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  1. Beppe Marotta a pris la parole lors de la présentation du nouveau livre de Marco Bellinazzo, "Les nouvelles guerres du football". Parmi les sujets abordés, la possibilité de trouver de nouveaux formats au niveau européen. "La Super League a pris un départ embryonnaire, plusieurs équipes de Premier League se retirant immédiatement. Ce n'est rien d'autre qu'un cri d'alarme. Aujourd'hui avec trois entreprises restantes avec des concepts clairs : la recherche de la durabilité, avant tout, mais aussi de la compétitivité. Cette Super League est née dans un modèle européen où à part la Premier League tous sont en difficulté. L'exception notable est le modèle allemand qui a des règles très particulières en matière de propriété : il y a une union forte entre la population et les clubs de football. Ce sont des modèles qui tiennent encore, alors que l'Italie, l'Espagne et la France sont en grande difficulté. Tout tourne autour du spectacle : s'il est pauvre, vous n'allez pas le voir, c'est aussi vrai dans le football qu'au cinéma ou au théâtre. Vous payez le ticket s'il y a une implication affective et émotive : la foi en l'équipe est un dogme, le vrai fan vous suit même si vous allez en C, mais la plupart des fans sont des fans de deuxième niveau, c'est-à-dire ceux qui veulent participer au spectacle. Nous devons rechercher la durabilité et un modèle d'organisation dans lequel il peut également y avoir des investissements étrangers, ce qui est nécessaire. Mais si les fonds arrivent c'est qu'ils rapportent du cash : ça veut dire qu'on n'en a pas aujourd'hui." "Il faut se souvenir de ce qu'est l'équipe de football. C'est une entreprise privée d'utilité publique. Aucun client fait pression sur les fabriques de bouteilles d'eau ou de biscuits. Dans le football, nous sommes soumis à des procès tous les dimanches. Et ils conduisent à deux situations : au fil des années, dans les années 1980 et 1990, de nombreuses propriétés sont tombées faute de pouvoir résister à la pression des fans et ont vendu une grande partie de leurs actifs pour suivre le rythme. Aujourd'hui, si nous prenons une centaine de fans et leur demandons s'ils veulent un club en bonne situation financière mais cinquième-sixième ou un gagnant avec de gros problèmes de budget, 90 sur 100 prendrait le dernier. Cela fait partie d'un processus culturel pour lequel nous ne sommes pas prêts. Nous n'avons pas la culture de la défaite car pour nous c'est un drame alors ce n'est pas comme ça à l'étranger. Ce n'est pas un hasard si en Italie les équipes avec le chiffre d'affaires le plus élevé ont gagné ces dernières années." Traduction alex_j via FCInter1908.
  2. Le Paris Saint-Germain serait observé de près par l'UEFA au sujet de sa gestion financière. Plusieurs éléments des comptes parisiens interrogeraient l'instance, qui demande des explications imminentes à Nasser al-Khelaifi. Javier Tebas aurait-il créé un ouragan sur la Capitale ? Le Président de la Liga crie sur tous les toits depuis des années que le Paris Saint-Germain ne respecte pas le fair-play financier. Or, il semblerait que l'UEFA l'ait entendu. L'Equipe annonce que le PSG est désormais suivi de près par l'Instance de contrôle financier des clubs. Elle aurait demandé de nombreux documents et réponses au PSG ces derniers jours. Une amende en prévision pour le PSG ? Une fois que Paris aura précisé sa démarche, une procédure pourrait être ouverte ou non. L'écurie de la Capitale doit ainsi prouver sa bonne foi et que sa gestion ne dépasse pas les limites fixées par le FPF. L'ICFC attendrait encore ces garanties et presserait le champion de France de les rendre rapidement. Si les chiffres s'avéraient mauvais, l'UEFA pourrait sanctionner le club comme en 2018. Ce serait certainement sous la forme d'une amende de plusieurs dizaines de millions d'euros ou d'un contrôle des dépenses. Réponse dans quelques semaines pour la direction parisienne. Par Olivier Halloua - 90min.com Confirmation de l'AFP "La Ligue espagnole de football a confirmé mercredi qu'elle avait déposé des plaintes auprès de l'UEFA contre le Paris Saint-Germain et Manchester City qui "enfreignent continuellement le règlement actuel du fair-play financier. La Ligue espagnole de football a bien déposé une plainte auprès de l'UEFA visant les conditions du transfert d'Erling Haaland à Manchester City une autre visant la prolongation de Kylian Mbappé au PSG, deux clubs qui, selon elle, "enfreignent continuellement le règlement actuel du fair-play financier"." "La plainte contre City avait été déposée en avril, tandis que celle contre le PSG l'a été "cette semaine", a confirmé, mercredi 15 juin, la Liga qui a ajouté qu'elle allait continuer à intensifier les actions en justice contre les deux clubs soutenus par l'État. Pour se faire, elle s'est adjoint les services d'avocats en France et en Suisse "dans le but d'entreprendre des actions administratives et judiciaires devant les instances françaises compétentes et l'Union européenne dès que possible", peut-on lire dans son communiqué. En Suisse, la Liga "étudie différentes options de représentation" pour enquêter sur les "possibles conflits d'intérêts" de Nasser Al-Khelaifi, qui est à la fois président du PSG, responsable de BeIN Sports, propriété du Qatar, dirigeant de l'Association européenne des clubs et membre du comité exécutif de l'UEFA. "La Liga considère que ces pratiques altèrent l'écosystème et la durabilité du football" "Le patron de la Liga Javier Tebas est l'un des critiques les plus virulents des clubs soutenus par des États, à savoir le Qatar pour le Paris SG et les Emirats arabes unis pour Manchester City, qui détournent selon lui le fair-play financier établi par l'UEFA et déséquilibrent la concurrence sportive et économique. Manchester City a remporté la course pour acheter Erling Haaland au Borussia Dortmund après avoir payé la clause libératoire de l'attaquant à hauteur de 60 millions d'euros, mais le montant total de l'opération, y compris le salaire et les honoraires des agents, pourrait dépasser les 275 millions d'euros selon la presse." "Le Paris Saint-Germain versera de son côté à Kylian Mbappé un salaire annuel compris entre 40 et 50 millions d'euros, après que le Français a choisi de rejeter le Real Madrid et de signer un nouveau contrat de trois ans avec le club parisien. Le PSG a subi une perte de 224,3 millions d'euros au terme de la saison 2020/2021, en hausse de 80% par rapport à l'année précédente, a indiqué le rapport annuel de l'autorité financière du football français (DNCG) au début du mois." "La Liga considère que ces pratiques altèrent l'écosystème et la durabilité du football, nuisent à tous les clubs et ligues européens, et ne servent qu'à gonfler artificiellement le marché, avec de l'argent qui n'est pas généré dans le football lui-même", peut-on lire dans le communiqué de la ligue espagnole. Le FC Barcelone a fait état d'une dette d'un montant d'1,3 milliard d'euros en février dernier alors que celle du Real Madrid, qui inaugurera son stade Santiago-Bernabeu rénové en 2023, avoisine les 900 millions d'euros, selon plusieurs médias espagnols." ®AFP
  3. L’Argentine a fouetté la Squadra Azzurra ce mercredi en match amical 0-3. Au terme de la rencontre, la Joya qui est annoncée à l’Inter s’est livré sur son futur: "Je suis très serein, ce sont les personnes qui travaillent avec moi qui y pensent. Je me dédie au football, je me sens très bien en Italie, on me traite comme si j’étais un Italien. J’aimerai aussi connaitre d’autres championnat comme la Premier League ou la Liga, mais je suis très heureux en Italie." Interviewé par Sportitalia Si Moi et Lautaro, pourrions former un duo de fou ? "Lautaro est un phénomène, aujourd'hui il a fait un match incroyable avec un but et une passe décisive, mais nous n'avons parlé que de l'équipe nationale." Avez-vous donné des conseils à Di Maria sur la Serie A ? "Nous n'avons parlé que de l'Argentine." Chiellini ? "Nous nous connaissons depuis sept ans, il est un exemple pour tout le monde." Envie d’ailleurs, vraiment ? Voici ce que nous révèle la Gazzetta Dello Sport: "Paulo Dybala n'a d'yeux que pour la ville de Milan, même lorsqu'il est à Londres et qu'il marque avec l'Argentine. L’ancien Juventino vit une étrange attente, pleine d'espoir mais aussi sans anxiété particulière, car le pacte avec l'Inter est très clair et il ne date pas d’hier : Le club l'a "bloqué" pour un temps limité avec la promesse de faire le saut décisif quand il aura l'espace salarial adéquat." "Et pour valider ce pacte d'Honneur avec Beppe Marotta, qui a presque fait office de père à Turin, Paulo lui-même envoie des signaux dans toute l'Europe : Tous ceux qui lui tournent autour voient leurs propositions être déclinées : Les NON aux autres deviennent, cependant, des OUI aux oreilles de l’Inter. Parmi les clubs qui ont fait des démarches pour Paulo, celui qui a le portefeuille le plus important est celui du club saoudien de Newcastle." "Bien que l'offre financière soit extra-large, Dybala n'a pas failli : jouer la Ligue des Champions est la condition préalable à toute offre. Ces dernières heures une tentative a eu lieu aussi en provenance de la Bundesliga: Le Borussia Dortmund s'est montré intéressé par ce deal à zéro paramètre, tout comme Séville qui a déplacé ses premiers pions en Espagne et si les Andalous l'apprécient davantage, pour la énième fois, Paulo les a remercié d’un geste de la main." "Ce n'est pas le même non franc prononcé d’ailleurs, mais ça y ressemble beaucoup : c'est aussi pourquoi les Sévillans ont entamé des démarches pour enrôler Alexis Sanchez. Ce n'est pas d’ailleurs pas un hasard car le destin de l'Argentin est lié à celui du Chilien : l'un est destiné à prendre la place de l'autre. Ce n'est que lorsque l'Inter économisera les 7,5 nets qu'il donne au Niño, qu'il pourra donner corps à l'offre qu'il a déjà faite officieusement à Dybala". "Sur la Table, Paulo a une offre de l'Inter pour un contrat pluriannuel estimé entre 3 et 4 ans pour un contrat de 6 millions d'euros nets par saison plus des bonus importants, ce qui lui permettrait d’atteindre les 7 millions d’euros, soit le pic convoité pour le oui. Il sait qu'en ce moment il ne peut que gagner du temps en attendant le feu vert : c'est un exercice de patience, plus ou moins comme celui qu'il a fait hier sur le banc avant de se déchaîner sur le terrain" Confirmation de Javier Zanetti en personne à Rai Sport Est-ce possible de voir Lautaro et Dybala jouer ensemble aussi à l’Inter ? "Peut-être, le Mercato vient de débuter, nous avons énormément de temps, nous sommes un Club qui se doit de saisir les opportunités et, lorsqu’elles se présentent, nous les évaluons tous ensembles. Il faut aussi être réaliste car nous devons tenir en compte tout ce que vous savez déjà, mais oui, nous parlons d’un très grandissime joueur qu’est Dybala." ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  4. Lors de ce mercato hivernal, un contact a eu lieu entre le Fc Barcelone de Xavi et l’Inter de Simone Inzaghi! Révélation de la Gazzetta Dello Sport "Sanchez a envie de rester en Europe et quelque chose se trame en Liga : En janvier, il y a eu un sondage du Fc Barcelone, à présent c’est au tour de Valence." "L’Inter reste en position d’attente." Selon vous, Alexis Sanchez fera-t ’il l’objet d’un transfert ou partira-t ’il gratuitement ? ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  5. Comme le révèle Calcio&Finanza qui relaye le journal Domani, il s'agit d'amener les 20 clubs de la Serie A italienne pour un tournoi à l'autre bout du monde. Derrière ce projet ambitieux, le nom d'un italo-américain apparaît : Charlie Stillitano. Il est le président exécutif de Relevent Sports Group, l'organisation qui, ces dernières saisons, a créé l'International Champions Cup, un tournoi amical intercontinental estival auquel participent également plusieurs clubs italiens. Relevent a également été impliqué dans la tentative infructueuse d'amener La Liga aux États-Unis. Mais plus important encore, selon Football Leaks, Stillitano faisait une tournée en Europe en 2016, avec un projet de Super League qu'il comptait présenter aux meilleurs clubs du continent. C'est donc à cet entrepreneur qu'a été confié le projet d'expansion de la Serie A aux États-Unis, qui pourrait aller encore plus loin avec des bars dédiés et un événement réservé aux équipes de moins de 12 ans. L'objectif de la Serie A serait de faire voyager ses 20 clubs aux États-Unis pour un tournoi qui se déroulera en même temps que la Coupe du monde au Qatar, entre novembre et décembre 2022, lorsque les équipes nationales seront engagées dans la Coupe du monde. Il s'agit d'un projet ambitieux, né avec l'idée de ne pas laisser en plan tous ceux qui ne seront pas appelés à disputer la Coupe du Monde, sans oublier le fait de promouvoir le Calcio aux États-Unis et de faire rentrer, dans le même, des revenus dans les caisses de tout à chacun. Une idée qui, du point de vue de la télévision, pourrait trouver un soutien chez CBS, qui détient les droits du championnat italien aux Etats-Unis à hauteur de 58 millions par saison. ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  6. Joaquin Correa s’est livré au cours de l’émission "Careers" diffusée par Dazn. Tucu est donc revenu sur les étapes importantes de sa carrière Enfant, étais-tu le plus doué pour jouer au football ? "Je ne sais pas, nous étions tellement, je figurais sans aucun doute parmi ceux qui l’aimait. J’ai toujours joué comme Trequartista, c’est là que j’ai commencé, ensuite je suis allé un peu partout, mais c’est toujours resté mon poste." Tucu "C’est comme ça que l’on me surnomme depuis tout petit, tout est parti de là, de mon passage à Buenos Aires, j’ai été surnommé de la sorte." Juan Sebastian Veron "Ma seconde rencontre était si belle car c’était le dernier jour de Juan à l'Estudiantes. C’était une belle fête et tout le monde l’attendait à la sortie du terrain. C’était plus qu’un grand joueur, il m’a tellement aidé et pas uniquement pour le football. Il a tant enseigné aux garçons, il a été très important pour moi. Lorsque je suis venu à l’Inter, il m’a félicité en disant que j’avais bien choisi, que c’était la bonne équipe pour moi. Je le remercie encore pour tout ce qu’il a fait." La Sampdoria "C’était si beau, j’y ai tant appris. J’ai aussi connu quelques blessures et changé physiquement suite aux entrainements, mais cela m’a apporté tellement de belles choses. J’ai eu comme équipier Eto’o, et tant d’autres joueurs qui m’ont aidé sur et hors du terrain. Je ne savais pas si j’étais prêt mais je voulais venir en Europe à tout prix, et piano piano, j’ai commencé à m’améliorer, c’était une étape importante." Samuel Eto’o "Un joueur de folie qui était arrivée en fin de carrière mais qui m’a tant conseillé, c’était un très grand joueur." Le but raté face à l’Inter "J’étais déjà interiste (il sourit). C’était une mauvaise journée, j’étais seul à Rome et j’étais très mal. Ce sont les choses qui te font grandir, qui peuvent arriver à tout le monde : J’ai continué à travailler." Séville "Faire face au Real Madrid était si beau, nous pratiquions un très beau football et nous avions disputé la Liga jusqu’au bout du bout, c’était si beau. Nous étions tant d’argentins et j’ai beaucoup appris. Je jouais plus sur les ailes, mais je m’y sentais bien, c’était un autre football, plus tactique, plus complexe en tout: J’ai beaucoup appris et j’ai compris énormément comment fonctionnait le football européen." Instinct et préparation "Il y a tellement de préparation, mais je dois mettre en pratique tout ce qui m’a été appris depuis mon enfance, le joueur se fait et commence à jouer par cette voie, c’est cela qui dicte qui tu es." Simone Inzaghi "Lorsque nous avons remporté la Super Coupe en Arabie avec la Lazio, ce fut un merveilleux moment, nous avions déjà remporté la Coupe d’Italie et nous nous battions pour le Scudetto, ensuite nous avons été bloqué par le Lockdown, mais ce sont de merveilleux souvenirs. Tu te donnes tellement pour jouer des finales et battre la Juve avec une telle personnalité était si beau." "Inzaghi me laisse exprimer mon football, il se soucie beaucoup de la défense et il veut que nous, les attaquants, soyons tout le temps sur le ballon : il me demande toujours de viser, j'aime ça car il me laisse être moi-même." La vie à Rome "C’était beau, j’y étais très bien traité, j’y ai vécu trois très belles années que je conserverais toujours dans mon cœur, on m’a toujours fait m’y ressentir comme si j’étais à la maison." La Copa America "C’était grandissime, cela faisant tellement longtemps que l’Argentine ne gagnait plus et l’emporter au Brésil était merveilleux. Nous étions un groupe fort qui se battait pour remporter quelque chose que le pays voulait à tout prix, c’est pour nous, l’une de nos plus grande joie, c’était si important pour nous." Lautaro Martinez "C’est si beau de jouera avec lui, nous avons un excellent rapport, c'est important de s'entendre. Cela nous aide beaucoup de jouer ensemble à l'Inter et en équipe nationale, nous voulons tous les deux gagner." Qui prépare le maté ? "C'est moi qui l'amène toujours : il peut râler, mais c’est la vérité." Le test avec l'Inter "J'étais un enfant qui rêvait de venir à l'Inter mais cela ne s'est pas fait : Puis avec le travail j'ai su me retrouver ici et à présent, je suis un homme expérimenté. La photo avec Zanetti me permet de garder les pieds sur terre parce que j’en rêvais, et maintenant que je suis ici, je l'apprécie davantage." ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  7. CIES - Le numéro 361 de la Lettre hebdomadaire de l’Observatoire du football CIES présente le top 11 pour chacun des cinq grands championnats européens. Les joueurs ont été sélectionnés sur la base de l’indice de performance CIES, bâti à partir des données Opta. Seuls les footballeurs ayant disputé au moins 900 minutes de championnat depuis le début de la saison ont été pris en compte. Dix des onze joueurs dans le top 11 de la Premier League anglaise jouent pour Manchester City (Dias, Laporte, Cancelo, Rodri, Silva) et Liverpool (Alexander-Arnold, Henderson, Salah, Jota, Mané). La seule exception est le gardien de Chelsea Édouard Mendy. Quatre clubs sont représentés tant dans le onze de la Liga espagnole, avec notamment six joueurs de Real Madrid...... ......que dans celui de la Serie A italienne, avec quatre éléments de l’Inter. En partie suite à la forte rotation effectuée par Paris St-Germain, où peu de joueurs ont disputé un nombre suffisant de minutes de championnat pour être inclus, le top 11 de la Ligue 1 est celui au sein duquel le plus grand nombre d’équipes sont représentées : PSG (4 joueurs), Olympique de Marseille (3), ainsi que Montpellier, Lens, Rennes et Brest. À l’opposé, seul trois clubs sont présents dans le onze allemand, où figurent sept joueurs du Bayern. ®Cies
  8. Simone Inzaghi s’est livré en conférence de presse, mais également à Sky Sport et à Sport Mediaset dans le cadre de la dernière et ultime journée de la phase de groupe de la Ligue des Champions qui verra l’Inter défier le Real Madrid au Santiago Bernabeu. Son interview en conférence de presse A quel match vous attendez-vous demain, en sachant que pour le Real, un match nul suffit ? Que pensez-vous de l’absence de Benzema ? "Je pense que la rencontre de demain sera une rencontre importante pour nous. Nous nous sommes qualifiés, mais elle sera importante car nous voulons réaliser un grand match. A l’aller, nous avions fait une très belle prestation, mais cela n’avait pas suffi. Pour demain, il faudra faire un petit quelque chose en plus." "Benzema est extrêmement important pour eux, mais nous les entraîneurs, nous devons savoir faire face à ce type de problème. Ils ont Jovic qui a réalisé un but et une passe décisive lors e la dernière rencontre." Qu’est-ce qui a changé à l’Inter, pour lui permettre de réaliser ce parcours gagnant ? "Je pense que nous nous connaissons mieux, l’équipe joue avec ce dispositif depuis plus de deux ans. Au début de la saison, nous exprimions un bon football, l’exemple le plus flagrant est le match aller face au Real. Nous nous présentons ici avec une très belle série qui nous donne de l’auto-estime." En quelle caractéristique d’Ancelotti vous retrouvez-vous ? "Sa carrière parle pour lui, avant le premier match nous avions discuté football, c’est toujours un plaisir. Je suis content que tout se passe bien en Liga pour lui, il a tellement d’avance sur le second. Nous parlons d’un très grand entraîneur qui a énormément gagné en carrière." Comment vont Lautaro Martinez et Stefan De Vrij ? "Il n’y aura pas Darmian, Ranocchia et Satriano (non-repris dans la liste ndlr). A cela, il faut y ajouter Correa qui a connu un pépin à l’Olimpico, cela m’attriste car il était en pleine ascension. C’est un joueur que je connais bien et qui était dans une bonne période. Lautaro n’a plus connu de problème lors de la séance d’entrainement, pour De Vrij et Kolarov, je dois encore chercher à comprendre leur état de forme, ils ont réalisé un entrainement." Il y a une attente, demain, pour savoir si le Calcio est revenu au plus haut niveau...... "Et c’est normal qu’il y ait cette attente, C'est comme ce qui s’est d’ailleurs produit au match aller: Nous avions joué comme une grande équipe, ici nous n’aurons pas tellement de Tifosi, mais ils seront tout de même présents au Bernabeu. Nous allons jouer avec personnalité et confiance, en sachant que nous avons déjà réalisé quelque chose d’important vu que cela faisait dix ans que nous ne passions plus ce tour. Nous voulons réaliser un grand match demain." Nous constatons que les joueurs qui montent etqui remplacent les titulaires font d’excellentes prestations…. "Je pense que c’est un motif de fierté pour un entraîneur: Tout le monde a joué, ceux qui jouent le plus comme ceux qui jouent le moins. C’est ce qu’un entraîneur puisse espérer de mieux, j’ai de grands professionnels à ma disposition, des garçons très sérieux." Est-ce juste de définir la rencontre de demain comme un examen de fin d’études ? "Ce sera une rencontre importante demain, je sais que l’Inter ne l’a emporté qu’à une seule reprise, dans toute son histoire, au Real. Nous tenons à nous préparer de la meilleure des façons possibles au match." Avez-vous peur de Vinicius ? Est-il le meilleur joueur du monde ? "Je le connais, c’est un joueur de très grande qualité qui cette année fait preuve de continuité au niveau des buts et des passes décisives. Il y aura une attention particulière, comme pour tant d’autres." Son interview à Sport Mediaset "Nous savons comment est le football, il y a des périodes où tout va bien, ensuite tu perds deux matchs et ceux qui t’encensent deviennent tes premiers détracteurs. Mais c’est le football, notre monde : Nous devons continuer à travailler de la sorte, en pensant match après match." Qu’avez-vous à dire sur la satisfaction d’arriver au Bernabeu sans pression et pour disputer la première place ? "C’était une grande espérance, l’objectif était d’arriver à Madrid avec la qualification déjà en poche. Nous savions que cela allait être difficile, mais les garçons ont été extraordinaires car ils ont réalisé quatre grandes parties en s’améliorant les unes après les autres après un début amer et la défaite face au Real. Nous nous le sommes mérité, nous allons jouer cette partie comme une grande équipe." Au match aller, il s’agissait de votre meilleure rencontre vu la domination et les occasions créés, mais sans récolter le moindre point. Que devez-vous faire demain ? "Nous devrons faire plus comparer au match aller car nous avons grandi, tout comme le Real. Nous sommes deux grandes équipes et nous voulons continuer de la sorte." On parle déjà de votre prolongation de contrat, cela vous fait-il plaisir ? "Cela me fait plaisir, ce sont des informations que l’on peut lire, mais en ce moment mes priorités sont tout autres : Ma priorité actuelle est le Real Madrid." Son interview à Sky Sport Quel est l’importance d’arriver à la première place ? "C’est important à la fin de la phase de groupe, toutefois, nous devrons réaliser notre match de la meilleure des façons : Gagner ici, à Madrid est extrêmement difficile : eux comme nous ont déjà, par le passé, su se qualifier à l’avance et nous assisterons à une grande partie demain." Vous attendez-vous à une rencontre similaire à celle du match aller ? Comment va Lautaro ? "Le Real n’aura pas Benzema, l’Inter n’aura pas Darmian, Correa, Ranocchia, Satriano… Les deux équipes font face à des problématiques. Lautaro me semblait bien hier, je l’évaluerai demain tout comme j’évaluerai aussi les conditions de De Vrij et Kolarov." Selon vous, qui votre frère, Pippo, soutiendra demain : Vous ou son ancien entraîneur et ami Ancelotti ? "Je pense qu’il me soutiendra, même si je n’y ai pas pensé, je n’ai aucun doute. Je connais aussi l’estime qu’il a pour Ancelotti, ils ont tant partagé et gagné ensemble. Ils se parlent toujours et cela me fera plaisir de revoir demain Carlo et d’échanger avec lui." On parle d’une prolongation de contrat, cela vous fait-il plaisir ? "C’est normal que cela me faisse plaisir de le lire et de l’entendre. Mais plus que cela, ma seule concentration réside à la rencontre de demain, après le si beau parcours que nous avons réalisé en Ligue des Champions, nous voulons conclure ce dernier par un grand match demain." ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  9. En effet, l’ombre du fonds souverain PIF continue à planer au-dessus de l’Inter malgré le fait que celui-ci ait déjà fait l’acquisition de Newcastle en Premier League et nos confrères de Fcinter1908.it ont tenté de faire le point en contactant le, toujours très bien informé, Ben Jacobs de CBS Sport Bonjour Ben, de très nombreux journalistes en Italie font état d’une négociation en phase avancée entre le fond d’investissement PIF et Suning pour la vente de l’Inter : Que pouvez-vous nous dire à ce sujet ? "Les échanges entre l’Inter et PIF ont eu lieu, surtout avant la finalisation de l’acquisition de Newcastle de la part du fond saoudien. Mais à l’origine, les parties échangeaient pour un investissement en qualité d’actionnaire minoritaire du club. En septembre, PIF a encore parlé avec Suning sur la possibilité d’acquérir la majorité des actions du club, il ne s’est plus passé grand-chose depuis : Steven Zhang et Suning préféreraient rester, si les finances le leur permettent. Et dans l’idéal, ils aimeraient attendre la construction du nouveau stade, même s’il faut plusieurs années." "PIF veut plus une équipe qu’une seule équipe de football sur le long terme, mais ils ne sont pas aussi pressés, vu qu’ils viennent d’acheter Newcastle. Et s’il souhaite acquérir l’Inter, il y aura des contrôles à effectuer pour s’assurer du prix fixé d’un milliard d’euros que Suning a fait valoir comme investissement." Si les rumeurs d’une négociation avancée sont fausses, pourquoi, selon-vous, continue-t ’on toujours à en parler avec autant d’insistance ? "On parle d’une potentielle acquisition car les parties sont dans un contact “on-off” depuis un an et que finalement, Suning pourrait être forcé de vendre. On parle beaucoup de PIF car il veut bien plus qu’une seule équipe de football. Et maintenant qu’ils possèdent Newcastle, il est clair qu’ils doivent être pris sérieusement en considération. Il souhaite imiter le City-Group, mais c’est un processus lent: Leur prochaine intention visera à présent un grand club européen, et de regarder vers un club plus petit dans un autre continent." A quel point est important l’intérêt de PIF pour l’Inter et pour le Calcio ? "L’attrait de l’Inter est due à son Histoire et à son potentiel, mais le défi est d’hériter d’une club en difficulté financière. C’est évident que PIF dispose de la richesse nécessaire pour l’annuler, mais pour ce type d’investissement se base sur la valeur : à la fois financière et en termes de marché. S’ils ne se sent pas capable de pouvoir faire usage du club pour engranger des fonds et promouvoir leurs objectifs extra-sportifs, ils n’investiront pas." "La Serie A n’est pas aussi réputée que la Liga ou la Premier League en Arabie Saoudite, ou dans toute la région du moyen orient. Toutefois, il faut prendre en considération que la Super Coupe d’Italie a été accueilli en Arabie Saoudite et que des droits télés sont potentiellement disponibles pour un diffuseur saoudien, depuis que BeIn a choisi de ne pas prolonger." Le Maire de Milan, Giuseppe Sala, a donné le feu vert au nouveau stade. Croyez-vous que cette annonce puisse favoriser l’intérêt de PIF pour l’Inter ? "Le nouveau stade représente une grande ressource pour n’importe quel propriétaire, mais il n’influencera pas directement l’acquisition: Il passera au second plan vu qu’il ne sera pas prêt avant 2027. Il s’agirait d’une valeur commerciale à ajouter à la valeur globale du club, mais c’est une arme à double tranchant. Les avantages commerciaux d'un stade ultramoderne et le développement de la zone environnante sont tout aussi bénéfiques pour Suning que pour tout nouveau propriétaire potentiel. Ainsi, le fait de l'avoir à l'horizon augmente le prix de vente et donne à Suning un peu plus de pouvoir. " Si PIF vient à faire une offre, Suning pourrait-il l’accepter vu le feu vert pour la création du nouveau stade ? "Cela dépend de l’offre, mais les informations positives sur le nouveau stade ne feront qu’augmenter le prix : Il sera intéressant de voir à quel point Suning se montrera sérieux pour mener jusqu’au bout la construction du nouveau stade. Cela pourrait nous donner un indice sur le fait qu’ils veulent rester en poste sur le long terme." PIF est-il intéressé par l’idée de créer une galaxie de club ? Pourrait-il acheter d’autres clubs après Newcastle ? "Oui, leur objectif stratégique est d'imiter le City-Group. Ils veulent disposer d’un réseau mondial de club de football. Mais il ne s'agit pas seulement de posséder des équipes emblématiques comme l'Inter Milan. Ils veulent des clubs de tout niveau, avec des choix basés sur la géographie autant que sur le football. En d'autres termes, ils veulent des équipes liées, par exemple, à d'importantes liaisons aériennes (une nouvelle compagnie aérienne saoudienne sera bientôt lancée avec l’espoir qu’elle puisse rivaliser avec Emirates et Qatar Airways) et qui peuvent contribuer à promouvoir le tourisme (et plus généralement la Vision 2030) sur le sol saoudien." "Le désir de créer un "groupe" de club football découle de la volonté d'utiliser le sport à des fins également extra-sportive. Mais encore une fois, c'est un processus lent. PIF ne va pas soudainement acheter plusieurs clubs. Ils se concentreront sur Newcastle à court terme." Nous savons que PIF et Suning ont parlé de l’Inter l’été dernier. A quel point un accord d’acquisition du club était-il proche ? "Il ne l’était en rien: L’été dernier, PIF ne prenait pas en considération l’acquisition majoritaire, ils ont simplement procédé à une phase exploratrice sur des investissement pour des parts minoritaire. Cette décision a été prise à la suite de l'apparition de la pandémie de Covid-19. L'espoir était de réaliser un investissement à un prix avantageux, en raison de la pandémie et des problèmes financiers préexistants de Suning. Mais les discussions entre les parties n'ont jamais abouti car il était clair à l'époque que Suning voulait un financement temporaire et non un partenaire minoritaire." Qu’est-ce qui manque pour un accord ? "Les acquisitions, qu'elles soient réussies ou non, prennent du temps. Et lorsque la possibilité d'un rachat devient publique, les supporters s’enthousiasment mais s'impatientent aussi. La principale raison pour laquelle rien ne s'est produit jusqu'à présent réside dans le fait que Suning ne veut pas vraiment vendre. Ils peuvent y être contraints, bien sûr, mais cela ne change pas leur position. Et c'est pourquoi le prix qu'ils demandent est également très élevé. PIF devrait faire preuve d’une double attention pour voir si cela vaut la peine d'investir et même ce processus est lent et confidentiel." Selon vous, à quel point est-il probable que PIF deviennent le nouveau propriétaire de l’Inter ? "Je ne crois pas à un accord d’ici à la fin de l’année, comme le suggèrent certaines indiscrétions. Pour l’heure, PIF va se concentrer sur Newcastle et il fera grandir lentement sa croissance dans le football. Ils devront se montrer opportunistes si le club juste au prix juste émerge. Mais je ne pense pas que l’Inter rentre actuellement dans cette catégorie: Beaucoup de choses devraient changer pour que quelque chose se produise à brèves échéances." Les Tifosi de l’Inter peuvent-ils rêver ? "Rêver oui, mais il est aussi important d'être réaliste. Le prix souhaité par Suning a été fixé pendant un an, avec tous les prétendants, à environ 1 milliard d'euros. Et PIF a donc eu tout le temps, surtout lorsque le rachat par Newcastle semblait improbable, de poursuivre les pourparlers. Ils ne l'ont pas fait et ne le feront pas à moins que l'achat du club n'ajoute de la valeur." "Cela signifie qu'ils doivent proposer un prix qu'ils estiment juste et avoir un club entre les mains qui peut se développer en tant que club et marque après l'acquisition sans perdre d'argent. PIF s’est donné pour mission d'utiliser le sport au profit de l'Arabie saoudite. Il ne peut donc pas se contenter d'acheter des choses, comme peut le faire un investisseur privé, qui achète par vanité ou par glorifications." L’analyse de Marco Barzaghi “Nouveauté autour de PIF: Le Fonds lié à la Famille Royale Saoudienne serait très déçu de l’investissement réalisé en Angleterre avec Newcastle et, avec ce qu’il s’est passé en semaine à Milan (la délibération de la Mairie de Milan et le départ officiel du projet stade), la négociation aurait repris, même si la précédente avait cessé suite à la requête d’un milliard d’euros de la part de Suning." "PIF veut investir en Italie, Suning n’abdique pas car le stade pourrait augmenter énormément la valeur du club: Il faut une offre irrenonçable pour débloquer la situation mais, d'après ce que je comprends de mes sources proches du Fonds, il semble que cette fois-ci, qu’il est déterminé à proposer des offres importantes. Il faudra comprendre comment Suning se positionnera face à celles-ci, car il y a aussi Oaktree qui doit être pris en considération et je ne pense pas que Suning soit capable de courir sa dette." "Je pense qu'il y aura des nouvelles d'ici la fin de l'année, mais il y a tellement de variables en jeu. Méfiez-vous de ceux qui disent que tout est déjà fait." "Suning nie en bloc , mais il ne peut pas faire autrement. PIF veut reprendre les négociations avec Suning." Il Padrino travaille en sous-marin "Je vous dis ce que je sais, je vous dis depuis un certain temps que quelque chose est en train de bouger. Marotta travaille hors des radars sur quelque chose d'important. Les Saoudiens se sont concentrés sur Newcastle mais, comme je vous l'ai dit, ils sont déçus par l'impossibilité de faire venir des sponsors saoudiens en Premier League et par la difficulté de faire venir des entraîneurs (voir Conte) et des joueurs de haut niveau dans une équipe de second ordre". "Avec le départ officiel du projet de stade, les contacts ont repris et cela m'a été confirmé par des sources proches de PIF. Il y a la volonté de trouver une solution avec Suning, mais ils ne veulent pas abandonner. Rien n'est fait et Pif n'est pas à l'origine des renouvellements. L'Inter continue de démentir et il ne peut en être autrement. Tout ce que je vous ai dit a été vérifié." ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  10. Simone Inzaghi s’est livré, en conférence de presse, à la veille de ce qu’il sera son retour, en qualité d’adversaire, au Stadio Olimpico de Rome face à “sa Lazio” Comment vous préparez-vous au prochain Tour de force ? "Nous savons que plusieurs parties rapprochées nous attendent, nous voulons nous faire trouver prêt pour chacune. Nous étions tout de même peu nombreux à Appiano, mais nous avons su travailler de la meilleure des façons. Certains joueurs sont revenus avec des coups, à présent j’attends le retour sud-américains." A quel point a changé la Lazio sous Sarri ? "La Lazio a réalisé de très bon matchs, du Derby en passant par l’Europa League, c’est une équipe bien construite avec des qualités optimales. Sarri est très bon lorsqu’il s’agit d’organiser ses équipes: Les garçons ont réalisé d’excellents matchs, ils ont perdu leur dernier match et seront vexés. Je sais que nous allons faire face à une équipe qui voudra faire une belle prestation." Quand reviendront les Sud-américains ? Comment va Sensi ? "En ce qui concerne les sud-américains, cela s’était déjà produit face à la Samp. C’est une situation délicate: Sanchez et Vidal ne verront pas Rome, je ne saurais pas les utiliser car ils reviendront à 3h00 du matin. Ils seront plus utile pour mardi, comme Sensi. Ces derniers jours, il s’est entraîné discrètement avec le groupe, mais il ne sait pas encore taper librement de son pied droit, à cause de son entorse. Il a de très bonnes sensations, j’espère qu’il pourra être de retour rapidement." La Liga a repoussé de nombreux matchs pour préserver le parcours européen de ses équipes…. "Je parlerai avec Lautaro, Correa et Vecino, pour voir comment ils iront. La Liga a très bien fait, mais c’était une thématique qui aurait dû avoir lieu en début de saison : nous devrons serrer les dents, nous avons des alternatives pour ces postes et je devrai évaluer, avec attention, dans quelles conditions ils seront en arrivant." Serez-vous en difficulté face au pressing de la Lazio ? "Nous devrons nous montrer propre dans notre façon de jouer et être bon en phase défensive et offensive." C’est un retour particulier à l’Olimpico… "C’est un retour à la maison pour moi, j’y suis resté 22 ans: Je ne vous cache pas que je ressentirai des émotions lorsque je reverrai des garçons qui m’ont toujours tout donné durant ces années, je reverrais aussi des personnes qui ont toujours été spéciales, en coulisses. Elles ont été très importante pour moi, nous avons fêté et souffert ensemble au fil des années, nous avions atteint de grands objectifs." "Demain, je sais qu’il y aura des applaudissements et des sifflets, mais cela fait partie du métier et je l’accepterai, mais ils savent tous que j’ai tout donné pour ces couleurs." Qu’attendez-vous de Lotito ? "Je lis et j’écoute toujours tout, mais au-delà de ce qu’il pense et de ce que pense Tare, ils ont été des personnes très importantes durant ma carrière. J’ai commencé à entraîner grâce à eux et je ne cesserais jamais de les remercier: Nous nous sommes bien trouvé et il faut savoir aussi que nous avons obtenus de grands résultats." La Lazio, le Sheriff et la Juventus. C’est un Test d’endurance pour l’Inter..... "Ce sera, sans aucun doute, une semaine très engagée: Nous voulons aborder les matchs les uns après les autres. Nous devrons faire de notre mieux tout en sachant que ce seront des rencontres très difficiles." Comment évolue Dumfries ? "Il avance, je pensais qu’avec les problèmes linguistiques qu’il lui aurait fallu plus de temps, mais c’est un garçon qui écoute et qui a déjà joué plus de la moitié du temps à disposition. C’est un titulaire fixe des Pays-Bas et plus le temps passera, plus il s’améliorera, j’en suis convaincu." Si vous ne savez pas jouer la carte Lautaro, quelles seront les solutions ? "Elles sont nombreuses, Dzeko jouera, il y a aussi l’opportunité Satriano, mais il y a aussi Perisic et Çalhanoğlu. Je devrai évaluer les conditions de récupération de Lautaro et de Correa." Que manque-t ’il à Çalhanoğlu? "Je suis satisfait de lui car il fait partie intégrante du projet, c’est un garçon qui ne se cache jamais : Lundi, il a été victime d’une sérieuse entorse et il a tout fait pour être à disposition demain, je ne sais pas encore si ce sera le cas. Ses compagnons, tout comme moi, sommes très heureux: Il marque et réalise des passes décisives." Est-ce que l’Inter vous séduit de plus en plus ? "Je me suis senti immédiatement intégré ici, les Tifosi de l’Inter m’ont accueilli d’une manière dont je n’avais jamais songé, et ce dès le premier jour. Ils ont toujours été fantastique avec moi et avec l’équipe, ils sont toujours aussi si nombreux lorsque l’on se déplace à l’extérieur, ils nous font toujours ressentir une chaleur incroyable." ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  11. Comme le révèle Calcio&Finanza qui relaye la Gazzetta Dello Sport, une solution a été trouvée pour les sud-américains évoluant en Serie A! En effet, la nouvelle fenêtre internationale a mis en avant une problématique sérieuse : Nombre de joueurs sud-américains convoqués pourraient se montrer indisponible pour le premier match de championnat post-sélection Dans le cas de l’Inter, la problématique étant plus importante étant donné qu’elle se retrouverait privée de sa ligne offensive composée de Joaquin Correa et Lautaro Martinez qui seront engagé avec l’Argentine. Après cette trêve internationale, le Champion d’Italie se rendra directement à Rome pour y défier la Lazio dans ce qu’il sera l’affiche de la journée, le 16 octobre Coalition latine Comme le révèle la Rosea, la Lega Serie A et la Liga se sont mise au travail pour s’offrir les services d’un charter qui permettra aux argentins de revenir en Europe dans la soirée du 15 octobre. Lautaro Martinez et Joaquin Correa atterriront directement à Rome, pour être aligné, le lendemain à 18h00, avec le reste de l’équipe sur le terrain de l’Olimpico. L’Argentine est engagée dans une série de trois rencontres importantes pour les qualifications pour la Coupe du Monde au Qatar 2022 et il s’agit donc d’un soupir de soulagement pour l’Inter, mais également pour l’Atalanta, Bologne, la Fiorentina et l’Udinese, qui auront à disposition Musso, Dominguez, Martinez Quarta et Molina. Reste juste à espérer qu’il n’y aura pas de blessures et que les joueurs seront préservés lors de la troisième rencontres ! ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  12. Alejandro Camano s’est livré sur le futur proche de Lautaro Martinez, lui qui fait l’objet de convoitises, notamment de clubs de Premier League et de la Liga: Son interview à Tyc Sports "Lautaro ne quittera pas l’Inter malgré les offres de l’Angleterre : Il est heureux et il aime l’Inter. La semaine prochaine, je rencontrerai le Club pour parler de la prolongation. Notre volonté est claire, mais tout dépendra aussi d’eux." ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  13. En date du 02 juillet 2021, le Conseil de La Lega a convenu à l’unanimité, que le calendrier de la Serie A Tim présentera une phase retour asymétrique comparé à la phase de match aller. Ce nouveau format est déjà en vigueur dans d’autres compétitions tel que la Premier League, la Liga, et la Ligue 1. Ce format présentera une innovation particulière parmi ceux qui l’ont déjà adopté, étant donné que les matchs retour seront dans un ordre totalement différent de celui des matchs aller, aussi bien au niveau de l’ordre des matchs, que pour la composition entière d’une journée de compétition. "La nouvelle formule offrira une meilleure distribution des rencontres, qui ne seront pas conditionnées par les contraintes présentes lors de la phase aller. Le seul critère imposé au tirage au sort sera qu’un match retour ne pourra pas être disputé qu’à une distance de 8 matchs comparé au match aller." Un Burn-Out à prévoir pour l’employé qui sera chargé d’établir le calendrier ? ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  14. Brand Finance a dévoilé son rapport 2021 relatif au classement de la valeur marchande des clubs de football. Le Real Madrid est à nouveau couronné comme le club étant le mieux valorisé, il est suivi par le Fc Barcelone et Manchester United. Les positions sont d’ailleurs restées inchangées comparée à 2020 Si l’on analyse uniquement la Serie A, aucun club ne figure dans le Top 10. Brand Finance assignant à la Juventus une valeur de 565 millions d’euros, soit une chute de 16% comparé à 2020. Elle est d’ailleurs la première équipe italienne de ce classement. On retrouve ensuite l’Inter à la 14ème place. La Beneamata a vu sa valeur chuter de plus de 18%, pour atteindre 381 millions d’euros contre 466 millions d’euros en 2020. Toutefois, l’équipe dispose d’une valeur d’entreprise à hauteur de 986 millions d’euros. Le Milan Ac connait la seconde perte la plus importante avec une chute vertigineuse de 35% en dégringolant de la sorte de 7 places au classement et pour pointer à 153 millions d’euros. En revanche, sa valeur d’entreprise a gagné 15% pour pointer à 338 millions d’euros. Les Rossoneri ne sont pas les seuls à connaitre une chute assez importante : -26% pour le Napoli qui pointe à 139 millions d’euros (-3 place). Il cale également en valeur d’entreprise pour pointer à présent à 423 millions d’euros. -40% pour la Roma qui passe 204 millions d’euros à 121 millions d’euros. -33% pour sa valeur d’entreprise pour pointer à 220 millions d’euros. -28% pour la Lazio qui pointe à 90 millions d’euros contre les 127 millions d’euros de 2020. A noter concernant le club laziale une augmentation de sa valeur d’entreprise : +19% (132 millions d’euros) Au total, les clubs de Serie A occupent la quatrième place en termes de valeur moyenne de leur marque (241 millions d’euros) Ils devancent seulement la France et sa Ligue 1 (76 millions d’euros de moyenne) dans le Top 5 des grands championnat. Devant les italiens, on retrouve : La Liga et ses 501 millions d’euros La Premier League et ses 394 millions d’euros La Bundesliga et ses 272 millions d’euros ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  15. En effet, deux journalistes du New York Times, Tariq Panja et Rory Smith ont procédé à la reconstitution de la rébellion emblématique des grands clubs européens. Une rébellion qui aura été gérée de main de maître par Aleksander Ceferin, le Président de l’UEFA, dont le but était de retrouver immédiatement une certaine normalité. Révélation de Calcio&Finanza Selon le quotidien américain, tout a débuté dans la journée du 15 avril, lorsque Javier Tebas, le Président de la Liga et Joan Laporta, le numéro un de Barcelone, se sont rencontrés afin de célébrer la victoire aux élections du second à la Présidence du Club catalan Mais au lieu de s’agir d’un moment festif, l’évènement a immédiatement pris une tournure déplaisante : Laporta avait informé Tebas que 12 clubs bien connus (parmi lesquels l’on retrouve l’Inter, la Juve et le Milan) allait donner vie à la Super League Dès cet instant, Tebas a immédiatement appeler Ceferin pour tirer la sonnette d’alarme, en provoquant un court-circuit entre les Managers, les Fédérations et les Clubs de toute l’Europe : Le Président de l’UEFA a sonné immédiatement à Andrea Agnelli, qui en sa qualité de Président de l’Eca, l’avait informé et rassuré la veille qu’il ne s’agissait purement et simplement de bruit de couloirs Agnelli, selon le New York Times, n’a pas répondu à Ceferin, qui est aussi le parrain de sa fille. Le Président européen avait d’ailleurs écrit à la compagne du Président de la Juventus en l’informant de l’urgence de la situation. En retour, Agnelli aurait finalement répondu qu’il n’y avait pas lieu de s’inquiéter. Ceferin suggéra alors de diffuser un communiqué conjoint, mais Agnelli lui avait demandé du temps : 30 minutes. Délai obtenu, selon le New York Time, Agnelli se mura ensuite dans le silence en se rendant indisponible Entre les journées du jeudi jusqu’au samedi, le cellulaire de Ceferin est toujours resté actif. Dimanche midi, le Président de l’Uefa avait eu vent des noms des 12 clubs : les anglais : Arsenal, Chelsea, Liverpool, Manchester City, Manchester City et Tottenham Hotspur; les italiens Inter, Juventus, Milan; les espagnols Atletico Madrid, Barcelone, Real Madrid Ceferin apprends également que les clubs n’ont pas joué le même rôle, et ils n'ont pas pesé de la même façon dans la balance Les Managers de City, de Chelsea, mais aussi de l’Atletico Madrid – par exemple, n’ont été seulement informé vendredi, de la tournure des évènement qui était désormais actée. Ils ont informé le Président de l’UEFA qu’ils n’ont eu qu’une seule journée pour se décider. De leurs côtés, le Bayern Munich et le Paris-Saint-Germain ont refusé d’y adhérer Pour être clair, celui qui a été le moteur principal est Florentino Perez, mais comme le New York Time l’explique, la zone de guerre combattue allait être celle d'Outre-Manche: Les clubs anglais, car sans eux, il était impossible de donner vie au projet Après la diffusion du communiqué parue dans la nuit de dimanche à lundi, Aleksander Ceferin a immédiatement téléphoné au Président de la Fifa Gianni Infantino, mais il s’est surtout et ensuite longuement entretenu avec Oliver Dowdne, le Responsable du Sport et de la Culture du Gouvernement anglais qui lui a assuré que l’Exécutif de Boris Johnson allait faire quelque chose pour bloquer cette initiative Ce n’est pas un hasard si le Premier Ministre est intervenu quelques instants après, à la télévision, pour se déclarer contraire à l’initiative. De plus, en coulisse, le Gouvernement Johnson a mis la pression sur Manchester City afin qu’il abandonne le projet, avant de passer à l’offensive, mardi, avec l’effet escompté sur les Blues d’Abramovich et sur les Citizens Les Citizens ont décidé de se retirer du projet, ce qui a fait vaciller tous les autres, en déclenchant ainsi l’implosion du projet, seulement 48heure après sa naissance Le reste de l’Histoire est connu : Les clubs se sont retiré et chacun s’est excusé. De plus certains dirigeants ont fait savoir qu’ils n’avaient pas été mêlé aux discussions. Si l’UEFA accueille de nouveau ses dissidents, il y aura quoiqu’il arrive des conséquences, voire des sanctions. Ceferin s’est donné le temps jusqu’à ce vendredi ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  16. S'exprimant dans une interview accordée à l'émission de radio de fin de soirée El Larguero, Pérez a admis qu'il était "triste et déçu" dont les choses ont tourné. The Guardian rapporte son interview. La Super League séparatiste s'est effondrée en raison de la férocité de l'opposition et du fait que l'un des clubs anglais, compris comme Manchester City, n'était pas pleinement engagé, selon Florentino Pérez. Le président du Real Madrid, qui a insisté sur le fait que le projet n'était pas mort, a affirmé que l'UEFA avait agi comme si les 12 clubs rebelles avaient "largué une bombe atomique", et a déclaré que les clubs de Premier League avaient perdu leur sang-froid. Il a également accusé les fans de Chelsea qui se sont rassemblés à l'extérieur de Stamford Bridge d'être des larbins. S'exprimant dans une interview accordée à l'émission de radio de fin de soirée El Larguero, Pérez a admis qu'il était "triste et déçu". Mais il a insisté sur le fait qu'aucun des clubs, dont, selon lui, chacun avait signé des contrats identiques contenant des clauses de pénalité pour retrait, n'avait officiellement quitté l'association et affirmait qu'ils continueraient à travailler pour trouver des "solutions". Il a nié que la Juventus et le Milan se soient retirés, a décrit Barcelone comme "en réflexion" et, à un moment donné, lors d'une longue apparition décousue et souvent contradictoire, a même déclaré que "les Anglais ne sont pas partis". "Il y avait un des clubs anglais qui ne semblait pas si intéressé que ça et cela s'est propagé au reste", a déclaré Pérez. "Ils ont signé le contrat mais on voyait déjà qu'ils n'étaient pas convaincus. Et puis l'avalanche a commencé, la Premier League 'chauffant les choses'. Ils ont dit: 'Nous allons nous retirer pour l'instant.' Il y avait un club dont vous pouviez dire qu'il n'était pas aussi intéressé, mais ils ont travaillé avec nous et se sont inscrits." Bien qu'il ait dit qu'il ne nommerait pas le club, quand on lui a demandé si c'était Manchester City, Pérez a déclaré: "Celui de Manchester a vu la campagne disant que cela tuerait les ligues, que cela ne permettra pas le mérite sportif, que c'était la fin du football. Il y a des gens qui ont des privilèges et qui ne veulent pas les perdre, même si cela ruine le football. Lorsque les Anglais m'ont appelé mardi, nous nous sommes rencontrés pour voir ce que nous pouvions faire. Ils ont essayé, mais ont dit: 'Écoutez, nous n'allons pas faire ça.'" Pourquoi les clubs anglais se sont retirés: "Parce qu'ils ont vu l'atmosphère. L'UEFA en a fait un spectacle. C'était comme si nous avions largué une bombe atomique. Peut-être que nous ne l'avons pas bien expliqué, mais ils ne nous en ont pas donné la chance. Pourquoi? Parce qu'ils ne voulaient pas que nous le fassions. Je n'ai jamais vu une telle agressivité; cela a été orchestré. Ils nous ont tués le lendemain. Ils nous attendaient. Je pense qu'ils savaient que nous allions le faire. Il y a eu des menaces, des insultes, comme si nous avions tué le football. Les propriétaires ne sont pour la plupart pas anglais. Ils ne sont pas là pour gagner de l'argent, ils ont des équipes en Amérique, ils aiment le sport et ils se sont retrouvés dans une position à laquelle ils ne s'attendaient pas. Ils sont vieux, ils ont eu peur.", a déclaré Pérez, qui a 74 ans. Pérez a également contesté la suggestion selon laquelle l'opposition aux plans était unanime. Interrogé sur les fans de Chelsea qui se sont rassemblés à l'extérieur de Stamford Bridge, il a répliqué: "Il y en avait 40 et si vous voulez, je vous dirai qui les a amenés là-bas." Quand il a été ramené à cette remarque plus tard, on lui a demandé de dire qui était celui qui avait planté les fans là-bas, il a fait référence aux t-shirts anti-super-ligue que la Liga avait arrangés pour que les joueurs portent avant cette journée en milieu de semaine, y compris le voyage de Madrid à Cadix. "Eh bien, la personne qui les a mis là", dit-il, pas tout à fait de manière cohérente. "Comme celui qui a organisé les T-shirts à Cadix. Le même, le même. Ce n'est pas normal." Pérez a déclaré que l'Atlético s'était retiré de la Super League "se sentant mal après avoir entendu tant de choses stupides". Il a également insisté sur le fait que le président de Barcelone, Joan Laporta, devait prendre la parole le lendemain de sa première intervention. "Ils ne lui ont même pas donné 24 heures pour le faire. Il a essayé, comme les Anglais l'ont fait. Je pense qu'ils étaient très fatigués de travailler dur juste pour qu'il y ait des problèmes. Il est impossible qu’en Angleterre, les six perdent de l’argent et les 14 gagnent de l’argent. En Espagne, les trois premiers perdent de l'argent et les autres gagnent de l'argent. Cela ne peut pas continuer; ce sont les riches qui perdent de l’argent." Pérez a déclaré que la Super League était "en attente", qu'il était certain qu'une compétition "très similaire" serait bientôt créée et que le groupe était ouvert à discuter d'idées avec l'UEFA et d'autres organismes: "Nous allons continuer à travailler. Nous recherchons des moyens d'y parvenir. Ce serait dommage de ne pas y arriver."
  17. Un groupe des clubs de football les plus riches et les plus capés du monde a convenu en principe d'un plan visant à créer une compétition interclubs européenne séparatiste qui, si elle se concrétise, bouleverserait les structures, l'économie et les relations qui ont lié le football mondial pendant près de un siècle. internazionale.fr vous livre la traduction intégrale de l'article paru dans le New York Times, "Top European Soccer Teams Agree to Join Breakaway League". Après des mois de discussions secrètes, les équipes séparatistes qui comprennent le Real Madrid et Barcelone en Espagne, Manchester United, Manchester City, Liverpool et Chelsea en Angleterre, ainsi que la Juventus et le Milan en Italie pourraient faire une annonce dès dimanche, selon plusieurs personnes connaissant les plans. La soi-disant super ligue sur laquelle ils se sont mis d'accord, une alliance de clubs de haut niveau plus proche des ligues fermées comme la NFL et la NBA que le modèle actuel du football, entraînerait la restructuration la plus importante du football d'élite européen depuis les années 50, et pourrait annoncer le plus important transfert de richesse à un petit groupe d'équipes dans l'histoire du sport moderne. Dans sa forme actuelle, le football européen complète le jeu de la ligue nationale avec des compétitions continentales comme la Ligue des champions. Les deux affectent des centaines de millions de dollars de revenus annuels de télévision et de sponsoring aux clubs les plus riches du monde, qui se qualifient régulièrement pour les joutes européennes en fonction de leur succès dans leurs propres ligues. Mais le format soutient également des équipes plus petites dans chaque pays, qui profitent de la brillance de leurs rencontres avec les géants et partagent l'argent que ces équipes rapportent aux diffuseurs. Le nouveau modèle de super ligue changerait cela, en isolant efficacement les clubs les plus riches dans leur propre compétition fermée et en leur permettant de se partager des milliards de dollars de revenus annuels. Selon les projections partagées avec les clubs potentiels plus tôt cette année, chacune des équipes pourrait gagner plus de 400 millions de dollars rien que pour sa participation, plus de quatre fois ce que le vainqueur de la Ligue des champions a remporté en 2020. Au moins 12 équipes se sont inscrites en tant que membres fondateurs ou ont exprimé leur intérêt à rejoindre le groupe séparatiste, dont six de la Premier League anglaise, trois de la première division espagnole et trois de l'Italie, selon les personnes au courant des plans. Les responsables du football européen ont agi rapidement pour essayer de le bloquer. La Premier League a condamné le concept dans un communiqué et a envoyé une lettre à ses 20 clubs membres les avertissant de ne pas y participer. Elle et les ligues d'Espagne et d'Italie ont tenu des réunions d'urgence du conseil d'administration ce dimanche. Les officiels de l'instance dirigeante du football européen, l'UEFA, ont qualifié la proposition d'une super ligue fermée de "projet cynique" dans une déclaration formulée et cosignée par la Premier League, la Liga en Espagne et la Serie A, ainsi que le fédérations de football de chaque pays. Mais l'UEFA prenait également cette menace au sérieux. Ses dirigeants ont passé le week-end à discuter des options pour bloquer le plan, notamment en interdisant potentiellement aux équipes séparatistes des ligues nationales et à leurs joueurs de concourir pour leurs équipes nationales dans des événements comme la Coupe du monde. Et cela a rappelé aux clubs séparatistes (et, effectivement, à leurs joueurs) que la FIFA et ses six confédérations avaient déjà fait une menace similaire. "Nous examinerons toutes les mesures dont nous disposons, à tous les niveaux, à la fois judiciaire et sportif, afin d'éviter que cela ne se produise", indique le communiqué de l'UEFA . "Le football est basé sur des compétitions ouvertes et sur le mérite sportif; il ne peut en être autrement." Néanmoins, l'UEFA a également commencé à contacter les législateurs de l'Union européenne, espérant que le bloc serait en mesure de renforcer son poids dans la préservation du statu quo. Et la Premier League, la Liga et la Serie A ont toutes tenu des réunions d'urgence du conseil d'administration ce dimanche. Les équipes engagées dans le plan de la super ligue sont, pour le moment, limitées à près d'une dizaine de clubs d'Espagne, d'Italie et d'Angleterre. Une cohorte de six équipes de la Premier League - United, Liverpool, Manchester City, Arsenal, Chelsea et Tottenham - représente le plus grand groupement d'un seul pays. L'Atlético Madrid est l'autre équipe espagnole qui aurait approuvé le projet, tandis que les rivaux milanais l'Internazionale et le Milan AC rejoindraient la Juventus en tant que représentants de l'Italie. Mais les dirigeants du groupe séparatiste ont tenté de convaincre d'autres équipes de premier plan, comme le Bayern Munich et le Borussia Dortmund ainsi que le champion de France, le Paris St.-Germain, de s'engager. Mais à ce jour, ces clubs et d'autres ont refusé de tourner le dos aux structures nationales et des compétitions continentales qui sous-tendent le football européen depuis des générations. Le PSG, par exemple, a été invité à la rejoindre mais a jusqu'à présent résisté aux ouvertures. Son président, Nasser al-Khelaifi, siège au conseil d'administration de l'UEFA et dirige également beIN Media Group, la chaîne de télévision basée au Qatar qui a versé des millions de dollars à l'UEFA pour le droit de diffuser les matchs de la Ligue des champions. Le New York Times a contacté un certain nombre de clubs impliqués dans les plans séparatistes, mais tous ont refusé de commenter ou n'ont pas répondu. Mais la Premier League a écrit à ses 20 clubs après une réunion du conseil d'administration dimanche, les avertissant que les règles de la ligue des clubs interdisent de se joindre à des compétitions extérieures sans approbation et les exhortant à "s'éloigner" de cette idée. "Cette entreprise ne peut pas être lancée sans les clubs anglais et nous appelons tout club envisageant de s'associer ou de rejoindre cette entreprise à se retirer immédiatement avant que des dommages irréparables ne soient causés", a-t-il déclaré dans une lettre aux équipes. Le moment choisi pour les nouvelles de dimanche semble avoir éclipsé le projet de l'UEFA de ratifier lundi une Ligue des champions (encore) modifiée. Cette compétition serait décimée par le départ de ses plus grosses équipes. Les répercussions d'une scission entre le football européen et ses clubs les plus connus, les mieux suivis et les plus riches seraient sismiques pour toutes les parties concernées. Sans les meilleures équipes, l'UEFA et les ligues seraient confrontées à des demandes de remboursement de millions de dollars de la part des diffuseurs qui paient des milliards pour les droits télévisés des tournois. Les clubs perdraient des sources de revenus qui pourraient paralyser leurs budgets alors que le football européen continue de sortir de l'épave financière causée par le Covid-19, et toute interdiction de jouer en équipe nationale pourrait affecter leur capacité à recruter les meilleurs talents. Parmi les équipes les plus notables impliquées dans le groupe séparatiste se trouve la Juventus, le champion italien en cours. Son président, Andrea Agnelli, dirige également l'European Club Association, un organisme qui regroupe plus de 200 clubs de première division, dont la majorité sera exclue de la Super League proposée. Il est également membre du conseil exécutif de l'UEFA. Lorsqu'on lui a demandé cette année par le Times de discuter de son rôle dans les discussions d'une ligue séparatiste, Agnelli a balayé l'idée comme une "rumeur". Pourtant, selon des documents examinés par le Times en janvier, les plans de la ligue séparatiste s'étaient accélérés depuis l'été. Les meilleurs clubs ont cherché à profiter de l'incertitude dans l'industrie du football causée par la pandémie pour tracer une nouvelle voie qui leur assurerait une certaine stabilité financière, mais qui conduirait presque surement à une perte de valeur et de revenus significative et potentiellement dévastatrice pour les équipes exclues du projet. Chacun des futurs membres permanents de la super ligue proposée se voit promettre 350 millions d'euros, soit 425 millions de dollars, pour s'inscrire, selon les documents. Dans le cadre des propositions examinées à l'époque, la super ligue, qui disputerait ses matchs au milieu de la semaine, cherchait à obtenir 16 franchises de football de haut niveau en tant que membres permanents et à ajouter quatre qualifications via les compétitions nationales. Les clubs seraient divisés en deux groupes de 10, les quatre meilleures équipes de chaque groupe se qualifiant pour les huitièmes de finale, aboutissant à une finale qui aurait lieu un week-end. L'événement générerait, selon les documents, des centaines de millions de dollars de revenus supplémentaires pour les équipes participantes, qui sont déjà les clubs les plus riches du sport. (Une version alternative du plan proposait 15 membres permanents et cinq places qualificatives.) Le groupe avait entamé des discussions avec JPMorgan Chase & Co. pour lever le financement du projet, selon des personnes connaissant le sujet. La firme a jusqu'à présent refusé de commenter. L'UEFA a trouvé un allié puissant contre ces projets, la FIFA. La FIFA a averti que tout joueur qui participait à une telle ligue non autorisée serait interdit de participer à la Coupe du monde. Cette déclaration est intervenue après que le président de l'UEFA, Aleksander Ceferin, ait demandé le soutien de son homologue de la FIFA, Gianni Infantino, alors que les spéculations croissantes voulaient que l'échappée bénéficierait du soutien de la FIFA. Les dirigeants européens du football se sont blottis au téléphone et lors de vidéoconférences pendant le week-end pour forger une contre-attaque. Cependant, trouver une solution à la perte potentielle des plus grandes marques du football n'est pas une tâche facile. La Premier League, par exemple, perdrait une grande partie de son éclat (et presque certainement une grande partie de l'attrait commercial qui en a fait la ligue la plus riche du football) si elle décidait de bannir ses six meilleures équipes. En tant que clubs appartenant à leurs membres, Barcelone et le Real Madrid auraient probablement besoin du soutien de milliers de leurs supporters avant de se joindre officiellement, et tout club allemand qui accepterait de participer serait confronté à des obstacles similaires. Tous peuvent s'attendre à une forte opposition interne; des groupes de supporters de toute l'Europe avaient déjà exprimé leur opposition depuis que les détails des plans pour une super ligue sont apparus plus tôt cette année.
  18. C’est une information en provenance de Tuttosport : Nicolò Barella est dans la ligne de mire de la plupart des grands clubs européens. Toutefois, toutes les demandes se sont vu voir une fin de non-recevoir Indispensable pour Antonio Conte Lors de la dernière journée, Barella était suspendu face à Cagliari, mais il s’agissait là de son unique absence : Importante certes, car il ne dispose pas d’un alter-égo malgré la profondeur du banc Nerazzurro. Au total, il a disputé 39 rencontres sur les 40 possible. Il en a disputé 35 comme titulaire et il comptabilise 3540 minutes de jeu, si l’on prend en considération la prolongation en Coupe d’Italie face à la Fiorentina. Depuis cette arrêt forcé, Barella reviendra avec plus d’énergie pour le sprint final, celui qui le portera au Scudetto : Antonio Conte ne peut pas se passer de son apport, à commencer par la rencontre fondamentale de ce dimanche soir face au Napoli Entre prolongation et brassard La propriété l’a déjà verrouillé depuis un certain temps avec un contrat de 2,5 millions d’euros jusqu’en juin 2024. Mais l’intention du club est celle d’aller bien plus loin que l’accord déjà établi, en le prolongeant et en l’augmentant peut-être jusqu’en juin 2026. Vu l’importance du joueur, il pourrait percevoir aux alentours de 4 millions d’euros. Vu l’espace occupé et la considération qu’il est parvenu à s’offrir en si peu de temps à l’Inter, le définir comme Capitan Futuro n’est pas un hasard : Si le brassard est solidement attaché au bras de Samir Handanovic, pour demain, il pourrait être porté par le milieu de terrain sarde et/ou Milan Skriniar qui sont les principaux candidats à ce lourd héritage De façon objectives, les prestations de l’Azzurro en Nerazzurro font qu’il fait l’objet de convoitise dans toute l’Europe : Dernièrement l’Inter a rejeté les approches en provenance d’Espagne : Du Fc Barcelone et de l’Atletico Madrid, mais des clubs telles que Tottenham en Premier League et le Bayern en Bundesliga ont également fait part de leur intérêt Pensez-vous que l’Inter parviendra à conserver son diamant brut ? ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  19. Le report d’Inter-Sassuolo est sujet à énormément de polémiques, à la suite de la décision de l’ATS de Milan d’interdire la rencontre: Nombreux sont ceux qui tirent à boulet rouge en établissant une comparaison avec Juventus-Napoli, mais la situation est différente, à telle point que la Lega a ordonné le report de la rencontre "Le Président de la Ligue Nationale Professionnelle de Serie A a ordonné le report, à une date à définir, de la rencontre Inter-Sassuolo programmée le samedi 20 mars à 20h45, valide pour la 9ème journée retour du Championnat de Serie A Tim." Mais pourquoi Juventus-Napoli et Lazio-Torino ont fait l’objet d’un jugement différent qu’Inter-Sassuolo ? Voici les explications du Corriere Della Sera: "Dans ces deux cas, il n’existait aucun accord entre les deux clubs de reporter la rencontre et la Lega n’avait pas ordonné le report. Dans le cas de Lazio-Torino, ce fut le Conseil lui-même, convoqué en urgence le jour de la rencontre (le 2 mars), qui a refusé ce report à l’unanimité." "Suite à l’absence de l’adversaire, la Juventus s’était présentée au Stadium, tout comme la Lazio, il y a 16 jours. Mais cette fois-ci, Sassuolo a déjà fait savoir qu’il ne se présenterait pas à Milan en avalisant le report." Pourquoi la Lega a-t ’elle validé le report sans exiger l’application stricte du protocole ? "En octobre, le monde industriel du ballon rond avait délibéré pour adopter cette saison, la formule proposée par l’UEFA qui voyait la possibilité de disputer un match avec 13 joueurs disponiblse, gardien inclus." "Pour déroger à cette règle, chaque club a la faculté, en cas de cluster présentant plus de dix positivités en une semaine, de faire usage d’un joker pour reporter la rencontre : Cette dérogation est admissible qu’a une seule reprise sur la saison." "Il existe toutefois une exception aux règles établie et qui a été approuvée par les clubs eux-mêmes: Cela ne doit pas porter préjudice aux mesures prises par les autorités d’état ou locale." Quand aura lieu le match ? "Dans son communiqué, la Lega a reporté la rencontre à une date à définir. Il n’y a pas d’indications précise sur le jour même si les clubs opteraient pour le 7 avril à 21h00. Un horaire où se dispute la Ligue des Champions, mais aussi des matchs en retard de Premier League et de la Liga. [….] Dans tous les cas, la rencontre opposant Bologne à l’Inter du 3 avril reste maintenue, sans si et sans mais." ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  20. Hiba Abouk, l’épouse d’Achraf Hakimi s’est livrée à la Gazzetta Dello Sport sur les performances de son ailier de mari Comment avez-vous connu l’Inter ? "Je me veux plonger dans cette famille, mais je n’y suis pas encore parvenue. J’ai seulement vu deux matchs au Meazza avant la fermeture totale. Ici, Achraf est énormément lié à Lautaro et moi, à sa fiancée Agustina." Comment avez-vous vécu l’appel de l’Inter ? "Nous en avions discuté en Famille, mais la décision revenait à Achraf : On parle de sa carrière. Il voulait un club où pour s’épanouir et il l’a trouvé. Je reconnais que lorsque j’ai entendu "Milan", mes yeux se sont illuminés : j’adore ce pays." Comment Achraf vit cette expérience italienne ? "Lorsqu’il revient à la maison, il fait le compte de ses erreurs…Pour moi, c’est le meilleur du monde à son poste, mais il doit travailler et il a encore tant à améliorer: C’est pour cela que Conte est l’entraîneur idéal pour extraire le meilleur de lui-même." "En Espagne, on dit qu’il est comme une bague au doigt, il s’adapte facilement. J’entends ce que l’on dit sur mon mari : Il est intelligent, exigeant, préparé. Achraf est tant épanoui et s’il a choisi l’Inter, c’est aussi pour Conte." Etes-vous surprise par ses premières contre-performances ? "Un peu, même s’il faut reconnaître qu’il découvre à peine la Serie A. Jusqu’à hier, j’étais une spécialiste de la Liga et de la Bundesliga. Il lui faut un peu de temps, mais au final, il récoltera le fruit de ses efforts." Une qualité et un défaut de votre mari..... "Achraf est comme sur le terrain : Généreux et un peu impatient : Je suis empathique grâce à mon travail, il faut apprendre que la perfection n’existe pas." L’Inter devra être parfaite face au Real : Est-ce que le match dans votre cœur sera madrilène ? "C’est seulement particulier pour Achraf. Cela fait quelque jours que l’ambiance est différente à la maison, il veut se racheter." Qu’aurait-il fait s’il n’avait pas choisi le football ? "Boxeur: Il aime la Boxe et Muhammad Ali est son mythe : Il lui a enseigné qu’il faut toujours se relever." ®Antony Gilles - Internazionale.fr
  21. Marcelo Brozovic est un joueur sujet à polémique, si ces déboires extra-sportifs ne font pas de lui le gendre idéal, il semble à présent que son aventure interiste connaisse un second (et définitif ?) recul... Il y a quelques années, alors qu’il était prêt à embarquer vers la Liga, Luciano Spalletti, avait mis son véto et avait replacé dans le dispositif de l’Inter, le croate au point d’en faire son architecte. Si l’année dernière, il soufflait le bon que le moins bon, cette saison semble être celle du couperet L’analyse de Daniele Mari "L’Inter, face à Milan, a manifesté d’évident problèmes d’équilibre tactique. Mais il y a un joueur qui, plus que les autres, est sujet à de grandes préoccupations. Un joueur qui malgré l’attention continue des médias envers Christian Eriksen, est devenu un cas de déchéance : Marcelo Brozovic." Transférable "L’été de Brozovic, en dehors du terrain, s’est avéré assez compliqué. Tout à débuté lorsque le club a échangé avec son agent, celui-ci était à la recherche d’une revalorisation salariale étant donné les offres arrivées de toute part pour son client. La réponse de l’Inter a marqué aussi bien le joueur que son entourage : Vous avez des offres ? Très bien. Montrez-les-nous et nous allons les évaluer ensemble." "Dès cet instant, Brozovic a compris qu’il était sorti de la liste des joueurs intransférables, lui qui y était entré depuis son explosion sous Spalletti dans un rôle de « Regista » en retrait. Dans cette liste, Brozovic n’y est plus jamais rentré. Durant l’été, l’Inter n’a jamais songé à le vendre, mais elle ne l’aurait jamais mis en sourdine en cas d’offre attrayante. Ce qui n’est jamais arrivé." Perte de confiance "Brozovic est apparu à visage découvert sur les réseaux sociaux, en démontrant d’une façon anormale son amour pour l’Inter (Il utilise en effet Instagram pour plaisanter). Sa volonté de rester à Milan a toutefois était marquée par certains épisode extra sportif, des épisodes qui ont renforcé l’intention de l’Inter de se passer de lui." Une intention explicite confirmée par Piero Ausilio en septembre dernier: Brozovic ? C’est un joueur important de l’Inter. S’il devait arriver quelque chose qui vienne à satisfaire Brozovic, nous serons disponible pour l’écouter. A présent, il doit penser à l’Inter, le reste dépendra de lui et des autres, pas de nous." Le Directeur Sportif Nerazzurro ne pouvait pas se montrer plus claire : Présentez vos offres et nous ne fermerons pas la porte." Futur en pointillé "Finalement, des offres alléchantes annoncées, aucune n’est arrivé au siège et l’Inter a conservé le croate qui n’est plus le pivot de l’équipe. Brozovic, de part son comportement extra-corporel, un comportement similaire également à celui d’Eriksen, est redevenu celui qu’il était avant Spalletti : Lymphatique sur le terrain avec ses bras toujours prêts à virevolter en l’air pour se lamenter envers les arbitres ou ses équipiers, faisant preuve d’une mauvaise attitude dans le pressing, laissant des gouffres sans surveillance au milieu du terrain." "Mais par-dessus tout, il propose une attitude générale qui n’est ni bénéfique pour lui, ni pour l’équipe. Dans un football qui propose 5 remplaçants, parler de titulaire indiscutable est quasi devenu erratique : Chacun aura sa change, chacun aura du temps de jeu, surtout à ce poste. Celui devant la défense même si l’Inter ne dispose pas d’une certaine abondance à ce poste." "Brozovic et Antonio Conte se parlent, à de nombreuses reprises, car la version proposée est loin du Croate Epic que nous connaissons bien et il pourrait représenter un très gros problème pour la saison de l’Inter. L’Inter a besoin d’un Brozovic qui fait tourner l’équipe, s’il ne rentre plus des joueurs intransférable, il lui est encore possible de rentrer dans la liste des présumés titulaire, ce qui sera déjà en soit quelque chose : Pour sa confiance et pour la saison Nerazzurra." Antonio Conte était-il un visionnaire lorsque, durant l’été, il avait demandé le recrutement de N’Golo Kanté. Pensez-vous que l’avenir de Marcelo Brozovic soit déjà scellé ? Lui qui pourrait et qui devrait être mis en concurrence directe, pour ce même poste, avec Stefano Sensi qui ne cesse de briller avec la Squadra Azzurra ? Marcelo Brozovic pourrait-il être l’élément déterminant de ce début de saison raté ? Exprimez-vous ! ®Antony Gilles - Internazionale.fr
  22. Leo Messi et l’Inter, un mariage impossible, mais dans le monde du Calcio, rien n’est impossible. L’Inter ne souhaite pas faire de fausses promesses à ses tifosi et a donc tiré le frein à main : "Celui qui décide, c'est le numéro 10 argentin." Le Barça l’a mauvaise En effet, selon le Corriere Della Sera, le Fc Barcelone est "irrité" suite à la projection de l’ombre de Messi dans le cadre de la publicité proposée par le Suning et PP Sports. Un comble lorsque l’ont connait les pratiques employées généralement par les Catalans. "Le club catalan est très irrité, non pas pour l’ombre de Messi reprise avec son nom et son numéro, mais bien plus pour le logo de l’Inter placé sur le maillot de la Pulga. La haute direction du Club catalan a donc rappelé les chinois, en les menaçant d’une plainte pour violation des droits d’image. S’il n’y aura pas d’action en justice, l’avertissement est arrivé." Nulla e Impossibile Per Questa Inter En effet, il y a 22 ans, qui aurait misé un centime sur l’arrivée d’Il Fenomeno Ronaldo à Milan en provenance de… Barcelone ? Comme le souligne le Corriere, la seule issue possible pour Messi, en cas de départ de Catalogne, c’est Milan. L’Inter pourrait réaliser un coup exceptionnel comme fut celui de Ronaldo. Outre les nombreux avantages de résider en Italie, le retour en image pour la Marque Suning serait exceptionnelle. "Messi à l’Inter est une opération à hauteur de 500 millions d’euros. Le joueur est âgé de 33 ans et son contrat prendra fin en juin 2021, cet ultime contrat de sa carrière lui offrira 50 millions d’euros net par an." En Italie, grâce au Décret Croissance, l’opération sur la base d’un contrat de 4 ans à 50 millions d’euros par saison ne pèserait "que" 260 millions d’euros. A cela, il y a lieu d’ajouter, en cas d’intervention immédiate, la valeur du joueur sur le marché du transfert, soit hypothétiquement 150 millions d’euros, bonus et commissions comprises. Une situation difficile mais… Le comportement de Zhang et du Suning trahit les déclarations de Beppe Marotta C’est une révélation de la Gazzetta Dello Sport: "Au fond, sur la question Messi, il y a lieu de voir si on se fie aux déclarations d’Antonio Conte pour qui, il serait plus facile de déplacer le Duomo que de voir Messi à l’Inter." La Rosea rappelle également le jeu de dupe proposé par Marotta, lorsque, alors Dirigeant de la Juventus, des rumeurs faisaient état d’un intérêt pour Cristiano Ronaldo... Messi-Ronaldo Le point de départ est différent :"Le lien entre Leo et Barcelone n’est pas le même que celui qui liait Cristiano et le Real Madrid." Toutefois, il y a lieu de constater de nombreuses et récentes frictions entre l’Argentin et le Président du club catalan Josep Maria Bartomeu. Autre point important : Ronaldo a coûté 100 millions d’euros à la Juve en étant âgé de 33 ans. Messi pourrait signer gratuitement à l’été 2021. Salaire et coûts En établissant un parallèle entre Messi et Ronaldo, le salaire de l’argentin serait supérieur à celui du Portugais. Sur la base du Décret Croissance, l’Inter aurait la possibilité de transformer les 50 millions d’euros net annuel destinés à la Pulga en un coût brut de 65 millions d’euros par saison, soit une somme légèrement supérieure au 58 millions de CR7 à la Juve. L’arrivée du portugais à la Juve a vu une augmentation des recettes du stade et du marketing à hauteur de 58 millions d’euros, sans parler des renégociations avec les sponsors les plus importants tel qu’Adidas et Jeep. Il semblerait donc difficile de penser que cette situation ne pourrait pas se reproduire avec Messi Effet MESSI Comme le souligne la Rosea: "Leo serait un multiplicateur. Aujourd’hui, c’est un rêve, c’est sur. Ce qui est également sur, c’est que l’ombre qui s’est révélée sur le Duomo est un exemple de l’engagement de la PPTV, la télévision de Suning." Il est également vrai que la Famille Zhang est à la recherche de personnalités mondiales, capable de donner une valeur ajoutée à la marque Inter, qui est encore hors du Top 10 Mondial. (A la 14ème place pour être précis selon Brandfinance) La Gazzetta Dello Sport met aussi en évidence qu’avant la fin de validité de la clause octroyant un départ gratuit de Messi cette saison, en cas d’intervention unilatérale de sa part avant le 31 mai, l’Inter s’était informée sur la faisabilité de l’opération, démentant de fait la dernière sortie de Giuseppe Marotta. Enfin selon Tuttosport, le Clan Messi n’aurait que très peu apprécié l’idée mise en place par le Suning de le diffuser sur le Duomo. Si la transaction semble actuellement impossible, une réélection de Bartomeu l’année prochaine à la tête du club catalan pourrait faire sauter la prolongation du contrat du numéro 10 argentin…. Et là….. Le Saviez-vous ? Messi n'est pas allé à Milan depuis longtemps. Il a très souvent arpentées les rues milanaises entre 2010 et 2014. S'y rendant pour le shopping, du sponsoring et des amitiés, celles-ci ont toujours perduré dans le temps. S'il est un "Grand Maître" qui était présent à chacune de ses visites milanaises, son identité a été révélée... En effet, celui-ci est le rejeton d'un célèbre entraîneur italien Champion du Monde en 2006 : Marcello Lippi. Davide est un agent de footballeurs et à l'automne 2010, via son groupe Reset, il s'est retrouvé à la base du contrat entre le numéro 10 argentin et les designers Domenico Dolce et Stefano Gabbana. A cette époque, cette marque était un Must pour tout footballeur et si Messi n'avait que 23 ans, il avait remporté le Ballon d'Or en 2009. Davide Lippi et son champion ont noué, outre les relations professionnelles, une amitié qui perdure encore... Selon l'agence sportive Agipronews, la cotation de voir partir Leo Messi est entrain de fondre comme neige au soleil chez les Bookmakers. Un transfert du sextuple Ballon d'Or en Lombardie représente 3,50. Paris et Manchester sont à 8,00. Liverpool et la Juventus à 12 et Manchester United et le Bayern à 15. Revivre le Duel Ronaldo-Messi en Serie A chacun évoluant chez les deux rivaux Historiques du Calcio, vous seriez preneur ? ®Antony Gilles - Internazionale.fr
  23. Le Fc Barcelone a de quoi faire la gueule : Le Real Madrid est devenu Champion d’Espagne et Manchester City, acquitté par le Tribunal Arbitral du Sport, est sur le point de faire sauter la banque lors du prochain mercato à venir. Lautaro dans le viseur Comme le confirme Tuttosport, Lautaro Martinez est courtisé par les plus grands clubs d’Europe. Si durant toute une période le Fc Barcelone était seul sur le coup, il devra faire face au Manchester City de son ex mentor : Pep Guardiola! "Lautaro Martinez reste l’objet du désir de nombreux grands clubs européen. Aux catalans, on peut y ajouter le Real Madrid, mais surtout Manchester City. Il est vrai que plus le temps passe, plus l’Inter aimerait conserver le Toro, le tout aussi à la demande de Conte, mais qui sait si les millions proposés par City pourrait redistribuer les cartes sur la table." Barcelone cale "Barcelone, jusqu’à présent n’a jamais eu la force économique de payer la clause libératoire de 111 millions d’euros, ni même de se rapprocher de la demande de l’Inter : 90 millions d’euros minimum + une contrepartie importante." "En Espagne, on reste convaincu qu’une fois quelques joueurs cédés, il sera possible de recruter le joueur, même si la Liga pense à conclure sa fenêtre du mercato entre le 31 août et le 7 septembre." Pep est dans la place Le Tas, ayant acquitté City, a permis à celui-ci d’avoir les mains libres pour investir et miser sur des grands noms afin de renforcer l’équipe de Pep Guardiola: "Un entraîneur qui estime depuis longtemps énormément le Toro, lui qui le considère depuis des années comme le vrai hériter d’Aguero." "City n’aurait aucun problème à proposer une offre supérieure aux 100 millions d’euros, mais il pourrait aussi insérer des éléments intéressants tel que le latéral gauche Angelino, auteur d’une belle saison à Leipzig, ou Gabriel Jesus, un attaquant qui a toujours été repris sur le carnet de route de Piero Ausilio, le Directeur Sportif. Un joueur qui verrait son temps de jeu inévitablement réduit avec Aguero et Lautaro dans le noyau." A choisir, en cas de départ acté du Toro Argentin, êtes-vous plus pour Barcelone ou pour Manchester City ? ®Antony Gilles - Internazionale.fr
  24. C’est une révélation de Gianluca Di Marzio. Selon les informations en sa possession, Javier Tebas, le Président de la Liga prévoit, dans un laps de temps relativement court, de limiter les investissements dans son championnat, au détriment de ces trois principaux clubs : Barcelone, l'Atletico Madrid et le Real Madrid. Résumé de l’article paru dans La Gazzetta Dello Sport Depuis que les clubs espagnols ont demandé de l’aide au Gouvernement afin de faire face aux conséquences de la Pandémie Covid-19, le Président de la Liga, Javier Tebas, a pensé à établir une norme qui va réguler les acquisitions des clubs ibériques. En pratique, les clubs pourront réinvestir, en fonction de l’état de leurs comptes, une faible partie de ce qu’ils auront réalisé comme vente. Fait important, les échanges de joueurs en seront exclus, et ce afin d’éviter tout subterfuge financier. Cas concret : pour clarifier cette situation, l’échange éventuel entre Pjanic et Arthur ne pourrait donc pas rentrer en ligne de compte dans le cadre de la transaction relative au transfert de Lautaro Martinez. La décision de Tebas est d’établir une ligne de conduite destinée à éviter toute crise économique parmi les clubs du championnat espagnol. En somme, le Fc Barcelone pourrait faire une croix sur Neymar et si l’on prend en considération la clause libératoire de Lautaro Martinez, il semble également compliqué de voir l’argentin quitter Milan. Les Grands d’Espagne, directement concernés par cette mesure, souhaitent faire entendre raison au Président de La Liga afin qu’il n’impose pas de limitation aux investissements. La Rosea nous informe que pour trouver les fonds nécessaires au recrutement de Lautaro, le club de Culés serait contraint de vendre des joueurs représentant une valeur importante, tels que Coutinho, Semedo et même Griezmann. Nouvelle douille italienne en préparation Comme l’a confirmé Luca Marchetti à Sky Sport, l’Inter ne compte pas revoir à la baisse la valeur de Lautaro Martinez après le 7 juillet : "L’Inter a toujours dit que Lautaro partirait seulement via l’activation de la clause libératoire à exercer d’ici le 7 juillet. Après cette date, les cartes sur la table seront redistribuées et l’Inter pourrait demander bien plus que les 111 millions d’euros." Il Padrino contre-attaque Comme le révèle le Corriere Dello Sport, Giuseppe Marotta et Piero Ausilio, ont proposé une prolongation de contrat à Lautaro. Son salaire pourrait, à minima, passer à 5,5 millions d’euros avec des bonus à insérer. Il semble toutefois difficile d’arriver au 7 millions d’euros plus bonus octroyés à Romelu Lukaku et Christian Eriksen. Si l’opération vient à se concrétiser, l’idée est de soit parvenir au retrait de la clause libératoire, soit de la plafonner pour une somme bien plus importante accompagnée d’une promesse que les offres qui se présenteront à l’Inter, dans un an, seront entendues. Si les informations relayées par Gianluca Di Marzio et La Gazzetta Dello Sport s'avèrent correctes, dans la pratique, les trois clubs historiques espagnols ne pourront investir "que" 25% de leur ventes. Validez-vous l'idée de génie proposée par Javier Tebas ? Pensez-vous que celle-ci serait également utile et intéressante pour le Calcio ? ®Antony Gilles - Internazionale.fr
  25. Javier Tebas s’est livré sur les antennes de la RAC1, en excluant toute opération indécente lors du prochain mercato espagnole. Toutefois, le Président de la Liga compte voir les équipes espagnoles se renforcer par le biais d’échanges. Clubs échangistes "Je crois qu’il s’agira d’un mercato d’échanges, je ne pense pas que nous verrons de grandes transactions." Neymar ou Mbappé ? "Cela me plairait, mais la situation est celle qu’elle est. L’argent n’est pas à investir sur le mercato et il faudra attendre au moins une paire d’année, pour le réinvestir sur le mercato. Manchester City, Paris et Newcastle pourront faire vivre le mercato d’une façon qui ne me plait en rien. Je ne crois pas que nous surmonterons le palier des 800 millions d’euros au total." Ronaldo ? "Je sais que je vais me mettre les tifosi du Real sur le dos, mais son départ n’a quasiment eu aucun impact sur notre football. Si Messi viendrait à quitter Barcelone, pour aller évoluer dans un autre championnat, là on ressentirait la différence." Mise au point Nerazzurra avec Lautaro La Gazzetta Dello Sport s’est donc penché sur l’axe Inter-Barcelone, un axe qui devrait prendre fin au 8 juillet. En effet, à partir de cette date, Barcelone n’aura plus la possibilité d’acquérir Lautaro pour 111 millions d’euros, l’Inter reprenant les pleins pouvoirs. "S'il y a un mois les discours entre l’offre et la demande étaient de 20 millions d’euros (90 contre 70), à présent les parties sont bien plus distantes. Le Camp Nou a voulu changer les termes de l’opération en se concentrant sur un super versement. Impossible donc de pouvoir poursuivre un dialogue réaliste et il semble difficile de croire que les choses changeront dans les 18 prochains jours." "L’Inter n’entend certainement pas rester les mains dans les poches. Marotta et Ausilio se sont montrés clair avec Lautaro Martinez. S'ils ont pris acte que la volonté du Toro était de jouer avec Messi, ils lui ont également confirmé que son départ sera lié à la valeur de la Clause Libératoire." Les problèmes financier catalans favorisent donc la permanence du joueur à l’Inter, qui étudie à présent, la possibilité de renouveler son contrat qui prendra fin en 2023. Pour être clair, les représentants du Toro pourraient recevoir, dès le 8 juillet, un appel de l'Inter. Dans les plans du Club, Martinez mérite une revalorisation salariale, lui qui perçoit actuellement un salaire annuel de 1,5 millions d’euros. ®Antony Gilles - Internazionale.fr
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