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  1. Javier Zanetti est revenu sur sa carrière dans un podcast en compagnie de Giacomo Poretti "Je continue à m’entrainer, je joue avec mes enfants, cela fait partie de moi, je le fais car je me sens bien. Les temps ont tellement changé comparé à notre enfance, je jouais en Argentine sur un terrain de terre battue avec la boule au ventre avec de la peur à l’intérieur, c’est comme ça que j’apprenais à joueur. "Parfois, je parle à mon fils qui joue sur des terrains parfaits et qui se plaint même lorsqu'il pleut. Nous devons nous adapter à ce que nous vivons aujourd'hui. Quand j'étais enfant, j'encourageais l’Independiente en Argentine et je m’imaginer à commenter ce que je voyais pendant le match, c'est un moment que je n'oublierai jamais: J'étais tellement heureux avec peu de choses, les choses simples sont celles qui vous rendent le plus heureux, une époque fondamentale pour moi. Papa m'avait fait un terrain derrière la maison, ma mère vendait des bonbons, papa venait me voir, c'était la belle époque". Te surnommais-t ’on déjà El Tractor petit ? "J’ai toujours bien aimé courir derrière le ballon et cela n’a jamais changé, puis lorsque je suis arrivé en Italie, j’ai dû m’adapter." Ton idole d’enfance ? "C’était Bochini, le numéro 10 dell'Independiente, qui a ensuite remporté le Mondial avec Maradona : Il a fait une carrière similaire à la mienne avec l’Inter car il a joué toute sa vie à l’Independiente." Trop de parents en demandent tellement parfois à leur enfants.... "Parfois, je préfère m’éloigner pour ne pas entendre certaines choses : C’est le monde dans lequel nous vivons, il y a une misse sous pressions sur des jeunes enfants alors qu’à cet âge-là, il faut s’amuser, grandir avec les valeurs du sport : Si tu deviens professionnel, oui, là tu seras sous pressions, mais à un si jeune âge, il faut s’amuser, point." Y-a-t ’il des différences entre le football argentin et l’talien ? "Les premiers temps tout me semblait particulier car les Tifosi me félicitait car je gardais le ballon dans les pieds et mes équipiers enrageaient et m’insultaient car je ne leur donnais pas le ballon. Je me suis rendu compte que les deux football sont différents : Nous aimons aller de l’avant avec le ballon, avoir de l’espace et prendre le temps que l’Italie ne propose pas. En argentine, tu as plus d’espace, à l’Inter et en Italie, tu as beaucoup moins de temps pour y penser." Ton premier entraineur en Italie ? "Ottavio Bianchi, il m’a appelé et m’a mis face à une map d’un terrain de football en me demandant là où je préférais jouer, je lui ai dit à droite et il m’avait mis sur l’aile gauche là où évoluait Roberto Carlos." "La semaine suivante, c’était l’ouverture du championnat face à Vicenza, j’y ai ressenti cette émotion incroyable qu’est le Meazza et le destin à voulu que nous gagnions le match 1-0 et c’est là le début de mon Histoire avec l’Inter, la première de mes s 858 parties." Tu as eu tellement d’entraineurs, aussi parce que Moratti avait une de ces paires de couilles et qu’il changeait souvent d’entraineur... "Une année, j’en ai connu quatre, elle était difficile : Lorsque tu es dans une équipe comme l’Inter, tu es habitué à gagner : Moratti investissait tellement et il ne parvenait pas à gagner, ensuite le temps nous a permis de…" Te rappelles-tu tous les entraîneurs ? "Tout, vu tout ce qu’ils ont fait avec nous. Je me souviens de Simoni qui était pour nous un Père, il était parvenu à créer une Famille, ce qu’est pour moi l’Inter, il avait créé un groupe compact aussi via son Leadership qui était silencieux, il était très franc, il y avait une excellente ambiance. Hodgson? "J’ai eu un soucis avec lui, mais c’est moi qui m’étais planté. Lors de la première finale de Coupe UUEFA je n’avais pas compris mon remplacement : Bertin était monté et il ne restait qu’une minute de jeu avant d’aller aux tirs aux buts... Lors de ce remplacement, j'étais furieux de n'avoir rien capté mais nous nous sommes serrés dans les bras trois secondes plus tard et aujourd'hui, lorsque nous nous voyons, nous rions de cet épisode." "Et puis, bien sûr, Mourinho est , un très grand connaisseur, avec un grand charisme, un gagnant : J’étais en Argentine et il m’avait appelé pour me prévenir qu’il venait de signer avec l’Inter, il se présentait en me disant que je serai son capitaine et en s’excusant pour son italien qui pour moi était parfait : Il était en avance sur tous, d’une autre catégorie." Mon dernier entraineur ? "Mazzarri" Tu as l’intégrité morale et physique pour toi Javier : Avec un tel surnom, tu n’as connu qu’une seule blessure, mais elle était très sérieuse "Mère Nature m’a fait jouer jusqu’à mes 41 ans sans avoir connu la moindre blessure, sinon celle qui m’est tombé dessus à 39 ans, je m’étais rompu le tendon d’Achille et je m’étais immédiatement rendu compte que c’était quelque chose de grave." "Tous pensaient que ma carrière était finie, moi-même j’avais conscience de sa gravité, mais je pensais déjà à me faire opérer et à revenir. Je n’avais pas envie de partir de cette façon et je voulais offrir à mes Tifosi une nouvelle saison comme protagoniste et prendre ma retraite devant mes Tifosi : Le Sport est comme la Vie de tous les jours, tu dois surmonter les problèmes de la même façon : Je voulais revenir, et je suis revenu et je me suis offert encore une autre saison." Il y aussi l’aspect mental qui joue dans les blessures : Certains ne sont jamais parvenus à s’en sortir... "Si tu es fort mentalement, tu réussiras difficilement à te faire mal, si tu as la tête ailleurs, et c’est valable aussi dans la vie quotidienne, là ça peut influencer. Certains doivent travailler aussi sur le mental car il faut savoir être résistant, se relever si l’on tombe à terre. Les psychologues sont important dans les équipes d’aujourd’hui, ils sont les bienvenus, mais lorsque je jouais, ils n’étaient pas là : Ils sont utile pour ceux qui en ressente vraiment le besoin." Lorsque l’on parle de mental, on se doit de parler du Special One, On percevait que Mourinho était forcément spécial, je ne sais pas s’il a apporté quelque chose de nouveau au football, mais les joueurs de l’Inter semblaient transformés "Il nous a poussé à croire que nous pourrions gagner aussi au niveau européen, il nous a poussé bien au-delà de nos limites, il nous a fait croire que ce que nous faisions quotidiennement durant la semaine allait nous permettre d’atteindre de très grands résultat. Nous avions tous cette conviction, celle d’être sur la bonne voie, il a construit une équipe en deux ans et nous nous sentions imbattables. Pour que l’on s’incline, les autres se devaient de réaliser quelque chose d’extraordinaire, c’était un grand Maestro ? Lorsque je le vois en conférence, il propose une certaine façade car lorsqu’on le connait en réalité, il est très facile à vivre, compréhensif, il traite tout le monde sur le même pied d’égalité, il ne fait aucune différence, si tu jouais, c’est parce que tu le méritais : C’est un Leader né." Que peux-tu ressentir, même si tu ne l’as jamais fait, un joueur qui est sur le banc ? "Souvent, les personnes ne s’expriment pas sur ceux qui viennent du banc, mais ce sont eux qui te font gagner, eux qui te font bien t’entrainer, il faut avoir un très grand respect pour eux. J’allais vers le banc lorsque je marquais car pour moi ils étaient fondamentaux et ils pouvaient s’avérer eux aussi fondamentaux dans les périodes les plus importantes de la saison : Qui venait du banc te faisait gagner le match. A présent, il y a cinq remplacements, et tous sont bien mentalement lorsqu’ils montent car ils peuvent tout te faire gagner le match, peu importante la qualité individuelle." Des râleurs ? "L’équipe du Triplé par exemple était un groupe extrêmement fort : Tous se sentaient important. Nous avions un entraineur qui était parvenu à te transmettre que nous étions tous importants. Je dis toujours à l’équipe que le plus important reste le groupe, si chacun pense pour sa gueule, tu parviendras difficilement à l’emporter. Tu n’as jamais eu peur, Javier au cours de ta carrière, de ne jamais rien gagner ? "La peur fait partie du métier, mais si tu es serein envers toi-même, que tu fais tout pour que les autres aillent vers une certaine direction, tôt ou tard , le travail paye : Si tu te montres constant, résilient, tôt ou tard les résultats arrive, avec l’Inter j’ai connu mes dix premières années compliquées mais ensuite je suis parvenu à tout gagner les dix années suivante : La vie est comme, ce n’est pas uniquement que dans le monde du sport, la peur fait partie de la vie quotidienne. Comment vis-tu l’anxiété en cours de match : En 2010 par exemple, lors de Sienne-Inter, il y avait une pluie d’occasions mais rien ne rentrait jusqu’à dix minutes du terme, Il y avait même eu un milaniste qui avait tenté de te perturber sur ta passe magique vers Milito qui a marqué. J’étais parti à sa recherche et il n’était déjà plus là "Ce match là était bien plus difficile que la Finale de la Ligue des Champions car la tension était incroyable, surtout dans les dernières minutes. Nous avions marqué dans ce match et il restait encore quatre minute de jeu, ensuite Rosi, l’ailier romain a fait un centre qui, jusqu’au moment de sa sortie, a fait que j’ai regardé Maicon qui était devenu blanc (il rit tous) Julio César avait soupiré. Il y avait ce match là et la demi-finale retour à Barcelone, Je l’ai encore regardé, cela semblait être une éternité, un match qui ne se terminerait jamais : Au coup de sifflet final, la libération était totale. Ces trois journées magiques ont débutée avec la Coupe d’Italie: Ma femme était invitée à un concert de Dalla-De Gregori elle voulait y aller et je l'ai satisfaite, même si j'avais conscience que c’était la date de la finale, j'ai crié dans le bus du concert, quand nous avons marqué... "Ce sont des moments que nos épouses ne peuvent pas comprendre." Ensuite, il y a eu la Finale de Madrid, comment l’as-tu vécu ? "J’étais en chambrée avec Cordoba nous sommes tous les deux croyants et lui est dévoué à Sainte Rita. A minuit, nous sommes allés bruler un Cierge pour Sainte-Rita dans la Chambre et nous nous sommes endormis ensuite tous les deux : Heureusement que rien ne s’est enflammé car nous aurions pu être brûlé" "La Finale, avec comme premier impact le Bernabeu, était si belle, notre Curva était pleine, pleine de monde, Chacun d’entre nous avait face à lui des personnes qui pensait que nous ne pouvions pas ne pas leur offrir la Victoire, cette Victoire. Au moment où j’ai soulevé la Coupe, je n’étais plus moi-même et je n’étais as le seul, c’était un moment bien trop beau. Ensuite nous avons vu les images du Duomo à la télé, qui était comble, Milan plein d’Interiste, Seule l’Inter est comme ça, j’avais 37 ans et je disputais mon 700ème match avec l’Inter ce soir-là. L’arbitre laissait trois minutes de récupération et Julio Cesar prenant le ballon, j’étais déjà entrain de pleurer tandis que Samuel était encore contracté et Maicon faisait déjà la fête." Quel est l’impact de la Famille dans une telle carrière ? "L’harmonie à la maison est fondamentale car elle fait partie du métier. Moi et Paulo partageons toute une vie ensemble, elle avait 15 ans et moi 19, elle devait encore en terminer avec la scolarité lorsque nous sommes arrivé en Italie. Nous avons trois enfants, tous les trois sont nés à Milan : Sans Eux, sans Paula, je n’aurais jamais fait une telle carrière." Dévoué à Sainte Rita, à quel point la Foi compte dans ta vie ? "Je suis allé à Cascia, je vais souvent à l’Eglise et même à la Pinetina nous avons une Chapelle. Maicon ne venait pas, mais il nous regardait de la fenêtre. Pourtant les Brésiliens indiquent toujours le ciel avec leur doigts à chaque but (il rit) c’est quelque chose que je ne comprends toujours pas." Javier, je t’en prie, parle-moi de Taribo West "Un phénomène, trop divertissant, Durant 80 minutes, il pouvait être concentré pour faire ensuite ce que bon lui semblait lors des dix minutes restantes, un jour, il a pris le ballon et s’est barré. Taribo revenait ensuite et, faisait à sa mode, c’était trop marrante. Un jour, alors que Lippi parlait tactique, il lui a demandé de raccourcir. A un moment, le milieu de terrain passait à l’attaquant le ballon et Lippi lui avait dit aussi de faire court. Taribo avait refusé et avait répondu : "Dieu m’a dit que je ne devais pas faire court." et nous avons tout de même remporté la Coupe de l’Uefa avec Taribo. Lippi lui avait répondu : Mais Dieu ne m’a rien dit à moi." Le joueur le plus fort avec qui tu as joué ? "Ronaldo sans aucun doute." L’adversaire qui t’a mis le plus en difficulté ? "Un jour, Simoni m’avait demandé de marquer Zidane, c’était difficile durant toute la rencontre. Ensuite, je dirais Kakà du Milan." Et dans les Derby ? "Il y a eu des bagarres folles avec Gattuso et Nedved, mais toujours dans le plus grands des respects, il y aussi eu Maldini et c’était toujours dans les Derby. Lors de mon premier Derby, devant 80.000 personnes, je me souviens d’une faute qui valait un pénalty de Baresi sur moi, il m’avait relevé en sommant de me lever: C’était Baresi et c’était pénalty." Ces batards ne te l’avaient pas accordé "Selon moi, avec la Var, il m’aurait été accordé." Comment vis-tu ta popularité ? "Avec une totale normalité, j’ai un très grand respect pour les personnes et pour les Tifosi : Ils font de très grands sacrifices pour venir voir les entrainements, les matchs et qu’est-ce que ça change pour moi de m’arrêter un peu et de leur apporter du respect ? J’ai la chance d’être sur le terrain pendant 90 minutes, mais après le match, je lui l’un des leurs." Comment est la vie en Italie ? "Je suis amoureux de l’Italie, je me considère comme un Italien, mes trois enfants sont nés à Milan, j’ai pleuré lorsque l’Italie a été éjectée par la Suède de la Coupe du Monde au Meazza : L’Italie m’a ouvert ses portes alors que j’étais un inconnue, je lui dois tout, j’ai un très grand respect pour ce Pays et lorsque je vais à l’étranger, je me rends compte à quel point elle me manque. Mes grands-parents étaient originaires de la province de Pordenone." A quel point as-tu profité de la Victoire de l’Argentine en Coupe du Monde ? "J’étais parti tout le mois au Qatar en Famille et j’avais l’impression que toute l’Argentine était là, Dès mon arrivée, j'ai senti le désir des Tifosi de remporter la Coupe du monde, qui était attendue depuis tant d'années. Et voir Messi soulever le trophée. J'ai ensuite eu la chance d'entrer sur le terrain et de le remercier, au nom de tous les Argentins, pour la joie qu'il nous a donnée. Je retourne toujours là-bas à Noël, en short parce que c'est l'été. Et nous retournons en fin d’année scolaire. Maintenant, je travaille pour mes enfants comme Uber, je prends l'un et j'amène l'autre." Et ta Fondazione Pupi? "Elle est née en 2001 dans une période qui était difficile pour l’Argentine, je me sentais le devoir de faire quelque chose avec Paula pour notre pays, pour les personnes qui étaient en difficultés et nous avons trouvé cette façon de venir en aide à tant d’enfants afin qu’il puisse trouver la bonne voie. Nous avons aidé, jusqu’à présent, plus de milles enfants." Avec qui aurait-tu aimé jouer ? "Avec Maradona forcément, mais il avait arrêté aussi lorsque j’ai débuté ma carrière en équipe national. Pour tout ce qu’il représentait, j’aurais tant voulu jouer avec lui." Et qui aurais-tu voulu à l’Inter ? "Messi" ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  2. Demain, Javier Zanetti aura 50 ans. Il les passera avec sa famille lors d’une fête surprise organisée par sa femme Paula. Comme il le raconte à la Gazzetta dello Sport , il en a passé 28 en Italie, "à l'Inter, et c'est un privilège. Le club , l'entraîneur, la partie sportive, chacun sait qu'il est là quand il le faut. Toujours en pensant à la croissance du club. J’étudie à nouveau et je suis inscrit au cursus Management et Entrepreneuriat à Bocconi. Toujours avec l'idée d'être utile au club." La finale perdue à Istanbul. "Je m'attendais à une finale comme celle-là, équilibrée et jouée avec courage. Des opportunités exploitées et un peu de chance, c'est ce qui manquait mais nous sommes fiers de nous." Inzaghi. "Sa principale caractéristique est sa tranquillité, Gigi Simoni avait ce calme qu'ont les forts." Lautaro. "Il a pris la bonne mesure, avec humilité. Il doit confirmer son leadership avec encore plus de responsabilités." Lukaku. "Pour ce que l'Inter a fait pour lui, on s'attendait à un autre comportement ; en tant que professionnel et homme. Il a le droit d'aller où il veut, Dieu nous en préserve, il fallait juste qu'il le dise à temps. Personne, cependant, est plus grand que le club et lors de la constitution d'une équipe, vous devez toujours considérer qui vous mettez dans le vestiaire." Parmi les images du passé, il choisit la présentation avec Rambert, la demi-finale perdue en Ligue des champions en 2003, le match d'adieu en 2014 contre la Lazio et la finale des champions remportée en 2010. Outre, bien sûr, sa famille. Le plus fort ? "Zidane (mais dans l'interview on lui a demandé de ne pas citer Messi ou Ronaldo, ndlr)." Le plus sous-estimé ou le plus incompris ? "Recoba n'a pas exprimé sa grandeur. Il n’était pas au bon moment." Les plus sympas ? "Maïcon et West." L’Inter une famille. "Ceux qui passent par ici repensent toujours à l'Inter avec joie. Peut-être qu'ils ont envie de revenir... La direction peut changer mais il ne faut pas perdre notre identité et je me bats pour ça. Un sens de la famille que j'ai senti dès le premier jour Une famille résiliente dans les difficultés, qui se reconstitue." Une énième déclaration d'amour pour le club. "Je me vois actif, toujours prêt à tout donner pour l'Inter. Parce que l'Inter sera toujours là pour moi. Même si je n'ai pas de rôle ou que je reste loin du club, je ne peux pas enlever ces couleurs." Traduction alex_j via FCInterNews.
  3. Javier Zanetti, Vice-Président de l’Inter et Parrain d’Internazionale.fr s’est livré à Tyc Sport sur Lautaro Martinez, Lionel Messi et la Finale à venir face à Manchester City Lauti "Lautaro Martinez a une mentalité impressionnante, il inspire le respect sur et hors du terrain, il est heureux à l’Inter, je suis serein." Messi "Le Fair-Play-Financier complique les choses. A présent, l’Inter fait les choses bien: Elle porte en avant un projet économique et sportif en adéquation avec ce qu’elle peut dépenser et acquérir et qui ne le voudrait pas de Messi ? Mais nous ne sommes pas dans la capacité de l’embaucher, tout le monde le veut, mais peu savent le rémunérer et c’est juste que cela soit ainsi pour ce qu’il représente et ce qu’il faut : Nous parlons d’un Champion du Monde en titre et il ne peut pas faire partie de notre projet actuellement." Valentin Carboni "C’est un garçon très intelligent, il vient d’une famille de footballeurs et depuis qu’il nous a rejoint, il n’a jamais cessé de s’améliorer. Cette année il a d’ailleurs conservé une présence fixe en équipe première. C’est un joueur qui a la capacité de faire la différence à n’importe quel moment de la partie. Il pourra réaliser un très beau Mondial U-20 et il a un futur important face à lui, le fait qu’il puisse devenir protagoniste lors de ce Mondial l’aidera énormément pour le futur." Je l’ai laissé rejoindre l’Argentine car je crois qu’il a besoin de temps de jeu : C’est une Coupe du Monde et il y a aussi ce besoin de respecter la Seleccion : J’ai échangé avec Mascherano et cela s’est fait de cette façon : Nous en sommes fier, nous le voyons heureux, c’est aussi important pour la Nazionale et j’espère qu’il pourra aller jusqu’en Finale. Valentin fait partie de l’Inter et s’il ne parvient pas à se qualifier pour la Finale avec l’Argentine, même si j’espère qu’il y parviendra, il sera surement de retour avec nous, pour être à disposition pour la Finale de la Ligue des Champions." Le Real Madrid "Je suis serein pour Lautaro car il est fier et je ressens sa fierté lorsque je le vois avec nous : Je ne suis pas inquiet en sachant ce qu’il représente pour nous et comment il se sent à l’Inter : J’ n’ai également jamais eu écho d’une possibilité de voir le Real avoir envie de Lautaro. La chose qui compte est sa mentalité de gagnant, il est prêt à faire face et à surmonter chaque difficultés. Avant la Coupe du Monde, il avait du mal car il avait disputé toutes les rencontres. A son retour à Milan, il est revenu jouer avec humilité et grandeur." City "Tout le monde pense que City est l’équipe favorite, mais l’Inter a toutes les cartes en main pour y parvenir. City est une équipe à respecter, mais si nous sommes parvenus à accéder à la Finale, c’est par nos mérites et tout peut arriver dans une rencontre sec, nous chercherons à annihiler leur puissance." ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  4. L'ancien défenseur légendaire de l'Inter, Marco Materazzi, estime qu'il serait resté à l'Inter dans la position où se trouve Milan Skriniar plutôt que de partir rejoindre le Paris Saint-Germain. S'adressant au diffuseur français Canal +, tel que rapporté par FCInterNews , l'ancien défenseur a fait valoir que Skriniar n'obtiendrait jamais le même genre d'amour des fans du PSG que des supporters des Nerazzurri, notant que même Lionel Messi se fait parfois huer par les fans du Parc des Princes. Skriniar a pris la décision de quitter l'Inter lorsque son contrat avec le club expire fin juin. Le joueur de 28 ans semble avoir été convaincu par les offres du PSG, qui sont non seulement supérieures à ce que les Nerazzurri avaient proposé, mais le verront également jouer aux côtés de certaines grandes stars européennes telles que Messi, Neymar et Kylian Mbappe. Cependant, du point de vue de Materazzi ancien défenseur légendaire, cela peut ne pas suffire. Le vainqueur de la Coupe du monde 2006 a suggéré que la façon dont les fans traitent les joueurs est également un facteur déterminant, et que pour lui, il ne pouvait pas imaginer quitter l'Inter pour rejoindre le PSG dans la position où se trouve Skriniar. "A sa place, je serais resté à l'Inter". "Je l'ai dit publiquement : 'Rappelle-toi comme les supporters de l'Inter t'aimaient, je ne sais pas si tu auras le même genre d'amour à Paris même si j'espère que tu l'obtiendra". "Regardez simplement ce qui se passe avec Messi", faisant référence à certains sifflements que l'Argentin a reçues des ""fans"" du PSG, "et c'est l'un des meilleurs joueurs de l'histoire." À propos de Skriniar, Materazzi a déclaré : "C'est un excellent défenseur, pas tout à fait de la plus haute qualité, mais quand il s'applique, il est extrêmement bon dans un contexte défensif collectif." "Il s'est beaucoup amélioré", a ajouté l'ancien défenseur, "il est devenu indispensable et à été capitaine de l'Inter." Matrix a Raison, Il Va Vite Le Regretter Et Tant Mieux! Traduction Lindt1908 Via Fc Inter1908
  5. Selon ce qui a été recueilli par FcInternews , lors du sommet tenu ce jeudi à Barcelone , au cours duquel Edoardo Crnjar a agi en tant que médiateur comme cela s'est produit dans l'affaire Vidal, Mateu Alemany, directeur des Catalans, a demandé à son homologue de l'Inter Piero Ausilio des informations sur Denzel Dumfries , le nom proposé aux cadres blaugranas, à la recherche d'un nouveau latéral droit, par le groupe Wasserman, la nouvelle agence qui s'occupe des intérêts du Néerlandais. Quant aux autres cibles éligibles, dans le cadre de négociations qui envisagent des échanges , outre les habituels Marcelo Brozovic et Franck Kessié , le sujet de discussion était aussi l'avenir de Ronald Araujo , que pourtant Xavi ne veut pas mettre sur la marché des transferts. L'autre profil d'intérêt pour les Nerazzurri, qui pourraient quitter Barcelone pour libérer de la masse salariale en vue du super coup Messi , est celui de Ferran Torres. Enfin, pas de retour sur Jordi Alba, qui ne réchauffe pas la direction de Viale della Liberazione. Et Vous, Ça Vous Réchauffe!! Traduction Lindt1908 Via Fc InterNews
  6. Gonzalez : "L'Inter est sur Messi, ça vient d'une source fiable. Trois facteurs pour un oui retentissant » Il y a un retour sensationnel de l'intérêt de l'Inter pour Lionel Messi. Une source fiable l'aurait révélé Il y a un retour sensationnel de l'intérêt de l'Inter pour Lionel Messi. D'après ce que rapporte sur Twitter le célèbre journaliste Sergio A. Gonzalez, en effet, une source fiable aurait révélé que les Nerazzurri seraient de retour sur les traces de La Pulce, dont le contrat avec le Paris Saint-Germain est sur le point d'expirer et faire face à une négociation au point mort pour le renouvellement. Le facteur Javier Zanetti, selon Gonzalez, pourrait être décisif pour convaincre Messi et donner à l'Inter un coup historique. " Bombe du matin sur le front de Messi. Une source fiable me dit que l'Inter a l'intention de signer Leo. Il y a le facteur Zanetti et l'impasse pour son renouvellement à Paris à envisager. Le Barça, en revanche, est conditionné par le FPF et noyé par Tebas. Sera-t-il donné à Pupi ? " "On peut déjà commander un maillot floqué Léo"! Traduction Lindt1908 Via Fc Inter1908!
  7. Javier Zanetti était l'invité de Madero Sports et ce, pour parler de l'Argentine et de l'Inter. Extraits. La coupe du monde 2022. "J'étais au Qatar et je travaillais aussi pour la Fifa mais j'ai vécu le triomphe argentin en tant que fan et avec ma famille. C'était très émouvant. Tout le monde voulait que l'Argentine devienne championne et que Messi puisse soulever la Coupe. Nous avons souffert dans certains matches mais ça fait partie du football. J'espère que le match qui va maintenant se jouer en Argentine sera une fête pour tous ceux qui n'ont pas eu l'occasion d'être au Qatar. Être champion du monde aidera Scaloni mais l'Argentine a une histoire dont elle devra toujours être la protagoniste. J'espère que c'est le point de départ, comme on l'a aussi dit lors de la victoire de la Copa America. Espérons que nous continuerons à gagner." Revenons en 1998. Zanetti a marqué contre l'Angleterre lors de la Coupe du monde. "Personne n'aurait pu imaginer ce match préparé. Nous avions des tireurs de coups francs comme Veron. Passarella a beaucoup insisté sur ce match et je pense qu'il a réussi car cela n'était jamais arrivé depuis toutes ces années que nous le préparions. Cela nous a fourni un match nul et puis nous avons gagné aux tirs au but." "Messi ? Il a eu ce qu'il méritait. Quand il a été critiqué dans notre pays, je ne comprenais pas. Mais ne pas savoir attendre nous a conduit à ça, à critiquer le meilleur joueur au monde. Pour moi, il a été le meilleur au monde pendant un certain temps et cela l'aurait été même sans gagner une Coupe du monde ou une Copa América." De l'Argentine à l'Inter en passant par Lautaro Martinez. "Quand nous l'avons pris, l'idée était ce que nous voyons maintenant. Nous n'espérions pas un résultat immédiat mais y arriver dans 4-5 ans. C'était la vision. Il se révèle être une référence pour le club et en nationale. Il a beaucoup grandi, il a mûri. Nous sommes très heureux de sa croissance. Ce sentiment d'appartenance à l'Inter est reconnu par nous, par les gens. Vous pouvez voir qu'il est heureux." "Inter- Benfica ? C'est difficile mais il fallait prévoir que, dans ces circonstances, tu vas affronter une équipe forte. Il faut les respecter mais on a les armes pour faire deux grands matches et passer. On sait que ce n'est pas facile, la Ligue des Champions est une compétition qui se joue sur des détails mais je suis convaincu que nous pouvons mieux nous préparer ce défi et passer." Napoli ou Derby en demi de la C1 ? "Ça a été une année compliquée en championnat. Naples fait un tournoi extraordinaire, ils font très peu d'erreurs. Nous manquons de continuité. Nous avons mérité la Supercoppa, nous sommes en demi-finale de la Coppa et nous avons la chance d'atteindre les demi-finales de la Ligue des champions. Est-ce que j'aimerais un Derby ou le Napoli en demi-finale ? J'aimerais jouer, puis quand nous y serons, nous y penserons. Vaincre Benfica serait déjà être une grande chose." Traduction alex_j via FCInterNews.
  8. Champion du Monde et Capitaine de l’Inter : Tout sourit à Lautaro Martinez qui s’est livré à TyC Sports Argentine-France "Nous avions fait le jeu durant 80 minutes et durant lesquelles nous étions bien les meilleurs. Comme je l’ai dit à Tagliafico, cette prestation était une photo instantanée de la Finale que nous venions de réaliser. Après le 2-2, je me suis échauffé, et nous souffrions énormément car nous avions pris deux buts venus de nulle part. Dans la dernière ligne droite, lorsque tu sais que c’est ton tour de rentrer, tu le fais avec bien plus de sérénité car de l’extérieur cela semblait être un match interminable, une souffrance en continue." "Ensuite, après le 3-2 de Messi, je me suis dit : "C’est fait, c’est notre Mondial", c’était une finale de rêve, tout en souffrance, mais c’est ce qui fait qu’on l’apprécie encore mieux après. J’ai très bien dormi la nuit précédant la Finale, j’ai parlé avec ma famille, et cela avec beaucoup de calme, la seule fois où je me souviens ne pas avoir dormi, c’était avant la Finale de la Copa America 2021 face au Brésil au Maracanà, c’est l’une des seules fois où j’ai eu le sommeil dérangé." Emiliano Martinez? "Lorsque nous sommes allés à la séances de tirs aux buts, j’étais serein car il est venu me dire : Tu marques et moi je me charge d'en prendre deux ou trois : Il te donne une confiance incroyance et c’était important pour la confiance du groupe et pour le joueur qui partait pour tirer." La parade sur Kolo Muani? "Il a été incroyable, cette façon de la sortir avec sa jambe, c’est un arrêt impressionnant qui restera dans la mémoire collective." L’anecdote "J’avais demandé à Montiel si je pouvais tirer le quatrième pénalty, celui qui a donné la Victoire du Mondial, mais cela n’a pas pût être possible car il fallait respecter l’ordre indiqué." L’Inter ? "J’y ai vécu de très nombreuses période positives, mais je crois qu’il s’agit globalement de l’une de mes meilleures périodes dans le Club : Je joue avec continuité et je suis Fier de porter le brassard de Capitaine et d’inscrire de très nombreux buts : Tout est important pour moi." ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  9. Javier Zanetti raconte tout à 'Que Mola'. Entre passé, présent et futur, voici l'intégralité de l'interview de notre ancien capitaine. Un adjectif pour Javier Zanetti aujourd'hui ? "Disons qu'aujourd'hui je suis un manager qui a une vision plus large que lorsque j’étais joueur." Votre jeunesse argentine, que pouvez-vous nous dire ? "Si je pense à mon enfance, j'ai de merveilleux souvenirs, liés avant tout à ma passion qui est le football. Depuis que je suis enfant, je courais après le ballon et rêvais avec mes amis de devenir professionnel un jour. J'ai pu faire de ce rêve une réalité. Dans mon quartier, je porte avec moi toutes les choses positives qui m'ont accompagné en tant que footballeur et aujourd'hui en tant que manager. Ce sont des valeurs importantes auxquelles je tiens et que je porte partout." A propos du potrero, le terrain du quartier ? "Ce serait l'oratorio des Italiens, où l'on passe de merveilleux moments entre amis. Vous rêvez, vous apprenez à jouer, vous aidez des amis dans le besoin, vous vous disputez, vous plaisantez. Ce sont des moments qui vous font vraiment grandir." Comment êtes-vous arrivé dans l’équipe jeune de l'Independiente ? "Je suis fan depuis que je suis enfant, j'y suis arrivé parce que je rêvais de porter ce maillot. A travers un tournoi dans mon quartier, les managers m'ont vu et m'ont emmené. Là j'ai commencé ma carrière dans une équipe professionnelle." Cependant, vos débuts professionnels étaient contre Banfield et votre premier match contre River Plate. "Oui, j'ai fait les jeunes là-bas. En réalité, les débuts sont en deuxième division, où j'ai fait un an, puis Banfield m'achète et je fais deux ans en première division. Les débuts sont contre River Plate et après ces deux années, l'appel inattendu de l'Inter m'a pris par surprise. C'était ma grande opportunité d'entrer dans ce football européen et de me comparer à de grands champions." Dans ce transfert est né le mythe chiffre 4… "Oui, c'était le maillot que j'ai toujours porté, il était libre à l'Inter et je l'ai pris de près parce que je l'aimais. Je l'ai gardé tout au long de ma carrière. Avec ce numéro, j'ai passé des moments inoubliables avec l'Inter. Pour moi, elle signifie famille, amour, c'est ma maison. Être lié au club est encore très important pour moi." Vous souvenez-vous de votre premier jour à l'Inter ? "Honnêtement, je ne pouvais pas imaginer à ce moment-là que ma carrière aurait été ici en intégralité. Je savais que je venais dans un grand club, avec une belle histoire et avec de grands champions de différents pays. Je voulais laisser ma marque, je savais c'était ma chance. Le saut était très grand, de Banfield à l'Inter, mais je savais que je devais donner tout ce que j'avais à l'intérieur et apporter mon essence sud-américaine pour que l'Inter apprécie mes qualités." En parlant d'essence sud-américaine, l'Inter l'a dans son ADN et l'avait déjà à l'époque. "Oui, il y a une tradition sud-américaine, beaucoup de joueurs ont bien réussi entre autres. Ensuite, FC Internazionale, même de par son nom, signifie aussi ouvrir les portes aux joueurs non italiens." "Dès le premier entraînement, nous avons la possession du ballon. Il ne le perd jamais, il reste toujours attaché à son pied. Ce jour-là, j'ai pensé qu'il entrerait dans l'histoire de l'Inter." Vous souvenez-vous qui a dit ces choses ? "Oui, le capitaine de l'époque, Beppe Bergomi, une personne qui m'a beaucoup aidé, il m'a tout de suite intégré dans la réalité du football italien, il m'a raconté l'histoire de l'Inter. Avec Giacinto Facchetti, ils ont été importants pour moi dans mon premiers pas dans cette société." À propos de l'âme argentine. Que pensez-vous de Batistuta et Crespo ? "Deux grands attaquants, parmi les principaux de l'histoire du football argentin. Batistuta avait une puissance physique incroyable, il a marqué de toutes les manières. Crespo était très intelligent à l'intérieur et à l'extérieur de la surface, il savait se démarquer avec des mouvements qui permettaient de le trouver et toujours là prêt à marquer." L'Argentine est championne du monde, je vous demande trois noms à mettre dessus. Le meilleur de tout les temps. "Messi, Diego Maradona et Kempes, qui a été l'architecte d'une course extraordinaire en 78 qui nous a fait gagner la première Coupe du monde." Le championnat argentin évolue, s'oriente vers un format européen. "C'est certainement un plus, le football argentin peut beaucoup grandir. Il faut copier les bonnes choses d’Europe et c'était un choix important pour l'avenir du football argentin." Trois raisons pour lesquelles un enfant passionné de football devrait suivre le football argentin. "Parce que c'est très excitant, il y a beaucoup de jeunes qui peuvent émerger et qui font déjà de grandes choses et parce que ça rappelle le potrero, où on voit des joueurs s'amuser. Des joueurs qui possèdent potrero." La Copa Libertadores comme la Ligue des Champions ? "En termes d'importance oui, mais cela se passe d'une manière différente. Parce que les stades sont différents, parce que les gens le vivent différemment. Mais c'est une coupe très convoitée et dernièrement elle a vu la domination des équipes brésiliennes qui s'investissent beaucoup. L'Argentine est un peu en retard, mais je pense que Boca, River et Racing peuvent être des protagonistes." Comment est né votre surnom d'El Tractor ? "Je suis né en Argentine, un commentateur m'a donné ce surnom parce qu'il a dit que lorsque je partais avec boulet et chaîne, je ressemblais à un tracteur que personne n'arrêtait. C'est ainsi que le surnom est né." Comment la formation vous a toujours aidé, dans une longue carrière où vous avez aussi changé de rôle. Vous étiez également milieu de terrain… "Beaucoup. L'entraînement est la chose la plus importante, j'ai toujours essayé de le faire en me donnant à 100% parce que je savais que dimanche je serais prêt pour un grand match. L'entraînement aujourd'hui me fait me sentir à nouveau bien et quand j'ai joué, je pensais que c'était le plus important." Votre but en équipe nationale a sauvé la vie de Marek Kopals. "C'est arrivé lors de la Coupe du monde 98, nous jouions contre l'Angleterre. J'ai découvert après qu'il regardait le match, grâce à mon but, nous sommes allés en prolongation puis aux tirs au but. S'il était parti après 90 minutes, il aurait explosé avec sa voiture là où il y avait une bombe. Disons que mon but l'a fait rester à la maison et l'a empêché de prendre cette voiture." Vous avez déjoué une attaque sans le savoir. Une magie en effet… "Oui, ça ne s'explique pas. Puis il m'a écrit une lettre pleine d'émotions, me remerciant. Quand on vous raconte ces choses, vous comprenez jusqu'où va la passion du football. Sa passion l'a fait rester à la maison plus longtemps, au-delà les 90 minutes." Parlons de Ronaldo. "Pour moi, il était l'un des plus forts avec qui j'ai eu l'opportunité et l'honneur de jouer. Un joueur extraordinaire dans tous les sens. Il vient de Barcelone dans sa meilleure période, avec nous, il a été dévastateur. À l'entraînement, il était difficile d'arrêter lui et dans le jeu aussi." Angelillo a été important pour vous amener à l'Inter… "Il m'a vu et m'a identifié comme un joueur de l'Inter, je le remercierai toujours. Grâce à lui, Mazzola et Suarez m'ont vu, je suis arrivé dans ce grand club. Angelillo est une légende, capitaine, qui a laissé sa grande enseigne à l'Inter." Que signifie cette photo de vous sur le chantier ? "Mon père était maçon, pendant un an je l'ai aidé et ce fut l'un des meilleurs moments de ma vie. Là j'ai compris beaucoup de choses, combien mon père et ma mère se sont sacrifiés pour que mon frère et moi ne manquions de rien. J'ai commencé à comprendre les vraies valeurs de la vie, les fondamentaux pour l'être humain." Est-il vrai que vous risquiez physiquement de ne pas faire partie des sélections professionnelles ? "J'étais très fragile, c'est pourquoi l’Independiente m'a laissé partir en disant que je n'étais pas prêt à jouer au football à ce moment-là. J'ai accepté leur décision mais je ne le nierai pas en tant que fan, c'était un coup dur pour moi. Je rêvais de faire mes débuts avec eux. Mais il fallait que ça se passe différemment et puis quand on a affronté Banfield, les managers d'Independiente avaient les mains dans la nasse. C'est une des choses qui peuvent arriver dans le football." Parlons de l'asado. "Cela fait partie de notre culture, c'est un groupe. A l'Inter, nous nous sommes amusés avec ce groupe, ce n'est pas un hasard si nous avons tout gagné." Parlons de Mourinho. "José a été important pour moi dans ma carrière, une relation qui va au-delà de la relation professionnelle. Il y a une relation humaine très forte qui dure dans le temps, on se parle souvent, on s'envoie des textos. C'était un super leader pour ce groupe-là." Dans l'hymne Pazza Inter, le début est avec le commentaire de votre but. "Un moment de plaisir, cette chanson tous ensemble. Je remercie Scarpini pour le commentaire très émouvant, il a été décidé de commencer l'hymne avec ça." En Argentine, vous êtes passés maîtres dans le commentaire… "Oui, car ils vous font vivre de grandes émotions, qui vous viennent en regardant ou en écoutant les matchs." Parlons de Maldini. "Avec Paolo, il y a toujours eu une grande relation et au-delà de la rivalité un grand respect qui dure encore aujourd'hui et qui durera. Il représente l'un des joueurs que tout le monde respecte dans le monde du football pour sa façon d’être et de jouer." Vous êtes deux capitaines très représentatifs du derby milanais. "Nous nous sommes affrontés plusieurs fois, Paolo était un adversaire très loyal et je l'ai toujours apprécié pour ça." Un conseil pour les jeunes joueurs, pour ceux qui n'ont pas tout de suite un grand talent ou pour ceux qui en ont déjà un. "Le conseil est très simple, dans les deux cas : ne jamais cesser de rêver ! Les rêves peuvent se réaliser mais pour les réaliser, il faut beaucoup de travail, de sacrifice et de résilience car il y aura des moments diffcile à affronter. Une fois fait, vous ressortez plus fort de ces moments." Traduction alex_j via FCInter1908.
  10. Avant la cérémonie des "The Best FIFA Football Awards" qui s'est tenue hier soir à Paris, Javier Zanetti a accordé du temps aux journalistes argentins d'ESPN. Il a répondu par une boutade à la question concernant une possibilité de signer Lionel Messi, la voici "C'est compliqué, je pense que c'est un peu cher!" Traduction alex_j via FCInterNews.
  11. Il n'y a pas de place pour un non-Inter, ou presque, dans le top 11 Sportweek de Marco Materazzi qui dresse une line-up à trois quarts noire et bleue. Deux exceptions cependant. Deux champions du monde, deux coéquipiers nationaux de la chevauchée vers Berlin en 2006, Fabio Cannavaro et Francesco Totti. Voici la liste complète et les justifications de Matrix. "J'ai fait une équipe offensive parce que. Dans le football, il faut marquer des buts, même si quand je jouais, mon travail était de les éviter. Il y a beaucoup d'Interista, parce que j'ai tout gagné avec eux." Julio Cesar dans le but, protégé par Maicon, Cannavaro, Samuel et Chivu. Zanetti, Totti et Stankovic dans l'entrejeu, derrière un trident super offensif fait par Ronaldo le phénomène, Milito et Eto'o. José Mourinho entraîneur. "Quand il est arrivé à l'Inter, j'étais très proche de Toldo, mais j'ai encadré le Brésilien et nous sommes devenus amis. Maicon, un train sur l'aile droite. Je ne sais même pas comment il a réussi à faire des allers-retours tout au long du match." Arrière droit Maicon, Christian Chivu en face, ailier gauche. "Moi, lui et Stankovic, trois gitans. Avec Cristian, un coup d'œil suffisait pour se comprendre. Nous avons plaisanté sur les adversaires. Une fois, contre la Lazio, Pandev a rebondi entre lui et moi tout au long du match. 'Regarde ce que tu m'as fait !', me reprochait-il en fin de première mi-temps pour un coup de pied qu'il s'était pris. Il n'avait même pas remarqué que je ne le lui avais pas donné le coup, mais Chivu." Ensuite, Cannavaro et Samuel au centre. "J'aurais pu choisir Cordooba avec qui j'ai le plus gagné à l'Inter mais avec Fabio j'ai gagné une Coupe du monde et c'est peut-être celui aux côtés duquel j'ai concédé le moins de buts de toute ma carrière. En effet, entre nous, nous parions à chaque match de quitter le terrain avec une cage inviolée." Place aussi à l'incontournable mur, l'inoubliable The Wall pour les fans de l'Inter. "Il a fait honneur à son surnom, the Wall, en tant que joueur et en tant qu'homme, solide sur le terrain et silencieux en dehors. Un mur, en fait. , impénétrable. Il battait le terrain et si un attaquant allait contre lui face à face pour protester, il ne répondait même pas. Cela ne lui donnait pas satisfaction de répondre." Milieu de terrain à trois composé de deux grands capitaines et d'un "dragon", prochain adversaire de l'Inter en championnat en tant que manager de la Sampdoria. Zanetti, sur qui Materazzi avoue que "nous n'avons jamais été très proches, mais à chaque fois que j'avais besoin du capitaine, il était là." De capitaine à capitano, Francesco Totti, grand adversaire de l'Inter dans le triplété mais grand coéquipier en équipe nationale, "il me fait toujours sourire. Je ne sais pas s'il est plus fort ou plus sympathique." Avec Stankovic, "on a eu la même chambre pendant 5-6 ans. J'ai gagné tous mes trophées à l'Inter avec lui. Il ne savait même pas à quel point il était fort." Trois forts derrière trois très forts devant avec une ligne offensive que Materazzi confie à Ronie, Milito et Eto'o. "Maradona, Messi... Mama mia, je n'ai jamais vu quelqu'un d'aussi fort que lui. En termes d'explosivité et de talent naturel, un mélange entre Cristiano et Messi" dit-il à propos d'il Fenomeno rejoint par Diego Milito. "En marquant deux fois contre le Bayern en finale de la Ligue des champions 2010, Diego a permis à Materazzi de mettre la cerise sur le gâteau de sa carrière." Pour finir, Samuel Eto'o, "s'il n'était pas venu à l'Inter, on n'aurait jamais gagné la Ligue des champions. Avant lui, il y a eu Ibra qui a joué dans les clubs les plus forts et n'a jamais gagné une coupe. Il doit y avoir une raison." Sur le banc, inutile de le dire, l'équipe est confiée à José Mourinho. "Quand il est arrivé, quelqu'un avait dit que Materazzi allait partir. Il m'a arrêté le premier jour et m'a dit : 'Tu restes ici'." Traduction alex_j via FCInterNews.
  12. Longue conversation de Walter Samuel, dit the Wall, avec ses collègues de la RSE. Il a évoqué la coupe du monde, le Triplété, Massimo Morrati et sa famille. Votre sentiment sur le fait d’voir gagné cette coupe du monde. "Peut-être, comme certains amis me l'ont dit, n'avons-nous pas encore réalisé ce que nous avons fait ? Les protagonistes sont les joueurs mais c'est aussi une source de fierté pour nous qui faisons partie du staff technique. Ceux qui ne sont pas argentins ont du mal à comprendre. C'est vrai, les problèmes du pays n'ont pas été résolus, mais ce succès a donné de la joie à ceux qui en avaient besoin." Vos souvenirs de l'époque romaine. "En tant que défenseur, je ne voulais pas encaisser de buts, j'avais une grande concentration. Ce n'était pas facile de s'installer. Balbo et Batistuta, les Argentins qui étaient en Italie depuis plus longtemps, m'ont aidé. Capello m'a mis au centre de la défense à 3, ça s'est bien passé parce que la première année on a gagné le Scudetto." Quel technicien a eu une influence particulière sur vous ? "A l'époque de l'Inter, José Mourinho a beaucoup changé, à commencer par sa façon de travailler avec le ballon. Il avait confiance en lui et a transmis sa volonté de gagner : c'est très important. Sur le plan technique, cependant, je dis Marcelo Bielsa parce qu’il m'a tellement fait grandir. Peut-être que je suis injuste envers les autres entraîneurs mais il m'a appris à surgir de la ligne défensive, à jouer le ballon entre les lignes, à ne pas perdre les duels avec la tête. C'était vraiment un loco." Avez-vous beaucoup de vrais amis dans le football ? "J'ai beaucoup d'amis dans mon pays, ceux que je connais depuis toujours. J'en ai aussi dans le foot, le problème c'est toujours la distance. Diego (Milito, ndlr) et Pupi (Zanetti, ndlr) je les vois souvent, tout comme Burdisso." L'expérience de Bâle, pourquoi avez-vous décidé d'y terminer votre carrière ? "J'ai vécu deux années spectaculaires en Suisse. La Sampdoria me voulait mais j'avais du mal à rester en Italie, alors j'ai répondu oui à la proposition d'un ami. Au final, j'ai parlé à l'entraîneur de l'époque, Paulo Sousa, et avec le président et ça a pris. Si mes genoux ne m’avaient pas trahi, j'aurais fait quelques années de plus." Quand dirigerez-vous une équipe en tant que manager ? "Je ne sais pas, le moment viendra. J'aimerais entraîner, je ne le cache pas. En Suisse ? J'ai passé un bon moment, je n'aurais aucun problème à entraîner là-bas." Le message de Moratti arrive : "Je voulais t'embrasser et te féliciter pour ce que tu as accompli avec l'Argentine. Tu mérites tout pour ton sérieux. Mon cycle de victoires commence quand je t'ai signé. Enfin, l'Inter a commencé à gagner, je suis particulièrement reconnaissant envers toi." "Moratti transmet la tranquillité, il était très proche de nous même sans être là. L'Inter est un milieu familial, où l'on se sent bien. Neuf ans dans un club, c'est long mais j'ai passé un bon moment et je ne peux pas m'en plaindre. Nous avions tout, ils nous ont très bien traités. Puis, heureusement, nous nous sommes toujours battus pour gagner. Au-delà des victoires, l'important est de se sentir bien dans un club." En 2010, le Triplete arrive. "C'était comme la Coupe du monde, nous aurions pu gagner les trois compétitions comme les perdre en deux semaines. L'équipe y croyait, pour beaucoup d'entre nous déjà vieux, c'était une opportunité unique. Nous avons essayé, heureusement, ça s'est bien passé. C'était quelque chose d'historique, qui restera à jamais. Même si d'autres équipes réussissent à le faire, nous resterons toujours premiers. C'est quelque chose qui vous rend fier rien que d'en parler." Quels souvenirs gardez-vous du Real Madrid ? Les célèbres galactics... "Sur le terrain j'ai beaucoup souffert parce qu'on a encaissé tellement de buts. En club c'est impressionnant, c'était comme aller au théâtre. Je me suis retrouvé avec des stars comme Figo, Ronaldo et Zidane, très simple et modeste." Humilité, sérieux et loyauté : sont-ce les trois caractéristiques dans lesquelles vous vous reconnaissez ? "Je me vois, je ne change pas ma façon d'être pour ce que j'ai fait dans le football. J'ai beaucoup gagné mais j'ai aussi eu de gros revers, l'année au Real a été dure, par exemple, puis je me suis cassé les deux genoux." Quel papa es-tu ? "Depuis que j'ai fini de jouer, j'ai toujours été impliqué dans le monde du football. L'équipe nationale me permet de passer plus de temps avec mes enfants. Ensuite, je suis peut-être absent de la maison pendant 1 à 2 mois. J'aime être un papa, je vais souvent chez ma fille à Madrid. Mes enfants étaient aussi importants au Qatar, quand j'ai regardé dans les tribunes et que je les ai vus, j'ai eu un fort sentiment." Comment Messi a-t-il vécu la Coupe du monde ? "Il le méritait plus que quiconque pour le joueur qu'il est, ses coéquipiers le disent aussi. C'est un garçon tranquille, un professionnel exemplaire et très compétitif. Il a endossé le rôle de leader, sur et en dehors du terrain. Nous pensons que nous, Argentins, nous avons de la chance que lui et Maradona soient Argentins." Traduction alex_j via FCInterNews.
  13. Javier Zanetti est l'invité spécial de Supertele, une émission DAZN animée par Pierluigi Pardo. La conversation avec le journaliste commence évidemment par le derby remporté par les Nerazzurri face à Milan puis évolue sur d'autres sujets. À quel point une victoire dans le derby change votre lundi ? "C'est un lundi différent, gagner un derby a une saveur particulière, surtout parce que nous l'avons gagné à juste titre." Y a-t-il un mystère à l'Inter ? Dans certains matchs, c'est très fort, mais pour d'autres, c'est faible. "Nous aurions certainement pu avoir quelques points de plus mais cela fait partie d'un chemin que cette équipe suit avec une certaine continuité. Un drop peut se produire avec autant de matches serrés. Je vois une équipe qui est protagoniste, qui veut toujours jouer le match et qui sait réagir. L'Inter, de la première année d'Antonio (Conte, ndlr), a toujours eu une continuité ces quatre dernières saisons. Je suis surpris quand je vois des critiques très exagérées envers une équipe qui fait les choses de la meilleure façon possible. Nous pouvons nous améliorer, nous en sommes conscients, par contre nous disons que Naples fait quelque chose d'extraordinaire." Vous pensez à Spalletti ? "Il y a beaucoup de Luciano dans ce Napoli. Il a fait un excellent travail à l'Inter, c'est un entraîneur qui laisse sa marque dans les équipes." Terminer deuxième vaut-il un Scudetto pour vous ? "Nous devons faire de notre mieux jusqu'à la fin. Nous avons la Ligue des champions, la demi-finale de la Coppa Italia contre la Juve, nous devrons faire de notre mieux." Qui choisirez-vous comme symbole de l'Inter cette saison ? "Je vais demander à Darmian son maillot à mettre dans mon musée. C'est un joueur silencieux, toujours au service de l'équipe. Il donne toujours du sien, c'est un gars sérieux et professionnel. C'est quelqu'un qui fait la différence dans n'importe quel groupe." L'Inter vaut Naples, quelle est la raison de cet écart ? "C'est la continuité et il y a le regret d'avoir laissé des points en cours de route. Le championnat est compétitif, il y a beaucoup de matches. Naples, donc, ne s'est pas trompé, les battre a été très dur pour nous." Vous attendiez-vous à un Milan aussi prudent hier ? "J'ai entendu la nouvelle avant le match, puis ce changement s'est produit pendant le match. Mais il y a aussi les mérites de l'Inter qui a pu voir, dès la première minute, qu'elle pouvait gagner le match. Milan est toujours une équipe à respecter, puis il y a des moments. Je connais Pioli, Maldini, ils ont la personnalité pour s'en sortir." Lautaro peut-il être le vrai capitaine? "Honnêtement, je suis très content de sa carrière à l'Inter. Sa performance ne cesse de croître. Maintenant, c'est aussi une confirmation pour l'équipe nationale argentine. Il est important pour l'Inter, et il le montre à chaque fois qu'il entre sur le terrain. C'est un mec généreux, il ne va pas perdre. Hier il a dit que le derby milanais se vit comme en Argentine, il a raison car l'environnement est très chaud." La situation de Skriniar, aurait-elle pu être mieux gérée ? "Je ne sais pas. La chose est simple : nous avons proposé le renouvellement dans nos possibilités (économique, ndlr), il l'a évalué et a dit non. Ça va, nous devons accepter sa décision. Je pense que le plus important, c'était la réponse de tout le milieu. Il va falloir mettre le joueur dans la situation de donner le meilleur de lui-même. L'important c'est le bien du club, il a été le premier à le comprendre. L'inter va continuer, Skriniar va porter un autre maillot à partir de juillet et nous lui souhaitons le meilleur. Il est essentiel pour nous qu'il se comporte comme hier." Pourquoi avez-vous décidé de retirer le brassard à Skriniar ? "C'est un thème avant tout lié à l'avenir, Marotta a été clair. Nous en avons tous discuté et nous avons convenu que c'était le meilleur choix, un choix qu'il a compris de suite. L'Inter va de l'avant. Hier, le capitaine était Lautaro, qui est le présent et l'avenir." Quel est le joueur le plus intéressant de la Serie A ? "En regardant surtout Napoli, je dis qu'Osimhen se révèle être un grand attaquant, il est important pour son équipe." Souvenirs de la coupe du monde. "C'est impossible de rester sobre en tant que champion du monde (rires, ndlr). J'ai vécu la Coupe du monde avec de grands sentiments pour mon pays, pouvoir assister au tournoi avec ma famille m'a permis de célébrer chaque instant. Après la finale, je me suis senti heureux parce que nous attendions depuis 1986. Ceux qui aiment le football attendaient que Messi devienne champion du monde, c'est ce que j'ai entendu des fans au Qatar." Messi ou Maradona ? "Au-delà de ce qu'il a fait sur le terrain, Diego avait un charisme incroyable. On aime Messi parce que c'est comme ça qu'il se montre. En tant qu'Argentin, je suis ravi d'avoir eu Diego qui restera unique." L'histoire Messi-Inter était-elle vraie ? "En raison de la relation que nous entretenons, nous avons parlé quand il y avait cette possibilité. J'ai été surpris quand il a dit au revoir à Barcelone. Mais de manière réaliste, nous ne pouvons pas rivaliser avec des clubs comme le PSG ou les clubs anglais." Comment voyez-vous Mourinho à Rome ? "Êtes-vous surpris par ce Mourinho ? José arrive toujours à donner quelque chose d'important à ses garçons, il les stimule pour leur bien." Zaniolo va quitter la Serie A. "Je suis désolé parce que ce n'est pas bon pour lui de quitter l'Italie. Ce sont des choix qu'il faut respecter. Je ne sais pas ce qui s'est passé au niveau environnemental, mais il n'y a pas de sérénité autour de lui." Traduction alex_j via FCInterNews.
  14. Notre légende Javier Zanetti a accordé une interview à Tuttosport dans laquelle il évoque sa fidélité au club qui l'a fait grandir. Javier, quand l'étincelle vous a-t-elle frappé pour le football ? "J'avais trois ans et ils m'ont donné un ballon que je n'ai jamais lâché. Dans le quartier Dock Sud à Avellaneda, à deux cents mètres de la maison, il y avait une place et un petit terrain et tout a commencé là. Nous vivions près du stade de l'Independiente et ma mère était une grande fan. En Argentine, le magasinier avertit la curva lors de l'entrée de l'équipe sur le terrain. Lorsqu'il a fait, tout a explosé. Je frissonnai et je me disais 'Je me demande si je ressentirai aussi cette émotion'. Je l'ai fait." Était-ce le coup de foudre avec l'Inter ? "Je suis arrivé à Cavalese, parmi les journalistes, avec un sac qui contenait mes chaussures. Ils m'ont pris de Banfield, une équipe inconnue, tandis que Rambert venait d'Independiente où il avait remporté le championnat en tant que meilleur buteur. De plus, Roberto Carlos et Paul Ince sont également arrivés cette année-là. J'étais le quatrième étranger et à l'époque seuls trois pouvaient entrer sur le terrain mais le destin voulait que je joue tout de suite. Un lien très fort est né. Ils m'ont fait me sentir comme chez moi ici." La rumeur avec le Real, en 2001, une aventure ? "J'avais parlé à Valdano, leur entraîneur: il me voulait à Madrid. Presque tout était fait mais j'ai décidé de rester et j'ai prévenu Moratti." Combien avaient-ils offert ? "Un contrat bien plus important que celui que j'avais à l'Inter. Cependant, en plus de l'argent, j'ai pensé à la famille, à la relation avec les fans et au fait que je voulais laisser ma marque à Milan. Et je me suis dit 'Si je vais au Real, je suis un parmi tant d'autres.' J'aurais certainement gagné quelque chose, mais je voulais le faire ici. C'était un choix fort, mais il y a plus..." Histoires. "Manchester United et Barcelone m'ont aussi "tenté". Je ne me souviens plus si c'était en 2001 ou 2002. J'étais avec Paula, ma femme, et j'ai trouvé Ferguson dans un aéroport et il m'a dit bonjour, m'a demandé quand mon contrat était terminé. Mais j'étais heureux à Milan, malgré ces années très compliquées pour l'Inter. Ailleurs j'aurais eu une carrière plus importante, mais je ne me serais pas retrouvé comme à l'Inter." Comment cela s'est-il terminé avec Barcelone ? "Que j'ai "lancé" Puyol ? Il me le dit toujours. Il était dans l'équipe jeune et avait également commencé à faire quelques apparitions dans l'équipe première. Un jour, Van Gaal l'a appelé et lui a dit: 'Je veux signer l'arrière droit le plus fort du monde qui est Zanetti. Si nous ne le signons pas, je te garderai avec moi'. Et Carlos me remercie chaque fois qu'il me voit…" Qu'y avait-il dans cette étreinte avec Messi à Lusail ? "Beaucoup : je l'ai vu débuter en équipe nationale et il méritait cette coupe. Je l'ai remercié car il a couronné le rêve de tous les Argentins. À Doha, à cette époque, il y avait une atmosphère particulière : tout le monde voulait que Leo soulève la coupe." Avez-vous un meilleur ami dans le football? "Avec Zamorano qui est le parrain de Sol et Cordoba qui est le parrain de "Nacho", ainsi que mon colocataire à l'Inter, la complicité va au-delà de ce qu'ont été nos carrières." Vous êtes-vous senti trahi par Hodgson et Lippi ? "J'ai fait une erreur avec Hodgson parce que je n'ai pas compris qu'il m'a remplacé en finale contre Schalke parce qu'il voulait que Berti tire le penalty. Cette querelle s'est arrêtée là et même maintenant, quand on se rencontre, on en rigole. Par contre, je n'ai pas aimé l'attitude de Lippi, quand ça va mal, il ne faut pas chercher des coupables, mais des solutions. Peut-être, avec le recul, l'a-t-il fait pour partir." Traduction alex_j via FCInter1908.
  15. Edson Arantes do Nascimento, dit Pelé, est décédé ce Jeudi à l'âge de 82 ans, à l'hôpital Albert-Einstein de Sao Paulo. Pelé est mort, terrassé par le cancer à l'âge de 82 ans. L'information a été confirmée à l'agence AP par son agent Joe Fraga. Et le nombre de personnes en deuil se compte en centaine de millions. Longtemps considéré comme le meilleur footballeur du monde, il a depuis été contesté par Diego Maradona et Lionel Messi, mais il y aura toujours débat, et Pelé est sans aucun doute parti avec ses certitudes. Le triple champion du monde (1958, 1962 et 1970) a toujours veillé à ce qu'on écrive sa légende. Edson Arentes do Nascimento est né à Tres Coraçoes, une petite ville située entre Belo Horizonte, Sao Paulo et Rio de Janeiro, le 21 octobre 1940 (selon les registres de l'état civil) ou le 23 octobre 1940 (selon la paroisse). Ville qu'il a quittée avec sa famille pour s'installer à Bauru, dans l'État de Sao Paulo. Fils d'un footballeur amateur, Dondinho, il fut d'abord surnommé Dico par sa famille : puis il est devenu « Pelé » quand son père a constaté que le gamin n'arrivait pas à prononcer le nom de Bilé, le gardien de Vasco de Gama, qu'il appelait « Pilé ». L'année 1957 marqua aussi son arrivée en sélection mais le surdoué se révéla à la planète foot en remportant la Coupe du monde en 1958. Blessé, il fut forfait pour les deux premiers matches contre l'Autriche (3-0) et l'Angleterre (0-0), mais joua les quatre suivants, inscrivant le but de la victoire contre le pays de Galles en quarts (1-0), un triplé contre la France en demies (5-2) et un doublé contre la Suède en finale (5-2). Pelé participa à sa quatrième et dernière Coupe du monde, en 1970, au Mexique. Pour la première fois, le football était retransmis en direct et en couleurs, d'un continent à l'autre, via le satellite. L'icône participa, cette fois, à tous les matches, pour le bilan suivant : quatre buts et six passes décisives, notamment celle à destination de Carlos Alberto pour le quatrième but en finale contre l'Italie (4-1). C'est à Santos, entre 1957 et 1974, que Pelé a marché sur l'eau (six titres de champion et deux Libertadores, entre autres). Une fidélité au pays anachronique avec nos yeux du XXIe siècle, une époque où, si tout ne se passe pas en Europe, tous les grands y passent un jour. Cela a pu, a posteriori, altérer le statut du roi. Pourtant, si Pelé est une légende, c'est qu'il a réuni le football d'avant et celui d'après, concilié la spontanéité et la performance. Gracieux comme peu, puissant comme personne, il fut l'attaquant parfait, et aurait probablement été le seul à pouvoir débarquer dans le football moderne sans avoir besoin de mise à jour. Ce n'est qu'une fiction, et la réalité est aujourd'hui moins joyeuse. Pelé est mort, mais il y a longtemps qu'il est éternel. alex_j via l'Equipe et connaissances personnelles.
  16. Rédacteur à FCInterNews, Alessandro Cavasinni donne une analyse assez pertinente sur les perfomances d'el Toro à la Coupe du Monde. Argentine championne du monde! Lautaro Martinez champion du monde! Et ce fait est peut-être allé de travers pour certains compte tenu de l'énorme flot de critiques qui a plu el Toro. D'un point de vue individuel, il n'est certainement pas le protagoniste d'un tournoi de tous les superlatifs. Mais il n'est pas aussi désastreux que certains veulent faire passer. Lautaro a toujours été l'avant-centre du onze de départ de la Seleccion sous la direction de Scaloni. L'ex du Racing s'est imposé comme la principale référence offensive, s'associant parfaitement à Messi ainsi qu'à tous les autres coéquipiers, de Di Maria à De Paul, de Gomez à Correa. Il avait été parmi les protagonistes incontestés de la victoire à la Coupe de l'America, le trophée qui a brisé le maléfice et redonné à l'Albiceleste la réelle conscience de pouvoir revenir sur le toit du monde. Mais la Coupe du monde, comme souvent, se nourrit d'histoires improvisées et inattendues. Elle vit d'instants, d'épisodes, de détails. Lautaro n'est pas arrivé à la compétition dans la meilleure forme en raison de problèmes à la cheville. En attendant, l'étoile d'Alvarez commençait à briller et l'entraîneur était perspicace pour saisir le moment. Vous souvenez-vous de Schillaci lors d'Italia 90 ? Eh bien, nous y sommes plus ou moins. Alvarez a un énorme potentiel et l'avenir sera certainement le sien, comme l'a confirmé le Qatar. Mais malheur à sous-estimer l'apport d'El Toro. Après des débuts catastrophiques face à l'Arabie saoudite, où le joueur de l'Inter a pourtant été parmi les moins négatifs (deux buts refusés à cause d'un millimètre), le match contre le Mexique a marqué les changements de Scaloni dans les hiérarchies. Lauti, cependant, n'a pas été démoralisé, il suffit de voir son pénalty décisif contre les Pays- Bas et son action sur le troisième but en finale contre la France. Buts ratés ? La tête à la 120e minute, sans aucun doute, mais Upamecano a été très bon sur les deux autres. Cependant, toute l'histoire doit être racontée et il faut dire honnêtement que l'Argentine a énormément profité de son entrée sur le terrain, reprenant du poids en attaque, comme le confirme le troisième but de Messi dans lequel l'Interista a d'abord été crucial pour donner le ballon et puis en tirant au but depuis une position très isolée, forçant Lloris à repousser mollement juste avant le tap-in de Messi. Pas un excellent, mais un bon Lautaro. Ce ne sera pas Messi, mais ce n'est un godillot. De toute évidence, el Toro épuise ceux qui ne l'ont pas! Traduction alex_j via FCInterNews.
  17. Javier Zanetti a accordé une interview aux micros de la Repubblica après la victoire de l'Argentine à la Coupe du monde au Qatar. Voici ses mots. Zanetti, quelle est l'image qui vous reste de ce triomphe, de ce retour à la gloire de l'Argentine ? "Voir mes enfants en larmes, pleurer d'émotion. Nous étions tous ensemble, toute la famille ici à Doha. Ce fut un moment unique et inoubliable." Que signifie cette victoire pour l'Argentine ? "C'est un rêve. Un rêve que ces garçons ont donné à un peuple, à une nation, à quarante-cinq millions d'Argentins qui ne voulaient rien de plus que pouvoir célébrer cette coupe." Avez-vous parlé à Messi ? "Oui, je suis entré sur le terrain et allé vers lui. C'était un moment très émouvant : on s'est embrassés, on a ri. Je lui ai dit que j'étais heureuse, qu'il le méritait, que c'était son destin." Et a-t-il dit quelque chose ? "Juste une chose : enfin, enfin." Que représente ce succès pour Messi, pour sa carrière et son histoire sportive ? "Il méritait ce triomphe plus que quiconque. Le voir soulever la Coupe du monde était l'image, je pense, que le monde entier voulait voir, c'était juste que cela arrive à un garçon et à un joueur comme lui." Si c'est arrivé, c'est aussi grâce à Scaloni. Quels mérites a-t-il ? "Sa grandeur est celle d'être un entraîneur humble, un homme simple : mais grâce à ce don, il a montré dès le début qu'il avait quelque chose de spécial, qui pouvait nous donner ce but." Vous y avez cru dès le début de cette Coupe du monde, c'est vrai ? "Oui, j'y ai cru parce que j'ai compris qu'il y avait ce sentiment collectif de quelque chose de grand, cette illusion : tant de gens qui sentaient que le moment était peut-être venu. Avez-vous vu combien de personnes étaient venues d'Argentine ici à Doha ?" Selon vous, cet enthousiasme collectif a-t-il atteint l'équipe ? "Bien sûr, il a entraîné les joueurs dans des moments difficiles. Je vous assure qu'une équipe s'en aperçoit." Des moments difficiles qu'il y a eu surtout au début. "L'équipe a sorti ses tripes, ils ont vécu une Coupe du monde grandissante. Il a perdu au début, mais cette défaite lui a fait du bien, il a créé un lien. Un moteur, jusqu'à aujourd'hui, où tout s'est terminé comme il se doit. Nous attendions cette joie depuis trop, trop d'années." Que manquait-il jusqu'à aujourd'hui ? "Parfois la chance, d'autres fois peut-être avons-nous rencontré des équipes plus fortes que nous. Nous avions de grandes équipes, j'ai personnellement joué avec des joueurs incroyables. Mais parfois les épisodes nous ont été défavorables : le foot c'est comme ça. Mais aujourd'hui, nous célébrons." Continuez à dire "nous" : vous sentez vraiment que cette Coupe du monde est la vôtre, n'est-ce pas ? "Oui, mon en tant que fan. L'équipe a gagné sur le terrain, mais en dehors nous sommes quarante-cinq millions de champions du monde." Traduction alex_j via FCInter1908.
  18. Notre ancien entraîneur Ottavio Bianchi, qui a remporté une Coupe du monde avec Maradona, parle à Adnkronos des deux numéros 10 argentins ainsi que de Didier Deschamps. "De nos jours, il y a beaucoup de comparaisons entre Maradona et Messi, ayant vécu avec Diego, je suis partial. Je pense qu'ils sont tous les deux dans l'Olympe du football, des champions absolus pour lesquels il est impossible de faire des comparaisons. C'est comme se demander si c'est Mozart ou Beethoven le meilleur." Ce sont les premiers mots d'Ottavio Bianchi qui avec le "Pibe de oro" a remporté le premier championnat historique de Naples lors de la saison 1986-1987. "Comme analogies je vois, en plus du fait qu'ils sont tous les deux argentins, qu'ils sont tous les deux gauchers, pas avec un physique incroyable mais avec une grande classe et une intelligence footballistique. Dans le football médiocre d'aujourd'hui, les jeux individuels sont importants, il y a des matches dans lesquels on attend un coup de génie du champion pour sortir de l'ennui." Bianchi évoque également Didier Deschamps qui en cas de victoire en finale de Qatar 2022 contre l'Argentine égalerait la suprématie de Vittorio Pozzo qui a remporté deux Coupes du monde consécutives en 1934 et 1938. "C'était un excellent demi-arrière, excellent entraîneur de club, capitaine, entraîneur, calme et froid, un entraîneur de premier ordre. C'est un entraîneur peu médiatisé, qui travaille en silence, se plaint peu et respecte ses adversaires." Le jugement sur la Coupe du monde, dans son ensemble, est clair. "Cela a été un championnat du monde médiocre d'un point de vue technique et tactique, mais avec de nombreuses circonstances atténuantes compte tenu de la période de l'année à laquelle nous jouons. J'ai aimé la demi-finale France-Maroc, ce fut un vrai match, ils se sont battus sur le terrain mais au final tout le monde était content. Ils ne se sont pas désunis et ont continué à jouer. J'ai aimé le comportement correct et le respect dans les tribunes et sur le terrain dans cette édition de la coupe du monde." Traduction alex_j via FCInter1908.
  19. Interviewé par Telelombardia, Fabrizio Biasin, journaliste Nerazzurro, s’est livré aussi bien sur l’éventuel retour d’Achraf Hakimi, que le départ pour la Juventus de Giuseppe Marotta Pour Achraf "Il n’existe aucune possibilité, je crois qu’en ce moment d’absence de nouvelles sur le mercato, tout a un peu de valeur, même ce qui n’est pas crédible. Ensuite, tu veux y croire vu ce qu’il s’est passé avec Lukaku. Mais ce sont des situations totalement différente : Hakimi sera bien resté, mais il est dans une équipe qui lui offre 8 millions d’euros et il n’y a aucune possibilité de raisonner sur quelque chose de ce genre." "Lukaku était en rupture totale alors qu’Hakimi ne voulait que le bien de l’Inter, et il n’est pas honteux du Paris-Saint-Germain : Il préférerait jouer comme il jouait à l’Inter, mais il évolue avec Messi, Mbappé et Neymar et dispose d’un contrat de longue durée." Pour le Padrino "Je peux vous dire que j’ai entendu parler aujourd’hui du départ de l’Inter de Milan Skriniar, de Denzel Dumfries et de Giuseppe Marotta en janvier. Ce ne sont pas des choses qui se passe en janvier, ça aurait dû être en juin. Mais je reste convaincu que la Juve a fait une tentative pour Marotta vu qu’il a démontré être le meilleur et que, si tu dois aller recruter quelqu’un, tu vas tenter de prendre le meilleur." "En ce moment, je peux vous dire que j’ai respecté mon métier et que je l’ai questionné et sa réponse état : "Je n’y pense pas" . Je ne sais pas ce qu’il se passera en mars, mais en ce moment sa réponse était accompagné par un "Absolument pas." ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  20. Après la qualification de l'Argentine en finale, ce soir place à France-Maroc. Pour parler de la Coupe du monde, la Gazzetta dello Sport a interviewé Marco Materazzi. Marco, si tu devais affronter cette équipe de France quelle serait ta première pensée ? "Leur force. Ils ont tout : la technique et le physique, comme en 2006. Il faut donc essayer de les limiter, résister, allonger le match et peut-être profiter du moment où ils peuvent concéder quelque chose." On ne sait pas si Aguerd et Saiss pourront jouer. Quel serait l'impact sans les deux ou même un seul d'entre eux ? "Dans ces cas-là, le banc parvient toujours à donner le meilleur de lui-même. Mais Saiss est aussi le capitaine : son absence serait plus impactante, c'est lui le leader. En 2006, sans Cannavaro, cela aurait été encore plus difficile." Au lieu de cela, Nesta avait été blessée et tu as pris sa place. "Contre la République tchèque, je suis entré assez froid et j'étais aussi inquiet. Puis j'ai tout de suite fait un bon arrêt sur Nedved et je me suis calmé." Pourquoi les défenseurs-buteurs sont-ils si rares ? "Parce qu'il y a une tendance, notamment en Italie, à défendre par secteur et avec l'aide de milieux de terrain, dans la conviction que cela aide à gagner. Chez les jeunes, nous devrions faire plus de un-contre-un : ce serait utile pour les attaquants et les défenseurs." Tu supportes qui pour la Coupe du monde ? "Aujourd'hui pour le Maroc, mais je pense que c'est le moins fort des quatre. J'espère que l'Argentine gagnera, je serais content pour Messi : il a ravi le football pendant de nombreuses années, il le mérite." Traduction alex_j via FCInterNews.
  21. L'Argentine est arrivée en demi-finale de la Coupe du monde et Javier Zanetti exprime sa joie au micro de Rai Sport. Soirée incroyable, avez-vous pu dormir? "Non, assez peu, mais heureux! C'était une soirée de Coupe du monde. Cette Argentine est une équipe nationale compacte, après la première défaite contre l'Arabie saoudite, ces gars se sont encore plus unis. Beaucoup d'Argentins sont venus ici au Qatar parce que tout le monde a le même rêve de les joueurs." Quelle est l'importance du résultat de l'équipe nationale pour le pays ? "Beaucoup car nous sommes dans une période de grande crise sociale et éducative. Ce n'est pas facile de vivre en Argentine. Les gars veulent donner une grande joie au peuple argentin." À propos de Messi. "Il est beaucoup plus mature, un vrai leader. Tous les gars le suivent, il se rend compte que la Coupe du monde est spéciale et il donne tout." Êtes-vous déplacé? "Beaucoup, j'étais avec ma famille et mes amis. Après 2-2, mon fils pleurait, c'est pourquoi je voulais que l'Argentine passe." Sur le geste de Leo Perisic envers Neymar. "Seul le football vous donne ces émotions. Je comprends la déception de Neymar, eux aussi voulaient gagner la Coupe du monde. Je suis désolé pour lui, mais c'est bien que le fils de Perisic, qui a Neymar comme idole, soit allé le consoler." Traduction alex_j via FCInterNews.
  22. Alessandro Bastoni s’est livré du stage de préparation hivernal de l’Inter, à Malte, au Corriere Dello Sport: Quel effet cela vous fait-il de ne pas être au Qatar et de regarder la Coupe du Monde à la télé ? "Comme pour tous mes équipiers en équipe nationale, j’aurai voulu y participer et représenter notre pays. Je peux seulement remettre les compteurs à zéro et tenter le coup dans 4 ans. Le coup a été rude, encore plus en sachant que cela arrive pour la seconde fois d’affilée pour l’Italie. Nous étions des joueurs averti, avec un grand sens des responsabilité, mais nous avons manqué cet objectif." Remporter la Nation League peut-elle atténuer ce flop ? "Jusqu'à ce que la prochaine Coupe du monde arrive et que nous nous y qualifions, il sera difficile d'oublier. Néanmoins, nous ferons tout pour gagner cet autre trophée. Ce serait un moyen de nous prouver, également à nous-mêmes, quelle est notre valeur réelle. Supportez-vous une équipe nationale en particulier ? "J’ai toujours eu une grande passion pour Lionel Messi, je dirais donc Forza Argentina. Et j’en serai aussi fier pour Lautaro, c’est évident." L’Inter, repartie d’Udine, avait-elle touché le fond de ce début de saison ? "Nous nous sommes raccrochés à nous-mêmes, à un groupe qui est solide et fort. Nous nous sommes ressaisis, en réalisant que ce n'est qu'unis et ensemble que nous pourrions nous sortir de cette situation. Nous nous sommes parlé, nous avons essayé d'identifier les problèmes et, aujourd'hui encore, nous essayons de les résoudre une fois pour toutes". Une des images d’Udine a été votre réaction suite à votre remplacement en première mi-temps : S'agissait-il d'un de ces gestes ou d'une de ces attitudes que vous vous étiez promis de ne plus jamais manifester ? "Toute réaction est mauvaise. Cela s'applique également à cette situation, cela découle de la nervosité que j'éprouvais à l'idée de ne pas être capable de faire ce que je sais faire: Je sais de quoi je suis capable normalement. Encore une fois, il était important de se parler. À partir de ce moment-là, nous sommes sortis plus solidaires que nous ne l'étions auparavant." Si vous êtes parvenu à vous redresser au niveau des résultats, il reste tout de même encore des choses à corriger, comme le trop grand nombre de buts encaissés lors des matchs à l'extérieur. Comment l’expliquer ? "Il est difficile d'y trouver une réponse, car il n'y a pas de raison technique. Je pense que c'est avant tout un aspect mental. Dans ces cas, la recette consiste uniquement à travailler." L'Inter joue-t-elle le tout pour le pour contre Naples pour le Scudetto ? "Nous sommes, à présent, à un grand tournant de la saison : Ne pas réaliser un résultat positif à la maison serait un coup très dur à digérer et cela deviendrait extrêmement compliqué de résorber ce retard." Après le Scudetto avec Conte, après la Super Coupe et la Coppa Italia avec Inzaghi, considéreriez-vous comme une déception une année blanche dans l'armoire à trophées ? "Nous ne pouvons pas nous cacher : Nous sommes conscients de la force et des valeurs de notre équipe. Notre objectif est toujours d'aller jusqu'au bout dans toutes les compétitions auxquelles nous participons. C'est pourquoi ce serait une grande déception si finalement nous nous retrouvons les mains vides." Vous vous êtes spécialisé dans les passes décisives : C’est aussi arrivé ici à Malte : lors du match amical contre Gzira United, vous en avez-même réalisé deux... "Je dois remercier la Primavera de l'Atalanta, en particulier Favini, l’ancien responsable de l'académie des jeunes de Bergame qui est aujourd’hui décédé : C’était le numéro un. Avant même l'aspect physique, il vous enseignait la technique de base. Et c'est une approche fondamentale, à mon avis, pour jouer au football. Pour le reste, c'est une question de mentalité et d’une attitude que j'ai toujours eues depuis que je suis enfant." Celui qui en profite le plus est votre ami : Nicolò Barella... "Disons qu’avec lui, je connais les mouvements qu’il réalise tout le temps : On s’en rend compte que lorsque je lui donne un caviar... (il rit). Quoi qu'il en soit, lorsque j'ai le ballon au pied, je regarde toujours ce que fait Barella : Nous nous connaissons à la perfection. C'est le premier que je recherche car, grâce à l’un de ses mouvements, soit il se libère, soit quelqu'un d'autre le fait. Son jeu est toujours décisif pour notre phase de développement d’une action." La défense à trois renforce-t-elle vos caractéristiques ? "Evidemment car j'ai la possibilité de monter sans avoir la préoccupation excessive de ce qui pourrait arriver si je commettais une erreur. J'ai la sensation que l’on couvre mes arrières et d'avoir plus de liberté. De plus, c'est une tactique qui devient de plus en plus populaire : On l’a également vu en équipe nationale. Ce que je pense est que si vous jouez de la bonne façon, avec des joueurs qui ont un certain type de préparation mentale, vous disposez d’un gros avantage car les attaquants sont forts en phase de possession, tandis que lorsqu'il s'agit de défendre, ils sont bien plus paresseux et en forçant des situations, le défenseur qui va de l’avant se retrouve souvent démarqué." En un an et demi, vous avez dû composer avec trois ailiers gauches différents : Perisic, Dimarco et Gosens. Avec qui vous sentez-vous le plus à l'aise et comment modifiez-vous votre façon de jouer, compte tenu des différentes caractéristiques ? "La grandeur d'un footballeur, c'est aussi de pouvoir changer son jeu en fonction des personnes qu'il côtoie. Par exemple, Dimarco, qui possède une qualité particulière en matière de centres, préfère recevoir le ballon sur ses pieds. Gosens, en revanche, attaque la profondeur et le ballon doit être devant lui." En parlant de comparaisons, quelles sont les différences entre Conte, Inzaghi et Mancini ? "Avec Conte, tu entrais sur le terrain en sachant parfaitement ce que tu dois faire, car tout avait été étudié de manière maniaque. Les deux autres sont très similaires en termes de préparation des matches, d'attitude sur le terrain et d'approche des joueurs. Dans le sens où ils sont très calmes et ouverts au dialogue. Je peux ajouter que, au niveau du jeu, Inzaghi m'a beaucoup apporté, car la propension à jouer des coudes est née avec lui." En parlant de Conte, est-il vrai qu'il vous aurait voulu à Tottenham ? "Il y a eu des contacts, mais je suis heureux d'être resté à l'Inter." Skriniar devrait donc être tout aussi heureux de rester… "Je ne peux que lui conseiller de faire ce qu'il pense être juste. Nous sommes tous adultes et chacun doit faire ses propres évaluations, avec sa famille. L'important est qu'il soit convaincu du choix final. Je ne peux pas juger, seulement espérer qu'il reste ici". ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  23. Interrogé par Tyc Sports, Gabriel Omar Batistuta a expliqué la raison du choix de Lionel Scaloni de mettre Julian Alvarez à la place de Lautaro Martinez lors du dernier match contre la Pologne. Ses explications sont plus rationnelles que celles de l'astrologue. "Si l'un joue plutôt qu'un autre, ce n'est pas un problème. Scaloni a décidé de déployer Julián car il s'associe mieux avec Messi, Di María et Mac Allister. Il sait comment lier le jeu et se déplacer sur les flancs et dans les zones. Scaloni cherchait ces caractéristiques et les a trouvées chez Julian. Lautaro est plus comme moi, il ne pense qu'à la façon de concrétiser l'action créée par ses coéquipiers. C'est un finisseur. Scaloni a pris cette décision et il me semble que ça ne s'est pas si mal passé." "Pour moi, les deux ne sont pas compatibles. Je pense qu'il n'y a pas de place pour les deux sur le terrain et nous n'en avons même pas besoin. Je ne vois pas la nécessité de jouer avec deux neuf, les deux peut marquer en jouant seul. C'est une qualité que toutes les équipes n'ont pas et c'est quelque chose qui me donne l'espoir que nous pourrons tenir la distance à la Coupe du monde. Je ne pense pas qu'ils puissent jouer ensemble, à moins que quelque chose de grave nous arrive et nous devons marquer trois ou quatre buts. En tout cas, je ne les vois pas ensemble." Traduction alex_j via FCInterNews.
  24. L'Argentine est en huitième sans un Lautaro brillant. Si l'Inter le félicite malgré tout sur Twitter, un astrologue explique pourquoi Lautaro ne va pas bien. L'Argentine obtient la qualification pour les huitièmes de finale de la Coupe du monde et la première place du groupe. Un "exploit" après le KO subi lors du premier match face à l'Arabie Saoudite. L'Albiceleste "sans" Lautaro Martinez, laissé sur le banc au profit de Julian Alvarez, a battu la Pologne 2-0 malgré le penalty raté en première mi-temps. Wojciech Szczesny a hypnotisé Lionel Messi qui a raté son penalty. Tout s'est passé en seconde période quand Mac Allister a donné l'avantage aux Sud-Américains à la 46e minute, puis Alvarez lui-même a clôturé le match à la 68e minute. El Toro entre seulement à la 78e minute et a raté une belle occasion. Même si notre Lauti n'a pas particulièrement brillant, l'Inter l'a félicité via Twitter. "Félicitations à Lautaro Martinez pour la qualification en huitième de finale de la Coupe du Monde 2022 avec l'Argentine" peut on lire. Si le choix de l'entraîneur de ne pas mettre Martinez titulaire a provoqué l'étonnement en Argentine, certains disent que c'était mieux ainsi. Pas pour une explication scientifique, car nous savons que la science n'a pas grand-chose à voir avec le football, mais une explication astrologique... une question d'alignement des planètes! En Argentine, ils ont interrogé un astrologue et sans sourciller, il a expliqué que Scaloni avait raison de ne pas parier sur Lautaro lors du match contre les Polonais. Voici l'explication: "Ce qui arrive à Lautaro est simple, il a Mars et Pluton contre lui, et il faut y ajouter le karma de Saturne. Mais ce sera différent en huitièmes de finale ! Dans ce cas, le signe du Lion entre dans les bonnes grâces de Jupiter." Et si les étoiles le disent... Moralité de l'histoire: si vous voulez réussir, évitez de vous mettre Mars (dieu de la guerre) et Pluton (dieu des enfers) sur le dos. Traduction alex_j via FCInterNews et FCInter1908.
  25. Le Vice-Présidence de l’Inter et Parrain d’Internazionale.fr s’est livré à la Gazzetta Dello Sport directement du Qatar où il assiste à la Coupe du Monde : "Nous sommes comme ça les argentins, lorsque nous sommes dans le dur, sans aucune possibilité d’erreurs, c’est là que nous donnons le meilleur." Qu’avez-vous ressenti sur ce but de Messi ? "Une libération, pour moi et pour tout mon pays : En première période, nous n’étions même pas parvenu à réaliser un tir cadré, nous flirtions avec la possibilité d'être éliminés, ce qui aurait été un coup très dur à encaisser, surtout après que tout le monde nous ait donnés comme favoris. Ce but nous a permis de de tout débloquer, notre jeu et notre mental, car inconsciemment, la Vérité est que notre équipe nationale est inconsciemment dans l’obligation de l’emporter." "Ce discours aurait aussi été de mise pour l’Italie si elle avait été présente : L'objectif n'est jamais seulement de participer pour les grandes équipes. A présent, notre Coupe du Monde a commencé avec le but de Leo. Après cet épisode lié au but, l’équipe a commencé à jouer et a mérité sa victoire." Qu’y-avait-il derrière cette célébration de Messi ? "Le visage, regardez son visage, il semblait en transe, c’était incroyable : Leo a égalé Diego pour le nombre de buts inscrit en Coupe du Monde le lendemain du jour de l’anniversaire de sa mort : Tout semblait vraiment écrit de là-haut, tout était décidé à l'avance". Peut-être que Maradona lui a vraiment donné un coup de main… "C’est comme si Diego n’était jamais partie : Diego est l’essence même du football, il est toujours avec nous, il suffit d’écouter les chants des Tifosi argentins au stade qui nomment Messi, Maradona, le père de Maradona, la mère de Maradona pour pousser tout le monde vers la Victoire. Là, dans ce refrain, se trouve tout ce que la Seleccion représente pour le peuple argentin". Scaloni a déclaré ces derniers-jours : "Endosser le maillot de l’Argentine est une chose de totalement différente comparé à celui d’autres équipes nationales". Qu’est-ce que cela signifie ? "C’est assez simple : On ne se contente pas d'aller sur le terrain avec nos maillots et nos chaussettes et notre short, ce n’est pas suffisant pour nous. Nous portons en nous Diego à chaque fois, comme lors de la finale de 78, de la finale de 86. Nous avons sur nos épaulses l’espoir de tant de supporters à chaque match. Avez-vous vu combien d'Argentins sont présents à Doha, malgré la situation difficile de mon pays ? C'est incroyable. Il en va aussi de notre responsabilité qui se doit d’être importante : Car ils nous poussent, nous encouragent, nous soutiennent et c’est tout à fait normal : Ils veulent voir aussi des résultats et il ne faut pas croire que les joueurs ne le ressentent pas du tout." Qui est pour vous l’Homme de cette Coupe du Monde ? "Mbappé : Il l’a déjà prouvé lors des premières rencontres, il casse les matchs, il les brise. Il est si rapide avec le ballon au pied alors que d’autres ne le sont que sans le ballon. Et le fait qu’il le soit avec est une toute autre histoire et cela fait toute la différence. A quelques détails près, le français me rappelle Ronaldo il Fenomeno". En général les Stars répondent présent à l’appel... "Ce mondial sera décidé par leurs prestations : Je n’imagine pas de rencontres décisive où ils ne seront pas protagonistes : Mbappé est au rendez-vous. Il y a Ronaldo, Messi aussi: Celui qui aura la plus grande capacité à transcender ses équipiers emportera avec lui la Coupe à la Maison." Qui peut aller jusqu’au bout ? "Je vois trois équipe en meilleure position : Le Brésil, la France et nous l’Argentine." Pourtant, le fond de jeu de la Seleccion n’est pas visible... "En fait, je dirais que l’Argentine est entrain d’améliorer son fond de jeu : l’intensité augmente et la condition physique se doit d’augmenter également, sinon ce serait difficile de pouvoir aller de l’avant." Que se passe-t ‘il avec Lautaro ? "Cette Coupe du Monde peut encore être la sienne : Il va se débloquer rapidement, c’est garanti, peut-être même déjà face à la Pologne. Lauti ne doit pas s’inquiéter car c’était deux rencontres loin d’être simple à gérer pour un attaquant, cela ne l’aurait été pour personne et je ne vois pas de problème, j’ajouterai quelqu’un d’autre." Je vous en prie... "Di Maria : Pour l’Argentine il est devenu absolument décisif : C’est quelqu’un qui sait inventer le geste pour débloquer la rencontre, épouser les équilibre, sa condition physique est en augmentation, il est arrivé ici très limite, il ne peut que s’améliorer." Qui vous a le plus surpris, jusqu’à présent, dans le tournoi ? "En terme d’équipe, je dirais le Maroc : Compacts, concentrés, je ne les attendais pas à ce niveau, et contre la Belgique j'ai été impressionné. J’ai aussi été surpris par déclarations de De Bruyne après leur premier match où il dit que la Belgique ne fera certainement pas aussi bien qu'en 2018. Comment pouvez-vous dire cela, après une victoire ? C’est étrange..." Etrange comme l’exclusion d’André Onana du Cameroun... "On cherche à comprendre, et je vais bien discuter avec le joueur, ce qui est certain, c’est qu’il y a eu une discussion." ®Antony Gilles – Internazionale.fr
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