Rechercher dans la communauté
Affichage des résultats pour les étiquettes 'lazar samardžić'.
12 résultats trouvés
-
Piero Ausilio : "L'Inter est ma seconde famille"
Victor "Antony" Newman a posté un article dans F.C. Internazionale Milano
Piero Ausilio, le Directeur Sportif de l’Inter s’est livré sur sa carrière Nerazzurra au cours d’une très longue interview octroyée à Radio TV Serie A avec RDS. Celui-ci s’est livré sans se cacher aux demandes d’Alessandro Alciato. Son long mariage avec l'Inter "Mes pensées fusent dans tous les sens, des matchs qui ont eu lieu à ceux qu’il y aura, je vis à un rythme qui ne me permet pas de me relaxer, mais c’est aussi bien de penser à d’autres choses, parfois, qui t'apporte plus de légèreté par moment. C’est un long parcours, difficile, fait de sacrifices et de beaucoup d’autres choses, comme ça se doit de l'être justement. Pour arriver au niveau de l’Inter actuel, il a fallu passer par un très beau parcours, avec un staff important et avec un propriétaire qui t’apportent énormément de motivation, avec un héritage important. Le tout nous a permis d'être à nouveau conquérant en très peu de temps." Quel type d’interiste es-tu ? "Je cherche à vivre le présent, à travers le travail et le sacrifice, je pense à comment apporter ma contribution pour ce club. J’ai commencé mon parcours il y a 25 ans, en grimpant les échelons qui m’ont formés et rendu plus fort. Aujourd’hui, vu aussi l’âge que j’ai, je me sens fort et compétent pour apporter une contribution à un club aussi important." Es-tu né interiste ? "Je suis né pour le plaisir du football, j’étais un malade du football. Je suis né et j’ai grandi à Pro Sesto, j’ai commencé ma carrière de manager là-bas car j’ai dû assez rapidement interrompre ma carrière de joueur." Un poster dans ma chambre ? "Je n’en avais pas car je n’avais pas de chambre. Je suis fier car j’ai conscience des sacrifices qu’ont fait mes parents : Mon enfance était très normal avec des parents travailleurs. J’ai rapidement fini mes études en 1998. Ensuite j'ai fait ma thèse en Droit en 2005 avec quelques contraintes car j’avais déjà commencé à travailler à l’Inter." "A 16 ans, j’étais en équipe première de la Pro Sesto, ensuite, j’ai connu une série d’interventions chirurgicale et j’ai raccroché. Ma chance a été de commencer à fréquenter l’environnement du Mercato avec le Président de la Pro Sesto." Comment a débuté la carrière de Manager ? "Je me considère extrêmement chanceux car j’ai toujours rêvé de faire ce travail. J’avais mes modèles, des personnalités qui étaient des références importantes. Je savais que j’allais devoir bien bosser pour gravir les échelons, je l’ai accepté et j’ai refusé d’emprunter des raccourcis. J’ai toujours tout pris comme cela arrivait, en faisant des sacrifices, j’ai également demandé des sacrifices à ma famille. Je ne les ai jamais considéré comme tels et cela ne le sera jamais car c’est ma vie et c’est ma passion : Je ne parviens pas à vivre ma carrière comme un métier, mais plutôt comme une grande responsabilité." Quel joueur étais-tu ? "J’allais devenir professionnel. J’étais très en avance vu mon âge, à 16 ans j’étais déjà en équipe première en Serie C1. Je ne sais pas si je serais parvenu au plus haut niveau, car il me manquait ce petit quelque chose pour la Serie A. J’ai été très bon pour tout reprendre à zéro après deux années de calvaire où j’ai dû faire face à pas mal de choses, ce n’était pas donné à tout le monde." Que retiens-tu de cette période de blessures ? "Après les premières interventions, je cherchais à revenir, à tout faire car c’était mon rêve. Je me tuais au travail, en physiothérapie et ensuite j’ai compris. Lorsque je rentrais sur le terrain, il y avait toujours cette seconde de trop où l’autre te découpe, c’était mieux d’arrêter. Être joueur amateur ne m’intéressait pas, je voulais toujours faire les choses au plus haut niveau et j’ai décidé de me lancer en Droit. Ensuite j’ai commencé à travailler comme Manager." "J’ai aussi cherché à être entraîneur mais le Président illuminé qu'était Peduzzi de la Pro Sesto m’avait dit que dans le Calcio, il n’y avait pas de grands managers et qu’il voyait ce talent en moi. J’ai pleuré à de très nombreuses reprises, il y a eu des moments douloureux, mais ce sont des situations qui se doivent d’être vécues car elles te rendent plus fort et te responsabilise : J’ai réussi à accorder la bonne attention à ces choses." Tes premières larmes à l’Inter ? "Je n’ai pas un souvenir triste en particulier. Je n’ai pas pleuré dans les Finales, j’avais juste un peu d’amertume, j’avais déjà l’envie d’en découdre dès le lendemain." Même pour la dernière disputée à Istanbul ? "Je dirais la même chose oui." En 1998, c’est ton premier contact avec l’Inter… "Je m’en souviens parfaitement, il y avait une négociation avec le Responsable du secteur des Jeunes de l’époque. On voulait que je débute immédiatement à temps plein, mais il me manquait un examen et j’ai réussi à négocier un contrat de 6 mois à temps partiel avec 4 heures seulement l’après-midi, ce qui m’a permis par la suite un temps plein de 8-10 heures." "J’ai passé tellement de soirée à Interello avec l’agent de sécurité qui venait m’apporter un sandwich. Cela ne m’a jamais pesé. Je me souviens de mon premier vrai match, dans un stade avec l’armoirie de l’Inter. Elle était là, présente au Parc des Princes, lors de la Finale de l’UEFA entre l’Inter et la Lazio." "Je me souviens de mon début dans la Direction Sportive, j’étais chanceux et c’était un plaisir : Moratti m’avait appelé alors que j’étais au Brésil, il me disait qu’il voulait que je suive l’équipe à Kiev en 2010. La rencontre qui fut décisive pour le Triplé. Depuis lors, je suis toujours l’équipe première." Est-ce possible de résister à la pression ? "Ce n’est pas facile, mais il n’y a qu’un seul secret : Je cherche toujours à donner le maximum, j’ai pu travailler avec trois propriétaire différents et importants. Ils m’ont tous mis à l’épreuve et je suis toujours resté car ils ont vu quelque chose en moi : la promesse du savoir-faire." "Ensuite rester n’est jamais acquis : Tu dois avoir l’envie de bien faire les choses, avec un bon groupe de travail, c’est là qu’est ta chance car seul tu ne sais rien faire, il faut être entouré de personnes compétentes et j’en ai connu tellement." Des personnes à remercier "Je dois énormément à Moratti qui m’a fait rentrer à l’Inter et qui m’a permis de grandir. Le vrai changement est arrivé avec Thohir qui m’a intronisé comme Directeur Sportif. Ensuite, nous avons connu des périodes très difficiles mais j’ai toujours ressenti le soutien de la Famille Zhang et de Steven, même s'il n’était pas là tout de suite. C’était important de ressentir cette confiance. Dès l’arrivée de Steven à Milan, nous avons débuté un nouveau parcours et j’ai ressenti une toute nouvelle confiance : je tiens à les remercier tous les trois." Ton plus beau moment dans l’absolu ? "Beaucoup de choses me lie au Secteur Giovanile (Jeunes), car nous faisions des choses folles et je voyais grandir les garçons : Nous avons remporté beaucoup de Scudetti durant ces 25 années et j’ai aussi apporté ma contribution lors des années Branca, car il m’avait donné aussi de grandes responsabilités. Le dernier Scudetto, celui remporté avec Conte, est celui que je considère le mien à 100%." La recrue dont tu es le plus fier "Elles sont nombreuses, toutes sont de belles histoires et ont leur particularité. Je risque de faire du tort à certains, mais celle de Lautaro est une histoire très particulière car il était, en fait, quasiment un joueur de l'Aletico Madrid. Lorsque j’avais pris l’avion, j’y allais avec 1% de chance de faire face à une situation compromise et 99% de risque de faire mauvais genre, mais ce furent quatre jours de folie. Il ne manquait que la signature avec l’Atletico. Il y avait par chance, une clause que Lautaro ne voulait pas et c’est là que nous avons entrepris un grand travails d’équipe : Zanetti m’a aidé, avec son agent Milito, car son Président était très coriace." "Une fois le tout terminé, j’avais assisté à une rencontre qui était un massacre car il avait inscrit un triplé et obtenu un pénalty. Nous nous sommes revenu le lendemain au tour de la table et nous l’avons payé un peu plus cher, mais nous sommes parvenus à le ramener à la maison. Même Balotelli me fait me rappeler de très beaux souvenirs, celui de l’avoir fait connaitre dans le football qui compte et il y su saisir sa chance à 70%." Et la négociation la plus compliquée ? "Il y en a tellement. Ce n’était pas facile par exemple d’arracher Pavard au Bayern car ils ne voulaient pas s’en priver. Même dans une négociation qui te semble sur la bonne voie, il peut toujours se passer quelque chose à une minute de la fin." Et le recrutement manqué ? "Il y en a eu, mais il vaut mieux ne pas s’en rappeler. J’ai envie de citer Pierluigi Casiraghi, mon second père d’un point de vue sportif et professionnel. Il avait cette vision, il voyait tout avant tout le monde : Il avait vu Fabregas alors âgé de 16 ans, j’avais tout fait pour le recruter, mais il n’y avait pas moyen. Il y a eu aussi d’autres joueurs avec qui nous avions négocié mais qui ont finalement signé ailleurs." Quelle est la plus grande déception de ta carrière ? "J’en ai connu plus d’une en carrière. Avec Lukaku, c’est une désillusion pour la façon dont cela s’est terminé, mais j’ai le respect d’essayer de ne pas m’exprimer sur un joueur d’un autre club. J’aime parler du présent et de l’avenir. Il fait partie du passé. Je me souviens d’un magnifique Scudetto et d’une très belle plus-value, et c’est la vérité, de deux finales perdues." Que s’est-il passé avec Lukaku ? Dites-nous la vérité… "Je préfère ne pas en parler, je dirais seulement qu’il faut faire preuve d’éducation et de respect en toutes choses. A un moment donné, les choses sont allées de l’avant, mais il y avait un manque d'éducation et de respect. Lorsqu’il y a une volonté de se dire les choses droit dans les yeux, il n'y a jamais de problème." "Quand on ne répond pas au téléphone, qu'on se refuse à me répondre ou qu'on répond par l'intermédiaire d'autres personnes, il est temps de passer à autre chose. C'était comme ça depuis le 8 juillet." L’appel où j’étais furieux ? "C'est une légende. Il y a eu ce coup de fil après plusieurs tentatives, mais il a été de courte durée. J’étais ferme, décidé, mais ce n’était rien de spécial, j'ai dit ce que je pensais en très peu de temps". Lukaku, Samardžić et Skriniar : quel été... "Ce sont des expériences, des défaites sur le terrain et sur le mercato, mais on en apprend toujours quelque chose." A combien de reprise as-tu fait l’objet de convoitises ? "C’est arrivé, mais je n’ai jamais eu l’envie de m’en aller, il y a eu des contacts, des situations, mais jamais une négociation ou même la projection d’un projet. Je n’ai jamais eu fondamentalement la pensée de quitter le club, c’est bien trop difficile. Je suis lié à trop de choses qui vont au-delà du Blason : C’est ma seconde famille. Pour moi, c’est différent de tous les autres. Le jour où le Président me dira qu’il est temps de passer à autre chose, je ne pourrais juste que lui dire un très grand merci". As-tu une date d’échéance en tête ? "J’ai songé à la retraite, mais j’aimerais encore continuer un peu après, mais pas trop non plus. Tant que tout va bien avec Steven…. Je me sens super bien ici avec Marotta et Baccin. Nous avons des secrétaires et des Scouts merveilleux, je m’appuie sur des personnes capables." Ausilio et Marotta "C’est un beau duo qui fonctionne car il y a du respect : Marotta comprend le Football, il a des années d’expériences, mais il a une grande qualité : il délègue et fait confiance aux personnes qui l’entourent. Moi aussi je transmets mon expérience aux personnes qui me sont proches. Je pense qu'il est intervenu pour dire non à un joueur deux ou trois fois au cours de ces cinq dernières années, mais uniquement parce qu'il connaissait déjà le joueur ou des aspects du personnage que je ne connaissais pas." "Sinon Il vous laisse travailler, et ensuite vous échangez vos points de vue : Cela permet au directeur sportif de se concentrer sur son travail, car je n'ai ni le temps ni l'envie de m'occuper des relations, de la communication et des autres choses. Je me concentre à 100 % sur l'entraîneur, les joueurs et les réunions avec les agents, sans me disperser sur des choses qui ne sont pas de mon ressort." Lautaro-Thuram ? "C’est un beau duo, mais j’aimerai plus parler d’un quatuor : Ils s’entendent à merveille, nous avons aussi Sanchez et Arnautovic qui vous ferons voir ce qu’ils ont sous le pied." La première fois que tu as pensé à Thuram ? "Après la vente de Lukaku à Chelsea. Il ne savait même pas qu'il pouvait être attaquant. Nous avions obtenu Dzeko gratuitement de la Roma, mais il nous manquait le deuxième attaquant pour compléter le rempart avec Lautaro. J'avais déjà parlé avec lui et son père, les négociations avançaient rapidement, notamment grâce à Mino Raiola, dont je profite de l'occasion pour m’en souvenir. Nous avions presque tout défini, mais le dimanche précédant la réunion finale, il s'est blessé au genou et nous avons dû changer d'objectif." "Ces réunions ont été notre base. J'ai été le premier à dire à Lilian que son fils pouvait devenir attaquant central, il me l'a d’ailleurs rappelé récemment. Notre projet était finalisé et centré sur lui." Onana et Sommer ? "Ce sont des gardiens différents, mais nous avions déjà décidé d’en changer après toutes ces années. Mais Samir va rester, nous avons un projet avec lui pour les deux prochaines années. Nous tenions à avoir une valeur sure, prête immédiatement. Nous aurions pu nous concentrer sur des gardiens plus jeunes, mais Sommer était ce qu'il nous fallait. Il avait déjà pris la peine d'apprendre l'italien pendant les négociations, c'est un professionnel fou". Plus stable le duo Ausilio-Marotta ou Thuram-Lautaro ? "J’espère que les deux pourront encore durer longtemps." A quel point le Mercato a-t-il changé ces dernières années ? "Enormément, tout comme la position des équipes italiennes comparées aux autres. Ici, les Italiens peuvent faire des investissements, mais toujours avec prudence et sans faire de folies. Dans le monde entier, il y a des clubs qui disposent de plus de ressources et vous pouvez sentir cette différence. Mais nous sommes restés bons parce que nous arrivons toujours à trouver des situations moins chères ou à anticiper le Mercato, en récupérant aussi des joueurs qui ne sont pas affirmé à 100% dans de plus grands clubs, en les faisant venir et en leur permettant d’atteindre des niveaux qui correspondent à leurs réelles qualités. Des choses intéressantes peuvent être trouvées en Angleterre." Les agents exagèrent-ils ? "Je parlerais toujours de manière subjective, sans généraliser. Il y a des agents qui aident aussi les clubs et d'autres qui ne s'intéressent qu'à leur propre portefeuille, perdant de vue les intérêts un peu plus globaux. Je travaille avec beaucoup d’entre-eux, j'en ai rencontré beaucoup. Pour certains j’ai moins de considération et pour d’autres beaucoup plus : on acquiert cela avec l'expérience". Le fait de ne pas être une personne médiatique est un choix réfléchi ? "J'aime être comme ça, ce n'est pas un choix. Chacun à sa place et selon moi, la Communication de l'Inter ne peut pas être faite par un Directeur Sportif qui doit s’exprimer quotidiennement. On parlerait toujours des mêmes choses, des choses que je ne tiens pas à exprimer sur la place publique. C’est bien plus intelligent que ce soit le rôle de l’Administrateur-Délégué du club car il peut s’exprimer à 360°." As-tu encore un compte fake Instagram sur les réseaux sociaux actif ? "Oui, bien qu'une phrase un peu ironique ait été extrapolée : Je ne contrôle absolument pas les épouses des joueurs, c'était une blague faite dans un contexte particulier. Elle est née dans un moment d'exposition médiatique excessive, le compte suit les clubs de football, les agents, un peu de tout." As-tu encore des rêves ? "Oui même si je ne me souviens pas de tous." Le prochain ? "C’est quelque chose qui n’est pas si éloigné, mais qui est bien évidemment sportif et qui demande du travail, de la volonté et de la continuité. J’aimerai arriver à la Seconde Etoile qui est là, et pour laquelle d’autres se battent aussi. L’important est de se battre jusqu’au bout, et si quelqu’un d’autres est meilleur, j’irai lui serrai la main." Vous n’étiez pas si loin à Istanbul... "J’avais ce sentiment avant même de disputer la rencontre. Pendant le match, nous semblions si forts et compétitifs, nous avions joué à armes égales avec l'équipe la plus forte du monde. Nous étions ambitieux, même si nous étions conscients qu'il y avait une équipe bien mieux armée que nous face à nous. Nous voulions vendre chèrement notre peau face à tous." "Je sais d'où nous sommes partis : au début de l'ère Suning, nous étions peut-être derrière la 50e place du classement des meilleurs clubs du monde, aujourd'hui nous oscillons entre la septième et la huitième place. Peut-être que cela nous donnera une chance de participer à la Coupe du monde des clubs, qui aura lieu dans peu de temps. Mais pensons déjà à nous qualifier pour les huitièmes de finale." Quel genre de personne est Inzaghi ? "Simple, humble, brillant. C'est l'une des personnes les plus gentilles que je connaisse dans le football. Il a sa propre routine, des exigences qui ne sont pas démesurées : il est brillant, talentueux et encore jeune. Il a le goût prononcé du football de qualité et fait en sorte que tout le monde se sente bien. Il a créé un bon groupe et cela se voit, les résultats ne sont pas seulement le fruit de la performance, mais aussi du fait de se sentir bien tous ensemble et d'avoir envie de partager son temps ensemble." A quel point a-t-il été proche du renvoi ? "Jamais. Je peux me montrer extravagant, mais ce n'est pas dans la culture de Zhang et ni même de Marotta. Je crois que Marotta n'a jamais remercié un entraîneur en 40 ans de football, et encore moins moi. C'était une période difficile, mais nous savions que nous avions besoin de cette force qu’est l’Union et de stimulations, tout en s’attardant sur les choses qui n'allaient pas." "Nous avons tous réussi à nous en sortir et à entamer ce voyage fou lors des deux derniers mois qui nous a menés à la cette qualification pour la Ligue des Champions, à la Finale de la Coupe d'Italie et à Istanbul. Nous n’avions jamais envisager son renvoi : Ce n'est pas dans la culture des dirigeants de l'Inter". Quel président est Steven Zhang ? "Il y a une fausse idée de Steven Zhang en tant que président. D'un point de vue technique, il n'est peut-être pas l’un de ces présidents qui peut juger des qualités d'un joueur et c'est une bonne chose, car les managers et l’entraîneur peuvent faire leur travail. Mais Il est très passionné, il se montre toujours très proche, il regarde tous les matchs et, à tout moment, et il vous apporte de la tranquillité et de la sérénité." "Lorsque des fautes sont commises, il ne se montre jamais exaspéré par la situation. L'échec de la vente de Skriniar par exemple, avec un autre président, aurait provoqués des comportements et des attitudes différentes. Il a immédiatement regardé bien plus loin Sa préoccupation était : OK, qui allons-nous mettre à la place de Skriniar ? C'est un Entrepreneur, il a une vision très large." "Il vous laisse faire ce que vous voulez, il vous apporte de la sérénité et de la sécurité." A quel point a changé Milan ces dernières années ? "J'ai toujours vécu en province, mais Milan a beaucoup changé. C'est une véritable métropole, en constante évolution et vivante. Milan est aussi très attractive pour beaucoup de travailleurs étrangers. Je le vois avec les footballeurs, et avec leurs femmes qui l'aiment et nous en jouons aussi. Cela te permet de bien vivre ton métier, tu n'as pas de grande pression. Il faudrait un peu plus de sécurité pour permettre à chacun d'exprimer ses désirs et ses envies". ®Antony Gilles – Internazionale.fr- 8 commentaires
-
- 12
-
-
-
-
- piero ausilio
- radio tv serie a
-
(et 43 en plus)
Étiqueté avec :
- piero ausilio
- radio tv serie a
- alessandro alciato
- pro sesto
- serie c1
- serie a
- giuseppe peduzzi
- interello
- parc des princes
- coupe de luefa
- massimo moratti
- triplé
- erick thohir
- steven zhang
- marco branca
- scudetto
- antonio conte
- lautaro martinez
- javier zanetti
- diego milito
- mario balotelli
- benjamin pavard
- bayern munich
- pierluigi casiraghi
- cesc fabregas
- romelu lukaku
- lazar samardžić
- milan skriniar
- giuseppe marotta
- dario baccin
- marcus thuram
- alexis sanchez
- marko arnautovic
- edin dzeko
- mino raiola
- lilian thuram
- andré onana
- samir handanovic
- yann sommer
- suning
- coupe du monde des clubs
- simone inzaghi
- ligue des champions
- coupe ditalie
- a la une
-
Affaire Lazar Samardzic, Rafaela Pimenta remet une pièce dans le jukebox et répond à Mladen Samardzic après son interview accordée à Sportitalia. Jointe par QSVS, l'agente a une nouvelle fois tenu à clarifier les choses concernant l'échec des négociations avec l'Inter. "Tout d'abord, je tiens à faire une mise au point et à dire que je ne suis pas ici pour réitérer ce qu'a dit M. Mladen Samardzic. Certaines choses ne se font pas, peut-être dans un autre lieu... Je veux partager avec vous quelques épisodes sur ce qui s'est passé. Ce n'est pas à moi de répondre pourquoi l'opération a été ratée, même aujourd'hui on ne comprend pas. J'ai des théories mais je m'intéresse aux faits. Il y a quelques mois, j'étais dans mon bureau quand Aleksandar Kolarov m'a appelée, une très bonne personne, et m'a dit qu'il y avait ce joueur serbe, Samardzic qui n'a pas de mandataire et il voulait me le présenter. J'ai dit oui et les frères Kolarov, les parents de Samardzic et aussi son frère sont venus. Là, nous avons discuté et il y avait aussi un conseiller qui vit en Allemagne. Nous avons présenté notre travail et convenu d'un projet ensemble. Je me souviens très bien de ce qui a été dit et ma parole est unique car quand je m'engage, j'y vais jusqu'au bout. Au cours de ces derniers mois, nous avons échangé beaucoup d'informations. Et petit à petit, la relation s’est développée. Je ne suis d'accord que sur un point, au début, beaucoup de choses se faisaient par téléphone car le père de Samardzic vit en Allemagne. Nous avons déterminé quel marché était le bon, toujours l'Italie, et nous avons commencé à y travailler. Puis à un moment donné, l'Udinese a également bougé, à tel point que le père leur a dit de ne plus lui parler mais de me parler !" Totalement en désaccord avec la version du père du joueur ? "Oui, je parlais à l'Udinese en leur nom. Nous avons compris qu'il y avait certaines équipes intéressées et à un moment donné aussi qui franchirait ce pas très important. Nous en avons identifié deux avec une envie technique et une capacité économique. J'ai moi-même favorisé deux rencontres. L'une d'elles était celle du père, à tel point que lui et Lazar ont posé beaucoup de questions. C'est vrai, la première chose à comprendre dans un transfert est l'aspect technique. Et puis nous avons rencontré l'Inter, vous savez, tout est enregistré. J'ai les photos Zoom... Dans cette réunion technique, le père n'était pas là. Je ne sais pas si c'était à cause du lien ou du fuseau horaire. L'Inter était au Japon et c'était tard là-bas. J'ai donc demandé à Lazar si nous pouvions nous passer de son père et il m'a dit allez-y. Nous avons discuté du côté technique et à chaque fois qu'il y avait ces réunions, je demandais à Nikola Kolarov d'être là pour qu'il puisse traduire en serbe. Après ces rencontres, après plusieurs jours de réflexion, Lazar a décidé qu'il voulait l'Inter. Et la négociation commença, avec l’habituel ping-pong. À la fin, il aurait été le joueur de l'Inter le mieux payé dans sa tranche d'âge. Et j'ai dit au père qu'il devait venir en personne, je ne voulais pas conclure l'affaire sans un contact visuel entre la famille et les réalisateurs. Et en effet, le Samedi avant la visite médicale où ils sont venus à Milan, nous avons rencontré l'Inter et tout s'est expliqué. Il a été demandé à la famille de dire oui ou non dans la journée. Au bout de quelques heures, je les vois à l'hôtel et ils me disent qu'ils ont décidé d'aller à l'Inter, que l'offre était bonne. Alors, par respect pour les parents, nous appelons l'Inter et je veux une confirmation de son père . On porte aussi un toast pour fêter ça, il ne manque plus que le contrat et la visite médicale. De là, je m'arrête et dis une chose : dès l’instant où vous dites oui à une entreprise, un certain nombre d’autres choses se déclenchent. Il y avait aussi le sort d'un autre joueur, Fabbian. Il faut réfléchir avant de s'engager. Je peux comprendre s'il y a des choses qui ne rentrent pas dans les contrats ou les visites. Mais si vous dites oui aux conditions présentes, l'opération est faite pour moi. Je suis comme ça, je travaille comme ça depuis trente ans." Aviez-vous un mandat écrit ? "Je ne suis pas dans sa tête et je ne sais pas pourquoi Mladen dit certaines choses. Lui et moi sommes également allés dans d'autres clubs, pas seulement à l'Inter. Regardez les choses de cette façon. Je n'ai jamais donné des mandats écrits ! Ils savent tout le monde que mon entreprise ne fait pas cela. La seule chose est un document dans lequel j'ai promis au père la moitié de la commission, je peux le dire. Quelle est l'importance des relations humaines pour moi ? Par règlement, c'est tout ce qu'il faut pour signer les mandats... Et les joueurs sont libres, nous n'avons jamais infligé de pénalité. J'ai licencié des gens qui travaillaient avec nous parce que j'ai compris qu'ils voulaient faire certaines choses. Il n'y a pas de relations obligatoires et forcées avec nous, bien au contraire. Si mon travail vous satisfait, restez, sinon partez. Je veux que les gens soient heureux. Mais en général, si on veut changer les cartes, je ne suis pas là." Traduction alex_j via FCInterNews.
- 10 commentaires
-
- 11
-
-
-
- rafaela pimenta
- lazar samardžić
-
(et 4 en plus)
Étiqueté avec :
-
SempreInter.com nous révèle l'histoire qui a conduit l'Inter à se retirer des négociations pour signer le milieu de terrain serbe de l'Udinese, Lazar Samardzic. Les négociations... Le milieu de terrain serbe a passé ses examens médicaux Mercredi dernier en vue d'un transfert à l'Inter. Lazar Samardzic n'a cependant jamais signé de contrat et, selon des médias italiens, cela est dû au fait que l'entourage du joueur demande un salaire plus élevé que celui convenu. L'agent et avocate Rafaela Pimenta représentait Samardzic et l'Inter Milan a négocié directement avec elle dès le début. Les médias font état d'un différent entre Pimenta et Mladen Samardzic sur les commissions d'agent pour le transfert. Cependant, selon les médias serbes, Mladen Samardzic, le père de Lazar, affirme que Pimenta n'a jamais eu l'autorisation de négocier au nom de son fils. Par conséquent, selon le père, tout accord négocié par Pimenta ne lie que l'Inter Milan et l'Udinese. Cependant, l'Inter a catégoriquement rejeté cette idée, arguant que les négociations avec Pimenta couvraient également les conditions personnelles de Lazar Samardzic. On peut révéler que l'Inter a procédé aux examens médicaux alors qu'elle savait qu'il y avait des problèmes non résolus entre l'entourage de Samardzic et l'agent Rafaela Pimenta. L'Inter Milan se retire - Lazar Samardzic est retourné à l'Udinese Selon le même média serbe, Mladen Samardzic a demandé de nouvelles conditions financières. Ceci après que le désaccord avec Rafaela Pimenta ait été révélé. Il a demandé de nouvelles conditions à la fois pour son fils/client et pour lui-même, en tant que représentant de son fils. Par la suite, l'Inter a clairement fait savoir qu'elle ne renégocierait aucune condition. Du point de vue de l'Inter Milan, un accord avait déjà été conclu avec Lazar Samardzic lors de discussions avec Rafaela Pimenta. Samedi dernier, le 12 août, les Nerazzurri ont donné 48 heures à Lazar Samardzic et à son entourage pour respecter l'accord. On croit savoir que l'Inter a communiqué aujourd'hui encore à l'entourage de Samardzic qu'il n'y avait que deux options. Soit Samardzic signe le contrat, soit l'accord est annulé, le père de Samardzic déclinant cette offre. En conséquence, l'Inter considère que l'affaire est close. Lazar Samardzic est donc déjà retourné à l'Udinese qui doit maintenant décider de le garder ou de le vendre à un autre club. Pour l'instant, on ne sait pas si Giovanni Fabbian rejoindra l'Udinese ou restera à l'Inter Milan. Traduction Jean Idriss via Sempreinter.
- 23 commentaires
-
- 11
-
-
-
-
- lazar samardžić
- mercato
-
(et 3 en plus)
Étiqueté avec :
-
La soirée de Samedi a été particulièrement riche en rebondissements sur le mercato. Une "nouveauté" concernant Lazar Samardzic ne pouvait pas manquer. La Gazzetta dello Sport explique que l'Inter a répondu à la possibilité d'avoir une autre rencontre avec le père et les nouveaux représentants du milieu de terrain. Pour le club, rien n'a changé en ce qui concerne l'accord conclu avec Rafaela Pimenta qui ne fait actuellement plus partie de l'accord par choix du joueur et de sa famille. Cependant, Beppe Marotta et Piero Ausilio ne bougent pas d'un pouce, les conditions du deal restent les mêmes et il n'y a pas lieu d'en parler d'avantage. D'ici Lundi, l'Inter s'attend à voir le milieux de terrain signer le contrat. Tout le monde est persuadé que l'accord viendra. Cependant, si l'équipe du joueur est optimiste quant à la fumée blanche grâce à une offre améliorée du club, l'Inter pense que le milieu de terrain doit changer un peu afin de ne pas remettre en cause ce que pourrait être le transfert "clé" de sa carrière. Demain, même si c'est Dimanche et que l'Inter se déplacera à Ferrare pour le match amical contre Egnatia, les contacts ne manqueront pas. Après sa nouvelle publiée en début de soirée, dans laquelle il affirmait le retour à Udine de Lazar Samardzic, Gianluca Di Marzio a fait volte face et a fait savoir que le joueur est en fait toujours à Milan. Désormais, le joueur dispose de deux ou trois jours pour décider d'accepter ou non les conditions convenues avec l'Inter avant que le nouvel entourage ne change les cartes. Conclusion, le joueur semble disposé à accepter l'offre, donc pour le moment il y a un optimisme prudent quant à la conclusion réussie de l'accord. Traduction alex_j via FCInterNews.
- 9 commentaires
-
- 8
-
-
-
- lazar samardžić
- beppe marotta
-
(et 3 en plus)
Étiqueté avec :
-
Nouveaux détails sur la telenovela Lazar Samardzic. Voici ce qu'a reconstitué FCInterNews. Tout d'abord, le joueur continue d'espérer un transfert à l'Inter. Il en va de même pour son entourage, celui auquel Rafaela Pimenta n'appartient plus, ainsi que pour le club qui aimerait en tout cas enrôler le milieu de terrain. Pour que cela se produise, il faudra régler certains détails, les négociations se poursuivant sans cesse. Des sources très proches de Samardzic assurent que L1OS, l'agence du joueur et avec laquelle son père collabore depuis un certain temps, avait fait appel à Pimenta comme intermédiaire pour bénéficier de son réseau de contacts en Italie. Initialement sans destination précise mais pour une demande assez générale d'exploration du marché de la Serie A. Cependant, un premier contact avec l'Inter serait arrivé grâce à l'Udinese. La première partie des négociations entre l'avocat brésilien et la direction des Nerazzurri se serait déroulée sans l'entourage de Samardzic. Par la suite, Pimenta et l'Inter trouvent un accord et définissent la négociation sans envoyer tous les détails au L10S. D'où la décision de l'agence, une fois le contrat consulté, de formuler de nouvelles demandes à l'Inter et de reformuler les anciennes clauses. Concrètement et contrairement à ce qui a été écrit, il n'y a aucun problème avec le montant que Samardzic a convenu avec les Nerazzurri, soit 1,8 million plus les primes, mais le véritable obstacle concerne la commission. Bien qu'il y ait une demande légèrement plus élevée sur le table qui ne devrait pas représenter une limite, il n'implique même pas le club Viale della Liberazione. Il s'agit avant tout d'un problème entre le L10S et Pimenta et cela devrait être résolu. C'est pourquoi la direction des Nerazzurri, qui a discuté des conditions du contrat avec l'avocat, poursuivra avec l'entourage actuel du joueur en espérant que le processus se poursuivra ensuite. Dans ce contexte, il n'y a aucune raison pour que l'opération soit annulée, au vu de l'accord déjà trouvé avec l'Udinese et surtout parce que la vraie question cela ne nous concerne pas directement. Dans les prochaines heures, il est probable que tout sera définitivement clarifié et que les parties arriveront enfin à la fumée blanche. Traduction alex_j via FCInterNews.
- 6 commentaires
-
- 8
-
-
-
- lazar samardžić
- fcinternews
-
(et 2 en plus)
Étiqueté avec :
-
Lazar Samardzic à l'Inter : Quel impact sur le bilan ?
Victor "Antony" Newman a posté un article dans F.C. Internazionale Milano
Après plusieurs ventes, l’Inter a réussi à ramener le joueur Lazar Samardzic complétant ainsi le milieu de terrain Nerazzurro que disposera Simone Inzaghi la saison prochaine. Rappelons que le premier match aura lieu le 19 août à domicile face Monza. Samardzic a réalisé une bonne saison, sa deuxième avec le maillot de l’Udinese, en jouant 39 matches entre Serie A et Coupe d’Italie, comptabilisant 5 buts et 4 passes décisives. C’est la deuxième signature majeure au milieu de terrain du club qui a vu le départ de Brozovic et Roberto Gagliardini remplacés par Davide Frattesi qui remplace le croate et, en attendant de passer la visite médicale et de signer son contrat, Samardzic qui viendra remplacer Gagliardini. Comme lors de l’opération Frattesi, l’Inter a de nouveau mis en place sa bonne vieille recette avec l’Udinese, à savoir, un prêt onéreux avec obligation d’achat. Si Samuele Mulattieri est allé à Sassuolo, c’est Giovanni Fabbian qui cette fois-ci fait le chemin inverse en allant au Frioul. Prêté à la Reggina en Serie B la saison dernière il a marqué 8 buts et 1 passe décisive en 36 matches disputés. Selon des informations parues dans la presse italienne, le deal Samardzic a coûté à l'Inter : 20 millions d'euros entre un prêt onéreux et une obligation d’achat, Auxquels il faut ajouter la valorisation du prix de 4 millions de Fabbian. Si ces chiffres se confirmaient, dans quelle mesure l'achat du Serbe affecterait-il le bilan de 23/24 ? S'agissant d'une opération de prêt avec obligation de rachat, comme cela arrive souvent, le club acquéreur comptabilise immédiatement l'opération dans ses comptes à partir du bilan en cours, tandis que le club vendeur attend que le rachat devienne effectif et comptabilise donc la vente à partir du bilan suivant, celui relatif à la saison 2024/25 en l'occurrence. Avec les chiffres rapportés ci-dessus, l'Inter inscrira Samardzic dans le budget 2023/24, en comptant l'opération Fabbian déliée au niveau comptable de celle du Serbe, une commission d'amortissement pour le prix à payer de 4 millions d’euros, vu le contrat de 5 ans que l'ancien de l'Udinese s'apprête à signer (jusqu'au 30 juin 2028). A ce chiffre, il faut ajouter le salaire brut du joueur. Ici, les rumeurs parlent de 1,5 million d'euros par saison plus bonus. Si tel est le cas pour la première saison, profitant de l’abattement fiscal prévu par le Décret Croissance, le salaire brut de Samardzic pèserait dans les caisses des Nerazzurri pour la saison 23/24 au total que 1,965 millions d'euros. Au total donc, le coût que les Nerazzurri devront budgétiser pour la saison 2023/24 s'élèvera à 5,965 millions pour Lazar Samardzic. La vente de Fabbian Pour conclure cette transaction avec l’Udinese, comme mentionné, la vente du milieu de terrain né en 2003, Fabbian, a été importante. Lui allant dans le Frioul il jouera désormais sous les ordres de Sottil. Issu de la primera et revenant d’un prêt concluant en Série B à la Reggina, l’Inter en registre une belle plus-value avec son transfert. En effet, la valeur comptable de Fabbian était pratiquement inscrite au budget pour un résultat proche de zéro. Donc avec le transfert à l’Udinese pour 4 millions, le chiffre peut être intégralement inscrit au bilan Inter 2023/24 comme plus-value nette. Le poids de l'opération pour la première saison ne concernera donc que l'embauche de Samardzic, à partir du moment où la quote-part d'amortissement sera couverte par la plus-value réalisée avec la vente de Fabbian. ®Jean Idriss – Internazionale.fr- 14 commentaires
-
- 6
-
-
- lazar samardzic
- udinese
- (et 13 en plus)
-
Notre international arménien, Henrikh Mkhitaryan, a retrouvé une Inter bien différente de celle qui a disputé la Finale de la Ligue des Champions, avec une concurrence accrue dans son secteur. Celui-ci s’est livré en exclusivité à la Gazzetta Dello Sport A quel point a muri l’équipe ? "Nous sommes dans une période de transformation, tant de choses ont changé, mais nous restons les mêmes. Il y a des joueurs avec des caractéristiques différentes, mais la structure et la façon de jouer ne changent pas. Nous travaillons tous ensemble pour nous améliorer, anciens et nouveaux." Quelles choses ont changé, par exemple dans votre travail, en sachant que vous passez de point de référence comme Edin Dzeko ou Romelu Lukaku à un joueur comme Marcus Thuram ? "Je suis Marcus depuis quelques temps, je l’ai déjà vu évoluer en Allemagne et j’aime bien sa façon de se déplacer, il est rapide et technique, ce sera à nous à le servir d’une façon différente : Lui, de son côté, dispose d’une grande marge de progression qu’il devra exploiter et nous l’aiderons à s’améliorer tout comme lui nous permettra également de nous améliorer." Marcelo Brozovic est parti au milieu, Davide Frattesi est arrivé... "Nous avons perdu un joueur importantissime, mais un joueur fortissime est arrivé. Je ne dis pas qu’il le deviendra car il l’est déjà. En plus de savoir délivrer des passes décisives et jouer avec le ballon, il sait très bien aussi comment marquer, il suffit qu’il voie une ouverture et il s’y engouffre rapidement, et ça, c’est une caractéristique importante: S’il est bien servi, il représente une arme supplémentaire qui s’unira aux autres dont nous disposons déjà dans l’équipe." Si l’on ajoute aussi Lazar Samardzic et son pied gauche, il risque justement de vous concurrencer personnellement... "Nous l’avons joué l’année dernière et nous avons tous vu que c’est un joueur talentueux de grand potentiel. Et je n’ai jamais pensé que le fait d’être en concurrence soit problématique : Plus nous serons, mieux nous nous entraiderons. Finalement, nous nous battons tous pour le même objectif : gagner des matchs et remporter des titres." Avec ce mixte de jeunesse et d’expérience, de technique et de rapidité, l’Inter dispose-t ’elle de l’un des meilleurs Milieu de terrain d’Europe ? "Dit comme ça sur papier, forcément que oui. Mais il faudra passer des paroles au fait et ce seront via les prestations que nous devrons démontrer que nous méritons tous cette considération. La saison sera longue et cette abondance devra nous permettre d’atteindre nos objectifs." Parmi vos objectifs, il y a également celui de prouver que l’exploit en Ligue des Champions n’est pas dû au hasard ? "Arriver au sommet une fois est bien moins difficile que de réitérer un tel parcours et se stabiliser à un certain niveau. Ce qui est sûr, c’est que nous serons prêts à relever ce défi car nous sommes une équipe vraiment forte : Nous verrons ce qu’il se passera en phase de groupe et ensuite nous reprendrons notre course : Car nous sommes là et pas uniquement pour la Ligue des Champions : Le Scudetto est l’un de nos objectifs, nous savons tous à quel point il est important pour les Tifosi, mais il ne faut pas oublier la Coupe d’Italie et la Super Coupe d’Italie, nous y tenons aussi : Ce sont des titres et si tu les gagnes, tu auras cette faim qui te donnera encore l’envie de continuer à gagner." Est-ce que vous allez puiser votre énergie de la désillusion d’Istanbul pour tenter de tenter à nouveau le coup ? "Non, il s’agit d’un chapitre clos, d’une autre histoire. Nous la porterons en nous inévitablement, mais nous débutons un nouveau parcours, à présent, qui se construira quotidiennement." A combien de reprises avez-vous pensé à Istanbul durant l’été ? "Quasi quotidiennement, c’était quasiment la rencontre d’une vie, et peut-être que nous la revivrons à nouveau, peut-être pas. Et nous aurions mérité de l’emporter : Tout le monde s’attendait à ce que City nous en colle trois, mais je pense que nous avons prouvé que nous leur avions été supérieur." Que peut-on ressentir lorsque l’on dispute quasiment toutes les rencontres et que l’on se blesse juste avant la Finale de la Ligue des Champions ? "C’était une blessure malchanceuse face au Milan qui m’a écarté des terrains durant trois semaines et j’ai tout donné pour revenir pour Istanbul. Je ne tiens plus à regarder derrière moi, à penser négativement, je me concentre sur ce qu’il y a de positif et tentons de revivre ces émotions." Avec une année de plus au compteur, pensez-vous savoir maintenir le même niveau que celui de la saison écoulée ? "C’est certain, je bosse dur pour rester en forme, je suis prêt à commencer en force et à tout donner pour rester au top. Il n’y a pas de secret....Finalement si, ce sont mes équipiers car seul tu ne vas nulle part. Mais tu te dois de savoir y mettre du tien en travaillant physiquement, en récupérant, en faisant aller ta tête, c’est une combinaison de tous ces facteurs : Le football est finalement démocratique : Il te rend tout ce que tu lui as donné." ®Antony Gilles – Internazionale.fr
- 2 commentaires
-
- 7
-
-
-
- henrikh mkhitaryan
- ligue des champions
- (et 11 en plus)
-
En effet, la Gazzetta Dello Sport nous informe d’une anecdote assez particulière, qui pourrait voir également le jour dans le futur, ca si Lazar Samardzic va revêtir le maillot Nerazzurro très prochainement, il se pourrait bien que Marcus retrouve son frangin de sang ! "Lorsque Papa Lilian a accompagné son fils, Marcus, à Milan pour les visites médicales et la signature du contrat, des discours se sont tenu en regard à son autre fils, Khephren, qui évolue au poste de Milieu de terrain à Nice." Thuram Junior Khephren est connu depuis longtemps des 007 Nerazzurri qui l’ont suivi depuis qu’il évoluait chez les jeunes de l’As Monaco et avec encore plus d’insistance lorsqu’il a rejoint gratuitement Nice chez les Pro. A Monaco, il a beaucoup grandi sous les enseignements de Patrick Vieira, qui est aussi son idole, et il est devenu l’un des jeunes parmi les plus intéressants du panorama européen. Doté d’une taille remarquable (191 centimètres) et d’une belle force physique, il est bon techniquement, élégant et possède à la fois un bon tir et une légère accélération et présente des des caractéristiques qu’aucun des autres milieu de terrain de l’Inter n'a. C’est pourquoi il a été suivi et le sera également dans les prochains mois, étant donné que son contrat avec Nice expirera en 2025. Il reste encore beaucoup de temps pour y arriver, et beaucoup de concurrence pour Khephren car tous les grands Clubs européens se sont informé sur ce joueur né en 2001 à Reggio Emilia et qui, enfant, a porté le maillot du Fc Barcelone, ville où son père Lilian avait déménagé, avec la complicité du Calciopoli et la relégation de la Juventus en Serie B. Un observateur spécial Sa dernière saison a probablement été la meilleure de sa courte carrière, avec 32 matches de Ligue 1 (2 buts et 4 passes décisives) et 10 matches de Conference League (3 passes décisives) : il s'est imposé comme l'un des meilleurs milieu centraux du championnat de France et est prêt pour le saut dans un championnat plus élevée. Combien coûte aujourd'hui le plus jeune des fils de Lilian ? Probablement une cinquantaine de millions, soit une somme qui a découragé l'Inter, mais qui a aussi éloigné les autres grands pour le moment. D'autant plus que depuis mars dernier, Khephren a été appelé en équipe nationale et qu'à l'avenir, il disposera de la Vitrine des Bleus pour se mettre en valeur. Il a déjà évolué avec son frère en Equipe de France et il pourrait le faire aussi à l'Inter, en suivant une tradition qui a vu les frères Esposito et Carboni porter le maillot des Nerazzurri ces dernières années: "Peut-être que Marotta, Ausilio et Baccin essaieront de lancer, à nouveau, l’assaut l'été prochain, sachant qu'ils ont un allié important à leurs côtés en la personne de Marcus, mais la concurrence s'annonce redoutable: Liverpool, par exemple, s'est renseigné, et le PSG le suit également de près". ®Antony Gilles – Internazionale.fr
- 3 commentaires
-
- 9
-
-
- lazar samardžić
- marcus thuram
- (et 16 en plus)
-
C’est l’analyse de la Gazzetta Dello Sport : "Après avoir atteint la Finale de la Ligue des Champions, l’Inter, malgré le départ de nombreux "Bigs", s’est construite avec l’objectif d’exceller en Italie et de remporter le Scudetto, après deux années "à sec" "Il n’y a pas de place au doute ou à l’incertitude : Le Scudetto est l’objectif déclaré par le Club, qui l’a annoncé dès le début de la Conférence de presse de la présaison, un concept répété par le Président Steven Zhang également durant la tournée au Japon, où il a démontré son désir de faire le Bis, après le Tricolore obtenu en 2020-2021 et chaque décision a été prise dans l’optique du Scudetto." "Si le Club a décidé de rajeunir son noyau, il y a tout de même inséré des éléments qui présente la "Certification" de l’expérience en la Serie A : Davide Frattesi, Juan Cuadrado, Lazar Samardzic et également Gianluca Scamacca, dont la négociation a très bien avancée. Il y a également l’insertion d’éléments en provenance de l’étranger : Marcus Thuram, Yann Sommer, qui est attendu pour ce samedi et également Yann Aurel Bisseck. Il ne s’agira donc pas d’une année de transition ou de reconstruction, c’est certain et ce même si des éléments de valeur, des personnalités charismatiques et d’expérience comme André Onana, Milan Skriniar, Marcelo Brozovic, Romelu Lukaku et Edin Dzeko ont fait leurs valises." "Suning n’a plus la capacité de dépenser comme en 2019 lorsqu’il avait enrôlé Antonio Conte accompagné d’une campagne de recrutement somptueuse et la Pandémie n’avait pas encore frappé. Mais cela ne veut également pas dire que Zhang, même s’il doit veilleur étroitement sur les comptes, ne fait pas tout son possible pour l’emporter. Il a également demandé un effort supplémentaire à Giuseppe Marotta, à Piero Ausilio et à Dario Baccin au niveau des idées à présenter en faisant preuve d’ingéniosité car dès le 2 septembre, le Mercato aura fermé ses portes et ce "poids" sera reporté sur les épaules de Simone Inzaghi qui partira à la conquête du premier Tricolore de sa carrière. "L’Inter visera la Seconde Etoile, mais sans sacrifier les autres compétitions et plus particulièrement la Ligue des Champions où elle se présentera en qualité de finaliste d’Istanbul. L’Objectif déclaré du Scudetto servira aussi à éviter que tout à chacun ne pense trop aux impératifs liés à l’Euro comme cela s’était passé jusqu’en février dernier." "Lors des deux dernières saisons, la salle des Titres de la Viale Della Liberazione s’est enrichie de quatre trophées : Deux Coupes d’Italie et Deux Super Coupes d’Italie et le parcours européen a été à la hauteur du Prestige du Club, mais la Propriété et la Direction gardent, en travers, la perte du Scudetto dans le duel face au Milan lors de la saison 2021-2022 et le départ manqué dans la course au titre de la saison écoulée." Validez-vous le projet de Suning dont le comportement est aux antipodes de celui de Nenking, qui a coulé un FC Sochaux-Montbéliard au bord de la faillite ? ®Antony Gilles – Internazionale.fr
- 15 commentaires
-
- 9
-
-
- scudetto
- suning
-
(et 24 en plus)
Étiqueté avec :
- scudetto
- suning
- ligue des champions
- steven zhang
- serie a
- davide frattesi
- juan cuadrado
- lazar samardžić
- gianluca scamacca
- marcus thuram
- yann sommer
- yann aurel bisseck
- andré onana
- milan skriniar
- marcelo brozovic
- romelu lukaku
- edin dzeko
- antonio conte
- jindong zhang
- giuseppe marotta
- piero ausilio
- dario baccin
- simone inzaghi
- euro 2024
- coupe ditalie
- super coupe ditalie
-
C'est un fait, l'Inter est sur le point de finaliser l'arrivée de Lazar Samardzic, tandis que notre jeune Giovanni Fabbian partira à Udine, mais avec l'Inter qui n'en perdra pas le contrôle. Une Masterclass "L'Inter et l'Udinese ont conclu l'accord pour le milieu de terrain serbe, qui devrait devenir la cinquième recrue des Nerazzurri. Les derniers détails qui manquaient entre les deux clubs ont donc été réglés. Pour l'officialisation, la dernière réunion entre l'Inter et l'entourage du joueur concernant l'accord définitif sur le salaire est nécessaire. Il s'agira d'un contrat de cinq ans, qui ne devrait pas s'éloigner des 2 millions d'euros par saison" "L'opération est structurée comme suit : Un prêt onéreux de 5 millions d'euros accompagné d'une obligation d'achat en juin 2024 fixée à 15 millions d'euros et 2 millions d'euros de bonus supplémentaire. Sur ce montant maximum de 22 millions, l'Inter recevra 6 millions d'euros en contre partie pour Fabbian. Concernant le jeune milieu de terrain, le montant du rachat a également été fixé: Les Nerazzurri pourront racheter Fabbian en 2025 pour un montant déjà fixé de 12 millions d'euros. Il ne manque donc plus grand-chose pour que le milieu de terrain serbe débarque à Milan et soit mis à la disposition de Simone Inzaghi dans la semaine", confirme La Gazzetta dello Sport. ®Antony Gilles – Internazionale.fr
-
Vers un Milieu de terrain pyrotechnique ?
Victor "Antony" Newman a posté un article dans F.C. Internazionale Milano
En effet, avec l’arrivée de Davide Frattesi et la future arrivée de Lazar Samardzic nous retrouvons deux éléments au milieu de terrain qui peuvent renforcer, avec la Manière, celui déjà redoutable composé de Nicolò Barella, Hakan Çalhanoğlu, Henrik Mkhitaryan et Kristjan Asllani Droit au Buts Car en prenant en compte les deux dernières saisons de Serie A, selon les statistiques recueillies par Kickest, il apparaît que l'Inter va disposer d'un Milieu de terrain qui aime aller au but, et en le faisant de différente manière: En ce qui concerne les buts en dehors de la surface, derrière Koopmeiners, Malinovskyi et Fabian Ruiz avec 6 buts (le deuxième et le troisième ne jouant plus en Italie), nous trouvons Hakan Çalhanoğlu et Lazar Samardzic avec 5 mines chacun. La situation est similaire en ce qui concerne les buts dans les 16 mètres : Milinkovic-Savic et Pasalic sont en tête avec 18 buts, tandis que Frattesi, occupe la troisième place avec 11 buts, suivi de Candreva avec 9 buts et de Barella avec 8 buts. Comme le souligne Fcinter1908.it: "L'Inter a ainsi remplacé Brozovic (vendu à Al-Nassr) et Gagliardini (dont le contrat expiré n'a pas été renouvelé) par deux jeunes joueurs capables d'offrir des alternatives à Simone Inzaghi sur base de rajeunissement voulu par la Politique du Club cet été. Avec Çalhanoğlu et Asllani comme meneurs de jeu et les Barella, Mkhitaryan, Frattesi et Samardzic interchangeables, les Nerazzurri peuvent se vanter d'avoir un département d'une qualité absolue, avec des interprètes capables de tourner sans affecter le niveau de compétitivité de l'équipe." Ça va bouger bouger ! ®Antony Gilles – Internazionale.fr- 10 commentaires
-
- 13
-
-
- davide frattesi
- lazar samardžić
- (et 10 en plus)
-
En marge de l’évènement "Sport e Musica nell'era della performance. Basta ancora il solo talento?" qui s’est tenu au Triennale di Milano, le Taulier des Directeur Sportif en Italie s’est livré, hier soir, sur le mercato Nerazzurro C’était une fameuse journée pour l’Inter…. "Les prolongations de Çalhanoğlu et Bastoni étaient deux situations bien préparées depuis longtemps: L’officialisation est finalement arrivée et j’en suis heureux car nous comptons construire le présent et le futur de l’Inter autour d’eux. C’était vraiment quelque chose de voulu, ensemble, d’allonger la durée des contrats en mérite aux prestations des dernières saisons. C’est une reconnaissance pour le travail qu’ils ont réalisé à l’Inter ces dernières années." Était-ce difficile pour Frattesi car on parlait aussi d’un Grand Derby ? "Comme pour toutes les négociations et code promo premier bet, il y a toujours des difficultés et lorsqu’il s’agit de Sassuolo, les difficultés augmentent. Lorsque tu as un club qui prend un joueur, les autres disent qu’ils n’étaient pas intéressés, mais en réalité, il était suivi depuis tant de temps. Ce n’était pas une thématique d’une ou deux équipes, c’est un joueur très fort qui a énormément grandi, un joueur de la Nazionale, et il a attiré l’attention d’énormément d’équipes italiennes." "Nous y avons travaillé et nous avons forcément su nous montrer convaincant car ce garçon nous a donné un coup de main en voyant, en l’Inter, le projet le plus convaincant : Et nous sommes très heureux d’avoir pu porter à terme cette opération." Il reste un autre poste vacant au milieu : Est-ce pour Samardžić ou pour d’autres profils ? "Plus que d’un poste libre, je parlerai plutôt de situation qui peuvent prendre en considération plus qu’un nom : Il y a tant de garçons dont il est important de régler la situation en sortie, et une fois cette situation de réglée, nous pourrons mieux comprendre comment compléter ce secteur qui reste compétitif malgré le fait que Brozovic soit parti." Deux sont partis : Brozovic et Gagliardini, deux arriveront ? "Nous débuterons la saison avec six milieux : En accord avec Simone et Marotta, nous chercherons à composer le meilleur noyau possible pour faire face à toutes les compétitions : Il devra s’agir de joueurs importants. Je cherche à doubler les postes avec 20 joueurs de terrains et trois gardien, nous nous préparons à cela pour le début de la saison." Aimeriez-vous ravoir Lukaku rapidement comme Inzaghi ? Est-ce qu’une semaine de négociation va débuter avec Chelsea ? "Je ne parle pas de temps mais d’idée est Lukaku est une idée importante partagée par tous dans l’Aile Sportive, mais c’est un joueur de Chelsea : Les dialogues avec le club anglais ne se sont jamais interrompu et j’ai bien conscience que le joueur ne sera plus donné en prêt pour une seconde année : Nous évaluons donc la façon dont il nous sera possible de le recruter à titre définitif : Lukaku sait parfaitement bien que nous tenons à le faire revenir à l’Inter et que nous cherchons à trouver une solution." Le Mercato laisse suggérer d’autres ventes, comme Onana ? "C’est le gardien de l’Inter, et nous tenons à aller de l’avant avec des joueurs forts, Onana est un point de force de l’équipe : S’il arrive des offres nous les écouterons. Au jour d’aujourd’hui aucune n’est arrivée ou du moins aucune ne répond à nos attentes : Le discours Onana se termine ici : C’est le gardien de l’Inter. Nous n’attendrons pas jusqu’à la fin du Mercato, mais d’ici à une vingtaine de jour. Et c’est valable pour tout le monde, si nous recevons des offres importantes, nous les évaluerons toutes. Il n’y a pas de date butoir, mais nous ne voulons pas nous priver de quelqu’un." Avez-vous été lassé par les dernières sorties sur les réseaux sociaux de Brozovic avant sa cession ? "Les déclarations sur les réseaux sociaux ne m’intéressent que très peu, ce qui m’intéresse c’est ce qu’a fait Brozo au cours de ses huit années à l’Inter : Elles ont toutes étaient importantes même ce n’est pas non plus comme si toutes étaient excellentes : Ce sont surtout ces dernières saisons qui ont été importantes. Je le remercie pour cela, à présent Brozovic est le passé et Frattesi représente le présent et le futur, comme tous les autres joueurs qui sont restés." Aurez-vous un budget de plus-values solide via la vente des jeunes joueurs ? "Nous avons besoin de travailler dans le respect des paramètres qui nous ont été donnés : L’Inter, comme tous les clubs de l’UEFA, travaille dans le respect de cette règle : Tu dépenses ce que tu gagnes. Si tu parviens à gagner plus alors tu peux dépenser plus, mais il est possible de se montrer très imaginatif : Chaque année nous parvenons à être compétitif et nous avons remportés et disputés deux finales : Nous voulons continuer à être compétitif aussi pour les prochaines années : La qualité d’une équipe ne s’établi pas uniquement sur la somme qu’elle dépense, mais bien plus sur la base d’autres facteurs." Où en est la situation avec Handanovic ? "Son contrat a pris fin, mais nous procéderons à des évaluations à la lumière de ce qu’il se passera dans les prochains jours." Trubin ? "C’est un joueur de talent comme tous les autres joueurs, l’Inter a le devoir de l’observer, et de le surveiller : Il fait partie de ce type-là." Est-ce qu’il s’agira d’un mercato toujours actif dans les prochaines semaines ou est-ce que toutes les opérations seront réalisées en fin de mercato ? "Je vous promets que nous ne ferons rien jusqu'à la fin du mois d'août, à condition que ce soit la dernière discussion et que nous en reparlions en septembre" (il rit) Kovacic ? "Je l'apprécie. D'abord parce que c'est un gars formidable. Ensuite, il y a la satisfaction de l'avoir découvert. Je regrette de ne pas pouvoir eu le temps l'apprécier, non pas parce que quelqu'un m'a forcé à le vendre, mais quand une offre importante arrive comme celle du Real Madrid pour un jeune garçon, et que cette offre vous permet de résoudre certaines situations, il est difficile de dire non. Il est également difficile pour le joueur de dire non au Real Madrid lorsqu'il l'appelle." "À l'époque, nous n'étions pas structurés pour le conserver et le prolonger, car nous devions composer une équipe très compétitive. Aujourd'hui, nous aurions la force de le garder. Nous devons chaque année maintenir un équilibre et un sacrifice par an doit avoir lieu : Cette année Brozovic est parti, et après tant d’années nous nous sommes mis d’accord pour changer quelques personnalités." "Nous avons aussi immédiatement investi aussi sur Frattesi et des jeunes en développement comme Asllani : Nous allons de l’avant." Inconnue mystère "Je dois vous confesser quelque chose : Je n’ai pas de compte Instagram Officiel, je m’en suis créé un pour contrôler les épouses car certaines m’avait créés des problèmes. Tu comprends énormément de choses via les épouses et les fiancées, tu cernes aussi la personnalités des joueurs. J’ai aussi suivi des joueurs, même d’autres équipes. Mais je l’ai créé car l’épouse d’un joueur me posait énormément de problèmes." Frattesi ? "Il représente l’idée que nous avons d’un joueur, il a démontré son talent déjà en Primavera, c’est là qu’il s’est fait connaitre avec la Roma et a fait parler de lui. Ensuite, il a connu un parcours compliqué dans des compétitions inférieures. Il s’est retrouvé à Sassuolo dans une opération comme certains le font pour rejoindre par la suite la Serie B. J’ai eu la possibilité de le voir à Monza et il est revenu assiéger la Serie A, en ayant une croissance constante avec Sassuolo : Il s’est toujours nourrit de ses détracteurs pour s’améliorer, il a de l’ambition et une volonté d’émerger qui ne s’est jamais perdue." "Il a encore une belle marge de croissance, il est jeune. Mais Sassuolo n’est pas l’Inter, la scène change, le stade change, les ambitions changent, les objectifs changent : C’est une chose de vouloir jouer pour faire une belle impression, c’en est une autre de jouer pour gagner des titres, comme cela doit être le cas lorsque tu es à l’Inter : Je suis certain que ce garçon a toutes les qualités et caractéristiques requises pour répondre à ce que nous recherchions." Les Giovanile? "J’ai toujours été chanceux car j’ai énormément travaillé avec les jeunes, j’en ai visionné énormément. Je me souviens du premier talent qui m’a frappé, je venais d’être nommé Responsable du secteur des Jeunes et Beppe Baresi et moi avions convenu de parvenir à convaincre le Président Moratti d’investir davantage sur les jeunes joueurs. "Il nous a accordé un très gros budget et nous sommes partis à leur recherches. L’un des premiers que nous avions acheté se nommait Pandev, il avait tout de suite montré qu’il était très fort. Je l’avais découvert un peu par hasard, mais ce qui compte, c’est l’instinct, le moment clé, celui où tu ressens l’émotion que te procurer un joueur. Nous l’avions recruté aux confins de la frontière hongroises. Et à partir de lui, il y en a eu énormément d’autres en 25 années passées à l’Inter." "Chaque fois que je recroise l’un de ses garçons, ils viennent me saluer, cela me fait plaisir." Est-ce vrai que Kvaratskhelia était sur votre Agenda, il y a quatre ans ? "Oui, mais pas que sur le mien,ce garçon était connu de tous. Des rendez-vous ont eu lieu à l’époque, j’avais même rencontré l'agent personnellement, mais si vous jouez en 3-5-2 avec Conte et Inzaghi, vous avez du mal à l’insérer." "Il y avait aussi la Juventus et la Roma, puis Naples a profité d'une très bonne situation et s'en est bien sorti. Il lui a aussi fallu du courage. Ce n'était pas un joueur très connu, mais tout le monde le connaissait. Tous nos recruteurs le considéraient comme un talent important, qui aurait mérité un investissement. Mais il n'était pas considéré comme adapté à notre système de jeu." Le Fair-Play-Financier "Le football d’aujourd’hui est différent, il y a des systèmes de contrôles qui ne te permettent plus d’investir autant que tu le voudrais, indépendamment des possibilités. Si aujourd’hui il y avait encore un Moratti passionné et avec l’envie de dépenser, les règles actuelles l’en empêcherait : Tu dois dépenser ce que tu gagnes en respectant le palier de 30 millions d’euros sur le triennal." "Si tu ne parviens pas à te créer des opportunités pour les recettes, alors tu dois renoncer à quelque chose : Le Système européen tient compte d’énormément de paramètres, nous vivions avec cette réalité depuis 2014 et ce sera toujours comme ça à présent." La Premier League ? "Juste pour les seuls droits télés, le rapport est de 1/4: La dernière équipe de la Premier League gagne plus que la première de la Serie A. Nous devons utiliser d'autres stratégies : Nous avons de bons Dirigeants, de bons entraîneurs, de bons secteurs de jeunes. Nous avons aussi besoin d'imagination et d'une prise de décision rapide. Eux, sont plus lents dans ce domaine, et nous parvenons parfois à nous faufiler et à ramener le joueur à la maison. Même si, en toute honnêteté, il faut dire que lorsqu'on est sur le même joueur, c’est très rare que nous parvenions à l’emporter." Balotelli "En ce qui concerne les footballeurs, vous abordez les choses de différentes manières. Parfois, nous avons pris des joueurs tout en sachant qu'ils n'étaient pas les meilleurs, mais parce que nous ne pouvions pas faire autrement : Il y en a des exemples de mauvais achats ou de prêts permanents. Peut-être même partagées avec les entraîneurs, qui échappent souvent à toute responsabilité. Parfois, on se trompait parce qu'on avait des attentes qui n'ont pas été satisfaites." "Parfois, on s'imposait encore plus durement, parce qu'on a pris trop confiance en certains joueurs." Mon geste le plus romantique ? "C’est bien connu c'est moi qui ai découvert Balotelli, j'aurais tout misé sur lui, c'était mon Recoba. A ce moment-là, c'était comme un fils. Il est inexplicable que, par rapport au talent qu'il avait, il ne soit pas devenu une folie du football mondial pendant 20 ans." ®Antony Gilles – Internazionale.fr
- 9 commentaires
-
- 9
-
-
-
- piero ausilio
- hakan çalhanoğlu
-
(et 32 en plus)
Étiqueté avec :
- piero ausilio
- hakan çalhanoğlu
- alessandro bastoni
- davide frattesi
- sassuolo
- italie
- lazar samardžić
- marcelo brozovic
- roberto gagliardini
- simone inzaghi
- giuseppe marotta
- romelu lukaku
- chelsea
- andré onana
- uefa
- samir handanovic
- anatoliï volodymyrovytch troubine
- mateo kovacic
- real madrid
- kristjan asllani
- as roma
- monza
- giuseppe baresi
- goran pandev
- khvicha kvaratskhelia
- antonio conte
- juventus
- naples
- fair-play-financier
- massimo moratti
- premier league
- serie a
- mario balotelli
- alvaro recoba