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  1. Arrivé à l'Inter en remplacement d'André Onana, Yann Sommer a du temps devant lui pour convaincre les Tifosi de la justesse de son choix. Dans une longue interview accordée à la Gazzetta Dello Sport, le gardien helvétique s'est livré sur les raisons de son arrivée chez la Bien-Aimée : "Car l'Inter, c'est... l'Inter. Elle signifie Tradition, Force et Excellence. Quand j'ai choisi les Nerazzurri, j'ai analysé toute la situation : L'entraîneur, l'entraîneur des gardiens, le style de jeu, le stade, les supporters, la vie dans la ville pour ma famille et j'ai compris que c'était l'endroit idéal pour moi." Aviez-vous peur que le transfert capote ? "Je n'ai jamais eu peur de ne pas venir, j'ai toujours été calme pendant les négociations. Je ne sais pas comment les choses se sont passées entre les deux clubs, mais je savais que je voulais l'Inter et j'étais confiant." Votre avis sur les gardiens du passé ? "De Julio Cesar à Francesco Toldo, en passant par Samir Handanovic et André Onana. A l'Inter, il y a toujours eu des gardiens forts et courageux et je veux aussi être à la hauteur. Avec Handanovic et Onana, je n'ai jamais échangé, ce sont deux gardiens avec des caractéristiques différentes, chacun d'entre nous a son propre style. En plus d'être gardien de but, j'aime jouer depuis l'arrière et être fondamental pour surmonter la ligne d'attaque de l'adversaire." Le Derby au Meazza "Le derby, c'est vraiment sérieux. Le Meazza un stade que j'aime déjà, excitant, bruyant, amusant, et beaucoup m'ont dit qu'il était unique. Les Derby sont tous spéciaux, mais celui-ci est unique vu la profondeur des deux équipes et pour sa profondeur de l'Italie. J'ai hâte de le jouer, ce sera un match passionnant, que tout le monde attend. Mais c'est une confrontation spéciale, unique qui arrive très tôt. Nous avons une longue saison devant nous et tout peut arriver. Il y a aussi d'autres rivaux pour le Scudetto, et comme je suis encore nouveau en Italie : je ne peux pas encore faire de prédictions et de classement". Thuram et Pavard ? "Marcus a un potentiel de classe mondiale et j'espère qu'il fera son chemin jusqu'ici. Il a un physique exceptionnel, de la technique et surtout de l'intelligence. Qu'il attaque en un contre un, qu'il joue en combinaison avec Lautaro ou qu'il s'arrête dans la surface, il est reste dangereux pour l'adversaire. La mentalité que lui a transmise son père est également importante, c'est aussi un bon garçon en dehors du terrain, toujours souriant et positif." "Benjamin est arrivé dans une équipe qui dispose déjà d'une grande défense, il est très complet, il sait lire les situations, il marque avec le ballon car il "voit" le but. Au Bayern, il occupait un poste plus latéral et maintenant il jouera dans un poste plus central dans un dispositif différent: Et c'est toujours bien d'avoir des joueurs capables de jouer dans autant de poste. S'il a choisi l'Inter, c'est parce que c'est un grand club." "La défense de l'Inter me donne un sentiment de sécurité. De Bastoni à Darmian, ils se déplacent tous comme un seul homme, ils sont compacts et savent trouver leur position. Leur langage corporel est également impressionnant. C'est un bel avantage pour un gardien de but, alors bien sûr, des tirs au but vont m'arriver et quand ce sera le cas, je vais devoir faire mon travail." Que craignez-vous du Milan ? "Tous les attaquants sont forts. Maintenant, je les étudie en détail, comme Leao, j'ai l'habitude de me préparer avec l'entraîneur via des vidéos pour essayer de lire toutes leurs occasions sur le terrain." Pensez-vous que ce qu'il s'est passé en Ligue des Champions la saison dernière peut se reproduire ? "La Ligue des champions est une compétition difficile pour tout le monde, elle est unique. Il faut réunir tous les éléments pour aller au bout : Il y a les petits détails, la forme du moment et même un peu de chance. L'année dernière, l'Inter a joué exceptionnellement bien et méritait d'aller la finale. Pourquoi ne pas répéter cette performance ?" Aimeriez-vous gagner avec autant de souffrance que vous l'avez fait l'année dernière en Bundesliga ? Est-ce que c'est plus beau ainsi ? "Tous les sportifs vivent pour ces sentiments que procure la victoire, qu'elle soit "tranquille" ou "mouvementée". La saison, au Bayern a été complexe et pleine de défis à surmonter , nous avions changé beaucoup de choses, de la Direction à l'entraîneur, et c'est ce qui nous a amené à vivre ce choc en in de saison." Pavard, comme vous, voulait absolument rejoindre l'Inter cet été... "Je dirais que c'est un bon signe, non ? Et cela ne m'a pas surpris. J'aurais peut-être pu être surpris avant de venir ici, mais maintenant que j'y suis, tout est clair : C'est vraiment un grand club". Au fait, est-ce que cette photo vous dit quelque chose ? (nous montrons l'image de Jorginho après l'un des deux penalties manqués contre lui) ? "Il rit. Tout le monde s'en moque de ces matches, et je jouais avec la Suisse ! J'en ai aussi paré un à Mbappé à l'Euro, dans un autre moment de grande pression pour nous deux! Un penalty est une question de sensations, de moments où il faut prendre la décision, c'est un défi mental et technique". Où avez-vous appris à jouer si bien de la guitare ? "À l'âge de 18 ans, j'ai suivi un cours avec un professeur, parce que j'avais besoin d'une autre passion, de faire quelque chose à la maison pour me déconnecter du monde et me détendre. Ma guitare est encore en Allemagne, mais elle arrivera bientôt à Milan, même si, avec deux enfants en bas âge, j'ai moins de temps qu'avant". Qui écoutez-vous en particulier ? "J'aime John Mayer et surtout Bruce Springsteen. Je n'ai pas encore réussi à assister à l'un de ses concerts. Cette année, à Zurich, il y a joué pendant trois heures : c'était incroyable. S'il vient au Meazza, je serai là". Vous avez aussi une autre grande passion: La cuisine ? "Il y a quelques années, j'ai même tenu un blog, mais mon intérêt était de montrer ce que mange un sportif de haut niveau. J'aime bien manger, goûter à tout, et disons que je suis dans le bon pays". ®Antony Gilles - Internazionale.fr
  2. Julio Cesar, présent dans les studios Prime Video, a eu son mot à dire sur la finale à Istanbul qui opposera Manchester City à l'Inter. Que dites vous à l'Inter et à Onana en vue d'Istanbul ? "De bien préparer le match! Il faudra qu'Onana soit bon comme Courtois ce soir qui malgré le résultat a fait de beaux arrêts. Mais je dis aussi que c'est un match sec et que tout peut y arriver. Dans le football, c'est toujours comme ça. C'est normal que l'équipe la plus forte ait toujours plus de pression." Un Madrid qui avait plus de pression ? "À mon avis, 50 et 50. Mais revoir l'Inter en finale est merveilleux. Revoir les images de la finale de 2010 me fait pleurer, je suis toujours ému. Inzaghi et les garçons ont eu un merveilleux parcours et ils la méritent." Avons-nous besoin d'un Onana comme Julio Cesar et d'un Lautaro comme Milito ? "Oui, je pense que oui. Un Onana plus Courtois parce que ce qu'il a fait ce soir n'était pas arrivé depuis longtemps." Sur Dzeko : "Je suis curieux. Dans une finale de Ligue des champions, si tu es contre ton ancienne équipe, que fais-tu ? Tu applaudis ou pas ?" Plus facile qu'avec Lautaro, Lukaku jouera-t-il plus que Dzeko en finale ? "Cela pourrait être. Peut-être plus Lukaku pour son physique et pour sa contre-attaque. Nous savons que City essaiera toujours de faire face avec le ballon dans les pieds et Inzaghi les préparera comme ça ou peut-être pas parce que par superstition ils essaieront de ne pas changer ce qui a fonctionné jusqu'à maintenant." Sur Inzaghi : "Je pense que travailler avec la critique n'est pas facile. Mais il l'a fait et il a atteint un match très important, à savoir la finale de la Ligue des Champions." Sur Lautaro : "Il a gagné la Coupe du monde et maintenant il risque aussi de gagner la Ligue des champions. C'est arrivé à peu de joueurs jusqu'à présent. Il a traversé une période où il ne pouvait pas marquer, mais maintenant il arrive avec une certaine confiance." Traduction alex_j via FCInterNews.
  3. L'ancien gardien de but légendaire de l'Inter, Julio Cesar, pense que cette équipe de l'Inter sera capable d'aller en Finale de la Ligue des Champions. S'adressant à Amazon Prime, via FCInterNews , le Brésilien a exprimé sa confiance quant aux chances des Nerazzurri d'aller même jusqu'à la finale, tout en faisant des louanges à l'actuel gardien de l'Inter André Onana comme étant de la plus haute qualité. L'Inter a encore beaucoup de travail à faire s'il veut réserver sa place dans le plus grand match européen, mais il est certainement devenu beaucoup plus proche que beaucoup ne l'auraient imaginé. Contre Benfica à San Siro mercredi soir, les Nerazzurri ont l'occasion de concrétiser l'avantage de deux buts qu'ils ont acquis sur l'équipe Portugaise lors du match aller de leur quart de finale. À partir de là, les Nerazzurri rencontreront l'AC Milan ou Naples, selon l'équipe Italienne qui remportera le match retour du quart de finale de ce soir. Étant donné que l'Inter a déjà battu les Rossoneri et les Partenopei en Serie A cette saison, ils auront toutes les raisons de penser que ses deux matchs seront a leurs portés. Du point de vue de Julio César, qui a remporté la compétition avec l'Inter en 2010, il n'y a aucune raison pour que cette équipe ne puisse pas rêver d'une apparition en finale de la Ligue des Champions. "Je pense qu'ils peuvent le faire, tout peut arriver dans le football, mais je vois l'Inter aller en demi-finale après sa victoire à Lisbonne." "Ils ont toutes les chances d'atteindre la Finale, ils se heurtent à des équipes qu'ils ont déjà affrontées." "L'Inter a joué contre des équipes assez difficiles dès les huitièmes de finale, et cela les a fait progresser." "Si le prochain tour s'avérait être un Derby, ce serait bien, même contre Naples, ce serait très ouvert." De sa propre expérience en remportant la Ligue des champions, Cesar a rappelé que: "Moratti tenait beaucoup à gagner une Ligue des champions, j'ai pu le voir tout de suite, puis Mourinho est arrivé." "Nous avons ressenti la pression sur nous, vous sentez toujours les papillons dans votre estomac dans les matchs importants, quand un joueur cesse de ressentir cela, cela veut dire qu'il n'y a plus cette passion." "Puis quand le match commence, tu es concentré et tu oublies tout." Lorsqu'on lui a demandé entre Onana et le portier de l'AC Milan Mike Maignan qui été le meilleur cette saison, Julio Cesar a répondu: "Qu'il y a toujours eu des comparaisons et il y en aura toujours." "J'aime Maignan, et puis Onana montre pourquoi l'Inter le voulait." "Je sais que c'est un gars très positif et optimiste, et c'est un excellent gardien Onana. "Et quand vous commencez à faire des arrêts décisifs, votre confiance augmente." "Les deux gardiens sont dans une très bonne phase actuellement". Traduction Lindt1908 Via SempreInter
  4. En effet, comme le révèle Fcinternews.it, les Tifosi sont fou d’Onana qui lui est sous le charme de l’Inter: "Ce sont des statistiques folles et un amour total et sincère envers l’Inter : André Onana, lors du déplacement au Do Dragao, a été une nouvelle fois un protagoniste absolu de la rencontre, en réalisant une énième grande performance européenne" "Le portier Camerounais est parvenu à améliorer des statistiques individuelles et collectives qui sont absolument enviable : L’ancien de l’Ajax Amsterdam est le portier qui a réalisé le plus de parade en Ligue des Champions : 39 parades. Derrière lui, on retrouve Simon Mignolet du Fc Bruges (35 parades) et Anatolij Trubin du Shakhtar accompagné de Diogo Costa de Porto (31 parades), ces deux derniers, éliminés, ne sauront pas les améliorer. "Mais bien plus que l’aspect technique, on retrouve l’amour d’André Onana envers les couleurs Nerazzurre, lui qui est totalement impliqué à l’Inter et qui adore vivre à Milan: Ce n'est pas un hasard s'il a d’ailleurs fait venir toute sa famille dans la Cité milanaise (alors qu’à Amsterdam, il vivait seul: Sa femme et ses enfants vivant à Boston, dans le Massachusetts) pour un véritable projet de vie, et pas seulement sportif." "L'intention d'Onana, répétée à ses représentants aussi à cause des rumeurs du Mercato qui le voulaient sacrifier sur l'autel du Budget, est de rester longtemps à l’Inter et d’écrire des pages importantes de l'Histoire du club de la Viale Della Liberazione, comme on put le faire avant lui Samir Handanovic, Julio Cesar ou Francesco Toldo. Une intention renforcée par sa qualité de vie actuelle à Milan, mais aussi par le climat, la nourriture, l'affection des Tifosi et le Giuseppe Meazza qui est un stade qui magnifie le natif de Nkol Ngok." "De plus, André Onana cible aussi un autre objectif important : Faire son retour parmi les meilleurs gardiens du monde nommés lors de la remise du Ballon d’Or, une situation déjà vécue à l’époque où il était à l’Ajax…" .Pour le Numéro Un Nerazzurro (même s’il porte le 24 officiellement) nous n’en sommes qu’au tout début ! ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  5. André Onana est le protagoniste du sixième épisode de 'Footsteps', un format diffusé sur Inter TV. Le gardien des Nerazzurri se livre en faisant le point sur sa carrière. Sur le football. "L'humilité et le sacrifice ont été décisifs, sans sacrifice il n'y a pas de récompense. Le monde du football est très compliqué, si vous ne donnez pas le meilleur de vous-même, vous risquez d'en payer les conséquences. Au final, le football, c'est comme les montagnes russes, il y a des hauts et des bas, il faut toujours être bien préparé. Mon endroit préféré est un petit terrain près de chez moi. Quand j'étais enfant c'était le plus beau du monde, parfait pour apprendre à jouer." Sa phrase. "Je ne perds jamais : je gagne et j'apprends toujours " Ex-intéristes. "En tant que colocataire, j'aurais aimé avoir un gardien comme Julio Cesar. Il était explosif, jouait très bien avec ses pieds et était parmi les meilleurs au monde dans les buts. Sur le terrain, Materazzi à la place, pour sa grande personnalité." Passé et présent. "Yaoundé est très important pour moi et pour mon pays dont c'est la capitale. Pour moi c'est la plus belle ville du monde, je m'y sens chez moi. Enfant, je n'aurais jamais imaginé devenir un joueur de l'Inter. Mon rêve a commencé là-bas, quand je jouais au football avec mes amis et que nous rêvions tous d'un avenir meilleur. J'aime beaucoup Milan et l'Italie. J'aime l'histoire, l'Empire romain et les gens que j'ai rencontrés m'ont impressionné." Assez littéraire notre André national... Traduction alex_j via FCInterNews.
  6. Il n'y a pas de place pour un non-Inter, ou presque, dans le top 11 Sportweek de Marco Materazzi qui dresse une line-up à trois quarts noire et bleue. Deux exceptions cependant. Deux champions du monde, deux coéquipiers nationaux de la chevauchée vers Berlin en 2006, Fabio Cannavaro et Francesco Totti. Voici la liste complète et les justifications de Matrix. "J'ai fait une équipe offensive parce que. Dans le football, il faut marquer des buts, même si quand je jouais, mon travail était de les éviter. Il y a beaucoup d'Interista, parce que j'ai tout gagné avec eux." Julio Cesar dans le but, protégé par Maicon, Cannavaro, Samuel et Chivu. Zanetti, Totti et Stankovic dans l'entrejeu, derrière un trident super offensif fait par Ronaldo le phénomène, Milito et Eto'o. José Mourinho entraîneur. "Quand il est arrivé à l'Inter, j'étais très proche de Toldo, mais j'ai encadré le Brésilien et nous sommes devenus amis. Maicon, un train sur l'aile droite. Je ne sais même pas comment il a réussi à faire des allers-retours tout au long du match." Arrière droit Maicon, Christian Chivu en face, ailier gauche. "Moi, lui et Stankovic, trois gitans. Avec Cristian, un coup d'œil suffisait pour se comprendre. Nous avons plaisanté sur les adversaires. Une fois, contre la Lazio, Pandev a rebondi entre lui et moi tout au long du match. 'Regarde ce que tu m'as fait !', me reprochait-il en fin de première mi-temps pour un coup de pied qu'il s'était pris. Il n'avait même pas remarqué que je ne le lui avais pas donné le coup, mais Chivu." Ensuite, Cannavaro et Samuel au centre. "J'aurais pu choisir Cordooba avec qui j'ai le plus gagné à l'Inter mais avec Fabio j'ai gagné une Coupe du monde et c'est peut-être celui aux côtés duquel j'ai concédé le moins de buts de toute ma carrière. En effet, entre nous, nous parions à chaque match de quitter le terrain avec une cage inviolée." Place aussi à l'incontournable mur, l'inoubliable The Wall pour les fans de l'Inter. "Il a fait honneur à son surnom, the Wall, en tant que joueur et en tant qu'homme, solide sur le terrain et silencieux en dehors. Un mur, en fait. , impénétrable. Il battait le terrain et si un attaquant allait contre lui face à face pour protester, il ne répondait même pas. Cela ne lui donnait pas satisfaction de répondre." Milieu de terrain à trois composé de deux grands capitaines et d'un "dragon", prochain adversaire de l'Inter en championnat en tant que manager de la Sampdoria. Zanetti, sur qui Materazzi avoue que "nous n'avons jamais été très proches, mais à chaque fois que j'avais besoin du capitaine, il était là." De capitaine à capitano, Francesco Totti, grand adversaire de l'Inter dans le triplété mais grand coéquipier en équipe nationale, "il me fait toujours sourire. Je ne sais pas s'il est plus fort ou plus sympathique." Avec Stankovic, "on a eu la même chambre pendant 5-6 ans. J'ai gagné tous mes trophées à l'Inter avec lui. Il ne savait même pas à quel point il était fort." Trois forts derrière trois très forts devant avec une ligne offensive que Materazzi confie à Ronie, Milito et Eto'o. "Maradona, Messi... Mama mia, je n'ai jamais vu quelqu'un d'aussi fort que lui. En termes d'explosivité et de talent naturel, un mélange entre Cristiano et Messi" dit-il à propos d'il Fenomeno rejoint par Diego Milito. "En marquant deux fois contre le Bayern en finale de la Ligue des champions 2010, Diego a permis à Materazzi de mettre la cerise sur le gâteau de sa carrière." Pour finir, Samuel Eto'o, "s'il n'était pas venu à l'Inter, on n'aurait jamais gagné la Ligue des champions. Avant lui, il y a eu Ibra qui a joué dans les clubs les plus forts et n'a jamais gagné une coupe. Il doit y avoir une raison." Sur le banc, inutile de le dire, l'équipe est confiée à José Mourinho. "Quand il est arrivé, quelqu'un avait dit que Materazzi allait partir. Il m'a arrêté le premier jour et m'a dit : 'Tu restes ici'." Traduction alex_j via FCInterNews.
  7. Au vu du match entre ses deux anciennes et uniques équipes, l'Inter et la Sampdoria, le nouvel intronisé au Hall of Fame Ivano Bordon parle de lui dans un long entretien accordé à SportWeek, l'encart hebdomadaire de la Gazzetta dello Sport. Une enquête auprès des fans interisti du monde entier a inclus Bordon dans le Hall of Fame des meilleurs de tous les temps, avec Walter Zenga, Francesco Toldo, Gianluca Pagliuca et Julio Cesar. "Oui, c'est bien. Cela veut dire que j'ai laissé de bons souvenirs, à Milan et à Gênes. Le football a été ma vie. J'ai beaucoup donné, j'ai eu beaucoup et j'ai encore des réflexes." Dix-huit championnats de Serie A avec uniquement l'Inter et la Sampdoria. Seulement deux équipes et un début prédestiné. Dans le derby contre le Milan. "Eh bien, en bref, ce n'était pas un grand début. J'avais dix-neuf ans, je suis entré en deuxième mi-temps à la place de Lido Vieri, mon professeur, avec un 1-0 pour eux. J'en ai pris deux autres, mais ensuite nous avons gagné le Scudetto. Après le derby, Heriberto Herrera a été limogé et Giovanni Invernizzi est arrivé. Je n'ai disputé que neuf matchs mais j'étais sur le terrain à Catane le jour où nous avons dépassé Milan." Heriberto paraguayen. Un entraîneur dont on parle beaucoup. De quel genre était-il ? "Particulier, disons-le. Fanatique des régimes, il contrôlait de manière obsessionnelle la vie des joueurs. Il nous appelait de chez lui le soir, voulait savoir où nous étions, ce que nous faisions. Je partageais l'appartement avec Mauro Bellugi. Heriberto a appelé et a demandé : ‘Tout va bien ? Êtes-vous chez vous ? Pouvez vous me passer Mauro s’il vous plait ?’. J'ai répondu : ‘Monsieur, Mauro est descendu pour sortir les ordures’. Ce n'était pas vrai. Et Heriberto a alors dit : ‘Bon, s'il n'est pas là, une amende’. Puis il s'est opposé aux sénateurs de la Grande Inter, laissant Jair et Bedin hors de l'équipe. Ils l'ont renvoyé et ont promu Invernizzi : nous sommes devenus champions d'Italie." Premier championnat. La seconde avec Eugenio Bersellini. Ils l'appelaient le sergent. Comment c'était ? "J'ai de très bons souvenirs, il m'a donné confiance et grâce à lui j'ai été admis en équipe nationale. Un grand pédagogue, dur, peu de mots, mais clair et honnête. Il ne regardait personne en face. Travail, rapide et même à table, on perd pas de temps et on mange vite. Dix minutes et c'est tout. Mon record est de huit minutes. Il était très rapide, après chaque plat il mangeait une pomme. Mais il nous a appris le sens du groupe et du football. Et de la vie aussi." Est-ce vrai qu'il vous a toujours dit : "Vous les joueurs, vous êtes des privilégiés. Les ouvriers travaillent dur, les agriculteurs travaillent dur..." ? "Oui. Il venait de la région de Parme, du Val di Taro et il nous a parlé de son enfance. Une fois, en plein hiver, nous étions en retraite à Appiano et le chauffage est tombé en panne. Nous lui avons dit : ‘Monsieur, il fait un froid glacial, on va dormir à la maison.’ Il fait une grimace que je ne vous dis pas : ‘Quoi ? Vous êtes des joueurs avec beaucoup d'avantages et de bénéfices. Avez-vous vu le film L'Arbre de sabots? Eh bien, regardez-le et essayez de penser à ce qu'ils diraient ces paysans. Pensez à leurs difficultés et à leurs sacrifices pour nourrir leurs pauvres enfants. Aucune mention de cela, une couverture supplémentaire et bonsoir.’ " Puis Bersellini le retrouve à la Sampdoria… "C'était sympa. C'était une bonne équipe, fun, pleine de gars formidables. Vierchood, Vialli et Mancini. Puis mon vieil ami Scanziani et les étrangers Francis et Souness. On a gagné la Coppa Italia en battant Milan en finale." Samp-Inter au programme ce Lundi. Vous souvenez-vous de la première fois où vous avez rencontré la Sampdoria ? "Oui, je me souviens de tout, ou presque. Je suis un collectionneur, même de souvenirs. J'ai conservé des almanachs, des coupures de journaux, des autocollants, des billets. A San Siro dans la saison 1971-72, un jeu fou : 4- 4. Trois buts de Boninsegna puis de Corso. Savez-vous qui a marqué pour la Sampdoria ? Marcello Lippi. Cette année-là, il n'a marqué qu'un seul but, contre moi. Puis il est devenu l'un de mes meilleurs amis." Et la dernière fois que vous avez rencontré l'Inter avec un maillot de la Sampdoria ? "Une chose belle et un peu triste. Belle parce que les équipes de ma vie étaient dans le dernier match de 1985-86, 0-0. Triste parce que c'était ma dernière en Serie A. Incroyable, hein ? Quoi qu'il en soit, c'était un doux au revoir. L'entraîneur de la Sampdoria, c'était justement Bersellini, celui qui m'avait relancé. Sur le banc de l'Inter, il y avait Mario Corso, un coéquipier extraordinaire et aventurier, dont le fameux match contre le Borussia Mönchengladbach." Combien de fois avez-vous raconté l'histoire de la canette touchant Boninsegna, l'Inter perdant 7-1, le match rejoué et... "Et j'arrête un penalty, on fait 0-0 et on se qualifie pour les quarts de finale. En 1971, à Berlin, carrefour de mon histoire footballistique. Là, 35 ans plus tard, j'ai remporté ma deuxième Coupe du monde avec l'équipe nationale. J'étais l'entraîneur des gardiens, le grand Buffon. Quelle joie..." Des satisfactions footballistiques ? "Difficile de choisir. Peut-être quand Italo Allodi m'a appelé à l'Inter." Et sur les terrains ? "Le premier scudetto avec l'Inter, avec Invernizzi. Le deuxième, celui de 1979-80, je me sens plus moi-même. J'étais un joueur régulier et mature. Nous étions huit dans cette équipe qui a grandi dans l'équipe des jeunes : moi, Oriali, Bini, Canuti, Baresi, Ambu, Muraro et Pancheri. Plus Occhipinti qui a disputé le dernier match. Puis les merveilleux moments de la Sampdoria de Mantovani. Les victoires, les triomphes, cinq championnats avec la Juve. Évidemment les deux Coupes du monde. Ou plutôt trois, parce que, j'aime bien me souvenir, j'ai aussi gagné le militaire, au Congo en 1973. Il y avait Oriali, Furino, Graziani, Zecchini, Speggiorin, Bittolo, Ammoniaci. De belles compagnies, partout. Mais j'ai eu de la chance, dans ma longue carrière, j'ai rencontré des gens, j'ai établi des records, j'ai remporté des défis. Dans et hors des buts. Maintenant, je regarde les autres, parfois au stade, souvent à la télévision." Et que voyez-vous ? "Un nouveau football. Tout a changé : la vitesse, les méthodes, les schémas, les règles, les managers, les joueurs. Il y a encore de bons, d'excellents gardiens. Donnarumma est l'avenir de l'équipe nationale. L'Inter a Onana, fort et réactif. Milan a Maignan. L'année dernière, ils ont très bien fait, voyons comment ils se rétablissent. J'aime Meret, je suis Carnesecchi avec intérêt. Ce que j'ai du mal à comprendre, ce sont leurs relance de derrière. Souvent frénétiques et dangereux. J'en ai vu des statistiques vraiment surprenantes : maintenant, dans un match, un gardien touche plus de ballons qu'un milieu de terrain. Un tout autre monde. Et bien…" Traduction nostalgique alex_j via FCInterNews et FCInter1908.
  8. Recruté avec le lourde tâche d’assurer la succession d’un certain Julio Cesar, Samir Handanovic, alors en provenance de l’Udinese, a marqué et a touché le cœur des Nerazzurri, des joueurs en passant par les Tifosi, au point d’être méritoirement nommé Capitaine de l’équipe! Révélation de la Gazzetta Dello Sport "Samir Handanovic va quitter Milan, après avoir vécu quelques mois étranges comme gardien réserviste. S’il ne manque plus que l’annonce finale, tout est clair dans la tête du Capitaine qui voit s’élever l’idée de commencer une nouvelle vie, celle de devenir un entraineur en herbe." Ne retenir que cette dernière saison équivaudrait à un affront : Quel est votre meilleur souvenir de Samir "Le Thomas Price" de l’Inter ? ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  9. André Onana s’est livré au cours d’une très longue interview dans le cadre de Sport Week le complément hebdomadaire de la Gazzetta Dello Sport : "J’étais à l’Ajax et, il y a déjà une paire d’années, Piero Ausilio venait de contacter pour la première fois mon agent, il lui avait expliqué comment était clairement la situation, sans tourner au tour du pot, quelque chose que j’aime." "Dès cette première minute, je me sentais déjà Nerazzurro avant que la négociation commence, j’ai commencé à me ressentir comme le gardien de l’Inter, jour après jour. Quand un tel club de cet envergure pense à toi, comment peux-tu dire non ? Tu es flatté et heureux. A présent, je suis ici, dans une ville si magnifique avec une Tifoserie incroyable qui commence à m'aimer." Mais avant d’arriver à l’Inter, que signifiez, pour vous, le Fc Internazionale ? "Ce serait trop facile de dire Samuel Eto’o vu le lien que nous avons, mais ce n’est pas nécessaire d’attendre d’endosser le maillot pour connaitre l’Inter, vu les nombreux champions qui sont passé ici, avec de grands gardiens interistes en passant de Toldo qui était le cauchemar de Franck De Boer à Julio Cesar qui est l’un de mes préférés, quand je repense qu’il a été quasiment le premier à avoir connaissance de mon transfert." Pourquoi quasi ? "Tout était prêt, réglé, mais je ne pouvais en parler à personne. Je déjeunais à Barcelone et un ancien joueur de l'Inter, Houssine Kharja, s'est approché de ma table et m'a couvert d’éloges, il a ensuite appelé un ancien équipier par téléphone et j’entends qu’il lui dit : "Julio, je suis avec Onana, tu sais à quel point il est très fort, qui sait, peut-être qu'un jour il sera comme toi à l'Inter !". Il me passe le téléphone et Julio s’est immédiatement montré très gentil, il me dit de continuer ainsi, je le remercie mais je me mords la langue : je ne pouvais pas lui dire que Kharja, sans le savoir, m'avait pris en flagrant délit...." "À partir de ce moment-là, j'ai souvent parlé avec Julio Cesar, en plaisantant sur cette situation : Il m’avait aussi surmotivé avant la rencontre du Nou Camp, en me disant aussi de rester très calme et de profiter de la soirée. Des mots spéciaux, qui sont restés gravé en moi." Etes-vous surpris par le fait d’avoir été, en si peu de temps, titulaire ? "Non, car je sais qui je suis, je sais ce que je vaux et je continue mon parcours de croissance, entrainement après entrainement, je sais qu’en faisant du bon travail, que mon moment allait arriver rapidement. Avant d’arriver, j’avais conscience que j’allais devoir disputer cette place avec un gardien extraordinaire, qui a écrit l’histoire du club, mais qui est aussi et vraiment très différent de moi." Pourriez-vous nous en dire plus sur cette diversité ? "Si quelqu'un me demande "Samir est-il votre modèle ?", je ne peux que lui répondre... "non". C'est précisément en raison de cette diversité entre nous. Mais j'ajouterais aussi que c'est un très grandissime champion car sinon, il ne serait pas resté ici, à ce niveau, pendant 11 ans : Face à Handanovic, je ne peux que lui tirer mon chapeau. Il appartient à une école italienne différente de la mienne : il est très bon et sûr entre les poteaux, alors que je me sens comme un gardien moderne et "proactif". Je suis celui qui prend des risques, qui sort, accepte le un contre un et qui joue beaucoup avec ses pieds. Ce sont simplement des façons différentes d’occuper le poste de gardien, c’un enseignement différent du traditionnel, auquel on s'habitue." "Au début, nous nous regardions bizarrement à l'entraînement et l'un disait à l'autre : "Ne fais pas ça, tu le fais mal". Et l'autre lui répondait : "Non, c’est toi qui tu le fais mal" (il rit, ndlr). Personnellement, je fais face à des nouveaux types d’entraînements que je ne comprenais même pas au début, mais qui peuvent me permettre surtout d’évoluer." Quels sont vos rapports, maintenant que vous êtes parvenu à lui prendre sa place ? "Nous parlons beaucoup plus qu’auparavant, Samir se comporte comme un vrai Capitaine, c’est un Leader reconnu et on le perçoit dans tellement de petite chose, il ne suffit pas de penser qu’à moi, mais à tous les aspects au quotidien de l’équipe. J’apprécie le fait qu’il me donne des conseils, qu’il me félicite pour une belle parade et qu’il me corrige si je me trompe. Et même, il faut se rappeler d’une chose : L’Inter, en tant qu’Institution, est quelque chose de plus important que moi, que lui, ou que quelqu’un d’autre : Nous avons tous le devoir d’honorer et de défendre ce maillot, nous sommes seulement de passage alors que le Club et le Peuple Interiste restera, ces derniers points sont ceux qui comptent vraiment." Est-ce mieux de débuter d’une façon banale ou de débuter face à une super équipe comme le Bayern, comme cela s’est produit pour vous ? "Tu ne peux pas te prononcer avant, car si le Bayern t’en colle 5, c’est le pire des débuts. En 2017, je me suis incliné avec l’Ajax en finale de l’Europa League face à Manchester United, ce n’était pas parce que nous étions inférieur à eux, mais parce que nous en avions eu peur. Le lendemain du match ma mère m’a appelé et m’a dit : "Je ne veux plus que tu aies peur sur un terrain de football, même si tu dois jouer face au Barça et au Real réunis : Si tu perds, ce ne doit plus être parce que tu as tremblé ou baissé le regard, mais parce que ton adversaire aura été supérieur." C'est devenu une règle de vie. En général, je m'entraîne et je vis pour défier de grandes équipes comme le Bayern et au final , ça s'est plutôt bien passé, même si je ne me réjouirai jamais d'une défaite." Ressentez-vous le fait que vous avez changé l’Inter, de par votre présence entre les cages ? "Je peux vous dire que l’équipe s’est habituée à mon style: A présent, si sur un centre je ne sors pas, Skriniar me lance un regard noirs et Dumfries me hurler Onaaaaa !Je leur réponds que je ne peux pas toujours sortir, pas toujours, mais le fait qu’eux sont sur mes talons comme ça me rend fier, cela veut dire qu’ils se fient à moi, qu’ils m’ont compris, qu’ils veulent que je prenne des risques. De plus, j’aime les rencontres où il y a des combats en défense, rien de plus ne peut m’exalter plus qu’une rencontre comme celle que nous avons tous joué au Nou Camp." "Je regardais de loin l’équipe et c’était un spectacle, elle était compacte, rapprochée, unique, elle bougeait comme un seul homme, patiente, même si mes anciens équipiers en catalogne nous ont accusé d’être sur la défensive. Quand on voit Skriniar s'en prendre à un joueur avec une telle hargne, je me prends dans la gueule sa motivation et je me dis : "Quel guerrier !. J'irais toujours au combats avec lui, tout le temps !" Mais tous nos défenseurs, sont si grands, si costauds, ils me font me sentir protégé. Même si je sais que nous encaissons trop de buts jusqu'à présent...". Pour certains, il se dit que vous exagérez à sortir avec une telle imprudence... "Je me bats pour l'équipe, pas pour ce qui se dit à l'extérieur. Si je peux attraper une balle haute, alors je peux relancer l’équipe vers l’avant rapidement. Plus je sors, plus on peut se relancer : Le gardien est le premier créateur de jeu maintenant." Une grande partie du mérite, à Barcelone sur le 2-3 de Robin Gosens, vous en revient… "Non, c'est toute l’Inter, c’est une équipe de très très haute qualité : Nous devons juste être conscients de notre potentiel et nous pourrions nous montrer des plus dangereux en Ligue des Champions, croyez-moi. Ce jour-là, j’ai relancé rapidement car j'ai vu Lautaro faire un mouvement avec sa main, comme un signal, et le reste de son action de jeu a été phénoménale avec une conclusion parfaite de Robin:Cette équipe de l’Inter est composée d’énormément de joueurs technique." Est-ce que Lukaku vous manque ? "Enormément, mais lorsqu’il reviendra, il donnera, comme toujours, son maximum. Et d’un autre côté, le peuple interiste l’adore, mais il l’adore vraiment : Lorsqu’il a commencé à s’échauffer face au Viktoria Plzen au Giuseppe Meazza, j’ai entendu un “ohhhh” incroyable accompagné d’un tremblement de terre sous mes pieds : Je n’avais jamais connu une telle manifestation d’amour, je n’avais jamais vu une Tifoserie aussi passionnée, mais savez-vous qui est vraiment le plus grand champion de l’Inter ?" Nous vous le laissons dire... "Alex Cordaz : C’est la personne la plus positive que j’ai pu rencontrer, c’est un être humain merveilleux, si tu arrives à Appiano triste suite à ta contre-performance, tu le regardes en face-à-face et il parvient à te changer ton humeur : S’il n’est pas là, ça ne le fait pas, il fait la toute la différence du monde, et ce n’est pas valable que pour moi, mais aussi pour tous mes équipiers. Ce n’est pas un fou mais c’est aussi grâce à Cordaz que Barella va plus vite : Je lui répète quotidiennement : Alex, c’est un Honneur pour moi de m’entrainer à tes côtés." Mais s’il y a autant de qualité dans l’équipe, pourquoi êtes-vous aussi en retard en championnat ? "Nous devons rester serein et dans le même temps admettre que nous avons mal démarré : Les choses peuvent changer vite aussi bien dans la vie que dans le Calcio, et nous savons que cette fois-ci nous disputerons deux championnats. Personne ne peut savoir, à la reprise, si le Napoli sera encore comme celui qu’il était jusqu’à présent. Mais, en attendant, nous sommes parvenus à redresser définitivement la tête hors de l’eau et à montrer que nous sommes tous vraiment fort, nous serons présent comme ça en février et ensuite, qui sait…" Qui vous a, hors du terrain, le plus aidé à vous intégrer ? "Je dirais un peu tout le monde: En plus de Rom, je partage une belle amitié avec Calha et Dumfries, qui est un autre joueur sur le terrain qui me plait car il n’abdique jamais, il se donne, il tente de toujours y aller en allant jusqu’au bout. Nous ne faisons pas énormément partie de la vie mondaine, mais je suis fier du groupe que nous sommes parvenu à nous créer: Il y a vraiment un très beau climat dans cette Inter." Comprenez-vous que les Tifosi aient déjà de l’affection pour vous ? "En plus de mes parades sur le terrain, j’apporte de l’énergie, de la folie, mais toujours positivement." Pour finir : Un message pour votre nouvelle Tifoserie ? "Je pourrais me toiler, mais je travaillerai quotidiennement pour être à la hauteur de l‘Inter pour que vous, les Tifosi, soyez fier de moi!." ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  10. Le PDG de Pirelli et trois légendes interistes se sont exprimés après ce magnifique 3-3 de l'Inter au Camp Nou. S'exprimant sur Sky Sport, le PDG de Pirelli, Marco Tronchetti Provera, a parlé du match de l'Inter à Barcelone. "Une grande soirée de football pour l'Inter et ses supporters, la passion que l'équipe a mise nous rappelle celle du Triplete. Evidemment, le Camp Nou, c'est un terrain de foot qui fait peur, les gens ont une passion infinie. L'Inter a bien joué, ils méritaient la victoire, terminant par un match nul alors qu'il y avait plus de place pour la victoire que pour la défaite. C'est un résultat fantastique. Merci à Inzaghi et aux garçons pour avoir préparé le match et joué un excellent football." S'exprimant sur Sky Sport, Ivan Cordoba a parlé du match nul de l'Inter contre Barcelone. "Aller à Barcelone vous transporte directement à ce moment-là, en 2010. C'étaient deux scénarios différents, cependant, deux équipes différentes. Quand vous faites face à deux équipes aussi fortes, il y a toujours le désir de ramener un bon résultat à la maison, l'Inter a fait son devoir. Il reste, cependant, le regret de ne pas avoir gagné après le match magnifique d'hier. Bon, c'était globalement, et en regardant les deux matchs, une belle performance. En Italie, les équipes sont tactiques, tous les entraîneurs ont une culture de la tactique de haut niveau, ils étudient les mouvements et chaque détail, ils font tout leur possible pour ne pas laisser développer le jeu, ça devient difficile. En Ligue des champions tu trouves des espaces mais il faut faire attention, tu peux marquer 3 buts et en encaisser 3." "L'Inter a une équipe forte, ils peuvent aspirer à des choses importantes, ils savent souffrir dans les bons moments et ils savent faire mal à des équipes comme Barcelone sans être en défense et chercher le résultat, sans mettre le bus. C'est important et fait progresser les joueurs qui, peut-être, n'ont toujours pas la conscience d'être forts et cela augmente l'estime d'eux-mêmes. C'est une question de temps, on l'a fait en 2010 et l'Inter actuelle doit continuer comme ça." Interviewé par Mediaset Infinity après le 3-3 de l'Inter contre Barcelone, Spillo Altobelli a parlé du match au Camp Nou. "L'Inter a fait un grand match, ils sont allés à Barcelone pour gagner et jouer ce match, ils auraient pu le gagner mais cela s'est passé autrement. Ce sont des matches qui vous réconcilient avec le football. Deux équipes qui ont joué ouvert. Il faut être honnête pour le dire, l'Inter a gâché la victoire et la qualification directement, même si la qualification est faite à 90%. A Lautaro un 7.5, il a participé à tout le match, il est parti de loin et a toujours tenu le ballon, il a marqué un superbe but. Ceci dit, il peut faire beaucoup plus. Je m'attends à une amélioration car en championnat il peut marquer 20 buts par saison. J'espère qu'il trouvera la tranquillité et la sérénité pour faire ce qu'il faut dans la surface. Il a les qualités pour être un grand joueur et c'est le meilleur dans le domaine." Intercepté sur les plages de Barcelone par les micros de Sportitalia, Julio Cesar est revenu sur le 3-3 d'hier au Camp Nou. "Un goût amer pour ce but pris à la fin, alors que tout semblait réglé, mais Barcelone reste Barcelone. Hier, le tournant comme à Kiev en 2009-2010 ? Différents scénarii car perdre à Kiev et on serait allé en Ligue Europa. On sait comment ça s'est terminé. Onana ? Un grand gardien, jeune, avec une marge de progression mais Handanovic doit continuer à se battre pour une place et, surtout, continuer avec cette attitude. Plus difficile sur le terrain ou en tribune ? Toujours en tribune!" Traduction alex_j via FCInter1908 et FCInterNews.
  11. Julio Cesar s’est livré à 24 heures de la confrontation entre l’Inter et le Fc Barcelone au Nou Camp, un terrain de jeu qu’il a connu et conquis lors de la saison 2010. Interview intégrale à la Gazzetta Dello Sport Julio, votre parade face à Messi est-elle la parade de votre vie ? "Je ne sais pas si c’est la parade la plus belle, mais c’est certainement la plus retentissante et la plus importante car tous me la rappellent ! C’est le cas maintenant, mais aussi à chaque fois qu’il y a un nouveau Barça-Inter, on me l'a pose toujours : Mais comment as-tu fait pour arrêter le tir de Messi ? Comme vous me le demandez encore." Que répondez-vous à ceux qui disent que vous aviez fait un match dégueulasse et que vous aviez capitulé en proposant un non-match dès le coup d’envoi ? "Je l’entends depuis des années, je réponds à ceux qui disent cela, qu’au contraire, c’était une belle rencontre, une très belle: Nous avions joué collectivement en prenant des risques calculés : Eux, ils nous avaient acculés énormément, en chargeant l’ambiance avec leur histoire de Remuntada, tout était contre nous." Ici, le peuple Blaugrana est entrain aussi de préparer un très bel accueil... "Mais cette fois, la rencontre est très différente de celle d’alors, on ne peut pas mettre au même niveau une demi-finale de Ligue des Champions et un match de phase de groupe : L’Inter d’aujourd’hui devra faire comme nous et avoir les nerfs solides, c’est d’une évidence." A ce sujet, quel conseil pourriez-vous apporter à Onana face à une partie aussi bouillante ? "Elle est tellement importante, que voulez-vous que le lui dise ? Il sera déjà surmotivé de lui-même. De plus, il a grandi à Barcelone et il aura tant de souvenirs et de motivations supplémentaires. Si, il fut un temps le danger numéro un était Messi, à présent ils ont un autre phénomène en attaque avec Lewandowski: Je peux juste lui souhaiter de faire une parade comme la mienne à Lewa." Comment, vu de l’extérieur, avez-vous vécu ce changement dans la cage interiste ? "Je ne m'exprime pas sur les choix d’Inzaghi : Onana est un gardien de grand potentiel et je dirai qu’il doit profiter au maximum des possibilités qu’il a de jouer et de s’entrainer avec un vrai champion comme Handanovic." Quel est votre meilleur souvenir du Jaguar ? ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  12. Javier Zanetti a parlé de Lionel Messi, révélant des choses, lors d'une chronique sur les champions publiée sur Calcio.com. Sur Léo. "J'ai eu le privilège de jouer avec Léo avec l'équipe nationale quand il a commencé sa carrière. Là, on pouvait voir que c'était un joueur qui se démarquait de tous les autres, il a fait des choses que je n'ai jamais vues faire. Génial, vitesse, super dribble, fort physiquement. On parle de l'un des meilleurs de tous les temps." Sur la comparaison avec Maradona. "Une question à laquelle il est difficile de répondre car les deux ont marqué l'histoire du football. L'un continue de le faire." Que retenez-vous de l'action de Messi lors de la demi-finale Barcelone-Inter 2010. "Je me souviens encore de l'arrêt de Julio Cesar du pied gauche. C'était l'arrêt du match, même pour la victoire en coupe. S'il avait marqué, cela aurait été très compliqué pour nous. Leo est un pur talent, il est l'essence même de football. Samuel et moi avons été avertis et si nous avions reçu un carton jaune, nous aurions raté la finale. Messi jouait dans notre pays et nous avons donc pensé 'au moins une fois, il marquera'. Heureusement, cela ne s'est pas produit, nous l'a arrêté lui et tout Barcelone." Son transfert au PSG. "Personne ne s'y attendait et ce fut un moment émouvant et triste pour les fans de Barcelone. Le nouveau défi est cependant important." Messi a réussi à réaliser son rêve de gagner la Copa America. "Je suis ravi que Messi ait remporté la Copa America, il attendait ce moment depuis très longtemps. En tant que capitaine et leader de l'équipe, il a soulevé le trophée lors d'une finale historique avec le Brésil au Maracanã, il n'aurait pas pu choisi un meilleur moment." Un message aussi pour ceux qui le critiquent. "Je n'ai jamais compris ceux qui le critiquent. Vous n'avez pas à le juger s'il gagne ou s'il perd : il est l'essence du football et sera toujours comme ça. Sa personnalité ? C'est un gars très calme, qui aime être avec la famille et les amis. Il est amusant. C'est un leader qui a grandi avec le temps et qui fait maintenant ressortir sa personnalité." Traduction lex_j via FCInter1908.
  13. Le 14 mai prochain, la star internationale Ronaldinho sera pour la première fois à Mons ! Il viendra rencontrer ses nombreux fans et présenter ses vins produits par la Cantine Fabio Cordella. D’autres champions seront également présents : Julio César (Inter Milan), Amauri (Juventus, Palermo, Italie), Sébastien Frey (Fiorentina, Parma, Inter Milan). DJ VIVAZ sera aussi de la partie pour présenter en avant-première son morceau (qui sera lancé le 13 mai sur toute les plateformes de téléchargement et produit par les célèbres Negramaro) : The Best Goal Keeper! Il s’agit d’un des morceaux de la soubdtrack "The Wine of The Champions". Programme de la journée 12h30 : Repas en présence de Ronaldinho et des Champions au Restaurant Italia Grill - Da Pierino. Place de La Hestre 7 à 7170 La Hestre. Places limitées Vous souhaitez réserver des places pour ce repas ? Merci de compléter ce formulaire 15h30 : Ronaldinho et les Champions se rendront au Centre de Congrès MICX - WCCM - Av. Mélina Mercouri 9 à 7000 Mons - pour saluer ses fans et présenter ses vins. Places limitées Vous souhaitez assister à cette présentation ? Vous pouvez acheter vos places en préventes au prix de : 10 eur (àpd 18 ans) - 30eur avec bouteille de vin Ronaldinho (rouge, blanc ou rosé) - valeur de la bouteille vin 25,90eur 5 eur pour les enfants entre 12 et 17 ans, gratuit pour les moins de 12 ans Préventes disponibles sur le site de notre partenaire FTM-Market.be Prix sur place le 14 mai 2022 : 12eur (àpd 18 ans), 7eur (12 à 17 ans), gratuit pour moins de 12 ans 19h00 : Repas et soirée de Gala en présence de Ronaldinho et des Champions au MICX-WCCM MONS. Av. Mélina Mercouri 7 à 7000 MONS. Nombreuses animations Vous souhaitez réserver des places pour ce repas ? Merci de compléter ce formulaire @Victor "Antony" Newman a également pris contact avec Tonino Mallardo, qui m'a autorisé à vous faire part de cet évènement unique en Belgique! " Vous pouvez bien entendu diffuser l’information auprès de votre communauté de tifosi de l’Inter. Nous voulons vraiment offrir une belle expérience à tous les fans de football. Vous pourrez faire signer des autographes et prendre des photos avec ces Champions à différents moments. Et des animations et cadeaux vous seront aussi proposés. Pour ce qui concerne le processus d’achat : vous recevez tout d’abord une facture par mail (vérifiez bien spam et courriers indésirables), ensuite après quelques jours vous recevrez un autre mail avec un code barre unique." Je tiens personnellement à remercier Tonino Mallardo d'avoir pris le temps de me répondre hier soir et surtout ma "Nikki" qui a trouvé et vu cet évènement sur le web et qui m'en a fait part immédiatement! J'espère vous voir très nombreux pour cet évènement unique! Evènement auquel je participerai bien évidemment étant donné que j'ai aussi réservé ma place: Il est possible de payer par virement, par carte de débit et par carte de crédit! ®Antony Gilles - Internazionale.fr
  14. L’Inter du ‘futur’ se dessine et avec l’arrivée d’André Onana, l’équipe renforce un secteur prioritaire : En effet, Samir Handanovic n’est pas éternel et le poids de l’âge se fait tout doucement ressentir Analyse de l'article paru dans la Gazzetta Dello Sport Après Samuel Eto’o, un nouveau joueur camerounais va revêtir le maillot de l’Inter, il s’agit d’André Onana, lui qui s’est soumis, hier, à la traditionnelle visite médicale à Milan, lui qui défendra la saison prochaine, la cage Nerazzurra. Il s’agit d’une opération à paramètre zéro et le joueur paraphera un contrat valide jusqu’au 30 juin 2027. L’Inter a donc enrôlé le gardien du futur : 25 ans, international camerounais, et un physique explosif. Lui et les Tifosi Nerazzurri ont un mythe en commun : Samuel Eto'o. Il prendra également la relève d’un poste occupé par Giuliano Sarti, Ivano Bordon, Walter Zenga, Gianluca Pagliuca, Francesco Toldo, Julio Cesar et, enfin, le bon Handa. Onana André Onana est un numéro un d’origine africaine qui a fait ses classes à Barcelone, et s’il ne quittera l’Ajax gratuitement qu’au mois de juin, il a déjà fait connaissance, hier, avec sa nouvelle ville. En tout premier lieu, l’équipe hollandaise a été avisée officiellement par l’Inter, hier, à travers un courriel qui n’a surpris personne, il s’agissait d’une communication nécessaire d’un fait connu de tous, d’une obligation d’informer le club propriétaire d'une négociation d’un joueur en fin de contrat comme le stipule le règlement de la FIFA, afin de procéder à un recrutement au mois de juillet. Dans le même laps de temps, Onana atterrissait à Linate via un vol privé en compagnie de son agent Albert Botines, l'homme qui a été contact continu, lors de cette dernière année, avec Piero Ausilio. Il a été pris en charge par une voiture officielle du club pour la visite habituelle des installations sanitaires de Milan. La première partie des examens ont eu lieu à l’Istituto Humanitas di Rozzano, avant de rejoindre le Coni pour obtenir le certificat d’aptitude sportif (l’idoneità) et pour rencontrer par la suite la Direction Interiste et échanger également avec Simone Inzaghi. La prochaine étape aura lieu le 1er février, ce jour-là, et conformément aux règles établies par la FIFA, le contrat sera signé et déposé, il ne s’agit plus que d’une simple formalité vu les tests réalisé hier. Onana percevra 3 millions d’euros jusqu’au 30 juin 2027, mais plus que l’aspect financier, ll y a eu une confiance constante qui l’a convaincu : L’Inter a été l’équipe qui s’est montrée la plus insistante pour le recruter, en s’activant il y a déjà un an, s’n est suivi l’intérêt de plusieurs clubs de Premier League en commençant par Arsenal. "L’option d’un retour à Barcelone club qui l’a quitté en 2015 pour partir à Amsterdam, n’a jamais été pris en considération malgré quelques déclarations ringardes lâchées tactiquement ces derniers mois." Handanovic Pour sa première année, l’Onana Nerazzurro pourrait être accompagné de l’éternel Handanovic dont le contrat arrive à échéance le 30 juin 2022. Le Capitaine se verra proposer une prolongation d’une année qu’il va soigneusement évaluer et ce même si son agent Fali Ramadani commence déjà à le proposer aux quatre vents : Le Slovène ne semble pas se voir ailleurs et semble métaboliser son nouveau rôle de "tuteur"pour son futur et jeune concurrent. "Toutefois, son nombre de titularisation dans la saison diminuera drastiquement et cela pourrait être bizarre pour lui, qui était un cannibale habitué à laisser des miettes au reste de la compagnie." Mais l’Inter, avec un gardien âgé de 37 ans était quasiment dans l’obligation de se lancer dans une phase de transition : La contribution de Samir pourrait donc s’avérer décisive pour la destinée des Nerazzurri : Avec deux portiers qui peuvent revendiquet le poste de titulaire, il pourrait "adoucir" l’atterrissage du Camerounais à Milan. "Le tout sera respecté suivant un schéma établi par l’Administrateur-Délégué Giuseppe Marotta qui a expérimenté cette situation en 2017-2018, lorsqu’il était encore à la Juventus, avec l’arrivée de Wojciech Szczesny qui était à la cour de Buffon, une situation utile qui aura ouvert la voie au joueur polonais après une année à avoir coexisté avec Gigi." Pensez-vous que les performances de Samir pourraient être impactées à la suite de la confirmation de l’arrivée d’André à l’Inter ? ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  15. MILAN - Gianluca Pagliuca a été intronisé au Inter Hall of Fame. Le gardien de but, né à Bologne le 18 décembre 1966, est le premier ancien joueur à être intronisé au Temple de la renommée 2021. Il devient le quatrième gardien à recevoir cette prestigieuse distinction, suivant les traces de Walter Zenga, Francesco Toldo et Julio Cesar. Il s'agit de la première annonce d'intronisations au HoF. D'ici mars, il y aura un joueur par mois intronisé : un défenseur, un milieu de terrain et un attaquant. Aux côtés de Zenga, Toldo et Julio Cesar, Gianluca Pagliuca, qui a représenté l'Inter entre 1994 et 1999, a été capitaine des Nerazzurri et a remporté la Coupe UEFA en 1998 contre la Lazio. Pagliuca a fait 234 apparitions pour l'Inter, après avoir été chargé de remplacer les gants légendaires de Zenga. Il a disputé dix derbys milanais sans en perdre, tout en offrant des compétences incroyables en tant que gardien, excellent pour arrêter des tirs aux buts, des réactions impressionnantes et une volonté de fer. Il était également connu pour ses kits légendaires qui ont joué un rôle dans son statut légendaire au fil des ans. Un gardien hors du commun qui n'a été dépassé par Samir Handanovic concernant le record des tirs au but arrêtés en Serie A. Pagliuca a sauvé 24 des 91 qu'il a du affronter en 592 matchs de Serie A. De plus, il est le cinquième ayant fait le plus d'apparitions de l'histoire de la Serie A, avec la Sampdoria, l'Inter, Bologne et Ascoli. "Je suis vraiment fier d'être intronisé au HoF. Historiquement, l'Inter a toujours eu de très bons gardiens, de Giuliano Sarti à Ivano Bordon, et de Zenga à mes successeurs. Être choisi par les fans des Nerazzurri est un honneur pour moi et témoigne de la qualité de ces cinq années que j'ai passées à l'Inter. Je tiens à les remercier, ils ont une place particulière dans mon cœur." "Si je regarde en arrière, j'ai beaucoup de bons souvenirs. Cependant, je choisirais le triomphe de la Coupe UEFA 1998 avant tous; ce fut un voyage incroyable, tant de matches difficiles et de retours incroyables. C'était un vrai triomphe. Je capitaine de l'équipe ce jour-là parce que Giuseppe Bergomi s'est blessé. Nous avons soulevé le trophée ensemble, un très beau souvenir." "Malgré que ce soit une si belle aventure, je regrette de ne pas avoir remporté le championnat. C'est dommage car cela aurait été un doublé vraiment incroyable. Mais je vais prendre les points positifs, comme le fait que j'ai gagné six derbys et fait quatre nuls, restant invaincu." "En étant intronisé au HoF, je rejoins deux de mes incroyables coéquipiers Bergomi et Ronaldo. Zio a fait un excellent travail en m'accueillant dans le club lorsque je l'ai rejoint en 1994. C'était un ami proche de Zenga. Il était génial, à la fois en tant que joueur et en tant que personne. Et que dire de Ronnie ? Le meilleur joueur avec qui j'ai jamais joué, ses performances lors de la saison 1997-1998 étaient incroyables et sans précédent." Bravo Gianluca!!! Traduction alex_j via le site officiel.
  16. Julio Cesar, Lucio et Marco Materazzi se sont livrés à quelques heures d’une rencontre qui peut s’avérer décisive pour l’aventure européen de l’Inter Julione "J’étais au Meazza, en septembre, face au Real Madrid. C’est une équipe qui a mis en difficulté les espagnols en dominant une bonne partie du match, elle n’a pas à avoir peur du Shakhtar, il lui suffira de répéter cette prestation et le plus dur sera fait : La qualification deviendra une réalité." "L’Inter traverse une grande période : La victoire face au Napoli était fondamentale pour son parcours en championnat et les joueurs la porteront avec eux aussi en Ligue des Champions : Ce sont des matchs qui te changent une saison, qui augmentent ton auto-estime et L'Inter sera différente de celle qui s’est présenté à Kiev." "Avant des rencontres de ce niveau, il n’y a pas besoin de conseils à donner, c’est aussi facile pour les entraîneurs de se préparer : L’Inter a tellement de joueurs d’expérience et habitué aux grands matchs. Je ressens juste une petite chose que je dis à dire : Cela se joue sur les détails, l’attention devra être bien plus importante comparé à un match de championnat." "Ce serait si beau de se qualifier pour les huitièmes après tant de temps, arriver à profiter de cette atmosphère des matchs à élimination directe. L’Inter a un organigramme qui proposent des joueurs au tirs phénoménaux, en février, elle pourrait se divertir et avec la suppression de la règle des buts à l’extérieur, les rencontres seront encore plus équilibrées.' "Allez : Forza Inter, il faut convertir cette possibilité!" Lucio "Notre Ligue des Champions a été une chevauchée incroyable et si nous sommes parvenus à atteindre cet objectif, c’est dû au fait que nous étions un groupe unique soudé à un grand entraîneur: Cette Inter suit notre exemple, on voit que les joueurs se veulent du bien entre eux. Simone Inzaghi est parvenu à construire un vrai groupe tout en démontrant son envie de pratiquer un beau jeu." "Elle inscrit aussi énormément de buts et propose une défense exceptionnelle, ce qui est toujours un élément décisif lors des grandes rencontres européennes : C’est un rempart qui est très physique qui est capable de construire l’action dès l’arrière." Matrix "C’est très simple, les joueurs doivent continuer à faire ce que l’on a vu lors de la dernière journée face au Napoli, et le résultat viendra ensuite de lui-même. Il n’y aura aucun problème, il lui suffit de monter sur le terrain avec cet état d’esprit. Il y aura, peut-être aussi une motivation supplémentaire en se rappelant d’où elle était lors des deux rencontres précédentes, comment elle s’était compliquée la vie au classement: Je n’ai pas de doute, cela lui donnera l’’envie de gagner!" "J’aime énormément cette Inter, c’est une équipe qui mise sur l’attaque et qui l’a montré à plusieurs reprises, C’est une attitude qui, sur le terrain internationa,l te récompense même si tu fais face à des équipes fortes, organisées, habituées à ce type de rendez-vous." "J’ai toujours pensé que la Ligue des Champions était, en réalité, la somme de deux tournois différents : Le premier avant Noël, le second à partir de février : Se qualifier face au Shakhtar lui permettrait de se concentrer exclusivement pour les trois prochains mois sur le championnat, une compétition où l’Inter est favorite, l’équipe à battre." "Ensuite, une fois arrivé les matchs à élimination directes, tout devient possible : Il faudra espérer que la situation liée au Covid-19 ne va pas empirer et que les stades resteront ouverts. S’ils le restent, le Giuseppe Meazza plein pourrait faire vraiment peur à tout le monde, même à certaines équipes insoupçonnées, c’est un avantage non-négligeable." ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  17. Interviewé par Amazon Prime sur la victoire de l’Inter face au Sheriff, Julio Cesar a été confronté à une question relative au but encaissé par Samir Handanovic sur le coup-franc de Sébastien Thill. Vu le poste occupé par Julione, celui-ci est le plus à même à s’exprimer : Est-ce qu’Handanovic aurait pu faire mieux sur le but ? "Selon moi oui et il le sait aussi car c’est l’un des gardiens les plus fort du Monde, il lui a manqué un pas." "Il a tellement confiance en lui-même vu sa taille. Je suis un peu plus petit que lui et je devais composer mon manque de centimètres en me déplaçant bien plus que lui." "Il reste tout de même dans le Top 5 des gardiens." Validez-vous son analyse ? ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  18. André Onana va-t-il suivre un parcours "similaire" à celui de Julio César ? Soit celui d’être recruté en cours de saison pour être "en service" pour la saison suivante ? Révélation de Calciomercato.com Le duo Marotta-Ausilio dispose déjà d’un accord de confiance avec le portier, qui, en juin prochain sera libre gratuitement, étant donné qu’il ne sera plus sous contrat avec l’Ajax. Toutefois, la Direction Nerazzurra raisonne sur l’idée de le recruter au mois de janvier, en procéder à un établissement d’un cadre à respecter "Il sera nécessaire de systémiser la situation relative à Radu : Le gardien roumain avait refusé une offre d’Espagne en juillet, car il n’était pas convaincu par le projet technique, il espérait également pouvoir tenter sa chance en Nerazzurro. Mais l’Inter ne mise pas sur lui pour le futur et espère réussir à placer rapidement le joueur sur le mercato. Si elle y arrive déjà en janvier, les chances de recruter immédiatement Onana à Milan augmenteront." Pourquoi le recruter en janvier ? "Ce n’est pas pour remplacer immédiatement Handanovic, le camerounais n’ayant plus joué depuis très longtemps. Mais il s’agirait de lui offrir la possibilité de mieux s’adapter à l’Italie : L’Inter pense qu’en le recrutant six mois plus tôt en Italie, que cela représentera pour Onana un avantage important pour le futur." "Le club de la Viale Della Liberazione s’active à présent pour comprendre s’il y une marge de manœuvre pour concrétiser ce qui n’est, qu’à l'heure actuelle qu’une idée, le tout en prenant en considération que l’Ajax recevrait une indemnité et que ce dernier marquerait son accord." "L’Inter a choisi Onana, le voir en Nerazzurro déjà en janvier est difficile, mais pas impossible." Investiriez-vous sur Onana dès le mois de janvier ? ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  19. L'ex gardien nerazzurro se rappelle le fameux match à Kiev en 2019 et a abordé quelques uns des sujets importants qui attendent l'Inter en vue du match contre le Shakhtar. L'Inter revient donc à Kiev, 4346 jours après ce fameux 4 Novembre 2009 qui vit les joueurs de Mourinho affronter le Dinamo dans un match clé dans la course à la qualification à la phase à élimination directe de la Ligue des Champions et donc par conséquent, à la conquête du mythique Triplete. Aujourd'hui la formation de Simone Inzaghi croisera le fer avec le Shakhtar Donetsk de De Zerbi lors du second match dans ce groupe D de Ligue des Champions. Julio Cesar, un des protagonistes principaux de l'équipe d'alors, s'est entretenu aux micros de la Gazzetta dello Sport: "Si nous avions perdu contre le Dinamo, nous aurions été éliminé de tout. C'était l'année du Triplé, nous avons fait tout le chemin jusqu'en Mai. La vérité c'est que ce match était notre vraie première finale, ce soir de Novembre. Tout s'était bien passé, nous avons gagné et à partir de ce moment-là, le rêve de Ligue des Champions était plus vivant que jamais". C'était le match référence durant cette saison? "Il fut en tout cas, absolument décisif. Pour moi, on peut dire que c'était un match-référence, c'est comme si le vestiaire avait fait le plein de confiance ce jour-là. Nous avons compris que nous étions sur la bonne voie et que nous pouvions rêver de grandes choses. Et vice-versa, si nous avions été défaits ce jour-là, qui sait si nous aurions eu un quelconque succès cette saison-là. C'est la mentalité du groupe qui en est ressortie grandie, grâce à Mourinho, c'est un sentiment qui nous a ensuite accompagné de match en match en Europe et qui nous a, notamment, permis de battre des équipes championnes dans leur pays". Que s'est-il passé dans le vestiaire à la mi-temps? Mourinho raconte qu'il a mis des coups de pieds un peu sur tout ce qu'il pouvait atteindre pour vous pousser à aller chercher le résultat. "L'atmosphère était tendue, c'est clair. José est fait ainsi, il savait quel genre de groupe il avait en main et c'était là son point fort, pour l'Inter c'était une recrue très importante, il a convaincu les joueurs à tous tirer dans le même sens. A la mi-temps le moral était bas, mais l'entraîneur nous a poussé à croire en ce succès et c'est ce qui s'est passé une fois sur le terrain". Après le but de Sneijder, Mourinho avait parcouru tout le terrain pour venir te prendre dans ses bras, que vous a-t-il dit? "Ah! Sur le but du 2-1 c'était comme une explosion, nous étions conscient du poids de ce but. Nous étions déchaînés? Mourinho a commencé a courir tout droit, même lui ne savait pas où il voulait aller. C'est moi qui suis allé vers lui, je me suis mis sur son chemin, il était comme un fou. Nous n'avions besoin de rien nous dire. C'est l'une des plus belles photos de mon aventure à l'Inter". Le match de ce soir peut être comme celui d'il y'à plus de dix ans? "Ce n'est que le second match, il y a encore beaucoup en jeu après. Mais j'ai eu le plaisir d'être à San Siro contre le Real, j'ai vu une équipe très forte, ils peuvent sortir du groupe avec moins d'inquiétude que nous". Quel joueur de votre Inter ajouteriez-vous à cet effectif? "Ne me faîtes pas faire de comparaisons, c'est injuste. J'ai vu un esprit d'équipe très fort à l'Inter, c'est ce qui compte, plus que les individualités. Les supporters peuvent être sereins". Êtes-vous surpris du feeling entre Lautaro et Dzeko? "Quand l'Inter a vendu Lukaku, tout le monde était préoccupés, mais ceux qui sont dans le football le savent, Dzeko a un très forte personnalité et Lautaro est un jeune très talentueux avec une énorme marge de progression. Ils vont donner beaucoup de satisfaction, non je ne suis pas surpris". Alors dites-nous? Jusqu'où l'Inter peut-elle aller? "Si ils gardent le niveau montré contre le Real, moi j'y crois, ils peuvent aller jusqu'en finale, il faut qu'ils y croient. En Italie, je ne fais pas de comparaison entre cette saison et la précédente mais l'Inter a tout, mais vraiment tout pour s'imposer de nouveau". Internazionale.fr ~ © Samus
  20. L'ancien gardien de l'Inter Julio Cesar a donné son évaluation de la situation des Nerazzurri, déclarant que le club pourrait bien avoir du mal à remplacer les joueurs partants cet été. Dans une interview donnée à Amazon Prime, et rapportée ici par L'Interista, le brésilien vainqueur du triplé a été direct dans ses évaluations, suggérant qu'une chute dans la qualité de l'effectif est en cours en conséquence des départs d'Achraf Hakimi et, potentiellement, de Romelu Lukaku. Les Nerazzurri étaient l'équipe qui se démarquer en Serie A la saison passée, les hommes d'Antonio Conte remportant le Scudetto avec une marge de 12 points. Cependant, avec le départ de Conte et de joueurs clés, le club pourrait bien souffrir pour maintenir une forme semblable à celle vue durant leur marche vers le titre. L'ancien entraîneur de la Lazio Simone Inzaghi fera au mieux avec ce qu'il aura à disposition et les supporters pourront se "réjouir" du nombre de joueurs clés de la dernière saison victorieuse encore présents dans l'équipe, mais le héro du Triplé croit que ça pourrait ne pas suffire... C'est qu'il est pas con notre Julione attention... "La situation à l'Inter est dictée par les problèmes financiers" dit-il... "L'Inter doit respecter le Fair-Play financier". Comme un vieux refrain qui ne nous quittera donc jamais... "J'aimais beaucoup l'entraîneur qu'était Conte, il avait la bonne mentalité et il a remporté le championnat. Lukaku a eu une saison magnifique, mais quand un club dans la situation de l'Inter reçoit une offre comme celle-là c'est difficile de refuser. Même chose pour Hakimi." Sur la recherche des successeurs des joueurs en question, Julio dit " Maintenant j'espère que l'Inter pourra agir sur le marché pour les remplacer, mais trouver des remplaçants à la hauteur de la tâche (Ndlr: ou tache pour Romelu) sera très compliqué". On pourra rajouter "Enfonce des portes ouvertes comme personne" à la longue liste de qualités de notre ancien gardien chéri... ©L'Interista, traduction par Trent_FCI.
  21. Au fil des ans, l'Inter Milan a accueilli certains des meilleurs gardiens de but du monde. Voici ceux qui sont sans doute les plus grands de tous les temps. Samir Handanovic Le gardien actuel de l'Inter Milan restera sûrement dans l'histoire comme l'un des meilleurs du club. Batman, comme le capitaine Samir Handanović est connu grâce à ses arrêts acrobatiques, est considéré comme l'un des meilleurs gardiens de sa génération. Il est l'un des quatre seuls gardiens non italiens à avoir été nommé gardien de l'année en Serie A, que Handanovic a remporté trois fois. Ivano Bordon Au cours de sa carrière de gardien de but, l'italien Ivano Bordon était considéré comme l'un des plus grands gardiens de but d'Italie, et il est toujours considéré comme l'un des meilleurs de l'Inter. Bordon a eu une carrière réussie en jouant pour plusieurs clubs italiens. Entre 1970 et 1983, il a joué pour l'Inter Milan. Bordon a commencé comme remplaçant de Lido Vieri mais il est devenu plus tard le gardien principal du club. Il a aidé l'Inter à remporter les titres de Serie A en 1971 et 1980, et deux Coppa Italia. De plus, Bordon était le gardien de but de l'Inter lorsque l'équipe a atteint la finale de la Coupe d'Europe en 1972 contre l'Ajax. Il était également membre de l'équipe nationale italienne qui a remporté la Coupe du monde de football en 1982. Le succès de Bordon s'est poursuivi même après sa retraite. Il a eu des succès notables en tant qu'entraîneur de gardien de but avec la Juventus et l'équipe nationale italienne. Julio César Le Brésilien Julio César était l'un des meilleurs gardiens de but du monde à son apogée, et il est toujours considéré comme l'un des plus grands gardiens de but du Brésil. Il était bien équilibré, autoritaire et courageux, avec beaucoup de force et des réflexes rapides. César a passé sept ans à l'Inter après avoir signé en 2005 pour un contrat de trois ans d'une valeur de 2,45 M€. Au cours de ces sept années, César a aidé l'Inter à remporter cinq Scudetti, l'UEFA Champions League 2009-2010 et la Coupe du Monde des Clubs FIFA 2010. En 2009 et 2010, il a reçu le titre de gardien de but de l'année en Serie A. César a également été nommé gardien de but de l'année par l'UEFA après la saison 2009-2010, et il a remporté le prix du Gant d'or lors de la Coupe des Confédérations de 2013. César a également joué pour l'équipe nationale brésilienne. Lorenzo Buffon Alors que le gardien de but italien Lorenzo Buffon est surtout connu pour son passage au Milan, il a ensuite joué pour son rival éternel. Il a commencé à jouer pour l'Inter en 1960. Sous la direction d'Helenio Herrera lors de la saison 1962-1963, Buffon a aidé à remporter le titre de Serie A. L'un des autres grands moments de Buffon au cours de ses trois saisons avec l'Inter Milan a été d'aider l'équipe à atteindre les demi-finales de la Coupe des villes de foires 1960-1961 (ancienne coupe UEFA, ndlr). Au niveau international, Lorenzo Buffon a été sélectionné pour l'équipe nationale d'Italie à quinze reprises entre 1958 et 1962. Buffon est largement considéré comme l'un des plus grands gardiens de sa génération et l'un des plus grands de l'histoire de l'Italie. Giuliano Sarti Le gardien italien Giuliano Sarti a joué pour plusieurs clubs tout au long de sa carrière, mais il est surtout connu pour ses succès avec la Fiorentina et la Grande Inter qui a conquis l'Europe et le Monde dans les années 1960. Il a rejoint l'Inter en 1963. Dirigé par le manager Helenio Herrera, Sarti a formé un partenariat légendaire avec les arrières latéraux Giacinto Facchetti et Tarcisio Burgnich, et le libero Armando Picchi. Avant de partir en 1968, Sarti a aidé l'Inter à remporter deux victoires en Serie A, deux Coupes d'Europe et deux Coupes internationales. Les experts et les fans du monde entier considèrent Giuliano Sarti comme l'un des gardiens de but italiens les plus grands et les plus titrés de tous les temps. Walter Zenga Largement considéré comme le plus grand gardien de but à avoir gardé les buts des Nerazzurri ainsi que l'un des meilleurs gardiens de but italiens de tous les temps. Né à Milan, il a gravi les échelons des jeunes à l'Inter avant de passer quelques saisons en prêt dans les divisions inférieures du football italien. C'est jusqu'en 1982, après quoi il a cimenté sa place entre les poteaux de l'Inter, devenant une icône du club en remportant deux Coupes UEFA, une Supercoppa Italiana et en faisant partie intégrante de l'équipe du Scudetto des record, 1988-1989.
  22. Sur Inter TV, notre ancien gardien de but s'est livré sur Barella, Lukaku, Martinez et ce Scudetto. "Il y a un joueur en particulier qui m'a frappé, et c'est le milieu de terrain: Barella." "J'aime vraiment ce gars pour sa simplicité et sa constance; c'est un joueur difficile à jouer." "Je pense que le duo Lukaku-Lautaro a été crucial. Ils ont finalisé tout le travail qui commence derrière avec nos défenseurs." "Je dirais que chaque match est important si vous voulez gagner le Scudetto. Il y a évidemment ces matchs célèbres qui valent six points, comme on dit, mais on remporte aussi des titres de champion en jouant contre des équipes considérées comme 'plus faibles'. Ce sont des matchs importants car tout peut arriver lorsque vous jouez à la Juventus ou à l'AC Milan, mais vous n'avez pas le droit de perdre de points contre les petites équipes." "L'Inter a bien fait cette saison pour maintenir cette constance, c'est le travail important que vous devez faire pour devenir champion. Il faut être concentré à chaque match."
  23. Romelu Lukaku est le protagoniste du Match Day Program d’Inter-Roma. Et Big Rom s’est une nouvelle fois illustré en déclarant son amour pour les couleurs Nerazzurre : "Lorsque je suis sur le terrain du Meazza, je me rends compte d’avoir concrétisé un de mes rêves depuis toujours. J’ai toujours voulu jouer avec le maillot de l’Inter. Le revêtir est d’une fierté incroyable, gagner est quelque chose de grandiose : Io Sono Interista!" Mon plus beau but ? "Celui du 3-0 au Milan, il résume toute mes caractéristiques : la course, la puissance, la précision. Il avait une signification importante pour moi et pour notre championnat. Cette équipe a gagné car elle s’est fortifiée via un état d’esprit de groupe exceptionnel. Nous nous sommes transmis aussi cette soif de victoire." Mon rapport avec Conte ? "Je savais depuis le début qu’il s’agirait d’une relation particulière. A l'été 2019, je lui avais écrit "J'arrive". Sur le terrain, je me bats pour l’équipe. Hors du terrain, j’aime la musique, les personnes vraies, je vie pour ma famille et j’aime rendre les autres heureux. La joie des interiste est aussi la mienne." L’attaquant révèle aussi son top 5 Nerazzurro Dans les buts Julio César : "Extraordinaire avec de la technique et du charisme." En défense Maicon : "Puissant, rapide, technique, il y en a peu comme lui." Adriano : "Je connais par cœur tous ses buts." Ronaldo : "Le football était la destinée d’Il Fenomeno." Eto'o : "Sa détermination et sa classe sont un exemple." ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  24. Andrei Radu a salué notre légende Walter Zenga et a admis qu'il aimerait avoir le jeu de pieds de Ronaldo, le vrai. Le Roumain a été invité à choisir son Inter XI de tous les temps dans un long métrage pour Inter TV. "Pour le gardien, c'est un choix difficile, je devrais choisir entre Zenga et Julio Cesar. Je dirai que Zenga pour son record d'apparitions de tous les temps, il était consistent et constant." "Maicon est à l'arrière droit, Cristian Chivu et Marco Materazzi sont au centre et j'aurai Javier Zanetti à gauche. Je les choisis parce qu'ensemble, ils ont été la meilleure défense de l'Inter." "Esteban Cambiasso et Dejan Stankovic sont parfaits pour jouer devant la défense, non seulement parce qu'ils ont remporté le Triplete mais aussi parce qu'ils ont su comment faire les deux côtés du terrain avec brio." "Figo peut jouer à droite, Wesley Sneijder est le 10 et Samuel Eto'o ira à gauche; ils auraient été un trio exceptionnel ensemble." "Je choisirai le Brésilien (R9, ndlr) parce qu'il a remporté le Ballon d'Or." "Je choisirais définitivement voler le talent de Ronaldo, sa nonchalance était vraiment unique. Je pourrais jouer avec ses pieds talentueux, de cette façon je peux dribbler autour d'un attaquant quand ils s'approchent de moi."
  25. Le rôle d'un gardien de but de réserve est, peut-être, une tâche ingrate: s'entraîner toute la semaine, sachant que vous passerez presque certainement le match enraciné sur le banc de touche. Lorsqu'une chance se présente, elle est souvent due au malheur des autres. Mais après tout, le malheur des uns fait le malheur des autres. A la veille de l'Euro 2000, Francesco Toldo a eu sa grande chance. Avant le tournoi, il semblait inconcevable que quelqu'un d'autre que Gianluigi Buffon soit entre les poteaux Azzurri. Pourtant, lors de leur dernier match d'échauffement contre la Norvège, quelques jours à peine avant l'ouverture du tournoi contre la Turquie, Buffon s'est cassé un doigt et a été exclu de la campagne. Comme Angelo Peruzzi avait déjà refusé d'être remplaçant, Toldo a été placé sous les feux de la rampe. Ses circonstances avaient été nettement différentes quelques semaines plus tôt. L'entraîneur italien et légende des gardiens Dino Zoff avait dit à Toldo qu'il ne serait que le troisième choix, destiné à ne jouer aucun, ou peu de, rôle lors de l'Euro 2000. Ce n'était pas la première fois que Toldo n'avait pas été convaincu. "A Milan, ils n'ont jamais vraiment cru en moi. Ils m'ont prêté à Vérone, Trento et Ravenne avant que la Fiorentina n'intervienne. Je n'ai jamais eu la chance de prouver ce que je pouvais faire, mais à la Fiorentina, j'ai eu cette occasion." En trois ans à Milan, il n'a jamais fait une apparition, mais avec La Viola, il s'est imposé comme l'un des meilleurs stoppeurs italiens de sa génération. Malgré cela, la promotion de Toldo du côté des Azzurri en 2000 a laissé beaucoup de gens déçus. Christian Vieri avait également été exclu du tournoi et, comme c'est souvent le cas, l'Italie n'était que peu considérée par la majorité. Mais, de façon typique, ils ont défié toutes les pronos sur la plus grande scène. Trois victoires en trois matches de groupe ont vu la confiance monter en flèche. La phase de groupes de Toldo était cependant loin d'être fluide et évidente. Lors du premier match contre la Turquie, gardé en mémoire pour le spectaculaire coup de pied d'Antonino Conte, le gardien de la Fiorentina était fautif. Il n'a pas réussi à stopper un but de son futur coéquipier de l'Inter, Okan Buruk. Toldo a été sauvé par un penalty de Filippo Inzaghi (victoire 2-1, ndlr). Le match suivant a vu l'Italie affronter la Belgique, co-hôte, à Bruxelles. Toldo a effectué une série d'arrêts avec un score de 1-0, ce qui s'est avéré crucial. Le bel effort de Stefano Fiore a scellé la place de l'Italie dans les huit équipes qualifiées. Dans leur dernier match de groupe, l'Italie était la deuxième équipe qui bâta la solide équipe suédoise. Une fois de plus, Toldo a prouvé la différence. Il a produit un certain nombre d'arrêts de qualité pour stopper les tirs Freddie Ljungberg et Henrik Larsson. Un but tardif d'Alessandro Del Piero a complété le "smash and grab" (victoire 2-1 avec le but de Del Piero à la 88e, ndlr). Les quarts de finale ont vu l'Italie affronter la Roumanie. Après avoir été à 2-0 à la mi-temps, les Azzurri ont fait face à une pression croissante malgré l'expulsion de Gheorghe Hagi lors de son dernier match pour le pays. Toldo a bien fait de stopper Adrian Mutu, entre autres, pour préserver une clean sheet. Cependant, beaucoup pensaient que la course de l'Italie allait s'arrêter. Une demi-finale contre les Pays-Bas, qui avaient battu la France en phase de groupes à Amsterdam était considérés comme un pont trop loin pour les hommes de Zoff. Mais ce devait être la meilleure heure pour Toldo. Les gardiens de but brillent souvent lorsque leur équipe est dos au mur. Rarement, cependant, une équipe est sur la défensive pendant 120 minutes, très rarement. Mais en vérité, les Néerlandais ont dominé l'Italie. Dennis Bergkamp a touché le poteau tôt avant que Gianluca Zambrotta ne soit expulsé pour deux cartons jaunes consécutifs. À peine quatre minutes plus tard, Patrick Kluivert a obtenu un penalty discutable, mais Toldo a produit un arrêt impressionnant pour stopper la tentative Frank de Boer. Un deuxième pénalty a suivi mais à cette occasion, Kluivert n'a tiré que pour voir son effort renvoyé par le poteau. Toldo fut bel et bien battu mais au fur et à mesure que le match avançait, il est resté fort pour stopper les tentatives de Giovanni van Bronckhorst, Marc Overmars et le remplaçant Clarence Seedorf. Toldo jouait dans ce qui s'est avéré être un 13e international chanceux pour l'Italie près de cinq ans après ses débuts en Croatie (8 Octobre 1995, 1-1 contre la Croatie, ndlr). En 13 matchs, Toldo n'avait concédé que six buts, un record remarquable. Alors que l'arbitre Markus Merk sifflait pour la fin des prolongations, Toldo avait déjà produit des miracles pour maintenir l'Italie dans le tournoi. Désormais, lors des tirs au but, il a eu la chance de devenir un héros national. Le premier coup de pied était une réplique de la première mi-temps alors que Toldo sauvait le tir de De Boer. Toldo n'avait besoin de rien faire quand Jaap Stam a explosé. Alors que les Pays-Bas s'effondraient, l'Italie était presque irréprochable, caractérisée par le remarquable cucchiaio de Francesco Totti. Au fur et à mesure que Paul Bosvelt s'avança, il devait marquer pour garder les co-hôtes dans leur propre tournoi. Mais Toldo en a fait un autre pour sceller et bien sauver la plus improbable des victoires. Du jour au lendemain, Toldo était le toast de l'Italie. Mais tu ne l'aurais pas su. Alors qu'il recevait son prix d'homme du match, il a été interrogé sur ses exploits lors des différentes fusillades: "Je ne sais pas comment j'ai arrêté ces tirs", a-t-il répondu, et il a quitté la scène. Ses exploits avaient organisé une confrontation à Rotterdam contre la France, qui avait écarté les Azzurri de la Coupe du monde deux ans plus tôt. Contrairement à leur performance contre les Pays-Bas, l'Italie a surclassé les champions du monde et a mené à juste titre par Marco Delvecchio. Toldo n'avait pas grand-chose à faire avant la 94e minute lorsque le remplaçant Sylvain Wiltord glissa le ballon sous le gardien désespéré des Azzurri. L'Italie a été terrassée. À seulement sept minutes des tirs au but, David Trezeguet a brisé le cœur des Italiens en marquant le but en or. Une fois de plus, Toldo avait été battu de près et n'aurait rien pu faire de plus. Le rêve de l'Italie était cruellement terminé alors que la France célébrait des victoires consécutives dans des tournois majeurs. Après ses exploits héroïques et ses clean sheets, Toldo a été nommé à juste titre dans l'équipe du tournoi. Mais lui et ses coéquipiers avaient raté le prix ultime. Avance rapide de six ans et lorsque l'Italie a mis fin à ses 24 ans d'attente pour un titre international, c'est un autre héros improbable qui a volé la vedette. La défense de l'Italie a été cruciale en Allemagne en 2006. Le capitaine Fabio Cannavaro a produit des performances remarquables et irait remporter le Ballon d'Or. Fabio Grosso a fait la une des journaux pour son but dramatique en demi-finale contre l'Allemagne ainsi que pour le penalty de la victoire en finale. Mais lors de leur dernier match de groupe contre la République tchèque, l'Italie était dans les cordes, sonnée. Incertain de sa place dans les 16 derniers, l'équipe de Marcello Lippi a subi un coup cruel. L'élégant Alessandro Nesta a subi une récidive à la cuisse qui l'exclurait du reste du tournoi. En avançant Marco Materazzi, collectivement les fans des Azzurri ont pris une profonde inspiration mais leurs craintes n'étaient pas fondées. Hé oui, Materazzi a marqué contre la République tchèque pour sceller la qualification de l'Italie mais a ensuite été sévèrement expulsé contre l'Australie après un incident qui l'a vu commettre une faute sur son propre joueur. Le défenseur de l'Inter est ensuite revenu avec son partenaire Cannavaro contre l'Allemagne en demi-finale alors que l'Italie résistait à un barrage pour atteindre la finale à Berlin. L'Italie a de nouveau affronté la France dans une finale majeure. Dans un match serré et tactique, Materazzi jouerait le premier rôle dans ce drame. Il a commis une faute sur Florent Malouda pour le penalty précoce de la France et a rapidement égalisé, belle tête. En prolongation, il était au centre d'une dispute avec Zinedine Zidane qui a vu l'icône française se retirer du football avec son infâme coup de tête. Materazzi s'est arrangé pour tirer son penalty lors de la séance alors que l'Italie devenait quatre fois championne du monde. Comme Toldo, Materazzi avait tiré le meilleur parti du malheur de quelqu'un d'autre pour devenir un élément central d'une campagne réussie des Azzurri. Toldo et Materazzi sont ensuite devenus coéquipiers de l'Inter. Après l'arrivée de Julio Cesar en 2005, Toldo a joué en deuxième violon du Brésilien mais était heureux de prendre du recul et de rester avec le club plutôt que de partir. En mai 2010, il s'est retiré du match. Alors que Materazzi pleurait avec Jose Mourinho dans les rues de Madrid, Toldo était, comme pour une grande partie de sa carrière, en arrière-plan: il était un remplaçant pour la dernière étape du triplé historique de l'Inter. Toldo avait sans aucun doute plus de talent que ne le suggèrent ses 28 sélections internationales, même si avec l'émergence du légendaire Buffon, il était au mauvais endroit au mauvais moment. Pourtant, lors d'un été doux en 2000, Toldo était certainement au bon endroit au bon moment. Et comme Materazzi six ans plus tard, il a profité de son improbable opportunité. Ce texte est une traduction de "Francesco Toldo: Italy’s unlikely hero" par Richard Hinman publié sur gentlemanultra le 20 Avril 2017.
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