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  1. Simone Inzaghi et Lautaro Martinez se sont présentés à la traditionnelle conférence d’avant-match, dans le cadre de la première journée de cette Ligue des Champions 2023/2024, auréolé du titre de Vice-Champion d’Europe : Pour une meilleure lisibilité, les deux interviews sont scindées dans deux articles différents Quel a été le moment clé et quels sont les risques liées à ce type d’euphorie ? "Les mots de Guardiola font plaisir, nous savons tous comment s’est déroulé la Finale d’Istanbul et c’était un honneur de la disputer, un détail aurait pu en changer son issue. Nous avons remporté quelque chose de spécial ce soir-là, car l’étreinte des Tifosi était similaire à celles des victoires. Cette soirée est un si beau souvenir. Nous reprenons cette année face à une équipe forte, dans un environnement chaud. La Real Sociedad est avec Newcastle, l’équipe que j’aurais préféré éviter, mais nous la jouerons comme nous l’avions fait l’année passée. Nous voulons essayer de réitérer le parcours réalisé la saison passée." Que change pour vous le forfait de Çalhanoğlu? Avez-vous déjà pris une décision ? "C’est une absence importante, vous savez ce qu’il représente pour nous. Il nous manquera Cuadrado aussi, tout comme ceux qui ne sont pas dans la liste. Avec tant de matchs rapprochés, nous avons laissé les autres années des choses derrières nous, mais nous avons Asllani pour occuper ce poste et c’est un joueur important. Beaucoup d’équipes nous l’avaient demandé, mais nous l’avons gardé car je tiens énormément à lui." Asllani partira donc avec le maillot de titulaire ? "Oui, absolument. Il a joué de nombreuses partie comme titulaire, il est prêt à jouer. Demain, je prendrais, avec mon staff, mes décisions comme je l’ai toujours fait." Qu’avez-vous fait ces derniers jours ? "J’ai revisionné notre dernier match, les choses ou nous avons été bons et celle où nous aurions pût faire mieux. C’était une belle soirée pour nous, pour nos Tifosi, mais cela fait partie du passé. Ce qui compte, c’est le match de demain et ce sera une rencontre tout aussi intense contre la Real Sociedad." L’Inter est différente de l’année passée, est-ce que tout cela découle du parcours réalisé l’année dernière ? "Sans doute, mais pas seulement même si ce que nous avons réalisé l’année passée est quelque chose de spéciale. Notre derrière accolade avec les Tifosi n’était pas la plus facile, c’était une belle aventure, surtout en se souvenant des difficultés que nous avons du surmonter en phase de Groupe : Les garçons savent qu’en travaillant tous ensemble, il est possible de faire de très belles chose, comme nous l’avons déjà fait ces dernières années." Quel type d’équipe est la Real Sociedad ? "C’est une équipe très organisé avec un entraineur en place depuis de très nombreuses années ici, comme de nombreux joueurs : C’est une équipe organisée, je les ai vu contre la Roma. Ils ont changé de dispositif face au Real Madrid, mais elle a de très nombreux joueurs de qualité : Nous devrons réaliser un match important : Da Inter." Est-ce le moment pour titulariser immédiatement Frattesi et pour les débuts de Pavard ? "Mes propres joueurs ne le savent pas encore, je préfère en discuter avec eux en premier. Ils se sont tous bien entrainer, j’ai une idée en tête, mais j’attends demain pour la communiquer à mes garçons." A quel type de match faut-il s’attendre demain ? Un match nul pourrait-il vous convenir ? "On ne peut pas anticiper le résultat, ce sera une rencontre difficile car la Real Sociedad est une équipe solide, avec d’excellents joueurs qui ont de l’endurance, de la force et de la technique : Nous devrons nous montrer brave, nous entraider et défende ensemble pour ensuite, attaquer en équipe." ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  2. Questionné en conférence d’avant-match de la Ligue des Champions, Pep Guardiola a encensé la Beneamata! La Finale ? "Je ne l’a pas revue, absolument pas. Mais regardez ce qui arrive à l’équipe que nous avons vaincu : Elle a remporté, en Serie A, le Derby 5-1 ! J’ai toujours su que nous avions affronté une équipe incroyablement forte. Elle l’avait prouvé en nous donnant tant de fil à retordre, nous avons remporté la Finale car la pièce est tombée de notre côté. J’ai la sensation que l’Inter est Candidate pour revenir en Finale, notre finale avait été vraiment compétitive." ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  3. Lautaro Martinez, Néo-Capitaine de l’Inter s’est livré à la Gazzetta Dello Sport La trahison de Romelu "J'ai été blessé, c’est la vérité. J’ai moi-même tenté de l’appeler durant ces journées de chaos et il ne m’a jamais répondu, de la même façon qu’il l’a fait avec mes autres équipiers. Après autant d’années ensemble, après tout ce que nous avons vécu ensemble, cela m'a déçu. Pour l'amour du Ciel, c’est son choix, je lui souhaite le meilleur, mais je ne m’attendais pas à une telle attitude." Capitaine, Mon Capitaine "Endosser le brassard veut dire que l’on assume plus de responsabilités au sein même de l’équipe, du Vestiaire, mais je le faisais déjà avant. J’ai un objectif : Donner un coup de main à mes équipiers qui en ont le besoin." La perte des joueurs importants ? "C’est vrai, mais moi je suis présent, c'est une Fierté pour moi et je veux être à la hauteur des nombreux Champions qui ont porté ce brassard dans l’Histoire de l’Inter et que tout le monde soit fier de moi." J’en suis à ma sixième saison ici, je comprends tout, je connais tout, je mets à la disposition tout ce que j’ai appris : J'ai dit ceci aux nouveaux arrivants qui ont rejoint l’Inter: S'ils ont été choisi, c'est qu'ils ont quelque chose, rien n'est dû au hasard. Lorsque vous serez amené à jouer, vous devrez tout donner, pour le reste, il suffira de penser à l'amour des Tifosi." Où serais-je dans cinq ans ? "Je ne le sais pas, je n’aime pas mélanger le présent avec le futur : Tu risques juste de te planter, et moi, je tiens à profiter de l’Inter." "Cette équipe est en pleine croissance: L’année dernière nous avons placé la barre très très haut. L’Inter travaille bien et on voit les résultats, on récolte des titres et nous sommes parvenu aussi à ramener l’équipe en Finale de la Ligue des Champions. C’est vrai que nous avons perdu énormément de points en Championnat, mais nous devons repartir d’Istanbul: Cette rencontre a fait grandir chacun d’entre-nous, nous avons envoyé un message." Le but manqué ce jour-là ? "Je pense avoir pris la bonne décision: Certains m’ont dit que j’aurai dû passer le ballon à Brozovic ou Lukaku mais à ce moment-là, j’ai pensé de cette façon: Guardiola était déjà à terre. Je conserve en moi tout ce que nous avons réalisé de bon ce soir-là." Objectif Scudetto "Depuis que je suis devenu Capitaine, je pense à l’envie de l’emporter car je devrais soulever moi-même la Coupe du Scudetto. On attend énormément de nous à présent, et c’est de là que nous devons repartir. Nous sommes un club habitué à gagner, nous avons faim, je veux toujours gagner, même lors des petits matchs d’entrainements. Et je veux transmettre ce message aux plus jeunes car personne, l’année dernière, ne nous pensait capable d’aller jusqu’en Finale. Nous devons aussi y croire pour cette saison: Nous avons gagné le respect de tous." Marcus Thuram "Je crois que c’est un joueur très intelligent qui sait bien faire usage de son corps, il sera utile. C’est un Champion qui nous donnera un grand coup de main. J’espère qu’il assimilera rapidement la façon de jouer de l’Inter et les idées de l’entraineur, qu’il aura rapidement des automatismes avec les équipiers. Marcus est plus similaire à Edin: il aime jouer, aller prendre le ballon loin de la surface, jouer en équipe, communiquer. De mon côté, je me suis toujours adapté avec tout le monde, aussi bien comme premier attaquant qu’en seconde pointe." Pétrodollars Out "C’est vrai: Des propositions sont arrivées, mais je suis heureux à l’Inter et heureux à Milan, je n’ai aucune raison de changer et ma Famille pense comme moi. Je crois que, mentalement, il y a l’aspect économique qui te monte car c’est énormément d’argent, c’est inutile de le nier. Cela dépend des choix de tout à chacun, mais je pense à continuer au plus haut niveau et à me préparer au mieux pour mon Equipe Nationale." "L’Inter est pour moi ma seconde maison et depuis mon arrivée ici, elle m’a transmis de l’amour et je ne l’oublierai jamais: Je viens d’une Famille modeste et nous avons connu des moments difficiles lorsque j’étais petit, j’apprécie énormément les personnes qui me viennent en aide. Je suis devenu père à présent et j’ai énormément muri, mon second enfant va bientôt arriver et il s’appellera Théo comme je l’ai décidé: J’espère être un bon parent." "Grace à tout cela, je suis devenu aussi plus réfléchi sur le terrain car avant je faisais tout instinctivement et j’étais plus souvent averti. Comme joueur, je peux encore grandir physiquement et améliorer les mouvements de ma jambe gauche. Inzaghi m’a fait comprendre que tu peux travailler et apprendre aussi avec le sourire. Il te fait ressentir ce sentiment de positivité même lorsque les résultats ne sont pas là." CAPITANO ! ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  4. C'est l'analyse du Libero qui s'est penché sur le coup de maître réalisé par notre ami Piero: André Onana recruté gratuitement va signer à Manchester United pour une somme proche de 60 millions d'euros, soit une plus-value quasiment totale "André Onana est le chef-d'œuvre de Piero Ausilio. Et, comme tous les chefs-d'œuvre, c'est aussi l'œuvre la plus souffrante et la plus douloureuse: Il est sur le point d'être vendu au prix formulé par l'Inter, pas un euro de moins (55 millions plus les bonus pour approcher les 60) après avoir été embauché pour zéro euros, avec un salaire inférieur à la moyenne pour un gardien de niveau international (3 millions nets). C'est dire que peu de gens croyaient à la rédemption du gardien de l'Ajax il y a un an et demi." "Personne sauf Ausilio, qui l'a bloqué quelques mois avant la fin de son contrat: Onana était considéré comme un dopé, un paria, quelqu'un à qui on ne pouvait pas faire confiance car l'Uefa l'avait disqualifié pour un an tout en reconnaissant sa bonne foi. Mah. Selon certains collègues, et nous citons, "Onana est quelqu'un qui se toile", au point "d'obtenir un Master en Toile" (ceux qui cherchent sur le web, sauront le retrouver)." "Mais pas pour Ausilio. Aujourd'hui, il est facile d'être Guardiola saluant le meilleur gardien du monde ou Ten Hag souhaitant son arrivée. Ce n'est pas tant qu'Onana soit passé de zéro à une valeur de soixante millions, c'est qu'il l'ait fait en un an seulement et le mérite en revient aussi à Inzaghi, car la véritable intuition revient à l'entraîneur principal: Onana n'était pas arrivé pour être un second gardien, mais pour prendre la place du titulaire, qui plus est celle occupée par le Capitaine." "Si vendre Onana aujourd'hui semble un sacrilège pour les Tifosi, à plus forte raison pour la seule personne qui y a cru: Il doit être pénible de suivre des joueurs pendant des années, de les soigner pendant des mois et d'en profiter si peu de temps. Il doit également être pénible d'essuyer les critiques de ses propres supporters, qui ne connaissent pas ou peu les coulisses du Mercato. La vente d'Onana est mauvaise pour tout une diesse mais bonne, très bonne pour l'Inter. L'Inter devrait donc applaudir cette diesse. Clap clap clap : car nous avons commencé dans le doute" ®Antony Gilles - Internazionale.fr
  5. Au terme de la saison 2022/2023, ESPN a dressé sa liste des 10 meilleurs entraîneurs du monde. Et l'on retrouve notre Mister dans un classement dominé à juste titre par Pep Guardiola! Voici la motivation de cette 9ème place: "Simone Inzaghi mérite le respect lorsqu'il convient de parler d'entraîneurs offensifs et de haut niveau. Après avoir mené l'Inter à la deuxième place en 2021-22 grâce à 84 buts en 38 matches, Inzaghi a permis aux Nerazzurri de rester compétitifs en Italie, en remportant la Coppa Italia et la Supercoupe d'Italie, tout en réalisant la meilleure performance de sa carrière en Ligue des Champions." "Grâce à un système de rotation important de son équipe, il ne se passait que très rarement un match sans qu'Inzaghi ne procède à cinq changements - et à une formation à deux attaquants avec l'insaisissable Lautaro Martinez." "L'Inter a atteint sa première finale de Ligue des Champions en 13 ans. José Mourinho avait mené l'Inter à un titre improbable avec un style de jeu basé sur une défense solide. L'approche d'Inzaghi, elle, s'est avérée tout aussi efficace lorsque l'Inter a battu Barcelone en phase de groupes, puis Porto, Benfica et son rival l'AC Milan, avant de s'incliner 1-0 en finale contre Manchester City." "Inzaghi est expérimenté, sobre et toujours fidèle à ses principes: Beaucoup d'équipes devraient s'inspirer d'une vision aussi claire et de sa persévérance dans l'application." MERITE! ®Antony Gilles - Internazionale.fr
  6. Sacré champion d’Europe face à une Inter qui l’aura fait déjouer, Pep Guardiola s’est livré sur l’adversaire du soir à Sport Mediaset Après 12 ans d’attente vous l’avez de nouveau gagné… "Félicitations à l’Inter qui est une grande équipe, je le dit comme gagnant mais je l’aurais aussi dit comme perdant : Elle méritait d’être à sa place ici, on aurait pu aller jusqu’aux prolongations mais notre Victoire semblait écrite, depuis les défaites de nos années précédentes." Vous attendiez-vous à une telle Inter ? "Je ne m’attendais pas à quelque chose de différent si tu as un portier qui joue comme un joueur de champs, des joueurs comme Barella et Çalhanoğlu, des joueurs qui sont aussi physiquement fort…. Sans un tel gardien tout aurait été plus facile : Ce n’est pas un hasard si les équipes italiennes sont arrivées dans les trois finales." Que voudriez-vous dire à Inzaghi ? "Je voudrais dire à Inzaghi que ce qu’il ressent, je l’ai ressenti il y a quelques années, mais il est aux commandes de l’équipe qui est vice-championne d’Europe, elle est vraiment très forte et ils reviendront ici pour jouer la gagne : Le football est ainsi parfois l’on gagne, parfois l’on perd." Que répondez-vous à ceux qui disent que vous étiez en difficulté avec City pour l’emporter ? "Quelque chose a changé ? On peut dire ce que l’on veut, mais l’important est de gagner et d'être là car tôt ou tard tu l’emporte : Nous ne voulions pas simplement gagner et retomber dans l'anonymat: Nous voulons rester présent pour tout le temps. Cela aurait pu arriver les autres années, mais cela nous est arrivé cette année, et c’est important de pouvoir disputer des matchs comme celui-ci" ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  7. Wesley Sneijder est l’un des héros du Triplé de l'Inter, celui-ci s’est livré à quelques heures d’une Finale aussi inattendue que prestigieuse face à l’équipe du moment : Manchester City Il y a tellement d’enthousiasme à Istanbul pour cette Finale.... "Ce n’est pas seulement à Istanbul, mais c'est partout en Turquie car ce sont des passionnés de football. Ils sont fier de voir la Finale de la Ligue des Champions se disputer dans leur ville. Il y règne une grande culture footballistique et plus spécialement dans la Capitale avec tant de grandes équipes qui y sont très proches: Cette ville aime le football et elle aime le fait d’avoir pu accueillir la Finale." Justement, ici à Istanbul, City a la possibilité de réaliser le Triplé : Quel pourrait en être sa valeur comparativement à celui réalisé en 2010 ? "Il peut y parvenir mais j’espère que cela ne se produira pas car je soutiendrai objectivement l’Inter : 2010 fut folle comme année car en début de saison, nous ne pensions pas être capable de tout gagner, c’est au cours de la saison que nous avons commencé à prendre confiance. Je pense que notre Triplé aura toujours une saveur supplémentaire que celui que pourrait réussir City : Soulever cette coupe après avoir déjà remporté les deux autres titres fut extraordinaire : Les joueurs de City devrait ressentir des choses similaires et ils seront concentrés sur la gagne." Pourriez-vous vous lancer dans un pronostic ? "Je dirai que ça ira aux pénaltys après des prolongations suite à un score de 1-1 et c’est l’Inter qui l’emportera au final." S’agirait’-il d’un exploit si l’on considère l’équipe à affronter qui était déjà si forte et qui a vu un élément comme Haaland y être ajouté... "C’était le chainon manquant de City, ils avaient besoin d’un Capocannoniere et il fait la différente devant, il a aussi tant de joueurs technique à ses côtés : Guardiola travaille d’une manière fantastique et il a été bon pour le recruter et pour le faire devenir immédiatement un élément aussi important: A l’heure actuelle, c’est celui qui fait la différence, qui marque, et si tu dois lister un joueur parmi les plus importants de City, tu le cites lui, même si objectivement il y en a de très nombreux autres." Comment voyez-vous l’Inter jouer ? "Je ne vois pas une Inter partir à l’abordage, elle va se présenter très organisée : City sera l’équipe qui attaquera. Il faudra faire preuve d’un peu de patience et si à la moitié de la rencontre nous en sommes encore à 0-0, alors il y aura des possibilités." ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  8. Romelu Lukaku et Lautaro Martinez se sont respectivement livrés à quelques jours de la Finale de la Ligue des Champions Notre Romelu Lukaku s’est livré à CNN au cours d’une longue interview justifiant aussi la raison pour laquelle il regarde vers le ciel à chaque but: En effet, son grand-père est décédé lorsqu’il avait 12 ans, soit quatre avant ses débuts au Rsc Anderlecht : "Je lui avais promis que j’allais prendre soin de ma mère lorsque j’avais 12 ans et j’ai tenu parole, et chaque fois que je regarde ma mère, je le vois dans les tribunes, je regarde vers lui après chaque but." Est-ce que disputer la Finale de la Ligue des Champions signifierait aussi quelque chose pour votre grand-père ? "Cela voudrait dire beaucoup, lorsque je regarde mon fils, je retrouve tellement de lui c’était mon numéro 1 et c’était mon plus grand fan (il est très ému). Je n’avais pu, que regarder jusqu’à présent quelques finales de Ligue des Champions, mais à présent et Grâce à Dieu, je peux en jouer une. Être dans cette position maintenant, avec ma famille sur place sera quelque chose de très beau car ce sera comme boucler la boucle." Une Inter Fraternelle En effet, lors de la pandémie liée au Covid-19, une sorte de Fraternité s’est créé entre les joueurs et on retrouve encore, à l’heure actuelle cette base dans le noyau: "C’était un moment émouvant car nous avions passé beaucoup de temps ensemble, en tant qu’équipe. J’ai passé beaucoup plus de temps avec mes équipiers durant cette périodes qu’avec mon fils ainé…. C’était jouer, rentrer à l’Hôtel, rester dans la chambre, regarder les matchs ensembles, des choses comme ça." Ce lien peut être rappeler celui de l’état d’Esprit qui entourait l’Inter de Mourinho auréolé du Triplé en 2010 ? "C’est assez similaire et pour être honnêtes pour être honnête, ce qui est amusant, c'est que beaucoup de ces joueurs de l'équipe de 2010 viennent voir nos matches et ressentent la même chose. Ce sera une très belle rencontre, nous allons jouer face à ce qui est probablement la meilleure équipe du monde : Je veux seulement en profiter, sans pression, profiter du moment et aller là-bas pour réaliser le meilleur résultat possible." Haaland? "Je pense qu’il dominera le football mondial comme Mbappé pour la prochaine décennie : Ils vont prendre la relève de Messi et Ronaldo au cours des deux prochaines années, mais City n’est pas qu’Haaland, c’est une équipe bien entrainée et Guardiola est un excellent entraineur car il adapte à chaque match un plan de jeu différent, il propose diverses dispositions tactiques en cours match en sachant qu’en jouant de cette façon, cela ouvrira pour Haaldand des brèches dans la défenses. En ayant ce type de mouvement et de schéma de jeu très bien synchroniser, tu as des chances de marquer." Romelu à Sky Sport La Finale d’Istanbul "Je savais que l’on en était capable et je l’avais dit au Président. Finalement, nous sommes arrivé en Finale et je suis très heureux. Il m'a envoyé un émoticône quand j'ai dû revenir à l'Inter. Un joueur doit toujours avoir confiance en l'équipe. Nous avons mérité d'avoir cette opportunité, nous espérons réaliser notre rêve." Nulla è impossibile? "C’est notre Slogan vu que tout le monde donne City pour favori." Comment affronter City ? "Nous devrons être très compact défensivement mais aussi montrer que nous n’avons pas peur de City. Je pense que l’entraineur et son staff vont bien analyser la rencontre et que nous serons prêts." Avez-vous envie d’être titularisé ? "Les personnes savent, à présent, ce que je suis capable de faire à nouveau mais l’Inter est la plus importante, l’entraineur doit faire les choix: Ce n’est pas une réponse politique, cela regarde l’Inter et je veux que l’Inter gagne : Nous devrons tous répondre présent." Et votre futur ? "On en reparlera après la Finale." Le Saviez-vous ? Pour Romelu Lukaku, son expérience chez les Blues est pour dire terminée : Il n’a plus envie d’y retrouver même en cas de consécration européenne. Mais comme le révèle la Gazzetta Dello Sport, au 30 juin prochain, il sera de retour à Londres après son prêt annuel et une négociation aura lieu entre l’Inter et Chelsea Si Mauricio Pochettino pense à d’autres profils d’attaquant pour construire sa créature, Romelu pourrait servir de monnaie d’échange, avec dans le viseur un certain Dusan Vlahovic. Toutefois, Romelu ne jure que par l’Inter et pour parvenir à un prêt bis et sur une éventuellement diminution de la charge Nerazzurro du prêt, bien plus que le travail diplomatique qui s’annonce entre les deux clubs, ce sera la volonté de fer de Romelu qui fera la différence… "Et l’Histoire récente nous apprend que lorsque le belge à un objectif en tête, il fait tout pour y parvenir…Et il pourrait être encore plus têtu auréolé du titre de Champion d’Europe !" Lautaro Martinez Lauti s’est livré à Uefa.com à quelques jours de la Finale de la Ligue des Champions Son But au Milan "C'est l'un des plus importants de ma carrière. Pas à cause de sa beauté, mais à cause de son importance, de son ampleur et de l'histoire qui se cache derrière", les yeux rempli fierté. Marquer un but est toujours très spécial, alors imaginez à quel point c'est spécial lors d’un match comme celui-là.L'important, c'est que mes coéquipiers aient apprécié, les supporters aussi, et que cela ait permis à l'équipe d’être sereine. Nous savions que s'ils marquaient un but, les choses pouvaient changer rapidement, il était donc important de réduire l'anxiété et de se détendre." A propos de la finale contre Manchester City "Il ne fait aucun doute que c'est l'une des meilleures équipes du monde. Ils jouent un football que j'aime beaucoup et ce seront des adversaires très difficiles à affronter. Mais nous avons affronté des équipes très difficiles lors de la phase de groupe et de la phase à élimination directe et nous nous sommes très bien comportés." "Nous devons essayer d'en profiter, car une finale de Ligue des champions ne se joue pas tous les jours. Tout ce qu'il nous reste à faire, c'est de travailler dur et de jouer aussi bien que possible, en espérant que la meilleure équipe gagne et que nous soulevions le trophée à la fin du match." Sur la relation entre l'Inter et l'Argentine "Dès mon arrivée dans ce club, on m'a fait sentir que je faisais partie de la Famille, que j'avais grandi ici, et c'est très important pour un joueur. Je savais qu'il y avait toujours eu beaucoup d'Argentins ici, comme Milito, Zanetti, Cambiasso et Samuel, qui ont effectué un travail extraordinaire dans ce club. C'est une grande responsabilité de porter ce maillot. Je suis très fier de ce que j'accomplis ici et je ne cesse de répéter que je dois continuer à fournir des efforts". A propos de Dzeko et Lukaku "Ce sont deux joueurs très différents. Edin aime avoir le ballon, il recule et relie ses coéquipiers, tandis que Romelu a tendance à attaquer les espaces et à se faire suivre par les défenseurs pour créer de l'espace pour le deuxième attaquant. Je m'entends très bien avec les deux. J'essaie de m'adapter à eux et de faire ce dont l'équipe a besoin. Si je dois attaquer des espaces pour libérer de l'espace pour Edin, je peux le faire facilement, et c'est la même chose pour Romelu." A propos d'Inzaghi "Il est toujours important de savoir comment nous voulons jouer et de comprendre les idées de l'entraîneur. Quand on a des idées claires et qu'on étudie les matches et les adversaires, c'est beaucoup plus facile. Nous nous entendons très bien avec l'entraîneur car il travaille bien et prépare bien les matchs. D'un point de vue mental, ces matches n'ont pas besoin d'être préparés en raison de leur importance." ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  9. 13 ans après la double confrontation historique entre son Fc Barcelone et l’Inter de José Mourinho, Pep Guardiola est prêt à retrouver sa "maudite" Bien-aimée. Et pour ce rendez-vous romantique sous le ciel d’Istanbul, celui-ci s’est livré à la Gazzetta Dello Sport "J’ai commencé à regarder quelques minutes l’Inter, quelques phases de jeu et je suis resté impressionné, ils m’ont impressionné par leur façon de faire, leur langage corporel. Après les avoir visionnés, j’ai sonné à quelques amis proches qui vivent en Italie pour avoir leur avis sur l’Inter : Ils m’ont tous dit de rester sur mes gardes et de la prendre vraiment au sérieux. Je n’avais pas besoin qu’ils me le disent, je l’avais déjà compris en les observant sur quelques minutes, sur quelques situations." "C’est clair que l’Inter peut nous battre, elle a déjà gagné trois fois ce tournoi et nous jamais, mais nous voulons le disputer de la meilleure des façons pour que cela ne soit plus le cas. Ce n’est pas un hasard s’il y a 3 équipes italiennes dans les Finales des 3 coupes d’Europe, il y en a eu d’autres qui ont disputés les demi-finales." "J’ai joué en Italie et je connais la mentalité qu’ont les équipes italiennes dans des Finales: Il ne faut pas oublier, qu’il y a vingt ans, la Serie A était le meilleur championnat du monde est que tout le monde, joueurs, entraineurs, voulaient y jouer : L’Italie a aussi gagné quatre fois le Mondial et elle a toujours cette mentalité: C’est aussi pour cette raison que je pense que jouer une Finale contre une équipe italienne reste et restera compliqué." "Nous avons énormément gagné depuis mon arrivée, et je trouve parfois injuste qu’il faille remporter la Ligue des Champions pour avoir du crédit sur tout ce que nous avons réalisé, mais c’est ainsi, je dois l’accepter : Je sais que nous n’aurons pas tout réalisé sans avoir gagner la Ligue des Champions." "Jouer parfois avec cette pression est fantastique, nécessaire, nous échangeons entre nous et nous nous disons que nous allons le faire. Dans le même temps, si nous ne parvenons pas à l’emporter mais que nous continuons à gagner, je suis sûr que tôt ou tard nous y parviendrons, mais nous avons l’occasion, ici, d’être en finale et nous allons essayer de l’emporter." Pep, Avant de monter en l’Air la Bien-Aimée, n’oublie pas qu’il faut son consentement ! ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  10. Ancien footballeur pro devenu consultant, Alexandre Teklak s’est livré à une interview exclusive pour Internazionale.fr, lui qui est devenu consultant sportif à Eleven Sport et à la RTBF où il fait part de ses excellentes analyses dans le cadre des matchs d’Europa et de Conférence League. Comment jugez-vous la saison actuelle de l’Inter ? "C’est une saison un peu contrastée, l’Inter a très bien réussi dans tout ce qui est match de Coupe, un peu comme Inzaghi sait le faire. C’est plutôt un entraineur de Coupes, sans être péjoratif, c’est un entraineur qui, sur des évènements ponctuels, parvient à faire la différence. La preuve , l’année dernière il a gagné la Coupe d'Italie, il est en finale aujourd’hui, il est en finale de la Champion’s League, il a remporté la Super Coupe." "Au contraire de Conte qui est un entraineur bâtisseur sur le long terme et qui est plutôt prêt pour acquérir des titres sur le long terme comme l'est un championnat, je pense qu'Inzaghi est un peu un entraineur qui est capable de briller sur des compétitions où c’est quitte ou double. Il l’a fait avec la Lazio aussi à l’époque. C’est vraiment devenu un spécialiste des Coupes, et ce n’est pas par hasard. Quand tu en gagnes une, deux, on peut se dire que c’est le hasard qui a fait que... mais ici il le fait depuis quelques saisons, pour moi, c’est ce qui caractérise la saison de l’Inter avec Inzaghi, paradoxalement avec celles sous Antonio Conte." "Maintenant c’est une saison en dents de scie même si cela va mieux ces dernières semaines, car l'Inter a des joueurs comme Lukaku, notamment, qui reviennent bien qui pèsent à nouveau. Mais c’est vrai qu’ils ont connu beaucoup de soucis avec des résultats très inégaux et je pense à la défaite à domicile face à Monza 0-1." "Je me suis dis 'On est en préparation pour la Ligue des Champions' mais voilà, l’Inter joue avec son bonheur et ils auront la rencontre à Turin et le match face à l’Atalanta qui restent à disputer pour se qualifier en Ligue des Champions. Il y aura City aussi, mais ce n’est pas normal d’avoir attendu si longtemps pour assurer la place en Ligue des Champions car, cette année, il y avait la place pour l’acquérir beaucoup plus tôt même si Naples a survolé la compétition." "Honnêtement, au vue des oppositions qu’ils ont eu à l'Inter, vu le noyau qu’ils ont, je trouve que c’est quand même tardif. Je peux l’expliquer aussi par le fait qu’il y a un noyau " vieux" et il n’y a rien à faire quand on veut aborder plusieurs compétitions, il faut le préserver. Toute proportions gardées, l’Inter a un peu le même problème que le Real : un noyau vieillissant. Ce sont des équipes qui sont capables d’avoir un objectif majeur, mais pas trois ou quatre dans une saison, c’est difficile." "Lorsque l’on regarde la saison du Real, elle a fait un peu une saison similaire en termes de prix remportés au niveau des Coupes, il y a une saison en Liga complétement manquée, gâchée pour un club comme le Real. L’Inter, toute proportions gardées j’insiste un peu, vit une saison similaire au niveau des résultats et je l’explique par ça : prenez la moyenne d’âge." "Ce sont des supers joueurs, vous vous rendez comptes aussi qu’avec ces mecs-là, si vous ne les faites pas tourner, vous les blessez. Ici on arrive en fin de saison, on voit que Mkhitaryan s’est fait mal en demi-finale retour, Dzeko qui va jouer ce soir a aussi eu quelques bobos. Tout le long de cette saison a été jalonnées par des petits bobos que les joueurs importants, les cadres ont eu parce qu’à un certain âge, jouer au très haut niveau toutes les compétitions, tout le temps, ce n’est plus possible et je pense qu’Inzaghi l’a très bien compris, aussi dans sa rotation car il n’avait pas trop le choix." Pensez-vous que la Coupe du Monde a eu un impact ? Qu’elle a faussé un peu les tournois ? "Oui, la Coupe du Monde a eu sa part d’influence sur toutes les équipes. Surtout au retour de Coupe du Monde pour la plupart des équipes où il y a eu beaucoup d’engagés. Oui, il y a pu y avoir un impact, forcément pour les Italiens, non, pour l’Inter je ne le sais pas, mais ils n'étaient pas tous concernés par la Coupe du Monde, pas du tout même. Toutefois, par l'entracte qu'elle a provoqué, oui." Et des matchs tous les trois jours… "Le problème a été l’accélération de match et là évidemment dans un calendrier qui est déjà surchargé... faut savoir ce qu’on veut, car même si les dirigeants pensent construire des noyaux très larges, pléthoriques pour aborder toutes les compétitions, les aborder toutes avec le même niveau de performances est impossible car on ne sait pas disposer de deux équipes de même niveau dans son noyau, en tout cas l’Inter n’a pas ça, ça lui couterait beaucoup trop cher." Malheureusement nous n’avons pas le propriétaire qui va avec pour l’instant… c’est assez compliqué… "Mais City est capable d’avoir ça , ils ont deux équipes, une pour la Premier League quasiment et une pour la Champion’s League mais c’est la seule équipe, c’est une exception." En parlant justement de City, pensez-vous que ce club a un point faible ? Ou est-ce que la Finale est déjà perdue d’avance pour l’Inter ? "Perdue d’avance non, même si c’est vrai que cette année City écrase tout, ils sont terriblement efficaces, ils ont un peu revu leur système avec la présence d’Haaland aussi, parce qu’ils sont capables, à présent, de varier aussi leur manière de marquer, ils peuvent partir de beaucoup plus bas, ils n’ont plus besoin d’une construction élaborée, très élaborée comme Guardiola les aiment lorsqu’il joue avec un faux neuf." "ici, ils ont vraiment dans des situations avec Haaland et une manière de marquer qui est différente. C’est évidemment un gros avantage pour Guardiola même s’il doit laisser tomber un petit peu et parfois ses préceptes et ses principes. Je dirais plutôt s’en éloigner un tout petit peu et les varier un tout petit peu, mais c’est le gros avantage de City. C’est vrai que j’ai aussi vu des matchs où Haaland était bien bloqué comme face à Rudiger lors du match aller au Real, ceci dit, le gros soucis avec cette équipe, c’est qu’elle est capable de marquer de manière très différente et d’être dans un mouvement perpétuel. C’est une équipe qui est très difficile à jouer techniquement." "Elle a des faiblesses et pour moi ce sont les situations de contre-attaques car elles portent beaucoup de joueurs vers l’avant. Une fois qu’Haaland manque d’efficacité, c’est un soucis aussi pour cette équipe, car il est vraiment très important. Ils ont tout de même des difficultés parfois à pouvoir, sur la longueur d’un match, contenir les contre-attaques des adversaires. Ce n’est pas une équipe qui n’a aucune faiblesse, c'est une équipe qui peut aussi à un moment donné s’agacer, par exemple, de la roublardise de l’adversaire, du fait que le rythme soit faible dans le match." Ce qui est un peu la force des clubs italiens… "Oui et c’est quelque chose qui pourrait très vite les agacer, car ils sont parfois impatient et il ne faut pas oublier non plus la plus grande faiblesse de City cette année est qu’ils doivent la gagner : Guardiola a beau relativiser dire oui… Toujours un peu avec son dogme caractéristique, il doit la gagner ! Cela fait presque 10 ans qu’il est là, ils ont investi beaucoup d’argent dans le club pour y parvenir." "Je crois qu’ils la veulent à tout prix et c’est l’occasion où jamais. Ils se sont plantés, il y a deux ans, face à Chelsea, City n'a plus trop le droit à se planter à nouveau. Pour moi, c’est ce côté impatient, ce côté obligation à devoir aller la chercher qui peut jouer pour l’Inter, car l’Inter va être l’outsider de Luxe." "Quelque soit le résultat de l’Inter, elle n’a rien à perdre et tout le monde dira que c’est déjà formidable d’avoir atteint la Finale de la Ligue des Champions, c’est déjà le cas maintenant et je pense que c’est un grand avantage pour l’Inter de ne pas être "Obligé de" alors que pour City oui, car si City la perd, vu la force en présence, vu leur noyau vu toutes ce qui entoure ce titre en Ligue des Champions, ce sera de nouveau un camouflet pour Guardiola et ce sera de nouveau une Finale de perdue." "Il ne faut pas minimiser aussi l’aspect psychologique de cette rencontre qui aura beaucoup d’influence, parce que c’est vrai que l’Inter est un peu une équipe d’emmerdeurs." C'est un peu le cas aussi… Il y a une cohésion d’équipe chez nous, car si l'on se base que sur le plan individuel,on ne fait pas le poids : Est-ce que le 3-5-2 est une bonne idée face à City ? "Je pense que l’Inter est très dépendante de ce que va produire comme foot et comme prestation son trio au milieu de terrain car, pour moi, c’est le poumon de l’équipe: Pas seulement parce que ce sont de très bons joueurs, mais aussi parce qu’ils abattent un travail exceptionnel. Que ce soit Çalhanoğlu, Mkhitaryan et Barella c’est vraiment incroyable ce qu’ils sont capable de faire surtout dans les contre-efforts défensif et là ils sont vraiment redoutable." "Quand je vois comment ils se sont mis minable dans le Derby sur les deux matchs et les prestations encore qu’ils ont eu, je me dis que ça peut vraiment embêter le milieu de terrain de city. De Bruyne n’aimera pas avoir ce type d’opposition, pas du tout même, il n'aimera pas ce type de marquage et d’une manière générale tous les joueurs de City n’aimeront pas." "Je pense que derrière, Acerbi a prouvé aussi que ce ne sera pas un problème pour lui de jouer contre Haaland: L'Inter ne va pas non plus ouvrir le jeu avec 50 mètres dans son dos, ils vont rester organisé et pour moi l’Inter a des atouts à faire valoir. Je ne vois pas l’Inter s’écrouler contre City, je ne vois pas ça, je vois une équipe qui est vraiment capable de les emmerder." Passons à Lukaku, la Serie A est-elle le mieux pour lui ? Ou est-ce mieux qu’il retourne à Chelsea ? "Je pense que sa saison a été marquée en plusieurs temps, son premier temps est évidemment son retour de la Coupe du Monde, fragilisé moralement, fragilisé physiquement et je connais un tout petit peu Romelu et son caractère, il a voulu forcer les choses et aller plus vite au niveau de son retour et il s'est passéce qu'il s’est passé. Maintenant, il est en forme , il joue, il veut reprendre sa place de titulaire." "Il ne faut pas oublier non plus qu’il joue dans un club qui possède deux paires d’attaquants, et l'on oublie trop souvent de le dire mais pour un Club comme l’Inter: 4 attaquants de ce niveau-là, c’est tout de même rare, c’est très rare : Il faut bien se rendre compte qu'il s'agit de Correa, Dzeko, Lautaro qui est un super joueur et Romelu : Vous imaginez quand même ! " "Vous êtes là, vous commencez le match avec Dzeko et à un moment donné vous faites monter Romelu pour les vingt dernières minutes avec Correa, ou un autre si Correa est déjà titulaire, mais vous voyez ce que je veux dire en termes de possibilités: C’est énorme ce qu’Inzaghi a à sa disposition , il ne faut pas le négliger non plus, ce sont quatre attaquants de grandes qualités." "Maintenant en ce qui concerne Romelu en tant que tel, il a voulu refaire sa place, peut-être un peu trop vite et il est parti de blessure en blessure et de rechute en rechute et ça, ça a été son grand soucis parce que la pression aidant, le fait aussi que sa Coupe du Monde soit manquée, le match contre la Croatie qui lui reste dans la tête : Tout a joué beaucoup contre lui et il l’a dit récemment, que cela lui a pesé énormément car si vous n’êtes pas bien dans votre tête, le reste ne sait pas suivre, même au niveau de la prise en charge d'une blessure." "Et une compétition exigeante comme l’est la Serie A a fait aussi qu’il s’est reblessé, qu’il n’a jamais été prêt. Maintenant il commence à l’être, ici, il enchaine les matchs et surtout les bouts de matchs et je sais, à ce niveau-là qu’Inzaghi est beaucoup critiqué mais je trouve qu’il les a bien gérer : Il a bien géré la rotation et l’intégration de Romelu pour ne pas qu’il aille trop loin d’une part et pour qu’il se sente bien physiquement d’autre part." "On l’a vu ces derniers temps, il marque au meilleur moment pour lui car c’est maintenant le Money Time, c’est maintenant ici que tout ce décide et c’est surtout maintenant que les contrats sont revus : Il y a quelques semaines l’Inter avait dit non, Romelu on n’en veut plus: Aujourd’hui, ils ont changé de fusil d’épaule et c’est d’ailleurs la même chose à l’égard d’Inzaghi Je pense qu’il y a vraiment une progression dans sa saison qui est bonne avec la possibilité , aujourd’hui, de rester à l’Inter et surtout d’apporter un plus sportivement à l’équipe." "Maintenant, pour sa situation avec Chelsea, je pense que l’Inter a de l’argent, mais l’Inter est en dette et doit faire attention. Oui, elle est en auto-financement…. "Je le sais, je pense qu’ils vont être tributaire un peu de ce que Chelsea va exiger : L’Inter est une équipe spécialiste pour faire des prêts , je crois que c’est Marotta qui en est le Directeur comme c’était le cas du temps de la Juve." Tout à fait, avec Piero Ausilio… "Marotta est un adepte de ce genre de manœuvre , vous me direz si je me trompe mais je suis quasiment certain qu’à l’époque de la Juve, c’est lui qui va rechercher Pirlo car plus personne n’y croit." Oui, il a fait la même chose avec Pogba…. "C’est un très grand spécialiste, il s’est parfois trompé, je ne dis pas qu’il a toujours tout réussi, mais il a quand même bien plus réussi que raté au niveau de ses prêts et de certains fin de contrat qu’il a été chercher." Oui, c’est lui qui a reconstruit l’équipe de l’Inter à son arrivée et on voit la différence avec la Juve à l’heure actuelle…C’est sa plus grosse perte... "Tout à fait, la Juve a beaucoup perdu avec son départ et l’Inter a beaucoup gagné, je sais qu’on ne parle pas beaucoup de lui mais c’est un Dirigeant Sportif qui a été l’architecte de l’Inter." Il est le plus respecté, encore plus que Steven Zhang…. "Cela ne m’étonne pas je crois vraiment que sa présence a été la clé du succès de l’Inter et pour revenir sur le prêt, sur la continuité de Romelu à l’Inter le problème sera à Chelsea : Qu’est-ce qu’ils vont vouloir, qu’est-ce que le nouveau propriétaire va vouloir : Accepteront-ils encore un prêt ou alors vont-ils vouloir le vendre définitivement sachant que Romelu n’a peut être pas envie de retourner à Chelsea." "Cela pourrait dépendre du nouvel entraineur de Chelsea , peut être qu’il aura une bonne connexion avec Lukaku, Dieu seul le sait : Je n’en sais rien, c’est trop tôt pour le savoir: Je pense qu’aujourd’hui vu la manière avec laquelle joue Lukaku, et son amour pour l’Inter et pour la Serie A, qu’il a envie de se faire pardonner quelque chose vu la façon dont il est parti." Oui, il était fort aimé, on a vécu son départ comme une trahison, pour certains ils sont encore rancuniers "Je sais, en Italie, ils ont la rancune tenace et il y en a encore beaucoup qui lui en veulent d’être parti car certains disent "Oui mais l’Inter avait des problèmes financiers et c’est pour ça qu’il est parti" mais je pense que ce n’était pas que pour ça, cette raison-là n’est pas vraie, c’est du Pippo." A l’Inter, lorsque Conte est parti, s’il avait dit à ce moment-là: Je veux quitter le club aussi, je demande à être transféré il n’y aurait eu aucun soucis", mais lui avait fait une interview une semaine avant son départ pour dire : "Ne vous inquiétez pas Conte est parti et je reste", c’est pour cela que la pilule n’est pas passée... "Je pense que Romelu a commis à la fois une erreur de communication, mais aussi une erreur de choix car on s’est ce qu’il est advenu de sa saison à Chelsea. Donc aujourd’hui, il se fait petit, il se met minable car il sait aussi ce qu’il doit à l’Inter et c’est pour ça qu’il a à tout prix voulu y revenir." "C’est aussi pour cela qu’aujourd’hui il est en forme et c’est pour cela qu'à chaque fois qu’il marque un but, il le fait avec beaucoup de respect et aussi avec une certaine forme de redevance si vous voyez ce que je veux dire, on le sent dans sa communication avec les supporters, il est toujours en train de les mettre en avant : Il marque toujours beaucoup de sollicitude à leur égard." Il est très communicatif… "C’est normal et il doit se rattraper et il est authentique car je le connais un peu, les critiques des supporters l’ont touchés, l’ont blessés , surtout lorsqu’ils l’ont traité de Traitre, mais voilà…" Face à la Salernitana c’était d’ailleurs l’un des seuls joueurs à aller voir les supporters lorsque l’on s’est inclinés sur leur terrain, il les "a porté", s’est excusé et ça lui permet de revenir aussi dans les bonnes grâces des Tifosi... "Tout à fait et il n’était pas obligé de le faire, il y a d’autres joueurs qui ne se seraient pas comportés comme cela et je pense que ça compte beaucoup pour lui : Il aime l’Inter et je pense que l’Inter l’aimera de nouveau et que tout se passera bien pour lui." "Vous savez l’Inter a perdu un peu son lustre d’antan: On n’était plus habituée à la voir dans les compétitions européenne comme elle le faisait à l’époque de Mourinho mais quand on voit cette équipe aujourd’hui, elle n’est pas là par hasard , elle n’est pas arrivée en Finale de Ligue des Champions par hasard." Dernière question : votre prono pour ce soir, pour la Finale de la Coupe... "Je trouve que la Fiorentina est une superbe équipe, on voit le boulot d’Italiano. Je l'’ai suivi aussi avec la Conference League, c’est une super équipe de foot, elle joue très bien au foot, elle a un gros problème : Elle se crée plus d’occasions qu’elle ne marque de buts mais elle s’en crée vraiment beaucoup, énormément grâce à un football léché et elle pourrait être un bon adversaire pour l’Inter." "Elle est un peu similaire à City, ça pourrait être une mini-répétition de ce qu’il pourrait se passer face à City, sans exagérer bien sûr et c’est une Finale . Je pense qu’on va assister à un beau match et cette année, j’ai rarement vu des mauvais matchs de sa part, c’est une équipe agréable à voir , mais j’aurais un petit penchant pour l’Inter, un petit." ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  11. En effet, après 12 ans de disette, l’Inter fait son grand retour dans le Top 8 européen, mais celle-ci ne sera pas seule étant donné que le Milan et le Napoli se sont également qualifiés : Un jour de gloire pour la Serie A qui propose 3 clubs sur les 8 encore en course! Révélation de la Gazzetta Dello Sport Que de souvenirs "Le tirage au sort de ce vendredi 17 mars pourrait également proposer un Euro-Derby comme cela a eu lieu en 2002-2003 et en 2004-2005, mais qu’adviendra-t ’il si l’Inter et le Milan ne se rencontrent pas et qu'ils sont tirés à chaque fois premiers ou seconds ?" "Le règlement de l’UEFA dit qu’il n’est pas possible de disputer deux rencontres de Ligue des Champions, dans le même stade, dans un arc de 24h00. Selon Nyon, il ne serait pas possible de voir les équipes jouer les mardi 11 et mercredi 12 avril ni même les mardi 18 et mercredi 19 avril, lorsqu’auront lieu les matchs retour. En phase à élimination directe, voir même en huitième de finale, ce problème a été écarté étant donné que les deux équipes milanaises jouaient à une semaine d’intervalle, aussi bien à domicile qu’à l’extérieur." "Le règlement clarifie la situation : Milan a terminé le dernier championnat devant l’Inter et ce sera donc à l’Inter à intervertir son match si les deux équipes sont extraites toutes les deux en premier ou en second. Voici un exemple : Si lors du Tirage au sort on retrouve Milan-Chelsea et Inter-Manchester City, les Rossoneris joueront le match aller à San Siro alors que les Nerazzurri joueront à l'Etihad de Manchester. Idem si le tirage au sort propose un Chelsea-Milan et City-Inter, la formation de Pioli ira jouer le match aller à Stamford Bridge tandis que l’Inter accueillera, pour cette manche aller, les Hommes de Guardiola au Giuseppe Meazza." Et pourquoi nous mettre City et pas Benfica les amis ? ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  12. En effet, si le Portier Camerounais a été l’un des grands protagoniste du succès Nerazzurro face à Porto, celui-ci a aussi su rapidement prendre ses marques, au détriment d’un Samir Handanovic désormais dépassé Révélation de la Gazzetta Dello Sport "A Appiano Gentile, un haut dirigeant s’en est rapidement rendu compte en lui disant : "André, tu as de la personnalité, peut-être même un peu trop...." Si cela pouvait passer pour un avertissement, c’était avant tout un pure compliment: Car dans une équipe en carence de Leadership, il fallait un joueur avec un tel caractère et si tu le n’est pas, tu ne parviens à arriver à l’Inter et en l'espace de trois mois procéder à LA révolution en envoyant à la retraite Samir Handanovic, ce qui était une pure utopie avant l’arrivée du camerounais." "Les joutes verbales avec son sélectionneur Rigobert Song lui ont coûté la Coupe du Monde, mais on ne l’a jamais vu adopter un tel comportement à la Pinetina avec Simone Inzaghi, bien au contraire, André découvre avec curiosité une nouvelle façon de s’entrainer, mais il ne faut jamais le chercher et Edin Dzeko l’a appris a ses dépends." "Avec ses grandes main qui bougent vite, il parvient à réaliser des parades instinctives et ce sont ses meilleures et même si certains ballons glissent encore parfois, ses interventions contre Porto sont un exemple de ce qu’est capable d’offrir Onana de par sa grande réactivité entre les poteaux. Mais ce sont ses pieds qui sont sa plus grande fierté : Il les utilise comme un vrai Regista, il le fait avec courage et au prix d'erreurs, car c'est ainsi qu'il a tout appris dans son enfance." "Contre Porto, André avait mal géré ses premiers ballons en défense, et certains, au Giuseppe Meazza, avaient déjà commencé à maudire sa nonchalance exagérée, mais le Camerounais n'a pas changé d'un iota son attitude fanfaronne: Enfant, il a profité de ses nombreuses années à la Masia pour y étudier Victor Valdes, le gardien du Triplé de Pep Guardiola, et il rêvait de lui ressembler : Et une fois, en 2011, à force de ne jamais balancer le ballon, le Catalan avait offert un but historique à Benzema dans un Clasico, mais Onana a été plus impressionné par sa réaction que par l'erreur car Valdes a continué à prendre des risques comme si de rien n'était et ils avaient fini par l'emporter 3-1 au Bernabeu. C'est à partir de ce match qu'André a construit sa devise : "Ne jamais se changer soi-même"." Un Pazzo chez la Pazza, c’était écrit ! ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  13. En effet, 12 ans après avoir été terrassé par l’Inter, le Fc Barcelone joue de nouveau gros face aux Nerazzurri. Car en 2010 et sous la houlette de José Mourinho, l’Inter prenait le meilleur sur un très jeune, mais déjà multititré, Josep Guardiola! Une histoire différente pour la Gazzetta Dello Sport "C’était une demi-finale de Ligue des Champions, ici la phase de groupe et il y a trop de différences au niveau des entraineurs : En 2010, Guardiola alors âgé de 39ans avait déjà en poche une Ligue des Champions, une Coupe du Monde des Club, une Super Coupe d’Europe, 2 Liga et un peu de monnaie. Mou, âgé de 47 ans avait une Ligue des Champions, une Coupe de l’Uefa, 6 titres nationaux et de la monnaie, c’était un Duel de géant. A présent, le duel proposé par Xavi et Inzaghi fait office de poids plume : L’espagnol âgé de 42 ans peut se targuer d’avoir un titre de champion du Qatar et l’italien cinq Coupe d’Italie, dont il a d’ailleurs dernièrement parlé." Se remémorer le passé "Il y a une affinité qui lie la rencontre de ce soir, et celle d’il y a 12 ans car deux résultats sur trois sont bons pour l’Inter et l’ambiance qui sera proposée aujourd’hui sera tout aussi volcanique, après les polémiques de la rencontre du Giuseppe Meazza." "L’Inter d'Inzaghi devra imiter celle de Mourinho car, à son échelle, il devra dans son propre style essayer le tout pour le tout, fort d’une excellente manche aller: Il présentera une équipe de l’Inter surmotivée et bien plus organisée dans les moments critiques. Il devra, ce soir, à nouveau donner du courage et apporter de la sérénité à ses joueurs dans un sulfureux Nou Camp, et plus que tout, il devra imiter le Mou dans une gestion lucide et glaciale de la rencontre." Un plan de jeu clair comme de l’eau de roche "Il faudra priver Barcelone d’oxygène en étouffant Pedri et Gavi comme ce fut le cas à Milan, mais sans renoncer à l’idée de marquer un but, car survivre au Nou Camp est bien différent de survivre au Giuseppe Meazza. Est-ce que nous verrons Dzeko derrière le ballon dès le début du match, avec un Roberto Gagliardini aligné, ou retrouveras-t ’on Miki derrière Lautaro ? Ce choix donnera déjà une information sur le déroulement de la rencontre." Xavi en plein doute : "Défendre à 3 ou à 4 ? Que faire d’Ansu Fatu ? En 2010, Piqué avait marqué, et il a besoin que quelqu’un fasse de même que lui avec Lewandoski pour retrouver le sourire et non pour être sorti comme Guardiola dans une faillite de la tant attendue Remuntada…. Il pourrait faire mieux que lui sur ce point." "Sa glorieuse carrière lui apporte énormément de crédit, mais il sait que les deux prochaines étapes qui se présentent à lui , soit l’Inter et le Real Madrid influenceront quoiqu’il arrive l’humeur des catalan car quoiqu’il arrive, pour Inzaghi et Xavi, il s’agit du match à ne pas perdre et un seul sortira du Nou Camp un peu plus "Special" Selon vous, le fait que Barcelone doive jouer le Real en Liga peut-il l’impacter psychologiquement face à l'Inter ? ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  14. L’ancienne légende du FC Barcelone, Andres Iniesta, s’est livré à 48h de la "Finale" tant attendu entre un FC Barcelone rageux et une Inter qui peut se permettre de luxe de rentrer à la maison avec un partage de points, à la Gazzetta Dello Sport… Le tout avec l’Ombre de la Maison Blanche… Match aller "C’est un résultat très très négatif pour Barcelone vu les conséquences qu’il impose pour le match retour : les rencontres face à l’Inter sont toujours passionnantes et difficiles : tout, ou quasi tout, peut y arriver." Xavi s’est plaint de l’arbitrage "Il y a des moments où tu dois exprimer ta déception, les phases de jeu dont on parle sont claires et vu l’importance de la rencontre, si tu es victime de décisions qui te sont négatives, tu accuses le coup." Ce règlement, qui modifie la règle des fautes de main est-il plus complexe pour les joueurs ? "Dans le football, il y a des situations qui sont très claires, aussi parce que la technologie ne permet pas de faire la place aux obsessions : je pense au but/non-but et aux hors-jeu et dans d’autres phases où malgré la Var, il reste toujours la place à l’interprétation. Et l’interprétation génèrera toujours toute sortes de doutes : l’un va voir les choses à sa façon, l’autre aura une autre vision." Passons à Inter-Barça "C’est vital pour Barcelone de gagner pour rester en vie dans le tournoi, c’est une rencontre cruciale : l'Inter est une grande équipe et ce sera compliqué pour Barcelone. Je m’attends à voir Barcelone prendre l’initiative et l’Inter rester en attente et prête à saisir ses propres options, en sachant que, théoriquement, même un match nul peut lui convenir. La Ligue des Champions est une compétition qui se joue sur les détails, si tu te plantes, tu payes le prix, mais Barcelone a une grande opportunité pour parvenir à faire un beau pas en avant et j’espère qu’il y parviendra." La défaite à Milan semble avoir été très dure, surtout psychologiquement… "de l’extérieur, il me semble qu’il y a une certaine instabilité émotive : les victoires te donnent beaucoup de moral, mais il te suffit d’une seule défaite pour plonger dans le doute, pour faire chuter d’une façon évidente l’humeur de façon générale. Je pense que Barcelone propose une excellente ligne de jeu et a un noyau très complet, le travail réalisé en ce début de saison est excellent, la confiance et les espérances doivent rester élevées, tu ne peux pas te permettre d’être conditionné aussi facilement." De Xavi-Busquets-Iniesta à Gavi-Busquets-Pedri "La carrière de Sergio est l’une des meilleures de l’histoire du football. Gavi et Pedri ont, à leur côté, une personne avec qui ils peuvent énormément apprendre, une personne qui peut les aider à grandir sur et hors du terrain : ce sont deux garçons très très jeunes qui disposent d'un excellent présent et qui auront un avenir spectaculaire." Le fait d’être comparés à vous et à Xavi peut-il peser dans la balance ? "Je ne crois pas : Gavi et Pedri joue assez naturellement, facilement, je ne pense pas qu’ils ressentent la pression. C’est plutôt le monde extérieur qui doit les laisser tranquille. Il est clair ensuite qu’ils devront convaincre comme nous l’avons connu Xavi et moi : j’étais 4 ans plus jeune que Xavi et j’étais déjà comparé à lui, et lui était comparé avec Guardiola. C’est normal, c’est une sorte de chaine mais Gavi et Pedri ont le football en eux, ils ne sont pas là à se plaindre sur le terrain, ils ne fuient pas leurs responsabilités : on voit qu’ils s’amusent et c’est quelque chose qui est innée chez eux : soit tu l’as, soit tu ne l’as pas." Revenons un peu à 2010 et à cette demi-finale de la Ligue des Champions... "Ce sont des souvenirs vraiment négatifs, aussi bien pour l’élimination que pour le fait que j’étais blessé et que je ne savais pas si j’irais au Mondial. Cette rencontre fut une double désillusion, je me souviens de l’ambiance du match retour qui était incroyable, le but annulé à Bojan, la tension… Comme je l’ai dit avant : tout peut arriver face à l’Inter, les rencontres sont composées de tellement de choses car c’est une équipe qui a toujours eu de grands champions." ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  15. C'est une révélation de Calcio&Finanza: La mort prématurée de Mino Raiola laisse un certain nombre de questions ouvertes concernant l'avenir de la gestion de son entreprise. Rafaela Pimenta, la seule personne avec laquelle le célèbre agent voulait partager les parts de "One," sa société basée à Monaco qui gère des footballeurs du monde entier: Celle-ci va tenter de poursuivre son travail. Qui est Rafaela Pimenta ? Selon la Gazzetta Dello Sport: "Les deux personnalités se sont rencontrées au Brésil au début des années 2000 : Elle était diplômée en droit et, très jeune et elle avait été engagée dans l'équipe antitrust mise en place par le Président Fernando Henrique Cardoso." "Rafaela Pimenta est une brillante avocate passionnée de football : elle a notamment aidé Rivaldo et Cesar Sampaio à fonder Guaratinguetà, un petit club de football dans l'État de São Paulo, où elle est également née. Elle a rencontré Mino lors d'un événement où le projet a été lancé, et il y a dix-huit ans, pour rejoindre ensuite "One". En attendant de voir ce que feront les deux fils de 20 ans de Raiola, Mario et Gabriele, la société est désormais entre ses mains." "En dehors des deux associés, seules 4-5 personnes travaillent dans le bureau monégasque de One dont Vincenzo Raiola, le cousin de Mino, qui traite principalement avec les joueurs italiens. Les autres personnes, qui sont extrêmement dignes de confiance, s'occupent principalement de la presse et d'assister les joueurs. Il s'agit d'une structure légère, car c'est ainsi que Mino et Rafaela avaient décidé de travailler, tout choisissant ensuite de s'appuyer sur un vaste réseau de collaborateurs dans chaque pays." "Rafaela Pimenta parle six langues et est un visage familier pour les joueurs de One, ayant joué un rôle clé dans la négociation et la gestion de Paul Pogba. C'est Pimenta qui a eu l'idée de lancer le projet Football Forum, le mouvement international d'agents créé en 2019, présidé par Mino et avec Rafaela comme Vice-Présidente. C'est elle qui, avec Raiola à l'hôpital, a été chargée des négociations en cours, dont celle qui devrait amener Erling Haaland dans la cour de Pep Guardiola à City." Si Mino s'en est allé, son Agence semble destinée à perdurer... ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  16. Si la Wwe peut compter sur son champion Triple H en coulisse, l’Inter de Simone Inzaghi peut compter sur son Triple B sur le terrain Révélation de la Gazzetta Dello Sport L’Inter est prête à retrouver le terrain, les Nerazzurri vont affronter Empoli dans le cadre des huitièmes de finale de la Coupe d’Italie. Pour l’occasion, Simone Inzaghi procédera à un important turnover: "De cette Inter, tout est plaisant, Si cela ne tenait qu’à lui, il ne changerait rien, annulerait le mercato et en passerait outre, quitte à renoncer à l’unique demande de ce mois de janvier : un Vice-Perisic. Malgré les si nombreux engagements, le calendrier ne préoccupe par l’entraîneur qui peut compter sur les trois joueurs de références du club, trois joueurs constant, le Triple B : Brozovic, Barella et Bastoni." "La moitié de l’Europe poursuit les trois joyaux d’Inzaghi. Il s’en félicite et accompagne cette croissance exponentielle : Bastoni est l’exemple le plus mis en lumière : Il n’a jamais été aussi bon que sous Inzaghi, il est devenu un joueur total comme ceux que l’on retrouve avec Guardiola pour être clair, ce n’est d’ailleurs pas un hasard si Manchester City a tenté le défenseur, il y a un peu moins d’un an, avant qu’il prolonge son contrat." "La barre est haute: 4 millions d'euros bonus compris avec la promesse de renégocier plus tard. Après tout, Barella a attendu deux ans avant de voir sa promesse honorée. Plusieurs équipes suivaient d’ailleurs le milieu de terrain sarde, celle qui avait fait des pas décisifs était le Bayern. Mais Barella a choisi l'Inter et l'Inter l'a choisi, lui, le Capitaine de demain, la Référence d'aujourd'hui.." "La prolongation du contrat de Brozovic semble être la prochaine étape pour les Nerazzurri, le club devrait annoncer le renouvellement du Croate jusqu'à la fin du mois de juin 2026 dans les prochains jours." "Ces trois joueurs sont destinés à être les piliers de l'équipe Nerazzurra de Simone Inzaghi pour les années à venir, et le club s'assure qu'ils seront dans l'équipe à construire à l'avenir." Validez-vous cette analyse ? ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  17. En effet, l’Inter de Simone Inzaghi est l’équipe qui est celle qui se crée le plus d’occasions sérieuses (11,4 occassions/match) parmi les 5 plus grandes ligues européennes. A contrario, l’étude démontre également qu’elle concède également de très nombreuses occasions à ses adversaires, avec l'As Roma! L’équipe, qui finalement, performe le plus dans ce ration particulier est celle de Josep Guardiola : Manchester City avec un ratio de 3,28. Les Citizens se créent en moyenne 8,4 occasions par match, en n’en concédant que 2,6 occasions à l’adversaire. Ce n’est donc pas une surprise de retrouver l’Inter à la sixième place avec un ration de 2,16, un ratio tout de même supérieur à celui de la Juventus (20ème avec un ration de 1,53). ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  18. Ce sont deux informations en provenance de Sport Mediaset : Benjamin Mendy qui évolue à Manchester City et Giacomo Raspadori qui évolue à Sassuolo seraient sérieusement dans le viseur de l’Inter Pour Benji "Arsenal continue à demander un transfert définitif à hauteur de 20 millions d’euros pour Hector Bellerin, mais l’Inter, via des intermédiaires souhaite conclure l’affaire par le biais d’un prêt avec une option d’achat. Le nom de Benjamin Mendy, de Manchester City, est cité : Il s’est retrouvé sur la touche avec Guardiola et pourrait représenter une opportunité." Pour Giacomo "L’idée de l’Inter, initialement, était de bloquer le joueur pour l’année prochaine via un Gentlemen Agreement entre Giuseppe Marotta et Giovanni Carnevali. Mais les deux discutent déjà pour conclure la transaction dès cet été. La valeur de Raspadori est de 20 millions d’euros et l’Inter est prête à insérer des contreparties techniques qui séduisent Sassuolo : Andrea Pinamonti ou Oristanio, Pirola et Satriano de la Primavera." "Ce n’est pas une négociation qui est appelé à se conclure rapidement, car l’Inter a la nécessité d’intervenir ailleurs, aussi bien en entrée qu’en sortie, pour remplacer Hakimi. Ce qui est évident, c’est que cette négociation nous accompagnera au cours de cet été." Valideriez-vous ces deux arrivées ? ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  19. En effet, malgré le naufrage de la Super League, Il Sole 24Ore nous confirme que Suning, assisté par la Goldman Sachs Usa, serait en processus avancé pour obtenir un financement à hauteur de 250 millions d’euros. Pour parvenir à ce résultat, Suning négocie avec trois fonds d’investissement américain : Fortress, King Street Capital Management, et Bain Capital Credit. Si la démarche entreprise par le Suning s’avère complexe, étant donné qu’il aura aussi la lourde tâche de signer un nouveau Main-Sponsor qui devra remplacer Pirelli, il ne faut absolument pas oublier la Direction actuellement mise en place à Milan. Comme le révèle Tuttosport, en juin 2022, nous ferons face à la fin des contrats actuel de : Giuseppe Marotta Antonio Conte Dario Baccin Piero Ausilio Et un effort du Suning devra être consenti pour confirmer ce bloc dirigeant, comme ce fut le cas, l’été dernier à la Via Bellini. Suning devra se montrer décidé, car il devra également gérer les prolongations de contrat des joueurs interistes : Lautaro Martinez Alessandro Bastoni Marcelo Brozovic Danilo D’Ambrosio Mais surtout Nicolò Barella qui doit être blindé Antonio Conte souhaite continuer son aventure à l’Inter, mais il veut avoir la garanti que des investissements seront consentipour performer en Europe: Pour passer la phase de groupe et créer un groupe capable de soulever le précieux trophée. S’il est spécialiste des trophées nationaux, son objectif est de soulever un titre continental, à l’instar de Josè Mourinho ou Josep Guardiola qui dispose d’une armoire à trophée européenne bien garnie Pensez-vous que Suning sera se montrer convaincant ? Ou l’Inter risque-t ’elle de tout perdre en l’espace d’un été ? ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  20. C’est l’analyse de Carlo Nesti, journaliste à TuttoMercatoWeb qui a décrit le jeu proposé par l’ancien sélectionneur de la Nazionale. "Plus le futur sociétal est nébuleux et plus l’Inter s’envole au classement : 28 points sur les 30 derniers disponibles. Il y aurait eu un problème si le club manquait d’oxygène et sans présence d’acquéreurs. Ici, bien au contraire, il y a trois prétendants qui sont riches, le scénario est bien plus rassurant." "Entre temps, la façon de jouer des Nerazzurri et la façon dont elle remporte ses matchs fait débat : Il semble que Conte ait trouvé sa juste place entre le Guardiolisme et le Cholisme, soit un Tika Taka et un jeu vertical, je crois que l’Inter est un mix entre quelque chose de temporaire et quelque chose de définitif: Temporaire car l’attitude est pragmatique et directe vu la façon dont l’équipe a remporté ces derniers matchs." "Je pense que les hommes de Conte peuvent ambitionner à des sommets plus élevés en termes de spectacle. D’autre part, le mélange proposé entre Lukaku et Lautaro est définitif, ce sont deux carburateurs (33 buts à eux 2): Personne d’autre ne peut s'en vanter en Italie." Validez-vous cette analyse ? ®Antony Gilles - Internazionale.fr
  21. Sergio Aguero arrive en fin de contrat et son nom est de plus en plus cité au Fc Barcelone. Afin de le remplacer, Pep Guardiola, l’entraîneur de Manchester City aurait coché le nom de l’attaquant de l’Inter Révélation du The Atletic "Guardiola est un grand admirateur de l’attaquant de l’Inter, arrivé chez les Nerazzurri à l’été 2019 et auteur, jusqu’à présent de 53 buts en 77 matchs à Milan." "Et il pense justement à l’ancien de United pour prendre le poste d’Aguero à l’Etihad Stadium. Mais il ne sera absolument pas facile de le faire partir de l’Inter, qui a bien rapidement vu en Big Rom, le pilier du projet d’Antonio Conte qui l’a fortement voulu en convaincant le Suning de débourser plus de 65 millions d’euros pour l’apporter à Milan." "L’alternative a Lukaku se nomme Danny Ings, attaquant de Southampton." Seriez-vous prêt à céder Romelu Lukaku en Premier League ? ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  22. Après Achraf Hakimi, Aleksandar Kolarov s’est présenté aux Tifosi. L’international serbe s’est livré à Inter TV: "J’ai, à de nombreuses reprises, était proche de l’Inter, après 10 saisons, je suis enfin parvenu à faire ce que je voulais. C’était un choix facile après l’appel de l’Inter: On n’y réfléchit pas deux fois. Je connaissais déjà beaucoup un paquet de joueurs, j’ai de bonnes impressions, j’ai hâte de voir les autres Conte ? "Il a tant influencé mon choix. Lorsqu’il était arrivé en Angleterre, il s’y est montré immédiatement victorieux. L’année passée, il a changé le visage de l’Inter : Je nous souhaite de faire de belles choses et de gagner." Mon rôle ? "Je me sens bien comme troisième défenseur central gauche, je l’ai fait ces trois derniers mois à la Roma et aussi sous Guardiola. L’Inter a toujours la possession du ballon et je me sens bien à ce poste." Vous êtes un spécialiste des coups de pied arrêtés..... "J’ai un tir puissant et il faut aussi énormément d’entrainement. Quand je trouve une bonne journée, je m’y entraîne toujours." Votre idole est Mihajlovic? "Je l’ai toujours dit depuis que je suis enfant, le destin veut que je puisse, peut-être, terminer ma carrière à l’Inter." Le Derby..... "J’en ai déjà joué tellement, ce sont des parties tellement importantes. Je ne sais pas comme est l’ambiance ici, j’ai toujours marqué dans les Derbys. J’espère le faire aussi à Milan." Un message aux tifosi ? "J’ai toujours vu les tifosi très présents lorsqu’ils le pouvaient : Nous avons aussi besoin d’eux à l’extérieur pour réaliser des choses importantes." ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  23. Le Fc Barcelone a de quoi faire la gueule : Le Real Madrid est devenu Champion d’Espagne et Manchester City, acquitté par le Tribunal Arbitral du Sport, est sur le point de faire sauter la banque lors du prochain mercato à venir. Lautaro dans le viseur Comme le confirme Tuttosport, Lautaro Martinez est courtisé par les plus grands clubs d’Europe. Si durant toute une période le Fc Barcelone était seul sur le coup, il devra faire face au Manchester City de son ex mentor : Pep Guardiola! "Lautaro Martinez reste l’objet du désir de nombreux grands clubs européen. Aux catalans, on peut y ajouter le Real Madrid, mais surtout Manchester City. Il est vrai que plus le temps passe, plus l’Inter aimerait conserver le Toro, le tout aussi à la demande de Conte, mais qui sait si les millions proposés par City pourrait redistribuer les cartes sur la table." Barcelone cale "Barcelone, jusqu’à présent n’a jamais eu la force économique de payer la clause libératoire de 111 millions d’euros, ni même de se rapprocher de la demande de l’Inter : 90 millions d’euros minimum + une contrepartie importante." "En Espagne, on reste convaincu qu’une fois quelques joueurs cédés, il sera possible de recruter le joueur, même si la Liga pense à conclure sa fenêtre du mercato entre le 31 août et le 7 septembre." Pep est dans la place Le Tas, ayant acquitté City, a permis à celui-ci d’avoir les mains libres pour investir et miser sur des grands noms afin de renforcer l’équipe de Pep Guardiola: "Un entraîneur qui estime depuis longtemps énormément le Toro, lui qui le considère depuis des années comme le vrai hériter d’Aguero." "City n’aurait aucun problème à proposer une offre supérieure aux 100 millions d’euros, mais il pourrait aussi insérer des éléments intéressants tel que le latéral gauche Angelino, auteur d’une belle saison à Leipzig, ou Gabriel Jesus, un attaquant qui a toujours été repris sur le carnet de route de Piero Ausilio, le Directeur Sportif. Un joueur qui verrait son temps de jeu inévitablement réduit avec Aguero et Lautaro dans le noyau." A choisir, en cas de départ acté du Toro Argentin, êtes-vous plus pour Barcelone ou pour Manchester City ? ®Antony Gilles - Internazionale.fr
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