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  1. Paolo Di Canio, en commentant l'accession de l'Inter en quart de finale, n'a pas ménagé Simone Inzaghi. Ses mots sur Sky Sports. "Je ne le critique pas pour le critiquer ou sur son niveau de compétence car il est très bon. Mais il doit comprendre où il est ! Même l'autre jour, ses déclarations m'ont laissé perplexe. Je suis désolé parce qu'il semble immature en termes de déclarations. Il m'a semblé puéril en termes de statut d'entraîneur. Les résultats sont excellents, il est deuxième derrière Napoli, il a ramené l'Inter en quarts de finale de la Champions après une longue disette et la demi-finale de la Coppa Italia est en jeu. Mais en l'écoutant parler pendant que je buvais une tisane, je me suis dit : 'A-t-il gagné la Ligue des champions ?'. Tu n'es pas au Chievo Verone, où ces résultats feraient partie de l'histoire; mais aussi les victoires obtenues avec la Lazio peuvent être qualifiées d'historiques. Mais l'Inter a remporté le Triplete en 2010. Quand Inzaghi est arrivé, elle avait gagné le Scudetto. Certaines déclarations ne sont pas dignes d'un grand club, c'est un peu petit comme déclaration car il n'a pas encore réalisé dans quel club il est. L'Inter a un historique beaucoup trop beau pour ces déclarations. Simone est bon mais l'Inter est trop belle, trop grande pour certaines déclarations. Les résultats sont bons, certes, mais n'ont pas marqué l'histoire. Ainsi, il diminue les niveaux de l'Inter et aussi le sien par la même occasion. Inzaghi et moi avons joué ensemble, c'est un très bon garçon mais cela m'a fait mettre mes mains sur la tête pour ces mots. L'année dernière, je lui ai reproché de gérer certains matches mais c'était ma pensée; alors peut-être que c'est facile vu de l'extérieur." Di Canio en train de boire une tisane... mais avis intéressant et argumenté d'un ex-collègue. Traduction alex_j via FCInterNews.
  2. Un an après la fameuse interview qui a marqué le début de son rapprochement avec l'Inter, avec des excuses aux supporters et l'aveu de vouloir revenir à Milan tôt ou tard, Romelu Lukaku revient s'exprimer aux micros de Sky Sport. Big Rom a abordé de nombreux sujets. Voici la longue interview. Comment allez-vous? "Je vais très bien, nous avons fait un excellent travail avec l'équipe et l'entraîneur. L'équipe doit continuer à travailler et bien se préparer pour le match contre le Napoli." L'année dernière, à cette époque, vous aviez dit que vous vouliez revenir à l'Inter. "Il y a de la satisfaction d'être de retour, beaucoup. Je suis content d'être de retour, mais je ne veux pas trop parler en dehors du terrain. Je travaille dur avec les entraîneurs et avec l'équipe. Maintenant je dois répondre sur le terrain." Comment avez-vous vécu la période où la négociation devenait chaude ? Quand avez-vous su que vous reveniez à Milan ? "Quand j'étais en équipe nationale, quelques jours avant, j'ai parlé au propriétaire de Chelsea. Nous avons eu une bonne conversation et je lui ai tout raconté, ma relation avec le manager qui était à Chelsea à l'époque. Je lui ai dit que je voulais retourner à l'Inter et il m'a ouvert la porte. Ensuite, j'ai commencé à parler à l'Inter et à partir de là, la négociation s'est déroulée rapidement, puis mon avocat s'est occupé des détails." Vous souvenez-vous du moment de votre arrivée à Milan ? "J'étais fatigué, j'étais parti en vacances et je suis arrivé ici tout de suite. J'étais nerveux, mais au final je dois tout faire pour aider l'équipe. L'Inter m'a donné l'opportunité dont j'avais besoin dans ma carrière, maintenant je veux faire quelque chose d'important avec cette équipe." Votre relation avec Jay-Z ? "C'est la première personne qui m'a appelé après avoir gagné le Scudetto. On a passé du bon temps ensemble à New York, il a aussi beaucoup poussé pour que je revienne ici. Il aime beaucoup le football, il suit l'Inter, c'est quelqu'un de bien." Les personnes les plus importantes dans les moments difficiles ? "Ma mère et mon fils et bien sûr les membres de ROC Nations." Comment avez-vous trouvé le vestiaire ? "Très bien ! Maintenant je dois arriver au sommet d'un point de vue mental car les adversaires m'attaquent maintenant immédiatement. Le groupe est compétitif, nous sommes des amis très proches et c'est unique dans le football. Nous avons grandi ensemble et c'est une bonne chose." Le but contre Lecce ? "Je me suis dit 'Et un… maintenant je dois faire le second'. Je me souviens aussi du but de Denzel et de la façon dont nous avons tous applaudi ensemble, le but de Dumfries nous a amenés à gagner le match, nous sommes tous allés applaudir avec lui et vous pouvez voir que l'équipe est unie." Quelle a été l'émotion la plus forte après votre retour ? "Le retour à San Siro mais aussi quand je suis revenu en Ligue des champions contre Plzen, j'ai vu comment tout le monde a applaudi mon but. C'était vraiment un beau moment, j'ai vu l'amour des fans qui sont vraiment spéciaux, les meilleurs au monde. Même si nous avons des problèmes, ils nous soutiennent toujours. Je pensais qu'ils étaient toujours en colère contre moi. J'ai parlé aux managers, je leur ai dit la vérité sur les raisons de mon départ. J'espère aussi rester dans le futur, pour moi l'Inter vaut tout." Lorsque vous avez marqué contre le Viktoria Plzen, vous vous êtes excusé. "Avant, je marquais toujours beaucoup de buts mais il manquait cette pièce pour être un grand joueur, l'Inter m'a permis d'en devenir un, même si évidemment je ne suis pas encore au top. Les fans de l'Inter resteront toujours dans mon cœur. Mais l'histoire n'est pas encore terminée, espérons que nous gagnerons d'autres trophées dans ce club." La blessure? "C'était une blessure grave, bien plus que prévu, c'était au tendon fléchisseur. Je récupère rapidement en général, mais j'ai toujours eu ce sentiment que les choses n'allaient pas bien. Ma maison est comme un hôpital, j'ai tout pour récupérer rapidement. Cette fois, je n'ai pas réussi, j'ai disputé un match de Coupe du monde avec deux entraînements en quatre mois. Ensuite, je me suis reposé et à partir de là, j'ai recommencé de zéro. En ces dix jours ils m'ont justement massacré, maintenant j'ai vraiment envie de retrouver le terrain. Attendons et voyons." Que répondez-vous à ceux qui disent que vous n'êtes plus au top comme vous l'étiez ? "A bientôt sur le terrain." Henry? "A mon avis, il sera le prochain entraîneur de l'équipe nationale, c'est quelqu'un qui sait coacher, il sait ce qu'on a à faire. Pour moi, c'est le nouvel entraîneur de la Belgique. Alors je ne sais pas qui ils vont embaucher, mais je pense qu'il ne faut pas repartir de zéro. Nous n'avons pas gagné, mais nous devons continuer d'essayer de le faire. Il veut gagner ! Je ne pense pas que l'équipe nationale veuille engager quelqu'un qui veuille repartir de zéro. Pour moi, ça n'en vaut pas la peine." L'année dernière vous avez eu des mots sympas pour Inzaghi, maintenant que vous l’avez rencontré qu'en pensez-vous ? "Il sait stimuler les joueurs, il a trouvé le moyen de réveiller le lion en moi. Ça me provoque toujours et me déclenche une réaction, il y a un super feeling sur le plan personnel. Nous avons une excellente relation. Comme je lui ai dit, mon frère l'a eu pendant de nombreuses années à la Lazio et il s'est toujours très bien entendu avec lui. L'année dernière, nous avons beaucoup parlé, puis je suis parti. Mais ça vaut pour toute l'équipe, il n'y a pas que la relation entre Romelu et l'entraîneur. Il y a celui entre Inzaghi et tous les joueurs. Nous voulons bien faire pour ce club et pour les supporters. Nous voulons bien faire les choses au cours des six prochains mois et nous y travaillons." Quel est l'objectif de l'Inter ? "Tant qu'une équipe n'a pas soulevé le trophée, tout est possible dans le football, nous jouons pour cela. Voyons à la fin de la saison, celui qui soulève le trophée est champion. Nous sommes toujours là pour l'instant, le championnat se termine en juin et nous ne le verrons qu'à ce moment-là." Napoli? "Ils ont un entraîneur vraiment fort, ils font un excellent travail, ils ont beaucoup de joueurs du plus haut niveau. Ils sont dans un bon moment, ils ont Osimhen qui marque beaucoup de buts, Kvara qui est très fort." Qui est le plus fort entre toi et Osimhen ? "Il est vraiment fort, maintenant c'est le meilleur. Nous devons être honnêtes, il va très bien et Napoli est premier au classement. Nous avons du respect mais pas de la peur." La rencontre dans les vestiaires a-t-elle été le tournant ? "Je pense que oui, tout le monde là-bas a montré qu'il voulait bien faire pour l'équipe et pour lui-même, nous sommes à l'Inter pour gagner et faire de bonnes choses sur le terrain. Il n'y a pas d'alibi, il faut faire des choses pour l'équipe, faire de son mieux chaque jour. Je pense que depuis Barcelone, nous avons montré que nous sommes plus une équipe. Maintenant, tout le monde fait des choses pour l'équipe et nous devons continuer comme ça. Quand on a gagné il y a deux ans tout le monde courait, le foot c'est comme ça, on l'a aussi vu à la Coupe du monde. Je pense que nous sommes entraînés maintenant et nous sommes prêts pour n'importe quelle situation." Lautaro ? "Je l'ai vu et je l'ai serré dans mes bras, je l'ai entendu même après la finale et je suis très heureux pour lui qu'il ait remporté la Coupe du monde. Tous les joueurs rêvent de le gagner, j'espère que ce succès lui donnera plus d'énergie pour faire de bonnes choses pour nous. Maintenant, il aura plus d'énergie, je pense qu'il fera de très bonnes choses dans la deuxième partie du championnat." Dzéko ? "Nous avons toujours eu une excellente relation même lorsque nous étions tous les deux en Premier League, nous avons toujours parlé. Il aurait dû arriver à l'Inter plus tôt. Il aime beaucoup jouer à côté et il me donne la possibilité d'attaquer dans l'espace, puis on peut tout faire tous les deux dans la surface. On peut aussi jouer les trois ensemble avec Lautaro comme milieu de terrain offensif, puis Correa est de retour aussi. Nous allons tous bien et nous devons faire de notre mieux." Avec Dimarco ? "Fede est le premier joueur qui m'a aidé dans le vestiaire, le premier vrai ami. Quand je suis arrivé, il m'a appris beaucoup de choses sur l'Inter, il parle un peu le français, je comprenais l'italien mais il m'a beaucoup aidé. Quand il est allé à Vérone, la relation est toujours restée, maintenant nous sommes amis Playstation, nous jouons toujours ensemble la nuit." La rivalité avec Ibrahimovic ? "Je ne suis pas du genre à chercher de grands joueurs pendant longtemps, il y a toujours du respect pour ce qu'ils ont fait dans leur carrière. Il a fait de grandes choses, les gens veulent voir deux grands joueurs s'affronter. J'espère qu’il reviendra le plus tôt possible, puis nous verrons ce qui se passera sur le terrain." Vôtre futur? "Tout le monde sait ce que je veux, maintenant je dois tout faire pour que l'Inter gagne, puis à la fin on verra." Aimeriez-vous terminer votre carrière à l'Inter ? "Oui, bien sûr, même si j'aimerais jouer la dernière saison à Anderlecht. Je vais bien à l'Inter, le club a cette ambition de continuer à gagner et à grandir. Mon fils a maintenant commencé à jouer pour l'Inter Academy, nous voulons donc rester ici pour la famille aussi. On en reparlera en fin de saison et on espère trouver une solution." Un message aux fans. "J'espère que les six prochains mois seront merveilleux, vous avez été merveilleux avec moi et j'espère que vous passez de bonnes vacances." Traduction alex_j via FCInternews.
  3. L'éditorial d'Alfio Musmarra pour FCinter1908 concernant la situation actuelle de l'Inter. Introduction Rome, Barcelone, Sassuolo, Barcelone, Salernitana et Fiorentina. Ce seront les prochains matches de l'Inter dont la direction attend des réponses concrètes. En effet, le temps des bavardages est révolu. Les analyses ont été et continueront d'être comme elles se doivent car, au final, l'entraîneur ne peut pas être le seul bouc émissaire. Les joueurs doivent prendre leurs propres responsabilités : ne pas faire 3 passes de suite, ne pas marquer, ne pas s'entraider, perdre les adversaires sont des erreurs graves qui ne peuvent être imputées à l'entraîneur. Les responsabilités de l'entraîneur Un discours différent concerne plutôt le manque de condition physique et mentale, le changement de rythme, le brio. Cela peut être attribué au technicien. La confusion tactique, les mauvais changements et les choix. Et dans ce sens, après la trêve, un nouveau braquet sera nécessaire. Fini les compromis, fini les demi-mesures, l'heure est aux choix, même ceux difficiles. Il nous faut une thérapie de choc qui ne peut plus être différée. Aussi parce que la saison reste encore à jouer car il y a encore du temps pour se relancer. Cette équipe a tout pour bien faire. Quel sens cela aurait-il de tout jeter par la fenêtre en changeant d'entraîneur ? Prendre qui alors ? "De l'avis de tous, l'Inter de l'an dernier a offert pendant plusieurs mois le meilleur football de Serie A. La Lazio d'Inzaghi a été la seule équipe (avec le Napoli de Sarri) à mettre des bâtons dans les roues à la Juve alors que les Milanais s'enlisaient à l'arrière, dans l'anonymat." "Il est difficile de penser que tout d'un coup il s'est empêtré et mis les pieds dans le tapis. Mais en ce moment, il donne l'idée de traverser une phase compliquée et d'être entré dans la confusion. C'est une chose de s'entraîner dans la zone de confort des Biancoceleste où il a vécu toute sa carrière. C'en est une autre d'entraîner l'Inter où la pression est énorme et où un demi-pas est vécu comme un drame." Les exigences de la direction "C'est pourquoi Marotta et Ausilio espèrent qu'ensuite Inzaghi démontrera qu'il mérite le banc de l'Inter en mettant du sien, en apportant également quelques changements tactiques. Après tout, le renouvellement à la fin de l'été était un signe de confiance totale. Le très vilipendé Conte, par exemple, dans un moment de difficulté, a adopté la double stratégie avec Brozovic et Eriksen, et à partir de là, il a changé la saison des Nerazzurri. Bien sûr, nous avons aussi besoin d'une condition athlétique qui ne soit plus approximative, avec des gens qui courent, sprintent et se sacrifient jusqu'à la 94e minute. Milan-Napoli était révélateur en ce sens, ce ne peut être qu'un hasard si l'équipe semble empruntée." Traduction alex_j via FCInter1908.
  4. L'UEFA a remis son classement à jour, l'Inter est désormais 15e. Comme d'habitude, après la deuxième journée de la Ligue des champions, le classement des clubs de l'UEFA est mis à jour et publié. Il prend en compte les 5 dernières saisons. L'Inter gagne 8 positions et passe de la 23e à la 15e place avec 73 000 points. La Juventus, huitième avec 88 000, reste la première équipe italienne devant la Roma, douzième avec 78 000. Derrière nous, Naples 22e place avec 64 000, Atalanta 28e place avec 55 500, la Lazio 37e place avec 39 000, le Milan 47e place avec 33 000 et la Fiorentina, 106e place avec 12 700. Traduction alex_j via FCInterNews.
  5. Notre attaquant a partagé un message sur son compte Instagram. L'équipe a des matches plus importants dans les jours à venir dans lesquels elle espère rebondir. Cependant, elle doit être à son meilleur niveau pour y parvenir. Lautaro Martinez a partagé un message aux fans sur son compte Instagram après la défaite contre la Lazio. "Nous avons la tête haute parce que nous avons tout donné. Maintenant, nous devons nous concentrer sur le travail pour corriger nos erreurs et aller de l'avant car il reste encore beaucoup de chemin à parcourir." Traduction alex_j via Sempreinter.
  6. La Serie A dans les années 1990 était inondée d'argent, de drames et de résultats carrément déconcertants. Mais rien n'était plus dramatique ou déconcertant que notre Internazionale chérie pendant cette décennie. Tout au long des années 1990, notre Inter a terminé deux fois deuxième du championnat, remporté la Coupe UEFA trois fois, a failli être reléguée 1994, a battu le record de transfert deux fois, a eu 13 managers différents et n'a jamais remporté de trophée national. Incroyable non ? C'est ainsi que notre club favori a réussi à se tirer une balle dans le pied pendant une décennie entière. Voici la chronologie de l’Inter des années 90 rapportée par Eion Smith en Janvier 2019 sur le site Tale of Two Halves. L’Inter des allemands Sous la direction de Giovanni Trapattoni, l'Inter avait remporté le Scudetto en 1989 grâce à ses Allemands Lotthar Matthaus et Andreas Brehme et aux buts d'Aldo Serena. Le changement pour faire entrer l'Inter dans les années 90 consistait à remplacer le partenaire de Serena, l'Argentin Ramon Diaz, par un autre Allemand sous le nom de Jurgen Klinsmann. Malgré l'adaptation immédiate de Klinsmann à l'Italie (meilleur buteur de l'Inter avec 15 buts toutes compétitions confondues) et une victoire en Supercoppa au début de la saison, 1989-1990 verrait l'Inter terminer troisième du championnat et sortir tôt de la Coppa Italia et de la Coupe d'Europe. Une grande partie de cela peut être attribuée aux luttes de Klinsmann et Serena pour développer un partenariat cohérent ainsi que les champions Napoli et Milan (qui remporteraient la Coupe d'Europe) étant beaucoup trop forts. La Coupe du monde 1990 verra les trois Allemands de l'Inter revenir en tant que champions du monde et les espoirs étaient grands pour que l'équipe de Trapattoni puisse donner le coup d'envoi et remporter un autre Scudetto. Propulsée par un Matthaus inspiré du milieu de terrain, l'Inter était bien en lice pour le Scudetto avec le Milan et la Sampdoria. Cependant, les défaites en fin de saison contre la Sampdoria puis le Genoa ont anéanti leurs espoirs de titre et ont donné à la Samp leur premier et, à ce jour, le seul titre de Serie A. Une certaine consolation a été trouvée en Coupe UEFA alors que l'Inter a battu la Roma 2-1 au cumulé en finale. Les 16 buts de Matthaus ont été la clé de la troisième place de l'Inter en championnat tandis que les 18 de Klinsmann dans toutes les compétitions ont aidé à remporter la Coupe UEFA. Les choses semblaient bonnes pour l'Inter, mais tout était sur le point de changer très soudainement… comme d’habitude pourrait on dire. Trap-ée dans une ornière L'été 1991 a vu Trapattoni prendre la décision de quitter l'Inter pour la Juventus. Le choix du président Ernesto Pellegrini pour remplacer le légendaire patron ? Corrado Orrico. Une rapide recherche sur Google de M. Orrico vous dit que c’est mérité car il a presque fait un miracle au petit Lucchese la saison précédente. Le club toscan est passé si près de la promotion en Serie A en 1991 que cela a suffi à convaincre Pellegrini de céder les rênes de l'Inter à Orrico… mais… Ça ne s'est pas bien passé ! Orrico aurait fait passer Lotthar Matthaus de son habituel 8 à 5 et aurait complètement perdu le vestiaire. Les divisions au sein de l'équipe ont commencé à être profondes et certains résultats assez médiocres n'ont pas aidé les choses. La forme scintillante de Matthaus et Klinsmann avait disparu, les buts se tarissant et une défense apprivoisée en Coupe UEFA s'est terminée tôt par l'équipe portugaise de Boavista. Avec Orrico pataugeant, l'Inter pataugeait, il a été licencié au début de 1992 et remplacé par la légende de l'Inter Luis Suarez. Suarez a peu ajouté à l'équipe alors que les choses allaient d'une catastrophe à une autre. Le cas le plus éloquent est survenu lors du match nul 1-1 à Naples lors de la 25e journée lorsque Stefano Desideri a égalisé pour l'Inter et a commencé à célébrer en pointant Suarez sur la touche et en faisant signe qu'il était un "connard" à plusieurs reprises. Suarez a dû être retenu par Matthaus et d'autres comme cela s'est produit et Desideri a été suspendu par l'Inter. L'Inter terminerait la saison huitième avec une défaite à domicile en fin de saison contre un Cremonese déjà relégué, résumant parfaitement sa saison. Les Allemands out L'été 1992 a vu Pellegrini décidé de repartir à zéro avec l'Inter. Suarez et le trio allemand Brehme, Matthaus et Klinsmann sont partis. Le manager du Genoa Osvaldo Bagnoli et de nouvelles stars étrangères sous la forme de Darko Pancev, Igor Shalimov, Matthias Sammer et Ruben Sosa ainsi que la star d'Italia 90 Toto Schillaci sont venues. Cette décision fut inspirée, l'Inter domina une bonne partie de la Serie A en 1992-1993, grâce aux buts de l'Uruguayen Sosa. Ses 20 buts en championnat ont maintenu le rythme de l'Inter avec le Milan, qui était presque à son apogée sous Fabio Capello. Sammer était également impressionnant, mais une lutte pour s'adapter à la vie italienne l'a amené à partir en janvier, bien que l'ancien homme de Foggia, Shalimov, l’ait aidé. Cependant, l'Inter classique a frappé tout au long de la saison et leur a coûté le Scudetto. Une défaite 3-0 en début de saison à Ancône était l'une des quatre seules défaites de la saison, mais elle était particulièrement choquante étant donné qu'Ancône finirait deuxième relégué et encaissera 73 buts dans le processus. Une défaite 2-0 à Parme lors de leur avant-dernier match sonnerait finalement le glas de leurs espoirs de titre. Une autre préoccupation était la confiance dans les buts de Sosa. Schillaci n'a réussi que six buts en championnat malgré un jeu constant, tandis que la signature de la machine à buts du Red Star Pancev a été un désastre absolu. Bagnoli n'aimait pas le style de jeu de Pancev et les deux se sont constamment disputés tout au long de la saison, Pancev n'ayant réussi qu'un seul but en championnat. L'Inter avait besoin de renforts. Les Hollandais in Pellegrini n'était en aucun cas en mesure de dépenser autant que ses rivaux du Milan ou ses rivaux historiques, la Juventus, mais l'Inter a quand même pu faire sensation sur le mercato si nécessaire. 7 millions de livres sterling ont été posés par Pellegrini à l'été 1993 sur l'attaquant de l'Ajax Dennis Bergkamp et il a rapidement été rejoint par son compatriote Wim Jonk. Notons que l’Inter copia le Milan. Les espoirs étaient grands mais, dans une moindre mesure que Pancev, l'Inter a eu du mal à tirer le meilleur parti de ses nouvelles stars néerlandaises. Bergkamp serait en fait le meilleur buteur avec 18 en 93/94, mais seulement 8 en Serie A car l'état d'esprit défensif de Bagnoli a étouffé la créativité et les compétences du légendaire Néerlandais. L'Inter a également eu du mal dans la ligue avec une seconde moitié de saison d'horreur les entraînant dans un sérieux combat contre la relégation !! Et oui, pour la première fois de son histoire, l’Inter pouvait descendre. Rappelez-vous, c'était une équipe qui venait de dépenser des millions pour Dennis Bergkamp et ils luttaient contre la relégation. À l'approche de l'hiver, à seulement quatre points de l'AC Milan, l'Inter ne récolterait que 11 points de plus lors des 17 derniers matchs pour terminer un point au-dessus de la zone roue en 13e position. Les 16 buts de Ruben Sosa en championnat ont permis aux Nerazzurri de ne pas tomber avec une victoire en fin de saison contre Lecce qui s'est avérée particulièrement cruciale. La baisse de forme a coûté son poste à Bagnoli en février et il a été remplacé par Giampiero Marini. Heureusement pour Marini, l'Inter était toujours en lice en Coupe UEFA et le nouvel homme à la tête de la pirogue a mené l'équipe jusqu'en finale grâce aux 8 buts de Bergkamp dans la compétition. Ils affronteraient les Autrichiens du Casino Salzburg (aujourd'hui Red Bull Salzburg) et un seul but de Nicola Berti et Wim Jonk à chaque match suffirait à assurer une deuxième Coupe UEFA à l'Inter en quatre ans. 1994 verrait l'Inter remplacer Marini par l'ancien entraîneur de Naples Ottavio Bianchi et remplacer le gardien de but de longue date Walter Zenga par Gianluca Pagliuca de la Sampdoria pour un record mondial pour un gardien de but. Bianchi aiderait l'Inter à se stabiliser après la tourmente de la saison précédente, mais l'histoire de 1994-1995 n'a jamais vraiment eu à voir avec le football. L'Inter finirait sixième, luttant pour les buts, mais ce n'était pas la nouvelle. La nouvelle était dans la salle de conférence. Salut Massimo ! En mars 1995, il a été annoncé que Massimo Moratti remplacerait Ernest Pellegrini en tant que président de l'Inter. Le mandat de Pellegrini avait duré un peu plus d'une décennie et avait vu une victoire de Scudetto et la signature de quelques grands joueurs, mais les résultats des dernières années laissaient beaucoup à désirer. Moratti est venu avec de l'ambition. Il voulait rendre l'Inter aussi grande que Milan et la Juventus et ne connaissait qu'une seule façon de le faire : dépenser, dépenser, dépenser. Le premier été de Moratti en charge a vu les arrivées de Roberto Carlos, Paul Ince, Javier Zanetti, Marco Branca et l'adolescent le plus cher du monde Caio Ribeiro ainsi que le départ de Bergkamp pour Arsenal. Ça ne s'est pas bien passé au départ. Bianchi est devenu le premier de nombreux limogeages de Moratti, à peine quatre matchs dans la saison après une défaite à Naples tandis que son remplaçant, Luis Suarez de retour pour un autre mandat a duré sept autres. Avec l'Inter enracinée au bas de tableau, Moratti a opté pour le patron anglais/suisse Roy Hodgson dans ce qui serait l'un de ses premiers choix les plus astucieux. Hodgson a présidé à une reprise de forme qui a éloigné l'Inter des problèmes de relégation et dans la course pour une place européenne. Il comprenait une série de cinq victoires. L'Inter de Hodgson a également écrasé le club de Padoue 8-2 à domicile pour ajouter un moment fort à son mandat. Gratter la qualification pour la Coupe UEFA en septième était quelque chose à célébrer compte tenu des débuts de l'Inter, mais c'était la troisième saison consécutive où l'Inter était loin d'être en tête de la Serie A. Reconstruite et prête L'été 1996 a vu l'Inter commencer à se préparer pour une progression soutenue dans le classement. Roberto Carlos est parti pour le Real Madrid après s'être brouillé avec Hodgson sur sa place sur le terrain, mais il a été remplacé par Alessandro Pistone ainsi que les arrivées de Youri Djorkaeff, Aron Winter et Ivan Zamorano. Les hommes de Hodgson ont été constants toute la saison, ne perdant que cinq fois en championnat et obtenant des résultats pour terminer troisième pour leur meilleur résultat depuis 1993. La première saison de Djorkaeff l'a vu marquer 14 buts en championnat tandis que Maurizio Ganz a bien travaillé avec 11. Surtout, l'Inter a terminé juste six points derrière la Juventus, ce qui était un signe que les choses allaient bien sous Hodgson. Leur campagne européenne était également prometteuse. Après avoir éliminé Guingamp, Graz AK, Boavista, Anderlecht et Monaco, tout ce qui empêchait l'Inter de remporter une troisième Coupe UEFA dans les années 90 était l'équipe allemande de Schalke dirigée par Huub Stevens. C'était la dernière fois que la finale de la Coupe UEFA se disputait sur deux manches et c'était un drame, un vrai comme l’Inter sait les faire. Le match aller a été joué en Allemagne au Parkstadion de Schalke où les Allemands gagneraient grâce à un but de Marc Wilmots. Le match retour au Meazza a été une affaire tendue qui a été prolongée tardivement par un but de Zamorano. Malgré la perte de Salvatore Fresi sur un carton rouge à la 89 e minute, l'Inter est allée aux tirs au but. La foule attendait. Pagliuca était un sauveur de penalities, donc c'était sûrement dans le sac. Ben non, bien au contraire ! Ingo Anderbrugge, Olaf Thon et Martin Max ont marqué les trois premiers pour Schalke et seul Youri Djorkaeff a marqué pour l'Inter. Cela a laissé à Wilmots la tâche de faire rouler le ballon dans le coin pour faire tomber le rideau sur le règne de Hodgson à l'Inter. Après le match, l'Anglais a été bombardé par toutes sortes de critiques et Moratti l'a viré, vexé par la défaite finale. Luciano Castellani a repris les deux derniers matchs de la saison de Serie A, assurant à l'Inter la troisième place. En vérité, Moratti n'a été contrarié que pendant un petit moment car l'élan positif de la saison 96/97 et une impasse contractuelle à Barcelone signifiaient qu'il serait très rapidement remonter le moral. Son médicament… Il Fenomeno L'été 1997 a vu Luigi Simoni se faire confier le poste de manager après le départ de Roy Hodgson et, pour assurer une amélioration par rapport à la saison précédente, Moratti a battu le record du monde de transfert. Il n'y avait qu'un seul homme qui en valait la peine à l'époque : Ronaldo. Avec le meilleur joueur du monde, les espoirs étaient grands que l'Inter puisse construire sur les fondations que Hodgson avait posées et remporter le Scudetto. L'Inter a encore été renforcée par les signatures de Taribo West, Diego Simeone, Alvaro Recoba, Francesco Moriero, Paulo Sousa et Ze Elias. L'Inter commencerait la saison de manière incroyable, ne perdant aucun match jusqu'à son dernier match de 1997 à Udine. Ils ouvriraient 1998 avec une victoire sur les principaux rivaux au titre, la Juventus, mais l'Inter classique a frappé à certains des pires moments. Les défaites à domicile contre Bari et Bologne lors des 16e et 19e journées ont été extrêmement coûteuses pour leur titre. Cependant, la Juventus ne s'éloignerait jamais de l'Inter à aucun moment de la saison. Les matchs nuls étaient le problème de la Vieille Dame (ils finiraient la saison avec 11) et, alors que l'Inter trébuchait en février et mars, la Juve n'a jamais vraiment pu capitaliser et s'éloigner. Après la défaite de l'Inter à Parme début mars, les Nerazzurri ont remporté six victoires d'affilée pour se rapprocher d'un point de la Juve. Cela comprenait une victoire décisive 3-0 dans le derby contre une équipe de Milan en difficulté, une victoire à l'extérieur contre la Roma et une revanche sur l'Udinese. Avec seulement quatre matchs à jouer, l'Inter était à 65 points en deuxième position tandis que la Juve était en tête du peloton mais seulement un point devant. Le match 31 a vu l'Inter se rendre à Turin. L'arrivée de Ronaldo avait conduit à des duels individuels qui avaient retenu l'attention du monde entier. Lorsque la Juventus et l'Inter se sont affrontées, le récit est devenu Ronaldo contre Del Piero. Les deux attaquants étaient considérés comme les meilleurs du monde et étaient au sommet absolu. En janvier, on avait vu Ronaldo subir un traitement brutal de la part des défenseurs de la Juve, mais il aiderait pour le but vainqueur de Djorkaeff. Cette fois, ce ne serait pas la beauté qui gagnerait la partie. La Juventus a pris les devants alors que Del Piero a attrapé le ballon sous ses pieds dans la surface avant de scorer dans un angle fermé. Ce fut un moment de qualité individuelle et d'impudence de la part de l'Italien alors qu'une rencontre amère et décousue faisait rage autour de lui. Edgar Davids et Simeone étaient particulièrement désireux de se donner des coups de pied, mais aucune véritable controverse ne s'est produite en première mi-temps. Ce serait la seconde mi-temps où les choses tourneraient au vinaigre pour l'Inter. Alors que le jeu devenait de plus en plus capricieux et que le patron de la Juve, Marcello Lippi, était heureux de s'en tenir à un 1-0, l'Inter obtint un coup franc. Le long ballon pour Ronaldo reviendrait au remplaçant Ivan Zamorano qui a trébuché dans la surface. Cela fut OK pour Ronaldo qui l'a pris dans la foulée et l'a frappé à l'intérieur. Le Brésilien et le défenseur Mark Iuliano sont entrés en collision et Ronaldo est tombé. Tout le monde s'est arrêté pour un coup de sifflet de l'arbitre Piero Ceccarini… qui n’est jamais arrivé ! Dans les secondes qui s'étaient écoulées, la Juve en avait profité et Del Piero recevait le ballon dans la surface. Taribo West est venu et l'a poussé dans le dos. Ceccarini a indiqué l'endroit et a énervé toute l'équipe de l'Inter. Luigi Simoni a été renvoyé dans les tribunes, Pagliuca est sorti de son but alors que Zamorano et d'autres ont fait irruption et harangué l'arbitre. Ils ne pouvaient pas croire qu'aucune pénalité n'était donnée à l'autre bout du terrain, pour Ronaldo ! Del Piero verrait son penalty sauvé par Pagliuca mais l'Inter ne serait pas en mesure de capitaliser à cause d’Angelo Peruzzi. Le mal était pourtant fait. La Juve assurerait le titre dans l'avant-dernier match grâce à l'effondrement tardif de l'Inter à Bari et remporterait le titre par cinq points. Les fans de l'Inter ont été laissés là à fulminer sur ce qui aurait pu être un nouveau titre. L'Inter connaîtra le succès en 97/98, encore une fois en Coupe UEFA. Disposant de Neuchâtel Xamax, Lyon, Strasbourg, Schalke et Spartak Moscou, ils ont battu la Lazio 3-0 à Paris pour remporter leur troisième Coupe UEFA des années 90. C'est un match dont on se souvient le plus pour la performance sensationnelle de Ronaldo, son troisième but ainsi que celui de Javier Zanetti. Moratti se tire une balle dans le pied L'été 1998 a vu Ronaldo au bord de l'immortalité avant que la nuit fatidique précédant la finale de la Coupe du monde ne change un peu la donne. Il était toujours terriblement brillant, mais il n'était pas invincible. Cela a continué dans la saison 1998/99. Moratti a sanctionné un autre été de grandes entreprises pour tenter d'obtenir un Scudetto. Roberto Baggio, Nicola Ventola, Andrea Pirlo, Dario Simic, Sebastian Frey et Mikael Silvestre. L'Inter a eu du mal alors que les genoux de Ronaldo ont commencé à lui poser des problèmes. Le Brésilien ne commencerait que 19 matchs de championnat toute la saison (marquant 14 buts dans le processus) mais ne pourrait jamais soutenir pleinement une série de matchs. Alors que l'équipe se débattait sur le terrain, Moratti, avec son doigt sur la gâchette, est devenu très nerveux. Quatre défaites lors des 11 premiers matches de championnat, dont une défaite 5-3 à domicile contre la Lazio et Simoni a été licencié au grand désarroi des supporters de l'Inter. Il a été remplacé par le Roumain Mircea Lucescu qui a duré jusqu'au début de 1999 avant que Luciano Castellani puis Roy Hodgson ne reviennent pour essayer de sauver la saison. À ce moment-là, cependant, quatre managers et un chaos total avaient conspiré pour laisser l'Inter s'effondrer à la huitième place, un étonnant 24 points derrière ses rivaux du Milan. Une série de deux points en six matchs le tout couronné par une défaite 4-0 à la Samp ainsi qu'une défaite 2-0 contre la petite Salernitana. Même une course en C1 jusqu'aux quarts de finale ne pourrait pas sauver cette saison. Moratti voulait quelque chose de grand pour ramener l'Inter au sommet. Ce quelque chose est venu sous la forme de l'entraîneur Marcello Lippi. L'Inter a passé l'été 1999 à déchirer son équipe pour faire place à un autre été de dépenses. Silvestre, Pagliuca, Ventola, Djorkaeff, Winter, Ze Elias, Simeone, Sousa et West sont sortis. Le capitaine et légende du club Giuseppe Bergomi a également pris sa retraite cet été. La nomination de Lippi était conditionnée à une chose, signer Christian Vieri. Il faudrait un autre record du monde pour le faire, mais Moratti était heureux de conclure le contrat de 32 millions de livres sterling avec la Lazio pour l'attaquant. Vieri a été rejoint dans les arrivées par une foule de noms, Angelo Peruzzi, Luigi Di Biagio, Fabrizio Ferron, Christian Panucci, Grigoris Georgatos, Laurent Blanc, Cyril Domoraud, Adrian Mutu, Clarence Seedorf et Vladimir Jugovic. Dans l'esprit de Moratti, cela aurait dû être la saison, mais le règne de Lippi a été un désastre dès le départ. Il s'est immédiatement engrainé avec Roberto Baggio et a constamment cherché à le saper à chaque occasion, notamment en refusant de le jouer alors que tous les autres attaquants étaient absents pour longues blessures. Cette liste de blessés comprenait Ronaldo pendant la majeure partie de la saison, le Brésilien ne jouant que 8 matchs toute la saison en raison de problèmes de genou. Les 18 buts de Vieri sont survenus en seulement 24 matchs, tandis que les problèmes persistants avec Baggio signifiaient qu'une forte confiance était placée sur Alvaro Recoba et Zamorano, plutôt incohérents, au détriment des résultats. Il y avait de l'espoir à l'approche du millénaire alors que les hommes de Lippi entamaient une campagne de Coppa Italia qui les voyait affronter la Lazio en finale. La campagne décevante de la ligue avait vu Lippi commencer à ressentir le froid de Moratti et il avait précipité Ronaldo pour la finale. Le grand retour du Brésilien a duré six minutes avant qu'il ne s'effondre sur le gazon et soit absent pendant près de deux ans. Vieri avait déjà perdu une blessure à la cuisse qui lui coûterait également une place à l'Euro 2000, donc la pression était vraiment forte lorsque la finale de la coupe a été perdue. À l'approche de la dernière journée de la saison, l'équipe de Lippi devait gagner à Cagliari pour participer à un barrage pour la dernière place en Ligue des champions avec Parme. C'était littéralement le travail de Lippi sur la ligne. Au fil de l'histoire, il a refusé de jouer à nouveau avec Baggio et ne s'est tourné vers lui que tard lorsqu'il a réalisé que son équipe allait perdre des points. Baggio a marqué une fois et en a créé un autre pour assurer cette place en barrage. Lippi était désespéré de gagner, alors il a mordu la balle et a choisi Baggio dès le départ contre Parme. "The Divine Ponytail" a travaillé sa magie, marquant deux fois pour donner à l'Inter une victoire 3-1 et assurer une place en Ligue des champions, le travail de Lippi et son départ de l'Inter pour clôturer une décennie chaotique. Conclusion La période de sous-performance de l'Inter dans les années 1990 est une leçon sur les effets négatifs d'être un excité de la gâchette dans vos décisions. Le nombre d'entraîneurs et la saveur des joueurs du mois sont vraiment remarquables. C'est un club qui a battu le record de mercato deux fois en trois ans, mais qui n'a pu terminer deuxième que deux fois en Serie A et a failli être reléguée une saison. Pensez aux noms qui se sont révélés en bleu et noir, Ronaldo, Bergkamp, Blanc, Pirlo, Djorkaeff, Pagliuca, Jonk, Winter, Simeone, Zamorano, Pancev, Ince, Roberto Carlos, Brehme, Klinsmann, Matthaus. L'Inter était un endroit où certains des meilleurs et des plus prometteurs du monde allaient se faire payer et voir leur carrière patauger dans de nombreux cas. Les malheurs de l'Inter ont été une leçon sur la nature inconstante du football. Leur réponse à tout était de changer de manager et d'acheter plus de stars. Qu'est-ce que ça nous a apporté ? Une décennie de frustration. Traduction alex_j.
  7. Tout ce dont vous devez savoir avant le match de dimanche soir. Milan - Les Nerazzurri feront face au Torino ce dimanche à 20:45, dans le cadre de la 29ème journée de Série A. Leur dernière rencontre était le 22 Décembre, un match qui a clôturé l'année 2021 de l'Inter par une victoire, grâce à un but décisif de Denzel Dumfries à la 30ème minute de jeu à Giuseppe Meazza. Rencontres précédentes Il y a eu 155 matchs entre les deux équipes. L'Inter mène au nombre de victoire, avec 70 matchs remportés. Le Torino compte quant à lui 36 victoires. Il y a également eu 49 matchs nuls. Seule la Juventus, avec 74, a plus de victoires contre le Toro en Série A. Plus récemment, l'Inter a remporté les 5 dernières confrontations, ainsi que 12 des 17 derniers matchs à l'extérieur, perdant seulement 2 fois et concédant le nul 3 fois. Formes L'Inter arrive à Turin avec une victoire 5-0 contre Salernitana à leur actif. Ils comptent 58 points après 27 journées. Sur leur route, les Nerazzurri ont glané 3 points lors de leurs 3 derniers déplacements, faisant matchs nuls contre l'Atalanta, le Napoli et le Genoa. L'équipe de Simone Inzaghi a concédé seulement 2 buts lors de leurs 8 derniers matchs à l'extérieur en Série A. En fait, depuis début Octobre, aucune équipe dans les 5 championnats majeurs a encaissé moins de buts (6) et obtenu plus de clean sheets (6) hors de leurs stade que l'Inter. Le Torino, pendant ce temps, reste sur un match nul et vierge contre Bologne. Les hommes d'Ivan Juric n'ont pas connu la victoire lors de leurs 6 derniers matchs, avec 3 nuls et 3 défaites. La dernière fois qu'is ont connu une si longue série sans victoire, c'était en Décembre 2020, sous Marco Giampaolo : 8 matchs sans victoire. Leurs résultats contre les meilleures équipes ne sont pas plus réjouissants, ayant perdu 1-0 chacun des trois matchs qu'ils ont joués contre une équipe du top 2 cette année. Note plus positive, le Toro a trouvé le chemin des filets lors de leurs 10 derniers matchs de Série A à domicile, marquant 20 buts au total, soit environ 2 par match. Ils n'ont pas dépassé ce chiffre en une saison depuis Décembre 2018. Statistiques générales Le Torino a la plus grande différence (+14) entre les points obtenus à domicile (24) et à l'extérieur (10) en Série A cette année. La rencontre oppose l'équipe avec le record de point obtenus après avoir été menée, contre l'équipe avec le pire score. L'Inter est allé chercher 17 points depuis une position perdante, alors que le Torino n'en a pris que 4. En revanche, en ce qui concerne la défense, seul Naples (8) a encaissé moins de buts que le Torino (10) avant le coup de sifflet de la mi-temps, tandis que l'Inter (9) a le meilleur bilan défensif de la Serie A en deuxième mi-temps. Focus sur les joueurs Lautaro Martínez a été directement impliqué dans cinq buts lors des cinq derniers matches contre le Torino en championnat, avec quatre buts pour lui et une passe décisive. Il n'y a que contre Cagliari qu'il a un meilleur bilan en première division Italienne, avec sept contributions. Si l'attaquant argentin venait à marquer, il deviendrait le cinquième joueur de l'Inter (depuis le début de la victoire à 3 points) à faire trembler les filets lors de trois matchs consécutifs à l'extérieur contre un même adversaire. Il a marqué en déplacement contre le Toro du 23 novembre 2019 au 14 mars 2021. Les seuls autres joueurs à avoir réalisé cette prouesse depuis sont Christian Vieri (contre Pérouse), Álvaro Recoba (contre Empoli et contre la Reggina), Ivan Perišić (contre la Fiorentina) et Mauro Icardi (contre Cagliari). Pour Edin Džeko, en revanche, la rencontre a été moins fructueuse. De toutes les équipes qu'il a affrontées au moins 10 fois, le Torino est l'un des trois adversaires, avec la Lazio et la Juventus, où il a été impliqué dans le moins de buts (4 au total, avec 3 buts et 1 passe décisive). Nicolò Barella a le plus grand nombre de passes décisives dans le jeu (9) dans les cinq grands championnats européens cette année. Florian Wirtz, Sergej Milinkovic-Savic et Paul Pogba sont juste derrière lui, avec 8. Il pourrait devenir le premier joueur de l'Inter à atteindre les 10 passes décisives en championnat avant la 30e journée depuis 2004/05. Dans le même idée, Hakan Çalhanoğlu est le joueur qui a délivré le plus grand nombre de passes décisives sur coups de pied arrêtés, soit 6 depuis le début de la saison. Si l'on compare avec les autres gardiens de but ayant au moins 25 apparitions en Série A cette saison, Samir Handanović a le meilleur pourcentage d'arrêts, de 77 %. Vanja Milinkovic-Savic est deuxième avec 62%, et Lorenzo Montipò, qui suit de près, avec 61%. Milan Škriniar fera sa 200e apparition en Série A depuis ses débuts en championnat le 24 avril 2016 contre la Sampdoria. En défense, seul Francesco Acerbi a disputé plus de matchs de première division (205). C'est lors de la rencontre à l'aller, en Décembre, que Denzel Dumfries a inscrit son dernier but en championnat. De tous les défenseurs des cinq grands championnats européens, c'est celui qui a touché le plus de ballon dans la surface de réparation adverse (92). Le Torino est la seule équipe contre laquelle Federico Dimarco a marqué plus d'un but en Série A, les deux ayant été inscrits en 2021 pour Vérone sous la direction d'Ivan Juric (le 6 janvier et le 9 mai). Alexis Sánchez a obtenu son plus grand nombre de passes décisives contre une équipe dans cette confrontation, avec 5 en 6 rencontres. Le Chilien a également marqué lors de la rencontre du 22 novembre 2020. C'est contre le Toro que Stefan De Vrij a inscrit son tout premier but avec l'Inter, en Août 2018. Danilo D'Ambrosio, quant à lui, affrontera son ancienne équipe, avec laquelle il a fait 42 apparitions et marqué 4 buts en championnat lors des saisons 2012/13 et 2013/14. Matteo Darmian est également passé de l'autre côté du terrain, puisqu'il a disputé 100 matchs de championnat pour le Toro entre 2012 et 2015, marquant 2 buts. DÉTAILS DISCIPLINAIRES Suspendu : Torino : N/A Inter : N/A À un avertissement d'une suspension : Torino : Aina, Buongiorno, Djidji, Pobega Inter : Lautaro Martínez, Vidal ®Internazionale.fr ~ Aurios-Inter Via Inter.it
  8. Ceci est la traduction de ''The Heartbreak of Ronaldo at Internazionale'' par Blair Newman (non, rien à voir avec Victor) paru sur le site These Football Times le 18/09/2018. L'article retrace le bref passage de Ronaldo chez nous. Ronaldo était plus force de la nature que footballeur. Il était un dribbleur irrépressible, un coureur puissant et un finisseur d'une précision infaillible. En Italie, le terme « fantasista » est strictement réservé aux meneurs de jeu, mais il s'appliquait aussi à cet attaquant brésilien, qui était une pure fantaisie. En effet, sa combinaison de vitesse fulgurante et de carrure trapue était quelque chose que l'on ne voyait généralement que dans la réalité virtuelle. Il était l'attaquant PlayStation que chaque joueur a créé, à un moment ou à un autre, juste pour nous faire sentir ce que cela ferait d'être aussi aussi imparable sur un terrain. Les opposants ne pouvaient que regarder et espérer, les défenseurs étaient rendus obsolètes. Ronaldo, à son apogée, était une hallucination collective d'un football devenue réalité. Cependant, le 12 avril 2000, il avait l'air terriblement humain. Après des mois d'absence pour cause de blessure, il est revenu sur le terrain ce jour-là afin d'essayer de renverser un match. L'Inter Milan menait la Lazio par deux buts à un lors du match aller de la finale de la Coppa Italia et ils avaient besoin de leur superstar. Mais, alors qu'aucun simple marqueur ne pouvait l'empêcher de marquer, seul son propre corps le pouvait. Ronaldo a cherché à courir vers la défense de la Lazio. Les attentes ont augmenté alors que cette icône, cette force irrésistible, a commencé à prendre de l'ampleur. Le ballon était, collait à ses pieds et la surface de réparation était proche, ce qui signifiait, selon toute vraisemblance, qu'un but se profilait à l'horizon. Pour les fans de l'Inter, ces moments étaient porteurs d'espoir. Mais dès que les rêves d'un égaliseur sont apparus, ils se sont à nouveau évanouis au milieu d'un spectacle déchirant. Après avoir fait signe de tourner à droite, le genou droit de Ronaldo s'est plié. Il tomba rapidement au sol en serrant sa jambe droite, pleurant de douleur. Immédiatement, les joueurs de la Lazio qui, quelques secondes auparavant, l'avaient craint ont cherché à l'aider, agitant les bras en l'air pour une assistance médicale. Alors que Ronaldo a été emporté sur une civière, l'espoir des Interisti a été définitivement anéanti. L'Inter a perdu 2-1. Le Milan était l'équipe à battre en Italie du début au milieu des années 1990. Après avoir conservé la Coupe d'Europe en 1990 sous Arrigo Sacchi, Fabio Capello a pris les rênes en 1991 et a mis en place un style de jeu fonctionnel mais passionnant qui les a vus remporter trois Scudetti successifs et démanteler la Dream Team du Barcelone de Johan Cruyff 4-0 en 1994. Et, après un titre de la Juventus de Marcello Lippi en 1995, ils sont revenus au sommet de la hiérarchie de la Serie A l'année suivante. Non seulement le Milan de Capello avait l'une des meilleurs défenses de tous les temps, composée de Franco Baresi et Paolo Maldini, mais ils ont été douchés de stars étrangères grâce aux millions de Silvio Berlusconi. Marcel Desailly patrouillait sans relâche au milieu de terrain, Zvonimir Boban créait et Dejan Savićević faisait sa magie entre les lignes. Les Rossoneri avaient tout pour plaire, et leurs grands rivaux citadins ne pouvaient que les regarder avec envie. L'Inter était «l'autre» équipe milanaise pendant cette période, leur forme vacillant de manière erratique alors qu'ils rebondissaient de course au titre au néant du milieu de tableau avec une vitesse déconcertante. Cependant, en 1995, Massimo Moratti est devenu président du club et, dans le but de rajeunir ce géant malade (rappelons qu'on a failli descendre en 1994, ndlr), a dépensé beaucoup d'argent sur le marché des transferts. Paul Ince a été l'un des premiers à arriver, signant de Manchester United, et au cours des deux années suivantes, l'Anglais a été rejoint par un cortège de nouveaux joueurs passionnants. L'Inter a fait venir Youri Djorkaeff, Iván Zamorano, Aron Winter, Nwankwo Kanu , Benoît Cauet et Diego Simeone dans leurs tentatives de concourir à nouveau pour le Scudetto. Et puis il y a eu Ronaldo. À seulement 20 ans, le Brésilien était déjà de renommée internationale au moment où l'Inter a payé des frais de transfert record de 13,2 millions de livres sterling pour l'emmener de Barcelone en juin 1997. Dans toutes les compétitions au cours de son année avec les géants catalans, il a marqué 47 buts en 49 matchs, s'appuyant sur les 54 en 57 sorties du PSV Eindhoven au cours des deux années précédentes. En plus de cela, il avait été couronné Joueur mondial de l'année de la FIFA en 1996, devenant ainsi le plus jeune détenteur de ce prix. Ronaldo n'était pas simplement une signature; il était une déclaration. À une époque où bon nombre des meilleurs joueurs du monde entier se retrouvaient en Serie A, les meilleurs avaient choisi l'Inter comme prochaine destination. Le malheur était passé, la morosité était levée. Moratti avait financé l'accord pour mettre fin à l'attente, l'Inter ne serait plus "l'autre" équipe de Milan. Ils ne ressentiraient plus le besoin de maudire Berlusconi. Les rôles, semblait-il, tournaient. Les six premiers mois ont été étonnamment prévisibles, ce qui est étrange pour l'Inter. Ronaldo a marqué des buts. Et l'Inter a gagné des matchs, régulièrement. Les Nerazzurri sont restés invaincus lors des 12 premiers matches de 1997-1998 et, à mi-parcours de la saison, avaient un point de retard sur la Juventus dans la course au titre. De plus, ils avaient battu leurs rivaux turinois au Meazza grâce à une frappe de Djorkaeff. Le fournisseur du but? Ronaldo ! Ignorant Paolo Montero et évitant Ciro Ferrara, son centre a laissé son coéquipier français avec la plus facile des finitions. Luigi Simoni, nommé entraîneur-chef à l'été 1997, avait galvanisé l'équipe, construisant une unité de contre-attaque rapide et réactive avec Ronaldo comme centre d'attaque. "Il Fenomeno" était le seul joueur de l'Inter chargé de ne pas s'occuper de la phase défensive, agissant comme un phare pour les transitions offensives de l'Inter avec son rythme, sa force et sa course agressive. L'adaptation si rapide de Ronaldo aux limites tactiquement détaillées et défensivement résolues du calcio était remarquable, tout comme sa capacité à réaliser les fantasmes d'un club, propriétaires et fans inclus, qui aspirait si désespérément à une période de succès. Sa prise en charge du fardeau était d'autant plus impressionnant compte tenu du calibre de ceux qui avaient échoué avant lui; lorsqu'il a conservé son statut de joueur mondial de l'année de la FIFA en 1997, il a vu la concurrence de Roberto Carlos et Dennis Bergkamp, deux anciens joueurs de l'Inter qui ont connu une meilleure fortune personnelle après avoir quitté le club. Après une mi-saison mouvementée, les hommes de Simoni ont remporté six matches de championnat consécutifs, Ronaldo marquant dans chacun. Cette séquence de forme comprenait une victoire 3-0 sur Milan au cours de laquelle le joueur a trouvé le chemin des filets avec un superbe lobe. Ce fut l'un des nombreux moments exceptionnels de son superbe premier mandat. Mais, cruellement, la première saison de Serie A de Ronaldo et de l'Inter se terminerait dans l'acrimonie plutôt que dans la célébration. Essentiellement, la course au Scudetto s'est résumée à un match : le Derby d'Italie entre la Juventus et l'Inter. Ils se sont rencontrés au Stadio delle Alpi avec quatre matches à jouer et avec un seul point les séparant au sommet de la Serie A. Les tensions étaient fortes tout au long du match alors que des défis robustes et de jolis plongeons ont ponctué ce choc spécial des titans du football italien; Simeone a été clouté par Edgar Davids, tandis que Ronaldo a été à plusieurs reprises nié du ballon par des marqueurs intransigeants. Alessandro Del Piero a donné l'avantage à la Juventus en première mi-temps avec un beau tir. Cela a forcé une riposte de l'Inter, qui savait que la défaite signifierait un écart de quatre points. Mais, malgré tous leurs efforts, un but égalisateur ne viendrait pas. Et, à seulement 20 minutes de la fin, il y a eu une éruption de controverses. Ronaldo, faisant irruption dans la surface de réparation de la Juventus, a été mis en échec sans pitié par Mark Iuliano après avoir poussé le ballon au-delà du défenseur central italien. Mais le penalty n'est pas venu. L'arbitre Piero Ceccarini a laissé le match se poursuivre et, alors que l'équipe locale lançait une contre-attaque, il s'est retrouvé à fuir les protestations bruyantes. Quelques secondes plus tard, il a sifflé, cependant, pointant vers l'endroit après que Del Piero ait été stoppé par un coup de pied inopportun de Taribo West. Simoni et ses joueurs ont eu du mal à contenir leur indignation et, même si le pénalty a été sauvé par Gianluca Pagliuca, le sentiment d'avoir été trompé s'est poursuivi alors que la Juventus a remporté le match et, par la suite, a remporté le titre. Loin des affaires intérieures controversées, Ronaldo a ébloui la compétition continentale, aidant l'Inter à la finale de la Coupe UEFA où il a battu la Lazio à lui tout seul. Il était injouable pour l'équipe romaine, frappant la barre avec un tir de loin avant de sceller une victoire 3-0 après avoir tranquillement contourné Luca Marchegiani pour marqué dans le but vide. Pourtant, malgré la finale victorieuse, la saison 1997-1998 de l'Inter a été imprégnée d'un sentiment d'injustice. Qu'est-ce qui aurait pu être ? C'est la question que tous les fans de l'Inter doivent se poser en silence lorsqu'ils réfléchissent aux années Ronaldo. Sa première campagne avait été enivrante. Même les défenses italiennes les plus acharnées se sont retrouvées dans son sillage. Son style de dribble, une avalanche d'enjambements, de feintes, de rebondissements exécutés d'un coup et à la vitesse de l'éclair, était envoûtant. Son explosivité était une véritable merveille, mais même alors, son corps était apparemment dans une lutte constante pour se suivre. En 1998-1999, les blessures ont commencé. Il n'a joué que 28 fois et marqué 15 buts, soit moins de la moitié de ce qu'il avait réussi lors de son premier voyage en Serie A. L'Inter a glissé à la huitième place du championnat. Les entraîneurs allaient et venaient, et une normalité décevante a repris. Ronaldo s'est rompu un tendon au genou droit le 21 novembre 1999 lors d'un match de championnat contre Lecce. Il est parti déterminé à revenir plus fort, mais à ce stade, le poids des espoirs du club, l'éclat des médias et les accords de sponsoring lucratifs étaient trop lourds à gérer. Il est revenu lors de la finale de la Coppa Italia 2000, émergeant avec impatience du banc des remplaçants, suppliant son corps de se conformer à ses exigences. Mais sa remontée d'un enfer très personnel n'a duré que sept minutes. Écrasé par l'une de ses propres feintes, il y avait un désespoir troublant dans le traumatisme du joueur. Auparavant, le nom de Ronaldo évoquait une aura féroce. Le monde avait regardé avec impatience chacun de ses contacts. Maintenant, le monde regardait toujours, mais cette fois avec horreur. Il était enclin, il était fragile et, à 23 ans, son avenir était incertain. D'innombrables opérations ont suivi dans le but de le ramener à son meilleur niveau, mais il manquerait l'intégralité de la saison 2000-2001 alors que l'Inter terminait cinquième. Ronaldo remonterait, mais pas avec l'Inter. Et l'Inter finirait par mettre fin à sa longue attente d'un Scudetto, mais pas avec Ronaldo. Le partenariat entre le joueur et le club a finalement été une attente insatisfaite mais, ne serait-ce que pour une courte période, il a produit des résultats spectaculaires. Nous sommes le 3 mars 1998 et Ronaldo est là où il aime être: la surface de réparation adverse. C'est le quart de finale aller de la Coupe UEFA et l'Inter affronte Schalke. Johan de Kock regarde attentivement, se chuchotant sans doute : « Gardez les yeux sur la balle ». Olaf Thon arrive pour aider son coéquipier. Ronaldo voit venir l'Allemand et récupère le ballon. De Kock sort une jambe gauche effrayée, mais Ronaldo traîne à nouveau le ballon hors de vue. Puis, avec Thon empiétant par derrière, il muscade de Kock. Trois secondes, trois mouvements subtils, deux défenseurs sans ballon. Ronaldo continue. Les fans de l'Inter regardent avec espoir. Traduction alex_j via thesefootballtimes.co.
  9. Après sa victoire confortable contre la Louve 2-0, Simone Inzaghi s'est exprimé à Mediaset. L'Inter a enregistré une confortable victoire 2-0 contre la Roma de Jose Mourinho au Meazza en quart de finale de la Coppa Italia. Edin Dzeko a donné le premier coup de semonce avec l'ouverture du score sur une passe décisive d'Ivan Perisic tandis qu'Alexis Sanchez a inscrit le deuxième but après la pause pour réserver la place de l'Inter en demi-finale où ils affronteront le Milan ou la Lazio. "Les joueurs ont très bien joué et ce n'était pas un match facile. La Roma est une équipe de qualité avec un excellent effectif. Nous avons très bien contrôlé le match et méritons de nous qualifier pour les demi-finales. Nous sommes arrivés après un gros revers et j'ai rendu hommage aux joueurs parce que nous avons réussi à réaliser une performance de haut niveau après deux jours et demi de préparation." A propos de la blessure d'Alessandro Bastoni. "Nous espérons que ce n'est rien de grave. La façon dont cela s'est passé était malheureuse. On espère ne pas le perdre longtemps car c'est un joueur très important pour nous." Sur la façon dont l'Inter contrôle régulièrement les matchs. "Ce n'est pas facile de contrôler les matchs et nous le faisons presque tout le temps. Nous devons également tenir compte de nos adversaires et il est inévitable qu'il y ait des moments où nous devrons puiser. Il n'y a pas eu grand-chose de tel ce soir, mais l'équipe est restée compacte et concentrée tout au long du match." Mention spéciale pour Ivan Perisic. "C'est un joueur qui évolue à un très haut niveau depuis le début de l'année. Je suis content car il va bien, tout comme ses coéquipiers. L'Inter est en tête du classement, en huitièmes de finale de la Ligue des champions, a remporté la Super Coupe d'Italie et est en demi-finale de la Coppa Italia. Je ne peux que me réjouir de ce que réalise cette équipe. Il y a des adversaires coriaces à affronter et un chemin difficile nous attend, mais nous voulions cette victoire contre une équipe de la Roma avec d'excellents joueurs et un entraîneur fantastique." Traduction alex_j via le site officiel.
  10. Inter-Antho-Adriano

    Lazio Rome

    je remarque et ca m'étonne qui n'y aie pas de topic sur la lazio,bon j'en ouvre un,donc ici on parle de la lazio avec la aussi de grands joueurs,Vieri,Roberto Mancini,Di Canio,Simone Inzaghi,crespo,Veron,Baggio,Nedved,Nesta,......
  11. Plus de 100 buts en 2021, Çalhanoğlu: une machine à passes décisives, etc... Tous les chiffres clés et les faits derrière notre victoire 5-0 contre la Salernitana. Après le déplacement à Salerne, avec un match riche en buts et en beau jeu, l'Inter a ramené les 3 points à Milan. L'équipe de Simone Inzaghi a inscrit 5 buts, par Ivan Perisić, Denzel Dumfries, Alexis Sánchez, Lautaro Martínez et Roberto Gagliardini, menant l'Inter à sa 6ème victoire consécutive en Série A, et à un total de 43 points. Plus de 100 buts en 2021 Avec les 5 buts passés à l'équipe de Stefano Colantuono, l'Inter a marqué plus de 100 buts lors de l'année civile (103) pour la première fois de leur histoire en Série A, battant ainsi le précédent record de 99 buts, en 1950. L'Inter est la 4ème équipe de l'histoire de la Série A à réaliser cette prouesse, avec l'AC Milan (105 en 1949 et 120 en 1950), le Torino (111 en 1947 et 114 en 1948), ainsi que la Juventus (100 en 1933). Les statistiques de Calhanoğlu Depuis début novembre, et le match contre l'AC Milan, Hakan Çalhanoğlu est impliqué sur plus de buts (10, 5 buts et 5 passes décisives) que quiconque dans les 5 grands championnats, et est l'un des deux milieu de terrain avec au moins 6 buts et 6 passes décisives cette saison, au côté de Dimitri Payet. Contre la Salernitana, il a offert sa 5ème passe décisive suite à un coup de pied arrêté en Série A cette saison. Personne ne fait mieux dans les 5 grands championnats en 2021/2022 (égalité avec Vincenzo Grifo). 533 apparitions pour Handanović, 200ème fois qu'Inzaghi gagne des points en Série A Contre la Salernitana, Samir Handanović a décroché son 5ème clean-sheet consécutif en championnat. Et avec 533 matchs joués, il passe à la 10ème place des joueurs avec le plus d'apparitions en Série A, dépassant ainsi Enrico Albertosi (532). En revanche, Simone Inzaghi a récolté des points pour la 200ème fois en tant que coach : l'entraîneur des Nerazzurri cumule 150 victoires et 50 matchs nuls (pour 75 défaites) entre la Lazio et l'Inter. Les buts : Qui, Comment et Quand L'Inter a sécurisé son titre d'équipe avec le plus de buts de la tête dans le top 5 européen en 2021/2022: 12. Les Nerazzurri ont remporté un match à l'extérieur en Série A avec 5 buts pour la première fois depuis mars 2018: 5-0 contre la Sampdoria. Lautaro Martínez a marqué le 4ème but des Nerazzurri, marquant ainsi son 5ème but en autant de match en Série A pour l'attaquant Argentin. Depuis son arrivée à l'Inter en 2019/2020, Alexis Sánchez est impliqué dans 24 buts en 25 matchs titulaire en Série A (11 buts et 13 passes décisives). Il a marqué son 3ème but de la saison, son deuxième consécutif, lors de son 400ème match titulaire dans le top 5 européen. Ivan Perisić a été le premier joueur des Nerazzurri à marquer à l'extérieur contre Salernitana. Pour l'ailier Croate, c'était son 4ème but de la saison, tous inscrits en Série A, égalant son total de la saison dernière, mais en moitié moins de match (16 en 2021/2022 contre 32 en 2020/2021). Denzel Dumfries a marqué son 2ème buts en Série A, tous deux à l'extérieur et en première période (le premier contre la Roma). ®Internazionale.fr ~ Aurios-Inter Via Inter
  12. L'Inter Milan a concédé sa première défaite de la saison en championnat ce samedi contre la Lazio. Les hommes de Simone Inzaghi n'ont pas su poursuivre leur série d'invincibilité. Retour sur un match lâché en plein vol par les Nerazzuri. Cette rencontre démarre tambour battant, avec une Lazio agressive sans ballon, arrivant à bien conserver le ballon et a gêné l'Inter dans l'entre-jeu par des circuits de passes courtes et en une touche. Les Nerazzuri laissent passer les premières minutes tel un orage, puis reviennent doucement mais sûrement dans la rencontre. Cela se confirmera quelques minutes plus tard. Federico Dimarco renverse le jeu côté opposé vers Matteo Darmian, qui joue intelligemment en une touche de balle pour Nicolò Barella, qui vient s'infiltrer dans l'espace et provoquer un penalty. Hysaj accroche légèrement la cheville du milieu de terrain Italien. Perisić s'en charge et prend à contre pied Pepe Reina. 1-0 pour l'Inter. La Lazio reprend du poil de la bête après cette ouverture du score, notamment par l'intermédiaire du Brésilien Felipe Anderson, véritable poison mortel pour le côté gauche Nerazzuri, en grande souffrance face aux coups de reins du Neo-Laziale. Plusieurs actions dangereuses s'enchaînent, Handanović répond présent face à une frappe ras de terre de Basić sur un centre en retrait du Brésilien. Mais un homme offre les inspirations d'oxygène dont l'inter a besoin: le croate Marcelo Brozović. Tout simplement insaisissable sur le début de rencontre, il trône devant la défense tel un artilleur, décochant coup sur coup ses flèches empoisonnées. Son jeu long est extrêmement précis et permet à l'Inter de se crée des situations sur les ailes. Malheureusement les deux pistons que sont Darmian et Dimarco n'arrivent pas à convertir en occasions les poches d'espaces crées par les décalages du numéro 77 Nerazzuri. Le match se stabilise un peu sur la fin de la première mi-temps. L'Inter et la Lazio tentent chacune de conserver le ballon. Mais ce sont bien les hommes de Maurizio Sarri qui le font le mieux, parvenant à garder cet avantage territorial de la possesion, avec également un très bon contre-pressing mettant en difficulté l'Inter à la perte de balle en se servant de projections rapides vers le but d'Handanović. La fin de la mi-temps arrive, le match gagne en rythme avec une frappe lourde de Basić, stoppée par le Slovène. Dans la minute suivante, Barella déborde côté droit et réalise un petit dribble piqué pour esquiver le retour du défenseur Biancocelesti, comme une gazelle se défesant de ses prédateurs. Son centre sera trop long. Mr Iratti, pas tout à fait irréprochable, siffle finalement la pause à Rome. La mi-temps n'a semble-t-il rien changée aux intentions de deux équipes, particulièrement celles de la Lazio, qui se retrouve en plus grande difficulté pour trouver des brèches dans la défense Nerazzuri. Mais les failles de ces derniers éclatent en seconde période, notamment une: l'absence de joueurs de couloir rapides et percutants, Dimarco et Darmian ne remplissant pas ce critère. Du rythme est présent dans ce match mais les bonnes occasions peinent à être crée par les deux équipes. Jusqu'à un corner anodin à la 62ème minute, et une faute de main totalement involontaire d'Alessandro Bastoni, venant alors bêtement concédé un pénalty. Immobile se charge de son exercice favori et place son ballon au même endroit qu'Ivan Perisić, tout en prenant Handanović à contre pied. La Lazio est revigorée par cette égalisation venu du ciel. Elle se montre plus dangereuse dans le jeu et accentue la pression. Marcelo Brozović tire toujours son épingle du jeu, même entouré de trois joueurs. Dans ce match, le seul à l'avoir stoppé est Mr Iratti. Arrive les changements pour les deux équipes. Côté Lazio, sortie d'Hysaj et de Basić pour Lazzari et Luis Alberto; et côté Inter les sorties de Bastoni, Perisić et Gagliardini pour Dumfries, Correa et Vecino. Pour l'Inter, ces changements n'auront pas l'effet escompté. Pire, l'équilibre de l'équipe semble bousculé, avec un Correa inactif, un Dumfries désorienté, un Barella déporté côté gauche et un Dimarco axe gauche de la défense. Par contre, la Lazio bénéficie grandement de l'apport de ses entrants, Lazzari apporte du mouvement, de la vitesse, et Alberto du liant entre le milieu et l'attaque. Nous avons perdu l'Inter et nous allons douloureusement nous en rendre compte. Dimarco sollicite un une-deux avec Lautaro mais est tamponné par un Romain. L'action se poursuit, Lautaro progresse avec le ballon mais s'en sert mal et le perd de suite. L'absence de Dimarco en défense, encore au sol, se fait ressentir. Felipe Anderson trouve Ciro Immobile, qui emmène Škriniar avec lui et frappe à ras de terre. C'est détourné par Handanović dans les pieds d'un Felipe Anderson ayant suivi depuis le départ de l'action. Il ne se fait pas prier et inscrit le deuxième but devant le but vide. Dumfries a la bonne idée de déclencher une bagarre générale en accrochant Felipe Anderson partant célébrer son but. Cela aboutira à deux cartons jaunes de chaque côté: Milinković-Savić et Anderson, Dumfries et Lautaro Martinez. L'Inter perd le fil de son match, coule et vient encaisser un troisième but, de la tige Sergej Milinković-Savić, cette fois-ci de la tête. Le Serbe anéanti les minces espoirs des hommes de Simone Inzaghi. Fin du match au bout des six minutes de temps additionnel. L'inter s'incline en série A pour la première fois de la saison, et devra montrer un visage plus conquérant mardi, 21:00, à Giuseppe Meazza; dans le cadre de la 3ème journée de Ligue des champions contre le Shériff Tiraspol, surprenant leader du groupe D. Tableau récapitulatif Résumé Vidéo Lazio 3-1 Inter Buteur(s): 12' Perisić (sp)(I), 64' Immobile (sp)(L), 81' Anderson (L), 90+1' Milinković-Savić (L) Lazio (4-3-3): 25 Reina; 77 Marusić, 3 Felipe, 4 Patric, 23 Hysaj (66' 29 Lazzari); 21 Milinković-Savić, 6 Leiva (85' 32 Cataldi), 88 Basić (66' 10 Alberto); 7 Anderson (86' 8 Akpa-Akpro), 17 Immobile, 9 Pedro (75' 20 Zaccagni) Banc: 19 Vavro, 5 Escalante, 94 Muriqi, 27 Moro, 26 Radu, 1 Strakosha, 31 Adamonis T1: Maurizio Sarri Inter (3-5-2): 1 Handanović; 37 Škriniar, 6 De Vrij, 95 Bastoni (67' 2 Dumfries); 36 Darmian, 23 Barella (86' 20 Çalhanoglu), 77 Brozović, 5 Gagliardini (67' 8 Vecino), 32 Dimarco; 9 Džeko (76' 10 Lautaro), 14 Perisić (67' 19 Correa) Banc: 97 Radu, 33 D'Ambrosio, 48 Satriano, 13 Ranocchia, 11 Kolarov, 21 Cordaz T1: Simone Inzaghi Arbitre: Massimiliano Irrati VAR: Paolo Silvio Mazzoleni Averti(s): 27' Basić (L), 36' Gagliardini (I), 63' Bastoni (I), 83' Milinković-Savić (L), 83' Lautaro Martinez (I), 83' Anderson (L), 83' Dumfries (I), 87' Correa (I), 90+1' Darmian (I) Expulsé(s): 90+7' Felipe (L) ®Internazionale.fr ~ Aurios-Inter
  13. Ancien milieu de la Lazio, Marco Parolo croit que le coach de l'Inter s'élève dans les grandes occasions et guide ses équipes a travers les matchs important. Propos rapportés par la Gazzetta dello Sport. Quand il entrainait la Lazio, Simone Inzaghi a remporté 3 titres sous la forme d'une coupe d'Italie et 2 Supercoppa. En plus de ça, le tacticien italien a souvent vu son équipe performer contre les oppositions les plus fortes en championnat et a aussi sût obtenir une qualification en Champions League lors de son avant-dernière année au club grâce à des résultats significatifs. Parolo pense que l'entraineur avait une façon particulière d'aborder les matchs les plus importants et il croit que cela sera utile aux Nerazzurri dans leur face à face avec la Juventus ce Dimanche soir. Sur les gros matchs avec la Lazio sous Inzaghi, il dit: "Avant ces matchs on percevait un changement d'attitude. Absurdement, c'était encore plus instinctif. Il se laisse guider par des sensations, des pensées." "Et c'est bien, car c'est là que le coach donne son meilleur. Il est capable d'impacté les joueurs et les tirés vers le haut. C'est quelque chose qu'il a en lui. Faites-y attention, il est improbable pour ses équipes de ne pas réussir a performé dans les gros matchs. Peut-être que ça arrive dans d'autres matchs qui apparaissent plus simple." Sur l'approche du coach avant la finale de la Supercoppa 2017 où les Biancocelesti ont vaincu la vielle dame: "C'est là que vous pouvez tout voir au sujet d'Inzaghi, la relation avec les joueurs, le sentiment qu'il sait créé." "Avant ce match je revenais d'une blessure. N'importe quel autre coach m'aurait tenu à l'écart. Mais il a décidé que je devais jouer et ce fût le cas. Il a fait la même chose avec Jordan Lukaku: il venait de revenir, n'était pas en condition et Inzaghi a fait le pari gagnant." Des surprises à attendre contre les Bianconeri ? "Peut-être pas au niveau des joueurs. Mais de temps à autres, une invention sort. Du genre que les fans ne remarques même pas, comme un joueur se déplaçant dans une autre zone pour recevoir le ballon. Ce qui devient alors une action décisive." ©Internazionale.fr via Gazzetta Dello Sport - Traduction Trent_FCI
  14. Dans une interview donnée à Tuttosport, l''ancien coach de la Lazio Sven Goran Eriksson a exprimé son admiration pour le travail de Simone Inzaghi à l'Inter et à la Lazio dans le passé. Eriksson suggère qu'Inzaghi pourrait devenir un aussi bon coach que l'entraineur de la sélection Italienne Roberto Mancini et celui de l'Atletico Madrid Diego Simeone, tout deux ayant évolué en même temps sous les ordres d'Eriksson à la Lazio. "C'est un jeune entraineur et il peut facilement devenir comme Roberto Mancini ou Diego Simeone. Je nomme ces deux là car Inzaghi a joué avec eux à la Lazio et il peut certainement suivre leur chemin." Si il pensait que Simone deviendrait entraineur après sa retraite en tant que joueur: "Non. Je n'y pensais pas à l'époque car il était vraiment très jeune. Simone a poursuivis sa carrière pendant plusieurs années, obtenant d'excellent résultats." "Il fait du bon travail. Maintenant ça dépend de lui de continuer sur le bon chemin, avec une équipe très forte." Lors de la confrontation à venir contre la Lazio, la première depuis la prise de pouvoir de Simone, Eriksson espère qu'il recevra un accueil chaleureux de la part des tifosi de la Lazio. "J'espère qu'il recevra beaucoup d'applaudissements. Inzaghi a fait de grande choses avec les Biancocelesti. La vie est comme ça, elle change. Seul Alex Ferguson a vraiment entrainer Manchester United pendant une très longue période." "L'Inter est une de ces équipes en Italie qui historiquement gagne plus. Ce sont les champions actuels, Simone essaiera de triomphé également avec eux." Sven Goran Eriksson pense que l'Inter l'emportera mais préfèrerais que son ancienne équipe remporte les points: "Ce sera un match très intéressant, avec des milliers d'émotions, spécialement pour Inzaghi qui après une vie en tant que Biancoceleste retourne à Rome comme adversaire." "Mon coeur, pour des raisons évidentes, bat pour la Lazio. Mais mon cerveau me fait penser que les Nerazzurri sont les favoris. On verra. Dans tout les cas, j'apprécierais le match à la TV c'est certain." Sur la saison de l'Inter, le Suédois pense que les Nerazzurri peuvent encore gagné le championnat malgré la vente de Romelu Lukaku: "Ils ont vendu un joueur important: Lukaku, qui marque peut importe où il joue. Les Nerazzurri peuvent le faire et répéter l'histoire en remportant le Scudetto." "Mais gardez un oeil sur le Napoli, qui a commencé très fort, et sur le Milan AC qui peut aspirer à des positions importantes." @Internazionale.fr, via Tuttosport - Traduction Trent_FCI
  15. Simone Inzaghi vient de signer un contrat de deux ans avec les Nerazzurri selon Gianluca Di Marzio. De plus Tuttosport affirme que l'Inter économise 8M€ et qu'elle aurait été en contact avec Inzaghi depuis Décembre 2020. Selon un rapport sur sa page web, Gianluca Di Marzio ajoute que tout ce qui manque est que le club annonce sa nomination. Simone Inzaghi rejoint l'Inter de la Lazio où il a passé 22 ans, d'abord en tant que joueur et ses cinq dernières années en tant qu'entraîneur du Biancocelesti. L'Inter économisera 8 M€ sur les salaires en remplaçant Antonio Conte par Simone Inzaghi, selon Tuttosport. Ce chiffre serait la différence entre leurs salaires, et cela même en tenant compte des indemnités que l'Inter a données à Conte lorsqu'ils se sont séparés. De plus, Inzaghi jouera un 3-5-2 qui est très similaire à celui utilisé par Conte après avoir utilisé cette formation pendant la majeure partie de ses cinq ans à la Lazio. Toujours selon Tuttosport, Piero Ausilio aurait pris contact avec Inzaghi en Décembre 2020 pour lui faire part d'une éventuelle entrée dans le club cet été. Ausilio avait peut-être déjà réalisé qu'Antonio Conte pourrait ne pas rester. Alors, il aurait pris contact pour savoir quelle était la situation d'Inzaghi à la Lazio.
  16. Les statistiques publiées par Opta sur Twitter montrent que Simone Inzaghi a remporté le deuxième plus grand nombre de matchs en Serie A au cours des 10 dernières années, derrière Massimiliano Allegri. Les comparaisons entre les nouveaux entraîneurs de l'Inter et de la Juventus ont déjà commencé, les statisticiens bien connus Opta publiant les chiffres du plus grand nombre de matchs de Serie A gagnés alors qu'il était à la tête d'une équipe au cours des 10 dernières saisons. Massimiliano Allegri a remporté 142 matchs de Serie A en tant qu'entraîneur de la Juventus au cours des 10 dernières saisons, ce qui est plus que tout autre entraîneur. Le deuxième est notre nouveau patron, Simone Inzaghi. Entre 2016 et 2021, Simone Inzaghi a remporté 108 matchs de championnat en tant que manager de la Lazio.
  17. Dix mois de dur labeur et dix ans d'attente ont conduit à cette utopie qu'est ce Scudetto.Voici cinq choses que nous avons apprises cette saison de l'Inter d'Antonio Conte. Faites confiance à Antonio Conte Après une campagne très décevante en Ligue des champions et un début de saison irrégulier au cours duquel l'Inter encaissait des buts, le travail accompli par Antonio Conte était remis en question. Après avoir terminé un point derrière la Juventus et perdu en finale de la Ligue Europa lors de sa première saison, on attendait beaucoup d'Antonio Conte en termes de trophée pour l'Inter. Ses décisions d'arrêter de changer de défense et d'abandonner Ashley Young et Roberto Gagliardini pour Ivan Perisic et Christian Eriksen respectivement se sont avérées vitales pour amener l'Inter au titre. Un solide système 3-5-2 qui tire clairement le meilleur parti de joueurs tels que Nicolo Barella, Achraf Hakimi et Romelu Lukaku est devenu l'équipe à battre en Italie et a remporté de nombreux éloges. Le vrai test pour l'homme qui a prouvé que ses sceptiques et autres détracteurs avaient tort ce trimestre est d'exceller en Europe la saison prochaine. Romelu Lukaku Le rouage vital du succès de l'Inter. Après avoir été (re)mis en forme à son arrivée à Appiano Gentile par son manager via Andrea Rannochia, Romelu Lukaku n'a vraiment jamais regardé en arrière. Des campagnes consécutives de vingt buts et des buts vitaux lors de matchs contre le Milan et la Lazio lors d'un enchaînement de matchs cruciaux ont souligné la place du géant Belge parmi les hommes de tête les plus létaux du monde. Après un passage terne à Manchester United et des attentes pesant sur ses épaules sachant qu'il avait été acheté pour remplacer Mauro Icardi, Lukaku avait beaucoup à prouver. Cependant, ce mandat s'est avéré être le moment champagne pour Lukaku et il a vraiment été le joueur essentiel des Nerazzuri. Vive le roi de Milan. Italie doit à l'Inter L'Italie se rendra à l'Euro cet été avec deux joueurs en forme Alessandro Bastoni et de Nicolo Barella. Les deux hommes ont sans doute été les joueurs les plus remarquables dans leur position en Serie A cette saison et ont vraiment établi leur place parmi les meilleurs jeunes joueurs européens. L'équipe nationale a elle-même une paire de joueurs en pleine forme espérant porter leur excellente forme cette saison dans ce tournoi. L'Inter a créé deux monstres qui devraient éblouir la scène en Juin aux couleurs de la Squadra. Christian Eriksen revenus des morts Il y a quatre mois à peine, alors que le mercato de Janvier frappait, il semblait très improbable que Christian Eriksen revienne à quoi que ce soit sous les couleurs Nerazzuri. Banni par Antonio Conte et luttant pour avoir un impact quelconque lors de remplacement limités, un billet de retour pour l'Angleterre semblait être sur les cartes et l'Inter cherchait à réduire ses pertes. Cependant, un coup franc de dernière minute dans la Coppa Italia contre le Milan a semblé changer la donne et le Danois n'a jamais regardé en arrière. Il a réussi à gagner une place dans le onze de départ après ce match et a roulé sur une série d'excellentes performances depuis. Un homme qui avait l'air complètement abattu et a continué à atteindre son objectif en venant en Italie et en remportant de l'argenterie. Vous vous demandez ce qu'un certain expert de Sky Sports UK fait de son revirement? Samir Handanovic et la vieille garde obtiennent enfin leur récompense Après des années de travail à travers, sans doute, la pire période de l'histoire du club, Samir Handanovic, Danilo D'Ambrosio et Andrea Rannochia ont enfin leur récompense. Ils ont vu les jours de Jonathan, Zdravko Kuzmanovic et Tomasso Rocchi et vu des gens comme Andrea Stramaccioni, Walter Mazzari et Frank De Boer et maintenant ils ont leur gloire. Des questions ont été longuement posées sur les trois hommes au cours de la dernière décennie, mais chacun d'eux est revenu pour prouver à chacun de ses détracteurs et a roulé assez longtemps pour devenir des champions. Le Scudetto est une digne récompense pour chacun de ces hommes qui ont plus que purgé leur dette envers ce club dans sa période la plus difficile.
  18. L'impressionnante victoire de la Lazio sur les Rossoneri les rapproche dans une paire en grande difficulté avec une poignée de matchs restants. The Guardian livre une analyse intéressante. Fabio Paratici toujours dans le déni ce Lundi soir? Avant le coup d'envoi de Juventus vs Fiorentina dimanche, il a insisté sur le fait que personne dans le club n'envisageait la possibilité de finir en dehors du Top 4. Lundi soir, son équipe était bloquée, avec d'autres, à trois pour la troisième place. L'une des équipes à côté de la Juventus était Milan. Entre les deux, il est difficile de savoir qui pourrait être le plus effrayé à l'idée de rater la Ligue des champions. En tant que vainqueur des neuf derniers titres de Serie A , la Juventus a des attentes plus élevées. Pourtant, les Rossoneri ont mené la Serie A pendant les 20 premières semaines de cette campagne. Les Rossoneri étaient les champions d'hiver que personne n'avait prédit, avec le plus jeune onze de départ de la Serie A malgré Zlatan Ibrahimovic, âgé de 39 ans. Il a fait la une des journaux mais leur succès a été fondé autant sur les très bons de milieux de terrain d'Ismaël Bennacer et Franck Kessie qu'à l'audace de Theo Hernández et Hakan Calhanoglu et que l'altruisme de Davide Calabria. Leur charge vers le sommet avait commencé la saison dernière. Milan est resté invaincu en Serie A pendant presque une année civile complète: 304 jours de Mars 2020 à Janvier 2021. Pendant tout ce temps, leur entraîneur, Stefano Pioli, s'est battu pour garder sa jeune équipe. Même si Milan était en tête du classement, il a continué à insister sur le fait que leur objectif était simplement de revenir en Ligue des champions après huit saisons de disette. Pour beaucoup, sa prudence semblait excessive. Peut-être a-t-il simplement reconnu la nature fragile de la confiance juvénile. Milan a duré 27 matchs sans défaite en Serie A, mais depuis la fin de ce streak, ils ont joué 17 fois sans jamais gagner plus de deux de suite. Dans les plus grands matches, ils se sont effondrés, encaissant trois défaites contre la Juventus, l'Atalanta et l'Inter. L'histoire s'est répétée lundi contre la Lazio. Comment cette équipe de Milan est-elle parvenue à sortir de sa profondeur lors de nuits comme celle-ci? Ibrahimovic était absent pour cause de blessure, comme il l'avait été pour la défaite contre Sassuolo en milieu de semaine, mais cela n'explique guère pourquoi les Rossoneri ont été incapables de garder une clean sheet en sept matchs, leur plus long run de ce genre sous Pioli. Les anciennes certitudes se sont évaporées. Bennacer, dont la saison a été détruite par des blessures, a offert le premier but à la Lazio. Le surengagement de Hernández a été exposé à plusieurs reprises. Même Fikayo Tomori, dont l'émergence à la mi-saison pour revendiquer une place de titulaire, a commis des erreurs très médiatisées. Correa lui a fait comprendre qu'il avait les jambes lourdes avec une série de feintes menant au deuxième but. La Lazio, il faut le dire, a été brillante: la qualité de leur performance collective est d'autant plus impressionnante si l'on considère que leur manager, Simone Inzaghi, n'est revenu sur le terrain d'entraînement que samedi après 18 jours à domicile avec Covid-19. Les Biancocelesti ont remporté cinq de leurs six derniers matches et aspirent eux-mêmes à un retour en Ligue des champions. Le Scudetto de l'Inter est assuré, mais derrière eux, cinq équipes disputeront les trois places restantes. Atalanta est en pole position, deuxième avec 68 points. Milan, la Juventus et Naples sont à égalité avec 66. La Lazio en a 61, mais avec un match en retard. La Juventus, comme Milan, traverse une crise de forme. La confiance défiante de Paratici n'a pas été égalée par l'équipe dimanche, car ils ont fait match nul 1-1 avec la Fiorentina. L'équipe d'Andrea Pirlo avait une fois de plus l'air confuse, personne ne poussant du milieu de terrain et l'avant-centre fictif de l'équipe, Paulo Dybala, encombrant les choses encore plus avec son insistance à descendre en profondeur. Cristiano Ronaldo prit une silhouette maussade une fois de plus sur la gauche de l'attaque. Paratici a déclaré à plusieurs reprises que la Juventus avait l'intention de rester avec Pirlo, tandis qu'Andrea Agnelli a insisté sur le fait qu'il ne regrettait pas cette nomination, mais pour la première fois, le manager lui-même semblait être sur le point de jeter l'éponge. "Je ne pense pas avoir fait ce travail comme je le voulais ou comme tout le monde le voulait", a déclaré Pirlo. "Vous essayez de vous améliorer à chaque match, mais d'après nos perspectives initiales, je ne suis pas content, et je ne pense pas que le club soit heureux." Cela a été une semaine sombre pour la Juventus, pour qui l'effondrement du projet de Super League a été accompagné d'un effondrement du classement. Ils ont battu la malheureuse Parme en milieu de semaine, mais une défaite contre l'Atalanta avant cela signifie que le club de Bergame l'a non seulement dépassée, mais qu'il détient également l'avantage particulier en cas d'égalité. Rater la Ligue des champions serait extrêmement dommageable. Comme le note le blogueur de finance de football Swiss Ramble dans cet excellent fil , la Juventus et Milan étaient les deux clubs de Super League avec les plus grandes pertes d'exploitation la saison dernière si vous excluez la vente des joueurs. Ils ont sans doute les matches les plus difficiles pour les quatre premiers, y compris un match entre eux. Reste à savoir si Ronaldo sera heureux de voir la dernière année de son contrat dans n'importe quel scénario, mais il est certainement difficile de l'imaginer rester, à 36 ans, pour jouer en Ligue Europa. Lorsque Paratici a été interrogé sur l'avenir du joueur le mois dernier, il l'a qualifié de ridicule, déclarant: "Je n'aurais jamais pu imaginer mettre Cristiano Ronaldo en discussion." Le cycle de l'actualité du football, cependant, évolue très vite. Ce n'était qu'hier que penser que la Juventus ratant la Ligue des champions semblait également impossible.
  19. Calcio e Finanza donne les chiffres des revenus de la C1 pour les clubs italiens. L'Inter est dernière avec 37,8M€ du fait qu'elle n'est pas passée les phases de groupes. La campagne européenne des Italiens se poursuivra grâce à la Roma, qui a remporté les demi-finales de l' UEFA Europa League au détriment de l'Ajax. Les Giallorossi affronteront Manchester United dans match dans lequel ils ne partent pas favoris. En revanche, l'aventure des clubs italiens en UEFA Champions League s'est terminée en huitièmes de finale. Après l'élimination de l'Inter en phase de groupes, la Juventus a également déçu en échouant contre Porto. Les engagements de l'Atalanta et de la Lazio étaient plus compliqués, éliminés respectivement par le Real Madrid et le Bayern Munich, deux des meilleures équipes. Après l'aventure en Ligue des champions, on peut estimer les revenus des quatre Italiens de la compétition en 2020-2021. Chiffre d'affaires en UEFA CL 2020-2021 - Plus de 190 M€ pour les Italiens Selon les estimations de Calcio e Finanza, l'Inter, la Juventus, l'Atalanta et la Lazio ont rassemblé 192,2 M€ de l'UEFA CL. Au total, le pool de marché n'a pas été pris en compte, étant donné que l'UEFA a révisé les chiffres à la baisse en raison du Covid. A titre d'exemple, l'année dernière, le total du pool de marché était de 50 M€, à diviser en deux parts différentes pour chaque club. Un chiffre qui, ajouté aux autres bonus, avait porté le chiffre d'affaires à 256,3 M€ sur la saison 2019-2020. Revenus de l'UEFA CL 2020-2021 - Le détail pour chaque club Le club italien qui a le plus gagné dans la compétition est la Juventus. Les bianconeri ont gagné plus de 68,5 M€, dont près de 30 millions proviennent du classement historique. Le bonus de résultat est également élevé (près de 14,7 M€ pour la redistribution des actions pour les tirages), auquel s'ajoutent évidemment le bonus de participation (14,5 M€, le même pour tous les clubs) et celui de passage au second tour final, en huitième dans ce cas (9,5 M€). À la deuxième place se trouve la Lazio, qui a gagné plus de 45,6 M€. Pour les biancocelesti, il y en a plus de 12 M€ du classement historique, près de 10 M€ des résultats et des bonus des huitièmes de finale et enfin 14,5E€ pour la participation. Troisième position pour Atalanta, non loin du club biancoceleste avec environ 40 M€. Les joueurs bergamasques sont pénalisés dans le classement historique, seulement 5,5 M€, mais récoltent près de 11 M€ de résultats bonus. Enfin, l'Inter est le club italien qui a le moins gagné dans cette édition: environ 37,8 M€. En fait, les Nerazzurri, par rapport aux autres équipes, perdent 9,5 M€ pour passer la phase de groupes. Les résultats des bonus sont également faibles, 5,5 M€, tandis que le classement historique contribue à faire remonter le chiffre: 17,7 M€, le plus élevé après celui de la Juventus.
  20. Zavier Zanetti s'est livré à Luis Scola lors d'un événement spécial à Varèse lundi sur le Triplete et son dernier match. Sur le mental. "Je pense que le talent seul ne suffit pas, il doit être formé et amélioré. Chacun de nous vit sa passion d'une manière différente, nous, les Argentins, avons grandi avec ce désir de s'améliorer, pas d'abandonner. Vous voir les images avec une Coupe ou une médaille autour du cou est gratifiant. Mais ce que j'aime, c'est le chemin derrière pour arriver à cette victoire, c'est la chose la plus importante. Avant d'arriver aux victoires, vous devez subir tant de défaites qui vous préparent à gagner!" Sur le Triplete. "Remporter le Triplete était un rêve devenu réalité." "Ce fut une année très importante pour moi et pour l'Inter, mais ce n'était pas facile car il y avait beaucoup de difficultés à surmonter avant de franchir la ligne. Nous étions des hommes avant d'être de grands joueurs, et quand vous avez des hommes intelligents qui rament tous dans la même direction, vous êtes toujours susceptibles d'atteindre vos objectifs. Je suis fier d'avoir été capitaine de cette équipe car ce fut une expérience unique de voir le bonheur de tous nos fans après avoir remporté le triplé. L'Inter est comme une famille pour moi et ce sera toujours spécial d'écrire l'histoire avec ce club." L'Inter comme une équipe nationale. "Oui, parce que je suis arrivé très jeune. Pour moi arriver d'Argentine à l'Inter était ma plus grande opportunité. Je voulais montrer tout de suite que je peux jouer au football pour les grands et au football italien." Sur sa longévité. "C'est la passion qui vous amène à toujours donner le meilleur de vous-même et au fil des années, vous devez d'abord être honnête avec vous-même et ensuite continuer à jouer si vous pouvez toujours contribuer. J'ai ressenti cela et ils m'ont fait ressentir comme ça. La culture du travail, la résilience, la persévérance, le souci du détail sont fondamentaux. Ce sont ces choses qui vous font donner quelque chose en plus pour vous rendre toujours disponible pour vos coéquipiers." Son dernier match à domicile (4-1 contre la Lazio en mai 2014). "C'était émouvant pour moi, mais toute la semaine a été émouvante. J'ai reçu l'affection des supporters et de mes coéquipiers. Avant d'arriver au Meazza, mes coéquipiers m'ont donné une banderole qui disait 'merci capitaine'. Tous ces enfants qui portent le n° 4 dans la foule… mon esprit se souvient de tous les moments exceptionnels que j'ai vécus. Je ne peux que dire merci à l'Inter, je leur dois tout." Ce que sa carrière a laissé. "Tant d'amis, tant de monde... Si vous me demandez ce qui me manque le plus dans le football, je vais vous parler des vestiaires. Le trajet pour aller au match, mais tout est construit au quotidien, par le travail, la responsabilité, le respect, l'ambiance qui se respirait chaque jour dans le centre de formation."
  21. Cette série d'articles nous rappelle les joueurs dont nous avons (peut-être) oubliés, qu'un jour, ils ont porté notre maillot noir et bleu. A travers eux on refait l'histoire, on discute et on dissèque leur temps à l'Inter ainsi que le reste de leur carrière. Retrouvez l'ensemble des articles de cette série ici : Les visages oubliés de l'Inter. "Pour moi, Djorkaeff est un joueur très sous-estimé. Le nombre de fois où il a sauvé la France avec des buts importants!" Robert Pires L'histoire du football est jonchée de grands joueurs. Certains, qu'ils aient atteint un niveau individuel ou au sein d'une équipe emblématique, sont salués dans les années voire décennies suivantes pour leur(s) talent(s). Leurs contributions au football sont louées à l'infini, jusqu'à ce qu'ils atteignent ce niveau de proéminence réservé à quelques-uns, une élite, et recherché par le plus grand nombre: le statut "légendaire". Ce genre de renommée qui vaut à ces joueurs le droit d'être considérés parmi les meilleurs à avoir jamais joué. La plupart des fans de foot, bien que par goût personnels en raison des équipes qu'ils suivent et supportent, parviendront à un consensus général sur le type exact de joueur qui appartient à cette catégorie très restreinte. Bien que souvent influencés par le championnat qu'ils regardent, la période au cours de laquelle ils ont grandi ou d'autres variables, les mêmes noms ont tendance à circuler dans les conversations. Zinedine Zidane, Diego Maradona, Roberto Baggio et les personnalités marquantes du côté milanais dirigé par Arrigo Sacchi à la fin des années 1980, comme Ruud Gullit et Marco Van Basten, ne sont que quelques noms qui ont eu un impact incommensurable sur le football italien. Ces noms sont également généralement considérés comme certains joueurs les plus talentueux à n'avoir jamais honoré un terrain de football. D'autres joueurs, cependant, tout en réussissant non moins en termes de trophées et de médailles gagnés, peuvent parfois tomber dans des étranges limbes. Quelque part entre le statut légendaire, la nostalgie et le fait d'être complètement négligé. Comme Zinedine Zidane, il y a un autre milieu offensif français qui a pris d'assaut la Serie A à son apogée pendant les années 90. Contrairement à Zizou, cependant, il est, pour la majorité des fans, tombé dans ces étranges limbes. La simple mention de son nom a la capacité d'évoquer un gémissement sentimental et pourtant auto-châtiant de la bouche de ceux qui se souviennent de lui. "Djorkaeff! Pour moi, Djorkaeff est un joueur très sous-estimé. Le nombre de fois où il a sauvé la France avec des buts importants!" Ce sont les paroles de l'ex-star d'Arsenal, Robert Pires, prononcées dans une interview à French Football Weekly en 2014. Pires discutait de la hiérarchie des joueurs et du staff à Clairefontaine alors qu'il jouait pour la sélection nationale. Il a poursuivi en expliquant pourquoi Djorkaeff n'avait peut-être pas mérité tous les applaudissements qui lui étaient dus: "Personnellement, j'ai beaucoup appris en m'entraînant avec lui. Le truc avec Youri Djorkaeff, c'est qu'il est un peu dans l'ombre de Zidane. Mais honnêtement, c'était un grand joueur." Être dans l'ombre de la grandeur est une chose à laquelle un jeune Djorkaeff aura sans doute été habitué. Son père, Jean, était un joueur professionnel connu, notamment pour le Paris Saint-Germain, Lyon et Marseille. Ayant remporté la Coupe de France à deux reprises au cours de sa carrière de joueur, Jean n'était que trop conscient des pressions qui pesaient sur Youri lorsqu'il a pris la décision d'entrer dans le monde du football professionnel: "Les gens aiment toujours faire des comparaisons", a-t- il déclaré en discutant de l'ascension fulgurante de son fils lors d'un entretien avec la FIFA en 2005, "De plus, les gens pensent que si votre père était un ancien international, tout est beaucoup plus facile pour vous, ce qui est complètement faux. Le fils finit toujours par être jugé en fonction de la carrière de son père. J'ai dit à Youri qu'il ne devrait jamais être satisfait d'une performance moyenne. Et il a très vite imposé sa personnalité en montrant à chacun que ses talents sont les siens." Et montrez à tout le monde, il l'a certainement fait! Arrivé en Italie pour signer à l'Inter en 1996, Djorkaeff était déjà bien établi, ayant exercé son métier dans sa France natale pendant plus d'une décennie. Des passages avec Grenoble, Strasbourg, Monaco et le PSG l'ont vu quitter la capitale pour la région de Lombardie, déjà dans l'habitude de gagner de l'argenterie. Après avoir remporté la Coupe de France avec Monaco en 1991, la saison du chant du cygne de Djorkaeff l'a vu quitter le PSG vainqueur à la fois du Trophée des Champions et de la Coupe des vainqueurs de coupe, faisant partie d'une équipe qui regroupait les talents de Bernard Lama, Paul Le Guen et Patrice Loko. Malgré ces réalisations notables, Djorkaeff ne se faisait aucune illusion sur l'ampleur de la tâche qui l'attendait lors de son premier voyage à l'étranger: "Je me suis toujours senti citoyen du monde, mais je m'assure d'avoir des racines solides dans la ville dans laquelle je me trouve. Quand j'arrive quelque part, j'apprends son histoire, prendre les bonnes choses, respecter les traditions et écouter avant d'ouvrir la bouche." Djorkaeff connaissait également bien les traditions footballistiques de la ville, décrivant le célèbre stade San Siro, qui abrite les deux clubs milanais, comme "la cathédrale du football". Le Français a beaucoup fait pour jeter les bases d'une relation longue et fructueuse avec les fans des Nerazzurri, marquant 17 buts en 49 apparitions toutes compétitions confondues. Cet exploit particulier a été d'autant plus remarquable que son bilan en championnat a fait de lui le meilleur buteur de l'Inter en Serie A à sa première saison. Son but le plus mémorable cette année-là, et pour lequel on se souvient le mieux de son séjour en Italie, est peut-être celui contre la Roma en janvier 1997. Sautant sur un dégagement raté de la défense de la Louve, qui avait balancé le ballon haut dans les airs, Djorkaeff a catapulté le ballon dans le coin supérieur gauche au moyen d' un coup de pied acrobatique . Faire 2-0 juste avant la mi-temps, cela s'est avéré un moment charnière dans le match, l'Inter ayant finalement gagné 3-1. L'attaque a contribué à faire du Français une place dans nos cœurs, ce qu'il a lui-même reconnu lors de la même interview accordée à Inter Channel en février 2016. "C'est quelque chose pour les fans de l'Inter partout parce que c'est un but qui se joue toujours dans le monde entier et que vous pouvez voir au Meazza, le maillot de l'Inter, la Curva Nord et mes coéquipiers. Il y avait une photo de ce but sur l'abonnement de la saison suivante. Je n'ai pas besoin de mon passeport quand je viens en Italie, je montre cet abonnement." Ce souvenir particulier de son but le plus célèbre distingue Djorkaeff des autres joueurs. Cela aide également à identifier un train de pensées qui vient naturellement à l'homme. Il a un respect clair du patrimoine, de la tradition et de la culture des autres en général. Il a estimé que c'était une partie importante de l'enracinement dans la vie noire et bleue. Alors que la plupart des autres joueurs parleraient d'un tel but d'un point de vue très personnel, soulignant leur propre fierté individuelle, Djorkaeff voit l'importance du but non seulement pour ce qu'il montre sur sa propre capacité technique considérable, mais aussi comment il a fourni une photo instantanée de l'équipe et des fans dans leur ensemble. Cet altruisme et ce désir de faire ce qu'il y a de mieux pour l'équipe se sont poursuivis lorsque Djorkaeff s'est vu demander son avis sur la question de savoir si le club devait signer Ronaldo à l'été 1997. Il s'est entretenu personnellement avec l'homme qu'il appellerait plus tard "son président", Massimo Moratti. "Il est venu à Appiano Gentile et m'a dit qu'il y avait une possibilité d'acheter Ronaldo mais il voulait mon avis. Je lui ai dit: Achetez le immédiatement. Il nous amènera à un nouveau niveau et nous avons besoin de ce type de joueur.'' Le serpent, comme Djorkaeff allait devenir affectueusement connu, n'avait pas tort. Après avoir perdu la finale de la Coupe UEFA en 1997 face au Schalke 04, l'ajout de Ronaldo garantirait à l'Inter la victoire dans le même match un an plus tard, Ronaldo marquant le troisième de trois buts lors d'une victoire convaincante 3-0 contre la Lazio. C'était un résultat approprié pour Djorkaeff, le Nerazurro n°6 aidant le club à décrocher son premier trophée européen en quatre ans, le tout dans sa ville natale de Paris. Ajoutez à cela la conquête de la Coupe du monde avec la France dans la même ville deux mois plus tard, et l'été 1998 a représenté l'apogée de la carrière de Djorkaeff. Malheureusement, le temps du Français à l'Inter prendrait fin juste un an plus tard lorsqu'il est parti pour Kaiserslauten à l'été 1999, après une décevante huitième place avec l'Inter en Serie A. Des passages plus que moyens à Bolton et aux Blackburn Rovers, suivis par une saison en MLS avec les Red Bulls de New York, a mis fin à ce qui était parfois une carrière étincelante pour le footballeur de deuxième génération. À la réflexion, que Youri Djorkaeff ne reçoive pas les mêmes distinctions que ceux avec qui il a partagé la scène est un peu déconcertant. Là encore, sa volonté de partager si gracieusement cette étape avec des noms plus grands et parfois plus explosifs a peut-être contribué au fait que son nom est souvent oublié dans les discussions relatives aux équipes chargées de trophées dont il faisait si régulièrement partie. Cependant, là où les talents de Youri Djorkaeff peuvent être sous-appréciés et sous-estimés ailleurs dans le monde, ils ne le sont certainement pas dans la Curva Nord. Et il semble que pour l'homme lui-même, le sentiment soit très réciproque. "Je me souviendrai toujours du lien que j'ai eu avec les fans de l'Inter", a-t- il déclaré tout en soutenant le projet Inter Forever lors d'un voyage en Chine en 2015, "Faire partie de l'histoire Nerazzurra est un véritable honneur, j'ai pu y parvenir de grandes choses avec le club." Cet article est une traduction de "Youri Djorkaeff – The forgotten Inter love affair" par Laura Bradburn paru sur gentlemanultra.com le 27 Septembre 2016.
  22. Notre entraîneur estime que la victoire est un point de départ pour le titre. Voici son interview d'après match à Sky Sports Italia. "C'était un objectif que nous poursuivions depuis un certain temps, pour atteindre le sommet. Nous l'avons fait aujourd'hui lors d'un match joué contre une excellente équipe." "Je félicite Simone Inzaghi, la Lazio est coriace et de qualité, six victoires consécutives montrent sa force. En même temps, il y avait une force mentale de notre part. Je suis content pour les gars, il faut penser que c'est un point de départ. Maintenant, nous avons le derby, il vaut mieux prendre de l'avance, un beau match entre deux équipes avec des ambitions." Sur l'impact de Lukaku. "Il a certainement donné une excellente réponse comme toute l'équipe. Lautaro lui-même a fait une belle performance mais comme tout le monde, Perisic, Brozovic. Il devient difficile de ne pas parler du bien de qui que ce soit. Pour Romelu, il est important de donner de telles réponses après des matchs ternes, il y avait quelqu'un qui parlait des séquelles psychologiques après le derby mais il va bien. Il y a des hauts et des bas, mais aujourd'hui il est de retour de manière autoritaire, nous avons besoin de ce Romelu et de toute l'équipe pour jouer chaque match avec cette attitude et cette attention. Un énorme hourra doit être donné à tout le monde." Eriksen titulaire. "Il commence à comprendre ce que nous attendons de lui. Il a également joué un très bon match. C'est ainsi que tout le monde doit se sentir acteur. Même ceux qui ont récupéré maintenant comme Vecino qui va maintenant bien après ne pas avoir joué. Gagliardini est également entré avec la bonne attitude, Perisic a joué un match remarquable dans les deux phases. Nous devons travailler de cette manière, sachant que le but est de rendre les fans fiers." "Je pense qu'il a eu des problèmes pour comprendre le football italien, ce qui est très difficile. De plus, il y a maintenant une intensité plus élevée que les années précédentes. Il a commencé à comprendre, à entrer dans certaines situations. Nous avons essayé de l'insérer en changeant le système et en essayant de l'impliquer davantage. Maintenant, il a fait un pas vers nous, il comprend ses coéquipiers car maintenant il parle aussi italien même si je peux parler anglais avec lui. C'est un joueur qui donne de la qualité et le retrouver est une arme supplémentaire pour moi, je suis plus calme car je peux compter sur lui." La bonne perf de Perisic en latéral gauche. "Pour lui aussi, il a bien joué, nous avons travaillé sur le rôle car c'est un ailier offensif à l'aise dans un 4-2-3-1, qui travaille maintenant dessus il parvient à faire les deux phases de la bonne manière. Il peut encore beaucoup progresser parce qu'il a un potentiel qu'il ne connaît même pas. Il a un pied droit, gauche, il peut sauter sur l'homme et dans la phase défensive aujourd'hui il était très bon, il n'y a aucun déchet. Je suis content pour lui, de retour à l'Inter il s'est remis en question. Pour certaines choses, nous avons fait une vertu de nécessité mais quand il y a du matériel qualitatif physique et humain, de bons résultats peuvent être obtenus en travaillant. Avec Ivan, nous élargissons cette gamme de solutions, en plus de Young, Hakimi et Darmian, qui était auparavant limitée. Encore une fois, félicitations à lui car il est arrivé avec une grande humilité et une grande volonté de bien travailler avec nos couleurs." Qui est l'homme du match? "Ce serait difficile de donner l'homme du match même pour moi. L'important est que l'équipe gagne, les gars sont à l'écoute. Aujourd'hui doit être un point de départ, sinon tout ce que nous avons fait serait vain."
  23. Milan Skriniar, Alessandro Bastoni et Lautaro Martinez s'expriment auprès d'Inter TV après le match contre la Lazio. Milan Skriniar S'adressant à Inter TV immédiatement après le match, Milan Skriniar a partagé sa joie. "C'était un match bien préparé. Nous savions ce qui nous attendait, nous voulions le faire comme ça et nous l'avons bien fait. Dommage que nous ayons concédé un but mais ce n'est pas un problème, nous en avons marqué trois. La Lazio est une bonne équipe. Nous sommes heureux d’avoir gagné. Un message important a été envoyé, nous apprécions la victoire ce soir et à partir de demain nous commencerons à préparer le match de dimanche." "Vous avez vu [notre joie] quand nous avons marqué le troisième but parce que la Lazio avait relancé le match et que le score était vraiment important, nous étions très heureux." "On attend de nous, défenseurs , que nous prenions les choses en main lorsque vous êtes en difficulté. L'équipe attend également un coup de main de notre part et il est important de prendre en charge les joueurs à l'avant." Alessandro Bastoni Alessandro Bastoni estime que les matchs contre la Lazio en Serie A sont toujours importants. "Nous sommes conscients de l'importance et du poids de cette victoire, mais ce match était important. Nous sommes conscients que la Serie A est serrée et que nous devons gagner tous les matches pour pouvoir atteindre notre objectif." "Je ne pense pas que la Lazio soit facile à affronter pour quiconque, ils l'ont démontré en Italie et en Europe, en jouant un beau football et en sont capables contre tout le monde." Lautaro Martinez Lautaro Martinez a souligné qu'il se concentrait désormais sur le derby la semaine prochaine contre le Milan. "Nous allons match par match, maintenant il y a le derby. Nous avons perdu des matches en championnat, ce n'était pas facile en Coppa Italia, nous devons bien le préparer pour faire notre travail." L'action du 3e but. "Je ne me souviens pas, un contre avec Romelu contre deux adversaires, je l'ai appelé, il me l'a passé et j'ai marqué. Ensuite, nous nous avons célébré ensemble car c'est quelque chose que nous ressentons tellement, nous sommes unis et aujourd'hui nous avons fait preuve de caractère. Nous étions compacts, nous avons fait mal à la Lazio. Ils ont remporté de nombreux matchs d'affilée, ils jouent beaucoup et très bien en championnat. Nous avons fait notre travail, ramenant trois points et maintenant nous sommes en tête." Sur sa bonne performance. "Quand j'entre sur le terrain, les choses se passent parfois bien et parfois non, mais j'essaie toujours de donner le meilleur de moi-même. Ce soir, nous avons tous couru, pas seulement moi, je suis très heureux parce que nous sommes là où nous voulions être», a déclaré Martinez seul et la performance des équipes." Et Nina? "Nina va bien, elle me fait dormir."
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