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  1. La Gazzetta dello Sport inquiète les supporters de la Juventus car les problèmes ne sont peut-être pas terminés et confinés aux frontières nationales. On vous dit tout. Attention au coup de l'UEFA. Ils attendent toujours à Nyon. Tout d'abord, un recul de la Juventus sur le dossier de la Super League, ce que, pour l'instant, les nouveaux dirigeants de la Juventus n'ont pas encore accompli, attendant peut-être le prononcé de la Cour européenne. Une stratégie dangereuse, surtout si les juges de l'UE devaient confirmer la vision proposée par l'avocat général il y a quelque temps : une autre compétition continentale serait incompatible avec les compétitions actuelles. Donc, si vous avez participé à la Super League, vous seriez exclu de la Ligue des champions et autres. Aujourd'hui, un problème pour l'UEFA mais aussi pour la Juve, le Real Madrid et Barcelone, qui bloquent toujours le projet de coupe alternative. Les risques ? Exclusion des coupes pendant plus d'un an ! Les hommes de l'UEFA ont entre les mains la tonne de pages de l'enquête Prisma par le parquet de Turin. Ils les ont toutes examinées dans une enquête indépendante et sont sur le point de parvenir à une conclusion, peut-être dès Juin. La question fondamentale est de savoir si les soi-disant plus-values fictives et les deux manœuvres salariales (2020 et 2021) ont violé les principes de l'esprit sportif et modifié les comptes de la Juventus dans une perspective de fair-play financier. Il ne faut pas oublier que la Juve avait trouvé un accord avec Nyon sur l'accord de règlement, payant une amende fortement diminuée (3,5 millions contre les 19 prévus). Mais si cet accord était basé sur des déclarations comptables jugées fausses, la Vieille Dame aurait des ennuis, et l'hypothèse d'une exclusion pour une ou plusieurs années des coupes d'Europe ne serait pas du tout farfelue. En résumé, les rapports entre l'UEFA et la Juventus Traduction (objective) alex_j via FCInterNews.
  2. La Gazzetta dello Sport nous résume le CV de Steven Zhang depuis qu'il est à Milan. Tout a commencé avec le Scudetto 2021, sans oublier la finale de la Ligue Europa perdue l'année précédente lors de la pandémie. Avec une belle et grosse tasse scintillante à la main, sautant de bonheur en chantant ce refrain qu'il aime le plus : "Parce que nous sommes l'Inter..." Steven Zhang, le troisième président le plus titré de la glorieuse histoire des Nerazzurri, s'habitue à certaines scènes. Et aussi de faire continuellement de la place au tableau d'affichage à domicile : celui remporté hier avec excès de souffrance, et peut-être pour cette raison encore plus beau, est le cinquième titre arrivé au cours de sa saison. Le secret de cette lumière qui continue de briller réside dans le lien très étroit entre le président et son entraîneur. Hier, Steven et Simone ont chanté, ri et se sont fait photographier avec le trophée à la main. Cependant, c'est en coulisses qu'il a solidifié la relation, notamment dans les nombreuses périodes difficiles vécues ces derniers mois. Ce n'est pas un hasard si Steven a été le premier à annoncer la reconduction du coach, alors que l'idée d'un divorce flottait dans l'air. Aller de l'avant ensemble pour lancer l'assaut sur le Scudetto 2023-2024 après s'être arrêté à Istanbul, là où l'histoire passe. Steven et Simone, quelle belle histoire Traduction alex_j via FCInterNews
  3. La course à la C1 se retrouve un peu bouleversée. Voici le point fait par la Gazzetta dello Sport. La Juventus, entre condamnations et KO à Empoli, est effectivement hors de la prochaine Ligue des Champions. Alors, comment la course change-t-elle pour l'édition 2023/024 ? La Lazio qui se retrouve à ce stade à +7 de la cinquième place occupée par l'Atalanta a obtenu la qualification arithmétique pour la Champions. L'Inter qui a +5 sur la Dea pourrait se qualifier avec un match nul Samedi face à l'équipe de Gasperini. Quant au Milan, il leur faut désormais 3 points sur les deux prochains matchs, dont un ce Dimanche à Allianz contre la Juve, le dernier étant contre Vérone. En effet, à 67 points, les Rossoneri ne pouvaient être rejoints que par l'Atalanta avec qui ils ont l'avantage dans les comparaisons directes (match nul 1-1 et victoire 2-0). Traduction alex_j via FCInterNews.
  4. L'Inter racontée par notre Beppe Marotta fraîchement nommé Chevalier de la République italienne. Il est la star de l'espace "Je vous parle de l'Inter" dans le cadre de la "Milan Football Week" qui se déroule actuellement au cinéma Anteo de Milan. Voici son histoireracontée aux journalistes de la Gazzetta dello Sport. Le titre de chevalier "Immense satisfaction mais ces titres vont généralement à ceux qui sont plus âgés. J'ai 47 ans de carrière, je pense que l'heure du repos arrive." Comment allez-vous après le 0-2 de l'Euroderby ? "Généralement bien car on est à mi-parcours. On a un avantage mais il faut bien lire l'instant et être humble, motivé, convaincu qu'on peut le faire et réaliser quelque chose d'important. Mais il ne faut pas se complaire dans ce résultat, l'expérience m'apprend qu'il y a des cas où ça peut tourner." Partagez-vous les réflexions d'Ancelotti sur la pression générée par ce challenge ? "C'est l'entraîneur italien le plus titré de tous les temps, pour moi c'est LE entraîneur. Mais quand vous êtes sur le point de vivre un tel acte d'une compétition importante à ce moment de la saison, votre cœur bat plus vite. Ce soir, il y a un match que nous ne sous-estimerons pas mais l'esprit est à Mardi." Y a-t-il des regrets de ne pas avoir marqué le troisième but ? "Le plus important est la performance qui a convaincu tout le monde. Ce sont les meilleures conditions pour affronter un excellent adversaire au match retour. Ensuite, le 2-0 est différent du 3-0 mais ensuite le poteau de Tonali est également arrivé. Personne n'aurait jamais imaginé le 2-0." Quels seraient les mérites d'Inzaghi en cas de finale ? "Beaucoup, comme dans le cas négatif, l'entraîneur est visé par les critiques. Ensuite, il faut aussi parler des acteurs hors des projecteurs, comme les magasiniers. A l'Inter, il y a une grande culture qui est celle de toujours donner le maximum. L'expression maximale est Inzaghi qui a su surmonter des moments de forte pression et peut-être de critiques exagérées mais ceux qui vivent dans le sport doivent vivre avec cette réalité." Pourquoi une performance aussi poussive en championnat ? "C'est une saison atypique, avec une Coupe du monde à mi-parcours. Nous étudions d'un point de vue performance car je peux témoigner que les acteurs directs de l'événement ont montré qu'ils sont conditionnés tout au long de la saison. Sans préjudice du fait que Napoli méritait le Scudetto, nous devons réfléchir à l'importance de la relation esprit-corps. Ce sont des aspects qui doivent être pris en compte dans le monde du sport aujourd'hui; l'esprit, le mental est un aspect fondamental pour obtenir résultats." En fin de saison, les performances très positives en Ligue des Champions vont-elles peser ou le Championnat sera-t-il encore décevant ? "A ce jour, le bilan ne peut être que positif : être dans trois compétitions, dont deux où nous sommes protagonistes, vous donne une note de sept, si nous avions été plus avancés en championnat, cela aurait été 9-10. Le bilan de l'entraîneur doit devenir l'évaluation de nous-mêmes : quand nous avons perdu des points avec des équipes inférieures, avec tout le respect que je leurs dois, quelque chose n'a pas fonctionné et ce n'est pas juste de tout facturer à l'entraîneur. Les responsabilités doivent être partagées avec la direction et le club. Inzaghi va bien, il s'est remis de ce mauvais moment. A ce moment-là, c'était juste pour moi de mettre la pression parce que nous sommes l'Inter et nous devons toujours l'être." Inzaghi sait donc ce qu'il doit évaluer "Oui, alors à côté de lui, il y a des gens comme Zanetti et Ausilio avec qui discuter et analyser et qui parviennent à lui transmettre des préoccupations qu'il transformera ensuite en stimuli importants." La finale avec l'Inter comme revanche après celles perdues contre la Juve ? "Je suis très satisfait des résultats obtenus dans ma carrière. Gagner la Ligue des champions serait un rêve." Si vous devez identifier le point de basculement, quel est-il ? "Peut-être quand nous avons battu Porto en Ligue des champions. C'est là que nous avons trouvé la motivation pour changer de cap. Je pense que l'équipe est composée de bons professionnels et donc tout était plus facile et plus mérité. Nous avons gagné à juste titre contre des équipes fortes. Ce soir un un rendez-vous délicat arrive mais il faut faire en sorte que ces raisons soient trouvées car l'adversaire est très insidieux." Le retour de Leao est-il à craindre ? "C'est juste de donner du crédit à l'entraîneur et aux joueurs. Ensuite, quand l'adversaire manque de joueurs importants, vous risquez d'avoir un avantage mais la force d'une équipe est dans son ensemble. Je respecte Leao mais les autres sont bons aussi." Skriniar a-t-il regretté son choix ? "J'aimerais en parler après la saison. Cela aurait certainement pu être mieux résolu mais je veux en parler plus tard pour protéger le club. S'il peut récupérer pour la finale, alors l'entraîneur décidera. La valeur n'est pas discutée mais il ne s'est pas entraîné depuis deux mois, donc il est en difficulté sur le plan compétitif. L'entraîneur décidera de toute façon." Mais vous reprochez-vous quelque chose en tant que société ? "Je le répète, j'ai envie d'en parler en fin de saison. Il y a encore beaucoup d'amertume." Vous sentez-vous responsable des rêves des fans ? "Il y a aussi certaines émotions à vivre l'Inter. Le sport est beau en général, j'ai de la chance. Ensuite, je prends la responsabilité quand les supporters vous font confiance et je la transmets aux joueurs et aux managers. Le sens des responsabilités est fort et là ça donne motivation. Alors le football est imprévisible." De quels derbies êtes-vous le plus proche ? "Mon premier derby a eu lieu en 1970-1971, le jour de l'anniversaire de mon frère, c'était début mars et c'était Milan-Inter. L'Inter a remporté le Scudetto alors qu'elle avait six points de retard à ce moment-là, Invernizzi prenant le relais de Heriberto Herrera. L'Inter a gagné 2- 0 avec des buts de Mazzola et Corso, avec son coup franc feuille morte. C'était excitant, puis ça a coïncidé avec le Scudetto des Nerazzurri." En 2003, vous imaginiez-vous poursuivre cette carrière ? "Non mais les ambitions d'être un professionnel incluent toujours la vision et l'ambition de pouvoir grandir. Il va sans dire que lorsque j'étais à la Sampdoria, je voulais arriver dans un grand club, j'en ai traversé deux et ça a été une grande chance. La Sampdoria a été un âge d'or avec lequel j'ai sauté le pas, j'ai vécu ce derby de la Ligue des champions 2003 en tant que spectateur." Quel est le derby qui vous a le plus marqué en Italie parmi ceux que vous avez vécus ? "Ils sont tous différents et c'est un spot pour la ville. Celui de Gênes est plus romantique. Il y a beaucoup de motos là-bas et donc on peut trouver deux fiancés, l'un Genoa et l'autre Sampdoria. À Milan, il y a cette majesté du San Siro et les émotions chorégraphiques sont inoubliables; voir 80 à 85 000 spectateurs porter les couleurs vous excite, encore plus en Ligue des Champions." Est-il possible de faire une grande équipe avec peu de ressources comme vous l'avez fait ? "Je suis le directeur du domaine sportif et à l'Inter, nous avons créé une équipe au sein de l'équipe. Le mérite revient à Ausilio, Baccin, Zanetti qui ont construit cette équipe. Quand vous faites ce travail, il y a toujours une activité de scoutisme derrière. Le football est souvent perçu comme un phénomène improvisé, il faut plutôt des compétences pour faire mieux que dans d'autres clubs. Ce modèle est le fruit du travail de personnes compétentes qui ont agi avec un propriétaire fort qui nous a soutenus. Il faut aussi tenir compte des salaires et de la coût du travail mais nous avons remporté des victoires comme le Scudetto et la Coupe d'Italie. Maintenant nous terminons cette saison mais nous sommes toujours heureux." L'Inter avait cinq titulaires italiens dans le derby, quelle est l'importance du noyau italien ? "Fondamental. Tout comme Barcelone, le Real Madrid, le Bayern Munich, des clubs qui gagnent parce qu'ils ont un noyau dur de joueurs qui représentent la nation. Les Italiens comprennent ce que signifie aller jouer avec l'Inter, c'est fondamental." Lautaro s'est très bien intégré à l'Inter, sera-t-il le futur capitaine ? "Il progresse, il a 25 ans aujourd'hui. A cet âge, être capitaine, c'est quelque chose de fort. C'est un très bon joueur mais aussi un homme qui a des valeurs, les prémisses sont là." Traduction alex_j via FCInterNews.
  5. Simone Inzaghi a bouleversé la saison de l'Inter et peut-être aussi son avenir qui semblait scellé. La Gazzetta dello Sport nous dit tout! Avant la double confrontation contre Benfica, les nerazzurri étaient englués au classement et n'imaginaient pas arriver à 90 minutes de la finale de la Ligue des Champions. Ce basculement a donné le tournant, surtout émotionnel, à tout le groupe. Et les résultats sont là pour tous. Et maintenant, non seulement le banc ne vacille plus mais il est également juste de penser à un prolongement. Ce qui semblait certainement être un adieu à la fin de la saison est maintenant un scénario complètement changé. Est-il vraiment en train de 'faire' le jeu, Simone ? C'est lui qui tient son destin entre ses mains, c'est lui qui a réécrit son histoire, c'est lui qui mise aujourd'hui sur sa permanence. Mais quels ont été les facteurs décisifs autres que psychologiques ? De toute évidence, récupérer des gens comme Lukaku et Brozovic au sommet a son pesant d'or, notamment en termes de rotations. Et justement, le turnover avec presque toute l'équipe disponible a été parfaitement géré, élevant globalement le niveau psycho-physique de chacun. Et maintenant, personne ne veut s'arrêter. La deuxième place du championnat est tout aussi possible que de gagner la Coupe d'Italie et de conquérir une finale de la Ligue des Champions. Ce serait sensationnel. Et dire qu'il y avait ceux, comme Max Allegri, qui imaginaient il y a seulement 17 jours la sixième place pour l'Inter... Max Allegri, il n'a toujours pas compris que "Juventus, un club honnête" est un oxymore Traduction alex_j via FCInterNews.
  6. De nouveaux scénarios s'ouvrent concernant la situation de la Juventus. En attendant l'évolution des salaires, le club réfléchit également à l'accord de plaidoyer. "Il est peu probable que la nouvelle cour d'appel (la composition sera évidemment différente de celle qui a décidé les -15 points) puisse s'écarter de cette hypothèse. Cela pourrait ouvrir la voie à la négociation de plaidoyer sur l'autre cas car, assurée par l'éventualité très probable d'une condamnation basée sur la thèse du 'manque de loyauté' qui était la conclusion de son enquête et la demande de sanctions conséquente, Chinè pourrait répondre positivement à une éventuelle demande de la Juve en ce sens," rapporte La Gazzetta dello Sport. "Amende maximale ? En fait, c'est au club de demander une négociation pénale et non de la proposer au procureur fédéral. Il est plus facile de faire l'hypothèse que la simple amende pourrait constituer une piste utile pour la Juve. L'idée d'un accord de plaidoyer interdit en cas de 'récidive', la pierre d'achoppement, disons-le ainsi, ne serait pas telle. Le fait que l'article 4 ait inclut le volet judiciaire et affaires sportives n'indiquent pas le même type de litige. Deux scénarios. La sensation est que nous dansons autour de deux scénarios." "Le premier : une sanction conséquente contre la Juve dans le processus des plus-values, le règlement avec une amende maximale (ou un ou deux points de pénalité) dans le cadre de ce raisonnement. Les comportements de manque de loyauté franchissent les deux lignes et une sanction très afflictive devrait en grande partie satisfaire à la demande d'un procureur fédéral. Ce scénario mettrait toutefois en péril non seulement la Ligue des champions, mais aussi la Ligue Europa. En même temps, cela contrecarrerait ou en tout cas réduirait les possibilités d'une intervention lourde de l'UEFA, ce qui pour le moment ne peut être exclu." "Le second est très différent. Pour y entrer, cependant, nous devons nous rappeler que rien ne filtre du club concernant la ligne défensive qui peut être prise dans le processus et dans la relation avec le parquet fédéral. Ce n'est que notre hypothèse : les avocats de la Juventus pourraient tenter d'arriver à une sanction 'la moins grave possible' en se concentrant précisément sur la question de la 'proportionnalité', mettant peut-être aussi en jeu le changement d'équipe dirigeante par rapport aux 'mis en examen'. Un report de la sanction la saison prochaine est envisageable. L'article 8 prévoit que 'si la sanction sur le résultat est sans effet en termes d'afflictivité dans la saison sportive en cours, elle est remise en cause, en tout ou partie, dans la saison sportive suivante'. Cette solution pourrait cependant amplifier le front de l'UEFA," clôt la Gazzetta. Quel club, je vous jure ! Un vrai Santa Barbara Traduction alex_j via FCInterNews.
  7. Les trois défenseurs de l'Inter sur le terrain pour l'Euroderby seront Darmian, Acerbi et Bastoni. C'est ce qu'a assuré La Gazzetta dello Sport en faisant le point sur l'état du numéro 95 des Nerazzurri qui a quitté hier l'Olimpico légèrement blessé après avoir reçu un coup de pied. Il ne devrait rien y avoir de grave, à tel point que le staff médical était rassurant après le match. Pour Basto, ce n'est qu'un coup rugueux. Il faut également surveiller les conditions de D'Ambrosio qui entre aujourd'hui et demain reviendra s'entraîner avec ses coéquipiers. Cependant, il ne sera pas titulaire dès le départ dans l'Euroderby. "Au contraire, s'il devait y avoir des problèmes avec Bastoni, placer au centre De Vrij avec Acerbi au centre-gauche. Pour le moment, c'est une solution d'urgence à laquelle Inzaghi pense ne pas avoir à recourir. Il verra plus clair entre aujourd'hui et demain." Traduction alex_j via FCInterNews.
  8. Marcelo Brozovic a été dans le XI de départ pour la deuxième fois consécutive en championnat face à la Juventus. Cependant, sa performance n'a pas été convaincante. Analyse de la Gazzetta dello Sport. "Face à la Juventus, un énième test est venu pour une doublure. Ce n'est pas le cascadeur qui se jette dans les flammes et qui en ressort avec une cascade digne d'une standing ovation, non, mais c'est l'un de ces sosies que les stars hollywoodiennes utilisent pour tromper les paparazzis. C'est un fait que dans la tête de l'entraîneur il y a d'autres titulaires mais il est tout aussi certain que la qualité coule toujours, pure et cristalline, dans les pieds et les synapses du Croate." L'Inter a réussi à combler l'absence de Brozovic pour cause de blessure grâce à la performance avant et après la Coupe du monde de Hakan Calhanoglu en tant que meneur de jeu. Cependant, les problèmes de construction du jeu sont apparus dans la dernière période même lorsque le Croate est revenu. "Soyons clairs, dans cette Inter 2023, Marcelo n'a pas seulement effectué que des mauvaises prestations. Pour Inter-Porto, il méritait un bon 7 sur son bulletin avec une saveur d'espoir. Au total, il n'a obtenu que trois échecs mais le problème est que ses trois échecs correspondent à ses trois derniers matches de championnat en tant que titulaire et qui correspondent aux trois dernières défaites des Nerazzurri contre Bologne, la Spezia et la Juventus. Le lien de cause à effet reste à prouver mais au moins la coïncidence aussi troublante qu'impitoyable doit être notée." Traduction alex_j via FCInter1908.
  9. L'Inter a atteint les quarts de finale de la Ligue des champions après un match nul 0-0 à Porto. Un résultat positif et presque impensable en ce début de saison car une troisième place dans le groupe avec le Bayern et Barcelone et un reversement en Ligue Europa avait été budgété dans le budget des Nerazzurri. "Cette étape est de l'eau douce pure pour la propriété Nerazzurri", explique La Gazzetta dello Sport qui rapporte également les chiffres. "L'UEFA honorera le club avec un transfert de 10,6 millions d'euros comme prix d'accès aux quarts de finale. Propre, claire et désaltérante comme l'eau d'une oasis lors d'un voyage fascinant mais fatigant dans un désert. A cette somme s'ajouteront cependant aussi les maxi recettes de Giuseppe Meazza pour le prochain match européen, soit 6,7 millions ont été comptabilisés contre Porto malgré les prix abordables. Il est donc raisonnable de penser que les recettes seront encore plus élevées. Pour clore le tableau, en plus de quelques bonus des sponsors, il y a enfin l'augmentation de la part de marché de l'UEFA qui dépend en partie des matches disputés dans la compétition. A Do Dragao l'Inter en a remporté deux autres, ce qui amènera le chiffre total au-dessus du seuil des 20 millions au total." "Les 20 millions entrants changent aussi le scénario concernant le mercato. Cette somme ne finira pas dans un budget spécifique dédié à tel ou tel objectif. Il sera simplement une clé pour assouplir les limites que les propriétaires imposeront, de toute façon, à la gestion de la durabilité économique. Avant même d'éventuelles greffes, le bénéfice pourrait passer par les sorties, on avait parlé ces dernières semaines des sacrifices auxquels l'Inter aurait sans doute dû faire pour remplir les caisses. Une avant fin juin, une après. Avec ces millions la situation devient de plus en plus nuancée et il est possible qu'une seule vente "obligatoire" suffise, avec par exemple Dumfries et Brozovic comme ventes potentielles." Traduction alex_j via FCInter1908.
  10. Le parcours de l'Inter en Serie A a eu trop de hauts, de bas et de sorties de route. C'est pourquoi les Nerazzurri ne peuvent plus se permettre de perdre des points en route, aussi parce que la course pour se qualifier pour la prochaine Ligue des champions devient difficile. "Sept défaites en vingt-cinq matches, c'est trop pour quelqu'un qui a commencé avec des attentes très différentes. L'Inter a commencé au premier rang dans la course au titre, mais trop de choses n'ont pas fonctionné. D'accord, les blessures auraient pu conditionner la performance mais elles font partie du jeu et elles ont également frappé leurs adversaires dans la course au Scudetto, le Napoli de Spalletti." "Car dans la nuit du 4 janvier, dans la confrontation directe à la reprise de la Serie A, l'Inter avait montré qu'elle était digne du Napoli et avait peut-être même quelque chose en plus. Il s'était ramené à moins huit, suggérant un deuxième tour passionnant. Et au lieu de cela, en deux mois, l'équipe a glissé loin du sommet, perdant des points contre Monza et la Sampdoria (deux nuls) et s'effondrant à domicile contre Empoli et dans le désormais fatal Bologne. Des performances insuffisantes et une attitude pas toujours à la hauteur de l'Inter. Ainsi la qualification pour les quarts de finale de la Ligue des champions est devenue l'objectif minimum pour sauver la saison." "Ce qui est très bien, c'est que l'équipe, les soirs décisifs, a toujours répondu présent. Et c'est ce que l'environnement attend désormais pour ces deux prochains matches. Même Inzaghi attend des confirmations à La Spezia, après la prestation convaincante contre Lecce. En attendant, il faut gagner les deux prochains matchs. Le seul moyen de rester encore à l'Inter." Traduction alex_j via FCInter1908 (La Gazzetta della Sport).
  11. Du rapport intermédiaire d'Inter Media and Communication, la filiale du club Nerazzurri qui détient les contrats télévisés et commerciaux, on apprend que l'actionnaire Suning a versé 10 millions dans les caisses du groupe il y a quelques jours. Selon l'analyse de Gazzetta dello Sport, il s'agit des seules injections de capital de la famille Zhang sur les 75 millions versés entre mai et juin 2021, lorsque la holding en manque de liquidités a été secourue par le fonds d'investissement américain Oaktree avec un maxi-prêt de 275 millions. Officieusement, un chiffre indicatif avait également fuité des milieux Nerazzurri : Zhang aurait injecté des liquidités pour 100 millions. À ce jour, cependant, seulement 10 sont arrivés. Au total, 107 millions ont coulé dans les coffres du club à partir des provisions de prêt d'Oaktree. Un peu plus d'un tiers de ces 275 millions. Zhang a transféré les 75 millions initiaux en 2021 (dont 15 convertis par la suite en compte de capital) et 10 il y a quelques jours à l'Inter sous forme de financement par les actionnaires. Comment accéder au 107 millions ? Les 22 millions restants sont allés à Suning pour régler d'anciens paiements dus pour le parrainage du centre sportif et le kit d'entraînement. Avec une partie des fonds d'Oaktree, la propriété a remboursé une dette qu'elle avait avec le club. Avec le maxi-prêt d'Oaktree, cependant, Suning a recommencé à injecter des capitaux dans l'Inter, bien qu'à des chiffres très bas pour une raison. Le montant des injections "equity", nettes du paiement des intérêts et d'une partie du capital, est égal à 530 millions majoritairement concentrés sur les premières saisons. Désormais, les temps ont profondément changé. Ce n'est pas un mystère que l'Inter soit sur le marché, à la recherche d'un acheteur : l'expiration du prêt d'Oaktree est un tournant. L'utilisation parcimonieuse de ces fonds pourrait faciliter le refinancement, une opération complexe mais indispensable pour empêcher le fonds américain d'exercer son droit et de prendre l'Inter. Traduction alex_j via FCInterNews.
  12. Oublions Bologne et repartons! A l'Inter, c'est la priorité et pour un mois délicat sur le front européen où les quarts de finale de la Ligue des champions sont également en jeu. Steven Zhang le sait bien puisqu'il s'est arrêté hier à Appiano Gentile pour une discussion directe avec Simone Inzaghi, la direction et l'équipe. Les mots de la Gazzetta dello Sport. Pas de face-à-face, pas de rappels! La présence du président était un autre signal fort à envoyer aux vestiaires, il faut s'unir, être tous unis jusqu'au bout pour atteindre nos objectifs. La qualification pour la Ligue des champions reste l'objectif principal mais rejoindre également le G8 des grands noms européens est une volonté forte du président. Il a déjeuné avec l'équipe puis s'est longuement entretenu avec Inzaghi. Zhang a décidé de suivre l'entraînement en personne comme un message pour réaffirmer sa proximité avec le groupe avec des faits. Traduction alex_j via FCInterNews.
  13. Franck Kessie veut récupérer Milan et surtout, il veut l'Inter. La Gazzetta dello Sport en est sûre! Cet intérêt mutuel est confirmé par les appels téléphoniques entre lui et Hakan Calhanoglu, son ami et ancien coéquipier à l'époque du Milan. "Quelque chose couve, bien au-delà de leurs appels téléphoniques, alors l'Inter sent le deal, malgré le fait qu'il y ait des problèmes objectifs à surmonter. Le premier est la place à trouver au milieu, où pourtant le plus gros des manœuvres a commencé pour trouver une équipe à Marcelo Brozovic. Indépendamment de la possibilité de monter un échange sur l'axe Milan-Barcelone avec Kessie lui-même, déjà évoqué en Janvier, Brozo n'est pas du tout sûr de rester chez les Nerazzurri. Le deuxième est que le salaire annuel de 6,5 millions de Kessie ne bénéficierait pas du décret sur la croissance. Cependant, la volonté du joueur peut aider à plier le salaire. Quant à la négociation avec Barcelone, cependant, l'idée de l'Inter est de proposer aux Catalans un contrat de prêt, sous réserve d'un rachat la saison suivante. Cependant, le prix du milieu de terrain ne devrait pas dépasser les 30 millions. La situation évolue car même si l'envie de ne pas mettre Frank sur le marché filtre du Barça, le destin sera guidé par les prochains mois. En grandissant dans le temps de jeu et dans le schéma tactique, Franck pourrait même changer d'avis à propos de Barcelone. Mais l'envie de retourner à Milan, en ce moment, est grande." Traduction alex_j via FCInterNews.
  14. La mésentente entre Lukaku et Barella en fin de première mi-temps du match contre la Sampdoria était devenue virale. À la énième remarque du milieu de terrain, l'attaquant ne s'est pas retenu et sa colère explosa. Récit de la Gazzetta dello Sport. "On voit un Lukaku furieux qui remue d'abord le doigt comme pour dire non, tout en bougeant les bras comme pour imiter les gestes de Nicolò. Et puis il hurle sa frustration à son partenaire: 'Ne fais pas ça! Aassez avec tes bras! Ne fais pas ça! Ce n'est pas bon, c'est insultant, maintenant ça suffit.' Cela est le signe d'un agacement grandissant. Pour clôturer le spectacle, il a lancé une phrase qui ressemblerait à un: 'Vas te faire foutre! Fils de pute!' Inzaghi lui-même à la fin du match a tiré les oreilles tout en éteignant le feu: 'Ce sont des choses que je n'aime pas, ça ne devrait pas arriver, mais parfois ça peut arriver sur les terrains... A la mi-temps pourtant, on avait déjà éteint le feu. Cela ne se reproduira plus. Et puis ce sont aussi de grands amis.' Les nerfs tendus aussi et surtout pour un résultat qui, malgré les occasions, ne bougeait pas. Et puis ça ne s'est jamais débloqué. Il est impossible de dire si cette nervosité (injustifiée) est aussi en partie due à la frustration de voir une équipe lancée comme le Napoli de Spalletti. Cependant, cette querelle ne suffit certainement pas à faire entrer le SOS dans le vestiaire d'Inzaghi. Lukaku et Barella sont de vrais amis, même en dehors du football, et chacun plaisante souvent sur les défauts de l'autre, en privé comme en public. Hier, ils sont revenus ensemble en deuxième mi-temps en discutant tranquillement et Simone voulait qu'ils saluent le match ensemble : à la 66e minute, l'entraîneur a remplacé Romelu et Nicolò, laissant Dzeko et Brozovic entrer dans la chasse aux buts. Évidemment, ce n'était une soirée ni pour le Belge ni pour l'Italien. Il y a des soirs comme ça." Traduction alex_j via FCInterNews.
  15. Calcio e Finanza donne les chiffres d'un retour définitif de Lukaku chez nous. Il n'a pas encore pu donner le meilleur de lui-même cette saison à cause d'une blessure qui l'éloigne des terrains depuis plusieurs semaines. Romelu Lukaku se sent chez lui à l'Inter, et comme le rapporte La Gazzetta dello Sport, il pourrait rester chez nous plus d'une saison. La décision finale sera officiellement prise d'ici la fin de la saison, lorsque l'Inter et Chelsea se rencontreront pour discuter de l'avenir de l'attaquant. Il y a déjà un gentlemen agreement pour lequel Lukaku resterait avec les Nerazzurri également pour 2023-2024, rien de définitif cependant. Les signaux venant de Londres disent que la nouvelle propriété des Blues n'a non seulement aucun intérêt pour le moment à récupérer l'attaquant. Mais, ils pourraient également ouvrir une fenêtre dans le nouvel accord pour le retour définitif du Belge à l'Inter. Lukaku a fait ses adieux à l'Inter à l'été 2021 pour une opération à 115 M€ pour les Blues et un contrat de 12 M€ net par saison. Pour le Chelsea actuel, Lukaku n'est pas nécessaire. Le changement de banc ne semble pas avoir changé les choses. Les Londoniens, dans leur marché record avec plus de 300 M€ investis, ont même engagé un nouvel avant-centre, Pierre Aubameyang. Le prêt pour cette saison s'est clôturé sur la base de 8 M€ plus 3 M€ de bonus. Un prêt onéreux, officiellement uniquement pour 2022-2023. C'est le point de départ car l'Inter a cet accord non écrit de son côté pour une autre année à Milan. Cependant, ils peuvent travailler pour un meilleur plan sachant que Chelsea n'a pour l'instant aucune motivation pour reprendre Lukaku. Une autre saison avec un prêt onéreux, garantissant au moins 10 M€ supplémentaires et continuant à payer le salaire du joueur, est la base à partir de laquelle les discussions vont commencer. Le but est d'insérer au moins une option de rachat en notre faveur à l'été 2024 et de viser un retour définitif du Belge à Milan. Il ne reste plus qu'à se demander, à ce moment-là, quelle somme l'Inter devrait mettre dans la balance pour verrouiller définitivement le retour du joueur. À l'été 2024, Lukaku aura une valeur d'environ 46 M€ dans le bilan des Blues. C'est la somme qu'ils devraient encaisser pour ne pas générer de perte. De plus, la signature de Big Rom sera discutée car il touchera à peine les 12 M€ de Chelsea. Il devra tout de même être un joueur de premier plan. Traduction alex_j via Calcio e Finanza.
  16. Trêve internationale oblige, l'Albicéleste a battu le Honduras 3 - 0. Lautaro Martinez a encore marqué talonnant le record de Gabriel Batistuta. Il n'y a donc pas d'Argentine sans Lautaro. Une loi non écrite indiscutable, les Argentins le savent, Scaloni en premier lieu qui ne lâche rien sur l'attaquant de Bahia Blanca, de plus en plus en tête. El Toro a également mis son sceau lors du match amical face au Honduras, remporté 3-0 par l'Albiceleste. Notre Nerazzurro ouvre le score, débloquant un match assez pimenté, but suivi par deux autres de l'inévitable Leo Messi. Scaloni apprécie les performences de notre attaquant mais lui accorde aussi un peu de repos en le remplaçant à la 46e par Julian Alvarez. Les chiffres de notre Lautaro Martinez continuent ainsi de s'améliorer avec l'Argentine : notre attaquant arrive ainsi à 21 avec la Seleccion. La Gazzetta dello Sport écrit : "En 2022, personne ne marque à l'Albicéleste comme Martinez : ce dernier but contre l'équipe nationale d'Amérique centrale a permis à Lautaro d'améliorer son bilan en nombre de buts en matchs consécutifs. Maintenant, la séquence a atteint quatre matchs et le total est de 21 buts en seulement 39 matchs. Il met un but toutes les 121' en moyenne et, parmi les géants qui en ont marqué au moins 20 avec l'Argentine, à ce moment seul Gabriel Batistuta, un but tous les 119', a de meilleurs chiffres que lui. Hernan Crespo, un tous les 130', vient d'être dépassé." Alors que la Coupe du monde approche à grands pas et que l'Argentine est parmi les favoris pour la remporter, Lautaro Martinez a utilisé son compte Instagram pour dire que l'équipe est toujours sur la bonne voie. "Nous sommes toujours sur la bonne voie. Ça se rapproche de plus en plus." Traduction alex_j via FCInterNews et Sempreinter.
  17. Quelques jours après l'annonce de sa retraite du football, Andrea Ranocchia a accordé une interview à La Gazzetta dello Sport, la voici. Commençons par la jambe, après la fracture du péroné d'août. "Ça va un peu mieux, je viens d'enlever le plâtre, j'ai repris la marche, même si j'ai toujours mal. Je fais une thérapie, je serai de retour à la salle sous peu." Pourquoi avez-vous décidé de quitter le football malgré un contrat courant jusqu'en 2024 ? "Il n'y a pas eu qu'un seul épisode déclencheur. A partir d'avril, également grâce à une série de problèmes privés, j'ai commencé à ressentir moins d'enthousiasme pour le football. J'espérais que ce n'était qu'un moment. A l'Inter, je me sentais bien avec tout le monde." En parlant de l'Inter, comment s'est passée la séparation ? "Mon contrat a expiré en juin, Piero (Ausilio) m'a expliqué qu'ils devaient faire toute une série d'évaluations. Je voulais jouer plus, et Monza est arrivé. Projet sérieux, porté par des managers qui ont déjà gagné, la possibilité de ne pas changer de domicile pour mes enfants (Lorenzo, 4 ans, et Adele Luna, 2 ans) et élever les jeunes. J'ai accepté. Mais pendant la retraite, j'ai beaucoup lutté. Les années ne sont pas revenues, c'était terrible." Combien la blessure a-t-elle pesé sur la décision finale ? "Ça a accéléré un cheminement déjà en cours. A tel point que je n'exclus pas qu'une fracture aussi grave soit liée au fait que la tête ne tournait plus dans le bon sens." Que vous a dit Galliani ? "Je lui ai expliqué ce que je ressentais et que je ne voulais pas me moquer de moi-même, mais aussi de ceux qui m'avaient fait confiance. Il a été surpris, mais il a compris et respecté ma décision. Certainement pas parce que j'ai renoncé à l'argent, dont je ne veux pas parler aussi par respect pour ceux qui peinent à joindre les deux bouts." Après l'annonce, étaient-ils si nombreux à vous appeler ? "J'ai reçu des messages et des appels téléphoniques de gens ordinaires, de tous mes coéquipiers, adversaires et entraîneurs, même ceux que je n'ai jamais eus. Mais ces jours-ci, je me suis vraiment isolé. Ce matin (hier, ndlr) Conte m'a appelé." Le plus beau message ? "Citer l'un d'eux ferait tort aux autres. Mais parmi tant d'autres il y avait aussi Zhang, Pioli, Spalletti, Cattelan, Mentana, que je suis toujours." Spalletti nous ramène à un moment décisif de ta carrière. "On se parle souvent avec Luciano, une personne formidable. Vous faites référence à la fois où il a affronté un fan qui en 2017 m'a insulté lors du camp d'entraînement à Riscone. Il a failli lui donner deux gifles (rires). La première fois que quelqu'un me défendait. Un choc décisif sur le long d'un chemin que j'avais entrepris seul." En fait, pendant quelques années, vous avez été le bouc émissaire des problèmes de l'Inter. "J'étais très bas, une expérience dont je me serais passé, mais formatrice. Dans le football, quand les choses ne tournent pas on en vise deux ou trois... Arrivé tout de suite après le Triplete, j'ai vécu des saisons difficiles. Mais j'ai aussi apprécié l'ascension grâce au Suning et Spalletti lui-même, jusqu'aux victoires avec Conte et Inzaghi." Inzaghi est maintenant en difficulté. "Il y a des moments comme ça, surtout en début de saison, avec un effectif plein de nationaux qui ont joué aussi l'été. Je suis sûr que l'Inter va récupérer. Ils ont l'effectif le plus fort et un vestiaire sain. Cela reste ma préférée pour gagner le scudetto." Même sans un leader silencieux comme vous ? "Dans le vestiaire chacun apporte sa contribution. Même en plaisantant toujours comme Brozo." Le football est ta vie depuis qu'il a 5 ans. Avec l'annonce du départ, un fardeau a été enlevé ou est-ce plus triste ? "Triste non, sinon j'aurais continué. Ces derniers mois, j'ai beaucoup réfléchi, même trop. Et la certitude est que je suis fier et satisfait de ma carrière. Des victoires et de la façon dont j'ai surmonté les problèmes. Mais sans enthousiasme on ne peut pas continuer. Maintenant je prends du recul un moment, puis j'aimerais ouvrir une école de foot." Le pire et le meilleur moment de votre carrière ? "Le pire en été, quand je me suis rendu compte que la lumière ne se rallumait plus. Le plus beau, le Scudetto. Je l'ai longtemps chassé, j'en ai vu et vécu de toutes les couleurs. Triomphant ainsi, l'arithmétique est arrivée le lendemain de Sassuolo-Atalanta, mais déjà en revenant de Crotone en avion nous avons fait la fête. Même Monsieur Conte qui n'exulte jamais tant que le résultat n'est pas certain." Conte, avec qui l'aventure avait débuté entre Arezzo et Bari, s'était arrêtée à l'Inter. "Je n'ai pas été surpris. Il est obsédé par la victoire et peut-être pensait-il avoir tout extirpé de lui-même et de ce groupe." Vous avez aimé ce groupe ? "Beaucoup. Mais aussi celui de Monza de mon ancien partenaire (au Genoa) Palladino est excellent. Le vestiaire sera ce qui me manquera le plus. Mais pas aujourd'hui." Maintenant que tu es en retraite, vous pouvez admettre que ce penalty en Mars dernier sur Belotti, non vu par l'arbitre et la Var, était valable. "Bien sûr que oui ! (Rires)." Votre dernier but ? "Avec Empoli en janvier. En acrobatie, décisif pour ne pas sortir déjà au deuxième tour de la Coupe. Ensuite, les coéquipiers ont été bons pour battre la Roma, Milan et la Juve. Mais un morceau de ce trophée est à moi." Traduction alex_j via FCInter1908.
  18. L'Inter a bercé le rêve d'avoir à la fois Romelu Lukaku et Paulo Dybala dans l'équipe. La Gazzetta dello Sport le dévoile aujourd'hui le pourquoi du non. L'Inter avait nourri le rêve d'avoir à la fois Romelu Lukaku et Paulo Dybala en attaque. La Gazzetta dello Sport retrace les doux jours d'été où la Joya était vraiment à un pas de porter le maillot Nerazzurri. Voici les raisons du non à l'Argentin, libéré après la fin de son contrat avec la Juventus. Monsieur 31 millions est une étiquette désagréable et difficile à porter, bien sûr. Joaquin Correa a du mal à l'enlever car les performances n'étaient et ne sont pas à la hauteur de l'investissement, les attentes envers lui étant très élevées. Comme toujours en fait. Ils le sont notamment pour Simone Inzaghi qui était le principal soutien de Tucu. Correa n'est pas le premier Argentin à arriver dans l'histoire de l'Inter avec le poids des attentes difficiles à porter. Dans son cas, il n'y a pas que les fameux 31 millions à peser. Parce que c'est comme si Inzaghi l'avait acheté deux fois, pas une seule fois. La seconde était il y a quelques mois à peine, entre juin et juillet, où l'Inter tenait Paulo Dybala entre ses mains. L'accord n'était que déposé et le choix de l'ancien joueur de la Juventus était fait. Puis Lukaku est arrivé. Mais ce n'est pas tout. Car même après l'arrivée du Belge, il y avait la possibilité d'amener la Joya à Appiano. Une vente aurait été nécessaire, en plus de celle de Sanchez. L'Inter avait reçu des sondages pour Correa : pas de négociations approfondies, mais quelque chose avait bougé de côté de la PL; on ne parlait probablement pas de West Ham par hasard. Même dans ces situations, comme déjà quelques semaines auparavant, Inzaghi a retenu cette possibilité. Il n'a pas accéléré, on peut le dire. Pas même face à l'opportunité de faire entrer Dybala dans notre maison. Le coach est allé au fond des choses, il s'est renseigné sur l'ancien numéro 10 de la Juventus. Et il a fait confiance au jugement de certaines personnes proches de lui, des connaissances de longue date, qui l'ont mis en garde sur la condition physique de Joya. Ces mises en garde ont réduit considérablement les chances de voir Dybala à l'Inter, avant de s'éteindre définitivement. Traduction alex_j via FCInter1908.
  19. Moment compliqué pour l'Inter avec 3 défaites sur les 7 premiers matchs. Une performance en demi-teinte qui pousse Simone Inzaghi à une relance rapide après la trêve internationale. Comme le rappelle La Gazzetta dello Sport, il existe cependant plusieurs poids lourds libres à ce jour. Thomas Tuchel a été limogé par Chelsea après un mauvais début de saison. L'Allemand a un contrat avec les Blues jusqu'en 2024. Mauricio Pochettino a été limogé par le PSG après le flop en Ligue des champions. Son contrat avec les Français expire en juin 2023. Zinedine Zidane n'a entraîné que le Real Madrid mais a tout gagné, trois Champions et deux Liga. En attente d'une nouvelle proposition. Lié à Everton jusqu'en 2024, Rafa Benitez, limogé en janvier, cherche une nouvelle équipe. Claudio Ranieri, également à la recherche d'une nouvelle proposition, est lié à Watford jusqu'en 2023. Paulo Sousa, ancien joueur de l'Inter et de la Juve entre autres, fait également partie des profils les plus intéressants. Dejan Stankovic qui a démissionné il y a un mois en tant qu'entraîneur du Red Star Belgrade. En 3 ans il a remporté 3 championnats. Marcelo Bielsa n'a pas entraîné Leeds depuis février et attend une nouvelle opportunité. Jorge Sampaoli, ancien sélectionneur du Chili et de l'Argentine, attend également. Joachim Low, ancien sélectionneur de l'Allemagne, Ole Gunnar Solskjaer, ancien de United, et Quique Setien complètent la liste des 12 meilleurs techniciens en attente d'un appel. Traduction alex_j via FCInter1908.
  20. Selon un rapport des médias italiens aujourd'hui, le directeur délégué de l'Inter, Beppe Marotta, a mis en place un plan pour signer l'attaquant de la Juventus Paulo Dybala chez les Nerazzurri pour la saison prochaine. Comme le rapporte La Gazzetta dello Sport, Beppe Marotta sait qu'il devra faire face à de sévères restrictions financières cet été pour construire une équipe capable de remporter la Serie A et d'aller plus loin en Ligue des champions. C’est un grand admirateur de Paulo Dybala et est très désireux de le faire venir à l'Inter. C’est de plus en plus évident, ces dernières semaines, que Paulo Dybala ne renouvellera pas son contrat avec la Juventus. L'Inter doit d'abord se séparer d'Alexis Sanchez, que ce soit par un transfert ou en rachetant son contrat d'un an. Ensuite, Beppe Marotta offrira à Paulo Dybala le salaire maximum autorisé par les directives du club, soit 7 à 7,5 millions d'euros par saison, primes comprises. ®Oxyred - Internazionale.fr Via SempreInter
  21. L'Inter prévoit une révolution au milieu de terrain cet été L'Inter prévoit de révolutionner son milieu de terrain cet été avec des joueurs comme Leandro Paredes et Davide Frattesi, selon un rapport des médias italiens. Comme le rapporte La Gazzetta dello Sport, l'Inter sait qu'il doit remplacer le duo de milieux de terrain sortant, Arturo Vidal et Matias Vecino. Ils pourraient également avoir besoin de remplacer Roberto Gagliardini, qui pourrait vouloir partir pour jouer plus régulièrment. Dans le cas où le trio titulaire actuel, Hakan Calhanoglu, Marcelo Brozovic et Nicolo Barella, resterait au club, l'Inter souhaite que Leandro Paredes (Paris Saint Germain) et Davide Frattesi (Sassuolo) viennent les épauler. Stefano Sensi reviendra de son prêt à la Sampdoria mais pourrait alors être vendu afin d'obtenir des fonds et d'économiser sur les salaires. Son remplaçant pourrait être Lucien Agoume, prêté au Stade de Brest, ou un jeune de l'équipe Primavera. ®Oxyred - Internazionale.fr Via SempreInter
  22. Selon un rapport de la presse italienne, le match de l'Inter contre Bologne pourrait être repoussé d'un jour. Comme l'a rapporté La Gazzetta dello Sport aujourd'hui, la Lega Serie A annoncera aujourd'hui les dates de tous les matchs qui ont été reportés pour des raisons liées au Covid-19 au cours des derniers mois. Bologna vs. Inter est l'un de ces matchs, qui devait se jouer en janvier au Stadio Renato Dall'Ara. Après la récente audience qui a statué que le match doit être joué et que l'Inter n'a pas droit à une victoire automatique 3-0, il a été décidé que le match aura lieu le 27 avril. Dans l'annonce du calendrier d'aujourd'hui, il y a une chance que le match soit repoussé d'un jour, ce qui signifie qu'il aura lieu le 28 avril, à 21h00 (heure locale). La raison de ce changement n'est pas encore claire. ®Oxyred - Internazionale.fr Via SempreInter
  23. Le 10 décembre 1921, Peppino Prisco est né "le plus grand Interista qui ait jamais vécu" La question la plus évidente, mais aussi la plus intrigante, est peut-être la suivante: comment le plus grand fan de l'Inter de tous les temps est-il devenu un fan de l'Inter ? Seul Peppino Prisco aurait pu répondre efficacement et directement à cette question. Sa réponse aurait été une plaisanterie pleine d'esprit qui vous aurait laissé à moitié stupéfait et à moitié amusé. Il y a une histoire sur la façon dont cela s'est passé, mais nous devons remonter 100 ans en arrière, au Corso Buenos Aires 66, à Milan. C'est là, le 10 Décembre 1921, que Giuseppe, connu de tous sous le nom de Peppino, Prisco est né. Les Bussola venaient souvent rendre visite à ses parents et ils étaient comme un oncle et une tante pour lui. Un Dimanche, ils sont arrivés avec des gâteaux. "Qu'est-ce qu'on fête ?" C'était la saison 1929-1930 et l'Inter, Ambrosiana Inter à l'époque, venait de battre le Milan. "Nous devons célébrer la victoire de l'Inter dans le derby." C'est ainsi qu'a commencé l'histoire du plus grand Interista de tous les temps. Il y a tant d'autres anecdotes et émotions depuis cet après-midi avec ces gâteaux. Le jeune garçon a grandi en nourrissant sa passion Nerazzurra, alternant ses études au Berchet avec des matchs dans la Via Podgora (entre Porta Romana et Porta Vittoria), savourant chaque mot de La Gazzetta dello Sport et Il Calcio Illustrato. Les matchs de l'Inter à l'Arena, discussions d'après-match au Bar Vittorio Emanuele de la Via Orefici, ses premiers déplacements à l'extérieur. La graine de Nerazzurri plantée à Peppino n'a cessé de croître et les racines sont devenues encore plus fortes quand, en 1938, Peppino, 17 ans, est monté à bord d'un train pour les Pouilles pour regarder Bari vs Inter, un match remporté par le but d'Annibale Frossi, remettant à l'Inter le Scudetto. Et oui, l’Inter sera sa vie. Les couleurs sont “plus belles” mais surtout, les noirs et bleus gagnent plus que leurs cousins. Champions en 1930, 1938 et 1940 ils sont les patrons de la ville. Ils peuvent compter sur le meilleur buteur de leur histoire, Giuseppe Meazza, qui en plus ajoute une dimension glamour aux nerazzurri dont les milanistes ne peuvent se vanter. Prisco révèlera dans son autobiographie que son amour inconditionnel pour Meazza (qu’il qualifie comme ''un Seigneur parmi des animaux'') l’avait définitivement convaincu à supporter l’Inter. Et c’est un amour qu’il revendique fièrement jusqu’à la fin : quelques jours avant sa mort, il annonce à la télé italienne avoir remplacé la photo de ses parents sur sa table de chevet par celles de Meazza et Ronaldo, ses deux idoles incontestables. Un sens aigu de la justice coulait dans les veines de la famille. Son père était avocat et sa mère devait s'assurer qu'il suivait son travail scolaire. Il deviendrait lui-même avocat mais pas avant un voyage marquant en Russie en tant que membre des Alpini (sous-lieutenant, division Julia, bataillon l'Aquila), marchant péniblement sur des kilomètres dans le froid glacial et luttant pour sa survie. Il écrivit des lettres à ses parents et emporta avec lui un ballon en cuir dans la steppe. Des mois difficiles en effet, une guerre terrible et une retraite de 380 kilomètres. Quand tout semble fini, à Brest-Litovsk, la première chose qu'il cherche est un exemplaire de La Gazzetta dello Sport. Pour illustrer l'horreur, 1 600 soldats alpins et 53 officiers étaient partis, 159 soldats et 3 officiers sont revenus. Cela en dit long. Il a ensuite étudié le droit, et l'Inter, encore une fois. A Milan et en Italie. Jusqu'au jour où le vice-président de l'époque lui a demandé : "Pourquoi tu ne rejoins pas le club ?" Il rejoint le club en tant qu'avocat le 10 octobre 1949 et devient lui-même vice-président en 1963, sous la direction d'Angelo Moratti. Le président, fatigué de payer des amendes pour les diatribes d'après-match d'Helenio Herrera, a demandé à Prisco de mener des interviews à sa place. Il était toujours là au stade, pour chaque triomphe, ainsi que pour d'autres moments qui ont changé l'histoire du football. Comme l'appel lancé après le match contre le Borussia Moenchengladbach, le tristement célèbre "incident de la canette", lorsque son entêtement et son esprit magnifique ont permis de rejouer le match. Il a travaillé sous cinq présidents mais un seul patron: "Je n'ai jamais servi que l'Inter." Cela explique également pourquoi il était si tranchant et irrévérencieux avec les rivaux de l'Inter. Il était l'ultime ennemi juré de l'AC Milan. Légendaires en effet sont ses phrases sur les cousins milanistes, notamment lors de l’épopée de Sacchi et Capello. Aujourd'hui, San Siro chante "La Serie A est dans notre ADN", une référence à l'un des nombreux coups de Prisco aux Rossoneri. Dit avec un sourire aux lèvres et sans avoir besoin de mentionner l'autre équipe. "Les fans de l'Inter n'ont pas à s'inquiéter : après de nombreuses années dans ce club, je peux affirmer que la Serie B ne fait pas partie de notre code génétique." Sa dialectique n'était jamais ennuyeuse et a même amusé les supporters milanais, qui voyaient en lui un rival impossible à haïr. En effet, intelligemment, Peppino utilisait le seul moyen pour défendre son club des nombreux triomphes milanistes en Italie et en Europe: l’ironie. ''Si le Scudetto ne peut être conquis par l’Inter, je supporterais sans aucun doute l’autre équipe de Milan: la Scarioni, dans laquelle j’ai moi-même joué'' ou encore ''Je suis contre toute forme de racisme, mais je ne permettrais jamais que ma fille épouse un joueur du Milan''. En 1982, alors qu’il vient d’être opéré d’une tumeur, il répond à un journaliste qui lui demande comment se passe sa réhabilitation, ''Je vous avoue Monsieur, que regarder Milan-Cavese 1-2 à la télévision, avec nos chers cousins en Série B est quelque chose qui fait beaucoup de bien aux malades.'' Son autre victime préférée est bien sûr la Juventus, avec son arrogance, son stade toujours vide et ses victoires douteuses. Même s’il concède que la Juve, par rapport au Milan, est presque une équipe aimable, il n’épargne pas son humour aux bianconeri. En effet, pour Peppino, ''la Vieille Dame est comme une maladie qu’on a dès sa plus jeune enfance. Après des années, on s’y résigne''. Souvent, il arrive même à se moquer des couleurs bianconere et rossonere avec une seule intervention: ''Quand je serre la main à un milaniste, je me la lave. Quand je la serre à un juventino, je me compte les doigts''. Une ironie poignante, de temps à autres très dure, mais qui n’a jamais choqué. Au contraire, Prisco initiait des débats hilarants avec des comiques milanistes et juventins tels Teo Teocoli ou Giampiero Mughini. Selon Peppino, le football est bien plus qu’une simple question de vie ou de mort, mais il faut l’affronter avec ironie et sarcasme. Le seul moyen pour éviter de rabaisser l’adversaire est de l’attaquer, de le chambrer et d’éviter le politiquement correct. Et l’Avvocato a toujours été loyal à cette philosophie. La fierté intrinsèque ressentie par un véritable fan était la même à l'âge adulte que dans l'enfance. Sur son bureau, parmi les photos de ses parents, il a placé une photo de Ronaldo, le joueur qu'il adorait le plus, avec Meazza. De Meazza à Ronaldo. Le 10 Décembre 2001, Prisco a célébré son 80e anniversaire avec les supporters de l'Inter alors que la veille, Ronaldo marquait contre Brescia. Vieri et Ronaldo jouent ensemble. Il a reçu des centaines d'appels d'anniversaire, qui faisaient tous référence à l'Inter, alors en tête de la ligue. Deux jours plus tard, le 12 décembre, il est décédé subitement. Il a toujours plaisanté lors de ses interviews et a déclaré un jour : "La veille de ma mort, je vais devenir un fan de Milan - comme ça, il y en aura un de moins." En réalité, il a quitté ce monde comme l'un des nôtres. Et avec nous, il continue à vivre, au Meazza, alors comme aujourd'hui, chaque fois que la foule scande "Peppino Prisci, donne-nous un but". Traduction alex_j via le site officiel, Faute Tactique et connaissances personnelles.
  24. Une Inter plus italienne, plus jeune et économiquement plus soutenable : Tel est le projet en qui est en tête de la Direction Nerazzurra qui compte intervenir sur le prochain mercato estival en respectant cette ligne de conduite Révélation de La Gazzetta Dello Sport "Une équipe différente va voir le jour, moins"Internazionale" et un peu plus "Nazionale": La période actuelle et le vœu de l’Administrateur-Délégué italien de l’Inter l’impose : Beppe Marotta a toujours répété l’importance d’un socle italien pour construire des groupes conquérants. Sassuolo, un ami qui vous veut du bien "L’axe le plus chaud reste celui de Sassuolo où Marotta entretient d’excellent rapports, et où les joyaux les plus précieux appartiennent à son très cher ami, l’Administrateur-Délégué Giovanni Carnevali. Scamacca, Frattesi et Raspadori sont tous les trois visés et il y a eu une avancée concernant les deux premiers noms cités : Lors de l’une des réunions classiques de la Lega di Serie A, Marotta a demandé au dirigeant de Sassuolo des informations sur l’attaquant romain et le milieu de terrain, également ancien de la Roma." "L’Inter a fait sa double proposition par le biais de la seule formule disponible du moment : Le prêt avec un droit de rachat qui peut devenir obligatoire sous certaines conditions. Carnevali les considères comme intransférable, et pour l’été, il pense exclusivement à une vente immédiate." A quel prix ? "40 millions d’euros pour l’attaquant, car pour le milieu, son évaluation n’a pas encore été définie." "Giacomo Raspadori est également pisté depuis longtemps par l’Inter : Jeune, talentueux, italien, il possède toutes les caractéristiques recherchées par la Direction Nerazzurra. Cette saison, via le retour de Scamacca, il s’est réinventé au poste de Trequartista et d’ailier offensif, preuve qu’il démontre une grande faculté d’adaptation." "Mais en ce moment, la haute direction Nerazzurra semble se diriger vers d’autres profils : Car pour l’acquérir, immédiatement, il serait impératif de réaliser une vente importante en attaque, et plus spécifiquement de procéder à celle de Lautaro Martinez:L a situation "Raspa" reste donc en stand-by, sauf en cas d’une éventuelle vente douloureuse en attaque." Restons (Em)poli "Mattia Viti est également visé par Giuseppe Marotta. Sa croissance est suivie de très près, surtout après qu’Andreazzoli l'ait lancé un peu à la surprise générale. A présent, l’entraîneur de l’Empoli alterne ses choix pour sa défense centrale, mais le garçon, qui était déjà rentré chez les Giovanile à l’âge de 9 ans, collectionne déjà six titularisations." "Son profil est le suivant : Calme olympien, excellent pied gauche, très concentré au marquage et disposant d’une grande marge d’amélioration en phase de construction. Pour la Direction de l’Inter, c’est un"Bastoni", lui qui avait déjà été signé en 2017, lorsqu’il n’avait totalisé que trois matchs en Serie A. Tous se souhaitent qu’ils suivent le même parcours." Sacrifieriez-vous Lautaro Martinez pour recruter Giacomo Raspadori ? ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  25. Les recettes en provenance des Main Sponsor ont augmenté en Serie A pour cette édition 2021/2022. Comme le référencie Calcio&Finanza qui relaye La Gazzetta Dello Sport, l’intégralité des clubs italiens percevront 198 millions d’euros sur la base de l’ensemble des contrats, plus d’éventuels bonus, contre 169 millions d’euros pour la saison 2020/2021 et 162 millions d’euros pour la saison 2019/2020. L’explosion de la Cryptomonnaie La référence est liée aux partenariat commerciaux. Et à l’exclusion des fournisseurs techniques (tel que Nike, Adidas) il existe quatre emplacements où il est possible pour chaque club de monétiser des espaces sur le maillot : Sur l’avant du maillot : main sponsor et Co-sponsor, Sur le dos du maillot et sur la manche Les clubs n’ont pas tous fait usage de ces emplacements, trois d'entre eux ne disposent même pas d’un Main Sponsor: il s’agit du Genoa, de la Spezia et de Venezia qui arbore le nom du Club et de la Ville sur son torse. On retrouve le boom de la Cryptomonnaie en qualité de sponsors de manche, sept Clubs en ont fait usage : L’Inter, la Juventus, la Lazio, Le Milan, Le Napoli, La Roma, et la Spezia. Pour certains Clubs, les contrats liés avec les entreprises actives dans le monde des crypto-monnaies leur permettent d’être Main Sponsor et d’être, à juste titre, considéré comme des partenaires principaux. La Fiorentina et Sassuolo, les deux intruses La Juventus confirme sa première place en percevant globalement 57 millions d’euros, dont la partie la plus importante provient de Jeep. Elle est suivie par la Fiorentina, dont ses 26,2 millions d’euros sont quasiment tous en provenance de la Mediacom de Rocco Comisso. Cet accord est très certainement le plus rémunérateur vu que Mediacom est une société fondée par le Président du Club toscan ce qui est considéré comme une "partie liée." A la troisième position on retrouve l’Inter de Suning qui perçoit 26 millions d’euros fixe via les sponsorisations de Socios.com, Lenovo et DigitalBits. Sassuolo (18 millions d’euros en provenance de Mapei) et le Milan (15 millions d’euro en provenance d’Emirates et BitMex) complètent le top 5 Voici le classement complet 1. Juventus – 57 millions d’euros (Jeep, Cygames, Bitget) 2. Fiorentina – 26,2 millions d’euros (Mediacom, Estra, Prima.it) 3. Inter – 26 millions d’euros (Socios, DigitalBits, Lenovo) 4. Sassuolo – 18 millions d’euros (Mapei) 5. Milan – 15 millions d’euros (Emirates, BitMEX) 6. Napoli – 11 millions d’euros (Lete, MSC, Amazon, Floki) 7. Lazio – 8 millions d’euros (Binance – 30 millions d’euros sur le triennal et Frecciarossa) 8. Roma – 8 millions d’euros (DigitalBits, Hyundai) 9. Atalanta – 7 millions d’euros (Radici, Plus 500, Automha, Gewiss) 10. Cagliari – 4 millions d’euros (Tiscali, Regione Sardegna, Arborea, Ichnusa) 11. Torino – 4 millions d’euros (Beretta, Suzuki, EdiliziAcrobatica, N.38 Wuber) 12. Bologna – 3 millions d’euros (Selenella, Facile Ristrutturare, Scala, Illumia) 13. Sampdoria – 1,9 millions d’euros (Banca Ifis, Regione Liguria, Evo, Ibsa) 14. Udinese – 1,9 millions d’euros (Dacia, Prosciutto San Daniele, Bluenergy) 15. Empoli – 1,6 millions d’euros (Computer Gross, Sammontana, Saint-Gobain, Contrader, Pediatrica) 16. Hellas Verona – 1,5 millions d’euros (Sinergy, Restructure 5.0, Vetrocar) 17. Genoa – 1 million (Regione Liguria, Synlab, LeasePlan) 18. Salernitana – 1 million (Re d’Italia Art, Caffè Motta, Etè, Distretti Ecologici) 19. Spezia – 1 million (Regione Liguria, Iozzelli Piscine, Bitci) 20. Venezia – 0,6 millions d’euros (Becher, DR Automobiles Group) L’Inter améliore nettement sa position, il était temps de quitter Pirelli ! ®Antony Gilles – Internazionale.fr
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