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Gianluca Di Marzio dit que le slovaque a signé un précontrat avec le PSG. Explication. L'avenir de Milan Skriniar est scellé : le défenseur slovaque ne renouvellera pas son contrat avec l'Inter Milan, contrat qui expire le 30 juin prochain, et deviendra un nouveau joueur du Paris Saint-Germain. Skriniar a déjà signé un précontrat avec les champions de France, la seule variable aléatoire toujours discutée concerne le mercato qu'il partira au PSG, celui de Janvier ou en été. Dans ces heures, le Paris Saint-Germain a présenté une offre pour anticiper l'arrivée de Skriniar, qui pourrait arriver gratuitement en Juin, le montant avoisinant les 10 millions d'euros est cependant jugé trop faible par les Nerazzurri. Offre rejetée. En fait, l'Inter demande au moins le double pour donner son feu vert au transfert en Janvier. Dans les derniers jours du mercato d'hiver, l'Inter évalue certains profils de défenseurs qui pourraient remplacer Skriniar s'il devait partir immédiatement. L'un d'eux est Tiago Djalò, Portugais né en 2000 jouant à Lille; cependant, les Français ne sont pas disposés à le laisser partir maintenant. Un autre nom est celui du Suédois Victor Lindelof qui est à Manchester United depuis 2017. Dans ce cas le problème concerne la formule, étant donné que l'Inter l'emprunterait mais les Anglais ne veulent pas de cette option. Chris Smalling, en revanche, n'en fait pas partie mais pour une question tactique. Le joueur joue au centre de la défense à trois, tandis que Skriniar à droite, et donc l'Anglais ne serait pas le remplaçant idéal. Les évaluations de l'Inter se poursuivent donc. Moralité de l'histoire: comme le disait un certain Nicolas S, casse toi pauv' c** Traduction alex_j via le site de Gianluca Di Marzio
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C’est une information en provenance de Sport Mediaset : Joaquin Correa pourrait déjà quitter l’Inter en fin de saison ! Une saison et puis s’en va ? "Une saison avec plus d’ombres que de lumières, avec seulement quatre buts inscrits et répartis sur deux rencontres et, énormément de blessures : La première année de Joaquin Correa à l’Inter est loin d’être inoubliable. Le Club Nerazzurro, convaincu par Simone Inzaghi, avait dépensé 31 millions d’euros pour l’acheter à la Lazio, mais l’investissement consenti n’a, jusqu’à présent, jamais porté les fruits espérés." "C’est aussi pour cette raison qu’un départ de l’attaquant argentin cet été n’est, à priori, pas à exclure : Lille aurait des vues sur Joaquin Correa, lui qui souhaite renforcer son secteur offensif. L’Intérêt du club français pourrait permettre de procéder à l’établissement d’un échange avec l’attaquant canadien Jonathan David qui est depuis longtemps dans le viseur de l’Inter." "L’Opération pourrait permettre à David, âgé de 22 ans et auteur de 17 buts en 39 matchs, de rejoindre Milan pour le plus grand bonheur de toutes les parties à Appiano Gentile. Il reste à présent à voir, si dans les prochaines semaines, la négociation entrera dans le vif." Un échange bénéfique pour l'Inter selon vous ? ®Antony Gilles – Internazionale.fr
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Interviewé par la CBS, Thierry Henry, l’ancien attaquant d’Arsenal et ancien membre du Staff des Diables Rouges, s’est livré sur la situation entourant Romelu Lukaku, laissé sur le banc durant toute l’intégralité du match par Thomas Tuchel dans le cadre de la rencontre opposant Chelsea à Lille en huitièmes de finale de la Ligue des Champions. "Jusqu’au début de la saison, je me suis questionné, allait-il être adapté à cette équipe ? Comme entraîneur, lorsque tu viens à recruter Lukaku, tu dois faire en sorte qu’il soit adapté à la façon dont tu joues, ou alors tu dois changer ta façon de jouer pour t’adapter à lui. Je ne pensais pas que cela allait arriver. Ce n’est pas facile car il faut du temps à Romelu pour s’adapter au jeu de Chelsea." Son faible touché de balle contre Crystal Palace ? "Là aussi ce n’est pas normal, peu importe que tu plaises ou as à l’entraîneur, cela ne devrait jamais arriver. Tu te dois d’aller de l’avant, même si c’est difficile. Je vais être honnête avec vous, je ne sais même pas comment c’est possible d’y parvenir en 90 minutes de jeu." "La solution est qu'il trouve un moyen de s'adapter à leur façon de jouer. Ils aiment presser, être actifs et changer le trio offensif. Il aime être au milieu, il est donc très difficile pour lui de s'adapter à la situation d’où ma question : Mais pourquoi l'avez-vous choisi ?" Karma is …. ®Antony Gilles – Internazionale.fr
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Lautaro Martinez, le sacrifice estival signé Marotta ?
Victor "Antony" Newman a posté un article dans Mercato
En effet, les prestations de Lautaro Martinez sont loin, très loin de satisfaire Giuseppe Marotta, à tel point que selon la Gazzetta Dello Sport, l’argentin pourrait faire l’objet d’une sérieuse remise en question, avec l’aval de Steven Zhang. Révélation de la Gazzetta Dello Sport "L'Argentin sera façon à la croisée des chemins cet été : Partir ou rester ? L'Inter pourrait le sacrifier sur l'autel des comptes et d'un mercato d’auto-financement, à condition que des grands noms européens se présentent avec environ 70 millions d’euros. Le départ probable d’Alexis Sanchez suppose également un remaniement complet de l’attaque Nerazzurra." "Dans la cure de soins proposée par Giuseppe Marotta et le Directeur-Sportif Piero Ausilio, cure pleinement soutenue par le président Steven Zhang, on s'attend à une profonde métamorphose en attaque : Du rêve Paulo Dybala à zéro euros, en passant à Stefan De Vrij et Davide Frattesi. Sans oublier Gianluca Scamacca, qui touché par les mots de Giuseppe Marotta, est maintenant devenu l'attaquant choisi pour le futur.... Sans oublier Jonathan David de Lille qui est devenu une sérieuse suggestion pour la Direction Nerazzurra." Un Toro en cache un autre En effet, selon Tuttosport, l’hypothèse Andrea Belotti n’est pas à exclure : "En fin de contrat également, il faudra analyser dans le détail comment ce comportera la campane de recrutement de l’Atalanta américaine et le classement final du club bergamasque : S’il sera ou pas en Ligue des Champions. On retrouve également le Milan Ac et la Juventus, sans oublier que la piste Nerazzurra n’est jamais à négliger. En fin de contrat au mois de Juin, la certitude est qu’ "Il Gallo" n’a aucune intention de prolonger son aventure au Torino : son départ reste l’hypothèse la plus réaliste." Un duo formé d’Andrea Belotti et Gianluca Scamacca peut-il être compatible à l’Inter ? L’Inter disposerait-elle d’un meilleur rempart offensif que celui dont elle dispose cette saison, si la Joya signe également ? ®Antony Gilles – Internazionale.fr- 21 commentaires
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Giuseppe Marotta est un expert en la matière, et celui-ci a parfaitement bien cerné le "point faible" de l’Inter cette saison : Son rempart offensif. Si Edin Dzeko répond plus que présent, les "autres" laissent à désirer Révélation de la Gazzetta Dello Sport "L’Inter veut continuer à grandir et à élever le niveau. Le duo Marotta-Ausilio pense à une rénovation de son attaque en été, qu’il considère comme le secteur le moins européen comparé à tous les autres: Il est logique de penser que le rempart offensif de l’Inter puisse changer de visages, au pluriel, car ils seront au moins au nombre de deux. En balance, on retrouve surtout Alexis Sanchez dont une décision sera prise plus tard dans le temps. Il faudra aussi et surtout raisonner sur Lautaro Martinez, surtout en cas d’offre vertigineuse de l’étranger." "Le premier nom sur la table des dirigeants est celui de Gianluca Scamacca, joueur de Sassuolo qui fera l’objet d’une observation particulière ce dimanche : Marotta et Ausilio l’ont défini comme l’objectif prioritaire de la prochaine saison. Avec Sassuolo, il y a des rencontres périodiques : Le joueur a déjà donné sa priorité aux Nerazzurri en refusant la cour du Borussia Dortmund en janvier. L’équipe Nerazzurra est dans une pole position indiscutable : Marotta et Ausilio avaient aussi songé à le recruter, durant une journée, immédiatement à Milan cet hiver, mais ils n’étaient pas parvenu à mettre en place la négociation." "Mais le fait est que Scamacca, à présent, ne suffit plus pour réaliser le saut de qualité européen : Il faudra plus que probablement recruter un autre attaquant qui évoluera aux côté du romain: La solution idéal serait Paulo Dybala dont il est inutile de s’exprimer. L’Inter est plus qu’attentive à la situation entourant l’argentin et la Juventus." "A la fin du mois, le club bianconero rencontrera son agent, Antun, de cette rencontre, beaucoup de choses en découleront. Marotta est prêt à intervenir dès que la fumée noire sera de sortie : Le salaire proposé serait celui octroyé à Alexis Sanchez, mais sans disposer des avantages du Décret Croissance dont bénéficie le chilien." "L’autre nom qui tient en haleine les Nerazzurri est celui du canadien évoluant à Lille : Jonathan David, né en 2000, il est l’héritier d’Osimhen dans le club français. Ce n’est pas une nouveauté qu’il est suivi par les scouts de l’Inter, il était déjà observé lorsqu’il évolué à Gand, club dans lequel l’Europe l’a remarqué. A présent son prix a changé : Il faudra débourser 50 millions d’euros dans une place connue pour être historiquement cher." "Sur le canadien, on retrouve la moitié de l’Europe dont le Fc Barcelone, l’Ac Milan, et la Premier League. Son agent Nick Mavramaras a d’ailleurs déclaré, il y a un mois : "Il va très certainement quitter Lille en fin de saison." Si l’investissement est onéreux, Jonathan David représente justement un profil qui manque dans l’organigramme offensif de Simone Inzaghi : A savoir un attaquant capable de d’attaquer la profondeur." Selon vous, mis à part Edin Dzeko, le rempart offensif Nerazzurro va-t-il intégralement changer ? ®Antony Gilles – Internazionale.fr
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L’Inter récolte plus que prévue en Ligue des Champions
Victor "Antony" Newman a posté un article dans Coupes d'Europe
En effet, c’est une révélation de Swiss Ramble, qui est relayée par Calcio&Finanza : Les Nerazzurri sont juste derrière la Juventus en termes d’encaissements pour cette édition de la Ligue des Champions. Mieux encore, ils perçoivent plus qu'estimé! Le Bayern en tête, l’Atalanta comme bonnet d’âne Les sommes en jeu tiennent compte exclusivement du parcours réalisé jusqu’ici, en prenant en considération la qualification en huitième de finale et l’élimination en phase de groupe. La répartition passe d’un maximal de 96 millions d’euros encaissés par le Bayern Munich pour terminer à la somme minimale de 33 millions d’euros qui seront encaissés par l’Atalanta. Tous les chiffres ont déjà été reproportionnés sur la base de la part en pourcentage qui sera déduite par l'UEFA en raison de l'urgence liée à la pandémie du Covid-19. Vu que la part de participation est la même pour tous les clubs participants au tournoi, soit 15,64 millions d’euros, la différence entre les clubs trouve principalement son origine dans les recettes redistribuées sur base du ranking historique/décennale et sur les bonus obtenus en fonction des résultats, soit les 9,6 millions d’euros en cas de qualification à la phase à élimination directe. L’écart entre les clubs s’amplifie, dans une moindre mesure, à cause du Market Pool, qui offrent également plus de richesses aux marchés télévisuels les plus importants Analyse sur les Tops Clubs Le Bayern Munich met tout le monde d’accord avec 96 millions d’euros bien répartis entre les différentes postes, sans oublier une pointe au ranking historique qui lui permet de percevoir 35,3 millions d’euros. La prime liée aux résultats est également élevée : 27,7 millions d’euros, tandis que la part la moins importante est relative au Market Pool : 20,06 millions d’euros. A la seconde place, on retrouve le Real Madrid qui "bloque" à 91 millions d’euros. Les Espagnols dispose de meilleurs recettes au niveau du ranking historique : 36,4 millions d’euros, mais encaisse moins sur les primes liées aux résultats: 24,7 millions d’euros, et au niveau du Market Pool : 17,8 millions d’euros. Le Paris-Saint-Germain occupe la troisième position avec environ 90 millions d’euros, grâce à un Market Pool plus important, vu qu’il n’a dû le partager qu’avec le Club de Lille. Il a été freiné dans les bonus liés aux résultats, vu qu’ils ont terminé à la seconde place de leur groupe, derrière le Manchester City de Josep Guardiola Et les Italiens ? La Juventus est la première en étant classée à la 9ème place pour des recettes estimée à 76 millions d’euros, ellle est suivie par L’Inter (12ème) et ses 63 millions d’euros Le Milan Ac (17ème) et ses 45 millions d’euros (Le club rossonero paie cher la non-qualification au tour suivant et ne comptabilise qu’une seule victoire en phase de groupe) L’Atalanta (22ème) et ses 33 millions d’euros. Enfin, si l’on examine les différents postes de revenus, on constate que le Real Madrid reste est en tête du classement historique/décennal, tandis que le Bayern excelle pour la prime de résultat. En termes de masse salariale, c'est plutôt Lille qui prend la tête avec la monstrueuse somme de 30,8 millions d'euros, soit près de la moitié du total des primes versés au Champion de France en titre. Le Saviez-Vous ? Lors de son dernier état financier, l’Inter avait estimée ses recettes, en provenance de la Ligue des Champions, à 59 millions d’euros. Une somme moins importante que celle qu’elle percevra et qui pourrait continuer à augmenter en fonction de la suite du parcours européen de l’équipe emmenée par Lautaro Martinez : Un parcours qui est loin d’être facile, suite au scandale lié au tirage au sort de la Ligue des Champions organisées par l’Uefa et qui verra les Reds de Liverpool défier les Champions d’Italie en huitième de finale...... Ce qui est pris n’est déjà plus à prendre ! ®Antony Gilles – Internazionale.fr- 7 commentaires
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Plus-Values, l’Inter "citée" “en exemple" par la Repubblica
Victor "Antony" Newman a posté un article dans Serie A
En cinq années, le poids du Mercato a quasiment doublé, en passant de 381 à 739 millions, mais avec peu de flux de liquidité. Le Genoa a réalisé des affaires avec la Juventus pour 123 millions et 78 millions pour l’Inter. Mais les situations sont opposées Comme le révèle la Repubblica, "le football italien est un système qui vit au-dessus de ses moyens, dépensant chaque année près d'un milliard d’euros de plus que ce qu'il ne gagne. Mais dans le silence de ses propres institutions, le Calcio a imaginé un système qui lui permet de ne pas sombrer : l'échange fantôme de joueurs surévalué ou presque." "En 2015, la Serie A a facturé 2,2 milliards pour 381 millions d’euros de plus-value (soit 17%). 5 années plus tard, cette somme a doublé pour culminer à 739 millions d’euros, alors que les recettes n'ont même pas augmenté d'un tiers. Tout le monde est fautif : Le Napoli a payé 20 millions d’euros sur les 71 requis pour Victor Osimhen en donnant à Lille des jeunes joueurs professionnel et un troisième gardien de but proche de la fin de carrière." "À la Juventus, l'impact des recettes a vertigineusement explosé en deux saisons :De 2018 à 2020, la période étudiée, les effets produits par les ventes de joueurs ont augmenté de 70 %. L'un des clubs avec lesquels la Juventus a mis en place un flux assez continu est le Genoa : Une somme proche des 123 millions d'euros de transferts ont circulé entre les deux écuries. En réalité, seuls 25 ont servi à gonfler les comptes courants. Le reste a été considéré comme valeur nominale d’échange, soit pour la même valeur, soit via une valorisation." "Il est complexe de comprendre l’intérêt sportif de ces tractations: Sur les 74 millions dépensés par la Juve, 14 apparitions ont été comptabilisée en Serie A : 12 pour Perin, 2 pour Zanimacchia. Le cas de Romero est le plus nébuleux : acheté pour 26 millions aux Rossoblù, et revendu pour 16 (avec une moins-value de 5 millions d'euros) à Atalanta qui l'a immédiatement vendu pour 55 millions à Tottenham de l'ancien Directeur Sportif de la Juventus Paratici." "Dans le projet à destination des investisseurs diffusé par la Juventus il y a quelque mois, la Juve a mis en avant "son attention qui a toujours été consacrée à son vivier, avec une politique de croissance et de développement des jeunes". Comme Audero, qui est parti à à la Samp pour 20 millions, ce qui a ouvert un canal d’opération de surévaluation des jeunes, qui si tout va bien, militent actuellement en Serie C." "Parmi les noms cité dans ce folder, on retrouve Favilli et Muratore, qui ont presque 24ans et qui, sans jamais avoir brillé, ont permis de rapport au club 19 millions d’euros via des négociation générée avec le Genoa et l’Atalanta. Dans le vivier, le cas le plus extrême est celui de Kean : vendu 30 millions à Everton avec une plus-value de 22 millions. Après deux saisons, il est revenu à Turin pour 35 millions d’euros.' "C’est difficile à l’expliquer, mais on voit des joueurs qui vont et qui viennent en Serie A" "Prenons l’exemple de l’Inter: Depuis 2018, six opérations ont eu lieu entre les Nerazzurri et le Genoa pour 78 millions d’euros : Chaque club a acquis trois joueurs. Dans les faits, seul 5 millions d’euros ont bougé car les joueurs concernés sont toujours restés les mêmes : En 2018, le Genoa avait acquis Radu, repris l’année suivante par l’Inter en dépensant un peu plus que ce qu’elle avait récolté précédemment. 12 mois plus tard, c’est le tour de Pinamonti : Vendu au Genoa pour 19 millions et racheté un an plus tard pour 21 millions: Ni lui, ni Radu n’ont jamais quasiment jamais joué Idem pour Vanheusden, vendu au Standard et racheté par la suite." Pourquoi un club en crise devrait-il dépenser pour des joueurs qu'il n'utilise pas ? "La plus-value comptabilisée après le premier transfert, est prise en considération." La Repubblica cite donc l’Inter, mais la somme mise en jeu est loin, très loin d’être incriminante : Toutefois, cela met en évidence un procédé qui est amené à disparaître à l’avenir Cela explique également le fait que Giuseppe Marotta se soit montré serein vis-à-vis de cette situation "L’Inter est-elle confrontée à des problèmes avec lesPlus-Value ? Absolument pas. J'ai envie de dire que le modèle italien doit garantir le commerce des joueurs. Nous sommes un championnat de de transition, les champions ne terminent pas leur carrière ici, nous l'avons vu avec Lukaku et Hakimi. Ceux qui viennent en Italie ont ensuite l'espoir d'aller en Premier League ou au Paris-Saint-Germain. Il faut aussi voir dans les situations d'Hakimi et de Lukaku que celles-ci ont générée des plus-values." Cité, mais pas incriminée pour l’instant, cela fera plaisir au club turinois qui se considère comme une victime ®Antony Gilles – Internazionale.fr- 5 commentaires
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Franco Vanni (Repubblica) : "Il n’y a aucune enquête sur l’Inter!"
Victor "Antony" Newman a posté un article dans Serie A
Franco Vanni est unj journaliste à La Repubblica toujours bien informé dans le monde du Calcio. Ce journal est d’ailleurs à l’origine du scandale actuel via l’article de son confrère: Matteo Pinci. Voici les révélations de Vanni à Radio Nerazzurra sur l'Inter Des plus-value loin des standards turinois! "Barella à Venise m'a donné l’impression d’être fatigué: Comme Forrest Gump il se donne toujours à fond et il n’a jamais été mis au repos par Inzaghi, et cela ne s’est pas passé non plus avec Conte. Le match face à Spezia pourrait être l’occasion de le laisser se reposer car, ensuite, il y a la Roma et le Real Madrid." "L’Inter a l’occasion d’arriver en tête, ou d'en être très proche pour Noël car les calendriers du Milan et du Napoli sont plus difficiles. Tout dépendra de la gestion du Vestiaire d’Inzaghi, en prenant en considération aussi le turnover." Passons à la thématique Zhang : Oui ou non ? est-ce possible de survivre au plus haut niveau avec un Président qui n’injecte plus de fonds ? "En Serie A oui: La Juventus traverse actuellement une tempête, le Milan ne fera jamais de folies en restant entre les mains d’un fond ‘investissement. Il ne reste que le Napoli et, même si cette période de longue épargne doit se poursuivre, l’Inter peut parvenir à rester à flot au niveau où elle se trouve." Vu de l’extérieur, il est difficile de voir le Calcio positivement : Ronaldo, Lukaku, Gianluigi Donnarumma et Romero sont partis et ils ont été primé pour leurs performances de l’année écoulée : Le Championnat ne parvient plus à conserver ses champions : Personne ne se réjouit actuellement du niveau de la Serie A." "L’Inter n’est pas dans une situation idéale sous le point de vue des certitudes de sa propriété, mais elle n’est pas la plus mal lotie comparé aux autres : Les projections relatives à un nouveau stade seront attractives pour de potentiels investisseurs, il lui sera possible de trouver quelqu’un si Zhang vient à faire un pas de côté : Le Stade est l’assurance-vie de l’Inter et du Milan." On en parlait déjà en 2019! Est-ce que la Repubblica enquête sur l’Inter ? "L’enquête turinoise sur la Juve est née à la suite de la parution de l’article de Matteo, l’article ne fait aucune référence sur l’Inter. Il établit un panorama sur les plus-values des clubs italiens et depuis 2009, tous les clubs italiens, mais également étrangers ont fait usage de la plus-value comme d'un instrument pour faire tourner les comptes, au-delà des flux disponibles dans les caisses." "L'UEFA se doit de calibrer le Fair-Play-Financier pour qu'il ne soit plus si facilement contournable, car c'est un moyen de joindre les deux bouts sans argent. Surtout avec des échanges ou des contreparties. Osimhen a par exemple était échangé via de nombreux jeunes dans le deal entre le Napoli et Lille." "Le football fait face à un système de dépense démentielle : 70% des coûts sont liés aux salaires des joueurs. Le vrai point le plus important devrait être de procéder à une petite réduction des dépenses." ®Antony Gilles – Internazionale.fr- 3 commentaires
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Voici un condensé assez complet en provenance de nos confrères supporters de Fiorentina.it et de la presse italienne relatif au nouveau scandale qui salit le Calcio. "Des fausses communications du club côté en bourse, en passant à l’émission de factures pour des opérations inexistantes", telles sont les thèses criminelles émises par le Parquet de Turin à l’encontre de la Juventus. Six personnes font l’objet d’une enquête en plus de la Juventus, le Club, qui elle est visée en qualité de responsabilité administrative : Le président Andrea Agnelli, le vice-président Pavel Nedved, l'ancien directeur sportif Fabio Paratici, aujourd'hui en poste à Tottenham, Marco Re, l'ancien Directeur financier du club qui était également le responsable de la rédaction des documents comptable du club jusqu’en juillet 2020. Stefano Bertola et Stefano Cerrato l’ont depuis lors remplacé. Parmi les personnes visées, Federico Cherubini, l’actuel Directeur Sportif qui a succédé à Paratici, n’est pas visé, même s’il a fait l’objet d’un interrogatoire de 9 heures lui qui est considéré comme une personnalité disposant d’informations sur de tels agissements. L’enquête vise trois saisons : 2018-19, 2019-20 et 2020-21, pour un montant total de 282 millions d’euros provenant d’opérations interprétées comme des "valeurs frauduleusement augmentée". La Position de la Juve, le Club "La Juventus prend acte de l’ouverte de l’enquête envers le Club et chacun de ses membres actuels. Comme il se doit, elle collabore avec les enquêteurs confiante de pouvoir éclaircir chaque aspect. La Juventus retient avoir agi dans le respect des lois et des règles qui régissent la rédaction des relations financières." Andrea Agnelli était au courant Selon le rapport de perquisition signé par les Procureurs Mario Bendoni, Ciro Sartoriello et le Procureur adjoint Marco Gianoglio, la Juventus et sa direction avait conscience de bénéficier de profits déloyaux dans l’état financier du club en exposant sciemment des faits matériels qui ne correspondait pas à la vérité et en omettant de transmettre des états de fait financiers pertinents dont la divulgation est requise par la loi. Comme en 2006 L'enquête est née d’interceptions téléphoniques, qui ont débutée en mai 2021 pendant la période du Mercato, tout comme l’enquête de la Consob lancée en juillet de la même année: "Il ressort des conversations une "confirmation expresse concernant la gestion malsaine des plus-values", utilisée de manière déformée comme un outil pour "sauver les comptes." Selon les enquêteurs, la haute direction du Club et Andrea Agnelli étaient conscient du comportement de Fabio Paratici et des conséquences financières extrêmement négatives, qui n’était certainement pas lié exclusivement au contexte pandémique connue. Fabio Paratici en mode parrain Le mécanisme des plus-values a été nommé "Gestione Paratici" qui a été défini comme "correctif des risques pris en termes d'investissements et de coûts liés aux achats et aux salaires écrits". Paratici était le "sujet le plus haut placé au niveau du département Sportif jusqu’en juin 2021 et il était l’architecte de la planification préventive des plus-values". Les anomalies dans les transferts de joueurs de 2019 à 2021 concernent dans la plupart des cas, des opérations miroirs présentant avec récurrences des contreparties, c'est-à-dire des mouvements d’"opérations à somme nulle sans mouvement d'argent et avec un double effet positif sur le bilans du club". A titre d'exemple, certaines négociations impliquant des jeunes de la Juventus sont citées, comme l’acquisition de Marley Ake à Marseille pour 8 millions d'euros avec la vente simultanée de Franco Tongya pour le même montant. Il y a ensuite les opérations réalisées à proximité des dates de fins de contrats comme l'achat de Rovella au Genoa pour 18 millions et la vente de Portanova et Petrelli pour 10 et 8 millions. La conclusion des enquêteurs est que ces transactions étaient déconnectées de la réalité, des valeurs réelles du Mercato: Etant purement comptables, elles étaient donc fictives. La lecture des éléments fait état que la Juventus a inscrit dans son budget des plus-values en 2018-19 de 131. 564.000 €, de 119.721.000 € en 2019-20 et de 30.832.000 € en 2020-21. Les interceptions téléphoniques se sont avérées décisives. Des dizaines et des dizaines de conversations téléphoniques qui ont eu lieu ces derniers mois entre les dirigeants de la Juventus ont été écoutées par le parquet de Turin depuis mai 2021. "Les amortissements et toute la merde. Qu’il y a en dessous, on ne peut pas le dire", dit à un moment l'un des interceptés, et ceci pour le parquet de Turin serait une autre des expressions qui impliqueraient l'utilisation de plus-values, auxquelles la Juventus a eu recours avec une "planification préventive". À un moment donné, dans une autre conversation, ils disent : "Il a été demandé à faire des plus-values...Au moins Fabio qui devait réaliser des plus-values, est parvenu à faire des plus-values." Une référence limpide à Paratici. Risques encourus Que risque la Juventus, le Club ? Le législateur sportif laisse un large pouvoir d'appréciation à la phase judiciaire. Dans l’article 31, on passe de la "tape sur la main" à une "maxi amende". Le paragraphe 1 stipule : "Sans préjudice de l'application des sanctions plus graves prévues par le règlement de licence de l'UEFA ou d'autres règles spéciales, le club qui commet les actes visés dans le présent paragraphe est passible d'une amende avec avertissement". Toutefois : "Un comportement visant en tout état de cause à contourner les règles fédérales en matière de gestion du Club par la falsification de leurs documents comptables ou administratifs ou par toute autre activité illégale ou frauduleuse, qui tentent d'obtenir ou qui ont permis d’obtenir l'inscription à une compétition à laquelle elle n’aurait pas été admise sur base des dispositions en vigueur..." est retranscrit au second paragraphe 2 Les sanctions peuvent être donc lourdes de conséquences : On peut débuter par des points de pénalisations à l’exclusion du Championnat. Jusqu'à présent, un mur d’impossibilité d’établir des critères objectifs pour déterminer la valeur d’un joueur a été dressé, dabs ce type de dossier Pour être clair : l’interprétation des chiffres peut sans aucun doute porter à mettre en évidence des anomalies, mais pour arriver à la sanction la plus lourde, il faut établir un contexte accablant. C’est d’ailleurs pour cette raison qu’il reste une inconnue : Quelles sont les cartes en main à disposition du Parquet de Turin ? Cricri d’amour ? Ronaldo n'est plus là, mais il fait encore parler en Italie : Le Portugais fait partie des joueurs visés par le mandat de perquisition émis par les procureurs de Turin. Attention : Ronaldo ne fait pas partie des suspects, mais son nom apparaît dans l'une des interceptions de la Guardia di Finanza. Dans les conversations, on parle de la "fameuse "carte" qui ne devrait théoriquement pas exister." Selon les enquêteurs, il s’agirait d’un "écrit privé" qui faisait référence à la relation contractuelle de Cristiano Ronaldo et de ses arriérés salariaux : En effet, Cristiano a toujours été traité différemment des autres, il ne serait donc pas surprenant qu'il ait eu des accords "particulier" avec le club. Il reste à comprendre à quoi font référence ces "arriérés" qui sont mentionnés par les Procureurs et qui, selon l’acte d'accusation, met en évidence le fait que la Juventus avait l'intention de garder cela secrets et sans l’existence de documents. La DEA visée ? Il y a une autre écriture privée qui est mentionnée par les procureurs et qui concerne Merih Demiral et Christian Romero. Dans ces deux cas, il s'agit d'un "écrit certifiant l'existence d'une "obligation non-fédérale" à la charge du club sportif de l’Atalanta dans le cadre de la double opération de mercato" des deux défenseurs. Pour ceux-ci, il n'y a pas eu de communications ou de publications. Romero a été acheté par la Juventus en juillet 2019 en provenance du Genoa pour 26 millions d'euros, mais il n’a ensuite jamais joué sous le maillot des Bianconeri. Il s'est retrouvé prêté deux ans à l'Atalanta, le club de Bergame disposait d’un droit de rachat et non d’une obligation. Celui-ci l’avait racheté pour 16 millions, une somme déjà établie, lors de l’été 2021, pour le revendre ensuite à Tottenham pour 50 millions d'euros. Bon à savoir : Tottenham venait d'engager Fabio Paratici comme Directeur sportif à ce moment-là. La Dea, pour remplacer Romero a de nouveau fait appel à la Juventus et Demiral est arrivé en prêt avec droit de rachat. Ce chassé-croisé entre les deux clubs a alerté les enquêteurs Les transferts visés Ils sont très nombreux (42 sur 62), voici les cas les plus particuliers: Il s'agissait d'équipes étrangères "inférieures" telles que Lugano (Lungoyi-Monzialo) et Amiens (Nzouango-Fonseca) et d'équipes italiennes de Serie C telles que Pro Vercelli (De Marino-Parodi), Novara (Barbieri-Lamanna) et Pescara, relégué de Serie B (Brunori-Masciangelo). Ils sont aussi passé dans d’autres catégories avec Pise (Gori-Loria) et Parme (Minelli-Lanini). Sans oublier le retour à l’étranger avec Marseille (Aké-Tongya) et Bâle (Hajdari-Sene) Sans oublier la Serie A, avec des opérations impliquant plusieurs joueurs et Empoli (Lipari, Maressa et Olivieri ; Adamoli et Mancuso), le Genoa (Rovella ; Petrelli et Portanova) la Sampdoria (Mulè, Vrioni, Peeters ; Audero, Francofonte, Gerbi, Stoppa, Brentan). Le tout sans oublier les grands internationaux du calibre de Manchester City (Correia et Danilo, Moreno et Cancelo) et de Barcelone (Marques et Arthur ; Pereira et Pjanic). Mais il n’y a pas que la Vieille Dame Le plus sensationnel est l'accord entre Naples et Lille qui a amené Osimhen dans le club du Vésuve et envoyé Karnezis, Manzi, Palmieri et Liguori en France. Il y a également la Sampdoria et le Chievo avec Depaoli et Leris en Ligurie et Leverbe et Ivan à Vérone. En plus de la Sampdoria, deux autres clubs déjà vus avec la Juve ont surgi : Parme et Pescara (Pavone, Machin, Napoletano, Cipolletti, Palmucci, Brugman et Martella ; Galano, D'Aloia, Madonna et Brunori, encore). Enfin, le Corriere Dello Sport cite également la Roma parmi les équipes concernées. Pour la Repubblica, cette enquête fait trembler le Calcio Le parquet de Turin a ouvert une enquête sur les plus-values du marché du football de la Juventus. Sur les 322 millions d'euros comptabilisés ces trois dernières années, 282 millions proviennent d'opérations visées par une enquête gérée par La Guardia di Finanza. C'est ainsi que débute l'article de la Repubblica sur l'enquête de la Guardia di Finanza sur la Juventus. Le journal illustre donc la situation en détail : "Les services de certains agents sportifs sont également examinés par les Procureurs, qui soupçonnent que des mandats fictifs ont été préparés pour certaines négociations : d'après les appels téléphoniques, les paiements sembleraient ne pas correspondre aux opérations conclues. L'enquête du Ministère Public pour fausse comptabilité, fausses communications sociales et fausse facturation a débuté en mai sur la base d'articles de presse et concerne en grande partie des 'opérations miroir', c'est-à-dire des échanges de joueurs et la vente de jeunes de l'équipe des moins de 23 ans, la deuxième équipe de la Juventus qui évolue en Serie C". "L'enquête ne concernera pas seulement la Juventus mais aussi les clubs qui ont conclu des transactions suspectes avec les Bianconeri. "Trois mois d'interceptions dans la période clé du Mercato ont conduit les enquêteurs à croire qu’un véritable "système" a été mis en place pour équilibrer les comptes à la Juventus Spa, pour corriger les pertes et gérer les budgets dans les exercices allant de 2019 à 2021. Un système qui, pour les enquêteurs, porte une signature précise, celle de Fabio Paratici aujourd'hui à Tottenham, mais qui, jusqu'en mai dernier, occupait le rôle de "Manager à responsabilité stratégique soit de Chief Football Officer et de Managing Director de la Juventus." affirme la Repubblica. Si l'on commet un délit dans le monde des affaires, il faut généralement être deux, à savoir les deux parties qui gèrent les négociations: Dans ce cas-ci, la Juventus semble être l’actrice principales, mais il existe toute une série d'autres clubs qui, au moins une fois au cours des trois dernières années ont réalisé des échanges avec la Juventus sous la bannière des plus-values, lors des périodes faisant l'objet de l'enquête. La FIGC ne l’a pas bon Et à juste titre: L'enquête du parquet de Turin sur la Juventus a inévitablement remis sur le tapis la délicate question des plus-values. Le club de la Juventus n'est certainement pas le seul à avoir eu recours à cet instrument au fil des ans, mais les nouvelles à ce sujet poussent la FIGC à devoir reprendre rapidement le contrôle de la situation. Comme le rapporte Il Fatto Quotidiano, les plus-values ne sont certainement pas une nouveauté, étant donné qu'en Serie A elles s'élèvent à environ 700 millions d'euros par an, soit 20% en moyenne du chiffre d'affaires des clubs. Un choc frontal avec ce phénomène avait eu lieu, par exemple, à l'été 2018, lorsque le parquet de la FIGC alors dirigé par Giuseppe Pecoraro avait assigné le Chievo Verona et Cesena en justice : 3 points de pénalité pour les Veneti, mais rien pour les Romagnoli, déjà en faillite. A l’époque, les juges avaient estimé qu’il était en fait impossible de quantifier la valeur d'un joueur, liée au Mercato, et donc de prouver une faute. Les critères objectifs permettant de définir la valeur d'un joueur constituent, en fait, la principale pierre d'achoppement dans la tentative de limiter les gains en capital. Cette situation a connu un bouleversement uniquement vers la fin de l’année 2020 lorsque la Covisoc a ré-ouvert le dossier et l'a déposé sur la table du président Gravina, en demandant de s’y'intéresser, de même qu’au Parquet fédéral. Parallèlement, les contacts avec la Consob, qui a également ouvert une enquête vue que la Juventus est cotée en bourse, a débuté à la même période. Cela explique la liste bien connue des 62 opérations impliquant plusieurs clubs et joueurs, de la Juve à Naples en passant par le Genoa, de Pjanic à Osimhen en passant par Rovella. Le parquet de la FIGC a donc ouvert un dossier, bien que le président Gravina ait défini l'enquête comme "non persécutrice mais cognitive". Avec l'enquête du parquet de Turin, cependant, l'affaire devient encore plus sérieuse et si la détermination de la valeur d'un joueur reste un obstacle fondamentalement insurmontable, la FIGC pourrait trouver un autre moyen pour éradiquer ce fléau Le président fédéral Gabriele Gravina est déterminé à mettre un terme à ce phénomène par le levier des licences nationales et un système est à l'étude pour épurer la présentation des bilans par les clubs pour l'inscription aux championnats. Celui-ci ne prendraient plus en considération l’enregistrement des plus-values dans les flux financiers: Une plus-value de ce type est ce que l'on appelle les échanges, qui, d'une part, apportent des revenus au compte de résultat des deux clubs impliqués dans l'opération, mais qui, d'autre part, n'enregistrent aucun mouvement d'argent. Marco Donzelli (Président de la Codacons), veut faire de la Juventus un exemple "Si la Juventus a illégitimement profité des clubs rivaux avec des opérations de ce type, la régularité des derniers championnats de football serait compromise et, par conséquent, la Fédération et l'Autorité de la concurrence du marché devraient intervenir et sanctionner les responsables. Au-delà de la responsabilité individuelle, le club ne peut être exempté de toute sanction. Pour cette raison, et pour protéger des milliers de supporters, nous allons déposer une plainte auprès de l'autorité antitrust et du parquet fédéral pour demander la relégation du club bianconero en Serie B et la révocation des derniers championnats remportés à l'ombre de ces opérations potentiellement illégales". Notre avis Alors que l’Inter et le Milan ont extrêmement souffert financièrement ces dernières années, aucune des deux écuries milanaises n’est citée : Le fait d’être passé sous gestion asiatique et américaine ont permis aux deux géants milanais de ne pas se retrouver au cœur d’un vaste scandales. Reste à présent à savoir si les sanctions auront un effet rétroactif. Dans un tel cas, le Scudetto de la saison 2018/2019 pourrait se voir retirer à nouveau à la Juventus (Jamais deux sans trois) sans désignation du Champion, ce qui devrait être le scénario le plus probable si le club est jugé coupable. La relégation semble "peu" probable. Mais attention également au fait que s’il est considéré qu’il y ait un retrait de points avec désignation d’un Champion, et pour autant que l’Inter ne soit pas impliqué (ce qui semble bien être le cas) le 20ème Scudetto pourrait lui être attribué sur tapis vert, étant donné qu’un seul et unique petit point séparés les deux ennemis-jurés de la Serie A. La Juve en Serie B, l'Inter titrée serait donc un remake du Calciopoli, mais si la ‘tricherie’ n’a pas eu lieu sur le terrain, la Juventus se retrouve, à nouveau dans le collimateur de la justice à cause de sa Direction: Il serait peut-être temps de songer à passer la main les gars ! ®Antony Gilles – Internazionale.fr
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En effet, la Covisoc a enquêté et a établi et transmis un rapport sur la thématique des plus-values, la célèbre pratique du Mercato qui s’est avéré, dans le temps, devenir un véritable système de santé pour préserver les budgets des clubs de football: Ce gain en capitaux a connu une croissance importantes ces dernières années et si pour la plupart des transactions, les clubs ont montré pattes blanches, la situation est bien plus problématique pour la période 2019-2021. En effet, 62 transferts suspects ont été mis en évidence : 42 impliquent directement la Juve ! Révélation de la Repubblica "Soixante-deux transferts du mercato, concentrés sur la période 2019-2021, font l'objet d'un rapport qui a atterri sur la table du Parquet Fédéral. Des échanges à des prix élevés, parfois très élevés, sans vraiment toucher à un seul euro. Ou presque: La Covisoc (soit la Commission de surveillance des clubs de football) a envoyé au Procureur de la FIGC Giuseppe Chinè et pour information au Président Gabriele Gravina un rapport sur les plus-values réalisées au cours de ces deux dernières années, en les invitant à approfondir la nature de ceux-ci." "Pour la Covisoc, ces transactions semblent avoir un impact significatif sur les comptes, mettant en évidence des problèmes critiques. Le rapport est générique : la dénonciation d’un système" La Vieille Dame dans le viseur "Franco Tongya et Marley Aké, que la Juve et Marseille ont échangé pour 8 millions (soit pour un solde nul) des joueurs évoluent jouent respectivement dans la quatrième division française et en Serie C. Il y a également les quatre joueurs de Naples que Lille a inséré pour 20 millions dans l'affaire Osimhen : Trois sont retournés en Italie, Deux en Serie D, un en Serie C, le dernier est toujours présent à Lille sans avoir jamais joué." "Dans la plupart des cas, le club impliqué est la Juventus et la Consob s'est montré active à ce sujet : Les transferts concernés sont au nombre de 42, et il y a notamment 21 joueurs échangés pour 90 millions d'euros. Ces transactions ont d'ailleurs réellement vu circuler un peu plus de 3 millions d'euros pour générer dans le budget du club bianconero des bénéfices de plus de 40 millions d’euros." "Il y a aussi les transactions à l'étranger : Pjanic-Arthur avec le Barça, Cancelo-Danilo avec City, les sommes sont élevées, mais il s’agit des joueurs de premier rang." Pensez-vous que cette nouvelle "affaire" pourrait pénaliser à nouveau la Vieille Dame en Serie A ?Ceferin pourrait-il en profiter et intervenir vu les sommes dévoilées ? 16 ans après le Calciopoli, il semble que certaines leçons n’ont toujours pas été retenues… ®Antony Gilles – Internazionale.fr
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