Aller au contenu

Rechercher dans la communauté

Affichage des résultats pour les étiquettes 'ligue de champions'.

  • Rechercher par étiquettes

    Saisir les étiquettes en les séparant par une virgule.
  • Rechercher par auteur

Type du contenu


Forums

  • La Communauté
    • Présentations
    • Vos Déplacements
    • La Curva du Forum
    • Annonces & Support
  • F.C. Internazionale
    • Le Club
    • Effectif
    • Transferts & Rumeurs
    • Les Matchs
  • Football en général
    • Calcio
    • Coupe d'Italie
    • Coupes d'Europes
    • Autres championnats
    • Les Equipes Nationales
    • Les Débats
    • Autres Sports
  • Contact et inscriptions de Inter Club Paris
  • Le QG : La Taverne des Korrigans de Inter Club Paris
  • Photos de Inter Club Paris
  • Le QG Casablanca : Café place des gameurs de Inter Club Morocco
  • Le QG Rabat : Café Nostalgia de Inter Club Morocco

Catégories

  • F.C. Internazionale Milano
  • Mercato
  • Interviews
  • Serie A
  • Coupes d'Europe
  • Nos Dossiers
  • Football

Catégories

  • Gardiens
  • Défenseurs
  • Milieux
  • Attaquants

Calendriers

  • Amicaux
  • Serie A
  • ICC
  • Coupe d'Italie
  • Ligue des Champions
  • Ligue Europa
  • Inter Women

Fonctionnalités

Catégories

  • Carte du Monde des Nerazzurri

Rechercher les résultats dans…

Rechercher les résultats qui…


Date de création

  • Début

    Fin


Dernière mise à jour

  • Début

    Fin


Filtrer par nombre de…

Inscription

  • Début

    Fin


Groupe


Ville


Joueurs

13 résultats trouvés

  1. Le gardien de l'Inter André Onana a reconnu que ses tout premiers pas pour les Nerazzurri ressemblait à un "rêve devenu réalité"! S'exprimant sur la chaîne YouTube officielle du club, via FCInterNews, le Camerounais est revenu sur ses tout premier pas à l'Inter et sur ce que cela signifiait pour lui. Onana a rejoint l'Inter depuis l'Ajax l'été dernier, le joueur de 27 ans ayant été désigné comme le successeur à long terme de Samir Handanovic dans le but des Nerazzurri. Le club fait beaucoup confiance à Onana, et la tâche de remplacer un joueur comme Handanovic était susceptible d'avoir beaucoup de pression. Le Camerounais a montré qu'il était à la hauteur de la tâche, s'installant rapidement et prouvant son aptitude au rôle de gardien numéro un à l'Inter. Le processus d'acclimatation a été assez rapide pour Onana, même s'il n'a pas été titulaire puisque pendant les premières semaines de la saison, Handanovic a conservé sa place de titulaire. Onana a eu une chance a saisir lorsqu'il à été titulaire contre le Bayern Munich en Ligue des Champions, a partir de cette rencontre, il à joué chaque minute dans cette compétition jusqu'à présent en s'appropriant rapidement une place de titulaire en Série A également. "J'étais ravi", a déclaré le joueur de 27 ans à propos de sa première titularisation en compétition pour les Nerazzurri, "nous jouions contre le Bayern." "Nous avons perdu 2-0, mais j'étais content d'avoir joué pour un si grand club à ce niveau, c'était un rêve qui devenait réalité". Lorsqu'on lui a demandé qui était son idole au football, Onana a répondu : « Bonne question. Ayant grandi au Cameroun, j'ai toujours pensé que Roger Milla était le meilleur au monde. "Nous avons une excellente relation, il m'a beaucoup aidé lorsque je suis arrivé en équipe nationale. Pour cela que je le choisi. Traduction Lindt1908 Via SempreInter
  2. L'Inter ne veut pas "réagir de manière excessive" en limogeant Simone Inzaghi immédiatement malgré la récente performance catastrophique en Série A, mais il n'en reste pas moins que le spectre de l'entraîneur de Brighton, Roberto De Zerbi, plane au dessus d'Inzaghi. Selon le Corriere dello Sport, via FCInterNews , qui détaille la situation dans laquelle se trouve Inzaghi chez les Nerazzurri, assez en sécurité jusqu'à la fin de la saison mais avec un avenir très incertain. Il n'est pas impossible que l'Inter limoge Inzaghi avant la fin de la saison. Cependant, cela serait considéré par le club comme une mesure extrêmement drastique, et cela ne serait envisagé que si les dirigeants des Nerazzurri estimaient qu'il n'y avait pas d'autre option. Dans la situation actuelle, l'opinion des dirigeants de l'Inter est qu'il n'y aurait pas grand-chose à faire en se débarrassant d'Inzaghi et en jetant simplement les dés sur un entraîneur intérimaire, d'autant plus que l'équipe a encore une chance réaliste de terminer dans le top quatre de la Serie A. Si les Nerazzurri devaient être éliminés de la Ligue des champions lors du match retour contre Benfica, le point de vue des dirigeants pourrait être différent. Dans ce cas, la décision des dirigeants serait basée sur la performance de l'équipe plus que tout. Si le club veut prendre une mesure radicale pour Inzaghi, la porte de sortie lui sera montré avant même la fin de la saison, avec un signe que l'équipe et les joueurs capitulent simplement sur le terrain, quelque chose qu'ils n'ont pas vraiment trouvé jusqu'à présent. Quoi qu'il en soit, Inzaghi sera bien conscient que De Zerbi se profile en arrière-plan. Même si le Club n'a toujours pas l'intention de limoger l'entraîneur avec effet immédiat, le nom de De Zerbi est de plus en plus lié au Club pour un nouveau projet cet été. Traduction Lindt1908 Via SempreInter
  3. L'ancien défenseur légendaire de l'Inter, Beppe Bergomi, estime que malgré les discussions selon lesquelles l'équipe pourrait être forcée de vendre cet été si elle manquait la Ligue des champions. S'exprimant sur Sky Sport Italia, via FCInter1908 , Bergomi a pesé sur les rumeurs selon lesquelles des ventes importantes pourraient être en cours maintenant si l'Inter ne se qualifie pas pour la prochaine édition de la Ligue des champions. Les rumeurs ne manquent pas sur les conséquences de l'absence de la Ligue des Champions pour l'Inter en termes financier. Il est rapporté que André Onana pourrait être le joueur sacrifié pour combler le manque à gagner budgétaire que représenterait le fait de ne pas avoir de revenus de la compétition, car le Camerounais pourrait rapporter une grosse somme. De plus, selon certaines informations, les négociations contractuelles avec Alessandro Bastoni et Hakan Calhanoglu pourraient bien se heurter à un problème si le club perdait les revenus de la Ligue des Champions. En conséquence, il semble que si l'Inter ne parvient pas à se frayer un chemin dans le top quatre de la Serie A ou à remporter un triomphe improbable en Ligue des Champions cette saison, ils pourraient être confrontés à un bouleversement d'équipe avec de nombreux joueurs clés qui pourraient partir. L' avenir est incertain. Du point de vue de Bergomi, cependant, tout ce discours passe un peu à côté de l'essentiel. L'ancien défenseur estime qu'en fin de compte, c'est la situation dans laquelle l'Inter se trouve depuis deux étés consécutifs. "L'Inter est en Ligue des Champions depuis plusieurs années et ils doivent encore vendre des joueurs chaque été depuis deux ans". "Je pense que la vraie question concerne leur propriété, ainsi que les politiques du gouvernement Chinois". Traduction Lindt1908 Via SempreInter
  4. Les propriétaires de l'Inter, Suning, pourraient être aidés dans leur objectif de recevoir 1,2 milliard d'euros pour la vente des Nerazzurri si l'équipe atteignait les demi-finales de la Ligue des champions ou au-delà. D'après Tuttosport, via FCInterNews , qui note à quel point il serait beaucoup plus facile pour les propriétaires actuels de l'Inter de conclure une vente à l'évaluation souhaitée du club si l'équipe veut continuer à progresser en Europe. compétition de clubs de haut niveau. Les rumeurs d'une vente de l'Inter par Suning ne cessent de tourbillonner, et ces dernières semaines n'ont fait que s'intensifier. Il y a un peu plus d'une semaine, Il Sole 24 Ore a annoncé que le fonds InvestCorp basé à Bahreïn ravivait son intérêt pour l'achat des Nerazzurri. Pendant ce temps, Bloomberg rapporte que le propriétaire de Leeds United, Andrea Radrizzani, pourrait vendre ses parts dans le club de Premier League pour environ 500 millions d'euros et utiliser l'argent pour financer partiellement un achat de l'Inter. L'ancien PDG des Nerazzurri, Ernesto Pellegrini, a fait allusion à la possibilité d'un rachat du club par un consortium dirigé par l'italien, bien que selon Tuttosport, il faisait en fait référence à Radrizzani, qui ne serait pas en mesure de financer seul un rachat. Enfin, note le journal, il est toujours possible qu'un fonds basé aux États-Unis émerge et s'intéresse à l'achat d'Inter, alors que le groupe Raine intensifie ses recherches aux États-Unis. Quoi qu'il en soit, un thème commun à tous les intérêts signalés ces dernières semaines est qu'aucun des soumissionnaires potentiels ne semble prêt à présenter une offre particulièrement proche de la valorisation de 1,2 milliard d'euros de Suning pour les Nerazzurri. L'obligation massive de 415 millions d'euros de dette est l'une des principales raisons pour lesquelles les acheteurs potentiels n'augmenteront pas leurs offres. Cependant, si l'équipe atteignait les demi-finales de la Ligue des champions ou au-delà, on aurait le sentiment que la valeur de la marque Nerazzurri augmenterait considérablement, ce qui rendrait beaucoup plus facile de voir arriver une offre proche du prix demandé par Suning. Traduction Lindt1908 Via SempreInter
  5. L'exploit de Lisbonne est derrière eux, avec maintenant pour objectif de récupérer une partie du terrain perdu ces dernières semaines. Des défaites souvent incroyables qui ont fait sortir dangereusement l'Inter de la zone Ligue des champions, cette même Ligue des champions qui fait tant de bien au moral des Nerazzurri. Avec Monza, ce soir, l'Inter n'a pas le droit à l'erreur. INTER - Inzaghi a pleine confiance après Lisbonne et évalue quelques changements par rapport à la composition initiale en tenant compte des efforts fournis du match aller et en prévoyance du match retour. Et donc, par rapport à Benfica, De Vrij, Gosens, Lukaku et Correa devraient être titulaire. Ballotage Darmian-D'Ambrosio en défense et Asllani-Brozovic pour le rôle au milieu. Calhanoglu, sera là mais il sera sur le banc. Et peut être une "chance" de voir Gagliardini pour faire souffler Barella ou Mkhitaryan n'est pas à exclure. Seul Skriniar est absent. MONZA – Brianzoli est en grande forme comme le confirme le fait que Palladino aura toute l'équipe à sa disposition. Cependant il y quelques doutes suite a l'entraînement : Caldirola préféré à Marlon en défense et Petagna en attaque. Pour le reste, on se dirige vers la confirmation du 3-4-2-1 avec Sensi et Caprari derrière l'attaquant. Rovella et Pessina seront les deux milieux de terrain. COMPOSITIONS PROBABLES : INTER (3-5-2) : Onana ; Darmian, De Vrij, Bastoni, Dumfries, Barella, Asllani, Mkhitaryan, Gosens, Lukaku, Corréa. Banc : Handanovic, Cordaz, Acerbi, D'Ambrosio, Dimarco, Bellanova, Brozovic, Calhanoglu, Gagliardini, Carboni, Lautaro, Dzeko. Entraîneur : Inzaghi. Suspendu : aucun Bléssé : Skriniar MONZA (3-4-2-1) : Di Gregorio, Izzo, Pablo Mari, Caldirola, Ciurria, Pessina, Rovella, Carlos Augusto, Sensi, Caprari; Pétagna. Banc : Cragno, Sorrentino, Marlon, Antov, Donati, Birindelli, Carboni, Barberis, Frog, Machin, Valoti, Colpani, D'Alessandro, Mota Carvalho, Gytkjaer. Entraîneur : Palladino. Suspendu : aucun. Bléssé : aucun. Arbitre : Pairetto. Assistants : Vecchi et M. Rossi. Quatrième Arbitre : Rutella. Var : Valeri (Paganessi). Traduction Lindt1908 Via Fc Inter1908
  6. Le défenseur de l'Inter Francesco Acerbi a clairement indiqué qu'il espère rester au club après la fin de la saison lorsque son contrat de prêt actuel expirera. S'adressant au diffuseur italien DAZN, via FCInterNews , le joueur de 35 ans a donné son avis sur son avenir ainsi que sur la Ligue des champions et d'autres sujets. Dans l'état actuel des choses, Acerbi est prêté par la Lazio à l'Inter jusqu'à la fin de la saison en cours. Cependant, les performances du joueur de 35 ans cette saison ont donné aux Nerazzurri des raisons de vouloir le signer de manière permanente. Des rapports suggèrent que c'est le cas , alors qu'il a également été signalé que l'Inter souhaitait signer définitivement Acerbi à la fin de la saison, mais pas pour l'option d'achat de 4 millions d'euros dans son contrat de prêt avec les Biancocelesti. Quant aux intentions du joueur lui-même? "Je veux rester à l'Inter". "Je ne sais rien [concernant les négociations en dehors du terrain], et je m'en fiche cependant." "Il y a deux mois massifs à venir, j'essaie juste de faire de mon mieux" "Je me sens bien à l'Inter, si cela ne tenait qu'à moi, je resterais ici sans aucun problème." Quant à ce qu'il espère que les Nerazzurri pourront réaliser pour le reste de la saison? "Nous pouvons atteindre la finale de la Ligue des champions, ce sont tous des matchs à faire ou à mourir." "Évidemment, nous en avons parlé dans le vestiaire." A propos des quarts de finale? "Benfica est une équipe très forte, mais c'est à notre portée, et c'est important pour nous de passer." "Ensuite, il y a aussi la ligue des champions et nous savons que nous ne pouvons rien tenir pour acquis là-bas", Concernant les critiques que l'équipe a reçues cette saison? "Je pense que nous devons également regarder les points positifs, comme gagner la Supercoppa Italiana et atteindre les quarts de finale de la ligue des champions "Nous pouvons aussi atteindre les demi-finales, tout cela est à notre portée." "Nous devrions être crédités là où c'est dû, quelque chose qui est parfois oublié, mais en même temps, nous devons reconnaître l'autre côté des choses". "Nous avons eu trop de hauts et de bas en série A". "Si je suis honnête, nous aurions pu prendre dix, onze, douze points de plus au classement". Lors des dernières minutes du match retour des quarts de finale de la Ligue des champions de l'Inter contre Porto? "C'était le match le plus douloureux que j'aie jamais joué". "Dans les phases finales, on était sur les nerfs, le ballon arrivait dans la surface sous tous les angles." "Heureusement, Dumfries l'a dégagé de la ligne, je l'ai remercié et c'est à ce moment-là que j'ai réalisé que nous allions passer le tour." À propos du but de Filip Kostic pour la Juventus avant la trêve internationale? "C'est un peu gâché par le handball" "Pas d'excuses, cependant, ils ont mieux interprété le match. ” "Ils ont gagné à juste titre, ils ont joué avec plus d'équilibre sur le terrain" "Ce moment doit devenir une motivation pour nous en demi-finale de la Coppa Italia". Traduction Lindt1908 Via SempreInter
  7. Interrogé par Sport Mediaset, André Onana, le gardien de l'Inter , a lancé un message haut et fort à tout le milieu Nerazzurri en vue d'un mois d'avril absolument décisif pour la saison de l'équipe d'Inzaghi : « Il faut toujours jouer sans peur. S'il y a peur, mieux vaut ne pas entrer sur le terrain. Un mois difficile nous attend, mais on s'entraîne tous les jours pour jouer des matchs comme ceux contre la Juve et Benfica. Il faut bien s'entraîner et je Je suis convaincu que si nous travaillons bien, ce sera un mois plein de satisfactions. Feuille blanche et arrêts en Ligue des champions ? Cela signifie que la défense fait très bien son travail. Vous pouvez aussi économiser beaucoup, mais si vous ne vous surpasser pas, le groupe n'a aucune valeur. La cage inviolée est un travail collectif, de l'entraîneur à l'attaquant en passant par tous ceux qui sont sur le banc. On est tous là pour défendre l'Inter et pour moi c'est un honneur d'être le gardien de but de ce club. " « Nous méritons plus de respect en Europe car nous avons envoyé Barcelone en Ligue Europa et nous étions dans un groupe compliqué. Nous avons montré que nous sommes une équipe forte. Peu importe ce qui se passe contre Benfica, mais nous irons a Lisbonne pour gagner. Je veux tout gagner ". Traduction Lindt1908 Via Fc Inter1908
  8. C'est une révélation de la Gazzetta Dello Sport: "Le turnover dans les buts de l'Inter est appelé à se poursuivre : Face au Torino, le capitaine reviendra en qualité de titulaire." "Les débuts positifs d’Onana contre le Bayern Munich ne changent rien à la situation : Contre le Torino, le capitaine Handanovic reviendra en tant que titulaire, comme l’a annoncé Inzaghi. Une alternance qui destinée à durer, au moins dans ces premiers mois car cette phase de transition inévitable a besoin de temps. Et si demain, entre les poteaux contre le Torino, il y aura à nouveau Handanovic, Onana est destinée à prendre de plus en plus de place." "C’est pour cette raison que, selon toute vraisemblance, mardi prochain à Plzen en Ligue des Champions, le gardien sera à nouveau le Camerounais. Cette phase se veut en douceur car Handanovic est aussi le Capitaine de l’équipe, un joueur qui, à l’intérieur du vestiaire, a un poids spécifique à prendre en compte, un poids qui ne peut être ignoré. Toutefois, la relève de la arrière-garde est inévitable et tôt ou tard, Inzaghi devra prendre la décision, lui qui a déjà été confronté à cette situation d’abord avec Strakosha-Marchetti puis avec Strakosha-Reina." "Ce qui est certain, c'est que les débuts d’Onana contre le Bayern ont été jugée positivement par le Staff d’Inzaghi et globalement par l'équipe qui était habituée à se défendre avec un autre type de gardien entre les poteaux. Pour l'équipe, passer d' Onana à Handanovic entraîne au moins deux conséquences de nature tactique. La première : La façon dont la défense doit se déployer sur les phases arrêtées vu la Tendance naturelle à sortir du Camerounais contrairement au Slovène." "La seconde: Onana, bien plus que le Capitaine, fait du jeu long sa spécialité: Il s'agit d'une arme à exploiter supplémentaire, surtout lorsque Lukaku sera à nouveau dans l’équipe. Toutefois, ce type de jeu long, face au Bayern, a été à exagéré: Brozovic, pour ne citer qu’un équipier d’Onana, s’est parfois retrouvé hors-position, en étant constamment contourné" Chacun sa compétition selon vous ? ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  9. Les fans ont voté pour le but de l'attaquant Nerazzurro, sur le site officiel de l'UEFA. Le tir de Lautaro Martínez à Anfield, qui a permis à l'Inter de s'imposer 1-0 à Liverpool, a été désigné but de la semaine de la Ligue des Champions, devant les autres buts marqués lors des matchs retours des huitièmes de finale. La frappe tonitruante de l'Argentin, dans la lucarne d'Alisson, est arrivée en tête des votes, devant les buts de Thomas Müller (Bayern Munich), Kylian Mbappé (PSG) et Maurits Kjærgaard (Salzbourg). ®Internazionale.fr ~ Aurios-Inter Via Inter.it
  10. Après la triste défaite contre le Milan samedi dernier, l'Inter devait se racheter. Mais un gros client se présentait face à elle: le Napoli de Luciano Spalletti, qui pouvait dépasser son adversaire du jour, et ainsi prendre la tête du championnat avec une victoire. Mais aucune équipe n'empochera la mise. L'Inter alignait son onze titulaire, à l'exception d'Alessandro Bastoni, blessé à la cheville (et suspendu). Il est remplacé par Federico Dimarco. Du côté du Napoli, il y avait le grand retour en défense du récent champion d'Afrique Kalidou Koulibaly. Le reste du onze était classique. Dès les premières minutes, quelque chose cloche du côté de l'Inter. Elle n'a pas sa maîtrise habituelle du terrain. Le duo Napolitain Lobotka-Ruiz donne du fil à retordre au milieu Nerazzurri. Ce malaise se traduit par un pénalty concédé par Stefan De Vrij pour une faute sur Victor Osimhen. Le Néerlandais accroche la cheville du Nigérian, en étant très en retard. Le capitaine du Napoli Lorenzo Insigne ne se fait pas prier, et envoie un missile dans les filets de Samir Handanović. Un à zéro pour Naples. L'Inter ne parvient pas à se montrer dangereuse offensivement, tandis que le plan de jeu tout en contre attaque de Spalletti est parfaitement exécuté. Piotr Zielinski trouve d'ailleurs le poteau sur une frappe lointaine. Début de match catastrophique des Nerazzurri, qui ne passent pas loin de la correctionnelle. L'Inter parvient tout de même à calmer les ardeurs Napolitaines, en mettant progressivement en place son jeu de possession. Mais les individualités font défaut à l'Inter. De Vrij est malmené par Osimhen, et Çalhanoğlu retrouve son niveau du début de saison. L'Inter perd la bataille du milieu. Elle ne maîtrise pas la partie. La possession est là, certes, mais les occasions ne suivent pas. Le seul joueur apportant un peu de danger est Denzel Dumfries. L'ailier montre une grande volonté d'aller de l'avant, mais c'est malheureusement l'un des seuls. Au delà de cela, l'inter n'est pas dangereuse. En revanche, le Napoli arrive à se monter sur chaque incursion dans le camp Nerazzurri. Il le fait par deux fois grâce à Osimhen, sans succès. L'on sent une défense de l'Inter fébrile. Petit point noir malgré tout côté Napoli : la sortie précoce de Matteo Politano, à la suite d'une blessure au mollet. Il est remplacé par Eljif Elmas. De l'autre côté du terrain, Edin Džeko et Lautaro Martínez ont énormément de mal à bouger le tandem Napolitain Rrahmani-Koulibaly, comme le montre la seule vraie situation de l'Inter en cette première période, à savoir cette tête anodine de Džeko, sur Ospina. Le Sénégalais tout juste champion d'Afrique se démarque dans cette défense et annihile chaque semblant d'occasion de l'Inter, à l'image de son tacle fabuleux sur Dumfries, qui partait seul. Le Napoli est plus globalement très solide. Le Néerlandais parvient à se créer une dernière occasion en débordant côté droit sur un service de Lautaro. Mais la frappe de l'ancien du PSV passe assez largement à côté des buts d'Ospina. M. Doveri siffle la fin d'une première période ratée de la part de l'Inter. Le Napoli maîtrise complètement son sujet. Mais dès le retour des vestiaires, un sursaut d'orgueil permet à l'Inter de revenir au score. Après un bon décalage de Džeko, Lautaro centre pour le Bosniaque, qui manque sa tête. Mais un mauvais dégagement de Di Lorenzo remet le ballon en jeu. Džeko suit bien et envoie une mine sous la barre d'Ospina, pratiquement dans la lucarne. Un but partout. Cette égalisation donne de la force aux joueurs d'Inzaghi. Le pressing est plus intense, les passes plus appuyées. Mais le mur Napolitain en béton armé ne concède quasiment rien, à la différence de celui de l'Inter, qui ressemble plus à un mur en papier mâché qu'à autre chose. Les Nerazzurri sont coupables d'erreurs techniques grossières. Barella remise mal un ballon de Brozović, Osimhen récupère, progresse puis frappe. Handanović répond présent et détourne la tentative de l'attaquant des Super-Eagles. À la suite de cette action, et après un centre de Perisić, Koulibaly sauve lui aussi son équipe. Dumfries arrivait dans le même temps lancé au second poteau. Dans son élan, il vient percuter Ospina. Alerte au genou pour le Colombien, qui s'en sort finalement indemne. Brozović est ensuite averti pour une faute sur Victor Osimhen. Le Croate manquera la prochaine journée contre Sassuolo. Nouvelle chaleur sur le but de l'Inter. Le ballon fuse dans la surface et arrive sur Osimhen mais il manque sa reprise. Par chance, le ballon fini sur Elmas. Le Macédonien frappe mais est repris par une exellente sortie de Samir Handanović. Une sortie qui rassure, malgré le fait qu'Elmas était hors-jeu. La fin de match arrive, et plus les minutes défilent, plus les deux équipes se recroquevillent. Le rythme et l'intensité diminuent. Et les changements de Spalletti y contribue fortement. Sortie de Zielinski pour Juan Jesus, le Napoli passe à cinq derrière et souhaite conserver ce nul. L'Inter tente timidement d'appuyer en cette fin de rencontre, mais pas suffisamment pour aller gagner les trois points. Les entrées de Sánchez et Vidal sont trop tardives pour espérer quelque chose. Daniele Doveri siffle la fin de la rencontre après cinq minutes de temps additionnel. L'Inter évite la défaite, ce qui était le plus important pour les Nerazzurri. Ils restent leader, devant son adversaire du jour (un point), et devant le Milan (deux points), en attendant son match contre la Sampdoria. Le Napoli loupe quant à lui une belle occasion de passer premier. Rendez-vous dimanche prochain face à Sassuolo pour reprendre notre marche vers la deuxième étoile. Mais avant cela, rencontre de prestige à jouer face aux Reds de Liverpool, en 8ème de finale aller de la Ligue des Champions, mercredi à 21:00, à Giuseppe Meazza. Tableau récapitulatif Résumé Vidéo Naples 1 - 1 Inter Buteur(s): 7' Insigne (sp)(N), 47' Džeko (I) Naples (4-2-3-1): 25 Ospina; 22 Di Lorenzo, 13 Rrahmani, 26 Koulibaly, 6 Rui; 8 Ruiz (74' 99 Anguissa), 68 Lobotka; 21 Politano (26' 7 Elmas), 20 Zielinski (84' 5 Jesus), 24 Insigne (84' 33 Ounas); 9 Osimhen (84' 14 Mertens) Banc: 37 Petagna, 4 Demme, 99 Anguissa, 7 Elmas, 12 Marfella, 33 Ounas, 2 Malcuit, 1 Meret, 31 Ghoulam, 5 Jesus, 59 Zanoli, 14 Mertens Entraîneur: Luciano Spaletti Inter (3-5-2): 1 Handanović; 37 Škriniar, 6 De Vrij, 32 Dimarco (90' 33 D'Ambrosio); 2 Dumfries, 23 Barella, 77 Brozović, 20 Çalhanoğlu (84' 22 Vidal), 14 Perisić; 9 Džeko, 10 Martínez (83' 7 Sánchez) Banc: 11 Kolarov, 5 Gagliardini, 21 Cordaz, 33 D'Ambrosio, 13 Ranocchia, 47 Carboni, 97 Radu, 36 Darmian, 7 Sánchez, 22 Vidal, 88 Caicedo Entraîneur: Simone Inzaghi Arbitre: Daniele Doveri VAR: Di Paolo Averti(s): 37' Insigne (N), 60' Brozović (I) Exclu(s): / Suspendu(s) pour le prochain match: Brozović (I) Internazionale.fr ~ © Aurios-Inter
  11. L'Inter se déplaçait à Madrid pour tenter d'accrocher la première place du groupe D. L'occasion était belle, le cadre presque idyllique. L'Inter était sur une exellente dynamique, avec une série de 10 matchs sans défaite pour les hommes de Simone Inzaghi. En face, le Real Madrid était également dans une forme olympique, avec pas moins de 8 victoires consécutives. Mais bien malheureusement pour les supporters Nerazzuri, la marche était trop haute pour l'Inter. Dès le début du match, le jeu de possession de l'Inter se met en place. Le ballon circule bien, et le Real défend plutôt bas. Le plan de jeu Merengue est essentiellement basé sur leur diamant Vinícius Jr. Le Brésilien empile les buts et les passes décisives lors de ce début de saison, son génie et sa vitesse étant ses armes principales. Il tente une première percée à la septième minute, déposant Danio D'Ambrosio mais étant repris de justesse par un superbe tacle glissé de Nicolò Barella. Sur l'action suivante, Marcelo Brozović reprend un ballon fort de volée. Sa frapppe passe légèrement au-dessus de la transversale de Thibault Courtois. L'Inter entre dans un temps fort; Barella est acroché par le maillot dans la surface, mais pas suffisamment pour M.Brych, l'arbitre de la rencontre. À la douzième minute, sur un bon centre de Denzel Dumfries, Ivan Perisić fouette bien le ballon à ras de terre. Sa frappe part très bien, mais elle est contrée par Eder Militão. Le Néerlandais réalise un bon début de match, son jeu de remise étant très bénéfique à Barella et D'Ambrosio, ses acolytes de l'aile droite. Le Real est dans un état passif, et à la récupération, l'absence de Karim Benzema se fait ressentir dans la circulation de balle. Mais les Madrilènes n'en ont que faire. Sur une passe de Rodrygo, Toni Kroos, alors seul à 20 mètres du but, envoie une frappe instantanée et puissante dans le petit filet de Samir Handanović. Reprise imparable pour un très grand nombre de gardien, n'en déplaise à certains. Mais l'Inter réagit de suite, par l'intermédiaire de Lautaro Martínez, l'Argentin voit son centre contré et sa frappe passer au-dessus des buts de Courtois. Ensuite, c'est Edin Džeko, peu en vue lors de ce début de match, qui teste le Belge, de la tête, sur un centre de Perisić. Arrêt facile pour le portier du Real Madrid. Globalement, c'est un match plutôt équilibré, avec des situations de part et d'autre. Mais il y a quand même une équipe plus menaçante que l'autre dans la zone de vérité. Sur une nouvelle contre attaque, le Real Madrid se projette à 4, alors que les Nerazzuri ne sont que 3. Brozović sauve les meubles et gagne ce quatre contre trois. Sur un corner, Perisic trouve ensuite l'extérieur du poteau. L'Inter conserve la maîtrise du ballon, mais s'expose aux contre attaque rapides du Real, qui passe souvent par un côté gauche déserté par D'Ambrosio. Vinícius se retrouve souvent en position de force pour déclencher les mouvements dangereux. Sur une énième transition rapide, le Brésilien trouve Luka Jović dans l'espace. Le Serbe, alors en un contre un exentré face à Handanović, trouve le petit filet du Slovène. Brozović, encore une fois stellaire, éteint les situations et le peu de pressing Madrilène. Il organise le jeu à merveille, dicte le tempo de la rencontre. Mais le Croate ne peut pas tout faire. Les errements défensifs des hommes de Simone Inzaghi sont lourds de conséquences. Avant la pause, Rodrygo est trouvé seul en plein milieu de la surface, une anomalie pour la meilleure défense d'Italie. Heureusement pour l'Inter, il trouve le poteau gauche d'Handanović, ainsi que son petit filet sur l'action suivante. Felix Brych, pas tout à fait au niveau ce soir, avec un carton jaune donné à D'Ambrosio sur une faute inexistante sur Vinicius; ainsi qu'un coup franc très dangeureux aux abords de la surface donné à Kroos, sifffle la mi-temps sur ce score de 1-0 pour le Real Madrid. Les deux équipes reviennent sur la pelouse, avec un changemet pour les Nerazzuri : la sortie de Denzel Dumfries, pourtant auteur d'une bonne première période, pour Federico Dimarco. Ce dernier prend la place de Bastoni dans l'axe gauche de la défense, Bastoni passe au centre, Škriniar axe droit et D'Ambrosio piston droit. Des choix pour le moins contestables. Les deux formations maintiennent leurs idées en place. L'Inter a la possession, et le Real contre attaque avec Vinícius et Rodrygo, lancés par Kroos ou Modrić, encores fantastiques ce soir. Une balle d'égalisation est manquée par Barella, trouvé par Hakan Çalhanoglu. La frappe du Sarde passe nettemment au-dessus. Après cela, l'Inter va marquer un coup d'arrêt. Son emprise sur le ballon diminue, les occasions Merengue défilent, avec des frappes de Casemiro et de Vinícius. Arrive l'heure de jeu et le triple changement extrêmement significatif de Simone Inzaghi. Les sorties de Brozović, Çalhanoglu et Džeko pour Vidal, Vecino et Sánchez trahissent les ambitions du coach Italien. Avec la sortie de son métronome et de son point de fixation, l'Inter se retrouve drastiquement diminuée. Il devient alors très difficile de conserver le ballon, face à un milieu du Real techniquement époustouflant. Mais le vrai tournant du match arrive à la soixante-quatrième minute. Sur un long ballon, Nicolò Barella et Eder MIlitão sont à la lutte. Le ballon sort en faveur du Real, mais Barella est violemment projetté par Militão sur les panneaux publicitaires. Le milieu Italien, connu pour avoir fort caractère, craque complètemment et assène un coup de poing à la jambe gauche de Militão. Les esprits s'échauffent. Et ce qui devait arriver arriva. M. Brych sort le carton rouge pour Barella. De son côté, Militão s'en sort (très) bien, avec un simple jaune. Ce rouge est synonyme de suspension pour les huitièmes de finale pour Nicolò Barella, un énorme coup dur pour les champions d'Italie. Barella maintenant exclu, les trois milieux de terrains titulaires se retrouvent hors du rectangle vert. Simone Inzaghi souhaite maintenir son milieu à trois et sort Lautaro Martínez pour Roberto Gagliardini. Le niveau technique du milieu de terrain devient un vrai problème. Mais les entrants s'en sortent plutôt bien et parviennent à ressortir les ballons. Problème, Alexis Sánchez est tout seul devant. Le Chilien n'est pas avare d'efforts, court pour deux hommes. Mais il n'y a pas assez de présence offensive du côté de l'Inter pour espérer quelque chose. Surtout après la balle finale signée Marco Asensio. Sur un corner joué à deux, Asensio est trouvé anormalement seul aux abords de la surface de réparation Interiste. Dimarco ne sort pas sur l'Espagnol. Son pied gauche de velours fait le reste : frappe sublimement enveloppée dans la lucarne droite d'Handanović. Poteau rentrant, 2-0, et les minces espoirs de revenir pour les Nerazzuri sont réduits en poussières. L'Inter ne possède tout simplement plus les ressources pour réagir, et elle s'éteint peu à peu. La fin de match est plutôt anecdotique. Le Real fait tourner le ballon et gère tranquillement, à l'expérience, cette fin de rencontre. Seule une tête puissante de Milan Škriniar sur corner à la quatre-vingt-cinquième minute, directement sur Courtois, donne un dernier petit frisson aux supporters Nerazzuri. M. Brych siffle la fin de ce match, sans temps additionnel. L'Inter ne terminera pas à la première place de ce groupe D, et elle devra avoir à faire à un des huit géants européens ayant terminé premier de son groupe, en huitième de finale. Malgré la, voire les classes d'écart entre les deux équipes, l'Inter a quand même proposé des choses et fait preuve de caractère, ce qui est plutôt encourageant. Mais elle devra passer ce cap, aussi bien sur le terrain que dans la tête, d'ici février si elle souhaite rêver plus grand. En attendant, rendez-vous dimanche, 20:45, à Giussepe Meazza pour la réception de Cagliari. Tableau récapitulatif Résumé Vidéo Real 2-0 Inter Buteur(s): 17' Kroos (R), 79' Asensio (R) Real (4-3-3): 1 Courtois; 2 Carvajal, 3 Militão, 4 Alaba, 23 Mendy; 10 Modrić, 14 Casemiro (71' 25 Camavinga), 8 Kroos (78' 15 Valverde); 21 Rodrygo (78' 11 Asensio), 16 Jovic (24 Mariano Diaz), 20 Vinicius Jr (81' 7 Hazard) Banc: 40 Fuidias, 12 Marcelo, 17 Vazquez, 22 Isco, 13 Lunin, 5 Vallejo, 6 Nacho Entraîneur: Carlo Ancelotti Inter (3-5-2): 1 Handanović; 33 D'Ambrosio, 37 Škriniar, 95 Bastoni; 2 Dumfries (45' 32 Dimarco), 23 Barella, 77 Brozović (60' 22 Vidal), 20 Çalhanoglu (60' 8 Vecino), 14 Perisić; 10 Martinez (66' 5 Gagliardini), 9 Džeko (60' 7 Sánchez) Banc: 21 Cordaz, 6 De Vrij, 11 Kolarov, 97 Radu, 12 Sensi, 46 Zanotti Entraîneur: Simone Inzaghi Arbitre: Félix Brych VAR: ? Averti(s): 54' D'Ambrosio (I), 64' Militão (R), 74' Bastoni (I) Exclu(s): 64' Barella (I) ®Internazionale.fr ~ Aurios-Inter
  12. Un sortilège, pour ne pas dire une malédiction : Pour la troisième fois consécutivement, la rencontre opposant le Shakhtar Donetsk et l’Inter s'est soldé sur un 0-0 bien amer tant la prestation proposée par les Nerazzurri est très loin de ce qui est proposé en Serie A. Mis à part une barre transversale sur un tir lointain de Nicolò Barella et une reprise non-cadrée à l’intérieur du petit rectangle de la part d’Edin Dzeko, l’Inter n’aura rien proposé de mieux en première période. La situation s’empire en seconde période avec une domination ukrainienne totale. L’Inter risquera même de réaliser le hold-up en toute fin de match lorsque Joaquin Correa et Stefan De Vrij testent les réflexes d’Andrij Pyatov. L’Inter occupe actuellement la troisième place du groupe avant sa double confrontation face à la surprise du chef : le Leader Sheriff Tiraspol auteur d’un départ canon avec 6 points sur 6. La première manche aura lieu au Stade Giuseppe Meazza le mardi 19 octobre à 21h00 et aucun faux pas ne sera permis face au tombeur du Real Madrid humilié sur ses terres L’avis de Simone Inzaghi à Inter TV "Nous avons affronté une équipe en grande forme qui a bien joué et qui a tant fait circuler le ballon. Lors de certaines phases de jeu, nous avons très bien fait tourner le ballon, mais nous avons eu la malchance de ne pas concrétiser nos occasions : Une barre transversale, deux grands arrêts, soit trois occasions franche dans une soirée peu brillante, mais nous aurions pu l’emporter." Attendiez-vous plus des attaquants ? "Ils ont réalisé un grand match car ils se sont sacrifiés : Ensuite, j’ai aligné Correa et Sanchez à la reprise. Il y a tellement de match rapprochés, comme ce déplacement si dangereux qui était si proche de celui disputé face à l’Atalanta." "Nous nous sommes montré bon pour repartir à la maison avec un point face à un adversaire de grande valeur. Même s’il y aura clairement le match retour à disputer à domicile à la fin du mois de novembre, ils restent une équipe imprévisible qui pose problème à tout les adversaires. Toutefois, vu les occasions créées ce soir, nous aurions dû inscrire un but." Milan Skriniar, désigné homme du match "Il y a un peu de désillusion : nous voulions l’emporter, nous voulions ces trois points et nous en avons été proche. Je tiens à féliciter l’adversaire qui a été coriace, qui a fait bien fait circuler le ballon et qui a bien joué. Nous avons été bon en phase défensive, nous avons tous combattu avec un grand état d’esprit en défense : Nous aurions dû faire quelque chose de mieux devant, mais nous avons encore un parcours important devant nous qui nous attend. C’était fondamental de ne pas perdre et de ne pas encaisser de but, nous devons repartir sur cette base: Nous avons une mentalité de conquérant et nous misons toujours sur la victoire." Stefan De Vrij "C’était une partie difficile et le mérite en revient à notre adversaire qui a très bien joué en parvenant à annihiler notre pressing. Nous aurions dû faire mieux, nous sommes déçu par ce résultat car nous voulions l’emporter. Vu le déroulement du match, je pense que le match nul est un résultat correct. Nous devons bien analyser ce qu’il s’est passé et définir les points à améliorer en vue des prochains matchs. "La rencontre est resté ouverte et Pyatov a réalisé un miracle sur ma reprise de la tête, c’est dommage car nous voulions gagner. Les deux prochains matchs de Ligue de Champions sont devenu, à présent, importantissime pour la suite de notre parcours." Mattias Vecino "Nous nous attendions à ce type de rencontre, nous connaissions leur façon de jouer et leur entraîneur. C’est une équipe qui te met en difficulté et qui cherche toujours à t’étirer pour trouver des espaces. Nous n’avons pas eu les occasions pour diriger le match et nous avons à présent quatre matchs à disputer sur lesquelles dépend notre parcours. Nous aurions probablement dû mieux contrôler nos temps de jeu et en profiter pour obtenir de meilleurs occasions. Faire match nul à l’extérieur n’est jamais un résultat négatif. Après avoir reçu le Sheriff à Milan, nous affronterons le Shakhtar à Milan pour jouer la qualification." Tableau récapitulatif Résumé vidéo Shakhtar Donetsk 0-0 Inter Buteur(s): / Shakhtar Donetsk: 30 Pyatov; 2 Dodo, 5 Marlon, 22 Matviyenko, 31 Ismaily (78' 4 Kryvstov); 7 Maycon, 6 Stepanenko; 38 Pedrinho, 21 Alan Patrick (85' 11 Marlos), 19 Solomon (78' 20 Mudryk); 23 Traore (10' 14 Tete) Banc: 81 Trubin, 3 Vitao, 8 Marcos Antonio, 15 Bondarenko, 26 Konoplia, 44 Korniienko, 45 Sikan, 77 Bondar T1: Roberto De Zerbi Inter: 1 Handanovic; 37 Skriniar, 6 De Vrij, 95 Bastoni; 2 Dumfries, 8 Vecino (81' 5 Gagliardini), 77 Brozovic (55' 20 Calhanoglu), 23 Barella, 32 Dimarco (81' 14 Perisic); 9 Dzeko (55' 19 Correa), 10 Lautaro Martinez (72' 7 Sanchez) Banc: 21 Cordaz, 97 Radu, 11 Kolarov, 13 Ranocchia, 22 Vidal, 33 D'Ambrosio, 36 Darmian T1: Simone Inzaghi Arbitre: Kovacs Var: Fritz Averti(s): De Zerbi (S), Dumfries (I) Expulsé(s): / ®Antony Gilles - Internazionale.fr
×
×
  • Créer...

Information importante

En naviguant sur ce site, vous acceptez l'utilisation des cookies. Nous ajoutons des cookies sur votre appareil pour aider à améliorer votre expérience sur notre site. Consultez notre Politique de confidentialité. Vous pouvez choisir d’ajuster vos paramètres de cookie, sinon nous supposerons que vous êtes d’accord pour continuer...