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Matias Vecino : "Porter le Maillot Nerazzurro est signe de fierté"
Victor "Antony" Newman a posté un article dans Serie A
Interviewé par MatchDay Programme, Matias Vecino, le milieu de terrain de l’Inter, est revenu sur son aventure à l’Inter, une aventure qui est sur le point de se terminer… "Je suis à l’Inter depuis cinq ans et j’ai joué tant de parties importantes. Une de celles que je n’oublierai jamais c’est sans aucun doute la rencontre face à la la Lazio à l’Olimpico, elle nous avait permis de retrouver la Ligue des Champions : C’était une Remontada, qui s’est terminé avec mon but de la tête qui est à l’origine des célébrations qui ont suivi." "Porter le Maillot Nerazzurro est un signe de fierté et de grande responsabilité. Dans l’Histoire du club, il y a des champions qui sont des exemples pour moi, d’Alvaro Recoba à Juan Sebastian Veron. Ce dernier a toujours été mon idole, j’ai toujours aimé sa façon de jouer, ses qualités, sa personnalité." Quelles sont les caractéristiques qui définissent votre façon de jouer ? "Je dirais: Le sens du sacrifice, le travail, mes courses pour m’insérer entre les lignes. Le Scudetto de la saison dernière et la Super Coupe sont le couronnement d’un parcours de croissance qui a débuté en 2017 et qui s’est amélioré année après année, c’est la consécration d’un rêve." "Nous sommes un groupe déterminé, nous travaillons toujours pour être compétitif, c’est important de conserver de la lucidité, aussi bien lors de nos meilleurs moments, que dans les plus compliqués : Nous devons toujours continuer à proposer notre jeu." ®Antony Gilles – Internazionale.fr- 10 commentaires
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Joaquin Correa s’est livré au cours de l’émission "Careers" diffusée par Dazn. Tucu est donc revenu sur les étapes importantes de sa carrière Enfant, étais-tu le plus doué pour jouer au football ? "Je ne sais pas, nous étions tellement, je figurais sans aucun doute parmi ceux qui l’aimait. J’ai toujours joué comme Trequartista, c’est là que j’ai commencé, ensuite je suis allé un peu partout, mais c’est toujours resté mon poste." Tucu "C’est comme ça que l’on me surnomme depuis tout petit, tout est parti de là, de mon passage à Buenos Aires, j’ai été surnommé de la sorte." Juan Sebastian Veron "Ma seconde rencontre était si belle car c’était le dernier jour de Juan à l'Estudiantes. C’était une belle fête et tout le monde l’attendait à la sortie du terrain. C’était plus qu’un grand joueur, il m’a tellement aidé et pas uniquement pour le football. Il a tant enseigné aux garçons, il a été très important pour moi. Lorsque je suis venu à l’Inter, il m’a félicité en disant que j’avais bien choisi, que c’était la bonne équipe pour moi. Je le remercie encore pour tout ce qu’il a fait." La Sampdoria "C’était si beau, j’y ai tant appris. J’ai aussi connu quelques blessures et changé physiquement suite aux entrainements, mais cela m’a apporté tellement de belles choses. J’ai eu comme équipier Eto’o, et tant d’autres joueurs qui m’ont aidé sur et hors du terrain. Je ne savais pas si j’étais prêt mais je voulais venir en Europe à tout prix, et piano piano, j’ai commencé à m’améliorer, c’était une étape importante." Samuel Eto’o "Un joueur de folie qui était arrivée en fin de carrière mais qui m’a tant conseillé, c’était un très grand joueur." Le but raté face à l’Inter "J’étais déjà interiste (il sourit). C’était une mauvaise journée, j’étais seul à Rome et j’étais très mal. Ce sont les choses qui te font grandir, qui peuvent arriver à tout le monde : J’ai continué à travailler." Séville "Faire face au Real Madrid était si beau, nous pratiquions un très beau football et nous avions disputé la Liga jusqu’au bout du bout, c’était si beau. Nous étions tant d’argentins et j’ai beaucoup appris. Je jouais plus sur les ailes, mais je m’y sentais bien, c’était un autre football, plus tactique, plus complexe en tout: J’ai beaucoup appris et j’ai compris énormément comment fonctionnait le football européen." Instinct et préparation "Il y a tellement de préparation, mais je dois mettre en pratique tout ce qui m’a été appris depuis mon enfance, le joueur se fait et commence à jouer par cette voie, c’est cela qui dicte qui tu es." Simone Inzaghi "Lorsque nous avons remporté la Super Coupe en Arabie avec la Lazio, ce fut un merveilleux moment, nous avions déjà remporté la Coupe d’Italie et nous nous battions pour le Scudetto, ensuite nous avons été bloqué par le Lockdown, mais ce sont de merveilleux souvenirs. Tu te donnes tellement pour jouer des finales et battre la Juve avec une telle personnalité était si beau." "Inzaghi me laisse exprimer mon football, il se soucie beaucoup de la défense et il veut que nous, les attaquants, soyons tout le temps sur le ballon : il me demande toujours de viser, j'aime ça car il me laisse être moi-même." La vie à Rome "C’était beau, j’y étais très bien traité, j’y ai vécu trois très belles années que je conserverais toujours dans mon cœur, on m’a toujours fait m’y ressentir comme si j’étais à la maison." La Copa America "C’était grandissime, cela faisant tellement longtemps que l’Argentine ne gagnait plus et l’emporter au Brésil était merveilleux. Nous étions un groupe fort qui se battait pour remporter quelque chose que le pays voulait à tout prix, c’est pour nous, l’une de nos plus grande joie, c’était si important pour nous." Lautaro Martinez "C’est si beau de jouera avec lui, nous avons un excellent rapport, c'est important de s'entendre. Cela nous aide beaucoup de jouer ensemble à l'Inter et en équipe nationale, nous voulons tous les deux gagner." Qui prépare le maté ? "C'est moi qui l'amène toujours : il peut râler, mais c’est la vérité." Le test avec l'Inter "J'étais un enfant qui rêvait de venir à l'Inter mais cela ne s'est pas fait : Puis avec le travail j'ai su me retrouver ici et à présent, je suis un homme expérimenté. La photo avec Zanetti me permet de garder les pieds sur terre parce que j’en rêvais, et maintenant que je suis ici, je l'apprécie davantage." ®Antony Gilles – Internazionale.fr
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Juan Sebastián Verón: "L'Inter est plus forte avec Joaquin Correa"
Trent_FCI a posté un article dans Interviews
L'ancien milieu de l'Inter Juan Sebastián Verón croit que la signature de Joaquin Correa représente un apport majeur pour l'Inter cette saison. Dans une interview donnée au journal Milanais de la Gazzetta dello Sport, l'Argentin donne une évaluation détaillée du développement du nouvel attaquant de l'Inter ainsi que des qualités qu'il apporte à l'équipe. L'ancien international Argentin de 46 ans est un grand admirateur de Correa et il pense que son compatriote est au stade parfait de sa carrière pour rejoindre la cause Interiste et faire une très bonne impression. "Disons simplement que je le voulais et que je l'aime toujours énormément. Je l'ai aidé à ses débuts et je lui ai donné quelques conseils. Mais le reste il l'a accompli tout seul, je n'y suis pour rien." "C'est un second attaquant classique. Il peut aussi évoluer en tant qu'ailier ou milieu offensif mais son rôle naturel est celui de second attaquant." "Il se déplace en fonction de l'attaquant central, il bouge autour de lui et lui apporte son soutien. Il peut aussi le guider grâce à ses passes de qualité, Tucu est un excellent passeur." "Il a réussi un très bon parcours jusqu'ici. Quand il est arrivé en Italie j'ai discuté avec le staff de la Sampdoria, sa première équipe, à son sujet. Ensuite, après une courte expérience en Espagne [avec Seville], il est arrivé à la Lazio et j'étais très heureux car c'est l'une de mes équipes de coeur. Et maintenant il est à l'Inter, une autre de mes équipes. Je lui souhaite de s'amuser comme j'ai pu le faire. L'Italie est la maison mère du football, je l'ai toujours dit." "Si vous devenez un grand joueur en Serie A, vous pouvez réussir partout: dans La Liga, en Premier League, en Bundesliga... L'Italie c'est l'université du football." "Il connaît bien le championnat Italien, il sait que les défenses sont formidables, que les équipes sont tactiquement organisées. Avoir cette connaissance lui permet de s'améliorer chaque jour, entraînement après entraînement. El Tucu est quelqu'un qui veut toujours apprendre." Sur ses meilleures qualités: " Il a la capacité de se rendre disponible pour l'équipe de par ses mouvements. Il ne joue pas seul, mais avec et pour les autres." "Ce n'est pas un soliste, un accros du dribble. Tout ce qu'il fait va dans la direction de développer le mouvement du collectif, tous ensemble." Son plus gros défaut: "Je le connais, mais je ne le dirais pas sinon je rendrais service aux défenseurs adverses" plaisante Verón, "Cependant, il a quelques défauts. Je le répète: El Tucu a le football en lui et quand c'est le cas, vous échouez rarement." "Je ne sais pas combien l'Inter a dépensé mais je sais que Correa est un très bon attaquant qui va pouvoir aider l'Inter à défendre son Scudetto et aller loin en Champions League. Et puis c'est un bon garçon, quelqu'un qui n'élève jamais la voix et reste calme. C'est quelque chose qui ne devrait jamais être ignoré." "L'Inter est impliquée dans 3 compétitions, il y a beaucoup de matchs et Simone Inzaghi, qui le connaît bien, sait comment l'utiliser." "Dans le football moderne, personne ne peut jouer un maximum de soixante ou soixante-dix matchs dans une saison. La rotation est nécessaire, spécialement parmi les attaquants qui tentent beaucoup de frappes et courent en permanence. Je pense que Correa correspond parfaitement aux Nerazzurri." "Etant donné qu'à moins d'avoir Maradona aucune équipe ne peut se reposer sur un seul joueur, je pense que l'Inter à opéré intelligemment durant la fenêtre de mercato." "Dzeko est un attaquant de pointe qui travaille seul. Il se déplace, trouve les courses de ses coéquipiers. Correa est quelqu'un qui adore jouer entre les lignes, communiquer avec ses partenaires, trianguler, intervertir..." "Certainement, Lukaku est un phénomène, on ne peut pas le nier. Mais je ne vois pas l'équipe devenir moins bonne. Une équipe n'est pas faite que d'attaquants, il y a aussi les milieux et les défenseurs, et les joueurs dont l'Inter dispose me paraissent très bons à commencer par Barella. Donc je n'ai aucun doute, avec Correa nous allons voir une Inter encore meilleure." En plus des Nerazzurri, Verón a évolué pour la Sampdoria, Parme, la Lazio et Manchester United durant sa carrière européenne. ©Internazionale.fr via Gazzetta dello Sport - Taduction Trent_FCI- 9 commentaires
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Adriano a fêté ce mercredi 17 février ses 39 ans. Pour l'occasion, le club lui a adressé un message qui mentionne en particulier ses buts inscrits lors du Derby en 2005 et 2009. "C'est comme si la scène se déroulait en ce moment: Nous regardions Juan Sebastian Veron s'apprêtant a frapper le corner, tous colère du but égalisateur marqué par Stam (2-2, 85'). Malgré cela, nous restions confiants. Le ballon est parti, fit une belle courbe avant de plonger en plein cœur de la surface de réparation." "A cet endroit précis les deux parties firent face: Burdisso s'élanca, Vieri coté adverse tenta de l'en empêcher. Mais à la surprise générale un seul y parviendra : notre numéro 10, Adriano. De part un saut vertigineux il partit à la conquête du ballon le frappant de sa tête et l'envoyant au fond des filets. Victoire. L'improbable s'était produit un soir de Décembre 2005, un soir d'Inter 3-2 Milan" "Aujourd’hui, le 17 février 2021, Adriano Leite Ribeiro fête ses 39 ans. Nous lui adressons nos meilleurs vœux ainsi que toute notre affection. C'est un évènement un peu spécial car il arrive à quelques jours du derby. Un défi face à l'AC Milan lequel Adriano en avait fait sa marque de fabrique : trois buts pour deux apparitions, statistique à ne pas oublier." "Autre derby marquant, celui du 15 Février 2009. Nouvelle personne sur le banc en la personne de Josè Mourinho, Adriano quant a lui est de retour cette saison-là après un prêt à Sao Paulo. L'entraineur choisit de l'associer d'entrée aux cotes d'Ibrahimovic. Le brésilien n'a au besoin qu'une demi-heure pour s'illustrer: sur un centre de Maicon coté droit il reprit le ballon de la tête, ce dernier touchant légèrement son bras avant de filer au but. S'en suit une célébration ou Adriano se dirige vers les bras de son entraineur, lui qui l'avait défini comme l'un de ses joueurs préférés." "Ce but aura une saveur symbolique étant le dernier marqué par le brésilien sous nos couleurs, le 74ème pour 177 matchs disputés. L'Inter prendra l'avantage dans ce match grâce au but de Dejan Stankovic" ®KarimGipuzcoa - Internazionale.fr
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Juan Sebastian Veron : "Jouer en Serie A et pour l'Inter a changé ma vie"
alex_j a posté un article dans Interviews
Dans un chat-live Instagram avec son ancien club de la Sampdoria, notre ancien milieu de terrain, Juan Sebastian Veron, est revenu sur les années de sa carrière qu'il a passé à jouer en Italie. L'aventure italienne de Veron a commencé en 1996 lorsque la Sampdoria l'a recruté du côté de Boca Juniors. Il a passé deux ans avec la Samp avant de passer une saison à Parme, puis deux saisons avec la Lazio et un transfert à Manchester United. Il est retourné en Italie à l'Inter courant été 2004 dans le cadre d'un prêt de deux ans avec Chelsea. Pendant de son séjour chez nous, l'ancien international argentin a disputé 74 matchs toutes compétitions confondues, au cours desquels il a marqué quatre buts et effectué 11 passes décisives pour ses coéquipiers. "Mon arrivée en Italie a été pour moi une véritable loterie. Pour dire la vérité, je ne savais pas vraiment ce que je faisais. Il faut tenir compte du fait qu’à l’époque, il n’existait pas les mêmes moyens de communication qu’aujourd’hui, c’était donc comme un saut dans une réalité inconnue. S'habituer à la Serie A a été difficile, il m'a fallu quelques mois, mais en même temps c'était quelque chose d'excitant." Veron, qui est l'actuel président de l'Estudiantes, a conclu en se remémorant son époque et a admis que jouer en Italie a changé sa vie. "Le football est fait de grands moments et j'en ai vécu beaucoup en Italie où j'ai pu jouer pour de nombreuses grandes équipes comme la Sampdoria, Parme en passant par la Lazio puis l'Inter, où j'ai beaucoup gagné. J'ai joué pour de grands clubs de Serie A et j'en suis fier. Cela a changé ma vie et fait de moi qui je suis." -
L'ultime onze sud-américain de l'Inter du 21e siècle
alex_j a posté un article dans F.C. Internazionale Milano
Depuis que le légendaire manager argentin Helenio Herrera a conduit l'Internazionale à leurs deux premières Coupes d'Europe dans les années 1960, notre club milanais a eu un lien presque inextricable avec le continent sud-américain. L'Inter a dû attendre 35 longues années pour ajouter une autre Coupe d'Europe dans son armoire à trophées et lorsqu'elle a été remportée en 2010, il y avait une forte influence sud-américaine ; six joueurs du onze de départ de Jose Mourinho venaient de là, pendant que l'attaquant argentin Diego Milito marqua les deux buts pour une victoire 2-0 contre le Bayern Munich. Avançons rapidement jusqu'à aujourd'hui. Il reste un fort contingent sud-américain dans l'équipe avec deux Uruguayens, un Argentin et un Chilien, tous en lice pour une place sur le terrain. La liste des stars sud-américaines pour représenter l'Inter dans le passé est longue, en particulier depuis le début du siècle, alors que le Meazza a accueilli certains des meilleurs joueurs de l'histoire. Alors sans plus tarder, voici l'ultime XI combiné sud-américain de l'Inter depuis 2000 Gardien : Julio Cesar Nationalité: brésilienne Apps internationales: 87 Honneurs: Serie A (x5), Coppa Italia (x3), Ligue des Champions Apps Inter: 300 Le transfert de Julio Cesar de Flamengo à l'Inter en 2005 était loin d'être simple. Notre club comptant déjà le nombre max de joueurs non européens, César a dû être prêté au Chievo pour une demi-saison avant de finalement nous rejoindre six mois plus tard, après aucun match joué à Vérone. Malgré ce délai, Cesar a certainement rattrapé le temps perdu en s'établissant rapidement comme le gardien titulaire, position qu'il a conservée tout au long de son séjour de sept ans à Milan. Il a joué pour la dernière fois pour son club d'enfance, Flamengo. Arrière droit: Maicon Nationalité: brésilienne Apps internationales: 76 Honneurs: Serie A (x4), Coppa Italia (x2), Ligue des Champions Apps Inter: 236 Défenseur canonnier forgé dans le moule traditionnel brésilien, Maicon était un autre achat sud-américain rentable qui a connu un grand succès sous nos célèbres rayures noires et bleues. À son apogée, Maicon était le meilleur arrière droit du football mondial - une déclaration validée par le fait qu'il ait gardé Dani Alves hors de l'équipe brésilienne - et en plus de ses qualités défensives, il a également marqué 20 buts pour notre club. Il a passé les dernières années de sa carrière sur les ailes des clubs brésiliens Avaí et Criciúma. Défenseur central: Lucio Nationalité: brésilienne Apps internationales: 105 Honneurs: Serie A, Coppa Italia (x2), Ligue des Champions Apps Inter: 136 Mourinho a fait signer des contrats exceptionnels au cours de sa carrière de manager brillamment réussie, mais peu peuvent égaler son achat de Lucio au Bayern Munich en 2009. Le défenseur intransigeant - qui avait également un penchant pour des incursions osées dans l'autre moitié - a conclu une entente brillante avec Walter Samuel au cœur de la défense centrale et a joué un rôle essentiel lors du Triplé historique. Défenseur central: Walter Samuel Nationalité: argentine Apps internationales: 56 Honneurs: Serie A (x5), Coppa Italia (x3), Ligue des Champions Apps Inter: 236 L'autre moitié du duo défensif hermétique de Mourinho, Walter Samuel, a rejoint l'Inter en 2005 après avoir eu du mal à gérer la pression au Real Madrid des Galactiques. Au cours de ses cinq premières années au Meazza, Samuel a remporté la Serie A chaque saison et au total, il a passé neuf années réussies à Milan, avant de terminer sa carrière en passant deux ans au FC Bâle. Arrière gauche: Ivan Cordoba Nationalité: colombienne Apps internationales: 73 Honneurs: Serie A (x5), Coppa Italia (x4), Ligue des Champions Apps Inter: 455 Un petit défenseur qui était à l'aise pour jouer à quatre arrières, Ivan Cordoba était connu pour posséder un sacré saut malgré sa taille, 1m73. Cordoba a passé toute sa carrière européenne à l'Inter qu'il quitta en 2012 après 12 ans de bon et loyaux services. Le n°2 interiste de longue date a également l’honneur d’être le seul homme de l’histoire à avoir dirigé l’équipe nationale colombienne sur un trophée majeur - la Copa America 2001. Milieu défensif: Javier Zanetti Nationalité: argentine Apps internationales: 143 Honneurs: Serie A (x5), Coppa Italia (x4), Ligue des Champions, Coupe UEFA Apps Inter: 858 (Record) Après 19 ans, 858 apparitions, 21 buts et 11 trophées majeurs, Javier Zanetti a finalement mis un terme à sa brillante carrière à l'Inter en 2014 à l'âge de 41 ans. En signe de respect pour son No.4, le maillot a été retiré peu après. Non seulement Zanetti était un professionnel exemplaire, mais il s'est également réinventé de manière impressionnante en tant que joueur au fil de sa carrière, se transformant d'un ailier maraudeur en un milieu de terrain défensif et même un arrière central de fortune. Comme une reconnaissance de la part du club, Zanetti est désormais vice-président de l'Inter. Milieu central: Esteban Cambiasso Nationalité: argentine Apps internationales: 52 Honneurs: Serie A (x5), Coppa Italia (x4), Ligue des Champions Apps Inter: 420 Un autre Argentin qui a fait partie des meubles de l'Inter. Esteban Cambiasso est venu en Italie par un transfert gratuit après quatre saisons relativement peu satisfaisantes au Real Madrid, où il a été principalement utilisé comme remplaçant. À l'Inter, cependant, il était un titulaire régulier incontesté et de plus en plus apprécié par l'équipe pendant ses années sous Roberto Mancini et plus tard Mourinho. Tout comme son compatriote Samuel, Cambiasso est parti en 2014, passant une saison à Leicester City avant de filer à l'Olympiakos en 2015. Milieu de terrain: Juan Sebastian Veron Nationalité: argentine Apps internationales: 73 Honneurs: Serie A, Coppa Italia (x2) Apps Inter: 74 Bien qu'il n'ait jamais été sous contrat avec l'Inter, en prêt pendant 2 ans, Juan Sebastian Veron y a connu une période de rédemption après trois années difficiles en Angleterre avec Manchester United et Chelsea. Veron ou ‘le petit sorcier’ comme on l’appelait souvent, a aidé l’Inter à remporter deux coupes d'Italie consécutives et a également mis la main sur un Scudetto avant de rentrer chez lui en Argentine pour jouer pour l'Estudiantes. Milieu offensif: Alvaro Recoba Nationalité: uruguayenne Apps internationales: 69 Honneurs: Serie A (x2), Coppa Italia (x2), Coupe de l'UEFA Apps Inter: 260 Un talent suprême dont la carrière a malheureusement été compromise par des problèmes de blessures, Alvaro Recoba n'a peut-être pas réalisé autant que prévu, mais il a certainement fourni aux fans de l'Inter de nombreux moments de magie pendant ses 11 ans. Recoba est devenu célèbre pour avoir mis de spectaculaires frappes de loin - à la fois dans le jeu et en coups francs, qui devaient devenir sa marque de fabrique - avec son pied gauche extra-spécial. Malgré ses nombreux problèmes de blessures, Recoba a réussi à continuer jusqu'en 2015, lorsqu'il a pris sa retraite après avoir joué pour le Nacional. Attaquant : Ronaldo Nationalité: brésilienne Apps internationales: 98 Honneurs: Coupe de l'UEFA Apps Inter: 99 Surnommé « Il Fenomeno», l'Inter a jugé bon d'effacer le record du monde des transferts en 1997 en signant Ronaldo pour 19,5 M£. A ce moment-là, après avoir marqué 47 buts en seulement 49 matchs pour Barcelone, il était sans aucun doute la top-propriété du football mondial. Ronaldo a également conservé cette même veine qu'il avait montrée en Catalogne à Milan, marquant 34 buts lors de sa première saison avant le désastre qui le frappa lors de la Coupe du monde 1998. Des blessures ont détruit le reste de son temps à l'Inter, mais il a tout de même réussi un respectable 59 buts en 99 matchs avant son transferts en 2002 au Real Madrid. Attaquant: Diego Milito Nationalité: argentine Apps internationales: 25 Honneurs: Serie A, Coppa Italia (x2), Ligue des Champions, Apps Inter: 171 Un homme qui mérite une sélection dans cette équipe rien que pour ces deux buts contre le Bayern Munich. Ses deux buts contre les Bavarois ont permis à l'Inter de gagner 2-0 en finale de la Ligue des Champions et mettre fin à une disette de 35 ans pour décrocher le titre suprême du football européen. La saison 2009-2010 a sans aucun doute été la meilleure de Milito sous le maillot de l'Inter, bien qu'il ait connu une autre campagne prolifique en 2011-12 lorsqu'il a marqué 24 buts en championnat. Après cinq ans au club, il a rejoint le Racing Club en Argentine où il a pris sa retraite en 2016. Aujourd'hui il nous envoie des pépites comme Lautaro Martinez. -
Dans une interview avec le diffuseur officiel Inter TV, notre légendaire défenseur Ivan Cordoba a parlé de plusieurs sujets et a avant tout félicité l'ancien manager Hector Cuper pour le rôle qu'il a joué à l'Inter et qui a connu un tel succès dans les années 2000. "Quand je suis arrivé à l'Inter, il y a eu beaucoup de changements. Sous Hector Cuper, nous avons commencé à créer quelque chose de différent et à viser des objectifs importants. Les bases ont été jetées pour l'Inter qui gagnera sans cesse." Ses qualités de sauts : "C'est un don naturel que j'ai amélioré. Enfant, j'étais toujours dans la rue à jouer et à sauter. Quand j'ai commencé à m'entraîner, ils ont vu ma prédisposition et mon premier manager a commencé à me donner des exercices spécifiques tels que suspendre une balle en hauteur et essayer de la frapper avec ma tête. Une autre chose qui m'a aidé était le travail sur les chevilles, je faisais beaucoup de répétitions de force qui m'ont aidé à augmenter la puissance." Les bons tireurs de coups francs et l'importance de la compétition à l'entraînement : "Avec Veron, Recoba et Mihajlovic, nous devions marquer. Veron, pour nous défenseurs, était une référence car dès que nous avions récupéré le ballon, il se montra et a commencé à dicter le jeu. Le caractère fort des joueurs qui veulent toujours gagner fait la différence. Être compétitif même à l'entraînement est utile pour que l'équipe soit toujours prête à gagner ensemble même dans le jeu, car tout le monde se bat toujours." Sur Juan Sebastian Veron et la super coupe italienne en 2005 : "Chaque fois que je pense à lui, je me souviens de ce but à Turin contre la Juventus en Supercoppa, notre deuxième trophée important après avoir remporté la Coppa. En remportant cette coupe, nous nous sommes dit que nous devions continuer à gagner et cette Supercoppa Italiana était folle." Le premier trophée : "De nombreux matchs ont une signification particulière. Pour moi, la première victoire en Coppa Italia signifie tellement parce que nous avons enlevé un poids sur nos épaules et à partir de là, nous avons compris que nous pouvions gagner à nouveau. Nous avons célébré comme si nous avions gagné la Ligue des champions." En conclusion, il a parlé de la fameuse défaite de l'Inter en Champions League contre Barcelone, qui s'est produite il y a un peu plus de 10 ans. L'Inter a perdu le match retour 1-0, mais grâce à une victoire 3-1 au match aller au Meazza, elle a été en finale grâce à un score global de 3-2 et a ensuite remporté la Ligue des champions. "Barcelone-Inter semblait être un match sans fin, depuis que Thiago Motta a été expulsé le match a duré une journée ! C'était difficile, mais au coup de sifflet final, tout était beau... ce sont des moments qui restent à jamais dans votre mémoire. Il fallait que ce soit comme ça, ces demi-finales nous ont rendus encore plus forts. Dans ces matchs il est vrai que les petits détails font la différence." ®alex_j - internazionale.fr
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