprend pas : Il est au sommet depuis plus de deux décennies et après la Roma, il aura face à lui de nouveaux grands défis et d’autres grands clubs tout simplement parce que c’est un prédestiné." L’expérience et le Fair-Play d’un Président à l’ancienne ®Antony Gilles – Internazionale.fr
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Que peuvent bien avoir en commun José Mourinho, Antonio Conte, Achraf Hakimi, Romelu Lukaku et à présent, Ivan Perisic ? Après leur départ de l’Inter, TOUS, ont regretté très amèrement ce choix ! Révélation de Marco Barzaghi Dans une vidéo publiée sur sa chaîne YouTube, Marco Barzaghi journaliste à Sky Sport, s’est livré sur Ivan Perisic, éliminé hier, en Ligue des Champions avec son équipe de Tottenham face à l’Ac Milan… "Je vous l’aviez dit qu’il serait difficile, dès la phase aller, de revoir le Perisic de la saison dernière et qu’il y avait toujours la phase descendante: Perisic aussi aimerait revenir, d’autant plus qu’il a compris qu’Antonio Conte partira à la fin de la saison et que les choses pourraient sérieusement se compliquer pour lui." "Ivan, comme Hakimi , aimerait revenir, comme le confient ses anciens coéquipiers: A présent, il se mord les doigts car il ne pensait pas vivre une expérience aussi modeste en Premier League" Who’s Next ? ®Antony Gilles – Internazionale.fr
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Spezia-Inter : Une composition passée au "Laser"
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En effet, l’information émane de Sky Sport : Simone Inzaghi est prêt à "révolutionner" son équipe à quelques jours du déplacement dans le pays natal de José Mourinho. La première nouveauté est dans les buts : Samir Handanovic sera aligné à la place d’André Onana. En défense, sur le côté droit, l’idée est d’aligner Danilo D’Ambrosio afin de faire monter Matteo Darmian sur l’aile droite contrairement au graphique qui montre Denzel Dumfries occuper cette position. Francesco Acerbi complètera la défense, lui qui a pris le meilleur sur Stefan De Vrij, et Alessandro Bastoni. En ailier gauche, on retrouvera Robin Gosens avec un Federico Dimarco de retour sur le banc. On se dirige aussi vers une mise au repos d’Hakan Çalhanoğlu dans un milieu qui sera composé de Nicolò Barella, Marcelo Brozovic et Henrik Mkhitaryan. En attaque, s’ils sont trois pour deux postes, on devrait retrouver Romelu Lukaku et Lautaro Martinez en lieu et place d’Edin Dzeko. Préparez vos couches ! ®Antony Gilles – Internazionale.fr- 3 commentaires
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Le Corriere dello Sport donne aujourd'hui place à une interview de Diego Milito. Il évoque divers sujets. "Le Napoli est la seule équipe qui a réussi à aller aussi loin! on n'a pas vu un tel écart depuis un bon moment et dans n'importe quel championnat européen. Si le championnat terminé ? Dans le football, j'ai tout vu et son contraire. Certainement il y a beaucoup de points en jeu mais ce ne sera pas facile pour les autres, bien sûr. Et puis le Napoli a montré qu'ils sont très fiables." "Étonné par Motta ? Pas du tout ! J'ai toujours su que Thiago était un homme très intelligent. Il l'était aussi en tant que joueur, sur le terrain il voyait tout, et en premier, il savait quoi dire et quoi faire. Ses équipes ont ces caractéristiques. Toujours chercher le but, essayer de jouer. À mon avis, il fait un excellent travail à Bologne." "Marko Arnautovic, à l'époque, Il est arrivé très jeune. Il avait besoin de temps, pour grandir." "Mourinho ? Il a gagné un trophée l'an dernier, maintenant il est là parmi les premiers, je pense qu'il va très bien. José est toujours là pour se battre et la Roma est une équipe chiante." "L'Inter ? Ils sont deuxièmes du classement, en demi-finale de la Coppa Italia, ils jouent les quarts de finale de la Ligue des champions. La saison de l'Inter ne doit pas être gâchée. Bien sûr, l'Inter doit toujours viser la victoire. Mais les mérites du Napoli sont plus en Serie A que les démérites des autres équipes. L'Inter a perdu des points en cours de route et peut-être qu'ils n'auraient pas dû. Mais cela ne semble pas du tout être une mauvaise saison. La Ligue des champions est toujours très difficile et maintenant c'est la partie la plus difficile avec l'élimination directe. Mais je dirais, pas de limites. Après Porto, tout peut arriver avec un quart de finale." "Lautaro ? Les chiffres parlent d'eux-mêmes, une belle saison. Après la Coupe du monde, il a ressenti une énergie incroyable et l'a transmise aux autres, il est devenu plus un leader, c'est clair qu'il a du poids dans l'équipe." Traduction alex_j via FCInterNews.
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À l'occasion du 115e anniversaire de l'Inter, Massimo Moratti était l'invité de TeleLombardia lors de l'émission "Inter Connection", pour évoquer les enjeux liés au club dont il était le président historique. Ses mots. Si vous pensez à l'Inter, vous pensez à la famille Moratti. "C'est sûr que ce que mon père a fait était important parce qu'il a donné un virage international au club. Puis après on a eu une histoire positive avec moi aussi, j'ai aidé l'Inter en me mettant à leur service. C'est un privilège de avons vécu cette aventure. Nous sommes également ravis qu'elle se soit très bien déroulée." Comment évaluez-vous l'Inter et Inzaghi cette saison ? "Ce n'est plus l'habitude de porter des jugements même à l'école (rires, ndlr). On est parti avec beaucoup plus d'ambition que la réalité d'aujourd'hui. Le Napoli est très fort. Mais à 15 points des leaders, c'est quelque chose qui ne te met pas dans une position pour penser qu'il a fait de son mieux. Le côté négatif est dû au manque de Lukaku qui aurait été très utile s'il était en forme mais il y a des circonstances. Et puis le fait de Skriniar a peut-être créé des problèmes." Quel est le joueur qui vous a surpris cette saison ? "Certainement Lautaro. Tant dans le rôle d'avant-centre que dans celui de capitaine, il se débrouille très bien avec la bonne attitude. Calhanoglu se débrouille aussi bien au milieu de terrain. Nous avons des joueurs intéressants après tout." Si vous fermez les yeux, quel joueur imaginez-vous porter un maillot de l'Inter ? "Un peu comme tout le monde, dire Recoba est tout à fait normal. Je le considère comme le top au niveau imagination et exhaustivité. Il savait tirer, dribbler et tout faire. Même si pour moi Ronaldo reste le plus représentatif de la grande classe, il était supérieur." Que pensez-vous de la question du stade ? "Pour ma famille, San Siro a un sens, il est dans le cœur et dans les mémoires de manière forte; bien sûr, je réponds que cela doit rester. Même maintenant, aller au stade, je pense que c'est toujours beau. Si vous allez à le stade pour regarder le foot c'est quand même excellent, si tu vas au cinéma, bien sûr que non." Les meilleurs souvenirs. "Le meilleur souvenir, c'est définitivement Madrid, toucher la coupe et réaliser que c'est plus léger que je ne le pensais. C'était quelque chose de beau et d'intéressant. Le pire ? Je ne veux pas me souvenir, ça m'énerve et je culpabilise (rires, ndlr )." Reverrons-nous un président Moratti ? "Je ne sais pas. En ce qui me concerne, je ne pensais pas que je voulais le racheter après mon père, avant que ça arrive. Les conditions dans le passé étaient plus faciles, même si elles étaient encore délicates. Maintenant c'est difficile pour une famille d'avoir une équipe. Mais je ne pense pas que je me permette de dire à mes enfants de ne pas y penser, mais il y a aussi le bon sens (rires, ndlr)." Et si vous achetiez un joueur maintenant ? "Je n'y ai jamais pensé car à l'heure actuelle, tout joueur a des coûts épouvantables. Mbappé est évident et impossible mais j'aurais fait quelque chose de plus pour Haaland, il est fort." L'inter semble n'avoir personne pour la défendre dans les médias : comment le voyez-vous ? "Après les défaites, il faut toujours lever la tête, ce n'est pas une chose banale. De cette façon, les fans comprennent qu'il y a un avenir positif. Je ne sais pas comment les pouvoirs sont répartis dans la société, prendre position quand ça va bien, c'est très facile. En tant que fan, j'attends que quelqu'un aille la défendre. Je dis cela pour espérer que le Dimanche suivant je serai heureux ou pour l'avenir. Le football est une chose fascinante mais dans laquelle il faut rêver." Un retour de Mourinho ruinerait-il une histoire parfaite ? "Cela dépend du type de soupe qu'elle réchauffe. Si c'est une bonne entrée, elle est également bonne lorsqu'elle est réchauffée. Pour Mourinho, cela me semble toujours intéressant." Et avec vous ? "Il était très bon, c'est quelqu'un qui s'isole, il se met contre tout le monde. Mourinho l'a fait en tant que club, Conte en tant que personne. Mais avec cette attitude, il a ramené des résultats importants, je parle très positivement de Conte." Voyez-vous un avenir en tant qu'entraîneur pour Cambiasso comme le dit Mourinho ? "Je le pense aussi, ce ne serait pas mal s'il commençait une carrière. Il serait génial." Traduction alex_j via FCInterNews.
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Post-Inzaghi: Antonio Conte et Thomas Tuchel en pôle ?
Victor "Antony" Newman a posté un article dans F.C. Internazionale Milano
En effet, Simone Inzaghi doit avoir les oreilles qui sifflent, car s'il ne se montre pas à la hauteur des espérances placées en lui, il pourrait purement et simplement prendre la porte. Deux successeurs sont déjà désignés, deux personnalités d'ailleurs très bien connue de Romelu Lukaku! Antonio Conte Soit le retour de l'Homme du 19ème Scudetto, de l'Homme qui fait de Romelu Lukaku, le meilleur joueur de la saison du Tricolore et pour le Times: "Antonio Conte est de retour en fonction après avoir séjourné en Italie durant trois semaines suite à l'ablation de la vésicule biliaire, et cette pause a également renforcé son désir de rentrer chez lui à la fin de la saison" "Et si l'ancien entraîneur de l'Inter et de la Juventus se concentre évidemment sur le terrain, avec la rencontre face à l'Ac Milan à portée de main qui pourrait lui permettre de se qualifier, une élimination européenne de Tottenham verrait les chances de voir Conte et le club se séparer en fin de saison, à l'expiration de son contrat, augmenter." "Si les Spurs ont la possibilité de lui prolonger son contrat d'un an, l'entraineur a déclaré qu'il ne resterait la saison prochaine que s'il était heureux, et il est prévu qu'il retourne en Italie cet été. Et bien plus qu'une ambition légitime, c'est peut-être l'envie de rentrer au pays qui fera la différence. Conte vit à l'Hôtel depuis qu'il est arrivé à Londres et il a souvent fait part d'un manque familiale, une famille qu'il tente toujours de joindre dès que possible." Mais où entrainer la saison prochaine ? "L'Inter qu'il a emmené au Scudetto en 2021 s'est renseignée de manière informelle, il pourrait y avoir un intérêt de la Roma si José Mourinho part alors qu'il lui reste un an de contrat, comme cela a été évoqué en Italie. L'Ac Milan s'était intéressé à Conte en 2017, mais il risque d'être trop exigeant pour eux même s'ils se séparent de Stefano Pioli, actuellement sous pression suite à sa défaite 2-1 face à la Fiorentina et une cinquième place en Serie A. Si la Juventus aurait aimé recruter Conte, elle est plongée dans un scandale financier qui rend tout retour improbable". Thomas Tuchel Soit le pire choix possible pour Romelu Lukaku! Comme le révèle la Gazzetta Dello Sport: "L'allemand a étonné l'Europe du Football en remportant la Ligue des Champions avec Chelsea en 2020-21, mais le nouveau propriétaire des Blues l'a remercié en septembre dernier." "Après avoir pris quelques mois de repos, il est maintenant prêt à se lancer à nouveau dans la bataille. Et avec Mauricio Pochettino (qui le devance), il est le candidat le plus sérieux pour reprendre le banc du Real Madrid, même si Raul et Arbeloa sont également en lice, si jamais Carlo Ancelotti accepte l'offre de la Fédération Brésilienne de Football ou si Florentino Perez choisit, en fonction d'un manque de résultat, de se séparer de l'entraîneur italien à un an de la fin de son contrat ." "Tuchel a un profil international qui en impose, lui qui a déjà coaché le Borussia Dortmund, le Paris-Saint-Germain et les Blues de Chelsea. La fin de son aventure à Londres l'a amèrement déçu et il a en lui un grand désir de revanche. A Paris, certains regrettent de l'avoir limogé trop vite, tandis qu'en Angleterre, de nombreuses rumeurs font état d'une cour de la part de Tottenham si Antonio Conte ne prolonge pas l'aventure, sans oublier West Ham. "Tuchel a également ses admirateurs en Italie aussi : L'Inter le tient en très haute considération et si la fin de saison d'Inzaghi n'est pas à la hauteur des attentes, il pourrait faire partie du "Casting" de Giuseppe Marotta et Piero Ausilio. Mais attention à la Roma qui, si elle ne retient pas Mourinho, pourrait miser sur un entraîneur avec une carrière dans un grand club" Selon vous, Inzaghi sera-t'il limogé en fin de saison ? Si oui, qui de Conte ou de Tuchel recruter si cela s'avère possible ? ®Antony Gilles - Internazionale.fr- 19 commentaires
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Javier Zanetti raconte tout à 'Que Mola'. Entre passé, présent et futur, voici l'intégralité de l'interview de notre ancien capitaine. Un adjectif pour Javier Zanetti aujourd'hui ? "Disons qu'aujourd'hui je suis un manager qui a une vision plus large que lorsque j’étais joueur." Votre jeunesse argentine, que pouvez-vous nous dire ? "Si je pense à mon enfance, j'ai de merveilleux souvenirs, liés avant tout à ma passion qui est le football. Depuis que je suis enfant, je courais après le ballon et rêvais avec mes amis de devenir professionnel un jour. J'ai pu faire de ce rêve une réalité. Dans mon quartier, je porte avec moi toutes les choses positives qui m'ont accompagné en tant que footballeur et aujourd'hui en tant que manager. Ce sont des valeurs importantes auxquelles je tiens et que je porte partout." A propos du potrero, le terrain du quartier ? "Ce serait l'oratorio des Italiens, où l'on passe de merveilleux moments entre amis. Vous rêvez, vous apprenez à jouer, vous aidez des amis dans le besoin, vous vous disputez, vous plaisantez. Ce sont des moments qui vous font vraiment grandir." Comment êtes-vous arrivé dans l’équipe jeune de l'Independiente ? "Je suis fan depuis que je suis enfant, j'y suis arrivé parce que je rêvais de porter ce maillot. A travers un tournoi dans mon quartier, les managers m'ont vu et m'ont emmené. Là j'ai commencé ma carrière dans une équipe professionnelle." Cependant, vos débuts professionnels étaient contre Banfield et votre premier match contre River Plate. "Oui, j'ai fait les jeunes là-bas. En réalité, les débuts sont en deuxième division, où j'ai fait un an, puis Banfield m'achète et je fais deux ans en première division. Les débuts sont contre River Plate et après ces deux années, l'appel inattendu de l'Inter m'a pris par surprise. C'était ma grande opportunité d'entrer dans ce football européen et de me comparer à de grands champions." Dans ce transfert est né le mythe chiffre 4… "Oui, c'était le maillot que j'ai toujours porté, il était libre à l'Inter et je l'ai pris de près parce que je l'aimais. Je l'ai gardé tout au long de ma carrière. Avec ce numéro, j'ai passé des moments inoubliables avec l'Inter. Pour moi, elle signifie famille, amour, c'est ma maison. Être lié au club est encore très important pour moi." Vous souvenez-vous de votre premier jour à l'Inter ? "Honnêtement, je ne pouvais pas imaginer à ce moment-là que ma carrière aurait été ici en intégralité. Je savais que je venais dans un grand club, avec une belle histoire et avec de grands champions de différents pays. Je voulais laisser ma marque, je savais c'était ma chance. Le saut était très grand, de Banfield à l'Inter, mais je savais que je devais donner tout ce que j'avais à l'intérieur et apporter mon essence sud-américaine pour que l'Inter apprécie mes qualités." En parlant d'essence sud-américaine, l'Inter l'a dans son ADN et l'avait déjà à l'époque. "Oui, il y a une tradition sud-américaine, beaucoup de joueurs ont bien réussi entre autres. Ensuite, FC Internazionale, même de par son nom, signifie aussi ouvrir les portes aux joueurs non italiens." "Dès le premier entraînement, nous avons la possession du ballon. Il ne le perd jamais, il reste toujours attaché à son pied. Ce jour-là, j'ai pensé qu'il entrerait dans l'histoire de l'Inter." Vous souvenez-vous qui a dit ces choses ? "Oui, le capitaine de l'époque, Beppe Bergomi, une personne qui m'a beaucoup aidé, il m'a tout de suite intégré dans la réalité du football italien, il m'a raconté l'histoire de l'Inter. Avec Giacinto Facchetti, ils ont été importants pour moi dans mon premiers pas dans cette société." À propos de l'âme argentine. Que pensez-vous de Batistuta et Crespo ? "Deux grands attaquants, parmi les principaux de l'histoire du football argentin. Batistuta avait une puissance physique incroyable, il a marqué de toutes les manières. Crespo était très intelligent à l'intérieur et à l'extérieur de la surface, il savait se démarquer avec des mouvements qui permettaient de le trouver et toujours là prêt à marquer." L'Argentine est championne du monde, je vous demande trois noms à mettre dessus. Le meilleur de tout les temps. "Messi, Diego Maradona et Kempes, qui a été l'architecte d'une course extraordinaire en 78 qui nous a fait gagner la première Coupe du monde." Le championnat argentin évolue, s'oriente vers un format européen. "C'est certainement un plus, le football argentin peut beaucoup grandir. Il faut copier les bonnes choses d’Europe et c'était un choix important pour l'avenir du football argentin." Trois raisons pour lesquelles un enfant passionné de football devrait suivre le football argentin. "Parce que c'est très excitant, il y a beaucoup de jeunes qui peuvent émerger et qui font déjà de grandes choses et parce que ça rappelle le potrero, où on voit des joueurs s'amuser. Des joueurs qui possèdent potrero." La Copa Libertadores comme la Ligue des Champions ? "En termes d'importance oui, mais cela se passe d'une manière différente. Parce que les stades sont différents, parce que les gens le vivent différemment. Mais c'est une coupe très convoitée et dernièrement elle a vu la domination des équipes brésiliennes qui s'investissent beaucoup. L'Argentine est un peu en retard, mais je pense que Boca, River et Racing peuvent être des protagonistes." Comment est né votre surnom d'El Tractor ? "Je suis né en Argentine, un commentateur m'a donné ce surnom parce qu'il a dit que lorsque je partais avec boulet et chaîne, je ressemblais à un tracteur que personne n'arrêtait. C'est ainsi que le surnom est né." Comment la formation vous a toujours aidé, dans une longue carrière où vous avez aussi changé de rôle. Vous étiez également milieu de terrain… "Beaucoup. L'entraînement est la chose la plus importante, j'ai toujours essayé de le faire en me donnant à 100% parce que je savais que dimanche je serais prêt pour un grand match. L'entraînement aujourd'hui me fait me sentir à nouveau bien et quand j'ai joué, je pensais que c'était le plus important." Votre but en équipe nationale a sauvé la vie de Marek Kopals. "C'est arrivé lors de la Coupe du monde 98, nous jouions contre l'Angleterre. J'ai découvert après qu'il regardait le match, grâce à mon but, nous sommes allés en prolongation puis aux tirs au but. S'il était parti après 90 minutes, il aurait explosé avec sa voiture là où il y avait une bombe. Disons que mon but l'a fait rester à la maison et l'a empêché de prendre cette voiture." Vous avez déjoué une attaque sans le savoir. Une magie en effet… "Oui, ça ne s'explique pas. Puis il m'a écrit une lettre pleine d'émotions, me remerciant. Quand on vous raconte ces choses, vous comprenez jusqu'où va la passion du football. Sa passion l'a fait rester à la maison plus longtemps, au-delà les 90 minutes." Parlons de Ronaldo. "Pour moi, il était l'un des plus forts avec qui j'ai eu l'opportunité et l'honneur de jouer. Un joueur extraordinaire dans tous les sens. Il vient de Barcelone dans sa meilleure période, avec nous, il a été dévastateur. À l'entraînement, il était difficile d'arrêter lui et dans le jeu aussi." Angelillo a été important pour vous amener à l'Inter… "Il m'a vu et m'a identifié comme un joueur de l'Inter, je le remercierai toujours. Grâce à lui, Mazzola et Suarez m'ont vu, je suis arrivé dans ce grand club. Angelillo est une légende, capitaine, qui a laissé sa grande enseigne à l'Inter." Que signifie cette photo de vous sur le chantier ? "Mon père était maçon, pendant un an je l'ai aidé et ce fut l'un des meilleurs moments de ma vie. Là j'ai compris beaucoup de choses, combien mon père et ma mère se sont sacrifiés pour que mon frère et moi ne manquions de rien. J'ai commencé à comprendre les vraies valeurs de la vie, les fondamentaux pour l'être humain." Est-il vrai que vous risquiez physiquement de ne pas faire partie des sélections professionnelles ? "J'étais très fragile, c'est pourquoi l’Independiente m'a laissé partir en disant que je n'étais pas prêt à jouer au football à ce moment-là. J'ai accepté leur décision mais je ne le nierai pas en tant que fan, c'était un coup dur pour moi. Je rêvais de faire mes débuts avec eux. Mais il fallait que ça se passe différemment et puis quand on a affronté Banfield, les managers d'Independiente avaient les mains dans la nasse. C'est une des choses qui peuvent arriver dans le football." Parlons de l'asado. "Cela fait partie de notre culture, c'est un groupe. A l'Inter, nous nous sommes amusés avec ce groupe, ce n'est pas un hasard si nous avons tout gagné." Parlons de Mourinho. "José a été important pour moi dans ma carrière, une relation qui va au-delà de la relation professionnelle. Il y a une relation humaine très forte qui dure dans le temps, on se parle souvent, on s'envoie des textos. C'était un super leader pour ce groupe-là." Dans l'hymne Pazza Inter, le début est avec le commentaire de votre but. "Un moment de plaisir, cette chanson tous ensemble. Je remercie Scarpini pour le commentaire très émouvant, il a été décidé de commencer l'hymne avec ça." En Argentine, vous êtes passés maîtres dans le commentaire… "Oui, car ils vous font vivre de grandes émotions, qui vous viennent en regardant ou en écoutant les matchs." Parlons de Maldini. "Avec Paolo, il y a toujours eu une grande relation et au-delà de la rivalité un grand respect qui dure encore aujourd'hui et qui durera. Il représente l'un des joueurs que tout le monde respecte dans le monde du football pour sa façon d’être et de jouer." Vous êtes deux capitaines très représentatifs du derby milanais. "Nous nous sommes affrontés plusieurs fois, Paolo était un adversaire très loyal et je l'ai toujours apprécié pour ça." Un conseil pour les jeunes joueurs, pour ceux qui n'ont pas tout de suite un grand talent ou pour ceux qui en ont déjà un. "Le conseil est très simple, dans les deux cas : ne jamais cesser de rêver ! Les rêves peuvent se réaliser mais pour les réaliser, il faut beaucoup de travail, de sacrifice et de résilience car il y aura des moments diffcile à affronter. Une fois fait, vous ressortez plus fort de ces moments." Traduction alex_j via FCInter1908.
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Javier Zanetti a retracé les étapes de sa carrière lors de la présentation du livre de Gianluca Pagliuca. "Je suis arrivé à l'Inter en 1995 quand j'étais très jeune. Gianluca était certainement l'un des leaders. J'ai regardé tout ce qu'ils faisaient et ma carrière a commencé à partir de là. Ce n'était pas facile pour moi quand je suis arrivé à l'Inter. J'étais un étranger et dès que j'y ai mis les pieds je me suis dit que c'était ma grande chance de montrer que j'étais prêt à relever un défi avec de grands champions. Le football italien était le meilleur au monde." "Massimo Moratti est un gentleman, une personne toujours disponible. En tant que capitaine, je n'ai jamais discuté d'une prime avec lui, car je savais que si la victoire venait, elle viendrait. Personne n'osait dire le contraire, une relation familiale était créé, l'Inter a toujours été une famille pour moi. En 2010 quand on a tout gagné, je pense que toutes les composantes se sont réunies, c'est-à-dire les supporters, le club et l'équipe. Comme Mourinho qui nous a amenés à nous surpasser. Nous avions créé un groupe composé de grands joueurs, les problèmes du vestiaire ont été résolus entre nous, le club n'a pas eu à intervenir, puis nous sommes passés à autre chose." "Quand je me suis cassé le tendon d'Achille à presque 40 ans, j'ai dit que je devais arrêter de jouer. Quand je suis revenu après le match, je suis retourné aux vestiaires et tout le monde m'a embrassé. Là, j'ai réalisé que c'était ma dernière saison, j'ai montré que je pouvais arrêter de jouer au football. Après que l'Inter m'ait proposé d'être vice-président, j'ai été immédiatement flatté mais pour ce faire, il faut être très responsable. Je ne m'attendais pas à le devenir uniquement pour ma carrière, alors j'ai tout de suite inscrit au Bocconi, j'ai fait un cursus entre finance et marketing." Traduction alex_j via FCInterNews.
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Lors de Bobo TV et toujours avec son ton mesuré et dans la langue de bois, Antonio Cassano s'est exprimé sur le travail d'Inzaghi et de Marotta chez les Nerazzurri. Il a également évoqué deux noms possibles pour remplacer Inzaghi. Musique maestro ! "Le plus gros problème, c'est l'entraîneur ! Vous gagnez contre Porto et Milan parce que les joueurs se motivent. L'entraîneur n'est pas prêt à entraîner une équipe forte pour gagner. Il a beaucoup de défauts, il lui manque toujours quelque chose. Il a un standard pour sa façon de jouer. La Juve et l'Inter sont de loin les équipes les plus fortes. Inzaghi a une Ferrari en main et la fait passer en seconde alors que Spalletti a une Audi et fonce à toute vitesse. Maintenant, Inzaghi continue de prendre un chemin qui ne mène nulle part. Calhanoglu ne l'a pas découvert, Inzaghi, mais nous ici. Il est incapable de motiver, de donner quelque chose de plus. Dans le football moderne, l'entraîneur doit donner quelque chose de plus. Le vent la pluie, nous ne sommes pas concentré, c'est des conneries tout ça. Marotta, il devrait éviter de parler ! Il dit des conneries ou Juin arrive et lui donne le feu vert pour qu’il se casse ! Je ne peux pas penser qu'il gagne une autre Coppa Italia et qu’on parle d'un chemin positif. L'année dernière, il a perdu le Scudetto contre Milan, cette année contre Naples. S'il m'apporte la Ligue des champions là, et seulement là, je ne le changerai pas. Sinon, il est renvoyé. Il ne sait pas comment coacher une grosse équipe pour gagner. Conte gagne là où il va, Mourinho, Simeone font de même." "Le gros problème de l'Inter ne peut être attribué qu'à l'entraîneur, c'est le plus gros problème. La première année tu as perdu d'un point et il pourrait y avoir, cette année, une catastrophe hallucinante, en Février à -18. Nous ne plaisantons pas. Soit gagner la Ligue des champions, soit au revoir et merci. Je ne peux pas penser que mon équipe a 7 défaites. La Sampdoria ne marquant pas, même pas avec ses mains, ils ont fait 0-0, ils ont fait match nul contre Monza, ils ont perdu contre Empoli à domicile, Bologne lui a donné une tête comme ça. S'il devait quitter la Ligue des champions, Inzaghi devra sortir." "Il y a tellement d'entraîneurs que vous pouvez prendre. L'Inter veut changer de cap ? De Zerbi où es-tu à Brighton ? J'arrive en avion. Tu ne veux pas venir ici ? Je vais à Florence pour prendre Italiano. L'inter n'essaye pas de gagner, quand ils gagnent c'est parce qu'ils sont plus forts. Pas le bon entraîneur pour faire un cycle gagnant. Si vous perdez le scudetto d'un point avec la Juve, ça va. Si vous le perdez contre Milan et Napoli qui sont inférieurs, tout change. Ce n'est pas un entraîneur qui peut continuer avec l'Inter. Marotta et Inzaghi hors de mes couilles. Si j'étais président de l'Inter, je gicle Marotta puis Inzaghi. J'ai pris un risque avec Inzaghi et j'ai été nul, pourquoi ne devrais-je pas prendre de risque avec De Zerbi ?" Traduction alex_j via FCInterNews et Sempreinter.
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Battu par la Cremonese, la Roma de José Mourinho n’a pas su profiter du faux pas de l’Inter pour prendre la seconde place de la Serie A. Expulsé également, José Mourinho s’est lâché à Dazn: "L’entraineur portugais a été expulsé après avoir discuté avec le quatrième arbitre. Selon ce dernier, Mourinho lui aurait manqué de respect suite à la faute sur Kumbulla." Une pique bien placée Mon expulsion ? "Vous me connaissez depuis un an et demi et des personnes me connaissent depuis tant d’années : Si je suis émotif, je ne suis pas un fou : Pas fou. Pour que j’ai ce type de comportement, c’est que quelque chose s’est passé: J’ai besoin de comprendre aussi si je peux faire quelque chose d’un point de vue légal car Piccinini m’a sorti le rouge sur demande du quatrième arbitre Serra , mais ce dernier n’a pas eu l’honnêteté de lui dire comment il m’a traité et ce qui est donc à l’origine de ma réaction." "J’aimerais savoir s’il existe un enregistrement audio de ce qu’il m’a dit : Je ne veux pas dire que lui vient de Turin et qu’il joue pour la Juve non, je veux dire que, peut-être et pour la première fois en carrière, un arbitre qui était le quatrième arbitre, m’a parlé d’une façon injustifiable: Lorsque je suis allé dans le vestiaire des arbitres après le match, Piccinini était-là et, il m'a vu entrer, il m'a vu m'excuser auprès de l'arbitre à qui j'avais parlé de manière "irrespectueuse". Maintenant, il m'a vu entrer et j'ai dit à Serra d'être honnête, de dire ce qui s'est passé. Il a tout oublié, il a des problèmes de mémoire. J'ai seulement fait un commentaire, je n'ai pas demandé d'explication." Et devinez quel est le prochain match de la Roma entraînée par notre ancien Nerazzurro... ®Antony Gilles – Internazionale.fr
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Wesley Sneijder nous raconte une curieuse anecdote sur José Mourinho
alex_j a posté un article dans F.C. Internazionale Milano
Wesley Sneijder se souvient très bien de son passage à l'Inter et notamment de sa première saison avec les Nerazzurri qui a culminé avec le Triplete. L'ancien milieu de terrain a retracé cette saison et raconte une curieuse anecdote sur José Mourinho. "Il a toujours eu des moments privilégiés avec les personnes. Quelques semaines avant la finale de la Ligue des champions, Mourinho a appelé Materazzi dans son bureau et lui a dit : 'Voici une lettre'. Je la mets dans une enveloppe, l'ouvre après le match. Il y avait littéralement le résultat de la finale contre le Bayern Munich." "La Ligue des champions était le rêve que j'avais enfant. Lorsque nous nous sommes tenus sur cette plate-forme et que j'ai été autorisé à toucher cette coupe pour la première fois, je l'ai vraiment ressentie, c'était un moment tellement unique. Je ne l'oublierai jamais." Note: il faut savoir que personne n'a le droit de toucher la coupe aux grandes oreilles sans autorisation express de l'UEFA. Un groupe de personnes dépendant de l'UEFA peut la manipuler et avec des gants. Traduction alex_j via FCInter1908.-
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Vers un retour du Special One ?
Victor "Antony" Newman a posté un article dans F.C. Internazionale Milano
C'est une révélation de la Repubblica: José Mourinho pourrait faire son retour à Milan, toujours du côté Nerazzurro! En effet, sa relation avec son Directeur Sportif, Tiago Pinto, est celle de deux personnes qui,: "Sur de nombreux sujets ont des visions opposées, mais qui doivent coexister et le faire dans l'intérêt commun." " "A la fin de la saison, je parlerai" - Telles sont les paroles de José Mourinho à l'issue du match face à Vérone qui ont fait grand bruit et il est clair que n'importe qui penserait immédiatement à un départ de la Roma, compte tenu aussi des rapports qui ne sont pas vraiment idylliques avec Tiago Pinto" "Et cette situation le rend très attractif sur le marché: Ces dernières heures, il a d'ailleurs surgie la suggestion milanaise d'un possible retour à l'Inter, mais il reste toutefois de comprendre les plans à venir du Club Nerazzurro. D'autres rumeurs font état de l'intérêt du Real Madrid et du Paris-Saint-Germain, mais celles-ci sont basées sur l'estime que portent Florentino Perez et le Directeur Sportif parisien Luis Campos au portugais, eux qui sont bien plus proche personnellement de lui, alors qu'à Rome, la relation glaciale avec les Friedkin continue de se cristalliser". Seriez-vous pour un retour de notre Historique et Légendaire entraîneur ? ®Antony Gilles - Internazionale.fr- 21 commentaires
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Massimo Moratti, Président Historique de l’Inter et du Triplé s’est livré à la Gazzetta Dello Sport, à quelques heures de la réception du Fc Porto: "C’est une équipe dangereuse et organisée, peut-être qu’il n’y a pas de nom, mais c’est une équipe difficile à rencontrer et même si les éliminer ne serait pas considérer comme un exploit, ça le serait tout de même : Ce serait une très belle carte de visite pour continuer la suite du parcours." A l’époque, il y a eu Mourinho qui avait aussi remporté le titre avec Porto... "C’est vrai, mais Inzaghi sait comment s’y prendre en confrontation directe : L’année passée, il a joué au même niveau que le vrai Liverpool, et il y a trois mois, il a éliminé le Fc Barcelone en phase de groupe." En revanche, en championnat, l’Inter, pour la seconde année de suite perd le Scudetto alors que nombreux ont dit qu’elle disposait d'un noyau supérieur à celui qui va le remporter... "Permettez-moi de vous dire que ce Napoli propose est excellent : Chaque entraineur a ses caractéristiques : D' Antonio Conte, on disait que c’était un obsessionnel du résultat, et il a ramené le Scudetto : Avec Simone Inzaghi, l’équipe a plus de liberté pour s’exprimer, mais elle a alterné trop de haut et de bas." Vous attendez-vous à un "Haut" ce soir ? "Oui, si l’équipe alignée présente la même rage que celle vu contre le Napoli et le Milan : Si oui, elle sera la favorite." Qui sera l’Homme du match ? "Lautaro, c’est un attaquant incroyable qui marque qui se bat et qui est décisif, un de ceux que qui doit accompagner l’équipe pour toute la vie." Vous attendez-vous à revoir le Vrai Lukaku ? "Avec le Romelu d’il y a deux saison, l’Inter aurait mis une toute autre pression sur le Napoli: Il a été déterminant pour nous et il a été repris car considéré toujours comme un tel joueur, les blessures l’ont freinées et elles sont bien plus importante pour un joueur ayant un physique comme le sien comparé à d’autres." Il fait preuve de bonne volonté et il a fait de très belle première période, mais ensuite il baisse de régime : Heureusement nous avons Dzeko qui, a presque 37 ans, s’est confirmé être un professionnel exemplaire et doté d’une intelligence supérieure." Est-ce le joueur qui vous a le plus marqué cette saison ? "Non, c’est Çalhanoğlu, par son style et sa classe, et devant la défense, en lieu et place de Brozovic, il apporte une Grinta et une continuité à laquelle je ne me serai jamais attendu." Ce soir, sur le banc adverse, il y aura une vieille connaissance… "Conceiçao était un très bon joueur et était un garçon intelligent: Il avait déjà les ingrédients décisif pour devenir un grand entraineur." Votre jugement sera positif sur la saison interiste si… "Si après avoir remporté la Super Coupe d’Italie face au Milan, elle soulève aussi la Coupe d’Italie si la Juve nous le permet, et que nous nous qualifions pour la prochaine Ligue des Champions." ®Antony Gilles – Internazioonale.fr
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Le onze idéal de Marco Materazzi dévoilé par Sportweek !
alex_j a posté un article dans F.C. Internazionale Milano
Il n'y a pas de place pour un non-Inter, ou presque, dans le top 11 Sportweek de Marco Materazzi qui dresse une line-up à trois quarts noire et bleue. Deux exceptions cependant. Deux champions du monde, deux coéquipiers nationaux de la chevauchée vers Berlin en 2006, Fabio Cannavaro et Francesco Totti. Voici la liste complète et les justifications de Matrix. "J'ai fait une équipe offensive parce que. Dans le football, il faut marquer des buts, même si quand je jouais, mon travail était de les éviter. Il y a beaucoup d'Interista, parce que j'ai tout gagné avec eux." Julio Cesar dans le but, protégé par Maicon, Cannavaro, Samuel et Chivu. Zanetti, Totti et Stankovic dans l'entrejeu, derrière un trident super offensif fait par Ronaldo le phénomène, Milito et Eto'o. José Mourinho entraîneur. "Quand il est arrivé à l'Inter, j'étais très proche de Toldo, mais j'ai encadré le Brésilien et nous sommes devenus amis. Maicon, un train sur l'aile droite. Je ne sais même pas comment il a réussi à faire des allers-retours tout au long du match." Arrière droit Maicon, Christian Chivu en face, ailier gauche. "Moi, lui et Stankovic, trois gitans. Avec Cristian, un coup d'œil suffisait pour se comprendre. Nous avons plaisanté sur les adversaires. Une fois, contre la Lazio, Pandev a rebondi entre lui et moi tout au long du match. 'Regarde ce que tu m'as fait !', me reprochait-il en fin de première mi-temps pour un coup de pied qu'il s'était pris. Il n'avait même pas remarqué que je ne le lui avais pas donné le coup, mais Chivu." Ensuite, Cannavaro et Samuel au centre. "J'aurais pu choisir Cordooba avec qui j'ai le plus gagné à l'Inter mais avec Fabio j'ai gagné une Coupe du monde et c'est peut-être celui aux côtés duquel j'ai concédé le moins de buts de toute ma carrière. En effet, entre nous, nous parions à chaque match de quitter le terrain avec une cage inviolée." Place aussi à l'incontournable mur, l'inoubliable The Wall pour les fans de l'Inter. "Il a fait honneur à son surnom, the Wall, en tant que joueur et en tant qu'homme, solide sur le terrain et silencieux en dehors. Un mur, en fait. , impénétrable. Il battait le terrain et si un attaquant allait contre lui face à face pour protester, il ne répondait même pas. Cela ne lui donnait pas satisfaction de répondre." Milieu de terrain à trois composé de deux grands capitaines et d'un "dragon", prochain adversaire de l'Inter en championnat en tant que manager de la Sampdoria. Zanetti, sur qui Materazzi avoue que "nous n'avons jamais été très proches, mais à chaque fois que j'avais besoin du capitaine, il était là." De capitaine à capitano, Francesco Totti, grand adversaire de l'Inter dans le triplété mais grand coéquipier en équipe nationale, "il me fait toujours sourire. Je ne sais pas s'il est plus fort ou plus sympathique." Avec Stankovic, "on a eu la même chambre pendant 5-6 ans. J'ai gagné tous mes trophées à l'Inter avec lui. Il ne savait même pas à quel point il était fort." Trois forts derrière trois très forts devant avec une ligne offensive que Materazzi confie à Ronie, Milito et Eto'o. "Maradona, Messi... Mama mia, je n'ai jamais vu quelqu'un d'aussi fort que lui. En termes d'explosivité et de talent naturel, un mélange entre Cristiano et Messi" dit-il à propos d'il Fenomeno rejoint par Diego Milito. "En marquant deux fois contre le Bayern en finale de la Ligue des champions 2010, Diego a permis à Materazzi de mettre la cerise sur le gâteau de sa carrière." Pour finir, Samuel Eto'o, "s'il n'était pas venu à l'Inter, on n'aurait jamais gagné la Ligue des champions. Avant lui, il y a eu Ibra qui a joué dans les clubs les plus forts et n'a jamais gagné une coupe. Il doit y avoir une raison." Sur le banc, inutile de le dire, l'équipe est confiée à José Mourinho. "Quand il est arrivé, quelqu'un avait dit que Materazzi allait partir. Il m'a arrêté le premier jour et m'a dit : 'Tu restes ici'." Traduction alex_j via FCInterNews.- 1 commentaire
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Longue conversation de Walter Samuel, dit the Wall, avec ses collègues de la RSE. Il a évoqué la coupe du monde, le Triplété, Massimo Morrati et sa famille. Votre sentiment sur le fait d’voir gagné cette coupe du monde. "Peut-être, comme certains amis me l'ont dit, n'avons-nous pas encore réalisé ce que nous avons fait ? Les protagonistes sont les joueurs mais c'est aussi une source de fierté pour nous qui faisons partie du staff technique. Ceux qui ne sont pas argentins ont du mal à comprendre. C'est vrai, les problèmes du pays n'ont pas été résolus, mais ce succès a donné de la joie à ceux qui en avaient besoin." Vos souvenirs de l'époque romaine. "En tant que défenseur, je ne voulais pas encaisser de buts, j'avais une grande concentration. Ce n'était pas facile de s'installer. Balbo et Batistuta, les Argentins qui étaient en Italie depuis plus longtemps, m'ont aidé. Capello m'a mis au centre de la défense à 3, ça s'est bien passé parce que la première année on a gagné le Scudetto." Quel technicien a eu une influence particulière sur vous ? "A l'époque de l'Inter, José Mourinho a beaucoup changé, à commencer par sa façon de travailler avec le ballon. Il avait confiance en lui et a transmis sa volonté de gagner : c'est très important. Sur le plan technique, cependant, je dis Marcelo Bielsa parce qu’il m'a tellement fait grandir. Peut-être que je suis injuste envers les autres entraîneurs mais il m'a appris à surgir de la ligne défensive, à jouer le ballon entre les lignes, à ne pas perdre les duels avec la tête. C'était vraiment un loco." Avez-vous beaucoup de vrais amis dans le football ? "J'ai beaucoup d'amis dans mon pays, ceux que je connais depuis toujours. J'en ai aussi dans le foot, le problème c'est toujours la distance. Diego (Milito, ndlr) et Pupi (Zanetti, ndlr) je les vois souvent, tout comme Burdisso." L'expérience de Bâle, pourquoi avez-vous décidé d'y terminer votre carrière ? "J'ai vécu deux années spectaculaires en Suisse. La Sampdoria me voulait mais j'avais du mal à rester en Italie, alors j'ai répondu oui à la proposition d'un ami. Au final, j'ai parlé à l'entraîneur de l'époque, Paulo Sousa, et avec le président et ça a pris. Si mes genoux ne m’avaient pas trahi, j'aurais fait quelques années de plus." Quand dirigerez-vous une équipe en tant que manager ? "Je ne sais pas, le moment viendra. J'aimerais entraîner, je ne le cache pas. En Suisse ? J'ai passé un bon moment, je n'aurais aucun problème à entraîner là-bas." Le message de Moratti arrive : "Je voulais t'embrasser et te féliciter pour ce que tu as accompli avec l'Argentine. Tu mérites tout pour ton sérieux. Mon cycle de victoires commence quand je t'ai signé. Enfin, l'Inter a commencé à gagner, je suis particulièrement reconnaissant envers toi." "Moratti transmet la tranquillité, il était très proche de nous même sans être là. L'Inter est un milieu familial, où l'on se sent bien. Neuf ans dans un club, c'est long mais j'ai passé un bon moment et je ne peux pas m'en plaindre. Nous avions tout, ils nous ont très bien traités. Puis, heureusement, nous nous sommes toujours battus pour gagner. Au-delà des victoires, l'important est de se sentir bien dans un club." En 2010, le Triplete arrive. "C'était comme la Coupe du monde, nous aurions pu gagner les trois compétitions comme les perdre en deux semaines. L'équipe y croyait, pour beaucoup d'entre nous déjà vieux, c'était une opportunité unique. Nous avons essayé, heureusement, ça s'est bien passé. C'était quelque chose d'historique, qui restera à jamais. Même si d'autres équipes réussissent à le faire, nous resterons toujours premiers. C'est quelque chose qui vous rend fier rien que d'en parler." Quels souvenirs gardez-vous du Real Madrid ? Les célèbres galactics... "Sur le terrain j'ai beaucoup souffert parce qu'on a encaissé tellement de buts. En club c'est impressionnant, c'était comme aller au théâtre. Je me suis retrouvé avec des stars comme Figo, Ronaldo et Zidane, très simple et modeste." Humilité, sérieux et loyauté : sont-ce les trois caractéristiques dans lesquelles vous vous reconnaissez ? "Je me vois, je ne change pas ma façon d'être pour ce que j'ai fait dans le football. J'ai beaucoup gagné mais j'ai aussi eu de gros revers, l'année au Real a été dure, par exemple, puis je me suis cassé les deux genoux." Quel papa es-tu ? "Depuis que j'ai fini de jouer, j'ai toujours été impliqué dans le monde du football. L'équipe nationale me permet de passer plus de temps avec mes enfants. Ensuite, je suis peut-être absent de la maison pendant 1 à 2 mois. J'aime être un papa, je vais souvent chez ma fille à Madrid. Mes enfants étaient aussi importants au Qatar, quand j'ai regardé dans les tribunes et que je les ai vus, j'ai eu un fort sentiment." Comment Messi a-t-il vécu la Coupe du monde ? "Il le méritait plus que quiconque pour le joueur qu'il est, ses coéquipiers le disent aussi. C'est un garçon tranquille, un professionnel exemplaire et très compétitif. Il a endossé le rôle de leader, sur et en dehors du terrain. Nous pensons que nous, Argentins, nous avons de la chance que lui et Maradona soient Argentins." Traduction alex_j via FCInterNews.
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Walter Zenga : "Entraîner l'Inter est un rêve pour moi !"
alex_j a posté un article dans F.C. Internazionale Milano
L'amour pour l'Inter, sa carrière et le rêve d'être assis sur le banc des Nerazzurri. Dans une longue interview accordée au 7, le magazine Corriere della Sera, Walter Zenga parle de lui. "L'Inter était mon rêve d'enfant devenu réalité. J'ai toujours soutenu l'Inter, je suis allé jusqu'au bout. J'étais ramasseur de balles au Meazza. Et finalement, après des années en province, je suis rentré chez moi. Entraîner l'Inter, c'est un rêve ? Ça l'a toujours été, j'ai fait tout le processus de l'équipe des jeunes, j'ai travaillé au siège, maintenant je suis une légende. Dans la vie, il est important de poursuivre un grand rêve, peu importe qu'il se réalise ou non. Ma satisfaction est que les fans de l'Inter m'arrêtent encore dans la rue aujourd'hui et c'est comme si j'avais arrêté de jouer l'année dernière. Et même quand quelqu'un d'une autre équipe me balance des insultes, je ne suis pas offensé. Cela veut dire que j'ai laissé une marque malgré le fait que le dernier match officiel remonte au 11 mai 1994." "Ma chance, c'est que j'ai toujours eu un plan B pour ne pas rester à la maison à attendre un coup de fil. J'ai fait de la radio, de la télé. Je suis un Mourinhien car partout où je vais, je deviens un ultra de mes garçons. J'ai tellement reçu de Catane et de Palerme, que j'ai laissé mon âme à Crotone. Puis la Sampdoria, Venise. Chaque ville m'a donné quelque chose." "Mon père ? Non, c'était un joueur perdu de la Juventus. Quand il y avait l'Inter-Juve, c'était un problème. Si nous perdions, je me fâchais, je pleurais. Même mon premier fils Jacopo est noir et blanc, nous sommes une famille étrange. Mais les quatre autres enfants sont de mon côté." "Ricardo Ferri ? Je lui ai dit : 'Dai Ricky, changeons-nous et prenons le terrain'. C'est agréable de voir que les autres font quelque chose d'important : Maldini manager du Milan, Costarcurta et Bergomi impeccables commentateurs de Sky, Ricardo Ferri team manager de l'Inter. Quand je ai rencontré Jurgen Klinsmann à Doha, on s'est embrassé comme à la fin d'un match." "Amadeus ? Un fan inconditionnel de l'Inter, agréable et de bonne compagnie. Ça me fait juste ch*** qu'il ne m'ait jamais invité à Sanremo..." Traduction alex_j via FCInter1908, FCInterNews et Sempreinter.- 1 commentaire
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