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Antonio Conte et l’Inter vont se séparer !
Victor "Antony" Newman a posté un article dans F.C. Internazionale Milano
C’est la bombe de la Gazzetta Dello Sport, et plus précisément de son Vice-Directeur, Andrea Di Caro. Fait très rare, la Rosea n’est pas habituée aux titres fracassants. Celle-ci reste toutefois très proche de l’environnement Nerazzurro. En 2010, Elle avait également annoncé, quelques jours à l’avance, le départ acté d’un certain Josè Mourinho…. Révélations fracassante de la Rosea "Comme nous vous l’avions raconté : Il n’y aura pas la rencontre tant attendue entre Steven Zhang et Antonio Conte : L’entraineur Nerazzurro connait à présent les plans du club et il n’acceptera pas ce qui lui a été proposé." Le club veut clôturer le mercato avec un actif de quasiment 100 millions d’euros tout en réduisant la masse salariale de 20%. L’entraineur se montre distant envers le plan de Zhang, comprenant que ses ambitions allaient se voir redimensionnées, comparé au projet présenté au début de son mandat Le club veut rester à un haut niveau de compétitivité pour se battre pour le Scudetto et faire belle figure en Europe, mais suite au prêt accordé et obtenu, il se doit également de faire tourner les comptes : Pour se faire, une plus-value d’une centaine de millions d’euros pour assainir les comptes laisse penser à l'inévitable cession d’un Top Player. Il faudra restreindre le masse salarial de 15 à 20% comparé au plafond actuel. Le tout a été proposé à Antonio Conte lors d’une entrevue qui s’est tenue, samedi, à la Pinetina entre lui et la Direction du Club L’entraineur s’est dit amer car sa vision était celle de se relancer : De porter en avant son projet et de faire grandir l’Inter également en Europe. Avec des positions aussi éloignées, lorsqu’il verra Zhang, se sera uniquement pour le saluer "Le départ officiel devrait arriver dans un arc de 48heures avec regret et déception, mais sans rancœurs, ni dispute. Antonio Conte en avait conscience et il s’était d’ailleurs exprimé en public en disant qu’après avoir travaillé durement durant deux années sur le noyau Nerazzurro et l’avoir fait renouer avec la Victoire du Scudetto, que le Club risquait de devoir tout reprendre à zéro." Son travail n’a jamais été remis en question et L’entraineur recevra une prime de reconnaissance : Il percevra un peu plus de la moitié des 12 millions qu’il aurait perçu jusqu’au terme de son contrat, plus ce qu’il n’a pas encore perçu pour cette saison. Cette somme qui doit se peaufiner se traitera lors de la confirmation du départ Et la Direction ? Si la Direction Nerazzurra était également préoccupée par la situation du Club, la Gazzetta confirme que le prêt en provenance d’Oaktree a convaincu Giuseppe Marotta, Alessandro Antonello et Piero Ausilio de rester à la barre : Tous avaient également un contrat qui arrivait à expiration en juin 2022. Et la suite ? Selon Gianluca Di Marzio, l’Inter espère résoudre cette situation dans les 2 à 3 jours à venir : Le club serait confiant sur la permanence de l’Entraineur. Car c’est à lui que revient la décision. Pour l’Inter, il reste l’Entraineur de l’Inter, si un départ doit être acté, il s’agira d’une pleine responsabilité du natif de Lecce Toutefois, selon Di Marzio, l’Inter pourrait se diriger vers Allegri, même si des contacts n’ont pas encore eu lieu au jour d’aujourd’hui Comme un gout de déjà vu C’est une révélation de Tuttomercatoweb : Selon Tancredi Palmeri, la situation a évolué entre Antonio Conte et le Real Madrid : Il y aurait quelque chose de concret. Si le Real Madrid n’a pas encore décidé de ce que sera fait sa destinée, Zinedine Zidane songe à partir. De son côté Florentino Perez n’est pas encore sûr de la direction à suivre pour le Real Madrid, mais en cas de départ de Zidane, sa volonté est clairement établie d’aller sur Antonio Conte : L’entraineur actuel de l’Inter a été informé de cette situation et attend curieusement : S’il n’est pas dit qu’il s’agit de l’unique pensée de Florentino Perez, le nom est bel et bien sur la table Pour rappel, il y a deux ans et demi, en octobre 2018, lorsque Lopetegui avait été remplacé par Solari, un accord avait déjà été trouvé entre l’italien et le club ibérique. SI le tout avait été planifié par le président de la Super League, il avait dû se rétracter suite à la prise de position des Sénateurs d’alors, à commencer par Sergio Ramos. A présent, personne ne sait si l’espagnol refoulera le terrain du Real et les autres sénateurs ont une côte décroissante : Il ne s’agit plus du Real qui venait de remporter 3 ligues des champions consécutivement. Conte au Real n’est pas l’option la plus probable, mais il s’agit de la plus concrète ®Antony Gilles – Internazionale.fr- 40 commentaires
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C’est l’information de ce début de semaine. En effet, le FC Séville est tombé sous le charme de….Joao Mario. A tel point que, pour pouvoir prendre le meilleur dans le Derby l’opposant au Betis Séville, le club ibérique a proposé un échange aux Nerazzurri : Papu Gomez! Révélation plus D’Estadio Deportivo L'entraîneur Julen Lopetegui est prêt à offrir une ancien joueur ciblé par l’Inter afin de parvenir à un accord: Les Andalous seraient prêts à expédier Papu Gomez à l’Inter en échange de Joao Mario. Et si Mario continue à casser les bonbons Voici ce que nos révèle Pressing: Conte est séduit par l’idée de ramener Papu en Italie. L’ancien de l’Atalanta dispose d’un contrat avec Séville jusqu’en 2024 voudrait revenir en Serie A. Disposant déjà d’une bonne expérience, il est très estimé par l’entraineur Nerazzurro et l’opération pourrait être financée par la vente, à titre définit de Joao Mario en provenance du Sporting Lisbonne. Les portugais souhaitent le racheter pour une somme avoisinant les 7-8 millions d’euros, soit une somme similaire à celle qui avait permis à l’argentin de rejoindre l’Andalousie Pour rappel, Papu Gomez avait quitté l’Atalanta à la suite d’une sortie médiatique contre son entraineur Gian Piero Gasperini..... Seriez-vous séduit par l’arrivée d’Il Papu ? ®Antony Gilles – Internazionale.fr
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Le Séville de Julen Lopetegui est en pleine forme. Après avoir terminé 4e de la Liga, ils chercheront à gagner cette 6e C3 en défiant l'Inter qui a pulvérisé le Shakhtar Donetsk. Dans cette analyse tactique, nous examinons les tactiques derrière le succès de Séville et ce que nous pouvons attendre d’eux. Formation Séville utilise généralement une formation en 4-3-3 qui leur permet de passer à un 3-4-3 ou à un 4-1-4-1 avec des variations minimes, étant très adaptable et modifiable même en cours de match. Nous pouvons généralement voir le milieu de terrain défensif descendre entre les arrières centraux pour former une ligne à 3 ou les ailiers revenir au milieu de terrain pour défendre et former un milieu de terrain en 4 + 1. Cette adaptabilité permet à Lopetegui de mettre en œuvre facilement différentes tactiques. Peu importe à quoi ressemble la formation sur papier, Séville essaie généralement d'utiliser des tactiques similaires. Leurs principes ne changent pas d'un match à l'autre, cherchant à exploiter les ailes, d'où Navas et Reguilón ou Escudero en arrières latéraux et Ocampos et Suso en ailiers qui créent la plupart des occasions de l'équipe. Ils essaient également d'utiliser des transitions rapides pour profiter du rythme qu'ils ont sur les ailes et à l'avant (surtout quand Youssef En-Nesyri est leur attaquant). Ils utilisent leurs milieux de terrain centraux pour lancer leurs transitions rapides. Séville cherche rarement à avoir une longue possession dans le dernier tiers adverse et à tenter des attaques en position. Ci-dessous, nous voyons la position moyenne et les passages de Séville (notons l'erreur : il faut lire 3-4-3 et non 4-3-3). Nous voyons les arrières jouer en tant que milieux de terrain larges, le milieu défensif proche des arrières centraux et les attaquants isolés et ne participant pas à la construction. Pour aider la lecture et éviter de surcharger les images, voici la composition des équipes du match Séville - Osasuna dont les cinq images suivantes sont issues. La construction De l'arrière, Séville forme généralement une ligne à trois avec le milieu de terrain défensif descendant entre les arrières centraux. Les arrières latéraux montent et les ailiers et les milieux de terrain centraux utilisent des rotations pour générer des espaces. Face à une pression intense, Séville ne craint pas de jouer de longues balles à En-Nesyri ou Luuk De Jong et d'essayer de gagner des secondes balles. En général, Séville ne prend pas de risques excessifs et le principal objectif qu’ils ont en construisant est d’attirer l'adversaire afin qu’ils puissent exploiter leurs transitions rapides et leurs ailiers. C’est grâce à leur patience que Séville a la quatrième possession la plus élevée du championnat (56,9%). Voyons cela dans un exemple. Sur l'image ci-dessous, nous pouvons voir Séville construire lors de leur match contre Osasuna. La première chose que nous remarquons est le milieu de terrain défensif Fernando qui passe entre les arrières centraux (Kundé et Gomez)) et forme une ligne à trois, libérant les arrières latéraux (Navas et Escudero) pour obtenir des positions plus avancées. Sur le côté droit de l'attaque, on voit l'arrière droit, l'ailier droit et le milieu de terrain central droit (Navas, Ocampos et Vázquez) se regrouper et surcharger la zone pour attirer les joueurs et générer des espaces de l'autre côté. Sur le côté gauche, en opposition, Séville cherche à séparer ses joueurs pour générer des espaces pour jouer. Le milieu de terrain central gauche (Óliver Torres) reste au centre et l'arrière gauche (Escudero) se déplace vers la ligne de touche, de sorte que l'ailier gauche (Rony Lopes) a de l'espace pour venir recevoir le ballon. Avec ce mouvement de soutien, Lopes attire l'arrière droit d'Osasuna, générant un espace que lui ou Escudero peut attaquer pour avancer. Dans ce cas, Escudero reçoit le ballon et c'est Lopes qui attaque l'espace qu'il a généré. Un autre mouvement fréquemment utilisé par Séville pour progresser est la rotation entre le milieu de terrain central et l'ailier. Lorsque l’un des arrières centraux a le ballon, l’ailier entre à l’intérieur et court vers le ballon pour le recevoir, tandis que le milieu de terrain central attaque le demi-espace généré par le mouvement de l’ailier. Cela laisse au détenteur du ballon deux options : une courte passe à l'ailier ou une longue passe en arrière au milieu de terrain central. Cela crée également des doutes dans la défense adverse car les joueurs doivent être coordonnés pour suivre leurs opposants directs ou rester dans leurs zones. Voyons un exemple de cela sur l'image suivante. Lorsque le défenseur central droit (Koundé) a le ballon, le milieu de terrain central droit (Vázquez) et l'ailier droit (Ocampos) échangent leurs positions, chacun occupant l'espace généré et précédemment occupé par l'autre. Dans ce cas, l’arrière gauche d’Osasuna doute entre suivre son opposant direct ou rester à sa place et laisser faire une passe facile à jouer pour Ocampos; suivre Ocampos, une longue passe à Vázquez aurait été une bonne option. Avoir trois joueurs à l'arrière pour la construction est un moyen pour Séville de donner plus de liberté aux joueurs plus avancés et de se sentir en sécurité au cas où il y aurait une contre-attaque. Transitions rapides et peu de jeu de position Comme nous l’avons dit précédemment, la haute possession de Séville s’explique principalement par leur patience à construire, car ils ne sont pas une équipe qui semble avoir de longues possessions dans le dernier tiers du terrain. La principale force de Séville réside dans ses transitions rapides. Lorsqu'ils récupèrent le ballon ou attirent l'adversaire, Séville cherche à déplacer rapidement le ballon vers les zones libres sur les flancs et à progresser ou à contre-attaquer à partir de là en utilisant le rythme et la capacité de ses arrières latéraux et ailiers à porter le ballon vers l'avant. La première chose à noter est que même si les deux arrières latéraux sont généralement très "attaquants", Navas est extrêmement direct et peut souvent être vu dans des positions très avancées. Les arrières latéraux Navas et Reguilón sont les deux meilleurs centreurs de la Liga (6,61 et 5,34 centres par 90) et les septième et cinquième meilleurs coureurs progressifs, respectivement (3,44 et 3,63 courses par 90). Étant donné que Navas est également cinquième pour les passes progressives (11,81 par 90), nous pouvons voir à quel point les arrières latéraux sont importants dans la tactique offensive de Séville. Dans l'image ci-dessous, nous voyons comment Navas commence sa course de chevauchement dès que la passe à l'ailier est faite, créant une situation de supériorité. Notez comment l'arrière latéral (Escudero, coin inférieur gauche) commence à courir aussi mais reste dans une position moins avancée. La tendance de Navas à se précipiter dès qu’il le peut est l’une des raisons pour lesquelles le défenseur central droit Koundé est un joueur si important dans la tactique de Lopetegi. Le jeune Français est rapide et doué pour défendre avec l’espace, il joue donc le rôle d’arrière droit lorsque Navas ne peut pas récupérer sa position à temps. Le milieu de terrain défensif restant près des arrières centraux pour former une ligne à trois est également un moyen de libérer les arrières latéraux sans perdre la forme défensive. L’absence d’un vrai numéro 10 dans la tactique de Séville ne signifie pas que leurs milieux de terrain n’ont pas l’esprit offensif. Avec Banega, Torres, Jordan et Vázquez, leur milieu de terrain est plein de talent, mais ils préfèrent les utiliser dans des positions plus profondes pour faire avancer le ballon qu'entre les lignes pour recevoir et aider. Ceci est compréhensible vu les performances des joueurs de l'aile. Quoi qu’il en soit, il y a l’un des milieux de terrain centraux de Séville qui se démarque de tout le monde: Banega. Le meneur de jeu argentin, qui quitte le club à la fin de la saison pour Al Shabab Riyadh, est sixième de la Liga pour les passes par 90 (68,13, 86% de précision), deuxième des passes au dernier tiers par 90 (12,95) et troisième des passes progressives par 90 (12,99). Sa capacité à dominer et à dicter depuis le milieu de terrain a été essentielle au cours des dernières années pour Séville, et il leur manquera certainement la saison prochaine. Dans l'exemple suivant, nous voyons comment Séville utilise ses milieux de terrain centraux pour lancer ses transitions. Torres, l'homme en possession, vient de récupérer le ballon et est entouré de rivaux. Même si son coéquipier est sous pression, l'arrière gauche et l'ailier gauche (Escudero et Lopes) commencent à courir vers l'avant, et Torres le sait automatiquement et fait une passe dans la course d'Escudero. Lopes continue sa course jusqu'à ce qu'il atteigne la surface, et Escudero trouve de l'espace libre pour porter le ballon jusqu'au bord de la surface et tirer. Séville lance souvent des contre-attaques juste après avoir récupéré le ballon et le rythme de ses joueurs est sa principale menace car ça peut aller très vite. Le joueur qui a le plus profité de ces transitions rapides et du jeu avec les espaces est Ocampos. L'ailier argentin est le huitième meilleur buteur de la ligue (10 buts), neuvième en tirs tirés (55, 2,43 pour 90), neuvième en touches dans la surface par 90 (4,24), cinquième en dribbles par 90 (8,75), dixième en points progressifs par 90 (3,27) et quatrième en duels offensifs par 90 (16,79). Grâce à son rythme, son physique et son agressivité pour attaquer les espaces avec et sans ballon, Ocampos connaît une saison de relance après quelques hauts et bas en Ligue 1. La tendance de Séville à attaquer avec les ailes est clairement visible dans les statistiques. Seulement 33% de leurs attaques proviennent du centre, seul Getafe ayant un pourcentage inférieur (32%). Ils mènent la ligue pour les centres (20,79 pour 90) et sont deuxième pour les dribbles (29,42 pour 90), générant 19,21 touches dans la surface pour 90 (troisième meilleur) qui mènent à 11,55 tirs pour 90 (quatrième meilleur). Avec ces statistiques, il est évident que les tactiques d’attaque de Séville sont efficaces. En fait, ils ont légèrement sous-performé leurs objectifs attendus, donc seule leur mauvaise finition les empêche de faire encore mieux. Défense : agressive mais pas de pression constante Les tactiques défensives de Séville sont un mélange de pression et d’attente. Ils ne pressent pas tout autour du terrain mais s'assurent que les rivaux ne soient pas à l'aise et les font jouer dans certaines zones pour ensuite presser très agressivement et récupérer le ballon. Cela se fait par un milieu qui rejoint l'attaquant dans la pression, faisant jouer les défenseurs centraux adverses du côté souhaité. Une fois que cela se produit, la pression est très intense et efficace. Cela conduit Séville à être la deuxième meilleure équipe en passes par action défensive (7,17), une mesure qui vise à mesurer l'intensité et l'efficacité de la pression des équipes. Nous voyons ce genre de pressing dans l'exemple suivant. Osasuna n'utilise pas beaucoup de joueurs pour construire de l'arrière (seulement 6 joueurs), alors Séville voit cette faille et presse en conséquence. L'attaquant passe en premier, forçant l'arrière central à passer arrière droit. Ensuite, l'ailier droit et l'arrière gauche pressent sur leurs opposants directs, tandis que l'un des milieux de terrain centraux reste au centre pour éviter toute passe au milieu. Cela se traduit par une récupération qui se termine par un tir. Nous pouvons voir que Séville n’a pas mis toute l’équipe en avant (2 à gauche, 3 au centre et 1 à droite), donc c’est plus une question d’organisation que de nombre de joueurs. Si les rivaux échappent à la pression de Séville, ils ont toujours au moins quatre joueurs prêts à défendre, laissant le temps aux autres de récupérer leurs positions. Le milieu de terrain défensif est toujours près des arrières centraux et au moins un des milieux de terrain centraux reste près de (ou dans) sa moitié. Lorsqu'il n'y a aucune opportunité de presser, Séville défend dans un bloc moyen-bas, formant une formation 5-4-1 avec le milieu de terrain défensif entre les arrières centraux. L'attaquant préfère rester dans une position légèrement avancée pour effectuer des courses vers l'arrière dès que l'équipe récupère le ballon. Le rythme d'En-Nesyri est crucial dans cette dernière tâche. Nous pouvons voir cette formation dans l'image ci-dessous. Cette configuration défensive permet aux défenseurs de quitter leur position pour suivre les attaquants rivaux pour venir en profondeur pour recevoir le ballon. Prenons l'exemple ci-dessous : João Felix vient en profondeur pour recevoir le ballon au milieu de terrain et au lieu de laisser un milieu de terrain pour le marquer, le défenseur central droit (Koundé) le suit et l'oblige à renvoyer le ballon. Même si l’un des arrières centraux quitte son poste, il y a toujours une solide ligne à quatre en place. La tactique défensive de Séville a l'avantage d'être suffisamment flexible pour s'adapter en termes de pression ou d'attente, et elle a été très efficace car c'est la quatrième équipe qui concède le moins de tirs (8,66 pour 90) et le cinquième meilleur des buts en contre. Conclusion Séville a trouvé un style de jeu très solide. Leurs tactiques défensives se sont avérées flexibles et utiles à la fois pour presser haut et bas, tandis que leurs transitions rapides sont un excellent moyen de profiter des espaces derrière les lignes de l'adversaire. Avec de légères améliorations dans leur finition, Séville pourrait être un candidat sérieux à la C3 et perturber les meilleures équipes de C1. A voir également
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