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  1. Javier Zanetti est revenu sur sa carrière dans un podcast en compagnie de Giacomo Poretti "Je continue à m’entrainer, je joue avec mes enfants, cela fait partie de moi, je le fais car je me sens bien. Les temps ont tellement changé comparé à notre enfance, je jouais en Argentine sur un terrain de terre battue avec la boule au ventre avec de la peur à l’intérieur, c’est comme ça que j’apprenais à joueur. "Parfois, je parle à mon fils qui joue sur des terrains parfaits et qui se plaint même lorsqu'il pleut. Nous devons nous adapter à ce que nous vivons aujourd'hui. Quand j'étais enfant, j'encourageais l’Independiente en Argentine et je m’imaginer à commenter ce que je voyais pendant le match, c'est un moment que je n'oublierai jamais: J'étais tellement heureux avec peu de choses, les choses simples sont celles qui vous rendent le plus heureux, une époque fondamentale pour moi. Papa m'avait fait un terrain derrière la maison, ma mère vendait des bonbons, papa venait me voir, c'était la belle époque". Te surnommais-t ’on déjà El Tractor petit ? "J’ai toujours bien aimé courir derrière le ballon et cela n’a jamais changé, puis lorsque je suis arrivé en Italie, j’ai dû m’adapter." Ton idole d’enfance ? "C’était Bochini, le numéro 10 dell'Independiente, qui a ensuite remporté le Mondial avec Maradona : Il a fait une carrière similaire à la mienne avec l’Inter car il a joué toute sa vie à l’Independiente." Trop de parents en demandent tellement parfois à leur enfants.... "Parfois, je préfère m’éloigner pour ne pas entendre certaines choses : C’est le monde dans lequel nous vivons, il y a une misse sous pressions sur des jeunes enfants alors qu’à cet âge-là, il faut s’amuser, grandir avec les valeurs du sport : Si tu deviens professionnel, oui, là tu seras sous pressions, mais à un si jeune âge, il faut s’amuser, point." Y-a-t ’il des différences entre le football argentin et l’talien ? "Les premiers temps tout me semblait particulier car les Tifosi me félicitait car je gardais le ballon dans les pieds et mes équipiers enrageaient et m’insultaient car je ne leur donnais pas le ballon. Je me suis rendu compte que les deux football sont différents : Nous aimons aller de l’avant avec le ballon, avoir de l’espace et prendre le temps que l’Italie ne propose pas. En argentine, tu as plus d’espace, à l’Inter et en Italie, tu as beaucoup moins de temps pour y penser." Ton premier entraineur en Italie ? "Ottavio Bianchi, il m’a appelé et m’a mis face à une map d’un terrain de football en me demandant là où je préférais jouer, je lui ai dit à droite et il m’avait mis sur l’aile gauche là où évoluait Roberto Carlos." "La semaine suivante, c’était l’ouverture du championnat face à Vicenza, j’y ai ressenti cette émotion incroyable qu’est le Meazza et le destin à voulu que nous gagnions le match 1-0 et c’est là le début de mon Histoire avec l’Inter, la première de mes s 858 parties." Tu as eu tellement d’entraineurs, aussi parce que Moratti avait une de ces paires de couilles et qu’il changeait souvent d’entraineur... "Une année, j’en ai connu quatre, elle était difficile : Lorsque tu es dans une équipe comme l’Inter, tu es habitué à gagner : Moratti investissait tellement et il ne parvenait pas à gagner, ensuite le temps nous a permis de…" Te rappelles-tu tous les entraîneurs ? "Tout, vu tout ce qu’ils ont fait avec nous. Je me souviens de Simoni qui était pour nous un Père, il était parvenu à créer une Famille, ce qu’est pour moi l’Inter, il avait créé un groupe compact aussi via son Leadership qui était silencieux, il était très franc, il y avait une excellente ambiance. Hodgson? "J’ai eu un soucis avec lui, mais c’est moi qui m’étais planté. Lors de la première finale de Coupe UUEFA je n’avais pas compris mon remplacement : Bertin était monté et il ne restait qu’une minute de jeu avant d’aller aux tirs aux buts... Lors de ce remplacement, j'étais furieux de n'avoir rien capté mais nous nous sommes serrés dans les bras trois secondes plus tard et aujourd'hui, lorsque nous nous voyons, nous rions de cet épisode." "Et puis, bien sûr, Mourinho est , un très grand connaisseur, avec un grand charisme, un gagnant : J’étais en Argentine et il m’avait appelé pour me prévenir qu’il venait de signer avec l’Inter, il se présentait en me disant que je serai son capitaine et en s’excusant pour son italien qui pour moi était parfait : Il était en avance sur tous, d’une autre catégorie." Mon dernier entraineur ? "Mazzarri" Tu as l’intégrité morale et physique pour toi Javier : Avec un tel surnom, tu n’as connu qu’une seule blessure, mais elle était très sérieuse "Mère Nature m’a fait jouer jusqu’à mes 41 ans sans avoir connu la moindre blessure, sinon celle qui m’est tombé dessus à 39 ans, je m’étais rompu le tendon d’Achille et je m’étais immédiatement rendu compte que c’était quelque chose de grave." "Tous pensaient que ma carrière était finie, moi-même j’avais conscience de sa gravité, mais je pensais déjà à me faire opérer et à revenir. Je n’avais pas envie de partir de cette façon et je voulais offrir à mes Tifosi une nouvelle saison comme protagoniste et prendre ma retraite devant mes Tifosi : Le Sport est comme la Vie de tous les jours, tu dois surmonter les problèmes de la même façon : Je voulais revenir, et je suis revenu et je me suis offert encore une autre saison." Il y aussi l’aspect mental qui joue dans les blessures : Certains ne sont jamais parvenus à s’en sortir... "Si tu es fort mentalement, tu réussiras difficilement à te faire mal, si tu as la tête ailleurs, et c’est valable aussi dans la vie quotidienne, là ça peut influencer. Certains doivent travailler aussi sur le mental car il faut savoir être résistant, se relever si l’on tombe à terre. Les psychologues sont important dans les équipes d’aujourd’hui, ils sont les bienvenus, mais lorsque je jouais, ils n’étaient pas là : Ils sont utile pour ceux qui en ressente vraiment le besoin." Lorsque l’on parle de mental, on se doit de parler du Special One, On percevait que Mourinho était forcément spécial, je ne sais pas s’il a apporté quelque chose de nouveau au football, mais les joueurs de l’Inter semblaient transformés "Il nous a poussé à croire que nous pourrions gagner aussi au niveau européen, il nous a poussé bien au-delà de nos limites, il nous a fait croire que ce que nous faisions quotidiennement durant la semaine allait nous permettre d’atteindre de très grands résultat. Nous avions tous cette conviction, celle d’être sur la bonne voie, il a construit une équipe en deux ans et nous nous sentions imbattables. Pour que l’on s’incline, les autres se devaient de réaliser quelque chose d’extraordinaire, c’était un grand Maestro ? Lorsque je le vois en conférence, il propose une certaine façade car lorsqu’on le connait en réalité, il est très facile à vivre, compréhensif, il traite tout le monde sur le même pied d’égalité, il ne fait aucune différence, si tu jouais, c’est parce que tu le méritais : C’est un Leader né." Que peux-tu ressentir, même si tu ne l’as jamais fait, un joueur qui est sur le banc ? "Souvent, les personnes ne s’expriment pas sur ceux qui viennent du banc, mais ce sont eux qui te font gagner, eux qui te font bien t’entrainer, il faut avoir un très grand respect pour eux. J’allais vers le banc lorsque je marquais car pour moi ils étaient fondamentaux et ils pouvaient s’avérer eux aussi fondamentaux dans les périodes les plus importantes de la saison : Qui venait du banc te faisait gagner le match. A présent, il y a cinq remplacements, et tous sont bien mentalement lorsqu’ils montent car ils peuvent tout te faire gagner le match, peu importante la qualité individuelle." Des râleurs ? "L’équipe du Triplé par exemple était un groupe extrêmement fort : Tous se sentaient important. Nous avions un entraineur qui était parvenu à te transmettre que nous étions tous importants. Je dis toujours à l’équipe que le plus important reste le groupe, si chacun pense pour sa gueule, tu parviendras difficilement à l’emporter. Tu n’as jamais eu peur, Javier au cours de ta carrière, de ne jamais rien gagner ? "La peur fait partie du métier, mais si tu es serein envers toi-même, que tu fais tout pour que les autres aillent vers une certaine direction, tôt ou tard , le travail paye : Si tu te montres constant, résilient, tôt ou tard les résultats arrive, avec l’Inter j’ai connu mes dix premières années compliquées mais ensuite je suis parvenu à tout gagner les dix années suivante : La vie est comme, ce n’est pas uniquement que dans le monde du sport, la peur fait partie de la vie quotidienne. Comment vis-tu l’anxiété en cours de match : En 2010 par exemple, lors de Sienne-Inter, il y avait une pluie d’occasions mais rien ne rentrait jusqu’à dix minutes du terme, Il y avait même eu un milaniste qui avait tenté de te perturber sur ta passe magique vers Milito qui a marqué. J’étais parti à sa recherche et il n’était déjà plus là "Ce match là était bien plus difficile que la Finale de la Ligue des Champions car la tension était incroyable, surtout dans les dernières minutes. Nous avions marqué dans ce match et il restait encore quatre minute de jeu, ensuite Rosi, l’ailier romain a fait un centre qui, jusqu’au moment de sa sortie, a fait que j’ai regardé Maicon qui était devenu blanc (il rit tous) Julio César avait soupiré. Il y avait ce match là et la demi-finale retour à Barcelone, Je l’ai encore regardé, cela semblait être une éternité, un match qui ne se terminerait jamais : Au coup de sifflet final, la libération était totale. Ces trois journées magiques ont débutée avec la Coupe d’Italie: Ma femme était invitée à un concert de Dalla-De Gregori elle voulait y aller et je l'ai satisfaite, même si j'avais conscience que c’était la date de la finale, j'ai crié dans le bus du concert, quand nous avons marqué... "Ce sont des moments que nos épouses ne peuvent pas comprendre." Ensuite, il y a eu la Finale de Madrid, comment l’as-tu vécu ? "J’étais en chambrée avec Cordoba nous sommes tous les deux croyants et lui est dévoué à Sainte Rita. A minuit, nous sommes allés bruler un Cierge pour Sainte-Rita dans la Chambre et nous nous sommes endormis ensuite tous les deux : Heureusement que rien ne s’est enflammé car nous aurions pu être brûlé" "La Finale, avec comme premier impact le Bernabeu, était si belle, notre Curva était pleine, pleine de monde, Chacun d’entre nous avait face à lui des personnes qui pensait que nous ne pouvions pas ne pas leur offrir la Victoire, cette Victoire. Au moment où j’ai soulevé la Coupe, je n’étais plus moi-même et je n’étais as le seul, c’était un moment bien trop beau. Ensuite nous avons vu les images du Duomo à la télé, qui était comble, Milan plein d’Interiste, Seule l’Inter est comme ça, j’avais 37 ans et je disputais mon 700ème match avec l’Inter ce soir-là. L’arbitre laissait trois minutes de récupération et Julio Cesar prenant le ballon, j’étais déjà entrain de pleurer tandis que Samuel était encore contracté et Maicon faisait déjà la fête." Quel est l’impact de la Famille dans une telle carrière ? "L’harmonie à la maison est fondamentale car elle fait partie du métier. Moi et Paulo partageons toute une vie ensemble, elle avait 15 ans et moi 19, elle devait encore en terminer avec la scolarité lorsque nous sommes arrivé en Italie. Nous avons trois enfants, tous les trois sont nés à Milan : Sans Eux, sans Paula, je n’aurais jamais fait une telle carrière." Dévoué à Sainte Rita, à quel point la Foi compte dans ta vie ? "Je suis allé à Cascia, je vais souvent à l’Eglise et même à la Pinetina nous avons une Chapelle. Maicon ne venait pas, mais il nous regardait de la fenêtre. Pourtant les Brésiliens indiquent toujours le ciel avec leur doigts à chaque but (il rit) c’est quelque chose que je ne comprends toujours pas." Javier, je t’en prie, parle-moi de Taribo West "Un phénomène, trop divertissant, Durant 80 minutes, il pouvait être concentré pour faire ensuite ce que bon lui semblait lors des dix minutes restantes, un jour, il a pris le ballon et s’est barré. Taribo revenait ensuite et, faisait à sa mode, c’était trop marrante. Un jour, alors que Lippi parlait tactique, il lui a demandé de raccourcir. A un moment, le milieu de terrain passait à l’attaquant le ballon et Lippi lui avait dit aussi de faire court. Taribo avait refusé et avait répondu : "Dieu m’a dit que je ne devais pas faire court." et nous avons tout de même remporté la Coupe de l’Uefa avec Taribo. Lippi lui avait répondu : Mais Dieu ne m’a rien dit à moi." Le joueur le plus fort avec qui tu as joué ? "Ronaldo sans aucun doute." L’adversaire qui t’a mis le plus en difficulté ? "Un jour, Simoni m’avait demandé de marquer Zidane, c’était difficile durant toute la rencontre. Ensuite, je dirais Kakà du Milan." Et dans les Derby ? "Il y a eu des bagarres folles avec Gattuso et Nedved, mais toujours dans le plus grands des respects, il y aussi eu Maldini et c’était toujours dans les Derby. Lors de mon premier Derby, devant 80.000 personnes, je me souviens d’une faute qui valait un pénalty de Baresi sur moi, il m’avait relevé en sommant de me lever: C’était Baresi et c’était pénalty." Ces batards ne te l’avaient pas accordé "Selon moi, avec la Var, il m’aurait été accordé." Comment vis-tu ta popularité ? "Avec une totale normalité, j’ai un très grand respect pour les personnes et pour les Tifosi : Ils font de très grands sacrifices pour venir voir les entrainements, les matchs et qu’est-ce que ça change pour moi de m’arrêter un peu et de leur apporter du respect ? J’ai la chance d’être sur le terrain pendant 90 minutes, mais après le match, je lui l’un des leurs." Comment est la vie en Italie ? "Je suis amoureux de l’Italie, je me considère comme un Italien, mes trois enfants sont nés à Milan, j’ai pleuré lorsque l’Italie a été éjectée par la Suède de la Coupe du Monde au Meazza : L’Italie m’a ouvert ses portes alors que j’étais un inconnue, je lui dois tout, j’ai un très grand respect pour ce Pays et lorsque je vais à l’étranger, je me rends compte à quel point elle me manque. Mes grands-parents étaient originaires de la province de Pordenone." A quel point as-tu profité de la Victoire de l’Argentine en Coupe du Monde ? "J’étais parti tout le mois au Qatar en Famille et j’avais l’impression que toute l’Argentine était là, Dès mon arrivée, j'ai senti le désir des Tifosi de remporter la Coupe du monde, qui était attendue depuis tant d'années. Et voir Messi soulever le trophée. J'ai ensuite eu la chance d'entrer sur le terrain et de le remercier, au nom de tous les Argentins, pour la joie qu'il nous a donnée. Je retourne toujours là-bas à Noël, en short parce que c'est l'été. Et nous retournons en fin d’année scolaire. Maintenant, je travaille pour mes enfants comme Uber, je prends l'un et j'amène l'autre." Et ta Fondazione Pupi? "Elle est née en 2001 dans une période qui était difficile pour l’Argentine, je me sentais le devoir de faire quelque chose avec Paula pour notre pays, pour les personnes qui étaient en difficultés et nous avons trouvé cette façon de venir en aide à tant d’enfants afin qu’il puisse trouver la bonne voie. Nous avons aidé, jusqu’à présent, plus de milles enfants." Avec qui aurait-tu aimé jouer ? "Avec Maradona forcément, mais il avait arrêté aussi lorsque j’ai débuté ma carrière en équipe national. Pour tout ce qu’il représentait, j’aurais tant voulu jouer avec lui." Et qui aurais-tu voulu à l’Inter ? "Messi" ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  2. Javier Zanetti fête ses 50 ans et accorde une longue interview au journal argentin La Nacion. Votre relation avec la langue chinoise. "C'est très difficile, c'est une culture complètement différente mais je peux dire quelques mots. La première fois que je suis allé en Chine, j'ai été surpris et à chaque fois que j'y retourne, je suis toujours excité. Les vols en provenance d'Europe arrivent très tôt, vers 5h30 du matin. Il y a 350 personnes qui m'attendent à l'aéroport, avec des photos, des drapeaux, des fleurs, et je ne joue plus, j'ai arrêté de jouer il y a presque 10 ans ! Et avec respect, sans cohue. Incroyable. Un jour, j'étais dans un hôtel et le téléphone dans ma chambre sonne. Ils me parlent en italien, ils me disent que je suis dans une pièce comme celle-ci et m'invite à entrer. Ça m'a semblé étrange, j'y suis allé, je suis entré... Ils avaient installé mon musée dans la pièce en question ! Il y avait des t-shirts, des affiches, des poupées, des drapeaux et ils voulaient faire des photos, des autographes… J'ai fini par leur demander les photos qu'ils avaient parce que je ne les avais jamais vues !" Une anecdote avec Mourinho ? "Il m'a appelé avant tout le monde quand il a choisi l'Inter. J'étais à Rome, également en escale pour Buenos Aires, et mon portable a sonné, c'était un appel d'un numéro portugais. J'ai répondu. 'Salut Javier, je suis José Mourinho. Je viens de signer avec l'Inter et je suis ton nouvel entraîneur, tu seras mon capitaine. J'ai hâte de commencer à travailler avec toi et je suis désolé pour mon italien.' Il parlait parfaitement l'italien et ne s'était pas encore envolé vers l'Italie. C'est là que j'ai réalisé à quel point il était préparé et impliqué, ça m'a frappé. 'C'est du sérieux', pensai-je alors." Vous avez trois restaurants à Milan : El Botinero, El Gaucho et El Patio del Gaucho. Est-il vrai que vous n'engagez que des Argentins ? "Ils sont tous argentins, tous sauf un infiltré brésilien que nous avons transformé en Argentin. Nous avons environ 25 salariés et j'aime l'idée de donner un coup de main aux Argentins qui cherchent du travail en Europe." Quand avez-vous eu une embrouille pour la dernière fois ? "J'étais très en colère à propos d'un fait impliquant la Juventus lorsque nous nous sommes qualifiés pour la dernière finale de la Coppa Italia il y a quelques mois. L'attitude des gens qui travaillent pour ce club m'a beaucoup agacé." Et la dernière fois que vous avez pleuré ? "Pour la joie au Qatar, après la finale. Tout le monde dans ma famille a pleuré en se serrant dans les bras." Vous êtes vice-président de l'Inter, adjoint de la commission des compétitions de la FIFA, du conseil de l'UEFA et représentant de la Conmebol à la FIFA. Existe-t-il une carrière d'entraîneur autre que l'Inter ? "Pour l'instant, les deux carrières, les fonctions multiples, peuvent aller en parallèle. Tant que les institutions me donnent de l'espace et m'écoutent pour que je puisse apporter le point de vue de l'ancien footballeur, je me sentirai très à l'aise. Je vois une réelle volonté de nous donner de l'espace. Quelque chose comme: 'Hé, écoutons ceux qui ont été footballeurs'. Sans avoir de nom de famille, attention, il faut toujours se préparer. Dans le management du football, comme dans une entreprise, vous il faut former des équipes. Et il faut avoir un leader, fixer des objectifs et des éléments qui assument leur rôle." Aimeriez-vous être président de l'Independiente, de l'AFA ou de la FIFA ? "De la FIFA, de la FIFA… J'aime plus le terrain international. La FIFA n'a jamais eu de président argentin, n'est-ce pas? Cela ne veut pas dire que je n'aimerais pas être président de l'AFA, ce serait aussi une bonne expérience mais J'ai déjà développé une vie très internationale. De la façon dont ma carrière a été et de toutes les relations que j'ai établies, la FIFA est un objectif et cela semblerait la poursuite la plus naturelle de mon profil." VAR oui ou VAR non ? "J'aime la technologie mais je pense qu'il y a quand même des choses à régler. Il faut ajouter de la transparence, je pense qu'il faut mieux l'expliquer aux fans. Et que les audios soient écoutés car cela clarifie les doutes. Sinon il y aura toujours polémique." Un chiffre : 1114. "Incroyable, incroyable... 1114 matches officiels. Si vous regardez le top 10 des classements, j'apparais, ufff, dans le top 10 avec le plus de matches dans l'histoire du football mondial. Je n'arrive pas à croire ! Qu'ai-je fait ? La culture du travail, la passion et le fait d'avoir traversé tant de défaites. Les défaites sont ce qui vous améliore et vous font grandir. Celles qui vous mettent à l'épreuve pour voir ce que vous voulez faire." Vous avez remporté 17 titres en tant que footballeur et un autre en tant qu'étudiant : vous avez étudié le management du sport à Bocconi à Milan. "Quand j'ai arrêté de jouer, j'ai tout de suite compris que je devais me préparer, m'entraîner, étudier. Avec l'humilité de comprendre qu'une étape était terminée et qu'une autre commençait... continuer à étudier parce que le monde change tous les jours. Je ne veux pas être identifié uniquement comme un leader dans le football, dans le domaine exclusivement sportif. Je veux être utile pour le marketing, la finance, les relations publiques. Le club grandit dans d'autres domaines aussi, pour que le football soit durable, il y a d'autres domaines qui doivent se développer même dans un club." Quel match rejoueriez-vous ? "Deux. Un pour en profiter à nouveau et un autre pour changer le destin. Je rejouerais en finale de la Ligue des champions, en 2010, pour revivre cette nuit magique au Bernabéu. Et je donnerais tout pour rejouer et gagner le match contre la Suède, celui qu'il nous a mis dehors de la Coupe du monde au Japon." Avez-vous essayé de faire venir Bielsa à l'Inter ? "J'ai parlé à Marcelo pour voir s'il y avait une possibilité mais nous n'étions pas encore tout à fait clairs sur le type d'entraîneur que nous voulions. Il voulait savoir si nous pouvions le présenter comme une option et à ce moment-là j'ai dit oui." Vous avez une statue au Meazza, le numéro 4 est retiré et une tribune Talleres de Escalada porte votre nom. Quelle est la chose la plus excitante ? "Le respect des gens partout dans le monde; partout où je vais, des portes s'ouvrent pour moi, je ressens cette admiration. Et c'est au-dessus de tout trophée, de tout. Même les fans de Milan ne m'ont pas insulté... Ça m'arrive maintenant, je viens à travers les supporters de Milan et de la Juventus et ils me disent : 'Capitaine ici, Capitaine là-bas, je suis fan de Milan mais j'aurais aimé que tu joues pour mon club...' Et regarde, ils sont courageux là-bas." Traduction alex_j la Nacion via FCInterNews
  3. Notre Bambino s’est livré à "7", le magazine du Corriere Della Sera sur ce que représente l’Inter, lui qui est né dans la Capitale de la Mode: "Milan est ma Ville, c’est un lieu où j’ai grandi, c’est ici que j’ai tiré la première fois dans le ballon et que j’ai compris que c’est ce que je voulais faire lorsque je serai plus grand, c’est le lieu qui m’a aidé à grandir, j’ai devant moi mon passage dans les différentes équipes de jeune de l’Inter." Comment cela s’était passé ? "J’étais déjà Tifoso, et lorsque l’on m’a dit que c’était possible de porter le Maillot Nerazzurro je suis devenu fou de joie : Jouer pour l’équipe que tu aimes ça t’aide." Dans ta Famille aussi, vous êtes tous interiste ? "Mes parents n’étaient pas de grands passionnés du football. J’’ai commencé à aller au Meazza avec mon oncle et mon grand-père, j’avais 2-3 ans et c’est là qu’a commencé ma vraie passion pour l’Inter, celle que je porte en moi jusqu’à aujourd’hui, exactement avec la même intensité, la même joie." Quel est ton souvenir le plus fort de tes premières fois au Giuseppe Meazza ? "Les émotions les plus fortes sont arrivées lorsque l’Inter a remportés 3-4 Scudetti de suite avec Roberto Mancini et José Mourinho, il y avait des joueurs de très haut niveau." Qui t’enthousiasmait le plus ? "Ils sont si nombreux, mais si je ne devais en citer qu’un, je dirais Diego Milito qui, en 2010, a permis à l’Inter de remporter la Ligue des Champions avec un doublé en Finale et qui a mis sa griffe sur toutes les Victoires les plus importantes. Jouer dans l’équipe que tu supportes est une si belle chose, mais ce n’est pas simple. Ces deux dernières années, lorsque je suis revenu de Vérone, j’ai beaucoup appris de joueurs bien plus expérimenté qui sont partis." "Et je cherche à présent à faire comprendre, à ceux qui arrivent, ce que c’est de jouer à l’Inter, ce que veut dire jouer au Giuseppe Meazza, mais par-dessus-tout, ce que c’est l’Interisme : C’est un sentiment difficile à expliquer, c’est un sentiment que tu as au fond de toi depuis tout petit, des émotions intenses que tu vis depuis les tribunes et qui, dans mon cas, tu revis sur le terrain, c’est un feu ardent qui brule en toi, cela ne se médite pas, c’est instinctif." Quel est ton but le plus important ? "Celui en Finale de la Super Coupe d'Italie contre le Milan, le 18 janvier 2023, l’année ne pouvait pas mieux commencer." Et ta plus belle rencontre que tu as joué ? "Même si elle ne s’est pas terminé comme je l’aurais voulu, la plus belle et la plus importante a été la Finale de la Ligue des Champions contre Manchester City. J’étais vraiment serein la veille et objectivement, soulever la Coupe aurait été la Cerise sur le gâteau. Mais la chose la plus importante a été la fierté que nous avons offert à nos Tifosi : Nous avions tout donné sur le terrain, on nous avait condamné avant le match et City a vraiment sué pour arracher cette victoire, et pas qu’un peu." Ton message sur Instagram était à destination de Lukaku ? "Pour être sincère, non, c’était pour faire comprendre que les joueurs vont et viennent, c’est sûr que ceux qui sont parti nous ont tellement donné, mais finalement, le Maillot Nerazzurro Reste : L’Inter prime sur tout! Chaque joueur qui arrive, comme ceux qui étaient là aussi l’année dernière, savent qu’ils doivent faire en sorte de porter l’Inter au sommet !" ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  4. C’est la révélation de ce début de mois d’aout : Osef les David ou Balogun jugés trop cher, Osef également l’ancien Diable Rouge également, l’Inter a placé au sommet de ses préférences l’international italien Gianluca Scamacca! Comme le révèle la Gazzetta Dello Sport, l’Inter a court-circuité la Roma de son ancien mentor José Mourinho, vu que le club de la Capitale ne peut pas aller outre un prêt. Fort du non-recrutement de Romelu Lukaku, la Bien-Aimée peut, elle, propose, un « transfert » à titre définitif Si l’opération n’est pas encore arrivée à son terme, Piero Ausilio et Giuseppe Marotta ont décidé d’agir et cette semaine, une nouvelle réunion aura lieu pour définir le coût de l’opération : "Il y a un an, Scamacca a couté 37 millions d’euros au club londonien. Il représente actuellement sur le bilan de ce dernier entre 29 et 30 millions d’euros." L’Inter, tâte le terrain, preuve en est la première proposition de 22 millions d’euros de base fixe, qui pourrait monter à 25 millions d’euros fixe, pour une affaire globale (bonus compris) de 30 millions d’euros. Il se dit aussi que l’Inter tenterait de négocier un prêt avec une obligation d’achat, cette dernière assurant à West-Ham, tout risque de moins-value. Une opération intelligente vu le contexte actuel selon vous ? ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  5. Voici les mots de Massimo Moratti déclarés à sportpaper.it. Concernant la situation liée à Romelu Lukaku. "Je ne m'attendais absolument pas à une telle situation, j'ai été très surpris. C'est normal que la Juventus le veuille, diminuer l'Inter est l'un des objectifs des Bianconeri! Les supporters sont à juste titre en colère contre la décision de Lukaku, précisément parce que c'était sa décision, cela a surpris et agacé les supporters." De nombreux noms sont évoqués pour l'attaque de l'Inter, qui aimeriez-vous ? "Je n'ai pas de préférences. Beaucoup dépendra de la volonté et des besoins de l'entraîneur. Très probablement, un attaquant sera choisi qui sera utile pour manœuvrer. Il sera certainement difficile de trouver un attaquant avec les caractéristiques de Lukaku." Un footballeur avec les caractéristiques d'Icardi ? "Cela faisait un moment que je n'avais pas vu jouer l'Argentin, si je revoyais le Icardi d'autrefois, je l'aurais certainement pris." L'Inter avait-elle raison de vendre Onana ? "Malheureusement, dans le football d'aujourd'hui, l'aspect économique compte beaucoup. Ce sont des situations plus liées à l'économique qu'à la technique." Que pensez-vous de la Roma de Mourinho ? "Mourinho a déjà beaucoup fait, certainement la quatrième place serait réalisable avec un attaquant de niveau comme Morata ou Scamacca. L'ancien joueur de Sassuolo pourrait beaucoup grandir avec Mou. Morata est expérimenté et peut peut-être être plus utile à l'équipe." Un regard sur le passé, renverriez-vous Ronaldo au lieu de Cuper ? "Après les années, je peux dire que je ne pense pas que ce soit un départ lié à Cuper. Après les graves blessures subies, je pense que Ronaldo voulait changer de décor. Je le répète, je ne pense pas que Ronnie ait choisi de partir à cause de la venue de Cuper. De plus le Brésilien me connaissait bien et savait que les entraîneurs ne duraient pas longtemps avec moi. (rires)" Traduction alex_j viaFCInterNews.
  6. Au terme de la saison 2022/2023, ESPN a dressé sa liste des 10 meilleurs entraîneurs du monde. Et l'on retrouve notre Mister dans un classement dominé à juste titre par Pep Guardiola! Voici la motivation de cette 9ème place: "Simone Inzaghi mérite le respect lorsqu'il convient de parler d'entraîneurs offensifs et de haut niveau. Après avoir mené l'Inter à la deuxième place en 2021-22 grâce à 84 buts en 38 matches, Inzaghi a permis aux Nerazzurri de rester compétitifs en Italie, en remportant la Coppa Italia et la Supercoupe d'Italie, tout en réalisant la meilleure performance de sa carrière en Ligue des Champions." "Grâce à un système de rotation important de son équipe, il ne se passait que très rarement un match sans qu'Inzaghi ne procède à cinq changements - et à une formation à deux attaquants avec l'insaisissable Lautaro Martinez." "L'Inter a atteint sa première finale de Ligue des Champions en 13 ans. José Mourinho avait mené l'Inter à un titre improbable avec un style de jeu basé sur une défense solide. L'approche d'Inzaghi, elle, s'est avérée tout aussi efficace lorsque l'Inter a battu Barcelone en phase de groupes, puis Porto, Benfica et son rival l'AC Milan, avant de s'incliner 1-0 en finale contre Manchester City." "Inzaghi est expérimenté, sobre et toujours fidèle à ses principes: Beaucoup d'équipes devraient s'inspirer d'une vision aussi claire et de sa persévérance dans l'application." MERITE! ®Antony Gilles - Internazionale.fr
  7. Longue interview accordée au Corriere della Sera par Diego Milito. Voici ses mots. Sur la finale de 2010. "C'est difficile d'exprimer les émotions que j'ai ressenties. Ce que je peux dire sera toujours peu. Une joie qui restera avec moi pour le reste de ma vie." Le premier souvenir qui vous vient à l'esprit de la finale face au Bayern ? "La joie des supporters après le deuxième but. Si je ferme les yeux, je peux encore voir leurs visages. À ce moment-là, nous avons réalisé que nous pouvions vraiment le faire." Cette fois, l'Inter défie Manchester City. Comment gagner un match comme celui-ci ? "Il n'y a pas de formule exacte. Il faut soigner les détails, aller sur le terrain avec détermination, savoir saisir les opportunités." Mais existe-t-il une recette pour gérer l'anxiété et la pression la veille ? "Ce n'est pas facile, il y a tellement de pensées, l'adrénaline circule déjà. Mais j'ai réussi à dormir, j'étais calme. Le sentais qu'on pouvait gagner ce match." Qu'avez-vous ressenti en sachant que Mourinho ne reviendrait pas à Milan avec vous ? "Un mélange d'émotions : nous étions contents d'avoir gagné, mais tristes de ne pas continuer à travailler avec lui. Ses adieux ont été un coup dur, il a été une référence." Avez-vous été surpris de le voir à la Roma, votre rivale de l'époque ? "Non. Il y a des imoments et des instants. Rome est une place parfaite pour lui." Mou ou Inzaghi : de qui te sens-tu le plus proche pour le caractère ? "J'ai un faible pour José, je lui serai toujours reconnaissant. Il y a avec lui un lien d'affection qui rend la comparaison difficile. Simone est un excellent coach, parfois injustement critiqué. Il fait de grandes choses à l'Inter." Quel rôle avez-vous joué pour la venue de Lautaro à l'Inter ? "Zanetti m'a appelé, nous avons longuement parlé. Vous pouviez déjà voir ses talents, il n'avait pas besoin de moi pour le publiciser. Il y a eu une offre d'un autre club (l'Atletico Madrid, ndlr), on n'a pas fermé tout de suite et l'Inter a pris le relais. Ils étaient bons pour agir rapidement. Lautaro m'a demandé des conseils, car nous vivons à Milan, mais il était content de l'opportunité. Je n'ai pas eu à le convaincre." Qu'est-ce que tu aimes chez lui ? "Il a les qualités des grands attaquants, il est complet. Il peut jouer seul, comme s'il était un neuf, mais il s'adapte aussi à jouer avec un autre attaquant, par exemple Dzeko ou Lukaku. Il a tout." Comment a-t-il progressé après la Coupe du monde remportée avec l'Argentine ? "Cette victoire lui a donné tellement de confiance." Que voyez-vous dans l'attaquant Lautaro del Milito ? "Je n'aime pas les comparaisons. Je peux juste dire que nous avons une attitude similaire : nous sommes des combattants, nous travaillons pour atteindre nos objectifs, nous essayons d'obtenir ce que nous voulons. Avoir cet état d'esprit est essentiel." Quelle relation avez-vous ? "Je le connais depuis qu'il est très jeune, presque un enfant. Au Racing, il a fait ses débuts dans l'équipe première en entrant sur le terrain à ma place. Une sorte de passation de pouvoir. C'est un garçon extraordinaire, je l'adore. Le voir grandir, savoir où il en est maintenant, me rend heureux." La dernière fois que vous avez parlé ? "Je lui ai écrit après la finale de la Coppa Italia, comme je le fais pour tous les matches importants. Nous parlons souvent." Lautaro à Istanbul défiera Haaland. Le Norvégien est-il le meilleur attaquant du monde ? "L'un des meilleurs, pas le meilleur. Il y a justement Lautaro, Benzema et d'autres grands joueurs. Bien sûr, il voit facilement le but, l'Inter devra faire attention." Pour le contenir, laisseriez-vous Skriniar de retour jouer en tant que titulaire ? "L'Inter a atteint la finale sans lui, ils peuvent facilement continuer à se passer de lui. Alors il verra avec Inzaghi." Le chat WhatsApp des "joueurs triplés" est-il toujours actif ? "Oui bien sûr. Après l'Euroderby avec Milan, nous avons félicité Zanetti, qui est dans le club." Qui de cette équipe de l'Inter aurait joué dans votre équipe ? "Je ne veux pas citer de noms, mais Inzaghi a beaucoup de joueurs très forts." Que pensez-vous de Retegui, le natif avec qui Mancini espère résoudre le problème d'avant-centre de l'Italie ? "J'aime bien, il a grandi vite. Il a des qualités, la bonne mentalité. Je suis sûr qu'en été, il sera appelé par une équipe européenne, peut-être de la Serie A." Reviendrez-vous à l'Inter, peut-être avec un rôle de directeur sportif ? "Je n'ai pas l'habitude de me proposer mais oui, je serais prêt à m'impliquer. En tout cas, mon lien avec l'Inter sera toujours spécial." Traduction alex_j via FCInter1908.
  8. Romelu Lukaku et Lautaro Martinez se sont respectivement livrés à quelques jours de la Finale de la Ligue des Champions Notre Romelu Lukaku s’est livré à CNN au cours d’une longue interview justifiant aussi la raison pour laquelle il regarde vers le ciel à chaque but: En effet, son grand-père est décédé lorsqu’il avait 12 ans, soit quatre avant ses débuts au Rsc Anderlecht : "Je lui avais promis que j’allais prendre soin de ma mère lorsque j’avais 12 ans et j’ai tenu parole, et chaque fois que je regarde ma mère, je le vois dans les tribunes, je regarde vers lui après chaque but." Est-ce que disputer la Finale de la Ligue des Champions signifierait aussi quelque chose pour votre grand-père ? "Cela voudrait dire beaucoup, lorsque je regarde mon fils, je retrouve tellement de lui c’était mon numéro 1 et c’était mon plus grand fan (il est très ému). Je n’avais pu, que regarder jusqu’à présent quelques finales de Ligue des Champions, mais à présent et Grâce à Dieu, je peux en jouer une. Être dans cette position maintenant, avec ma famille sur place sera quelque chose de très beau car ce sera comme boucler la boucle." Une Inter Fraternelle En effet, lors de la pandémie liée au Covid-19, une sorte de Fraternité s’est créé entre les joueurs et on retrouve encore, à l’heure actuelle cette base dans le noyau: "C’était un moment émouvant car nous avions passé beaucoup de temps ensemble, en tant qu’équipe. J’ai passé beaucoup plus de temps avec mes équipiers durant cette périodes qu’avec mon fils ainé…. C’était jouer, rentrer à l’Hôtel, rester dans la chambre, regarder les matchs ensembles, des choses comme ça." Ce lien peut être rappeler celui de l’état d’Esprit qui entourait l’Inter de Mourinho auréolé du Triplé en 2010 ? "C’est assez similaire et pour être honnêtes pour être honnête, ce qui est amusant, c'est que beaucoup de ces joueurs de l'équipe de 2010 viennent voir nos matches et ressentent la même chose. Ce sera une très belle rencontre, nous allons jouer face à ce qui est probablement la meilleure équipe du monde : Je veux seulement en profiter, sans pression, profiter du moment et aller là-bas pour réaliser le meilleur résultat possible." Haaland? "Je pense qu’il dominera le football mondial comme Mbappé pour la prochaine décennie : Ils vont prendre la relève de Messi et Ronaldo au cours des deux prochaines années, mais City n’est pas qu’Haaland, c’est une équipe bien entrainée et Guardiola est un excellent entraineur car il adapte à chaque match un plan de jeu différent, il propose diverses dispositions tactiques en cours match en sachant qu’en jouant de cette façon, cela ouvrira pour Haaldand des brèches dans la défenses. En ayant ce type de mouvement et de schéma de jeu très bien synchroniser, tu as des chances de marquer." Romelu à Sky Sport La Finale d’Istanbul "Je savais que l’on en était capable et je l’avais dit au Président. Finalement, nous sommes arrivé en Finale et je suis très heureux. Il m'a envoyé un émoticône quand j'ai dû revenir à l'Inter. Un joueur doit toujours avoir confiance en l'équipe. Nous avons mérité d'avoir cette opportunité, nous espérons réaliser notre rêve." Nulla è impossibile? "C’est notre Slogan vu que tout le monde donne City pour favori." Comment affronter City ? "Nous devrons être très compact défensivement mais aussi montrer que nous n’avons pas peur de City. Je pense que l’entraineur et son staff vont bien analyser la rencontre et que nous serons prêts." Avez-vous envie d’être titularisé ? "Les personnes savent, à présent, ce que je suis capable de faire à nouveau mais l’Inter est la plus importante, l’entraineur doit faire les choix: Ce n’est pas une réponse politique, cela regarde l’Inter et je veux que l’Inter gagne : Nous devrons tous répondre présent." Et votre futur ? "On en reparlera après la Finale." Le Saviez-vous ? Pour Romelu Lukaku, son expérience chez les Blues est pour dire terminée : Il n’a plus envie d’y retrouver même en cas de consécration européenne. Mais comme le révèle la Gazzetta Dello Sport, au 30 juin prochain, il sera de retour à Londres après son prêt annuel et une négociation aura lieu entre l’Inter et Chelsea Si Mauricio Pochettino pense à d’autres profils d’attaquant pour construire sa créature, Romelu pourrait servir de monnaie d’échange, avec dans le viseur un certain Dusan Vlahovic. Toutefois, Romelu ne jure que par l’Inter et pour parvenir à un prêt bis et sur une éventuellement diminution de la charge Nerazzurro du prêt, bien plus que le travail diplomatique qui s’annonce entre les deux clubs, ce sera la volonté de fer de Romelu qui fera la différence… "Et l’Histoire récente nous apprend que lorsque le belge à un objectif en tête, il fait tout pour y parvenir…Et il pourrait être encore plus têtu auréolé du titre de Champion d’Europe !" Lautaro Martinez Lauti s’est livré à Uefa.com à quelques jours de la Finale de la Ligue des Champions Son But au Milan "C'est l'un des plus importants de ma carrière. Pas à cause de sa beauté, mais à cause de son importance, de son ampleur et de l'histoire qui se cache derrière", les yeux rempli fierté. Marquer un but est toujours très spécial, alors imaginez à quel point c'est spécial lors d’un match comme celui-là.L'important, c'est que mes coéquipiers aient apprécié, les supporters aussi, et que cela ait permis à l'équipe d’être sereine. Nous savions que s'ils marquaient un but, les choses pouvaient changer rapidement, il était donc important de réduire l'anxiété et de se détendre." A propos de la finale contre Manchester City "Il ne fait aucun doute que c'est l'une des meilleures équipes du monde. Ils jouent un football que j'aime beaucoup et ce seront des adversaires très difficiles à affronter. Mais nous avons affronté des équipes très difficiles lors de la phase de groupe et de la phase à élimination directe et nous nous sommes très bien comportés." "Nous devons essayer d'en profiter, car une finale de Ligue des champions ne se joue pas tous les jours. Tout ce qu'il nous reste à faire, c'est de travailler dur et de jouer aussi bien que possible, en espérant que la meilleure équipe gagne et que nous soulevions le trophée à la fin du match." Sur la relation entre l'Inter et l'Argentine "Dès mon arrivée dans ce club, on m'a fait sentir que je faisais partie de la Famille, que j'avais grandi ici, et c'est très important pour un joueur. Je savais qu'il y avait toujours eu beaucoup d'Argentins ici, comme Milito, Zanetti, Cambiasso et Samuel, qui ont effectué un travail extraordinaire dans ce club. C'est une grande responsabilité de porter ce maillot. Je suis très fier de ce que j'accomplis ici et je ne cesse de répéter que je dois continuer à fournir des efforts". A propos de Dzeko et Lukaku "Ce sont deux joueurs très différents. Edin aime avoir le ballon, il recule et relie ses coéquipiers, tandis que Romelu a tendance à attaquer les espaces et à se faire suivre par les défenseurs pour créer de l'espace pour le deuxième attaquant. Je m'entends très bien avec les deux. J'essaie de m'adapter à eux et de faire ce dont l'équipe a besoin. Si je dois attaquer des espaces pour libérer de l'espace pour Edin, je peux le faire facilement, et c'est la même chose pour Romelu." A propos d'Inzaghi "Il est toujours important de savoir comment nous voulons jouer et de comprendre les idées de l'entraîneur. Quand on a des idées claires et qu'on étudie les matches et les adversaires, c'est beaucoup plus facile. Nous nous entendons très bien avec l'entraîneur car il travaille bien et prépare bien les matchs. D'un point de vue mental, ces matches n'ont pas besoin d'être préparés en raison de leur importance." ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  9. 13 ans après la double confrontation historique entre son Fc Barcelone et l’Inter de José Mourinho, Pep Guardiola est prêt à retrouver sa "maudite" Bien-aimée. Et pour ce rendez-vous romantique sous le ciel d’Istanbul, celui-ci s’est livré à la Gazzetta Dello Sport "J’ai commencé à regarder quelques minutes l’Inter, quelques phases de jeu et je suis resté impressionné, ils m’ont impressionné par leur façon de faire, leur langage corporel. Après les avoir visionnés, j’ai sonné à quelques amis proches qui vivent en Italie pour avoir leur avis sur l’Inter : Ils m’ont tous dit de rester sur mes gardes et de la prendre vraiment au sérieux. Je n’avais pas besoin qu’ils me le disent, je l’avais déjà compris en les observant sur quelques minutes, sur quelques situations." "C’est clair que l’Inter peut nous battre, elle a déjà gagné trois fois ce tournoi et nous jamais, mais nous voulons le disputer de la meilleure des façons pour que cela ne soit plus le cas. Ce n’est pas un hasard s’il y a 3 équipes italiennes dans les Finales des 3 coupes d’Europe, il y en a eu d’autres qui ont disputés les demi-finales." "J’ai joué en Italie et je connais la mentalité qu’ont les équipes italiennes dans des Finales: Il ne faut pas oublier, qu’il y a vingt ans, la Serie A était le meilleur championnat du monde est que tout le monde, joueurs, entraineurs, voulaient y jouer : L’Italie a aussi gagné quatre fois le Mondial et elle a toujours cette mentalité: C’est aussi pour cette raison que je pense que jouer une Finale contre une équipe italienne reste et restera compliqué." "Nous avons énormément gagné depuis mon arrivée, et je trouve parfois injuste qu’il faille remporter la Ligue des Champions pour avoir du crédit sur tout ce que nous avons réalisé, mais c’est ainsi, je dois l’accepter : Je sais que nous n’aurons pas tout réalisé sans avoir gagner la Ligue des Champions." "Jouer parfois avec cette pression est fantastique, nécessaire, nous échangeons entre nous et nous nous disons que nous allons le faire. Dans le même temps, si nous ne parvenons pas à l’emporter mais que nous continuons à gagner, je suis sûr que tôt ou tard nous y parviendrons, mais nous avons l’occasion, ici, d’être en finale et nous allons essayer de l’emporter." Pep, Avant de monter en l’Air la Bien-Aimée, n’oublie pas qu’il faut son consentement ! ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  10. Invité de Gianluca Gazzoli le 16 Mai dernier, Marco Materazzi est revenu sur sa carrière et des passages de l'Inter. Comment avez-vous vécu l'après-retraite ? "J'ai arrêté en 2011, la première année tu fais tout ce que tu n'as jamais fait durant ta carrière. Puis vient l'effondrement deux ans plus tard. Les vestiaires, les gens me manquent mais ce soir je vais au coin pour Inter-Milan parce que je me sens comme l'un d'eux, comme lorsque je jouais. C'est pour ça que ça me manque moins évidemment. Ensuite, quand vous avez une vie bien remplie, si vous avez créé quelque chose au-delà du football, vous la vivez bien." Votre carrière d'entraîneur. "Je l'ai fait en Inde pendant trois ans, en remportant un championnat. J'ai aimé ça parce que c'était 'vierge', je devais tout faire moi-même. On a monté une équipe, la dernière franchise. On a gagné la saison régulière, puis on a perdu en demi-finale parce que nous étions cuits. L'année suivante, nous avons gagné, l'année dernière nous ne nous sommes même pas qualifiés. En Inde, la religion, c'est le cricket mais quand vous allez jouer à Calcutta, il y a un énorme public." Tu es devenu l'idole des fans des équipes pour lesquelles vous avez joué parce que tu avez toujours donné votre cœur. "Je préfère avoir l'amour de mes parents et la haine des autres. Au moins tu es quelqu'un qui divise, qui a le courage de dire ce qu'il pense." Puis tu es devenu l'idole de tout le monde en 2006. "Pendant un mois et c'est tout, le temps de célébrer. Ma situation à la Coupe du monde a été décrite de manière incorrecte : sur 10 personnes que je rencontre, 9 disent que j'avais raison. On n'a jamais vu un joueur dans l'histoire du football écoper d'une suspension de deux matches pour provocation, j'en suis fier. Je sais comment les choses se sont passées, je n'aurais certainement pas mérité une disqualification en deux matchs. Mais il y avait un "bandit" à la Fifa, il a fait en sorte que ça se passe comme ça. L'avocat de la Fifa m'a appelé alors que j'étais en vacances aux Maldives pour rentrer à Zurich. Je lui ai répondu : 'tu es stupide, quand je reviendrai peut-être que je viendrai'. Puis je suis finalement allé et j'ai été jugé sans être entendu. Ils l'ont joué et chanté, mais il n'en reste pas moins que je suis champion du monde. J'étais un peu désolé parce que j'aurais aimé jouer au Stade de France après la Coupe du monde, j'aurais aimé les défier. Malheureusement ils m'ont empêché... C'était des conneries, Tassotti lui a pris 9 matches pour un coup de coude, un de plus que moi. J'aime me souvenir des deux buts que j'ai marqués, l'un avec la tête et l'autre avec le ballon médicinal de 10 kilos, car ce n'est pas facile de marquer un penalty. Heureusement, Barthez n'est pas si grand mais je savais que je devais marquer. Zidane ? Je le félicite pour ce qu'il a fait en tant que joueur et en tant qu'entraîneur. Ce qui s'est passé cette nuit-là est son problème plutôt que mon problème." Le Triplete. "Pour moi, et pour tous ceux qui ont souffert en 2002, c'était la cerise sur le gâteau. Le noyau historique de cette équipe a atteint son apogée, ils ont gagné à juste titre après avoir souffert. C'était une gratification sportive, pas qu'en Italie personne ne l'a jamais et nous l'avons fait, nous seuls. Pas même le Real Madrid, qui est l'équipe la plus titrée de l'histoire. Ce n'est pas facile ce que nous avons fait. Dans le sport, ce n'est pas toujours l'équipe la plus forte qui gagne mais aussi l'unité d'un groupe, les détails , l'entraîneur n'a rien fait de mal." Aviez-vous des stratégies pour intimider ? "Non. Si je te le faisais, on se disputerait. Samuel, mon idole, si tu lui disais quelque chose il ne te répondait pas. Peut-être que j'ai eu tort de discuter, oui. Ai-je exagéré? Non, ce qui est fait est fait, je ne nie pas le passé." Ronaldo. "La puissance de Cristiano avec la vitesse d'exécution et le talent naturel de Messi. Et il a fait ces choses il y a 20 ans, il était dans une autre catégorie." Le câlin avec Mourinho après la victoire à Madrid. "'M'abandonnez-vous l'année prochaine?'. Je savais qui arriverait malheureusement (Benitez, ndlr). Avec José on s'est toujours dit des choses, je l'ai toujours aidé. Il m'a dit lui-même que la deuxième année il aimait m'entraîner, même s'il m'a dit que je pouvais aussi jouer zéro match. Après 1' j'ai répondu : 'je reste avec vous'." Souvenirs du derby et de la photo iconique avec Rui Costa. "L'ambiance était belle, c'étaient de bons matchs. J'ai signé de nombreuses photos... Le gâchis s'est produit dans la Curva, dans cette circonstance ils ont exagéré, et je dis cela en ayant une excellente relation avec les fans. Ce n'est plus du football, c'est ce que il nous a fait du mal, pour le match perdu et la disqualification du terrain, mais aussi à Milan. Ça n'a pas de sens de gâcher des matches comme ça." Êtes-vous un fan de l'Inter ? "Je ne l'étais pas, mais je le suis devenu. Lors de ma première année à l'Inter, j'aurais pu tout gagner et à la place, j'ai tout perdu. Ce n'était pas facile de recommencer après le 5 mai. Nous avions beaucoup changé, l'année après le 6 -0 du derby. Nous sommes partis de zéro, nous aurions mérité le Scudetto même si nous n'étions pas les plus forts. Je ne veux pas être rhétorique mais quelque chose s'est mal passée." La relation avec Ibrahimovic. "Il n'y a aucune aversion de ma part, il le jette de temps en temps, c'est aussi arrivé à son retour à Milan. Il aime attaquer l'idole Interisti. Il n'y a pas de rancune de ma part. Il ne gagnera jamais la Ligue des champions et la Coupe du monde, parlons de gagner des scudetti avec la Juve, le Psg, Milan et Barcelone... Ils sont tous bons, il l'a fait. C'est un phénomène, c'est un champion mais il n'est pas le plus fort, pas aussi fort qu'il se voitt. Il a créé une marque, mais il n'est pas le plus fort. Lui, comme moi, est fier du parcours et d'où il vient. Chapeau bas pour ce qu'il a fait, alors que mère nature lui a donné un physique et deux pieds incroyables. Dans les championnats, c'est un phénomène. Son adieu fut agité. J'ai perdu le Scudetto la première année et je suis resté à l'Inter, puis j'ai été récompensé. Maintenant, il s'est un peu calmé, il est l'idole des supporters milanais et il est heureux à Milan." Des relations privées après des joutes publiques ? "Je n'ai aucun contact avec lui et je m'en fous, chacun suit son chemin." Traduction alex_j via FCInterNews.
  11. Ancien footballeur pro devenu consultant, Alexandre Teklak s’est livré à une interview exclusive pour Internazionale.fr, lui qui est devenu consultant sportif à Eleven Sport et à la RTBF où il fait part de ses excellentes analyses dans le cadre des matchs d’Europa et de Conférence League. Comment jugez-vous la saison actuelle de l’Inter ? "C’est une saison un peu contrastée, l’Inter a très bien réussi dans tout ce qui est match de Coupe, un peu comme Inzaghi sait le faire. C’est plutôt un entraineur de Coupes, sans être péjoratif, c’est un entraineur qui, sur des évènements ponctuels, parvient à faire la différence. La preuve , l’année dernière il a gagné la Coupe d'Italie, il est en finale aujourd’hui, il est en finale de la Champion’s League, il a remporté la Super Coupe." "Au contraire de Conte qui est un entraineur bâtisseur sur le long terme et qui est plutôt prêt pour acquérir des titres sur le long terme comme l'est un championnat, je pense qu'Inzaghi est un peu un entraineur qui est capable de briller sur des compétitions où c’est quitte ou double. Il l’a fait avec la Lazio aussi à l’époque. C’est vraiment devenu un spécialiste des Coupes, et ce n’est pas par hasard. Quand tu en gagnes une, deux, on peut se dire que c’est le hasard qui a fait que... mais ici il le fait depuis quelques saisons, pour moi, c’est ce qui caractérise la saison de l’Inter avec Inzaghi, paradoxalement avec celles sous Antonio Conte." "Maintenant c’est une saison en dents de scie même si cela va mieux ces dernières semaines, car l'Inter a des joueurs comme Lukaku, notamment, qui reviennent bien qui pèsent à nouveau. Mais c’est vrai qu’ils ont connu beaucoup de soucis avec des résultats très inégaux et je pense à la défaite à domicile face à Monza 0-1." "Je me suis dis 'On est en préparation pour la Ligue des Champions' mais voilà, l’Inter joue avec son bonheur et ils auront la rencontre à Turin et le match face à l’Atalanta qui restent à disputer pour se qualifier en Ligue des Champions. Il y aura City aussi, mais ce n’est pas normal d’avoir attendu si longtemps pour assurer la place en Ligue des Champions car, cette année, il y avait la place pour l’acquérir beaucoup plus tôt même si Naples a survolé la compétition." "Honnêtement, au vue des oppositions qu’ils ont eu à l'Inter, vu le noyau qu’ils ont, je trouve que c’est quand même tardif. Je peux l’expliquer aussi par le fait qu’il y a un noyau " vieux" et il n’y a rien à faire quand on veut aborder plusieurs compétitions, il faut le préserver. Toute proportions gardées, l’Inter a un peu le même problème que le Real : un noyau vieillissant. Ce sont des équipes qui sont capables d’avoir un objectif majeur, mais pas trois ou quatre dans une saison, c’est difficile." "Lorsque l’on regarde la saison du Real, elle a fait un peu une saison similaire en termes de prix remportés au niveau des Coupes, il y a une saison en Liga complétement manquée, gâchée pour un club comme le Real. L’Inter, toute proportions gardées j’insiste un peu, vit une saison similaire au niveau des résultats et je l’explique par ça : prenez la moyenne d’âge." "Ce sont des supers joueurs, vous vous rendez comptes aussi qu’avec ces mecs-là, si vous ne les faites pas tourner, vous les blessez. Ici on arrive en fin de saison, on voit que Mkhitaryan s’est fait mal en demi-finale retour, Dzeko qui va jouer ce soir a aussi eu quelques bobos. Tout le long de cette saison a été jalonnées par des petits bobos que les joueurs importants, les cadres ont eu parce qu’à un certain âge, jouer au très haut niveau toutes les compétitions, tout le temps, ce n’est plus possible et je pense qu’Inzaghi l’a très bien compris, aussi dans sa rotation car il n’avait pas trop le choix." Pensez-vous que la Coupe du Monde a eu un impact ? Qu’elle a faussé un peu les tournois ? "Oui, la Coupe du Monde a eu sa part d’influence sur toutes les équipes. Surtout au retour de Coupe du Monde pour la plupart des équipes où il y a eu beaucoup d’engagés. Oui, il y a pu y avoir un impact, forcément pour les Italiens, non, pour l’Inter je ne le sais pas, mais ils n'étaient pas tous concernés par la Coupe du Monde, pas du tout même. Toutefois, par l'entracte qu'elle a provoqué, oui." Et des matchs tous les trois jours… "Le problème a été l’accélération de match et là évidemment dans un calendrier qui est déjà surchargé... faut savoir ce qu’on veut, car même si les dirigeants pensent construire des noyaux très larges, pléthoriques pour aborder toutes les compétitions, les aborder toutes avec le même niveau de performances est impossible car on ne sait pas disposer de deux équipes de même niveau dans son noyau, en tout cas l’Inter n’a pas ça, ça lui couterait beaucoup trop cher." Malheureusement nous n’avons pas le propriétaire qui va avec pour l’instant… c’est assez compliqué… "Mais City est capable d’avoir ça , ils ont deux équipes, une pour la Premier League quasiment et une pour la Champion’s League mais c’est la seule équipe, c’est une exception." En parlant justement de City, pensez-vous que ce club a un point faible ? Ou est-ce que la Finale est déjà perdue d’avance pour l’Inter ? "Perdue d’avance non, même si c’est vrai que cette année City écrase tout, ils sont terriblement efficaces, ils ont un peu revu leur système avec la présence d’Haaland aussi, parce qu’ils sont capables, à présent, de varier aussi leur manière de marquer, ils peuvent partir de beaucoup plus bas, ils n’ont plus besoin d’une construction élaborée, très élaborée comme Guardiola les aiment lorsqu’il joue avec un faux neuf." "ici, ils ont vraiment dans des situations avec Haaland et une manière de marquer qui est différente. C’est évidemment un gros avantage pour Guardiola même s’il doit laisser tomber un petit peu et parfois ses préceptes et ses principes. Je dirais plutôt s’en éloigner un tout petit peu et les varier un tout petit peu, mais c’est le gros avantage de City. C’est vrai que j’ai aussi vu des matchs où Haaland était bien bloqué comme face à Rudiger lors du match aller au Real, ceci dit, le gros soucis avec cette équipe, c’est qu’elle est capable de marquer de manière très différente et d’être dans un mouvement perpétuel. C’est une équipe qui est très difficile à jouer techniquement." "Elle a des faiblesses et pour moi ce sont les situations de contre-attaques car elles portent beaucoup de joueurs vers l’avant. Une fois qu’Haaland manque d’efficacité, c’est un soucis aussi pour cette équipe, car il est vraiment très important. Ils ont tout de même des difficultés parfois à pouvoir, sur la longueur d’un match, contenir les contre-attaques des adversaires. Ce n’est pas une équipe qui n’a aucune faiblesse, c'est une équipe qui peut aussi à un moment donné s’agacer, par exemple, de la roublardise de l’adversaire, du fait que le rythme soit faible dans le match." Ce qui est un peu la force des clubs italiens… "Oui et c’est quelque chose qui pourrait très vite les agacer, car ils sont parfois impatient et il ne faut pas oublier non plus la plus grande faiblesse de City cette année est qu’ils doivent la gagner : Guardiola a beau relativiser dire oui… Toujours un peu avec son dogme caractéristique, il doit la gagner ! Cela fait presque 10 ans qu’il est là, ils ont investi beaucoup d’argent dans le club pour y parvenir." "Je crois qu’ils la veulent à tout prix et c’est l’occasion où jamais. Ils se sont plantés, il y a deux ans, face à Chelsea, City n'a plus trop le droit à se planter à nouveau. Pour moi, c’est ce côté impatient, ce côté obligation à devoir aller la chercher qui peut jouer pour l’Inter, car l’Inter va être l’outsider de Luxe." "Quelque soit le résultat de l’Inter, elle n’a rien à perdre et tout le monde dira que c’est déjà formidable d’avoir atteint la Finale de la Ligue des Champions, c’est déjà le cas maintenant et je pense que c’est un grand avantage pour l’Inter de ne pas être "Obligé de" alors que pour City oui, car si City la perd, vu la force en présence, vu leur noyau vu toutes ce qui entoure ce titre en Ligue des Champions, ce sera de nouveau un camouflet pour Guardiola et ce sera de nouveau une Finale de perdue." "Il ne faut pas minimiser aussi l’aspect psychologique de cette rencontre qui aura beaucoup d’influence, parce que c’est vrai que l’Inter est un peu une équipe d’emmerdeurs." C'est un peu le cas aussi… Il y a une cohésion d’équipe chez nous, car si l'on se base que sur le plan individuel,on ne fait pas le poids : Est-ce que le 3-5-2 est une bonne idée face à City ? "Je pense que l’Inter est très dépendante de ce que va produire comme foot et comme prestation son trio au milieu de terrain car, pour moi, c’est le poumon de l’équipe: Pas seulement parce que ce sont de très bons joueurs, mais aussi parce qu’ils abattent un travail exceptionnel. Que ce soit Çalhanoğlu, Mkhitaryan et Barella c’est vraiment incroyable ce qu’ils sont capable de faire surtout dans les contre-efforts défensif et là ils sont vraiment redoutable." "Quand je vois comment ils se sont mis minable dans le Derby sur les deux matchs et les prestations encore qu’ils ont eu, je me dis que ça peut vraiment embêter le milieu de terrain de city. De Bruyne n’aimera pas avoir ce type d’opposition, pas du tout même, il n'aimera pas ce type de marquage et d’une manière générale tous les joueurs de City n’aimeront pas." "Je pense que derrière, Acerbi a prouvé aussi que ce ne sera pas un problème pour lui de jouer contre Haaland: L'Inter ne va pas non plus ouvrir le jeu avec 50 mètres dans son dos, ils vont rester organisé et pour moi l’Inter a des atouts à faire valoir. Je ne vois pas l’Inter s’écrouler contre City, je ne vois pas ça, je vois une équipe qui est vraiment capable de les emmerder." Passons à Lukaku, la Serie A est-elle le mieux pour lui ? Ou est-ce mieux qu’il retourne à Chelsea ? "Je pense que sa saison a été marquée en plusieurs temps, son premier temps est évidemment son retour de la Coupe du Monde, fragilisé moralement, fragilisé physiquement et je connais un tout petit peu Romelu et son caractère, il a voulu forcer les choses et aller plus vite au niveau de son retour et il s'est passéce qu'il s’est passé. Maintenant, il est en forme , il joue, il veut reprendre sa place de titulaire." "Il ne faut pas oublier non plus qu’il joue dans un club qui possède deux paires d’attaquants, et l'on oublie trop souvent de le dire mais pour un Club comme l’Inter: 4 attaquants de ce niveau-là, c’est tout de même rare, c’est très rare : Il faut bien se rendre compte qu'il s'agit de Correa, Dzeko, Lautaro qui est un super joueur et Romelu : Vous imaginez quand même ! " "Vous êtes là, vous commencez le match avec Dzeko et à un moment donné vous faites monter Romelu pour les vingt dernières minutes avec Correa, ou un autre si Correa est déjà titulaire, mais vous voyez ce que je veux dire en termes de possibilités: C’est énorme ce qu’Inzaghi a à sa disposition , il ne faut pas le négliger non plus, ce sont quatre attaquants de grandes qualités." "Maintenant en ce qui concerne Romelu en tant que tel, il a voulu refaire sa place, peut-être un peu trop vite et il est parti de blessure en blessure et de rechute en rechute et ça, ça a été son grand soucis parce que la pression aidant, le fait aussi que sa Coupe du Monde soit manquée, le match contre la Croatie qui lui reste dans la tête : Tout a joué beaucoup contre lui et il l’a dit récemment, que cela lui a pesé énormément car si vous n’êtes pas bien dans votre tête, le reste ne sait pas suivre, même au niveau de la prise en charge d'une blessure." "Et une compétition exigeante comme l’est la Serie A a fait aussi qu’il s’est reblessé, qu’il n’a jamais été prêt. Maintenant il commence à l’être, ici, il enchaine les matchs et surtout les bouts de matchs et je sais, à ce niveau-là qu’Inzaghi est beaucoup critiqué mais je trouve qu’il les a bien gérer : Il a bien géré la rotation et l’intégration de Romelu pour ne pas qu’il aille trop loin d’une part et pour qu’il se sente bien physiquement d’autre part." "On l’a vu ces derniers temps, il marque au meilleur moment pour lui car c’est maintenant le Money Time, c’est maintenant ici que tout ce décide et c’est surtout maintenant que les contrats sont revus : Il y a quelques semaines l’Inter avait dit non, Romelu on n’en veut plus: Aujourd’hui, ils ont changé de fusil d’épaule et c’est d’ailleurs la même chose à l’égard d’Inzaghi Je pense qu’il y a vraiment une progression dans sa saison qui est bonne avec la possibilité , aujourd’hui, de rester à l’Inter et surtout d’apporter un plus sportivement à l’équipe." "Maintenant, pour sa situation avec Chelsea, je pense que l’Inter a de l’argent, mais l’Inter est en dette et doit faire attention. Oui, elle est en auto-financement…. "Je le sais, je pense qu’ils vont être tributaire un peu de ce que Chelsea va exiger : L’Inter est une équipe spécialiste pour faire des prêts , je crois que c’est Marotta qui en est le Directeur comme c’était le cas du temps de la Juve." Tout à fait, avec Piero Ausilio… "Marotta est un adepte de ce genre de manœuvre , vous me direz si je me trompe mais je suis quasiment certain qu’à l’époque de la Juve, c’est lui qui va rechercher Pirlo car plus personne n’y croit." Oui, il a fait la même chose avec Pogba…. "C’est un très grand spécialiste, il s’est parfois trompé, je ne dis pas qu’il a toujours tout réussi, mais il a quand même bien plus réussi que raté au niveau de ses prêts et de certains fin de contrat qu’il a été chercher." Oui, c’est lui qui a reconstruit l’équipe de l’Inter à son arrivée et on voit la différence avec la Juve à l’heure actuelle…C’est sa plus grosse perte... "Tout à fait, la Juve a beaucoup perdu avec son départ et l’Inter a beaucoup gagné, je sais qu’on ne parle pas beaucoup de lui mais c’est un Dirigeant Sportif qui a été l’architecte de l’Inter." Il est le plus respecté, encore plus que Steven Zhang…. "Cela ne m’étonne pas je crois vraiment que sa présence a été la clé du succès de l’Inter et pour revenir sur le prêt, sur la continuité de Romelu à l’Inter le problème sera à Chelsea : Qu’est-ce qu’ils vont vouloir, qu’est-ce que le nouveau propriétaire va vouloir : Accepteront-ils encore un prêt ou alors vont-ils vouloir le vendre définitivement sachant que Romelu n’a peut être pas envie de retourner à Chelsea." "Cela pourrait dépendre du nouvel entraineur de Chelsea , peut être qu’il aura une bonne connexion avec Lukaku, Dieu seul le sait : Je n’en sais rien, c’est trop tôt pour le savoir: Je pense qu’aujourd’hui vu la manière avec laquelle joue Lukaku, et son amour pour l’Inter et pour la Serie A, qu’il a envie de se faire pardonner quelque chose vu la façon dont il est parti." Oui, il était fort aimé, on a vécu son départ comme une trahison, pour certains ils sont encore rancuniers "Je sais, en Italie, ils ont la rancune tenace et il y en a encore beaucoup qui lui en veulent d’être parti car certains disent "Oui mais l’Inter avait des problèmes financiers et c’est pour ça qu’il est parti" mais je pense que ce n’était pas que pour ça, cette raison-là n’est pas vraie, c’est du Pippo." A l’Inter, lorsque Conte est parti, s’il avait dit à ce moment-là: Je veux quitter le club aussi, je demande à être transféré il n’y aurait eu aucun soucis", mais lui avait fait une interview une semaine avant son départ pour dire : "Ne vous inquiétez pas Conte est parti et je reste", c’est pour cela que la pilule n’est pas passée... "Je pense que Romelu a commis à la fois une erreur de communication, mais aussi une erreur de choix car on s’est ce qu’il est advenu de sa saison à Chelsea. Donc aujourd’hui, il se fait petit, il se met minable car il sait aussi ce qu’il doit à l’Inter et c’est pour ça qu’il a à tout prix voulu y revenir." "C’est aussi pour cela qu’aujourd’hui il est en forme et c’est pour cela qu'à chaque fois qu’il marque un but, il le fait avec beaucoup de respect et aussi avec une certaine forme de redevance si vous voyez ce que je veux dire, on le sent dans sa communication avec les supporters, il est toujours en train de les mettre en avant : Il marque toujours beaucoup de sollicitude à leur égard." Il est très communicatif… "C’est normal et il doit se rattraper et il est authentique car je le connais un peu, les critiques des supporters l’ont touchés, l’ont blessés , surtout lorsqu’ils l’ont traité de Traitre, mais voilà…" Face à la Salernitana c’était d’ailleurs l’un des seuls joueurs à aller voir les supporters lorsque l’on s’est inclinés sur leur terrain, il les "a porté", s’est excusé et ça lui permet de revenir aussi dans les bonnes grâces des Tifosi... "Tout à fait et il n’était pas obligé de le faire, il y a d’autres joueurs qui ne se seraient pas comportés comme cela et je pense que ça compte beaucoup pour lui : Il aime l’Inter et je pense que l’Inter l’aimera de nouveau et que tout se passera bien pour lui." "Vous savez l’Inter a perdu un peu son lustre d’antan: On n’était plus habituée à la voir dans les compétitions européenne comme elle le faisait à l’époque de Mourinho mais quand on voit cette équipe aujourd’hui, elle n’est pas là par hasard , elle n’est pas arrivée en Finale de Ligue des Champions par hasard." Dernière question : votre prono pour ce soir, pour la Finale de la Coupe... "Je trouve que la Fiorentina est une superbe équipe, on voit le boulot d’Italiano. Je l'’ai suivi aussi avec la Conference League, c’est une super équipe de foot, elle joue très bien au foot, elle a un gros problème : Elle se crée plus d’occasions qu’elle ne marque de buts mais elle s’en crée vraiment beaucoup, énormément grâce à un football léché et elle pourrait être un bon adversaire pour l’Inter." "Elle est un peu similaire à City, ça pourrait être une mini-répétition de ce qu’il pourrait se passer face à City, sans exagérer bien sûr et c’est une Finale . Je pense qu’on va assister à un beau match et cette année, j’ai rarement vu des mauvais matchs de sa part, c’est une équipe agréable à voir , mais j’aurais un petit penchant pour l’Inter, un petit." ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  12. José Mourinho, de son nom complet José Mário dos Santos Mourinho Félix, est un entraîneur de football portugais. "The Special One" comme il se surnomme lui-même, bien que décrié par certains, et adulé par d'autres, fait partie des meilleurs techniciens au monde. Mourinho fut notamment l'entraîneur du FC Porto et de Chelsea. Il quitte son poste d'entraîneur de Chelsea le 19 septembre 2007 au soir, officiellement à l'amiable, à la suite d'une altercation orageuse avec le président du club Roman Abramovitch, après un match nul concédé contre Rosenborg à domicile en Ligue des Champions. CARRIERE Nouvel Entraineur de l'Inter, il fut entraîneur et manager du Chelsea Football Club du 2 juin 2004 jusqu'au 19 septembre 2007. Il dirigeait le FC Porto avant d'arriver au club londonien. Avec le club portugais, il remporte la Coupe UEFA, la Ligue des Champions 2 coupes du Portugal et deux Championnats du Portugal de football. Il est né le 26 janvier 1963 à Setúbal au Portugal. Il est le fils de l'ancien gardien de but Félix Mourinho. Il ne poursuit pas de carrière de joueur professionnel mais montre des aptitudes au management. Il détient une formation universitaire en éducation physique spécialisé dans le football. C'est avec cette formation qu'il commencera comme soigneur. Remarqué par l'entraîneur de l'Estrela da Amadora, il se verra offrir un poste d'assistant-entraîneur. Ensuite viendront des postes comme traducteur puis entraineur-adjoint pour des entraîneurs comme Bobby Robson et surtout Louis Van Gaal qui est sans aucun doute le manager qui influencera le plus Mourinho dans la façon de diriger un club de football, lors de son passage au FC Barcelone. Après son séjour en Catalogne, Mourinho retourne au Portugal où il prend en charge le Benfica Lisbonne. Mais il se fera vraiment connaître en tant qu'entraîneur d'abord de l'Uniao Leiria puis surtout du FC Porto durant les saisons 2002-2003 et 2003-2004. Il ne résistera pas aux sirènes du milliardaire russe de Chelsea, Roman Abramovitch, désireux de bâtir un club de football de tout premier plan sur la scène européenne. Il devient l'entraîneur le mieux payé du monde (£4,2 millions en 2003, puis £5,2 millions en 2005). La célébrité de Mourinho en tant qu'entraîneur n'a d'égal que son côté provocateur, ce qui lui vaut de nombreuses inimitiés dans le monde du football. En effet, ses déclarations tapageuses et son ton arrogant (il s'est autoproclamé "The Special One" et a traité Arsène Wenger de "voyeur", parce que selon lui, il passait son temps à regarder et à parler de Chelsea, avant de s'excuser) ont fait le bonheur des tabloïds britanniques. Le 19 septembre 2007, après un début de saison difficile (défaite face à Aston Villa en championnat, match nul face aux Blackburn Rovers et contre Rosenborg en Ligue des Champions), Mourinho décide de quitter le club, sous la pression du propriétaire du club, Roman Abramovich, avec lequel il entretenait des relations difficiles depuis plusieurs mois. Selon le club, le départ se fait par consentement mutuel. En trois saisons, Mourinho fait mieux que tous les entraîneurs précédents de Chelsea, avec deux titres de champion d'Angleterre, une Coupe d'Angleterre et deux Coupes de la Ligue. Seule la Ligue des Champions se refusera à lui (deux fois demi- finaliste: 2004-2005 et 2006-2007), ce qui constitue une des raisons de son départ. De plus, Mourinho, en comptabilisant les saisons passées à Porto et à Chelsea, détient le record d'invincibilité en championnat à domicile avec 99 matchs sans défaite en 5 saisons (38 matchs invaincu avec Porto et 61 avec Chelsea). Il a donc finalement signé, ce mardi 02 juin 2008 un contrat de trois ans qui le lie à l'Inter. CLUBS 2000-2001 Benfica 2001-2002 UD Leiria 2002-2004 FC Porto 2004-2007 Chelsea 2008 Internazionale F.C. PALMARES 2003 Coupe UEFA avec le FC Porto Coupe du Portugal avec le FC Porto Supercoupe du Portugal avec le FC Porto Champion du Portugal avec le FC Porto Meilleur entraineur d'Europe selon l'UEFA 2004 Ligue des Champions avec le FC Porto Championnat du Portugal avec le FC Porto Finaliste de la coupe du Portugal avec le FC Porto Meilleur entraineur du monde (source IFFHS) Meilleur entraineur d'Europe selon l'UEFA 2005 Carling Cup avec Chelsea FC. Champion d'Angleterre avec Chelsea FC Community Shield avec Chelsea FC Entraîneur de l'année Meilleur entraineur du monde (source IFFHS) Meilleur entraineur d'Europe selon l'UEFA 2006 Champion d'Angleterre avec Chelsea FC Entraîneur de l'année Meilleur entraineur de Premier League 2007 Carling Cup avec Chelsea FC. FA Cup avec Chelsea FC. Vice champion d'Angleterre Posté le 02 juin 2008 à 16.05 par Randy Sources associé(e)s: Wikipedia
  13. En effet, l’arbitre polonais a été désigné pour diriger la Finale tant attendue qui se déroulera le 10 juin prochain à Istanbul: Il s’agira de sa première finale dans la plus prestigieuse des Coupes d’Europe par Club, lui qui en avait été le quatrième arbitre en 2018 Cette saison, il a dirigé huit parties à débuter par les phases préliminaires jusqu’à la demi-finale retour entre Manchester City et le Real Madrid. Il a également dirigé la Finale de la Coupe du Monde 2022 au Qatar. Il est d’ailleurs le second arbitre de l’Histoire à arbitrer successivement la Ligue des Champions et la Coupe du Monde. Et cette anecdote peut faire sourire les Tifosi de l’Inter car le seul et unique précédent remonte à l’année 2010, un certain 22 mai avec l’anglais Howard Webb qui dirigeait un certain Bayern-Inter Et une anecdote peut en cacher une autre : José Mourinho a été titré à l’Inter à l’âge de 47 ans avec M comme Madrid….Simone Inzaghi pourrait être titré à l’âge de 47 ans avec un I comme Istanbul ! De bon augure les amis ! ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  14. Simone Inzaghi signant des autographes et les premiers détails du voyage à Istanbul. Un moment de satisfaction et de sourires pour Simone Inzaghi capable d'emmener l'Inter en finale de la Ligue des champions après son triomphe historique en 2010. L'entraîneur des Nerazzurri, comme en témoigne une vidéo de Sky Sport, a été accueilli par la chaleur des supporters d'Appiano Gentile. En effet, il y a ceux qui lui ont demandé de prendre une photo avec lui, ceux qui voulaient un autographe sur le maillot ou sur le ballon mais aussi ceux qui, déjà la tête tournée vers le match compliqué à Istanbul face à Manchester City, ont fait la demande de ramener la coupe aux grandes oreilles à Milan. Les premiers détails relatifs à la mission de l'Inter à Istanbul émergent également. Hé oui, le 10 Juin l'Inter partira à la recherche de la quatrième Ligue des champions de l'histoire du club en défiant Manchester City. Selon les informations de Tuttosport, les Nerazzurri quitteront Milan pour la Turquie le Jeudi 8 juin, avec un jour d'avance sur le calendrier, après un entraînement qui aura lieu à Appiano Gentile. Rappelons qu'en 2010, José Mourinho est arrivé à Madrid un Mercredi soir. Cependant à l'époque le ciel de l'Europe était encore menacé par l'éruption du volcan islandais qui, en demi-finale, avait contraint Barcelone à arriver à Milan en bus. Juste une question: ceux qui demandent à Inzaghi de signer un autographe, ce sont les mêmes qui voulaient le virer ? Traduction alex_j via FCInterNews.
  15. A San Siro mercredi dernier pour le match aller de l'Euroderby, Samuel Eto'o est aujourd'hui l'un des invités de marque du 'Milan Football Week', un événement organisé par la Gazzetta dello Sport à l'Anteo Palazzo del Cinema. Le Roi Lion monte sur scène accueilli par les applaudissements des personnes présentes et commence à évoquer le sens du derby milanais. "Dans mon top dix, il est en deuxième position derrière le Clasico, Barça-Madrid, dans des conditions normales. Mais ça va à la première place s'il s'agit d'une demi-finale de Ligue des champions. En Italie, j'ai eu des matchs exceptionnels mais quelque chose comme ça est unique." Quel match c'était Mercredi ? "Un très bon match pour nous car on prévoyait tous un match nul la veille, pensez à gagner 2-0... Il reste encore un match retour, mais c'est un bel avantage." Quel était le secret ? "L'Inter est entré sur le terrain avec la bonne mentalité. Milan a mis plus de temps à entrer dans le match et a fait mieux en deuxième mi-temps. J'espère que, Mardi, elle pourra rentrer sur le terrain comme dans les premières minutes de la première mi-temps." Moratti est-il le président dont vous êtes le plus proche ? "Moratti n'est pas un président mais le père de tout le monde, joueurs et entraîneurs. Il se comporte comme un père, c'est la première chose. Je ne peux pas le comparer à d'autres présidents car il m'a donné l'opportunité de jouer dans l'un des meilleurs équipes du monde. Quelles années nous avons vécues, quels compagnons j'ai eus. Tout s'est parfaitement déroulé." Materazzi t'a dit 'viens à Milan, avec toi on va tout gagner' : une histoire incroyable. "Des histoires comme ça n'arrivent pas souvent dans le football. Tout d'abord, je suis fier d'avoir joué avec lui, c'est le partenaire que tout joueur rêve d'avoir à ses côtés. Quand j'ai reçu ce message, je ne l'ai pas bien compris. Comment est-il possible qu'un joueur m'écrive comme ça ? Albertini m'a confirmé que c'était le numéro de Materazzi. La négociation a été rapide car il y avait une forte volonté des deux côtés, la parole de Materazzi comptait plus que l'argent." Message de Materazzi de Naples : 'Je ne le remercierai jamais assez car il m'a aidé à gagner la Ligue des champions, ce que je n'aurais fait avec personne d'autre. Il sait qui.' (Zlatan Ibrahimovic, ndlr) "Je t'aime aussi. Félicitations à Napoli et Anguissa, un joueur unique." La fête avec les sacs à la Coupe du monde des clubs. "Seuls Materazzi et moi le savons." Vous êtes lié à trois entraîneurs : Mourinho, Capello et Aragones. "Tout le monde m'a appris à vivre, pas seulement le football. A 15 ans, à Madrid, Capello m'a appris à utiliser le corps sur le terrain. Le deuxième, Aragones, m'a aidé à être un homme discipliné. Le troisième est Mourinho, nous tous joué l'un pour l'autre grâce à lui." Vous avez remporté le Triplete et trois Ligue des champions, mais peut-être que la Copa del Rey avec Majorque contre le Real est dans votre cœur avant tout. Vous vouliez y terminer votre carrière mais vous ne l'avez pas fait : est-ce un regret ? "J'essaie de ne pas avoir de regrets parce que quand tu le fais, tu regardes en arrière. J'ai tout donné au football, c'est Majorque qui m'a ouvert les portes de l'Europe, me permettant de jouer au football et d'être père. Je suis tellement attaché à la Copa del Rey, puis est venue la Ligue des champions avec l'Inter battant Barcelone qui, selon certains, aurait dû nous battre 4-0. J'ai dit à Materazzi 'nous allons gagner'. Je me souviens de n'avoir jamais couru aussi vite que dans ce match." Quel joueur est Lukaku ? "Il n'a pas exprimé son potentiel, il est physique et intelligent. Il marque beaucoup de buts. A Everton, j'acceptais d'être sur le banc s'il était là. Je pense que le retour à Chelsea l'a freiné mais avec la confiance et la qualité qu'il a, il peut être parmi les meilleurs attaquants du monde avec Benzema, Haaland et les autres." Vous avez toujours défini Onana comme un fils, reviendra-t-il en équipe nationale du Cameroun ? "Triste épisode à la Coupe du monde. Ils me posent toujours des questions à ce sujet et me mettent dans une position délicate. Vous connaissez le Onana d'aujourd'hui ou de l'année dernière, mais en 2017, Onana était déjà parmi les cinq meilleurs gardiens du monde. André a joué pour l'Ajax mais il a souvent fini sur le banc : celui qui m'accuse d'avoir des problèmes avec lui aujourd'hui, c'est le même qui a dit à l'époque qu'il ne méritait pas de jouer. Pour moi, c'est le meilleur gardien du monde mais je suis le président d'une fédération, de millions de joueurs camerounais, je ne suis pas le genre de manager qui impose quoi que ce soit à son entraîneur, je n'ai jamais vu Moratti dire à Mourinho qui doit jouer et qui ne doit pas jouer. C'est juste une affaire entre le joueur et son entraîneur. Quand ce dernier me dira qu'il est content d'Onana, il n'aura pas de problèmes. Je dois être une solution pour le technicien, pas un problème." Maignan et Onana sont-ils deux des meilleurs gardiens du monde ? "Pour moi, Onana est meilleur que Maignan dans le jeu de jambes, il ressemble à un joueur de champ. Il n'y avait pas de conviction à l'Inter avant de le signer mais je leur ai assuré qu'ils feraient de grands progrès avec lui. Aujourd'hui, je suis heureux parce que c'est extraordinaire de jouer une finale de Ligue des champions. S'il n'avait pas eu cette trajectoire à l'Inter, on m'aurait reproché de l'avoir encensé (rires, ndlr)." Qui va en finale entre l'Inter et Milan rencontre le Real ou City ? "J'espère qu'il y a l'Inter, bien sûr. Une finale est un match en soi, pensez à l'Inter-Barcelone, seul Mourinho et moi étions convaincus de gagner ce match. Je pense que l'idée de pouvoir affronter des équipes comme Le Real ou City doit être une motivation supplémentaire pour l'Inter." Est-il vrai que vous alliez à City avant de venir à l'Inter ? "Oui, j'ai pris la décision dans l'avion. Materazzi m'a envoyé le message Jeudi, puis j'ai dû parler à Moratti le lendemain alors que la proposition était déjà arrivée. Mourinho m'a appelé sept fois mais j'étais en contact avec City. A bord de cet avion, j'ai dit à mon avocat que j'aurais dû aller en Italie. Il m'a répondu que c'était un pays raciste mais je lui ai dit que je voulais le voir de mes propres yeux. La société italienne n'est pas raciste, il y a 2- 3 salopards ici qui font des putains de chants de merde. Je suis content du choix, je suis en paix avec moi-même : regardez ce que j'ai gagné en un an, alors que tout le monde me recommande l'Angleterre." Le sujet de la lutte contre le racisme vous tient beaucoup à cœur. "Mon combat a commencé après que des fans m'aient scandé en m'appelant 'noir'. Je me suis demandé : 'mais comment est-il possible que tu aies payé un billet pour voir un noir, tu es stupide ?'. A partir de là, j'ai changé en tant que personne, je prends des positions que les autres ne comprennent parfois pas parce qu'ils n'ont pas mon expérience." La situation dans le football s'est-elle améliorée sur cette question ? "Oui, beaucoup, mais malheureusement dans certains stades on voit encore des choses désagréables." Traduction alex_j via FCInterNews.
  16. Paroles et musique de Simone Inzaghi rejoint par les micros de Rai Radio 1 après la victoire 0-2 de l'Inter contre la Roma. Impressions générales. "Nous savions que c'était un match très difficile! Je félicite les gars qui doivent être embrassés un par un car nous jouons tous les 3 jours depuis le 1er Avril. Je suis content de tout le monde, de grands éloges doivent être faits car ils font des matchs de grande qualité." Vous avez retrouvé de la solidité défensive et des buts. "Oui, nous avons bien joué. Mais au-delà des buts marqués et de ceux encaissés, il y a l'unité de l'équipe, un groupe qui sait qu'il doit être uni pour sortir de la difficulté, comme ce fut le cas contre la Roma." Mourinho a remporté la Ligue des champions en 2010. Lui avez-vous demandé des conseils pour la demi-finale ? "Nous savons que c'est très important. Avec Mourinho, il y a un grand respect, nous nous sommes dit au revoir et nous nous sommes souhaité bonne chance." Maintenant que vous avez retrouvé Lukaku, à quels choix peut-on s'attendre en attaque étant donné qu'en Ligue des champions vous avez souvent débuté avec Dzeko et Lautaro ? "Je n'ai jamais eu de problèmes d'abondance. Maintenant nous les avons en attaque et au milieu de terrain alors qu'en défense nous avons moins de rotations. Il reste encore 72 heures et ensuite je déciderai très calmement. Tout le monde espère avoir l'embarras du choix!" Comment envisagez-vous la double confrontation de l'Euroderby ? "Ce sera un match très délicat pour les deux équipes. Nous y arriverons avec un long chemin, pour nous deux c'est une demi-finale souhaitée et obtenue. Maintenant, nous allons la jouer chacun avec nos propres armes." Traduction alex_j via FCInterNews.
  17. Vous l’avez très récemment découverte sur les réseaux sociaux entrain de chanter l’Hymne de l’Inter : Elle, c’est Romina Sorbelli qui est Interiste depuis la naissance. Ayant la chance de pouvoir travailler pour nos confrères d'Inter-News.it, celle-ci- s’est livrée à cœur ouvert pour Internazionale.fr A sa demande, vous retrouverez également à la fin de notre article, la version italienne intégrale de notre échange Bonjour Romina, peux-tu nous dire quelque chose à ton sujet ? Quelles sont tes passions dans la vie ? On suspecte un peu la musique... "Volontiers, j’ai 26 ans et je suis étudiante/aspirant journaliste, je suis diplômée en Communication et je termine mes études universitaires à la Faculté de l’Information, de l’Edition, et du Journalisme, j’en ai terminé avec mes examens et j’écris actuellement ma thèse." "Mes passions principales sont aux nombre de trois : Le football, la musique et la cuisine : Celle pour le football se transforme tout doucement en un travail : j’en suis à ma seconde année pour devenir journaliste indépendante, et mon rêve est de devenir une journaliste sportive. J’ai hérité de l’amour de la musique de ma famille, ils sont tous musicien (en plus d’être Interiste) : Je joue de la guitare, du ukulélé, et j’aime chanter et c’est devenu, à tous les effets, un hobby. J’aime aussi la cuisine et j’aime cuisiner, j’aime cuisiner pour tous les autres car je pense aussi qu’il s’agit d’une preuve d’affection." Pourquoi l’Inter ? Est-ce que tu fais partie d’une famille interiste ? Et pourquoi pas une autre équipe ? "Comme je vous l’ai dit auparavant, nous sommes tous interiste dans la Famille. Dans ma Commune, Sutri, il y a un Inter-Club, l’Inter-Club Peppino Prisco, auquel je suis membre depuis toute petite et je dois surement ma passion pour l’Inter à mon père qui est un grand Tifoso Interiste! Comme je l’ai toujours dit, j’ai choisi l’Inter en suivant les traces de mon père, mais j’ai ensuite décidé de moi-même de continuer sur cette voie en suivant par-dessus tout mon cœur, un cœur qui est entièrement Nerazzurro je dirais, il ne pouvait pas en être autrement." "A présent, d’une simple passion, cela se transforme en un travail et cette opportunité m’a été offerte par la Rédaction d’ Inter-News.it, rédaction que je remercierais toujours pour m’avoir fait confiance et m’avoir accueillir au sein de leur famille." Quel est le plus beau souvenir qui te lie à l’Inter ? "Sans aucun doute, la première fois que je suis allé à San Siro, j’avais seulement dix ans et je ne l’oublierai jamais, comme je n’oublierais jamais toutes les soirées passées à l’Inter-Club à voir les matchs, nos diners et nos célébrations pour les victoires. Je me rappelle en particulières d’une soirée organisée pour fêter le Centenaire de l’Inter en 2008 et à cette occasion, j’ai rencontré Recoba et Stankovic, deux de mes idoles. Mais plus que tout, je garderai toujours en moi ma rencontre avec Massimo Moratti, il y a quelques années : C’est une personne accueillante, un gentleman, c’était un honneur et un privilège pour moi de le rencontrer." Que penses-tu du Giuseppe Meazza qui pour nous est une Institution, qui fait partie de l’Histoire mondiale de notre Calcio ? Aimerais-tu qu’il reste encore notre stade ? "San Siro fait partie de nous tous, nous les Interistes, comme je l’ai dit avant, la première fois que j’y suis allé, je n’avais que dix ans et chaque fois que j’y retourne, c’est toujours comme la première fois : Je pense qu’il serait difficile qu’un autre stade parvienne à nous offrir, à nous les Tifosi, les mêmes émotions : San Siro te coupe le souffle." Quel est ton joueur préféré et pourquoi ? "Dans l’absolu, même si c’est forcément prévisible : Javier Zanetti pour ce qu’il représente et représentera toujours pour nous les Interistes : C’est une vrai Institution de l’Histoire Nerazzurra. Mon rêve est de l’interviewer et j’espère y parvenir un jour." "Dans l’actuel noyau de l’Inter, je dirai Nicolò Barella. Au-delà de son talent inégalable, il y a aussi une raison spécifique pour laquelle je me sens proche de ce joueur. Je revenais à San Siro après onze ans d’absence à l’occasion d’Inter-Verona et Barella marquait ce jour-là son premier but en Serie A sous le maillot de l’Inter, un but qui décidait de l’issue de la rencontre. A ce moment-là j’ai compris que cela allait faire la différence et la joie que cela m’a procurée était incroyable car après avoir passé 14h dans le car, j’avais peur de rentrer à la maison sans victoire." "Je pense qu’il doit encore un peu affiner son caractère sur le terrain car il est, de façon objective, très impulsif, mais je sais aussi m’identifier en partie à lui, c’est ce qui fait que je l’apprécie encore. Pour mon vingt-troisième anniversaire, mes amis m’ont offert son maillot que j’endosse à chaque fois que je vais au Stade. Lors du dernier Derby face au Milan, il a porté bonheur !" Que penses-tu de l’Inter cette saison : Vois-tu une explication suite à une telle saison ? "Je pense que l’Inter nous offre tellement de surprise aussi bien en positif qu’en négatif. Après la désillusion de la saison dernière en championnat, j’espérais que nous aurions fait mieux cette année et au contraire, il y a eu cette involution : Je crois que même l’équipe en elle-même n’est pas capable de vraiment l’expliquer, mais je suis habitué à voir le verre à moitié plein : Nous avons gagné des coupes qui nous manquaient depuis tant de temps. Nous devons prendre en considération ce qui nous fait plaisir et pas seulement ce qui nous fait souffrir." "Et ne pas se qualifier à la prochaine Ligue des Champions serait une humiliation bien plus qu’une désillusion, mais nous n’avons pas encore dit notre dernier mot et j’espère qu’en cette fin de saison, l’équipe pourra retrouver de la sécurité et de la concentration aussi en championnat." Qui est pour toi la révélation de l’année et qui, au contraire, t’as le plus déçu ? "Je débute par les désillusions et je pense principalement à deux noms, en écartant Skriniar sur qui nous parlerons ensuite : Romelu Lukaku et Marcelo Brozovic : Ils ont tous les deux été pénalisés par des blessures, mais ils ne se montrent objectivement pas sous leur meilleurs jours. Certains étaient méfiant du retour du belge et d’autres lui ont fait confiance : je fais personnellement partie de la seconde catégorie et, avec le recul, je crois que nous reverrons difficilement le Lukaku de Conte. Et si d’un côté, nous avons perdu notre référence en régie (Brozovic), mais nous faisons la connaissance d’un nouveau Çalhanoğlu qui est parmi les grandes révélations de cette année , lui qui est passé de son poste naturel de Mezz'ala à celui de pivot au milieu de terrain : C’est devenu totalement un nouveau joueur, et il est parmi les meilleurs selon moi." "L’autre grand protagoniste de cette années est Mkhitaryan qui, de réserviste est devenu un titulaire inamovible dans le onze d’Inzaghi et qui est toujours capable de faire la différence et il est surtout infatigable ! Je suis aussi très fier de la saison de Darmian et Dimarco." Comment juges-tu l’incident au Stadium de Turin avec Romelu ? "En un seul mot : Vergognoso (Honteux). Je sais qu’il y a eu une marche arrière et que la FIGC a levé la suspension infligée à l’attaquant Belge. En Italie, on dit “ci hanno messo una pezza” que l’on peut littéralement traduire par "ils ont mis Un pansement sur une jambe de bois". Et c’est ce qu’il s’est passé littéralement : On s’est rendu compte de la très mauvaise image que cela provoquait au niveau mondial et tout a été fait pour y remédier. Toutefois, la décision prise initialement reste, je dirais même mieux, c’est le mauvais message qui a été envoyé qui restera marquant. La conscience demeure qu'une fois de plus il y a ceux qui ont préféré les slogans et les paroles aux actes en eux-mêmes et cela ne peut plus être toléré." Comment te prépares-tu à une rencontre ? Es-tu calme, stressée ? En Famille, au Stade ? "Je suis toujours très tendue avant un match car j’y tiens beaucoup. Lorsque je suivais l’Inter en tant que Tifoso j’allais voir les rencontres au Club et l’ambiance y était très chaude. Aujourd’hui, je vis à Rome, et je regarde les matchs seule et lorsque nous sommes dans les dernières minutes, je suis en direct avec la rédaction d’Inter-News.it (suivez-vous !) ." "Je dois donc me montrer sereine, calme et professionnelle, même si j'ai peut-être mille émotions en moi, mais je dois avouer que très souvent ma spontanéité m'amène à montrer quasiment toutes mes émotions." Penses-tu qu’Inzaghi soit toujours l’homme juste ou devrions-nous changer d’entraineur ? "Je m’en réfère au discours précédent : Je suis habitué à voir le verre à moitié plein : Je pense qu’Inzaghi a ses propres fautes et qui lui manque un peu cette poigne dans certaines situations, mais c’est aussi le premier entraineur depuis Mourinho à avoir remis l’Inter à un certain niveau européen, et à Milan, les titres manquaient depuis très longtemps . Il faut aussi se dire qu’il est à la tête d’une équipe qui manque de tellement de certitudes (je fais référence aussi bien à la situation sociétal qu’aux joueurs en particulier) ce n’est pas facile et nous tirerons le bilan à la fin de la saison. Peu importe comment cela ira, que cela soit positif ou négatif, tout lui retombera inévitablement dessus." Que penses-tu du départ de Skriniar ? "Je pense que nous nous sommes bercés d’illusions et qu’il nous a bercé d’illusions car nous pensions trouver en lui une nouvelle référence, mais il va sans dire qu’en ce moment, c’est très difficile qu’un joueur regarde autre chose que le profit. D’autre part, il n’y a qu’un seul Javier Zanetti." Qui remportera l’Euro Derby ? "On peut passer à la prochaine question ? Blague à part, le Milan et l’Inter traversent une situation similaire : Ils sont, ensemble, momentanément hors des quatre premières équipes en Italie et ils ne réalisent pas un championnat satisfaisant. Toutefois ils sont parvenu à se retrouver parmi les quatre meilleures équipes européennes en battant des adversaires très compétitifs : Ils ont tous les deux de l’expérience et un noyau valable : Celui qui l’emportera sera celui qui aura le moins peur." Que fais-tu si tu es abordée par un Milaniste ou un Juventino ? "Se uno juventino mi stringe la mano, conto le dita (cit!). Si c’est un Juventino, je me coupe les doigts), Plus sérieusement, j’ai beaucoup d’amis dans la vie qui sont des "ennemis" en tant que supporters, mais il y a du respect et chacun se nourrit de ses propres passions. Mais pour te dire la vérité, je suis aussi très compétitrice, il vaut donc mieux ne pas regarder les matchs ensemble !" Vu ton talent pour la musique, si l’on te demandait de produire un nouvel hymne pour le Club, de quoi parlerait-il ? "Je suis plus une interprète qu’une compositrice, mais ce serait surement une chanson qui me ressemblerait un peu : Pleine de passion et d’enthousiasme, une mélodie et un texte qui peuvent te donner cette motivation juste d’avant-match, qui serait adaptée pour célébrer les victoires et qui pourrait aussi te consoler après une défaite : Ce serait un Hymne qui raconterait notre Histoire, la nôtre, celle des tifosi : une histoire d’amour." Versione italiana L'avete scoperta di recente sui social network mentre cantava l'inno dell'Inter: è Romina Sorbelli, interista dalla nascita. Romina Sorbelli, ha la fortuna di lavorare per i nostri colleghi di Inter-News.it e che ha parlato apertamente con Internazionale.fr. Ciao Romina, puoi raccontarci qualcosa di te? Quali sono le tue passioni nella vita? Sospettiamo un po' la musica. 'Volentieri. Ho 26 anni e sono una studentessa/aspirante giornalista. Sono laureata in comunicazione e sto terminando gli studi universitari alla facoltà di Informazione, Editoria e Giornalismo. Ho terminato gli esami e sto scrivendo la tesi. Le mie passioni principali sono tre: il calcio, la musica e il cibo. Quella per il calcio si sta trasformando pian piano in un lavoro: sono al secondo anno di formazione per prendere il tesserino da giornalista pubblicista e sogno di diventare una giornalista sportiva. L'amore per la musica l'ho ereditato dalla mia famiglia, sono tutti musicisti (oltre che interisti). Io suono la chitarra, l'ukulele e adoro cantare ma adesso è diventato a tutti gli effetti solo un hobby. Infine, mi piace la cucina e amo il cibo; mi diverto a cucinare soprattutto per gli altri perché penso che sia una dimostrazione d'affetto." Perché l'Inter? Fai parte di una famiglia interista? E perché questa e non un'altra squadra? "Come accennavo prima, in famiglia siamo tutti interisti. Nel mio paese, Sutri, c'è un Inter Club (Inter Club Peppino Prisco) al quale sono iscritta fin da bambina. Sicuramente devo la mia passione per l'Inter a mio padre, grande tifoso interista! Come ho sempre detto, ho scelto l'Inter seguendo le orme di mio papà ma poi ho deciso di continuare su questa strada seguendo soprattutto il mio cuore. Un cuore interamente nerazzurro direi, e non potrebbe essere altrimenti." "Adesso da semplice passione si è trasformata in un lavoro e questa possibilità mi è stata concessa dalla redazione di Inter-News.it, che ringrazierò sempre per avermi dato fiducia e accolta nella loro famiglia." Qual è il tuo ricordo più bello legato all'Inter? "Sicuramente la prima volta che sono andata a San Siro. Avevo solo dieci anni e non lo dimenticherò mai. Così come non dimenticherò tutte le serate passate all'Inter Club a vedere le partite, le cene e i festeggiamenti per le vittorie. Ricordo in particolare una serata organizzata per festeggiare il centenario dell'Inter nel 2008: in quell'occasione ho incontrato Recoba e Stankovic, due dei miei idoli. E soprattutto porterò sempre con me l'incontro con Massimo Moratti di qualche anno fa. Una persona disponibile e un gentiluomo, è stato per me un onore e un privilegio conoscerlo." Cosa ne pensi dello stadio Meazza che per noi è un'istituzione, parte della storia mondiale del nostro calcio? Vorresti che fosse ancora il nostro stadio? "San Siro è parte di tutti noi interisti. Come ho detto, la prima volta che ci sono andata avevo solo dieci anni e ogni volta che ci torno è sempre come la prima. Penso che difficilmente un altro stadio riuscirebbe a regalare a noi tifosi le stesse emozioni. San Siro toglie il fiato." Chi è il tuo giocatore preferito e perché? "In assoluto (forse scontato) Javier Zanetti, per ciò che rappresenta e rappresenterà per sempre per noi interisti. Una vera istituzione della storia nerazzurra. Il mio sogno è intervistarlo e spero di riuscirci un giorno. Dell'attuale rosa dell'Inter dico Nicolò Barella. Al di là del suo talento innegabile c’è un motivo specifico per il quale mi sono avvicinata a questo giocatore: tornai a San Siro dopo undici anni di assenza nel 2019 in occasione di Inter-Verona. Barella segnò il suo primo gol in Serie A in maglia nerazzurra, decidendo la partita." "Da quel momento ho capito che avrebbe fatto la differenza e la gioia che mi ha regalato è indescrivibile, dopo 14 ore totali di pullman temevo di tornare a casa senza vittoria. Penso che debba affinare solo un po' il carattere in campo. È oggettivamente molto impulsivo ma in parte mi ci rispecchio e questo me lo fa apprezzare ancora di più. Per il mio ventitreesimo compleanno gli amici mi hanno regalato la sua maglietta, che ovviamente indosso ogni volta che vado allo stadio. All’ultimo derby contro il Milan ha portato fortuna!" Cosa ne pensi dell'Inter in questa stagione? Vedi una spiegazione per una stagione del genere? "Penso che l'Inter ci stia regalando tantissime sorprese sia in positivo che in negativo. Dopo la delusione della scorsa stagione in campionato ho sperato che quest'anno potessimo fare molto meglio e invece c'è stata un'involuzione. Credo che neanche la squadra sappia darsi una vera e propria spiegazione ma io sono abituata a guardare il bicchiere mezzo pieno: siamo tornati ad imporci sul palcoscenico europeo dopo anni e abbiamo vinto coppe che mancavano da tempo. Dobbiamo tenere in considerazione quello che ci fa gioire e non solo ciò che ci fa soffrire." "Sicuramente mancare la qualificazione alla prossima Champions League sarebbe un'umiliazione oltre che una delusione, ma non è ancora detta l'ultima parola e spero che in queste ultime giornate la squadra possa tornare a trovare la sicurezza e la concentrazione anche in campionato." Chi è per te la rivelazione dell’anno e chi invece ti ha deluso di più? "Parto dalle delusioni e penso principalmente a due nomi (tenendo fuori Skriniar di cui parleremo dopo): Romelu Lukaku e Marcelo Brozovic. Entrambi sono stati penalizzati dagli infortuni ma oggettivamente non stanno mostrando il loro lato migliore. C'è chi era diffidente sul ritorno del belga e chi invece gli dava fiducia, io faccio parte della seconda categoria ma col senno del poi credo che difficilmente rivedremo il "Lukaku di Conte". Se poi da un lato abbiamo perso il nostro riferimento in cabina di regia (Brozovic) dall'altro abbiamo scoperto un "nuovo" Çalhanoğlu, tra le grandi rivelazioni di quest'anno: spostandosi dal suo ruolo naturale di mezz'ala a perno di centrocampo è diventato totalmente un altro giocatore; tra i migliori a mio parere. Altra grande protagonista di quest'anno è Mkhitaryan che da riserva è ormai titolare inamovibile tra gli undici di Inzaghi e capace di fare sempre la differenza, soprattutto instancabile! Sono anche molto felice per la stagione di Darmian e Dimarco." Come giudica l'incidente allo stadio di Torino con Romelu? "Una sola parola: vergognoso. So che è stato fatto un passo indietro e che la FIGC ha rimosso la squalifica inflitta all’attaccante belga. In Italia si dice “ci hanno messo una pezza”. E a tutti gli effetti è stato così. Ci si è resi conto della pessima figura a livello mondiale e si è tentato in tutti i modi di risolvere. La decisione presa inizialmente comunque rimane, o meglio rimane il messaggio sbagliato che è stato mandato. Resta la consapevolezza che c’è chi per l’ennesima volta ha preferito slogan e parole ai fatti e questo non può più essere accettabile." "Sono sempre molto tesa prima di una partita perché ci tengo molto. Quando seguivo l'Inter (solo) da tifosa andavo a vedere le partite al club e l'atmosfera era molto accesa, ora che vivo a Roma guardo le partite in solitaria e negli ultimi minuti sono in diretta con la redazione di Inter-News.it (seguiteci!), quindi devo mostrarmi calma e professionale, anche se magari dentro ho mille emozioni. C'è da dire però che molto spesso la mia spontaneità mi porta comunque a mostrarle quasi tutte." Pensi che Inzaghi sia l'uomo adatto o dovremmo cambiare allenatore? "Mi ricollego al discorso precedente. Sono abituata a guardare il bicchiere mezzo pieno. Penso che Inzaghi abbia le sue colpe e che gli manchi un po' il "pugno duro" in alcune situazioni. Ma è il primo allenatore dopo Mourinho ad aver riportato l'Inter a certi livelli in Europa e a Milano trofei che mancavano da tempo. C'è da dire anche che guidare una squadra a cui mancano tante certezze (mi riferisco sia alla situazione societaria che a quella dei singoli giocatori) non è facile. Le somme vanno tirate a fine stagione. Ma a prescindere da come andrà, sia meriti che colpe ricadranno inevitabilmente su di lui." Cosa ne pensi della partenza di Skriniar? "Penso che ci siamo illusi, e che ci abbia illuso, di poter trovare in lui un nuovo riferimento ma, sarà scontato dirlo, di questi tempi è molto difficile che un giocatore guardi oltre il guadagno. D'altronde, di Javier Zanetti ce n'è solo uno!" Chi vincerà l'Euro Derby? "Passiamo alla prossima domanda? A parte gli scherzi, Milan e Inter vengono da una situazione simile: entrambe sono momentaneamente fuori dalle prime quattro squadre in Italia e non stanno disputando un campionato soddisfacente, ma sono riuscite a rientrare tra le migliori quattro in Europa battendo avversari molto competitivi. Entrambe hanno esperienza e una rosa valida. Vincerà chi avrà meno paura!" Cosa fai se vieni avvicinata da un milanista o da uno juventino? "Se uno juventino mi stringe la mano, conto le dita (cit!). Scherzo ovviamente, ho molti amici nella vita che sono "nemici" di tifo ma c'è rispetto ed è giusto che ognuno coltivi le proprie passioni. Ma, dico la verità, sono anche molto competitiva quindi meglio non vedere insieme le partite!" Dato il tuo talento per la musica, se ti venisse chiesto di produrre un nuovo inno per il club di cosa parlerebbe? "Sono un'interprete più che una cantautrice ma sarebbe sicuramente una canzone un po' come me: carica di entusiasmo e di passione. Una melodia ed un testo che possano dare la giusta carica nel pre-partita, che siano adatti per festeggiare le vittorie e possano consolare dopo una sconfitta. Un inno che racconti la storia di tutti noi tifosi, una storia d'amore." Je tiens à remercier personnellement Romina, que je vous invite à suivre sur son Twitter Officiel et je tiens également à saluer l’équipe d’Inter-News.it : Suivez-la également via le lien suivant : https://www.inter-news.it/ Ringrazio personalmente Romina, che vi invito a seguire sul suo Twitter ufficiale e saluto anche il team di Inter-News.it: Seguitela anche al seguente link: https://www.inter-news.it/ ®Antony Gilles - Internazionale.fr
  18. En effet, malgré un parcours des plus tumultueux en Serie A cette saison, Simone Inzaghi a atteint cette barrière symbolique des 500 points en carrière comme le révèle la Rosea "L'entraîneur de l'Inter a accumulé ce demi-millier de points en 267 matchs, et ce compris, le match de dimanche dernier face à son ancien club, la Lazio, en montant de la sorte sur le podium des entraineurs les plus précoces d’Italie à y être parvenu: Il n'est devancé que par Maurizio Sarri et Carlo Ancelotti, avec respectivement 255 et 256 matches. Mais c'est aussi en lisant les noms qui le suivent que l'on se rend compte de la grandeur de cette performance, car il ne lui a fallut que sept années dans la profession : Le top 5 est, en effet, complété par Roberto Mancini et Massimiliano Allegri, puis Luciano Spalletti, Walter Mazzarri, Gian Piero Gasperini, Stefano Pioli et Luigi Delneri." "On peut également jeter un coup d'œil sur la moyenne de points de tous les entraîneurs ayant disputé au moins 100 matchs match en Serie A : Là aussi, Simone Inzaghi figure dans le top 10, mais à un rang inférieur, ce qui est compréhensible : Il y occupe la neuvième place précisément, avec un coefficient de 1,87 points par match. Au palier des deux points par matchs, on retrouve le leader incontesté Antonio Conté suivi d’Allegri, Carlo Carcano, Fabio Capello, José Mourinho, Maurizio Sarri, Carlo Ancelotti et Carlo Parola." "Il est curieux que ces objectifs apparaissent précisément au cours d'une saison où la progression enchampionnat risque d'être un boulet "moqueur" dans l'évaluation de ses performances. Se vanter de ses réalisations n'est pas exactement un symbole d'humilité, mais ces chiffres parlent en sa faveur et si à la fin de la saison, la cinquième place est évitée, ces chiffres brilleront d’autant plus sur le torse de l’ancien joueur âgé de 47 ans." Le Saviez-vous ? Comme nous le révèle Tuttosport: Outre le fait qu’il ait atteint les 500 points en un temps record, "Simone dirigera ce soir la 100ème rencontre sur le banc de l’Inter. A la fin de la saison, il aura égalé Mourinho (108) et pourrait même le dépasser en allant à Istanbul. Et il sera parvenu à dépasser Antonio Conte (102) et Giovanni Invernizzi (107), tous des entraîneurs qui, contrairement à lui, ont remporté le Scudetto, le premier "péché capital" imputé à Inzaghi il y a une saison." ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  19. "La Ligue des Champions se décide en mai." Pour paraphraser un vieux proverbe de Giovanni Trapattoni, la lutte pour la qualification à la prochaine Ligue des Champions va se jouer entre six équipes prêtes à concourir pour les trois places restantes. En ce qui concerne l'Inter, comme le souligne La Gazzetta dello Sport, concernant le double Derby électrisant en Demi-Finale et de la Coupe d'Italie, les Nerazzurri devront décrocher le laissez-passer pour la prochaine Ligue des Champions lors du dernier sprint de la saison. Les Nerazzurri auront trois matchs contre des concurrents directs pour pouvoir se qualifier, la Rosea les analyses un par un. Inter-Lazio - 32e journée Maurizio Sarri est deuxième, il n'a pas d'engagements en coupe il se concentre uniquement sur la Série A: Dimanche, il a l'occasion d'envoyer Simone Inzaghi à 10 points de retard et il peut aussi profiter de l'autre gros match entre la Roma et le Milan pour étendre son avance, à condition que la défaite face au Torino n'ai pas sapé le moral et cassé la dynamique des derniers matchs. L'Inter est énigmatique: Brillante en Coupe et démoralisante en Série A, elle a perdu ses trois derniers matches de Serie A à San Siro sans jamais marquer et la Lazio n'a encaissé aucun but lors de ses 5 derniers matches à l'extérieur. Les résultats récent donne l'avantage aux invités, ce qui peut aussi être très bien. Mais la fierté de l'Inter, polie par le succès en Demi-Finale de la Coupe contre la Juve, peut aussi rabattre les cartes sur la table. Simone Inzaghi voyage entre louanges et critiques son Inter doit retrouver un visage unique. Rome-Inter - 34e journée La Lazio et Vérone (à l'extérieur) ne sont pas de simples obstacles pour les Nerazzurri qui concluront un triptyque hebdomadaire à l'Olimpico. Si Inzaghi devra penser au Derby de la Ligue des Champions, Mourinho ne pourra pas ignorer Leverkusen, même s'il aura un jour de repos supplémentaire. De plus, la Roma sera à Monza, face à une équipe qui semble vouloir tout prendre sur son passage. Inter-Atalanta - 37e journée Le discours ci-dessus est valable mais uniquement pour l'Inter, qui saura s'il peut jouer pour la Ligue des Champions. En tout cas, sur le papier Inzaghi dispose du parcours le plus difficile. Il lui faudra un mois avec beaucoup de caractère. Traduction Lindt1908 Via Fc Inter1908
  20. Le Juge Sportif contredit rarement les décisions de l'Arbitre et la Cour, rendant la suspension de l'avant-centre définitive. La disqualification de Romelu Lukaku pour le match retour de la Coupe d'Italie face à la Juventus a été confirmée par la Cour d'Appel. L'avant-centre Belge, victime de grossiers hurlements racistes, a réagi envers la Curva et a été expulsé pour y avoir réagi. Le Corriere dello Sport rapporte : « Le PDG des Nerazzurri, Beppe Marotta, s'est également exprimé lors de l'audience d'hier, demandant aux juges un « choix de courage et de sensibilité » qui irait au-delà de la stricte application des règles . Même à la lumière de l'indignation mondiale pour ce qui s'est passé. Le Juge Sportif contredit rarement l'arbitre et la Cour, rendant définitive la suspension de l'avant-centre pour la Demi-Finale de la Coupe d'Italie mercredi soir à San Siro. Les motifs de la sentence, signés par le président de la Section I, Carmine Volpe, arriveront dans 15 jours. C'est, ironiquement, le même Tribunal qui a décidé de rouvrir le secteur des supporters de la Juventus et qui a confirmé la disqualification en deux matches de Mourinho pour la dispute avec le quatrième officiel Serra. Les raisons "techniques" du choix se devinent déjà : Après avoir marqué, Lukaku aurait dit "idiot, idiot" aux supporters qui l'insultaient. L'officiel de match n'a cependant noté que le "comportement incorrect envers un adversaire et un comportement non réglementaire sur le terrain" comme indiqué dans la décision du Juge des Sports que la Cour a confirmée hier, prenant la responsabilité de faire la plus simple des équations du football : Double jaune égale rouge, égale suspension d'un match, sans compter que dans cette affaire tout le monde a été acquitté sauf celui qui a été traité de « singe ». Massa a continué à arbitrer. Une fois la collaboration du club établie des mesures immédiates ont été prises pour punir les responsables. Tout de suite après la Tribune Sud de l'Allianz stadium a été réouverte. "Le dernier juge que j'ai vu avait plus de vices que le dealer de ma rue". Traduction Lindt1908 Via Fc Inter1908
  21. Simone Inzaghi s’est livré à la conférence de presse d’avant-match, en compagnie de Matteo Darmian, dans le cadre du match retour des quarts de finale de la Ligue des Champions opposant l'Inter à Benfica. Auteur d’un excellent résultat à Lisbonne, l’Inter devra éviter de tomber dans la suffisance ! Pour une meilleure lecture, l’interview de Matteo Darmian fera l’objet d’un second article Quel type de rencontre devra réaliser l’Inter ? "Nous savons que c'est un match très important : Nous partons avec un avantage, mais nous connaissons la valeur de l'adversaire. Nous devons être bons pour ressortir vainqueur de ce duel. Nous pourrions être dans les quatre de l'Europe et ce serait une emprise importante pour nous." Herrera, Invernizzi et Mourinho. Qu'allez-vous demander à l'équipe pour atteindre la Finale comme ces entraîneurs ? "Ce sont de grands entraîneurs. Il est inutile de dire ce que nous avons fait jusqu’à présent nous savons qu'en championnat nous ne sommes pas dans la position que nous voulions. Mais maintenant, nous nous concentrons sur Benfica. Nous savons que nous avons un avantage que nous ne pourrons pas nous permettre gérer. Benfica un grand adversaire qui est dans une mauvaise passe comme nous en termes de résultats, mais pas en termes de jeu." Le fait que vous soyez plongé dans une période d’incertitude est-elle une explication ou un alibi ? "Il faut savoir nous isoler de tout ce qui nous entoure, j’ai de nombreux joueurs en fin de contrat, mais je les vois bien bosser au quotidien : Être critiqué, remis en question ou être en fin de contrat fait partie du football: Il faut savoir se montrer fort mentalement et garder la tête froide." Pensez-vous que quelque chose a changé par rapport au match aller ? "Nous nous présentons avec une défaite à domicile en championnat qui nous ralenti, mais c’est le passé: A présent, nous sommes focalisés sur Benfica, nous savons que nous avons un avantage, mais que nous disputerons une rencontre importante et difficile : Nous devrons faire preuve de bravoure tous ensemble, avec nos tifosi et ce sera intense." "Benfica court énormément et sait couvrir tout le terrain et nous nous devrons de les rendre le moins dangereux possible, je me répète, mais ils sont parvenu à se créer beaucoup d’occasions même dans les matchs où ils se sont inclinés." Comment gérez-vous votre situation personnelle ? Vous êtes en quart de finale de la Ligue des Champions mais on parle d’un éventuel renvoi en cas d’élimination... "A l'Inter, ces rumeurs ne sont pas si étranges, on en parlait déjà avant Barcelone et Porto. Tant que vous me critiquez, ce n'est pas un problème. Il est clair qu'en championnat, le chemin est insuffisant, mais nous avons encore de la marge. Maintenant, nous avons un match très important pour entrer dans le top 4 européen, ce qui serait un grand objectif." Comment gériez-vous vos périodes de crise lorsque vous étiez attaquant : Faisiez-vous des exercices particuliers ? Après Barcelone, aviez-vous pensé que vous pourriez vraiment rentrer dans le top 4 européen ? "Il y avait l’espoir d’y parvenir car nous avons joué contre des équipes extrêmement fortes et que nous avions démontré que nous pouvions les affronter à armes égales. Sur le discours relatif aux attaquants, je dirais que le vrai problème est de ne pas avoir d’occasions : Il suffit juste d’un fait de jeu et la situation changera totalement pour eux, comme pour toute l’Inter." La formation sera-t ’elle différente comparé au match aller ? "J'ai mes idées mais je sais, par expérience, que ce que l'on pense n'est pas toujours réalisable, il me reste deux entraînements et ils m'aideront à prendre ma décision." Au match aller, l'Inter a bien exploité les espaces. Vous attendez-vous à ce qu’il en soit de même ? "La possession sera une phase importante. Au match aller, les deux équipes ont bien joué le jeu, tout comme la phase de non-possession. Nous devrons être bons dans les deux phases." Avez-vous lu la déclaration de Noel Gallagher qui voudrait l’Inter en Finale car c’est la plus faible ? Qu’en pensez-vous ? "C’est un très grand chanteur ! J'espère qu’il aura raison car voir l’Inter en Finale nous rendrait tous fier." ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  22. Massimo Moratti s’est livré à l’occasion de la réception du prix "Grandi Guglie Della Grande Milano" durant la présentation du livre "Interottanta" Inzaghi ? "Vous savez tous très bien qu’il n’aurait jamais survécu jusqu’aux 11 défaites, absolument pas." Un Derby en demi-finale ? "Il y a ce désir de revanche, car en 2003 cela s’est terminé par deux matchs nuls et l’un des nôtres avait d’ailleurs raté un but des plus faciles, il y a de l’envie. D’un autre côté, je ne voudrais pas que ce malaise et cette émotion ne se répète…" Revenir à la Présidence ? "Lorsque tu penses à la somme d’argent que cela nécessite…Je ne vois pas cette solution avec facilité : Une Famille gérée par un Fonds d’investissement peut la gérer, mais cela reste difficile." Un duo Moratti-Pellegrini? "Non, c’est difficile et pour quelle raison le faire ?" Thiago Motta? "C’était un joueur très intelligent et il le prouve aussi comme entraineur, il montre à quel point, lorsqu’il était joueur, il était pragmatique, intelligent et misait sur le résultat." Pour un Conte ou un Mourinho Bis ? "Je suis favorable aux changements qui apporte de l’espérance, je dirais oui sans le moindre doute. L’équipe n’est pas déprimée, mais ses résultats sont déconcertants : En Ligue des Champions, elle est bonne, très bonne." Momo, tu parlais vraiment de la C1 à la fin de l'interview ? ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  23. L'ancien gardien de but légendaire de l'Inter, Julio Cesar, pense que cette équipe de l'Inter sera capable d'aller en Finale de la Ligue des Champions. S'adressant à Amazon Prime, via FCInterNews , le Brésilien a exprimé sa confiance quant aux chances des Nerazzurri d'aller même jusqu'à la finale, tout en faisant des louanges à l'actuel gardien de l'Inter André Onana comme étant de la plus haute qualité. L'Inter a encore beaucoup de travail à faire s'il veut réserver sa place dans le plus grand match européen, mais il est certainement devenu beaucoup plus proche que beaucoup ne l'auraient imaginé. Contre Benfica à San Siro mercredi soir, les Nerazzurri ont l'occasion de concrétiser l'avantage de deux buts qu'ils ont acquis sur l'équipe Portugaise lors du match aller de leur quart de finale. À partir de là, les Nerazzurri rencontreront l'AC Milan ou Naples, selon l'équipe Italienne qui remportera le match retour du quart de finale de ce soir. Étant donné que l'Inter a déjà battu les Rossoneri et les Partenopei en Serie A cette saison, ils auront toutes les raisons de penser que ses deux matchs seront a leurs portés. Du point de vue de Julio César, qui a remporté la compétition avec l'Inter en 2010, il n'y a aucune raison pour que cette équipe ne puisse pas rêver d'une apparition en finale de la Ligue des Champions. "Je pense qu'ils peuvent le faire, tout peut arriver dans le football, mais je vois l'Inter aller en demi-finale après sa victoire à Lisbonne." "Ils ont toutes les chances d'atteindre la Finale, ils se heurtent à des équipes qu'ils ont déjà affrontées." "L'Inter a joué contre des équipes assez difficiles dès les huitièmes de finale, et cela les a fait progresser." "Si le prochain tour s'avérait être un Derby, ce serait bien, même contre Naples, ce serait très ouvert." De sa propre expérience en remportant la Ligue des champions, Cesar a rappelé que: "Moratti tenait beaucoup à gagner une Ligue des champions, j'ai pu le voir tout de suite, puis Mourinho est arrivé." "Nous avons ressenti la pression sur nous, vous sentez toujours les papillons dans votre estomac dans les matchs importants, quand un joueur cesse de ressentir cela, cela veut dire qu'il n'y a plus cette passion." "Puis quand le match commence, tu es concentré et tu oublies tout." Lorsqu'on lui a demandé entre Onana et le portier de l'AC Milan Mike Maignan qui été le meilleur cette saison, Julio Cesar a répondu: "Qu'il y a toujours eu des comparaisons et il y en aura toujours." "J'aime Maignan, et puis Onana montre pourquoi l'Inter le voulait." "Je sais que c'est un gars très positif et optimiste, et c'est un excellent gardien Onana. "Et quand vous commencez à faire des arrêts décisifs, votre confiance augmente." "Les deux gardiens sont dans une très bonne phase actuellement". Traduction Lindt1908 Via SempreInter
  24. C'est l'analyse de Sport Mediaset, car si le match contre Benfica représente un tournant crucial pour l'Inter et pour Simone Inzaghi, les Nerazzurri auront quoiqu'il arrive, besoin d'un choc immédiat pour faire face à un calendrier démentiel avec potentiellement 14 matches à disputer en l'espace de 50 jours calendrier! En effet, si Benfica devient la clé de voûte de la saison Nerazzurra, l'Inter affrontera ensuite Empoli, la Juventus en Coppa Italia et la Lazio pour clore un mois d'avril des plus enflammé. Et si le mois de mai débutera par un match à domicile contre Vérone, il s'en suivra le déplacement à la Roma d'un certain José Mourinho suivi de la rencontre face à Sassuolo qui sera à jouer entre les éventuelles demi-finales de la Ligue des Champions! Mieux encore, si Naples parvient à se qualifier tout comme l'Inter, Simone Inzaghi affrontera Luciano Spalletti trois fois en l'espace de 11 jours, en tenant compte du match de championnat du 21 mai. Enfin, si l'Inter est parvenue à prendre le meilleur sur la Juventus en Coupe d'Italie, la Finale aura lieu après ce tryptique face au club du Vésuve, s'en suivra quatre jours plus tard l''Atalanta, et le dernier déplacement de la saison face au Torino! Un calendrier fou de matchs à enjeu pour une équipe qui ne se transcende que devant l'adversité! ®Antony Gilles - Internazionale.fr
  25. Ça n'arrive pas souvent, mais ça arrive de temps en temps. Les équipes endurcies gagnent généralement la Ligue des champions, mais parfois l'outsider gagne aussi! Ça n'arrive pas souvent, mais ça arrive de temps en temps. Les équipes endurcies gagnent généralement la Ligue des champions , mais parfois l'outsider gagne aussi. C'est arrivé au moins trois fois dans l'histoire de la coupe : le Porto de Mourinho, le Dortmund de Hitzfeld et le Chelsea de Roberto Di Matteo. « Outsider triomphant ? A l'époque de la Ligue des champions, cela arrivait rarement. Mais la finale entre outsiders par excellence fut celle de 2004 à Gelsenkirchen : Porto-Monaco 3-0. L'exploit d'un jeune Mourinho, qui l'année précédente avec les Portugais avait gagné l'UEFA. Face au club de la Principauté emmené par Deschamps, 35 ans, arrivé en Allemagne en favori. Il avait éliminé le PSV, le Real des Galactiques et le Chelsea de Ranieri. Porto a fait sensation avec United, avec un but de Costinha à la 90e minute au retour à Manchester, puis ils ont gagnés contre Lyon et le Deportivo, avec un penalty à La Corogne. Et la victoire en finale". « D'autres surprises ? On se souvient de Dortmund, roi en 1997, en finale avec la Juve de Lippi. Les jaunes et noirs d'Hitzfeld, dans une Coupe à 16 équipes, ont eu la vie facile avec Auxerre en quart de finale, mais en demi-finale. ils ont vaincu l'United de Ferguson, le battant également 1-0 à Manchester. La Juve avait dépassé Rosenborg et l'Ajax et s'était vu attribuer le statut de favori, en tant que champion en titre. Mais ils n'avaient pas considéré Kalle Riedle, 32 ans, ex-Lazio, doublé en finale et 4 buts dans le tournoi, sa meilleure saison en Ligue des Champions." Cech à fait un arrêt exceptionnel sur Robben. Mata à été mauvais pour les Blues. Mais encore une fois le géant Cech s'oppose à Olic, puis Schweinsteiger frappe le poteau gauche et Drogba ne tremble pas. Victoire surprise en Champions du Chelsea de Di Matteo. A Notre Tour!! Traduction Lindt1908 Via Fc Inter1908
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